dimanche 22 août 2021

Chronique d'un redoublement : 164. Une fessée déculottée plus que mémorable...

 SUITE 163

J'étais épuisée, à bout de nerfs, véritablement vannée à force de tendre le dos, comme pour parer chaque claque que Maman s'appliquait à asséner pour rougir pleinement mes fesses...

Mon dos devait ressembler à un petit brasier, et la fessée continuait, Maman accompagnant la tannée par son discours rappelant mes fautes et mes mensonges, comme si elle voulait faire pénétrer son message par mon bas du dos...

 

Maman s'appliquait à bien rougir mes fesses... Je m'épuisais à tendre le dos avant chaque claque, mais cela ne faisait que rendre plus douloureux chaque coup...

Je n'en pouvais plus, et j'arrêtai de me débattre, me laissant m'affaler sur les genoux maternels sans plus réagir. Les quelques claques suivantes atterrirent sur des fesses offertes comme détendues, prenant pleinement les coups bien mérités...

Maman marqua une pause, non sans me sermonner encore... "J'espère que tu auras compris, Christine. Et que tu t'en souviendras..."

Le bas du dos en feu, j'étais prête à tout promettre pour arrêter cette tannée. J'acquiesçai : "Oui, Maman, oui, je serai sage. J'écouterai en classe, je ne serai plus collée... Plus jamais..."

Maman ironisa : "J'aimerais le croire, Christine, mais j'en doute un peu... Depuis le temps que tu me le promets à chaque fois... Mais, tu sais ce qui t'attend, à la prochaine colle... Tu le sais, n'est-ce pas ?"

 

Le bas du dos en feu, j'étais prête à tout promettre pour que cesse cette tannée... 

Je ne répondis pas sur le moment... Mal m'en prit, car Maman reprit sa claquée magistrale... "Dis voir ce qui t'attend, Christine... Allez, je veux l'entendre, tiens, tiens, tiens et tiens"...

Je sortis de ma torpeur et me mis à lancer : "La fessée, Maman, oui la fessée".

Elle me redonna deux paires de claques très sonores, me demandant : "Oui, c'est cela, Christine, à chaque colle comme à chaque mensonge... Une fessée comment, Christine, allez dis-le".

J'aurais dit n'importe quoi pour en finir et je haussai le ton, sans plus penser à mes soeurettes qui devaient tout entendre... Je balbutiai : "Oui, Maman, si je recommence, oui, à la prochaine colle, je serai encore punie, oui. Tu me donneras la fessée, Maman, la fessée déculottée... Sur tes genoux, comme ce soir, j'aurai encore la fessée..."

 

 J'aurais dit n'importe quoi et pour calmer Maman, j'avais même imaginé ce qui m'arriverait si je ramenais encore des heures de colle, ou si je mentais... Je voyais Maman me déculotter à nouveau...

Maman esquissa un sourire : "Je vois, Christine, que tu as compris et que tu n'as guère de doute... Tu te vois déjà ramenant la prochaine heure de colle... Et bien, oui, tu sais ce qui t'attendra... Il faudra que tu prépares tes fesses..."

Il est vrai que je n'avais même pas employé le conditionnel, m'imaginant déjà future collée... Je pensais la fessée finie, mais Maman resserra mon étreinte, avant de lancer : "En tout cas, j'espère aussi que tu ne me cacheras pas tes prochains exploits. Je ne supporterai pas que tu me mentes pendant des jours... Et ça aussi tu le paieras par une déculottée magistrale. Tiens, tiens, tiens et tiens". 

 

 Chacun avait repris son souffle après cet échange verbal. Je croyais la fessée finie, mais Maman rajusta ma position et se remit à claquer à nouveau mes fesses déjà rouges... Elle y allait de bon coeur...

Notre discussion avait dû reposer un peu le bras maternel, et Maman me rééquilibra une fois encore et se remit à claquer mes fesses, vite et fort, redonnant du rouge écarlate à mon bas du dos. Je poussai des cris tellement j'avais mal, suppliant Maman d'arrêter, mais elle était déterminée et poursuivit sa tâche correctrice pour une ultime série de claques aussi sonores que brûlantes, me relâchant enfin après une fessée qui allait rester longtemps dans ma mémoire...

Je glissai de ma position allongée sur ses cuisses pour me retrouver à genoux par terre, à ses pieds, me remettant à pleurer abondamment, en balbutiant : "Pardon, Maman, pardon. Je ne recommencerai plus". Mes mots touchèrent l'auteur de mes jours, qui me prit dans ses bras et me serra contre elle, en disant : "Je l'espère bien, Christine. Cela ne m'amuse pas de te donner encore la fessée. Mais, tu sais comment ne plus en mériter. A toi de faire en sorte de ne plus revenir sur mes genoux" !

 

 Je tombai à genoux dès que Maman desserra son étreinte... Je me remis à pleurer abondamment à côté de ses genoux... Maman se pencha et m'enlaça en cherchant à me consoler, me rappelant qu'il ne tenait qu'à moi d'être sage et de ne plus mériter de nouvelle fessée...

Nous restâmes enlacées quelques instants encore, Maman me caressant le dos. Puis, sa main droite descendit pour se poser sur ma lune écarlate... Elle en tapota doucement l'épiderme en me disant : "Allez, rhabille toi ma grande, cache donc de ma vue ces fesses toutes rouges et mets-toi au lit". 

 

Je me relevai en titubant, voyant l'image de mes fesses toutes rouges se refléter dans la glace de l'armoire... C'était un bas du dos écarlate que je m'empressai de cacher en remontant ma culotte qui était tombée à mes pieds...

Je pris conscience que j'avais encore les fesses à l'air, et me redressai pour me relever en titubant à moitié. La glace de mon armoire reflétait cette image de mon dos bien rouge au milieu, ma culotte venant de descendre à mes pieds. Je me penchai pour la remonter, pendant que Maman se levait et allait sortir de ma chambre. Au passage, elle vérifia que mes soeurs étaient bien au lit... Je savais qu'elles devaient rire sous cape après cette tannée reçue par leur grande soeur...

 A SUIVRE

 

24 commentaires:

  1. Bonsoir Christine,

    Et voilà, la fin de cette monumentale fessée et comme prévu la petite phrase de Maman Spaak "SÉVIR POUR DE BON" prend tout son sens.

    Mme Spaak n'y a pas été de main morte. Notre Christinette a récolté d'une fessée d'anthologie. D'ailleurs cette corrections peut être considérée comme l'une des plus grosses qui lui a été administrée jusqu'à présent au même titre que celles que j'avais mentionnées dans mes derniers commentaires (épisode 83 et surtout les trois qui lui ont été administrées à l'occasion de la falsification de signature). Toutefois, elle me paraît être cette fois ci beaucoup plus longue qu'à l'accoutumé, Maman Spaak y mettant toute sa détermination, toute son énergie.

    A souligner tout particulièrement le geste de tendresse de Maman Spaak envers sa progéniture à la fin de la tannée ; le proverbe "qui aime bien châtie bien" prenant toute sa signification. C'est d'ailleurs une preuve d'affection de Mme Spaak que d'être dur avec son aînée, de souligner ses défauts afin de la faire grandir et de montrer l'exemple pour les sœurettes qui arrivent derrière.

    Je souligne également, la non réaction de notre Christounette lors de ce moment de tendresse, lorsque Maman lui a tapoté les fesses meurtries par la tannée qu'elle a eue à subir.

    Voilà Christine, mon premier commentaire sur cet épisode.

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  2. Merci efficace Sylvie de cette première réaction. Je ne sais pas si cette fessée est "plus longue qu'à l'accoutumé". Il est vrai qu'elle est marquée dans ma mémoire et que j'ai donc pu la décrire bien en détail...
    Je crois surtout qu'elle était mémorable de par la détermination maternelle, et sa volonté de SEVIR pour de bon. Il n'y avait pas de témoin direct, hormis les oreilles de mes soeurettes, et la motivation de Maman s'appuyait sur le fait que non seulement, j'avais récolté deux heures de colle, les premières de Quatrième, mais que j'avais menti trois jours durant à Maman qui avait appris mes exploits de la bouche de la mère de ma "camarade de colle" si j'ose dire...

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  3. Vous soulignez aussi le "geste de tendresse" de Maman à l'issue de la fessée. Il illustre bien en effet l'éducation maternelle, le "qui aime bien châtie bien". Son étreinte me rassure, et je ne réagis pas en grognant ou en tapant du pied lorsque sa main se pose doucement sur ma peau écarlate. Son contact me fait du bien car il n'y a pas de volonté de se moquer de sa part.

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  4. Quelle fessée déculottée!!!
    Pauvre Christine, je crois ressentir presque à votre place que cette tannée monumentale vous a fait souffrir tellement maman y a mis tout son coeur pour faire passer le message.
    Sa volonté de vous faire avouer de votre propre bouche ce qu'il adviendrait de vos fesses, en les claquant énergiquement, me fait penser que petit garçon, je n'aurai pas voulu recevoir de telle déculottée.
    Je veux te l'entendre dire Christine, si tu recommences, ce sera quoi..., la fessée déculottée MAMAN.
    Puis, après avoir subi une dernière salve horriblement piquante, maman enlacera sa fille pour lui montrer son amour.
    Christinette se relèvera, titubant, remontant sa culotte, pour cacher ses pauvres fesses meurtries.
    Yves.

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  5. Bonjour Christine,

    Oui, c'est une monumentale tannée qu'à reçu notre Christinette. Cependant le moment de tendresse donné par Maman Spaak à l'issue de cette correction est fort appréciable pour elle.

    Mais je suis tout de même très inquiète pour la suite. En effet l'avenir pour notre petite demoiselle ne s'annonce pas sereine. Il y a tout d'abord l'attitude des sœurettes et notamment Diane, qui, même si elles n'ont pas assisté de visu à la déculottée de leur aînée ont eu la bande son et, vu les pleurs, les cris, les supplications et le bruit des claquements qui s'abattaient sur ses fesses nues, notre pitchounette ne pourra nier l'evidence, comme elle l'avait fait pour la correction précédente: cette déculottée était terrible et qu'elle a eu vraiment mal.

    Et qu'en sera-t-il avec les deux pestes Babette et Brigitte, n'oublions pas qu'elles ont fait, sous peine de tout dévoiler à toute la classe, promettre à notre Christounette de leur raconter dans les moindres détails toutes les déculottées qu'elle aurait à subir.

    Je ne sais malheureusement pas comment réagira notre héroïne à la suite de cette magistrale fessée, mais malgré le câlin apaisant de Maman Spaak à son encontre, son avenir ne s'annonce pas de bon augure. Mais nul doute que cette fessée la fera réfléchir avant de retomber dans ses petits péchés mignons.

    Voilà Christine ma petite analyse sur la situation peu enviable de notre Christinette à la suite des événements.

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  6. Bonjour Christine, pour une tannée mémorable, c'en est une ! Néanmoins, je continue de penser que ce n'est pas une solution pérenne, notre Christinette doit avoir dans les quatorze ans et c'est me semble-t-il un âge limite pour recevoir des fessées déculottées. Alors que faire, les rendre encore plus sévère, se servir d'un martinet ou d'une ceinture, je n'ai pas l'impression que ce soit le genre de maman Spaak, cette dernière raclée me semble avoir atteint ses limites, j'en reviens donc à ce précédemment exprimé, puisqu'on ne peut pas aller au delà question intensité et durée de la fessée, rendons-là plus humiliante d'une façon ou d'une autre.
    Je partage la crainte de Sylvie, Babette et Brigitte seront très vite informées des dernière mésaventures fessières de Christinette et ne manqueront pas d'en faire leurs choux gras. En revanche, j'y vois plutôt des effets positifs, la honte qu'elle ressentira à se voir chambrer publiquement par ces deux garces, ne pourra que l'inciter à être plus sage et plus travailleuse. La menace par sa maman de lui administrer une fessée déculottée devant elles me parait de nature à remettre notre petite chérie dans le droit chemin.
    Après, de la même manière, qu'après une bonne et longue fessée, un geste de tendresse est bienvenu, je suis certain que des échanges constructifs entre Christine et sa maman seraient les bienvenues, à quatorze ans, elle est capable de se raisonner et de comprendre qu'il lui faut s'appliquer dans ses études.
    Cela dit, ce n'est pas toujours simple et ma mère n'est jamais tout à fait parvenu à discipliner ma soeur autrement qu'en s'en prenant à son bas du dos.
    Bien sympathiquement .

    Serge

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  7. Bonjour Christine,

    Avant de vous transmettre une petite analyse sur la situation de notre Christinette par rapport à ses sœurettes suite à cette magistrale déculottée (analyse que je suis entrain de préparer en ce moment), je voudrais, si cela ne vous pose pas de problèmes particuliers,intervenir sur le commentaire de Serge et lui porter une information importante qui change peut être son analyse. Il s'agit de l'âge de notre Christinette au moment de cette monumentale déculottée.

    En effet comme vous l'avez précisé lors d'une réponse donnée sur un commentaire dans les épisodes précédents, notre héroïne n'est âgée que de 13 ans et non de 14 comme le mentionne Serge dans son commentaire.

    Voilà Christine je tenais à apporter cette petite différence d'âge à Serge, car évidemment notre petite demoiselle aurait sans doute réagi autrement.

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  8. Merci Sylvie de cette "précision" concernant mon âge. En espérant aussi vous lire bientôt comme annoncé sur "l'analyse de la situation de Christinette par rapport à ses soeurettes"...

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  9. Bonjour Christine,

    Pour une fessée ce fut une fessée exceptionnelle. Fort heureusement, elle s'est, comme d'habitude depuis sa dernière tannée administrée dans le salon (épisode 83) en présence de ses sœurettes, déroulée dans l'intimité de sa chambre. Certes, la porte de sa chambre et celle des sœurettes étant restées ouvertes, ces dernières n'ont pu avoir que la bande son et non la vision de cette tannée. Notre Christinette ayant donné de la voix par ses cris, ses pleurs, ses supplications, sans oublier le bruit des claquements s'abattant sur son bas du dos dénudé. Maman Spaak n'y est pas allée de mains mortes, toutefois il y a ce geste de tendresse à fin qui signifie peut être un "je te pardonne, mais tant que tu te comportera comme ça, tu n'échappera pas à la fessée".

    J'imagine que durant cette magistrale tannée, notre Christounette ne se souci guère à un moment donné des oreilles sensibles de ses soeurettes, la douleur prenant le pas sur sa honte et sa pudeur.

    Je crains pour elle et j'espère qu'elle ne fera pas l'erreur de se vanter, comme elle l'a fait avec Diane lors de la dernière tannée reçue, ce qui l'avait conduite à nouveau sur les genoux maternels, j'imagine que Diane essaiera encore de provoquer son aînée, comme elle en a souvent l'habitude. Maman Spaak y veillera sans doute cette fois-ci.

    Pour Aline, je serai moins affirmative, cette cm dernière (qui est autant punie que son aînée) éprouvant de la compassion pour Christine, quoique...

    Je crains également le retour au collège, cette correction s'étant déroulée en pleine semaine, il est impossible que les deux pimbeches n'y fassent pas allusion, se doutant bien que le bulletin de colle était arrivé et que Maman Spaak avait infligé une tannée mémorable à son aînée. Comment réagira notre pitchounette à ces éventuelles provocations.

    De toute évidence, les sœurettes depuis leur chambre ont encore une fois assisté par le son à une très longue déculottée de leur aînée. Elle ne pourra nier, comme elle l'a fait précédemment auprès de sa benjamine, avoir eu mal. Cependant dans son malheur, notre petite demoiselle peut se réjouir de l'avoir reçue dans l'intimité de sa chambre à l'abri des regards, même si ses cris, ses supplications n'étaient pas (comme le fait souvent Diane) du cinéma et que les fortes claques qui s'abattaient sur ses rondeurs jumelles étaient vraiment douloureuses.

    Voilà Christine mon deuxième commentaire sur cet épisode. Il me tarde de lire la réaction des sœurettes au réveil et surtout le retour au collège dès le lendemain.

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  10. Bonjour Christine,

    En complément de mon précédent commentaire (j'espère que vous l'avez bien réceptionné) relatif à votre situation actuelle par rapport à vos deux sœurettes, je voudrais revenir sur la fameuse rencontre entre Maman Spaak et Mlle Simon la professeure d'anglais.

    En effet, lors de cette rencontre (épisode 148 du 24 août 2019), Mme Spaak avait proposé à Mlle Simon de l'aider à s'insérer dans la région, voir même l'inviter à déjeuner. Sans extrapoler sur la suite des événements, et bien que nous soyons actuellement qu'au début de l'année scolaire, cette proposition ne me semble pas être pour le moment à l'ordre du jour. Bien évidemment, elle aurait des conséquences plus que fâcheuse pour notre pitchounette qui ne pourrait plus rien cacher à sa Maman, Mme Spaak trouvant là une interlocutrice privilégiée pour lui narrer le comportement de son rejeton.

    Pour en revenir à la situation présente, j'aimerais savoir si, avant de pénétrer dans votre chambre, votre Maman avait bien refermé la porte de la chambre des sœurettes. Cette petite précision a son importance, car vos sœurettes à ce moment là ne percevraient qu'une partie de vos cris, supplications, pleurs et leur comportement serait en conséquence moins ravageur pour vous.

    Voilà Christine pour cette précision qui apporterait, si la porte de la chambre de vos sœurettes était entièrement fermée, une modification de mes précédents commentaires.

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  11. Hélas, Sylvie, je confirme que la porte de la chambre des petites était restée entrouverte, tout comme celle de ma chambre. Une façon, selon Maman, de vérifier qu'elles restaient bien au lit, mais aussi qui faisait que les petites "profitaient" pleinement de la bande son de la tannée déculottée de leur ainée...

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  12. Bonjour Christine,

    Malheureusement pour notre Christinette, les sœurettes étaient hélas aux premières loges pour la bande son, mais fort heureusement, elles n'étaient pas devant un écran de cinéma ou un poste de télévision, donc le visuel... Quoique, elles auraient pu espionner en cachette mais n'ont pas osé aller jusque là (titiller le Diable...), le risque était trop grand.

    Néanmoins, je redoute pour notre Christounette des lendemains très difficiles, déjà à son réveil au petit-déjeuner, où Diane y fera évidemment allusion ou du moins tentera d'y faire allusion avant que Maman Spaak intervienne sans doute. Et puis, il y a le collège que devra affronter notre petite demoiselle. J'ai hâte de lire la suite des événements.

    Voilà Christine pour compléter mon dernier commentaire.

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  13. Oui, Sylvie, vous avez bien raison de redouter des lendemains difficiles pour Christinette. Si la fessée fait peur dès que l'on nous la promet, si elle fait travailler notre imagination en cherchant à gagner du temps, si l'approche du moment fatidique devient insupportable, et si, bien sûr, la déculottée et la tannée maternelle sont une épreuve terrible, hélas, la fessée ne s'arrête pas là...
    Il faut en effet affronter le regard des témoins, les commentaires de ceux à qui Maman racontera les mésaventures de son aînée... Sans oublier les moqueuses du collège et autres allusions que ne manque pas de distiller Maman pour rappeler la fessée reçue et en promettre d'autres...
    Bref, tout serait bien plus simple si une fois la fessée reçue, l'on oubliait tout... Ce n'était hélas pas le cas du tout...

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  14. Bonjour Christine

    Effectivement vous avez raison. Une fois la fessée reçue, nous rentrons de plain pied dans l'engrenage qui s'en suit à savoir, déjà la honte, les moqueries et surtout, si c'est le cas, les discussions de Maman avec la famille, mais aussi des étrangers voir même des inconnus rencontrés ici et là. Ce sont des moments qui restent gravés dans notre mémoire. J'en ai moi-même connus pas mal de mon côté comme cette première fessée de ma vie reçue à même pas 6 ans.

    Nous étions donc au début du mois d'octobre (je suis née le 8 novembre 1963) et je m'en souviens comme si c'était hier. Alors en classe de CP (correspondant donc à la 11ème à la fin des années 60), notre maîtresse, Mère Danielle au demeurant très gentille avait préparé pour chacune d'entre nous un stylo à cartouche qu'elle nous avait distribué. Elle nous avait donc interdit de toucher au stylo avant qu'elle nous le demande (nous avions devant nous un petit cahier d'écriture), mais la curieuse petite Sylvette voulait savoir de quoi était constitué cet objet inconnu avec lequel on écrit. Sans suivre les recommandations de la Maîtresse, je prenais donc le fameux stylo, le dévissais et en extirpais la cartouche d'encre. Ce qui devait arriver arriva, l'encre s'étala sur le cahier d'écriture et sur la table de classe. Ma petite voisine de table qui n'était pas INEZ poussa un petit "aïe, Mère Sylvie a ouvert le stylo" ce qui fit bondir Mère Danielle près de moi. La petite phrase qui s'ensuit ne laissait guère de doute sur la suite des événements "Sylvie qu'est-ce que Mère à dit et qu'est ce que Sylvie a fait ?". Elle me prit par la main, m'amena séance tenante à son bureau, repoussa sa chaise en arrière, m'étala sur ses genoux. Ma petite jupette ainsi que la blouse remontées sur le dos. N'ayant jamais été punie de la sorte je me demandais ce qu'elle allait me faire surtout lorsque mon petit bas de laine et ma petite culotte en coton glissa jusqu'à la naissance de mes petites fesses. "Sylvie a désobéit, elle va recevoir une fessée" me dit elle au moment de m'administrer la première claque, ne m'attendant pas à cela je poussai un petit cri de douleur. Il s'en suivi à peu près une dizaine de claques supplémentaires qui me firent crier et pleurer. Fort heureusement, mes petites camarades également apeurées, n'ont rien vu de cette mémorable fessée, Mère Danielle ayant bien pris le soin de m'administrer cette fessée derrière son bureau à l'abri de regards curieux.

    Je ne fus pas la seule, ce jour-là à recevoir la fessée, je crois que mon amie INEZ en a reçu également une, mais je n'ai pas en mémoire les raisons de cette fessée.

    Voilà Christine, un mauvais souvenir pour la Sylvette que j'étais à l'époque. Fort heureusement, cette fessée fut la première de ma vie. Il y en a eut beaucoup d'autres mais, plus du tout à l'école à part une correction à la ceinture (la première de ma vie) donnée deux ans après en CE2 (soit 9ème à l'époque) par une Maîtresse particuliement sévère, voire même méchante Mère Marie-Thérèse. J'en reviendrai prochainement.
    Sylvie



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  15. J'imagine bien la honte de la petite Sylvie de 6 ans, fessée en classe. J'avoue avoir très peu de souvenirs de cet âge, ayant été plus marquée par mes déculottées de la toute fin du primaire et plus encore des années collège.
    C'est vrai que cela me touchait de par les claques sur mes fesses, mais aussi pour ne pas dire davantage par la honte d'être punie comme une gamine, et par l'angoisse d'avant la fessée sans oublier les moqueries et allusions qui étaient nombreuses.

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    1. La honte, je n'en ai nullement souvenir, je ne pourrais vous le dire avec certitude, mais ce dont je me souviens un peu, c'est d'avoir été punie pendant la récréation, mon cahier d'écriture tâché, épinglé dans le dos debout au coin dans la classe, mes petites camarades plus ou moins apeurées de ce qu'il s'était passé, nul doute que les petites langues ont eu du mal à retenir la fessée subit par la petite Sylvette. Ce sont tout de même des faits marquants que vous ne pouvez oublier même à 6 ans, je n'ai pas non plus oublié mon premier concert dans cette même école un an plus tard lors de la petite fête de fin d'année, chantant en m'accompagnant au piano. J'étais un peu la star en l'école ce jour-là. Vous ne pouvez oublier ces moments forts de votre vie qu'ils soient de joie ou de peine.

      Dans un prochain commentaire je reviendrai sur ma première et seule (du moins je pense, car je n'ai aucun souvenir d'une autre correction à l'école, même si cela était de rigueur à l'époque) volée à la ceinture de Mère Marie-Thérèse.

      Voilà Christine pour ce qui est de ma première fessée.

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  16. Bonjour Christine,

    Chose promise, chose due. La première fois que j'ai goûté à la ceinture, ce fut encore à l'école pour une insolence à la maîtresse qui ne lui a pas plue du tout.

    En effet, Mère Marie-Thérèse, ne m'aimait guère, d'ailleurs, c'était une religieuse très sévère, voire même méchante et en y réfléchissant aujourd'hui peut être aigrie. C'est vrai que la nature n'avait évidemment pas été généreuse avec Mère Marie-Thérèse, grande et grosse, son visage allongé reflétait la dureté voire la méchanceté. Cette année de CE2 fut pour moi et mes petites camarades un véritable enfer, on en discutait souvent avec Inez de son vivant. Mais, comme toutes maîtresses de ce genre, Mère Marie-Thérèse avait sa préférée, une petite blondinette, un peu fayotte sur les bords, Sophie si ma mémoire ne me fait pas faux bon. Bien entendu, Sophie, très bonne élève, était la première de la classe, son papa était médecin, ce qui explique l'attitude de la maîtresse à son égard.

    C'est ainsi qu'un jour, pour n'avoir pas su réciter une leçon que j'avais d'ailleurs apprise (maman ancienne enseignante avant de connaître mon père, y veillait), impressionnée que j'étais par le regard de la Maitresse sur moi, je me retrouvais avec un zéro. Mère Marie-Thérèse me fit retourner à ma place avec mon zéro et une punition en plus après la classe pour apprendre cette fameuse leçon. C'est quelque chose que je ne pouvais accepter. Je retournais donc à ma place en tapant du pied et en lui tirant la langue. Mère Marie-Thérèse me fit donc revenir séance tenante sur l'estrade, sortit sa ceinture en cuir et m'administra une dégelée devant toutes mes petites camarades médusées par la méthode, mais surtout par la volée reçue, Inez même, lorsque l'on se remémorait nos années de scolarité (nous avons été dans la même classe de la maternelle à la terminale) m'avait dit qu'elle aussi avait pleuré en assistant à cette raclée. Bien entendu nous n'avons, Inez et moi rien dit à nos parents, car, et c'était de rigueur à l'époque, j'aurais encore pris une volée à la maison. La punition après l'école ne dura pas trop longtemps car je connaissais déjà la leçon lorsque Mère Marie-Thérèse me fit la réciter à nouveau.

    Voilà Christine, j'espère que nous lirons très vite la suite ou du moins les conséquences néfastes qui seront de rigueur pour notre Christinette suite à cette dernière déculottée.

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  17. Bonjour Christine,

    Que se passe t'il ? Nous n'avons plus aucune nouvelle de vous depuis environ 2 sem1ines. J'espère que vous n'êtes pas malade et que l'absence de vos fidèles commentateurs ne vous décourage pas, notamment le départ de Mardolh et la très longue absence de Dominique (j'espère qu'il donnera de ses nouvelles très bientôt), Il ne faut pas oublier non plus Louis et Anne-Sophie qui se font discrets depuis bien longtemps maintenant.

    Quant à moi, je suis toujours là et je pense que Serge et Yves, tout comme moi, attendent la suite des évènements pour commenter.

    Je suis pour le moment entrain de préparer un petit comte rendu de vos trois premières années de collège et vous verrez que les déculottées reçues ont fort heureusement diminuée depuis la 6eme (bien que nous n'ayons pas vraiment beaucoup de détails sur voos années 6eme et première année 5eme).

    Je vous le livrerai donc le plus rapidement possible (je suis entrain de m'imprégner de vos démêlés de 6eme et de première année de 5ème)

    Voilà Christine pour vous annoncer mon compte rendu prochain.

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  18. Merci Sylvie de vos encouragements. Ne vous inquiétez pas. Rien de grave, j'ai juste été perturbée par des problèmes de boulot, qui s'arrangent maintenant.
    J'ai d'ailleurs commencé à réécrire. Une suite de mon récit devrait bientôt être mise en ligne. Et j'espère aussi lire prochainement l'analyse que vous êtes en train de faire...
    Cela me motivera plus encore. Même si j'avoue que, parfois dans mes périodes de flemme, je mériterais de me retrouver pré-ado devant rendre des comptes à ma chère Maman... J'imagine qu'elle aurait su me remotiver à sa manière... Une manière que vous devinez, non ?

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  19. Bonjour Christine et Sylvie.

    Vous avez raison, Sylvie, je me fais plus que discret en ce moment. Je suis un retraité... débordé !!! Ou peut-être que, malgré mon âge, j'aurais besoin moi aussi de me prendre quelques bonnes fessées (lol) pour me motiver. En son temps, ma mère, tout comme la vôtre, chère Christine, aurait su à sa manière me remotiver.

    Encore que, pour ma part, j'ai surtout reçu des fessées (à l'école comme à la maison) pour ma mauvaise conduite (insolence, bêtises, désobéissance, et parfois bavardages ou dissipation en classe) plus que pour mon travail.

    Mais rassurez-vous, chère Christine, chère Sylvie, si je ne prends pas beaucoup le temps d'écrire actuellement, je regarder votre blog, Christine, presque tous les jours avec toujours le même plaisir. Mais promis, dès que j'ai davantage de temps, j'apposerai des commentaires plus souvent. Avec l'hiver qui arrive, j'aurai déjà le jardin en moins à m'occuper.

    Amitiés à toutes les deux.
    Fesseusement vôtre.

    Louis
    gallie050753@yahoo.fr

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  20. Bonjour Christine
    Bonjour Louis

    Juste un petit mot pour saluer le retour de Louis.

    De mon côté, je travaille toujours sur le compte rendu promis,pour cela je me sers également des commentaires de Dominique (l'archiviste) et de Mardolh dont les analyses sont fort bien écrites. C'est un travail de longue haleine. Je vous le transmettrai dès que possible

    Actuellement nous avons des problèmes de connection internet (cela rame énormément)

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    1. Hello Sylvie, une petite pensée pour vous, en espérant lire un jour votre analyse de mes trois premières années de collège... Merci d'avance...

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  21. Bonjour à tous, puisque notre chère Christine semble un brin en panne d'inspiration à moins qu'elle fasse preuve de paresse, ce qui comme elle le suggère lui aurait valu en son temps quelques rougeurs cuisantes au bas du dos, je me permets de faire une suggestion de scénario, même si j'ai bien compris que s'agissant de souvenirs, il convient de s'en tenir à une certaine authenticité.
    Les deux garces dûment renseignées par les indiscrétions de Diane, provoquent une fois de trop notre Christinette qui craque, se laisse aller à les molester, ce qui entraîne un peu de casse, par exemple le bris d'une chaîne de cou, avec la survenance à la maison de la maman de la victime avec sa fille.
    Maman Spaak furieuse administrant alors une déculottée devant ses visiteuses et pourquoi pas Aline et Diane.
    Pour corser le tout, mademoiselle Paul par exemple, informée des débordements de notre jeune amie, lui inflige quelques heures de colle et maman Spaak ulcérée en remet une couche en invitant la prof d'anglais à assister à une nouvelle déculottée majeure de sa turbulente élève.
    On retrouve là ma marotte, l'humiliation est un bon complément de la fessée proprement dite et peut éviter d'en exagérer la sévérité.

    Je reste impatient de découvrir la suite des aventures de la chère Christinette.
    Bien cordialement .

    Serge

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    1. Serge a beaucoup d'imagination... Je ne veux pas trahir ici la suite de mon récit, mais je dois dire qu'il y a sur un point comme une prémonition...
      Ne vous affolez pas, chers fidèles de ce blog... La suite ne devrait pas tarder...

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