mardi 24 janvier 2012

Chronique d'un redoublement : 23. Retour sur les genoux maternels...

SUITE 22

Les consignes avaient été claires : "Toilette et pyjama. Ensuite, tu m'attendras dans ta chambre. Je viendrai m'occuper de tes fesses..."
Ma sortie de table n'avait pas été glorieuse et j'avais rejoint l'étage en sentant dans mon dos le regard de Maman, mais aussi celui de mes soeurs redevenues solidaires et complices quand il s'agissait de se moquer en douce de leur ainée. D'autant que cette annonce de fessée pour Christine, me redonnait en quelque sorte la vedette et allait les aider à oublier que l'été avait été plus agité pour leurs fesses que pour les miennes. Il y avait là comme un retour à la normale des dernières années.

Je restai prostrée dans ma chambre, laissant Aline et Diane prendre la salle de bains, et ne m'y précipitant pas après elle. Je n'étais pas pressée d'être en pyjama, ni de croiser les regards de mes soeurs.

Celles-ci étaient plutôt excitées en cette soirée, et commencèrent à s'amuser bruyamment en attendant Maman. "Moins de bruit là-haut. Si vous voulez aussi une fessée, dites-le...", lança notre mère du bas. Ce qui calma vite fait mes soeurs.


Dix minutes plus tard, elle monta et son pas dans l'escalier me fit frémir... Je l'entendis passer devant ma porte, aller vers la chambre voisine et demander à mes soeurs de sortir leurs devoirs.
Puis, elle revint vers ma chambre et ouvrit la porte, me trouvant comme j'étais lors du repas. "Tu ne vas pas restée plantée là, Christine. J'ai dit : Toilette et pyjama. Les petites ont fini. Tu peux y aller maintenant".


Je répondis "oui" timidement, les yeux embués et le regard implorant. Maman les bras croisés, me toisait de haut et ajouta : "Ce n'est pas la peine de faire cette tête là, Christine. Tu as bien cherché ce qui va t'arriver. Tu étais assez prévenue..."

Puis, elle est repartie contrôler les devoirs des petites et les mettre au lit. Je n'avais pas le choix et me suis rendue à la salle de bains pour une toilette rapide avant de mettre mon pyjama...
Un moment particulier que je ressentais comme si je "préparais" réellement mes fesses. Je quittais mes habits de la journée pour ne conserver qu'une culotte blanche et un pyjama de coton, dévoilant ma lune puis la cachant à nouveau en vitesse, en sachant trop bien que j'allais bientôt la retrouver à l'air étalée sur les genoux maternels...



Ma pudeur de presque grande, ma honte d'ainée dont les petites soeurs savaient que j'allais récolter une déculottée maison, c'était un vrai supplice rien qu'en pensée...

Je ne voulais plus y penser, mais je n'avais que cela en tête, et j'écoutais, je guettais les bruits de la maison, entendant Maman prendre tout son temps pour vérifier le travail des petites (qu'elles avaient évidemment soigné en ce soir d'orage), papotant un moment avec chacune de mes soeurs avant de les border et d'éteindre la lumière. Non sans répondre à la curiosité d'Aline et Diane en leur confirmant que "Christine n'avait pas bien travaillé, oui", et que "oui, Maman allait lui donner une bonne fessée".



Quand Maman quitta la chambre des petites en leur souhaitant bonne nuit, je savais qu'elle était à trois pas de ma porte. J'étais assise sur mon lit, me tortillant nerveusement, n'arrivant pas à ralentir mon coeur qui battait très vite.
La porte s'ouvrit sur Maman, et je murmurai : "Maman, je t'en prie... Noooon !"
Mais, elle avait dans les bras un paquet de linge, et prit au passage mes vêtements sales du jour, avant de s'en retourner en me disant : "Bon, je vois que tu es prête. Je mets une machine et je reviens m'occuper de toi..."
C'était donc une fausse alerte, mais aussi un ultime rappel que mon heure arrivait.


Je n'étais pas pressée, mais j'ai eu l'impression qu'elle mettait trois fois plus de temps que d'habitude pour mettre en route le lave-linge. Je pense qu'elle vérifiait que tout était en ordre en bas, et devait, sciemment ou non, me laisser un peu mijoter...
Puis, enfin, un pas dans l'escalier, calme et déterminé... Maman arrivait... Et, si j'ose dire, "ma fessée montait vers moi".


L'entendant, je m'étais relevée et placée près de la fenêtre, le plus loin de la porte. Maman entra et alla directement s'asseoir sur le côté de mon lit. Sans fermer la porte complètement derrière elle. Histoire d'écouter si les petites appelaient ou bougeaient, histoire aussi, sûrement, que notre explication aille jusqu'à leurs oreilles...
Je tentai de palabrer deux minutes. Maman ne voulait rien entendre.C'était "trop tard", selon elle, j'avais "été prévenue", je n'avais qu'à m'en prendre à moi-même. Et puis, "depuis le temps" que je "la cherchais", selon Maman, cette "bonne fessée" allait me rappeler à mes devoirs.
Le raisonnement était imparable, et je savais que résister n'aurait fait qu'aggraver mes affaires... Quand elle m'a ordonné : "Viens ici", j'ai d'abord reculé, puis avancé juste un peu, avant que, le ton montant, je ne me laisse happer par le bras et basculer en travers des genoux maternels...


Le pyjama glissa en dessous de ma lune, alors que je suppliais : "Oh non, Maman, nooon". J'eus la tentation de m'agripper à la culotte, mais un "Christine, lâche cette culotte immédiatement", ne me rappelle l'épisode précédent et l'annonce qui l'avait suivi.
Alors, je lâchai l'étoffe et laissai Maman baisser ma culotte à mi-cuisses également.
J'eus droit presque aux félicitations du jury, Maman commentant : "C'est bien ma fille, tu es plus raisonnable que la dernière fois. Tu sais bien que Maman t'avait promis une bonne fessée déculottée, eh bien, Mademoiselle va être servie..."



Elle abattit dans la foulée quelques premières claques sonores qui durent colorer une partie de ma lune. Je m'étais un peu débattue en poussant de petits cris, et elle arrêta sa main le temps de bien me remettre en équilibre. "Arrête de gigoter comme ça. Tu t'épuiseras avant moi, ma fille... Cela ne fait que commencer, et je vais m'occuper de tes fesses comme elles le méritent... C'est vrai que cela faisait un petit moment que tu y échappais, mais on va rattraper le retard, Christine..."


Maman reprit sa claquée, et je sentais qu'elle s'appliquait particulièrement. Ce n'était pas une volée coléreuse, une de ces tannées des grands jours, mais une fessée méthodique et à caractère didactique évident.
"Je t'avais prévenue, Christine. Cette année, je ne tolérerai pas que tu aies des résultats médiocres. Encore moins en anglais où tu t'es si souvent distinguée dans le mauvais sens, l'an passé. Je ne céderai pas, ma fille. Et s'il faut que je te donne une fessée à chaque mauvaise note, tu l'auras, tu peux compter sur moi", ré-expliquais Maman, comme si je ne l'avais pas entendu cent fois depuis l'annonce de mon redoublement.
Mais, la différence, c'est que là, elle joignait l'acte à la parole, et accompagnait chacune de ses phrases, voire chacun de ses mots par des claques sonores et vives sur mes fesses qui s'empourpraient à vue d'oeil.
"J'espère que cela te servira de leçon, que tu comprendras que ce n'était pas des paroles en l'air... Tiens, tiens, tiens et tiens, voilà ce que j'appelle une bonne fessée, Christine. C'est à croire que cela te manquait, et c'est vrai que tes fesses ont passé des vacances assez tranquilles, mais c'est fini, Christine, c'est fini. Maintenant, on passe aux choses sérieuses, et je ne te conseille pas de me ramener de nouvelles mauvaises notes, et encore moins de me les cacher, parce que cela va barder à chaque fois, ma grande, je te le promets..."
La température était montée à l'ébullition sur mon épiderme fessier qui me faisait retrouver des sensations si souvent connues, mais que j'essayais d'oublier à chaque fois.
Je suppliai : "Maman, Maman, j'ai compris, je vais travailler, je te le jure. Mais, arrête, arrête, j'ai mal, je, snif, snif, snif, je veux plus la fessée, non plus la fessée..."
Elle avait encore marqué une petite pause avant de relancer sa claquée, me faisant pousser des cris, sans plus penser aux oreilles de mes soeurs qui devaient jubiler en cachette, de savoir leur grande soeur à nouveau dans le collimateur maternel...  
Maman entama un final plus vif, en martelant une ultime fois son message : "C'est à toi de le montrer, Christine. Ramène-moi des bonnes notes et tout ira bien. Sinon, tu es prévenue, ce ne sera pas la peine de discuter. Tiens, tiens, tiens et tiens. Ce sera le retour sur mes genoux, Christine. Oui, ici, tiens, tiens et tiens. Pour une fessée, Christine, une fes-sée, une bonne fessée, la culotte baissée, comme une gamine qui ne comprend pas autre chose. Et, tu sais bien, tiens, tiens et tiens, Christine, que Maman tient ses promesses..."



Maman s'arrêta enfin, me laissant ruisselante de larmes, geignant et reniflant. Elle quitta la pièce en me demandant de me coucher bien vite. Je restai deux ou trois longues minutes, roulée en boule sur le lit, sentant mon bas du dos rouge et brulant.
Cette fessée n'avait pas eu l'aspect démonstratif d'une déculottée devant mes soeurs, mais elle marquait la véritable entrée dans cette année de redoublante, en me faisant vivre ce qui pourrait m'arriver bien des fois, si je ne me mettais pas vraiment à travailler...

A SUIVRE

27 commentaires:

  1. Une fois encore un récit fort bien écrit. Et surtout des photos fort bien choisies !
    Merci encore et félicitations.
    Mais où diable tourvez vous de telles illustrations, chère Christine ?

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  2. Chère Christine,

    Prenant connaissance de la suite 23, je constate qu'en dehors de la narration toujours fine et juste, vous avez particulièrement bien choisies les illustrations qui sont aussi parlantes que votre texte, néanmoins à mon sens cet épisode se divise en deux parties, la préparation jonchée de petites anecdotes et l'exécution menée de main de maître par Maman.

    Dans un premier temps, la demoiselle suivant les consignes de Maman regagne ses appartements sous les regards inquisiteurs, attendant que la salle de bain soit libérée par des petites sœurs très agitées et indisciplinées par la suite dans leurs jeux, qui se voient rappelées à l'ordre par Maman.

    Avant d'aller voir les petites, voyant que Christine n'est toujours pas prête, Maman lui rappelle sèchement ses ordres et devant sa mine déconfite, en remet une couche sur la suite à venir culpabilisant de nouveau sa fille qui contrite s'exécute troublée par ces gestes du quotidien ayant la sensation d'enfiler son costume de fessée, dont Maman la débarrassera pour la sentence, ses pensées se focalisent alors sur la déculottée promise, qui mettra à mal sa pudeur de demoiselle et la replacera au rang des petites sœurs, corrigée comme une gamine, ce qui la mortifie.

    Après avoir regagner sa chambre, notre narratrice doit attendre le bon vouloir de Maman dans l'angoisse et la crainte, les nerfs en pelote, guettant les moindres signes extérieurs et s'affole lors de l'irruption de Maman, qui saisit certainement l'inquiétude de sa fille, mais diffère une nouvelle fois l'exécution et prend son temps, pour ses tâches quotidiennes, laissant ainsi mijoter la demoiselle.

    Mais voilà tout à une fin et pour Maman le moment est venu de passer aux choses sérieuses, en allant s'occuper généreusement des fesses de sa chère fille et lui faire comprendre que le temps de la dilettante est révolu, quitte à user sa main sur ses rondeurs jumelles.

    S'engage alors un rituel fort bien connu de Christine, qui se retrouve dans une posture idéale pour offrir ses fesses à Maman, suivi d'une mise à nue de celles-ci, qu'elle tente d'éviter par des suppliques ou en retenant sa culotte, mais une invective de Maman lui rappelle l'incident du bloomer et s'abandonne à la volonté maternelle de dévoiler sa lune, pour la bonne fessée qu'elle mérite.

    Après cette mise en place, on ressent toute la détermination d'une mère à flanquer une magistrale correction à sa fille, épargnée depuis plusieurs semaines, adoptant une position de fermeté sans faille et administrant à la demoiselle une volée aussi phénoménale que précise, tel un métronome, rythmant la mesure des claques s'abattant les fesses de Christine, qui anéantie par la volonté de Maman et la douleur, ne retient plus ses réactions oubliant l'environnement, souhaitant simplement un arrêt des hostilités.

    Mais voilà Maman n'en a pas fini avec sa donzelle et dans un dernier élan d'énergie, offre un final en forme de feux d'artifice à sa fille, tout en lui rappelant les enjeux de l'année et leurs conséquences immédiates, infantilisant pour Christine, mais qui ne comprend que cela.

    Notre conteuse enfin libérée, lâche toute son émotion prostrée dans un état fœtal, essayant de digérer ce moment intense et douloureux, pour ses rondeurs jumelles et son esprit cogitant sur son avenir fessier.

    Pardonnez moi pour cet introspection, j'ai dans l'idée que votre 'digestion' de l'épreuve, ne vous fasse oublier la demande de Maman concernant le coucher rapide et qu'à son retour celle-ci soit courroucée par ce manque d'obéissance, décidant alors d'en rajouter une petite couche, mais peut être que je me trompe ?

    Amicalement, Dominique.

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  3. Bonjour Christine.

    Ravi de vous retrouver, enfin, après une absence de plus de deux semaines sur votre blog. Je consulte toujours ce dernier depuis mon bureau, mais, depuis ces deux semaines, problème informatique probablement, je pouvais ouvrir votre blog, je lisais vos récits toujours avec grand plaisir, mais je ne pouvais plus cliquer sur votre icône "X... commentaires". Résultat : je ne pouvais pas lire les commentaires de vos lecteurs et lectrices (notamment, ces derniers temps, les commentaires pertinents de Dominique et Sonia), et je ne pouvais pas apporter les miens. Et vous vous doutez bien qu'il m'était difficile de réclamer auprès de mes informaticiens !

    Tout va bien maintenant, pourvu que ça dure !
    Amicalement, à bientôt.
    Fesseusement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  4. Re-bonjour Christine.

    Eh oui ! Il fallait que ça arrive ! Mlle Paule (tiens, c'est sa fête aujourd'hui !!!), cette année encore, ne vous épargne rien, d'autant plus qu'elle sait que la maman de son élève souvent inattentive et dissipée abonde dans son sens. (A ce propos, Mlle Paule était-elle au courant des fessées que vous vous preniez ?)

    Le lecteur que je suis est partagé entre la compassion (pauvre Christine, le pyjama et la culotte baissés, les fesses rougies, l'humiliation avec la bande son pour les frangines, tout y est, quelques jours seulement après la rentrée) et le plaisir, il faut tout de même l'avouer. Si notre héroïne ne se prenait pas autant de dérouillées, reconnaissez que nous ne serions pas aussi nombreux sur votre blog !

    Mais je suis quasiment certain que les coquines de soeurs ne perdent rien pour attendre, ça m'étonnerait qu'elles n'aient pas à subir, elles aussi, quelques cuisantes fessées au cours de cette année scolaire qui commence.

    Amicalement, à bientôt.
    Paulement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  5. Bonjour Christine,

    Comme je comprends les sensations que vous ressentez, lors de cet épisode, pour les avoir moi-même connues de nombreuses fois, Maman magnant à merveille l'art subtil du commandement et de la mise en condition envers ses filles, surtout les soirs d'orages, tout comme votre mère.

    Dans ces moments de tension, Maman, malgré son physique de mannequin, dégageait une force et une présence naturelle auxquels je ne pouvais résister me faisant rentrer dans ma coquille, soumise et incapable d'aligner trois mots cohérents, me comportant comme une gamine prise en faute, sachant ce qui l'attendait.

    Maman mettait alors à profit mes attitudes gauches pour asseoir son autorité, s'efforçant de me faire comprendre qu'étant l'aînée je devais montrer l'exemple et non me comporter en gamine, que l'on doit déculotter et corriger comme sa petite sœur, ce qui accentuait ma honte, d'être punie de cette façon.

    Et là, comme votre mère, Maman me faisait longuement mijoter avant de venir s'occuper de moi, me mettant dans un état de stress terrible, la pression que je ressentais au moment venu m'amenait alors à une docilité surprenante n'opposant aucune résistance lorsque Maman m'attirait en travers de ses cuisses et me déculottait, balbutiant simplement quelques suppliques, résignée et souhaitant être dans l'après, pour me libérer de cette tension, même si j'avais les fesses rouges et brûlantes au final.

    D'autant que le pendant était une épreuve insupportable, comme pour vous dans cet épisode, Maman s'appliquant à chaque fois à en faire un acte éducatif majeur et marquer mon esprit durant un certain temps.

    J'espère que cette contribution plutôt personnelle aura votre assentiment, celle-ci n'étant que le reflet d'un vécu similaire au votre.

    A bientôt, Sonia

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  6. En lisant votre blog, Christine, je crois retrouver dans la bouche de votre mère les mêmes réflexions que la mienne. Notamment lorsqu'elle me donnait la fessée alors que je n'en avais pas reçu depuis plusieurs semaines, elle faisait toujours allusion au fait que "ça faisait longtemps" et qu'il y avait "du retard à rattraper". Et toutes ces expressions, "une fessée", "une bonne fessée", "une fessée bien méritée", "une fessée déculottée" qui accompagnaient la correction et qui continuaient à résonner longtemps après... A vous lire, je retrouve tout à fait les sentiments que j'éprouvais à l'époque.

    Stéphane

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  7. Chère Christine,

    Je me demande si cette bonne fessée de Maman vous a suffisamment fait comprendre la nécessité d'un travail constant, car votre dernière production remonte à 4 jours et que vous validez les commentaires sans y répondre, il me semble donc qu'une petite couche supplémentaire sur vos rondeurs jumelles vous ferait le plus grand bien et je suis sur que votre mère partagerait mon avis, hihi......!

    Bien entendu, chère conteuse, il ne s'agit que d'une taquinerie d'un fidèle lecteur impatient de lire vos aventures cuisantes qui le ravisse, comme d'autres.

    Très amicalement, Dominique.

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  8. Voui, voui, cause toujours, tu ne m'attraperas pas, pense la mutine. Pfff, et puis, comme tu ne connais pas ma Maman, et même pas dans quelle classe je suis, il n'y a aucune chance qu'elle appernne que je ne travaille plus depuis quatre jours, hihi...
    Bon, cela dit, plus sérieusement, il ne faudrait pas exagérer. Je viens de livrer de longs épisodes et je ne suis pas une machine. Surtout que, hélas, la vraie Christine dans la vraie vie a un vrai métier et des périodes plus occupées que d'autres. En tout cas je constate avec plaisir que les commentaires vont bon train, et j'espère en lire encore et encore. Merci d'avance !

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  9. Chère Christine,

    Je suis tout à fait conscient vous n'êtes pas une machine, mais une femme épanouie dans la vie et qui a comme tout le monde certaines contraintes, ne lui offrant pas une totale liberté, mais que voulez vous c'est la « rançon de la gloire » du à la qualité de votre blog et sans vouloir être trop gourmand, je crois qu'une simple petite appréciation à nos commentaires suffit à motiver vos lecteurs pour de nouvelles contributions.

    Ceci dit, la mutine a bien de la chance d'être sous le sceau de l'anonymat lui permettant de se montrer aussi insolente, que familière envers un lecteur surpris par ce manque de respect ( je vous taquine) et qui aurait donc d'excellentes raisons de faire rougir les rondeurs jumelles de la demoiselle comme Maman savait si bien le faire, hihi....

    Amicalement et sans aucune vilenie, Dominique.

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  10. C'est cela... Croyez-y, hi hi... Compte dessus et bois de l'eau, comme on disait gamine.
    Voui, évidemment, je vous taquinais aussi, mais vous aurez remarqué que c'était Christine, la pré-ado qui s'exprimait, avec son langage d'alors. Ce n'est pas la grande qui défierait un lecteur.
    Mais, c'était juste pour jouer avec cet espèce de petit frisson angoissé que je pouvais avoir en me montrant impolie ou en faisant une bêtise devant des personnes, dont je ne savais pas s'ils connaissaient Maman.
    Et je m'imaginais bien vous répondre ainsi en me moquant, croyant être à l'abri, et apprenant plus tard que l'offensé a rencontré Maman et qu'elle sait... Ce qui peut annoncer une nouvelle explication agitée, pour ne pas dire chaleureuse... Vous voyez ce que je veux dire ?

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  11. Chère Christine,

    Oh oui, je le vois parfaitement et je pense que cela aurait été tout à fait mérité pour la Christine pré-ado persistante en son insolence, jouant de son espièglerie naturelle et bravant les interdits au risque de se retrouver en mauvaise posture, pour peu que Maman l'apprenne.

    Le lecteur que je suis à bien saisi la nuance des propos qui existe entre une collégienne écervelée et une femme accomplie, consciente de son pouvoir actuel comme pouvait l'être Maman envers Christine à l'époque, mais attention jeune fille parfois l'imaginaire joue des tours et ce frisson d'angoisse pourrais alors surprendre notre conteuse, le jeu pouvant être trompeur, celui-ci n'étant qu'une accumulation de probabilités conduisant souvent à l'échec !

    J'espère que vous ne m'en voudrez pas pour cette légère digression, qui me semble correspondre à la situation que vous évoquez et pourrais être un sujet de développement pour notre conteuse, dans le même esprit que l'épisode avec 'Mme Aumont' ou la demoiselle étant rattrapée par l'un de ses travers (mensonge) se voit gratifiée d'une nouvelle volée tout aussi méritée que la précédente.

    Comme vous pouvez le constater, il faut pas grand chose pour me (ou nous) permettre de rebondir et collaborer à l'élaboration de cette introspection personnelle passionnante, enfin sauf pour vos fesses qui en sont le thème principal.

    Amicalement, Dominique.

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  12. Bonjour Christine.

    Si vous le permettez, je voudrais aujourd'hui m'adresser plus particulièrement à Sonia.

    Bonjour Sonia. J'aimerais revenir sur votre avant-dernier commentaire. Chez moi, comme chez vous, c'était plutôt maman qui sévissait. Papa travaillait, suivait des cours du soir et rentrait tard. Maman, au contraire, était mère au foyer, elle était seule avec deux garçons (mon frère Damien : deux ans de moins que moi), et même souvent un troisième : mon cousin Johnattan, un an de moins que moi, dont maman était donc la tata et en même temps la nourrice. Maman était donc amenée à punir parfois, et c'est le plus souvent en nous infligeant des bonnes fessées.

    Un jour, j'avais surpris une conversation de mes parents, où maman disait à papa que, lorsqu'il était présent, il faudrait qu'il punisse lui aussi de temps en temps. Maman ne voulait pas passer pour la méchante, la seule amenée à punir dans le couple. Si bien que, suite à cette discussion, c'était plus souvent papa qui punissait les week-ends ou les vacances. Avec lui, c'était plutôt des gifles, des tirages de cheveux ou d'oreilles, une ou deux claques sur les fesses ou le haut des cuisses (sans jamais déculotter), mise au coin, et interdictions diverses : privation de vélo ou de sortie pendant quelques jours, privation d'émissions de radio (à l'époque, nous n'avions pas la télé)... Si l'application des peines avait lieu un jeudi (jour de congé scolaire à l'époque) ou durant les vacances, maman était chargée de les faire respecter, ce qu'elle faisait évidemment très bien. En revanche, papa ne donnait jamais de fessées.

    Donc chacun sa méthode. Maman, tout comme la vôtre et celle de Christine, donnait des bonnes fessées quand elle était "seule à bord". Comme je l'ai déjà dit plusieurs fois à Christine, maman était très impulsive, la fessée tombait généralement immédiatement, donc n'importe où et n'importe quand. Avantage : contrairement à vous, je n'avais pas le temps de préparer mes fesses, donc pas le temps d'angoisser. Inconvénient : la fessée ayant souvent eu lieu sur-le-champ, j'ai "collectionné" les fessées à l'extérieur, donc en public.

    J'ai souvenir de deux exceptions en présence de papa. Ces fois-là, la colère de maman était montée immédiatement et, malgré la présence de papa, c'est maman qui a sévi, je me suis fait déculotter et fesser devant lui. Je ne crois pas avoir éprouvé de la honte d'être déculotté devant papa, peut-être parce que je suis un garçon. En revanche, je pleurais très fort, mais c'était de douleur, compte tenu de la main leste de maman et de la durée de la fessée, qui me paraissait interminable.

    Amicalement. A bientôt.
    Fesseusement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  13. Bonjour Christine,

    Je pense que vous accepterez que j'adresse une réponse à Louis, en me disant que celle-ci évoquera peut-être chez vous quelques inspirations ou réflexions sur votre propre vécu.

    Bonjour Louis. En premier lieu, je dirais que ma sœur ou moi (tout comme vous) n'avons ressenti de méchanceté de la part de Maman dans sa méthode éducative, qui était simplement soucieuse d'élever deux demoiselles dont l'espièglerie ou l'insouciance naturelles, les exposaient à une autorité maternelle malheureusement cuisantes pour leurs fesses.

    Mise à part cela, mes parents étaient en parfaite harmonie concernant l'éducation de leurs filles, même si Papa n'avait pas la main aussi leste que Maman, ne l'utilisant éventuellement que pour appuyer son sermon à l'aide de quelques claques par dessus la culotte ou le pyjama, celles-ci n'en n'étaient pas moins démonstratives et nous faisaient aussitôt brailler.

    Néanmoins, Papa (sportif) avait une évidente retenue en claquant nos petites fesses, conscient de la différence physique existante entre lui et ses filles, d'où le fait assurément, qu'il ne nous a jamais déculottée par crainte de nous blesser et aussi certainement par pudeur, vis à vis de ses petites 'puces' comme il aimait nous appeler.

    En conclusion, si les déculottées étaient plutôt du domaine de Maman (qui savait y faire), il n'empêche que Papa a su lui aussi transmettre (à sa manière) et sans jamais désavouer notre mère sur ses principes, des valeurs essentielles à deux péronnelles, dont ils sont fiers aujourd'hui.

    En vous remerciant par avance, Christine, de l'accueil que vous réserverez à cet aparté qu'il soit positif ou négatif.

    A bientôt, Sonia.

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  14. Mais, faites donc, chers amis. Que ce blog soit aussi l'objet de dialogues entre commentateurs ne peut que me ravir. C'est la preuve qu'il vit et fait réagir. Continuez, tant que vous restez dans le ton et dans un registre de qualité.
    Cordialement vôtre.
    Christine

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  15. Chère Christine,

    J'ai lu avec attention les commentaires de Louis et Sonia, qui m'incite à apporter ma contribution.

    Pour Louis :
    Comme vous le savez, à la ferme nous vivions à 2 familles dont la gestion quotidienne ainsi que l'éducation de la fratrie (6 enfants) étaient assurées essentiellement par Maman et Tata, néanmoins nos pères y participaient et savaient intervenir en cas de nécessité ( redoublement de ma cousine), j'ajouterais que cette autorité parentale était double pour nous (parents, oncle et tante) qui n'hésitaient pas à corriger le ou la fautive (enfants, nièces ou neveux) sans distinction d'appartenance biologique.

    A l'inverse de vous, nos parents (pluriels) n'utilisaient qu'une seule et même méthode de punition commune ( j'exclue les gifles impulsives ), à savoir la fessée (le plus souvent déculottée) qui remettait au pas celle ou celui qui la recevait, au moins pour une certain temps.

    Par contre, comme Christine, la plupart de ces corrections (sauf exception) avaient lieu dans une intimité toute relative entre 2 personnes, car la 'bande son' parvenait forcément aux oreilles de l'assistance présente dans le logis, la porte n'étant pas fermée et cela accentuait le sentiment de honte ressenti par le ou la puni (e) du moment, qui par dignité et pudeur asseyait de contenir ses réactions vocales, avant d'être submergé par la douleur et se lâcher sans retenue, oubliant l'environnement.

    Néanmoins je vous rejoins sur le fait qu'étant corrigé sous les yeux de Papa ou de mon Oncle, je n'éprouvais pas de honte supplémentaire (le frisson du déculottage étant assez fort, qu'il soit public ou privé) et tout comme vous, mes pleurs ou mes suppliques n'étaient alors que le reflet d'une cuisante fessée donnée par Maman ou Tata qui avaient en la matière, une expérience acquise au détriment de nombreuses paire de fesses.

    Pour Sonia :
    Tout comme vous, nous n'avons jamais ressenti de méchanceté de la part de nos parents, oncle ou tante qui au même titre que les vôtres agissaient en personnes responsables, s'efforçant d'élever leurs ouailles dans la droiture et le respect des valeurs, ceux-ci leurs en sont d'ailleurs reconnaissant à ce jour.

    L'harmonie que vous évoquez concernant l'éducation des enfants était une constante familiale que chacun de nos parents appliquaient avec plus ou moins de vigueur en fonction de la faute commise et du pénitent (e), sachant que contrairement à vous les pères n'hésitaient pas à déculotter les demoiselles pour les fesser, tout en ayant conscience de leurs forces.

    Aujourd'hui les 6 adultes que nous sommes devenus, n'éprouvent aucune amertume envers leurs parents pour cette éducation certes sévère, mais fondée sur l'amour et la volonté de bien faire.

    Amicalement, Dominique.

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  16. Bonjour Christine.

    Merci de votre tolérance, tout en n'oubliant pas évidemment que ce blog est avant tout le vôtre. J'ajoute simplement un souhait, à nouveau vis-à-vis de Sonia, si vous le permettez, et si vous y consentez.

    Chère Sonia, pourquoi ne nous raconteriez-vous pas, de temps à autre, le détail de quelques (més)aventures que vous avez vécues, vous ou votre soeur, comme nous le faisons parfois, Dominique ou moi-même (ou Agnès autrefois) ?

    Amicalement, à bientôt.
    Soniament vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  17. Pas d'inquiétude, Louis, je ne me sens nullement dépossédée, et je garde d'ailleurs toute liberté pour valider ou non les messages. Poursuivez donc si vous le souhaitez.
    Cordialement.
    Christine

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  18. Bonjour Christine,

    Merci pour votre confiance et sachez que mes interventions resteront fidèles à l'esprit de votre blog, en respectant l'idée générale de celui-ci, constitué de souvenirs cuisants dont l'évocation fait resurgir des émotions.

    Pour répondre à la suggestion de Louis, je l'invite dans un premier temps à consulter ma contribution sur le (lieu marquant 03/2009) et comme vous me l'avez permis Christine, je vais donc prolonger ma réponse précédente à Louis par un exemple significatif de cette complémentarité parentale, à l'occasion de mes 12 ans.

    En effet pour cet anniversaire, mon comportement et mes résultats scolaires étant correctes, mes parents acceptèrent que j'invite des copines pour le fêter, ce dont j'étais ravie et me mit dans un état d'excitation énorme, propice aux dérives durant la semaine précédent l'événement.
    Ce qui se confirma, dés le lundi soir suite à un geste d'humeur, au moment de débarrasser le couvert récoltant alors deux belles claques sur les fesses couvertes par mon pyjama, aussi soudaines qu'inattendues (mais méritées) de la part de Maman qui accompagna son action d'une mise en garde concernant la fête prévue et me fît aussitôt changer d'attitude.

    Malgré cela, mon impatience d'être à samedi, allait me jouer un tour lors d'un cours de physique sur les grenouilles qui me barbait préférant discuter avec ma voisine, sauf que la prof n'étant pas de cet avis me demanda mon carnet de correspondance pour y mettre un mot à signer, je me sentis alors très mal, pensant aussitôt aux conséquences pour mes fesses.

    Ce que me confirma, Maman à mon retour, après avoir lu le mot (la prof ayant précisé qu'en cas de récidive je serais collée) c'est alors qu'elle me dit sur un ton ironique : « Ma chérie, cela m'ennuierait que tu sois collée et je suis certaine que tu en serais également chagrinée, je vais donc t'aider afin d'éviter cette mésaventure, tu es d'accord ? », déconcertée mais comprenant fort bien la pensée de Maman, je baissais la tête (les larmes aux yeux) sans rien répondre et attendant la suite.

    A suivre....


    A bientôt, Sonia

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  19. Chère Christine,

    Sincèrement, Christine, il me semble que vous avez acquis auprès de Maman l'art exquis de la cuisson à feu doux pour vos lecteurs, les laissant mijoter tel un 'cassoulet de Castelnaudary' qui plus il est mitonné, meilleur il est, c'est cela dites-moi ?

    Très amicalement et impatient, Dominique

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  20. Jolie comparaison sur l'art du mijotage et du mitonnage. C'est vrai que nombre de plats sont meilleurs réchauffés, et que, même s'il ne faut pas abuser de la chose, un cassoulet en terrine qui fond à petit feu, peut être délicieux...
    Quant à Sonia, j'imagine bien qu'elle risque de se faire sonner les cloches avant même d'avoir une année de plus...

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  21. Chère Christine,

    Je vous rejoins sur le coté délicieux d'un cassoulet en terrine et j'imagine aisément que le prochain épisode de vos aventures fessesques sera aussi savoureux qu'appétissant, ce dont je ne doute pas.

    Pour Sonia, tout comme vous j'ai dans l'idée que les cloches vont en effet résonner avant son anniversaire, et que celles-ci auront la forme de rondeurs jumelles rebondies, que la main maternelle fera sonner en rythme.

    Amicalement, Dominique

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  22. Hélas, le cassoulet n'est savoureux que dans une terrine au "fond" bien chaud... et le degré final de "cuisson" est important. Je vous vois venir avec vos allusions... Vous ne seriez pas en train de souhaiter que ma lune ne cuise à nouveau ?
    Patience, je n'ai même pas encore fini l'épisode en cours.

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  23. Chère Christine,

    Vos talents culinaires concernant la confection d'un bon cassoulet sont indéniables, mais vous m'attribuez des desseins et des désirs de vilenies envers vos rondeurs jumelles, qui ne m'ont jamais traversé l'esprit, quoique...... ! Hihi........ !

    Amicalement et avec taquinerie, Dominique

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  24. Bonjour Christine,

    En effet un son de cloches allait résonner dans la maison en ce mercredi, sauf que se sont mes fesses qui allaient faire office de carillon et dont voici la suite.

    Maman m'envoya dans ma chambre pour faire mes devoirs et préparer mes affaires pour le lendemain, en me précisant de l'appeler une fois que j'aurai terminée afin de m'apporter son aide au sujet du mot.

    Autant vous dire que mon angoisse augmentait au fur et à mesure de l'avancée de mes devoirs, ayant un terrible nœud à l'estomac et n'étant pas spécialement pressée de voir arriver Maman, je prenais mon temps, sauf qu'après une heure celle-ci vînt aux nouvelles constatant que j'avais terminé, me gardant bien de lui dire que cela faisait 20 minutes.

    Cet alors qu'elle me prit par la main pour la suivre vers le lit sur lequel, elle s'assit, me positionnant devant ses genoux et me dit toujours de manière ironique « Alors ma chérie, tu peux me dire de qu'elle façon Maman va t'aider pour éviter cette colle ? », ce qui me fît éclater en sanglots sachant ce qu'elle voulait me faire dire et que je ne pouvais exprimer, envahie par la peur.

    Maman voyant mon incapacité à ouvrir la bouche, mais comprenant que j'avais bien saisi la question, elle passât donc aux actes me faisant aussitôt basculer au travers de ses cuisses en relevant dans le même temps ma jupe.
    Et voilà que Sonia (à presque 12 ans), honteuse et redoutant ce qui allait suivre, offrait à Maman des rondeurs jumelles encore couvertes par sa culotte, suppliante, promettant mont et merveilles à une mère déterminée à corriger sa fille, pour son bavardage.

    La suite ne tarda pas, pour Sonia, se retrouvant culotte baissée à mi cuisses sous les effets claquants de la main d'une mère déterminée à faire passer son message, sur la bonne conduite, laissant la demoiselle les fesses brûlantes réfléchir à son attitude en classe et qui la calma jusqu'au samedi matin.

    Car si l'après midi de ce jour anniversaire allait être merveilleuse , la fête avec mes copines étant très réussie, la matinée fût marqué par une autre 'fête' beaucoup moins agréable pour moi, celle-ci se focalisant sur mes rondeurs jumelles.

    A suivre,

    A bientôt, Sonia

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  25. Chère Christine,

    Je conçois que vous soyez occupée par vos activités (professionnelles ou personnelles), mais voilà 13 jours que vous nous faîtes patientez pour la suite de ce récit et cela me surprend de votre part (avis personnel), d'autant plus qu'il me semble que ce chiffre n'était pas très favorable à vos rondeurs jumelles à une certaine époque, mais peut-être l'avez vous oublié et qu'il serait utile de vous le rappeler aujourd'hui, enfin virtuellement bien entendu !

    Je pense que vous ne verrez dans ce post, que l'expression d'un lecteur assidu et impatient de vous lire, sans desseins particuliers pour vos fesses, quoique...... ! Hihi...... !

    Amicalement, Dominique.

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  26. Bonjour Christine,

    Mon dieu....! en relisant mon précédent commentaire, je m'aperçois avoir oublié un (s) à 'monts et merveilles' genre de faute d'étourderie qui m'aurait valu, à l'époque, un rappel sur les liaisons de la part de Maman en l'accompagnant certainement par quelques claques sur les cuisses ou par dessus la culotte, sinon voici la suite de mon anniversaire :

    Maman avait établi un plan parfait pour ce samedi, attribuant à chacun un rôle pour l'organisation de cette journée, elle s'occupait de la cuisine (confection de gâteaux, préparation de friandises et de boissons) avec l'aide d'Anaïs, tandis que Papa et moi étions chargés de la mise en place, ainsi que de la décoration, c'est à partir de là que mes ennuis fessiers commencèrent.

    Ce matin là, je sautais de mon lit excitée comme une puce m'agitant dans tous les sens lors du petit déjeuner, avec une légère pointe d'agressivité, je poussais tout le monde à se dépêcher pour préparer mon anniversaire et cela engendra une remarque de Maman qui me demanda de me calmer au plus vite, si je voulais vraiment fêter celui-ci.

    Après ma douche, j'enfilais un short en éponge et un tee-shirt, afin d'être plus à l'aise pour la mise en place des meubles et la décoration du salon, en compagnie de Papa qui commença par réfléchir comme à son habitude (ingénieur) pour que nous ayons le plus de place possible et cela m'énervait, manifestant à plusieurs reprises mon impatience, par des gestes d'humeur ou des soupirs de mécontentement.

    Papa très irrité, par cette attitude déplaisante, me saisi alors le poignet et me courbant en deux sous son bras gauche, me distribua quelques bonnes claques par dessus le short et le haut des cuisses découvertes, me faisant brailler et pleurer.

    Maman alertée par les échos, sortie de la cuisine venant aux nouvelles, Papa lui exposa brièvement la situation alors que je pleurnichait en frottant mes fesses et mes cuisses, celle-ci approuva sa décision et me dit « tu seras peut être plus calme à présent ! ».

    En effet, après cet intermède cuisant et inattendu (Papa ayant de grosses mains), je filais doux suivant ces directives sans broncher et n'émettant aucune remarque, constatant au final que tout était en place pour recevoir mes amies, sauf qu'une demoiselle de 12 ans très excitée à l'idée d'un anniversaire entre copines et immature face, au raisonnement parental (justifié), ne peut que s'exposer à de nouveaux déboires.

    A suivre.......

    A bientôt, Sonia.

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  27. Lorsque j'étais enfant ,je recevais toujours des fessées déculottées par ma mère qui n'acceptait pas mes mensonges
    Ma première fessée remonte à mes 9 ans et je m'en souviens comme si c'était hier.J'étais pret à partir pour l'école lorsque ma mère m'interpella: "dis moi doudou tu n'aurais pas vu un billet de 50F sur la table du salon?"
    Non répondis-je d'un ton tres sur.Mais maman eut
    un doute et me demanda de vider mes poches.Ce que je fis toujours sur de moi.Rien dans mes poches j'étais sauvé! Mais maman me dit:"ouvre ton cartable s'il te plait?" Et là ,je me mis à rougir et ma mère s'en aperçut.Elle fouilla dans mon cartable saisit ma trousse et l'ouvrit et là le billet surgit.Qu'allait faire ma mère?
    Je n'eus pas le temps de bouger que ma mère fondit sur moi et dit:"je crois que tu vas regretter ton mensonge mon garçon et tu vas te souvenir de cette fessée crois moi et je t'interdis de bouger!!"ET sans rajouter une parole maman de déshabilla rapidement et je me retrouvai cul nu en 30 sec sans que je puisse l'empecher
    elle me saisit sur ses genoux et me fessa tres fort jusqu'à ce que j'éclate en sanglots .J'eus meme la respiration coupée.La fessée fut à la hauteur de ma faute.Mes fesses me brulaient et je ne pus m'assoir durant un bon moment
    Ma mère me rhabilla et m'accompagna à l'école et je pleurnichai tout le long du chemin
    IL y eut bien d'autres fessées déculottées toujours administrées par ma mère et ce jusqu'à mes 16 ans

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