dimanche 22 août 2021

Chronique d'un redoublement : 164. Une fessée déculottée plus que mémorable...

 SUITE 163

J'étais épuisée, à bout de nerfs, véritablement vannée à force de tendre le dos, comme pour parer chaque claque que Maman s'appliquait à asséner pour rougir pleinement mes fesses...

Mon dos devait ressembler à un petit brasier, et la fessée continuait, Maman accompagnant la tannée par son discours rappelant mes fautes et mes mensonges, comme si elle voulait faire pénétrer son message par mon bas du dos...

 

Maman s'appliquait à bien rougir mes fesses... Je m'épuisais à tendre le dos avant chaque claque, mais cela ne faisait que rendre plus douloureux chaque coup...

Je n'en pouvais plus, et j'arrêtai de me débattre, me laissant m'affaler sur les genoux maternels sans plus réagir. Les quelques claques suivantes atterrirent sur des fesses offertes comme détendues, prenant pleinement les coups bien mérités...

Maman marqua une pause, non sans me sermonner encore... "J'espère que tu auras compris, Christine. Et que tu t'en souviendras..."

Le bas du dos en feu, j'étais prête à tout promettre pour arrêter cette tannée. J'acquiesçai : "Oui, Maman, oui, je serai sage. J'écouterai en classe, je ne serai plus collée... Plus jamais..."

Maman ironisa : "J'aimerais le croire, Christine, mais j'en doute un peu... Depuis le temps que tu me le promets à chaque fois... Mais, tu sais ce qui t'attend, à la prochaine colle... Tu le sais, n'est-ce pas ?"

 

Le bas du dos en feu, j'étais prête à tout promettre pour que cesse cette tannée... 

Je ne répondis pas sur le moment... Mal m'en prit, car Maman reprit sa claquée magistrale... "Dis voir ce qui t'attend, Christine... Allez, je veux l'entendre, tiens, tiens, tiens et tiens"...

Je sortis de ma torpeur et me mis à lancer : "La fessée, Maman, oui la fessée".

Elle me redonna deux paires de claques très sonores, me demandant : "Oui, c'est cela, Christine, à chaque colle comme à chaque mensonge... Une fessée comment, Christine, allez dis-le".

J'aurais dit n'importe quoi pour en finir et je haussai le ton, sans plus penser à mes soeurettes qui devaient tout entendre... Je balbutiai : "Oui, Maman, si je recommence, oui, à la prochaine colle, je serai encore punie, oui. Tu me donneras la fessée, Maman, la fessée déculottée... Sur tes genoux, comme ce soir, j'aurai encore la fessée..."

 

 J'aurais dit n'importe quoi et pour calmer Maman, j'avais même imaginé ce qui m'arriverait si je ramenais encore des heures de colle, ou si je mentais... Je voyais Maman me déculotter à nouveau...

Maman esquissa un sourire : "Je vois, Christine, que tu as compris et que tu n'as guère de doute... Tu te vois déjà ramenant la prochaine heure de colle... Et bien, oui, tu sais ce qui t'attendra... Il faudra que tu prépares tes fesses..."

Il est vrai que je n'avais même pas employé le conditionnel, m'imaginant déjà future collée... Je pensais la fessée finie, mais Maman resserra mon étreinte, avant de lancer : "En tout cas, j'espère aussi que tu ne me cacheras pas tes prochains exploits. Je ne supporterai pas que tu me mentes pendant des jours... Et ça aussi tu le paieras par une déculottée magistrale. Tiens, tiens, tiens et tiens". 

 

 Chacun avait repris son souffle après cet échange verbal. Je croyais la fessée finie, mais Maman rajusta ma position et se remit à claquer à nouveau mes fesses déjà rouges... Elle y allait de bon coeur...

Notre discussion avait dû reposer un peu le bras maternel, et Maman me rééquilibra une fois encore et se remit à claquer mes fesses, vite et fort, redonnant du rouge écarlate à mon bas du dos. Je poussai des cris tellement j'avais mal, suppliant Maman d'arrêter, mais elle était déterminée et poursuivit sa tâche correctrice pour une ultime série de claques aussi sonores que brûlantes, me relâchant enfin après une fessée qui allait rester longtemps dans ma mémoire...

Je glissai de ma position allongée sur ses cuisses pour me retrouver à genoux par terre, à ses pieds, me remettant à pleurer abondamment, en balbutiant : "Pardon, Maman, pardon. Je ne recommencerai plus". Mes mots touchèrent l'auteur de mes jours, qui me prit dans ses bras et me serra contre elle, en disant : "Je l'espère bien, Christine. Cela ne m'amuse pas de te donner encore la fessée. Mais, tu sais comment ne plus en mériter. A toi de faire en sorte de ne plus revenir sur mes genoux" !

 

 Je tombai à genoux dès que Maman desserra son étreinte... Je me remis à pleurer abondamment à côté de ses genoux... Maman se pencha et m'enlaça en cherchant à me consoler, me rappelant qu'il ne tenait qu'à moi d'être sage et de ne plus mériter de nouvelle fessée...

Nous restâmes enlacées quelques instants encore, Maman me caressant le dos. Puis, sa main droite descendit pour se poser sur ma lune écarlate... Elle en tapota doucement l'épiderme en me disant : "Allez, rhabille toi ma grande, cache donc de ma vue ces fesses toutes rouges et mets-toi au lit". 

 

Je me relevai en titubant, voyant l'image de mes fesses toutes rouges se refléter dans la glace de l'armoire... C'était un bas du dos écarlate que je m'empressai de cacher en remontant ma culotte qui était tombée à mes pieds...

Je pris conscience que j'avais encore les fesses à l'air, et me redressai pour me relever en titubant à moitié. La glace de mon armoire reflétait cette image de mon dos bien rouge au milieu, ma culotte venant de descendre à mes pieds. Je me penchai pour la remonter, pendant que Maman se levait et allait sortir de ma chambre. Au passage, elle vérifia que mes soeurs étaient bien au lit... Je savais qu'elles devaient rire sous cape après cette tannée reçue par leur grande soeur...

 A SUIVRE