vendredi 1 avril 2011

Ces moments où le coeur bat fort : la tuile en maths (CONCLUSION 2) Une semaine et demie plus tard...

Inutile de préciser qu'après avoir récolté quatre heures de colle (et l'addition salée à la maison), je me suis concentrée sur mes cours de français. Sans trop de peine, car j'étais assez douée en la matière, et je dois en avoir quelques restes, me dit-on parfois...
Je voulais me rattraper, consciente que si je gâchais mes points forts, cela aurait pu me jouer des tours au final.
Huit jours plus tard, la prof nous avait donné une rédaction à faire en classe sur le printemps, et j'avais bien aimé le sujet en l'associant à l'idée de retour des beaux jours et de projets de vacances. Comme j'étais inspirée, j'ai fini un quart d'heure avant la fin du temps imparti et j'ai pu relire et vérifier l'orthographe.
J'étais contente, mais quand trois jours plus tard, la prof rendit les copies, j'ai eu une divine surprise. 18 sur 20 ! Avec les félicitations pour la meilleure note de la classe, ce qui ne m'était plus arrivé depuis plus d'un trimestre. "Vous voyez, Christine, quand vous voulez vous en donner la peine, le résultat est là..." avait-elle commenté.

A la récré, je sautais de joie avec mes copines



Contente la Christine, c'était le moins qu'on puisse dire. Ravie même... J'allais pouvoir frimer à la maison et certainement aller avec Tata au cinéma le week-end suivant, comme c'était en projet.
A la récré, j'avais sauté de joie, riant de ma bonne fortune avec mes copines. Pour une fois que je n'avais pas à cacher mes notes, ni à jalouser telle ou telle, j'en profitais.
Ce soir-là, j'avais hâte de rentrer à la maison, je ne trainais pas les pieds comme parfois quand je ramenais un mauvais carnet...
J'avais eu le droit d'aller au collège à vélo, et je suis rentrée toute joyeuse, en chantonnant presque sur ma bicyclette. Et sans détour...

Je suis rentrée en chantonnant


J'ai fait une grosse bise à Maman qui a regardé l'heure, surprise de me voir rentrée aussi vite. Elle sortait pour aller chercher mes soeurs à l'école primaire et je ne lui ai pas annoncé la bonne nouvelle de suite. J'ai pensé que devant les petites, je ferais encore meilleur effet...
Au moment où Maman revenait, Tata est passée pour récupérer des livres que Maman lui avait ramenés de la bibliothèque.
Tout le monde s'est retrouvé au salon, où Maman a servi une grande cruche d'orangeade bien fraiche.
Mes soeurs ont parlé des devoirs qu'elles avaient à faire, Aline d'un 11 en anglais qui était passable quand est venu mon tour.
Pas possible de faire durer davantage le suspense... J'avais un large sourire en annonçant : "J'ai eu les résultats de ma rédaction de français".
Maman a de suite dit qu'elle espérait que c'était bien "cette fois".
Toute heureuse, j'ai annoncé la nouvelle. "Oui, j'ai eu la meilleure note de la classe. 18 sur 20, la prof était fière de moi".
Tata a embrayé : "Bravo ma chérie. Super, je suis contente pour toi. Je savais que tu étais forte en français, mais ça c'est vraiment bien".
Maman me félicita également : "18 sur 20, ça c'est une bonne note. Pourvu que cela dure. Montre nous donc ta copie".
Maman remit la nouvelle dans son contexte...

Je plongeai dans mon cartable et donnai fièrement ma copie à Maman. J'étais sur mon petit nuage, c'était mon moment de gloire devant Tata et mes soeurs. De quoi me redonner du baume au coeur.
Mais, il y avait une nuance entre l'enthousiasme franc de Tata et la réaction plus réfléchie de Maman qui ne manqua pas de remettre la nouvelle dans son contexte.
Elle remarqua la copie bien propre, très appliquée, sans faute d'orthographe et me félicita, puis elle lut l'appréciation de la prof : "Bon travail. Texte imaginatif et bien construit. Bon respect de l'orthographe. Christine a fait un effort très louable. Après l'incident qui lui a valu d'être collée, la reprise en mains est notable. Souhaitons qu'elle soit durable. Christine en a assurément les capacités".
Maman avait lu ce mot à voix haute. J'étais contente, pour moi, c'était du tout positif. Maman doucha un peu ma joie insouciante. "Tu vois ma chérie que tu peux être la première de la classe. C'est vrai ce qu'écrit ta prof. C'est dommage que cela ne dure pas longtemps".
Tata fit remarquer : "Quand même 18 sur 20, c'est extra. On ne peut pas toujours avoir autant, mais en général elle se débrouille plutôt bien, non ?"
Maman fit une petite moue : "En général, comme tu dis, surtout quand il y a eu une petite "reprise en mains" comme dit sa prof... Si tu vois ce que je veux dire..."
J'ai rougi, car tout le monde avait compris, mais dans ces cas là, Maman n'est pas avare d'explications, hélas, et elle a détaillé sa pensée : "C'est quand même un monde, tu avoueras. L'autre jour, dans cette même matière, Mademoiselle n'écoutait pas la prof, bayait aux corneilles et se permettait de rire quand on lui a donné deux heures de colle. Résultat : elle en récolté quatre. Et aujourd'hui, Christine ramène la meilleure note de la classe, la preuve évidente qu'elle devrait toujours jouer les premiers rôles. Ca, c'est ma fille. Elle se dit grande maintenant, mais dès que tu lui laisses la bride sur le coup, c'est le laissez aller."
Je sentais le sujet déraper, et j'ai tenté de couper court à la conversation : "Oui, Maman, mais tu vois, je me suis appliquée et j'ai eu un 18. Je te promets qu'il y aura d'autres bonnes notes. Je pense que j'ai bien réussi le contrôle de maths, d'ailleurs".
Maman n'en fut que renforcée dans son raisonnement. "J'espère bien, ma fille, que tu auras d'autres bonnes notes, et tu en seras récompensée, parce que je suis juste. Demain, tu pourras aller au cinéma avec Tata, à condition que tu aies fini tes devoirs bien sûr."
Je lui dis un grand merci. Tata embraya : "Tu vois, je t'avais dit que Christine saurait se rattraper".
Maman enfonça le clou : "Mais, grâce à quoi tout cela ? Grâce à la bonne fessée que j'ai donnée à Christine et qui l'a remise dans le droit chemin, si on peut dire. C'est ma "reprise en mains" à moi et ça marche.. Avec Christine, il n'y a pas de lézard. Si tu ne réagis pas quand ça va mal, rien ne change. C'est promesses et blabla pour rien. Là, tu vois, Mademoiselle se permet de rêvasser en cours, elle récolte quatre heures de colle, cela ne pouvait pas durer. Eh bien, il a fallu encore sévir. Ta chère nièce a pris une déculottée maison magistrale et la voici première de sa classe. C'est dommage en effet d'en être encore là à son âge, mais c'est bien la seule méthode efficace..."
J'étais presque au bord des larmes, moi qui venais en conquérante frimer avec ma super note. Maman avait coupé mes effets et mes souvenirs claquants refaisaient surface.
Tata semblait désolée, comprenant mon désarroi, et plaida encore ma cause : "Mais, je suis sûr que cela va aller. Elle grandit, elle comprend, bientôt ce sera un mauvais souvenir et tout ira mieux. Moi, je suis confiante. Christine va t'étonner. Avec plein de bonnes notes. Elle vient même de te dire qu'elle avait réussi son contrôle de maths. Tu vois, on peut lui faire confiance."
Maman fit une petite grimace : "Ah, je l'espère, parce que ce n'est pas drôle de devoir toujours être sur ses gardes. Je voudrais bien, mais ce n'est pas encore gagné, tu sais. Justement les maths, parlons-en. C'est bien pareil, non ? Rappelle-toi, juste avant les vacances, c'est bien en maths que Christine a ramené un beau zéro souligné en rouge. Tu sais bien, tu étais là, et en plus elle s'était montrée très impolie. Résultat : Mademoiselle s'était même retrouvée les fesses à l'air devant sa chère Tata. Bah, tu vois, premier contrôle en maths d'après les vacances, apparemment le résultat sera bon. Christine n'a pas voulu prendre le risque d'une fessée, la démonstration est claire, je trouve..."
J'en avais assez de cette discussion que mes soeurs buvaient comme du petit lait. J'ai protesté : "Mais, Maman, tu sais, j'avais bien préparé mon contrôle, je sais être sérieuse. C'est grâce à mon travail".
Maman conclut avec un petit air entendu : "Oui, ma fille, j'arrête de t'en parler. Aujourd'hui, tu dois être félicitée. Tu as bien travaillé et je suis fière de toi. Si tu as fait un effort, c'est parfait, et j'espère que tu continueras pour que je n'ai plus à te punir. Je sais que tu me comprends, Christine.C'est quand même drôlement mieux de venir m'apporter des bonnes notes, d'être félicitée par Tata, de montrer le bon exemple à tes soeurs, que de me ramener un zéro ou quatre heures de colle, non ?"
J'ai hoché la tête en acquesçant.
Elle a juste rajouté : "C'est un peu à toi de choisir ma fille. Ou les félicitations, ou... Ou tu sais bien ce qui se passe... Tu sais que Maman ne plaisante pas, et que quand elle a promis quelque chose, elle tient ses promesses... Et que quand tu mérites une bonne fessée, Maman te donne ta bonne fessée. Moi, franchement, je serais à ta place, je continuerais à bien travailler. Je compte sur toi, ma chérie, sinon gare à tes fesses..."
Comme de fait exprès, Maman était assise sur le canapé, là où elle m'avait empoignée devant Tata pour me déculotter. Là aussi, où il y a quelques jours, j'avais pris une nouvelle tannée que mes soeurettes avaient espionné en douce. Bref, quand Maman me disait : "Gare à tes fesses", ce n'était pas seulement mon imagination qui galopait et se remémorait mes précédentes déconvenues. Sûr que Tata me "revoyait" sur les genoux maternels les fesses rougissantes, et que mes soeurs se repassaient le film de leurs souvenirs plus récents.
J'avais ramené heureuse un 18 sur 20. J'avais certes gagné une soirée au cinéma, mais je me serais bien passée de cette interminable évocation d'un sujet ô combien brûlant pour mes pauvres fesses, blanches à ce moment, mais qui devaient presque en rougir de honte...         

A SUIVRE

10 commentaires:

  1. Ah ces parents qui ne savent jamais se satisfaire des bons moments présents et qui vous renvoient constamment à vos erreurs passées! Comme si une félicitation avait un je-ne-sais-quoi d'aveu de faiblesse qui pourrait ramener l'enfant à des tentations de fainéantise. Ca me mettait hors de moi ce genre d'attitude à la maison, j'ai même le souvenir de mon père faisant la moue devant un 17 en maths, jugeant que la petite erreur à la source des 3 points perdus était largement évitable et donc difficilement pardonnable. J'avais pris le téléphone et appeler mes grands-parents qui se montraient beaucoup moins avare de compliment à mon endroit! Merci beaucoup Christine pour ce beau récit. Juste une petite remarque en passant si vous le permettez, je ne crois pas qu'une prof de français emploierait le mot "heure de colle" sur un commentaire de copie mais plutôt celui de "retenue" non? Mais je pinaille.
    En attendant avec impatience la suite des aventures
    Cordialement
    Pierre S

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  2. Vous voyez que la fessée a du bon ?
    Marine

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  3. Ah, Marine, je croirais entendre Maman... Et c'est vraiment ce qu'elle pensait en la matière.

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  4. Je suis un peu comme Pierre... un peu injuste ici Madame votre mère ! (en même temps, comment évoquer sinon l'ombre toujours planante de la honte de la fessée ? C'est là votre talent !)
    J'ai cru un moment que vous auriez droit à une nouvelle fessée pour avoir céder à la tentation de contester un peu étourdiement le rappel, par votre mère, des événements récents alors que vous vous faisiez une joie de triompher avec votre 18. Votre maman aurait bien mérité sur ce coup d'être remise à sa place ! (bien que votre tante s'en soit un peu chargé, certes timidement) Mais à le faire trop ouvertement vous-même, vous y auriez peut-être surtout gagné une fessée ! Non ?

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  5. Bonjour Christine.

    Il y a bien longtemps que je vous avais raconté une mésaventure cuisante (vécue) me concernant.

    Je devais avoir environ 10 ans, ma mère 32 ans. Avec mon frère et deux cousines (un an et 4 ans de moins que moi), nous jouions dans la cour de la ferme, chez nos grands-parents. Je ne sais pas ce qui m'a pris, il y avait dans la cour un abreuvoir avec un bouchon dans le fond pour permettre l'évacuation de l'eau. L'abreuvoir était plein, je n'ai rien trouvé de mieux que de "trifouiller" le bouchon, si bien qu'il s'est enlevé, et l'eau s'écoulait abondamment. J'essayais de le remettre, mais je n'y arrivais pas. Ma cousine de 9 ans, Jasmine, gentille mais genre petite peste et très rapporteuse, alla immédiatement dans la maison raconter mon exploit. Maman, mamie et tata Jacqueline (mère de Jasmine ; moi aussi, j'ai une tata Jacqueline) sortirent et constatèrent mon exploit. Mamie se précipita sur le bouchon pour le remettre, mais beaucoup d'eau avait déjà coulé. Le regard noir de maman fut suffisamment explicite : "Ca m'aurait étonné que tu ne te fasses pas encore remarquer. Eh bien justement, je vais encore t'en donner l'occasion, tout le monde ici va te remarquer." Maman souleva mon manteau et mit la main à ma ceinture. Mamie, qui connaissait la sévérité de maman, tenta d'amadouer sa belle-fille : "Non, Yvonne (prénom de maman), ne fais pas ça, tu sais, ce n'est que de l'eau." Mais maman était comme toujours déterminée. En deux temps trois mouvements, elle dégraffa ma ceinture, ma braguette et les un ou deux autres boutons du pantalon, qui tomba à mes pieds. Elle me mit dans sa position "favorite" (courbé sous son bras gauche et soulevé par la taille, à l'horizontale). Elle releva mon manteau bien haut, puis baissa mon slip devant tout le monde, au milieu de la cour. Ca devait résonner dans la cour de la ferme, entre les claques sur mes fesses nues et mes cris et mes pleurs. La fessée maternelle fut longue et bien cuisante, comme toujours, surtout quand j'étais déculotté.

    Il y a une suite : je vous la raconte très bientôt.

    Amicalement.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  6. Suite de mon récit de ce jour, 2 e partie :

    Maman m'avait donc ordonné de rentrer dans la maison, j'ai été mis au coin, les mains sur la tête, pendant quelques minutes. Puis maman me dit : "Allez, Louis, tu peux retourner jouer dehors, mais fais bien attention : à la moindre bêtise, je te re-déculotte devant tes cousines, te voilà prévenu. C'est bien compris ?" Je m'inclinai par un "Oui maman" et retournai jouer avec mon frère et mes deux cousines. Et là, je découvris une situation que je ne connaissais pas avec mon frère. Ma cousine Jasmine, me voyant revenir, me regardait d'un air moqueur et ricanait bêtement, suivie inévitablement par sa petite soeur. Jasmine se mit à chanter : "On a vu ton c..., on a vu ton c..., on a vu ton c..." Je me mis à lui courir après, de colère, mais elle continuait à se moquer méchamment de son grand cousin.

    Que se passa-t-il à ce moment-là ? Vous le saurez très prochainement.

    Amicalement.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  7. Suite de mon récit, 3 e et dernière partie :

    Ma cousine ricanait donc bêtement après moi, tout en me chantant : "On a vu ton c..., on a vu ton c..., on a vu ton c...". Mais ses moqueries délirantes manquaient sans doute de discrétion, si bien que tata Jacqueline (la maman de Jasmine, donc) sortit de la maison et se précipita sur sa fille. "Ca ne va pas, non ! dit tata. Ton cousin a été puni, tu n'as pas à te moquer de lui. D'ailleurs, regarde bien, Louis, comme ça toi aussi tu pourras te moquer." Tata attrapa Jasmine par les cheveux, l'obligea à se pencher et lui coinça la tête entre ses cuisses (les cuisses de tata). C'est une position que je découvrais, maman ne nous mettait jamais en pareille posture. Le corps de Jasmine formait un angle droit : l'angle droit, bien sûr, c'étaient ses fesses. Tata retroussa bien haut la jupe de sa fille, je pus admirer toute sa petite culotte blanche. De sa main gauche, tata maintenait fermement les poignets de Jasmine qui essayait de se débattre. Elle mettait un pied sur ses fesses pour essayer de se protéger, mais une parole de tata : "Enlève ton pied, sinon je t'en colle le double !" incita Jasmine à ne plus opposer de résistance. La cuisante fessée commença, le bruit des claques, malgré la toute petite protection de la culotte, résonnait dans la cour de ferme. Ma cousine criait très fort, comme moi quelques minutes auparavant, mais ses cris et ses pleurs étaient étouffés, Jasmine ayant toujours la tête coincée entre les cuisses et dans la jupe de sa mère. La fessée enfin terminée, tata décoinça la tête de sa fille, et cette fois, le bruit des claques était remplacé par les pleurs de ma cousine, qu'on entendait cette fois distinctement. Tata envoya à son tour Jasmine à la maison pour "qu'elle se calme", disait-elle. Puis tata vint me consoler en me faisant un bisou, et me dit : "Tu vois, mon petit Louis, je pense que ta maman a eu raison de te donner une fessée tout-à-l'heure, tu la méritais, mais ta cousine n'avait pas à se moquer de toi. Vous voici maintenant à égalité !" A égalité, pas tant que ça, pensais-je ! Car ma vengeance par tata interposée aurait été totale si Jasmine avait elle aussi été déculottée. Je n'ai d'ailleurs jamais su par la suite si tata donnait souvent des fessées, et si elle déculottait parfois. Ce dont je suis sûr d'après ce que je venais de voir, c'est qu'elle tapait aussi fort et aussi longtemps que maman.

    Fin de cette cuisante histoire, où le cousin et la cousine furent (presque) mis dos-à-dos.

    Amicalement.
    Fesseusement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  8. Merci Louis pour ces confidences et cette double fessée à la mode cousin cousine. Jasmine a eu de la chance, mais c'était déjà une petite revanche...

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  9. Manon, c'est vrai que je trouvais injuste que Maman ramène le sujet de mes fessées au moment où je frimais avec mon 18 sur 20. Mais, d'une certaine manière, il est vrai aussi que cette bonne note devait un peu aux méthodes maternelles...

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  10. Chère Christine, vous avez raison... d'ailleurs je crois bien que je suis envers vous à la fois très partiale et très hypocrite : partiale parceque la bêtisière en moi que j'ai été a tendance à être solidaire. Hypocrite, parceque même en compatissant, j'aime vous lire, et il n'y aurait point de lecture sans fessée...

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