mercredi 21 décembre 2011

Chronique d'un redoublement : 16. Quand le futur n'est pas conditionnel...

SUITE 15 

Effectivement, comme le suppose justement Dominique, dans son commentaire au précédent texte, les jours suivants furent l'occasion d'évocations de mes malheurs postérieurs, notamment à Tata qui passa le lendemain. La culotte jaune qui trônait dans le salon attirait l'oeil et, même entre nous, que ce soit mes soeurs, Maman ou moi, les regards que nous y posions ramenaient automatiquement à la scène de ma fessée. Il n'y avait même pas besoin de mots : un petit regard en douce de Diane, ou un petit geste du doigt pour désigner le vêtement décousu, et j'avais l'impression que toute la scène re-défilait dans nos têtes.
Ce n'est donc que trois jours plus tard que Maman se mit à faire de la couture. C'était un soir où nous étions tous au salon, et elle raccommoda avec patience et application la couture qui avait lâché, pendant que nous regardions avec mes soeurs un film à la télévision.
Quand l'émission fut terminée, elle donna à Aline les deux chemisiers dont elle avait dû recoudre un bouton, et lui demanda de les ranger dans le placard de leur chambre.
Elle fit de même pour moi avec la culotte jaune, en disant : "Tiens, Christine, j'ai recousu ta culotte. Tu peux la ranger dans le tiroir de ta commode. Et j'espère que cela ne se reproduira pas. La prochaine fois que je te donnerai la fessée, je ne te conseille pas d'essayer de m'empêcher de baisser ta culotte, sinon tes fesses le regretteront, tu peux me croire..."
Je suis remontée ranger la culotte et me mettre au lit avec un sentiment de honte et en même temps des images angoissantes dans la tête...


Maman avait bien dit : "La prochaine fois que je te donnerai la fessée", avec une forme affirmative, sans le moindre conditionnel... Et cela me perturbait profondément. Ce n'était pas : "Si tu n'es pas sage", ce n'était pas : "J'espère que tu ne recommenceras pas", ni une phrase comme : "Et que je ne t'y reprenne pas, sinon..."
Il n'y avait pas le moindre "sinon", pas d'hypothèse, pas même de "si", au contraire, la phrase était affirmative, édictée comme une évidence. C'était "la prochaine fois que je te donnerai la fessée", et donc une évidence, comme si cela tombait sous le sens. Je venais, trois jours avant, de recevoir une bonne volée, et déjà le langage maternel n'en retenait plus que le petit incident technique d'une couture qui avait lâché, pour se projeter dans l'avenir.
J'avais l'impression que Maman me disait : "Ma chérie, tu as reçu une bonne fessée, mais c'est dommage qu'il y ait eu cet incident. Tu verras, la prochaine sera encore plus réussie..."
Alors que, paradoxalement, trois jours auparavant, je m'étais endormie plutôt aisément et j'avais fait une nuit pleine, ce soir-là, je me suis tournée et retournée dans mon lit, en faisant de drôles de cauchemars éveillés.
Les phrases de Maman me revenaient sans cesse, me ramenant à mon triste sort d'ainée jouant les demoiselles, quand tout allait bien, mais pas encore assez grande, ni raisonnable pour imaginer ne plus encourir de punitions enfantines.
En réfléchissant calmement, j'arrivais à comprendre, je me doutais bien que j'y passerais encore, mais la formule maternelle affirmative avait été un choc. Elle semblait déjà tracer mon destin et me faisait prendre conscience que prochainement m'attendait une fessée, ma fessée, la prochaine, et qu'elle serait déculottée... 



Le lendemain matin, à côté de mon lit, quand je suis remontée du petit-déjeuner, Maman avait préparé les affaires à mettre, comme chaque jour. Elle avait sorti un chemisier, une petite robe d'été, et la culotte jaune, certainement parce que c'était la première sur la pile où je l'avais rangée la veille au soir. 
Il n'y avait certainement pas malice en la matière, mais en la voyant, j'ai frissonné. A contre coeur, je l'ai enfilée. Je me sentais toute chose. Je me suis mise devant ma glace et j'ai remonté ma robe, vérifiant que la couture sur le côté était bien recousue. Le miroir me renvoyait l'image d'une culotte bien protectrice, mais elle était associée à ma dernière fessée, celle où je n'avais pas réussi à la faire garder en place...





J'aimais ces culottes bien couvrantes, je m'y sentais comme à l'abri, mais elle, cette jaune raccommodée me faisait revivre la sensation de son glissement vers le bas, avant la dégelée maternelle magistrale...
Et puis, c'est à cause de cette culotte recousue que Maman m'avait plongée dans l'angoisse, me parlant déjà de ma prochaine fessée...
Oui, c'est idiot peut-être de réagir ainsi. Il est évident qu'une gamine ayant le défaut de mentir à tout bout de champ, et qui va être obligée de redoubler malgré une année déjà riche en fessées maternelles, ne peut croire qu'elle n'aura plus à venir sur les genoux de sa mère.
Mais, lorsque l'on vient, trois jours avant, de prendre une tannée mémorable, c'est dur d'accepter que la suivante, et combien d'autres, vous attendent...

J'avais envie de changer de culotte, d'en mettre une autre, d'aller cacher celle-là comme si elle était un objet porte-malheur, mais je craignais que Maman ne s'en aperçoive et devine mon trouble.
Je l'ai donc gardée, tout en y pensant tout au long de la journée. Je me suis même tenue à carreau, beaucoup plus que d'habitude, ne voulant pas risquer, ne serait-ce qu'une menace, qu'une allusion. Maman a dû penser que décidément sa bonne fessée m'avait bien calmée.
C'est vrai que nous partions le surlendemain pour deux semaines à la mer, et que j'avais envie que ces vacances soient le plus calme possible, du moins pour mon bas du dos, qui s'inquiétait surtout pour la rentrée de septembre.
Et effectivement, Christine fut exemplaire, pour le plus grand plaisir de Maman, dont sans le savoir, je justifiais le bien-fondé des méthodes. J'avais toujours en tête la phrase qui m'angoissait : "La prochaine fois que je te donnerai la fessée, Christine..." 
Mais j'avais l'ambition d'en retarder l'inéluctable échéance...

A SUIVRE

16 commentaires:

  1. Chère Christine,

    Je viens de lire la suite 15 et je suis très touché par votre petite attention à mon égard, en vous référant à mon commentaire sur la suite 14, dans cet épisode, cela me droit au cœur et j'en suis ravi.

    Ceci dit, on constate dans ce récit, tout l'impact symbolique que peut avoir ce petit bout d'étoffe exposé aux regards de tous, objet de moqueries pour vos sœurs, objet de délit pour votre mère pouvant alors réaffirmer sa détermination envers vos fesses et vous l'annonce sans ambages pour la prochaine déculottée (quasiment programmée dans son esprit) et se transforme en objet psychologiquement mortifiant pour notre narratrice.

    Dés lors, cette fameuse culotte jaune protégeant la pudeur de Christine, devient l'objet de ses pensées qui angoisse comme jamais, se projetant sur son avenir fessier qui lui semble bien noir et s'efforce alors de monter une image de bonne conduite exemplaire (pour gagner du temps comme à son habitude) mais qui conforte Maman dans l'exécution de sa mission éducative envers ses filles et en particulier, son aînée, et ça fonctionne, n'est ce pas chère conteuse ?

    Merci encore pour cette marque de sympathie,

    Amicalement, Dominique et désolé pour vos petites fesses, quoique....! Hihi....!

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  2. Je fais référence à votre commentaire, Dominique, car j'avais commencé à écrire une simple réponse, et j'ai préféré ensuite en faire un chapitre à part entière. Vous avez donc contribué à ce que je poursuive ma narration plus vite que prévu en développant mon ressenti durant ces trois jours.

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  3. Chère Christine,

    J'en déduis donc que ma réactivité, a favorisée votre inspiration pour le plus grand bonheur de vos lecteurs en cette fin d'année (bien muets en ce moment!) et je suis ravi d'avoir pu contribuer, sans aucune prétention, à l'élaboration de ce dernier et sur lequel j'ai rebondi avec grand plaisir, imaginant que ce commentaire a eu vos faveurs, puisque vous l'avez publier, ce dont je vous remercie.

    J'essayerais donc à l'avenir d'être le plus réactif possible pour motiver notre chère narratrice, comme Maman SPAAK savait si bien le faire, certes au détriment de ses petites fesses et dont la possibilité pour moi ou d'autres lecteurs n'est que virtuelle à ce jour.

    Désolé, chère Christine, de mon ingratitude envers vos rondeurs jumelles, mais vous en êtes la seule responsable par la qualité de vos récits et certains de vos travers (Oh ! Je raisonne comme Maman SPAAK), qui font de votre blog un ouvrage passionnant que je parcours sans aucune retenue, comme dans certaines situations, si vous voyez ce que je veux dire ?

    Amicalement, Dominique

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  4. Puis-je savoir pourquoi vous n,anez pas approuverm on commentaire?

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  5. A Dominique : Arrêtons les compliments à répétition. Je les apprécie, bien sûr, mais il n'est pas besoin de dire merci à mes mercis. Soyez donc, comme vous dites "le plus réactif possible". Allez-y, "rebondissez", surtout en ces moments où d'autres fidèles sont bien muets.
    Cordialement.
    Christine

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  6. A Cassandra : Si je n'ai pas approuvé votre commentaire, il devait y avoir une raison. Je ne sais même plus laquelle.
    Désolée, mais je "zappe" ce qui ne me plait pas, ou ce qui dérape, ou qui me semble déplacé. Point.
    J'avoue même que je "zappe" aussi de plus en plus les commentaires du genre "Oh, ça me rappelle qu'il m'est arrivé la même chose", et qui n'apportent rien.
    Et puis, et c'est ce qui fait mon charme, hihi... je fais ce que je veux, na !

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  7. Chère Christine,

    C'est noter, je me contenterais de 'rebondir'.

    D'ailleurs, je pense que l'impertinence de petite fille « je fais ce que je veux, na ! » dans la réponse à Cassandra n'aurait pas laisser de marbre Maman SPAAK qui aurait réagit en vous rappelant les bonnes manières à sa façon, si vous voyez ce je veux dire ! Hihi....

    Mais l'insolence de notre conteuse, est l'un de ses travers, qui ont valu de nombreux déboires à ses rondeurs jumelles, mais dont elle ne peux se défaire, ce qui fait son charme et ravis ses lecteurs.

    Amicalement, Dominique

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  8. Rebondissez, analysez, donnez des sujets de réflexion, de prolongement de mes textes, d'approfondissement de mon vécu, de mes ressentis, c'est cela qui me plait dans les commentaires, vous l'avez bien compris, c'est cela qui me pousse à poursuivre. Ce n'est pas que je n'aime pas les merci, mais c'est juste que lorsque je consulte mes messages et que je vois "Nouveau commentaire de...", je l'ouvre en imaginant autre chose qu'un merci à mon merci.
    OK, je veux bien admettre que je suis exigeante, que cela m'amuse de jouer les capricieuses, et surtout d'être libre de faire ce que je veux sur ce blog. Avec le gros avantage que je n'ai plus à craindre les foudres maternelles, hihi....

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  9. Chère Christine,

    J'ai bien compris le message et j'ai même la sensation de mettre fait gentiment réprimander (sans conséquence pour mes fesses fort heureusement..., hihi..) comme savait si bien le faire Maman.

    Votre exigence est parfaitement louable et celle-ci, comme on dit, me tire vers le haut dans l'élaboration de mes commentaires ou des récits que je vous livrent, afin de rester fidèle à l'idéologie de votre blog et vous donner l'occasion de rebondir, tout comme moi, d'ailleurs je vais me pencher sur les 'sujets de réflexion' que je pourrais vous fournir et qui sait vous inspirer peut être de nouveaux thèmes.

    Le coté 'capricieuse' que vous évoquez n'est aujourd'hui que le reflet de votre liberté, libérée du « joug maternelle » et qui vous permet d'agir à votre guise, sans l'angoisse et la crainte d'une bonne fessée, qui a pourtant fait ses preuves par le passé et fait grandir notre chère narratrice, n'est ce pas ? Hihi...

    Cordialement et à bientôt,

    Amicalement, Dominique (lecteur plus que fidèle, en ce moment)

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  10. Chère Christine,

    J'imagine que vous avez pris quelques jours de congé, durant ces fêtes de fin d'année et je vous prie de bien vouloir accepter mes vœux les plus sincères pour 2012, en toute simplicité.

    Néanmoins cette absence prolongée certainement méritée (comme vos fessées) ma privé, ainsi que d'autres, d'un moment de lecture nourrissant ma réflexion et mon envie d'apporter des commentaires à vos écrits.

    Amicalement, Dominique

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  11. Bonjour Christine.

    Je vous présente tous mes voeux pour 2012. La santé d'abord, et que cette année nouvelle puisse vous apporter tout ce que vous désirez. Et en ce tout début d'année, soyons fous : si vous le permettez, je vous fais de grosses bises.

    Ceci n'est pas un souhait, c'est, j'en suis persuadé, une réalité : en 2012, vous nous épaterez par vos récits, tout comme les années précédentes.

    Mon souhait vis-à-vis de votre blog pour cette année nouvelle : que vous nous racontiez de temps en temps quelques fessées maternelles infligées à Alice et surtout à Diane, comme vous le faites parfois. Et pourquoi pas (cela s'est-il produit ?) des fessées de tata Jacqueline ? Sans doute pas à vous, chère Christine, car vous dites que vous étiez sa chouchoute. Mais peut-être a-t-elle parfois sévi avec vos deux soeurs ?

    Amicalement, à bientôt.
    Fesseusement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  12. ETE 64 CHAUD CHAUD CHAUD / LA SUITE
    12 E PARTIE : LE BILAN

    Après tous mes récits que je vous contais depuis août dernier, je souhaiterais vous faire un petit bilan.

    C'est ma cousine Annie (12 ans au moment des faits) qui fermait le ban, c'est elle qui avait reçu les deux dernières fessées. Quelques heures plus tard, maman, comme elle le faisait en pareil cas avec mon frère et moi, eut une discussion avec sa nièce. Elle lui dit que, si elle se tenait tranquille jusqu'à la fin des vacances, il n'y aurait pas de problème, et qu'elle ne dirait rien à ses parents (tata Marie-Jeanne et tonton Jean-Paul). "Connaissant la sévérité de ta maman, dit ma mère, elle serait peut-être tentée d'en remettre une couche, je pense que je t'ai assez punie comme ça." Puis elle s'adressa à Damien et moi-même : "C'est bien compris, les garçons, on ne dit rien à tata ! On ne fait pas punir Annie une deuxième fois ! Vous ne dites rien à vos cousins (les deux frères d'Annie) non plus ! Surtout toi, Damien, qui as du mal à tenir ta langue ! Si j'apprends que tu as parlé, crois-moi, tu le regretteras !" Maman avait agité sa main droite en avant, nous en avions compris la signification.

    Nous étions fin juillet, papa nous avait rejoints, maman le mit au courant de toutes les punitions corporelles qu'elle avait dû mettre en place. Papa était d'accord pour ne rien dire aux parents d'Annie, si elle devenait sage... ce qui fut le cas !

    A SUIVRE

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  13. ETE 64 CHAUD CHAUD CHAUD / LA SUITE
    13 E PARTIE : SUITE ET FIN DU BILAN

    Ce mois de juillet 1964, particulièrement cuisant, nous a permis d'assister à trois "grandes premières", dont nous nous serions bien passés :

    - 1) Pas moins de sept fessées ont été distribuées par notre maman ou tata sévère : deux pour mon frère Damien (9 ans), deux pour moi (11 ans) et trois rien que pour ma cousine Annie (12 ans). Habituellement, c'était à peu près la quantité de fessées infligées par maman sur un seul enfant, mais sur un an !

    - 2) Ces sept fessées étaient toutes déculottées. Jusqu'alors, Damien et moi étions surtout déculottés en hiver, quand nous étions en pantalon. Et encore, le slip était baissé peut-être environ une fois sur deux. Maman, peut-être sous l'influence de tata Marie-Jeanne, avait donc passé la vitesse supérieure. Le problème pour nous, c'est qu'elle avait maintenue sa vitesse : je crois que 99% des fessées suivantes nous étaient données "cul nu", même si nous étions en short. Mon petit frère (12 ans de moins que moi, né en 1965) n'a quasiment connu que des fessées précédées d'un déculottage total.

    - 3) L'autre grande première, c'était évidemment de voir maman donner des fessées à une fille (nous n'étions que des garçons à la maison) ! Au cours de ces trois fessées déculottées infligées à Annie (on pourrait presque dire quatre, car sa dernière fessée comptait double, c'étaient deux fessées à la suite), nous avons pu constaté que notre cousine n'a bénéficié d'aucun traitement de faveur : la longueur des fessées, la force de frappe, la scène devant les cousins et avec la porte du mobil-home ouverte... Maman était en quelque sorte, bien avant l'heure, pour... l'égalité des sexes !

    FIN DE CET ETE 64 CHAUD CHAUD CHAUD

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  14. Chère Christine,

    Sincèrement, Christine, plus de 10 jours sans aucune composition, ni réaction aux commentaires de vos fidèles lecteurs est une preuve évidente d'inconstance et de laisser aller dans votre livrée, ce à quoi Maman SPAAK aurait sût remédier avec fermeté, vous déculottant pour une bonne fessée tout à fait méritée.

    N'est ce pas, chère conteuse ?

    Amicalement, Dominique (qui remplacerais volontiers Maman SPAAK, hihi....)

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  15. Coucou me revoilou. Une dizaine de jours de vacances, ça fait du bien, surtout au soleil. De retour, je lis avec plaisir les différents commentaires et j'espère que cela augure bien de l'année 2012.
    J'avoue, comme certains insistent sur ce point, que mon absence sans prévenir n'est pas très gentille... Et que cela ne se serait pas passé ainsi du temps de ma pré-adolescence...
    Il y aurait eu de la fessée dans l'air, je veux bien l'admettre...
    Je vais essayer de me rattraper en poursuivant mes récits.
    Bonne, heureuse et "chaleureuse" année à tous.
    Christine

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  16. Chère Christine,

    Très heureux de vous retrouver et ravi pour vous de ses vacances bienfaisantes, j'apprécie également votre aveu d'indélicatesse envers vos lecteurs sur cette absence « faute avouée à moitié pardonnée », même si dans ce cas on retrouve la Christine jouant sur la carte du temps, préférant différer l'annonce de sa faute et prendre le risque d'une sanction plus intense « aujourd'hui virtuelle, mais très cuisante lors de son adolescence ».

    Petit clin œil amical d'un de vos lecteurs qui a profité de ce temps, pour relire certains de vos récits (faute de grives, on mange des merles) et les commenter, afin de susciter votre inspiration et entretenir votre motivation, à poursuivre l'élaboration de ce blog captivant.

    Je vous souhaite, à nouveau, une bonne et 'très chaleureuse' année 2012, me permettant tout comme « Louis » d'être un peu fou et vous faire de grosses bises aussi amicales, que sincères pour celle-ci.

    Au plaisir de vous lire,

    Amicalement, Dominique

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