mardi 8 octobre 2013

Chronique d'un redoublement : 65. Une fessée magistrale et... à rebondissements !

SUITE 64 

J'avalai mes deux dernières cuillères de crème dessert mécaniquement, puis pliai ma serviette, et quittai la table, sans un mot. J'avais l'estomac noué, je me sentais mal, l'effet de l'angoisse sans doute. Je ne détournai même pas la tête en traversant le couloir du haut en direction de ma chambre, pour éviter le regard de mes soeurs qui guettaient mon passage...




 
Je sortis de table avec comme un début de mal de ventre,
ayant eu du mal à avaler mon dessert,
déjà obnubilée par la perspective de recevoir la fessée...  


Je refermai la porte derrière moi soigneusement, et me suis assise sur mon lit, la tête bouillonnante de pensées sombres... La certitude que j'allais recevoir la fessée m'angoissait, m'apeurait. Mais j'étais aussi et surtout en rage contre moi de m'être faite prendre alors que j'avais presque partie gagnée...

Non seulement, la veille au soir, j'avais surmonté l'interrogatoire maternel et pu lui faire croire que tout allait bien, en cachant ma mauvaise note, mais en plus, en ce vendredi soir, après que Maman ait découvert la copie cachée dans mon cartable, j'avais réussi à lui démontrer que cette note était à mettre au bilan du trimestre précédent, pour lequel j'avais été suffisamment punie, et à lui faire admettre que je travaillais mieux depuis la rentrée.

J'avoue volontiers que lorsque j'avais entendu Maman m'appeler d'urgence dans la chambre et découvert qu'elle tenait dans la main la copie que je cachais depuis la veille, j'étais persuadée que cela allait se terminer par une déculottée magistrale. Je n'en croyais pas mes oreilles quand j'ai entendu Maman s'apaiser et admettre que l'on pouvait passer l'éponge, même si elle ajoutait qu'une "bonne fessée (m')aurait fait du bien" !

Alors, lorsque l'on réussit à tromper pour ainsi dire la vigilance maternelle deux jours de suite, c'est quand même rageant de "chuter" sur une banale histoire d'emploi du temps, due à une improvisation légère de la part de quelqu'un qui avait l'habitude de mieux peaufiner ses histoires, pour ne pas dire de mieux ficeler ses mensonges...

Patatras ! Une seule question maternelle anodine m'avait fait redescendre de mon petit nuage d'impunité à l'attente de ma prochaine plongée en travers des genoux de Maman...
Franchement, je m'en voulais d'avoir ainsi gâcher ma chance... En y repensant, j'avais presque envie de me mettre des baffes, comme on dit, et l'image était d'autant plus parlante que j'allais en effet en prendre, non pas des miennes mais de celles plus expertes de Maman, et non pas sur mes joues, mais bien sur mes fesses...



Assise sur mon lit, je restais inerte, ne pouvant rien faire,
les pensées qui galopaient, me sentant fautive,
et surtout idiote d'avoir si mal menti.
Je me serais mise des baffes,
mais c'est pire encore qui m'attendait... 

Ce qui m'angoissait aussi, c'était de deviner que Maman, elle aussi, avait compris que sa fille avait failli la rouler dans la farine, et cela depuis la veille. Circonstance aggravante que Maman avait sûrement en tête : sa fille ainée l'avait fait sciemment, malgré les mises en garde répétées et un discours clair ayant insisté sur le fait qu'aucun mensonge ne serait toléré... Et, en plus, les mensonges avaient été réitérés devant les petites soeurs, ce qui imposait encore plus le fait que la sanction soit exemplaire...

 La soirée étant moins minutée que lorsqu'il y a classe le lendemain, je savais que Maman n'allait pas "expédier" ses corvées du soir en mettant au lit le plus tôt possible ses trois diablesses. Il n'empêche que je guettais depuis ma chambre les allées et venues dans la maisonnée. 

Maman monta une première fois, un quart d'heure plus tard, son pas faisant grimper mon rythme cardiaque... Mais, elle redescendit deux minutes après, sans avoir rien dit...

Il se passa encore bien vingt minutes avant que son pas résonne dans l'escalier. Je n'avais quasiment pas bougé de mon lit, incapable de faire quoi que ce soit, incapable surtout de penser à autre chose que ce qui m'attendait...

Quand Maman ouvrit la porte de ma chambre, je me recroquevillai, et je m'entendis gémir : "Oh, non Maman, je t'en prie, je, euh, je veux pas..." Mais, apparemment, Maman n'était pas encore en disposition fesseuse... Non, elle rouvrait simplement la porte, constatant par la même occasion que je n'avais rien fait depuis la fin du dîner... 
Elle répliqua d'abord à ma supplique : "Tais-toi donc, Christine. Ce n'est pas toi qui décide. Que tu veuilles ou que tu ne veuilles pas, Maman va te donner la bonne fessée que tu mérites..."
Puis, alors que je retenais un sanglot, elle poursuivit, cette fois en haussant le ton : "Et puis qu'est-ce que tu fais affalée sur le lit ? Tu pourrais au moins lire ou réviser tes leçons... Allez, bouge-toi un peu, et mets-toi donc en pyjama avant que je ne revienne m'occuper de ton cas..."

L'intervention maternelle avait été entendue par Aline et Diane, qui avaient arrêté de jouer pour tendre l'oreille dès qu'elles avaient perçu le début de notre conversation...

Maman ressortit en direction de la chambre des petites, en laissant ma porte grande ouverte. Elle passa un moment avec elles, Diane se vantant qu'elles au moins étaient déjà en pyjama, mais Maman ne releva pas...





Je me décidai me me mettre en pyjama, comme Maman le demandait.
En descendant ma culotte,  je ne pus m'empêcher de poser un instant 
mes mains sur mes fesses, presque fraiches, et encore toutes blanches... 
mais plus pour longtemps... J'en frissonnai d'angoisse...


Dans ma chambre, je me décidai donc à me mettre en pyjama, avec "l'enthousiasme" de la condamnée, qui sait qu'elle est en train de se mettre, pour ainsi dire, en tenue de fessée...
En descendant ma culotte portée toute la journée, je ne pus m'empêcher de poser un instant mes mains sur mes fesses, encore toutes blanches et presque fraiches. La glace de mon armoire refléta cette image qui me fit me souvenir d'une scène identique, trois semaines plus tôt exactement. Mais, là, ma porte étant grande ouverte, je ne m'attardai pas à regarder une lune pâle qui ne demandait qu'à y rester...

Une culotte propre et le pyjama par dessus, j'enfilai ma tenue de nuit à grande vitesse, comme pour protéger ma pudeur qui allait de toute manière être mise bientôt à rude épreuve. J'allai ensuite me brosser les dents et me débarbouiller le bout du nez. En sortant de la salle de bain, je retraversai le couloir, passant devant la chambre des petites, observée par trois paires d'yeux... Maman lança : "Ca y est, tu es enfin prête ? Ne t'inquiète pas, j'arrive bientôt, Christine, j'arrive..."

 Ce "Ne t'inquiète pas, j'arrive bientôt" était dit d'un ton calme, comme si Maman voulait me rassurer, alors que, bien sûr, ce "j'arrive bientôt" m'inquiétait au plus haut point et me faisait frissonner du bas du dos...

A ce que j'entendis de la conversation avec mes soeurs, Maman prenait son temps, consciente certainement que faire mijoter son ainée n'était pas inutile... Elle demanda quand même à mes soeurs de se mettre au lit, les autorisant à lire un peu "en silence" avant qu'elle ne revienne éteindre la lumière pour la nuit. 

Mon heure était venue... J'étais tétanisée, recroquevillée en boule, regardant Maman arriver en disant : "Bon, allez, à nous deux, Christine !"




 Maman avait lancé : "Ne t'inquiète pas, j'arrive bientôt", 
en voyant que j'étais enfin en tenue de nuit.
Recroquevillée en boule sur mon lit,
j'étais inquiète au contraire, sachant surtout 
que c'était "ma fessée" qui arriverait bientôt...

Elle vint directement s'asseoir sur le lit, alors que je balbutiais : "Attends, attends Maman, euh, tu sais, euh... Je, euh..."

Maman mit l'index devant sa bouche pour faire le signe "Chut !", embrayant : "Tais-toi donc, Christine... Il n'y a pas de Attends, attends, qui tienne. Je ne suis pas là pour discuter, ma fille. Il n'y a rien à discuter... Viens ici, tout de suite, pour que je te donne la bonne fessée que tu as méritée... Je t'ai prévenue, Christine. Je ne me laisserai pas endormir comme au premier trimestre... Cette fois, on ne rigole plus. C'est la fessée, et ce sera la fessée chaque fois qu'il le faudra... Et, n'aggrave pas ton cas en me faisant attendre..."

Un nouveau "Viens ici !!!" d'une voix plus forte encore vint à bout de ma résistance. D'un pas tremblant, je vins à la droite des genoux maternels, où elle me bascula sans attendre, me complimentant presque : "C'est bien, Christine, je vois que tu obéis enfin... Maintenant, on va pouvoir régler nos comptes..."

C'est vrai que j'étais venue docilement, sans supplier encore, mais avec une porte de chambre laissée grande ouverte par Maman, j'avais presque honte d'implorer une de mes suppliques habituelles comme "Non, pas la fessée, Maman".

Me rendant compte de mon inertie, je me cabrai soudainement et empoignai par derrière ma ceinture de pantalon de pyjama pour empêcher Maman de dévoiler sa cible... Comme un baroud d'honneur pour protéger ma pudeur.



 
Par une sorte de réflexe de protection, je m'étais cabrée
et je serrais l'étoffe qui protégeait encore ma lune...
Au lieu d'employer la force, Maman attendit que je relâche ma main,
en me promettant que je paierais ce geste de révolte...


Maman asséna une ou deux tapes fortes sur ma main sans que je lâche, mais, au lieu d'employer la force, elle s'arrêta, prit une longue respiration, et dit : "Enlève ta main, Christine... J'attends..."

Dix secondes s'écoulèrent sans qu'elle ne dise le moindre mot, pendant que je serrais encore ma main... Je me sentais toute bête, surtout qu'elle ajouta : "Lâche donc ta culotte, Christine, à moins que tu ne veuilles rester sur mes genoux toute la soirée... Je ne suis pas pressée, Christine, mais sache que plus tu retardes l'échéance, et plus la fessée sera longue..."

Je gémis un long "Nooooon", mais comprenant que je ne gagnerais rien à défier l'autorité maternelle davantage, je lâchai ma main, volontairement, comme si je donnais mon accord à ce que Maman dévoile mes fesses blanches...


Comprenant que je ne faisais qu'aggraver mon cas, je lâchai prise,
desserrant lentement ma main, obéissant à l'ordre maternel,
comme si je lui répondais : "Oui, Maman, je te laisse baisser
ma culotte pour recevoir la fessée que j'ai bien méritée..."


Maman était satisfaite : "Ah, ma grande fille deviendrait enfin raisonnable... On va pouvoir passer aux choses sérieuses... Tu sais bien, Christine, qu'une bonne fessée de Maman, ça se donne sur les fesses, pas sur le fond de la culotte... Surtout pour une grande fille comme toi..."

Il est vrai qu'en d'autres circonstances, j'aurais peut-être résisté davantage, mais la façon dont Maman s'était arrêtée d'un coup, me laissant m'accrocher à mon fond de culotte, tentant de retarder l'échéance, alors que j'étais déjà en position, étalée sur ses cuisses, présentant mon bas du dos, rendait ma défense ridicule...  Evidemment qu'elle ne m'aurait pas laissé toute la soirée ainsi, et qu'elle aurait réussi à me faire lâcher prise, mais sa manoeuvre encore inédite a fonctionné en me faisant prendre conscience que ma défense était vaine. Et, le fait est qu'elle ne pouvait qu'être satisfaite, voyant sa fille lâcher l'élastique, et retirer sa main, dans un geste d'abdication qui semblait dire : "Oui, Maman, j'ai compris, je ne résiste plus, je te laisse faire comme bon te semble pour moi. Tu peux me donner ma fessée..."

Maman a remonté ma main dans mon dos, bloquant mon bras en arrière, afin que je ne puisse plus tenter une nouvelle manoeuvre.. Puis, posément, presque tranquillement, elle a remonté mon haut de pyjama dans le creux de mes reins, et fait glisser le pantalon jusqu'en dessous des genoux...  Ne restait que la culotte de coton blanc, bien couvrante, qu'elle s'appliqua à faire descendre devant comme derrière jusqu'à mi-cuisses... pendant que je gémissais des : "Maman, non, s'il-te-plaît.. " , les murmurant comme si je voulais que l'on entende ma voix de la pièce d'à côté...

Je ne pouvais pas voir la scène autrement qu'en tournant la tête et en apercevant juste un bout de ma lune encore blanche, mais j'imaginais aisément que Maman, qui venait de dégager pleinement mes rondeurs jumelles, avait une vue plongeante, juste sous ses yeux et surtout à portée de sa main de la surface à corriger, de mes fesses déculottées qui frissonnaient de peur dans l'attente du déluge...



 Allongée en travers des genoux maternels, je ne pouvais voir la scène entièrement,
mais j'avais ressenti comment Maman avait veillé
à bien dégager la cible, à bien m'équilibrer,
combien elle avait désormais sous sa main ma lune bien en vue, totalement offerte
à une fessée qui s'annonçait exemplaire...

"Eh bien, voilà... Ce n'est pas trop tôt... On va pouvoir passer aux choses sérieuses, et régler nos comptes, Christine. Prépare tes fesses, ma grande, ça va barder..." commenta une mère sûre de son fait, sûre de bien faire...

Tout était prêt, Maman veillant à bien me rééquilibrer en travers de ses cuisses, respirant profondément comme si elle se concentrait, comme si elle prenait conscience pleinement de son devoir à accomplir, de sa volonté que la fessée soit exemplaire et que sa grande fille s'en souvienne... Même moi, je ne geignais plus, fermant les yeux en attendant la première claque... On aurait entendu une mouche voler, d'autant qu'à l'évidence, dans la chambre d'à côté, Aline et Diane devaient retenir leurs souffles et ouvrir grand leurs oreilles...

La première claque m'arracha un cri, puis je me mordis les lèvres pour retenir mes plaintes, pendant qu'une dizaine d'autres claques tombaient à leur tour, bien détachées les unes des autres, bien ciblées et réparties sur mes deux fesses qu'elles faisaient trembler en renvoyant ce bruit mat des claques fortes qui semblait résonner dans toute la maison... Je sentais aussi mon épiderme se colorer sous chaque impact et la chaleur affluer vers mon bas du dos...

"Ah, Christine, Christine, je vais t'apprendre non seulement à me ramener des mauvaises notes, mais à me les cacher, et à mentir effrontément. Tiens, tiens, tiens et tiens...", la main droite accompagnait le discours maternel, le martelant sur mes fesses, alors que je m'étais mise à pleurer à chaudes larmes...


Si j'avais essayé de retenir mes plaintes durant les premières claques,
l'efficacité de la dextre maternelle s'était vite fait ressentir,
et je me mis à pleurer à chaudes larmes,
entre deux supplications vaines 
et mes éternelles promesses de ne plus recommencer...
 
"Je t'ai pourtant suffisamment prévenue, Christine... Tiens, tiens... Tu le savais que je n'admettrais ni mauvaise note, ni colle, ni mensonges... Tiens, tiens, tiens... Ne te plains donc pas, ma fille, ne te plains pas... Tiens, tiens, c'est tout ce que tu mérites, Christine... Tiens, tiens et tiens !" poursuivait-elle avec une détermination qui n'avait d'égale que son efficacité, m'arrachant des petits cris étouffés à mesure que la cuisson augmentait...  

"Maman, arrête, aïe, s'il te plait, j'ai compris, pardon, ouille, pardon...", me mis-je à supplier d'une voix hoquetante, entrecoupée de petits cris provoqués par les claques généreuses de la dextre maternelle.

Et elle embraya, remontée à nouveau par mes protestations : "J'espère bien que tu comprendras un jour, Christine, mais avec toi il faut répéter souvent les mêmes choses... Tiens, tiens, et tiens ! Tu avais pourtant promis la dernière fois, quand tu as ramené ton carnet du premier trimestre, et quand, après Aline, tu avais reçu une bonne fessée bien méritée... Tiens, tiens, tu t'en rappelles, j'en suis sûre, Christine, mais cela ne t'a pas empêché de recommencer, en me cachant ta copie depuis hier, en me racontant des mensonges à dormir debout... Alors, ma chérie, tes promesses, j'attends de voir..."

Ma lune était devenue incandescente, et chaque claque de plus en plus douloureuse. Mais, Maman poursuivait avec une application particulière. Etait-ce parce que c'était la première fessée de l'année, parce que Maman voulait comme "imprimer" la leçon sur mon bas du dos, je ne sais, mais la tannée était magistrale, n'épargnant pas un centimètre carré de ma mappemonde, prenant le temps de respirer avant de repartir de plus belle, en répétant le message à chaque longue salve. 


Maman poursuivait avec une application particulière,
claquant et re-claquant ma lune,
comme si elle voulait que cette première fessée de l'année
soit une tannée magistrale et mémorable...


Cela sentait la fin. J'étais moi-même épuisée, prenant les claques sans plus gigoter, gémissant simplement, ou criant quand l'une d'entre elles piquait davantage que la précédente. "Ah, voilà des fesses bien rouges, ma fille... J'aurais honte à ta place de me les montrer ainsi, toutes déculottées, après une bonne fessée bien méritée, puisqu'il n'y a que cela que tu comprends... Et ne t'avise pas de recommencer, tiens, tiens, tiens... Tu la sens cette main sur tes fesses, Christine ? Au prochain mensonge, ce sera pareil, Christine. Jusqu'à ce que tu comprennes, ma grande, que tu comprennes enfin..."  

Je repris ma supplique : "Aïe, arrête Maman, ouille, j'ai compris, pardon, pardon..." pendant que Maman parachevait son oeuvre correctrice en déversant une ultime série de claques, cette fois rapides et crépitantes, me faisant haleter et pousser à nouveau de petits cris aigus.

C'était un bouquet final en quelque sorte, et Maman arrêta enfin son bras, et desserra son étreinte sur mon bas du dos. Je restai pourtant en place encore deux ou trois secondes, comme si je n'y croyais pas, comme si j'offrais encore mes rondeurs jumelles à la claquée maternelle...
Sortant de ma torpeur, je me laissai glisser des genoux maternels, soulagée d'en avoir fini...

Je me retrouvai agenouillée, le torse encore penché sur les cuisses maternelles, ayant envie de pleurer ma peine, puis je me redressai et me levai, un peu titubante... Par réflexe, je frottai un instant ma lune écarlate avec ma main redevenue libre, avant de penser à me reculotter.




 Je me penchais pour remonter ma culotte sur ma lune écarlate,
quand Maman qui était restée assise, lança : "Pas si vite, Christine, pas si vite..."
avant de me rattraper par le bras et de me basculer à nouveau
en travers de ses cuisses...


Maman était restée assise sur mon lit, et j'étais encore à sa droite, en train de me pencher pour remonter ma culotte...  quand, à ma grande surprise, elle lança : "Pas si vite, Christine, pas si vite..." Et, alliant le geste à la parole, Maman me rattrapa par le bras, m'attirant vers elle et me re-basculant en position en travers de ses cuisses... 
Je n'avais pas eu le temps de me rhabiller, et j'étais donc à nouveau étalée et déculottée sur ses genoux. Apeurée, je criai fort, sans plus me soucier des oreilles de mes soeurs : "Mais, Maman, non, oh non, qu'est-ce que tu fais ? C'est fini la fessée, c'est fini ! " Et, en même temps, je me mis à gigoter pour essayer de m'échapper... Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, pourquoi je me retrouvais en si fâcheuse position... 



J'aurais voulu réellement m'échapper, mais c'était sans compter sur la maitrise maternelle, qui me bloqua instantanément, tout en assénant sur ma lune une claque gigantesque, à m'en couper le souffle... Sur des fesses écarlates, le claquement fit très mal et je poussai un cri strident, en battant des pieds, avant de m'arrêter, consciente que j'étais coincée et ne pourrais m'extirper de l'étreinte maternelle.

Je compris que mieux valait ne pas me débattre et me relâchai. Maman attendit que je ne bouge plus et s'expliqua enfin : "Oui, c'est fini, Christine... Ou presque... Oui, tu viens de recevoir la bonne fessée que tu méritais pour ta note, tes cachotteries et tes mensonges... Mais, je n'ai pas apprécié du tout que tu essaies d'y échapper, Christine, en cherchant à m'empêcher de baisser ta culotte... Je t'ai prévenue que plus tu me faisais attendre, plus la fessée serait longue... Alors, je pense que cela mérite bien quelques claques supplémentaires, juste pour que tu ne t'avises pas de recommencer la prochaine fois, Christine..."



Déversées sur mes fesses déjà écarlates et tannées de belle manière, 
ce supplément inattendu de claques m'arracha des cris,
m'apprenant qu'il vaudrait mieux, à l'avenir, ne plus fâcher Maman
 au moment où elle s'apprête à baisser la culotte de sa grande fille...


Je suppliai : "Non, non, Maman, non, assez, j'ai eu assez la fessée, je ne recommencerai plus, arrête, je t'en prie, je veux plus la fessée, plus la fessée", mais je n'étais pas en situation d'imposer quoi que ce soit. Maman me tenait parfaitement et leva à nouveau son bras droit, entamant une nouvelle salve de claques moins fortes que le bouquet final précédent, mais destinées à ce que je retienne la leçon : "Tiens, tiens, quelques bonnes claques de plus sur ces fesses déjà bien rouges en effet... Tiens, Christine, tiens... Juste pour te rappeler que c'est Maman qui commande Christine. Tiens, tiens, et que l'on n'empêche pas sa Maman de baisser sa culotte quand la grande fille l'a mérité... Tiens, tiens, tiens... Mieux vaudrait que tu t'en souviennes aussi, la prochaine fois... Tiens, tiens et tiens ! Ah, ça c'est une fessée, ma grande ! Tu vois que Maman tient ses promesses !"

Il n'y avait eu qu'une douzaine de claques supplémentaires, quinze au maximum, mais je me sentais mortifiée, vexée de son ultime sermon encore plus infantilisant que ceux énoncés durant la fessée proprement dite. J'avais presque l'impression d'avoir reçu deux fessées consécutives, surtout que la dernière partie était inattendue et m'avait vue crier et supplier fort, alors que Maman haussait le ton elle-même et que, alors que je n'y avais plus trop pensé, la présence de mes soeurettes dans la pièce d'à côté, les portes grand ouvertes, me revenait, et augmentait mon sentiment de honte...




Je suis restée un bon moment prostrée, agenouillée, la lune écarlate,
l'épiderme brûlant et sensible, après cette fessée mémorable et à rebondissements.
Dans la chambre d'à côté, où Maman était partie border mes soeurs,
les commentaires devaient aller bon train...



Maman m'avait enfin relâchée, et je m'étais mise en boule, agenouillée à terre, pleurant des flots de larmes. Maman se releva et me laissa seule, sortant de ma chambre en disant : "Allez, remonte donc ta culotte, et mets toi au lit pendant que je vais dire bonne nuit à tes soeurs". Je savais que mes oreilles allaient encore siffler...


A SUIVRE