dimanche 25 novembre 2018

Chronique d'un redoublement : 135. Quand Tata me sauve la mise...

SUITE 134

Après la sieste, nous repartimes à la mer avec Tata et Maman. Mes deux soeurs s'étaient déjà faites, le matin même, quelques copines et copains du club de plage, et elles s'en donnaient à coeur joie en courant dans l'eau, se lançant du sable, et n'arrêtant guère de chahuter, ce qui ne me plaisait guère.
S'amusant à se faire tomber dans l'eau, elles s'en prirent un moment à moi, réussissant à me faire m'étaler sur la plage.
J'étais toute pleine de sable, et me relevai, pour courir après Diane, que je poussai dans l'eau.
Ma petite soeur en avala une gorgée d'eau de mer, et se mit à pleurer, criant : "Maman, Christine m'a jetée à l'eau".


Maman n'avait pas vu le chahut que faisaient les petites.
Et elle ne retint que les cris de Diane qui avait avalé trois goutes d'eau...

Maman qui n'avait vu que la dernière partie de la scène, s'était levée, et se mit à sécher les larmes de soeurette, en m'enguirlandant : "Mais, qu'est-ce qui t'a pris, Christine ? Ta soeur aurait pu se faire mal ou se noyer."Je protestai : "Mais, c'est Diane qui a commencé. Elle m'avait fait tomber."
L'excuse ne plut pas à Maman : "Ce n'est pas une raison, c'est toi l'ainée, Christine. Tu dois être plus raisonnable que tes soeurs, et surtout tu ne dois pas te faire justice toi-même. Que je ne t'y reprenne pas, sinon ça va barder pour tes fesses, et tu sais que je tiens mes promesses..."
J'enrageai car la menace avait été faite à haute voix et les gamins qui jouaient avec mes soeurs, comme les quelques vacanciers allongés non loin de nous, entendirent bien les propos maternels, et j'avais l'impression qu'ils m'imaginaient recevant la fessée sur le champ...
Je grommelai à voix suffisamment haute pour que Maman et les voisins de plage entendent : "Pff, j'en ai assez, c'est pas juste", ce qui plut encore moins à Maman, qui enchaina : "Christine, on ne répond pas à sa mère... Ne cherche pas les ennuis, sinon tu vas les trouver. Je te préviens, ma fille, si j'ai encore la moindre remarque à te faire, tu auras la fessée en rentrant à la location".
J'étais abasourdie et je me retins juste de ne pas taper du pied de rage, ce qui n'aurait pas arrangé mon cas...


Les voisins de plage avaient tout entendu, et regardaient amusés
cette grande demoiselle que sa Maman menaçait d'une déculottée...
J'aurais pu me cacher dans un trou de souris que je l'aurais fait. 

Heureusement, Tata Jacqueline qui avait vu toute la scène depuis le début intervint, alors que les petites repartaient se baigner. Elle m'essuya le sable que j'avais dans le dos après ma chute et s'adressa à Maman : "Tu sais, ce n'est pas Christine la fautive. J'ai vu comment Diane a essayé plusieurs fois de la faire tomber, et je l'ai trouvée bien calme de ne pas réagir de suite. Ce ne serait pas normal de ne punir qu'une des deux, et ce sont des enfantillages, ça ne sert à rien de sévir, tu sais."
Maman haussa les épaules : "Ah tu la défendras toujours ta filleule. Allez, je veux bien passer pour cette fois, mais que je ne l'y reprenne pas, sinon, Tata d'accord ou pas, je m'occuperai de ses fesses. Et qu'elle ne me réponde plus en public, sinon ça pourrait lui tomber dessus sur le champ".
Tata me fit un clin d'oeil, ravie d'avoir ramené sa soeur à de plus calmes perspectives. Je commençai à respirer mieux, consciente que, sans Tata, je n'en aurais mené pas large, et que connaissant Maman, elle aurait bien trouvé un grief d'ici le soir pour mettre sa menace à exécution.


Même si en réfléchissant, je voyais mal Maman me déculotter
sur la plage, sa menace montrait bien sa détermination...
J'avais vraiment eu chaud... Heureusement que Tata était intervenue...


Je repris donc mon bouquin et m'allongeai calmement préférant ne pas tenter le diable.
Tata lisait pour sa part un magazine et voyant une publicité pour une marque d'infusion, relança Maman en riant : "Mais tu devrais écouter Mamie et mettre tes filles à la tisane, puisqu'elle te dit que ça calme les enfants pas sages..."
Maman en sourit, répliquant : "Oui, elle m'amuse avec sa tisane. Maintenant, il m'arrive de lui dire que j'ai ma propre recette de tisane bien à moi. D'ailleurs, je dois t'avouer que l'autre jour, quand j'ai découvert que Christine avait imité ma signature pour s'éviter une fessée, Mamie m'avait appelée le soir même, et je n'ai pas voulu lui donner de détails sur la tannée que j'avais flanquée à ta filleule, alors je lui ai juste dit que j'avais donné à Christine une tisane à ma façon. Elle m'a presque crue..."
Tata éclata de rire, alors que, moi qui n'en perdais pas une miette, je fronçai les sourcils, ne trouvant pas ça drôle du tout...

Heureusement, l'après-midi s'acheva sans nouvelle alerte, ni allusion à ce qui pourrait nous arriver... La soirée devait être assez calme aussi, mes soeurettes s'étant beaucoup dépensées en ce premier jour plein de plage, et elles allèrent vite au lit après le dîner.
 

Dormant dans la chambre de Tata, je pus lire assez longtemps, avant que ma chère tante ne me demande d'éteindre. J'acceptai sans protester le moins du monde, profitant des embrassades de bonne nuit avec Tata pour la remercier d'être venue à mon secours lors de l'épisode avec Diane...
Tata prit mes remerciements en souriant, avouant : "Je crois que je t'ai encore sauvée, ma chérie. Ta Maman était bien partie pour te faire goûter à sa tisane ce soir... Si tu vois ce que je veux dire... Tes petites fesses peuvent me remercier...  Elle était vraiment à deux doigts de te ramener à la maison pour te flanquer une fessée carabinée... Mais, un conseil, Christine, évite de répondre à ta mère ou de grogner quand elle te dit quelque chose, ce sont vraiment des attitudes qu'elle n'aime pas du tout."





 Tata me confirma que Maman avait été à deux doigts de me ramener
à la location pour m'y flanquer une déculottée magistrale...
J'imaginais la scène et j'en frissonnais...


Je répliquai : "Mais, c'est quand je trouve qu'elle n'est pas juste".
Tata compatit : "Je te comprends, mais ta mère a l'impression alors que tu contestes son autorité, et ça, ma pauvre, surtout si tu protestes devant des témoins, elle ne le supporte pas, et tout ce que tu risques, c'est une bonne fessée de plus. Ca, je sais que je n'arriverais pas à l'en dissuader. Et, même si j'y arrivais, elle trouverait vite un autre motif pour t'en flanquer une..."

Je fis la grimace, consciente qu'il fallait vraiment que je me tienne à carreau. Tata essaya de me rassurer : "Bon, mais j'espère bien que j'arriverai à l'en dissuader tant que nous sommes en vacances ensemble. Mais, fais bien attention ma chérie, je ne peux pas faire de miracles. Surtout que ta Maman m'a dit que tu n'avais pas eu de fessée depuis le jour des vacances scolaires, soit un peu plus d'un mois, et elle a l'impression que tu te crois à l'abri... Elle m'a même dit : tu sais avec Christine, faut savoir parfois remettre les pendules à l'heure. Parfois même on a l'impression qu'elle cherche les ennuis, et qu'elle a besoin d'une bonne fessée pour la recadrer".
 

J'étais contente de voir combien Tata me défendait et me conseillait, mais ses propos me tournèrent dans la tête en m'endormant. Sans nul doute, Maman m'avait dans le collimateur et mieux valait que je fasse attention, sinon je n'avais qu'à préparer mes fesses... J'en cauchemardai d'ailleurs, imaginant ma tante tentant de venir me défendre, mais se retrouvant bloquée derrière une baie vitrée fermée, ne pouvant se faire entendre de Maman qui m'attrapait et me déculottait devant mes soeurs... 
Je m'en réveillai en sursaut, et Tata, qui ne dormait pas, se releva et vint me serrer fort dans ses bras pour me faire revenir au calme et me rendormir...




Tata me serra dans ses bras pour calmer mes angoisses.
je m'étais vue dans mon cauchemar déculottée devant mes soeurs
alors que Tata ne pouvait intervenir pour me sauver la mise...

A SUIVRE

13 commentaires:

  1. Ces vacances commencent sur les chapeaux de roue pour vous, qui déjà frôlez le désastre. Diane, sans doute en quête de revanche depuis sa déconvenue du premier jour, provoque sa grande sœur et, devant sa réaction pourtant légitime, se fait passer pour une victime, suscitant l’intervention immédiate de votre mère.
    Celle-ci, devant les nouvelles camarades de vos sœurs et les plagistes, menace très explicitement Christine d’une fessée. Certes, elle n’a pas vu sa benjamine entamer les hostilités, mais estime à juste titre que son aînée, en raison de son statut, doit montrer l’exemple en matière de patience et surtout ne pas tomber dans la vendetta.
    Cette remise à l’ordre, sous les yeux et les oreilles d’inconnus et surtout d’enfants que l’on devine aux anges, se révèle bien vexante pour notre narratrice de presque 13 ans, qui déjà, et bien que cela ne puisse relever que de sa pure imagination, s’imagine déculottée séance tenante en public.
    L’intervention de tante Jacqueline, qui a assisté à l’intégralité de l’altercation, calme cependant le jeu, et pour cette fois, ravalant tant bien que mal votre amertume, vous en êtes quitte pour la peur.
    Puis les deux sœurs adultes (Jacqueline et Anne-Marie) se mettent à gloser sur le conseil dispensé par votre grand-mère au chapitre précédent. Erigeant une métaphore qu’elle juge amusante, votre mère évoque sa « propre recette de tisane », une « tisane à [s]a façon » sous laquelle chacun perçoit la fessée participant de sa méthode. Jacqueline rit à cette allusion, tandis que vous ne vous en renfrognez que davantage.
    A l’heure du coucher, votre tante, prévenante mais comme à son habitude un brin maternaliste, insistante et désireuse de souligner son rôle salvateur, reprend encore cette image de la tisane, dont elle vous a pour ainsi dire éloigné la coupe des lèvres. (L’assimilation d’une mésaventure à un breuvage amer n’est-il d’ailleurs pas monnaie courante dans les aphorismes, du genre « boire le calice jusqu’à la lie », ou la désignation d’une défaite sportive sous le terme de « piquette » ?)
    Juge équitable, elle expose objectivement les raisons et torts de chaque partie : oui, votre mère a sans doute réagi hâtivement en se fondant sur le seul aboutissement de la chicane entre Diane et vous, mais Christine elle-même s’est enferrée en répliquant à sa mère en public, ce qui l’a fait passer à deux doigts d’une douloureuse infortune. A elle donc de se montrer responsable et de faire en sorte d’éviter, pour le restant des vacances, le moindre faux-pas. Votre tante vous rappelle d’ailleurs que votre mère vous tient d’autant plus étroitement à l’œil que vous avez échappé à toute punition depuis un bon mois, et qu’un recadrage lui paraît adéquat. (On remarquera que pour la mère comme pour la fille, contrairement à la tante, la fessée apparaît quasiment comme une fatalité à plus ou moins court terme.)
    Le chapitre se clôt par un cauchemar éloquent. Vous vous voyez déculottée sans que Jacqueline, bloquée à l’extérieur, ne puisse intervenir (cette mise à distance symbolisant bien la portée limitée de sa protection) alors qu’Aline et Diane, elles, se trouvent présentes dans la pièce et ne perdent pas une miette de la scène.
    Reste à savoir, et la suite nous le certifiera, si ce rêve va s’avérer – ou non – prémonitoire.

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  2. Un Mardohl très réactif, qui a déjà bien analysé ce nouvel épisode de transition. Avec beaucoup de justesse. Merci beaucoup. J'y répondrai dès que possible. En attendant, je l'espère d'autres contributions.

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  3. bjr moi homme de 60 ans de bretagne je cherche des femmes qui donne ou reçoive de bonne fessée

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  4. Pas de nouvelles de Sylvie ? C'est dommage... Merci d'avance...

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  5. Bonjour Christine.

    Pas toujours facile d'être l'aîné(e), j'en sais aussi quelque chose. Il faudrait toujours montrer l'exemple, mais est-ce si évident ?

    En tout cas, je suis toujours beaucoup plus content, chère Christine, quand vous relatez une fessée subie par Aline ou surtout par Diane. Elles sont tellement chipies envers leur grande soeur lorsque celle-ci est punie. Dans le cas inverse, ladite grande soeur est beaucoup plus compatissante en voyant une des petites allongée sur les genoux de maman avec la culotte baissée. Je dirais même trop gentille, mais on ne se refait pas.

    En revanche, de mémoire, car je n'ai pas le talent d'archiviste de Sylvie (ou de Dominique autrefois), contrairement à vous, Christine, je ne crois pas avoir lu un jour qu'Aline ou Diane aient reçu une bonne fessée devant tata Jacqueline. Est ce que je me trompe ? Ce n'est jamais arrivé, ou vous nous raconterez ça un jour ? Et l'une de vous trois s'est elle un jour pris une fessée devant votre mamie ?

    En tout cas, bravo pour ces cuisants ou menaçants récits, continuez à nous tenir en haleine.

    Amicalement.
    Fesseusement vôtre.

    Louis
    gallie050753@yahoo.fr

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  6. Bonjour Christine,
    La vengeance est un plat qui se mange froid. Tel est le titre que vous auriez pu donner à cet épisode.
    En effet, la petite Diane essaie de se venger de sa sœur aînée qui a assisté à sa dernière déculottée et ce n'est pas la première fois qu'elle agit ainsi avec plus ou moins de succès. Cette fois-ci cela n'a pas marché grâce à l'intervention de Tata Jacqueline qui défend bec et ongle sa filleule. Mais qu'en serait-il si elle n'avait pas assisté à toute la scène ? Je pense que Maman Spaak, qui a toujours en travers de la gorge la grosse bêtise de son aînée, ne se serait pas posée de questions et sa petite saute d'humeur "Pff, j'en ai assez, c'est pas juste", aurait sans doute entraîné une réaction encore plus dure pour notre Christinette qui en aurait été probablement quitte pour une paire de gifles et quelques claques en public sur ses cuisses dénudées par le maillot de bain qu'elle devait porter à ce moment-là.
    Vengeance également de la part de Christine vis-à-vis de Diane qui pousse sa grande sœur la faisant s'étaler sur le sol. Christinette ainsi se venge en poussant la dernière de la fratrie dans la mer, ce qui entraîne la colère de Maman Spaak menaçant en public la pauvre Christine de fessée à la location.
    Fort heureusement, ce qui aurait pu apparaître comme une injustice pour Christine se transforme en une fin heureuse, grâce à l'intervention de Tata Jacqueline qui, toutefois demande à sa protégée de faire attention, de ne pas grogner et répondre à sa mère, d'être gentille etc... Sinon ses petites fesses seraient encore marquées par une fessée carabinée ; Madame Spaak n'acceptant pas ce genre d'attitude en ayant l'impression d'être contestée dans son autorité.
    Toujours est-il que la discussion finale entre Tata Jacqueline et sa nièce chérie fait réfléchir cette dernière consciente qu'elle devait vraiment se tenir à carreau.
    Cette discussion mettra-t-elle notre petite Christine à l’abri d'une déculottée ? Rien n'est moins sûre car la tension entre Maman Spaak et son aînée est palpable et une simple petite étincelle pourrait provoquer un incendie sur les fesses de cette dernière. Christine devra donc faire très attention, surtout ne pas répondre aux provocations de ses sœurettes et notamment de Diane, qui sans doute la provoquera à nouveau.
    Voilà Christine, mon commentaire sur cet épisode. Si d'autres idées me viennent en tête, je n'hésiterais pas à vous en faire part. Néanmoins, je rencontre beaucoup de difficultés à valider mon message, donc à vous le transmettre

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  7. Merci Louis, et merci Sylvie. Que cette dernière ne s'inquiète pas. C'est moi seule qui valide les commentaires, et il peut donc y avoir plusieurs jours (en cas d'absence) entre m'envoi et l'apparition sur le blog.

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  8. Pour répondre à Louis, même si l'archiviste expert Dominique est toujours aux abonnés absents... je confirme qu'il y a eu des fessées reçues par mes soeurs ou moi devant Tata Jacqueline.
    Et même devant Mamie, quoi que Maman dans ces cas-là, préférait annoncer à la fautive qu'elle allait s'occuper d'elle au retour à la maison, et cela se vérifiait quasiment à chaque fois, ce qui vous fait comprendre dans quel état la future punie était en marchant vers la maison...

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  9. Sylvie se demande ce qui se serait passé si Tata n'était pas intervenue pour expliquer à Maman que c'était Diane la plus fautive.
    Je crois qu'en effet cela se serait mal passé pour moi. L'annonce avait certes été d'abord une menace. Maman me prévenait que j'aurais une fessée si elle avait encore le moindre reproche à me faire. Menace seulement, mais que je prenais mal car elle était faite en public devant des voisins de plage et autres copains de mes soeurs, ce qui me rendait toute honteuse et rougissante.
    C'est d'ailleurs à cause de ce sentiment d'injustice que j'ai osé répliquer, répondant à ma mère, ce qui chez les Spaak ne se fait pas, mes fesses en ayant déjà eu plus d'un cuisant souvenir...
    Il est vrai que sans l'intervention de Tata, je crois que j'étais bonne au moins pour une paire de gifles accompagnée de l'annonce d'une déculottée au retour à la maison de vacances...
    J'avais d'ailleurs déjà connu ça l'été précédent (un archiviste peut me le confirmer ?).
    Je pense même que Maman aurait laissé Tata et mes soeurs rester un peu plus à la plage, pour m'accompagner à la maison, où j'aurais dû prendre ma douche pour éviter le sable partout, puis dû me rhabiller en short et tee-shirt pendant que Maman se douchait à son tour en me laissant attendre dans la chambre. Une fois douchée, séchée, remaquillée et rhabillée, elle serait venue dans la chambre où malgré mes explications, mes supplications, mes demandes de pardon et autres promesses d'être sage, Maman aurait conclu que chose promise chose due avant de m'attraper et m'allonger sur ses genoux avant de me déculotter pour une fessée magistrale...

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  10. Est-ce que la fin de votre dernier commentaire annonce le plan de votre prochain épisode ?

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  11. Ce cher Mardohl pose une question judicieuse... Je répondrais que cela se pourrait bien, mais en fait, ce n'est pas le cas, même si le commentaire reflète bien mes peurs, qui font travailler mon imagination, m'amenant à une sorte d'impasse qui ne peut amener que sur les genoux maternels...

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  12. Dans ce cas, j'ose imaginer une suite inédite, surprenante, qui ravira vos lecteurs et que je n'attends qu'avec plus d'impatience.

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  13. Mardohl qui devient impatient ! J'en suis fort aise, pour ne pas dire ravie, tant j'ai plus souvent peur qu'il ne se lasse et n'apporte plus le même soin, la même justesse et perspicacité dans ses commentaires.
    Alors, je vais essayer de ne pas le décevoir, même si la suite que je livre ce soir ou demain tient surtout de la transition plus que de l'action. Mais, les épisodes suivants ne tarderont guère ensuite...

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