mardi 9 août 2022

Chronique d'un redoublement : 168. Quand les promesses de Maman me font imaginer le pire...

Une fois Tata repartie chez elle, et le dîner avalé dans une sorte de silence où chacun repensait aux événements de la veille et du jour même, je montai dans ma chambre et ne tardai pas à mettre mes habits de nuit, ceux-là même que Maman avait sortis la veille au soir, et qui m'avaient servi en quelque sorte de tenue de fessée...


En allant me laver les dents, je croisai Diane qui guettait les allées et venues sur le palier. Elle me regardait avec un petit sourire en coin... Je grimaçai et lui décochai un regard noir, menaçant même...
Je l'aurais bien giflée, mais elle dit à voix basse : "Ne m'embête pas, sinon, j'appelle Maman... Ca pourrait chauffer pour tes fesses" ! 

Diane sourit à nouveau, en tapotant son fond de culotte, dans un geste qui n'avait pas besoin d'être traduit...


Je rageais intérieurement, mais pris le partie de ne pas réagir. Cela aurait forcément provoqué une intervention maternelle qui aurait voulu savoir ce qui se passait, donnant lieu à deux versions, Diane et moi accusant chacune l'autre. Et même si Maman m'avait cru plutôt que ma soeur, même si cette dernière avait récolté une paire de gifles, cela aura été encore l'occasion de menaces maternelles, d'appel à moi la grande de montrer l'exemple, sous peine de nouvelle fessée...

Et, j'en avais assez de m'entendre menacée une fois de plus dans un contexte bien difficile à supporter... Ces derniers jours avaient accumulé les scènes marquantes, toutes aussi bouleversantes.
Il est vrai que ma décision de cacher à Maman le fait d'avoir récolté des heures de colle, avait entrainé trois jours d'angoisse, à jouer l'innocente, apeurée de ce qui m'attendait...
Alors que les premières semaines de classe de Quatrième s'étaient déroulées de façon inespérée, commençant à me faire imaginer que cela en serait fini des fessées pour moi, l'annonce de la prof d'histoire nous donnant à Elisabeth et moi deux heures de colle m'avait ré-entrainée dans un cauchemar éveillé... Celui mettant en scène une nouvelle tannée, que les avertissements et menaces maternelles rendaient plus que probables...

J'avais pourtant hésité le premier soir, en me disant que j'aurais peut-être une chance d'éviter le pire, en avouant à Maman et en promettant de ne pas recommencer, en faisant remarquer que j'avais été sage ne méritant aucune fessée depuis près de deux mois...
Mais les paroles tellement précises de Maman sur le sujet, m'avaient faite reculer, alors qu'elle me trouvait "un drôle d'air", qu'elle me sentait bizarre, qu'elle me tendait la perche en me voyant tourner autour d'elle. J'étais vraiment à deux pas de soulager ma conscience, en espérant que cela aurait au moins modéré la colère maternelle...

Mais mes vieux démons avaient pris le dessus, en me glissant à l'oreille que ne rien dire à Maman gagnait au moins du temps et que quitte à être fessée mieux valait y échapper encore un jour ou deux plutôt que de retrouver les genoux maternels pour s'y faire déculotter et prendre une tannée tant redoutée...


Malgré la tentation de soulager ma conscience, je n'osai pas avouer ma colle à Maman. Je tentai de positiver, en regardant mes fesses, restées depuis longtemps toutes blanches... 

Je n'avouai donc rien le premier soir, comprenant vite que cela allait forcément m'entrainer à gagner du temps jusqu'à l'arrivée du bulletin de colle... Et que Maman saurait me rappeler le moment venu qu'elle avait bien senti que je lui cachais quelque chose, ce qui n'arrangerait pas mon cas...

Et ce fut donc ce qui se passa mais, qui plus est, de la pire des façons pour moi... Car, si j'avais écouté la voix de la raison et avoué ma colle au retour du collège, le jour même, je n'aurais peut-être (pour ne pas dire sûrement), pas échappé à ma première fessée de Quatrième, mais j'aurais évité les rebondissements qui s'en sont suivis...

En effet, même si elle avait rencontré en ville Mme Aubry et sa fille Elisabeth, Maman aurait déjà été au courant de ma colle, et la discussion n'aurait rien appris à ma mère. Peut-être auraient-elles évoqué les punitions reçues par les deux filles, mais cela n'aurait pas autant énervé Maman, choquée et vexée d'apprendre que sa fille ainée lui mentait depuis trois jours...


Elisabeth et sa mère eurent droit aux confidences de Maman, qui me promit que mes mensonges me vaudraient une fessée mémorable...

Non seulement Mme Aubry et Elisabeth savaient tout ou presque sur les méthodes éducatives de Maman, mais cette dernière ne cacha rien non plus à la boulangère qui me trouvait grincheuse, ni bien sûr à mes soeurs et à Tata Jacqueline. Et à Mamie le dimanche suivant. Comme cela arriva aussi aux oreilles des moqueuses Brigitte et Babette.

Sans parler de la tannée mémorable que cela me valut...

Bref, moi qui avais espéré échapper à la fessée, ou du moins gagner du temps avant de retrouver les genoux maternels, et surtout le cacher au plus grand nombre, j'avais tout faux... Après de premières semaines pleines d'espoir, j'avais accumulé les griefs et vécu une première déculottée inoubliable, avec la circonstance aggravante que Maman vexée n'en avait rien caché, bien au contraire, à qui voulait l'entendre...


Après deux mois sans fessée, la première de Quatrième s'était traduite par une déculottée magistrale, racontée par Maman à qui voulait l'entendre...

Il n'était même plus question pour moi de nier l'évidence. Je pouvais lire dans le regard de mes camarades de classe, que chacun savait que Christine avait reçu une fessée mémorable... Et que d'ailleurs je n'ai pas oubliée depuis...

Je me souviens que je vécus très mal les jours suivants. Moi qui étais plutôt du genre à rire avec les autres élèves, à être bavarde et enjouée, j'évitai au contraire au maximum la compagnie des collégiennes, imaginant que tout le monde savait ce qui m'était arrivée...
Je devins même méfiante vis à vis de mes soeurs, comme je faisais la tête, et rechignais aux demandes de Maman, pour accomplir les habituelles tâches ménagères, style mettre la table ou ranger des affaires.

Voilà qui énervait Maman qui commença à proférer quelques menaces à mon encontre... 

Un soir après une remarque supplémentaire, elle débarqua dans ma chambre et referma la porte derrière elle... 

J'eus tellement peur que je ne lui laissai pas le temps d'ouvrir la bouche, me mettant à protester : "Non, Maman, non, pas la fessée, pas la fessée" !



Maman était venue dans ma chambre en refermant la porte derrière elle. Je crus mon heure à nouveau venue, et avant même que Maman s'exprime, je suppliai : 'Maman, non pas la fessée, pas la fessée" ! Maman se mit à sourire, n'ayant que l'intention de me rappeler à l'ordre. J'en éclatai en sanglot, pendant que Maman précisait quand même que la prochaine fois serait sûrement la bonne, et je m'imaginais déjà sur les genoux maternels, où Maman me déculottait pour de bon...

Cela surprit Maman, qui se mit à sourire... Et de rétorquer : "Eh bien,  Christine, je constate que tu as parfaitement conscience que tu mériterais d'être punie, à force d'être grognonne et de rechigner à ma moindre demande..."

Je protestai : "Je vais faire tout ce que tu veux, M'man. Promis, je t'obéirai, mais ne te fâche pas..."

Je me tenais tremblante devant elle, tête baissée. Elle haussa le ton : "Christine, relève ta tête et regarde moi dans les yeux". Je fis ce qu'elle demandait. En retenant des gros sanglots qui témoignaient de mon émotion...
Maman avait levé la main, l'index pointant vers moi, menaçant. Et elle précisa ses menaces... "Tu la vois, ma main, Christine ? Eh bien, gare à toi... La prochaine remarque que j'aurai à te faire, tu te retrouveras sur mes genoux, culotte baissée pour cette fessée dont tu as déjà peur, et je te prie de croire que tu la sentiras passer... Allez, on va bientôt passer à table... Va donc prendre ta douche et te mettre en pyjama... Et je te conseille de te tenir à carreau..."

Sur ces propos, Maman sortit de ma chambre, tombant dans le couloir sur mes deux petites soeurs qui devaient avoir tendu l'oreille pour ne rien perdre des mésaventures de leur aînée...

Aline et Diane filèrent dans leur chambre pendant que Maman regagnait la cuisine.

Les filles avaient laissé leur porte ouverte, comme Maman n'avait pas refermé celle de ma chambre. J'entendis donc la conversation des petites, Aline disant : "Bah, tu vois que Christine n'a pas eu la fessée..."
Diane répondit : "Elle a bien failli quand même, et puis Maman a été claire. Elle lui a dit qu'à la prochaine remarque, elle se retrouverait sur ses genoux, culotte baissée... Et tu sais bien que Maman tient toujours ses promesses..."

Aline acquiesça : "Ca sera peut-être ce soir... Surtout que Christine va dîner en pyjama, et qu'elle a intérêt à ne pas énerver davantage Maman". 

Diane ricanait en imaginant la scène... "On entendra tout depuis notre chambre" ajouta notre benjamine qui se souvenait d'un certain détail : "Il y a peut-être une autre scène en perspective... Rappelle toi, Aline... Quand Maman a expliqué à Mme Aubry, la Maman d'Elisabeth, qu'elle baissait toujours la culotte de Christine. Et même parfois au salon, devant nous..."

Aline se rappelait bien que Maman avait même confirmé la menace en racontant la scène à Tata Jacqueline...


Alors que mes soeurs se moquaient en douce du fait que j'ai échappé à la fessée maternelle, que finalement Maman n'était pas encore décidée à me donner dans ma chambre... Aline et Diane se rappelaient les promesses maternelles, Maman disant bien à Mme Aubry que si la faute était grave, je serais fessée devant mes soeurs... Inutile de préciser que mes soeurettes se voyaient déjà dans le salon, les yeux grand ouverts en voyant Maman me déculotter pour de bon...

C'en était trop, et je me relevai pour fermer discrètement la porte de ma chambre, ne voulant plus entendre davantage les moqueries de mes soeurs. Surtout que ces moqueries me faisaient d'autant plus peur que je devinais qu'Aline et Diane n'avaient peut-être pas tort sur le possible déroulement de la soirée...

Mes soeurs furent appelées quelques minutes plus tard à rejoindre Maman pour qu'elle vérifie leurs leçons et devoirs du jour. 

Pendant ce temps, j'allai prendre ma douche, et en profitai pour regarder ma lune toute blanche, la caressant furtivement, en priant qu'elle ne devienne pas rouge écarlate comme Maman savait si bien la transformer...


La glace de la salle de bain réfléchissait l'image de mon corps frissonnant, dans son pyjama, bien frêle rempart qui ne me protégerait guère si Maman voulait sévir. Mes fesses encore blanches m'auraient rassurée en d'autres temps, mais mes peurs devenaient tellement palpables que je me voyais déjà le dos écarlate...   

Une fois bien séchée, j'essuyai quelques traces d'eau tombée de la douche sur le carrelage. Je ne voulais pas que Maman prétexte que la salle de bain était trempée pour s'occuper à sa manière de mes fesses...

Cette peur m'avait à nouveau faite trembler intérieurement, j'en étais presque en larmes, et je ne retrouvai le calme que de retour dans ma chambre.

J'enfilai mon pyjama, non sans regarder à nouveau mon bas du dos dans le miroir de l'armoire... Le blanc me rassurait, même si les menaces maternelles et les interprétations de mes soeurs, évoquant cette fessée que je craignais tant, me faisaient passer de la confiance à la peur.

J'avais beau compter les jours depuis la première fessée de cette année scolaire, et me dire que j'avais échappé à bien des menaces, la trouille devenait palpable...  

D'autant que dix minutes plus tard, la voix de Maman depuis le bas de l'escalier, retentit : "Christine, veux-tu bien descendre ?"

Mon coeur se mit à s'emballer. Non, ce n'était pas possible, pourquoi voulait-elle que je descende ? Je me relevai, allai ouvrir la porte de ma chambre, mais restai figée en haut de l'escalier. J'avais trop peur de devoir rejoindre Maman au salon pour recevoir la fessée tellement crainte...
Trois minutes passèrent, des bruits de vaisselle se faisaient entendre, Maman devait mettre la table. Et elle m'appela à nouveau... "Christine, je t'ai appelée... Pourquoi ne viens-tu pas ?"

J'avais l'impression que mon cauchemar devenait réalité... Et je balbutiai... "Maman, non, je ne veux pas descendre. Je, euh, je préfèrerais que tu viennes..."

Maman se mit à comprendre pourquoi je ne descendais pas et se moqua de moi : "Ah, je comprends, c'est de la fessée dont tu as peur ? Mais, rassure-toi, je voulais juste que tu m'aides à mettre la table... Il y aura un autre moment pour m'occuper de tes fesses... Descends donc vite, à moins que tu ne veuilles que je vienne effectivement te flanquer une déculottée de plus, ce qui ne changera rien à celle que je te dois..."

Bouleversée, je descendis à toute vitesse rejoindre Maman, qui m'accueillit en se moquant : "Eh bien, voici comment on fait descendre une grande fille qui a peur pour ses fesses... Sois rassurée je n'oublierai pas mes promesses..."

Je m'étais affolée pour rien. Une fois encore, mon imagination avait dépassé la réalité.

A SUIVRE

79 commentaires:

  1. Je pense que Diane et Aline mériteraient elles aussi une bonne fessée déculottée chacune pour se moquer de leurs soeur Christine !! 🍑🔥🍑

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    1. Oui c' est vrai ! Diane et Aline méritent une bonne fessée déculottée toutes les deux. Il ne y a pas de raison que ce soit toujours Christine qui paie !!!!

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  2. J'aime particulièrement ou elle se regarde les fesses rouges dans la glace

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  3. Bonjour Christine.
    Eh bien, voilà un retour, après de longs mois d'absence, qui fait plaisir.

    Je ne m'y attendais pas du tout.

    Je n'ai pas encore lu ce niuel épisode, mais je tenais à réagir tout de suite.

    Je ne tarderai pas à vous livrer mon analyse très rapidement.

    Sylvie

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  4. Bonjour Christine

    Je ne sais pas si mon message précédent est passé. Je fais un test avant de vous transmettre mon premier commentaire sur ce nouvel épisode.
    Sylvie

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  5. Bonjour Christine, cet épisode est très affriolant, désormais notre jeune personne ne peut plus cacher qu à quatorze ans, elle est régulièrement soumise à la fessee déculottée, outre les deux chipies à qui elle a été contrainte de l avouer, la boulangère et la maman de sa co collée sont informés de ses misères. Elles ne vont pas manquer de se répandre et vont ajouter à sa honte. Elle est de plus sous la menace d une nouvelle raclée qui l angoisse légitimement, surtout que cela pourrait bien se dérouler devant ses petites sœurs qui n attendent que ça. Perversement, je me plais a imaginer un scénario où notre Christinette serait fessee devant les deux chipies. J attends la suite des événements avec impatience. Bon courage à vous . Serge

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  6. Merci Sylvie que j'apprécie de retrouver après ma longue absence. J'attends avec plaisir votre commentaire sur ce long épisode...
    Merci à Serge aussi, qui a pour sa part commencé à réagir sur ce même épisode...

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  7. Bonjour Christine,

    Avant de vous livrer mon premier commentaire, je voudrais revenir un peu sur le début de votre année de 4ème.

    En effet, vous précisez que cette double déculottée est la première de cette nouvelle année scolaire, mais il me semble qu'il y en a eu une suite à la rencontre entre votre maman et Mlle Simon la prof d'anglais.

    Cependant, je n'ai pas à l'esprit d'heures de colle avant ces deux premières heures obtenues suite à votre bavardage avec Élisabeth et c'est tout à votre honneur.

    Merci de me confirmer ou non ce point.

    Mon commentaire sur cet épisode arrive. Il prend un peu plus de temps que prévu car c'est la rentrée et je dois avec mes petits enfants profiter du dernier week-end de vacances.
    Sylvie

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    1. Ma chère Sylvie, je suis impatient de lire vos commentaires.
      Cordialement
      Philippe

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  8. Bonjour Christine,
    Ce que je voudrais vous dire c' est que vos fessées déculottées (cul nu pour moi !) sont très émouvantes. Votre mère ne vous demandais pas de baisser votre culotte c'est elle qui le faisait. Moi on me le demandait de le faire et je refusais de peur. Donc la maîtresse me baissait le pantalon m' allongeant sur ses genoux,quelques claques bien senties puis elle me baissait le slip. Ce qui était bien c' est que la fessée se passait derrière son bureau donc les camarades avaient le son mais pas l' image.
    Je dois vous lasser avec mes histoires....
    Je vous raconterai la fessée de ma copine Valérie...
    Cordialement
    Philippe

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  9. Christine,
    Vous allez penser que cet homme ne sait pas quoi faire de ses journées... Je suis en vacances ! Donc je rattrape le temps perdu...
    Je voulais vous dire encore le respect que j'ai pour vos fessées cuisantes. Comment avez vous fait pour tenir le coup ?

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  10. Pas de souci, Philippe. J'apprécie vos commentaires qui évoquent les fessées reçues. Comment ai-je fait pour "tenir le coup", demandez vous ? Je pense que la plupart de mes rendez-vous sur les genoux maternels étaient plutôt bien mérités.

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  11. Ma chère Christine,
    Merci d' avoir publié mes commentaires...
    D' ailleurs je continue à penser comme vous le dites, que si vous receviez la fessée "cul nu" c' est que vous la méritez !
    Moi aussi d' ailleurs. Mes fessées "cul nu" n' ont pas été nombreuses heureusement mais humiliantes. Jusqu'au cm2.
    Ma mère me mettait des gifles. Avez-vous été fessée par des maîtresses ou uniquement par votre maman ?
    Si vous voulez un récit de mes "déculottées", dites le... Je ne voudrais pas piquer votre blog !
    Cordialement
    Philippe

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  12. Encore moi !
    Qu' est ce que cela fait de ne pas recevoir de fessées pendant deux mois ? De se regarder dans la glace les fesses blanches ? De même pour des fesses écarlates ?

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  13. Philippe exagère un peu en me posant des questions dont on trouve les réponses dans mes nombreux textes.
    J'apprécierais qu'il me raconte aussi quelques exemples de ses fessées de gamin...

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  14. Pas facile de décrire ce que je ressentais après deux mois sans fessées, mais sous la menace d'une fessée promise par Maman...
    J'avais alors la curiosité de me regarder le bas du dos, se reflétant dans la glace de l'armoire de ma chambre...
    Voir ainsi mes rondeurs jumelles bien blanches me faisait frissonner, me rassurait. Mais la peur, l'angoisse en me rappelant les menaces maternelles, me faisaient imaginer ce qui m'attendait...

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  15. De plus chère Christine, vous exagéré un peu. Je vous ai demandé si vous aviez été fessée par vos maîtresses de école et vous ne m'avez pas répondu.
    Cordialement
    Philippe

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  16. Chère Christine,
    Peut-être vous ai je choqué par mes propos envers vous suite à mon dernier commentaire ? Désolé alors.
    Je ne suis pas aussi détaillé que Sylvie mais je dois dire que je ne connais pas beaucoup de filles de 14/15 ans (puisque vous êtes une redoublante de quatrième)qui reçoivent la fessée cul nu aujourd'hui où il y a vingt ans...
    De plus, vous avez quand même de la chance dans vos déculottées que vos copines Babette, Corinne... n'y ont pas assisté. Ça aurait été un spectacle gratuit pour elles et désolant pour vous...
    Mais il y avait vos sœurs qui rôdaient... Tandis que moi je suis fils unique. Ce sont plus les copains et copines qui ont participé, et encore comme je vous le disais précédemment, j' étais caché derrière le bureau.
    Mais quand j' y pense, certaines filles voyaient mon anatomie.... Dont Valérie et Marlène... Capricieuse, dévergondées et pourtant gentilles.
    Philippe

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  17. Voilà, l' anonyme se dévoile comme vos fesses l' ont été et les miennes aussi
    Amicalement
    Philippe

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  18. Chère Christine,
    Merci de me répondre. Par ailleurs j'ai décidé de vous raconter une de mes déculottées, si vous me répondez
    Merci de tout ❤️
    Philippe

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  19. Philippe commence à se dévoiler, à donner quelques détails sur les fessées qu'il a reçues, et d'autres dont il a été le témoin. J'espère donc le lire sur un vrai récit...

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    1. Merci de me publier Christine
      Cordialement
      Philippe

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  20. Bien. Chère Christine, vous m'avez sollicité pour vous raconter mes fessées de gamin. J'en vous ai parlé brièvement mais là, je m' y engage sérieusement.
    J' avais 5 ans, j'étais en maternelle grande section. La maîtresse s' appelait madame Alexer. Une maîtresse à première vue gentille mais qui savait punir avec sévérité.
    J' étais timide (toujours maintenant) mais il m' arrivait d' être un véritable chenapan. A tel point que j'aimais bien soulever les jupes des filles.
    J' avais soulevé une jupe de trop dans la cour de récréation. Celle de Valérie ? Celle de Emmanuelle ? Je ne me en souviens pas...
    Par contre la suite je me en souviens très bien : la maîtresse a attendu que l' on soit rentré en classe ... Au départ tout allait bien. La maîtresse m' a attrapé par le bras, m a ordonné de monter sur une chaise. Ce que j' ai fait sans vraiment comprendre. Pour moi c'était un jeu...
    Pas du tout. Croyez-moi !!!
    Fin de la 1ere partie

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  21. SUITE
    Du haut de la chaise, je vois mes camarades qui me regardent. Je pense être le Chef maintenant, vu que pour moi c'est un nouveau jeu...
    La maîtresse me dit et à mes camarades :
    "Voilà ce que je fais a ceux qui soulèvent les jupes des filles", avec une certaine ironie dans la voix. D' un coup, elle me baisse mon pantalon de jogging et mon slip jusqu'aux chevilles, et je révèle mon intimité à mes camarades. Surpris, effaré, humilié, je commence à pleurnicher comme une fille.
    Comme pour cacher ma zigounette des autres, la maîtresse me retourne et mes fesses apparaissent aux autres.
    A cette époque, Valérie et Marlène sont présentes. (Marlène m' avouera quelques années plus tard que j'avais un beau joufflu). Je savais que la fessée se donnait sur les genoux, j'en avais assisté à une ou deux avant. Mais là, c' était debout sur une chaise...
    Elle avait la main lourde. Elle me claquait les fesses une par une, attendant quelques secondes entrent chaques claques, puis plus rapidement par la suite.
    Je pleurais à chaudes larmes mais je n' essayais pas de mettre mes mains sur mes fesses pour arrêter la punition.
    Cela dura peut-être cinq minutes, à peine.
    Mon petit derrière devait être rouge comme une tomate 🍅🍅. Les autres, derrière moi faisaient silence.
    Curieusement, la maîtresse me remonta mon jogging et mon slip, me fit descendre de la chaise et m' envoya au coin avec pour avertissement clair et net de ne jamais recommencer.
    Ce que je fis.
    P.S : tout ceci est vrai Christine
    Cordialement
    Philippe

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  22. RÉCIT 2 : LA FESSÉE DE VALÉRIE
    PROCHAINEMENT
    Cordialement
    Philippe

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  23. Si je fais durer le suspense c' est pour mieux rédiger mon récit. Merci

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  24. RÉCIT 2 : LA FESSÉE DE VALÉRIE
    Nous sommes à la fin de l' année scolaire, maternelle. Toujours en grande section, prêt à passer en CP.
    C' est l' après midi, en pleine récréation.
    A ce moment des faits, je suis caché derrière le banc blanc où est assises la directrice, madame Alexer et l' institutrice de la moyenne section. Caché pour jouer à cache-cache ou bien parce que je voulais être seul ? Je l' ignore, honnêtement.
    C' est à ce e moment là que madame Alexer se lève du banc et crie vers une bande de filles : " Valérie, viens ici ! Allez ! Approche, sinon je viens te chercher !"
    Valérie, l' air étonné, surprise, ne bouge pas. Alors, comment promis, madame Alexer se lève du banc et se dirige vers Valérie.
    Cette dernière ne sait pas pourquoi la maîtresse viens vers elle, la tire par le oreille et la fait marcher jusqu'au banc.
    Madame Alexer la lâche. Elle invite Valérie à venir sur ses genoux. Valérie hésite. Pourtant, elle obéit.
    Derrière le banc, je me sens comme invisible. Personne ne me voit, ne vient m' embêter. Je profite du spectacle.
    La maîtresse de la moyenne section s' est poussée de côté pour faire de la place. Valérie se retrouve les pieds sur le banc, des fesses en plein milieu de la maîtresse et ses bras qui rejoint la maîtresse de moyenne section. Pourquoi Valérie est elle là ? Qu'a t elle fait ? Apparemment, Valérie aurait fait sa "chef" devant les copines. Cela ne plaît guère a madame Alexer. Elle retrousse la jupe de Valérie, puis lui baisse sa culotte (blanche) juste sous les fesses.
    Valérie, manifestement, ne dit rien, prend la chose comme elle vient, sachant qu' elle a tort. Valérie, pour la petite histoire, est née un 1er janvier. Une petite brunette aux yeux verts, les cheveux coupés courts.
    Curieusement, Valérie reste les fesses à l'air. Madame Alexer et la maîtresse de moyenne section continuent de discuter comme si de rien n'était. Derrière le banc, je n' en perd pas une miette. Les fesses de Valérie sont blanches, exposées comme au marché. Valérie reçoit peu de fessée, cela se voit. Mais Valérie est capricieuse, elle aime bien commander. Une petite peste.
    Au bout d' un moment, je me demande que fait la maîtresse. L' attente est insoutenable. Valérie fait grise mine. Elle ne me voit pas. Madame Alexer, tapote les fesses de Valérie comme pour être certaine qu' elle est là. Valérie tressaillit. Je vois que ses fesses ont la chaire de poule. Elle serre des fesses. J' aimerai pas être à sa place. Moi, je suis bien à ma place. A la fois excité et tremblant, je m' aperçois que personne ne fait attention à ce qui se passe.
    La première claque retentit. Valérie crie de surprise. Là, la moitié des enfants s' arrêtent de jouer et regardent. Une deuxième claque. Une troisième. Valérie gigote des jambes, tente de remuer ses fesses mais elle se fait immobiliser de suite par quatre claques crépitants (deux sur chaque fesses) qui la font crier puis pleurer à chaudes larmes.
    Madame Alexer commenté : " Alors, c' est qui la chef ? Mademoiselle Valérie ?"
    Valérie ne répond pas. Elle hoquete pour répondre, mais finalement, renonce. La maîtresse de moyenne section sourit.
    Madame Alexer, apparemment, ne prolongé pas la fessée. Elle tapote une nouvelle fois les fesses de Valérie et lui demande : "Tu as compris, Valérie ?
    - Oui madame", réussie à répondre Valérie.
    Ce n' est pas pour autant que madame Alexer la lâche. Elle continue de lui tapoter les fesses, tout en se remettant à discuter avec sa collègue.
    J' en tremble tellement que je vais me faire pipi dessus. Non quand même pas !
    Il faut attendre la fin de la récréation pour que Madame Alexer relâche Valérie, la re-culotte. Elle l' envoie au coin en rentrant dans la classe et lui promet de baisser la culotte et remonter la jupe si elle fait des manières.


    PROCHAINEMENT...
    RÉCIT 3 : LA PATIENTE FESSÉE





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  25. J' espère que Christine et Sylvie auront le plaisir de lire mes récits

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  26. Voilà donc deux premiers récits de Philippe racontant des fessées données à l'école primaire.
    Merci bien, en attendant la suite, comme j'aimerais connaitre les sensations des deux punis, les fesses à l'air, pour recevoir des tannées bien méritées.

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  27. Ma chère Christine
    J' ai au moins 6 récits a faire publier sur votre blog si vous me y autorisée. Merci d'avance
    Philippe

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  28. RÉCIT 3 : LA PATIENTE FESSÉE
    Toujours en maternelle grande section. Quelques jours après la fessée de Valérie.
    Qui n' a jamais joué au docteur ? Certains oui, d' autres non. Moi... Oui.
    Ma petite patiente s' appelait Emmanuelle,une jolie brune aux cheveux longs et avec déjà quelques kilos en trop.
    Pour jouer au docteur,j je lui demandais si elle était d' accord. Elle l' était.
    Donc, nous allions en haut des marche de la classe de la petite section. Dans la cour, tous les enfants s'amusaient.
    Pour être honnête, ce n' était la première fois que je jouais au docteur avec Emmanuelle. D' abord, elle me disait que elle avait mal aux fesses. Alors, je lui demandais de s' allonger, ce qu, elle fit sans se faire plaindre.
    Étant le docteur, j' eus le droit de lui soulever la jupe et de lui baisser sa culotte. Premier diagnostic : des fesses blanches avec des piqûres de moustiques. Je pris un stylo dans la petite classe pour se servir de thermomètre elle lui mit doucement dans la raie des fesses.
    Toujours pas plaignante Emmanuelle se laissait faire. Elle était vachement gentille et moi un vrai petit pervers. J' otai le stylo et fit mine de dire n' importe quoi. J' ai balancé le stylo et entreprit malgré moi de passer les fesses de Emmanuelle....
    FIN DE LA 1ERE PARTIE

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  29. Avant de reprendre mon récit LA PATIENTE FESSÉE, je ferais cette remarque ou plutôt cette question : quand on baisse la culotte, est-il mieux de la baisser sous les fesses ou à mi-cuisses ?
    Cordialement
    Philippe

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  30. Chère Christine,
    Peut-être me trouvez-vous un peu simplet par mon dernier commentaire.
    Amicalement
    Philippe

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  31. Ma chère Christine, pourriez vous publier la première partie de LA PATIENTE FESSÉE j' ai oublié où je me suis arrêté.
    Merci
    Cordialement
    Philippe

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    1. Voilà, c'est fait. En espérant lire la suite et les autres récits...

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    2. Ma chère Christine, pourriez vous publier mes 2 récits que je viens de écrire. Merci encore
      Amicalement
      Philippe

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  32. Je pense que baisser la culotte à mi-cuisses permet de mieux dégager la cible...

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  33. LA PATIENTE FESSÉE (suite)

    Au départ, je voulais aller chercher du sable pour l' étaler sur les fesses d' Emmanuelle, comme guise de remède. Mais lui masser les fesses me parut moins dégoûtant.C' était agréable, cela me plaisait et Emmanuelle se laissait faire...
    Jusqu'à ce que une ombre arrive, celle de la maîtresse de la moyenne section, celle qui s' était poussée pour la fessée de Valérie. Surpris, je me relevais immédiatement. Par contre, Emmanuelle resta allongée, sans être aperçu de rien.
    La maîtresse, mains sur les hanches, commenta : " Alors, Emmanuelle, on a mal aux fesses... Attend".
    La maîtresse la releva sans brusquerie, puis entreprit de s' asseoir en haut des marchés et de allonger Emmanuelle sur ses genoux. Elle retroussa sa petite jupe, mais vu que la culotte était déjà baissée...
    Ce qui n' empêcha pas la maîtresse de moyenne section de baisser la culotte jusqu' aux genoux. Elle commenta : " Alors, comme ça, tu as mal aux fesses ?"
    Tu vas avoir mal aux fesses, Emmanuelle", rétorqua la maîtresse.
    Cette dernière lui administra une bonne fessée, ni trop douce ni trop forte, ni trop longue non plus.
    Je m' étais éloigné au niveau du bac à sable, regardant"ma patiente" se faire fessée. Je me dis que après ce serait mon tour... Terrifié, mort de honte, j' essayais de me cacher.
    Quand la fessée prit fin, la maîtresse re-culotta Emmanuelle et la laissa partir.
    Curieusement, elle ne me demanda pas de venir. Emmanuelle pleurnichai mais sans plus. Des larmes coulaient sur ses joues mais je vis que cela ne lui faisait guère effet. Pourtant, elle s' était prise une fessée à cause de moi. Pourquoi elle ? Pourquoi pas moi ?
    En tout cas, peut-être que mon petit massage de docteur avait fonctionné !
    FIN.

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  34. RÉCIT 4 : MADAME PRADEL NE PLAISANTE PAS

    J' entre en classe de CM2. 26 élèves. 13 garçons, 13 filles. Madame Pradel est notre maîtresse et aussi notre directrice.
    Elle est grande, blonde, les cheveux ramenés par un chignon, ce qui la rend sévère. De plus, elle a une poitrine plantureuse (ce qui me fait phantasmer, déjà à mon âge !) et qui me perturbe déjà.
    Dès le départ, elle nous met en garde : " Je veux que les devoirs soient faits, les leçons apprises. Pas de retard, ni le matin, ni l' après midi. Je déteste les rapporteurs.
    Ceux qui n' écoutent pas en classe, je n' aime pas ça. J' espère que vous avez bien entendu ? Car, croyez-moi, je ne plaisante pas. J' ai une main qui me démange. ✋", nous gratifia-t-elle, avec un léger sourire.
    Si sa poitrine me perturbait, elle me deconcentrait aussi.
    Au bout d' un mois, premier incident. Hormis les punitions traditionnelles comme copier 💯 fois la table de multiplication de 3, ou copier 3 fois la leçon de grammaire, ce n' était pas encore le bagne...
    Pourtant, si des élèves comme Marlène (j' y reviendrai sous peu) ou encore Sandra (une portugaise qui avait déjà une poitrine bien développée pour son âge), qui se faisaient un peu oublier, ce fut Céline, une blonde frisée un peu enrobé, avec des lunettes, qui inaugura les moments cuisants... A suivre


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  35. Céline était du genre mollassonne, rêveuse. Mais madame Pradel la réveilla bien comme il faut. " Céline !", tonna-t-elle en plein cours d' histoire.
    Céline sursauta et regarda madame Pradel. " Oui, madame...
    - Qu' est ce que j' ai dit ?
    - Euh..., , fit Céline, complètement désorientée.
    - Tu digère, c' est ça ?"
    Nous étions en début d' après midi. Cela y fait beaucoup, je dois dire. Céline ne su répondre la bouche ouverte, hébétée. Madame Pradel reprit : " Tu n' écoutais pas, c' est ça ?
    - Ben..., ne su répondre Céline.
    - Je vais te réveiller et à apprendre à m' écouter. Lève-toi et viens ici", lui ordonna madame Pradel.
    Céline, toujours hébétée, se leva sans rien dire. Madame Pradel avait reculé sa chaise et déplacer de quelques centimètres sur sa gauche, à tel point que l' on pouvait apercevoir le " spectacle". Elle de serait placée devant nous que cela aurait été mieux. Bref !
    Je devinais ce qui allait se passer. Nous le devinions. Mais pas Céline, à mon avis...
    Madame Pradel, assise sur sa chaise, s' adressa à Céline : " Allez, tu me baisses ta culotte, tout de suite...
    - Pourquoi ?, eut l'audace de demander Céline.
    - Pourquoi ? Tu ne m' écoutais pas, voilà pourquoi ! Je vais te réveiller, crois moi ! Allez ! Tu veux que ça moi qui te la baisse ?"
    Après réflexion, Céline souleva sa jupe modérément et baissa sa culotte jusqu'à ses genoux.
    Madame Pradel, impatiente, l' attira sur ses genoux, retroussa la jupe de Céline, et entreprit immédiatement la fessée.
    Céline,qui avait les fesses laiteuses, ne tarda pas à les avoir rouges comme des tomates. Madame Pradel ne lesignait pas sur les claques. Dans la classe, personne ne bougeait. Seul le son des claques sur les fesses de Céline comblait le silence. On entendit Céline gémir. On la vit bouger ses fesses, serrer les fesses et puis crier, pleurer mais pas supplier. Elle leva les pieds du sol, tandis que madame Pradel continuait la fessée. Puis, elle s' arrêta.
    "Tu peux te relever, Céline", lui ordonna-t-elle. Ce qu' elle fit avec un peu de difficulté. Sur ses pieds, Céline pleurait, les lunettes embuées. Alors qu'elle voulut remonter sa culotte, madame Pradel l'en empêcha : " Pop, pop pop,... Minute papillon... Tu vas aller au coin, jusqu'à la récréation, tes fesses bien en évidence pour que tes camarades puissent un peu les voir... Allez !".
    Céline, hébétée, tête basse, alla jusqu'au coin, à côté de la porte. Elle y resta effectivement jusqu'à la récréation, la jupe levée, la culotte aux genoux.
    Dans ma culotte, j'avais fait pipi...
    A suivre...

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  36. SUITE...
    Finalement, Céline ne resta que bonne demie heure au coin après indulgence de madame Pradel. Celle ci lui informa qu' elle pouvait remettre sa culotte et rejoindre sa place.
    Cette demie heure me permit de jeter un oeil au coin, ce qui me permit, tout en écoutant la leçon, de constater les dégâts qu' une fessée cul nu (déculottée) pouvait faire avec la main ✋ de madame Pradel.
    Je ne disais rien sur mon problème urinaire de peur de moqueries. En parlant de moqueries, je ne me moquais pas de Céline, qui avait eu beaucoup de courage.
    Les deux premiers trimestres furent pas mal pour moi. Entre bonnes et mauvaises notes, leçons à copier 50, 💯 ou même 200 fois, réprimandes de madame Pradel, aucun élèves ne fut déculottées cul nu.
    La fessée de Céline avait mis tout le monde d' accord.
    Le printemps arriva...
    Par une belle matinée ensoleillée...
    Nous étions mardi. Et le mardi, il fallait laver le tableau pendant la récréation. Madame Pradel désigna Marlène et moi.
    Tous les élèves allèrent aux toilettes. Marlène et moi retournions en classe tandis que nos camarades jouaient dans la cour de récréation.
    Madame Pradel avait apporté un sceau d' eau avec deux éponges. Cette dernière était à son bureau vérifiant son bloc-notes de punitions. Elle appela Marlène au bureau. Marlène s' approcha pas vraiment inquiète. Madame Pradel lui dit : " Je constate, Marlène, que plusieurs fois que tu glousses en classe. Est-ce normal ? Tu te moques de moi ?
    - Oh non, madame !
    - Alors pourquoi ?
    - Je l' ignore, madame, fit Marlène, haussant les épaules.
    - Tu ne sais pas ? Donc, tu te moques moi, Marlène ?
    - Non, madame, je vous le jure !
    - Philippe commence à nettoyer le tableau, s' il te plaît, me demanda-t-elle gentiment. En parlant de nettoyer,n' est ce pas toi, Marlène, qui a effacé la leçon sur Pythagore alors que je l' avais interdit. Et qu'est-ce que j' avais dit si quelqu'un le faisait... ? Hein ?"
    Marlène baissa les yeux. Et madame Pradel répondit à sa place : " Une fessée cul nu".
    A Suivre...

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  37. MADAME PRADEL NE PLAISANTE PAS (suite)
    "Fessée cul".
    Ces 2 mots me firent sursauter. Je commençais à nettoyer le tableau tout en jetant un œil discret sur ce qui se passait à côté.
    Marlène continua de dire qu' elle ne l'avait pas fait exprès... Rouge de honte ou rouge de colère ? Marlène ne savait plus quoi faire... Mais madame Pradel, si.
    Ignorant ses supplications, madame Pradel s' offrit la décision de "chavirer" Marlène sur ses genoux. Effet de surprise.
    Cette dernière poussa un cri de surprise et n' eût pas le temps de protester.
    Il suffit que le printemps arrive pour que les jupes sortent. Et la jupe de Marlène fut remonter par madame Pradel, laissant apparaître une culotte rose, ce qui valut le surnom "cochon rose" à Marlène, une de mes idées.
    Marlène sanglotait, je l' entendis tandis que je continuais à laver le tableau, risquant un œil à chaque fois.
    Puis, pas de détails : madame Pradel baissa ensuite la culotte qui arriva sous les fesses de Marlène. Madame Pradel ne s' occupa guère des supplications de Marlène, et encore moins de moi...
    Madame Pradel commença la fessée. Elle fessait de la main gauche, ce qui ne l' empêcha pas d' être efficace et appliquée.
    Plus j' avancais dans ma tâche, plus je jetais des regards malveillants sur ce qui se passait au bureau. Madame Pradel avait reculé sa chaise avant tout...
    Les fesses de Marlène commencèrent à rougir sérieusement, tandis que madame Pradel commentait : " Tu ne l' as pas fait exprès ! Et glousser non plus,tu ne le fait pas exprès ? Hein ? Dis moi ?"
    Mais Marlène ne dit rien. Je l'entendis pousser des petits cris à chaque claques, puis pleurer. Elle avait les pieds à terre, les mains au sol et les fesses sur les genoux de madame Pradel.
    J' étais arrivé quasiment à la fin du tableau, quand madame Pradel cessa la fessée. Enfin, je pensais...
    Et Marlène aussi. Mais madame Pradel, curieusement, laissa Marlène sur ses genoux, déculottée, sans que le poids de la punie ne la gène.
    J' avais presque fini mais je fis durer le travail... Madame Pradel observa les fesses de Marlène un instant, puis lui dit : " Tu sais, j' aurais pu faire ça devant toute la classe, Marlène. Ne recommence pas, sinon, je le ferai". Et madame Pradel entama une nouvelle tournée de claques sonores sur les fesses déculottées de Marlène. Les fesses de Marlène ballottaient sous les claques. Cela me fit sourire.
    Le tableau lavé, j'attends que Madame Pradel eût fini pour la prévenir. Je sais, c' est pas bien... Quand elle eut fini, elle redressa Marlène et lui fit une nouvelle fois la morale, le doigt pointé sur elle.
    Madame Pradel vit que j'avais fini et me remercia. Marlène n'avait toujours pas remonter sa culotte quand je sortis avec le sceau...
    A suivre...

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  38. Avant de continuer mes récits, Christine, je voudrais revenir sur le fait que vous vous regardiez les fesses dans la glace. Je trouve cela beau et curieux. Comme de l' art.
    Amicalement
    Philippe

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  39. Dans le même ordre d d’idée que Philippe, je me souviens qu une de mes premières émotions sexuelle eut lieu lorsqu assistais à la fessee déculottée d incertain Giraud camarade de classe de cm1 . Je crois qu’il s était introduit chez les filles de l école voisine. Ramène dans notre classe par sa directrice notre maître n hésitât pas une seconde, il fit passer sous son bras, lui baissât pantalon et slip et le fessat d importance devant toute la classe, presque une quarantaine de garçon et sa collègue. La fessee terminee, Guiraud en larmes allait se mettre au coin les fesses à l air et y demeurât un bon quart d’heure. Nous étions au début des années soixante et c’est la seule fessee que je pus observer en classe, même sujet eus l échos de quelques autres . Giraud était un élève un peu marginal et je ne sais pas si notre instituteur aurait été aussi radical avec d autres plus intégrés. Cordialement . Serge

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  40. Bonjour Christine,
    Voilà, la rentrée est désormais derrière moi. Vivement la retraite, j'ai encore 2 ou 3 ans encore avant de me retirer et comme le temps passe vite...
    En attendant, j'ai relu avec attention ce nouvel épisode et j'aimerais avant l'arrivée de ce nouveau cyclone FIONA qui est à notre porte, vous livrer mes impressions.
    Tout d'abord, comme je l'avais indiqué dans un précédent commentaire, il s'agit en effet de la 2eme déculottée de cette année de 4ème.
    En effet, notre Christounette avait été doublement punie après la rencontre entre la prof d'anglais Mlle Simon et Maman Spaak.
    D'ailleurs Mme Spaak est cette année bien disposée à suivre son aînée de près, ne lui laissant aucun répit. Le moindre faux pas lui vaudra un retour séance tenante sur les genoux maternel. Voilà une situation qui devrait obliger notre Christinette à se tenir à carreau. Y arrivera-t-elle ? J'en doute fortement. D'ailleurs ce nouvel épisode n'augure rien de bon pour notre pitchounette qui en même temps se verra harcelée par nos deux pimbêches.
    Voilà Christine, mon commentaire sur cet épisode qui annonce un retour claquant sur les fesses de notre pitchounette.
    Sylvie

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  41. Ma chère Christine,
    J'ai l' impression de vous voler la vedette avec mes récits. J' espère que vous les lirez. Je vais en publier 2 autres si vous le souhaitez. Merci
    Amicalement
    Philippe

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  42. RÉCIT 5 : LA 6eme EST PROCHE... MAIS ENCORE LOIN

    Nous étions à deux semaines de la fin de l' école. La fessée de Marlène m' avait perturbé à tel point que je n' allais pas lui en parler. Marlène m' aurait rejeté, ce qui aurait été normal.
    Elle ne me parlait guère et je n'en fut pas sensible.
    Je passais en sixième. Toute la classe passait en sixième. Tout le monde était content. Mais il restait deux semaines avant les vacances. Madame Pradel décida de nous faire réviser. Et même, de nous apprendre quelques notions anglais.
    Si on pensait que c'était fini, on avait tort. Au début, j' étais enthousiaste, surtout en français. Zéro faute en dictée, alors que Valérie en faisait deux ou trois... Par contre, les maths, c' était une catastrophe. Madame Pradel voulait que je redouble, mais ma mère avait insisté pour que je passe en sixième. Madame Pradel, visiblement, n' était pas contente. Doublement, parce que j'allais dans un collège privé.
    L' été arrivait à grands pas. J'étais en short, les filles en jupes... Mais ça, c' était normal ! Madame Pradel, elle, était en jupe aussi, avec un haut qui faisait étirer sa poitrine plantureuse, dedans. Pas de décolleté, mais on pouvait apercevoir son soutien-gorge blanc. Pas fière de ma découverte, je repassais à mes révisions.
    Juste après la récréation, alors que l' on pensait faire du sport, madame Pradel nous retint en classe pour une raison inconnue au départ. Elle se mit devant nous et nous fit son discours : " Si vous croyez que vous êtes déjà en vacances, vous vous trompez, mes chers enfants. Les vacances sont dans deux semaines. D' ici là, vous êtes encore en classe, avec moi. Si certains ou certaines pensent que c'est fini, ils rêvent. D'accord ? Que cela soit clair". Elle avait fini son discours et elle regagna son bureau. Mais je sentais que quelque chose allait se passer....
    A suivre...

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  43. Suite...
    Si j' avais parié sur celui ou celle qui allait se faire déculottée, j' aurai perdu.
    En fin de matinée, on frappa à la porte. Madame Pradel, en plein milieu d' un cours de français, fit entrer une fille de CE2, appelée Justine. Cette petite blonde dévergondée avait neuf ans. Dans sa main, elle tenait un morceau de papier que elle tendit à madame Pradel, la main légèrement tremblante. Madame Pradel le prit, s' assit et lu. Elle haussa les sourcils, puis regarda Justine avec des yeux gros comme des soucoupes.
    Madame Pradel se tourna vers la classe et nous informa que cette jeune fille ne faisait pas ses devoirs demandés. De plus, elle ne apprenait plus ses leçons vu que elle passait en CM1.
    Les yeux rivés sur Justine, puis sur madame Pradel, je faisais un va-et-vient entre elles, du regard.
    Puis, finalement, madame Pradel prît une décision : elle se leva, prit sa chaise, la posa en face la classe et s' assit. Il fallait être idiot pour ne pas deviner ce qui allait se passer. Même Justine le savait...
    Madame Pradel lui dit quand même : " Allez, viens ici, Justine ! Tu vas recevoir une bonne fessée...
    - Non, madame, commença à gémir Justine.
    - Comment ça, non ? Bien sûr que si ! Si tu crois que les vacances ont commencé, détrompe-toi ! Allez, viens ici !", ordonna madame Pradel, qui attrapa Justine par la main et la fit basculer sur ses genoux.
    Ce fut brusque mais sans douleur... pour le moment. La suite, par contre, fut douloureuse.
    Madame Pradel commença par des claques de fond de jupe pour calmer Justine, ce qui la fit crier. Madame Pradel continua de la claquer sur les cuisses, ce qui eut pour effet de la calmer un peu.
    Madame Pradel continua en retroussant la jupe de la punie, puis, sans attendre, elle lui baissa la culotte jusqu'aux genoux, les pouces dans l' élastique de la culotte. Cela un petit bruit, comme un "ziipp". C' était rigolo !
    La suite le fût moins.
    Justine avait beau protester et essayer de se débattre, rien ne pouvait arrêter madame Pradel. La fessée dura cinq minutes. Je le vis à ma montre à l' effigie des Schtroumpfs. On peut dire que cela ne me choquait plus. Mais quand même...
    Forcément, ce n' était pas moi. Ou alors, est ce que j' étais insensible maintenant à ce genre de pratique ?
    Quand la fessée se termina, madame Pradel releva Justine. Sa jupe retomba, sa culotte de retrouva aux chevilles, et Justine était en larmes, sanglotante, hocquetant... Là, par contre, j'eus du remord pour elle. Pas évident de recevoir une fessée cul nu (déculottée) devant une classe qui n' est pas la sienne.
    De plus, madame Pradel l' envoya au coin avec deux claques crépitantes sur les fesses lui ordonnant au passage de remonter sa culotte juste au dessous des fesses et de ne plus bouger. Elle lui rappela que les vacances n'étaient pas encore arrivées. Elle se tourna vers nous et nous fit le même discours...
    Justine resta au coin cinq minutes puis madame Pradel lui dit de remonter sa culotte et de rejoindre sa classe. Ce qu'elle fit.
    Curieusement, je ne fis pas pipi dans mon slip...

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  44. Ma chère Christine, merci de publier mes récits. Et de laisser vos commentaires.
    Amicalement
    Philippe

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  45. Bonjour Christine,

    Finalement, malgré tous les dégâts provoqués par Fiona, nous nous en sommes bien tiré. Il est vrai que ce n'était pas aussi violent que Maria en 2017 dont les vents ont soufflé à plus de 200 kms/h.

    J'aimerais tout d'abord féliciter Philippe pour ses récits et l'encourager à poursuivre.

    Pour en revenir à ce nouvel épisode, je me pose la question à savoir à quel moment, notre Christinette comprendra qu'elle doit divulguer sans attendre à sa maman toutes ses bêtises et donc affronter la réalité. Elle n'évitera certes pas les fessées, mais au moins elle n'aura plus ce poids en tête. Comme dirait Sylvette : "Christine tu devrais écouter ta Tata Jacqueline. Arrêtes de cacher tes bêtises à ta Maman, tu vois, les déculottées sont encore plus fortes. Fais comme la plupart de tes camarades qui avouent immédiatement leur faute. Surmontes ta peur, aies le courage d'affronter la punition"

    Quant aux deux frangines, elles aussi mériteraient bien plus souvent d'être punies notamment Diane qui agit de manière sournoise. Mais Maman Spaak a-t-elle bien observé son petit jeu.

    Voilà Christine mon 2eme commentaire sur cet épisode.

    Les récits de Philippe m'ont rappelé une affaire qui m'avait valu de la part de Mère Juliette une volée carabinée alors que j'étais en 5ème. Je vous raconterai très rapidement.

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  46. Suite...
    Je ne veux pas paraître un peu pervers, mais simplement un peu changer d'avis (après tout il n'y a que les imbéciles qui en changent pas), sur la fessée cul nu (déculottée) que recevaient mes camarades féminines... Au début, il est vrai que cela pouvait paraître choquant, mais à force, cela devenait intéressant, selon la fille en question. Rare fut les garçons qui furent fessée par madame Pradel, hormis des menaces jamais mises à exécution.
    La fessée de Justine pouvait paraître conventionnelle. Elle ressemblait à celle de Marlène, hormis qu' elle fut fessée devant nous. La mise au coin me paraissait exagéré. Mais madame Pradel voulait montrer à la classe le résultat, encore une fois, que provoquait une fessée cul nu déculottée.
    Deux semaines de avant les vacances.
    Pour madame Pradel, les vacances n' étaient pas encore arrivées. Elle nous l' avait bien fait comprendre, par les paroles et les gestes...
    Deux jours plus tard, en début d'après midi, cela commença par les résultats de la dernière dictée de l' année. Je m' en sortais avec une faute. Satisfait, tout comme madame Pradel, je pouvais me vanter d' être un bon en dictée.
    Par contre, deux filles furent mises à l' honneur : Isabelle et Valérie.
    Madame Pradel n' était pas contente du tout. Ah ? Apparemment, elles avaient décliné en orthographe. Celles citées furent contrariées du résultat. Le coin les attendait. Je fus surpris par cette décision de madame Pradel. Et loin des surprises de cette dernière...
    Sandra fut la première surprise. Madame Pradel l' appela au bureau et elle se leva... surprise. Madame Pradel nous avait demandé de prendre notre livre de histoire. Dans le coin le plus regardable se trouvait Valérie. Pour voir Isabelle, il fallait se retourner. Je commençais à lire la leçon, qui, je crois, portait sur la fin de la seconde guerre mondiale.
    J' étais déconcentré par mes camarades au coin. Et Sandra au bureau, face à madame Pradel.
    A suivre...



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  47. Je remercie Sylvie pour ses félicitations.
    Merci Sylvie. J' attends les commantaires de Christine.
    Amicalement à tous

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  48. Merci encore à Christine de publier mes récits. Parfois, je pense vous voler la vedette !! J' attends les commantaires de Sylvie.
    Amicalement
    Philippe

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  49. Pour rester dans le même ordre d idée que Philippe, il me souvient que ma jeune sœur Fabienne eut droit à une fessee déculottée devant toute sa classe mixte lors de sa dernière année d école primaire. Elle était assez dissipée et ma mère avait expressément autorisé la maîtresse, une certaine madame Gaillard très sévère, à le faire. J en fus informé lorsque Fabienne dit faire signer à ma mère le billet de la maîtresse qui rendait compte de la sanction . Ma sœur eut droit à une nouvelle fessee en ma présence selon le principe d une fessee a l extérieur, une à la maison. Inutile de vous dire que ce fut un moment très excitant pour votre serviteur . Quand à Fabienne, c est bien plus tard qu elle m avouât combien cette fessee publique avait été mortifiante. Encore heureux qu elle l ait subie en fin d année. Il n empêche, qu au collège où elle retrouvât quelques uns de ses anciennes camarades, elle fut encore victime des mois durant de nombre de quolibets au sujet de cette fessee. Comme quoi, ce genre de sanction ne doit être appliquée qu avec mesure . Fabienne reçu d autres fessees par la suite, jusqu’à ces 13, 14 ans, mais plus jamais dans le cadre scolaire . Bien sympathiquement. Serge

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  50. Avant de continuer mon récit (j' entretien le suspense !), ma chère Christine, que pensez-vous des fessés de fond de culotte et des fessés culottées ?
    Amicalement
    Philippe

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  51. Suite...
    J' essayais de me concentrer sur ma leçon d' histoire. Pas facile quand deux filles sont au coin, et une, au bureau, face à madame Pradel.
    Je levais les yeux de mon livre pour essayer de regarder le tout en même temps. Pas facile aussi... Ce qui m' intéressait le plus, c' était Sandra face à madame Pradel.
    J' étais impatient de voir la suite. Un œil sur mon livre, l'autre sur le bureau. Méchant, je pouvais l' être, intérieurement, et je souhaitais vivement que madame Pradel deculotte Sandra pour avoir rapporté à ma mère, un jour, comment j'étais en classe. De plus, elle était un peu prétentieuse. C' était la meilleure amie de Valérie, à cette époque là.
    D' où j'étais, au deuxième rang, sur la droite, j' avais une vue d'ensemble assez dégagée, comparé à certains.
    Sandra, toujours debout, face à madame Pradel, se demandait encore ce que elle faisait là. Et madame Pradel répondit à la question : "Sandra, il faut que je te dise que ta dictée n' est pas la meilleure de l' année, loin de là. Le mot nappe... deux"p", pas un. Et globalement, c' est décevant.
    - Mais, madame..., gémit Sandra.
    - Oui, Sandra ? Tu disais ?
    - Je croyais..., begaya Sandra avec une certaine une certaine colère dans voix.
    - Tu croyais quoi, Sandra ?, lui demanda madame Pradel, avec sérieux et ironie dans la voix. Déjà, tu me copieras cent fois le mot " nappe". Et encore, cent fois me paraît bien faible, mais pour combler le tout, tu vas passer sur mes genoux..."

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  52. Pour tout avouer, j' écrit mes récits en décousus, pour entretenir le suspense (mais c'est un peu faux ! ) mais parce que je suis un peu malade.
    Merci.

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  53. Suite...
    Cela faisait cinq bonnes minutes que Sandra était plantée devant madame Pradel, comme une fleur fanée. J' étais complètement déconcentré sur ma leçon d' histoire, regardant d' un œil et de l' autre, le coin où était Valérie et le bureau de madame Pradel.
    Si les autres élèves étaient comme moi à ce moment là, on pouvait se demander ce que fabriquait madame Pradel. Ce ne devait pas être si important que ça, car hormis les cents fois à copier, elle ne consentit pas à déculottée Sandra devant nous.
    Déculottée était bien le mot. Sandra n' y pensait même pas, et pourtant, au bout de quelques secondes de négociation avec madame Pradel, elle n'y coupa pas.
    Madame Pradel lui dit qu'il était inutile de supplier et elle l' attira sur ses genoux, Sandra se forçant de ne pas pleurer.
    Mains au sol, les pieds à terre, le postérieur en cible de tir, Sandra était en mauvaise posture. Je levais les yeux de mon livre et vit madame Pradel retrousser la jupe verte de Sandra, pour qu'apparaisse une culotte blanche. A priori, cela ne gêna guère madame Pradel, qui entama avec des claques de fond de culotte qui retentirent dans la classe. Tout le monde leva les yeux. Sandra cria de surprise et de douleur et capta l' attention de tout le monde.
    Madame Pradel n' y prêta pas attention, elle. Elle continua de fesser Sandra, toujours en culotte, ce qui n' empêchait pas la punie de crier et de pleurer.
    Même avec une culotte, cette protection est inexistante. Certes, elle protège encore l' intimité mais cela ne protège pas la douleur. Sandra s' en apercevait.
    Madame Pradel le savait très bien.
    Je vis à un moment Valérie se tourner pour voir ce qui se passait. J' aurai pu le dire mais j'aurais passer pour un rapporteur. Valérie se remit le nez au coin.
    Madame Pradel continuait sa punition.
    Ce qui me troubla, c'est qu' elle n' avait pas encore baissé la culotte... Impatient, je l' étais. Oui, je l' admets. Mais, finalement, Sandra y échappa. Madame Pradel releva Sandra, abasourdie, étonnée et en pleur. Madame Pradel lui recommanda de bien faire sa punition sinon elle lui baisserai la culotte devant toute la classe.
    Sandra retourna à sa place et eût un peu de mal à se asseoir. J' étais étonné par madame Pradel. Je me remis à ma leçon d'histoire. Valérie et Isabelle étaient toujours au coin. Elles y resterent un bon moment.
    Mais, surprise là aussi, rien ne se passa.
    Effectivement, c' était la fin de l' année scolaire...

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  54. Ma chère Christine, votre blog a changé ma vie. Merci de me permettre de publier mes récits. D' autres vont suivre. Merci de laisser vos commentaires.
    Amicalement
    Philippe

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  55. RÉCIT 5 : CHEZ GRAND-MERE ALICE

    Je sais bien qu' ici on parle de fessées, donc de fesses, donc de déculottées...
    Mais, pour être honnête, vous l' avez peut être remarqué, je suis dans la méditation mammaire. C' est un peu ça qui me attire et me pose des problématiques.
    Été 1986. Certes, je passais en sixième. La coupe du Monde de football était passée, les élections législatives aussi, et pourtant mes parents eurent l' idée de m' emmener chez mémé Alice, la mère de mon père.
    Elle habitait dans une petite ville, près de la route. Sa maison était moyenne, la cour était assez grande, donc je pouvais jouer au ballon et faire du vélo sans problème. Mais pas sur la route, y compris au bord de la route.
    Je detestais mémé Alice. A l' époque, elle devait avoir dans les 65 ans. Taille moyenne, lunettes en cul de bouteilles cheveux permanentés et colorés, le type même de la mère grand.
    Pour ma mère, c' était une mauvaise femme. Elle disait que c'était une voyante, qu'elle lisait dans les cartes pour se faire de l'argent. Ma mère disait aussi qu'elle était méchante. C' était vrai. Alors, pourquoi me laisser en vacances chez elle, pendant deux semaines ? J' en faisais des cauchemars depuis que mes parents me l'avaient annoncé.
    Je refusais de l' embrasser en arrivant, ce qui provoqua une dispute entre mon père et sa mère.
    Mes parents partirent, me laissant avec ma valise qui n'était pas en carton. Ma chambre se trouvait en haut. La salle de bain pareille.
    Après tout, c'était pas mal. Hormis que mémé Alice me criait dessus, genre : " Mange ce qu' il y a dans ton assiette !" ou encore : " Répond quand je te parle !" ou encore : " Fais un bisou à mémé !". J' en avais marre. Je jouais dans la cour, seul. Je m' ennuyais, voire m' emmerdait ferme pour être poli.
    Mais je fis la rencontre de Stéphanie, une belle blonde de quinze ans...

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  56. Ma chère Christine,
    Seriez vous malade ou rédigez vous la suite de vos aventures ? Merci.
    Amicalement
    Philippe

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  57. Ma chère Christine,
    j' espère que je ne vous ai pas choquée avec certaines de mes questions. Bon courage pour la suite de vos aventures déculottées.
    Amicalement
    Philippe

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  58. Chère Christine, c'est encore moi !
    Votre tante est souvent présente dans vos récits. Est-ce qu'elle avait envie de vous deculotter elle même pour vous donner une fessée ?
    Amicalement
    Philippe

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  59. CHEZ GRAND-MERE ALICE (suite)...
    Stéphanie ôta mes souvenirs de fessées déculottées pendant un moment, vu que j'étais hypnotisé par ses seins. Elle avait une poitrine généreuse caché par un soutien-gorge et un t-shirt. Le tout accompagné d'un short en jean et de baskets aux pieds.
    "90 B", me dit-elle, avec un sourire. Je ne comprenais rien à ce qu'elle me disait. Elle m' expliqua et je rougis. Cela la fit rire.
    Elle m' expliqua qu' elle venait voir ma grand mère pour ces dons de voyance. C' est moi qui rigolait. Cela ne la fit pas rire.
    Elle m' avoua qu' elle savait qui j' étais. Pas vraiment surpris par cette révélation, je la fis entrer dans la maison.
    C' était une fille de caractère, avec un nez de boxeur (dû à des bagarres entre filles) et un (cul !) postérieur bien bombé.
    Ma grand mère Alice fit son apparition. Elle invita Stéphanie à s' asseoir. Alice me fit signe de déguerpir. Je fis la moue mais Stéphanie lui dit que je pouvais rester en m' adressant un clin de œil. Ma mémé fut retisante mais accepta.
    Je restais debout pendant que ma mémé et Stéphanie faisait leurs affaires. Surtout ma mémé.
    J' appris que Stéphanie redoublait sa 3eme en ayant ratée son brevet des collèges. Ma mémé lui prédit que elle allait rencontrer un jeune homme d' ici peu. " Tu vas coucher", lui lança ma mémé, sérieusement. Surpris tous les deux, Stéphanie et moi nous nous regardames deux secondes puis Stéphanie demanda : " Qui est ce garçon ?
    - Je ne sais pas, lui dit ma mémé, catégoriquement. En tout cas,pas avec mon petit fils".
    Stéphanie et moi rougissions comme des tomates. Ma mémé avait vu ça dans la main de Stéphanie. Les lignes de la main. Tu parles ! Mais ma mémé ne faisait pas ça gratuitement. Il fallait payer. Stéphanie le savait très bien mais elle joua l' innocente. Ma mémé se renfrogna. Stéphanie n' avait pas d' argent sur elle.
    "Comment toujours !", râla ma mémé. Stéphanie baissa les yeux. Ma mémé le lui fit relever. " Tu ne sortira pas de chez moi sans m' avoir donné une pièce..." Mais Stéphanie n'avait rien. Les yeux de mémé lançaient des éclairs, mais visiblement Stéphanie n'avait pas peur.
    Comme ma mémé était méchante, elle ne laissa pas partir Stéphanie sans avoir eu quelque chose de sa part.
    Ma mémé n' était pas ce que l'on pourrait appeler une maquerelle, mais elle pouvait se servir des gens comme bon lui semblait...
    Je savais qu' une fessée pouvait se donner debout sur une chaise, j'en avais fait l' expérience en maternelle, mais plus régulièrement sur les genoux, c' était la méthode la plus appliquée. Mais avec ma mémé, c' était une autre histoire,que même Stéphanie n'aurait pas imaginé à son âge...
    A suivre...

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  60. CHEZ GRAND-MERE ALICE (suite)
    A première vue, Stéphanie ne méritait pas une fessée. Premièrement, elle n' avait rien fait de mal, et deuxièmement... elle ne la méritait pas. Mais, c' était un peu de ma faute. Je parlais souvent à mémé de mes histoires à l'école. Mais mémé était chez elle. Quand elle demanda à Stéphanie une nouvelle fois de l' argent, cette dernière ne pût que hausser les épaules de déni.
    Ma Mémé se leva. On aurait dit un bœuf prêt à foncer. " Tu vas payer quand même", lui rétorqua ma mémé. Elle se dirigea vers un vieux coffre en bois construit par mon père. Elle l'ouvrit et en sortit une baguette fine, mais pas si fine que ça.
    A première vue, Stéphanie ne se sentait pas rassurée. Moi non plus. Mémé ne me demanda pas de partir. "Allez, lève-toi, ma grande !
    - Pourquoi ?, demanda Stéphanie, intriguée.
    - Tu vas me payer autrement.
    - Demain, lui assura Stéphanie.
    - Non, je te connais. Allez lève-toi ! Sinon j'appelle les gendarmes.
    - Quoi ?! Ils vont bien rigoler.
    - Oui, j' en suis sûre".
    Ma mémé était sûre de elle. Je ne bougeait pas. Stéphanie et ma mémé s' affronterent du regard. Stéphanie aurait pû partir mais visiblement, pas lâche pour un sou, elle se leva et accepta les conditions de ma mémé.
    Pourtant il y avait un enfant de onze ans qui était présent. Ma mémé voulait faire mon éducation... (A suivre...)

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  61. CHEZ GRAND-MERE ALICE (suite)
    Je me demandais à un moment si mémé Alice et Stéphanie n' étaient pas complices.
    Mémé Alice devînt alors autoritaire. Elle demanda à Stéphanie de retirer son short et le haut. Autoritaire et perverse. Stéphanie obéit. En petite tenue maintenant, Stéphanie devînt quelque peu livide. Elle essaya de paraître "cool" mais visiblement, cela ne marcha pas.
    Mémé Alice lui demanda d' approcher, ce qu'elle fit sans plus attendre. Stéphanie me faisait de l'effet. A onze ans, ce n'est pas tous les jours que l'on voit une fille à moitié nue. Mémé Alice, la trique dans la main droite, telle une directrice de prison, ordonna à Stéphanie de baisser sa culotte. Stéphanie protesta : "Quoi ? Mais il y a votre petit-fils !!
    - Et alors ? Aurais-tu honte ? Tu es une crevarde, lança ma mémé à Stéphanie, comme un cracha. Comme ça il verra ce que je fais au genre de fille que tu es !"
    Stéphanie, la mine boudeuse, répliqua : " C' est moi qui pourrait appeler les gendarmes. Pour maltraitance, par exemple. Qu' en dîtes-vous ?
    - Tu peux rajouter prostitution, espèce de crevarde, petite traînée..."
    Le langage de ma mémé ne me choquait pas vraiment, car je ne comprenais pas vraiment le sens. En tout cas, elle avait pris le dessus sur Stéphanie. Cette dernière baissa sa culotte sous les fesses.
    Mémé Alice lui ordonna de mettre les mains sur la table de la cuisine. Ce qui elle fit.
    Stéphanie, tête baissée, attendait le premier coup. Qui arriva. Postée derrière elle, mémé Alice lui donna douze coups de trique.
    Les fesses de Stéphanie étaient zébrées par les coups. Stéphanie, courageuse, ne pleurait pas. Elle avait serré les dents pour ne pas crier. Je l' admirais. Plus que ses seins.
    Je disais que mémé Alice était méchante.
    Elle était plus que ça. Je n' avais pas fait dans ma culotte, ce qui me rassurait.
    Stéphanie remit sa culotte, regarda ma mémé avec dédain. Le pire qui aurait pu se passer, c'est que Stéphanie dévoile ses seins à la demande de ma mémé. Mais non...
    C' est moi qui lui demanda une demi heure plus tard, chez elle, avec timidité et enthousiasme.

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  62. Chère Christine, chers lecteurs,
    J'espère que cela vous plaît. Dîtes moi si la fessée à la trique vous paraît sensée. Et mes autres récits aussi... Il est vrai que je suis plus témoin que fessé. Je n'en tire pas de gloire, rassurez vous.
    Amicalement
    Philippe

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  63. Bonjour Christine,
    Comment allez vous ? Mes récits, pour le moment sont au point mort. Je suis un peu déçu que vous n' ayez pas laisser de commentaires à mes récits et à mes questions.
    Amicalement
    Philippe

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  64. Ma chère Christine, j' ai relu quelques récits de l' année 2021 et y laissé quelques commentaires. Des situations dramatiques et rougissantes où vos sœurs jouent les voyeuses. Quelle honte mais quel plaisir aussi pour elles !!! Votre mère descend très bien votre culotte, je trouve... Et vous portez des jupes courtes que je trouve très affriolantes. Voilà. Merci encore de publier mes récits.
    Affectueusement
    Philippe

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  65. J aime bien les récits de Philippe, nonobstant, j espère une publication de Christine. J ai relu avec délectation les mésaventures de Christine 23, nov 2014 par Le regretté Dominique et je rêve toujours d une nouvelle fessee publique de notre Christinette devant ses sœurs, ce qui s est déjà produit plusieurs fois, voire devant les deux chipies. Elle pourrait par exemple avoir craqué après de nouvelles moqueries, se battre avec l une des deux, lui casser son collier ou sa chaîne, ce qui pourrait valoir à notre petite chérie une fessee au domicile de sa victime devant ses parents et pourquoi un frère plus âgé ou plus jeune . Mais voilà que je me mets moi aussi à envisager un scénario. Après tout pourquoi pas si cela peut donner des idées à notre chère Christine . Bien sympathiquement. Serge

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  66. Ma chère Christine,
    Avant d'avoir de vos nouvelles, je vous informe que mon prochain récit s' intitulera "Jennifer".
    Amicalement
    Philippe

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  67. RECIT 7 : L' HORRIBLE FESSÉE (ou LE VILAIN PETIT VOYEUR)
    Je l'ai déjà dit, mais Christine n' est pas la seule à avoir reçu des fessées à l'âge de quinze ans.
    L' année où je redoublais ma sixième (moi aussi Christine j'ai redoublé), mes parents m' envoyèrent cet été-la chez une vieille tante bigote, une rousse aux cheveux décolorés, cul-de-jatte, aux lunettes aux vers en cul de bouteilles. C'était une vieille cousine de ma mère, qui n' arrêtait pas de parler. Elle ne me faisait pas peur mais à douze ans, j'étais encore bien sensible.
    Seule consolation, Séverine, une belle brune de quinze ans, bientôt seize, avec des 🍈 melons bien fermes et mûrs en guise de seins. Après Stéphanie, Séverine devenait mon deuxième coup de coeur mammaire. Elle voulait devenir secrétaire et allait passer l'année prochaine son BEP.
    Séverine était une petite cousine par alliance que je ne connaissais nullement.
    Bien timide devant elle, je jetais des coups d' œil furtif sur son décolleté arrondi. J' en rougis.
    Séverine me prit sous son aile, ce qui me convenait parfaitement. Nous jouions aux cartes, nous nous Balladions dans la campagne avec les avertissements strictes de la tante Nicole.
    Un soir, il devait être dans les 23H, Séverine m' invita à descendre au salon pour regarder un film d'horreur. Étonné devant cette proposition, j' acceptais avec précipitation sans réfléchir. Séverine me fit signe de ne pas faire de bruit en descendant l'escalier. À cette époque, on pouvait regarder le samedi soir un film d'horreur sur canal+. J' avais douze ans et le film interdit aux moins de treize ans. Et encore... Un film de morts vivants, je crois.
    Séverine prenait des risques en faisant cela. J' étais heureux. Il est vrai que le film faisait peur, mais Séverine à côté de moi, en culotte et t-shirt me rassurait nettement.
    Seul hic, le son était un peu trop fort. Ce qui réveilla tante Nicole qui descendit en râlant. " Qu'est ce que ça veut dire ? Vous n'êtes pas au lit ? C'est quoi que vous regardez ?" Séverine éteignit la télé et tous les deux nous nous retrouvames assis devant une tante Nicole terrifiante dans la pénombre. " Séverine, c'est toi qui a eu l'idée ?
    - Oui ma tante, répondit Séverine, sans se démonter.
    - Cela m' étonne pas. Faire voir ces horreurs à ce gamin... Tu n'as pas honte ?
    - Si, ma tante. J'ai pas réfléchi.
    - M' étonne pas de toi. Au lit, tous les deux. On en reparle demain matin, Séverine. Il est trop tard, ce soir pour régler ça !"
    La tante Nicole avait dit ça d' un ton rude.
    Séverine et moi remontions dans nos chambres sans dire un mot. J'avais peur de la suite. Mais c'était Séverine qui avait été avertie, pas moi. Je me couchais dans mon lit en tremblant...
    A suivre...

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  68. Ma chère Christine,
    Avant de reprendre mon récit, j' aimerai de vos nouvelles et quelques commentaires de votre part. Merci
    Amicalement
    Philippe

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  69. L' HORRIBLE FESSÉE (suite)...
    Cette nuit-là, je ne dormais pas bien du tout. Peuplé de cauchemars, mon sommeil en prit un coup. Je pensais à Séverine, à la tante Nicole... Je me tournais et retournais dans mon lit. Et puis, une envie de faire pipi arriva. Hors de question de faire pipi au lit ! Je me levais et sortit de la chambre pour aller aux toilettes, au fond du couloir. Je ne fis pas de bruit, et m' assit même sur les toilettes comme une fille. Entre nous, je me voyais mal debout, tremblant des genoux.
    Je rejoignai la chambre et me recouchait.
    Le sommeil ne se fit pas attendre.
    Je rêvais de Séverine et de sa poitrine plantureuse...
    Il devait être 8H quand j'entendis parler fort dans la chambre d' à côté, celle de Séverine. Tante Nicole était déjà sur le pied de guerre. Je me levais discrètement et sortit de la chambre pareillement. Je longeais le mur et fit face à la porte de la chambre de Séverine. La tante Nicole haussait le ton : " Tu n'as pas honte de montrer ses horreurs à ce gamin ?". La discussion reprit où elle s'était arrêtée.
    Je me baissais pour regarder par le trou de la serrure, parfaitement dégagé. Séverine était encore dans son lit tandis que tante Nicole la sermonnait copieusement de sa hauteur, près du lit.
    Séverine avait remonté les draps jusqu'à son menton, terrifiée par l' entrée matinale de sa tante. Celle-ci agita son doigt en sermonant Séverine, toujours d' un ton irritable. J'en avais presque peur. Mais l' envie de faire pipi ne vint pas, alors je continuais de regarder d'un œil voyeur.
    Tante Nicole ordonna à Séverine de se lever tout de suite. Séverine, encore endormie et chamboulée par cette apparition surprise, refusa. Tante Nicole de sa hauteur, gesticulant, levant les bras au ciel et sermonant une nouvelle fois Séverine. " Tu crois que tu vas t' en tirer comme ça ? Allez, hop ! Debout !
    - Mais tata... Je..., tenta de raisonner sa tante, mais rien ne fit.
    - Il n'y a pas de mais qui tienne ! C'est la dernière fois que je te le dis !
    - Mais...
    - Mais quoi ?
    - Je suis toute nue, avoua timidement et honteusement Séverine que sa déclaration me parvint jusqu'à moi.
    Ce fut une surprise pour moi. Pas pour tante Nicole, qui manifestement s'en fichait. Elle tira un coup sec sur les draps et le corps dénudé de Séverine apparu comme par magie.
    Séverine cria de surprise. Elle se couvrit la poitrine de ses mains oubliant sa toison pubienne.
    Excité, ému, embarrassé, j'étais scotché à la serrure. Tante Nicole lui ordonna de se retourner. Séverine obéit sans attendre, se mettant à plat ventre.
    Les fessées déculottées (ou cul nu) se donne logiquement sur les genoux. Mais là encore, j' en appris des belles...
    Malgré son handicap, tante Nicole resta debout, se pencha un peu et commença à fesser vaillamment les jumelles quelques peu bronzées de Séverine.
    Elle se servait de ses deux mains pour fesser. La droite puis la gauche. La gauche puis la droite. Les fesses de Séverine n'étaient pas épargnées, pas de jalouses.
    Séverine cria sans retenu, ne se préoccupant pas que je pouvais entendre.
    J'entendais et je voyais... (A suivre...)

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  70. UNE FESSÉE QUI RÉCHAUFFE (suite)...
    Tétanisé, les idées remises en place depuis quelques minutes dans mon cerveau, je tentais de m' expliquer, en vain. Madame Pradel commença son serment, débout, devant moi. " Mais qu'est-ce qui t' a pris de faire ça ? Hein ? Tu n'écoutes donc pas ce que l'on te dit ?C'était clair et net, non ?"
    Que répondre à ça ? Bien sûr que c'était clair et net et pourtant je l'avais fait. Ma seule défense fût de dire : " Je suis désolé madame Pradel". Forcément, cela la fit sourire. Pas un sourire de compassion, plutôt un sourire de méchanceté. Je baissais les yeux, serrait les fesses...
    Une désobéissance comme ça je le savais, c' était la fessée. J'étais en jogging hiver qui me tenait chaud et madame Pradel fixait sur moi des yeux brûlants.
    Elle sortit de la classe et revînt une minute plus tard avec madame Leclerc. Heureusement, pas d'enfants avec eux.
    Madame Pradel déplaça sa chaise de bureau, s' assit et me demanda d'approcher. Ce que je fis sans attendre.
    Elle me demanda de baisser mon jogging immédiatement sinon madame Leclerc irait chercher toute la classe. Les jambes tremblantes, les genoux claquant, j' obéis devant ce terrible dilemme. Je baissais mon jogging faisant découvrir mon slip blanc. Madame Pradel m' attira sur ses genoux sans attendre. Sans attendre non plus, et curieusement, elle entama la fessée sans m' avoir déculottée.
    La tête droite, les mains au plancher, les dents serrées, madame Pradel entreprit de me tanner les fesses avec des claques de fond de culotte. Même avec mon slip, le résultat était le même. Je me retenais de crier ou de pleurer mais pas facile. Je me demandais si madame Pradel allait me baisser la mon slip après ce que j'avais fait...
    Au bout de cinq minutes environ, j'avais les fesses en feu 🔥 même avec mon slip.
    Je relevais la tête par curiosité pour voir si mon slip était toujours là. Oui !!!

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    1. Voilà un récit bien mené. On a hâte de lire la suite. Est-ce que Madame Pradel agira jusqu'au bout ? Ou la directrice voudra-t-elle y mettre sa couche ?

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  71. LA FESSÉE QUI RÉCHAUFFE (suite)...
    Oui !!! Mon slip était encore sur mes fesses. Pourtant, même avec cette protection, mes fesses dégustaient.
    Madame Pradel visiblement gardait la cadence et cela ne la gênait pas de garder mon slip. La tête basse, les yeux rivés au parquet, je commençais sérieusement à supplier. Madame Leclerc était présente, invitée de madame Pradel. Celle-ci decida de commenter : " Quand je dis quelque chose, je veux que l'on m' écoute. C' est clair jeune homme ? Est-ce que c'est clair ?
    - Oui madame, je réussis à dire. Oui madame Pradel".
    Était-ce suffisant pour la faire arrêter ? Jouer les petits martyres qui se mettent à genoux c' est pas mon truc mais dans ce genre de cas...
    Cinq minutes plus tard, madame Pradel stoppa la fessée. J'en fus surpris et heureux à la fois. Madame Pradel s' adressa à moi " Tu me copieras 200 fois : " Je dois obéir à la directrice". Tu as compris ?
    - Oui madame.
    - Combien de fois ?
    - 200 fois.
    - Quoi donc ?
    - Je dois obéir à la directrice.
    - Bien. Madame Leclerc, quelques commentaires ?
    - Personnellement, je lui aurais baisser le slip. Rien que pour lui apprendre à cette tête en l'air de bien réfléchir."
    Madame Leclerc, mon institutrice, me choqua sur le coup. J'avais la chaire de poule, je serrais les fesses...
    Madame Pradel reprit : " Une fessée cul nu ? Oui, pourquoi pas... Mais vu que je lui donne une punition qu' il fera bien entendu, je pense que cela suffit. Par contre, si ce jeune homme ne fait pas sa punition, là par contre, demain matin, il aura droit à une fessée déculottée mémorable. Je peux vous le dire !".
    Tétanisé par ces révélations, j'avais envie de faire pipi. Madame Pradel me remit une dizaine de claques sur mes fesses protégées.
    Elle me remit sur mes pieds et moi je remis mon jogging correctement, les fesses en feu 🔥. Qu'est ce que cela aurait été si elle m' avait baissé
    le slip ?
    Je sortis de la classe sans regarder madame Pradel ni madame Leclerc.
    Je repris mon blouson et sortit dans le froid hivernal. J'avais chaud aux fesses même avec le froid qui faisait...
    FIN

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  72. Quelques commentaires...
    Pendant que j'ecrivais mes récits (merci beaucoup Christine de me laisser utiliser votre blog), j'ai relu VOS récits. Eh oui...
    Il faut avoir de l'audace pour raconter vos aventures de déculottées.
    Je n'ai pas compté combien de fessées vous avez reçu mais sûrement une bonne cinquantaine.
    Madame Spaak a eu la main ✋ habile et efficace. Pas de chichi, on baisse la culotte pour une fessée déculottée mémorable autant que possible. Il est vrai que si on garde la culotte, la fessée déculottée n'est plus la même.
    Au début, vous avez les fesses blanches comme de la crème fraîche, et puis avec les claques tonitruant es de votre mère, elle deviennent rouges comme des tomates.
    Madame Spaak avait cette sorte de tradition, de vous baisser la culotte pour vous donner la fessée. Une fessée déculottée. Une fessée cul nu pour moi !
    Mais il y a aussi vos sœurs, Aline et Diane, qui elles aussi ont en reçu, pas assez peut être, comparé à vous. L' aînée doit montrer l' exemple. Ok. Mais se moquer de sa grande sœur, est vraiment très humiliant. Encore plus, lorsque l' on reçoit la fessée déculottée devant elles. Mais vous avez aussi vu vos sœurs de prendre des déculottées par votre mère. Pas de jalouses.
    Une fois je vous ai demandé jusqu' où doit on baisser la culotte pour une fessée déculottée. Vous m' avez répondu : " A mi-cuisses, pour bien dégager la lune". Effectivement, cela me paraît judicieux. Je vous réponds tout dépend de la sévérité de la faute. Votre mère vous baissait la culotte quand vous étiez sur ses genoux
    Moi personnellement, je l'aurais baissé avant de passer sur les genoux maternels. C' est ce que l'on faisait pour moi. Chacun sa manière...
    D' autre part, vous avez été au coin, les fesses à l'air, à ne pas bouger. Honnêtement, j'ai connu ça. Humiliant si vous avez des personnes qui vous regardent. Vos fesses sont exposées comme dans un musée. " Voici les fesses bien rouges de Christine Spaak après une fessée déculottée mémorable !"
    Et puis, ce qui me plaît chez vous Christine, c'est cette "manie" de vous regarder les fesses dans le miroir après une fessée déculottée mémorable. Je vous ai avoué il y a peu que j'ai fait pareil quelques fois...
    Que ce soit dans la chambre, dans la cuisine, dans le salon ou même dehors, une fessée déculottée (cul nu pour moi) est un supplice. Un calvaire. Le pire des cas c'est quand il y a du public... Que l'on vous rabat la jupe et puis que l'on vous baisse la culotte doucement et lentement pour faire durer le suspense, il y a rien de pire.
    Bon fini de vous embêter, Christine...
    Bonne journée.
    Amicalement
    Philippe

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  73. De nouveau moi, Christine. Encore.
    Je voulais savoir si vous avez bien reçu mes commentaires. Je l'espère...
    Petite confession : je vous ai toujours dit que ma mère ne m'avait jamais fessé, ce qui est vrai. Par contre elle me flanquait des claques sur les cuisses quand j'étais en short. Et bien sûr des gifles... Voilà..
    Amicalement
    Philippe

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