SUITE 164
Je m'allongeai sur mon lit, à plat ventre, plongeant la tête dans l'oreiller. La couverture et le drap venant recouvrir mon dos, j'avais l'impression d'avoir comme un petit radiateur à la place de mes fesses. Je repoussai drap et couverture vers le bas ce qui atténua la sensation de chaleur en bas de mon dos.
Je m'allongeai sur le lit, ressentant la chaleur qui m'irradiait le bas du dos...
Par une sorte de curiosité, je posai ma main droite sur la zone la plus sensible, puis je la glissai doucement sous l'élastique de ma culotte, ressentant combien ma peau était encore chaude et irradiante... Je la caressai lentement quelques instants, prenant conscience que ma fessée avait été un modèle du genre...
Je caressai doucement mes fesses toutes rouges... Je ressentais combien la fessée maternelle avait été un modèle du genre...
Cela me fit remonter de nouveaux sanglots que j'étouffai en replongeant ma tête dans l'oreiller, pour ne pas alerter mes soeurs dont je percevais de par les portes entrouvertes qu'elles chuchotaient encore, ne parlant, à n'en pas douter, que de ce qui venait d'arriver à leur ainée...
J'enrageais un peu d'imaginer leurs propos moqueurs, mais la correction maternelle m'avait épuisée, et je m'endormis plutôt vite, du moins pour mon premier sommeil...
Toutefois, à deux reprises au cours de la nuit, je me réveillai en sursaut, au milieu de cauchemars, qui me ramenaient sur les genoux maternels pour une nouvelle fessée... La première fois, c'était dans le jardin de notre maison, devant Tata et mes soeurs, alors que de sa fenêtre, la voisine était aux premières loges et félicitait Maman, l'encourageant à poursuivre sa tannée...
Je me réveillai deux fois suite à des cauchemars... Le premier me voyait fessée par Maman dans le jardin de la maison, culotte baissée, devant Tata et mes soeurs...
Dans ce cauchemar, Maman claquait mes fesses sous les encouragements de la voisine ne manquant rien de la scène depuis sa fenêtre...
Le second cauchemar voyait Maman convoquée dans le bureau de la principale du collège, parce que j'avais chahuté et fait des grimaces dans le dos de la prof d'anglais. Je niais tout, mais la principale avait appelé Babette et Brigitte comme témoins qui confirmèrent ce qu'elles prétendaient avoir vu... Maman excédée par mes mensonges, décidait d'agir sur le champ... Et c'est ainsi que je me retrouvais les fesses à l'air devant quatre personnes dont les deux moqueuses assistant sous leurs yeux à ma déculottée...