mercredi 15 décembre 2021

Chronique d'un redoublement : 166. Quand les moqueuses me font avouer mes mésaventures...

 SUITE 165

Les deux premières heures de cette matinée passèrent bien vite. Moi qui m'ennuyais souvent dans les cours d'histoire-géo, j'avais l'impression que les aiguilles tournaient plus vite que d'habitude. Il est vrai que je n'écoutais guère la prof, ce qui n'était pas sérieux tant je me serais trouvée bien en peine de répéter ses dernières phrases si elle m'avait interrogée sur le champ.
Cela m'était arrivé à deux reprises, lors de ma première année de Cinquième, et j'avais récolté deux fois deux heures de colle, avec le même motif "N'écoute pas en classe" qui m'avait valu un accueil que je qualifierais de "chaleureux" les jours où les bulletins de colle étaient arrivés dans la boite aux lettres de la maison...

 

 Ne pas écouter en classe m'avait valu par deux fois en Cinquième deux heures de colle... Avec à chaque fois une fessée à la clé sur les genoux maternels...

De fait, j'avais été "grondée" de belle manière par une Maman vraiment en colère, surtout la deuxième fois... Et, rien que d'y penser, me revenaient les images de cette double tannée, comme si c'était hier, alors que cela faisait presque deux ans... Je me souvenais même que c'était dans ma chambre que m'avait été donnée la première fessée, car c'était bien de fessée dont il s'agissait, ce que d'aucuns auront deviné aisément...

Et je me rappelais bien que j'avais reçu la deuxième déculottée, la semaine suivante, dans le salon et devant mes soeurs... 

 

La deuxième fessée m'avait été donnée déculottée dans le salon devant mes petites soeurs...

Les images de ces fessées me revenaient, et j'eus un instant très peur que la prof d'histoire géo ne s'aperçoive de mon trouble, car j'étais à deux doigts de me mettre à pleurer... Cela aurait été un comble... 

Je respirai profondément pour retrouver mon calme et j'ai fait des efforts pour bien écouter l'enseignante, m'évitant heureusement de suivre le scénario catastrophe que mes souvenirs claquants réveillaient en moi...

La sonnette retentit annonçant l'heure de la récréation, ce qui était à la fois un soulagement par rapport à ce qui aurait pu m'arriver en cours d'histoire géo, mais l'heure de la récré annonçait une autre épreuve, avec Brigitte et Babette qui n'allaient pas manquer de revenir à la charge pour savoir ce qui m'était arrivé à la suite de la réception du bulletin de colle dans la boite aux lettres de la maison...

 

A la récréation je tentai de m'éloigner au fond de la cour pour éviter les questions très dérangeantes des deux moqueuses... 

Je tentai de me cacher en allant me positionner derrière l'un des arbres du fond de la cour. Mais mes deux camarades repérèrent ma manoeuvre et vinrent me rejoindre. "Alors, Christine, tu joues à cache-cache ? Tu n'as pas envie de nous voir ?" lança Babette. "Pourtant, je suis sûre que tu as des choses à nous raconter, non ?" renchérit Brigitte.
"Bah, euh, non", tentai-je de leur faire croire en jouant la fille tranquille.
Cela ne plu pas du tout aux deux moqueuses, qui répliquèrent : "Bon, Christine, il vaudrait mieux que tu ne nous mentes pas,  car on arrivera bien à savoir ce qui t'est arrivé, et si cela ne vient pas de toi, on le racontera à tout le monde... Alors, dis-nous ce qui s'est passé quand ta Maman a reçu le bulletin de colle..."

Je tentai de nier et de minimiser la scène... "Oui, Maman n'était pas contente... Elle m'a grondée, et j'ai promis de ne plus recommencer..." 

Brigitte me coupa la parole : "Ne nous prends pas pour des idiotes, Christine. Ta Maman ne s'est pas contentée de cela... Et je suis certaine que cela a bardé, et que même tes soeurs ont dû voir ou entendre ta mère s'occuper de tes fesses..."

Je tentai de ruser : "Non, c'est pas vrai, mes soeurs n'ont rien vu, rien du tout".


 J'avais commencé à faire croire à Babette et Brigitte que Maman m'avait seulement grondée et sermonnée... Mais elles n'en crurent rien...

Babette ne fut pas dupe... "Prends-nous pour des idiotes... Peut-être qu'Aline et Diane n'ont rien vu, mais cela ne les aura pas empêché d'entendre ta mère te flanquer une fessée... Allez, Christine, avoue, on sait bien que ta Maman tient toujours ses promesses... Dis-nous le, sinon on raconte tout à toute la classe..."

La menace me fit monter les larmes aux yeux et je me mis à supplier : "Non, Babette, ne le dis pas à tout le monde".

Babette au contraire éclata de rire, jubilant : "Tu vois qu'on avait raison... Tu as été grondée, oui, mais les fesses à l'air... Allez, dis-moi que c'est ce qui s'est passé, Christine..."

Je baissai la tête et restai muette... Brigitte prit le relais... "Dis-nous que tu as reçu la fessée, ou on le dit..."

Je balbutiai un petit oui, Brigitte insista donc : "C'était quand et où ? Ne nous mens pas, on saura bien vérifier..."
Alors, je me surpris à répondre devant l'insistance de Brigitte : "Oui, j'ai été punie, euh, par Maman, hier soir, euh, dans ma chambre... Elle m'a euh, m'a donné une euh, une fessée..."

 

Les moqueuses insistant, je ne pus leur cacher que j'avais bien reçu une fessée de Maman pour les heures de colle... 

"Eh bien voilà, Christine, tu vois qu'elle n'a pas fait que te gronder. J'avais bien deviné..." commenta Babette, qui poursuivit : "Ca ne servait à rien de nous le cacher... Mais ne t'en fais pas, on ne le dira pas aux autres... Si tu ne nous mens plus, bien sûr..."

Cette dernière phrase dite par Babette avec un sourire en coin me fit peur et je réagis : "Mais je ne mens pas... Je vous ai dit la vérité... Promis !"

Brigitte fit la moue : "Oui, tu n'as pas menti, mais tu n'as pas tout dit, non plus..."

Je protestai : "Bah, si, j'ai bien dit que j'avais eu la, euh, la fessée sur les genoux de Maman, hier soir, dans ma chambre... Que voulez-vous que je dise d'autre ?" 

Brigitte demanda : "Tu étais en pyjama ou toute habillée ?"

J'hésitai puis confiai : "Bah, euh, j'étais prête à aller dormir, avec ma chemise de nuit et une culotte..."

Babette se mit à rire : "Tu ne veux pas nous faire croire que ta Maman t'a claqué le fond de culotte... Ce n'est pas dans ses habitudes, je sais..."

Je compris qu'il valait mieux que je dise la vérité, et je précisai : "Bah, euh, non, elle a remonté la chemise de nuit... Et elle m'a baissé ma culotte..." J'eus du mal à le dire, sentant comme un sanglot remonter en moi.

Brigitte jubilait : "C'est bien Christine. Ta Maman t'a donc donné une bonne fessée déculottée, comme quand tu étais gamine... Je suis sûre que tes fesses étaient toutes rouges, toutes brûlantes à la fin. Tes petites soeurs ont dû tout entendre..."

 

Comme l'imaginait Brigitte, la tannée maternelle avait pleinement rougi mes fesses, Maman claquant longuement et avec énergie ma lune exposée à sa colère...

Je tentai de jouer les dures à cuire : "J'ai pas eu trop mal quand même. Et j'ai promis que je ne recommencerais plus... D'ailleurs, c'était la première de l'année scolaire".

Je n'aurais pas dû rajouter ça, car la moqueuse de Brigitte répliqua : "Si tu dis que c'était la première c'est que tu te doutes bien qu'il y en aura d'autres... En tout cas, prépare tes fesses si tu as de nouveau des heures de colle... Et n'oublie pas de nous raconter, sinon c'est nous qui le raconteront aux autres". 

Heureusement, la sonnerie du collège retentit, c'était la fin de la récréation... Mais je venais de passer un sale quart d'heure, plein d'émotion... Et déjà, je pensais à la prédiction de Brigitte, qui imaginait non sans raison que ma première fessée de la classe de Quatrième serait suivie d'autres...

Après avoir dû avouer à Brigitte et Babette que j'avais bien reçu une fessée magistrale, la première de cette année de Quatrième, je prenais conscience qu'il risquait d'y en avoir bien d'autres... Et mon imagination galopante faisait monter dans ma tête des images de déculottées sur les genoux d'une mère qui savait, elle, toujours tenir ses promesses... 

A SUIVRE


17 commentaires:

  1. Bonjour Christine, je serai donc le premier à vous laisser un commentaire, c'est un brin décevant, car cette dernière chronique est intéressante et surtout lourde de conséquence. Enfin nous y sommes, notre héroïne a été contrainte d'avouer aux deux chipies, après maintes palinodies, qu'elle était bel et bien fessée par sa maman et qu'elle lui baissait la culotte de surcroit, ce qui à son âge, quatorze ans ou presque, si je ne m'abuse, n'est pas rien. On nous remémore au passage que deux années auparavant, Christinette a été fessée dans le salon devant ses petites soeurs, une humiliation dont elle a dû avoir un peu de mal à se remettre. Brigitte et Babette, fortes de cet aveu, n'ont pas fini de lui en faire voir, elle sera questionnée à chaque fois qu'elle sera punie ou même subira une remontrance et il lui faudra s'expliquer, tout mensonge sera lourd de conséquence et la menace de la divulgation à toute le classe de sa soumission à la fessée déculottée sera brandie à toutes occasions.
    Je n'envie pas notre petite chérie, néanmoins, comme je suis un peu pervers, cet épisode constitue un pas de plus vers mes folles espérances ; à savoir une fessée cul nu devant les deux garces, je ne sais pas, elle pourrait se rebiffer devant leur harcèlement, s'en prendre à elles physiquement et maman Spaak ne verrait d'autres solutions que de fesser sa fille en présence des deux gamines et de leur mère, sans oublier les petites soeurs pour corser le tout.
    Mais je rêve un peu trop fort en ce froid matin de décembre.
    A très bientôt Christine, bonne fin d'année, je vous embrasse.
    Serge

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  2. Bonjour Christine.

    Voilà enfin la partie 1 de mon comte rendu sur vos deux premières années de collège. Par cette analyse, j'ai essayé de démontrer votre évolution au fil du temps.

    PARTIE 1
    Vos années primaire. Peu de choses a dire sur cette période, sinon que notre Christinette est une élève brillante qui fait la fierté de sa famille et notamment de sa maman. Des fessées, elle a dû très probablement en recevoir mais certainement pas pour des problèmes scolaire (bavardages en classe, mauvaises notes, punitions etc.). C'est ainsi qu'elle intègre le collège avec une année d'avance, soit environ 10 ans (voir peut être moins). Cette intégration s'avère être un fiasco, notre petite demoiselle n'étant pas prête psychologiquement à cette intégration, les changements entre ces deux établissements étant trop nombreux pour une jeune gamine de son âge encore engluée dans les jeux d'une enfant de son âge (cordes à sauter etc). Néanmoins, du fait de son jeune âge notre Christine y trouve matière à amuser la galerie. Son comportement notamment envers certains professeurs s'avère particulièrement délicat, notre pitchounette ne travaillant que les matières données par des professeurs qu'elle apprécie, c'est le cas pour les maths, et dans un degré moindre le français. Par contre le courant ne passe pas du tout avec Mlle Paule, la prof d'anglais un peu revêche sur les bords. Elle a donc du mal à travailler cette matière et se retrouve souvent à rêvasser, bavarder et surtout faire le clown. Bien entendu, ses notes s'en ressentent et les punitions s'en suivent. C'est ainsi qu'elle se retrouve très souvent avec des heures de colle qui l'emmène inévitablement sur les genoux maternels, pour des déculottées d'anthologie. Il n'y a pas de mois sans que notre Christinette ne se retrouve les fesses à l'air sur les genoux de Maman Spaak, le plus souvent à l'abri des regards des sœurettes dans sa chambre, mais quand il le faut, Maman Spaak n'hésite pas à la déculottée dans le salon en présence des sœurettes. C'est ainsi que pour éviter ces nombreuses fessées, notre Christounette tente d'utiliser des "ruses de sioux" plus ou moins rocambolesques, comme celle la fausse adresse donnée au secrétariat du collège ou celle de sa tentative de brûler un bulletin d'heures de colle (déjouée par la voisine). Mais comment passer sous silence cette ruse de la malade imaginaire. Notre Christinette y met là toute son énergie. Malheureusement toutes ces tentatives échouent et notre Christinette se retrouve inexorablement les fesses a l'air sur les genoux de Maman pour des fessées magistrales.

    Enfin a l'issue de ces deux premières années dont la première est assurée par un passage en 5ème sous certaines conditions, notre petite demoiselle se retrouve confrontée à un redoublement de cette 5ème. Ce redoublement, réclamé par Mlle Paule, est dû particulièrement en raison de son indiscipline.

    Voilà Christine la première partie de mon compte rendu. J'espère qu'il est conforme a la réalité.

    Je vous livrerai la deuxième partie très rapidement.

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    1. Merci beaucoup Sylvie. Votre commentaire est intéressant et très juste... Vivement la suite...

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  3. Merci beaucoup Sylvie. Votre commentaire est intéressant et très juste... Vivement la suite...

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  4. Bonjour Christine,
    Quelques petits problèmes de connection internet m'empêche jusqu'ici de vous livrer la 2eme partie de mon compte rendu. Je vous la transmettrai très rapidement. Je pense que ces problèmes d'internet sont généraux.
    Sylvie.

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  5. Bonjour Christine,

    Tout d'abord je voudrais vous souhaiter ainsi que tous vos lecteurs un joyeux Noël.

    Voilà la 2ème partie de mon compte rendu. Suite au problèmes du réseau internet chez nous, je vous livre une analyse sur le 1er trimestre de votre année de redoublement.

    Après des vacances plus ou moins calmes pour ses fesses, (sans oublier les deux déculottées reçues dont l'une en présence de ses sœurettes suite à l'annonce de son redoublement), c'est avec un petit pincement au cœur que notre pitchounette rejoint les rangs des 5eme en cette rentrée des classes. Certes, elle se retrouve avec des filles du même âge qu'elle, mais dans sa tête c'étaient des petiotes et elle allait devoir s'y faire. Les premières notes de cette année scolaire arrivent très rapidement. Elles sont cependant très moyennes. Mais que dire de ce 6/20 récolté en anglais qui l'emmene très vite sur les genoux maternels.

    Ainsi ce premier trimestre très moyen, avec encore une fois bon nombre d'heures de colle et de notes décevantes entraînent notre petite demoiselle très souvent les fesses à l'air sur les genoux de Maman Spaak pour des fessées d'anthologie fort douloureuses pour ses petites fesses. Ainsi, ces trois premier mois se soldent donc par une fessée mémorable. Notre Christounette est ainsi la dernière à clôturer l'année sur les genoux maternels.

    Voilà Christine le début de ma 2ème partie de ce compte-rendu.

    Le suspens est total. La suite dès demain.

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    1. Merci Sylvie. Vous tenez vos promesses et j'en suis fort aise... J'attends donc la suite avec impatience, en appréciant le retour sur des années cruciales, dont j'ai parfois oublié les détails... Comme le fait de "clôturer" l'année sur les genoux maternels lors du premier trimestre de mon année de redoublement... Je suppose que c'était pour une colle, non ?

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  6. Merci Sylvie. Vous tenez vos promesses et j'en suis fort aise... J'attends donc la suite avec impatience, en appréciant le retour sur des années cruciales, dont j'ai parfois oublié les détails... Comme le fait de "clôturer" l'année sur les genoux maternels lors du premier trimestre de mon année de redoublement... Je suppose que c'était pour une colle, non ?

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  7. Bonjour Christine,

    Pour répondre à votre question, il ne s'agissait pas d'heures de colle mais du bulletin trimestriel vec des appréciations telles que "élève douée mais ne travaille pas suffisamment ou a largement la capacité de mieux faire" sans oublier celle de Mlle Paule "Quand Christine se décidera-t-elle à travailler ?" Cette dernière appréciation ayant fait bouillir Maman Spaak.

    Ce bulletin, pas mauvais en soi, mais dont les appréciations des profs laissent entendre que notre Christinette ne fait pas les efforts nécessaires l'emmène directement sur les genoux maternels.

    Derniere fessée de l'année, notre pitchounette est la première de cette nouvelle année qui débute à se retrouver encore une fois sur les genoux de Maman Spaak. Là, il s'agit d'une mauvaise note obtenue l'année précédente, mais voilà, il y eut ce petit mensonge ou du moins ce réflexe d'essayer de tromper sa mère. Ce qui l'emmène immédiatement sur les genoux maternels.

    Cette première fessée de cette année civile a-t-elle eu un effet bénéfique sur son comportement ? Toujours est-il que notre petite demoiselle commence à ramener des notes beaucoup plus conforme à ses capacités, certes il y eut 15 jours plus tard, cette punition pour bavardage qui l'emmène également sur les genoux maternels ; notre Christinette n'ayant pas eu le courage de l'avouer à sa mère qui l'apprend par la maman de sa camarade Corinne punie également par la prof d'histoire. Mais force est de constater que finalement ce deuxième trimestre est plus conforme aux capacités intellectuelles de notre petite demoiselle. Certes, il y eut de nouvelles déculottées, mais elles sont beaucoup plus espacées et les bulletins mensuels plutôt bons... quoique notre héroïne peut largement mieux faire. A noter, cependant, que sa bête noire, Mlle Paule ne lui fait pas de cadeaux. Le deuxième trimestre se termine donc sur une note plutôt conforme au souhait de maman Spaak.

    Voilà Christine, j'en termine avec ce deuxième trimestre. Demain je poursuivrai sur le troisième trimestre plutôt chaud pour vos fesses avec l'arrivée de nos deux pimbêches Brigitte et Babette alimentées par Diane et la sœur de sa copine CHARLINE.

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  8. Bonjour Christine,

    Tout d'abord, tous mes vœux de santé surtout pour cette année 2022 qui ne s'annonce pas sous les meilleures auspices. Mais soyons optimistes et souhaitons que l'on en termine avec cette pendémie qui nous sappe le moral depuis deux ans maintenant.

    Enfin, je vous livre le troisième et dernier volet de la 2eme partie de mon compte rendu.

    Après un deuxième trimestre qui a failli se terminer sur les genoux maternels suite a un bulletin en dent de scie (après deux mois satisfaisants), notre Christinette retrouve très rapidement les genoux maternel pour son comportement de petite demoiselle qui commence à s'affirmer dans le mauvais sens.

    Son retour au collège s'annonce donc, après les avertissdments de Maman, plus conforme à son potentiel intellectuel, il est vrai que le travail de révision accompli durant les vacances porte ses fruits sans oublier qu'en ce début de troisième trimestre, elle retrouve un programme qui correspond à sa reprise en main, un peu tardive, de Maman Spaak, qui lui permit de petits efforts avant un relâchement ayant entraîné son redoublement.

    Toujours est-il qu'en ce premier mois du dernier trimestre de cette année scolaire, notre Christounette, ramène un bulletin plus que satisfaisant, entraînant la satisfaction de Maman Spaak sur sa méthode éducative. Pour une fois qu'elle avait ramené un carnet de note bon voire même très bon dans certaines matières. Elle



    La confi



    en elle que la

    Ayant trop confiance, elle se relâche et arrive très vite la catastrophe durant cet avant dernier mois de l'année scolaire. C'est encore un fois en anglais que la tuile lui retombe en pleine fzce, et c'est encore avec Mlle Paule que notre héroïne récolte à nouveau 2 heures de colle pour bavardage intempestif. C'est ainsi qu'après avoir brillamment répondu a une interrogation orale, notre Christinette est surprise par la prof à faire des messes basses sur ses camarades qui l'ont suivie. Voilà deux heures de colle qui amèneront la fautive sur les genoux maternels pour une déculottée dont la mise en scène est digne d'une pièce de théâtre, Maman n'hésitant pas à administrer à son aînée une tannée des grands soirs dans le salon en présence de ses sœurettes. Christine y perd même, dans le feu de l'action, sa petite culotte qui échoue aux pieds de Diane.

    Mais que dire de la suite des évènements qui est un vrai cauchemar pour notre pitchounette puisque, une discussion entre Mme Spaak et la mère de Babette une camarade de classe de Christine un peu pimbêche sur les bords, déclenche de la part de cette dernière, moquerie et harcèlement, cette situation est encore alimentée par les ragots de Diane auprès de Charline sa copine mais qui est surtout la sœur cadette de Corinne ancienne camarade de classe de Christine ; celle-ci s'étant faite amie amie avec Babette et Brigitte. S'en suit, de nouveau, deux heures de colle encore une fois avec Mlle Paule, suite à un commentaire de notre Christinette lorsque ces deux pimbêches reçurent deux heures de colle pour bavardage.

    Mais cette année scolaire se clôture de la manière la plus chaude pour les fesses de notre pitchounette, car, pour une mauvaise note obtenue en maths, elle n'hésite pas à imiter le paraphe de sa Mère. La volée qui s'en suit est terrible. Christine vit là un véritable enfer, trois fessées bien méritées, et une mise au coin, les fesses écarlates à l'air et les mains sur la tête durant environ une demie heure. Fort heureusement, les sœurettes ne sont pas présentes.

    Voilà Christine, j'en ai fini avec ce long compte-rendu de vos trois premières années de collège.

    Je ne tarderai pas a vous livrer mon commentaire sur ce nouvel episode que vous avez livré depuis une quinzaine de jours environ

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  9. Voilà un bon résumé des années collège. Du moins des trois premières.
    De quoi me "rafraîchir" la mémoire, si j'ose dire en évoquant des épisodes où les fesses de Christinette ont plutôt été "réchauffées" d'une certaine manière... Vous devinez laquelle bien sûr...

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  10. Bonjour Christine,

    Je vais vous livrer mon commentaire sur ce nouvel épisode.

    Apres des débuts forts prometteurs, ou du moins sans fessée, voilà que notre Christinette se retrouve pour la deuxième fois de ce debut d'année les fesses à l'air sur les genoux maternels pour pour une déculottée monumentale. Serait-elle retombée dans ses petits péchés mignons ? Toujours est-il que c'est encore une fois pour bavardage qu'elle se retrouve punie. Il y eut tout d'abord les 100 lignes avec Mlle Simon et cette fois-ci encore une nouvelle punition pour bavardage avec sa voisine de table Elizabeth.

    Mais, voilà que les choses se corsent pour notre petite demoiselle puisqu'elle est confrontée encore une fois aux deux pimbêches, Babette et Brigitte qui la force à avouer sa déculottée sous peine de le publier à toute la classe. Elle en arrive même à cauchemarder sur une fessée de Maman Spaak devant ses deux camarades, chose qui me semble impossible, contrairement à Serge qui fantasme un peu sur ce point précis. Ce n'est sûrement pas la façon de faire de Maman Spaak même si elle a eut quelques fois l'occasion de menacer son aînée sur ce point.

    Enfin ce cauchemar montre bien les troubles que vit actuellement notre petite demoiselle, troubles qui agiront bien evidemment sur son comportement futur.

    Il est toutefois à noter l'absence d'heures de colle jusqu' à présent, ce qui montre bien les efforts fournis par notre Christinette depuis le début de cette année scolaire. A 13 ans, elle semble sur le bon chemin et doit être etre encouragée par Maman Spaak sur son absence d'heures de colle et un carnet de correspondance vierge de tout commentaire néfaste.

    Voilà Christine, mon premier commentaire sur cet épisode qui montre à quel point le harcèlement que vit Christine peut etre néfaste sur ses résultats scolaire.

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  11. Merci Sylvie de ce commentaire très bien vu. Juste une précision, je ne comprends pas pour dire qu'il n'y a pas d'heures de colle, alors que c'est ce que je récolte avec ma voisine de la part de la prof d'histoire...

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  12. Bonsoir Christine,

    Effectivement, vous avez raison. Je me suis un peu emmêlée les pinceaux en confondant votre deuxième fessée de la nouvelle année civile de votre redoublement.

    En effet, suite à une punition par un devoir supplémentaire pour bavardage avec votre camarade de table Corinne donnée par la prof d'histoire, votre maman ne vous avait pas ménagé en vous administrant un déculottée des grands soirs.

    Cependant, je tiens à souligner les efforts que vous avez fournis jusqu'à présent, car, il s'agit là des deux premières heures de colle de cette année scolaire. Il faut quand même le souligner par rapport aux années précédentes où les heures de colle s'enchaînaient à la pelle.

    Voilà Christine pour corriger mon premier commentaire sur ce nouvel episode.

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  13. C'est bien de souligner les efforts de Christinette. Ils étaient sérieux même si mes envies de chahuter ou de bavarder en classe revenaient de temps à autre...
    Maman de son côté voyait dans l'amélioration de mes notes et bulletins, l'efficacité de sa méthode et se faisait un devoir de ne pas en changer...

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  14. En gros,vos copines sont des saletés, ma chère Christine. Désolé de vous le dire. Elles mériteraient une bonne fessée déculottée bien méritée. Il n'y a pas que vous qui doit montrer vos fesses dénudées.
    Philippe

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