lundi 16 décembre 2013

Chronique d'un redoublement : 68. Des cauchemars à une longue pause qui, elle même, ravive l'angoisse

SUITE 67

J'avais très mal vécu de devoir diner en chemise de nuit, seule qui était déjà prête à aller au lit, redescendant affronter les réflexions maternelles et les regards moqueurs de mes soeurs. J'en arrivais à regretter que Maman ne m'ait pas fait attendre l'heure du coucher pour régler nos comptes. Car, à y bien réfléchir, c'était comme un privilège de grande d'être ainsi "servie" la dernière.

Les petites, elles, étaient souvent corrigées sur le moment, sans délai, et d'avoir vu Maman me prendre par la main, me faire monter les escaliers, pour me flanquer sans attendre la déculottée méritée, je l'avais ressenti comme une sorte d'infantilisation. La grande avait, moins de deux semaines avant, pris une tannée magistrale pour ses mensonges, mais cela n'avait peut-être pas suffi, puisque la grande recommençait comme une gamine, et donc, il n'était pas nécessaire de palabrer, pas nécessaire de la faire attendre et réfléchir, non. C'était récidive et donc fessée sur le champ, du moins c'est ainsi que je l'analysais...



Je restai longtemps tête basse, piquant le nez vers mon assiette,
durant ce diner pris en famille sous le regard de mes soeurs
qui savaient que leur ainée avait les fesses encore rouges...


Le seul réconfort que j'eus, à l'issue du repas, en remontant dans ma chambre, c'était bien de savoir que le plus dur était passé, que je n'allais pas devoir "préparer mes fesses", que l'heure était à l'apaisement... J'aurais évidemment préféré que ma lune soit encore blanche et fraiche, mais cela aurait signifié que ma fessée arrivait. Là, l'épiderme encore endolori, la mappemonde sensible et encore colorée, je savais que je n'avais plus rien à craindre... Même si je me doutais bien qu'il fallait que je me montre calme et apaisée, que je ne fasse pas de réflexions déplacées, bref, que je n'irrite pas Maman que je savais capable de remettre le couvert si elle avait jugé que je n'avais décidément rien compris...

J'adoptai donc le profil bas, demandant même pardon à Maman quand elle vint me coucher, et la laissant développer son sermon classique en rappelant que j'avais été prévenue, que je n'avais qu'à m'en prendre qu'à moi-même, et que je savais ce qui m'attendait si je recommençais...

De retour au collège, j'évitai aussi Martine au maximum les jours suivants, contente finalement que la prof nous ait séparées, ce qui m'éloignait de ses questions à répétition... Je sentais d'ailleurs bien que cela devait jaser derrière mon dos, d'autant que plusieurs de mes camarades avaient des soeurs dans les classes des miennes, et que je me doutais bien que les petites n'étaient pas avares dans leurs confidences sur les exploits de leur grande soeur...


 
Martine aurait voulu que je lui raconte ce qui m'était arrivé...
Elle me regardait, la tête penchée, avec une moue interrogative :
"Tu es sûre, Christine, que ta Maman t'a seulement sermonnée...?" 

Moi qui avais l'habitude d'être parmi les plus promptes à faire l'intéressante, à amuser la galerie, j'avais été calmée par cet épisode, dont la révélation par l'intermédiaire de tiers comme Martine et sa mère, m'avait valu une fessée, certes méritée, mais que je n'aurais jamais osé révéler en dehors du petit cercle familial, qui était forcément, lui, au courant... 

J'avais d'ailleurs pas mal cauchemardé, les nuits suivantes, imaginant de nouvelles retrouvailles entre la mère de Martine et la mienne, en notre présence... J'imaginais Maman me demander de raconter ce qu'il s'était passé à mon retour à la maison, et moi m'emberlificoter dans des paraphrases pas claires, rendant perplexes nos interlocutrices jusqu'à ce que Maman intervienne en disant qu'il était plus simple qu'elle leur montre ce qui s'était passé en m'entrainant à nouveau sur ses genoux, mais cette fois, dans le salon, devant elles...



 
 Dans mon cauchemar, Martine et sa mère venaient à la maison, 
et Maman me demandait de raconter ce qui m'était arrivé...
Comme je ne donnais aucun détail, Maman me remettait devant elles
sur ses genoux, et expliquait : "Tu te souviens bien, ma chérie, que j'ai baissé
ta culotte, comme à chaque fois que tu dis des mensonges, 
et que tu as reçu une bonne grosse fessée..."
De quoi se réveiller en nage, effrayée par ce cauchemar...

Ce type de cauchemars me faisait me réveiller en sursaut en pleine nuit, et il me fallait quelques minutes pour reprendre mon souffle, pour me calmer, pour me rassurer en constatant que j'étais seule dans ma chambre, que j'avais encore culotte et pyjama protégeant une lune toujours blanche...

Fuyant le regard de mes copines, moins encline à me faire remarquer, je me trouvai finalement à travailler davantage... Ayant d'ailleurs déjà réagi par quelques notes plus flatteuses durant les premiers jours du trimestre, je poursuivis mon effort après cette deuxième fessée, d'autant que l'on arrivait à la fin janvier, et que je ne doutais pas que le premier carnet de notes mensuel serait épluché sérieusement...

De fait, il fut bien meilleur. Pas encore conforme à l'attente d'une mère qui m'aurait bien vue passer de redoublante à première de la classe, mais avec une moyenne en hausse, et quelques appréciations positives, jusqu'à ma bête noire de prof d'anglais qui écrit "Un léger mieux" que je considérai comme une victoire !

Diane étant toujours au dessus de la moyenne, Aline stable un peu en dessous, ce qui était aussi moins pire que cela n'aurait pu être, cette fin du mois vit trois carnets signés sans la moindre déculottée, ce que Maman apprécia et mit pleinement à l'actif de sa méthode, persuadée que sa sévérité avait payé...


Calmée et ramenant de meilleurs résultats, je bénéficiai d'une accalmie fessière,
si j'ose cette expression. Et c'est Aline qui prit le relais à plusieurs reprises,
même Diane n'étant pas épargnée...
Février démarra plus en fanfare pour mes soeurs. Même s'il ne dure que quatre semaines pile, le mois fut ponctué par trois fessées pour Aline, comme autant de rappel à la nécessité de travailler dur, de ne pas rechigner à faire ses devoirs, de faire des efforts demandés chaque jour par une mère bien décidée à ce que la moyenne ne suive pas l'exemple du redoublement de son ainée.

Parallèlement, Diane étant dans la facilité et en profitant pour être parfois capricieuse, ou pour embêter Aline, notre petite soeur s'octroya elle aussi deux rendez-vous sur les genoux maternels... 

Quant à moi, plus méfiante après les trois épisodes claquants (de Noël et les deux de janvier), retrouvant un programme déjà étudié l'année précédente, je réussis à ramener un deuxième carnet mensuel consécutif encourageant, sans qu'il y ait eu non plus d'épisodes de chahut, ni d'heures de colle, et février, ce qui était presque un exploit, ne rima jamais avec fessée !

Je n'en revenais presque pas moi-même, tellement décembre et janvier m'avaient marquée, me faisant penser que je repartais dans une spirale de la déculottée régulière... Mais, j'avoue que je n'étais pas peu fière, souvent habituée à ce que la dernière fessée de référence soit une des miennes, que cette fois, les claquées d'Aline, et même de Diane, tiennent le devant de la scène et des confidences maternelles.

Même si, Maman savait me rappeler régulièrement que je n'étais pas à l'abri, voire à certains moments à affirmer que cela faisait longtemps que je n'avais plus été déculottée, et qu'il fallait que je me méfie, car cela n'allait peut-être pas tarder...

Je restais ainsi sous pression, sous la menace maternelle, qui ne voulait surtout pas dévier de ses principes. Elle était forcément ravie, sans trop le montrer, voire fière que mes résultats ainsi que mon comportement en classe se soient, semble-t-il, améliorés. Elle se félicitait de l'efficacité de sa méthode, mais je savais qu'il ne fallait pas m'attendre à ce qu'elle en devienne laxiste... 

A vrai dire, il y avait quand même de bons côtés. Mes deux carnets de notes en hausse successifs m'avaient valu des permissions de sortie au cinéma, et une jupe neuve qui me faisait envie notamment.

Je commençais quand même à me dire que je réussirais à prolonger la trève le plus longtemps possible, ou du moins à diminuer le nombre de rechutes... Car, jamais, non, jamais, je ne me figurais en avoir fini avec la fessée... Surtout que les avertissements maternels demeuraient fréquents, et que les épisodes vécus par mes soeurs, surtout Aline évidemment, venaient ainsi certains jours nous rappeler les bruits caractéristiques des démonstrations maternelles...

Mais, même si février était le plus petit mois de l'année, je me sentais fière de l'avoir passé sans dommage "postérieur", comme les dix derniers jours de janvier, et j'entamais mars avec l'envie de prolonger ce qui devenait un petit exploit personnel...


Même avec un carnet de notes satisfaisant, deux fois de suite,
je ne me sentais pas à l'abri, et les menaces maternelles
à répétition commençaient à devenir de plus en plus précises... 

J'étais à la fois confiante, assez sûre de mon travail, notamment pour des parties du programme qui correspondaient à des moments où l'année précédente Maman avait tenté de reprendre sa fille en main, et dont je me rappelais d'autant mieux les leçons. Mais, cette confiance demeurait teintée d'angoisse, à cause d'une espèce de petit raisonnement qui trottait dans ma tête, et me disait que plus je m'éloigne de la dernière fessée reçue, et plus, sans le savoir, je m'approche de la prochaine...

Et, j'avoue que cette petite musique m'angoissait gravement, surtout quand, parfois, après une ou deux remarques bénignes, Maman haussait un peu le ton, et me lançait une de ces phrases qui vous font accélérer le coeur, comme : "Oh, toi, Christine, si tu cherches les ennuis, tu vas me trouver...." Ou bien : "Fais attention, car je commence à avoir la main qui me démange..." Quand ce n'était pas, plus clair encore, comme : "Continue comme ça, Christine, et ça va barder... Cela fait un moment que je ne me suis pas occupée de tes fesses, alors, dis-le moi si ça te manque..." 

Et, c'est vrai que ces avertissements réguliers, et le fait que les jours défilaient commençait à ne plus me rassurer. Je passais de l'attitude de la fille de plus en plus tranquille, confiante que cela allait durer, à une angoisse naissante consistant à me demander surtout comment éviter ou retarder cette prochaine fessée qui viendrait bien un jour...

A SUIVRE

109 commentaires:

  1. Chère Christine,

    En effet, Christine, excellent épisode de transition que je me permets de synthétiser :

    -Digestion difficile de cette tannée infantile pour Christinette, peuplée de cauchemars.
    -Efficacité de la méthode maternelle, confortée par les 3 carnets de janvier.
    -Confirmation de la règle maternelle, aux dépens des soeurettes, profitant également à l'aînée, comprenant qu'il ne faut pas jouer avec le feu.
    -Assagissement et efforts, beaucoup plus durable pour la collégienne, sous haute surveillance. -Maintien de la pression maternelle, rappelant à sa fille comment lui faire suivre le bon chemin.
    -Inquiétude et angoisse pour Christinette, sur son avenir fessier, du fait de cette trêve à rallonge.

    Voilà, Christine, la petite synthèse Dominicaine, en vous précisant bien sur que je développerais plus en détail ces éléments, pour le plaisir de la conteuse, mais peu être pas celui de Christinette.

    Amicalement, Dominique

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  2. Merci d'avance, dit Christine. Screugneugneu, grrrrrr, réplique Christinette... Bouh, hou, hou,je vais pleurer, ajoute Christinou...

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  3. Chère Christine,

    De rien Christine, Dominique est ravi de vous faire plaisir.

    Par contre, attention « M'amselle Christinette la râleuse, si tu continue comme ça, ça risque de mal aller pour toi, tes fesses sont au repos depuis longtemps, mais si cela te manque à ce point et bien dis-le, Papy fouettard fera en sorte de leurs trouver une distraction et là, la Christinou pourra pleurer pour quelque chose, non mais! Ca suffit les jérémiades de gamine ! ».

    En dehors de la taquinerie, Christine, je vous prépare les développements au plus vite que vous, au moins vous apprécierez, à l'inverse des deux bougonnes aussi gamines que les soeurettes, qui ne méritent pas autre chose que de bonnes déculottées de Maman.

    Je sens que Papy va être mis au pilori, par les fillettes, hi hi......

    Amicalement, Dominique

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  4. Non, Christinette ne dit plus rien. Elle a déjà assez de souci à se faire quand Maman hausse le ton qu'elle ne veut surtout pas froisser la susceptibilité d'un "papy dominicain". Et la grande des trois filles Spaak préfère profiter de l'accalmie prolongée que lui fournit l'arrivée de meilleurs carnets de notes et une attitude plus calme en classe.

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  5. Chère Christine,

    « Comme c'est joliment dit de la part de Christinette (ne pas froisser la susceptibilité d'un papy dominicain), j'apprécie et t'accorde un sursis, mais gare à tes fesses la prochaine fois et je ne saurais que trop te conseiller de ne pas retomber dans tes petits travers, si tu veux prolonger l'accalmie fessière de Maman, à ton sujet, qu'en penses tu ? »

    J'espère, Christine, que vous ne m'en voulez pas de ce petit jeu familier (tu), avec Christinette qui m'amuse beaucoup, me donnant la sensation de revivre quelques situations du passé, avec ma propre fille (29 ans) ou je menaçais bien plus souvent que je n'agissait, à l'inverse de Maman moins patiente, comme aujourd'hui avec mes petits enfants ou mon fils de 11 ans.

    Je vous demande pardon pour cette petite digression Dominicaine, qui j'ose l'imaginer, ne sera pas censurée par ma conteuse préférée, qui connaît mes facéties, ainsi que mon intégrité et ma position sur l'éducation.

    Amicalement, Dominique

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  6. Chère Christine,
    -Digestion difficile de cette tannée infantile pour Christinette, peuplée de cauchemars :

    Si pour Christinette qui a connu bien d'autres tannées équivalentes en intensité, par le passée, la digestion de celle-ci est plus difficile, compte tenu de son déroulement orchestré par Maman, plus infantilisant que jamais pour une jeune fille en devenir.
    D'ordinaire (si je puis dire) le règlement des comptes avec la demoiselle, sont différés au moment du coucher par Maman Spaak qui libérée des autres tâches (vaisselle, lessive ou coucher des petites) peut alors s'occuper en toute sérénité, de son aînée et de ses fesses, seulement couvertes par deux étoffes légères (pyjama ou chemise de nuit et culotte) facilitant ainsi la mise à nue et la maîtrise de cette jeune fille, physiquement plus développée que les soeurettes.
    Cette action habituelle, bordée du début à la fin, est ressenti par Christine comme une sorte de déférence (un peu funeste, tout de même) à son égard, du genre « On ne fesse pas une grande fille, comme on fesse une gamine, cela demande plus d'énergie et d'application » et convient (si j'ose dire) davantage à la demoiselle.

    Sauf que là, Maman a toutes les cartes en main, avant même le retour de Christine et considère que la récidive du mensonge (après moins de deux semaines) n'est pas la marque d'une grande fille responsable, mais celle d'une gamine encore trop écervelée et qu'il convient donc de corriger immédiatement, sans perdre de temps en vaine discussion, la demoiselle ayant l'occasion de réfléchir sous l'effet de la déculottée et peut-être après.
    D'où cette montée des marches infantilisant, mené par Maman, tirant sa grande fille comme une gamine, surprenant même au passage les soeurettes plus au fait, de ce genre de manœuvre maternelle, qui mortifie Christinette redevenant sur l'instant une fillette que l'on doit punir, à la différence que la punition sera de format XXL et non S.

    A suivre........

    Amicalement, Dominique

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  7. Chère Christine,
    -Suite de la digestion :

    S'ensuit alors pour Christinette, la tannée maternelle longue, appliquée, éreintante, ponctuée de rappels infantiles (baissé de culotte, dernière fessée insuffisante, etc....) et prévisible depuis le message de Corinne.
    A cela s'ajoute le repas mortifiant, pour une demoiselle déjà en chemise de nuit (l'inverse des petiotes) avec une lune encore sensible, gênant un maintien stable, amenant des regards moqueurs et des remarques maternelles infantiles, dont une proposition de nouveau service, faisant son effet et donnant à Christine, une attitude de rédemption envers Maman.

    Christine reprend sa vie collégiale, sous le signe de la transparence et de l'effacement, évitant au maximum le contact avec une Corinne (à l'origine de ses déboires) curieuse de tout savoir, mais que Christinette ne peut se résoudre à avouer, déjà trop honteuse que la famille soit informé de sa nouvelle déconvenue.
    Ceci amenant des nuits agitées pour Christine, son esprit fabriquant des cauchemars tout aussi saugrenus, qu'impossibles ! En effet, comment imaginer, Madame Spaak orchestrer un tel scénario dans le seul but d'humilier sa fille, non impensable ! Même si l'on sait que Maman Spaak ne cachait pas ses méthodes et qu'elle pouvait à l'occasion de conservations, entre mères, préciser que sa grande fille avait encore droit à de bonnes fessées, en cas de nécessité.

    Sauf que l'on ne commande, n'y ses rêves, n'y ses cauchemars et que pour Christine, le facteur déclenchant ceux-ci, n'est autre que cette mésaventure marquante qu'elle vient de vivre et dont les ramifications psychologiques demeurent, bien plus longtemps que les traces physiques, qu'il faut alors digérer avec plus ou moins de difficultés.

    A suivre............

    Amicalement, Dominique

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  8. Chère Christine,

    Je constate que si Christinette, craignant pour ses petites fesses se tait et ce qu'apprécie le 'papy dominicain' ayant bien autre chose à faire, que régler le coté ronchon d'une gamine !
    La grande, Christine, est tout aussi muette et si le vieux machin, sait que le professionnel l'emporte sur la détente, la conteuse pourrait néanmoins se bouger le bas du dos, de temps à autre !
    Certes, je reconnais que cela était plus du domaine de Maman Spaak à une certaine époque, qui savait y faire, pour motiver cette aînée intelligente, plus encline à la facilité qu'à l'effort !
    Comme vous l'aurez compris, tout ceci n'est que taquinerie et humour, du 'papy dominicain' qui se languit de lire, sa conteuse préférée !

    En attendant, je vais poursuivre mes développements sur l'épisode qui, je n'en doute pas, auront les faveurs de la grande Christine, mais certainement pas de Christinette, désolé pour elle !

    Amicalement, Dominique

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  9. Voilà, voilà, Dominique. J'ai validé vos commentaires toujours appréciés... Désolée pour ce retard, mais la période est effectivement assez prenante... Heureusement que Maman Spaak ne peut être mise au courant de ces absences et du manque d'assiduité de son ainée... Sinon, bien sûr... Vous voyez ce que je veux dire...

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  10. Chère Christine,

    En effet, Christine, je vois très bien ce que Maman Spaak pourrait offrir à la Christinette, en de telles circonstances et en cette prériode, qui serait plus un cadeau du 'Père Fouettard' que du 'Père Noël.
    Sinon, merci pour la validation, en espérant que vous pourrez bénéficier d'un peu de temps libre, pour apporter votre réaction à ces commentaires et la suite arrive.

    Au fait, petite précision hors sujet, je suis en congés prolongés (cumuls de repos) n'étant pas concerné pas la campagne hivernale de l'entreprise.

    Amicalement, Dominique

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  11. Chère Christine,
    -Efficacité et confirmation de la méthode maternelle :

    Christinette bien gâtée sur le plan fessier, en ce début d'année, ré-enfile son costume de sage et studieuse demoiselle, plus conforme aux attentes de Maman et qui, sans le vouloir, conforte la pensée maternelle que je vais tenter de retranscrire :

    « Tu vois, Anne-marie, il n'y a pas de mystère ! Une bonne déculottée ! Et hop, tes filles reprennent le bon rail pour un certain temps, Aline bien sur qui a de vraies difficultés et surtout Christine qui se laisse porter par la facilité, alors qu'elle est capable de mieux et préfère ses petites manigances ou entourloupes en tout genre !
    Tant qu'à Diane, facile comme sa grande sœur, c'est plus son agitation ou ses caprices, qu'il me faut contenir et finalement, ça fonctionne pour les trois, même si ça m'ennuie pour la grande qui devrait avoir dépassé ce stade, mais bon cela viendra bien un jour ! »

    Christine consciente de cela, s'efforce de réagir, se fondant dans la masse et produisant un travail plus fournit, confirmé par quelques bons résultats et ayant à l'esprit que le prochain carnet, sera un test grandeur nature, sur la détermination de Maman à maintenir tout son petit monde à flot.

    La livraison des trois carnets de janvier, confirmant à Maman Spaak que sa méthodologie est la bonne (sans être la solution miracle), celle-ci pouvant constater tant l'amélioration chez l'aînée, certes encore un peu juste pour une redoublante, mais en progrès, que chez la cadette Aline ayant fait des efforts pour se maintenir à niveau et la petiote caracolant en tête de classement.

    Maman paraphe donc ceux-ci, sans avoir à baisser une seule culotte (phénomène assez rare, chez les Spaak), sans relâcher sa vigilance et affirmer sa volonté de tenir la barre du vaisseau Spaakien, donc les petites vont faire les frais, au cours du mois suivant, ponctué par cinq fessées (trois pour Aline et deux pour Diane), la grande Christine passant au travers des mailles du filet.

    A suivre.............

    Amicalement, Dominique

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  12. C'est vrai, Dominique, que Christinette n'aurait pas envie d'un tel cadeau du Père Fouettard, ni de la Mère Fesseuse...
    Pour ce qui est du récit, vous notez avec juste raison qu'en cette année de redoublement, comme cela avait été (encore plus) le cas l'année précédente, qui s'était soldée par ledit redoublement, les soirées d'arrivée de carnet de notes sans aucune déculottée étaient rares...

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  13. Chère Christine,

    Je confirme que la présentation de carnet mensuel, au sein du clan Spaak, était plus sujet à de bonnes déculottées, qu'à des félicitations, sauf pour Diane épargnée à ce moment (mais peut-être, que cela changea par la suite, à voir !) et j'avoue, par compassion pour Christine et Aline, que cela est plaisant, même si le vent tourna rapidement pour la seconde.

    Sinon pour répondre à Christinette, je peux lui dire, à l'image de Tata Jacqueline ou de Mamie : « Bien sur, ma grande, je sais que tu préfères le cadeau du Père Noël, à celui du Père Fouettard ou de Maman chérie Fesseuse, alors à toi de bien réfléchir et continuer sur la voie de la sagesse et du travail, afin de conserver le plus longtemps possible la blancheur de tes fesses, en laissant, la place à tes sœurs, notamment Diane qui profite allègrement de la situation, sachant que pour Aline, c'est plus difficile et je suis sur que tu me comprends, ma chérie ! ».
    (pardonnez moi, Christine, pour cette familiarité, inhérente à mon passé)

    Je vous prépare donc la suite et au passage, tout comme vous, j'ai apprécié le récit de 'Mamie Valérie' (respect à mon aînée, mais Papy se sentira moins seul) imaginant que la suite de celui-ci, sera plus rouge que rose, à l'image des déboires d'une certaine Christinette.

    Amitiés, Chère conteuse,

    Amicalement, Dominique

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  14. Cadeau, cadeau, pfff, comme si c'était un cadeau... Je sais bien que l'on dit "donner" la fessée, que la punie la "reçoit", qu'elle est souvent "généreuse", et qu'une Maman attentive s'emploiera à défaire tout "emballage" pour que le "cadeau" ne soit pas caché et puisse prendre la couleur désirée...

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  15. Chère Christine,

    Quel joli conte d'avant Noël, Christine, pour mettre en valeur tous les attributs d'une bonne fessée, donner, recevoir, générosité, déballage essentiel pour que le 'cadeau' soit unique et sans équivalent, afin de demeurer dans la mémoire du récipiendaire (fille ou garçon).
    Sinon, tout comme vous, je n'ai jamais considéré cela comme un 'cadeau' ou alors du genre empoisonné plutôt détestable et s'il m'est arrivé, en veille d'anniversaire ou de Noël, d'obtenir ce type de présent, j'avoue humblement que je préférais ceux du lendemain.

    A bientôt, pour la suite...........

    Amicalement, Dominique

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  16. Bonjour, Christine,
    Découverte de la 'Vraie Fessée' et de sa douleur, alors, inconnue à ce jour :

    Par le passée, Maman, m'avait déjà claqué les fesses, mais par dessus la jupe ou la culotte, ces claquées que je qualifie de 'petites fessées' étaient le plus souvent donnée, courbée sous le bras de Maman, qui m'administrait alors au maximum une douzaine de claques rapides et fortes, que je sentaient bien sur, mais la honte d'être dans cette position surpassait l'échauffement fessier (somme tout supportable) me faisant verser de grosses larmes et une fois redressée, les joues plus rouges que mes fesses, je fuyais vers ma chambre confié ma peine à mes poupées.

    Tout ceci pour dire, que si j'avais compris que ce Maman allait faire, ma honte était décuplée par le fait d'être ainsi déculottée et allongée sur ses genoux, pleurant à gros sanglots, avant même que la première ne tombe sur mes fesses nues et me fasse découvrir (La Douleur) d'une 'vraie fessée', qui durant ce moment allait prendre le dessus, ajoutant par la suite une trouille bleue à ma honte initiale, lors de mes rendez-vous avec ce fameux tabouret.
    D'ailleurs, avec l'âge, Maman ne se privât pas d'utiliser la référence de ce meuble, détourné de sa fonction première et utilisé dorénavant pour une activité moins ludique, mais tout aussi sonore.

    Fessée de Valérie :
    Maman qui m'avait déculottée méthodiquement, retroussa ce grand pull qui couvrait mes fesses, de la même façon, ressentant alors un grand frisson (mélange de peur et de température différente) comprenant que mes fesses nues s'offraient à la punition maternelle et balbutiant un « Nooonnn, M'maaaann, j'veuuuux pas, j'aiiii peuuurrrr, st'eeee plaiiiiit !», j'obtins une réponse très calme et pleine de détermination « Je sais, ma chérie que tu as peur, c'est normal, mais je me dois justement de te faire comprendre qu'il y a des limites à ne pas dépasser et comme tu les a franchi, tu mérites une punition qui te fasses réfléchir ».

    Sans avoir pu répondre, je sentis une première douleur fulgurante sur mes fesses, aussitôt suivit par d'autres, comme si des milliers d'abeilles piquaient celles-ci et tellement insupportable que je criais, à en suffoquer, la main de Maman tombant comme une pluie d'orage, cette fois je versais des larmes de douleur et mon corps battait la chamade, sous cette claquée qui faisait mal.
    Puis tout à coup, plus de claques ! Cessant mon agitation, pleurant comme une fontaine et la bouche grande ouverte pour reprendre mon souffle, tout en gémissant, je ressentais une très forte chaleur (type coup de soleil) au niveau de mes fesses, accompagnée de picotements épidermiques.

    Affalée sur les cuisses de Maman et reprenant mes esprits, gémissements et pleurs s'apaisant, j'essayais alors de glisser de ses genoux croyant la punition terminée, mais là je sentis son bras gauche me retenir et ne comprenant pas, je tournais la tête vers elle, implorante et l'entendant me dire « Allons, Valérie, restes donc là, Maman a parlé d'une 'vraie fessée' pour te faire réfléchir et celle-ci est loin d'être finie, ma fille ! ».

    Valérie

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  17. Suite :

    Désemparée, prise d'une nouvelle crise de larmes, je criais « Non, M'man, st'e plait, ça fait trop mal ! » avec des trémolos dans la voix, obtenant en réponse une nouvelle série de claques moins rapide que la précédente, tout aussi forte, mais de façon plus ordonnée, dirais-je et parcourant l'intégralité de mon fessier, méthodiquement, la main de Maman s'appliquant à bien faire passer la leçon du jour.
    Mes expressions étaient réduites à un flot de larmes, accompagné de longs gémissements venant du fond de ma gorge, tant la brûlure de mes fesses était insupportable, ponctués de tonalité plus aigus lorsque sa main touchait, des parties plus sensibles et pliant sous la volonté de Maman, je m'abandonnait totalement.
    Celle-ci ayant atteint son but me gratifia alors, d'une dernière série aussi vive que la première, tout en l'accompagnant d'un discours en forme de promesses futures « Valérie ! J'espère que le souvenir de cette 'vraie fessée' te feras réfléchir à l'avenir et ceci, avant de faire l'idiote, sauf si tu souhaites que Maman te baisse la culotte, comme aujourd'hui ! ».
    Malgré mes cris et le bruit des claques, j'avais bien entendu l'essentiel du message maternel, m'indiquant que dorénavant tous les écarts de Valérie seraient sanctionnés par une bonne déculottée de sa part et cela, n'avait rien d'engageant.

    Surprise et épuisée par cette 'vraie fessée', je glissais des genoux de Maman vers le sol (à demi nue) me recroquevillant sur moi-même, le visage dans mes mains, pleurant tout mon soûl, anéantie par ce qui venait de m'arriver et me laissant là, celle-ci m'ordonna en quittant la chambre, de ranger le tabouret et me changer, avant le souper, ce que je fît par crainte.

    Appelez pour le dîner, encore larmoyante et la tête basse, je retrouvais ma grand mère (Maman étant à la cuisine) me tendant les bras pour me consoler qui me dit :
    « Allez, ma chérie, c'est fini ! Tu as fâché Maman et elle t'a puni, c'est normal ! C'est son devoir de te faire comprendre ce qui est bien ou mal, pour ton avenir! » ajoutant « Et, je me doute bien qu'elle t'a fait passer un sale quart d'heure, auquel tu ne t'attendais pas, alors réfléchis bien avant de recommencer à faire l'idiote! ».
    Cette morale de Mémé était très sensée, sauf que la Valérie de l'époque était bien trop jeune pour en percevoir le fond et son insouciance toute naturelle, l'amena assez souvent sur les genoux de Maman ou de sa Tante pour une bonne déculottée.
    Maman revenant de la cuisine, nous fît passer à table et j'avais du mal à me tenir assise, ce qui ne manqua d'être remarqué par Maman et Mémé qui par compassion me dit « Ma pauvre chérie, c'est pas facile, hein ? » Maman répondit à ma place « En effet, Mémé, c'est pas facile et même si tu t'en doutes, j'imagine que ta petite fille ne t'a pas dit que sa Maman chérie, lui a donné une 'vraie fessée' culotte baissée, qui fait mal et rougis bien les fesses, n'est pas ma chérie ? », celle-ci me regardant lors de sa dernière tirade, je me sentis rougir de honte, pleurant à nouveau et le pire, c'est qu'elle n'avait pas fini son exposé.
    Ajoutant « Et vois-tu Mémé Lys, j'espère simplement que ta petite fille chérie garde bien en mémoire, ce qu'est une bonne déculottée, car je l'ai prévenue que je n'hésiterais pas à recommencer, s'il le faut ! » et malheureusement pour Valérie, Maman confirma la promesse.

    Pour conclure, je dirais que si j'ai connu par la suite, bien d'autres déculottées (même plus cuisantes), cette première 'vraie fessée' est restée gravée dans ma mémoire, de par la surprise et la découverte de cette douleur, incomparable, d'une main claquant mes fesses nues, les transformant en bouillottes et modifiant leur coloration naturelle, sans oublier la terrible honte ressentie.

    Valérie

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  18. Chère Christine,
    -Assagissements, efforts dans le temps et pression maternelle, malgré des récompenses :

    Heureuse de cette trêve fessière, la concernant, mais demeurant sur ses gardes, Christine crée l'exploit avec ce nouveau bulletin mensuel consécutif satisfaisant, ce mois collégial (même plus court) s'étant dérouler dans la sérénité pour la demoiselle, réussissant au passage un double exploit en évitant toutes punitions pour la discipline et qui aurait également fait rimer février avec fessée pour la jeune fille, à l'image des soeurettes, Maman n'étant pas avare de déculottées.
    Christinette, elle-même, s'interroge sur cette prodigieuse réussite, tenant presque du miracle, les indicateurs des mois précédents indiquant plus une rechute ponctuée de fréquents voyages sur les genoux maternels et ressent alors une fierté sans pareille, les frangines servant de référence à Maman.

    Néanmoins en jeune fille intelligente, Christine, sait que le laxisme maternel n'est pas de mise, malgré d'agréables récompenses pour son comportement, Maman le confirmant par de fréquents rappels, certes préventifs, mais pouvant déboucher sur un concret identique à celui des petiotes, ne rassurant pas du tout la Christinette.

    A suivre........

    Amicalement, Dominique

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  19. Chère Christine,
    -Assagissements, efforts dans le temps et pression maternelle, malgré des récompenses :

    Heureuse de cette trêve fessière, la concernant, mais demeurant sur ses gardes, Christine crée l'exploit avec ce nouveau bulletin mensuel consécutif satisfaisant, ce mois collégial (même plus court) s'étant dérouler dans la sérénité pour la demoiselle, réussissant au passage un double exploit en évitant toutes punitions pour la discipline et qui aurait également fait rimer février avec fessée pour la jeune fille, à l'image des soeurettes, Maman n'étant pas avare de déculottées.
    Christinette, elle-même, s'interroge sur cette prodigieuse réussite, tenant presque du miracle, les indicateurs des mois précédents indiquant plus une rechute ponctuée de fréquents voyages sur les genoux maternels et ressent alors une fierté sans pareille, les frangines servant de référence à Maman.

    Néanmoins en jeune fille intelligente, Christine, sait que le laxisme maternel n'est pas de mise, malgré d'agréables récompenses pour son comportement, Maman le confirmant par de fréquents rappels, certes préventifs, mais pouvant déboucher sur un concret identique à celui des petiotes, mettant mal à l'aise la Christinette.

    A suivre........

    Amicalement, Dominique

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  20. Chère Christine,
    -Inquiétude et angoisse pour Christinette :

    Néanmoins, fière de ses bons résultats et sécurisé par la qualité de son travail, le souhait de Christine est de pouvoir faire durer le plus longtemps possible cette réussite (peu commune chez elle), afin de s'épargner, les rebondissements d'une main généreuse et bien connue, sur une partie des plus tendre de son anatomie.

    Sauf que, Christinette, loin d'être dupe, se dit que le temps passant depuis sa dernière déculottée (appréciable), ne fait que la rapprocher de la suivante, d'autant que Maman toujours sur le pied de guerre entretient cette angoisse par des menaces aussi claires, que de l'eau de roche et ne rassurant pas du tout la demoiselle qui passe, de la confiance sereine à l'inquiétude, sur son avenir fessier.

    Sur ce, Chère Christine, je vous souhaite un bon réveillon de la nativité, en espérant que celui-ci soit aussi généreux, que la main de Maman pouvait l'être avec votre lune (disons, euh..., plus que parfois! Petit cadeau du Noël Dominicain) et que vous soyez comblée, pour revenir avec allant et réactivité.

    Voilà, ce sera tout pour le moment ! Hi hi.........

    Amicalement, Dominique

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  21. Chère Christine,

    Me voilà de retour, après la nativité, ce qui n'est pas votre cas visiblement, néanmoins je vais continuer mes contributions en préparant et vous adressant la suite de mon récit avec Tata, ainsi qu'une réflexion purement iconographique à partir d'une sélection (non exhaustive) que j'ai faites, sur l'ensemble de votre production.
    Ceci pour confirmer l'une de mes remarques, sur le choix qualitatif de vos illustrations, aussi parlantes que vos textes et les complétant à merveille, qui sera le petit cadeau Dominicain à l'attention de la conteuse, pour ce Noël 2013.

    Amitiés sincères.

    Amicalement, Dominique

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  22. Suite du récit :

    Tata, malgré une certaine modération dans son action et cessant celle-ci, au premier signe de ma reddition, m'avait tout de même gratifié d'une dérouillée en bonne et due forme, ressentant une chaleur soutenue de mon fessier, accompagné de petits picotements lorsque que bougeant un peu, toujours étalé sur ses cuisses, je reprenais petit à petit mon souffle, ma Tante me caressant tendrement le dos, en signe de consolation et de pardon.
    Après deux ou trois minutes, Tata m'aidant à me redresser, rajusta elle-même ma tenue et me dit gentiment « C'est fini, mon grand, Tata t'a puni comme tu le méritais, pour ta bêtise, mais comme tu n'es pas seul responsable dans l'histoire, je vais maintenant tirer l'affaire au clair, avec les petites curieuses qui riront, beaucoup moins dans quelques minutes ! ».

    En fait, ma Tante, tout en me corrigeant, s'aperçut que les chipies hilares et plantées derrière la fenêtre, scrutaient la scène qu'elles avaient orchestré à mes dépends (profitant de mon idiotie), alors que moi, plus occuper par ce qui tombait sur mes fesses et dans un flou total, je n'avais pas remarqué.
    Sauf qu'aux yeux de Tata, fidèle à son principe de justice (comme Maman), cela correspondait à un motif de plus et les filles allaient en faire les frais, enfin surtout leurs fesses et leurs fiertés de jeunes donzelles plus fières du tout, à ce moment là.

    Tata m'invita à attendre sur le canapé du salon, les filles faisant grise mine entrèrent, suivit de ma Tante tenant une chaise qu'elle planta devant la table basse, face à moi et s'y asseyant, s'adressa aux filles plutôt penaudes, par le biais d'un monologue retranscrivant mes paroles, n'incitant pas à la réplique.
    Néanmoins, ma sœur et mes cousines expliquèrent timidement qu'elles avaient agi par pure espièglerie, sans méchanceté profonde (ce qui était vrai), pensant simplement me faire gronder comme elles et n'imaginant pas que mon lancé serait aussi précis, leurs visages affichant une certaine crainte.
    Mais Tata, considéra que c'était une conspiration malhonnête de leur part envers moi et que si j'avais été puni pour mon geste, celles-ci méritaient de l'être aussi pour cela, d'autant qu'elle ajouta son joker, au sujet de l'espionnage de ma fessée, ainsi que leur hilarité et qu'en toute justice, elles seraient donc punies devant moi.

    Les trois donzelles pâlirent, d'un coup et ma grande cousine exprima le désaccord général « Oh non, M'man, non ! Tu vas pas faire ça, pas d'vant lui ! C'est pas possible, dis ? » avec une émotion non feinte dans la voix, obtenant une réponse de ma Tante teintée d'ironie :
    « Oh que si ma grande, c'est tout à fait possible ! Et en prime, étant très déçu que des grandes filles puissent avoir eu un tel comportement de chipies, comme des gamines de 7/8 ans ! Alors crois-moi, que je ne vais pas plaisanter et que ton cousin, va pouvoir constater, comment trois jeunes filles redeviennent d'un coup des fillettes, plus fières du tout et regrettant leur vilaine curiosité de gamines, tant pis pour vous mesdemoiselles, il fallait réfléchir avant ! ».
    Les trois visages, étaient décomposés, des larmes s'écoulant des yeux de ma sœur et de ma petite cousine, la grande (14 ans) abattue regardait vers le sol pour cacher sa honte, ses premières larmes ne survenant qu'après, durant l'attente de son tour, celle-ci passant la dernière sur les genoux de sa mère et pouvant apprécier ce qui l'attendait........ !

    A suivre.......

    Amicalement, Dominique

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  23. Chère Christine,
    Suite du récit :

    Tata pris, si j'ose dire, les choses en main et en paroles « Bon les filles, comme je ne veux pas perdre mon temps à attendre une volontaire, nous allons faire simple, ayant déjà puni le plus jeune de la troupe, je vais poursuivre dans le même ordre, allez Monique viens voir Maman ! » celle-ci se mit à pleurer franchement, en suppliant sa mère, hésitant à s'approcher, sans résultat et qui la tirant à elle par le tee-shirt, attrapa aussitôt les élastiques du short et de la culotte, déculottant d'un coup sec ma cousine jusqu'au genoux, ceux-ci terminant leur course sur les sandalettes.
    A demi nue, Monique plongea au travers des cuisses de sa mère et Tata démarra alors une grande valse sur la lune de sa fille, les yeux écarquillés, j'étais comme hypnotisé, le bras de ma Tante décrivant un quart de cercle impressionnant, sa main claquant avec force et rapidité les fesses de ma cousine qui poussait des cris et haletait sous la déferlante.
    En fait, j'étais partagé entre contentement (pas seul puni) et compassion, car si j'avais bien senti la main de Tata lors de ma dérouillée et encore tangible par la température qui régnait sous mon short, ce que dégustait ma cousine me semblait bien pire et ma Tante confirma cette impression « Alors ma chérie, la position est beaucoup moins drôle, que derrière la fenêtre à espionner la fessée du cousin, n'est ce pas? », Monique ne pouvant répondre, Tata le fît pour elle « Je suis sur que oui ! Et bien maintenant c'est à lui de profiter du spectacle, alors je vais lui offrir le meilleur pour qu'il ne soit pas déçu, ayant sous la main, des fesses de grande fille ! ».

    Tout en menant ce petit dialogue, Tata Mireille, n'avait pas interrompu l'énergique claquée et de ma place, je ne pouvais rien manquer du 'spectacle' (si l'on peux dire) qu'elle voulait m'offrir, sauf que je voyais surtout Monique gesticuler, pleurer à gros sanglots et s'égosiller à chaque claque supplémentaire (Tata n'ayant pas fait de pause), ses fesses s'empourpraient de plus en plus, pour atteindre l'écarlate et l'amener à l'abandon total , tel un paquet de linge sale, épuisée par cette volée sans temps mort.

    Ayant atteint son but, le bras de ma Tante s'arrêta et relâchant son étreinte, Monique tomba littéralement des genoux de sa mère, sur le tapis, en chien de fusil et pleurait comme une fontaine, sa main gauche tentant d'atténuer, la douleur et la brûlure de ses fesses.

    D'ordinaire, si je puis dire, les fessées de ma Tante ou de Maman comportaient des phases de claquées (vive et forte, type dégelée ou méthodique pour une cuisson minutieuse) et de pauses, sauf que dans le cas présent, Tata allait modifier ses habitudes (peut-être à cause de la distribution multiple), en administrant trois longues et fortes dégelées (plus intense pour l'aînée), sans interruption, ma Tante déployant une énergie que je ne lui soupçonnais pas, mais donc les filles allaient faire les frais.
    Monique, une fois relevée, reçu l'ordre de s'écarter sur le coté, sans se rajuster et avec les mains sur la tête, en attendant la suite, ceci lui donnant une nouvelle crise de larmes.
    A ce moment là, bizarrement, je n'étais pas vraiment à l'aise, ayant l'impression d'assister à un scénario qui ne me concernait pas, même si ma Tante (constatant mon trouble) me rassura de façon maternelle et ironique «T'en fais pas, mon petit Minot, tu as été puni pour ta bêtise et maintenant, c'est au tour de ces vilaines gamines contentes de t'avoir piégé et s'amusant de voir, tes fesses rougir sous ma main, Tata est donc simplement juste envers toi, avec un plus pour des grandes filles stupides et malhonnêtes ».

    A suivre............

    Amicalement, Dominique

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  24. Christinette, dans sa période paresseuse, aurait pensé : "Je devrais m'absenter plus souvent, puisque d'autres font les devoirs d'écriture à ma place, hi hi... Mais, heureusement que Maman ne le sait pas... Sinon... sinon..."
    Merci à Dominique de combler ces quelques jours loin de l'ordi (et à Valérie aussi).
    Et, comme je suis du genre gourmande quand j'aime quelque chose, j'espère lire bientôt la suite de la démonstration de Tata Mireille sous les yeux du petit Domi. Surtout que plus les punies avancent en âge, plus cela doit être gênant pour elles... Notamment pour la grande, je sais de quoi je parle...
    Il est vrai qu'elle pourra toujours se consoler en se disant qu'elle a gardé sa lune blanche un peu plus longtemps que les autres, mais la déculottée à venir, devant ses soeurs et le cousin, a dû être un sacré mauvais moment à passer, et de quoi alimenter des cauchemars par la suite...

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  25. Chère Christine,

    Je confirme, en effet, que si Maman était au courant de cette pensée, j'en connaît une qui aurait du souci à ce faire, pour une partie de son anatomie ! Sinon en lisant les commentaires déposés, je m'aperçois avoir transmis 2 fois le même message, ceci étant comme le dit l'expression « il n'y a que ceux qui ne font rien, qui ne se trompe pas ! » et comme Tata m'a déjà bien servie, je pense avoir droit à une certaine clémence, n'est ce pas Christinette !

    Bon, en dehors de cela, j'ai aussi apprécié 'la première vraie fessée' de Valérie ravivant le souvenir de la mienne pour mon petit incendie et notamment quelques détails, comme ce fameux 'tabouret', à l'image du lit de Christinette et si vous n'y voyez pas d'inconvénient, Christine, je me permettrais de revenir sur ce récit de Valérie.

    Je constate aussi, que si la Christine, fin gourmet en réclame davantage, d'autant que ses fesses ne sont pas concernées, ni celles du petit Domi (ouf), sa parfaite connaissance du sujet et son intuition (héritage de Maman Spaak, peut-être?) lui permettent d'envisager la suite de mon récit, que je me ferais un plaisir de livrer, tout en espérant une activité plus soutenue de ma conteuse préférée.

    Amicalement, Dominique

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  26. Bonjour, Christine,

    Je suis contente, que ce témoignage (inspiré par vos propres récits) sur ma 'première vraie fessée', ai eu votre agrément et sans vouloir envahir votre espace (comme dit mon fils), je souhaite adresser à Dominique, une mention 'très bien' pour ces commentaires très justes et son récit avec sa Tata Mireille, qui m'en rappelle bien d'autres avec la mienne.

    Ayant eu votre approbation sur mon récit, je vais maintenant revenir sur quelques éléments de l'épisode présent, réveillant ma mémoire sur des situations similaires.

    Au plaisir de vous lire, Christine,

    Valérie

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  27. Réactifs mes commentateurs. J'en suis d'autant plus satisfaite qu'ils me promettent, l'une et l'autre, des suites en récits ou commentaires. Merci d'avance donc !
    En tout cas, je concède volontiers à Dominique que j'en réclame d'autant plus que mes fesses ne sont pas concernées... Tout comme il avait bien deviné de quelle partie de mon anatomie, Maman se serait occupée, si elle avait eu connaissance de la paresse de son ainée...

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  28. Bonne et heureuse année à mes commentateurs fidèles. Je vous souhaite 365 jours de joie et bonheurs. Une année éclatante et haute en couleurs...
    Bien sûr, Christinette préférerait une année toute "blanche", sans la moindre plongée en travers des genoux maternels, sans la moindre déculottée, sauf pour Aline et Diane, les soeurettes moqueuses. Allez, ne contrarions pas Christinou pour l'instant... Chacun a le droit de rêver... Mais, il n'est pas sûr que tout se déroule ainsi... Qu'en pensez-vous ?

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  29. Chère Christine,

    Désolé, Christine, j'étais absent ces deux derniers jours. Merci pour vos vœux et à mon tour je vous présente les miens, ainsi qu'à vos fidèles lecteurs, en vous souhaitant plein de bonnes choses pour 2014.

    Sinon pour Christinette, voici le message de Minot :
    «Je te souhaite une bonne année, Christinette et adhère sans limites à ton souhait d'une année immaculée, pour nos lunes respectives, en laissant volontiers la place sur les genoux de Maman ou Tata, aux frangines et aux cousines, même si tout comme toi, je pense que cela tient plutôt du rêve.
    Alors, ma chère Christinette, je crois que le mieux pour nous deux, c'est de maintenir le cap de nos bonnes résolutions (sagesse et travail), afin de réduire au maximum ces rendez-vous funeste, dont nos fesses ne sont pas du tout friandes et je te fait deux gros poutous pour 2014, ma Christinou. »

    Et celui de Dominique, à Christine :
    « Chère conteuse, je pense en effet qu'une année blanche pour une partie de votre anatomie, soit du domaine de l'utopie et puis ce serait dommage, pour vos lecteurs, sauf si les petites moqueuses prenaient la relève de la grande sœur, ce qui ne serait qu'un juste retour des choses, surtout pour la perfide Diane.... Donc, en pur cartésien je ne peux, Christine, que vous souhaiter des voyages moins fréquents au travers des cuisses de Maman, avec néanmoins la crainte que ceux-ci ne soient, alors, bien plus intenses, tant pour vos fesses, que votre fierté de jeune fille, désolé ma chère ! »....

    Amicalement, Dominique

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  30. Messages transmis, tant à Christine qu'à Christinette. Merci à Dominique et au minot, donc ! Il est vrai que ladite Christinette ne se fait guère d'illusion, même si elle peut toujours espérer... Elle n'en a assurément pas fini avec les rendez-vous claquants sur les genoux maternels...

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  31. Chère Christine,

    Il est vrai que le temps des illusions est dépassé, pour Christinette en cette année de redoublement, Maman étant déterminée à redresser la barre du Christinien et en demoiselle intelligente, celle-ci sait bien qu'au moindre accroc, le giron et la main maternelle sauront l'accueillir comme il se doit.

    Christinou ne pouvant se raccrocher qu'au proverbe suivant « l'espoir fait vivre », pour épargner sa lune des foudres maternelles, protection aussi mince que sa culotte qui la couvre et ceci jusqu'au moment ou Maman la fera glisser vers le bas, signant ainsi une nouvelle défaite, pour Christine.

    « Ma chère Christinette, pardonne-moi pour cette vision pessimiste, mais tu sais aussi bien que moi, que Maman ne plaisante plus et que si elle n'est pas satisfaite, sa dextre généreuse reprendra du service à tes dépends, d'autant que ces derniers temps, elle a bien servie les petiotes. Alors, continue tes efforts, sinon je ne donne pas cher de la peau de tes fesses..... »

    Amicalement, Dominique

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  32. Chère Christine,

    Comme annoncé, je reviens sur le récit de Valérie, qui fera sans doute également plaisir à Christine, friande des commentaires Dominicain.

    Pour Christine :
    Concernant la partie anatomique que Christinette, présentait assez souvent à Maman, pour sa paresse, même Diane la perfide aurait deviné, voir ajouter « Christine, peux alors préparer ses fesses, hein M'man ! », qu'en pensez-vous chère conteuse ?

    Pour Valérie :
    Le non bachelier vous remercie pour la mention 'très bien' et vous retourne le compliment au sujet de votre première 'vraie fessée' qui comme pour moi est restée gravée à tout jamais, dans votre mémoire, même si d'autres ont suivies et je souhaite apporter ma contribution sur quelques éléments de votre récit.

    Principe de la déculottée :
    Tout comme vous, Valérie et Christine, Maman ou Tata considéraient que pour être efficace, une fessée se donnait sur les fesses nues et non par dessus les vêtements, sauf lors d'avertissements ou de rappel à l'ordre rapides courbé sous le bras, quoique même dans ces cas là, parfois (pour ne pas dire assez souvent), short, slip ou culotte étaient tirés d'un coup sec à l'arrière jusqu'à la jonction des cuisses, offrant ainsi deux rondeurs, que la main correctrice pouvait colorer.
    J'ajouterais que ce genre de situation (fréquemment publique) n'était souvent que les prémices d'une explication, bien plus musclée au retour à la ferme ou ailleurs (caravane, location ou autres) voyant alors le ou la fautive, déculotté et copieusement fessé (rappelez vous l'anecdote, de ma sœur, lors de vacances, une claque magistrale de Papa sur le fond du maillot à la plage, suivit d'une bonne déculottée de Maman une fois rentrés au camping).

    Ceci pour vous dire, Valérie, que Maman ou Tata pour une 'vraie fessée' agissaient de la même manière que la votre, debout devant elles, le regard fixe mais embué de larmes, j'écoutais le sermon ne répondant que par des onomatopées, paralysé par la trouille et implorant le pardon, sauf qu'à cet instant l'une comme l'autre avait pour devoir essentiel, de me faire comprendre mon erreur et que je ne devais pas la renouveler, ce en quoi avec le recul, je leur suis reconnaissantes.
    S'ensuivait alors dans un silence relatif (je pleurnichait), l'action, ô combien mortifiante de la déculottée, Maman ou ma tante procédant à celle-ci méthodiquement, sans gestes brusques et par couches successives, pantalon, short ou survêtement, me faisant déjà frissonner (peur ou différence de température ? A mon avis les deux!) et venait cet instant fatidique, terriblement vexant ou les doigts attrapaient l'élastique du slip kangourou, pour lui faire rejoindre l'autre vêtement.

    Etant 'cul nu' comme on dit, je ne pouvais retenir une crise de larmes, envahi par la honte et une trouille bleue de la correction à suivre, car de miracle il n'y avait point et même le fier garçon que j'étais par la suite, plongeant au travers des cuisses de sa Maman ou de sa Tata, redevenait un petit garçonnet, pleurant et braillant sous l'effet d'une bonne déculottée, sans aucun doute méritée.

    A suivre...........

    Amicalement, Dominique

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  33. Voilà un dialogue entre Dominique et Valérie que Christine apprécie. Et comme Mardohl devrait prochainement poursuivre ses commentaires, l'auteure que je suis ne peut qu'être ravie...
    Même si Christinette n'aime guère lire tout cela, tant les sensations ressenties par Dominique autour du déculottage lui ravive de mauvais souvenirs, et relatent de façon très proche ce qu'elle ressentait elle-même...

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  34. Chère Christine,

    Je savais que Christine apprécierait ce commentaire (prétentieux), à l'inverse de Christinette, celui-ci lui faisant rejaillir de mauvais souvenirs, car même si le process du déculottage était différent, je pense en effet que le ressenti à cet instant, devait être similaire, avec des variantes selon la personnalité de chacun.
    Et pour rejoindre l'une de vos anciennes remarques, sur le principe que la fessée est un tout, fait d'angoisses, de peur et d'anticipation sur l'instant fatidique, j'avoue humblement que pour moi ce moment de la déculottée était d'une rare intensité, ô bien sur indolore sur le plan physique, mais profondément marquante pour l'esprit, du jeune coq bafoué dans sa fierté.

    Ceci dit, Christine, je suis content que mon compère lettré revienne, pour notre plus grand plaisir, espérant également une réaction de Mamie Valérie à mes notes et suis heureux que ma conteuse, soit ravie.

    Amicalement, Dominique

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  35. Tout le monde est content, alors ! Hi, hi...
    Mais, peut-être faudrait-il que Christinette modère sa joie... Il m'est avis que cela pourrait bien à nouveau, un jour, craindre pour sa blanche lune...

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  36. Chère Christine,

    C'est vrai, tout le monde est content, en ce début d'année civile, enfin peut-être pas tous.
    « Néanmoins pour toi, ma petite Christinette, je crois en effet qu'une modération de ton allant, serait une bonne chose, sinon il se pourrait bien qu'un nouveau voyage sur le giron maternel, arrive plus vite que tu le penses et là, Oh, Oh, Oh, bonjour le cadeau empoisonné ! Hi, hi..........


    Amicalement, Dominique

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  37. Oh, non, Christinette n'a pas envie du tout de retrouver "le giron maternel". Ses petites fesses bien blanches préfèrent passer l'hiver au chaud dans une culotte de coton blanc bien couvrante, et ne surtout pas risquer les courants d'air d'une exposition au grand air, même si ce n'est qu'à l'abri d'une chambre close...

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  38. Chère Christine,

    Dominique à Christinette :

    « Ma grande, ton souhait de faire passer un hiver tempéré et reposant à tes petites fesses, grâce à un bloomer jaune ou blanc, et leurs épargnées un retour sur le 'giron maternel', synonyme d'un choc thermique immédiat (fraîcheur, suivi d'une chaleur intense) et insupportable, est tout à fait louable......Mais pour cela, il faut que tu suives la ligne de conduite du moment et sincèrement, te connaissant, ce n'est pas gagné... ! Je crains donc, mais je peux me tromper, que tes petites fesses ne subissent quelques courants d'air et pas forcément à huis clos, comme tu l'espère ! ».

    « Alors, jeune fille, je t'adresse un vœu : efforce toi d'être raisonnable, en laissant au maximum ce 'giron' à tes sœurs et notamment à Diane qui profite largement de son statut, de petite dernière et j'en sais quelque chose... ! Bien sur, je ne peux te garantir une amnistie, totale, alléger tout au plus dans la fréquence et pas forcément bénéfique sur le plan de l'intensité, compte tenu de l'espace temps, mais comme tu pourrais le dire 'c'est toujours ça, de gagné'.... Allez, accroche toi, Christinette ! »

    Amicalement, Dominique

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  39. LE COMMENTAIRE DE MARDOHL
    On remarquera l’acuité extrême dont fait preuve Christine en ces douloureuses circonstances : elle est en mesure d’analyser et d’interpréter (presque « sur interpréter ») chaque détail relatif au processus de la fessée. Le repas du soir pris les fesses rouges et en chemise de nuit, alors que les petites sœurs sont encore habillées, se révèle terriblement infantilisant, mais comme l’a pertinemment souligné Dominique, ce motif est nanti d’un précédent dans la jurisprudence spaakienne. En revanche, ce qui demeure plus inédit, c’est l’administration « sur-le-champ » de la sanction, une dimension qui rapproche cette fessée de Christine de celles administrées à Aline et Diane. (Ce qui par un curieux contraste, inscrit l’attente d’une fessée promise comme un « privilège de grande »… auquel elle n’a pas eu droit en l’occurrence.)

    En revanche, chère Christine, vous me laissez une fois encore sur ma faim, concernant l’écho que rencontre le bruit de vos « exploits » aux oreilles de vos camarades. Vous vous contentez d’évoquer vaguement qu’elles devaient en « jaser », tout en relatant une question ambiguë de Corinne dont par ailleurs vous ne rapportez aucune réponse (même si vous illustrez avec bonheur l’attitude non verbale de cette fausse compatissante et vraie curieuse).

    Pour le coup, je me serais attendu à un dialogue du cru de celui que vous nous avez retranscrit dans le récit « La Malade imaginaire » entre Anne et vous, par lequel on voit une Christine morte de honte, acculée par les questions de son amie, lui révéler, la mort dans l’âme, en lui chuchotant à l’oreille, avoir reçu une fessée, avant qu’un peu plus tard elle ne réalise, catastrophée, que toute sa classe a été mise au courant par une fille qu’elle n’aimait guère (qui, coïncidence amusante, se prénommait également Corinne) et qui ne se prive pas de s’en moquer d’elle.

    Ma foi, ce ne sera pas encore cette fois que vous nous détaillerez comment les camarades et contemporaines préadolescentes de Christine perçoivent la fessée. Vous vous contentez, selon un procédé qui vous est habituel, d’exprimer les angoisses profondes de Christine par un cauchemar, dans lequel elle se voit, horreur absolue, corrigée les fesses nues devant Corinne et sa mère.

    Puis la narration reprend son cours. Christine, calmée pour un temps et en retrait des chahuteuses, obtient consécutivement, fin janvier comme fin février, un bulletin satisfaisant, confirmant une fois encore votre mère dans l’efficacité de sa méthode. Cependant qu’Aline surtout et Diane un peu ont, pour les motifs qui leur sont respectivement attachés (mauvais résultats scolaires pour l’une,

    caprices pour l’autre) connu les honneurs des genoux maternels et donc les mortifiantes remontrances inhérentes, dont cette fois Christine, échappant à la spirale à laquelle elle se croyait promise, est épargnée, bénéficiant même, en récompense de ses efforts, de permissions de sortie et d’une jupe neuve.

    (Un détail que je n’apprécie pas dans le dessin imageant ce passage : le sourire presque vicelard de la maman qui corrige, qui semble prendre plaisir à fesser sa fille. Chez Madame Spaak, une telle opération relève essentiellement du devoir, du mal nécessaire qu’elle se serait bien gardée de distribuer si les circonstances ne l’y avaient pas obligée, et non comme un prétexte pour exprimer avec prétention sa toute-puissance.)

    En revanche, l’appréhension de Christine, à l’orée de mars, me paraît peu vraisemblable. Si malgré cette longue période sans fessée, elle se sait pour autant ne pas en être à l’abri (sa maman étant encore loin de la juger « trop grande » pour en recevoir et multipliant même les rappels à l’ordre), elle est censée au contraire, en ce redoublement, redoubler de vigilance pour prolonger son état de grâce. Le danger en l’occurrence devant plutôt provenir d’une confiance excessive en elle-même, la persuadant de son immunité fessière, et lui faisant oublier de ses bonnes résolutions.

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  40. Cher Mardohl, je prends ces critiques positivement. Comme l'appliquait Maman, ne dit-on pas "qui aime bien, châtie bien" ?
    Oui, je sais que je n'ai pas répondu à votre attente en ne détaillant pas les réactions des copines, mais je pense que ce sera plus facile séparément et pas dans le fil de ce récit de l'année. Et, vous comprendrez que je puisse être plus bavarde, plus précise, sur mes propres réactions que sur ce que mes copines disaient surtout par derrière, à mon insu, et sur ces moqueries que je savais exister, mais qui se déroulaient sous le sceau de la confidence.
    Pour le dessin avec une mère au sourire narquois, j'admets que ce n'est pas la plus judicieuse des illustrations. Je vois bien là l'extrême perspicacité du commentateur, mais dans le flot des images que j'insère, ce n'est pas toujours facile de trouver celles qui collent exactement à l'histoire.
    Cela dit, pour ce qui est de mon appréhension du début mars, je concède que cela puisse paraitre bizarre. Oui, la plupart du temps, je retombais dans une confiance excessive et cela me perdait, je me croyais à l'abri, et je me laissais aller à prendre mes aises, jusqu'à ce que la sanction revienne comme un rappel à l'ordre.
    Là, ne vous en déplaise, il me semble avoir le souvenir précis d'une angoisse que les jours de répit s'accumulant ne dissipaient point. Au contraire. Je ne vais pas changer mon ressenti pour que ce soit plus vraisemblable. Autant, j'étais heureux après le premier carnet que les jours "calmes" pour mon bas du dos s'accumulent, autant après le deuxième bon carnet, je pressentais que cela ne durerait plus autant, et donc autant je commençais à baliser, à craindre, à angoisser, en me faisant quasiment le raisonnement que chaque jour de plus sans fessée, était un jour de moins avant la prochaine...
    Suis-je plus compréhensible ainsi ?

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  41. Chère Christine,

    Papy ronchonne encore, car la conteuse, répond à l'excellent commentaire de son compère, normal, mais sans le moindre mot pour lui, alors que Mardohl remarque sa pertinence, ce donc je le remercie et d'ailleurs je me propose de rebondir sur deux éléments de son message, que vous pourrez lui transmettre.

    L'illustration :
    Comme à son habitude, l'oeil Mardohlien a su déceler sur ce dessin le détail qui ne colle pas avec le fond de la production Spaakienne et que je n'avais pas remarqué, ceci dit il vrai que pour la conteuse trouver la bonne illustration peut s'avérer délicat.
    Sinon, tout comme Mardohl, j'imagine mal Madame Spaak afficher un tel sourire en fessant l'une de ses filles, la montrant prendre un réel plaisir à claquer les fesses dénudées de la demoiselle.
    Impensable, pour cette mère de devoir, l'application d'une fessée n'est que l'ultime réponse, après avertissement ou rappel à l'ordre non compris par ses filles et n'exécute cette tâche que dans un souci éducatif, sans perversité, mais avec la volonté de faire passer un message et d'ailleurs cela ressort dans bon nombre de vos récits ou Maman Spaak exprime la difficulté de guider trois filles sur le bon chemin, ce qui réclame un effort constant et donc l'usage d'une méthode plus énergique, en cas de nécessité, même si cela la chagrine notamment pour l'aînée.

    Appréhension de Christine, en ce début mars :
    Désolé, Mardohl, mais je suis d'un avis contraire sur le ressenti de la conteuse en ce début mars, s'il est vrai qu'auparavant une accalmie fessière, entraînait un relâchement notable chez Christine se croyant à l'abri des foudres maternelles et l'amenant de fait, à une nouvelle déconvenue.
    Là, il me semble que la situation est différente toute en rejoignant votre idée de vigilance, pour prolonger l'état de grâce. Je m'explique :

    Christine, bien servie par Maman entre la fin d'année et le début de l'autre, réussie l'exploit (car s'en est un pour elle) de ramener deux carnets mensuels successifs corrects et aucune sanction de discipline durant la période (plus qu'exceptionnel), à l'inverse des soeurettes qui pendant ce laps de temps, testent à nouveau, la vigueur de la dextre maternelle à cinq reprises (Aline : 3 / Diane : 2).
    Christine à donc bien conscience, que la détermination maternelle sera sans faille, à l'encontre de ses filles et notamment la redoublante, constatant avec bonheur que ses efforts étant payants pour la blancheur de sa lune, il est peut-être préférable de continuer sur cette voie de bonne conduite et reprend une confiance, toute relative.
    Se souvenant qu'à même époque, l'année précédente, Maman avait resserré la vis et rougis plus d'une fois ses fesses et ramenant à l'esprit de Christine, l'angoisse de « l'espace temps, entre deux fessées » ne conduisant pas à la sérénité, d'autant que Madame Spaak ayant recadré les petites, peut alors reporter son attention sur la grande et la confirmer par des avertissements précis, même pour des choses bénignes du quotidien et faire penser à Christine, que la prochaine fessée, se rapproche.

    Mardohl, sans esprit critique, je me suis permis d'apporter ma contribution à votre écrit remarquable (encore une fois, j'en rage!) et m'allier à la conteuse, sur cette angoisse différente, d'entre deux (pas mers) que j'ai également vécu, étant davantage auditeur ou spectateur, qu'acteur, même si mes fesses ont connu quelques bonnes dérouillées.
    Sur ce, Mardohl, je vous présente mes meilleurs vœux pour 2014, espérant vous lire encore et encore.
    Désolé, Christine, j'ai un peu débordé, mais vous saurez me pardonner (pfff...,prétentieux).

    Amicalement, Dominique

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  42. Bah, si même Dominique ronchonne, je suis mal...
    Je n'avais pas commenté la relance faite à ma relance sur une relance de relance. Désolée, mais il faut parfois penser à la suite aussi...
    Merci en tout cas de prendre ma défense sur un des deux points de critique mardohlienne. Comme j'apprécie que les commentateurs s'envoient des compliments entre eux et ne se sentent pas en concurrence, mais complémentaires.
    Cela dit, il va falloir que Christine se remette aussi à écrire ailleurs qu'en commentaire, pour que l'on sache si l'intuition et l'angoisse de Christinette sont ou non prémonitoires... Elle préférerait que non, pour garder sa lune fraiche et blanche, mais si c'est (hélas) oui, elle aurait intérêt à préparer ses fesses...

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  43. Chère Christine,

    Et oui, Dominique ronchonne auprès de la fainéante Christine qui s'en tire comme, Christinette savait si bien le faire, par une pirouette, propre à noyer le poisson ou rouler Maman dans la farine et s'éviter un baissé de culotte, qui serait pourtant tout à fait mérité.
    Et j'avoue qu'être l'archange Gabriel, porteur d'un message utile à Madame Spaak, comme a pu l'être Mme Aumont lors de l'épisode 5 de cette chronique, ne me déplairait pas et même si je reconnais que ce n'est pas très sympa, de ma part !
    A Christine, de réfléchir, car le temps de livraison entre deux épisodes est similaire à celui des fessées de Christinette, démontrant certes que la demoiselle grandit petit à petit, mais bon, j'ose espérer que nous n'auront pas à attendre le mois de mars, pour la suite (boutade Dominicaine).

    Au plaisir de vous lire, Chère Conteuse et sur ce, je vais poursuivre mon récit avec Tata.

    Amicalement, Dominique

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  44. Chère Christine,
    Je suis heureux que vous ayez pris en bonne part mes quelques réserves, qui en effet, comme toutes les critiques, au demeurant fort subjectives, que je peux vous adresser, relèvent systématiquement d’un esprit constructif, et sans pour autant prétendre vous imposer ni même vous indiquer la moindre marche à suivre. Je suis plus que tout désireux de laisser libre cours à votre plume d’artiste sans la brider ni la brimer d’aucune manière. (Je réalise par ailleurs m’être mal relu dans ma précédente production : deux paragraphes s’amorcent par les mêmes termes : « En revanche », moi qui ai horreur de la redite.)
    Ainsi, je comprends parfaitement les raisons pratiques qui vous empêchent de vous étendre sur les remarques désobligeantes de vos camarades mises au courant du régime que vous subissez, tout comme je suis conscient de la difficulté de trouver sur la Toile et ailleurs des images en adéquation vraiment parfaite avec l’esprit de votre blog : immanquablement émergera çà et là un détail inadapté. Tout comme les surréalistes, vous recourez pour l’illustration de vos textes à la pratique du « collage » : vous ne composez pas vous-mêmes les dessins et les photos, mais allez les glaner vous-même. Extirpés de leur contexte, ils entrent fatalement en relative discordance avec leur nouvel environnement, dont ils ne sont pas issus. En émettant ce commentaire sur cet aspect qui m’avait déplu, je ne désirais aucunement vous dresser un procès d’intention, ni blâmer votre choix, mais simplement vous exprimer, par contraste, en soulignant une vétille, textuellement hétérogène et à mes yeux déplaisante, en quoi l’esprit de vos textes me plaît. En fait, vous me voyez flatté si vous n’y distinguez quant à vous que « l’extrême perspicacité du commentateur ».
    Concernant cette appréhension du début du mois de mars, je me rends à vos arguments parfaitement clairs, ainsi qu’à ceux de Dominique qui vous soutient sur ce point. Et là encore, soyez rassurée, il n’entre nullement dans mes intentions de vous faire sacrifier l’authenticité de vos souvenirs sur l’autel de la crédibilité.
    Donc, Dominique, je vous remercie de votre appréciation, et je vous en prie, n’enragez donc point sur la prétendue qualité de mes modestes écrits. (Constatez au passage et par la même occasion qu’en l’occurrence il m’arrive d’avoir directement accès au blog ainsi qu’à ses commentaires, que Christine peut donc s’économiser de transmettre, tout comme je peux directement vous souhaiter mes meilleurs vœux pour 2014.)

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  45. Bonjour, Christine,

    Je souhaite, tout d'abord, vous remercier pour vos vœux, concernant 2014 et vous les retourne à mon tour, ainsi qu'aux autres lecteurs et notamment à Papy Dominique, pour sa contribution, à laquelle je vais tenter de répondre.

    Réponse :
    Merci, Dominique, pour ce complément masculin sur la 'vraie fessée' et son principe fondamental, ô combien détestable, de la déculottée, pour que l'action punitive soit plus marquante et redoutée par le ou la concernée.
    Je constate également, que l'on soit fille ou garçon, les sensations de cet instant particulier sont similaires et tout aussi mortifiantes, à l'esprit, avec (c'est ma pensée) pour seule différence, cette notion de pudeur naturelle et généralement plus forte, pour la gente féminine.

    Concernant cette première 'vraie fessée', je reconnais que celle-ci est ancrée plus profondément dans ma mémoire (comme quelques unes, par la suite) par son coté inconnu et ses suites, étant fille unique sans aucune référence sur le sujet et ne sachant pas encore que mes jumelles de cousines, m'avait devancé sur celui-ci.
    Pour tout vous dire, en rédigeant mon récit, je me suis attachée à transcrire deux notions (déculottée et douleur) bien insupportables, s'il en est, de mon propre vécu et conservant, quelques éléments pour de futurs commentaires à l'attention de Christine, sur certains points de ses récits.
    Mais votre réaction, à mon écrit, m'incite à dévoiler l'un de ceux-ci correspondant à une autre découverte pour la petite Valérie, la honte publique et ceci, dés le lendemain matin.

    Ne travaillant pas, Maman m'emmena donc à l'école et si d'ordinaire j'aimais bien qu'elle m'accompagne, ce jour là, les allers-retours entre maison et école, furent particulièrement pénible pour moi. Et cela, commença avec la rencontre de Tata et mes cousines (nous étions dans la même classe), assez guillerettes, ce qui n'était pas mon cas, comme habituellement.
    Bien entendu, Ma Tante, le remarqua et s'adressant à Maman, un dialogue s'installa entre elles :
    « Mais ! Dis-moi, Paulette, Valérie m'a l'air bien sage ce matin ? »
    « M'oui, c'est vrai, Jeannine, mais ça c'est grâce à la fessée de Maman ! N'est ce pas ma chérie ? », une grosse boule au fond de la gorge et rougissant comme une pivoine, je baissais la tête sans répondre, confirmant ainsi son affirmation et Tata s'interrogeant poursuivit :
    « Non, une fessée ! Dés le matin ? »
    « Non, non, Jeannine, c'était hier soir et ta nièce a pu découvrir, ce qu'est une 'vraie fessée', en plus clair, une bonne déculottée et là, la petite demoiselle ne rigolait plus du tout ! », ma Tante légèrement ironique, à l'égard de trois gamines, ajouta :
    « Oh ! Ma pauvre chérie, pour te consoler, dis-toi que tu es maintenant à égalité avec tes cousines qui elles aussi, sans bien sur s'en vanter auprès de toi, ont fait la même découverte, dimanche soir et sans sourire, lorsque Tata, a tiré vers le bas pyjama et culotte, pour une bonne fessée méritée ! ».

    A ce moment là, il y avait trois fillettes aux joues aussi rouges que des tomates bien mûres et prêtes à s'échapper dans le moindre trou de souris (inexistant) et la journée ne faisait que démarrer, celle-ci me réservant, ainsi qu'à mes cousines, quelques surprises inattendues et désagréables.

    Valérie

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  46. Un long message de chacun des trois commentateurs les plus fidèles de mon blog, je ne peux qu'être ravie. D'autant qu'ils se répondent les uns aux autres et rebondissent sur divers points.
    Pas le temps d'y répondre aujourd'hui, mais je tenais à valider les trois contributions, toutes intéressantes, en espérant que cela suscitera encore et encore des commentaires, des réponses, des questions, bref de quoi faire vivre ce blog.
    Merci encore !

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  47. Chère Christine,

    Merci pour la validation et cette petite réponse sympathique, en attendant que vous soyez plus disponible et je vais donc en profiter, pour répondre à Mardhol et Valérie, pour alimenter ce blog, ce qui je n'en doute pas vous fera également plaisir.

    Pour Mardohl :
    J'avais en effet remarqué, que depuis quelques temps, certains de vos commentaires ne passaient pas forcément par le canal de Christine et vous m'en voyez ravi, d'autant que cela vous permet de consulter les messages des autres lecteurs.
    Sinon, je vous remercie pour vos vœux et ne soyez pas si modeste, sur la qualité de vos écrits, qui enrichissent ma propre culture (ainsi que d'autres certainement), le coté rage de Papy n'étant qu'un compliment et une boutade, à votre égard, celui-ci ayant conscience de ses limites en certaines matières.
    Cependant, je vous rejoins sur le fait que sans imposer, quoique ce soit à Christine et lui laisser toute liberté à la rédaction de ses souvenirs, je pense en effet qu'à l'image de la porte claquée (Ne me regarde pas comme ça, sinon.... 09/2009), un développement sur l'attitude des camarades à son égard aurait toute notre attention et je suis prêt à parier, qu'elle a connu ce genre de situation, nos bourgades favorisant les échos de toutes sortes.
    Et en guise de soutien réciproque ou de flatterie, comme vous voudrez, je confirme « l'extrême acuité de mon compère » sur ce détail insignifiant du dessin, dérogeant à l'esprit des textes Christinien, mais à l'impossible nul n'est tenu.

    En dehors de cela, Mardohl, sachez que j'apprécie ces échanges et ce respect mutuel, entre nous, grâce à l'espace personnel qu'offre Christine et donc, je remercie la tolérance.

    Amicalement, Dominique

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  48. Chère Christine,

    Pour Valérie :
    Merci pour vos vœux et en retour je vous présente les miens, vous souhaitant plein de bonnes choses pour 2014, Mamie.
    Sinon je suis ravi, que ma contribution vous est plu et suscité de votre part un complément à votre récit, sur la honte publique que j'ai également connu avec Maman ou Tata, celles-ci n'hésitant pas à diffuser alentour, les déconvenues de leur progéniture et j'y reviendrais.

    Mais je souhaite tout d'abord, vous donner l'avis du garçon de l'époque, sur cette notion de pudeur transmise par nos parents, comme une valeur de respect envers soi-même, mais aussi les autres et j'avoue humblement que jusqu'à l'âge de 15 ans (engagement à l'école des mousses), cette pudeur était très forte, et même si ma carrière militaire l'a écorné, celle-ci demeure présente à mon esprit de senior qui, encore aujourd'hui, ressent une certaine gêne lors d'examens médicaux.
    Par conséquent votre pensée, sur un ressenti plus fort pour la gente féminine, me semble tout à fait juste et parfaitement naturelle, la femme étant plus prude que l'homme, en règle générale.

    Honte publique :
    Je n'ai aucune peine à imaginer, votre malaise, lors de l'échange entre votre mère et sa sœur, d'autant qu'autour de vous, je suppose qu'il y avait d'autres oreilles et si je m'en réfère à ma propre expérience, dans ces moments là, Maman ou Tata ne chuchotaient pas et avaient même plutôt tendance à avoir le verbe haut, conduisant le ou la concernée à une attitude de repli sur soi-même et n'ayant qu'une seule pensée « Mon Dieu ! Faites qu'elles se taisent et qu'on en finisse ! ».

    Malheureusement pour nous, point de miracle il y avait et nous devions boire le calice jusqu'à la lie, avec parfois même un supplément à l'attention des enseignants, qui rendaient alors hommage à Maman ou Tata de leur action, sans se soucier de l'intéressé (e) et j'ai le souvenir d'un matin, ou Maman accompagna (très rare) ma grande sœur Sylvie (14 ans) au collège, avec moi (école fermée, pour désinfection), Tata ne pouvant me garder, du fait d'une réunion à la coopérative agricole, du canton. J'ai alors, assister à une scène terriblement mortifiante pour ma grande sœur et que je pourrais, avec l'accord de Christine, développer par la suite.

    Pour conclure, je dirais que ces après dérouillées étaient presque aussi difficiles à vivre, que la fessée en elle-même, par sur le plan physique bien sur, mais psychologiquement, c'était tout aussi pénible.

    Amicalement, Dominique

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  49. Et les échanges se poursuivent, avec des précisions intéressantes sur la notion de pudeur, et la proposition de Dominique de raconter une autre scène vécue avec sa soeur amenée par sa mère au collège. Je suis évidemment preneuse dudit récit...
    Merci d'avance.

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  50. Chère Christine,

    Non mais, voyez vous ça ! Mademoiselle 'je ml'a coule douce' réapparaît, se reposant sur les autres, tout en négligeant ses propres 'devoirs', je connais une dame qui ne serait pas du tout ravie, en apprenant cela et saurait remettre de l'ordre, dans la cervelle de celle-ci, par le biais d'une méthode qui fonctionnait très bien, à une certaine époque, n'est ce pas Christinette ?

    En dehors de l'humour, je savais que vous seriez preneuse et je me ferais un plaisir de vous servir ce moment particulièrement difficile pour la fierté de ma grande sœur, mais ce sera pour plus tard, l'éducateur sportif devant s'occuper ce matin des gamins et qui c'est ! Peut-être y ferais-je une rencontre intéressante, vous voyez ce que je veux dire, jeune fille !

    Amicalement, Dominique

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  51. Bon, logiquement, il y a peu de chances que Maman rencontre Dominique sur un terrain de sport... Christinette peut être tranquille... Quoique... dans une petite ville, il n'y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas, et Christinou a dans la tête quelques exemples où justement Maman a rencontré juste la seule personne qu'il ne fallait pas... Ca, c'est vrai, elle ne l'a pas oublié... Et, surtout, ce sont ses fesses qui s'en souviennent encore... Donc, mieux vaudrait se remettre à l'écriture sans trop tarder, pour éviter tout risque du même genre... Vous voyez duquel je parle...

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  52. Chère Christine,

    En effet, je pense qu'il serait souhaitable que la M'amselle se remettre au travail, si elle veut éviter
    quelques ennuis postérieurs dont elle n'est pas trop friande ! Et je rejoins, tout à fait, la pensée que Madame Anne-Marie exprimait un jour, à sa sœur, avec une certaine désolation dans la voix « Tu vois, Jacqueline ! C'est comme, si Christine, avait 'besoin' de tant à autre d'une bonne déculottée pour se reprendre ! ».

    Alors que Christinette, se rassure, par chance pour elle, je n'ai pas croisé Madame Spaak aujourd'hui, mais comme elle le souligne fort bien, seules les montagnes ne se rencontrent pas, alors « Gare à tes fesses ma petite Christinou, on ne sait jamais ! D'autant que si l'accalmie fessière à ton égard se prolonge, rappel toi de la première quinzaine de janvier et notamment cette fameuse rencontre de Maman avec Corinne et sa mère, je pense que ta lune doit s'en souvenir, n'est ce pas ?»

    Ceci étant dit, je vais « moi ! » poursuivre mon travail en rédigeant la suite avec ma Tante et tenir ma promesse concernant ma grande sœur Sylvie, si judicieusement réclamée, par la fainéante de service et surtout ne dites pas non ! Ce serait malhonnête.

    Amicalement et avec beaucoup d'humour, Dominique

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  53. Bonjour, Christine,

    Sincèrement, Christine, étant nouvelle intervenante sur votre journal intime (pardon, blog comme on doit dire), je suis agréablement surprise de susciter autant de réactions, tant de votre part, que de l'un de vos lecteurs et en même temps, je me sent un peu gênée par cela, compte tenu qu'il s'agit de votre espace et non le mien (dixit mon fils), même si, comme Dominique le dit, vous savez apprécier les échanges entre les personnes bienséantes et être tolérante, sur l'utilisation de celui-ci.
    D'un naturel réservée, j'hésite donc à enchaîner les messages, comme d'autres lecteurs plus anciens (Mardohl ou Dominique, le font avec qualité), sans doute par timidité et crainte de passer pour une vieille ménagère, pas très instruite.
    Pardonnez-moi, pour cette confession idiote, mais je suis comme çà, à l'image de la jeune Valérie qui savait réfléchir ou être fofolle et se fourrer dans des pétrins, se concluant le plus souvent (Mémé Lys, lui ayant sauvé la mise, plus d'une fois) au travers des cuisses de Maman ou Tata, pour de bonnes déculottées mémorables et bien cuisantes pour ses fesses.

    Alors, Mamie Valérie (absente pour garde des petits enfants) pensant au petit grain de folie de sa jeunesse, va s'efforcer de mettre de coté l'ambiguïté qui l'anime aujourd'hui, en se permettant de répondre à Dominique et souhaitant que le résultat plaise également à Christine.

    Valérie

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  54. Bonjour, Christine,

    Dominique :
    Franchement, j'étais loin d'imaginer qu'un garçon puisse éprouver un tel sentiment de pudeur, mon défunt mari (très taquin sur le sujet) et mon fils, n'en ayant jamais manifesté le moindre signe, à mon sens ou peut-être n'ai je pas su les saisir, c'est possible !
    A l'inverse de ma fille, avec laquelle j'ai une relation très complice, faites de petits secrets et d'émotions communes, l'homme incarnant pour moi, une solidité inébranlable et tout en retenue, ne manifestant pas son ressenti ou ses émotions.
    Je crois que cette pensée, est liée au fait qu'orpheline de père, très jeune et n'ayant connu qu'un seul homme à la prestance naturelle, dans ma vie, plus mon fils bien sur (copie conforme de son père), j'ai du me forger une image erronée de la gente masculine, aidée en cela par ma condition de femme au foyer.
    Et aussi idiot que cela puisse paraître, je viens d'apprendre qu'un garçon pouvait, également ressentir ce sentiment de pudeur peut-être moins prononcé, mais présent, lors d'une déculottée en règle de sa Maman ou de sa Tante, pour une bonne fessée.

    Concernant la honte publique, il me semble plus simple de poursuivre l'évocation des moments de ce lendemain plutôt difficile pour la jeune Valérie et ses cousines, car après ce petit échange entre mères, les vexations allaient s'enchaîner tant de la part de Maman, qui voulait s'excuser de mon agitation auprès de la Maîtresse (également Directrice), mais aussi de celle-ci qui par la suite allait utiliser cette information, à notre égard, pour ramener à la sagesse les fillettes.
    Donc à l'ouverture des grilles, la troupe se dirigea vers la Maîtresse et après lui avoir dit bonjour, la conversation démarra :
    « Madame Prigent, je tiens à vous présenter mes excuses, pour l'agitation de Valérie et je vous remercie pour le mot, cela m'a permis de faire la leçon à ma fille, en lui administrant une bonne fessée déculottée, qui je pense va la calmer pour un moment, n'est ce pas Valérie ? ».
    Rouge de honte et incapable de répondre, je baissais une nouvelle fois la tête, Maman ajoutant : « Et je l'ai bien prévenue, qu'à partir de maintenant, il en serait ainsi et que toute remarque ou punition de votre part, lui donnera l'occasion de revenir sur mes genoux pour une bonne fessée, culotte baissée et comme je tiens toujours mes promesses, à elle de réfléchir, je pense que vous êtes d'accord avec moi ? ».
    Relevant le nez, je vît alors ma Maîtresse afficher un sourire satisfait et répondre :
    « Tout à fait, Madame Fleury et permettez moi de vous féliciter, pour ce principe éducatif, que je considère comme étant 'l'ultime réponse' qui convient aux enfants, après les avertissements et ma fille de 12 ans, le sait bien, lorsque la coupe déborde, elle n'a plus qu'à bien préparer ses fesses, sa Maman ne rigolant plus à ce moment là ! Je comprends donc parfaitement que Valérie ne soit très fier ce matin, mais si leçon est profitable, là est l'essentiel et compter sur moi, pour vous tenir informé, au quotidien.... ».
    Là, je me sentais pas bien du tout, comprenant que la Maîtresse n'hésiterait pas à alerter Maman de tout faux pas de ma part, entraînant du même coup la réponse maternelle de la veille et dont je ne souhaitais surtout pas revivre l'expérience, sauf qu'à 9 ans, on oublie vite et les fesses de Valérie allaient payer le prix de cette insouciance, tout comme ses cousines d'ailleurs.
    Ma tante profitant de l'occasion pour glisser le même message à l'attention de ses jumelles, aussi rouges que moi et donnant ainsi à la Maîtresse, une carte essentielle pour atténuer notre dissipation chronique, et dont-elle fît usage, sans retenue face à nos camarades (peut-être soumises au même traitement, possible ?), nous vexant profondément et obtenant la plupart du temps le résultat escompté....., sauf que parfois cela ne marchait pas et là, aïe, aïe, ouille ! Ça fait mal.

    Valérie

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  55. Chère Christine,
    Suite du récit :

    Tata en ayant fini avec Monique, fît signe à ma sœur d'approcher, Isabelle morte de trouille, par ce qui l'attendait versait de grosses larmes, suppliant sa Tante de la punir dans la chambre à l'abri des regards et surtout du mien, horrifiée à la perspective d'être déculottée devant un gamin, à son âge.

    Brigitte, dans l'attente de son tour, figée comme une statue, entendant les suppliques de sa cousine, ne contenait plus ses larmes, celle-ci devant ressentir la même crainte (voir plus forte) que ma sœur, sur le déroulement des opérations et n'avait certainement à ce moment là, aucune illusion, sur la volonté de sa mère, de poursuivre et mener à bien, sans dérogation, ce qu'elle avait prévu pour les trois filles (malgré leurs âges).
    Et d'ailleurs, Tata, le confirma à ma sœur sur un ton assez ironique, mais plein de bons sens :

    « Allons, Isabelle ! Vous avez été toutes les trois, assez malicieuses, pour provoquer ton petit frère et l'inciter, à commettre la bêtise, après ma réprimande envers vous, m'amenant à le punir pour cela et il l'a bien compris, sauf que votre perfidie commune, vous a également poussé à espionner sa déculottée et sincèrement, ma chère nièce, c'est ce qui me contrarie le plus, alors comme je l'ai dit, nous allons lui rendre justice et lui montrer que des fesses de jeunes filles, rougissent aussi bien que les siennes, sous la main de Tata ou de Maman, tu es d'accord ? ».
    Ma sœur, le visage inondé par les larmes, comprenant que rien n'y ferait et qu'elle allait subir le même sort que sa plus jeune cousine, avant la grande, eu comme un éclair dans le regard à l'évocation du mot « Maman », celle-ci ayant déjà goûté au principe de la double peine instauré en les deux sœurs et là, celle-ci « oubliant » ce qui l'attendais réagit « Oh oui, Tata ! Mais justement quand Maman va rentrer, elle va........enfin tu sais ! » d'une voix chevrotante exprimant sa trouille.
    Ma Tante inflexible dit « C'est possible, ma grande et nous verrons cela lorsqu'elle rentrera, mais en attendant Tata va continuer ce qui a été décidé ! Alors Isabelle, comme on ne va pas y passer la journée, ne m'oblige à venir te chercher, sinon crois-moi que tu vas le regretter ! ».

    La mort dans l'âme, toujours en pleurs, ma sœur toute tremblante s'avança timidement vers sa Tante, qui lui fît franchir le dernier mètre, en attrapant son poignet et l'attirer à elle, d'un coup sec, positionnée devant Tata, qui s'apprêtait à déculotter Isabelle, celle-ci accrocha ses mains à l'élastique de son short, en suppliant haut et fort la clémence de sa Tante, traduisant son refus catégorique d'être déculottée devant moi, tout en « acceptant » la punition déjà bien mortifiante.
    Sauf qu'avec nos mères, trop de résistance amenait forcément une réaction de leurs parts et jamais à notre avantage, bien entendu, donc ma frangine allait faire les frais.
    Tata qui était très musclée, trouva aussitôt la parade, ouvrant ses jambes, elle bascula en un instant ma sœur (qui tenait toujours l'élastique) sur sa cuisse gauche et qui bien maintenue, reçue une volée de bois verts, sur l'arrière des cuisses bien découvertes, amenant Isabelle à pousser des cris strident et surtout lâcher sa prise, la claquée fût courte (une dizaine de claques) mais assez énergique pour rougir celles-ci et dans l'esprit de ma Tante, obtenir la reddition de sa nièce.
    Je reconnais qu'assit (enfin plutôt recroquevillé) sur le canapé, j'étais impressionné par la démonstration (tout en calme) de ma chère Tante, imposant simplement son autorité à ma grande sœur, qui remise sur ses pieds, en pleurs et vaincue, ne bronchait plus, laissant sagement Tata attraper à son tour les élastiques du short et de la culotte, faisant glisser le tout jusqu'au chevilles.

    Et là, pour Isabelle, démarra alors une séance plus forte, que pour Monique, la rébellion s'ajoutant aux autres motifs de punition.

    Amicalement, Dominique

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  56. Chère Christine,

    Au risque de passer pour un vieux ronchon (ce que je suis d'ailleurs), je trouve que M'amselle Christine se la coule plus que douce, son dernier message assez succinct remontant au 11/01, alors si je veux bien croire que celle-ci soit très prise professionnellement, je pense néanmoins qu'elle dispose de quelques moments de relâches pouvant être consacré à son espace.
    A moins qu'à l'image d'une certaine Christinette, elle est un penchant pour la facilité dans le travail et se contente du strict minimum, qui agaçait profondément Maman Spaak et l'amenait à s'occuper des fesses de sa fille, pour cela.
    En conclusion, j'en arrive à me demander, si la grande Christine, n'aurait pas « besoin » de refaire un petit voyage au travers de cuisses accueillantes et sous une main experte, pour lui redonner le goût de l'effort, qu'en pensez vous Chère Conteuse fainéante.

    Amicalement, Dominique

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  57. Oui, je l'avoue, j'ai un début d'année très chargé, avec des dossiers importants, qui mettent en jeu une bonne partie de l'activité de l'année à venir. Ce sera plus calme une fois les contrats et les programmes fixés et signés.
    De fait, je délaisse un peu mon blog, et j'admets que si Christine redevenait Christinette, elle pourrait préparer ses fesses, ou même les aurait déjà présentées depuis plusieurs jours sur les genoux maternels pour une déculottée méritée. Et Maman, constatant que cela fait aujourd'hui un mois précisément que je n'ai pas écrit (du moins livré) de nouvel épisode m'aurait sûrement fêté cet "anniversaire" d'une manière claquante que vous imaginez aisément...
    Cela dit, j'avoue aussi que je suis gâtée (alors que je ne l'ai pas mérité...) par deux récits intéressants de Valérie et de Dominique. Je suis avec une curiosité digne de celle de Diane et Aline quand il s'agissait de mes fessées, les mésaventures de Valérie honteuse que son institutrice sache ce que ses remontrances lui valent quand l'écolière rentre à la maison... Comme je suis le déroulement de cette scène de fessées successives de Dominique, sa soeur et ses cousines, et où cela est loin d'être fini, pour ne pas dire que le plus passionnant à observer reste à venir...
    Merci donc à vous deux, en espérant que vous me comprenez (et pardonnez). Promis, je me rattraperai bientôt...

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  58. Chère Christine,

    Sachez, ma chère conteuse que j'apprécie profondément ce double aveu, l'un excusant votre indisponibilité (compréhensible) et l'autre manifestant votre satisfaction (non méritée, je le confirme) envers deux lecteurs (certes peut-être plus disponibles) ayant pris le temps de vous adresser des récits retenant votre attention et votre envie d'en savoir davantage.
    Je reconnais bien là, la Christine, bien plus friande de bons textes, que de bonnes déculottées maternelles la faisant pleurer tout son soûl, n'est ce pas ?

    Ceci dit, malgré vos absences, je pense que ce n'est qu'un juste retour d'ascenseur à votre égard, compte tenu de la qualité de vos écrits et de l'intérêt que nous y portons tous, au passage, je félicite Mamie Valérie pour la prolongation de son récit (enfin pas trop), celui-ci faisant resurgir à ma mémoire quelques moments biens désagréables et Christine ! Comme vous le savez, j'y répondrais.

    Sinon, concernant le mien, la suite viendra « gourmande ! » et je crois que l'observatrice ne sera pas déçue, à l'image de ces rendez-vous au travers des cuisses de Maman, dont-elle a le souvenir, non ?

    Sur ce, je vous comprends parfaitement et vous pardonne, mais n'en profiter pas trop, cela risquant de vous coûter plus cher à l'arrivée, et attention aux promesses ! Je suis sur que vous aussi, me comprenez.

    Amicalement, Dominique

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  59. Oui, Dominique, je vous comprends... J'imagine fort bien ce que vous prédisez à Christinette, si elle ne se remet pas au travail...
    C'est vrai que lorsque j'ai lu votre petit mot qui me reprochait de n'avoir pas écrit le moindre mot depuis le 11 janvier, j'ai repensé au fil de mon récit, et j'ai vu que le dernier épisode avait été validé le 16 décembre, alors que nous sommes justement le 16 janvier...
    Cela m'a fait tout drôle, comme si je m'apercevais que c'était le jour du carnet mensuel, et que j'y lise une appréciation de la prof d'anglais du genre : "Aucun travail ce mois-ci. Ce n'est pas parce qu'elle redouble, qu'il faut que Christine se croit en vacances".
    En lisant cela, forcément, j'aurais senti mon sang se glacer, j'aurais regretté amèrement de ne pas avoir fait un effort, au moins les derniers jours, avant le moment fatidique... Et puis, comme l'imagine Dominique, Christinette aurait angoissé, cauchemardé les yeux grand ouverts, tremblé, ressassé je ne sais quelle excuse, puis trainé les pieds sur le chemin de la maison, en ne doutant pas une seule seconde de ce qui l'attendait, en sachant que ses jambes flageolantes ne faisaient rien d'autre que d'apporter, comme sur un plateau, ses rondeurs jumelles que Maman allait étaler sur ses genoux, déculotter et claquer tant qu'est plus, pour une fessée bien méritée...

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  60. Chère Christine,

    Comme c'est agréable, de voir une jeune écervelée, prendre conscience que durant un mois, elle n'a pas foutu grand chose, vivant sur ses acquis et constatant que son carnet (celui de mars, peut-être) n'est pas très élogieux, flippant alors comme une gamine, à l'idée de ramener celui-ci et tenter de le faire avaler à Maman (peine perdue, en cette année de redoublement), en sachant que celle-ci n'attendra pas le mois suivant pour rappeler à sa fainéante de fille, qu'il y a un temps pour tout et ceci de la façon, la plus tangible qui soit et donc la demoiselle, a encore besoin.

    « Alors, comme dans moins de 6 heures, nous serons le 17 janvier, je pense qu'il est un peu tard pour trembler Christinette et je crois que tu n'a plus qu'à bien préparer cette belle gémellité, encore à l'abri dans son enveloppe de coton, pour le déluge qui s'annonce et sera tout à fait, mérité ! ».

    Voilà c'était le message de Minot, clone de Dominique, qui lui aussi a connu de bonnes déferlantes sur ses fesses, avant de grandir vraiment et être ce qu'il est aujourd'hui.

    En toute amitié et respect pour la conteuse,

    Amicalement, Dominique

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  61. Il en sait des mots savants, le Minot ! Parler de gémellité à son âge... On voit bien que le grand Dominique lui souffle ses répliques. Mais comme Christine fait pareil avec Christinette, il n'y a rien à redire.
    Sauf que, effectivement, nous sommes le 17, et que le mois sans nouvel épisode est passé. Et qu'il y a même de fortes probabilités qu'il ne se prolonge jusqu'en début de semaine prochaine...
    Heureusement que je ne suis plus à l'époque du collège, sinon je ne sais que trop ce qui m'attendrait à la maison lors de mon retour avec un carnet soulignant cette absence de travail...
    Quelles que soient mes explications et mes suppliques et autres promesses de bien travailler, Maman ne manquerait pas de mettre les siennes, de promesses, en application, et que l'on appelle sa ma "gémellité", mes joues du bas, mes rondeurs jumelles, ma lune, ou tout simplement mes fesses, passeraient un sale quart d'heure, évidement largement dégagées de tout dernier rempart pour une tannée maternelle des grands jours...

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  62. Chère Christine,

    Je reconnais également que comme Christine, Dominique souffle les mots ou les répliques à Minot, mais en toute honnêteté et sans tricherie ou ruse de sioux, comme une grande sœur avait su le faire, pour des opérations de calcul (épisode 12 du redoublement), avec à la clé pour Christinette, une mémorable déculottée et l'incident du bloomer jaune, aux ramifications imprévues par la suite.

    Tant qu'aux explications souvent alambiquées, suppliques et autres promesses, dans le vide de Christinette, tout le monde les connais par cœur, ce n'est que du bla..bla...inutile, à l'inverse de Maman qui elle tenait les siennes à l'encontre des fesses dénudées de sa fille et il est vrai que quelque soit l'appellation qu'on leurs donnent, le sale quart d'heure était au rendez-vous et malgré ces moments désagréables et infantilisant, pour une grande fille, Christinou avait le plus grand mal à se défaire de ses travers, ceci bien entendu à la plus grande satisfaction des lecteurs, de Christine.

    « Oh, désolée ! Christinette, la moqueuse Diane bis se manifeste encore, envers la grande sœur qui malheureusement, à son sens vivra, bien d'autres baissées de culotte, pour des fessées maternelles dont elle à le secret pour son aînée et sans commune mesure avec celles des petiotes ! ».

    « Brrrrr........, impitoyable ce Dominique, mais j'attends avec impatience le retour de sa Maman et là, je pense qu'il rigolera beaucoup moins, tout comme sa sœur ! Na.., na.., na.., vilain garçon ! ».

    Je sais, Christine ! Vous allez me dire que je fait les demandes et les réponses, mais comme vous le savez je suis un joueur pour le plaisir (Tarot, poker) et ancien militaire, qui s'efforce d'anticiper le coup adverse et notre jeu d'échanges communs, me ravit, l'adversaire étant de qualité.

    Amicalement, Dominique

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  63. Bonjour, Christine,

    Hou là là ! Je vois que les échanges entre vous et Dominique, sont aussi rapides que le TGV entre Paris et Montpellier ou réside ma fille, alors je vais tenter de prendre le train en marche, malgré le risque que cela comporte pour une dame de mon âge et qu'il est impossible de faire aujourd'hui.

    Suite :
    Comme vous le dites, si bien Christine, Valérie ne savait plus ou se mettre lors de cette discussion (Maman/Institutrice), ne pensant qu'à fuir n'importe où, pour cacher cette honte qu'elle ressentait, à ce moment là (ainsi que mes cousines) et avec le recul, je crois que même une tanière d'ours n'aurait pas suffit, à dissimuler notre désarroi commun.
    L'ennui étant que la journée ne faisait que démarrer et allait nous réserver d'autres surprises, vexantes pour toutes, mais également douloureuse pour l'une d'entre elles, calmée par la déculottée de la veille et honteuse, autant vous dire que durant la classe je ne bougeais pas d'un cil, à l'inverse de ma cousine Annie rappelée plusieurs fois à l'ordre dans l'après-midi par la Maîtresse.
    Et après la récréation, celle-ci trouva alors l'argument fatal, devant toute la classe
    « Annie ! Comme tu continue à perturber la classe, je pense que le mieux serait que j'en informe ta Maman, à la sortie, qu'en penses tu ? », n'obtenant pas de réponse, celle-ci ajouta « Il est vrai que, si j'ai bien compris ce qu'elle ma dit ce matin, tu n'aurait plus alors qu'à te préparer à une bonne fessée, culotte baissée, bien méritée, n'est ce pas! ».
    Annie, aussi rouge qu'une tomate, toujours aussi coi et transformée en statue, la Maîtresse conclut « Bon ! Et bien maintenant, Annie ! Nous allons donc reprendre le cours de la leçon, à l'endroit ou tu l'a interrompu et réfléchis bien à ce que j'ai dit !», l'angoisse se lisait sur le visage de ma cousine, ne sachant pas ce qu'allait faire la Maîtresse et redoutant, sans aucun doute, la conséquence maternelle qu'elle avait découvert, quatre jours plus tôt.
    Annie, appréhendait visiblement la sonnerie indiquant la fin de journée d'école, se dirigeant lentement vers la sortie (alors que nous autres courions, presque), Maman s'étant absentée avec Mémé, c'est donc ma Tante qui nous récupéraient toutes les trois pour le goûter et les devoirs.

    Valérie

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  64. Suite 2, car trop long :

    Bénédicte et moi, souriantes et enjouées, contrastaient l'attitude d'Annie qui demanda à sa mère de partir immédiatement, voulant ainsi échapper à un éventuel comte rendu négatif de l'enseignante, sauf que ma Tante soucieuse de notre comportement, suite à la conversation matinale en compagnie de sa sœur, interpella la Maîtresse et là, s'instaura un dialogue entre les deux adultes, néfaste pour ma cousine, qui fixait ses chaussures, s'en moufter, mais comprenant que son sort était fixé et qu'il passerait par la case, genoux de sa chère Maman.
    Ce que ma Tante confirma « Je vous remercie, Mme Prigent, pour ces informations et je pense qu'Annie sera bien plus calme à l'avenir, après la bonne déculottée, qui l'attend à la maison ! ».
    C'était dit ! Et tant Bénédicte que moi, n'avions l'intention de contrarier davantage ma Tante sur le chemin du retour, ne souhaitant à aucun prix, prendre la place d'Annie.
    Une fois à la maison, Tata Jeannine nous fît goûter dans la cuisine, avant de rejoindre la grande table de la salle à manger, pour y faire nos devoirs toutes les trois, sans la moindre évocation à ce qui venait de se passer (très gênant pour nos esprits et encore plus pour Annie, j'imagine), studieuses et appliquées (la trouille aidant, à mon avis), après vérification ma Tante félicita notre travail, nous ordonnant de ranger nos affaires et à Bénédicte, ainsi que moi, de prendre place sur le canapé ? Que voulait t-elle dire? Nous n'en savions rien, si ce n'est qu'Annie, n'était pas concernée par cet ordre et pour cause, une autre place non enviable, l'attendait !

    Suite au prochain numéro,

    Valérie

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  65. Oui, Valérie, il y a des jours où les échanges sont rapides, et Dominique a encore réussi à relancer le petit jeu de ping-pong verbal en jouant avec les nerfs de Christinette. En attendant, j'espère qu'il nous conte, lui aussi, la suite de son récit, qui sera, je pense, moins glorieux pour un certain bas du dos...
    De l'autre côté, j'apprécie la suite des aventures de Valérie, sa soeur et ses cousines, et en particulier l'angoisse qui doit étreindre Annie, qui n'a pu empêcher la maitresse de se plaindre à sa mère, et qui s'attend à une chaude réception... Le jour même où les promesses ont été faites publiquement que la moindre remarque de l'enseignante serait payée par une déculottée à la maison, Annie ne peut imaginer une seconde que sa mère oubliera ou changera d'avis. Avec en prime le regard de la soeur et des cousines qui risquent d'être aux premières loges, c'est la honte assurée pour Annie qui n'a plus qu'à préparer ses fesses...

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  66. Bonjour, Christine,

    En effet, Christine, je reconnais que le petit jeu de ping-pong entre vous et Dominique est assez amusant, même s'il n'est pas très tendre avec votre double (Christinette), mais bon, comme celui-ci a également connu les désagréments de la fessée, je pense qu'on peux le pardonner, d'autant que son récit est fort plaisant, même s'il me ravive quelques souvenirs de fessées collectives et tout comme vous, j'attends la suite qui s'annonce fort désagréable pour sa sœur, ainsi que la grande Brigitte qui attendant son tour, devait angoissée comme jamais en assistant aux tournées de sa sœur et de sa cousine.

    Suite :
    Comme vous le dites, Christine, Annie n'avait plus aucun espoir d'une quelconque clémence, sa mère ayant annoncé la sanction à la maîtresse et devant nous, elle ne pouvait se déjuger, afin de conserver son autorité et Annie avait donc compris, qu'elle allait en ramasser une bonne, aussi marquante pour l'esprit, que pour les fesses et en présence de témoins, pas très rassurés, et plutôt enclines à ne pas se manifester.
    Ma tante prit alors place dans l'un des fauteuils, nous faisant face et de son index fît signe à sa fille, de la rejoindre, accompagné par « Allez, Annie, viens donc par ici, que je m'occupe de tes fesses ! », amenant bien entendu de la part de ma cousine, tout en se dirigeant vers sa mère, larmes et promesse d'être sage, ne voulant pas la fessée, suppliques inutiles à ce moment là.
    Debout devant ma Tante, Annie n'avait plus qu'à préparer ses fesses, sauf qu'en l'état c'est Tata qui allaient les préparer, celles-ci étant couvertes de plusieurs protections contre le froid hivernal, séquence d'autant plus mortifiante que nos mères procédaient par couches successives et comme c'était jour de gymnastique, pas moins de trois épaisseurs de tissu couvraient directement nos fesses (culotte, collant et survêtement de sport), plus un gros pull descendant jusqu'à à la naissance des cuisses.
    Annie était toute tremblante et pleurnichait, lorsque ma Tante glissa ses mains sous le pull de sa fille, l'accompagnant de paroles (sermon pour Annie et mise en garde pour nous) :
    « Comme çà, ma fille ! Tu préfères distraire tes camarades, qu'écouter la maîtresse et te conduire en petite chipie, pourtant j'imagine que ce matin tu as bien entendu ta Tante parler du petit souci qu'avait connu Valérie, hier soir, pour le même motif, dis-moi ? Ceci, tout en me regardant ! Rougissant comme une pivoine, je baissais les yeux envahie par la honte de ce rappel et Tata en profita pour appuyer son discours, tant vers sa fille, que moi :
    « Alors, Annie ! Tu peux donc voir que la leçon lui a profité, puisque Valérie a fait preuve de sagesse aujourd'hui, à l'inverse de toi ma chérie, qui malgré les paroles de Tata et les miennes, n'a pas compris qu'il était préférable de ne pas se faire remarquer, ce qui n'a pas été le cas ! Par conséquent, je pense qu'une bonne déculottée, te feras mieux comprendre que l'on va à l'école pour travailler et non s'amuser ! ».

    Tout en parlant, ma Tante avait bien fait glissé, tour à tour, survêtement, collant et culotte vers le bas, ne restait plus que le gros pull couvrant les fesses nues de ma cousine et cette image me rappela ma situation de la veille ou devant Maman dans cette même tenue, j'étais tétanisée, n'attendant plus que la fessée et Tata, constatant mon trouble, ajouta à l'encontre d'Annie et de moi-même :
    « Eh oui, Valérie, comme avec Maman hier soir ! Ta cousine est prête, pour la bonne fessée qu'elle mérite et je ne vais pas la faire languir davantage ! » enchaînant aussitôt le basculement d'Annie sur ses cuisses, ainsi que la remonté du pull, dévoilant une paire de fesses bien blanches et me faisant penser que Maman avait donc, donner tous les détails, de ma fessée, à ma Tante et notamment l'utilisation de son tabouret de piano, pour la circonstance. J'étais vraiment mal à l'aise !

    Valérie

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  67. Excellent suite de Valérie, que je valide rapidement, ayant hâte de lire ce qui va suivre forcément, tant pour Annie que dans le regard et les pensées de Valérie, à la fois gênée et curieuse, mais prenant conscience du spectacle qu'elle offrait elle-même la veille...

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  68. Chère Christine,
    Suite du récit :

    Tata entama une vigoureuse claquée sur les fesses de ma sœur, dans la même tonalité que sa jeune cousine, mais connaissant ma sœur, qui n'était pas douillette, celle-ci me sembla bien plus intense, Isabelle ne pouvant retenir sa douleur qu'un petit moment, lâchant d'un coup, des cris sous chaque claque et gesticulant de plus belle pour éviter celles-ci, mais surtout essayer de s'échapper, sauf que ma Tante comme Maman habituées à corriger de grands enfants, avait la parade pour annihilé toute résistance à la punition.
    Ma Tante arrêtant son bras, sans lâcher Isabelle, souleva ses jambes et écartant les siennes la pris en ciseau, positionnant sa nièce en équilibre sur sa cuisse gauche (tel un V retourné, le sommet étant les fesses d'Isabelle), ma sœur offrait alors une cible parfaite à Tata, qui tout en procédant à la manœuvre lui dit :
    « Alors, comme ça, tu voulais te sauver ! Eh bien, c'est raté ma petite fille, Tata étant la plus forte et sans le savoir, tu me facilites la tâche, car maintenant je vais pouvoir m'occuper de tes fesses, sans trop d'effort et garder ainsi, de l'énergie, pour Brigitte ! ».... Et avant de reprendre la claquée, Ma Tante ajouta, tout en regardant ma grande cousine, bien pâle :
    « J'imagine donc ma chère petite nièce, que tu te rends compte, que ta rébellion n'aura servi qu'à aggraver ton cas, çà c'est une chose ! Mais surtout me permettre de ménager mon bras, sans penser à ta grande cousine qui pouvait espérer en passant la dernière, une fessée moins dense, celui-ci ayant déjà servi trois fois, mais vois tu grâce à toi, ce ne sera pas le cas et cela la chagrine, alors en compensation, je vais te flanquer une volée que tu n'oublieras pas de sitôt et tu vas comprendre ta douleur ! ».
    Et là, Tata Mireille, repris son devoir éducatif envers ma sœur qui allait, en effet, vite saisir l'étendue de son erreur, compte tenu de sa position, le bras de ma Tante bénéficiant d'une course plus importante et naturelle, par rapport à Monique, sa main s'écrasait lourdement sur toute la surface des fesses, ainsi que les cuisses, sur le même rythme et sans interruption.
    Ce déluge transforma ma sœur, en poupée de chiffon, versant simplement des torrents de larmes, gémissant en continu ou poussant des cris plus aigus, lorsque la main touchait des parties plus sensibles, ce qui m'impressionnait, tout autant que l'assistance et notamment Brigitte, qui attendait son tour, en tremblant comme une feuille.
    Ma Tante, bien décidé à dompter sa jolie nièce rebelle, fît une pause, à l'inverse de Monique, peut-être pour juger de l'état de ses fesses (bien écarlates), mais surtout pour repasser son message : « Alors, ma grande ! On se sent moins fière, maintenant devant le petit frère, dis-moi ? », n'obtenant aucune réponse (logique), Tata entama une dernière claquée identique certainement pour sa rébellion, faisant hurler ma sœur, ses fesses étant déjà plus que cuites et arrêta son bras, libérant Isabelle de l'étau, la laissant reprendre ses esprits, avant de la remettre sur ses pieds.

    Ne restait plus que Brigitte, toujours aussi pâle et visiblement en mode inquiétude, imaginant ce qui l'attendait et sachant que sa mère, savait se montrer généreuse, avec ses fesses de grande fille, mais ce sera pour plus tard !

    Amicalement, Dominique

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  69. Bonjour, Christine,

    Vous avez raison, Christine, la suite allait être bien difficile, pour Annie bien sur, étendue sur les cuisses de sa mère, déculottée et n'attendant plus que sa fessée, mais aussi pour les deux spectatrices involontaires que nous étions, Bénédicte et moi !
    A ce sujet d'ailleurs, ma Tante avait un très gros penchant pour la fessée publique, peut-être du fait de ses jumelles, je ne sais pas, mais toujours est-il que celles reçues par Valérie, de sa part, furent toujours en présence de témoins, mes deux cousines (la plus souvent), mais aussi (parfois) d'autres personnes, à l'inverse de Maman qui considérait la fessée publique comme exceptionnelle, pour des faits ou un événement plus graves, afin de marqué davantage l'esprit de la punie et ce dont, je la remercie aujourd'hui. Sauf qu'à mon grand désarroi, je suis passée plus d'une fois sur ses cuisses et donc, devant une assistance, plus ou moins nombreuse. Mais bon ! Revenons à notre sujet !

    Ma chère Tata, tout en fessant la pauvre Annie qui braillait, pleurait et s'agitait en tous sens, nous adressa des remarques, que nous avions du mal à supporter, du genre (je ne cite que les principales) :

    « Alors, Bénédicte ! Tu vois ce qui arrive, aux vilaines filles qui s'amuse au lieu de travailler, j'espère donc que tu retiendras la leçon et que tu ne sera pas la prochaine, sur la liste ! »
    «Et toi Valérie ! Hier soir, Maman t'a fait découvrir la 'fessée' déculottée comme ta cousine et tu t'en est souvenue aujourd'hui ! Alors, continue d'être sage, sinon je pense que mon tabouret de piano, ressortira et là, je ne donne pas cher de la peau de tes fesses ! » et il y en eu bien d'autres !

    Confirmation m'était donc faite, que Maman, n'avait rien cacher à sa sœur de ma volée de la veille, je me sentais honteuse et mon visage en témoignait, Bénédicte pâle comme un linge, ne pu retenir ses larmes, figée par la crainte et l'angoisse d'une déculottée identique à sa sœur, dans l'avenir, en cas de faux-pas scolaires ou autres.
    Vous le souligner, fort justement, cette scène créa chez moi cette ambiguïté, gênée pour ma cousine et en même temps « intéressée » par la vision du déroulement d'une fessée, de l'autre coté comme on dit, car la veille, je n'en avais ressenti que les effets très néfastes pour mes fesses et ma fierté.
    Et ce qui me surpris, est que durant ce monologue de ma Tante, celle-ci était totalement hermétique aux suppliques de sa fille qui s'amplifiaient au fur et à mesure, qu'elle claquaient ses fesses, ne jetant qu'un coup d'oeil de temps à autre sur celles-ci, sans lui répondre. Ce qui me fît comprendre le coté silencieux de Maman, lors de ma claquée.
    Après une dernière pause, Tata gratifia Annie d'un bouquet final et la remettant sur ses pieds, l'envoya dans sa chambre, éponger son chagrin, j'étais sur que ma cousine n'oublierais pas de sitôt, cette déculottée.

    Ma Tante et Maman étant donc décidés à corriger nos erreurs, je dois dire qu'assistant à ce « spectacle », je n'en menais pas large, pensant qu'en dehors des genoux de Maman, il était possible qu'un jour, je fasse un détour par ceux de ma Tata Chérie et cela se confirma bien plus vite que je ne pouvais l'imaginer.

    Valérie

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  70. Chère Christine,
    Suite du récit :

    Une fois debout, toujours cul nu, les jambes flageolantes, ma frangine qui avait du mal à tenir en place, du rejoindre Monique, les mains sur la tête et je dois dire que ma Tante, n'avait pas fait les choses à moitié avec elle, comme pouvait en témoigner l'état de ses fesses écarlates et son visage, inondé par les larmes, qu'elle versait, tout en obéissant au doigt et à l'oeil, telle une petite fille bien sage, à Tata Chérie qui avait mâtée, la jeune rebelle.
    Cette Maman responsable et juste, n'ayant plus qu'à parachever sa mission de justice, envers moi, avec la plus grande des filles, qui tremblait de plus en plus, le moment fatidique étant là !

    Étonnement, Brigitte, répondit immédiatement à l'injonction du doigt de sa mère, à venir vers elle, était-ce du à la démonstration avec Isabelle, possible ? Toujours est-il que celle-ci en pleurs, vînt se positionner, sans précipitation, devant sa Maman et en fût félicitée, avec une certaine ironie, envers ma sœur qui se morfondait, dans sa position de pénitente.
    « Et bien ! Voilà une demoiselle raisonnable, qui assume ses actes, pas comme une autre que je connais et tu m'en vois ravie, ma grande, alors pour ton courage et cette preuve de responsabilité, je vais être plus clémente pour ta punition, cela sera peut-être profitable à ta stupide cousine, encore bien trop gamine ! ».
    Tournant la tête vers ma sœur, je vis celle-ci repartir dans une nouvelle crise de larmes, non de douleur, mais de honte d'être ainsi ramenée au rang d'une petite fille écervelée, ne comprenant ses erreurs qu'après une bonne déculottée et je crois, avec le recul, que c'était la meilleure réponse au caractère entier d'Isabelle, qui d'ailleurs en reçue bien plus, que ma grande sœur (Sylvie) ou moi.

    Ceci étant dit, ma Tante fidèle à sa méthode passât les doigts de ses deux mains, sous les élastiques du short et de la culotte, afin de faire glisser le tout vers la bas et déculotter ainsi une grande jeune fille, sous mes yeux, j'avoue qu'à presque 10 ans, cela était troublant pour mon petit cerveau.
    Néanmoins, je n'allait pas avoir le temps de cogiter davantage, ma Tante faisant basculer aussitôt sa fille sur ses cuisses, lui administrant alors une volée de grand (e), certes moins rageuse et plus courte que celle de ma sœur, mais plus appliquée, comme une sorte de message que l'on transmet à l'intelligence du receveur.
    Arrêtant la claquée et relevant ma cousine, en pleurs, ma Tante l'invitât à se joindre aux autres dans la même position et s'adressant à moi (j'étais quasiment en boule, sur le canapé), mais aussi aux filles dit :
    « Voilà, Minot, je t'ai puni pour ta bêtise et tu le méritait, néanmoins comme ces trois vilaines filles t'ont tendu un piège et espionné ta fessée en rigolant, et en toute justice, elles méritaient également une punition, ce que je viens de faire, avec un plus pour ta rebelle de sœur et sachant que tu n'es pas idiot, tu comprends, très bien mon message, alors à l'avenir réfléchi bien avant de te laisser entraîner ! ». Celle-ci ajoutant :
    « Alors, maintenant ! On va sagement attendre que Maman rentre, c'est aussi valable pour vous mesdemoiselles et telles que vous êtes, sans bouger, sinon je peux encore en distribuer (ma Tante avait ouvert sa paume de main), vous m'avez compris ? », aucune réponse ne fusât, mais les regards parlaient d'eux-mêmes. Et c'est dans cette situation, que nous allions tous attendre le retour de Maman et de ma grande sœur, je reconnais que ma place était tout de même plus confortable que celles des filles. L'attente ne fût pas très longue et là !..............A suivre !


    Amicalement, Dominique

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  71. Bon, je ne comprends pas tout. Mais, c'est peut-être un bug informatique, puisque je reçois des suites de récit de Valérie sous le nom d'expéditeur de Dominique.
    Qu'importe, l'essentiel étant que les messages soient de qualité, et j'avoue suivre les deux histoires avec un grand intérêt.
    La fessée de Tata à Annie fait craindre d'autres épisodes claquants pour Valérie, et j'ai hâte de savoir ce qu'il en a été...
    Quant à la démonstration plurielle de la Tante de Dominique, elle s'achève sur une scène inédite où les cousines et soeur ont les fesses écarlates, et où le retour de la Maman est imminent... On se doute que cela va donner lieu à des commentaires qui ne manqueront pas de faire rougir les fautives, et peut-être même qu'il y aura des suites inattendues...
    Vite, vite, je voudrais savoir...

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  72. Bonjour, Christine,

    Non, non, Christine, ce n'est pas un bug informatique, tout est de ma faute, je m'explique :
    En fait, je me prénomme, Dominique, Valérie, Eglantine et lors de mon premier envoi, j'avais par réflexe inscrit Dominique, sur le profil NOM/URL, me ravissant aussitôt puisque qu'il y avait déjà un lecteur à se prénom et réinscrivant donc Valérie, avant de transmettre le message, sauf que depuis les deux prénoms apparaissent et Mamie ne sait pas comment supprimer le premier.

    Voilà pourquoi, malencontreusement, j'ai transmis ce message sous Dominique, sans faire attention, en m'excusant pour cette erreur et vous savez maintenant, que deux de vos lecteurs ont ce prénom, épicène, je tacherais donc d'être plus attentive.

    Valérie

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  73. Pas de souci, Valérie. L'essentiel est que vous poursuiviez vos confidences et nous livriez les suites que je ne doute pas éclatantes et rebondissantes de vos souvenirs... Merci d'avance.

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  74. Bonjour, Christine,

    La Mamie pas très doué en informatique, vous remercie de votre compréhension, Christine.

    En dehors de cela, je confirme votre funeste prévision pour la petite Valérie, par la suite, car Maman et Tata faisant le constat que les anges qu'elles avaient mis au monde, tournaient de plus en plus petites chipies, décidèrent de resserrer les boulons, comme on dit.

    Ma Tante, mère au foyer, proposa donc à Maman de soulager ma grand-mère notamment pour les devoirs (Mémé, étant plutôt 'cool' avec moi) et dés la semaine suivante, c'est donc Tata Jeannine, qui me récupéra à l'école (sauf quand Maman ne travaillait pas) et là, je peux vous assurer qu'avec elle, çà ne rigolait pas (comme avec Maman), sans parler des bêtises de la vie quotidienne.
    Et la Valérie, rentra plus d'une fois à la maison, la tête basse, avec des fesses encore bien chaudes, résulta d'une bonne fessée (justifiée et méritée) de ma Tata chérie que j'adorais, enfin sauf à ce moment là, car comme Maman, celle-ci ne baissait jamais une culotte, pour rien.
    Et çà chauffait dur, pour le postérieur de celle qui était, étendue sur ses cuisses.

    J'ajouterais que si la fessée, était parfaitement insupportable physiquement (ça fait mal) ! Avec Tata, le coté psychologique (honte) était horrible, la fessée se déroulant dans la grande pièce (salon/salle à manger) et ceci, malgré la présence de personnes (famille ou autres), ayant en mémoire quelques déculottées mortifiantes de ce genre, même si la plupart du temps, il n'y avait que mes cousines ou mon oncle, en plus, ce qui était déjà trop à mon esprit.
    Alors si, à force d'en prendre, mes fesses s'étaient (relativement) habituées aux claques, jamais je n'ai pu supporter ce coté publique de mes fessées, ceci étant certainement du au fait, que Maman me corrigeait (sauf exceptions) dans le secret de ma chambre et sous son seul regard.

    En conclusion, vous comprendrez, que tout comme vous, le lieu d'une fessée était important et même si je haïssais, ce maudit tabouret (que j'ai conservé, avec le piano), tant qu'à être punie, je préférais que cela se passe dans mon antre.


    Valérie

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  75. Chère Christine,

    Rentrant du travail et ouvrant votre blog, que de surprise !!!!!

    Christine qui bouge et se fait gourmande auprès de ses lecteurs, pour obtenir la suite de leurs récits qu'elle apprécie et lui permet surtout de se reposer, ceux-ci assurant le travail à sa place, j'en connais une qui ne serais pas très ravie, d'apprendre cela et je suis sur que la conteuse, vois à qui je pense !

    Et Mamie Valérie, qui comme moi possède trois prénoms, dont un en commun et à l'orthographe identique, que l'on soit fille ou garçon ! Alors, Valérie ou chère homonyme, bien venue au club des commentateurs appréciés de Christine et bravo pour votre récit, dont j'attends moi aussi la suite et sur lequel j'apporterais ma contribution.

    Sinon, Chère Christine ou devrais-je plutôt dire Diane la perfide, votre curiosité sera récompensée, n'en doutez pas.

    Amicalement, Dominique

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  76. Merci Valérie pour cette suite du récit qui laisse deviner que les devoirs surveillés par la Tante au lieu de la grand-mère, ce devait être autrement sérieux, et propice à quelques épisodes chaleureux... du moins pour le bas du dos de la demoiselle en herbe...
    Quant à Dominique, j'admets volontiers que ma non-production en aurait sérieusement agacé une certaine Maman, et que la Christinette aurait déjà eu à lui présenter ses fesses... Mais, comme l'espérerait avec beaucoup de curiosité aussi, une Diane, Christine et Christinette ont bien envie de lire comment s'est déroulé le fameux retour de la Maman de Dominique chez la Tata qui venait faire une démonstration collective claquante à souhait...

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  77. Chère Christine,
    Suite du récit :

    Après moins de dix minutes, Maman et Sylvie rentrèrent accueillit par ma Tante, bien sur, qui voulais connaître le résultat du rendez-vous pour sa nièce (je précise qu'à la ferme, on entrait par la cuisine), puis passant dans la grande pièce en sa compagnie, découvrir trois statues déculottées aux fesses encore bien colorées (mains sur la tête) et un garçonnet replié sur lui-même, dans le canapé.
    La surprise passée (ma grande sœur, étant visiblement très troublée par cette vision), s'installa entre Maman et ma Tante une bref échange ironique et mortifiant pour les pénitents :

    « Oh, mais dis-moi Mireille ! Est ce que je me trompe ou durant notre absence, il t'a fallût baisser quelques culottes et réchauffer les fesses qu'elles contenaient, pour te faire entendre ? »
    « Non, non, Liliane, tu ne te trompe pas et je suis sur que l'imbécile de service, ainsi que les trois punaises que tu vois, garderont en mémoire ce bel après-midi, dont je vais te livrer les éléments ! »

    S'engagea alors un dialogue entre les deux sœurs, entendu de tous, ma grande sœur (stoïque et silencieuse) assise à l'autre angle du canapé que j'occupais et les trois demoiselles (dos tourné à la scène), exposant toujours leurs fesses nues aux regards, ma Tante expliquant à Maman, les circonstances ayant amené ce résultat et je voyais nettement le visage de ma chère mère, passer par toutes les couleurs.

    Durant cette conversation, je fût un peu rassuré, par l'attitude de ma Tante qui, sans excuser mon geste, dont les conséquences auraient pu être plus graves pour elle, recadra ma responsabilité (action) par rapport aux trois grandes donzelles malicieuses et instigatrices de ma bêtise.
    Ce qui n'empêcha pas, Maman, de dire :
    « Je suis d'accord avec toi, Mireille, mais il n'empêche qu'il aurait pu te faire très mal et ça ! Je ne peux l'accepter ! Alors même si tu l'a corrigé pour cela et je t'en remercie, il faut qu'il apprenne à se maîtriser, ceci pour son bien ! ».

    Et là, Maman, me fixant d'un regard noir ajouta « Mon petit bonhomme, même si Tata t'a puni, tu peux préparer tes fesses pour moi et je peux te garantir, que tu va regretter ce lancé de ballon, envers ma sœur, malgré les circonstances, tu peux faire confiance ! ».

    Connaissant Maman, je me recroquevillait davantage pour cacher mes larmes, comprenant tout d'un coup, qu'après la fessée de Tata, une deuxième de sa part m'attendait et j'avais la trouille.

    Le petit Minot, savait donc à cet instant, que Maman allait elle aussi le dérouillé, pour cette bêtise et cela n'avait rien d'enchanteur, imaginant que celle-ci n'aurait pas la même clémence, que Tata envers mes fesses de garnement et ceci malgré les faits, ayant commis l'erreur de prendre pour cible sa petite sœur, même si elles n'avaient que quinze mois d'écart.

    Continuant la revue de détail, si j'ose dire, Maman s'intéressa au cas des filles et à celui de ma sœur en particulier, s'interrogeant sur la coloration plus prononcée de son fessier, Tata Mireille détailla alors l'épisode rebelle de ma frangine, déclenchant chez Maman une poussée sanguine étonnante, qui s'exclama d'un coup !!!!!!!!!!!

    Mais, ce sera pour plus tard, dit le taquin Dominique.


    Amicalement, Dominique

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  78. Chère Christine,

    Pas de chance, Diane, Christine, et Christinette ! Le vieux machin à travaillé ce matin et viens donc de délivrer aux vilaines petites curieuses une suite, qui les mettra en bouche assurément, je n'en doute pas et je vous rappel, Chère Christine, que l'habitation était commune (ferme parentale) à l'inverse de Valérie.

    Non, mais ! Voilà que j'imite mon fabuleux compère Mardohl, en relevant des détails, que la conteuse surbookée oublie, comme les références auxquelles nous faisons appel l'un et l'autre, de temps à autre et qui l'agace, celle-ci étant peut-être encore (par moment) la Christinette insouciance et charmante d'une certaine époque, qui nous enchante tous.

    Sinon, je suis ravi par vos réactions positives, même épisodiques, aux commentaires ou récits qui vous sont proposés et notamment ceux de Mamie Valérie, qui comme vous le dites si bien, va devoir faire ses devoirs d'école sous haute surveillance, avec de possibles retombées lunaires, Tata étant moins conciliante que Mémé.


    Amicalement, Dominique

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  79. Merci Dominique d'être aussi réactif. Je me doutais bien que le retour de votre mère allait corser la situation. Voilà donc, déjà, qu'en quelques lignes, on apprend que le jeune Dominique va à nouveau devoir préparer ses fesses, et que la claquée maternelle qui s'annonce, risque d'être non seulement moins compréhensive et moins retenue que celle de la Tante, mais aussi que, survenant sur une lune déjà rougie de belle manière, le résultat sera encore plus douloureux pour le lanceur de ballon...
    Et, surprise du chef, ou de la Maman chef, l'allusion à une rébellion de la soeur de Dominique, osant défier l'autorité de la Tante, ne peut être prise que comme la preuve que Valérie n'a pas bien compris que l'on doit obéir à sa tante, sinon Maman n'est pas contente... Et, l'exclamation décrite par Dominique pourrait bien valoir une réaction de colère qui ne prédit rien de bon pour le bas du dos de la soeur de Dominique...
    Vivement la suite donc...

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  80. Chère Christine,

    La réactivité est commune ce soir , Chère Conteuse et vois m'en voyez ravi, néanmoins je constate que cela la perturbe, ceci étant certainement du à la qualité des messages, car Chère Christine, ma sœur c'est Isabelle et non Valérie, disons que vous êtes dans la soirée boulettes ! Hi, hi..... !

    Tant qu'à la suite, elle est en préparation et vous sera livrée, dés que possible.

    Amicalement, Dominique

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  81. Désolé, Dominique, mais il est vrai qu'avec ces récits que l'on suit en parallèle, il arrive que l'on se trompe de prénom... Mais, quelque chose me dit qu'elle a "beau" s'appeler Isa-belle, votre soeur pourrait bien voir ses rondeurs jumelles à nouveau exposées sur les genoux maternels... Et j'avoue que l'imaginer me transformerait presque en Diane la curieuse...

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  82. Chère Christine,
    Suite du récit :

    « Oh, mais je suis pas surprise par cette punaise ! Mireille ! Prête à tout, pour imaginer des co......, et fuir plus vite, qu'une couleuvre, devant le danger ! Préférant de loin, laisser la place aux autres et s'en sortir indemne, comme la gamine irresponsable qu'elle est ! », ma sœur (le dos tourné) se pris un terrible savon de la part de Maman qui emportée par la colère, continua son monologue, sur d'autres registres la concernant, n'osant pas bouger, de peur d'en prendre une et pas forcément sur la joue, étant toujours déculottée.

    Maman remontée comme jamais poursuivit « Alors, Isabelle ! Comme j'en est plus qu'assez de tes manigances et de ton coté petite chipie rebelle, je vais donc te rappeler ce qui l'en coûte, puisque te semble l'avoir oublié et je promet un quart d'heure, que là, tu n'est pas prête d'oublier ! », sans voir son visage j'entendis clairement ma sœur fondre en larmes, Maman ajoutant :
    « Pour l'instant, tu vas monter te mettre en pyjama et attendre bien sagement dans ta chambre, car avant toi, je dois régler le cas de Minot, mais ne t'inquiète pas, la place de Star, t'es réservée, ma belle! Allez, maintenant tu obéis et tu file très vite !!!!». Ma sœur s'en se retourner, rajusta sa tenue et s'enfuit presque en courant vers l'étage.

    Maman était toute rouge 'folle de rage' contre Isabelle, qui avec cette rébellion envers sa Tante, venait de faire déborder le vase maternel, certainement déjà bien rempli depuis un certain temps, à son encontre et ma frangine l'avait bien compris, ainsi que Tata qui s'employa à calmer sa sœur, ayant saisi qu'elle allait sans tarder, s'occuper de son neveu chéri et renvoya, alors ses filles dans leur chambres.

    Car, si Maman était rouge ! Moi j'étais aussi pâle qu'un cachet d'aspirine, les yeux embuées, ayant moi aussi parfaitement assimilé ses paroles et compris que j'allais de nouveau passé à la casserole, dans les prochaines minutes, cela ne me rassurant pas du tout !
    Car après ma fessée, Tata m'avait reculotté enfermant donc mes fesses bouillonnantes et douloureuses, dans leur écrin, alors même si avec le temps, le gros de la douleur avait disparu, ne ressentant que des picotements en bougeant ou en changeant de position !
    La baisse de température de celles-ci, avait été ralentie par la double enveloppe et je tremblais de tout mon être, à l'idée, d'une deuxième couche maternelle (et plus appuyée, sans aucun doute), sur mes pauvres fesses encore sensibles, imaginant que cette nouvelle cuisson et la douleur, seraient, aussitôt insupportables, et que le petit Minot n'y résisterais pas, lâchant alors de belles vocalises et vidant toutes ses glandes lacrymales.
    Maman qui avait, en fait libéré ses nerfs, verbalement à l'encontre d'Isabelle (qui allait néanmoins, vivre une déconvenue des grands jours), se calma, aidée en cela par ma Tata chérie (que je remercie au passage) et s'adressa, plus posément, à moi :
    « Dominique ! Maman est fâchée par ton attitude, car ta bêtise aurais pu blesser ma petite sœur ! Laquelle, étant ta Tante, tu dois, respect et obéissance ! N'étant pas une copine de ton âge ! ».
    « Te connaissant ! Je suis sur que tu comprends, ma contrariété vis à vis de Tata qui a eu raison de te punir pour cela, mais en tant que Maman, je me dois de te rappeler qu'il y a des lignes à ne pas franchir, même si l'on provoque ta fierté de garçon ! ». Je subissais le sermon, en pleurnichant, sachant qu'après celui-ci, c'était la fessée assurée avec pour seul espoir, l'apaisement de Maman, certes décidée à passer son message, sans trop de sévérité (réservant celle-ci, pour ma sœur) ?

    La suite, dévoilera la réponse, Chère Christine,

    Amicalement, Dominique

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  83. Chère Christine,

    C'est amusant, car je découvre votre réponse à mon dernier message, en transmettant une suite avec Maman, Tata et les filles.
    Pour ce qui est des 'boulettes', c'était une boutade, moi-même j'en commet et plus souvent qu'à mon tour, ce qui prouve que les récits transmis sont de qualité et intéresse la conteuse. Sinon en effet, Isa est toujours aussi belle (60 ans passé).

    « Minot, confirme à la petite perfide de Diane, qu'elle aura de quoi régaler, ses mirettes et ses pensées de vilaine curieuse ! Mais, bon sang, il y a des claques qui se perdent, pour les petites chipies de ce genre ! »

    Amicalement, Dominique

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  84. Gâtée ! Il n'y a rien à dire : Christine la surbookée et improductive (sur le blog seulement) depuis belle lurette est ravie de lire tous ces récits, où Dominique particulièrement est en verve.
    S'il fallait juste un bémol, je suis un rien gênée d'imaginer sa Maman traiter Isabelle de "punaise" ou parler de "conneries", mais c'est vrai qu'avec le temps, les souvenirs dominicains ont dû faire évoluer le langage qui était sûrement moins brut.
    Cela dit, j'imagine fort bien cette mère qui ne peut laisser passer le geste de rébellion de sa fille, et l'envoie attendre une tannée méritée...
    Comme je me sens presque à la place de Dominique, qui vient, à n'en pas croire ses yeux, d'assister à des démonstrations fesseuses en direct, mais qui se recroqueville dans le canapé, en comprenant que Maman ne peut laisser passer son comportement sans réagir, et qu'elle va se faire un devoir, notamment envers sa soeur, pour lui montrer qu'elle a eu raison, de rajouter sa propre "couche" de punition, histoire de faire comprendre à Dominique que si l'on désobéit à Tata, non seulement, elle peut le punir, mais que Maman fera de même...
    Marqué par tout ce qu'il a vu, et avec encore le bas du dos coloré et chaud, Dominique ne peut qu'angoisser en sachant qu'il va de nouveau devoir préparer ses fesses, et que Maman va évidemment les dégager largement pour qu'elles rougissent à l'air libre sous la main d'une mère très motivée...

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  85. Chère Christine,

    Bien vu ! Christine ! Maman n'employait pas le mot 'conneries', mais bêtises ou âneries, par contre celui de 'petite punaise' résonnait parfois dans la maison, ceci à mon avis, en rapport avec les petits insectes qui empoisonnaient souvent nos mères au quotidien et je n'ai donc supprimé que le petite, et je que le langage était brut,à cet époque.

    En effet, à la maison, la rébellion était l'une des choses à éviter, au même titre que l'insolence ou la désobéissance à moins de vouloir s'en ramasser une bonne et Maman ne pouvait donc que sévir, tant envers ma sœur, que moi, en application de ce fameux principe de la double peine déjà en vigueur pour les problèmes scolaires.

    Sinon, à mon sujet, l'angoisse et j'ajouterais la trouille, me nouait l'estomac, n'ayant aucune illusion sur le fait que Maman, allait se faire un devoir, de découvrir mes pauvres fesses colorées, pour y déposer sa propre couche de rouge et je flippais grave, car si Maman était plus calme, elle était encore sous pression et cela n'avait d'engageant pour mes fesses.

    Je vous prépare la suite, mais si à ce moment là, j'étais pas spécialement pressé.

    Amicalement, Dominique

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  86. C'était juste une remarque ponctuelle, Dominique, car un tel vocabulaire pourrait laisser entendre que votre mère n'aimait pas ses enfants, ce qui est évidemment faux, j'en suis sûre.
    J'ai exprimé ma remarque, ce qui prouve à l'inverse que le reste ne suscite de moi que des compliments.
    Et, vous savez très bien, que je comprends plus que quiconque combien le Minot n'est surtout pas pressé de vivre la suite de ce récit... Et qu'il préférerait mille fois attendre que ses petites fesses soient blanches et fraiches avant de devoir les exposer à nouveau sur les genoux maternels...

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  87. Chère Christine,

    Comme vous le savez, Christine, le samedi matin, je m'occupe de gamins (filles et garçons) entre 10 et 12 ans au foot et venant de revenir, je vais m'atteler à la suite de mon récit.

    Sinon, je vous confirme que Maman, comme Tata adoraient leurs enfants, même si elles savaient en cas de nécessité baissé une culotte ou un slip, pour nous flanquer une bonne rouste et vous remercie pour les compliments.
    Et comme vous le dites, Minot, aurait même préférer dix mille fois plus, que ses fesses soient bien reposées, avant d'avoir à les représenter à Maman, sauf que là ce n'était pas le cas et sincèrement, une trouille bleue l'envahissait, mais c'était trop tard.

    Amicalement, Dominique

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  88. Bonjour, Christine,

    Comme vous l'entrevoyez, les devoirs avec Tata étaient beaucoup moins drôles, qu'avec Mémé qui souvent me facilitait plus que la tâche et les épisodes que vous nommez 'chaleureux' (par pour nous) furent assez fréquents, pour mes cousines bien sur et double pour moi, Maman, considérant que Tante, remplaçait la maîtresse, comme si j'étais restée à l'étude et qu'une punition de Tata, en méritait une autre de Maman.
    Et vous avez bien compris, que la perspective de cette étude très surveillée, n'enchantait pas du tout Valérie, d'autant que Maman n'avait pas manqué de préciser à sa sœur, d'agir comme avec ses filles, en cas de problème, équivalant à un bon gratuit pour de bonnes déculottées, ce que je n'avais jamais connu avec Mémé, qui me réprimandait tout au plus.
    Compte tenu de l'intérêt, que vous semblez y porter, je tenterais de mettre cela en forme, mais pour l'instant je vais continuer mon récit en cours, constatant que Dominique vous sert des commentaires ou des suites, tout à fait captivantes.

    Suite de mon récit :
    Ma Tante après avoir expédié Annie dans sa chambre, clôtura la « séance » en s'adressant aux deux « spectatrices » que nous étions, sous forme de leçon verbale:

    « Ma petite Bénédicte, j'espère que tu as bien retenu, ce qui vient d'arriver aux fesses de ta sœur, pour son indiscipline ! Alors si tu ne veux pas connaître les mêmes ennuis, je te conseille d'être bien sage à l'école et écouter la maîtresse, sinon Maman te baissera également la culotte, pour une bonne fessée ! », ma cousine était toute penaude.
    « Quant à toi, Valérie ! J'imagine aussi que tu as bien compris qu'ici, comme chez Maman, le tarif est le même et la maîtresse m'a fait l'écho, aujourd'hui, que la déculottée de Maman, hier soir, a porté ses fruits, n'est ce pas ma chérie ? », effondrée, je regardais ma tante en hochant la tête de bas en haut. Tata nous dit alors :
    « Très bien, maintenant vous savez donc, que si la maîtresse avait de nouveau à se plaindre, de la conduite, de l'une d'entre vous, il en cuira pour vos fesses, on est d'accord ? Obtenant, un oui à l'unisson de deux demoiselles, bien gênées, d'autant qu'elle ajouta :
    « Bon et bien, vous pouvez aller jouer, mais sans faire de bêtises, sinon gare à vos fesses ! », prononçant cette phrase, la main levée, paume ouverte et l'agitant de façon précise, ne laissant aucun doute sur ses intentions.

    Lorsque Maman vint me chercher, ma Tante fît un compte rendu complet à sa sœur, sur cette fin d'après-midi, citant la maîtresse sur la sagesse de Bénédicte et moi, durant la journée, ainsi que notre application, à faire nos devoirs. Ceci à l'inverse d'Annie, qui n'ayant donc pas bien compris le message maternel du matin, avait eu droit à une bonne déculottée, comme moi la veille (me faisant à nouveau rougir) et sous nos yeux, faisant développer sa pensée à Maman :
    « Je pense que tu as eu raison d'agir, de cette façon, Jeannine ! Car vois-tu ! Depuis quelques temps, je me suis aperçue que Valérie, qui a bien grandi, avait tendance à se laisser porter par un petit vent de liberté, qui ne me convient pas du tout, abusant de la gentillesse de Mémé, ce qui m'a conduit, hier, après réflexion, à marquer son esprit, en lui baissant pour la première fois sa culotte, pour la fessée et même si ça m'ennuyait un peu, je me devais de le faire, afin que Valérie retienne la leçon et je crois que j'ai bien fait ! ».
    Et si ce développement maternel, loin d'être terminé, m'affligeait, celui-ci allait déclencher une réaction de ma Tante, mettant Bénédicte aussi mal à l'aise que moi, pour l'avenir, seule Annie y échappa, mais en fût largement informée par sa mère et nous-même.

    Valérie

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  89. J'attendais de savoir comment le Minot allait devoir affronter la logique maternelle, et le fait que même si Tata avait déjà puni son neveu, Maman allait faire comprendre doublement à son rejeton ce que ses bêtises méritaient...
    Et, si la suite promise par Dominique n'est pas arrivée hier, je n'ai pas à me plaindre... D'abord parce que je n'ai pas écrit moi-même... (oui, j'ai honte), et puisque, entre temps, c'est Valérie qui poursuit ses confidences, où là encore, il y a de la déculottée dans l'air...
    A qui le tour ?

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  90. Chère Christine,

    En effet, chère conteuse, il serait mal venu de votre part de vous plaindre, que Dominique n'est pas livré la suite hier, car il avait autre chose à faire, voyez vous jeune fille. Alors, oui ! Honte sur vous, pour ce manque de travail, depuis 6 semaines et j'avoue, que ce soir, si j'avais la chance d'avoir la lune de Christinette au travers de mes cuisses, je lui montrerait que mon expertise, en une certaine matière, est comparable à celle de sa chère Maman, qu'elle a bien connu.

    Sur cette boutade, je vais m'atteler (moi) à la rédaction de la suite et vous la livrer, ce soir ou demain matin, avant de partir au boulot et je remercie sincèrement Valérie, d'avoir comblé avec qualité, mon absence et satisfait, mademoiselle la fainéante, qui en plus envisage, pour vous et vos cousines de futurs déculottées, alors que c'est elle qui en mériterait une bonne, non mais !

    Humour Dominicain bien sur, vous l'aurez compris, Christine !

    Amicalement, Dominique

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  91. Objectivement, j'admets que, si j'étais encore Christinette, Dominique n'aurait pas tort... Mieux, cela aurait déjà, depuis belle lurette, chauffé pour mon matricule...

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  92. Chère Christine,
    Suite du récit :

    Maman, par pure coïncidence, attrapa le même chaise que Tata avait utilisé pour les filles, la plaçant quasiment au même endroit et s'y asseyant, m'invita de son index à la rejoindre, précisant sur un ton aussi doux, que ferme :
    « Allez, viens donc ici, voir Maman et au plus vite ! Sinon tes fesses risquent de le regretter, car je dois aussi m'occuper de ta sœur, alors ne tarde pas, mon fiston chéri ! »

    J'étais tétanisé, sans aucune envie de bouger (surtout pour en prendre une autre), sauf que deux seuls choix s'offrait à moi : Obéir sagement et recevoir, à n'en pas douter, une bonne déculottée ou rester à ma place, en énervant encore plus Maman et me prendre alors une tannée, identique, à celle qui était promise à ma sœur ?

    Connaissant bien, la volonté de Maman à accomplir les tâches qu'elle s'était fixées, il était sur que j'allais finir au travers de ses cuisses! Dés lors, à moi de choisir, même si mes fesses étaient encore sensibles, entre une bonne fessée ou une volée vraiment insupportable.

    N'étant pas trop crétin, j'optais rapidement pour la première solution, car quitte à prendre une, autant faire en sorte qu'elle soit le moins dur possible et c'est, la mort dans l'âme, les yeux larmoyants que je m'approchais de Maman, tout en suppliant de m'épargner, cause perdue bien évidemment !

    La suite pour ce soir, car je vais au boulot.....

    Amicalement, Dominique

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  93. Même chaise, même positionnement, même attitude, l'histoire se répète pour le Minot, mais cette fois, c'est Maman qui officie, et cela promet d'être plus sérieux encore que la claquée de Tata...
    Et puis, comme il n'est pas idiot, il comprend bien que s'il avait pu être tenté de résister à Tata, mieux vaut ne pas le faire face à Maman, qui devant témoins n'accepterait pas la moindre rébellion...

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  94. Chère Christine,

    Joli rebond, Christine ! Apprécié par Dominique le conteur, mais pas du tout par le petit Minot que vous destinez à une sérieuse fessée de Maman, c'est pas gentil et si la suite, confirme votre intuition, il aurait préféré que vous gardiez cette pensée néfaste, pour vous.
    Même si en guise, de consolation, vous lui faites un compliment sur son attitude intelligente, de ne pas tenter le diable, en s'opposant à Maman chérie.

    Bon allez, je ne m'attarde pas, afin de vous livrer la suite et satisfaire votre curiosité.

    Amicalement, Dominique

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  95. La curieuse vient jouer les Diane et découvrir la suite, pour rire sous cape des désillusions du Minot. Sûr que ça va barder, hi, hi... Je préfère être à ma place d'observatrice qu'à la sienne qui va devoir à nouveau montrer sa lune...

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  96. Chère Christine,

    Méchante Diane bis, qui attend impatiemment la suite des déboires, du petit Minot, uniquement pour se gausser et se moquer du pauvre garçon, qui va à nouveau présenter ses fesses, n'hésitant pas à lui rappeler, que ça va barder.
    Non mais, quelle vilaine chipie, cette gamine et Minot serait ravie, que sa Maman l'attrape et lui donne une bonne déculottée, bien méritée.

    Amicalement, Dominique

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  97. Je comprends que Minot serait ravi que Diane ou Christinette soit à sa place... Il y a vraiment des moments où mieux vaut être spectateur attentif et curieux qu'acteur dans un rôle certes connu mais très éprouvant...
    Je comprends aussi que Minot ne soit pas pressé de raconter la scène...

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  98. Chère Christine,
    Suite du récit :

    Aparté :
    En dehors de Tata et Maman, dans la pièce se trouvait également, ma grande sœur (plus de 15 ans) et aussi bizarre, que cela puisse paraître, sa présence me gênait moins que celles de mon autre sœur ou de mes cousines à l'occasion, peut-être parce que plus responsable, celle-ci était plus attentionnée, envers son petit frère. En fait, avec le recul, je pense que je considérait Sylvie, comme ma seconde mère, bien sur il y avait Tata, mais ce n'était pas le même chose et d'ailleurs, nous avons gardé, cette complicité particulière, qui pour l'anecdote agace souvent les autres.

    Suite :
    Debout devant Maman, je pleurais franchement, attendant sagement et résigné qu'elle me déculotte, sans protester, ne voulant pas aggraver mon cas et d'habitude, Maman, me déculottait en baissant, d'un coup sec ce que je portais, mais là étonnement elle tira tour à tour et presque lentement, short et slip vers le bas, sans dire un mot, ce qui m'inquiétait pour la suite et j'avais bien raison.

    Quelques secondes plus tard, je plongeais au travers des cuisses de Maman qui juste avant de démarrer la claquée, repris la parole « Allez mon petit bonhomme, je vais te rappeler comment je m'appelle et que ta Tante, n'a rien d'une copine de jeu ! » et la valse maternelle, tombât, ne me laissant pas le temps d'exprimer le moindre regret, envers Tata.

    Dés la première claque, je compris que Maman allait s'appliquer (sans excès) à m'en coller une, que je n'oublierais pas et sans comparaison avec d'autres, ou l'énervement maternel dominait, déversant alors sur mes fesses, une volée de bois vert, aussi rapide et vive, que la cuisson d'un steak !
    Là, non ! La main de Maman claquait comme un métronome, de façon méthodique, arrosant toute la surface du fessier, du bas du dos à la naissance des cuisses, mes fesses était un véritable brasier dont la température ne cessait d'augmenter et me tirait des flots de larmes.
    Soufflant comme un bœuf et criant comme un âne, sous cette claquée douloureuse, c'était tellement insupportable que j'avais l'impression d'être dans une autre dimension, sauf que j'étais bien au travers des cuisses de Maman qui martelait ces pauvres fesses, déjà bien servies par Tata, mais sans comparaison possible.
    Et Maman, si j'ose dire, faisait durer le plaisir, qui n'avait rien de plaisant pour moi, faisant quelques pauses (deux ou trois, peut-être), me permettant de reprendre mon souffle et supplier à grands cris, Maman pour qu'elle arrête, sous forme de télégramme du genre « Stop, M'man ! Pitié ! Peux plus ! Trop mal ! Promis ! J'frais plus ! Promis ! » tout à fait inutile, car je savais que Maman ayant une leçon à donner, elle irait jusqu'au bout de celle-ci, sans ce soucier de mes jérémiades.
    Et sans surprise, c'est exactement ce qui se passât, Maman achevât son œuvre par une dernière pluie d'orage, cette fois ci et hurlant de douleur, j'avais l'étrange sensation que mes fesses allaient exploser, sous sa main.
    Ce qui ne fût pas le cas, évidemment, même si j'avais le postérieur en feu et plus que cuit, le petit Minot était entier, déconfit certes, mais entier et simplement malheureux, d'en avoir pris, encore une bonne de Maman chérie qui ne faisait jamais les choses à moitié.
    Reculotté et renvoyé sur le canapé, toujours en pleurs, je repris ma place en chien de fusil, essayant tant bien que mal de digérer, ma mésaventure et au fil de mes pensées, je repensais à Isabelle qui attendait, me disant qu'au vu de ce que j'avais ramassé, pour ma bêtise ! La grande, petite sœur, pour sa rébellion envers Tata, allait s'en prendre une phénoménale de la part de Maman !
    A suivre...........

    Amicalement, Dominique

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  99. Chère Christine,

    Désolé, Christine, mais cette semaine a été assez difficile sur le plan professionnel et malgré mon attachement à votre espace, je n'ai pas eu trop le loisir de m'y consacrer, ceci s'ajoutant au fait que le petit Minot n'avait pas trop envie de revivre ce moment, qui fût l'un de ceux que l'on oublie pas.

    Sinon, je trouve que ma chère conteuse, a tendance à se reposer sur les autres et j'en viens à me poser la question suivante : « Serait-elle ! A cours de souvenirs, pour elle-même ou pour les frangines et notamment la petite perfide de Diane, qui préfère la position de spectatrice très curieuse, au rôle d'actrice bien plus difficile? ». Et là, deux réponses se présente à moi :

    « Soit ! Christine, n'est qu'une fainéante notoire, à laquelle il convient de baisser la culotte, pour une bonne fessée, de temps à autre, pour la remettre sur les bons rails ! » et sincèrement c'est ce que je pense au plus profond de moi-même !
    Ou bien ! « Christine ! Débordée par le travail, n'arrive plus à faire face, ne pouvant ou ne voulant pas déléguer et se retrouve dans la mélasse ! », ce qui soit-dit en passant, mériterais aussi une bonne déculottée, mais comme vous pouvez le constater, le vieux magnanime vous tend à nouveau une perche, que vous serez saisir, à n'en pas douter !

    Néanmoins, ayant livré la suite mon écrit, je vous laisse le lire et y apporter, remarques ou appréciations. Tiens voilà que j'en tend une autre ! Incorrigible le bougre ! hi hi.........

    Amicalement, Dominique

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  100. Dominique me tend des perches, mais c'est surtout ses fesses que le Minot a tendues sur les genoux maternels pour une deuxième couche qui risque de tenir plus longtemps encore que la première. Quel spectacle pour les témoins, et surtout pour celle des soeurs qui allait devoir prendre la place...
    Elle ne devait plus se faire aucune illusion sur ce qui l'attendait...
    Diane, évidemment, aurait biché en assistant à cette série de déculottées. Et même Christine aurait été très intéressée, rassurée peut-être que d'autres grandes comme elle y passent encore, mais aussi gênée un peu en se disant que ce spectacle honteux d'une lune de grande toute déculottée, elle l'avait déjà vécu souvent, comme actrice principale, et qu'elle n'était pas du tout à l'abri de l'être encore, comme elle le craignait avec juste raison...
    PS : cela dit, c'est toujours le travail par dessus la tête, mais j'ai déjà un bout de suite qui arrive bientôt...

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  101. Chère Christine,

    En effet, Christine, le petit Minot avait les fesses bien bouillantes et assurément, bien plus écarlates, après cette deuxième couche maternelle, plus appuyée que celle de Tata, distribuée devant témoins (visuels) pour ma Tante et ma grande sœur, mais aussi (auditifs) pour les cousines et ma plus jeune sœur, que l'écho de ma déconvenue, devait fortement inquiéter pour elle-même, son cas étant plus grave que le mien, aux yeux de Maman.
    Le perchman Dominique, livrera donc la suite, qui sans aucun doute, comblera la facétieuse petite Diane, qui préfère voir ou entendre une fessée de ses sœurs, que la subir, elle-même.
    Tant qu'à Christine (tte), à la curiosité toute en réserve, celle-ci se sentira moins seule parmi les grandes jeunes filles honteuses, de devoir dévoiler une partie anatomique, ô combien secrète, à une main correctrice, qui officiera à nouveau si les circonstances l'imposent.

    Message du petit Minot :
    « M'dame Christine, malgré le respect que je vous dois, j'ose vous dire que même si vous êtes débordée par le travail (comme mon clone, Dominique), un effort de votre part serait le bienvenu, car voilà sept semaines que vous faites languir, votre lectorat qui s'impatiente et au risque d'en prendre une bonne pour mon insolence, je crois qu'il serait sage de vous remettre à l'ouvrage ! Voilà, je ne fais que transcrire la pensée, de mon avatar ! »

    Comme vous l'aurez compris, Christine, ce n'est qu'un humour Dominicain en ce beau dimanche d'anniversaire pour mon dernier fiston (11 ans), que je vais fêter en compagnie de toute la famille.


    Amicalement, Dominique

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  102. Bonjour, Christine,

    Absente depuis quelques jours, je viens de lire vos échanges avec Dominique, ainsi que les suites de son récit et je trouve très agréable, de voir des personnes, communiquer entre elles, sans se connaître physiquement, mais comme dit mon fils, c'est la magie d'internet.
    Alors, pour être dans le coup, je poursuis le mien, espérant qu'il aura votre approbation.

    Suite de mon récit :

    Tata à l'évidence, partageait l'avis de sa sœur et était toutes ouïes, à l'exposé de Maman qui prise dans son élan continua :
    « Et après en avoir fini avec ses fesses, je l'ai prévenue qu'à l'avenir, pour ses bêtises ou tout problème scolaire, elle aurait droit à la même chose et j'ose espérer, qu'elle a bien retenu la leçon, sinon tant pis pour elle, ce sera la déculottée! », je me sentais rougir de honte et il en fût de même pour Bénédicte, lorsque sa mère ajouta « Je suis entièrement de ton avis, Paulette, d'ailleurs dimanche soir, j'ai tenu le même discours à mes filles, après leurs déculottées et tu vois, aujourd'hui Annie, l'avait oublié et j'ai donc tenu ma promesse, tout en rappelant à Bénédicte qu'il valait mieux rester sage, si elle ne voulait pas être la prochaine sur la liste ».
    Cet alors que ma tante proposa à sa sœur, de me récupérer après l'école pour les devoirs et soulager Mémé, ce que Maman accepta volontiers, non sans donner une précision à Tata, donc je me serais bien passée « Je te remercie, Jeannine et n'hésite surtout pas, s'il le faut, à lui baisser la culotte pour une bonne fessée comme tes filles ».

    Autant vous dire que cette phrase maternelle, me fît frissonner d'angoisse, me voyant déjà au travers des cuisses de ma Tante, toute déculottée, sous le regard de mes cousines et comme vous pouvez l'imaginer, cela arriva plus vite que prévu, avec en prime la seconde couche de Maman une fois rentré à la maison et étonnement, le travail et la conduite de la petite Valérie s'améliorèrent de façon sensible.


    Valérie

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  103. Valérie nous promet encore bien des épisodes si sa chère Tante s'occupe de surveiller les devoirs de la demoiselle, et si Maman promet une seconde couche au retour à la maison, lorsque ce sera nécessaire... Effectivement, Valérie avait alors intérêt à travailler mieux pour éviter de doubles déconvenues postérieures et claquantes...
    Quant à Dominique, oui, Christine a bien conscience qu'elle exagère, même si elle ne le fait pas exprès... J'avoue qu'heureusement que je ne suis plus Christinette, sinon c'est sûr qu'il y aurait des fessées dans l'air... Et pas que dans l'air car, avec Maman, elles ne se perdaient jamais...

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  104. Bonjour, Christine,

    Vous avez raison, Christine, mademoiselle Valérie, connût à partir de ce moment là bien plus d'épisodes cuisants pour son postérieur et ceci jusqu'à l'aube de ses 16 ans, ainsi que ses cousines, car comme je l'ai dit précédemment, nos mères avaient décidé de resserrer la vis aux trois espiègles, que nous étions et si nous n'avons pas connu, de redoublement, durant nos premières années de collège, la fréquence de nos fessées, connut une inflation galopante, le doux vent de l'insouciance donnant des ailes aux demoiselles, avec pour résultat des fesses souvent rougies par les mains maternelles.
    Ceci dit, je termine l'épisode présent et comme vous semblez apprécier, Mamie Valérie, essaiera même si cela la trouble un peu aujourd'hui, de vous raconter quelques voyages pour elle ou ses cousines sur les genoux de Maman ou de Tata, qui ayant un accord commun, ne se privèrent pas de le mettre à exécution, à la plus grande détresse de ces demoiselles, dont les fesses allaient connaître alors, de très mauvais quart d'heure.

    Suite et fin :
    Bien entendu, Maman souhaita d'abord présenter la décision prise avec sa sœur, me concernant, à Mémé, de façon diplomate pour ne pas la contrarier et avant sa mise en application, ce qu'elle fît le soir même au cours du dîner.
    Et, surprise pour Valérie ! Ma grand-mère approuva l'idée, du fait que cela la soulagerait bien sur, mais aussi Maman assez prise par son travail et ajoutant même, que ce serait certainement plus agréable pour moi, d'attendre Maman en compagnie de mes cousines.

    Si cela, partait d'un bon sentiment de la part de Mémé, envers moi, celle-ci ignorait le revers de la médaille, que ma chère mère avait sciemment escamoté pour ne pas la chagriner, à l'avance, Mémé comprenant quelques temps plus tard, qu'il ne s'agissait pas d'un cadeau pour ses petites filles et Valérie, en particulier, qui partageait sa demeure.

    Le lendemain, Maman qui commençait plus tard son travail, m'accompagna de nouveau à l'école et informa la maîtresse, qu'à compter de la semaine suivante, ce serait ma Tante qui se chargerait de me récupérer, sauf si elle était là et n'oublias surtout pas de lui préciser, qu'elle pouvait donc transmettre à ma chère Tata, toutes informations me concernant.
    Et cela me fît pâlir, car si jusque là, entre Mémé et moi, il existait quelques secrets non divulgués à Maman, je compris qu'il n'en serait pas de même avec Tata, qui ne cacherait rien à sa grande sœur et mon sourire naturel, disparu aussitôt.

    Pour couronner le tout, ma Tante, ne manqua pas d'évoquer, la fin d'après-midi difficile pour les fesses d'Annie, qui rougissait comme une pivoine, d'autant que la maîtresse affichant un sourire satisfait, félicita quasiment Tata sur un ton ironique « Et oui, madame Schannen ! Parfois pour une Maman responsable, il n'y a plus d'autres solution, que de baisser la culotte de la demoiselle, pour lui faire comprendre ses erreurs, je vous comprends et ma collégienne de fille, en sait quelque chose, lorsqu'elle dépasse la limite, elle n'a plus qu'à se préparer, pour une bonne déculottée de sa Maman, qui la remet sur le bon chemin, au moins un certain temps ! ».

    A ce moment là, il y avait trois gamines très mal à l'aise, le nez pointé vers leurs chaussures et sans illusions sur leurs avenirs, qui passeraient forcément par les genoux de Maman ou Tata, ceci ne les réjouissant absolument pas.

    Valérie

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  105. Chère Christine,

    Heureusement que Christine, a conscience qu'elle exagère, même si soit-disant, elle ne le fait pas exprès, ce qui reste à vérifier ? Et cet aveu, étonnant pour Christine, de ne plus être la Christinette soumise à l'autorité maternelle, prouve bien que la conteuse se sent fautive et qui craignant toujours autant la fessée, sait qu'à une certaine époque, pour une telle négligence, celle-ci serait déjà tombée depuis longtemps.

    Alors, Chère Christine ! Même si Mamie Valérie me seconde avec qualité, pour faire vivre ce blog, faites un effort, non de là ! C'est vous qui en êtes la gérante et nous autres lecteurs, les simples commis s'efforçant de satisfaire la conteuse.

    Et j'en arrive à me dire, qu'il serait peut-être utile de pouvoir joindre Madame Spaak, pour qu'elle remette, exceptionnellement, au goût du jour, envers la Grande Christine, cette aide motivante qui réussissait fort bien, à l'adolescente Christinette et je suis certain que vous saisissez, à quoi je fais référence, Chère Christine ! Hi, hi.........

    Amicalement, Dominique

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  106. Plus il avance et plus le récit de Valérie devient intéressant... J'espère que "Mamie" n'a pas de trous de mémoire et saura nous conter de nouveaux épisodes qui promettent d'être "chaleureux"...
    Quant à Dominique, on dirait presque qu'il a rencontré Maman Spaak, puisque sa menace est suivie d'effet et que j'ai enfin débloqué une suite, où Christinette s'en sort de façon inespérée...
    C'est vrai, je dois bien l'avouer, que c'est plutôt logique, car en la circonstance ce n'est pas Christinou qui méritait le plus la fessée, mais bien sa conteuse coupable de ne pas faire ses "devoirs", hi hi...

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  107. Bonjour, Christine,

    Si je comprends bien, Christine, vous semblez apprécier plus particulièrement le développement des à cotés, de ma première « vraie fessée » et en réclamez, davantage, avec flatterie et humour, sauf que les futurs rendez avec Maman ou Tata, n'avaient vraiment rien de « chaleureux », au sens propre du terme, sauf pour nos fesses qui connaissaient alors une hausse de température très tangible et donc les demoiselles, se seraient bien passées.
    Néanmoins, comme l'invitation est cordiale et que Mamie n'a pas encore de trous de mémoire, elle tachera de mettre en forme, les principales mésaventures de ces trois demoiselles et pour entamer cela, je vais tout d'abord vous transmettre un épilogue, à cette première fessée, d'autant qu'après avoir lu votre épisode 69, certains éléments ravive en moi, un vécu quasi identique.

    Valérie

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  108. Chère Christine,

    Même si je n'ai pas rencontré, Maman Spaak, ce que je regrette infiniment, la menace a été efficace, puisque Christine s'est enfin décidé, après 8 semaines, à se remettre au travail en livrant un nouvel épisode, clément pour la Christinette et ce n'est que justice, car c'est plutôt la conteuse qui mériterait, en effet, d'être déculottée et fessée de belle manière, pour sa fainéantise.

    Sur ce je m'en vais commenter, cette opus de transition qui après lecture, compense quelque peu l'attente que vous avez fait subir à vos lecteurs, par sa richesse, Chère Christine ! Comme Maman savait si bien le faire vis à vis d'une Christinou, méritant une bonne déculottée, pour ses frasques de gamine.

    Amicalement, Dominique

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  109. Valérie me promet un épilogue et d'autres à côtés ensuite. Cela me ravit à l'avance...
    Dominique, lui, va commenter le prochain épisode enfin arrivé... C'est vrai qu'il n'a pas rencontré Maman Spaak pour se plaindre du retard de sa fille, mais il fait remarquer que cela faisait "huit semaines", ce qui, curieusement, correspond à peu près à cette longue accalmie pour la lune de Christinette... Peut-être est-ce cela qui m'a fait comprendre que, malgré cette période encore très chargée de travail, mieux valait livrer une suite... Comme si cela allait vraiment craindre pour mon bas du dos, hi hi...
    Il est d'ailleurs vrai que, dans mon récit, même si cet épisode est encore "calme", chacun se doute bien que cela n'ira guère au delà de ces huit semaines...

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