samedi 19 mai 2018

Chronique d'un redoublement : 129. Quand Mamie apprend tout et donne raison à Maman

SUITE 128

Finalement, après deux ou trois cauchemars, je m'étais enfin pleinement endormie et ne me réveillai qu'à 8 h 15, du fait du bruit fait par les petites dans la chambre d'à côté. Je restai encore au lit une petite demi-heure appréciant de ne pas devoir aller au collège, mais pas très pressée d'aller retrouver mes soeurs et Maman.
Cette dernière m'appela pour le petit-déjeuner, et je descendis en tentant d'être la plus naturelle possible, pour ne pas subir de remarques ou d'allusions.
Je sentais bien les regards insistants et curieux des petites à mon égard, comme après ou avant chaque fessée, mais je me gardai bien de manifester un quelconque trouble...
Maman nous a demandé de nous occuper jusqu'à midi, en rangeant nos affaires, pendant qu'elle allait faire une grande lessive, histoire de nettoyer nos tenues d'école et de les mettre dans l'armoire pour passer aux habits d'été.

Les petites restèrent un bon bout de temps dans le jardin, pendant que je demeurai dans ma chambre, mettant un peu d'ordre dans mes livres, et remisant dans un tiroir mes cahiers, bulletins et contrôles. Je les regardai un instant, mais préférai vite les
mettre hors de ma vue, tant certains devoirs ou bulletins de colle, qui nous étaient tous rendus à la fin de l'année scolaire, me ramenaient en mémoire des souvenirs pénibles, pour ne pas dire peu glorieux pour mon bas du dos...


Je me mis à ranger livres, cahiers, bulletins et autres contrôles...
Je retrouvai ainsi notamment mes bulletins de colle,
et ne m'attardai guère à les relire, car chacun me faisait revenir
des souvenirs peu glorieux pour mon bas du dos,
et je frissonnais en pensant aux fessées qu'ils m'avaient valu...

Au déjeuner, Maman nous prévint que l'on commencerait les devoirs de vacances dès le lendemain, notamment pour Aline et moi. Je restai une fois encore stoïque, préférant de pas protester, ni risquer une répartie maternelle rappelant mes exploits et ses promesses...
Mamie, qui devait passer, arriva alors que nous allions sortir de table. Maman envoya les petites jouer dans le jardin, et fit chauffer de l'eau pour prendre le café avec sa mère, me demandant de débarrasser la table...
Puis, elles allèrent s'installer au salon
où elles commencèrent à papoter. Je débarrassai en veillant à ne pas faire de bruit pour bien entendre la conversation. Mamie dit à Maman qu'elle devait être soulagée que l'année scolaire soit finie.
Elle répondit que oui, "car cette année aura été pénible jusqu'au dernier jour... Surtout à cause de Christine..."

Mamie rétorqua : "Mais, elle passe sans problème en Quatrième. L'année de redoublement n'aura pas été inutile"!
Maman répliqua : "Heureusement quand même, elle n'allait pas tripler, voyons ! Mais question discipline, elle m'en aura fait voir jusqu'au dernier jour. Au point qu'elle a fini l'année comme elle l'avait commencée... Par une fessée magistrale, une bonne déculottée dont elle se souviendra longtemps..."


Maman était bien décidée à tout raconter à Mamie.
Elle sut vite que j'avais fini l'année scolaire,
comme je l'avais commencée...
Sur les genoux maternels, culotte baissée, les fesses à l'air,
pour une tannée à rebondissements, somme toute bien méritée...
 
Mamie voulut savoir le fin mot de l'histoire, et Maman lui expliqua que j'avais tout bonnement imité sa signature. Et que j'avais même réussi à duper la prof qui n'avait pas vu le subterfuge...
Mamie, sur ce coup-là, comme Tata, ne pouvait guère me défendre, et admit : "Oui, là je dois dire que je comprends que tu aies sévi. Rien de telle en effet qu'une bonne fessée pour lui faire comprendre qu'il y a des limites à ne pas dépasser..."

Maman compléta son récit : "Mais, cette fois, Christine m'a donné du fil à retordre. Car, avant même qu'elle ne finisse par avouer, Christine avait continué à me mentir effrontément, en essayant de me faire croire que c'était moi qui avais signé sa copie...  Là, je dois dire que je ne lui ai pas laissé le temps de réfléchir, et elle s'est prise une première déculottée qui l'a calmée et faite revenir à une meilleure attitude... Elle a enfin admis son entourloupe, en m'avouant qu'elle avait en effet imité ma signature pour une raison bien simple : c'était qu'elle avait eu peur de me montrer son 5 sur 20 et que je lui donne la fessée..."
Mamie, souvent compatissante à mon égard, semblait cette fois consciente que l'aînée de ses petites filles avait vraiment franchi la ligne jaune, et elle rassura sa fille : "Ma pauvre, elle t'en aura fait voir. Vraiment, elle a exagéré, mais tu as bien fait d'agir. Christine n'aura eu que ce qu'elle méritait. Pour s'éviter une fessée, elle en aura pris deux bonnes, ça devrait la calmer en effet..."  
Maman tint toutefois à préciser : "Enfin, réellement, pour tout te dire, Christine en a pris trois, car après la première déculottée pour son mensonge éhonté, puis la tannée pour avoir imité ma signature, je l'ai envoyée au coin, histoire de la laisser mijoter et réfléchir, avant de lui rougir encore un peu les fesses pour rattraper la fessée qu'elle aurait dû avoir si elle m'avait montré sa copie le jour dit... C'était juste pour le principe, histoire de lui faire regretter de m'avoir menti dès le premier soir".


Maman expliqua à Mamie comment elle m'avait envoyée au coin,
pour méditer sur ma conduite après ma deuxième fessée...
Et comment j'avais eu droit à une ultime tournée...

Mamie eut plus de mal à soutenir sa fille sur cette dernière partie de mes mésaventures fessières. "Quand même, là, tu n'y es pas allée de main morte. Ah, ma pauvre Christine, j'espère qu'elle aura compris"
Maman la rassura ; "Oh, tu sais, elle s'en est déjà remise. Mademoiselle a la peau dure à force de se la faire claquer pour ses bêtises. Elle a même de la chance que je ne lui ai pas flanquer sa volée devant ses soeurs. Elle aurait eu encore plus honte. Maintenant j'espère qu'elle a compris qu'elle n'a pas intérêt à recommencer... Sinon, elle sait ce qui l'attendra..."
J'avais fini de ranger la cuisine, mais étais restée à portée d'oreille de ce dialogue.
Maman, qui voulait ramener des petits gâteaux pour Mamie, ressortit du salon, me découvrant visiblement aux aguets.
"Tiens, tu es encore là ? J'étais en train de raconter tes exploits à ta grand-mère. Viens donc lui dire que tu ne recommenceras plus", lança Maman en me désignant le salon.

Je rentrai dans la pièce, toute penaude, avec une petite mine, prête à éclater en sanglots. "Ma pauvre chérie, quelle idée tu as eue de croire que tu pouvais imiter la signature de ta mère et ne pas te faire prendre... Les Mamans, tu sais, ça devine toujours tout à la fin... Qu'est-ce qui t'a donc pris, franchement ? C'était si difficile de montrer ta copie à Maman ?" me demanda Mamie, l'air désolé et avec un petit sourire compatissant.
Je balbutiai : "Euh, mais, euh..." mais n'arrivai à rien dire. Maman haussa la voix : "Réponds donc à Mamie. Pourquoi ne m'as-tu pas montré ta copie ?"
Je rétorquai : "Bah, tu sais bien, M'man. Je ne voulais pas que tu me, euh, enfin que, que tu me grondes..."
Mamie s'amusa de mon hésitation, de ma réponse indirecte : "Et comment elle gronde Maman, dis voir ? Allez, on est entre nous, on ne le répétera pas. Surtout que je crois savoir",  dit-elle en ponctuant sa phrase d'un petit geste significatif de la main, paume ouverte...


Mamie, habituellement compatissante, donnait cette fois raison à Maman.
Elle tint à ce que je lui explique comment j'en étais arrivée à faire un faux...
J'avais du mal à l'avouer, mais je dus reconnaître en balbutiant
que j'avais agi par crainte d'une fessée maternelle...
Mauvais pari, car à l'arrivée, j'avais reçu une triple déculottée...

Je baissai la tête, comme si j'étais coupable, comme si je craignais encore pour ma pauvre lune... Et je consentis à dire quand même : "Bah, oui, j'avais, euh, j'avais peur, euh, que Maman euh, bah, qu'elle me donne, euh, la fessée";
Maman me félicita presque d'avoir confirmé ses dires : "Eh oui, Christine, tu avais bien raison de craindre ma réaction... Tu sais bien qu'une mauvaise note ou une colle, ça fait fâcher Maman qui donne alors une bonne fessée bien méritée à sa grande fille, comme aux petites d'ailleurs..."
Je réussis à bloquer un sanglot, mais j'étais prête à pleurer. Mamie le ressentit et m'ouvrit les bras dans lesquels je vins me blottir. Elle me serra fort en disant : "Allez, c'est fini; Tu ne recommenceras plus ?"  Je répétai : "Ah, non, Mamie, non, non, non, jamais, c'est promis".
Mamie répondit : "Je l'espère pour toi, ma grande. Tu vois, si tu avais montré ta note, tu  aurais sûrement reçu une fessée, mais ce serait déjà oublié. Au lieu de cela, tu as vraiment fâché ta Maman et tu as pris trois déculottées au lieu d'une. C'est vraiment mal joué, ma pauvre chérie..."
Je ravalai encore un sanglot et Mamie me serra à nouveau fort dans ses bras, avant de se relever pour partir faire des courses. Elle proposa d'emmener les petites avec elle, et de repasser au parc un moment au retour. Maman accepta volontiers et appela Aline et Diane qui étaient dans le jardin. Aline pointa à la fenêtre, mais dit que Diane était rentrée. De fait, cette dernière arriva du couloir en expliquant qu'elle était remontée dans sa chambre. Personne n'y prêta attention, et elles partirent avec Mamie.
En réfléchissant, je constatai que nulle d'entre nous ne l'avait entendue rentrer... Je commençai à imaginer qu'elle avait peut-être espionné nos conversations... Cela m'inquiétait surtout que Maman n'avait caché aucun détail à sa mère, et que je me doutais bien que Diane n'aurait pas manqué de retenir tout ce qu'elle aurait entendu... 
Mais, si c'était le cas, je le saurais sûrement bien vite... Et cela ne prédisait rien de bon...


A SUIVRE

6 commentaires:

  1. Bonjour Christine.

    Voici un paragraphe que je qualifierai de transitoire. Comme prévu, Maman Spaak a tout raconté à sa mère sans occulter le moindre détail de ce douloureux après-midi vécu par notre Christinette.
    Comme prévu, Mamie donne entièrement raison à sa fille, en mettant toutefois un petit bémol sur la dernière déculottée, celle reçue pour la note de maths, qu'elle trouve un peu exagéré, car à retardement. Mais un petit imprévu risque de tout chambouler. Diane, la petite futée a réussi à regagner sa chambre sans que personne ne s'en aperçoive. Connaissant cette petite dernière, nul doute que ce n'est pas un hasard.
    En effet, à mon humble avis, notre petite coquine qui depuis la veille à tout entrepris pour avoir connaissance des faits qui se sont déroulés entre Maman et sa sœur aînée a réalisé que sa Maman profiterait de la visite de sa mère pour tout lui raconter et le fait de l'envoyer, elle et sa sœur Aline jouer dans le jardin était simplement une ruse pour les éloigner le plus loin possible de la conversation qu'elle allait avoir avec sa Mère.
    Malheureusement, notre Christinette n'a pas eu la présence d'esprit d'accompagner ses sœurettes dehors, ce qui aurait pu lui permettre d'anticiper tout déplacement intempestif à l'intérieur de la maison. Mais notre petite demoiselle a préféré rester pour assister à la conversation. Et voilà, maintenant elle devra faire face à des moqueries (voir même plus) de ses sœurs ; Diane, je pense, ne s'étant pas gênée pour avoir tous les détails des événements qui se sont déroulés la veille.
    Voilà Christine, mon premier commentaire sur ce nouveau paragraphe.

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  2. Dans la littérature médiévale, essentiellement orale, il arrive qu’un épisode du récit soit répété, afin de ménager la mémoire de l'orateur et l’attention de l’auditoire, mais aussi de lui rappeler telle ou telle péripétie, et souligner ainsi son importance. C’est en quelque sorte à ce procédé auquel vous recourez dans cet épisode, en faisant narrer par votre mère, à votre grand-mère, le menu de vos mésaventures de la veille, donnant à votre lectorat, qui pourtant les connaît, une nouvelle version de cette catastrophe ayant ponctué de la plus claquante manière votre année de redoublement.
    Nous ne tombons pas pour autant dans la ritournelle ou le ressassement, puisque cette fois les faits sont relatés selon le point de vue maternel. De plus, la présence d’une destinataire, qui les commente, met ces événements en perspective, et permet d’en mesurer l’objective gravité.
    En effet, votre grand-mère, pourtant ordinairement prompte à prendre votre défense, à tempérer la sévérité de votre mère, lui donne en l’occurrence pleinement raison : l’imitation d’une signature ne saurait bénéficier d’aucune indulgence.
    Tout au plus pourra-t-on relever la bienveillance de votre Mamie, quand elle émet quelques réserves sur la « dernière partie » de vos malheurs, sans que l’on sache très bien si sa désapprobation ne porte sur la troisième fessée ou sur la mise au coin.
    Pour conclure son discours, votre mère vous force à confesser votre attitude, et ses conséquences, face à votre grand-mère, ce que vous quittancez la mort dans l’âme, non sans recourir à des euphémismes et non sans balbutier force « euh », attestant votre gêne, tout comme quand vous avouez bien malgré vous, à l’une ou l’autre de vos camarades, que vous avez été fessée.
    Mamie, en aînée clémente, étreint la fautive, mais en juge impartiale, met en mots la mauvaise équation dans laquelle vous vous êtes vous-même fourvoyée : trois fessées au lieu d’une si vous vous étiez montrée honnête. C’est vraiment, selon ses dires, « mal joué », et encore une fois votre chronique prend des aspects de fable moralisante : « fessée mal esquivée ne profite jamais ».
    Votre mère mentionne tout de même sous quelle dimension ce terrible après-midi aurait pu se révéler pour vous pire encore : elle n’a pas attendu le retour de vos sœurs pour vous punir, ménageant ainsi votre honte et votre pudeur.
    Néanmoins, je ne sais si cet avantage vous demeurera entier, car, dans les dernières lignes de ce chapitre, le lecteur se doute que le récit de votre mère pourrait s’investir d’une fonction narrative, et vous causer encore d’autres embarras bien humiliants. En effet, seule Aline revenant du jardin, l’absence de Diane suscite des questionnements. Est-elle entrée sans se faire remarquer dans le salon, a-t-elle entendu de la bouche de votre mère les détails piquants de votre récente infortune ? Si tel est le cas, elle ne se fera pas faute de les divulguer, à ses amies comme aux vôtres (même si, en période de vacances, il lui sera plus difficile de les rencontrer, et même si ses indiscrétions lui ont déjà valu de douloureuses conséquences), jusqu’à cette mise au coin dont l’évocation envers vos rivales pourrait se révéler terriblement mortifiante.

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  3. Bonjour Christine, Je vois qu'il n'y a pas de bousculade dans les commentaires. Que se passe-t-il ? En tous cas je vais en profiter pour revenir un peu sur une petite mésaventure à ma sœur Sonia et à moi et qui nous a valu à toutes les deux une fessées mémorable de Maman. Il est vrai que nous l'avions bien mérité toutes les deux car nous avions failli mettre le feu dans la cuisine. c'est Sonia, en vacances chez moi, qui m'a encouragé à vous raconter ce fait marquant pour nos petites fesses.
    A l'époque, ma petite sœurette et moi avions respectivement 9 ans pour Sonia et 11 ans pour moi. Nous avions toutes les deux décidé de faire du caramel en suivant la recette qu'il y avait sur le bouquin des castors juniors. Nous avons profité que nous étions pratiquement seules dans la maison, sous la surveillance de mon grand frère Emile (15 ans à l'époque) : Papa étant en séminaire à Paris pour sa profession, Maman (qui avait quitté sa première profession, institutrice, pour aider Papa dans son agence immobilière), sous directrice de l'agence immobilière de mon père était au travail et ma tante Julie à l'université.
    Vous vous doutez bien que nous avions pris la peine de demander l'autorisation à Maman avant son départ au travail pour entreprendre notre petit travail. Bien entendu l'autorisation nous avait été refusée ou du moins il nous avait été demandé d'attendre le retour de notre tante, mais de ne surtout pas toucher à la cuisinière. D'ailleurs pour nous occuper elle nous avait donné des exercices à faire, Maths pour moi et pour Sonia un problème et des opérations (divisions, multiplications etc.). Devoirs que nous n'avons pas fait, car cela ne nous convenait pas. Nous avons alors profité que mon frère Emile s'enferme dans le garage avec une petite copine de sa classe (ils étaient en 3ème), sous prétexte de préparer le BEPC.
    Malheureusement nous avons été très vite dépassé par les événements et je ne saurais vous dire comment mais le feu a pris tout d'abord dans une serviette de cuisine que nous avions omis de retirer et qui se trouvait tout à coté du réchaud avant de s'en prendre au rideau de la fenêtre qui se trouvait à proximité, bien sûr le caramel à l'intérieur de la casserole avait complètement brûlé (casserole foutue comme on dit). C'est donc paniquée toutes les deux que nous avons appelé Emile à la rescousse, qui avec un grand saut d'eau à éteint les flammes dans le rideau qui commençaient à s'attaquer au placard en bois qu'il y avait à côté. Je ne vous dit pas les cris et les pleurs, car nous savions que nous allions passer un très très mauvais quart d'heure au retour de Tatie Julie mais surtout de Maman.

    Ma tante Julie arrivée la première, nous a passé un savon que nous n'avons surtout pas oublié aujourd'hui, mais que dire de Maman à son retour du travail. Ce ne fut certes pas la ceinture qui nous attendait cette fois-ci, car pour elle ce n'était pas suffisant, mais une fessée tonitruante.

    C'est donc, à tour de rôle, dans notre chambre commune, que Maman
    a entrepris son oeuvre correctrice en commençant par moi. Elle m'a ainsi attiré près du lit, s'est assise, m'a basculé sur ses genoux, relevé la jupe, a saisi les deux pans de ma culotte qui couvraient chacune de mas fesses les coinçant au milieu des fesses, s'est saisi d'une planche à cuisine et a commencé son oeuvre avec les claques vraiment redoutables qui me firent crier très vite. Le même scénario était réservé à Sonia.

    Voilà Christine un souvenir pleu flatteur pour ma sœur et moi

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  4. Bonjour Christine,

    Suite et fin de notre mésaventure à Sonia et à Moi, qui est donc en deux parties.

    Nous avons par la suite été punies toutes les deux pendant plus d'un mois. Mais, pour tout vous dire, j'aurai préféré recevoir une volée à la ceinture que cette fessée. Il faut bien avouer également que Maman n'aimait pas utiliser ses mains pour nous corriger. Elle souffrait des mains, de plus, elle disait que les mains sont faites pour caresser et non pour corriger un enfant.

    Mon frère Emile qui était sensé nous garder à été lui aussi punie, mais par mon père deux jours après.
    Voilà Christine, la mésaventure peu flatteuse qui nous est arrivée à toutes les deux.

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  5. Bonjour Christine,

    Je suis très très surprise de ne plus avoir de nouvelles de vous et de votre site. Que se passe-t-il ? Mes derniers messages sont restés sans réponse à croire que vous avez mis fin prématurément à votre blog.

    En tous cas c'est bien triste... Y a-t-il un problème ? Rencontrez-vous des difficultés provisoires ?

    Voilà, une fan complètement triste qui ne demande qu'à avoir des réponses aux questions que je me pose actuellement.

    Si votre site était fermé, je n'arriverai sans doute pas à transmettre mes messages.

    Peut-être avez-vous changé de site . Merci de me faire un petit signe.

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  6. Non, Sylvie, ne vous inquiétez pas. Je suis toujours là et vais poursuivre mes récits, même s'il est vrai que j'ai eu un moment de démotivation. Merci en tout cas de vos commentaires. Et j'espère vous lire encore, cela me ferait grand plaisir...

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