mardi 27 juin 2017

Chronique d'un redoublement : 116. Les mésaventures de Diane nourrissent mes cauchemars...

SUITE 115

Le dîner étant prêt, Maman nous appela, et je fus pour une fois la première en bas. Aline descendit ensuite, mais il fallut deux rappels maternels, et une menace : "Tu veux que je vienne te chercher, Diane ?"  pour que ma petite soeur daigne nous rejoindre.
Elle faisait grise mine, et avait encore les yeux rouges d'avoir longuement pleuré.
"C'est pas juste", marmonna-t-elle en s'asseyant. Et d'ajouter : "J'ai pas dit de mensonges, moi, j'ai juste répondu aux questions des filles. J'ai que dit la vérité".
Maman coupa court à ces jérémiades : "N'aggrave pas ton cas, Diane. Cela t'amusait bien de raconter ce qui était arrivé à ta grande soeur. Et tu verras comme c'est drôle, si Christine raconte à son tour comment je t'ai rougi les fesses. En tout cas, que je ne t'y reprenne pas, sinon tu sais ce qui t'attend..."


Maman rappela à Diane qu'elle ne supporterait
pas d'autres bavardages,
sinon elle pourrait préparer ses fesses... 

Diane se remit à pleurnicher, puis piqua du nez dans son assiette et ne dit plus un mot du repas. La conversation fut d'ailleurs sommaire, et le dîner expédié avant que nous ne remontions dans nos chambres.
Alors que Diane ruminait sur son lit attendant que Maman ne vienne éteindre, Aline vint dans ma chambre pour me confier ce qu'elle savait de la scène avec Maman à la salle de danse, et comment sa soeur avait raconté mes déboires... Je me doutais bien qu'Aline ne devait pas être aussi innocente que ce qu'elle prétendait, et qu'elle avait au moins acquiescé, lors des discussions entre Diane et Charline, et entre Diane et Corinne.
En tout cas, cela me renseignait sur l'origine des fuites, et les raisons des moqueries de mes camarades qui se délectaient à me faire honte, d'autant qu'elles s'appuyaient sur des confidences de source sûre, et non sur des suppositions ou déductions faites d'après ce qu'elles savaient des méthodes de Maman.
Autrement dit, c'était plus facile pour elles et plus éprouvant pour moi de se moquer de fessées réellement reçues, dont les détails avaient été extirpés sans difficulté à ma petite soeur.
Je remerciai Aline, mais j'aurais presque préféré ne pas savoir exactement ce qu'avait dit Diane, car c'était éprouvant pour moi de comprendre jusqu'à quel point mes prétendues copines pouvaient imaginer leur souffre-douleur déculottée et fessée comme une gamine...

Maman monta nous dire bonsoir et s'attarda chez les petites, prévenant Diane, et Aline par la même occasion, qu'elle "n'admettrait pas de nouvelles confidences à l'extérieur" sur ce qui "pourrait arriver" à leur grande soeur. Les portes étant grandes ouvertes, j'entendais le sermon, mais il ne me satisfaisait pas vraiment.
En affirmant qu'elle ne supporterait pas de futures confidences, c'était comme si elle disait : "Je vous interdis de parler des prochaines fessées de Christine..." Comme si c'était inéluctable, comme si c'était sûr que de nouvelles déculottées m'attendaient, étaient comme programmées...


Le sermon de Maman à mes soeurs ne me rassurait en rien...
Il ne faisait que rappeler que d'autres déculottées m'attendaient
à n'en pas douter dans les semaines à venir... 
Cela allait peupler mes cauchemars la nuit suivante...

Venant ensuite me dire bonsoir, Maman se voulut rassurante : "Je crois que Diane a compris, et que tes soeurs auront la langue moins pendue sur tes petits malheurs".
Mais, elle n'en rappela pas moins son habituelle justification : "Cela dit, Christine, si tu ne veux plus que l'on se moque de tes fessées, il suffit de ne plus en mériter... Plus d'heures de colle, plus de mensonges, plus de mauvaises notes, plus de coups en douce et de cachotteries et Maman n'aura plus à déculotter sa grande fille..."

Maman vit que cela me mettait au bord des larmes, elle arrêta là son discours moraliste et me souhaita bonne nuit, en me serrant un long moment dans ses bras. J'appréciai ces instants qui me réconfortaient, mais dès qu'elle fut ressortie de ma chambre en éteignant la lumière, je ne pus m'empêcher de repenser à tout cela, à l'étendue des confidences de Diane, à Maman qui lui donnait la fessée, là juste où j'avais reçu les dernières... Je revoyais ses fesses rougir, comme elle avait dû voir les miennes aussi, écarlates et sans protection, bien en place sur les genoux maternels...
Je repensai aussi à la fausse peur quand Maman m'avait demandé de l'attendre dans ma chambre, ce qui prouvait bien que je tendais le dos, que je n'étais rassurée en rien, imaginant qu'une quelconque des rares grosses bêtises que j'avais pu cacher ces derniers mois avait été découverte, et que j'en paierais le prix...
Et puis, il venait d'y avoir les allusions maternelles prévenant mes soeurs qu'elle ne supporterait pas de futures confidences sur mes malheurs. Comme si c'était évident que je mériterais d'autres fessées...
Alors, au lieu de ne retenir que les sentiments d'une certaine satisfaction d'avoir vu Diane payer pour ses bavardages, au lieu de me sentir vengée d'avoir assisté à sa fessée, j'eus du mal à m'endormir, et me réveillai même en sursaut deux fois dans la nuit en plein mauvais rêve... 
La première fois, je me voyais prendre une nouvelle tannée, cette fois devant mes soeurs qui regardaient la scène avec un index posé sur les lèvres, en disant : "Tu vois, Maman, on fait chut ! Promis, juré, on ne le dira à personne que Christine a encore eu une grosse fessée, et que ses fesses étaient toutes rouges, toutes rouges.." Une vraie vision de cauchemar qui me fit m'asseoir dans mon lit, le dos moite, angoissée ! Cela avait été court, sur mon premier sommeil, mais marquant, comme si j'y étais...


Dans un premier cauchemar, je me revoyais fessée par Maman
devant mes soeurs qui promettaient de ne rien dire,
mais ne rataient aucune miette de ma tannée,
comme si elles étaient au spectacle... 

Une autre fois, je me réveillai avec le coeur battant, mais cette fois, ce second cauchemar ressemblait à une véritable histoire, totalement imaginée, mais dont je me souvenais parfaitement, en détail, ce qui explique combien je me réveillais apeurée, et mis plusieurs minutes avant d'être sûre que ce n'était qu'un cauchemar. 
Je venais de rêver que j'étais rentrée du collège avec un mot prévenant les parents que le prochain bulletin serait distribué aux élèves le vendredi suivant. J'avais alors vu Maman prendre son petit agenda et noter quelque chose. Le plus étonnant, c'est que ce prochain bulletin, dans la vraie vie, ne m'inquiétait pas, puisque, en ces dernières semaines, j'avais plutôt des bonnes notes.
Mais, ce n'était pas le cas dans mon cauchemar, pas du tout, et je rêvai que j'allais en douce de nuit regarder dans le sac de Maman ce qu'elle avait bien pu écrire sur son agenda. Et, j'avais vu inscrit à vendredi à 20 h : "Fessée de Christine". J'en avais été toute retournée et avais heurté le guéridon. Maman entendant du bruit avait surgi, me trouvant la main dans le sac...
Je demandai pourquoi elle avait écrit ça. Maman avait répondu : "Bah, ma chérie, c'est pour que je ne prévois rien d'autre, et que je me rappelle que, ce soir-là, on sera occupées à discuter toutes les deux".


Le second cauchemar était un vrai roman. J'y découvrais que Maman avait
programmé une fessée de Christine, vendredi soir...
Pour de nouvelles mauvaises notes, et elle m'expliquait calmement 
qu'elle avait bloqué du temps pour ne pas être dérangée...
 
Je me voyais protester : "Mais, Maman, on n'a pas encore le bulletin, j'aurais peut-être de bonnes notes, tu sais". Et Maman de répliquer : "Peut-être, mais j'ai rencontré hier ta prof d'anglais et celle de maths qui m'ont dit que tu avais raté deux contrôles. Ca fera 4 en anglais et un zéro pointé en maths. Tu vois ce qui t'attend, alors, ma chérie...? N'imagine pas un instant pouvoir y échapper..."
J'avais chigné : "Oh, non, Maman, non..." Elle avait répondu : "Oh que si, tu le sais bien, Christine. Maman tient toujours ses promesses, elle... Mais, on n'est que lundi soir, ça te laisse quatre jours pour te préparer..."

Je ne savais plus quoi dire, et tenais toujours l'agenda dans la main, le sac de Maman étant à mes pieds. Elle me demanda de lui redonner. Elle le rouvrit à la page de la semaine et vérifia que je n'avais rien effacé : "Bon, c'est bien noté, Christine. Comme ça, tu ne seras pas surprise, vendredi soir".


C'était étrange et je m'imaginais devoir attendre quatre jours, 
puis rentrer à la maison et retrouver Maman
qui allait pouvoir prendre son temps 
pour donner la bonne fessée déculottée promise et méritée par son ainée... 

Je baissai la tête, alors qu'elle reprenait son stylo rouge, et je la vis noter à nouveau quelque chose. J'avançai la tête et vis, stupéfaite, sur la colonne mardi qu'elle avait écrit à nouveau : "Fessée de Christine".
Je sursautai et bredouillai : "Mais, euh mais, pourquoi, dis pourquoi ? Pas une fessée aussi demain quand même ?".
La réponse avait fusé : "Ecoute, Christine, je te trouve en pleine nuit en train de fouiller dans mon sac et tu voudrais que je ne dise rien... Si ça se trouve, la prochaine fois, tu te serviras dans mon porte-monnaie. Je ne vais pas laisser passer ça..."
Je suppliai : "Non, je ne le ferai plus, promis. Et pourquoi demain ?"
Maman avait répliqué : "Tes soeurs dorment, tu ne veux pas qu'on les réveille en te donnant ta fessée maintenant. Je préfère attendre. Allez, file donc au lit, on réglera nos comptes au réveil ou à midi, on verra bien, mais tu vas la sentir passer cette bonne fessée. Tu ne perds rien pour attendre, ma grande".
Et Maman me raccompagnait jusqu'à ma chambre, en me souhaitant bonne nuit, non sans ajouter : "En tout cas, voilà une semaine qui commence bien, Christine. Avec déjà deux fessées de prévues... Et tu vois, c'est bien noté, comme ça Maman ne les oubliera pas..."


J'eus du mal à me rendormir, car dès que je somnolais,
je me retrouvais dans le cauchemar,
presque persuadée qu'une autre fessée m'attendait au réveil... 

Ce deuxième cauchemar me laissa éveillée un long moment, puis épuisée, les nerfs à plat, je me suis rendormie quand même, mais que cette fessée de Diane avait pu me faire travailler l'esprit conscient, et encore plus celui des mauvais rêves et des cauchemars...


A SUIVRE

22 commentaires:

  1. Bonjour Christine.

    Oh la la ! Alors que je m’apprêtais à répondre à votre commentaire, voilà que vous dévoilez la suite des évènements et je dois dire que je suis surprise de voir comment la déculottée de Diane ait eu autant d’effet sur vous.
    En effet, vous donnez l’impression d’avoir reçu cette fessée. De plus, vous vous imaginez déjà en prendre d’autres, alors qu’il n’y a aucun motif à cela, votre bulletin du dernier mois sera bon, passage en 4e assuré, seule ombre au tableau, Babette et Brigitte, mais après ce qui vient de se passer, il vous sera, cette fois-ci, plus aisé de défendre votre cause auprès de Maman Spaak, en cas d’une nouvelle colle suite à une moquerie de ces deux chipies. Là vous serez en quelque sorte en état de légitime défense, si je peux m’exprimer ainsi.
    Par ailleurs, moi qui pensais Aline, hors du coup, je me suis bien trompée. Bien qu’elle n’ait rien raconté à Charlène et Corinne, votre sœur cadette a confirmé les dires de Diane, donc, elle aussi est fautive et aurait pu également se faire rougir les fesses.
    Cependant, il y a quelque chose qui me gêne dans la réflexion de votre Maman c’est qu’elle se fâche que Diane raconte vos malheurs à ses copines, mais elle, elle n’hésite pas à divulguer à de parfaits étrangers ses méthodes correctives. C’est un peu gênant, cette façon de faire, car elle ne donne pas l’exemple et devant des petites comme Diane… C’est d’ailleurs étonnant que votre dernière petite sœur ne l’a pas mentionné pour se défendre.
    Voilà Christine, mon premier commentaire sur ce nouveau paragraphe, haut en couleurs ou du moins en cauchemars.

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  2. Merci Sylvie de cette première réaction. C'est vrai que la fessée de Diane m'a marquée. Mais il faut comprendre que je puisse être touchée, de par le fait que Maman la lui donne dans ma chambre, là où elle "s'occupe" de mes fesses habituellement.
    Les cris de ma soeur et la détermination maternelle ne peuvent que m'impressionner, alors même que j'ai conscience que mes fessées à moi sont encore, et forcément, plus appliquée, plus méthodique que celle donnée à ma gamine de soeur.
    Je prends conscience aussi de ce à quoi ont pu assister, même partiellement, mes soeurs en me voyant déculottée et les fesses écarlates... Et comment elles ont pu raconter la scène, et comment les moqueuses de ma classe ont pu imaginer le spectacle en partant de témoignages vrais...
    Oui, je sais bien, qu'en réfléchissant, je devrais moins craindre la fessée en cette fin de trimestre plutôt positive sur le plan scolaire. Mais,l'exemple de la colle attrapée en anglais, pour m'être moquée des moqueuses, me montre que l'on n'est jamais complètement à l'abri...
    Alors, si consciemment je peux réussir à me rassurer, il n'en est pas de même sur le plan inconscient, sur le plan des peurs nocturnes, et c'est ce qui a fait que mon sommeil a été agité, et que j'ai fait deux cauchemars coup sur coup... Des cauchemars d'autant plus marquants que plausibles... Si encore j'avais rêvé que la fée Carabosse me punissait, ou je ne sais quel scénario catastrophe, j'aurais pu me rassurer une fois réveillée en sursaut.
    Mais, imaginer mes soeurs aux premières loges d'une de mes déculottées, ou voir Maman me promettre une fessée pour le lendemain afin de ne pas réveiller mes soeurs dans l'instant, ou m'annoncer qu'à l'arrivée du prochain bulletin, je serais bonne pour une nouvelle tannée, c'étaient là des cauchemars fort réalistes, et déjà vécus en vrai en des circonstances semblables... De quoi me faire peur en me rendormant, en pensant que cela pourrait fort bien être prémonitoire... Et faire que je me demande s'il ne fallait pas vraiment préparer mes fesses...
    Sinon, si Maman a épargné Aline, c'est sûrement parce qu'elle avait conscience que c'était surtout Diane, la moqueuse dans l'âme, celle que son statut de bonne élève et de petite dernière faisait qu'elle était la moins souvent punie...
    Enfin, pour ce qui est de la réflexion sur Maman, je crois que ce n'était pas du tout pareil. Elle évoquait nos fessées sans donner de détails, pour montrer qu'elle tenait bien sa descendance, et ce n'était pas en se moquant. Alors qu'une Diane pouvait donner surtout des détails gênants, sur le fait, par exemple, que Maman avait baissé ma culotte, que mes fesses toutes blanches ont rougi sous les claques, etc., etc. De quoi me faire rougir, les joues cette fois, et de me sentir honteuse et gênée...

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  3. Bonjour Christine.

    Toujours personne à l’horizon, je pense qu’en plus de Dominique et de Mardolh, nos deux autres commentateurs, Anne-Sophie et Louis, sont probablement en vacances en ce moment. Je vais donc poursuivre sur ma lancée, mais cette fois-ci c’est Sylvette qui va s’y coller, car les démêlés entre votre Maman et la petite Diane ne sont pas sans lui (donc me) rappeler la fessée qu’avait pris mon jeune frère, Eric devant mon amie Inez et Moi.

    « Salut Christine, c’est Sylvette. Je vais à mon tour te raconter ce qui est arrivé à Eric mon petit frère qui avait pour habitude de nous faire punir ma sœur Sonia et moi pour des motifs futiles que nous n’avions pas commis. Exemple, je me souviens avoir pris une volée (à la ceinture) sur les fesses et cuisses de Maman parce que Monsieur avait volontairement renversé sur son tee-shirt, le yaourt que j’étais en train de manger et qu’il m’avait arraché des mains en m’accusant de le lui avoir jeté à la figure. La raison de sa colère c’est que j’avais refusé de changer de chaîne de télévision (il voulait regarder un dessin animé, alors que moi je regardais un film sur la 1ere chaîne. Il faut dire qu’Eric dernier de la famille (4 ans plus jeune que moi et deux de ma sœur Sonia), de plus très brillant à l’école (contrairement à Sonia et moi), était l’enfant gâté de la famille. Il avait un peu tout ce qu’il voulait et bien sûr, tout se liguait à chaque fois contre nous ses aînés (y compris mon grand frère Émile), et il en abusait, jusqu’au jour où, tout c’est retourné contre lui et là…
    En effet, nous étions, Inez et moi en train de faire nos devoirs sur la table de la salle à manger. Eric, lui, avait décidé de nous embêter, il m’avait d’ailleurs promis, auparavant qu’il allait faire maman me donner une volée devant Inez. Il a failli y arriver, heureusement que Maman était dans les parages et qu’elle a pu assister au cinéma de mon frérot. Pour ce faire, il s’amusait à nous lancer des boulettes de papier afin de m’énerver et de venir le taper, mais mes petites phrases, Eric arrête, ont plus ou moins alertées Maman qui se trouvait dans la cuisine. Je ne savais pas qu’elle était en train d’observer la scène depuis un moment, d’ailleurs lui non plus puisqu’il a poussé un cri lorsque Maman l’a attrapé par le bras et elle qui n’aimait pas utiliser ses mains pour frapper (elle disait que ça lui brûlait les mains), l’a soulevé, puis couché sur le canapé, baisser le short, bien découvert les fesses en rassemblant au milieu deux les partis du slip qui lui cachaient les fesses et lui a administré une fessée carabinée. Je me rappelle même un peu des mots que Maman avait prononcés : « Ta sœur travaille, tu n’as pas à l’embêter comme cela », le bruit des claques qui s’abattaient sur chacune de ses fesses charnues remplissait tout le salon. Et après une série à la main, Maman qui avait probablement mal aux mains, s’est saisie d’une de ses sandales et acheva la tannée. Eric pleurait, et était devenu tout rouge, j’imagine la honte, lui qui pensait me faire prendre une tannée devant ma copine…
    Je dois reconnaître que contrairement à toi, ma chère Christine, je n’ai jamais éprouvé de compassion pour ce qui arrivait à mon petit frère. Au fond de moi, sans vraiment le montrer, j’étais heureuse et me disait, c’est bien fait pour toi, car bien souvent, c’est Sonia et moi qui prenions à ta place ».

    Depuis ce jour-là, les choses avaient évolué dans la famille, mes parents ne disaient plus amen à tout ce que racontait mon frère, d’ailleurs lui-même avait changé d’attitude envers nous et ne cherchait plus à nous faire punir.
    Voilà Christine, mon petit récit sur nos rapports dans la famille. Je quitte donc Sylvette dans les années 1970/1975 et reviens en 2017.

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  4. Merci Sylvette de ce souvenir marquant, d'une part pour ta mémoire, car tu gardes bien les images et sons de cette déculottée honteuse de ton frérot... C'est une belle revanche, lui qui était l'enfant gâté, a été aussi "gâté" question fessée par une tannée méritée devant toi et devant Inez en prime !
    Sûr que le petit frère, lui aussi, doit se rappeler de ce moment de honte et de la vigoureuse claquée maternelle...
    Pour revenir à Sylvie, je peux annoncer que Mardohl nous reviendra à la fin de l'été. Il tient en général ses promesses...
    Quant à Dominique, il ne faut pas désespérer... Sûre qu'un jour il reviendra...
    Cela dit, chère Sylvie, si l'épisode vous inspire, j'espère que vous allez compléter ce que vous aviez appelé votre "premier paragraphe", ce qui en fait espérer d'autres...
    Merci d'avance.

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  5. Bonjour,
    On reconnait la droiture de votre maman, Elle s'est fait un point d'honneur non seulement à corriger Diane, mais devant vous, ce qui change toute la donne... Diane vexée et honteuse d'avoir pris une déculotté maison devant sa grande sœur, Mais contrairement à Ce qu'on pourrait croire, Vous Christine, ressortez ébranlée de cette correction, Si bien, Que ça ressort dans vos rêves sous forme de cauchemars. Quelle angoissée vous faites ! Ce mélange d'anxiété et d'inconscient vous chamboule complètement !
    D'un côté, c'est vrai que votre maman a insisté sur le fait que les prochaines fuites sur vos déboires fessiers seraient sévèrement punis, mais pas que les fessées s'arrêteraient... Ce qui confirme encore les Paroles de votre maman dans un précédent épisode où l'heure etait aux confidences des moqueries de vos fessées... où maman avait été également tres clair, il suffit de ne plus meriter de fessées si tu veux pas qu'on se moque de Toi... Vous savez donc que vous n'êtes pas à l'abri d'en recevoir d'autres...
    Diane, elle, devra ne plus divulguer vos orages fessiers, par contre, vous n'êtes pas exempt d'entendre la méthode Spakienne, cité en exemple par votre maman, à une voisine ou amie...
    J'imagine que tout ceci devait tourner dans votre petite tête et venir hanter vos nuits...
    Anne-Sophie

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  6. Bonjour Christine. Anne ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ? Non. Eh bien je poursuis sur ma lancée...

    Je vais, à cette occasion revenir sur ce dernier épisode où Christinette semble marquée par la tannée reçue par sa dernière petite sœurette. Oui, cette fessée est vraiment méritée, mais avouez qu'elle a semblé vous être adressée. De plus la mise en scène de Maman Spaak, sur le coup : "Christine monte dans ta chambre et attends-moi" vous fait comprendre qu'elle avait quelque chose à vous reprocher. Alors vous cherchez dans votre mémoire les griefs qui auraient pu arriver à ses oreilles et qui vous emmèneraient irrémédiablement sur ses genoux. Vous êtes donc loin de vous imaginer qu'il s'agit en fait de Diane.
    Mais cette tannée de la benjamine de la famille vous a tellement marquée que vous en arrivez à en faire des cauchemars.
    Seulement, je constate que malgré la fessée qu'elle a administrée à Diane, votre Maman reste très protectrice envers votre sœurette.
    Pour corroborer mes propos, je prends l'exemple d'une des plus dure déculottée que vous ayez eue à subir devant vos deux sœurs dans le salon pour une colle encore avec Mlle Paule. En effet, avant de vous administrer cette tannée, Maman Spaak vous avait fait passer un sale quart d'heure en vous faisant lire le bulletin de colle à haute voix, mais surtout en vous faisant la morale, ce qui vous avait rendu encore plus honteuse.
    Ça ne s'est pas passé comme cela pour Diane et c'est dommage, car un petit sermon en votre présence et pourquoi pas d'Aline également du genre : "Diane qu'as-tu raconté à Charlène et à sa sœur sur Christine" avec la morale qui s'en serait suivi, aurait peut être pu vous faire éviter ces cauchemars.
    Là, bien que je doute que Diane ait envie de recommencer, les pièges que pourraient lui tendre Charlène et sa sœur pour avoir des informations seront à ne pas en douter monnaie courante.
    Voilà Christine un nouveau commentaire. C'est dommage que je sois actuellement la seule à vous envoyer des commentaires.
    Cependant, je tiens à vous informer qu'à la fin du mois de juillet, le 29 exactement, je serai absente pour trois semaines, vacances obliges.

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  7. Que Sylvie ne désespère pas. Voici aussi un commentaire d'Anne-Sophie. Il est vrai aussi que les uns et les autres prennent des vacances et je ne vais pas me plaindre. L'été est encore long et peut être parsemé de quelques bonnes surprises. Et puis la rentrée arrivera bien vite aussi.
    En tout cas merci aux deux commentatrices.

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  8. Oui, Anne-Sophie, l'épisode de la fessée de Diane dans ma chambre, qui plus est doublé de la connaissance des confidences faites par soeurette aux moqueuses, m'ont forcément marqué et fait travailler mon imagination sous forme de cauchemars... Il y avait de quoi être angoissée en effet, d'autant que cela s'accompagnait de menaces à peine voilées me laissant entendre que je n'avais pas fini de me retrouver dans la position et à la place de Diane ce jour-là...
    Maman montre bien qu'elle agit pour que cessent les confidences de mes soeurs sur mes déboires, mais cela signifie bien qu'elle ne doute pas que d'autres fessées m'attendent...
    De quoi peupler mes nuits de rêves claquants et rougissants pour mes fesses...

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  9. Sylvie fait un intéressant parallèle avec une fessée que j'avais reçue devant mes soeurs avec sermon à l'appui.
    Cette fois, pour Diane, la parole est moindre, mais sermon il y a eu, même si je ne l'ai pas mentionné explicitement. Maman en allant dire bonne nuit à mes soeurs a clairement sermonné Diane et prévenu Aline qu'elle ferait de même si elle suivait l'exemple de Diane.
    Cela dit, comme vous, Sylvie, même après la fessée de Diane, je n'étais pas rassurée, me doutant bien que Charline et Corinne, comme Brigitte et Babette, risquaient de trouver le moyen d'en savoir toujours plus sur mes démêlés avec Maman...

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  10. Snif, snif, personne ne me souhaite ma fête en ce 24 juillet. La Sainte Christine, qui était sûrement un modèle de sagesse, tout comme moi, hi hi... Je l'imagine sage, bonne élève, franche et ne mentant jamais, bref mon portrait craché, non ? Qu'en pensez-vous ?
    Cela dit, de retour d'une dizaine de jours de vacances, je ne vais pas tarder à poursuivre mon récit...
    Mais j'espère aussi encore d'autres commentaires.

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  11. Nous mériterions tous une fessée pour avoir omis la Fête De Christinette !
    Avec plaisir de suivre vos péripéties fesserèsques !
    A bientôt dans des prochains commentaires !
    Anne-Sophie

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  12. Oui, c'est une bonne idée, Anne-Sophie. Et comme ça, en plus, personne ne pourrait plus se moquer des fessées de Christinette, hi hi !
    A bientôt de vous lire à nouveau.

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  13. Bonjour Christine.

    Avant de prendre quelques jours de vacances (je quitte les Antilles pour Nice mardi soir), j’aimerais avant mon départ vous faire part d’une petite réflexion, notamment sur les relations que vous entreteniez avec vos sœurs et votre Maman.
    En effet, en relisant vos écrits, à part les repas chez votre mamie, vous n’avez jamais fait mention des moments de convivialité qu’il aurait pu y avoir entre tous les membres de votre famille. Bien au contraire, bien qu’animé d’un amour de Maman Spaak envers ses filles, il semblait y régner un climat de sévérité, notamment en période scolaire.
    Sauf erreur de ma part, je n’ai pas souvenir que vous ayez évoqué des moments de joie, de rire, etc, bien que je pense qu’il y en avait. La question que je me pose donc est la suivante : « votre Maman participait-elle avec ses filles à des jeux de société, ou tout autres plaisirs comme c’était le cas chez nous ? »

    De mon côté, je me rappelle, les bons moments que nous passions en famille, tous ensembles (Julie, ma tante y compris) à jouer à des jeux de société (scrabble, monopoly, loto bingo) en hiver, les dimanches après-midi. Ce sont des moments forts où toute la famille était réunie, riait, s’amusait.
    J’ai d’ailleurs été marquée par ces moments conviviaux avec ma famille. Il est vrai que de mon côté, mes parents refusaient toutes invitations à des anniversaires ou autres et à part Inez, je n’avais l’autorisation de recevoir quiconque à la maison. C’était également vrai pour mes deux frères et ma petite sœur. D’ailleurs, Inez était la seule à fréquenter la maison.
    Voilà Christine, juste avant mon départ pour ma chère ville de Nice dans laquelle je vais me ressourcer pendant environ 17 jours.

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  14. Merci Sylvie de ces réflexions. Je comprends que vous puissiez penser cela, mais je tiens à vous rassurer, je considère avoir eu une enfance heureuse. Ce blog se concentre sur les périodes de conflits, sur mes démêlés avec l'éducation maternelle, et particulièrement sur les fessées reçues et ce qui les entourait, si j'ose dire...
    Tout cela fait déjà une masse de récits, de souvenirs, d'analyses, et ce que je développe ici.
    Je ne suis pas en train de raconter toute ma vie, mais bien de me concentrer sur un thème, sur un aspect particulier.
    Même si cela paraît occuper toute ma vie, il n'en était rien, et si Dominique revenait, notre archiviste saurait vous démontrer que la périodicité de mes déculottées, hormis quelques périodes plus denses, laissait bien la place à des tas de jours heureux.
    Oui, on riait aussi à la maison, oui, on s'amusait, on faisait des jeux, et l'on était souvent gâtées.
    Je tâcherai d'y faire allusion peut-être dans la suite à venir, mais c'est justement parce qu'il y avait nombre de jours de joie que je ressentais d'autant plus le changement de ton, et les démonstrations maternelles sur mes fesses...
    Vous me comprenez, j'espère.
    Comme vous dites ne partir que mardi soir, vous aurez peut-être le temps de réagir à cela.
    Sinon, profitez bien de vos vacances ! Cordialement.

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  15. Je suis entièrement d'accord avec vous Christine et effectivement, surtout sur cette année de redoublement, les moments de pose entre les déculottées étaient plus longues (jusqu'à deux mois, voir plus) et je me suis toujours posée la question, à savoir si votre cadette, Aline n'en avait pas reçu plus, vous seule pourrez répondre sur ce point, j'ai toujours eu cette impression.

    Par ailleurs, je n'ai d'ailleurs jamais doutée tout comme mes parents (malgré les nombreuses volées à la ceinture qu'on recevait) de l'amour que Maman Spaak portait à ses filles.

    Voilà Christine juste la veille de mon départ pour ma ville de Nice que je vais retrouver avec une température de l'eau à 22 degré alors qu'ici elle est à 29/30°. Je serai de retour le 18 août. Juste avant la rentrée.

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  16. Ne vous plaigniez pas, Sylvie, de trouver de l'eau à 22. Bien sûr, c'est plus frais qu'aux Antilles, mais en Bretagne elle ne dépasse guère les 17 degrés...
    Bonnes vacances en tout cas, et à bientôt.

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  17. Je ne saurais vous dire, précisément, qui d'Aline ou moi, avons reçu le plus de fessées durant cette année où je redoublais ma Cinquième.
    J'ai peut-être oublié quelques épisodes concernant la plus grande de mes petites soeurs, mais ses fessées étaient assurément moins marquantes pour moi. Je trouvais normal et logique qu'elles en reçoivent aussi. Et puis, différence d'âge oblige, celles des petites étaient moins longues, moins démonstratives que les miennes.
    Il était d'ailleurs plus fréquent qu'elles reçoivent leur dû sur le champ, sans attendre, alors que pour moi, Maman annonçait la sanction, et la programmait à un moment où elle aurait le temps de "s'occuper" de moi, comme je le méritais...
    Bien sûr qu'Aline devait parfois en recevant un zéro à l'école se "préparer" mentalement et angoisser pour ses fesses, en se doutant bien de ce qui l'attendait, mais sur la plupart des autres griefs, cela pouvait tomber sur le champ.
    Pour moi, c'était au contraire rarissime que je sois fessée sur le champ, alors que, par exemple, si je prenais deux heures de colle en cours, je savais que l'avis n'arriverait à la maison que 48 h au mieux après, voire quatre ou cinq jours, selon le moment de la semaine. Ce qui me faisait angoisser autant, même si chaque heure me semblait une heure de gagnée...
    Certains me diront une fois de plus que j'aurais mieux fait d'avouer ma faute dès le premier jour, mais sachant ce que cela me vaudrait, je préférais nier, voire mentir, plutôt que de venir dire à Maman que j'étais collée, comme si je venais lui apporter mes fesses pour qu'elles les déculottent et rougissent comme elle me l'avait promis en cas de nouvelle colle...

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  18. Diane peut crier à l’injustice, sa mère lui rappelle qu’elle-même ne trouverait pas drôle que Christine n’aille raconter sa mésaventure à ses copines d’école. Pourtant, la symétrie est-elle si pertinente ? Diane se trouve encore à l’âge où les fessées relèvent de l’acceptable, ce qui ne participe pas de votre cas, vous qui vous affligez de ce que vos camarades vous sachent « fessée comme une gamine ».
    Christine enfin, par le rapport d’Aline (qui sentant le vent tourner, renverse les alliances), connaît l’origine des rumeurs qui lui ont valu tant de moqueries, comprenant rétroactivement par quel témoin incontestable, parce qu’oculaire, Corinne, Brigitte et Babette ont été si précisément instruites de ses déboires (jusqu’à la couleur écarlate de ses fesses déculottées), et de quels rebondissements d’autant plus mortifiants que rigoureusement avérés, elles peuvent rabattre les oreilles de leur « souffre-douleur » (terme intéressant dont je remarque la première occurrence). Et même si votre mère, en sermonnant vos cadettes, veille à tarir désormais cette source, tenaillée par l’angoisse que vous a suscitée la fausse alerte du chapitre précédent, vous en ressentez surtout l’annonce implicite de futures fessées.
    Viennent ensuite deux rêves, comme souvent vous nous en relatez. Le premier réactive assez simplement les dernières impressions qui ont précédé votre sommeil, mêlant la mise en garde de votre mère et la menace qu’elle sous-entend pour votre bas du dos : vos sœurs assistent à l’une de vos fessées en promettant de se taire là-dessus.
    Le second, plus scénarisé, traduit les angoisses de Christine, puisqu’elle s’y voit annoncer deux fessées. Ce rêve associe, dans une incohérence onirique, des péripéties éparses, apparaissant dans différents épisodes antérieurs (Christine prise en flagrant délit de fouille du sac maternel, Madame Spaak qui rencontre inopinément des professeurs, annonce de mauvaises notes et des conséquences inhérentes), mâtiné de faits absurdes (depuis quand Madame Spaak programme-t-elle les fessées dans son agenda ? elle qui ne les note même pas sur le calendrier mural).
    Ces cauchemars traduisent l’état d’esprit de notre héroïne, fort tourmenté par les événements des derniers jours, marqué par toutes ces fessées (les siennes comme celle de Diane) et le harcèlement de ses camarades.

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  19. Comme dit Mardohl, "la symétrie n'est pas pertinente" entre une Diane, écolière, donc "à l'âge où les fessées relèvent de l'acceptable" et Christine la collégienne qui se sent honteuse quand ses camarades la savent encore "fessée comme une gamine".
    Et les propos de Maman Spaak sermonnant les petites en les appelant à ne pas récidiver dans les racontars au sujet des fessées de leur aînée, si elles peuvent donner un peu de baume au coeur à Christine, elles font bien comprendre que la collégienne n'en a surtout pas fini avec les déculottées maternelles... Et cela a de quoi alimenter mes cauchemars...

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  20. Mardohl trouve l'un de mes cauchemars "mâtiné de faits absurdes" quand j'imagine Maman programmer mes fessées dans son agenda...
    Effectivement, elle ne l'aurait jamais fait, mais c'est le propre des rêves de mélanger des faits et leurs acteurs.
    Là où cette partie dudit cauchemar devient bien moins absurde, c'est dans le fait que Mlle Paule (comme d'autres profs), une fois après avoir annoncé à la fautive qu'elle aurait deux heures de colle, prenait son agenda et notait le nom de l'élève, le motif, et la date de la colle.
    Déjà comme abasourdie par l'annonce de la sanction, je regardais, presque incrédule, la prof m'inscrire comme on fixe un rendez-vous.
    Et, cela m'amenait à commencer à angoisser, puisque je savais bien que cela signifierait pour moi, au plus tard (pour ne pas dire presque toujours) le jour de l'arrivée du bulletin de colle à la maison, que j'allais recevoir une bonne fessée de plus...
    Dans mon rêve noir, j'imagine Maman noter elle-même la date de mes prochaines fessées. C'est faux bien sûr, mais quelque part, sans que Maman ne le sache, alors que malheureusement moi j'angoissais déjà à l'avance, c'était comme si Mlle Paule notait sur l'agenda de Maman à tel jour : "Donner une fessée à Christine".

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  21. Effectivement, les colles notées sur leurs carnets par les professeurs de Christine pouvaient se lire comme autant de fessées consignées dans l'agenda de Madame Spaak.
    (Je me suis montré bien hâtif dans la rédaction du dernier paragraphe, en omettant quelques accords flagrants. Il fallait bien évidemment lire :
    "Ces cauchemars traduisent l’état d’esprit de notre héroïne, fort tourmentéE par les événements des derniers jours, marquéS par toutes ces fessées (les siennes comme celle de Diane) et le harcèlement de ses camarades.")

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  22. Oui, quelque part, sans le savoir, le carnet de Mlle Paule était un peu comme l'agenda maternel, et c'est cela qui me fait les mêler dans mes cauchemars...

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