jeudi 24 novembre 2016

Chronique d'un redoublement : 107. Quand une journée (très) mal commencée finit aussi (très) mal...

SUITE 106

Après cette visite rapide chez la voisine, où nous restâmes sur le pas de la porte, Maman ne souhaitant pas déranger, ce qui m'arrangeait d'ailleurs, tant je n'avais aucune envie que l'on poursuive sur le sujet de mes mésaventures, nous sommes rentrées à la maison.
Les petites étaient encore à l'anniversaire de leur camarade, et Maman en profita pour proposer à Tata de faire une légère retouche sur la robe qu'elle avait achetée. Il y avait aussi un petit point de couture à faire à la taille de la jupe plissée qu'elle avait prise pour moi, et qui était légèrement trop grande.
Tata fit donc une nouvelle séance d'essayage, contente de son achat, alors que, de mon côté, je n'étais pas pressée que ladite jupe soit retouchée, n'ayant pas envie de la mettre.
Maman dut d'ailleurs m'appeler à trois reprises pour que je vienne me prêter à la prise de mesure.
Venant en trainant les pieds, j'enfilai la jupe au dessus du bermuda que je portais ce qui, bien sûr, ne permettait pas de prendre la taille exacte.
Maman haussa le ton : "Christine, ce n'est pas possible. Il y a vraiment des moments où tu cherches les ennuis..."


Je n'avais pas envie de faire cette séance d'essayage
de la nouvelle jupe plissée,
et cela commençait à énerver sérieusement Maman...


Je m'exécutai à contre-coeur, enlevant le bermuda, et me retrouvant en culotte, pour renfiler la jupe. Maman mit des épingles pour marquer la petite pince à faire à la ceinture. La manipulation faite, j'enlevai la jupe pour la redonner à Maman qui devait faire la couture nécessaire. Mais, au lieu de dégrafer la ceinture, je tirai la jupe vers le bas, sans voir que cela faisait partir les épingles posées par Maman.
J'avais renfilé mon bermuda quand elle s'en aperçut et elle me fit revenir pour recommencer ses mesures, se demandant si je n'avais pas fait exprès.
Je revins en grognant, redéfaisant mon bermuda, et grommelant de façon inaudible.
Cela ne lui a pas plu, et la réaction fut vive : "Arrête de grogner, Christine. Je serais à ta place, je ferais plutôt profil bas. Surtout en petite culotte comme tu es... Je pourrais très vite m'occuper à nouveau de tes fesses..."


Maman me menaça, en me faisant remarquer, que j'étais en culotte,
et qu'il lui serait aisé de s'occuper de mes fesses...
Cela ne me fit pas rire du tout et m'apeura plutôt...

La menace me calma, du moins extérieurement, où je laissai Maman prendre ses mesures, et où, cette fois, je fis attention à enlever la jupe sans faire tomber les épingles.
Tata, qui avait assisté à la scène, tenta de me défendre : "Ne la gronde pas. Elle n'a sûrement pas fait exprès de faire tomber les épingles, et ce n'est pas drôle de faire des essayages".
Maman rétorqua : "Je ne dis pas qu'elle a fait exprès, mais elle n'a pas fait attention, et en plus tu as bien vu qu'elle commençait à grogner. C'est vraiment à croire que la fessée de ce matin n'a pas calmé ta chère filleule... Mais, si elle me cherche, elle va vite me trouver à nouveau..."
Je préférai filer dans ma chambre que de répondre. Ce n'était pas le moment d'aggraver mon cas... Mais, j'avais les nerfs à fleur de peau, presque consciente que ce que disait Maman n'était pas faux : la double déculottée de ce matin-là ne m'avait pas calmée... Mentalement, je me sentais énervée, ayant du mal à encaisser une fessée (et demie) pour une colle que j'aurais dû et pu éviter, sans ma réaction moqueuse et idiote au vu du contexte... Je m'en voulais et cela me mettait de mauvaise humeur, sans prendre vraiment conscience que cette attitude pouvait surtout se retourner contre moi...


Je me sentais grognonne, énervée, de mauvaise humeur,
j'avais comme les nerfs à fleur de peau...
Assurément, la fessée (et demie) du matin ne m'avait pas calmée...

Après avoir pris un thé avec sa soeur, Tata devait rentrer chez elle, et elle monta me dire au revoir dans ma chambre. Elle en profita pour me donner de sages conseils : "Sois bien sage et n'énerve pas ta mère, ma chérie. Elle n'est pas commode aujourd'hui. Ton histoire de nouvelle colle l'a vraiment fâchée... Tu l'as bien vu, avec ce qui t'est arrivé ce matin..."
Je répondis : "Oui, bah, ça suffit maintenant. J'ai déjà eu ma fessée, une grosse tu sais..."
Je n'avais pu réprimer un sanglot en disant cela. Tata me serra dans ses bras en me câlinant quelques instants : "Oui, ma Christine, je sais bien. Ta Maman m'a raconté, mais je te conseille juste de ne pas te faire remarquer. Je te dis : ce n'est pas le moment de grogner ou de désobéir... Crois-moi, je sens bien qu'elle n'hésiterait pas à se fâcher fort à nouveau..."  
Puis, elle m'embrassa, sans me tapoter le bas du dos cette fois, et redescendit pour repartir vers chez elle.


Tata me conseilla de changer d'attitude, de ne pas continuer à grogner...
Elle sentait bien que Maman n'appréciait pas mon comportement...
Mais je n'arrivais pas à me persuader qu'elle avait raison...

Je restai dans ma chambre à ruminer. J'avais bien entendu les conseils de Tata, mais je me disais que ce n'était pas juste, ou qu'elle exagérait peut-être. J'avais déjà été largement punie, et je m'imaginais que les menaces maternelles étaient surtout verbales, qu'elle ne les mettrait peut-être pas à exécution pour quelques petites réflexions.
J'avais comme de la rage au coeur, une envie de continuer à grogner, de montrer que je n'étais pas contente d'avoir été déculottée deux fois, surtout à cause de deux pimbêches de ma classe qui se moquaient de mes fessées... Mais, ça, j'avais à la fois envie de le crier, mais je savais que je ne le dirais pas, devinant trop la réaction maternelle qui aurait été de me dire : "Mais, Christine, arrête d'abord de mériter des fessées, et personne ne se moquera plus de toi".
Maman me laissa dans ma chambre pendant qu'elle faisait la couture, puis elle vint m'apporter la jupe que je dus essayer pour voir si la retouche était bien faite. Je pris sur moi pour ne pas montrer mon énervement. La jupe était à la taille exacte et Maman contente de son travail : "Regarde comme elle te va bien. Tu la mettras demain pour aller déjeuner chez Mamie".
Je ne pus m'empêcher de dire : "Oh non, pas demain. Elle n'est pas belle".
Maman fronça les sourcils : "Christine, Christine, je t'ai dit d'arrêter de grogner. Elle est très bien cette jupe, et tu feras ce que je dis... Un point, c'est tout... C'est compris... Ou tu veux retourner sur mes genoux ? Non, mais, des fois..."
Je protestai : "Oh, non Maman, non... pas encore, non..."


Une fois encore, la menace maternelle était claire,
et cela contribuait à m'énerver...
Je ne voulais pas croire que le risque était vraiment concret...

Maman me fit enlever la jupe et la rangea sur la chaise à côté de mon armoire, afin qu'elle soit sortie pour le lendemain. J'aurais bien protesté, mais ce n'était pas le moment... La menace avait été assez claire, confirmant ce qu'avait dit Tata...
Maman ressortit de ma chambre en me disant qu'elle allait rechercher mes soeurs à leur goûter d'anniversaire, et en me demandant de mettre la table du diner en attendant. 
Je me sentis tranquille en me retrouvant seule dans la maison et je pensai que le retour de mes soeurs éviterait que Maman n'ait que moi à surveiller, ce qui était un bien car je sentais bien que la moutarde commençait à monter au nez maternel, surtout à mon encontre.
Mais, malgré cela, rechignant à quitter ma chambre pour effectuer la tâche ménagère commandée, je ne me pressai pas, pensant qu'elle ne reviendrait pas avant une petite heure...
Hélas, elle ne fit qu'un aller-retour sans discuter avec les autres mères, et j'étais encore dans ma chambre quand elle rappliqua avec Aline et Diane qui étaient joyeuses et ravies de leur après-midi.
S'apercevant que la table n'était pas mise, Maman monta me voir, avec un regard visiblement agacé : "J'avais demandé que tu mettes la table, Christine... Décidément, aujourd'hui, on ne peut rien te demander... Tu cherches vraiment les ennuis, ma fille... Continue comme ça, et ça va très mal se terminer..." commenta-t-elle. 
Consciente que le ton maternel n'était pas à la discussion, je me levai en vitesse et répondis : "J'y allais, Maman, j'y allais. Je mets la table tout de suite. Tu vas voir..."
Je descendis à la hâte pour rattraper ma bourde et mettre le couvert. Mais, en voulant faire vite et bien, je laissai échapper la pile de quatre petits verres à eau, réussissant à en rattraper un au vol, mais les trois autres se brisèrent sur le carrelage de la cuisine. 
Patatras !
Le bruit résonna dans la maison, alors que les verres en Duralex, comme il y en avait dans la plupart des familles, avaient éclaté en centaines de petits morceaux...
Inutile de dire que mon coeur se mit à battre la chamade, d'autant que j'avais déjà cassé un pot de confiture en pareille circonstance lors des vacances de Pâques, et déjà à une période de conflit avec Maman, ce qui s'était terminée de cuisante manière pour moi...
Je voulus cacher les dégâts, et commençai à ramasser quand Maman arriva, m'intimant l'ordre d'arrêter : "Mais, ce n'est pas possible, ce n'est vraiment pas ta journée, ma fille... Stop, stop, allez, relève-toi et sors de là... Maladroite comme tu es, tu es capable de te couper en plus... Laisse-moi ramasser... Il y en a partout, jusque sous le réfrigérateur. Ce n'est pas vrai... Va donc plutôt comme tes soeurs te mettre en pyjama..."


Les verres cassés s'étalaient dans la cuisine. Consciente de la bêtise, 
j'avais essayé de commencer à ramasser les débris...
Mais Maman, hors d'elle, m'envoya dans ma chambre...
J'avais hélas cette fois bien compris ce qui m'attendait...

Puis, elle ajouta, après avoir laissé s'exprimer un gros soupir : "Allez, file... Et, attends-moi dans ta chambre..."
Il n'y avait pas besoin de me faire un dessin, et je ne pus que balbutier : "Oh, non, Mam' Maman, non" !
La réplique résonna dans la maison : "File de là, Christine. Je t'ai assez prévenue... Allez, ouste ! Et, vous pareil, les petites, remontez ou ça va barder pour vous aussi"
Diane et Aline qui étaient redescendues en entendant les bruits de verre cassé, remontèrent se mettre vite en pyjama. Elles guettèrent mon arrivée en haut, me regardant passer avec des yeux scrutant mes réactions. Je tournai la tête pour ne pas montrer que j'étais au bord des larmes...
Je n'arrivais pas à croire ce qui m'arrivait, même si je m'en voulais de ne pas avoir suivi les recommandations de Tata  Je me suis assise sur le bord de mon lit, puis m'y allongeai en boule, la tête pleine de pensées contradictoires et d'angoisse. Je restai ainsi cinq bonnes minutes, presque dix, le temps que Maman ramasse les morceaux et passe la serpillère.
Je me redressai d'un coup en entendant Maman monter. Elle vint directement dans ma chambre, en ouvrit la porte, en disant : "Tu es prête, Christine ?"



J'étais comme pétrifiée, assise sur mon lit, 
sans avoir obéi à la demande de me mettre en pyjama...
Maman réitéra son ordre...
Je comprenais que j'allais passer un sale quart d'heure...

Elle constata que je n'avais rien fait, étant toujours habillée comme cet après-midi. Elle éleva une fois de plus la voix : "Non, mais je rêve, Christine, je t'ai pourtant dit de te mettre en pyjama... Tu n'en fais vraiment qu'à ta tête... Allez, exécution... Dépêche-toi, j'arrive..."
Elle sortit en laissant ma porte ouverte, allant dans la salle de bain prendre un tas de linge sale et redescendit dans la buanderie pour le mettre dans la machine à laver.


Je me levai et commençai à me mettre en pyjama...
Je savais que c'était en fait pour préparer mes fesses...


Tremblotante, je me dépêchai de me déshabiller puis d'enfiler mon pyjama... Au passage, je regardai mon dos dans la glace. Mes fesses étaient redevenues bien pâles, même si je devinais qu'elles étaient restées sensibles après le double traitement du matin même...
Pendant que je me regardais dans la glace, Diane s'était avancée à pas de loup dans l'entrebâillement de ma porte et me dévisageait de la tête au pied. J'enfilai précipitamment mon bas de pyjama, cachant mes fesses à sa curiosité.


Je ne pus m'empêcher de regarder un instant 
mes fesses redevenues blanches... 
Poser ma main dessus me fit frissonner...

"Va-t'en, Diane. Laisse-moi !", lui demandai-je comme en suppliant. Diane avait son petit air moqueur habituel, mais il semblait tout de même cette fois teinté d'une sorte de compassion. Elle ne put s'empêcher de faire son commentaire : "Ca y est, tu es prête ? Maman va encore te donner la fessée..."
Je ne cherchai pas à nier l'évidence et lui demandai à nouveau de repartir dans sa chambre, mais c'est Aline qui pointa le bout de son nez en disant : "Attention, Maman va bientôt remonter. Ca va barder, c'est sûr". 
Diane rajouta comme sur le sceau d'un secret : "C'est sûr qu'elle est fâchée, Maman. Elle nous a dit quand on rentrait de l'anniversaire qu'on avait intérêt à nous tenir à carreau. Parce que déjà, toi, tu l'énervais..."
Et Aline de compléter : "Elle a même dit que si l'une de nous trois n'était pas sage, la journée pourrait finir comme elle a commencé... Par une bonne fessée..."  


Diane m'avait vue regarder mes fesses dans la glace...
Elle me confirma que Maman était déjà fâchée en les ramenant
du goûter d'anniversaire... Diane prédisait que j'allais m'en prendre
encore une bonne de fessée, mais le regard moqueur de ma soeur
était mêlé d'un peu de compassion...  
 
Du bas, Maman entendit les chuchotements alors qu'elle s'apprêtait à remonter. Ses pas dans l'escalier firent galoper mes soeurs vers leur chambre. "Oh, là ! allez, dans votre chambre, les filles. Je ne veux rien entendre. Sinon, vous pourrez, vous aussi, préparer vos fesses" !
J'étais toute fébrile et apeurée, le dos à la fenêtre, quand Maman entra dans ma chambre. Elle en referma cette fois complétement la porte, et vint s'asseoir en sa position, que je dois bien qualifier "d'habituelle", en tapotant ses genoux comme pour m'appeler à y venir.
Je parlai le premier : "Maman, non, je t'en supplie, non, pas la fessée... Tu me l'as déjà donnée ce matin... Je ne peux pas, je veux pas, c'est trop dur... Mais, non, Maman, non, pas encore la fessée..."
Maman soupira et répondit avec un ton déterminé, et étrangement calme... "Ne discute pas, Christine, viens ici... C'est trop tard pour protester... Je t'ai avertie je ne sais combien de fois depuis ce matin... Tu grognes, tu râles, tu n'obéis pas, et en prime tu casses de la vaisselle en ne faisant pas attention... C'est bien la preuve que la fessée de ce matin n'a pas suffi..."
Je ne savais quoi dire et suppliai : " Non, Maman, non. Je serai sage, je ferai tout ce que tu voudras... Pas encore la fessée..."
Maman rétorqua : "Christine, n'aggrave pas ton cas... De toute façon, la fessée de ce matin, c'était pour te punir d'avoir été collée, mais je pensais que cela t'aurait calmée un peu plus... Il n'en est rien, à l'évidence, alors, puisque tu la cherches, oui, tu vas encore recevoir une bonne fessée, et tu n'y échapperas pas, ma fille... Allez, viens donc ici..."
J'avais bien conscience que j'étais dans une impasse, et qu'elle s'achèverait pour moi avec des fesses écarlates, mais j'avais les nerfs à vif et je ne pouvais me résoudre à venir comme une victime expiatoire recevoir mon dû...
"Si je dois venir te chercher, ce sera pire, Christine... lança-t-elle. Allez, sois raisonnable, ce n'est qu'une fessée de plus, et mon petit doigt me dit que ce n'est sûrement pas la dernière... Allez, VIENS !!!" 
Devant ce ton sec, je me décidai à avancer à pas lent, vers les genoux maternels. Cela tournait tellement dans ma tête que j'avais l'impression d'être dans un cauchemar éveillé, comme récemment, mais cette fois, c'était bien du vrai de vrai et mes fesses allaient le comprendre... "C'est bien, ma chérie", commenta Maman, alors que j'arrivais à portée de main. Elle se pencha pour m'agripper par le poignet et m'attirer d'un grand coup vers ses genoux où je basculai...


Maman me demanda de venir vers elle... 
"Si je dois venir te chercher, ce sera pire", menaça-t-elle...
J'imaginai qu'elle n'hésiterait pas et je me voyais trainée vers ses genoux...
Je consentis donc à m'approcher en tremblant...

Je restai un instant sans réaction, comme fataliste, et elle en profita pour me baisser le bas de pyjama à hauteur des mollets, s'attaquant ensuite à la culotte blanche que j'avais gardée sous le pyjama, me déculottant, baissant l'ultime rempart à mi-cuisses.
Je sortis de ma léthargie en sentant que mes fesses étaient à l'air pour la troisième fois de la journée. Je me mis à supplier à nouveau, criant : "Non, pas la fessée, pas déculottée, non, nooon". Et d'un seul coup, en tentant de mobiliser toutes mes forces, je me débattis, gigotant comme pour me libérer, et réussissant à rattraper ma culotte de coton, et à la remonter pour bonne partie sur mes fesses, en tenant l'étoffe de ma main droite, resserrée comme jamais...


Je me débattis, réussissant à remonter ma culotte,
et tentant de la maintenir fermement en place,
tout en suppliant et criant : "Non, pas la fessée" !

Maman ne pouvait contenir mes jambes qui gigotaient et ruaient, mais gardait une bonne prise sur mon dos, se contentant dans un premier temps de me laisser m'agiter, sachant que je m'épuiserais vite.
"Mais, qu'est-ce que c'est que cette révolte ? Veux-tu arrêter ça, sinon tu vas le regretter, Christine... Et puis, lâche-moi cette culotte... Tu sais très bien que tu ne gagnes jamais à ce jeu-là..." La voix de Maman, à la fois énervée par cet imprévu, mais calme par sa détermination, me faisait comprendre que c'était peine perdue pour moi...
J'arrêtai de gigoter, mais gardai ma main bloquant ma culotte en place. "Enlève cette main, Christine, tu sais bien que je ne renoncerai pas, et que tu vas le payer..."
Elle n'essaya même pas de me faire lâcher prise, ni de claquer ma main, mais je sentis qu'elle me basculait un peu plus en avant. Entre ma culotte remise plus ou moins en place et mon bas de pyjama entravant mes mollets, mes cuisses apparaissaient sans protection... Et Maman fit diversion en commençant à les claquer vertement : "Tiens, en attendant, on va faire rougir ces cuisses-là", dit Maman en n'y allant pas de main-morte... Cela faisait mal, très mal à un endroit habituellement épargné...


En me claquant l'arrière des cuisses, Maman avait détourné
mon attention et je relâchai ma culotte.
Maman en profita pour bloquer ma main, ce qui lui laissait
le champ libre pour me déculotter à nouveau...

Par réflexe, je tentai d'interposer ma main, et relâchai donc ma culotte. Maman en profita pour m'attraper le poignet droit et me le bloquer dans le dos, ayant cette fois la situation bien en main...
"Tu vois, Christine, que Maman arrive toujours à ses fins... Tu sais pourtant bien que les bonnes fessées de Maman, cela se donne directement sur les fesses, pour que cela claque mieux... Alors, je vais une fois de plus baisser ta culotte..." commenta Maman avec un petit air ironique, tout en prenant le temps de dégager pleinement ma lune... Une fois encore...

J'avais jeté mes forces dans mon essai de révolte, et je savais que je n'échapperais pas à cette nouvelle fessée. Mieux valait abdiquer et subir la tannée jusqu'au bout...
"Bon, allez, tu vas l'avoir cette nouvelle fessée... Quand je pense que je t'ai déjà déculottée deux fois ce matin, et que cela n'a pas suffi donc... D'ailleurs, voilà des fesses qui sont redevenues bien blanches, une fois de plus... Mais, je vais leur redonner des couleurs. Tiens, tiens, et tiens..." sermonna Maman avant de recommencer à m'administrer une fessée magistrale...


 Maman regarda un instant ma lune à nouveau déculottée,
constatant qu'il n'y avait plus trace de la tannée (et demie) du matin...

Très vite, cette fois, bien plus encore que le matin même, ma lune s'empourpra. Les claques sur une peau déjà tannée deux fois (du moins une fois et demie) incendièrent vite mon bas du dos... Je subis les premières volées, mais pleurai vite à grosses larmes, essayant un instant de gigoter, mais ce n'en était que pire, et donc je restai inerte encaissant une claquée vive et comme scientifiquement appliquée pour rendre mes fesses écarlates.


Même redevenues blanches, mes fesses demeuraient sensibles
après la double déculottée matinale...
Les nouvelles claques me firent pleurer et crier très vite...

Je faisais des "aïe", des "ouille, ouille" à chaque claque, je suppliais Maman d'arrêter, je demandais pardon, je criais sans retenue, ce qui ne devait pas échapper aux oreilles d'Aline et Diane, même si la porte était fermée complétement... Là, je ne pouvais me retenir, m'épuisant à m'époumoner, durant cette fessée qui allait, cette fois, réellement me calmer...
Maman comprenait bien que la douleur était plus intense que lors de la fessée du matin, elle savait aussi que cette fessée-ci n'était pas consécutive à un motif majeur comme ma nouvelle colle, mais plus due à une nécessité de calmer sa fille, de ne pas la laisser multiplier les petits griefs, et donc elle fut (un peu) moins longue qu'habituellement. L'important, je crois, était pour Maman que je n'y échappe pas, que ses trois filles sachent bien que ce n'est pas parce que l'on a reçu une fessée le matin que l'on peut agir impunément le reste de la journée...
Ma lune étant écarlate et la leçon bien donnée, la fessée s'arrêta, et Maman desserra lentement son étreinte. J'imaginais que c'était fini, que j'avais eu ma dose, et je commençai à glisser jusqu'à mettre genoux à terre, tout en essayant de remonter ma culotte, comme si je voulais de suite me protéger, cacher mes joues du bas...


Je m'époumonnai sous la claquée méthodique et brulante 
de cette nouvelle fessée. Je ne pensais même plus à mes soeurs
qui devaient écouter ce qui arrivait à leur aînée...

Cela dut rappeler à Maman ma petite révolte lors de ma mise sur ses genoux...
"Minute, papillon", dit-elle, en me remontant d'un coup en équilibre sur ses cuisses... "C'est Maman qui décide quand ça commence et quand ça finit, Christine... Et tu sais bien que cela ne sert à rien non plus de chercher à m'empêcher de baisser ta culotte, ni de la remonter avant que Maman ait fini... Sinon, Maman se fâche, tu le sais bien, Christine..."
Je me fis implorante : "Oui, Maman, je sais, je ne le ferai plus, je ferai tout comme tu veux, promis, Maman, promis... J'ai compris, j'ai compris..."
Elle remit ma culotte à mi-cuisses, alors que je venais de la remonter sur à peine un quart de fesse. C'était pour le principe, je pense. Elle regarda ma lune écarlate, et constata : "Bon, ça suffit pour cette fois. J'espère que cette fessée t'aura enfin calmée...Tu en as eu assez pour aujourd'hui, mais que je ne t'y reprenne plus à chercher à me résister, sinon tu la sens celle-là ?" Clac, clac ! deux grosses claques tombèrent. Je criai : "Non, Maman, non. Euh, enfin, euh, oui, je la sens. Arrête... Je ne le ferai plus, promis..." 
Elle répliqua : "Tâche de t'en souvenir, ma fille, sinon gare à tes fesses, encore et encore..." Et, elle ponctua sa dernière phrase d'une douzaine de fortes claques, sonores comme jamais, avant de me relâcher enfin, tombant à genoux, complétement en larmes et hoquetante de douleur... 


Alors que j'avais remonté partiellement ma culotte trop vite, Maman me remit
un instant en position, redévoilant ma lune écarlate, façon de réaffirmer
que toute résistance se paie... Et d'en faire la démonstration
par une ultime volée d'une douzaine de claques sonores comme jamais...


Maman se releva et quitta ma chambre, sans refermer la porte derrière elle. Je me rhabillai en vitesse, et remontai sur mon lit où je me pelotonnai en pleurant à grosses larmes. J'étais cette fois comme laminée, épuisée, je n'avais même plus de révolte en moi, j'étais comme essorée, pour ne pas dire calmée, cette fois, enfin calmée...

A SUIVRE
    

69 commentaires:

  1. Bonjour Christine. Juste un tout petit commentaire avant de vous transmettre mon analyse sur ce nouvel épisode, encore une fois très passionnant et douloureux pour les fesses de Christinette.

    Cette fois-ci, cette déculottée est bien méritée, je ne peux que l'admettre, moi qui comme Tata Jacqueline prend souvent la défense de notre héroïne.

    Je ne tarderai pas trop à vous transmettre mon analyse, le temps que je m'imprègne de ce nouveau paragraphe. Enfin... Quelle dure journée pour notre Christinette.

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  2. Oh, la vilaine Sylvie. Soutenir Maman Spaak dans cet épisode bien difficile pour Christinette, c'est pas très gentil... Mais, je dois bien avouer que cette déculottée n'était pas imméritée...
    Merci d'avance pour la suite de vos commentaires...

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  3. Bonjour Christine. Me voici de retour avec un commentaire un peu plus élaboré. Mais avant tout, je vais rentrer dans la peau de Sylvette et m'imaginer que Christinette et moi sommes copines (un peu comme j'aurais fait avec Inez mon amie), ou si vous préférer être la petite voix de la raison qui conseille Christine.

    " Christine, pourquoi n'as-tu pas écouté Tata qui t'avait conseillé de te calmer, d'être sage car Maman était très en colère aujourd'hui après ta nouvelle colle au collège, mais tu n'as pas suivi ses conseils et voilà le résultat, une nouvelle fessée très douloureuse encore une fois, tant pis pour toi Christine".

    En effet, Christine avouez que notre Christinette l'a bien cherchée cette fois-ci.

    Plusieurs griefs lui sont reprochés :
    1) Au magasin où Maman aurait très bien pu refuser la robe que Tata Jacqueline tenait à lui offrir, ou du moins la confisquer.
    2) La séance d'essayage notamment de la jupe plissée achetée par Maman que notre jeune demoiselle n'aime pas et affirme en plus qu'elle ne l'a mettra pas (de quoi énerver encore plus Maman)
    3) Le couvert non mis alors que Maman lui avait demandé de le mettre pendant qu'elle allait chercher les deux sœurettes à la fête d'anniversaire, sans oublier les trois verres cassés.
    4) Elle tarde à se mettre en pyjama alors que Maman le lui a demandé.
    Sans oublier la désobéissance, les grognements et réponses mal placées à sa Mère déjà exaspérée par cette nouvelle colle.

    Moi qui ai l'habitude de la défendre, là je ne peux être l'avocate du diable, bien grand mot car Christinette au demeurant est une gamine gentil et très bien élevée, mais cette fois-ci cette nouvelle déculottée (la 3ème du jour) est totalement justifiée.

    En plus, Christinette peut s'estimer heureuse de ne pas avoir été déculottée immédiatement après avoir cassé les verres.

    Effectivement, Maman toute énervée qu'elle est après son aînée, aurait très bien pu l'attraper par les bras, l’entraîner au salon pour lui administrer sans tarder cette nouvelle fessée devant ses sœurs qui étaient à ce moment précis à l’affût des moindres faits et gestes de Christinette (de plus elles s'étaient empressées de descendre de leur chambre au moment des faits). Mais au lieu de cela Maman l'envoie méditer dans sa chambre.

    Voilà, Christine un premier jet de mes commentaires. Le prochain sera sur la fessée en elle-même. Encore un modèle du genre.

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  4. Sylvie joue les Sylvette, comme souvent je joue Christinette. Cela ne me déplait pas. Au contraire...
    Je veux bien admettre que j'aurais dû écouter les conseils de Tata Jacqueline, qui est quand même bien placée pour savoir la bonne attitude à adopter.
    C'est vrai que mieux aurait valu faire profil bas, plutôt que de multiplier les griefs.
    Mais, comme cela m'arrivait de temps à autre, le fait d'avoir pris une double déculottée le matin me donnait l'impression que j'avais de la marge avant de craindre à nouveau.
    Cela peut paraître bizarre, mais je m'explique : quand j'étais en période d'avant-fessée, si je peux qualifier ça ainsi, c'est à dire par exemple quand je sentais que la moutarde montait au nez de Maman, que les menaces se faisaient plus fréquentes, que je savais qu'il en faudrait peu pour que le vase déborde et que je me retrouve sur les genoux maternels, alors j'étais prudente, je veillais au moindre détail, je faisais attention à ne pas m'attirer d'ennuis, sachant que parfois même une petite faute ou bêtise suffirait pour que Maman mette ses menaces à exécution...
    Là, dans l'exemple qui nous occupe, j'avais (à tort bien sûr) l'impression d'une certaine immunité passagère... Je venais en effet de me récolter une tannée (presque double) pour une faute considérée par Maman comme majeure. Une nouvelle colle en anglais, en plein dernier trimestre du redoublement, c'était forcément l'engueulade géante, la déculottée maison et une fessée mémorable... Ce qui m'est en effet arrivé, avec en prime le supplément de la fessée interrompue qui a quasiment doublé la dose...
    Après cela, Christinette a évidemment conscience que la tannée était méritée, mais en même temps elle s'en veut d'avoir été collée bêtement, et de ne pas pouvoir l'expliquer totalement à Maman. Elle en grogne intérieurement et extérieurement aussi. Elle n'a pas envie de jouer les enfants-modèle qu'une fessée a calmés, et elle pense que, de toute façon, après une (quasi double) fessée, Maman ne va pas réagir pour un ou deux gestes de mauvaise humeur, comme si la fessée du matin avait dégagé tout nuage, et qu'il serait bien temps de s'inquiéter quand le ciel redeviendrait orageux...
    Mais, Sylvette a raison, car elle voit ça de l'extérieur, alors que Christinette est dans l'instant présent et ne voit pas que les griefs peuvent vite énerver Maman Spaak, et la persuader que sa fille n'a pas bien compris la leçon du matin...
    C'est vrai, grogner alors que l'on vous achète deux robes un jour de forte punition, ça peut agacer une mère...
    Ne pas faire attention lors d'une séance d'essayage et obliger à faire refaire les retouches, c'est énervant.
    Pire : jouer les capricieuses, en disant que l'on ne portera pas l'une des deux robes, rien que cela, un autre jour, aurait pu être passible d'une bonne fessée...
    Donc, si je m'adresse à elle, " chère Sylvette, tu n'as pas tort : rien que ces trois griefs, ajoutés à des grogneries, auraient pu suffire à me mettre, moi Christinette, dans une fâcheuse posture... Mais, personne, ni Tata, ni toi, Sylvette, n'était là pour me conseiller..."

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  5. JE POURSUIS MON COMMENTAIRE PRECEDENT :
    "Pourtant, puisque au lieu de sévir Maman était partie rechercher mes soeurs, me laissant tranquille avec juste une petite tâche à accomplir, j'aurais dû suivre les instructions, mettre sagement la table, et accueillir tout le monde avec le sourire, et tout aurait été pardonné... Mais, il a fallu que je reste dans ma chambre à grogner, à m'entêter, à me faire des idées noires, jusqu'à comprendre que le retour de Maman allait lui montrer que son ainée avait fait preuve de mauvaise volonté en n'obéissant pas à une demande pourtant simple... C'est là que je me suis réveillée pour ainsi dire et que j'ai voulu rattraper le temps perdu, parce que je commençais à avoir conscience que cela pourrait mal tourner... Et c'est cette peur qui m'a rendue nerveuse au point de laisser échapper la pile de verres...
    Je veux bien, chère Sylvette, considérer que j'ai peut-être été chanceuse de ne pas être fessée sur le champ devant mes soeurs, mais il y avait les bouts de verre à ramasser, et sûrement en Maman une détermination qui lui faisait penser qu'elle allait devoir soigner la leçon à donner à Christinette...
    Je dois dire que lorsqu'elle m'envoie "méditer" dans ma chambre, chère Sylvette, je n'ai aucun doute sur ce qui m'attend, et que, une fois n'est pas coutume, même si je suis, je te remercie, "une gamine gentille et bien élevée", j'ai bien conscience que cette nouvelle déculottée, la troisième du jour, est en effet "totalement justifiée"...

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  6. C'est bien Christinette de reconnaitre ses torts, c'est d'ailleurs une qualité qui est la tienne. Moi personnellement à ta place je ne sais pas comment j'aurais réagie. C'est vrai que nous n'avons pas le même caractère. En plus essayer de résister à la déculottée, alors là, chapeau bas. Si cela m'était arrivee, avec ma mère, c'est immédiatement après avoir cassé les verres que j'aurais eu droit à ma volée, Maman aurait sans doute fermé la porte de la cuisine, avant de m'obliger à l'aider à ramasser les bouts de verre éparpillés un peu partout dans la cuisine.

    Voilà Christine la réponse de Sylvette à Christinette.

    Quant à moi je suis entrain de finaliser mon analyse sur la fessée reçue qui a du, j'imagine être très douloureux. Je vous la transmettrai des que possible.

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  7. Merci Sylvette de ce compliment. Mais, c'est plus la Christine actuelle qui reconnait ses torts... Avec une analyse a posteriori des différents griefs qui m'étaient reprochés dans cet épisode... Christinette, elle, avait plus de mal admettre ses torts et surtout à avouer ses fautes, d'autant quand elle savait ce que cela allait lui valoir...
    Je préférais souvent gagner du temps, quitte à rajouter un petit mensonge pour cacher mes fautes et bêtises...
    Pour ce qui est de me faire ramasser les débris, Maman a naturellement préféré le faire elle-même, du fait que c'est déjà par maladresse que j'ai cassé les verres, et que les verres en duralex éclatent en mille morceaux et que j'aurais pu me blesser...
    Dans un autre épisode où j'avais un peu inondé la salle de bains, là, effectivement, puisqu'il n'y avait pas de risque, Maman m'avait demandé d'éponger moi-même avant de s'occuper de mes fesses à sa manière...

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  8. Chère Christine,

    Coucou me revoilou ! Pardonnez-moi cette longue absence, du à des événements extérieurs qui ont réveillé l'adolescent sommeillant en moi et que le vieux machin, à bien du mal à contrôler ! Mais bon, une certaine stabilité est revenue, grâce à elle et son ouverture d'esprit, je le reconnais !

    Tout ceci pour dire, que pour demeurer dans le ton et l'actuel, je vais commencer par cet épisode et ses commentaires qui m'inspirent, avant de revenir sur les précédents ! D'autant qu'en décembre, je serais chez mes enfants et donc plus disponible, pour écrire, afin d'éviter le courroux de Christine !

    La conteuse, peux me tancer, je le mérite (enfin ne soyez pas trop dure) et si elle l'estime, m'accorder son pardon !

    Amicalement, Dominique

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  9. Chère Christine,
    Episode :

    Christinette, de part ma connaissance de tes mésaventures, avec Maman. Je ne peux que corroborer la juste analyse de Sylvette (bonjour Sylvie au passage), car ce cas de figure ou Tata l'avocate conseille et met en garde, sa filleule ne manquent pas, de mémoire je citerais « La tuile en maths ou les photos de vacances) !
    Là, ce samedi noir ou plutôt rouge pour la jeune fille et sa conclusion douloureuse, n'est que l'aboutissement d'un cumul d'éléments, candides et innocents qui habitent profondément Christinette, au demeurant comme le dit justement Sylvie « une gamine gentille et bien élevée », simplement en proie, à ses contradictions et ses émotions ! Faisant d'elle, une charmante pré-ado, qu'il convient de guider sur le bon chemin !

    Christine, ne prenez pas ce premier jet pour une psychanalyse, ce n'est pas mon but et j'en suis bien incapable, mais comme le regard d'un adulte, père et ayant un vécu sur le sujet !

    Amicalement, Dominique

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  10. Wouhahou !!! Vingt-cinq jours avant, c'est Noël avant l'heure... Dominique est de retour, alleluia, comme qui dirait !
    Et je ne vais pas le gronder, même si je connais une Maman Spaak qui lui aurait fait passer l'envie de lui faire une telle frayeur...
    Soyons au contraire contents du retour du fils prodigue, surtout s'il a envie de se faire pardonner en rattrapant tout ou partie de son retard...
    Faites-le cher Dominique dans l'ordre qui vous siéra, l'essentiel étant de retrouver vos réactions, vos commentaires, et votre science d'archiviste en prime... Nous avions notamment un sujet de discussion qui s'était interrompu sans aller au bout, quand nous discutions de la notion de "parfois" et de "plus que souvent", mais je suis sûr que vous n'avez pas oublié...
    A très bientôt de vous lire encore et encore...

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  11. Chère Christine,

    Merci à vous, Christine, de ne pas me gronder et il est certain que Maman Spaak n'aurait pas laisser passer un tel relâchement (ni Maman d'ailleurs) et n'aurait pas manqué de montrer son mécontentement de façon cinglante et méritée, à l'image de Christinette en ce samedi.
    Rien que d'y penser, je lui cède volontiers la place, sans aucune jalousie.

    Ceci dit, notre Christinette, fait très fort en cet fin de samedi, sur le côté cabochard et maladroite, alors qu'elle s'est déjà ramassée une volée et demie, la matin même pour une colle qu'elle aurait du et pu éviter, cent fois, en faisant preuve (pour une fois) d'autant de perfidie que les moqueuses, se gaussant intérieurement quitte à lâcher son fiel, après les cours ! Sauf que notre petite Christinette, n'a pas au fond d'elle-même, une once de méchanceté, sa réaction n'étant le reflet de sa spontanéité, comme lorsqu'elle se justifie, en réponse aux attaques sournoises de mauvaises copines !

    Sinon, bien sûr que je n'ai pas oublié notre sujet du « parfois » ou du « plus que souvent », je dirais d'ailleurs que ce maudit samedi en est un petit échantillon, non ?

    Amicalement, Dominique

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  12. Petit échantillon ce samedi très agité, vous plaisantez bien sûr... Je retrouve là la pointe d'ironie de Dominique... L'archiviste ne manquera pas de noter que ce samedi met en scène une rareté, disons un "pas souvent" avec une fessée du matin, et un inédit (je crois) dans le nombre des déculottées du jour, mais que sur les statistiques générales de fréquence, ce n'est pas du tout un exemple de calme ou de rareté de l'événement, je veux bien le reconnaitre...
    Cela dit, cher Dominique, merci de vouloir volontiers céder la place à Christinette quant à la réaction qu'aurait eue Maman à propos de l'absence prolongée de contribution à ce blog, mais Christinette a déjà assez d'ennuis postérieurs comme ça pour ne pas se rajouter ceux du Minot qui, vous l'avouez vous-même, auraient été administrés "de façon cinglante et méritée" !

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  13. Bonjour Christine. Voilà que notre Dominique est de retour et quel retour ! Je partage tout à fait son analyse sur la situation et comme vous l'avez si bien précisé, Christine, notre Christinette n'a pas du tout conscience de ce qu'elle encours du fait de la déculottée (et demie) du matin.

    De vous à moi, Christine, Sylvette qui a eu des échos de cette nouvelle déculottée, aimerait en discuter avec notre Christinette, mais n'ose pas trop de peur de l'offenser, de la vexer. C'est donc moi Sylvie qui ferais le point tres prochainement, enfin après avoir corrigé ma cinquantaine de copies de contrôle de musique (solfège). Cela n'a saurait tarder.

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  14. Sylvie promet de "faire le point" après avoir corrigé ses copies. J'attends donc ses prochains écrits que je lirai avec intérêt... Même s'ils ne font pas forcément plaisir à Christinette en insistant sur ses torts dans les récents épisodes...
    Si Sylvette veut "discuter" avec Christinette, qu'elle n'hésite pas... Tant que la discussion reste "secrète" et "entre nous" et que personne d'autre, ni voisine, ni copine de classe, n'est au courant, je veux bien échanger sur le sujet brulant en question...

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  15. Chère Christine,

    Oh !!! Qu'allez vous imaginer, Christine !!! Moi ! Plaisanter sur le sort des pauvres petites fesses de Christinette ! Que nenni, vous n'y pensez pas !!! Ou alors, il serait opportun d'en informer Mélanie, afin qu'elle recadre son ado-compagnon ??? Non, non, loin de moi cette pensée, quoi que ? Hi, hi !!

    Sinon l'archiviste veux bien admettre que ce samedi, est un «pas souvent» dans son déroulement et même un inédit pour la déculottée matinale, qui plus est interrompue, mais achevée de façon magistrale par Maman Spaak ! Mais reconnaissez vous-même qu'il peut s'inscrire, sur le tableau des fréquences fessesques de Christinette.

    C'est vrai que le Minot en mériterais une bonne, mais Christinette tiens tellement bien ce rôle, qu'il serait malhonnête de lui chaparder, la place de vedette qui lui va à merveille. Dixit Minot, je n'y suis pour rien,

    Amicalement, Dominique

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  16. Ah, Dominique ! Je retrouve bien là le petit jeu d'humour et d'ironie qui ferait bouillir Christinette si elle avait encore l'âge de ces derniers épisodes...
    Je retiens quand même que vous admettez, comme je l'ai fait à propos du comportement de Christinette après les scènes du matin, que le Minot en aurait bien mérité une, et une bonne même... C'est gentil de vouloir laisser la vedette à Christinette sur ce point, mais elle a assez à faire en ce moment du récit, si vous voyez ce que je veux dire...

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  17. Bonjour Christine, cela fait ma troisième tentative pour vous transmettre mon commentaire mais au moment final tout mon texte est perdu. Il est vrai que mon ordinateur étant hs actuellement c'est depuis mon téléphone portable que mes différents commentaires vous sont envoyés.

    Mais revenons à notre analyse de votre dernier épisode déjà bien commenté. Comme promis je vais passer le flambeau à la petite Sylvette qui tient tout particulièrement à consoler sa copine Christinette.

    "Oh la la ! Ma pauvre, j'ai eu des échos de la fessée que tu as reçue, et la façon dont tu criais, je vois que ta maman ne t'a pas ménagée. Elle a dû te faire très mal. Mais pourquoi as tu essayé de te dégager ? Tu sais très bien que tu n'arriveras jamais à te dégager de l'étreinte de ta maman, tu n'as pas la force pour et en plus cela ne fait qu'aggraver ton cas, en plus tu aurais pu déchirer ta culotte en insistant trop. Heureusement que les deux grosses claques sur les cuisses t'ont fait lâcher prise. Je sais que sur cette partie dégagée ça fait encore plus mal. J'ai pu moi même le constater lorsque ma tante Julie m'avait donné quatre très fortes claques sur les cuisses pour un devoir de maths. Je te raconterai ça prochainement. Ma là je te dis courage et t'inquiète cette petite discussion restera entre nous"

    Voilà Christine, Sylvette tenait à consoler Christinette, mais elle a également promis de lui raconter sa mésaventure avec sa Tatie Julie. Ne vois inquiétez pas elle le fera, j'y veille.

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  18. "Chère Sylvette, c'est bien gentil de vouloir me consoler, mais il est trop tard pour que je change le cours des choses. J'ai hélas pris une nouvelle tannée en fin d'après-midi, après les deux déculottées du matin... C'est facile de s'étonner a posteriori que j'ai "essayé de me dégager". Je comprends que tu te poses la question, mais sur le moment il y a des choses que l'on fait sans réfléchir... J'avais passé l'après-midi à grogner, à trainer les pieds, à rechigner devant les volontés maternelles, tout cela parce que, au fond de moi, j'avais l'impression d'avoir été trop punie, ou du moins que j'aurais pu et dû éviter tous ces ennuis en cachant ma moquerie vis à vis des heures de colle de mes soi-disant copines, au lieu de me prendre encore deux heures de colle en anglais, en ne sachant que trop bien ce à quoi cela me donnait droit...
    Alors, quand j'ai senti que je jouais avec le feu et que j'ai voulu aller vite mettre la table, je commençais à comprendre que je n'étais pas à l'abri d'une nouvelle fessée... Ma maladresse, du fait de ma nervosité, a amené vers le scénario-catastrophe dont la seule issue était le retour sur les genoux maternels...
    Si encore, Maman m'avait promis de "s'occuper de moi" après le diner, au moment du coucher, j'aurais pu me faire à cette idée, me dire que mon bas du dos serait encore plus reposé...
    Mais, non, comme le matin même, en ce samedi, Maman était d'humeur à régler ses comptes sans attendre...
    Je n'ai pas eu droit non plus à de grandes explications maternelles, ni à pouvoir plaider longuement ma cause que j'étais déjà à nouveau allongée en travers des cuisses de Maman. D'où une vague de peur et d'angoisse qui m'a submergée, me rappelant la douleur de la fessée matinale, et voulant y échapper, ou du moins gagner du temps...
    Oui, Sylvette, c'est bête comme attitude, d'autant que cela allait me valoir un supplément de claques, mais c'était comme un réflexe d'auto-défense, irraisonné je l'admets...
    Merci de ne rien raconter de mes confidences à mes copines et à personne... J'ai assez honte comme ça...
    Et n'hésite pas à me raconter tes mésaventures, ce qui me consolera un peu, de ne pas être la seule dans ce cas...
    Bises."
    Christinette

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  19. Bonjour Christine. Comme Christinette l’a si bien demandée, Sylvette va lui dévoiler un moment très désagréable pour ses fesses alors qu’elle n’avait à l’époque que 11 ans et était en 6e.

    « Ma très chère Christinette, je sais que tu es très atteinte moralement, mais, fort heureusement bien calmée par cette 3e fessée (heu ! Non, 2 et demie, excuse-moi) de la journée alors que tu n’es même pas encore passée à table pour le dîner. Enfin si ça peut te consoler, je vais te raconter la fessée (enfin si on peut l’appeler ainsi) que m’avait administrée ma tante Julie, jeune sœur de Papa, âgée d’une vingtaine d’année.

    Étudiante en comptabilité, ma tante Julie était logée chez nous.

    Ayant de grosses lacunes en maths, mon père avait donc demandé à sa petite sœur (de 15 ans sa cadette) de bien vouloir me faire travailler cette matière que je déteste au demeurant, profitant du fait que, pour se faire un peu d’argent de poche, elle donnait également des cours particuliers à deux enfants (Nathalie qui était dans ma classe et son frère Pascal en classe de 4ᵉ).

    Ce samedi matin, alors que Nathalie et son frère avait fini leur cours et attendaient que leur parent vienne les chercher, ma tante leur avait donc donné pour les faire patienter un puzzle afin de ne pas me gêner dans les exercices de maths qu’elle m’avait donné et qui me donnaient du fil à retordre. Seulement, moi, attirée par cette activité, je bâclais mes exercices et très vite venais les rejoindre (j’adore les puzzles).

    J’avais bien remarqué les va-et-viens incessants de ma tante jetant un œil au passage sur mon travail. Cinq minutes étaient passés lorsqu’elle s’adressa à moi :
    « Sylvie tu joues, j’espère que tu as fini ton devoir et qu’il est bien fait ».
    Ma réponse étant positive, elle enchaîna :
    « Si c’est pas bon gare à tes fesses, Sylvie ».
    Un peu honteuse surtout devant ma copine de classe et son frère, je rétorquais en la chambrant un peu :
    « hi, hi, hi, tu n’oseras pas ».

    Tatie Julie n’a donc pas insisté et poursuivait calmement ses activités. Je ne pourrais pas te dire à quel moment elle a vérifié mes exercices, occupée que j’étais à chercher les pièces du puzzle (ah ! Je tiens à te préciser que j’étais debout), mais alors que je ne m’y attendais pas du tout, je recevais, en même temps qu’elle me dit énervée : « tu te fiches de moi, Sylvie », 4 énormes claques sur mes cuisses et au niveau de la jointure des fesses et qui me firent très mal. J’ai bien senti ces claques, car j’étais vêtue d’un petit short court rose qui me recouvrait uniquement les fesses.

    Je retenais tant bien que mal mes sanglots et essayais de relever la tête. Mon « même pas mal » eut le don de l’énerver davantage. Sa réaction fut donc à la hauteur de mon insolence. La gifle reçue était un modèle du genre, mais que dire de la suite des évènements. De sa main gauche elle m’avait prise par le poignet, les claques qui s’abattaient sur mes fesses (heureusement couvertes contrairement à toi) et surtout sur mes cuisses endolories m’avaient fait très mal. C’est donc en pleurs et honteuse que je reprenais mon exercice en sa présence,

    Comme tu vois, ma chère Christinette tu n’es pas la seule dans le cas et malgré mes 13 ans, je continue, tout comme toi à recevoir des corrections ».

    Voilà, Christine, comme je vous l’avais promis, je me suis mise dans la peau de Sylvette pour vous raconter un moment pénible de mon enfance qui a laissé des traces du fait de la présence de Nathalie une camarade de classe. Bien entendu, ma déconvenue devant Nathalie n’eut aucune suite néfaste pour moi.

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  20. Merci Sylvie de faire vivre ces commentaires, en espérant que Dominique va comme promis s'y remettre dès cette semaine. Et que Mardohl ne tardera pas non plus...
    Cela dit, en me mettant dans la peau de Christinette : "Ma pauvre Sylvette, cela n'a pas dû être facile à supporter cette fessée de Tata devant deux camarades. Heureusement que la pudeur était sauve, et qu'il n'y a pas eu de déculottage... Mais, toi qui me demandais pourquoi je m'étais débattue, en sachant que cela ne me porterait pas bonheur, je m'étonne à mon tour que tu aies pu défier ta tante en riant et ne croyant pas à ses menaces... Ce n'est pas quelque chose que j'aurais tenté, même avec Tata Jacqueline, de peur d'être démentie dans les faits... Quant au "Même pas mal" c'était vraiment de la provocation, et pour avoir glissé un jour un "J'm'en fiche" à un moment crucial, je peux te dire que je n'aurais jamais osé le "même pas mal"... Petit short rose ou pas, je te prie de croire que tout ce qui aurait recouvert mes fesses aurait été immédiatement baissé et que, témoin ou pas, j'aurais été bonne pour une tannée magistrale qui m'aurait rappelé ce que c'est qu'avoir mal... Sur cet exemple, Sylvette, je ne vais donc pas te donner raison, et te dire surtout que tu as eu plutôt de la chance de t'en sortir si bien..."

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  21. Sylvette à Christinette.
    "Ben, oui tu as raison. Mais pour tout te dire, je ne m'attendais pas du tout à cette réaction de ma tante Julie que je considérais comme ma grande soeur. La différence d'âge entre nous n'est pas très importante (9 ans), et puis elle avait à ce moment là qu'à peine 20 ans, en plus à ses moments de libre, nous jouions souvent ensemble à des jeux de société. Jamais je n'aurais imaginé une telle réaction de sa part. La surprise a ete immense et totale. D'ailleurs, je vais te faire une confidence, mon frère aîné, Emile (3ans de plus que moi), ma petite sœur Sonia (de 2ans ma cadette) et le dernier de la famille, Eric (4 ans plus jeune que moi), avions les mêmes rapports avec elle, nous la considérions comme notre grande sœur et l'appelions tous par son prénom.

    À partir de ce jour-là, tu penses bien, les choses avaient changées, surtout de mon côté, ce n'était plus Julie, mais Tatie. Elle m'avait bien fait comprendre que le travail c'est le travail et qu'on ne plaisante pas lorsqu'on travaille. J'avais vu une autre facette de ma Tante Julie que je ne connaissais pas. Finalement, elle avait le caractère de Papa (son grand frère).

    Donc tout ceci explique un peu ma réaction. Mais t'inquiète par la suite, je n'ai plus jamais été insolente avec elle, mais les claques sur mes cuisses ont été nombreuses car je suis une dure à cuire dans cette matière et je l'énervais souvent par ma nonchalance et mon je m'en foutisme.

    Mais pour en revenir à ta remarque, jamais je n'aurais reagie de la sorte avec mes parents car, tu peuxe croire, c'est Catherine (tu as compris, ma ceinture) qui aurait sévie. Je t'embrasse Sylvette".

    Voilà, Christine, je vous transmets la réponse de Sylvette à sa copine Christinette. Excusez les fautes d'orthographe ou de frappe, car ne suis suron téléphone portable et c'est vraiment très difficile d'écrire et même de se relire après.

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  22. Bonjour Christine.

    Suite à la réponse de Sylvette à Christinette sur son dernier commentaire, notre petite Sylvette s'est bien gardée de raconter à sa copine ce qui s'était passé au retour de sa Maman des courses et notamment à table. C'est donc après plus de 40 ans que je vais corriger ce petit oubli, volontaire de Sylvette à Christinette.

    J'en voulais terriblement à ma tante. Juste après avoir fini les exercices, je me réfugiai dans ma chambre, boudeuse et très en colère car comme je l'ai déjà précisé, je ne m'attendais absolument pas à cette réaction de ma tante et fus surprise qu'elle me fesse ainsi en plus devant ma camarade de classe (ma tante étant comme une grande sœur pour moi). Je lui en voulais terriblement.

    Au moment de passer à table, toute la famille était réunie et Maman m'avait appelée à plusieurs reprises.

    A table, tout le monde avait remarqué mon attitude vis-à-vis de ma tante Julie et notamment ma façon de la regarder, de la toiser. Mon père très observateur et protecteur envers sa petite sœur, voulu connaitre le fin mot de l'affaire. Ma tante Julie s'empressa de lui tout lui raconter. Avec mon caractère de cochon de l'époque, j'eus le culot de la contredire, et les phrases : "même pas vrai", "tu es une menteuse", "j'avais fini mes devoirs" etc. s’enchaînaient. Papa qui connaissait bien ses enfants, et notamment moi, haussa le ton. Il m'avait demandé de respecter ma tante, qu'elle n'était pas ma camarade et qu'il me connaissait bien. D'ailleurs, pour corroborer ses propos, ma tante avait récupéré tous mes exercices. Elle justifia la fessée qu'elle m'avait donnée et que si c'était à refaire, sans hésiter, elle recommencerait.

    Mes parents n'ont, sur le moment rien dit puisque nous étions à table. Mais mon père précisa que nous réglerions ça après le déjeuner, mais que je pouvais préparer mes fesses. Puis s'adressant à ma sœur et mes frères, il demanda que l'on respecte notre tante et que c'est lui même qui lui avait conseillé d'agir différemment avec nous, qu'elle allait bientôt être majeur (la majorité à 18 ans n'étant pas encore à l'ordre du jour puisque nous sommes en décembre 1973) et qu'il était temps qu'elle réagisse comme une adulte avec nous.

    Je ne vous raconte pas la volée que j'ai pris devant tout le monde. J'avais les cuisses marquées par la ceinture, mon petit short rose n'avait pratiquement servi à rien, puisque Papa, n'y est pas allé avec le dos de cuillère comme on dit. De plus, je fus mise au coin pendant plus d'une heure. Cette dernière punition m'avait complètement achevée, puisque pour moi, être mise au coin à 11 ans est une humiliation ultime.

    Voilà Christine, la suite de la réponse de Sylvette à Christinette sur les liens qu'elle entretenait jusque là avec Tatie Julie. Bien entendu, les choses ont évolué après. Le respect s'imposait.

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  23. Sylvette en a pris pour son grade. Se moquer et surtout mettre la parole de sa tante en doute en plein repas familial, voilà qui ne pouvait pas être toléré, que ce soit dans sa famille, comme cela ne l'aurait pas été dans la mienne. Et je pense bien que, de mon côté aussi, j'aurais été invitée à préparer mes fesses pour après le repas ou plus tard, mais pas sur le champ puisque la famille était à table. C'est juste que la fautive savait qu'elle aurait droit à un dessert particulier, si j'ose dire...
    Je mets toutefois juste un bémol, en disant, ce que j'ai déjà souvent exprimé, que je ne cautionne nullement l'idée d'une correction avec une ceinture ou autre instrument. Cela devient, à mon sens, de la maltraitance, mais je sais également qu'à l'époque évoquée par Sylvie c'était monnaie courante dans nombre de familles. Je ne vais donc pas demander à Sylvie de travestir ses souvenirs, mais je tiens juste à le repréciser à nouveau.
    Hormis ce détail, merci à Sylvette de ses confessions. Christinette compatit en se disant que cela aurait pu lui arriver aussi. Et vraisemblablement aussi, le fait qu'elle aurait été insolente devant toute la famille attablée, aurait entrainé une fessée devant Aline et Diane, et sans garder le petit short rose, c'est certain... Vous voyez ce que je veux dire ?

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  24. Snif, snif, appel à toutes les unités... Si vous croisez un Dominique qui devait être tranquille chez ses enfants et pouvoir écrire ses commentaires, merci de lui dire que Christine (et même Christinette) espère son retour...
    Si ça continue, hi, hi, il va falloir que j'aille tout raconter à sa nouvelle dulcinée, hé, hé... Et alors, ça pourrait barder...

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  25. Chère Christine,

    Non, non, Christine, ne faites pas appel à la DST ou SR pour me retrouver, je ne suis pas perdu, juste accaparé par mes enfants et mes petits-enfants ! Ma dulcinée me laissant respirer, pour le moment, mais je ne voudrais surtout pas qu'elle m'attende de pied ferme (ou plutôt de main ferme) à mon retour ! Donc, pour vous satisfaire et calmer vos envies de me voir passer sur son giron, je vous adresse ce jour, un premier commentaire sur l'épisode.

    Amicalement, Dominique

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  26. Bonjour Christine.

    Je ne sais pas si vous vous souvenez de moi. Je commentais souvent vos récits, il y a de cela quelques années. En fait, pour la lecture, je suis toujours resté fidèle à votre blog, mais je ne prenais plus le temps d'écrire.

    J'apprécie toujours vos commentateurs, même si Dominique et Mardohl se montrent particulièrement silencieux depuis quelque temps. Je salue Sylvie, qui n'intervenait pas "de mon temps", mais dont j'aime beaucoup les interventions.

    Contrairement à votre père, chère Sylvie, ma mère, qui était très impulsive, ne pouvait pas différer une fessée, elle tombait sur-le-champ. Dans la scène que vous racontez (traiter votre tante de menteuse...), ma mère se serait levée de table et m'aurait obligé moi aussi à me lever. Comme avec la maman de Christine, le petit short dont vous parlez aurait probablement été baissé, ainsi probablement que mon slip blanc de coton, et tout cela dans la salle à manger, devant tout le monde.

    Amitiés à vous, Christine, et à vous aussi, Sylvie.
    Fesseusement vôtre.

    Louis
    gallie050753@yahoo.fr

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  27. Re-bonjour Christine.

    Vous n'étiez pas la seule dans ce cas : quand on se prend une deuxième (ou troisième) fessée très peu de temps après la précédente, que ce soit après quelques minutes, quelques heures ou même quelques jours, cette nouvelle fessée est souvent encore plus longue et plus cuisante que la première.

    Un jour (je devais avoir 8 ans, mon frère 6 ans, ma mère 30 ans), je me battais avec mon frère dans notre chambre (nous partagions la même chambre). Nous étions sûrement trop bruyants, maman surgit dans la chambre, et dans ce cas, elle ne cherchait pas à savoir qui avait commencé, ce fut une bonne fessée pour tous les deux. Maman avait peut-être jugé que notre faute n'était pas aussi grave qu'une désobéissance ou un manque de respect, nous avons eu la chance (sic) de recevoir une fessée au-travers de notre pantalon. Je me souviens qu'une fessée de cette nature, ça faisait quand même assez mal, car maman tapait fort et longtemps. Nous pleurions très fort quand même, mon frère et moi, peut-être aussi par humiliation.

    Maman nous ordonna ensuite de nous mettre à genoux dans la chambre, face au mur, les mains sur la tête, et sans parler, et sans s'asseoir sur les talons, faute de quoi, précisa-t-elle, une deuxième fessée pourrait très bien encore tomber.

    Comme j'estimais mon frère responsable de notre situation, je lui en voulais. Dès que maman avait le dos tourné, je faisais des petites vacheries à mon frère, du style une claque derrière la tête, ou je le pinçais... Mon frère ne disait rien, il se contentait de me chuchoter : "Arrête !" Je le pinçai une ou deux fois, et la troisième, je me fis "pincer", c'est le cas de le dire, mais par maman cette fois. Cette dernière décida de passer à la vitesse supérieure. Elle se mit à genoux près de moi, puis dégrafa mon pantalon (bretelles, boutons, braguette). Elle m'allongea énergiquement à plat ventre sur le sol et se mit à califourchon sur mes jambes, m'empêchant de les rabattre sur mes fesses pour me protéger. Je sentis les mains lestes et énergiques de maman attraper mon pantalon pour me le baisser jusqu'aux genoux. Je commençais à hurler et à supplier maman, mais c'était évidemment peine perdue. Je tournais la tête derrière moi, pas de doute, je vis maman baisser également mon slip blanc de coton. Comme je ne pouvais rien faire avec mes pieds et mes jambes,solidement immobilisés sous maman, je tentai de me protéger les fesses avec mes mains. Maman m'ordonna d'enlever mes mains. Comme je refusais d'obtempérer, maman, de sa main gauche, m'immobilisa les mains en me les tenant fermement par les poignets. Maman avait maintenant le champ libre, la cuisante fessée cul nu pouvait maintenant commencer. Je crois qu'elle dura deux ou trois fois plus longtemps que la précédente donnée quelques minutes plus tôt sur le pantalon.

    Tout ça pour dire, comme pour vous Christine, que, quand je venais de me prendre une première fessée, je n'étais jamais à l'abri d'une deuxième. Mais dans mon cas, même si la première était donnée sans déculottage (ou parfois déculottage partiel : fessée sur le slip), la deuxième était forcément donnée sur les fesses nues, et avec maman, même si par exemple il y avait du monde à la maison.

    Amicalement.
    Déculottement vôtre.


    Louis
    gallie050753@yahoo.fr

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  28. Chère Christine,
    Episode :

    Malgré une quasi ''double volée'' méritée, pas trop pour la colle (un peu sévère) mais plus pour la sempiternelle absence de franchise de Christinette, face à Maman, ayant trop peur pour ses fesses, tout en sachant que cela ne feras qu'attiser la colère maternelle et lui programmer une tannée maison, donc la preuve lui a une nouvelle fois été fournie en ce samedi matin.
    Les moments de hontes s'en suivant, le cauchemar éveillé et les avertissements de Maman ! La demoiselle persiste dans son attitude de défi, sans tenir compte des appels à la prudence de Tata, comme si la double déculottée matinale (peu habituelle) ne l'avait pas calmé.

    Ceci la conduisant, lors de la séance d'essayage (exécutée à contrecoeur) à un manque d'attention et des grognements, ne plaisant pas à Maman qui adresse une menace très claire et facilement exécutable, à sa fille en petite culotte ! Maman Spaak, pensant à juste raison, que son aînée n'a pas été calmée par la fessée pourtant magistrale du matin ! La présence de sa soeur, n'étant en rien une gêne pour elle, remettre le couvert immédiatement si nécessaire, Tata Jacqueline ayant déjà eu à plusieurs reprises l'occasion d'assister à des tournées magistrales de sa filleule, sur le giron maternel (La tuile en maths ! Photos de vacances ! Ou retour de la plage, évoqué en commentaire mais non rédigé à ce jour ''petit rappel Dominicain'').

    La Christinette pas masochiste, prend la poudre d'escampette ! Mais toujours aussi grognon intérieurement, seule la crainte lui ayant donné un éclair de lucidité pour protéger ses fesses, mais rageant que la page ne soit pas tournée ! Ce qu'elle confirme à Tata venue la saluer et lui prodiguer, de nouveaux conseils de prudence et de sagesse, pour ne pas couper la corde de patience maternelle tendue à l'extrême limite.
    Néanmoins, une fois Tata partie, Christinette interprète les propos judicieux de celle-ci à sa manière et conserve ce mécontentement pour l'épreuve subie dans la matinée, se voilant la face sur les causes réelles lui ayant valu ce déboire ! N'hésitant pas une nouvelle fois à le manifester, lorsque Maman ramène la jupe (que sa fille trouve moche) pour vérifier son travail et oblige cette dernière, à réitérer qui commande, avec une nouvelle menace !
    Ceci avant d'indiquer à sa fille, de mettre le couvert durant son absence pour aller rechercher les petites ! Christine pensant profiter d'un certain temps, s'enferre dans ses pensées négatives, ne s'imaginant pas à ce qu'il soit plus court que prévu et ne la précipite, à son corps défendant sur le giron maternel pour un nouvel écueil.

    A suivre....

    Amicalement, Dominique

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  29. Hi, hi, je vois que mes menaces font réagir Dominique qui ressort du bois pour me promettre un premier de la série de commentaires qu'il m'a promis... J'espère ne pas être déçue... Merci d'avance et donc à très bientôt de vous lire... Du moins avec la casquette de Christine, car Christinette, elle, est moins pressée de retrouver la prose toujours aiguisée et pertinente de Dominique...
    Merci aussi à Louis, qui effectue un retour intéressant avec ses confidences sur une Maman qui ne faisait pas languir les futurs punis...

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  30. Mais si, Dominique a tenu ses promesses, avec un joli premier commentaire que je n'avais pas encore vu quand j'ai écrit le précédent...
    Voilà qui me fait plaisir, et me donne l'espoir qu'il rattrapera son retard sur certains sujets, comme promis...
    Je remarque avec un sourire en coin, que Dominique en profite pour me rappeler que j'avais évoqué dans une réponse une fessée reçue devant Tata lors d'un retour de plage, et que je n'ai pas retranscrit noir sur blanc. OK, OK, Dominique, j'admets, mais je préfère toujours poursuivre mon récit de cette année de redoublement (qui s'achève bientôt) avant de repartir sur d'autres épisodes isolés.
    Cela dit, moi, Christine, je confirme en effet que cette promesse de ma part reste en suspens... Heureusement que je n'ai plus l'âge de Christinette et que Dominique n'a pas l'occasion de signaler ce fait à Maman Spaak... Sinon, ce serait à coup sûr, encore un épisode de plus à raconter... "A raconter, tu en as de bonnes, Christine", réplique Christinette, ajoutant : "Raconter c'est bien, mais cela signifierait de mon côté une déculottée de plus, et ça, j'espère bien y échapper"...

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  31. Bonjour Christine. L'analyse de la situation décrite par Dominique est claire et je constate qu'il me rejoint sur bien des points.

    Comment évoluera la situation ? Jep pense que la tannée prise par notre Christinette l'a calmée pour le reste du week-end. Il n'en demeure que notre jeune demoiselle sera confrontée dès le lendemain aux commentaires, ou plus précisément que cette dernière déculottée arrivera aux oreilles de Tata Jacqueline et peut être pas seulement.

    N'oublions pas non plus l'invitation à l'anniversaire de Mathilde (j'espère que je ne me trompe pas sur le prénom) qu'elle ne pourra honorer puisque Maman Spaak lui a déjà fait savoir qu'elle en était privée.

    Voila Christine un nouveau commentaire sur cet épisode et ainsi passer à autre chose que cette histoire avec ma tante Julie qui m'a vraiment rappelé de très mauvais souvenirs.

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  32. Chère Christine,

    Il ne s'agit en effet, que d'un petit rappel Dominicain amical et il est vrai qu'une Christinette face à cette promesse non tenue (comme tant d'autres) aurait à coup sûr, eu le droit à une bonne déculottée de plus, donnant à Christine matière à écriture. Certes l'ennui pour Christinette, étant de devoir supporter en son temps, les mains de Maman baissant sa culotte pour lui rougir copieusement ses fesses nues, comme elle en avait l'habitude et ça pour la demoiselle, forte en français, c'est bien plus dur qu'une rédaction de souvenirs, même s'ils font frissonner en ce remémorant.
    La place occupée, ne procurant pas les mêmes sensations et/ou émotions.

    Sinon, je prépare la suite et n'oublierais pas de revenir sur les précédents épisodes, ainsi qu'un certain sujet laissé en ''suspens'' entre Christinette et moi, pour lequel il me faudra revoir et réunir les éléments du blog, corroborant ma position que la demoiselle ''un peu cabocharde, comme dans l'épisode 107'' persiste à contester.
    Ceci dit, je me plais à imaginer sa petite frimousse, faire la moue en lisant cela ! Hi, hi, hi !!!

    Amicalement, Dominique

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  33. Oui, Sylvie, vous avez raison sur un point : cette tannée et troisième déculottée du samedi a bien calmé Christinette. Voilà qui la dissuadera de défier à nouveau Maman Spaak, même si elle garde un fond de sentiment d'injustice, mais plus en s'en voulant à elle-même qu'à sa mère...
    Je ne vais pas dévoiler la suite, mais vous imaginez bien que la fessée supplémentaire arrivera aux oreilles de Tata Jacqueline, comme de Mamie, puisque la famille va déjeuner chez elle dimanche midi.
    Et, comme vous suivez bien, vous vous souvenez que Maman Spaak a privé son aînée d'aller au goûter d'anniversaire de Martine (et non Mathilde) ce même dimanche... Même si l'on peut supposer que Maman Spaak appellera la mère de Martine pour excuser l'absence de sa fille, sans entrer dans les détails et péripéties de ses passages sur les genoux maternels, le seul fait de dire, même sans un mot de plus, qu'elle est punie ne devrait pas manquer d'être commenté entre les invités dudit goûter, qui propageront la nouvelle dans le quartier comme au collège...
    Christinette, elle-même, le devine aussi, et ne manque pas d'angoisser à l'avance à ce propos...

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  34. Dominique ironise... C'est vrai qu'il est plus confortable de rédiger mes souvenirs que de revivre une déculottée maternelle de l'époque... Et Christinette qui était, en effet, bonne en français, aurait volontiers échangé les rôles, en préférant devoir faire une rédaction supplémentaire plutôt que de se faire rougir les fesses... D'ailleurs, comme le dit Dominique, même si, c'est vrai, l'évocation de certains souvenirs me font encore parfois frissonner, "la place occupée", entre rédactrice ou actrice, ne "procure pas les mêmes sensations et/ou émotions" !
    Je confirme aussi que pour ce qui est du sujet resté en "suspens", Christinette, elle, n'est pas pressée de lire les commentaires argumentés de l'archiviste, qui risque, hélas, d'avoir raison...

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  35. Chère Christine,

    Je n'avais aucun doute sur le fait que Christinette aurait mille fois préféré avoir une rédaction supplémentaire à faire, en transposant des émotions, plutôt que les vivre en passant sur le giron maternel sans sa culotte. Tout comme je sais qu'elle n'éprouve aucun besoin urgent d'avoir à lire, l'argumentaire Dominicain qui risque de lui mettre le nez dans sa c....e , étant loin d'être une idiote, mais tout simplement une petite demoiselle parfois ''cabocharde'' voulant affirmer sa position de grande fille.

    Amicalement, Dominique

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  36. Ah, ce Dominique, quand même... Il veut toujours avoir le dernier mot, et cela m'agace, moi, Christinette...
    Bien sûr que je préférerais que Maman me donne une rédaction à faire plutôt que de me punir de la manière que vous devinez, celle qui se passe "sur le giron maternel", comme vous dites...
    Merci quand même de ne pas nommer précisément ladite punition... Je préfère cette évocation indirecte que de voir utilisés les mots précis, qui ont tendance à me rendre honteuse et gênée, surtout quand ils arrivent à l'oreille d'un tiers...
    Cela dit, si vous n'employez pas les termes précis, ce n'était pas la peine d'ajouter que la punition était donnée "sans ma culotte". C'est là encore un détail gênant et troublant pour la petite demoiselle que je suis... D'autant que je la garde le plus souvent ma culotte, du moins à hauteur des genoux, et plus haut encore parfois, pour ne pas dire souvent... Mais je ne vais pas retourner sur ce terrain qui risque de voir l'archiviste écrire des choses que je n'apprécierai pas...

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  37. Chère Christine,

    En fait ce qui agace essentiellement, Christinette, c'est que les faits contrarie souvent ses idées et ne font que corroborer, le constat de l'archiviste.
    Comme d'ailleurs au sujet de la ''tenue vestimentaire'' lors de ladite ''punition'', il me semble bien que Maman ne fasse aucune exception en la matière, sauf en de rares occasions ou sa fille se montre plus récalcitrante et l'incite alors à entamer son œuvre correctrice, en deçà de la zone de vérité, pour endiguer la rébellion et pouvoir poursuivre sa tâche, sur celle-ci, avec une plus grande motivation n'appréciant pas, ce genre de petit jeu puéril. Et je crois me souvenir (en fait j'en suis sûr) qu'en certaines occasions, le dernier apparat symbolique de pudeur, avait chu sur le sol, suite à l'agitation incontrôlable de la demoiselle, sous l'effet cuisant de ladite ''punition''.
    Sinon, il est vrai que dans la plupart des cas, après une contestation verbale symbolique et inutile, celui-ci demeure à la hauteur des genoux ou juste calé sous la zone de vérité, je l'admets.

    Alors, tu vois Christinette, que Dominique peut être magnanime et ne pas vouloir systématiquement avoir le dernier mot (même si c'est rare).

    Amicalement, Dominique

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  38. Pff, appeler ça être magnanime, c'est vraiment n'importe quoi, Dominique... Avec en plus ce petit ton ironique du style "j'ai encore raison", c'est agaçant pour Christinette, je le confirme...
    Cela dit, j'apprécie toutefois la délicatesse de ne pas nommer plus précisément ladite "punition"... Sinon, j'en connais une qui rougirait de honte, de voir rappelées des méthodes maternelles effectivement plus fréquentes que Christinette ne veut bien l'admettre...
    J'apprécie aussi la jolie trouvaille consistant à nommer un endroit que je détestais plus que tout montrer, la "zone de vérité"...
    D'autant plus que ce sont souvent mes "mensonges" répétés qui m'amenaient à devoir me laisser découvrir la "zone de vérité"...

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  39. Bonjour Christine.

    Sylvette voudrait, si vous le voulez bien s'adresser à Dominique, non pas celui d'aujourd'hui, mais celui des années 1970/1980, le pré ado qu'il était dans ces années passées.

    "Hé ! Domi, arrête de te moquer de ma copine Christinette. Toi aussi tu en prends des fessées. D'ailleurs ça fait une moment que nous n'avons plus aucune nouvelle de tes aventures fessières. Bien que tu sois au courant de nos dernières fessées à Christinette et à moi également avec ma Tatie Julie. Alors Domi on rigole moins maintenant. Heureusement, je constate que ma copine ne se laisse pas faire et bien moi non plus, comme tu vois je la défend".

    Voilà Christine, j'espère que cette petite intrusion de Sylvette dans la conversation qui s'est engagée entre Dominique et Christinette n'est pas trop gênante et qu'elle ne se mêle pas trop de ce qui ne la regarde pas.

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  40. Merci Sylvie, ou plutôt Sylvette, qui veut défendre Christinette sujette aux moqueries de Dominique... Elle lui rappelle ses années "Minot" où il aurait moins osé se moquer publiquement d'une camarade de son âge... Cela aurait pu lui chauffer la "zone de vérité", hé hé hé...
    Cela dit, cela m'amuse d'imaginer aussi que sa nouvelle Dulcinée puisse s'en occuper aussi, hi hi hi...
    Mais, je ne voudrais pas vexer mon archiviste en chef, dont j'attends la production autant que Christinette la redoute...

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  41. Chère Christine et Sylvie,

    Je reconnais bien là, la solidarité féminine et l'intervention de Sylvette, me fait penser à celles que pouvaient avoir mes petites sœurs ou cousines (je dis petite, à cause de la taille), qui elles aussi savaient s'unir devant l'adversité masculine (le Minot et son cousin en ayant fait les frais, parfois).

    Il est vrai, Christine, que si le Minot s'était moqué publiquement de l'une de ses sœurs ou cousines, ou bien d'une camarade (j'ai d'ailleurs un exemple, que je me ferais un plaisir de partager avec vous, même s'il reste un souvenir particulièrement honteux, pour le petit mâle de l'époque), la ''zone de vérité'' en aurait effectivement pris pour son grade, je l'admets.

    Cela dit, chère Christine, votre imagination débordante sur une intervention possible de ma dulcinée, ne me ferait pas vraiment rire (sauf peut-être, dans un contexte plus intime), car celle-ci en est tout à fait capable, puisque partisane de la méthode. Alors, je préfères que vous gardiez cette folle idée dans votre poche, en la recouvrant de votre mouchoir, Mme Christine Spaak !!!!

    Amicalement, Dominique

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  42. Bon, d'accord, je remise mon idée "folle" de faire intervenir votre Dulcinée, Dominique. Je cherchais surtout un moyen de vous faire réagir, et cela a quand même un peu fonctionné...
    Mais, je préférerais lire vos commentaires et autres réponses à des questions précédentes comme vous l'avez promis... Même si cela doit chagriner Christinette ou la faire rougir de honte en lisant les propos d'un tiers sur ce qui survenait "parfois" à sa "zone de vérité"...

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  43. Chère Christine,

    Merci pour la ''remise au placard'' de l'idée et j'avais bien saisi votre intention, de me faire réagir, c'est finement joué à l'image de vos récits et commentaires, ma dulcinée est également très douée en ce domaine ! Je pense d'ailleurs, même sans vous connaître personnellement, que vous êtes sensiblement du même âge, si je m'en réfère aux indices de votre blog.

    Bon, sur ce je m'attelle à mon retard ! ''Tant pis pour toi Christinette ! Tu n'auras qu'à manifester ton mécontentement à Christine (l'impatiente), si mes propos te font rougir de honte et remuent tes méninges, c'est elle la responsable !!! Je l'entends d'ici ''Pffff..., coupable, mais pas responsable ! Dominique ? Mon œil, oui !!!''.

    Amicalement, Dominique

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  44. Ouille, ouille, ouille, se dit Christinette, si Dominique est décidé, j'ai bien peur de ne pas apprécier ses écrits... Quelle idée de revenir sur ces épisodes de ma petite vie que je préfèrerais ranger dans les oubliettes de la mémoire... A quelques heures de Noël, vous parlez d'un cadeau... Pourvu qu'il change d'avis...

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  45. Sylvette à Christinette.
    "Ne crains rien Christinette. Comme dit papa "La bave du crapaud n'atteint pas la blanche colombe que tu es". Eh! Dominique dit le minot, où en es-tu avec tes déculottées ? Tu as honte de nous raconter la suite de tes aventures, hein ? Ma soeur Sonia s'est prise une fessée de ma tante Julie par ma faute. Je suis surprise. Je vous raconterai ça plus tard, car moi aussi j'ai subi la foudre de ses mains expertes sur mes cuisses. Alors Domi, j'espère que tu arrêteras de te moquer de ma copine".

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  46. Chère Christine,

    ''Non, non, Christinette, désolé mais c'est en préparation et ce sera livré, pour Noël justement! Ce sera le père fouettard, je ne sais pas si tu connais? Demande donc à Christine, elle t'expliquera!''

    Christine, vous voudrez bien excuser le fait que je prennes pas le temps de développer le concept à Christinette et vous en laisse le soin, ceci dans le seul but de ne pas me disperser.

    Amicalement, Dominique

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  47. Chère Christine,
    Suite épisode :

    La nonchalance et l'entêtement de Christinette n'arrange pas l'humeur de Maman, à son retour, constatant que le couvert n'est pas mis et le fait savoir à sa fille, en lui précisant qu'à jouer de la sorte avec ses nerfs, cela va mal se terminer pour elle ! La prise de conscience est immédiate, chez la demoiselle qui se précipite pour exécuter la tâche, mais dans sa hâte commet la bourde qui fait déborder le vase de la patience maternelle et s'offre de fait, un nouveau voyage sur le giron de Maman, après les deux allés simples du matin pourtant bien cuisants.

    Christinette est effondrée, se rappelant l'avertissement de Tata, mais c'est trop tard ! Elle doit se mettre en pyjama, mais trop consternée n'y arrive pas, croyant vivre un cauchemar et ne sortant de sa torpeur qu'à l'arrivée de Maman encore plus énervée voyant sa fille inerte, l'invectivant fortement à obéir avant son retour et lui promettant sans mots précis, un sale quart d'heure.

    S'exécutant, Christinette, aperçoit que ses fesses ont retrouvées une teinte originelle, malgré la double tannée du matin, mais suppose qu'elles sont encore sensibles et le tout sous le regard curieux et moqueur de Diane, mais qui pour une fois n'est pas coutume émet un commentaire, légèrement compatissant "Ca y est, tu es prête ? Maman va encore te donner la fessée..." . Les deux petites rapportant même les propos menaçants de Maman, sur le chemin du retour et précisent (si besoin était) à la demoiselle que les dés sont jetés et son sort scellé.

    Ce que Maman du bas, entendant les chuchotements, confirme "Oh, là ! allez, dans votre chambre, les filles. Je ne veux rien entendre. Sinon, vous pourrez, vous aussi, préparer vos fesses" ! Là, c'est la fébrilité et la peur qui envahissent l'esprit de Christine, en voyant débarquer une mère déterminée, refermant complètement la porte, signe qu'elle ne veux pas être dérangée et s'apprête à avoir une conversation musclée, avec sa fille aînée et surtout ses fesses, en prenant position sur le lit (place au combien symbolique) et invitant celle-ci à la rejoindre, par le tapotement habituel sur sa cuisse !

    Christine, morte de trouille, s'engage alors dans un plaidoyer aussi vain, qu'inutile ! Battu en brèche, par Maman rappelant le contexte de la journée, ses avertissements répétés pour tempérer le comportement de sa fille, constatant au final que la fessée matinale pour un motif scolaire récurrent, n'a pas suffi à apaiser totalement la demoiselle et donc déterminée à remettre le couvert, au grand dam de Christinette, qui le réfute corps et âme !

    A suivre.....

    Amicalement, Dominique

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  48. Dominique tient ses promesses, et je l'en remercie, tout en saluant le petit message de soutien de Sylvette pour Christinette. Une Christinette à qui j'expliquerai un jour la tradition du Père Fouettard, mais je pérfère pour l'instant me concentrer sur le commentaire dominicain, fort bien vu une fois de plus...
    C'est vrai que la séquence du retour de Maman, du ton qui monte, de ma précipitation pour aller mettre la table, qui aboutit, non pas à calmer Maman de par mon obéissance, mais au contraire à l'énerver davantage de par ma maladresse et les verres cassés, cela m'amène à une situation que je n'arrive même pas à croire, puisque Maman m'envoie l'attendre dans ma chambre en annonçant que ça va barder, ce qui clairement veut dire que je suis bonne pour une nouvelle déculottée...
    Alors que, dans ce genre de situation, je me mets en tenue souhaitée, afin d'amadouer ou de ne pas fâcher davantage Maman, cette fois je n'y arrive pas, et qu'il faut l'irruption maternelle pour me redonner l'ordre et me faire enfin bouger...
    Et malgré le fait que l'image fugace dans la glace de ma lune redevenue blanche ne me rassure pas, sachant que cela n'en motivera que plus Maman à la rendre écarlate, surtout que même Diane semble compatir et me fait prendre conscience que la fessée à venir sera forcément magistrale...
    Dominique souligne aussi justement que si Maman referme la porte de ma chambre, c'est bien pour ne pas être dérangée, et prendre le temps qu'il faudra pour que cette fessée soit mémorable, puisque celle (pour ne pas dire "celles") du matin n'a (ou n'ont) pas suffi...
    Le commentaire de Dominique s'arrête au moment crucial, lorsque Maman tapote sur sa cuisse pour m'y faire venir et où mon angoisse est à son comble... Je suis impatiente de lire la suite... Même si Christinette, elle, ne l'est pas du tout...

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  49. Pauvre Christinette, Dominique enfonce encore le clou. Quelle terrible journée pour notre pauvre héroïne qui ne peut s'en prendre qu'à elle même.

    En effet, son attitude, ses réactions et retissances vis à vis de Maman Spaak ne pouvaient qu'entraîner son retour sur les genoux de sa mère pour une déculottée hors normes, fort heureusement administrée dans l'intimité de sa chambre (porte fermée, même si elle est restée grande ouverte à la suite de cette tannée).

    Maintenant qu'elle est calmée, elle devra faire front dès le lendemain aux discussions, déjà dans un premier hyemps dans le cadre familial, lors du déjeuner chez sa mamie. Ainsi elle pourra bénéficier du soutien de Tata Jacqueline et de Mamie. Cependant, cela ne pourra en rien enlever la gêne et la honte qu'elle devrait ressentir à ce moment-là.

    Sylvette ne peut être que compatissante envers sa copine et l'encourage à affronter ce moment avec sérénité, d'autant plus que la semaine qui arrive risque d'être particulièrement dure pour elle
    notamment au collège avec Babette et Brigitte, qu'il ne faut surtout pas sous estimer.

    Voilà Christine une nouvelle contribution qui corrobore avec les derniers propos de Dominique.

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  50. En marge de mon dernier commentaire, j'aimerais rebondir sur le père fouettard que Dominique et vous évoquez fait remonter dans ma mémoire des souvenirs certes lointain, mais marquants pour la petite Sylvette de 6/7 ans que j'étais à l'époque.

    En effet, Maman d'origine Suisse (tout comme Jean-Claude mon mari), avait une grande tante qui vivait dans un petit village alpin du Valais (canton Suisse). Une annee, alors que j'avais 6/7 ans nous avons, lors d'un week-end de début décembre, été invités pour fêter leur 50 ans de mariage. En Suisse la tradition Saint-Nicolas était très marquée à l'époque, et en ce 6 décembre, nous avons tous été surpris (mon grand frère et ma petite sœur qui avait à l'époque 4 ans) de voir frapper à notre porte deux hommes barbus, l'un habillé en rouge avec une grande barbe blanche, il s'agissait du Saint-Nicolas et l'autre en marron avec une grande barbe noire ( le père Fouettard). Je ne vous raconte pas la peur bleue que Sonia et moi avons eue. À la question avez vous été sages mes enfants, c'est Maman qui avait répondu pas toujours, d'où le martinet qui lui a été remis par ce triste personnage (père fouettard). Toutefois, le Saint-Nicolas nous a tout de même remis à chacun d'entre nous un sachet contenant des chocolats et bonbons. Voilà pour l'anecdote.

    Alors si Christinette et ses sœurs ne connaissent pas le père Fouettard...

    Ceci dit la légende du père Noël est restée très vivace dans notre famille. J'y ai moi même crue jusqu'à l'age de 12 ans environ. Et nous tenons à maintenir cette tradition auprès de nos enfants et petits-enfants. Voilà la parenthèse à Noël.

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  51. Le Père fouettard suisse a impressionné Sylvie, cela se comprend. J'ai eu des proches originaires de Lorraine, et là aussi, c'était Saint-Nicolas qui apportait les cadeaux, pas le Père Noël, la fête gardant son sens religieux de la Nativité. Et en Lorraine aussi, le Père fouettard était le compagnon obligé de Saint-Nicolas, l'un pour récompenser les enfants sages, l'autre pour les garnements garçons et filles.
    D'ailleurs, en Amérique le Père Noël, c'est Santa Claus, version US du Saint-Nicolas.
    Fermons là cette parenthèse nicolasienne en remerciant Sylvie pour ses contributions, et en attendant les suites promises par Dominique... A très bientôt j'espère...

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    1. Une toute petite précision avant de refermer la parenthèse.

      S'agissant du martinet mes parents ne s'en sont jamais servi. D'ailleurs, ils n'en ont pas eu le temps, puisque les lanières ont très vite été arrachées par mon grand frère Émile qui avait 9/10 ans à l'époque et moi également. Voilà pour refermer définitivement la parenthèse père fouettard.

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  52. Chère Christine,
    Suite et fin épisode :

    Christinette, tout en sachant qu'elle n'y échapperas pas, est incapable d'avancer de son plein gré vers le giron maternel, refusant de toute son âme cette nouvelle fessée et ne se décide, la peur au ventre, qu'après la menace de Maman d'une tannée plus conséquente !
    Approchant timidement, Maman se penche alors pour l'attraper et la basculer d'un coup, au travers de ses genoux, scotchant sa fille ! Sous l'effet de surprise, Maman en profite pour faire glisser le pyjama au bas et l'ultime rempart constitué par la culotte à mi-cuisses !

    Ressentant la mise à l'air de ses fesses pour la troisième fois de la journée, Christine, supplie et regimbe plus qu'à l'accoutumée, rattrapant sa culotte pour recouvrir sa nudité et tenir fermement la ceinture du sous-vêtement, afin de le conserver en place, ruant davantage pour échapper à la fessée !
    Maman n'apprécie pas, bien sûr, ce petit jeu pour lequel elle est de toute façon, la plus forte et le fait savoir à sa fille, tout en la maintenant fermement en attendant qu'elle s'épuise et l'invitant à retirer sa main. Devant la volonté de Christine, à ne pas céder ! Elle décide alors d'entamer un prélude sur les cuisses de sa fille, zone inhabituelle pour la fessée et plus sensible ! Claquant celle-ci de bon cœur, la douleur plus vive et plus aigu, fait réagir Christinette qui cherche à se protéger, permettant à Maman de bloquer la main velléitaire et libérer le cœur de cible, qu'elle souhaite atteindre, l'accompagnant d'une phrase ironique "Tu vois, Christine, que Maman arrive toujours à ses fins... Tu sais pourtant bien que les bonnes fessées de Maman, cela se donne directement sur les fesses, pour que cela claque mieux... Alors, je vais une fois de plus baisser ta culotte..."  ! Vaincue la demoiselle rend les armes !

    Maman s'attaque alors à son œuvre, ajoutant un sermon mortifiant "Bon, allez, tu vas l'avoir cette nouvelle fessée... Quand je pense que je t'ai déjà déculottée deux fois ce matin, et que cela n'a pas suffi donc... D'ailleurs, voilà des fesses qui sont redevenues bien blanches, une fois de plus... Mais, je vais leur redonner des couleurs. Tiens, tiens, et tiens..." s'appliquant à rougir et donc enflammer, à grande vitesse, ce fessier sensibilisé par la double volée matinale, stimulant aussi vite les glandes lacrymales de Christine.
    Celle-ci lâchant ses émotions (cries, suppliques, demande de pardon) malgré que les murs aient des oreilles, s'époumonant sous l'effet de cette nouvelle claquée, qui allait enfin la calmer.

    Amicalement, Dominique

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  53. Chère Christine,
    Suite :

    Maman consciente que cette fessée est d'une part, plus douloureuse pour sa fille, puisque s'ajoutant à celle du matin qui a déjà amplement cuit ses fesses et n'a pas d'autre part, le même objectif que la matinale sanctionnant une faute scolaire récurrente chez Christine, celle-ci n'a pas lieu de s'éterniser outre-mesure, mais rappeler à sa fille ainsi qu'à la maisonnée, la bonne conduite à observer même si l'on est mécontente d'avoir été punie, précédemment !
    Considérant cela, Maman relâche son étreinte et libère sa fille qui agenouillée commence à remonter sa culotte, pour masquer sa lune écarlate, pensant avoir reçu son du !
    Mais oh ! Surprise ! Comme cela est déjà arrivé par le passé, Maman la stoppe dans son élan lui rappelant les principes maternelles en matière de fessée et notamment l'inutilité de rébellion, lors de la phase de préparation ou de son déroulement ! La remettant alors au travers de ses cuisses, glissant à nouveau la culotte vers le bas, en précisant "Bon, ça suffit pour cette fois. J'espère que cette fessée t'aura enfin calmée...Tu en as eu assez pour aujourd'hui, mais que je ne t'y reprenne plus à chercher à me résister, sinon tu la sens celle-là ?" et ponctuant cette phrase, avec deux énormes claques !
    Clôturant enfin la leçon, par une dernière tirade "Tâche de t'en souvenir, ma fille, sinon gare à tes fesses, encore et encore..." et une ultime claquée puissante et sonore, avant de laisser sa fille ruinée de larmes, vidée de toute énergie, mais parfaitement calmée n'ayant plus la moindre idée de contestation.

    Amicalement, Dominique

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  54. Merci Dominique ! Rien à dire, comme Maman Spaak, vous tenez vos promesses. Voilà donc en deux parties un démarquage intéressant sur cet épisode, qui souligne des éléments forts de mon ressenti en ce samedi tumultueux, pour ne pas dire renversant (triplement...) !
    La peur y fait perdre raison à Christinette, consciente qu'elle n'y échappera pas, mais cherchant l'épreuve de force, là où une docilité aurait pu peut-être jouer en sa faveur...
    Il y a de la révolte par réflexe, trop apeurée de se retrouver ainsi encore sur les genoux maternels. Il y a aussi les cris et réactions non étouffées, car à ce point de la journée qu'importe que les soeurettes entendent encore, tant elles ont déjà pu voir, apercevoir, entendre ou deviner...
    Dominique souligne aussi les deux reculottages de cet épisode, le premier par réflexe juste après le plongeon en position, comme pour reprendre la main, regagner quelques secondes, et le dernier à la fin, où mon geste de remontée rapide déplait à Maman, car il ressemble à une volonté de rébellion. Cela amènera les claques sur les cuisses, assez inédites dans mes souvenirs, et efficaces pour que je lâche prise pour tenter de protéger l'autre zone sensible. Puis au final, cela amène un supplément de claques sonores sur une lune redécouverte, dans cette scène du samedi soir, où Christinette aura ressenti trois fois la culotte glisser vers le bas. Plus les deux du matin... C'était vraiment comme un jour de pleine lune christinienne chez les Spaak...
    On comprend que je m'en rappelle encore aujourd'hui...
    Merci Dominique le commentateur... En attendant (oui je suis gourmande...) les écrits du Dominique archiviste en chef !

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  55. Chère Christine,

    Vous êtes gourmande (comme bien des femmes) de choses qui vous plaisent et suis ravi de pouvoir vous faire plaisir.
    Les écrits de l'archiviste viendront, soyez en sûr, mais je m'y attelerai une fois rentré chez moi, avec des moments plus tranquille pour revisiter le blog et y puiser les références.

    Par contre, il me semble que nous connaissons vous et moi, une demoiselle qui ne soit pas aussi pressée, que je rendes la copie de ce devoir! Ayant déjà eu certainement l'écho, de celui rendu pour l'épisode et n'est pas (à mon avis) trop à son goût, mais je peux me tromper, bien sûr?

    Amicalement Dominique,

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  56. Merci d'avance, Dominique. Je suis sûre que vous tiendrez promesse. J'avais eu, mais c'est compréhensible, quelques inquiétudes lors d'une absence très prolongée, mais je retrouve là des commentaires fournis, bien vus et rédigés sans vous forcer, pour ne pas dire avec plaisir, ce qui est essentiel en la matière.
    Christinette, elle, serait d'humeur plutôt boudeuse, après avoir lu ces commentaires. Je l'imagine bien aller grogner dans sa chambre, rager intérieurement, et se garder bien sûr d'en parler à qui que ce soit, étant déjà honteuse de voir que tous ces détails de ses mésaventures sont arrivés jusqu'à ce Dominique qui se permet d'insister sur le fait que sa culotte a glissé vers le bas à plusieurs reprises... C'est déjà assez dur à vivre quand on est la personne concernée que ce n'est pas la peine d'y revenir en détail...
    C'est comme quand Christinette entendait Aline et Diane commenter les menaces maternelles à l'encontre de leur aînée, ou revenaient sur ce qu'elles avaient pu entendre et parfois même voir...
    Cela faisait bouillir intérieurement Christinette, au risque même que son attitude grognonne et à râler en grommelant dans son coin, ne recommence à déplaire à Maman Spaak, jusqu'à se demander si sa fille a bien compris la leçon, ou si elle ne cherche pas un supplément d'un genre que vous avez sûrement deviné, n'est-ce pas, Dominique ?

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  57. Bonjour Christine. Tout d'abord j'aimerais vous souhaitez en ce premier jour de cette année 2017 une très bonne et heureuse année. La santé surtout afin de continuer à nous faire vibrer avec votre blog. Je n'oublie pas Dominique et Mardohl vos plus fidèles commentateurs mais également Louis (je crois bien) bien-sûr qui vient de temps en temps alimenter ces blogs.

    Pour en revenir à ce dernier paragraphe, Dominique l'a très bien clôturé, tout à donc été dit sur les dernières frasques de notre Christinette. Nous attendons donc la suite des événements avec impatience, car la famille n'est pas encore passé à table pour le dîner.
    Cependant, il y a un petit détail dont personne n'a relevé l'importance pour la suite. Il s'agit de la jupe plissée que Maman veut que Christinette enfile pour le repas chez Mamie. Cette jupette ayant été déposée sur la chaise à côté de l'armoire risque d'être à l'origine de mésentente entre Maman et son aînée.
    D'ailleurs, si Sylvette avait été présente à ce moment-là, elle aurait sûrement conseillé à son amie de ne pas faire de vagues, de se tenir à carreaux et que si Maman lui demande de la mettre, d'obéir sans sourciller, le contraire la ferai retourner immédiatement sur les genoux de Maman pour une nouvelle déculottée.

    Voilà Christine en ce premier jour de 2017, mon dernier commentaire sur ce paragraphe. Encore bonne année à tous et toutes.


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  58. Chère Christine,

    Permettez-moi, tout d'abord, de vous présenter mes meilleurs vœux pour l'année 2017, ainsi qu'à Christinette, les soeurettes et l'ensemble des commentateurs ou leurs doubles (Sylvie / Sylvette), sans oublier, Maman Spaak à laquelle j'adresse une pensée particulière d'avoir si bien élevé ses filles.
    Sinon, Christine, je comprends fort bien le sentiment d'inquiétude que vous avez pu ressentir, lors de mon absence prolongée et vous remercie de cette sollicitude à mon égard, ça me fait très plaisir (comme rédiger mes commentaires, soi-dit en passant). Non ce n'est pas de la lèche, Christinette, c'est sincère et gare à toi, si tu grognes impunément, Maman possèdes comme tu le sais, un remède très efficace qui a fait ses preuves !!!

    Amicalement, Dominique

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  59. Merci Sylvie, merci Dominique, pour vos voeux. J'espère aussi que l'année nouvelle sera pour vous pleine de satisfactions, de moments forts, et d'un tas de bonnes choses. Et que vous continuerez à m'aider à entretenir ce blog.
    Cela dit, la suite arrive, c'est promis...
    Merci Sylvette de tes conseils, je crois que Christinette comprendra effectivement qu'il vaut mieux obéir en cette période agitée postérieurement si j'ose dire...
    Quant à Dominique, il fait grogner Christinette en lui rappelant que Maman à un remède efficace contre les grognonnes... Je sais qu'elle a deviné que cela concernait la "zone de vérité", n'est-ce pas ?

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  60. Merci à Sylvie pour ses meilleurs vœux, que j'adresse également à Christine, Dominique et tous les autres lecteurs de ce blog.
    En préambule à mon prochain commentaire (qui devrait être produit et livré dans le courant de l'après-midi), je dois saluer le souvenir de Sylvie, qui m'a parlé d'autant plus que le Valais est une région qui m'est chère. Moi aussi, j'ai bien connu la tradition de Saint-Nicolas et du Père Fouettard, au point même d'incarner, lors d'une fête villageoise, le généreux évêque. Si je distribuais des sachets de douceurs aux enfants ébahis, mon acolyte au manteau noir, autres temps autres mœurs, ne dispensait pas pour autant de martinet aux mamans.

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  61. Vous revenez souvent à la configuration inédite du châtiment matinal, que vous traduisez, en lancinant leitmotiv, par ce presque néologisme : « une fessée et demie ». Etant donné cette large mesure, Christine pouvait se croire à l’abri d’une autre correction ce jour-là, néanmoins, punie par sa mauvaise foi, sa rancœur et sa négligence, c’est également par « une fessée et demie » que se termine pour notre pauvre narratrice cette journée noire. Est-ce à dire que Diane, experte dans ce genre de comptabilité, vous assènera qu’en un seul jour vous vous êtes pris 1.5 + 1.5 = trois fessées ?
    Il me semble que cet épisode se démarque, dans son introduction et sa conclusion, par une redondance du thème de la culotte. En premier lieu, c’est la tenue dans laquelle Christine se retrouve à son corps défendant, et à deux reprises, pour l’essayage de la jupe plissée. Cette défaillance vestimentaire la fragilise, ce que ne manque pas de souligner sa maman : « en petite culotte comme [elle] es[t] », la mise à l’air de la lune fautive, dépourvue d’un rempart supplémentaire, n’en sera que plus expédiée. Et même si vous la mentionnez pas, vous vous déshabillez encore, devant votre mère, jusqu’à la culotte, lors de l’essayage final, ce qui pour autant ne vous empêche pas de grogner.
    Et c’est, lors de la fessée proprement dite, la culotte que vous essayez désespérément d’agripper et de remonter. Cette velléité de révolte vous gratifie d’une douloureuse volée sur les cuisses (stratégie en effet inédite) qui vous fait lâcher prise. Ce, à la profonde satisfaction de votre mère qui, joignant la parole au geste, vous ôte, pour la troisième fois en un jour déjà, cette ultime protection.
    Au terme de cette tannée rapide et efficace (appliquée, le terme n’est pas anodin « scientifiquement ») c’est la culotte que vous cherchez à remonter le plus rapidement possible, car il vous paraît symboliquement essentiel de la remettre en place. Mais à peine vous êtes-vous couverte « d’un quart de fesse » que votre mère, agacée sans doute par cette prise d’initiative, et désireuse également, comme en d’autres occasions, de punir votre mouvement de rébellion, redescend votre culotte à mi-cuisses pour un douloureux supplément de circonstance, qui cette fois calme pour de bon notre bougonne pré-adolescente.
    Pour autant, au terme de ce « black Saturday », le lecteur pondéré ne pourra plaindre Christine, qui n’aura cessé de chercher, tout au long de la journée, et malgré les mises en garde de sa mère comme de sa tante, cette seconde « fessée et demie », pour la plus grande jubilation de ses petites sœurs. (Notons quand même que cette somme exceptionnelle engendre chez Diane un zeste de compassion qui lui est tout autant, exceptionnel.)
    (Par contre, je remarque que sur l’une des photos, la correctrice porte une brosse à cheveux. Je sais bien qu’il ne faut pas rechercher une équivalence systématique entre les textes que vous écrivez et les images que vous allez cueillir sur la toile, et qui n’illustrent qu’approximativement le propos. Pourtant, ce léger détail me choque, en ce qu’il va à l’encontre de l’un de vos fondamentaux : pas de mention d’un quelconque instrument pour administrer la fessée.)
    Gageons que dès le lundi suivant, les oreilles de Christine siffleront sous le regard narquois de ses ennemies. Heureusement, l’année scolaire touche à sa fin.

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  62. Chère Christine,

    En effet, Christine, on ne peux rien cacher à Christinette qui sait que le remède maternel universel est toujours concentré sur la ''zone de vérité'', libérée de toutes entraves pour une plus grande efficacité et un ressenti optimum, administré avec maîtrise et conscience, afin que la patiente en perçoive tous les biens faits.
    Je suppose qu'il n'est pas nécessaire d'être plus précis, pour décrire cette médication dont Maman partage le brevet, avec d'autres mères aussi responsables et attentionnées qu'elle envers leur progéniture, dont-elles ont le devoir, de conduire sur le bon chemin.

    Amicalement, Dominique

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  63. Et voilà Mardohl qui commente aussi. Cette période des fêtes m'aura donc comblée en matière de réactivité des principaux contributeurs. Merci à vous.
    Très perspicace, Mardohl a remarqué une brosse à cheveux dans la main maternelle, mais elle n'est pas en position menaçante, c'est l'autre main et son index qui grondent et avertissent Christinette. Je confirme qu'il n'est pas question d'un quelconque instrument de correction. Ces photos sont choisies sur le Net, parfois recadrées quand des détails me gênent. Là, comme on n'était pas dans une phase de fessée proprement dite, la brosse peut s'expliquer par une mère qui range les affaires, va des chambres à la salle de bain, et ne la pas prise pour s'en servir pour sévir.
    (Si j'ai le temps, je tâcherai de recadrer l'image pour ne pas choquer mon pointilleux commentateur lettré).

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  64. Là où effectivement Mardohl souligne quelque chose de notable, c'est la "redondance" du thème de la culotte. Il est vrai que du fait de la première fessée interrompue, puis de ma mini-rébellion au début de celle du soir, comme du fait de ma volonté de me rhabiller trop vite, cela a amené à une succession de déculottage, de mise à jour de cette lune que je tiens à protéger, évidemment, des claques et de l'incendie d'une tannée maison, mais aussi que je cherche toujours à cacher, de par ma pudeur d'ado bien plus forte que celle de mes soeurs.

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  65. Petit message de Christine à Dominique : Christinette grogne et enrage même quand vous employez des périphrases, des images détournées et des mots juste évocateurs... Je crois même qu'elle bougonne et vous tirerait la langue dans votre dos, si elle le pouvait... Alors, n'hésitez pas de temps à autre à appeler un chat un chat, et à lui montrer que vous pourriez être plus précis et clair... Cela lui montrera peut-être que c'est délicat de votre part d'éviter les mots qu'elles n'aiment pas entendre... Et que mieux vaudrait en effet qu'elle ne grogne pas...

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  66. Chère Christine,

    Message reçu et j'en prends bonne note pour mes prochains commentaires. Et que Christinette garde ses grimaces et sa grognerie de gamine puérile, envers moi ! Car je pense que si une telle effronterie de la part de sa fille, parvenait aux oreilles de Maman Spaak, la demoiselle pourrait bien alors avoir à préparer ses fesses qui une fois misent à l'air et amplement exposées, seraient rougies de belle façon par la main maternelle.
    J'espère que l'avertissement est assez clair, Mlle Christinette et que votre petite cervelle, fera le bon choix, afin de conserver une lune immaculée et bien couverte par votre culotte.

    Amicalement, Dominique

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  67. Screugneugneu de screugneugneu, si Dominique se met à appeler un chat un chat, et une f... une f..., je vais ne plus savoir où me mettre, moi Christinette... Je dirais bien que je ne lirai plus les commentaires, mais je sais que je ne le ferai pas, étant curieuse de savoir ce que l'on dit sur moi, et d'en tirer quelques leçons ou bons conseils parfois. Mais, avouez que que voir étalés et écrits noir sur blanc les moindres détails et les étapes de ce qui m'arrive "de temps à autre", ou "parfois", n'est pas agréable, et me donne envie d'aller me cacher dans un trou de souris...

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  68. Je signale à Mardohl que le petit détail incongru de la brosse a été gommé en retaillant l'image. Notre puriste peut être rassuré. Je n'ai pas changé d'avis sur le sujet, ni Maman Spaak n'a pas changé de méthode...

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