jeudi 6 janvier 2022

Chronique d'un redoublement : 167. Une rencontre bien gênante et de quoi alimenter mes peurs...

 SUITE 166

La conversation avec Brigitte et Babette me tournait en boucle dans ma tête. J'avais dû céder et avouer avoir reçu la fessée. Mais, paradoxalement, c'était avant tout pour les faire taire, pour qu'elles ne racontent pas n'importe quoi, ni ne prêchent le faux pour savoir le vrai. 

Je me doutais bien qu'elles auraient essayé d'en savoir plus, via mes petites soeurs notamment. En tout cas, maintenant qu'elles savaient, j'espérais être tranquille, mais rien n'était moins sûr... Surtout que si elles semblaient compatir et me plaindre quand elles m'interrogeaient, elles avaient vite changer de ton en obtenant mes aveux... J'avais bien remarqué que le fait de savoir que Maman m'avait déculottée avait fait briller leurs yeux et, sans nul doute, fait travailler leur imagination... Sûr qu'elles se voyaient assister à ma fessée...

 

J'avais bien compris que le fait d'avoir avoué que j'avais reçu la fessée avait réjoui les moqueuses de Brigitte et Babette qui riaient en imaginant la scène... 

Cela dit, j'eus bien de la chance de ne pas subir de reproches des profs durant le reste de la journée, tant la scène avec Babette et Brigitte me tournait en boucle dans la tête, et me faisait ne guère suivre les cours.

En rentrant à la maison en fin d'après-midi, Tata Jacqueline était là pour garder mes soeurs pendant que Maman devait aller faire des courses avec moi. Je n'eus pas le temps de discuter avec Tata, qui devait avoir été mise au courant de mes "exploits" mais je me doutais qu'elle ne manquerait pas de m'en parler plus tard...

"Garde ton blouson, Christine, nous partons tout de suite", avait demandé Maman. Nous sommes donc sorties pour aller en particulier chez le marchand de chaussures, pour m'acheter une paire de tennis pour les cours de gymnastique.

La vendeuse apporta des baskets d'une taille de plus que les précédentes, en commentant vers ma mère : "Ca grandit, ça grandit, une vraie petite demoiselle votre fille maintenant". Maman rétorqua : "La taille ne fait pas tout, vous savez. Ma fille se comporte encore souvent comme une vraie gamine..."


Chez la marchande de chaussures, la vendeuse avait trouvé que j'avais bien grandi... Maman lui rétorqua que j'agissais encore souvent comme une gamine... Je tentai de la faire changer de conversation, pour éviter qu'elle en dise trop sur mon éducation...

J'intervins pour parler chaussures, ne sachant que trop combien Maman était capable de raconter mes exploits à la vendeuse... En tout cas, je n'insistai pas pour avoir une paire un peu plus chère qui me plaisait bien. Ce n'était assurément pas le jour pour fâcher Maman...

Il n'y eut pas d'allusions non plus, quand nous passâmes à la boulangerie. Comme il y avait du monde qui attendait, la serveuse habituelle ne fit cette fois aucune allusion à notre éducation.

Mais, sur le chemin du retour à trois rues de la maison, j'aperçus sur le trottoir d'en face une silhouette familière... C'était Madame Aubry, la mère d'Elisabeth... Je fis comme si je ne l'avais pas vue, et tournai la tête en espérant que Maman ne l'ait  pas remarquée... Hélas, Maman la reconnut... Elle lui adressa un petit signe, sans pour autant traverser la rue... Je respirai un grand coup croyant que cela en resterait là... Ouf !

Toutefois, arrivée juste en face de nous, Mme Aubry fit un nouveau signe et traversa la chaussée pour nous rejoindre. "Ah décidément, le hasard nous fait nous croiser souvent", dit-elle en saluant Maman qui répondit : "C'est toujours avec plaisir, vous savez".

Mme Aubry embraya : "Pour moi aussi, sincèrement. Je voulais juste vous dire que je m'en suis voulue, l'autre soir, de vous avoir appris les frasques de nos filles. Cela ne me regarde pas, mais comme elles avaient été collées en même temps, j'ignorais que vous ne le saviez pas encore".


Recroiser par hasard la mère d'Elisabeth était une tuile pour moi... Les deux mères avait bien des choses à se dire... Surtout des choses gênantes pour moi...

Maman répondit avec un sourire en coin : "Mais, non, voyons, cela ne m'a pas dérangée, vous savez. Au contraire, puisque j'en apprenais une bien bonne au sujet de mon aînée. Même si je me doutais qu'elle me cachait quelque chose, Christine a pu voir que les mensonges ne fonctionnaient pas toujours... Et elle s'en souviendra longtemps..."

Mme Aubry répliqua : "J'avoue que j'ai la chance que ma fille ne sait rien cacher, et qu'elle me dit tout sans tarder, même si cela me fâche. Cela ne m'empêche pas de sévir si nécessaire, mais au moins on peut plus vite passer à autre chose..."

Maman soupira : "Nos filles sont en effet les opposées. Ma chère Christine est au contraire du genre à tout cacher. Comme pour ces heures de colle, elle a une fois de plus fait comme si de rien n'était, histoire de gagner du temps... Et pourtant ce n'est pas un bon calcul puisque la sanction n'en est que plus forte..."

Mme Aubry acquiesça : "Je vous comprends, ce doit être désagréable de constater que sa fille a caché durant trois jours qu'elle serait collée..."

Maman leva la main, paume ouverte, et rajouta : "Je peux vous dire que je lui ai fait comprendre à ma manière... Avec la seule méthode qui fonctionne vraiment avec ma fille... N'est-ce pas Christine ?" Je baissai la tête, sentant la conversation déraper vers des explications bien gênantes pour ma pudeur... 

 

Maman affirma qu'il n'y avait qu'une méthode qui "marchait" avec moi et me demanda laquelle. Je détournai la tête, au bord des larmes, quand elle précisa à Mme Aubry que c'était toujours "une bonne fessée". 

Comme il fallait s'en douter, la Maman d'Elisabeth demanda qu'elle était donc cette méthode... Ma chère mère n'hésita pas à répondre : "Vous savez même si les diminutions d'argent de poche, les devoirs ou tâches supplémentaires et autres privations de sortie fonctionnent parfois, rien ne vaut mieux avec Christine qu'une bonne fessée..."

Mme Aubry rétorqua : "Encore à son âge ? J'avoue que j'ai arrêté avec Elisabeth depuis un  an  ou deux. Même si parfois ma main me démange encore et que j'aurais envie de vous suivre..."

Maman ajouta : "En tout cas, moi, c'est simple, tant que Christine mentira et se tiendra mal en classe, je ne changerai pas... Et je peux vous dire que cela calme ma fille, et même ses soeurs... N'est-ce pas Christine ?" 

Je bouillais intérieurement, mais réussis à retenir mes réactions, d'autant que je sentais bien que la mère d'Elisabeth m'imaginait fessée par Maman... Elle s'adressa à moi : "Alors ma pauvre Christine, je pense que cela a donc bardé hier soir à la maison... J'en connais une qui a dû se faire réchauffer le fond de culotte..."

 

 Mme Aubry imaginait que Maman m'avait "réchauffé" le fond de culotte... Maman s'empressa de rectifier en précisant qu'elle baissait toujours ma culotte pour mieux me rougir les fesses...

L'expression fit rire Maman qui reprit la parole pour préciser : "Oh, vous savez, il y a belle lurette qu'il n'y a plus de fond de culotte qui reste en place. Ma grande a la peau dure et c'est toujours déculottée et allongée sur mes genoux qu'elle prend la bonne fessée qu'elle mérite... Et je peux vous dire que j'y mets de l'énergie pour lui rougir les fesses. Elle s'en souvient un bon moment. Surtout quand je décide de lui donner la fessée devant ses soeurs..."

Je ne pus en écouter davantage et je protestai : "Maman, Maman, arrête de dire tout ça. C'est pas intéressant. Et en plus c'est pas vrai, pffff ! D'ailleurs, hier, tu m'as punie dans ma chambre, pas devant les petites..."

Ma protestation n'eut pas l'air de plaire à Maman, qui me lança un regard noir qui ne me disait rien qui vaille. Elle répliqua en me clouant le bec d'une manière bien gênante pour moi : "Tu sais Christine, je pense au contraire que ça intéresse Mme Aubry qui peut comparer avec la manière dont elle éduque  Elisabeth. Et puis, je te conseille de ne pas trop fanfaronner. Oui, c'est vrai que je ne t'ai pas donnée la fessée devant tes soeurs, mais je crois que tu l'aurais bien méritée... Alors, je te conseille de bien te tenir au collège, car à la prochaine heure de colle, je te promets qu'une tannée t'attendra à ton retour à la maison, et que cette fois, tu peux me croire, je te baisserai ta culotte devant Aline et Diane..."

Je rougis et protestai : "Oh, Maman, arrête. Non, je ne veux pas. De toute façon, c'est promis, je n'aurai plus de colle, je t'assure..."

Maman fit la moue : "Je voudrais bien te croire, ma fille, mais ce sont des promesses que tu fais à chaque fois, et tu recommences quand même... Alors que moi, à chaque fois, je les tiens mes promesses... Tu es prévenue... Ne ramènes plus d'heures de colle,ni ne me caches plus rien, sinon tu sais ce qui t'attend... Sinon, tu peux préparer tes fesses..."

Mme Aubry ressentit bien combien j'étais mal à l'aise et mit fin à la conversation, saluant Maman, lui souhaitant "Bon courage" avant de nous laisser, non sans me dire : "Tu sais ce qu'il te reste à faire, Christine. Sois sage en classe, et ne mens plus à ta Maman... Ou alors, gare au retour à la maison".

La Maman d'Elisabeth avait prononcé ses derniers mots avec une vraie conviction dans la voix, comme si elle était ma mère, comme si elle imaginait déjà la scène, non sans esquisser au final une sorte de petit sourire, un rien moqueur, qui me fit mal au coeur...

Nous repartîmes vers la maison qui n'était plus loin. Maman allait d'un bon pas, moi, je trainais la jambe, avec l'envie de pleurer, me repassant en boucle la conversation avec Mme Aubry et les confidences que ma mère lui avait faites... Sans oublier la promesse d'une prochaine déculottée devant mes soeurs... Et, je ne pouvais hélas pas me consoler en me disant que cela n'arriverait pas, tant je savais qu'en la matière, Maman tenait toujours ses promesses...

Tata Jacqueline, qui gardait mes soeurs, vit bien que je faisais grise mine, et comme je ne lui répondais pas, elle demanda à Maman ce qui n'allait pas. Cette dernière répondit : "Ce n'est rien, c'est juste ta chère Christine qui n'apprécie pas que j'ai discuté avec la mère de sa camarade, celle avec qui elle a récolté deux heures de colle pour bavardage en cours d'histoire".

Tata Jacqueline ne sembla pas étonnée, mes soeurs lui ayant raconté ce qui s'était passé la veille. "Diane et Aline m'ont dit que cela avait bardé pour elle hier..." confirma ma tante. Maman ne démentit pas, ajoutant : "Il faut dire que Christine m'a caché trois jours durant qu'elle avait été collée, et c'est justement la mère de sa voisine de classe qui me l'a appris, me faisant passer pour une mère qui se fait mener par le bout du nez par sa fille. Ah je peux te dire que j'étais furax, Et Christine n'a eu que ce qu'elle méritait..."


Maman expliqua à Tata Jacqueline les raisons de la fessée que j'avais reçue la veille pour mes heures de colle et le fait de les avoir cachées trois jours durant...

Ma tante demanda ce que les deux mères s'étaient dites. Maman répondit :"J'ai appris à Mme Aubry que Christine avait reçu une bonne fessée bien méritée. Apparemment Elisabeth n'en reçoit plus depuis l'an dernier, mais sa Maman m'a dit que cela la démangeait encore parfois de lui en redonner une... Mais, il faut dire qu'Elisabeth, elle, ne ment jamais à sa mère, ce qui n'est pas encore le cas pour Christine hélas..."

Maman commenta encore : "En tout cas, Mme Aubry a bien compris que j'avais raison de sévir encore quand il le fallait. Elle l'a même dit à Christine en lui conseillant d'être sage en cours et de ne plus mentir... Christine n'a pas apprécié ce sermon. Tu aurais du voir sa tête, surtout quand la mère d'Elisabeth a terminé en disant "Sinon, gare à la déculottée au retour à la maison. Connaissant ta mère, tu n'aurais qu'à préparer tes fesses".


Mme Aubry m'avait conseillé d'être sage et de ne plus mentir, "sinon gare à la déculottée au retour à la maison". Cela me faisait tout drôle qu'elle reprenne les menaces maternelles. J'avais l'impression que c'était comme si elle me donnait la fessée elle-même...

Cette tirade maternelle me fit sangloter et verser quelques larmes que Tata Jacqueline essuya avec un mouchoir en me serrant fort dans ses bras... 

Maman n'apprécia guère que Tata me console ainsi et elle rajouta : "Si tu ne veux plus pleurer, Christine, tu sais bien ce qu'il faut faire... Plus de colle et plus de mensonge, ça t'évitera bien des fessées".

Je ne pus m'empêcher de rétorquer suppliante : "Promis, Maman, promis, je vais être sage et je te dirai tout, toujours !"

Maman fit la moue, doutant bien sûr de mes promesses : "En tout cas, Christine, tu sais ce qui t'attend si tu récidives... La fessée, Christine, la fessée déculottée... Et, s'il le faut, ce sera devant tes soeurs..."

 

Maman réitéra ses promesses... Si je recommençais à être collée ou à mentir, ce serait à coup sûr la fessée déculottée, et peut-être même devant mes soeurs...

Je suppliai :"Non, non, oh non !"  On entendit alors une petite voix qui venait du canapé où Diane lisait, ou faisait plutôt semblant, ne ratant rien de la conversation... Une Diane les yeux pétillants qui demanda : "Tu as dit quoi, Maman, tu vas donner la fessée à Christine devant nous ?"

Surprise, Maman nia : "Mais non, mais non, pas aujourd'hui, et puis cela ne te regarde pas, file jouer dans ta chambre." Diane n'insista pas, mais je me doutais bien que les mots menaçants de Maman n'étaient pas tombés dans l'oreille d'une sourde... Et que Diane allait vite raconter ce qu'elle avait entendu à Aline... Voire à d'autres...


A SUIVRE

 

41 commentaires:

  1. Je pense que Diane et Aline mériterait aussi une bonne fessée déculottée pour commérages 🍑

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  2. Bonjour Christine,

    Voilà notre Christinette confrontée à son anxiété, tout d'abord les deux pimbêches qui l'obligent à avouer ou du moins à reconnaître qu'elle a bien reçue un fessée suite à ses deux heures de colle. Eh oui, elle a même été jusqu'à avouer que la fessée qu'elle avait récoltée était bien les fesses à l'air, sous peine que toute la classe (voir peut être même le collège) soit au courant qu'à son âge elle soit corrigée comme une gamine de 7- 8 ans. Évidemment, ce harcèlement ne peut que nuire à ses résultats scolaires. Heureusement, d'ailleurs qu'aucun prof ne se soit aperçu de son trouble.

    Mais que dire de la rencontre entre Maman Spaak et Mme Aubry la maman d'Élisabeth, rencontre que notre Christinette essaie en vain d'éviter et qui entraîne inévitablement une discussion sur les méthodes éducatives. Là, comme à son habitude, Mme Spaak n'hésite pas à dévoiler que son aînée avait été quitte pour une bonne fessée de plus déculottée. D'ailleurs, Maman Spaak avoua même que ses trois filles étaient logées à la même enseigne et qu'elle n'hésitait pas, quand cela était nécessaire de déculottee son aînée en présence de ses sœurettes pour l'exemple. Cela met évidemment notre pitchounette dans l'embarras, cette dernière, et c'est très compréhensible, en voulant à sa Mère de divulguer à tout un chacun sa méthode CORRECTRICE, d'ailleurs elle le conteste fermement en reprenant sa Maman par une petite phrase "pff, c'est même pas vrai" qui aurait pu l'entraîner vers une nouvelle déculottée à la maison.

    Sur ce point, j'ai du mal à comprendre le but recherché par Mme Spaak à divulguer à tout un chacun sa méthode correctrice. Qu'elle le fasse aux membres de sa famille, je le concède aisément, mais à de parfaits inconnus, comme la boulangère, la vendeuse, les mères de ses petites camarades de classe... D'ailleurs, je ne sais pas si elle réalise réellement les tors que cela peut coûter à son aînée en divulgant sa méthode aux mères de ses petites camarades de classe, on le voit bien avec Babette.

    Voilà Christine mon premier commentaire sur cet épisode que je considère comme transitoire.

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    1. Merci Sylvie de votre "premier" commentaire sur ce nouvel épisode. Vous remarquez avec raison combien les confidences maternelles sur ses méthodes sont dures à supporter pour moi. Mais c'était une volonté pour elle de se justifier, de faire comprendre qu'elle n'avait guère le choix, en se devant de punir une fille qui était indisciplinée en classe, et mentait comme elle respirait pour cacher ses bêtises...
      Maman expliquait que sa méthode donnait des résultats et que cela me calmait un bon bout de temps...

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  3. Bonjour Christine,

    Oui, je comprends bien les motivations qui encouragaient votre Maman à user de cette méthode corrective avec vous, mais était elle obligée à la divulguer à tout un chacun et notamment aux mères de vos camarades de classe. Je ne critique en aucun cas sa méthode éducative, l'ayant vécue moi même comme vous et peut être plus fortement avec les objets (ceinture, sandales ect) utilisés, mais jamais mes parents n'auraient divulguer la façon dont nous étions punis, mes frères et moi, à la maison. Bien au contraire, Maman a eu bien souvent à reprendre bien poliment à tous ceux qui voulaient avoir des renseignements sur la façon dont l'un de nous 4 avait été puni après une bêtise "tout ce qui se passe à la maison reste à la maison". D'ailleurs, aucun de nous, même Éric, n'avait l'idée de raconter à ses petits copains ou copines quoi que ce soit qui se passait à la maison, même si, avec ma tante Julie, je recevais quelques fortes claques sur les cuissesen présence d'autres élèves qu'elle avait. Je pense qu'avec Maman Diane et peut être dans un degré moindre Aline auraient très rapidement perdu cette habitude.

    Une autre question me taraude l'esprit, votre Maman en divulguant aux mères de vos camarades que vous aviez reçu une déculottée se rendait elle compte des retours néfastes que cela pourraient vous coûter. Il est vrai que vous n'avez vous-même jamais parlé des problèmes que cela vous coûtaient. Je constate d'ailleurs que vos problèmes actuels se sont accentués après la rencontre à la bibliothèque entre votre Maman et Mme Vitoz la maman de Babette, fille que vous détestiez déjà. Elle s'est d'ailleurs, avec son amie Brigitte, ralliée à Corinne votre ancienne camarade passée dans la classe supérieure et qui vous avait déjà posé quelques problèmes l'année précédente pour avoir des informations détaillées sur vos déculottées en utilisant votre sœurette Diane.

    Toujours est il qu'avec ces deux pimbêches, vous n'êtes pas sortie de l'auberge, malheureusement, il suffit de s'apercevoir de l'état dans lequel vous étiez ce dernier après midi , mais fort heureusement, aucun prof ne s'est aperçu de votre trouble, car là encore nous n'étions pas loin d'une sanction qui, s'en aucun doute vous aurait entraînée inexorablement sur les genoux maternels.

    Voilà Christine mon avis sur votre réponse sur la méthode de divulgation sur la manière de votre maman de vous corriger.

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  4. Oui, Sylvie, vous avez sûrement raison. Maman aurait dû être plus discrètes quant à ses méthodes... Mais elle ne le faisait pas méchamment, je crois. C'était vraiment comme un besoin de se justifier...

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  5. Bonjour Christine,

    Que deviennent nos fidèles commentateurs ? J'espère qu'ils ne sont pas malade et qu'ils interviendront très bientôt. En tous cas, je me sens un peu seule actuellement. Mais bon, je vais poursuive sur ma lancée.

    En effet, je suis actuellement très inquiète pour notre Christinette, les événements qu'elle a subits ne sont effectivement pas pour la soulager, bien au contraire. Entre Babette, Brigitte et les indiscrétions de Maman Spaak sur sa méthode corrective à tout un chacun notamment aux mères de ses petites camarades de classe, notre pitchounette ne peut qu'être anxieuse et inquiète sur son futur notamment au collège. N'oublions pas qu'elle entre tout doucement dans l'adolescence et que son comportement vis-à-vis de Maman Spaak évoluera, même s'il est vrai qu'à 13 ans nous étions tous et toutes, dans ces années là, toujours considérés comme des gamins et donc corrigés comme tels. Mais, voilà, cette situation devrait évoluer pour notre Christounette au fil du temps, et Maman Spaak devrait avoir du répondant en face d'elle. Elle en a, d'ailleurs déjà trouvé de la part de son aînée, notamment dans cette dernière réponse devant Mme Aubry "pff, c'est même pas vrai" ; Christine contredisant de ce fait sa Maman. C'est pour toutes ces raisons que je n'envisage pas un avenir serein pour notre petite demoiselle qui devrait se retrouver plus souvent que rarement les fesses à l'air sur les genoux maternels.

    Non Christine, tel que je le ressens, vous n'en avez pas encore fini avec les déculottées de votre Maman. De plus, je ne serai pas surprise que nos deux pimbêches ne tiennent parole et qu'elles divulguent, tel le téléphone arable, vos derniers déboires fessiers.

    Voilà Christine, mes prédictions pas du tout rassurantes pour votre avenir. J'espère de tout cœur me tromper. Vos prochains paragraphes nous le diront.

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  6. Non, les prédictions de Sylvie ne sont pas rassurantes pour les fesses de Christinette... Je ne veux pas dévoiler la suite de ce récit, mais mon petit doigt me dit que Sylvie n'a peut-être pas tort...

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  7. Bonjour Christine,

    Je ne voudrais pas être oiseau de mauvais augure, mais le dèmenti de Christounette à Maman Spaak devant Mme Aubry est un mauvais présage, même si je lui donne raison, mais à mon avis, elle semble ne pas avoir bien saisi l'intervention de sa Maman.

    En effet, en relisant bien les propos tenus par Mme Spaak sur ce point, elle n'a nullement dit que son aînée avait reçu sa déculottée devant ses sœurettes, mais qu'il arrivait quelques fois qu'elle soit obligée de le faire devant les petites pour servir d'exemple. C'est donc, à mon avis, une mauvaise interprétation de Christine, d'ailleurs sa petite phrase "c'est même pas vrai", faisant passer sa mère pour une menteuse auprès d'une autre maman, pourrait lui coûter très cher. Comment ne pas être inquiète pour elle, lorsque l'on connaît la détermination de Maman Spaak sur ce point.

    Il ne faut pas non plus oublier l'imitation de signature qui malgré les trois fessées qu'elle a due administrer à sa petite demoiselle, a toujours enfoui dans un petit coin de sa tête cette malheureuse affaire. Enfin, nous aurons très rapidement dans les prochains épisodes des réponses sur ces deux points.

    Par ailsurs, sur un autre registre, je suis également inquiète de la suite réservée à l'issue de la rencontre entre Mme Spaak et Mlle Simon. Mme Spaak ayant proposé à cette jeune prof d'anglais, nouvellement installée dans la région de faciliter son intégration. Il a même été question d'une invitation à dîner. Voilà qui ne devrait pas plaire à notre Christinette. Si cela se réalise vraiment, j'imagine les problèmes qu'elle pourrait rencontrer avec ses camarades de classe, notamment avec Babette et Brigitte.

    Voilà Christine, je pense que nous aurons, tout au long de cette nouvelle année 2022 de quoi étayer nos commentaires. Vivement les prochains épisodes.

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  8. Pas très rassurants pour Christinette les propos de Sylvie...
    Elle dit "s'inquiéter" pour mon bas du dos, et pronostique qu'il y aura des épisodes tout au long de cette nouvelle année... J'en frémis à l'avance.

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  9. Bravo Christine pour cet épisode, la fesse ce n'est pas agréable, surtout à l'âge de Christinette, mais lorsque cela sort du cercle familial, c'est terrible, car il ne fait pas de doute que madame Aubry va se répandre. On comprend la réaction un peu trop vive de notre héroïne, qui aurait pu d'ailleurs lui valoir une bonne fessée et pourquoi pas sur le champ. Pour moi, ce n'est que partie remise et j'attends avec impatience, la prochaine fessée devant les petites soeurs.
    Cordialement .

    Serge

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  10. Chère Christine,
    Que je vous dise, pour compléter mon propos, que j'ai connu ce genre de situation in situe, avec ma jeune soeur, qui devait avoir à peu près l'âge de notre Christinette, mais qui était bien plus dissipée et par ailleurs fort insolente, les absences de mon père, marin, ajoutant à ses manquements. Ma mère la fessait quand elle était à bout et se complaisait ensuite, sans doute sans méchanceté, mais du fait de ses habitudes de pipelette, à raconter à qui voulait l'attendre, la manière dont elle était obligée de corriger sa fille, c'est à dire par l'usage de la fessée déculottée. Pour ma frangine, de son propre aveu, c'était presque pire d'entendre ces récits que de recevoir la fessée elle-même. Sachant qu'à l'évidence, tout notre entourage serait bientôt informé de ses mésaventures fessières et ne manquerait pas de la brocarder.
    Je reviendrai sur ces épisodes si vous le souhaitez.

    Bien sympathiquement.

    Serge

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  11. Cela me rappelle l'attitude de feu ma mère qui, plutôt dans le genre pipelette, n'hésitait pas à se répandre avec ses voisines ou les commerçants, quant aux fessées déculottées qu'elle venait d'administrer à ma jeune soeur, parfois en sa présence.
    Cette dernière en était terriblement gênée et comme notre Christinette le faisait savoir et c'est miracle si elle ne s'en pas ramassée une sur le champ.
    Elle m'a confié plus tard, que de voir commenter ses fessées devant des tiers était pratiquement aussi horrible que de les recevoir.

    Sympathiquement.

    Serge

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  12. D'accord avec vous, Serge. Entendre Maman raconter que j'avais reçu la fessée, était presque aussi insupportable que la tannée elle-même...

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  13. Bonjour Christine,

    Avant que vous dévoiliez la suite de vos mémoires de jeune collégienne (qui tarde un peu), j'aimerais revenir sur un moment crucial de ma vie d'enfant entrant doucement dans la pré adolescence. J'ai longtemps hésité à divulguer cette partie de ma vie par simple honte.

    Je n'avais pas à l'époque encore 11 ans. Nous venions de rentrer en 6eme. J'avais bien comme très bonne amie INEZ, mais tout comme vous avec Babette et Brigitte, il y avait une camarade qui me détestait au plus haut point, c'était évidemment Mathilde. En effet, depuis le CM 1 (communément appelé 8ème à l'époque) et ce jusqu'à la 5eme nous étions dans la même classe. Mathilde, petite prétentieuse et fayotte sur les bords, était tout simplement jalouse de moi, surtout en ce qui concerne la musique. Il est vrai qu'à l'époque Mère Juliette avait monté une petite chorale, d'abord pour les messes que nous animions une fois par mois et c'est tout naturellement que j'étais choisie pour les solos de chants ou de temps en temps les accompagnements à l'orgue. Évidemment, Mathilde était jalouse et à d'ailleurs très vite demandé à ses parents des cours de piano, malheureusement pour elle, ce fut insuffisant et ne put prendre ma place même en mon absence puisqu'il y avait Solande accordéoniste qui pouvait également le faire. Puis il y eu les cours de maths avec ma Tatie Julie, bien qu'elle n'en avait guère besoin, mais en y réfléchissant je crois que c'était simplement pour m'espionner. Quant à moi, je reconnais qu'à ce moment là de ma vie, j'avais du mal à sortir de l'enfance, il est vrai que j'allais avoir 11 ans et qu'à cet âge là je suçais encore le pouce. Tous les efforts fournis par mes parents et surtout ma mère pour m'en dissuader étaient restés vains jusque là. D'ailleurs pour ne pas subir les remontrances ou moqueries de leur part, je le faisais en cachette. Seule ma sœur Sonia était au courant car nous occupions la même chambre. Cette situation dura un moment jusqu'au jour où je fus surprise par Mathilde. J'entends encore ses fous rires et moqueries. Connaissant l'amour qu'elle me portait, je savais que mon petit péché ferait le tour de la classe. Il faut dire aussi que je ne faisais pas mon âge mais plutôt celui d'une gamine de 8 ou 9 ans, sans oublier la coiffure que j'avais soit deux papillotes. Tout cela ne pouvait qu'encourager Mathilde à se moquer de moi et ainsi entraîner toute la classe avec elle (sauf une sur qui je pouvais compter INEZ). Un jour j'en eu marre de cette situation que je la giflais, bien entendu la bagarre éclata immédiatement et c'est moi qui eus tous les tors et fus punie par des heures de colle (les premières de ma vie de collégienne) et une fessée tonitruante de Maman à la maison.

    Mais cette histoire eut un bon côté puisque ce péché mignon qui me poursuivait depuis ma toute petite enfance disparu par la suite.

    Voilà Christine, je reviendrai encore avec une autre cm vacherie de Mathilde à mon égard.

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  14. Je compatis à la mésaventure de Sylvie, poussée à bout par Mathilde, puis collée pour la première fois... Et, comme chez moi, cela se termina par une fessée tonitruante de Maman... Voilà qui réveille en moi bien des souvenirs...

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  15. J'imagine le premier bulletin de colle indiquant comme motif que j'ai giflé une camarade de classe et provoqué une bagarre dans la cour de récréation...
    Je me vois rentrer à la maison angoissée, au bord des larmes, et ne doutant pas un instant que Maman allait se fâcher et me flanquer une bonne fessée déculottée... Peut-être même devant mes soeurs...

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  16. Bonjour Christine,

    A quand la suite ? Cela prend beaucoup de temps. J'espère que vous n'êtes pas trop démotivée par l'absence de Dominique et de Mardolh qui nous manquent énormément.

    Cependant avant que vous nous dévoiliez les exploits de notre Christinette à la suite de cette rencontre avec Mme Aubry très angoissante pour elle, j'aimerais revenir un peu sur mes propos évoqués dans un commentaire sur cet épisode notamment en ce qui concerne le dèmenti ou plutôt la contestation de notre pitchounette à Maman Spaak devant la Maman Élisabeth sur la fessée reçue "c'est même pas vrai..."
    En effet je voyais cela comme une provocation de la part de notre petite demoiselle qui entraînerait inévitablement son retour sur les genoux maternels. Mais la conversation notamment entre Maman Spaak et sa sœur Jacqueline sur ce point, me fait maintenant douter. Il me semble que Mme Spaak n'en veut pas spécialement à son aînée d'avoir contesté ses propos, Maman Spaak ayant sans doute compris que sa fille avait mal interprété ses propos et que visiblement, elle ne lui en voulait pas trop.

    Ceci dit, je m'attend tout de même à une surveillance accrue de notre Christinette et, je pense qu'il faudra tout particulièrement surveiller les manigances de Diane pour attirer l'attention de Maman Spaak sur son aînée.

    Voilà Christine, une petite correction de mes propos qui me semble nécessaire.

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  17. Bonjour Christine,

    Que se passe-t-il ? Nous n'avons plus aucune nouvelle de vous. Mon dernier message transmis il y a une dizaine de jours maintenant n'est pas apparu. J'espère que vous n'êtes pas malade mais simplement un peu démotivée.

    Il est vrai qu'il y a de quoi manquer de motivation, vos plus fidèles commentateurs ne sont plus là en l'occurrence de Mardolh et Dominique lui est porté disparu depuis maintenant de nombreux mois. Mais, même si nous n'avons pas Serge, Louis et moi l'écriture ou du moins le vocabulaire aussi pétillant que nos deux amis, nous esseyons tout de même d'apporter un plus à vos différents épisodes.

    Merci de nous rassurer sur vous même. Et n'oubliez pas que, même si la plupart de vos lecteurs n'osent pas commenter, ils sont présents et, je suppose très nombreux.
    Sylvie

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  18. S il y en a bien une qui mériterait une bonne fessee cul nu, c est bien notre Christine pour sa paresse. A croire que celles de maman Spaak n ont pas suffit !!! Serge

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    1. Bonjour Serge, bonjour Christine,

      Avouez Christine que Serge a entièrement raison.

      J'avais eu toutefois peur que vous soyez malade ou encore que vous aviez tout simplement abandonné votre blog, mais le fait que vous ayez publié mes deux commentaires et celui de Serge m'a tout simplement rassurée.

      Donc soyons positif. Je sais que même si cela prend un peu plus de temps que prévu, nous pourrons bientôt connaître la suite des péripéties de notre Christinette.

      Voilà Christine, la réponse donnée à Serge que je rejoins entièrement.

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  19. Bonjour Christine,
    Cela fait maintenant plus de 2 mois que nous n'avons plus aucune nouvelle de vous. Que se passe-t-il ? J'espère que vous n'avez pas abandonné ces palpitantes mémoires de vos années collège sans nous prévenir, cela ne vous ressemble pas, d'autant plus que nos derniers commentaires, à Serge et moi, bien qu'ayant été publiés sur votre blog, sont restés sans réponse, ce qui n'est pas habituel chez vous. Alors, je me pose beaucoup de questions à ce sujet et m'inquiète beaucoup pour vous, me faisant même des idées pas très réjouissantes pour vous notamment en ce qui concerne la maladie.

    Alors rassurez moi, rassurez-nous, rassurez vos fidèles lecteurs qui je pense sont toujours très nombreux et sont tout comme moi dans l'inquiétude totale.

    Espèrant une réponse rapide qui nous réconforterait
    Sylvie

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  20. Désolée, Sylvie, pour tout ce temps passé sans écrire de suite à ce blog. J'avoue que j'ai eu comme un "coup de mou" ou une panne d'inspiration, doublés de quelques problèmes de santé.
    Cela dit, rassurez-vous, je n'ai pas fini de raconter mes "souvenirs cuisants" et promets de m'y remettre d'ici quelques jours.
    En tout cas merci de votre message, qui témoigne de l'intérêt que vous portez à ma prose. Voilà qui devrait m'aider à me remotiver...

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  21. Chère Christine, heureux d avoir de vos nouvelles, je compatis à vos soucis de santé, pas grand chose n est plus important. Cependant, l écriture reste un dérivatif qui peut vous aider et par voie de conséquence le faire aussi pour vos lecteurs . Bon courage donc, en espérant sous peu un épisode marquant, nous nous comprenons, lâchez - vous très chère. Bien sympathiquement. Serge

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  22. Bonjour Christine,
    Très heureuse de votre retour. J'ai bien cru que vous nous aviez quitté, bien que cela ne soit pas dans vos habitudes, sans nous prévenir. Je comprends aisément votre petit coup de mou, surtout que vos fidèles commentateurs, Dominique et Mardolh ne soient plus là. Et puis, il y a à la fin de chacun de vos épisodes, le petit à suivre qui ne figurait pas sur cet dernier epidose.

    Enfin, nous attendons avec une grande impatience la suite réservée à notr Christine nationale et sur tour, la suite qui sera donné e à l'invitation de Maman Spaak Mlle Simon prof d'anglais de notre petite demoiselle.

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  23. Merci Sylvie d'être compréhensive et de me pardonner cette longue pause dans mon récit. Promis, je vais m'y remettre...
    Cela dit, je ne vois plus à quoi vous faites allusion en parlant de "l'invitation de Maman à la prof d'anglais"
    Dites-moi donc...

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    1. Bonjour Christine,
      Pour répondre à votre interrogation sur "l'invitation de votre maman à Mlle Simon, la nouvelle prof d'anglais", ce point a été évoqué au paragraphe 148 (25 août 2019).

      Lors de sa rencontre avec la prof d'anglais, Maman Spaak s'était inquiétée du fait des difficultés que pourrait avoir cette jeune prof pour s'intégrer dans la région nouvelle pour elle et avait même proposé de l'inviter à dîner un soir sans vraiment en fixer la date.

      Comme nous pouvons l'imaginer, cette invitation, si elle avait lieu, pourrait entraîner bien des soucis pour notre Christinette notamment avec ses camarades de classe. .

      Voilà Christine, ce que je peux dire sur ce point dont j'espère que nous en saurons plus très bientôt
      Sylvie

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    2. Oui c'est vrai, Sylvie. Ce rendez-vous avec la jeune professeur d'anglais avait incité Maman à proposer à la prof de venir dîner à la maison pour que les deux femmes papotent et que Maman conseille la nouvelle arrivée pour qu'elle s'insère au mieux dans la ville.
      C'est vrai qu'il y a pas mal à dire de la suite de cette relation entre Maman et la prof.
      Moi j'en retenais aussi que c'est à la suite de cette rencontre où Maman avait appris que j'avais caché les lignes à faire pour bavardage en classe, que j'avais reçu, le soir même, ma première fessée de Quatrième...

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  24. Bonjour Christine,

    Afin de nous permettre de nous situer à peu près, avant que vous dévoiliez la suite des événements, il serait souhaitable de se remémorer le début de cette nouvelle année scolaire. Je vous propose, si vous le voulez bien de faire ce petit résumé et de vous le transmettre pour approbation. Cela m'oblige évidemment à relire, même en diagonale le début de cette année de 4ème de notre Christinette.

    D'ores et déjà, je commence ce petit travail que je vous transmettrais si vous êtes d'accord.

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  25. Bonne idée, Sylvie. Résumez donc ce début de Quatrième.
    Merci d'avance.

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  26. Hello Sylvie, j'espère que vos lectures pour vous remémorer les péripéties de ces premières semaines de Quatrième vont vous permettre de nous faire un résumé me donnant encore plus envie de poursuivre mon récit... A bientôt ! J'ai hâte...

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  27. Bonjour Christine,
    Ça arrive, ne vous inquiétez pas. Juste un petit retard en raison de mon travail.
    Sylvie

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  28. Je vous fais confiance. On n'est pas à la minute... Et Christinette aurait bien du culot de s'impatienter... Cela pourrait lui valoir quelques problèmes... Je suis sûre que vous devinez aisément quel genre de problème ?

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  29. Bonjour Christine,
    Voilà enfin mon petit résumé des deux premiers mois de 4ème de notre pitchounette.

    Notre Christinette aurait elle enfin compris le message de maman Spaak lors de ce 1er après-midi de vacances d'été où elle a été quitte pour trois déculottées d'enthologie suite à son imitation de signature. Toujours est il que le premier mois de notre petite demoiselle se passe sans encombre, ses notes, sans être brillantissimes sont relativement bonnes et puis, il n'y a aucune heure de colle, son carnet de correspondance est vierge de toute remarque désobligeante. C'est ainsi que son premier bulletin du mois ne mentionne aucune note en dessous de la moyenne.

    Le mois suivant débute donc de la même façon que le précédent. Christine se serait elle assagie ? Toutefois, il est à noter un petit bémol. Notre petite demoiselle s'est trompée de matière en révisant ses cours d'histoire au lieu de la géographie et naturellement récolte une très mauvaise note au contrôle qui s'en ai suivi. Fort heureusement, Maître Christine, grâce à la détermination qu'elle montre à défendre sa cause, évite au dernier moment la fessée Mme Spaak, elle-même ne s'étant pas aperçue de l'erreur de sa fille lors de son contrôle des devoirs.

    Malheureusement pour Christine, chasser le naturel il revient au galop. C'est ainsi que la petite Spaak est punie pour bavardage de 100 lignes par la toute nouvelle prof d'anglais. Cette punition n'étant pas à faire signer, Christine n'en parle surtout pas à sa Maman qui constatant un relâchement de son aînée demande un entretient avec cette nouvelle prof qui n'hésite pas à évoquer cette punition, patatras c'est la première déculottée de l'année. Il ne faut pas non plus mettre de côté l'invitation à dîner de Maman Spaak à cette jeune enseignante (cette invitation pourrait, si elle se réalise avoir des répercutions néfastes pour Christine par la suite).

    Les deux heures de colle arrivent quelques semaines après suite encore une fois à du bavardage avec sa voisine de table. Comme à l'accoutumé, Christine n'en dit pas un mot à sa mère qui l'apprend par le biais de la mère d'Élisabeth. Cette fois-ci, Mme Spaak n'y a pas été de mains mortes et notre Christinette a dû subir une fessée d'anthologie.

    Voilà Christine, j'espère que je n'ai rien oublié dans ce petit résumé. N'hésitez pas à me dire si tout a été dit.

    Nous attendons donc maintenant la suite des événements.

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  30. je vous en prie chère christine, donnez nous de vos nouvelles
    yves.

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  31. Bonjour Christine,
    Je suppose que c'est vous qui avez demandé que nous soyons patient suite à l'inquiétude d'Yves dans son dernier commentaire. Ce qui laisse entendre que vous ne nous avez pas abandonné et que la suite de votre récit nous sera bientôt dévoilée. Mais avouez qu'il y a de quoi être inquiet car nous n'avons jusqu'ici aucune nouvelle de vous et même la réponse faite à Yves n'est pas pour nous rassurer complètement car elle est émise sous entête de l'anonymat.
    Merci de nous rassurer. Nous sommes de tout cœur avec vous.
    Sylvie

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  32. Rassurez-vous chère Sylvie, je suis encore vivante et pleine de souvenirs à raconter.
    Il est vrai que ma pause se prolonge, mais je peux vous assurer que je poursuivrai mes récits prochainement... C'est promis !

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  33. Bonjour Christine, je ne parviens pas à laisser un commentaire à la suite de votre dernière publication tant espérée. Je me réjouis de ce retour et bous félicite pour la sa qualité, on est tout de suite au coeur du sujet, maman Spaak se montre de plus en plus prolixe quant aux fesses déculottées qu'elle administre à ses filles et à vous en particulier. Cela annonce des lendemains qui déchantent...
    Bien sympathiquement.

    Serge

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  34. La vendeuse avec son air de se fiche de la figure du monde et sa tenue un peu provocante aurait mérité une bonne fessée déculottée.
    Par contre, vous, Christine, vous êtes parfaite comme toujours, en jupe ou déculottée.
    Amicalement
    Philippe

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