tag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post7242508700191905725..comments2024-01-01T11:16:06.584+01:00Comments on Souvenirs cuisants d'une jeune fille punie: Chronique d'un redoublement : 68. Des cauchemars à une longue pause qui, elle même, ravive l'angoisseChristine Spaakhttp://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comBlogger109125tag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-61659815976244175032014-02-10T11:20:47.651+01:002014-02-10T11:20:47.651+01:00Valérie me promet un épilogue et d'autres à cô...Valérie me promet un épilogue et d'autres à côtés ensuite. Cela me ravit à l'avance...<br />Dominique, lui, va commenter le prochain épisode enfin arrivé... C'est vrai qu'il n'a pas rencontré Maman Spaak pour se plaindre du retard de sa fille, mais il fait remarquer que cela faisait "huit semaines", ce qui, curieusement, correspond à peu près à cette longue accalmie pour la lune de Christinette... Peut-être est-ce cela qui m'a fait comprendre que, malgré cette période encore très chargée de travail, mieux valait livrer une suite... Comme si cela allait vraiment craindre pour mon bas du dos, hi hi...<br />Il est d'ailleurs vrai que, dans mon récit, même si cet épisode est encore "calme", chacun se doute bien que cela n'ira guère au delà de ces huit semaines...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-21180634059480222032014-02-09T11:07:17.200+01:002014-02-09T11:07:17.200+01:00Chère Christine,
Même si je n'ai pas rencontr...Chère Christine,<br /><br />Même si je n'ai pas rencontré, Maman Spaak, ce que je regrette infiniment, la menace a été efficace, puisque Christine s'est enfin décidé, après 8 semaines, à se remettre au travail en livrant un nouvel épisode, clément pour la Christinette et ce n'est que justice, car c'est plutôt la conteuse qui mériterait, en effet, d'être déculottée et fessée de belle manière, pour sa fainéantise.<br /><br />Sur ce je m'en vais commenter, cette opus de transition qui après lecture, compense quelque peu l'attente que vous avez fait subir à vos lecteurs, par sa richesse, Chère Christine ! Comme Maman savait si bien le faire vis à vis d'une Christinou, méritant une bonne déculottée, pour ses frasques de gamine.<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-73813454200096444752014-02-09T10:33:35.746+01:002014-02-09T10:33:35.746+01:00Bonjour, Christine,
Si je comprends bien, Christi...Bonjour, Christine,<br /><br />Si je comprends bien, Christine, vous semblez apprécier plus particulièrement le développement des à cotés, de ma première « vraie fessée » et en réclamez, davantage, avec flatterie et humour, sauf que les futurs rendez avec Maman ou Tata, n'avaient vraiment rien de « chaleureux », au sens propre du terme, sauf pour nos fesses qui connaissaient alors une hausse de température très tangible et donc les demoiselles, se seraient bien passées.<br />Néanmoins, comme l'invitation est cordiale et que Mamie n'a pas encore de trous de mémoire, elle tachera de mettre en forme, les principales mésaventures de ces trois demoiselles et pour entamer cela, je vais tout d'abord vous transmettre un épilogue, à cette première fessée, d'autant qu'après avoir lu votre épisode 69, certains éléments ravive en moi, un vécu quasi identique.<br /><br />ValérieValérienoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-19453043046720776582014-02-08T15:13:20.810+01:002014-02-08T15:13:20.810+01:00Plus il avance et plus le récit de Valérie devient...Plus il avance et plus le récit de Valérie devient intéressant... J'espère que "Mamie" n'a pas de trous de mémoire et saura nous conter de nouveaux épisodes qui promettent d'être "chaleureux"...<br />Quant à Dominique, on dirait presque qu'il a rencontré Maman Spaak, puisque sa menace est suivie d'effet et que j'ai enfin débloqué une suite, où Christinette s'en sort de façon inespérée... <br />C'est vrai, je dois bien l'avouer, que c'est plutôt logique, car en la circonstance ce n'est pas Christinou qui méritait le plus la fessée, mais bien sa conteuse coupable de ne pas faire ses "devoirs", hi hi...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-67800861719593769422014-02-08T10:11:43.473+01:002014-02-08T10:11:43.473+01:00Chère Christine,
Heureusement que Christine, a co...Chère Christine,<br /><br />Heureusement que Christine, a conscience qu'elle exagère, même si soit-disant, elle ne le fait pas exprès, ce qui reste à vérifier ? Et cet aveu, étonnant pour Christine, de ne plus être la Christinette soumise à l'autorité maternelle, prouve bien que la conteuse se sent fautive et qui craignant toujours autant la fessée, sait qu'à une certaine époque, pour une telle négligence, celle-ci serait déjà tombée depuis longtemps.<br /><br />Alors, Chère Christine ! Même si Mamie Valérie me seconde avec qualité, pour faire vivre ce blog, faites un effort, non de là ! C'est vous qui en êtes la gérante et nous autres lecteurs, les simples commis s'efforçant de satisfaire la conteuse.<br /><br />Et j'en arrive à me dire, qu'il serait peut-être utile de pouvoir joindre Madame Spaak, pour qu'elle remette, exceptionnellement, au goût du jour, envers la Grande Christine, cette aide motivante qui réussissait fort bien, à l'adolescente Christinette et je suis certain que vous saisissez, à quoi je fais référence, Chère Christine ! Hi, hi.........<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-10035374452628111752014-02-07T09:02:56.294+01:002014-02-07T09:02:56.294+01:00Bonjour, Christine,
Vous avez raison, Christine, ...Bonjour, Christine,<br /><br />Vous avez raison, Christine, mademoiselle Valérie, connût à partir de ce moment là bien plus d'épisodes cuisants pour son postérieur et ceci jusqu'à l'aube de ses 16 ans, ainsi que ses cousines, car comme je l'ai dit précédemment, nos mères avaient décidé de resserrer la vis aux trois espiègles, que nous étions et si nous n'avons pas connu, de redoublement, durant nos premières années de collège, la fréquence de nos fessées, connut une inflation galopante, le doux vent de l'insouciance donnant des ailes aux demoiselles, avec pour résultat des fesses souvent rougies par les mains maternelles.<br />Ceci dit, je termine l'épisode présent et comme vous semblez apprécier, Mamie Valérie, essaiera même si cela la trouble un peu aujourd'hui, de vous raconter quelques voyages pour elle ou ses cousines sur les genoux de Maman ou de Tata, qui ayant un accord commun, ne se privèrent pas de le mettre à exécution, à la plus grande détresse de ces demoiselles, dont les fesses allaient connaître alors, de très mauvais quart d'heure.<br /><br />Suite et fin :<br />Bien entendu, Maman souhaita d'abord présenter la décision prise avec sa sœur, me concernant, à Mémé, de façon diplomate pour ne pas la contrarier et avant sa mise en application, ce qu'elle fît le soir même au cours du dîner.<br />Et, surprise pour Valérie ! Ma grand-mère approuva l'idée, du fait que cela la soulagerait bien sur, mais aussi Maman assez prise par son travail et ajoutant même, que ce serait certainement plus agréable pour moi, d'attendre Maman en compagnie de mes cousines.<br /><br />Si cela, partait d'un bon sentiment de la part de Mémé, envers moi, celle-ci ignorait le revers de la médaille, que ma chère mère avait sciemment escamoté pour ne pas la chagriner, à l'avance, Mémé comprenant quelques temps plus tard, qu'il ne s'agissait pas d'un cadeau pour ses petites filles et Valérie, en particulier, qui partageait sa demeure.<br /><br />Le lendemain, Maman qui commençait plus tard son travail, m'accompagna de nouveau à l'école et informa la maîtresse, qu'à compter de la semaine suivante, ce serait ma Tante qui se chargerait de me récupérer, sauf si elle était là et n'oublias surtout pas de lui préciser, qu'elle pouvait donc transmettre à ma chère Tata, toutes informations me concernant.<br />Et cela me fît pâlir, car si jusque là, entre Mémé et moi, il existait quelques secrets non divulgués à Maman, je compris qu'il n'en serait pas de même avec Tata, qui ne cacherait rien à sa grande sœur et mon sourire naturel, disparu aussitôt.<br /><br />Pour couronner le tout, ma Tante, ne manqua pas d'évoquer, la fin d'après-midi difficile pour les fesses d'Annie, qui rougissait comme une pivoine, d'autant que la maîtresse affichant un sourire satisfait, félicita quasiment Tata sur un ton ironique « Et oui, madame Schannen ! Parfois pour une Maman responsable, il n'y a plus d'autres solution, que de baisser la culotte de la demoiselle, pour lui faire comprendre ses erreurs, je vous comprends et ma collégienne de fille, en sait quelque chose, lorsqu'elle dépasse la limite, elle n'a plus qu'à se préparer, pour une bonne déculottée de sa Maman, qui la remet sur le bon chemin, au moins un certain temps ! ».<br /><br />A ce moment là, il y avait trois gamines très mal à l'aise, le nez pointé vers leurs chaussures et sans illusions sur leurs avenirs, qui passeraient forcément par les genoux de Maman ou Tata, ceci ne les réjouissant absolument pas. <br /><br />ValérieValérienoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-69331067579150254332014-02-06T10:26:57.500+01:002014-02-06T10:26:57.500+01:00Valérie nous promet encore bien des épisodes si sa...Valérie nous promet encore bien des épisodes si sa chère Tante s'occupe de surveiller les devoirs de la demoiselle, et si Maman promet une seconde couche au retour à la maison, lorsque ce sera nécessaire... Effectivement, Valérie avait alors intérêt à travailler mieux pour éviter de doubles déconvenues postérieures et claquantes...<br />Quant à Dominique, oui, Christine a bien conscience qu'elle exagère, même si elle ne le fait pas exprès... J'avoue qu'heureusement que je ne suis plus Christinette, sinon c'est sûr qu'il y aurait des fessées dans l'air... Et pas que dans l'air car, avec Maman, elles ne se perdaient jamais...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-74395158589537244262014-02-03T23:01:19.469+01:002014-02-03T23:01:19.469+01:00Bonjour, Christine,
Absente depuis quelques jours...Bonjour, Christine,<br /><br />Absente depuis quelques jours, je viens de lire vos échanges avec Dominique, ainsi que les suites de son récit et je trouve très agréable, de voir des personnes, communiquer entre elles, sans se connaître physiquement, mais comme dit mon fils, c'est la magie d'internet. <br />Alors, pour être dans le coup, je poursuis le mien, espérant qu'il aura votre approbation.<br /><br />Suite de mon récit :<br /><br />Tata à l'évidence, partageait l'avis de sa sœur et était toutes ouïes, à l'exposé de Maman qui prise dans son élan continua :<br />« Et après en avoir fini avec ses fesses, je l'ai prévenue qu'à l'avenir, pour ses bêtises ou tout problème scolaire, elle aurait droit à la même chose et j'ose espérer, qu'elle a bien retenu la leçon, sinon tant pis pour elle, ce sera la déculottée! », je me sentais rougir de honte et il en fût de même pour Bénédicte, lorsque sa mère ajouta « Je suis entièrement de ton avis, Paulette, d'ailleurs dimanche soir, j'ai tenu le même discours à mes filles, après leurs déculottées et tu vois, aujourd'hui Annie, l'avait oublié et j'ai donc tenu ma promesse, tout en rappelant à Bénédicte qu'il valait mieux rester sage, si elle ne voulait pas être la prochaine sur la liste ».<br />Cet alors que ma tante proposa à sa sœur, de me récupérer après l'école pour les devoirs et soulager Mémé, ce que Maman accepta volontiers, non sans donner une précision à Tata, donc je me serais bien passée « Je te remercie, Jeannine et n'hésite surtout pas, s'il le faut, à lui baisser la culotte pour une bonne fessée comme tes filles ».<br /><br />Autant vous dire que cette phrase maternelle, me fît frissonner d'angoisse, me voyant déjà au travers des cuisses de ma Tante, toute déculottée, sous le regard de mes cousines et comme vous pouvez l'imaginer, cela arriva plus vite que prévu, avec en prime la seconde couche de Maman une fois rentré à la maison et étonnement, le travail et la conduite de la petite Valérie s'améliorèrent de façon sensible.<br /><br /><br />ValérieValérienoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-11101445531756972502014-02-02T11:40:37.653+01:002014-02-02T11:40:37.653+01:00Chère Christine,
En effet, Christine, le petit Mi...Chère Christine,<br /><br />En effet, Christine, le petit Minot avait les fesses bien bouillantes et assurément, bien plus écarlates, après cette deuxième couche maternelle, plus appuyée que celle de Tata, distribuée devant témoins (visuels) pour ma Tante et ma grande sœur, mais aussi (auditifs) pour les cousines et ma plus jeune sœur, que l'écho de ma déconvenue, devait fortement inquiéter pour elle-même, son cas étant plus grave que le mien, aux yeux de Maman.<br />Le perchman Dominique, livrera donc la suite, qui sans aucun doute, comblera la facétieuse petite Diane, qui préfère voir ou entendre une fessée de ses sœurs, que la subir, elle-même.<br />Tant qu'à Christine (tte), à la curiosité toute en réserve, celle-ci se sentira moins seule parmi les grandes jeunes filles honteuses, de devoir dévoiler une partie anatomique, ô combien secrète, à une main correctrice, qui officiera à nouveau si les circonstances l'imposent. <br /><br />Message du petit Minot :<br />« M'dame Christine, malgré le respect que je vous dois, j'ose vous dire que même si vous êtes débordée par le travail (comme mon clone, Dominique), un effort de votre part serait le bienvenu, car voilà sept semaines que vous faites languir, votre lectorat qui s'impatiente et au risque d'en prendre une bonne pour mon insolence, je crois qu'il serait sage de vous remettre à l'ouvrage ! Voilà, je ne fais que transcrire la pensée, de mon avatar ! »<br /><br />Comme vous l'aurez compris, Christine, ce n'est qu'un humour Dominicain en ce beau dimanche d'anniversaire pour mon dernier fiston (11 ans), que je vais fêter en compagnie de toute la famille.<br /><br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-542907898799287682014-02-01T15:16:08.035+01:002014-02-01T15:16:08.035+01:00Dominique me tend des perches, mais c'est surt...Dominique me tend des perches, mais c'est surtout ses fesses que le Minot a tendues sur les genoux maternels pour une deuxième couche qui risque de tenir plus longtemps encore que la première. Quel spectacle pour les témoins, et surtout pour celle des soeurs qui allait devoir prendre la place...<br />Elle ne devait plus se faire aucune illusion sur ce qui l'attendait...<br />Diane, évidemment, aurait biché en assistant à cette série de déculottées. Et même Christine aurait été très intéressée, rassurée peut-être que d'autres grandes comme elle y passent encore, mais aussi gênée un peu en se disant que ce spectacle honteux d'une lune de grande toute déculottée, elle l'avait déjà vécu souvent, comme actrice principale, et qu'elle n'était pas du tout à l'abri de l'être encore, comme elle le craignait avec juste raison...<br />PS : cela dit, c'est toujours le travail par dessus la tête, mais j'ai déjà un bout de suite qui arrive bientôt...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-7238737972054858812014-02-01T12:37:19.344+01:002014-02-01T12:37:19.344+01:00Chère Christine,
Désolé, Christine, mais cette se...Chère Christine,<br /><br />Désolé, Christine, mais cette semaine a été assez difficile sur le plan professionnel et malgré mon attachement à votre espace, je n'ai pas eu trop le loisir de m'y consacrer, ceci s'ajoutant au fait que le petit Minot n'avait pas trop envie de revivre ce moment, qui fût l'un de ceux que l'on oublie pas.<br /><br />Sinon, je trouve que ma chère conteuse, a tendance à se reposer sur les autres et j'en viens à me poser la question suivante : « Serait-elle ! A cours de souvenirs, pour elle-même ou pour les frangines et notamment la petite perfide de Diane, qui préfère la position de spectatrice très curieuse, au rôle d'actrice bien plus difficile? ». Et là, deux réponses se présente à moi : <br /><br />« Soit ! Christine, n'est qu'une fainéante notoire, à laquelle il convient de baisser la culotte, pour une bonne fessée, de temps à autre, pour la remettre sur les bons rails ! » et sincèrement c'est ce que je pense au plus profond de moi-même ! <br />Ou bien ! « Christine ! Débordée par le travail, n'arrive plus à faire face, ne pouvant ou ne voulant pas déléguer et se retrouve dans la mélasse ! », ce qui soit-dit en passant, mériterais aussi une bonne déculottée, mais comme vous pouvez le constater, le vieux magnanime vous tend à nouveau une perche, que vous serez saisir, à n'en pas douter !<br /><br />Néanmoins, ayant livré la suite mon écrit, je vous laisse le lire et y apporter, remarques ou appréciations. Tiens voilà que j'en tend une autre ! Incorrigible le bougre ! hi hi.........<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-56500147263682775082014-02-01T11:38:42.932+01:002014-02-01T11:38:42.932+01:00Chère Christine,
Suite du récit :
Aparté :
En deh...Chère Christine,<br />Suite du récit :<br /><br />Aparté :<br />En dehors de Tata et Maman, dans la pièce se trouvait également, ma grande sœur (plus de 15 ans) et aussi bizarre, que cela puisse paraître, sa présence me gênait moins que celles de mon autre sœur ou de mes cousines à l'occasion, peut-être parce que plus responsable, celle-ci était plus attentionnée, envers son petit frère. En fait, avec le recul, je pense que je considérait Sylvie, comme ma seconde mère, bien sur il y avait Tata, mais ce n'était pas le même chose et d'ailleurs, nous avons gardé, cette complicité particulière, qui pour l'anecdote agace souvent les autres.<br /><br />Suite :<br />Debout devant Maman, je pleurais franchement, attendant sagement et résigné qu'elle me déculotte, sans protester, ne voulant pas aggraver mon cas et d'habitude, Maman, me déculottait en baissant, d'un coup sec ce que je portais, mais là étonnement elle tira tour à tour et presque lentement, short et slip vers le bas, sans dire un mot, ce qui m'inquiétait pour la suite et j'avais bien raison.<br /><br />Quelques secondes plus tard, je plongeais au travers des cuisses de Maman qui juste avant de démarrer la claquée, repris la parole « Allez mon petit bonhomme, je vais te rappeler comment je m'appelle et que ta Tante, n'a rien d'une copine de jeu ! » et la valse maternelle, tombât, ne me laissant pas le temps d'exprimer le moindre regret, envers Tata.<br /><br />Dés la première claque, je compris que Maman allait s'appliquer (sans excès) à m'en coller une, que je n'oublierais pas et sans comparaison avec d'autres, ou l'énervement maternel dominait, déversant alors sur mes fesses, une volée de bois vert, aussi rapide et vive, que la cuisson d'un steak !<br />Là, non ! La main de Maman claquait comme un métronome, de façon méthodique, arrosant toute la surface du fessier, du bas du dos à la naissance des cuisses, mes fesses était un véritable brasier dont la température ne cessait d'augmenter et me tirait des flots de larmes.<br />Soufflant comme un bœuf et criant comme un âne, sous cette claquée douloureuse, c'était tellement insupportable que j'avais l'impression d'être dans une autre dimension, sauf que j'étais bien au travers des cuisses de Maman qui martelait ces pauvres fesses, déjà bien servies par Tata, mais sans comparaison possible.<br />Et Maman, si j'ose dire, faisait durer le plaisir, qui n'avait rien de plaisant pour moi, faisant quelques pauses (deux ou trois, peut-être), me permettant de reprendre mon souffle et supplier à grands cris, Maman pour qu'elle arrête, sous forme de télégramme du genre « Stop, M'man ! Pitié ! Peux plus ! Trop mal ! Promis ! J'frais plus ! Promis ! » tout à fait inutile, car je savais que Maman ayant une leçon à donner, elle irait jusqu'au bout de celle-ci, sans ce soucier de mes jérémiades.<br />Et sans surprise, c'est exactement ce qui se passât, Maman achevât son œuvre par une dernière pluie d'orage, cette fois ci et hurlant de douleur, j'avais l'étrange sensation que mes fesses allaient exploser, sous sa main.<br />Ce qui ne fût pas le cas, évidemment, même si j'avais le postérieur en feu et plus que cuit, le petit Minot était entier, déconfit certes, mais entier et simplement malheureux, d'en avoir pris, encore une bonne de Maman chérie qui ne faisait jamais les choses à moitié.<br />Reculotté et renvoyé sur le canapé, toujours en pleurs, je repris ma place en chien de fusil, essayant tant bien que mal de digérer, ma mésaventure et au fil de mes pensées, je repensais à Isabelle qui attendait, me disant qu'au vu de ce que j'avais ramassé, pour ma bêtise ! La grande, petite sœur, pour sa rébellion envers Tata, allait s'en prendre une phénoménale de la part de Maman !<br />A suivre...........<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-91792071642947338772014-01-31T10:25:09.249+01:002014-01-31T10:25:09.249+01:00Je comprends que Minot serait ravi que Diane ou Ch...Je comprends que Minot serait ravi que Diane ou Christinette soit à sa place... Il y a vraiment des moments où mieux vaut être spectateur attentif et curieux qu'acteur dans un rôle certes connu mais très éprouvant...<br />Je comprends aussi que Minot ne soit pas pressé de raconter la scène...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-90995990179869646692014-01-29T19:35:34.265+01:002014-01-29T19:35:34.265+01:00Chère Christine,
Méchante Diane bis, qui attend i...Chère Christine,<br /><br />Méchante Diane bis, qui attend impatiemment la suite des déboires, du petit Minot, uniquement pour se gausser et se moquer du pauvre garçon, qui va à nouveau présenter ses fesses, n'hésitant pas à lui rappeler, que ça va barder. <br />Non mais, quelle vilaine chipie, cette gamine et Minot serait ravie, que sa Maman l'attrape et lui donne une bonne déculottée, bien méritée.<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-58634331245238938582014-01-29T10:01:24.561+01:002014-01-29T10:01:24.561+01:00La curieuse vient jouer les Diane et découvrir la ...La curieuse vient jouer les Diane et découvrir la suite, pour rire sous cape des désillusions du Minot. Sûr que ça va barder, hi, hi... Je préfère être à ma place d'observatrice qu'à la sienne qui va devoir à nouveau montrer sa lune...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-77580706753658177782014-01-28T18:32:17.865+01:002014-01-28T18:32:17.865+01:00Chère Christine,
Joli rebond, Christine ! Appréci...Chère Christine,<br /><br />Joli rebond, Christine ! Apprécié par Dominique le conteur, mais pas du tout par le petit Minot que vous destinez à une sérieuse fessée de Maman, c'est pas gentil et si la suite, confirme votre intuition, il aurait préféré que vous gardiez cette pensée néfaste, pour vous.<br />Même si en guise, de consolation, vous lui faites un compliment sur son attitude intelligente, de ne pas tenter le diable, en s'opposant à Maman chérie.<br /><br />Bon allez, je ne m'attarde pas, afin de vous livrer la suite et satisfaire votre curiosité.<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-87888454905383104542014-01-28T12:00:46.625+01:002014-01-28T12:00:46.625+01:00Même chaise, même positionnement, même attitude, l...Même chaise, même positionnement, même attitude, l'histoire se répète pour le Minot, mais cette fois, c'est Maman qui officie, et cela promet d'être plus sérieux encore que la claquée de Tata...<br />Et puis, comme il n'est pas idiot, il comprend bien que s'il avait pu être tenté de résister à Tata, mieux vaut ne pas le faire face à Maman, qui devant témoins n'accepterait pas la moindre rébellion... Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-15883701936011724652014-01-28T06:44:22.195+01:002014-01-28T06:44:22.195+01:00Chère Christine,
Suite du récit :
Maman, par pure...Chère Christine,<br />Suite du récit :<br /><br />Maman, par pure coïncidence, attrapa le même chaise que Tata avait utilisé pour les filles, la plaçant quasiment au même endroit et s'y asseyant, m'invita de son index à la rejoindre, précisant sur un ton aussi doux, que ferme :<br />« Allez, viens donc ici, voir Maman et au plus vite ! Sinon tes fesses risquent de le regretter, car je dois aussi m'occuper de ta sœur, alors ne tarde pas, mon fiston chéri ! »<br /><br />J'étais tétanisé, sans aucune envie de bouger (surtout pour en prendre une autre), sauf que deux seuls choix s'offrait à moi : Obéir sagement et recevoir, à n'en pas douter, une bonne déculottée ou rester à ma place, en énervant encore plus Maman et me prendre alors une tannée, identique, à celle qui était promise à ma sœur ?<br /><br />Connaissant bien, la volonté de Maman à accomplir les tâches qu'elle s'était fixées, il était sur que j'allais finir au travers de ses cuisses! Dés lors, à moi de choisir, même si mes fesses étaient encore sensibles, entre une bonne fessée ou une volée vraiment insupportable.<br /><br />N'étant pas trop crétin, j'optais rapidement pour la première solution, car quitte à prendre une, autant faire en sorte qu'elle soit le moins dur possible et c'est, la mort dans l'âme, les yeux larmoyants que je m'approchais de Maman, tout en suppliant de m'épargner, cause perdue bien évidemment !<br /><br />La suite pour ce soir, car je vais au boulot.....<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-1847919762669968792014-01-27T19:53:28.151+01:002014-01-27T19:53:28.151+01:00Objectivement, j'admets que, si j'étais en...Objectivement, j'admets que, si j'étais encore Christinette, Dominique n'aurait pas tort... Mieux, cela aurait déjà, depuis belle lurette, chauffé pour mon matricule...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-89745500374279717552014-01-27T19:36:09.554+01:002014-01-27T19:36:09.554+01:00Chère Christine,
En effet, chère conteuse, il ser...Chère Christine,<br /><br />En effet, chère conteuse, il serait mal venu de votre part de vous plaindre, que Dominique n'est pas livré la suite hier, car il avait autre chose à faire, voyez vous jeune fille. Alors, oui ! Honte sur vous, pour ce manque de travail, depuis 6 semaines et j'avoue, que ce soir, si j'avais la chance d'avoir la lune de Christinette au travers de mes cuisses, je lui montrerait que mon expertise, en une certaine matière, est comparable à celle de sa chère Maman, qu'elle a bien connu.<br /><br />Sur cette boutade, je vais m'atteler (moi) à la rédaction de la suite et vous la livrer, ce soir ou demain matin, avant de partir au boulot et je remercie sincèrement Valérie, d'avoir comblé avec qualité, mon absence et satisfait, mademoiselle la fainéante, qui en plus envisage, pour vous et vos cousines de futurs déculottées, alors que c'est elle qui en mériterait une bonne, non mais !<br /><br />Humour Dominicain bien sur, vous l'aurez compris, Christine !<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-5444138858234573942014-01-27T14:49:51.440+01:002014-01-27T14:49:51.440+01:00J'attendais de savoir comment le Minot allait ...J'attendais de savoir comment le Minot allait devoir affronter la logique maternelle, et le fait que même si Tata avait déjà puni son neveu, Maman allait faire comprendre doublement à son rejeton ce que ses bêtises méritaient...<br />Et, si la suite promise par Dominique n'est pas arrivée hier, je n'ai pas à me plaindre... D'abord parce que je n'ai pas écrit moi-même... (oui, j'ai honte), et puisque, entre temps, c'est Valérie qui poursuit ses confidences, où là encore, il y a de la déculottée dans l'air...<br />A qui le tour ?Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-90481302436087160582014-01-26T13:46:52.733+01:002014-01-26T13:46:52.733+01:00Bonjour, Christine,
Comme vous l'entrevoyez, ...Bonjour, Christine,<br /><br />Comme vous l'entrevoyez, les devoirs avec Tata étaient beaucoup moins drôles, qu'avec Mémé qui souvent me facilitait plus que la tâche et les épisodes que vous nommez 'chaleureux' (par pour nous) furent assez fréquents, pour mes cousines bien sur et double pour moi, Maman, considérant que Tante, remplaçait la maîtresse, comme si j'étais restée à l'étude et qu'une punition de Tata, en méritait une autre de Maman.<br />Et vous avez bien compris, que la perspective de cette étude très surveillée, n'enchantait pas du tout Valérie, d'autant que Maman n'avait pas manqué de préciser à sa sœur, d'agir comme avec ses filles, en cas de problème, équivalant à un bon gratuit pour de bonnes déculottées, ce que je n'avais jamais connu avec Mémé, qui me réprimandait tout au plus.<br />Compte tenu de l'intérêt, que vous semblez y porter, je tenterais de mettre cela en forme, mais pour l'instant je vais continuer mon récit en cours, constatant que Dominique vous sert des commentaires ou des suites, tout à fait captivantes.<br /><br />Suite de mon récit :<br />Ma Tante après avoir expédié Annie dans sa chambre, clôtura la « séance » en s'adressant aux deux « spectatrices » que nous étions, sous forme de leçon verbale:<br /><br />« Ma petite Bénédicte, j'espère que tu as bien retenu, ce qui vient d'arriver aux fesses de ta sœur, pour son indiscipline ! Alors si tu ne veux pas connaître les mêmes ennuis, je te conseille d'être bien sage à l'école et écouter la maîtresse, sinon Maman te baissera également la culotte, pour une bonne fessée ! », ma cousine était toute penaude.<br />« Quant à toi, Valérie ! J'imagine aussi que tu as bien compris qu'ici, comme chez Maman, le tarif est le même et la maîtresse m'a fait l'écho, aujourd'hui, que la déculottée de Maman, hier soir, a porté ses fruits, n'est ce pas ma chérie ? », effondrée, je regardais ma tante en hochant la tête de bas en haut. Tata nous dit alors :<br />« Très bien, maintenant vous savez donc, que si la maîtresse avait de nouveau à se plaindre, de la conduite, de l'une d'entre vous, il en cuira pour vos fesses, on est d'accord ? Obtenant, un oui à l'unisson de deux demoiselles, bien gênées, d'autant qu'elle ajouta :<br />« Bon et bien, vous pouvez aller jouer, mais sans faire de bêtises, sinon gare à vos fesses ! », prononçant cette phrase, la main levée, paume ouverte et l'agitant de façon précise, ne laissant aucun doute sur ses intentions.<br /><br />Lorsque Maman vint me chercher, ma Tante fît un compte rendu complet à sa sœur, sur cette fin d'après-midi, citant la maîtresse sur la sagesse de Bénédicte et moi, durant la journée, ainsi que notre application, à faire nos devoirs. Ceci à l'inverse d'Annie, qui n'ayant donc pas bien compris le message maternel du matin, avait eu droit à une bonne déculottée, comme moi la veille (me faisant à nouveau rougir) et sous nos yeux, faisant développer sa pensée à Maman :<br />« Je pense que tu as eu raison d'agir, de cette façon, Jeannine ! Car vois-tu ! Depuis quelques temps, je me suis aperçue que Valérie, qui a bien grandi, avait tendance à se laisser porter par un petit vent de liberté, qui ne me convient pas du tout, abusant de la gentillesse de Mémé, ce qui m'a conduit, hier, après réflexion, à marquer son esprit, en lui baissant pour la première fois sa culotte, pour la fessée et même si ça m'ennuyait un peu, je me devais de le faire, afin que Valérie retienne la leçon et je crois que j'ai bien fait ! ».<br />Et si ce développement maternel, loin d'être terminé, m'affligeait, celui-ci allait déclencher une réaction de ma Tante, mettant Bénédicte aussi mal à l'aise que moi, pour l'avenir, seule Annie y échappa, mais en fût largement informée par sa mère et nous-même.<br /><br />ValérieValérienoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-24805533175209775112014-01-25T13:09:27.965+01:002014-01-25T13:09:27.965+01:00Chère Christine,
Comme vous le savez, Christine, ...Chère Christine,<br /><br />Comme vous le savez, Christine, le samedi matin, je m'occupe de gamins (filles et garçons) entre 10 et 12 ans au foot et venant de revenir, je vais m'atteler à la suite de mon récit. <br /><br />Sinon, je vous confirme que Maman, comme Tata adoraient leurs enfants, même si elles savaient en cas de nécessité baissé une culotte ou un slip, pour nous flanquer une bonne rouste et vous remercie pour les compliments.<br />Et comme vous le dites, Minot, aurait même préférer dix mille fois plus, que ses fesses soient bien reposées, avant d'avoir à les représenter à Maman, sauf que là ce n'était pas le cas et sincèrement, une trouille bleue l'envahissait, mais c'était trop tard.<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-87661745349875789072014-01-25T11:55:31.395+01:002014-01-25T11:55:31.395+01:00C'était juste une remarque ponctuelle, Dominiq...C'était juste une remarque ponctuelle, Dominique, car un tel vocabulaire pourrait laisser entendre que votre mère n'aimait pas ses enfants, ce qui est évidemment faux, j'en suis sûre.<br />J'ai exprimé ma remarque, ce qui prouve à l'inverse que le reste ne suscite de moi que des compliments.<br />Et, vous savez très bien, que je comprends plus que quiconque combien le Minot n'est surtout pas pressé de vivre la suite de ce récit... Et qu'il préférerait mille fois attendre que ses petites fesses soient blanches et fraiches avant de devoir les exposer à nouveau sur les genoux maternels...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-68341601954731047622014-01-25T07:58:40.698+01:002014-01-25T07:58:40.698+01:00Chère Christine,
Bien vu ! Christine ! Maman n...Chère Christine,<br /><br />Bien vu ! Christine ! Maman n'employait pas le mot 'conneries', mais bêtises ou âneries, par contre celui de 'petite punaise' résonnait parfois dans la maison, ceci à mon avis, en rapport avec les petits insectes qui empoisonnaient souvent nos mères au quotidien et je n'ai donc supprimé que le petite, et je que le langage était brut,à cet époque.<br /><br />En effet, à la maison, la rébellion était l'une des choses à éviter, au même titre que l'insolence ou la désobéissance à moins de vouloir s'en ramasser une bonne et Maman ne pouvait donc que sévir, tant envers ma sœur, que moi, en application de ce fameux principe de la double peine déjà en vigueur pour les problèmes scolaires.<br /><br />Sinon, à mon sujet, l'angoisse et j'ajouterais la trouille, me nouait l'estomac, n'ayant aucune illusion sur le fait que Maman, allait se faire un devoir, de découvrir mes pauvres fesses colorées, pour y déposer sa propre couche de rouge et je flippais grave, car si Maman était plus calme, elle était encore sous pression et cela n'avait d'engageant pour mes fesses.<br /><br />Je vous prépare la suite, mais si à ce moment là, j'étais pas spécialement pressé.<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.com