jeudi 30 juillet 2009

Confidences entre mères sur canapé

JE SENTAIS QU'ELLES SAVAIENT...



C'est la fin des vacances. Nous sommes revenues depuis deux jours de la mer. Cet après-midi, je suis allée à la piscine municipale et je reviens comme convenu à 17 h. En arrivant à la maison, je remarque la voiture de Jacqueline, ma tante. La soeur de Maman est venue prendre le thé à la maison et elle bavarde dans le salon avec elle ainsi qu'une voisine du quartier, la mère de Vanessa. Ca papote, ça papote...
Curieuse, je n'ai pas fait de bruit en rentrant par la porte du jardin restée ouverte par cette chaleur. J'écoute ce que ces dames se disent, en tendant l'oreille depuis le corridor. Comme toujours la conversation s'oriente sur les questions de famille : la rentrée, les enfants et aussi le rappel des vacances,
Maman explique notre séjour à la mer dans un hôtel bien situé où l'on pouvait s'en donner à coeur joie, à la plage toute proche et surtout dans la grande piscine du club de vacances.
La mère de Vanessa se réjouit pour nous : "Cela a dû être bien agréable. Quand les enfants peuvent se distraire ainsi, on a quand même moins de soucis avec."
Maman opine du chef : "Oui, je dois dire que les filles en ont bien profité et ont été en général assez calmes".
La nuance n'a pas échappé à Jacqueline, ma tante : "Tu dis assez calmes... J'espère qu'elles ne t'ont pas trop faite tourner en bourrique ?"
Je sens que la conversation va déraper... Et, de fait, Maman embraye : "Non, cela a été globalement. J'ai juste eu un peu de mal à obtenir de Christine qu'elle fasse ses devoirs de vacances. C'était important pour elle après l'année très moyenne qu'elle a faite. Je tenais à ce qu'elle en fasse au moins deux pages par jour au moment de la sieste. Au début, elle a rechigné, puis elle a essayé de jouer à la plus maline avec moi et de faire semblant de travailler. Mais, j'ai vite réagi comme il le fallait et tout est rentré dans l'ordre..."
Et Tante Jacqueline de chercher à en savoir plus : "Comme je te connais, je me dis que ma chère nièce a dû passer un sale quart d'heure... Non ?"
Maman s'empresse de lui confirmer ce qu'elle a deviné... "Tu sais, on était au début du séjour et toutes les trois commençaient à m'énerver. Petites chamailleries par ci, petites désobéissances par là. Et par dessus tout ça, Christine qui ne voulait pas travailler et me prenait pour une idiote, il valait mieux agir sans tarder. Je l'avais prévenue qu'il fallait qu'elle se méfie. En vacances ou pas, il faut obéir, un point c'est tout", explique ainsi Maman devant deux interlocutrices apparemment très intéressées.
"Et alors ?", s'enquit encore ma tante.
"Alors, on a réglé nos comptes, à l'heure de la sieste, toutes les deux dans ma chambre. De la seule manière qui fasse vraiment de l'effet. Une bonne fessée déculottée et je vous prie de croire que cela a calmé ma Christine pour le reste de la semaine. Et même ses soeurs qui ont compris ce qui pouvait leur arriver... Je dois dire que j'ai eu une paix royale pendant plusieurs jours..."
Tata Jacqueline et la mère de Vanessa n'ont pu s'empêcher de sourire en écoutant le récit maternel. De mon côté, leur conversation m'a glacé les os. Je me sens toute chose. Je déteste ces confidences et ces bla-blas entre adultes sur ce sujet de l'éducation.
J'ai déjà du mal à m'enlever de la tête les images et le souvenir cuisant de mes punitions. Mais quand elles sont évoquées ainsi, j'ai l'impression qu'elles recommencent. La scène revient dans ma tête. Et je me dis que ceux qui entendent ce récit, comme Tata et la mère de Vanessa, se mettent aussitôt à imaginer la scène et me voient plonger sur les genoux maternels offrant mes fesses à la main correctrice...
Heureusement, la conversation change de sujet. Elles se mettent à parler rentrée. Je vais en profiter pour traverser le salon, dire bonjour et gagner ma chambre...
J'entre pas trop rassurée, me sentant toute penaude... Je les découvre assises côte à côte sur le canapé. Leurs trois regards me fixent. Elles sourient mais j'ai le sentiment qu'il y a comme de l'ironie ou de la moquerie dans leurs yeux...
"Tiens, voilà justement Christine", dit ma tante. "On venait de parler de toi. Il parait que tu as passé de bonnes vacances et que tu as été sages... Enfin, presque tout le temps...", ajoute-t-elle avec le sourire aux lèvres.
Je rougis jusqu'aux oreilles... Ma gêne est visible et j'ai envie de courir vers ma chambre... En ressortant de la pièce, je sens leurs regards porter vers mon bas du dos... J'en ai presque les larmes aux yeux...

4 commentaires:

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  2. MALNOUPATRICK@orange.fr28 août 2009 à 06:41

    Pour ma part,je pense qu'une pénitente qui va recevoir une bonne fesséedoit obligatoirement porter des chaussons à talons plats (mules ou ballerines)pour avoir les fesses bien décontractées à l'instant ou elle sera au coin fesses rouges et pieds joints.Merci pour ces belles photos.

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