dimanche 3 février 2019

Chronique d'un redoublement : 138. Quand une étourderie m'amène à retrouver les genoux maternels...

SUITE 137

Cela me trottait vraiment dans la tête et j'ai passé une nuit très agitée, emplie de cauchemars, dont je ne me souviens guère, mais qui devaient à n'en pas douter mettre en scène mon bas du dos et les genoux maternels.
Tata, d'ailleurs, se releva au milieu de la nuit, pour venir me secouer, afin que je sorte d'un mauvais rêve. Elle me réveilla et j'étais en nage, agitée, et je venais, m'apprit ma tante, de parler durant mon sommeil agité, en disant : "Non, pas ici, Maman, non, non, oh non. Pas ici, pas ici".
Je me calmai en constatant que je n'avais rien à craindre, que j'étais tranquillement au lit dans la chambre avec Tata, et celle-ci me serra fort dans ses bras, avant de me laisser me rallonger pour que je retrouve le sommeil.
Je mis quelque temps à me rendormir, et je compris pourquoi j'avais parlé durant mon sommeil. Le cauchemar me revint par bribes, et ce mauvais rêve me plaçait en fait devant Maman apparemment très fâchée et me demandant de venir vers elle pour qu'elle me donne la fessée au milieu de la plage devant la voisine curieuse, ainsi que mes soeurs et leurs copines...





 
Mon cauchemar nocturne me revenait. Il me mettait en scène sur la plage
où Maman, en colère, m'attrapait pour me donner la fessée... 

Je tâchai de m'ôter ces images de la tête, mais je comprenais pourquoi ce cauchemar m'avait fait presque crier de peur... Mais en y repensant, je prenais conscience que les mots de protestation qui m'étaient sortis du coeur étaient avant tout pour que cette fessée ne me soit pas donnée devant témoins. Comme si, au fond de moi, j'admettais que, de toute manière j'allais retrouver les genoux maternels, comme si je savais que je n'y couperais pas, mais que je voulais surtout éviter que ma déculottée à venir soit publique...


Dans ce cauchemar, je protestais : "Non, pas ici, Maman, pas ici !"
Comme si j'admettais la mériter, mais ne voulais pas
la recevoir en public...

Le lendemain matin, encore un peu perturbée par mes drôles de rêves nocturnes, je constatai que Maman n'était pas de bon poil et je tremblai en me servant mon chocolat chaud, en versant quelques gouttes sur la nappe. Tout de suite, Diane avait averti Maman : "Oh, Christine a fait des taches !" m'attirant une réflexion maternelle sèche : "Oh, toi, on dirait que tu cherches les ennuis. Fais attention à toi, sinon ça va barder..."
Mais, l'intervention de Mamie, avec une éponge, faisant remarquer que la toile ne tachait pas, a tôt fait de calmer Maman.
Sauf que, pendant ce temps-là, Aline qui faisait juste à côté ses quelques devoirs de vacances sans s'appliquer, fut reprise par Maman, qui s'apercevant qu'elle avait fait des erreurs dans ses exercices de calcul, lui redonna à refaire, non sans lui mettre deux gifles qui l'ont faite crier.

Mamie prit alors la défense d'Aline, et l'aida à finir ses exercices, proposant à Maman de l'emmener au marché avec elle. Tata écrivant ses cartes postales sur la terrasse où Diane lisait, non sans garder l'oreille aux aguets.
Je me retrouvai donc seule dans la cuisine avec Maman, qui m'avait demandé de l'aider à ranger les affaires du petit-déjeuner,et à essuyer les bols qu'elle était en train de laver.
J'avais grommelé en réponse à cette demande, ce qui n'avait pas arrangé mes affaires. "Ecoute, Christine, si tu es de mauvaise humeur, j'ai un bon moyen de te faire grogner pour de bon", avait-elle dit avec un geste significatif de la main...
Je faillis en faire tomber un bol, mais heureusement, je le rattrapai par je ne sais quel miracle, ce que Maman commenta par une phrase sans équivoque : "Espèce de maladroite... Ah, tu as eu de la chance de ne pas avoir cassé le bol breton de Mamie... Sinon, je te flanquais la fessée que tu cherches depuis des jours... Mais, tu ne perds rien pour attendre..."


J'avais failli casser le bol de Mamie. Ma nervosité me rendait maladroite...
Cela mettait Maman sur les nerfs aussi... Et elle me fit comprendre 
que cela commençait à bien faire et que sa patience avait des limites...


Tata et Diane avaient entendu cet échange, et Tata chercha ensuite à me calmer, me conseillant de me tenir à carreau, pendant que Diane, elle, cachait mal sa jubilation. Et, d'ailleurs, quand Aline revint du marché, Diane ne manqua pas d'aller vite raconter à mi-voix mes mésaventures à sa soeur, traduisant à sa manière les menaces maternelles à mon encontre par ces mots : "Même que Maman elle a dit à Christine qu'elle aurait bientôt une fessée".
 Aline, qui avait testé la nervosité maternelle en ramassant une paire de gifles, n'osa pas demander à quiconque si les propos de Diane étaient vrais. De toute manière, elle préférait que je sois dans le collimateur plutôt qu'elle, et, sans me vouloir du mal, Aline voyait plutôt d'un bon oeil que la colère maternelle se dirige vers son aînée que ce qu'elle s'attarde sur ses devoirs de vacances...
Nous partimes à la mer, où les petites avaient leurs activités du club de plage. Mamie, de son côté, allait voir une amie qui habitait au centre de la station balnéaire. Aline et Diane coururent au club, alors que nous nous installions à peu près à notre endroit habituel. 
Mais, au moment où nous étendions nos serviettes sur le sable, il manquait la mienne et celle qui servait à se changer. De fait, ayant la tête ailleurs, j'avais oublié dans la location le sac que je portais habituellement. J'avais la tête ailleurs et je sentis bien que cela mettait Maman en rage. Tata se proposa d'aller le chercher tandis que Maman fulminait et préféra m'envoyer moi. Non sans commenter : "Quand on n'a pas de tête, faut des jambes. Allez retourne donc chercher le sac bleu. Franchement, tu cherches les ennuis, Christine".



En arrivant au bord de l'eau, Maman s'aperçut que j'avais oublié
l'un des sacs de plage. Et elle m'envoya aller le chercher à la location.
Je le fis en trainant les pieds, ne me pressant pas, n'ayant guère
envie de subir encore les commentaires maternels....
 
Je m'exécutai en trainant les pieds, prenant mon temps pour accomplir les quatre à cinq cents mètres qui séparaient la maison de notre coin de plage. De fait, j'aurais préféré rentrer à la location et y rester seule, tranquille, à lire, plutôt que de subir les remarques maternelles qui s'accumulaient et me faisaient craindre le pire. Même si je reconnaissais au fond de moi que Maman ne rouspétait pas sans raison. Je m'étais effectivement levée du mauvais pied, j'étais grognonne, j'avais renversé un peu de chocolat, j'avais failli casser un bol, et j'étais partie à la plage sans prendre mon sac, preuve s'il en était que j'avais la tête ailleurs... Tout cela, en temps normal, n'aurait pas été grave, mais cela venait après une série de griefs qui auraient peut-être été réglés par une fessée, mais que l'action conjointe de Mamie et Tata prônant le pardon, avait poussé Maman à ne pas agir comme si nous avions été seules avec elle...
Je sentais bien que notre chère mère en avait assez, et je préférais être à distance de ses genoux...

Ce que je ne savais pas c'est que Maman s'aperçut que j'avais aussi oublié la brosse à cheveux et la bouteille d'eau. "Quelle étourdie et quelle tête de linotte", commenta-t-elle, en se levant et prévenant sa soeur qu'elle retournait aussi à la maison : "J'y vais, car elle est capable d'oublier encore la moitié des affaires". 
Tata trouva la décision maternelle étrange, mais elle n'eut pas le temps de lui poser la question de s'il n'y avait pas une autre raison pour rejoindre sa fille à la maison... Maman était déjà partie d'un pas rapide et apparemment très décidé...
Tant et si bien qu'elle me rattrapa avant même que je sois à la location. Il faut dire que je prenais mon temps, regardant de loin les petites jouer au club de plage, et m'arrêtant une fois ou deux en chemin. Pas étonnant donc que Maman m'ait rejointe avant que j'arrive à destination. J'eus droit à une nouvelle réflexion : "Qu'est-ce que tu fais encore là, Christine. Quand je te demande d'aller chercher quelque chose, ce n'est pas pour traîner en chemin. J'en ai vraiment assez, tu sais. Il va être temps de te remettre les idées en place, ce que j'aurais dû faire depuis belle lurette".  Le ton maternel était sec, et je commençai à entrevoir une issue peu glorieuse pour moi...

Je répondis donc à Maman que j'allais me dépêcher, et je proposai de ramener donc aussi la brosse et la bouteille, et qu'elle retourne à la plage, mais elle répondit : "Pas la peine, on ramènera tout ensemble." Mais, elle ajouta d'une voix ferme ;  "Viens donc avec moi. On va en profiter pour parler cinq minutes toutes les deux..." 
Alors, me prenant par le bras, elle se remit à marcher en me gardant bien près d'elle, et commentant : "Ca tombe bien, on va pouvoir être tranquille..."

Je frémis, comprenant immédiatement à l'intonation de sa voix où Maman voulait en venir... Mon étourderie et l'oubli du sac nous amenaient, Maman et moi, à nous retrouver toutes les deux, situation rêvée pour Maman pour "s'occuper" de son aînée...
Je ne pouvais que la suivre et j'avançais à ses côtés, tête basse, avec le coeur battant. 


Maman m'avait finalement rejoint sur le chemin de la maison...
J'insistai pour qu'elle retourne à la plage, l'assurant que je ramènerais bien
toutes les affaires cette fois. Mais, alors, me prenant le bras, Maman m'indiqua
que nous allions rentrer à la location pour avoir une petite "discussion", 
qui plus est, "seule à seule..." !
Je frémis, ayant évidemment compris ce que cela sous-entendait...

Je restai d'ailleurs dans l'entrée alors qu'elle alla prendre le sac de serviettes, la brosse et la bouteille qu'elle remplit au robinet.
J'espérais encore que l'on allait repartir tout de suite rejoindre Tata. Mais, je vis Maman poser les affaires à prendre dans le vestibule, puis entrer dans le salon et se positionner devant le canapé, en disant : "Viens donc voir ici, Christine..."
Je répondis d'une voix tremblante : "Mais, euh, Maman, que veux-tu ? Il faut repartir, Tata nous attend, euh...".
Elle m'interrompit : "Ne fais pas l'innocente, Christine, tu sais très bien ce que je t'ai promis... Tu n'en rates pas une. Allez, viens ici tout de suite, à moins que tu ne veuilles qu'on règle nos comptes à midi quand tout le monde sera là..."
J'éclatai en sanglots : "Oh, non, Maman, non, pas la fessée, pas la fessée..."
Elle eut un demi-sourire : "Ah, je vois que as deviné toute seule, et que tu sais très bien que tu l'as méritée... Si, ma grande, la fessée, tu vas l'avoir cette fessée, celle que tu cherches depuis qu'on est là, celle que tu aurais déjà eue, et pas qu'une fois, si Tata et Mamie ne t'avaient pas protégée... Viens donc ici, pendant qu'elles ne sont pas là, que je te rappelle ce que c'est qu'une bonne fessée..."
Je suppliai : "Non, oh non. Mais pourquoi donc ? C'est pas juste..."
Mon "C'est pas juste" n'était pas du genre à plaire à Maman, qui avança vers moi, m'attrapa par le poignet et me tira vers le coin du canapé, où elle s'est assise, avant de m'allonger en travers de ses cuisses.






Maman ne tarda pas à faire glisser mon maillot de bain vers mes cuisses,
dégageant mes fesses tremblantes, pour cette déculottée plusieurs fois
promise depuis le début du séjour... Elle s'arrêta quelques secondes,
comme si elle mesurait la tâche qui l'attendait pour rougir 
ces fesses blanches depuis un mois, et fesser sa fille comme elle le méritait... 

Ma robe de plage était remontée dans la bousculade et dégageait ma culotte de maillot de bain, que Maman descendit sans attendre malgré mes implorations et supplications.
J'avais les fesses à l'air et Maman fit une petite remarque acide : "Eh bien voilà des fesses bien blanches qui auraient dû rougir depuis longtemps. Plus d'un mois sans fessée, il est temps de rattraper le retard... Ah, tu fais moins la maline, ma fille..."

Et la main maternelle se mit à claquer mes fesses, de bon coeur. Je sentais que Maman y mettait une belle énergie, comme si elle en avait gros sur la patate comme on dit, et voulait rattraper une sorte de retard, comme si elle s'était retenue depuis l'arrivée à la location et tenait à me montrer comment elle tient ses promesses...
Comme il n'y avait personne dans la maison, je ne retins pas mes pleurs, ni mes cris... Au bout d'un moment, Maman ralentit le rythme et s'appliqua dans un second temps, comme pour bien rougir toute ma lune, accompagnant ses claques de phrases explicatives, du style : "Et tiens, voilà pour t'apprendre à grogner, à vouloir faire la loi, à être maladroite, etc."

Je suppliais encore, mais cela semblait au contraire redonner de l'énergie à ma correctrice.


 



Maman m'appliquait une fessée magistrale, visiblement motivée, 
comme si elle voulait rattraper son retard et ces fessées
que j'avais failli recevoir... De mon côté, subissant une tannée méthodique,
je pleurais toutes les larmes de mon corps, suppliant, et criant
d'autant plus que personne ne pouvait nous entendre... 

Puis, elle s'arrêta un instant, repris son souffle, regarda bien comment mes fesses étaient écarlates, avant de se lancer dans ce qui allait ressembler au bouquet final, avec une série de claques magistrales et sonores en diable.
Je le savais, je le devinais, connaissant trop la façon de fesser de Maman. Et même s'il y avait plus d'un mois que mes fesses n'avaient pas rougi de la sorte, cette fessée me replongeait dans tellement de souvenirs cuisants que je la subissais pleinement, m'en voulant de ne pas avoir compris qu'il fallait faire profil bas, et ne pas alimenter la colère maternelle, bref à ne pas pousser le bouchon trop loin, ce qui m'aurait évité une nouvelle déculottée...
Et, comme je le pressentais, pour l'avoir souvent vécu, Maman après avoir rajusté ma position, se lança dans ce qui devait être son final, et se mit à faire tomber un déluge de claques sur mes fesses déjà écarlates, me faisant crier, tellement mes fesses me brûlaient...

C'est à cet instant que la sonnette retentit... Une fois, d'abord. Maman s'arrêtant de me fesser attendit quelques secondes pour savoir si l'intrus ou l'intruse insistait. 
Mais la sonnette retentit à nouveau, plusieurs fois de suite, une voix féminine disant à travers la porte : "Il y a quelqu'un ?"
Maman qui m'avait gardée sur ses genoux desserra son bras gauche qui me ceinturait, et je glissai à genoux par terre, me frottant les fesses écarlates comme pour soulager la douleur.
"Rhabille-toi donc", ordonna Maman, qui alla ouvrir, pendant que je remontais en vitesse ma culotte.
C'était l'une des voisines qui pensait trouver Mamie, et s'excusa à Maman : "J'espère ne pas vous avoir trop dérangée. J'ai cru entendre que vous étiez occupée..."
Cachée dans le salon, j'écoutais la conversation, gênée de savoir que la visiteuse avait entendu ce qui se passait... Mais, le vasistas situé au dessus de la porte d'entrée étant largement ouvert pour aérer la maison, nul doute que le bruit des claques sur mes fesses, comme mes cris et supplications devaient aisément faire deviner ce qui se déroulait à l'intérieur...
Maman lui dit que Mamie serait de retour pour le déjeuner, et rassura la dame : "Non, vous ne m'avez pas dérangée. J'étais juste en discussion avec ma fille..."

La visiteuse pas dupe, dit au revoir et ressortit en ajoutant : "Enfin j'espère que votre fille a compris..."
Maman revint dans le salon. Elle avait encore son regard noir des mauvais jours. Elle sembla hésiter et j'eus peur qu'elle ne veuille achever ma tannée ou du moins la reprendre. Je suppliai : "Oh, Maman, non, arrête... C'est fini, j'ai trop mal. Je serai sage, promis..."
En disant ça, je reculais à demi-pas, pour ne pas qu'elle m'attrape à nouveau.




Elle me regarda l'implorant, et me dit : "Bon, allez, on va s'arrêter là. Tu as eu de la chance que la dame nous ait interrompues, sinon tu méritais bien que je continue... Mais, tu as déjà pris une bonne fessée, comme ça. J'espère que cela va te calmer jusqu'à la fin du séjour, sinon je recommencerai... De toute manière, on reparlera de tout ça quand on sera rentrées à la maison... Et si besoin est, on réglera nos comptes pour de bon..."




La visiteuse repartie, Maman vint dans le salon, avec l'intention
d'achever ma fessée, mais je le suppliai promettant monts et merveilles, comme d'être sage, etc... J'étais encore en larmes, et la détermination maternelle flancha,
d'autant que Maman savait que j'avais déjà été bien fessée...
Mais, Maman ne manqua pas de me rappeler que je n'étais pas à l'abri
de nouvelles déculottées... Plus angoissant pour moi, elle évoqua 
la possibilité que l'on en "reparle" une fois rentrées à la maison...
Et je comprenais bien, avec le ton employé, que ce n'était pas
une parole en l'air... Surtout que cela serait juste avant la rentrée scolaire...

Je rajustai ma tenue, et j'essuyai mes larmes, espérant que l'on ne verrait pas trop que je venais de pleurer, et je suivis Maman sans dire un mot. J'avais le bas du dos certainement écarlate, j'en sentais la chaleur dans mon bas de maillot de bain. Et j'essayais en arrivant sur la plage de vérifier qu'il était bien en place, qu'il ne montrait pas de traces colorées de ma fessée...




Je sentais la chaleur de la fessée sous mon maillot.
Je le rajustais en arrivant sur la plage de peur de faire découvrir 
ce qui m'était arrivée...

La fessée maternelle avait été éprouvante, appliquée avec méthode, pour marquer aussi bien mes fesses que mon esprit. Comme pour que je m'en souvienne bien, comme pour rattraper un retard... J'étais moi-même comme épuisée, rageant intérieurement de ne pas avoir réussi à finir les vacances sans déculottée...
Et, non seulement, j'avais eu droit à ma fessée, mais les mots de Maman au final promettaient déjà que l'on en reparlerait à la maison... Et je savais, mieux que quiconque, qu'en la matière, Maman ne parlait jamais pour rien...
Ma seule consolation était que mes soeurs n'avaient pas été témoins de la scène. Mais, pas sûr qu'elles ne l'apprennent bien vite...


A SUIVRE