mardi 15 novembre 2011

Chronique d'un redoublement : 10. L'incroyable accalmie...

SUITE 9

Les jours passant, Diane en prenait à son aise. Dispensée de devoirs de vacances, elle profitait d'une liberté assez large et savait jouer les gentilles devant Maman.
Et, pour l'occuper pendant que nous faisions, Aline et moi, nos devoirs, notre petite soeur allait soit à la bibliothèque, soit chez des copines, soit surtout à la piscine.
Pour que nous puissions nous dépenser aussi, avant les deux semaines que nous irions passer à la mer en août, nous avions toutefois l'autorisation d'aller aussi à la piscine une à deux fois par semaine, quand les devoirs étaient bien faits.
C'était une sortie plus agréable que de passer l'après-midi devant des livres et cahiers, mais c'était aussi l'occasion de retrouver des camarades du collège et des connaissances. Je n'aimais donc guère ces retrouvailles, d'autant que Diane qui venait plus souvent que nous ne se privait pas de confier nos déboires à ses copines ou aux mamans qui lui demandaient pourquoi ses soeurs n'étaient pas là...



Je revois encore les regards insistants des enfants et de leurs accompagnants voyant certains jours les deux punies de la famille Spaak venir se baigner comme si de rien n'était, et se remémorant certainement les confidences de Diane à notre propos...


C'était idiot, mais à chaque regard insistant, je me demandais si mon maillot était bien ajusté, si je ne laissais pas apparaître un bout de mes fesses, et cela même si cela faisait maintenant bien des jours qu'elles n'avaient pas été rougies...
Aline était moins sensible à ces moqueries plus ou moins voyantes, mais elle avait moins honte que moi, le fait d'être plus jeune rendant son statut de punie plus acceptable, voire logique puisque son aînée était assujettie au même régime.
Toutefois, quand je sentais bien que les regards des enfants et des Mamans me scrutaient comme une bête curieuse, comme celle qui allait redoubler sa classe, comme celle qui causait bien des soucis à sa mère, je tentais de changer mes idées noires et je me consolais en remarquant que depuis la douloureuse soirée de l'arrivée du bulletin et du mensonge aggravant, je n'avais plus subi les foudres maternelles...
Aline, hélas, ne pouvait en dire autant. Et la troisième semaine de devoirs fut aussi ponctuée d'une nouvelle déculottée  pour un nouveau relâchement dans l'effort...



Je plaignais ma soeur, mais je constatais aussi que cela la remettait au travail assez efficacement. D'un autre côté, je tendais le dos, car cette série de fessées d'Aline me faisait craindre un mouvement de balancier inverse et à mon encontre donc...
Surtout que chaque fessée d'Aline était évidemment accompagnée de commentaires familiaux et que Maman insistait toujours en disant : "Attention Christine, ne te crois pas à l'abri... La prochaine pourrait être pour toi..."
Je le savais bien hélas, partagée entre une certaine satisfaction de voir que Maman prenait Aline pour cible, et le fait que chaque claque que recevait sa lune me rappelait que j'avais tout à craindre pour la mienne aussi...
Le samedi suivant, alors que nous étions dispensées de devoirs, Maman reçut la visite de la couturière qui ramenait des affaires qu'elle avait arrangées. Elle fit une séance d'essayage dans sa chambre, appelant Diane pour qui la couturière avait remis à sa taille des vêtements venant d'une grande cousine, ainsi que deux jupes que je ne mettais plus.
De nos chambres, nous entendîmes Maman hausser le ton, et discuter assez fort avec Diane. Elle faisait apparemment la tête ne voulant pas mettre des habits de récupération.
Ma discussion cessa quand Maman raccompagna la couturière à la porte. Mais elle rappela ensuite Diane, et l'on comprit que soeurette continuait à faire sa mauvaise tête et à refuser d'envisager de porter mes anciennes jupes.




Le ton monta et un bruit sec déclencha des pleurs. Diane venait de se prendre une gifle, et Maman ne s'arrêta pas là, puisque les supplications de notre petite soeur nous firent comprendre que la chouchoute allait pour une fois recevoir son dû.
Sortant de nos chambres à pas de loup, Aline et moi nous nous sommes retrouvées dans le couloir pour mieux guetter la scène. Hélas la porte de la chambre maternelle était fermée, mais les bruits ne trompaient pas nos oreilles averties...
J'ai osé jeté un oeil par le trou de la serrure. La vision était trouble et fugace, car je me suis vite dégagée. J'avais cependant aperçu Diane à genoux, retombant des cuisses maternelles et se frottant une paire de fesses bien dégagée... J'avais le coeur battant. J'ai confié à Aline : "Maman lui a baissé sa culotte".
Ma soeur eut un large sourire et nous repartimes vite fait dans nos chambres faire semblant de rien. Diane apparut penaude quelques minutes plus tard, avec un oeil noir qui semblait rageur. Mais, nous étions plutôt ravies, Aline et moi, que soeurette ait eu son caquet rabattu...
Paradoxe des paradoxes : c'était moi la redoublante qui passait entre les gouttes... Plus de trois semaines étaient passées sans que rougisse ma lune... 
Ce samedi, c'était la bonne élève, la chouchoute qui venait de recevoir la fessée. Mon autre soeur qui avait réussi à passer en classe supérieure, en était déjà à trois depuis le début des vacances... Jamais je n'aurais envisagé pareille accalmie, et je commençais à être fière de moi, et à croire que cela allait durer...

A SUIVRE

11 commentaires:

  1. Bonjour Christine.

    Enfin ! La petite dernière qui se croyait à l'abri n'a pas échappé à une fessée magistrale. Chez nous , c'était l'aîné (eh oui ! c'était moi) qui recevait des fessées surtout pour ses caprices, sa mauvaise conduite, etc... J'imagine que les deux soeurs, surtout la grande, n'est-ce pas, Christine, devaient jubiler de voir que leur cadette serait certainement moins fière dans les jours à venir.

    J'espère, Christine, que vous ne vous êtes jamais fait prendre en regardant une scène de fessée par le trou d'une serrure. Si oui, ça a dû vous coûter cher juste après !

    Ca m'est arrivé une fois, il y avait un copain à la maison. Mon frère Damien était en pleins devoirs dans sa chambre. Soudain, le ton de maman a monté. Avec le copain, nous regardions à chacun notre tour : d'abord moi, constatant que Damien recevait une fessée sur les genoux de maman au-travers du pantalon, puis mon copain, puis moi à nouveau : la fessée venait de se terminer, maman, ayant sans doute entendu quelque chose, peut-être n'étions-nous pas assez discrêts, se leva en quatrième vitesse et ouvrit la porte d'un seul coup. Je fus pris la main dans le sac, ou plutôt le nez et l'oeil sur la serrure.

    Vous imaginez la suite. Maman m'a tout de suite précisé que, si cette fois-là elle n'avait pas baissé le pantalon de mon frère, il n'en serait pas de même pour moi. Maman prit le temps nécessaire pour dégraffer mon pantalon (ceinture ou bretelles, je ne sais plus, boutons, braguette), qu'elle baissa aussitôt, ainsi que mon slip blanc de coton. Ma mère me mit dans sa position "favorite" (courbé et soulevé sous son bras gauche). La fessée fut longue et cuisante, je pleurais, je hurlais. Le plaisir un peu "sadique" que j'avais eu à regarder mon frère était complètement annihilé. La honte pour moi, toute la scène s'était déroulée devant mon frère qui pleurnichait encore... et devant le copain ! Maman lui a dit qu'elle ne s'était pas permis de lui donner une fessée, mais qu'il en aurait tout de même mérité une, "déculottée comme Louis", et a ajouté : "Alors fais attention aussi à tes fesses la prochaine fois !"

    Amicalement, et bravo.
    J'adore cet été bien chaud chez les Spaak.

    Dianement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  2. Chère Christine,
    Voilà une nouvelle fois, un épisode tout à remarquable dont vous avez le secret et fort bien illustré, la première photo permettant de laisser vagabonder notre imaginaire, comme étant une possible représentation de la famille SPAAK (moins Tata), même si l'illustration dans le cas présent souligne le regard des autres à votre encontre et à celui d'Aline.
    Vous concernant, d'ailleurs, ces circonstances mettent à mal votre pudeur (ajustement du maillot) et alimentent votre honte, étant scrutée comme une « bête curieuse » avec pour seule consolation l'accalmie que connaissaient vos fesses pour l'instant, tout en redoutant un possible revers de médaille.
    Et enfin l'apothéose avec Diane recevant une bonne déculottée méritée de Maman qui est à fleur de peau ces derniers temps et dont la petiote aurait du se méfier, on regrette juste que vous n'ayez Aline et vous pu profiter que de la bande son, même si on note votre curiosité en jetant un œil par le trou de la serrure (ce que je trouve très amusant) et donnant à Aline, un large sourire, après lui avoir confirmé que Maman avait baissé la culotte de soeurette, lui rabattant son caquet.
    Toutefois, attention Christine, de ne pas retomber dans vos travers de relâchement sinon je crains fort que vous ne faisiez un nouveau détour sur les genoux maternels, ce que je ne vous souhaite pas bien entendu, quoique !!!
    Impitoyable pour vos fesses, comme les autres, mais je vous taquine, hihi....
    Amicalement, Dominique

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  3. Dominique et Louis m'offrent deux jolis commentaires. Bien dans le ton, comme je les apprécie. Merci encore et merci d'avance pour la suite, dis-je gourmande...
    Eté bien chaud chez les Spaak, dit l'un. Oui, mais pour moi qui fus la première "servie" et de façon doublement magistrale, ce premier mois de vacances est heureusement des plus calmes... Et comme, d'un autre côté, mes soeurs ne sont pas à la fête, j'avoue ne pas être mécontente, et commencer à me croire à l'abri...
    Et, ainsi que le devine Dominique, le risque de relâchement me guette, sans que j'en sois consciente vraiment... Pas sûr que l'accalmie dure autant que je ne le souhaiterais... Je ferais mieux de me méfier... Mais ces quelques semaines sans fessée me rendraient presque insouciante... La vie est belle quand vos fesses restent blanches...

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  4. Chère Christine,
    C'est vrai que trop d'insouciance peut amener un revirement de situation et je sens que celle-ci va coûter cher à vos fesses et qu'elles vont rapidement prendre une teinte beaucoup plus colorées, voire même écarlate, sous la dextre maternelle, qu'en pensez vous ?
    Sinon, merci à Louis pour ce récit sur « l'espionnage par le trou de la serrure », mésaventure que j'ai également connu avec l'un de mes cousins parisiens passant les vacances de pâques à la ferme (pas de zone à l'époque), nous avions tous les deux 12 ans et un certain émoi qui s'éveillait pour les filles, d'où notre curiosité et notre espionnage à l'égard de mes sœurs et de Brigitte, ma cousine, qui avaient 5 et 6 ans de plus.
    Ce jour fût historique, autant pour nos yeux que pour notre bas du dos à tous les deux, mais avec des émotions bien différentes, que celles que nous imaginions en espionnant ces demoiselles.
    Je mets sa en forme et vous l'adresse dés que possible.

    Amicalement, Dominique

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  5. Encore à me prédire un changement de couleur de mon postérieur... Heureusement que Maman de l'époque ne vous entend pas, sinon cela lui donnerait des idées...

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  6. Chère Christine,
    Il me semble que Maman SPAAK, n'avait pas forcement besoin d'échos, pour modifier la couleur de vos fesses dans la mesure où vous saviez lui fournir les motifs nécessaires pour cela et j'ai le pressentiment qu'elle en aura un plus vite que prévu, n'est-ce pas chère narratrice ?
    Amicalement, Dominique et sans méchanceté pour vos petites fesses, hihi....

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  7. Voici la suite,
    A cet époque, les saisons existaient et durant cette quinzaine de fin avril le beau temps était présent avec des températures fort agréables, permettant de ce tremper dans la rivière (pour les plus courageux, dont je faisais parti) où le grand lavoir attenant à la ferme, découvert et ne servant plus, alimenté par une eau plus tiède (réchauffée par le soleil), celle-ci n'étant pas soumise au courant, mais alimenter par la source plus douce en débit.
    Lors du repas, les filles (sœurs et cousines) décidèrent donc qu'elles iraient s'y baigner, en début d'après midi lorsque le soleil serait à son zénith, alors que mon cousin et moi étions déjà parti à la rivière, sauf qu'arriver sur place Eric fût incapable d'entrer dans l'eau trop froide pour lui, ce qui nous fît rentrer plus tôt que prévu et envisager le lavoir.
    Une fois rentré, nous sommes allés vers ma chambre et c'est là que j'ai entendu à côté ma cousine, dire « Bon, les filles on se mets en maillot et on y va », j'ai eu un éclair dans les yeux et après avoir entraîné Eric en silence, je me suis penché vers le trou de la serrure apercevant alors mes sœurs et ma cousine quasiment nues, j'étais aux anges et j'en fît alors profiter mon cousin qui n'en revenait pas, mais à ce moment là une main nous tira tous les deux par l'oreille, c'était ma tante qui sortait de sa chambre et que nous n'avions ni vu, ni entendu.
    Celle-ci nous fît descendre prestement l'escalier, en nous tenant par l'oreille qui nous faisaient pousser des petits « aïe.., aïe... » et nous amena dans la cuisine, où se trouvait Maman à laquelle est expliquât notre attitude de petits voyeurs et elle ajoutât « je te laisse Eric et je m'occupe de Minot (mon surnom), çà te gène pas ? », ce à quoi Maman répondis par la négative et me fît alors devenir tout pâle, car si je craignais la main de Maman pour mes fesses, celle de ma tante était encore plus redoutable et j'en avais déjà fait la douloureuse expérience (Tata étant plus mince et plus musclée que Maman, avec de longues mains très sèches), je savais donc que j'allais passer un très mauvais quart d'heure et je fondis en larmes, Eric qui n'avait pas encore analyser la situation allait très vite comprendre, à sa grande surprise, pour ses fesses!
    Amicalement, Dominique

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  8. Ah, la curiosité est un bien vilain défaut quand elle est mal placée... Voilà deux garçons qui voulaient avoir un cours d'anatomie féminine gratuit et qui risque de dévoiler à leur tour deux bas du dos bien blancs, mais plus pour longtemps...

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  9. Chère Christine,

    En effet, si ce cours d'anatomie fût gratuit au départ, il le fût beaucoup moins à l'arriver pour les fesses de ces 2 garnements qui profitèrent néanmoins de cette leçon pour se montrer plus discrets dans l'espionnage du la gente féminine qui les émoustillaient.

    Suite :
    Ma tante me tenant toujours par l'oreille, tira alors une chaise pour s'y asseoir et je chignai des « Non, Non,Tata pas ça, pas la fessée, snif...snif... » auquel elle ne répondis pas, Maman ayant fait la même chose j'entendis quasiment hurler Eric « Non, Non, Marraine, je suis trop grand Maman ne me donne plus la fessée !» « Elle à bien tort mon chéri, et sache qu'ici il n'y a pas d'âge pour recevoir une bonne déculottée qu'en elle méritée, demande donc à tes cousines, allez mon garçon sois courageux ».

    Tata et Maman avaient bien entendu joint le geste à la parole, en baissant nos maillots de bain jusqu'aux genoux provoquant chez Eric de gros sanglots implorant sa Marraine de l'épargner, ce qui ne fût pas le cas et dans l'instant suivant nous étions tous les deux allongés au travers des cuisses de nos tantes offrant nos fesses, pour recevoir ce qu'elles méritaient.

    J'avoue que je me serais volontiers passé de ce moment très désagréable, car la main de ma Tante faisait des ravages sur ma lune (sans protection), celle-ci tombait comme un orage des tropiques (donc assez long) m'exprimant sans aucune retenue, redevenant le petit garçon suppliant, paillant et pleurant comme un crocodile, la douleur étant insupportable et me mettant en position d'humilité totale, j'en oubliais mon cousin Eric qui se trouvait pourtant dans la même situation que moi !

    Une fois remis sur nos pieds (nous dansions la gigue en frottant nos fesses avec nos mains, pour essayer d'atténuer le feu qui les rongeaient, nos tantes les ayants particulièrement soignées), ma Tante nous renvoya alors dans ma chambre, nous précisant que nous pourrions aller nous baigner d'ici une heure, après avoir réfléchi à notre curiosité déplacée (mais néanmoins bien naturelle, pour 2 jeunes garçons, en phase de puberté et sensibles à la beauté féminine, qu'ils découvraient).

    Ceci dit, je reconnais que notre arrivé au lavoir pour nous baigner ne fût pas très glorieuse, les filles qui étaient déjà dans l'eau à batifoler, savaient parfaitement que nos Tantes avaient fait la conversation à nos fesses, ce donc Eric ainsi que moi-même étions peux fiers et pour cause !

    Néanmoins, mes sœurs et ma cousine voyant les rougeurs débordant de nos maillots nous consolèrent, sans connaître la raison qui nous avaient valu cette bonne déculottée à tous les deux (mais connaissant parfaitement les effets d'une bonne fessée de Tata ou de Maman) et la fin d'après midi fût beaucoup plus agréable, en compagnie de belles jeunes filles en maillots, cette fois-ci et 2 gentils garçons, sévèrement punis, mais en même temps ravis d'être au milieu de cette aréopage, qui concluait cette journée historique pour nos cervelles de pré-adolescent.

    Amicalement, Dominique

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  10. Bonjour Christine et merci pour vos recits et photos;celle ou vous testez la couverture de votre maillot de bain m'a fait sourire car étant jeune cela m'est arrivé:aprés une severe fessée de ma mère nous étions allées a la piscine et bien qu'ayant ma lune toute cuisante je me suis mise en maillot de bain,mais j'avais choisi un maillot assez peu couvrant esperant ainsi attirer le regard d'un ami de mon cousin!Mal m'en a prit car si j'ai attiré son regard il a pu constater ma punition récente ,et c'est avec un grand sourire que venant s'allonger prés de moi il me dit "Alors,Danielle n'a pas été sage,et maman a du la fesser?"Entendant cela je compris que la main de ma mère avait largement debordée et rougie mes fesses tres largement!
    Je ne vous raconte pas ma honte de devoir avouer a bientot 15 ans que je venais d'etre fessée ,et bien fessée!Par la suite c'est devenu un petit flirt et quand j'etais grognon ou enervée il me disait"Attention Danielle,je sais comment faire pour te rendre plus agréable"et bien sur je rougissais intensement. Une fois il m'a même claquer,gentiment ,la croupe et les cuisses,ceci pour ma plus grande gêne,mais aussi pour ma plus grande joie,me retournant devant les copains pour examiner mes cuisses rougies,ceci sous les moqueries des autres copains et copines.
    Un trés doux souvenir qui est remonté en moi e voyant votre image dans la piscine,et je vous en remercie.

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  11. Bonjour Christine,

    Ca fait longtemps que je viens sur votre blog qui m'avait dès le début attiré par ces récits où la gêne et l'angoisse de la fessée passent toujours avant la douleur que vous ne racontiez même pas.
    Avec le "statut de punie" vous m'avez encore eu: c'est quelque chose qui m'a toujours préoccupé, autant d'ailleurs que le renversement des rôles entre soeurs ou frères.
    A méditer pendant une heure de colle qu'une mauvaise élève ne manquerait pas d'attraper?

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