jeudi 24 octobre 2019

Chronique d'un redoublement : 150. Quand Maman tient ses promesses, ou la première fessée de Quatrième...

SUITE 149

Lorsque Tata est redescendue, elle a juste échangé quelques mots avec sa soeur, mais je n'ai pas pu les entendre. De toute manière, cela n'a pas duré et je me doutais bien que cela n'avait pas changé la détermination maternelle.
Mes soeurs n'avaient fait aucune difficulté pour se mettre en pyjama, et c'était même comme si elles étaient pressées...
D'ailleurs, Diane à peine prête, s'était placée en haut de l'escalier, en lançant en direction de Maman : "Ca y est, on est en pyjama, M'man. Même Christine, tu sais. Tu peux monter..."
Cela eut le don de m'agacer et je serais bien ressortie de ma chambre pour la faire taire... Mais, ce n'était pas le moment de nous bagarrer, ni de la faire crier, ce qui aurait aggravé mon cas... Toutefois, cela m'exaspérait au plus haut point, car je devinais bien que Diane, toujours curieuse et aux aguets, n'avait qu'une hâte, c'est que Maman vienne s'occuper de moi... 
Maman ne répondit pas à Diane et vaqua encore un petit quart d'heure à ses occupations. D'autres fois, j'aurais sûrement pris ce délai comme tu temps de gagné, et souhaité qu'il s'éternise. Cette fois, c'était plus mitigé dans ma tête. Non pas que je ne voulais pas retarder l'échéance, mais du fait que ma tête bouillonnait et mon angoisse montait, montait...
Je n'arrivais même pas à imaginer pouvoir échapper à la fessée annoncée... Il y avait eu ces phrases sans équivoque de Maman à la sortie de son entretien avec Mlle Simon, puis sur le chemin du retour, et encore les allusions à la boulangère, les explications claires de Maman à sa soeur, puis la réaction de mon avocate habituelle de Tata, navrée peut-être, mais persuadée cette fois que je n'y échapperais pas...
Et, là, dans ma chambre, en petite chemise de nuit et pyja-short, me sentant comme vulnérable, comme "prête" pour ainsi dire, je tremblais à moitié, en arrivant presque à avoir hâte que ça finisse...






J'attendais Maman dans ma chambre, la tête bouillonnante,
apeurée et fataliste à la fois, comprenant que, sans nul doute,
je n'échapperais pas à la fessée promise, la première de Quatrième !

Surtout que, en me remémorant les promesses maternelles, c'était depuis le jour où, sans surprise cette fois, mon passage en Quatrième avait été officiel, que Maman m'avait bien fait comprendre cela ne changerait pas ses méthodes, et que mieux vaudrait pour moi ne pas ramener d'heures de colles, de zéros et autres punitions ou remontrances professorales, ni bien sûr de mentir effrontément, car en Quatrième ou pas, ce serait encore la fessée assurée...
J'avais certes réussi à y échapper durant neuf semaines, mais cette fois Christine allait recevoir sa première "fessée de Quatrième" !
Et, j'avais beau me creuser la tête, je ne trouvais aucun argument qui aurait pu faire changer d'avis Maman. Bref, je devenais fataliste, frissonnant en pensant à mes fesses qui ne seraient bientôt plus blanches...
Maman monta enfin, et mon coeur se mit à battre très vite. Elle poussa ma porte, m'apercevant assise sur mon lit, l'air apeurée. Elle se contenta de dire : "Bon, tu es prête, Christine ? C'est bien. J'arrive, j'arrive..."

Cela voulait tout dire...




Maman vint d'abord voir si j'étais bien prête. Recroquevillée sur mon lit,
j'avais la mine défaite, le visage angoissé, rendue muette par l'émotion...
"J'arrive, Christine, j'arrive...", répéta-t-elle...  
Moi, comme mes soeurs, l'oreille aux aguets depuis leur chambre,
on traduisait : "Elle arrive, elle arrive, Christine, ta fessée arrive" !

Puis, elle alla voir mes soeurs, leur demandant de ranger leurs jouets et de se mettre au lit, ajoutant : "Et je ne veux rien entendre pendant que je m'occupe de votre grande soeur"!
"Non, on sera sages, nous, M'man..."
glissa Diane, mais Maman ne répondit pas, et se dirigea, cette fois pour de bon, vers ma chambre.
Elle y entra, en laissant la porte grande ouverte derrière elle. Je n'osai même pas lui faire remarquer, ne doutant pas qu'elle aurait prétexté pouvoir ainsi guetter si les petites ne faisaient pas de bêtises, alors que cela faisait aussi que mes soeurs allaient profiter de "la bande son" de ma fessée... C'était moins pire qu'une déculottée sous leurs yeux, mais c'était hélas l'assurance de moqueries futures, de Diane au moins. Voire d'autres moqueuses...

Je m'étais relevée et n'avais plus bougé, figée debout à quatre ou cinq pas de l'endroit, sur le côté de mon lit, où elle allait à coup sûr s'asseoir...
Et, c'est ce qu'elle fit d'un pas déterminé, s'asseyant à l'endroit de tant de mauvais souvenirs, comme me présentant ses genoux...

D'ailleurs, c'était tellement évident que c'est moi qui rompis le silence, en suppliant : "Non, Maman, non, pas la fessée, pas la fessée".
Maman esquissa comme un sourire, en hochant la tête... Elle respira profondément et répondit : "Allez, Christine, on ne va pas y passer la nuit... Tu sais très bien ce qui t'attends. Je t'ai assez prévenue et mise en garde... Tu n'y couperas pas cette fois... Allez ne fais pas l'idiote, viens donc ici..." dit-elle en tapotant ses genoux pour me montrer la direction à suivre...



Maman s'était assise sur mon lit, comme à "sa place", 
celle de tant de souvenirs claquants pour mon bas du dos...
Je n'osais pas m'approcher, venir vers Maman, 
avancer vers ma fessée...
 

"Oh, Maman, non, non, je suis grande maintenant", c'est tout ce qui me vint de suite à la bouche. Et qui me valut la réplique maternelle : "Ah si seulement, tu pouvais être grande en sagesse, en obéissance. Mais, tu continues à bavarder en classe, à faire le minimum, et en plus à mentir effrontément, à me cacher des choses, à me faire passer pour une mère qui élève mal ses enfants... Et, ça, tu le sais, Christine, ça, je ne l'accepterai jamais..."
Je tentai de m'expliquer, mais Maman me fit taire, m'ordonnant de venir sur ses genoux... En ajoutant : "Et, ne te plains pas, tu as bien de la chance de ne pas en avoir reçue depuis la rentrée. Il est grand temps de rattraper le retard..."
Je sentais qu'il fallait que je m'avance pour ne pas accroître sa colère, et je m'approchai, bloquant toutefois à un pas et demi d'elle, juste pour qu'elle ne puisse pas m'attraper encore. 
"Si je dois venir te chercher, ce sera pire encore, Christine", gronda-t-elle. Apeurée, je fis le dernier pas, et me laissai prendre par le bras et attirer, puis basculer en travers des genoux maternels. "C'est bien, ma fille", commenta Maman qui s'empressa de remonter la chemise de nuit pour dégager la cible, alors que, par réflexe, j'agrippai de ma main droite, pas encore bloquée derrière le dos, l'élastique de mon pyja-short, pour tenter d'empêcher que Maman me déculotte...
Maman tonna : "Lâche ta culotte, Christine, tu sais bien que je vais la baisser... Dis-toi que tu as aussi bien de la chance que je ne te déculotte pas devant tes soeurs... C'est ce que tu veux ?" Je compris qu'il valait mieux céder... Je répondis : "Non, non, Maman, non" et lâchai prise, permettant à Maman de baisser le dernier rempart de ma pudeur, faisant descendre, derrière comme devant, le pyja-short jusqu'à mi-cuisses...
Je frissonnai pendant que le sous-vêtement de coton glissait vers le bas, ressentant cette terrible sensation d'offrir mes fesses à l'air, n'attendant plus que les claques qui allaient rougir ma lune encore toute blanche et apeurée...



 
 Comme par un réflexe désespéré, j'avais tenté de retenir mon pyja-short,
mais Maman avait haussé le ton, me faisant bien comprendre
que cette fessée tant promise se donnerait forcément déculottée...
Je frissonnai en sentant mon ultime protection glisser vers le bas,
découvrant mes fesses nues, restées blanches depuis neuf semaines...

Je n'avais pas trop résisté et Maman le remarqua : "C'est bien, Christine, tu  as compris qu'il valait mieux ne pas résister à Maman..."Et d'ajouter : "Bon, passons aux choses sérieuses", tout en prenant le temps de me rééquilibrer en travers de ses genoux, et de commenter : "Quand je pense que cela fait bien deux mois que je n'ai pas claqué ces fesses... Tu croyais peut-être que mes promesses n'étaient pas sérieuses... Je vais te rappeler ce que c'est qu'une bonne fessée de Maman... Et, je te prie de croire que celle-là tu t'en souviendras, longtemps, ma fille, longtemps..."
Le monologue de Maman devant mes fesses nues et tremblantes ne faisait que m'angoisser davantage. Je me raidis un instant comme pour changer de position, mais Maman resserra son emprise. "Ah, ma fille s'impatiente. Je ne vais pas te faire languir plus longtemps, Christine. Depuis le temps que tu l'attends, la voilà ta fessée..."
Une très grosse claque atterrit sur ma fesse droite, me faisant crier, autant de douleur que de surprise. Puis la même sur la fesse gauche, Maman attendant quelques secondes pour voir ma lune rougir de la double empreinte de sa main sur ma peau. Je sentis comme un double picotement, mes premières impressions rougissantes de cette fessée tant redoutée... Je sentais que mon épiderme postérieur rougissait au milieu de chaque fesse, et que le reste de mes joues du bas frissonnait dans l'air frais de ma chambre, comme offert, comme attendant la tannée promise...




Les deux premières claques avaient marqué le centre de chaque fesse...
Maman avait attendu un moment avant de poursuivre, 
le temps de me sermonner encore, et d'annoncer que la fessée serait mémorable...
Je sentais la détermination maternelle, comme si elle voulait jauger 
la tâche à accomplir pour rendre pleinement mes fesses écarlates... 
L'orage allait s'abattre sur ma lune offerte à la colère maternelle...

Puis, Maman entreprit de me réchauffer le bas du dos, avec l'application maximale d'une mère déterminée, tenant à donner une fessée vraiment exemplaire...
Je suppliais sans forcer la voix, bien conscient que mes soeurs écoutaient depuis leur chambre... Maman, elle, se mit à alterner des séries de claques qui mettaient mon bas du dos en ébullition, marquant des pauses fréquentes, avant de repartir de plus belle. Comme pour reposer son bras, tout en faisant passer à nouveau ses messages : "Ah, tu l'as bien cherchée, ma fille, cette fessée. Tiens, tiens et tiens !"
Ou : "Et ne t'avise plus de mentir, si tu ne veux pas te retrouver sur mes genoux les fesses à l'air."
Ou : "Si tu ne sais pas tenir tes promesses, tu vois, tu le sens, Maman, elle, elle les tient... Et si c'est ta première fessée de l'année, crois-moi, ce ne sera pas la dernière, si tu continues comme ça !"
Maman me fessait de façon méthodique, comme si elle faisait une course de fond, le contraire d'un sprint, alternant les claques et les pauses où elle réitérait ses menaces, ses promesses, pour que la leçon entre à la fois par mes fesses et par mes oreilles... A l'évidence, Maman s'appliquait à rougir chaque centimètre carré de mon bas du dos, comme si elle se devait de donner une fessée d'anthologie, une tannée exemplaire...
Alors que j'avais tenté de minimiser, d'étouffer mes réactions, à mesure que mes fesses devenaient écarlates, et que la douleur amplifiait, je me lâchai et pleurai, criai même, suppliant Maman, même si je me doutais qu'Aline et Diane devaient ne pas en perdre une bribe.


La fessée était méthodique, comme si Maman s'appliquait, 
voulait vraiment que je m'en souvienne... J'avais un moment tenté 
de retenir mes pleurs, mes cris, pour ne pas que mes soeurs entendent
leur aînée piailler comme une gamine... 
Mais, la douleur devenant trop forte sur ma lune écarlate,
je me mis à crier, à supplier, en vain, 
ne faisant que repartir de plus belle la claquée maternelle...

Par trois fois, je crus que c'était fini, mais Maman repartit de plus belle après une courte pause. L'avant-dernière, je profitai de cette pause pour rouler et descendre, me retrouvant à genoux par terre, tentant de saisir mon pyja-short, et le remontant à mi-fesses.
Maman se mit à crier à son tour : "Oh, Christine, c'est quoi cette rébellion ? C'est moi qui décide quand c'est fini", et de me remonter sur ses cuisses, non sans rabaisser mon pyja-short. "Je vais t'apprendre, moi", ajouta-t-elle, prenant comme le temps de jauger la rougeur de mes fesses, avant de me déverser à grande vitesse une trentaine de claques encore plus fortes que les autres qui me firent crier.
La main maternelle s'arrêta à nouveau, je n'osai même plus tenter de bouger cette fois. J'étais comme épuisée, vaincue, sans plus aucune force. 

Maman en profita pour me donner encore deux douzaines de claques, plus espacées, plus précises, comme pour parachever son oeuvre... Tout en commentant son action, en m'en rappelant la raison et en menaçant de recommencer dès que je le mériterai...
J'étais vannée quand enfin Maman me relâcha, je restai de longs instants à genoux à me frotter les fesses, avant de me relever et plonger sur mon lit, sanglotant encore et encore...



Après une fausse fin, qui m'avait vue tenter de m'échapper,
et de me reculotter, Maman m'avait remise en position et déculottée
une dernière fois pour un final brûlant sur mes fesses écarlates...
Puis Maman m'avait enfin relâchée, sortant de ma chambre,
en refermant la porte derrière elle...
Je plongeai sur mon lit, tentant d'apaiser ma douleur en posant
ma main fraîche sur mon bas du dos incandescent...
A SUIVRE


40 commentaires:

  1. Merci Christine, pour ce nouvel épisode décrivant à merveille, ce qu’est une tannée maternelle avec force détails et au difficile que celles du premier après-midi, de congés d’été, pour la falsification ! Je n’aurais qu’un mot pour l’instant : Sublime. Je sais que cela va déplaire à Christinette, mais bon je ne peux y résister.

    Juste deux remarques dans votre, sans valeur de critique : Dans la première phrase, il y a un « n » en trop entre « pas pu les entendre » et cette suite, vient après la 149 et non 151. Que voulez-vous, c’est l’œil de l’ex-militaire ou celui de Maman SPAAK, pour le faux paraphe ! Je rigole !!!

    Amicalement
    Dominique

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  2. J’ai oublié une chose anecdotique Christine, j’espère qu’il ne nous faudra pas attendre presque un mois, pour l’épisode suivant, même s’il est de transition ! Car j’ai dans l’idée, ce qui ne va pas plaire à Christinette, que si c’est première fessée de 4°, ce ne sera sans doute pas la dernière. Christinou va me maudire !!

    Amicalement
    Dominique

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  3. Merci pour ces deux remarques, judicieuses en effet. Je viens de les corriger.
    Sinon, j'espère pour Christinette que vos pronostics, Dominique, ne seront pas trop vite devenus réalités...

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  4. De rien, ma chère conteuse, je viens de m’apercevoir que comme vous le clavier a ripé, mettant « au » au lieu de « aussi » et je vous prie de bien vouloir m’en excuser, car contrairement à ce que beaucoup de gens pense, on ne s’excuse pas sois même d’une faute, c’est à ceux qui la reçoive de le faire (petit clin d’œil taquin) à la forte en français.

    Donc mes petites remarques, n’étaient que symboliques quant à la tenue de votre blog que j’adore. Constitué d’un background (je suis nul en anglais, ne faisant que recopier), comme dirait Mardohl, captivant en dehors des déboires d’une Christinette, qui aussi brillante qu’elle pouvait être, demeurait une pré-ado parfois très gamine. Mais au charme indéniable.

    Ceci dit je ne fais aucuns pronostics (ça c’est le loto sportif) pour la Christinette de 4° ! Je me dis simplement que la connaissant au travers de son avatar, il n’est pas impossible qu’elle retrouve les genoux maternels, au cours de cette année ! Oh bien moins fréquemment, c’est sûr ! Et je préférerais que de cent fois, ce soit la moqueuse Diane qui lui succède ! Aline ayant plus de difficultés dans l’apprentissage et un peu nonchalante, mais plus encline à la compassion envers son aînée, que la petite dernière très chipie profitant de son statut. Je sais de quoi, je parle, étant le dernier d’une fratrie plurielle.

    Amicalement
    Dominique

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  5. J’ai omis dans mon précédent commentaire, une précision Christine ! La réalité des choses, vous seule pourrez nous la confirmer par vos écrits ! Même si le commentateur archiviste (ainsi que Mardohl) imagine que l’élève de 4° (13 ans, en principe) aura encore à faire à Maman !
    Pour l’anecdote, j’ai reçu ma dernière fessée à l’âge de 15 ans, alors que j’étais à l’école des mousses.

    Amicalement
    Dominique

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  6. Bonjour Christine.
    C'est une Christinette complètement résolue que Maman Spaak a étalé sur ses genoux. Ce qui m'a chagrinée un peu, c'est qu'elle n'a même pas tenté de se disculper et pourtant, elle avait des arguments qui auraient peut-être pu atténuer la colère de Madame Spaak qui cette fois n'a pas hésité dans l'efficacité de la fessée. Une déculottée qui, selon votre récit, fut longue avec de très fortes claques qui obligeaient notre Christinou à crier, ne pouvant résister à la douleur provoquée par cette correction que je trouve un peu disproportionnée par rapport aux faits reprochés à la fautive.
    Une porte de chambre restée grande ouverte, une déculottée longue, avec des claques sur les fesses d'une force incroyable, une petite demoiselle de 13 ans ne pouvant retenir ses larmes, ses cris, ses hurlements et même sa tentative de rébellion ne pouvaient échapper aux oreilles aguerries des sœurettes et notamment la pipelette Diane qui trouve là du sucre à moudre. Je pense que cette première fessée arrivera très vite aux oreilles Babette et Brigitte qui ne manqueront pas de harceler la pauvre Christine qui pourrait très vite retomber, comme les années précédentes, dans ses travers. Je rejoins là Dominique, Chrstinette étant très émotive, les moqueries, taquineries ont un effet très dévastateur sur sa vie scolaire. Maman Spaak devrait s'en inquiéter.
    Voilà Christine mon premier commentaire sur cette tonitruante déculottée un peu disproportionnée avec la réalité des faits reprochés à Christinette n'en déplaise à Dominique. Peut-être que Mardohl est du même avis que moi, nous verrons bien, mais je me dis une telle correction pour n'avoir pas divulgué une punition pour bavardage en cours...

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  7. Voilà Sylvie qui prend fait et cause pour Christinette. Cela lui va droit au coeur, mais nul doute que la motivation maternelle ne se résume pas à punir son ainée pour ne pas l'avoir avertie d'une punition en anglais. Ce n'est là que la goutte qui fait déborder le vase, qui se rajoute à du bavardage en classe, à des mensonges répétés, et j'en passe... Sans compter la sensation de passer pour une mère laxiste et dépassée dans l'esprit de la jeune prof... Il y va de l'image même de Maman Spaak, qui se dit qu'elle a été bien bête de ne pas sévir plus tôt, et qui tient donc à flanquer à sa fille une tannée mémorable... Comme pour rattraper le temps perdu.

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  8. Avant de vous adresser mon analyse sur cette tannée d’anthologie, je souhaite vous poser une question. Il me semble que pour cette correction, la douleur comme celle ressentie lors de la triple fessée pour la falsification de signature, surpasse votre sentiment de pudeur pourtant prégnante, alors que vos frangines aux aguets profitent amplement de la bande son ! Est-ce que me trompe ?

    Amicalement
    Dominique

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  9. Chère Christine, je vous rejoins tout à fait dans la réponse adressée à Sylvie, qui compatis à votre sort, tout comme moi. Et comme vous le souligner fort justement, la justification maternelle de punir sa fille, ne se limite pas au bavardage et la cachotterie pour la punition professorale. A cela s’ajoute les mensonges et le fait plus grave que Maman Spaak se retrouve comme une idiote, face à la jeune Prof, lors de l’entrevu, la faisant passer pour une mère laxiste. Et je pense que c’est ça qui pousse Maman Spaak à vous coller une volée d’anthologie. Sans compter le fait, qu’elle n’a pas eu ces fesses sous la main, depuis un peu plus de deux mois.

    Amicalement
    Dominique

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  10. Pour répondre à la question posée dans l'avant-dernier message de Dominique, oui, effectivement, si au début de la fessée, je tente de minimiser mes réactions, que je cherche à étouffer mes cris, à supplier à voix basse, pour que mes soeurs, forcément aux aguets, en entendent le moins possible, cette attitude prend fin à mesure que la tannée s'intensifie, que mes fesses rougissent et que chaque claque devient de plus en plus douloureuse...
    Alors, je ne pense plus aux oreilles de mes soeurs, mais me lâche, suppliant, criant, promettant monts et merveilles, sans que cela ne change la détermination maternelle, décidée à me flanquer une fessée dont je me souviendrai longtemps... La preuve...

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  11. Merci Christine, pour votre réponse, même si je me doutais de son contenu que je partage ! Quant au fait qu’une bonne tannée procure une douleur si intense, qu’on fini par en oublier l’environnement et sa pudeur ! Ayant moi-même vécu ce genre de situation, ainsi que mes sœurs ou cousines, Maman et Tata ne s’occupant pas d’un public élargi, pour nous filer une rouste si elle était méritée.

    Amicalement
    Dominique

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  12. Je compatis, Dominique. Il est vrai que sur ce genre de sujets, nul ne peut vraiment comprendre s'il n'a pas vécu une situation similaire, ou du moins assez proche...

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  13. Bonjour Christine.
    C'est vrai que cette fessée était peut-être méritée, mais cela valait-il une telle correction ? En effet, telle que vous la décrivez, Maman Spaak y a mis toute son énergie. Une telle intensité était-elle nécessaire pour la faute commise, d'autant plus que notre Christinette n'a pas déméritéee durant ce premier mois de classe. En effet, sans être exceptionnelles, les notes restent convenables à l'exception du 4/20 obtenu en histoire, mais l'on connaît l'origine de cette mauvaise note pour laquelle Maman Spaak a sa part de responsabilité pour n'avoir pas remarqué que sa fille se trompait de matière à réviser, elle qui a l'habitude de contrôler les devoirs et leçons de ses rejetons.
    Le carnet de correspondance, lui, contrairement aux années précédentes est resté vierge de toutes remarques concernant la discipline et notes etc. et si Mle Simon n'a pas exigée de signatures des 100 lignes, c'est peut être que la faute commise n'en valait pas la peine.
    J'imagine, comme je l'ai déjà évoqué dans un précédent commentaire, bien mal notre petite demoiselle divulguer à sa mère qu'elle a été punie par la prof de 100 lignes à recopier pour bavardage, d'ailleurs je pense que personne n'aurait le courage de le faire.
    Déculottée méritée oui, certainement, mais l'intensité et l'application mise par Madame Spaak me paraît exagérée car, elle m'a paru, telle que vous la décrivez plus longue et plus douloureuse que les trois reçues pour une faute bien plus grave (falsification de signature), de plus elle est donnée cette fois-ci, en présence des sœurettes et notamment Diane qui trouve là une belle opportunité pour divulguer à sa copine Charlene la correction reçue par son aînée. Je n'ai aucun mal, malheureusement à imaginer le calvaires que va endurer la pauvre Christinou durant les jours, voir les semaines qui suivent suite à cette déculottée cataclysmique qu'elle a subit pour avoir caché à sa Maman cette punition.
    Voilà Christine pour répondre un peu à mon précédent commentaire qui prend fait et cause pour Christinette.

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  14. Merci pour la compassion et vous rejoint sur l’absence de compréhension pour ceux qui n’ont pas vécu cela, comme il est impassable que l’on aille crier sur les toits recevoir encore des fessées à 13 ans ou plus, qu’on soit fille ou garçon.

    Amicalement
    Dominique

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  15. Ah Sylvie, Sylvie, merci pour toute cette compassion envers Christinette. Cela part d'un bon sentiment, et je veux bien admettre que le seul motif d'avoir caché à Maman les 100 lignes à faire ne justifiait pas une tannée d'anthologie.
    Mais, je tiens à vous rassurer, je n'ai pas été martyrisée pour autant, et cette fessée là n'était nullement pire que les trois de l'épisode de l'imitation de la signature maternelle.
    Je viens de relire mon récit, et je crois que vous prenez un peu trop au pied de la lettre la sévérité maternelle.
    Sans vouloir défendre Maman, il faut bien comprendre que mes réactions et ressentis sont accrus du fait que j'ai échappé à la fessée depuis deux bons mois et donc que je n'en ai que plus peur, et que j'ai donc tendance à réagir davantage que si j'en avais pris régulièrement depuis la rentrée.
    Ce qui est surtout marquant, c'est que Maman "s'applique" vraiment, tient à donner une fessée exemplaire, mémorable.
    Mais, si je me mets à supplier, à ne plus étouffer mes réactions, quitte à ce que mes soeurs entendent tout, c'est que la claquée maternelle fait son effet bien sûr. Toutefois, je ne hurle pas, ni ne subis de supplice, cela demeure du domaine de la fessée manuelle appliquée par une mère persuadée que c'est la meilleure méthode, et qui sincèrement pense que c'est "pour le bien" de sa fille.
    Evidemment, vu de ma position étalée sur ses genoux et les fesses écarlates, je vois ça autrement...

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  16. Bonjour Christine,
    Je m’apprêtais à répondre au commentaire de Sylvie (avec votre permission), mais vous m’avez devancez, car celle-ci en solidarité féminine ne retient que le la fait des 100 lignes cachées, sans tenir compte des mensonges et le fait plus grave, que Maman Spaak se retrouve comme une idiote face à Melle Simon.

    Pour corroborer votre réponse, je suis certain que votre mère ne vous a pas martyrisé et comme je l’ai dit précédemment, je pense simplement que cette fessée a été aussi intense, que les trois de la fin du redoublement, pour la jeune faussaire.

    Certes Maman Spaak, a fait preuve d’une sévérité (justifiée), l’appliquant avec méthode pour son aînée qui n’est plus une petite fille, comme ses sœurettes, afin qu’elle s’en souvienne et tout comme vous, Christine, je la défends, celle-ci n’ayant fait qu’appliquer la seule méthode qui fonctionne avec ses donzelles (pardonnez-moi l’expression, un peu triviale, du mâle que je suis). Même si la grande demoiselle ne le voit pas de cet œil, étant fesses à l’air, sur les genoux de Maman.

    Amicalement
    Dominique

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  17. Oh, j'ai oublié votre entrée en matière, vis à vis de Sylvie, identique à celle de Maman Spaak. "Ah, Sylvie, Sylvie" comme Maman " Ah, Christine, Christine". Le parallèle est facile, je l'admets et vous prie de bien vouloir m'en excuser, chère Christine (Minot taquin).

    Amicalement
    Dominique

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  18. Voilà Maman Spaak défendue par Dominique qui ne manque pas d'arguments, après que Sylvie ait pris, de son côté, le parti de plaindre Christinette, en trouvant qu'elle ne méritait pas une telle fessée, disproportionnée à son goût en rapport avec le seul motif de n'avoir pas avoué sa punition des 100 lignes.
    Il est vrai que cela dépend de la manière dont on se place, et cela se discute donc, ce dont je ne me plaindrai pas, puisque cela fait vivre la rubrique des commentaires...
    Cela dit, même si cela peut paraître étonnant que je défende un peu ma chère mère, c'est que je ne veux surtout pas que l'on croit que j'étais victime de maltraitance. Maman n'avait aucune haine vis à vis de ses enfants, et croyait bien faire, et oeuvrer pour le bien de ses filles.

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  19. Chère Christine, il est tout à votre honneur de défendre votre Maman chérie et pas qu’un PEU, celle-ci ayant réussi seule (mise à part Tata et Mamie) de conduire ses filles (je le suppose pour Aline et Diane) à la réussite de celles-ci. Et j’aurais parfaitement honte de vous imaginer comme une victime de maltraitance ! Comme malheureusement j’en ai vu durant ma carrière militaire ! Certes vos f….. et celles de vos sœurs ont été servies par une mère de devoir, digne de cette appellation ! Mais vous êtes toutes présentent à ce jour, du moins je le présume ?

    Amicalement
    Dominique

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  20. Après neuf semaines de répit, cette première fessée de Quatrième se révèle en effet mémorable, marquante, exemplaire, tout en s’inscrivant dans une indéniable continuité, puisqu’elle comporte nombre de péripéties qui la rapprochent de celles que vous avez reçues précédemment. Autant de « mauvais souvenirs » qui pour votre malheur reprennent une réalité pour le moins palpable.
    Ainsi, chronologiquement : l’impatience émoustillée de Diane, qui, sachant ce qui vous attend, ne masque pas sa jubilation ni ne se prive de fayoter ; l’expectative anxieuse de l’inéluctable dans votre chambre, ruminant votre infortune dans une tenue légère qui vous fragilise ; l’angoisse grandissant en entendant monter votre mère, qui confirme ce qui vous attend par un euphémique « J’arrive » que vous comme vos sœurs interprétez parfaitement ; la porte de votre chambre laissée ouverte, qui laissera sourdre la version auditive de l’opération (que Diane ne se fera pas faute de rapporter à d’autres oreilles avides) ; vos supplications vaines et éculées, promptement balayées ; votre approche la mort dans l’âme des genoux maternels ; la main avec laquelle, en un dérisoire geste défense, vous agrippez votre dernier rempart pour empêcher que votre mère ne vous le baisse ; la menace, récurrente et imparable, de vous fesser devant vos sœurs, ce que vous craignez plus que tout, et devant laquelle vous lâchez prise, vous permettant à votre mère de vous déculotter, selon son habitude, « derrière comme devant », enfin ce terrible sentiment de vous retrouver les fesses totalement dénudées et prêtes à rougir sous la main maternelle.
    Un ultime sermon, et voilà la fessée qui commence, inaugurée par une forte claque au centre de chacune de vos fesses, une pause pour jauger de l’effet, puis la tannée proprement dite, rigoureuse, méthodique, appliquée (vous la comparez de par sa longueur à une « course de fond »), constituée de séquences au cours desquelles votre mère veille à rougir chaque centimètre carré de vos fesses, alternant elles-mêmes avec des pauses que votre mère met à profit pour vous tancer encore. Comme vous le soulignez vous-même, il s’agit de faire passer la leçon autant par vos fesses que par vos oreilles. (Cependant, moins que dans d’autres récits, vous ne mentionnez cette autre alternance entre des séries de claques rapides, comme « en rafale », et d’autres plus espacées, plus fortes, plus ajustées.)
    De votre côté, comme à votre habitude, vous tâchez d’abord de retenir vos cris et vos pleurs, mais bientôt la douleur l’emporte sur la fierté, et vous vous épanchez sans pudeur en piaillements puérils et futiles supplications, sans plus vous soucier de ce que peuvent en entendre vos sœurs. Enfin, le final qui vous laisse anéantie sur votre lit, sanglotant et les fesses écarlates, sur lesquelles vous n’avez même plus la volonté de remontrer votre bas de pyjama.

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  21. Cependant, cette fessée – comme chacune de celles que vous nous narrez – se distingue également des autres, par quelques inédits dont vous la saupoudrez.
    Ainsi, l’un de vos arguments pour y échapper (évidemment bien en vain) ne me paraît pas connaître d’antécédent : « je suis grande maintenant ». Autrement dit : « Je suis en Quatrième, j’ai 13 ans, je suis trop grande pour recevoir encore la fessée comme une gamine. » plaidoirie qui met en évidence le caractère pour vous extrêmement infantilisant de ce châtiment (et la honte que vous ressentirez si vos camarades en seront instruites). Ce à quoi votre mère vous répond que la maturité physique que vous alléguez n’implique pas, du moins dans votre cas, de maturité comportementale.
    De même pour votre tentative de fuite, qui me semble également sans précédent, et qui révèle peut-être aussi le caractère – à vos yeux – inacceptable de la fessée. Mettant à profit l’une des pauses, vous descendez de votre propre initiative des genoux maternels et tentez de remonter vote pyja-short. Mais votre mère a tôt fait de vous remettre en tenue et en position, et sanctionne votre velléité d’insoumission par des claques « encore plus fortes », et plus douloureuses sans doute que si vous étiez sagement restée en place.
    Et plus que jamais, vous réalisez que, pas plus que l’année précédente, votre mère n’épargnera vos fesses en cas de besoin. Votre passage en Quatrième et l’abandon de votre statut de redoublante, ne préserveront pas pour autant votre bas du dos.

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  22. Merci Mardohl de ce double commentaire de qualité, comme toujours. J'y reviendrai. En attendant, je retiens cette expression : "Votre mère n’épargnera vos fesses en cas de besoin..."
    Cela est bien caractéristique de la pensée maternelle, comme si mes fesses avaient eu, à certains moments, voire régulièrement "besoin" d'être réchauffées, exposées sur les genoux maternels, et claquées longuement tout en me sermonnant, comme si c'était la manière la plus efficace de faire retenir une leçon...

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  23. Je viens de lire ce double commentaire de mon compère Mardohl, que je trouve d'une rare qualité, comme à son habitude! Et tout comme vous, je retiens son expression qui symbolise la détermination maternelle, à conduire ses filles sur les rails de la vie et en particulier, son aînée censée montrer l'exemple.
    Si vous me le permettez, je souhaiterais répondre à mon compère, sur quelques détails, l'archiviste en "chef" nommer par vous-même, étant du genre pointilleux.

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  24. Alors, Dominique, ces détails auxquels vous souhaitiez répondre à Mardohl ? Je les attends impatiemment cher architecte en chef...

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  25. L'archiviste en chef, attendait votre feu vert, chère conteuse! Ne voulant le faire sans votre accord. Je sais vous aller que je suis vieux machin, pour ne dire autre chose, à cheval sur le savoir-vivre et le respect.

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  26. Hello Dominique, rien de neuf ? J'espère lire bientôt vos réponses à Mardohl et autres précisions sur des "détails" notés par l'archiviste en chef... Merci d'avance !

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  27. J'y travaille comme Christine sur ses récits et j'avoue avoir pris le même penchant qu'elle, en faisant patienter la conteuse! Je sais vous aller ronchonner du style "Grrrr...., il affreux ce vieux machin à me faire mariner, comme le faisait Maman pour mes fessées" et cela m'amuse beaucoup!

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  28. Bonjour Christine. Je suis comme vous, j'attends avec impatience. Dominique, vous êtes à l'amende... Attention, car nous pourrions très vite le rapporter à votre maman.
    Trêve de plaisanterie, j'ai lu avec une attention toute particulière l'analyse de Mardohl, toujours très précise et très bien écrite et je suis en entière harmonie avec ses propos.
    En effet, notre petite Christinette à de quoi s'inquiéter pour la suite et Maman Spaak devra prévenir notamment Diane des fuites éventuelles qui pourraient y avoir et qui arriveraient à ses oreilles de cette redoutable fessée reçue par notre petite demoiselle.
    Par ailleurs, il est vrai que j'ai été un peu surprise par l'intensité de cette correction donnée en présence de témoins plus ou moins bavards (Diane), d'autant plus que Mme Spaak, ayant eu connaissance des ragots qui pourraient s'en suivre avait pris la décision de corriger son aînée en l'absence de tout témoin (Cinq déculottées que maman Spaak a caché à ses deux autres filles)
    Cette fois-ci, probablement très vexée par la discussion qu'elle a eue avec la prof d'anglais, Mme Spaak a décidé d'administrer une raclée magistrale à son aînée sans s'inquiéter des conséquences néfastes qui pourraient s'en suivre pour sa fille. Bien entendu, il n'y a l'intention de martyriser qui que ce soit, mais plutôt d'essayer de remettre son aînée dans le droit chemin, surtout qu'elle avait promis à sa mère, lors des déculottées reçues à l'occasion de la découverte de la fausse signature de ne plus bavarder, d'avoir de bons résultats etc. Certes, c'est à moitié réussi, car au cours de ce premier mois, il n'y a eu aucune heure de colle, des notes assez bonnes, mais il semblerait qu'au niveau des bavardages ce ne soit pas encore le top, d'où cette énergique fessée (qui me semble toujours un peu dure, compte tenu des progrès effectués par notre petite demoiselle au cours de ce premier mois d'école) qui doit la remettre sur le droit chemin. Mais la présence des sœurettes pourrait bien changer la donne si Maman Spaak ne veille pas au grain.
    Voilà Christine mon dernier commentaire sur cet épisode.

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  29. Bonsoir Mesdames, Christine et Sylvie,
    Pour répondre à Sylvie, l'amende avec Maman se soldait par une bonne déculottée pour le Minot! Paix à son âme, elle n'est plus de ce monde! Et sa main ne rebondis plus sur mes fesses nues!
    Néanmoins pour vous contenter, je vais tâcher de finaliser mon commentaire à l'adresse de Mardohl et y associer le mien pour cet épisode.

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  30. Alors, Dominique, on est atteint du syndrome de Christinette ?
    Rien à lire à l'horizon... Dommage...

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  31. Merci Mardohl pour ces merveilleux commentaires et je reconnais bien là, mon ancien compère de joute, juste une remarque le « je suis grande » il me semble que Christine l’a déjà utilisé! Dans un récit, lors d’un échange avec Tata Jacqueline et même face à Maman, je n’ai pas tous les épisodes en tête, mais ça dit quelque chose! Ceci bien sûr, en toutes amitiés, Mardohl.

    Analyse :
    Après la redescente de Tata, Christine se renferme dans sa bulle, agacée d’entendre ces frangines, surtout Diane, pressées que Maman monte s’occuper de la grande sœur, Christinette irait volontiers la griffer, sauf que cela ne ferait qu’aggraver son cas, le petite ne se retenant pas de crier que Christine l’agresse!

    Comme à son habitude, Maman termine ses tâches pour avoir l’esprit afin d’accomplir celle qui l’attend, pour sa grande fille!
    D’ordinaire Christine aurait apprécié ce gain de temps, mais là dans sa tête en ébullition, c’est différent et cela fait monter son angoisse! Elle a bien compris, que son destin est tracé avec tous ces échanges (Melle Simon, la boulangère et même Tata, son avocate attitré) et qu’il passera, sauf tremblement de terre, par les genoux de Maman!
    Christinette se souvenant des promesses maternelles formulées, lors du premier après-midi de vacances, lui valant non pas une, mais trois tournées pour l’histoire de la fausse signature! Même si après la demoiselle avait eu droit à un répit d’une douzaine de jours (épisode 130), puis plus rien jusqu’à l’étourderie de fin de vacances (épisode 138).

    Là, neuf semaines se sont écoulées sans incident majeur, sauf quelques alertes plus ou moins inquiétantes, mais Christine est passée au travers des gouttes, durant tout ce temps! Et pour Maman, c’est un signe qui ne trompe pas, sa grande fille a besoin d’être reprise en mains!

    Montant à l’étage, celle-ci confirme ses intentions "Bon, tu es prête, Christine ? C'est bien. J'arrive, j'arrive..."
    Puis après s’être occupée des sœurettes, en leur lançant "Et je ne veux rien entendre pendant que je m'occupe de votre grande soeur"! sans répondre à Diane sur l’affirmation de sagesse! Elle se dirige vers la chambre de Christine, y pénètre et laisse volontairement la porte grande ouverte!
    Celle-ci n’ose pas protester, mais si elle sait qu’elles vont ainsi profiter de ‘la bande son’ et permettre à Diane de diffuser des nouvelles fraîches, à des moqueuses patentées!

    A suivre…

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  32. Suite 1

    Comme à son habitude, Christine, s’éloigne du lieu d’exécution où Maman s’installe et la demoiselle apeurée se lâche "Non, Maman, non, pas la fessée, pas la fessée" faisant sourire Maman qui respire fort et lance "Allez, Christine, on ne va pas y passer la nuit... Tu sais très bien ce qui t'attends. Je t'ai assez prévenue et mise en garde... Tu n'y couperas pas cette fois... Allez ne fais pas l'idiote, viens donc ici..." invitant Christinette à venir s’allonger sur ses genoux!

    Là, entre une Christinette affolée et une Maman déterminée s’instaure un dialogue à sens unique, la gagnante ne pouvant être que Maman!

    CHRISTINE : "Oh, Maman, non, non, je suis grande maintenant"

    MAMAN : "Ah si seulement, tu pouvais être grande en sagesse, en obéissance. Mais, tu continues à bavarder en classe, à faire le minimum, et en plus à mentir effrontément, à me cacher des choses, à me faire passer pour une mère qui élève mal ses enfants... Et, ça, tu le sais, Christine, ça, je ne l'accepterai jamais..."

    Christinette tente de s’expliquer, Maman lui clou le bec!

    MAMAN : "Et, ne te plains pas, tu as bien de la chance de ne pas en avoir reçue depuis la rentrée. Il est grand temps de rattraper le retard..."

    Là, la messe est dite pour Christine, s’approchant timidement elle stoppe sa progression à deux pas, pour éviter l’empoignade, déclenchant une réaction maternelle "Si je dois venir te chercher, ce sera pire encore, Christine" glaçant la demoiselle qui la mort dans l’âme fait le dernier pas et se laisse, tremblante de peur, basculer sur les cuisses maternelles!
    Recevant les félicitations de Maman qui retrousse aussitôt la chemise de nuit, qui déclenche une réaction naturelle chez Christine accrochant l’élastique de son pyja-short, sachant que Maman va forcément le baisser!

    D’ailleurs Maman le confirme en menaçant Christinette d’un tout autre déroulement, si elle le souhaite "Lâche ta culotte, Christine, tu sais bien que je vais la baisser... Dis-toi que tu as aussi bien de la chance que je ne te déculotte pas devant tes soeurs... C'est ce que tu veux ?" ce que la demoiselle refuse, à grands cris, mais abandonne la joute, sachant qu’elle ne gagnera pas! Et sent alors ce dernier rempart dévoiler inexorablement ses gracieuses rondeurs, qui n’ont plus qu’à attendre les douloureuses claquées.

    Avant de s’atteler à la tâche, Maman se lance dans un monologue angoissant et teinté d’ironie pour Christine! "C'est bien, Christine, tu as compris qu'il valait mieux ne pas résister à Maman..."Et d'ajouter : "Bon, passons aux choses sérieuses ! Quand je pense que cela fait bien deux mois que je n'ai pas claqué ces fesses... Tu croyais peut-être que mes promesses n'étaient pas sérieuses... Je vais te rappeler ce que c'est qu'une bonne fessée de Maman... Et, je te prie de croire que celle-là tu t'en souviendras, longtemps, ma fille, longtemps..." concluant à la suite ruade de Christinette "Ah, ma fille s'impatiente. Je ne vais pas te faire languir plus longtemps, Christine. Depuis le temps que tu l'attends, la voilà ta fessée..."

    A suivre…..

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  33. Merci Dominique. Vous êtes pardonné, nous n'avons pas attendu en vain. J'apprécie ce double commentaire, et encore plus qu'il s'achève sur un "A suivre..." qui promet encore plus...
    J'apprécie aussi cet hommage à Mardohl et que mes principaux commentateurs (trices) s'estiment et s'encouragent.

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  34. En tout cas, Dominique décrit très justement l'avant-fessée, expliquant bien comment les mots annonciateurs de Maman alimentent mon angoisse, comment ils ruinent mes derniers espoirs d'y échapper, comment ils nourrissent l'imagination de mes soeurs...
    Il détaille aussi justement comment Maman me fait finalement obéir, venir jusqu'à ses genoux, me laisser basculer, et même lâcher le dernier rempart protégeant mon bas du dos, comme si j'acceptais cette déculottée...
    Dominique insiste aussi à juste titre sur le fait que Maman, une fois qu'elle a baissé ma culotte, prend le temps d'un nouveau sermon pour annoncer la suite... Je me trouve dans la position la plus inconfortable qui soit... Sur les genoux maternels, déculottée, les fesses à l'air qui frissonnent de peur... Moment étrange où j'ai presque envie qu'on en finisse, mais aussi très peur de ce qui m'attend...

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  35. Merci Christine, pour ces compliments qui me vont droit au cœur, je n'ai fait que retranscrire des sensations que j'ai moi-même connu avec Maman ou Tata, m'annonçant une prochaine volée ou s'ingéniant à sermonner alors qu'on a les fesses à l'air, à la merci de la correctrice.

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  36. Je suis comblé de lire des compliments, non seulement de Christine, mais également de Sylvie et de Dominique.
    De même, je n'en veux aucunement à ce dernier de relever une éventuelle confusion historique de ma part. N'ayant pas l'intégralité de ce blog en tête, un événement qui me paraît inédit peut fort bien comporter une occurrence précédente et qui m'avait échappé. (Ce qui d'ailleurs m'est déjà arrivé, notamment pour le motif de la mise au coin.
    « Si l’on dit à propos de quelque chose : « Regarde ceci, c'est nouveau », en réalité cela existait déjà dans les siècles précédents..)» (Ecclésiaste 1:10)

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  37. Cher Mardohl,
    Je ne mettrais pas en doute votre référence Ecclésiaste étant un parfait athée, mais vous remercie d'avoir accepter ma remarque, tout à fait symbolique sur un élément. Christine nous en ayant tellement fourni, que l'on peux si perdre.

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  38. Cher Dominique, il me semble que vous aviez promis un nouveau commentaire... Rien ne vient, alors que je suis un peu surchargée au plan du travail. Je me faisais une joie de vous lire, et cela m'aiderait à passer ce petit coup de mou actuel. Merci d'avance...
    Cet appel s'adresse aussi aux autres fidèles... N'hésitez pas...

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  39. Bonjour Christine.
    Alors que les commentaires sont en stand bye pour le moment, je viens, malgré mon emploi du temps très très chargé actuellement, donner un petit coup de fouet à ce blog, un peu endormi pour le moment (j'espère que Dominique, ne s'est pas évaporé entre temps).
    Je n'ai évidemment pas grand chose à dire sur cet épisode, car tout a été dit. Mais pourquoi ne pas vous faire part de mes inquiétudes sur la suites événements pour notre Christinette, car il y aura forcément des retombées néfastes pour elle suite à cette terrible déculottée qu'elle vient de se prendre.
    Je suis inquiète oui, car Brigitte et Babette qui sont au courant de la rencontre entre Mme Spaak et Mlle Simon, n'hésiteront pas à harceler notre héroïne qui forcément ne pourra nier l'évidence. Pas besoin non plus de la langue bien pendue de Diane, ces deux chipies savent s'y prendre pour arracher la vérité de la bouche même de Christine.
    Tiendra telle le choc ? Difficile pour notre Christounette. J'espère de tout cœur que cette fessée ne sera pas la première d'une longue série.
    Voilà Christine. Je reviendrai très vite avec un petit récit d'une grosse bêtise de mes jumelles pour laquelle nous avons du, mon mari et moi prendre une décision radicale avec de bonnes fessées devant la prof (chose très rare chez nous).

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  40. Merci Sylvie, cela fait plaisir d'avoir votre message, que je prends comme un soutien. Il est vrai que je manque un peu de motivation en constatant l'absence qui se fait un peu longue d'un Dominique qui avait promis monts et merveilles...
    J'espère qu'il ne s'est pas "évaporé" comme vous dîtes avec une pointe d'humour.
    Merci de vos commentaires, et je peux vous dire que vous avez raison car la Christinette que j'étais a eu du mal à digérer sa première fessée de Quatrième... D'autant que la suite s'est avérée rapidement délicate... Comme je vais vous le confier bientôt...

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