samedi 7 mai 2016

Chronique d'un redoublement : 102. Une deuxième application terriblement efficace...

SUITE 101 

"Allez, on va reprendre tout à zéro. (...) Ce que tu as reçu tout à l'heure compte pour du beurre. (...) Tu vas l'avoir, cette bonne fessée que tu as méritée, Christine..."
Les derniers mots de Maman avaient achevé de me mettre le moral à zéro... Je comprenais bien que, quoi que je dise, cela se retournerait contre moi, qu'il n'y avait plus qu'à subir la colère maternelle, que mes fesses allaient se prendre une tannée des grands jours, et qu'il valait même mieux ne pas souhaiter d'interruption, puisque l'arrivée de la voisine que j'avais ressenti sur le coup comme providentiel, se soldait finalement par une remise à zéro des compteurs, si j'ose dire...
Cela n'était donc en rien une pause salutaire, puisque cela avait d'abord attiré mes soeurs, trop contentes de me voir les fesses à l'air sur les genoux maternels, cela avait ensuite mis la voisine au courant de ce qui m'arrivait jusqu'au détail de ma déculottée, et que maintenant Maman ayant la main reposée et mes fesses ayant perdu de leur rougeur, je me retrouvais en position de recevoir comme une nouvelle fessée...


Maman m'avait remise en position, dégageant ma lune,
et constatant combien mes fesses avaient déjà pâli...
Son bras aussi était reposé, et cela ne faisait qu'accroître
sa volonté de me corriger de façon exemplaire...  

Et puis, je me sentais si idiote d'avoir pris cette nouvelle colle en me moquant de celles qui se moquaient de mes fessées, comme si je n'avais pas pu me retenir, alors que c'était là le pire scénario, et que s'il y avait bien une chose dont je savais qu'elle me vaudrait une fessée, c'était bien une colle, et qui plus est en cours d'anglais...
Cette certitude de l'inéluctabilité de la fessée à venir m'amenait là, pour une fois, à devenir comme fataliste et à ne plus rien dire en attendant que les choses se passent, que la fessée ne tombe, comme une évidence...
Maman m'avait parfaitement repositionnée, prenant conscience de son côté de la nécessité de donner une fessée exemplaire, persuadée de bien faire, forte de son expérience qui la faisait penser que c'était là la seule méthode qui marche, la plus efficace pour ramener dans le droit chemin son ainée...
Je serrai les dents, et fermai les yeux quand je sentis qu'elle levait son bras pour donner la première claque. Je gémis quand elle tomba, me retenant de crier, alors qu'une salve de nouvelles claques s'abattit méthodiquement sur ma lune sans protection...
Je tentai encore de contenir mes réactions, mais la fessée ravivait la douleur sur mon épiderme déjà sensibilisé par la première dégelée d'avant l'arrivée de la voisine...
"Eh bien, voilà des fesses qui reprennent leurs bonnes couleurs", commenta Maman, avec un brin d'ironie... 
J'éclatai en sanglots, ressentant les effets de ce réchauffement, qui n'en rendait les claques que plus douloureuses. "Aïe, Maman, aïe, ouille" fis-je avec des petits cris que je ne pouvais plus retenir totalement...


   

Tombant sur un épiderme déjà récemment irrité,
les claques maternelles devinrent vite insupportables, 
et j'éclatai en sanglots, mes fesses reprenant très vite
leur couleur écarlate... 

"Oui, ça fait mal, Christine, la fessée... C'est fait pour cela, tu le sais bien... Tiens, tiens, tiens, et tiens... C'est pour t'enlever l'envie de recommencer, ma fille... Tiens, tiens, tiens... Pour que tu saches bien ce qui t'attend si tu recommences... Tiens, tiens, tiens..." lança Maman, martelant les mots, comme elle assénait les claques avec une force et une régularité impressionnantes...
Je commençais à perdre le contrôle de mes réactions. La fessée me faisait en effet mal comme rarement, en tombant sur une peau déjà sensible... Elle était également appliquée avec cette détermination, cette sorte de calme et de science, pourrait-on dire, que déployait Maman lors des grandes occasions, quand il fallait que la fessée soit mémorable...
Et cela durait, la douleur devenant de plus en plus vive, profonde dans ma chair, sur cette lune qui devenait brasier...
Je gigotai un moment, incapable de me retenir, tentant de me cabrer, mais vite re-bloquée par Maman, qui haussa le ton : "Arrête de gigoter, Christine. Tu sais que je n'aime pas ça", des mots qu'elle accompagna de cinq ou six claques en rafale, en plein milieu de mes fesses, qui me firent crier très fort.
Je tentai alors de passer de la force à la persuasion douce : "Oui, Maman, j'arrête... Mais, arrête aussi... Je ne recommencerai plus... Je te demande pardon, aïe, ouille, promis, j'ai compris, j'ai compris..."
Maman fit une pause, prit deux longues respirations. Je ne tentai pas de descendre de ses genoux, je savais bien qu'elle n'avait pas encore fini, même si j'avais l'impression d'avoir un volcan en bas du dos...
Elle se lança dans un sermon supplémentaire, levant les yeux au ciel, puis parlant devant ma lune écarlate : "Ah, Christine, je voudrais bien croire que tu as compris, et j'espère que cette bonne fessée va t'y aider... Mais, ce ne sont pas des paroles que je veux, mais des actes... A ton âge, tu devrais pourtant avoir plus de plomb dans la cervelle... Mais non, Mademoiselle bavarde encore comme une gamine, récolte encore des heures de colle des mêmes profs, à croire que tu cherches les ennuis, Christine... Mais, ce n'est pas moi qui céderai, Christine, et tu auras la fessée autant de fois qu'il le faudra, crois-moi..."


Levant les yeux au ciel, Maman se lança dans un sermon supplémentaire,
me faisant bien comprendre qu'elle ne céderait jamais,
et que je pouvais être sûre que je recevrais la fessée
autant de fois que je le mériterais... 

Je frissonnais en écoutant ces menaces, bien consciente qu'elles m'annonçaient un futur agité, chaud et coloré pour mes fesses...
Je suppliai doucement, affirmant avoir compris, promettant encore et encore de ne plus recommencer, et me laissant aller à pleurer à chaudes larmes...
Maman avait reposé son bras quelques longs instants, puis se redressa et resserra mon étreinte. Je savais que c'était l'instant de l'orage final. Je criai : "Non, Maman, non" !
Elle rétorqua : "Oh que si, Christine, la fessée continue... Je vais finir de rougir ces fesses comme elles le méritent... Tu savais bien quand tu as été collée, Christine, que tu recevrais encore une bonne fessée... Maman tient ses promesses et j'espère que tu t'en souviendras longtemps, ma fille... Tiens, tiens, et tiens... La voilà ta fessée, Christine, celle que tu attendais, tiens, tiens, tiens, et que tu as bien méritée, tiens, tiens, tiens, tiens et tiens !"
La tannée était éclatante, chaque claque semblant résonner dans toute la maison...
Je criai sans retenue, suppliant à haute voix, promettant tout et n'importe quoi, implorant Maman, sans même plus penser aux deux portes grandes ouvertes, qui faisaient profiter mes soeurs de la bande son de la fessée de leur aînée...
Sûr qu'elles n'en loupaient pas une miette et auraient de quoi se moquer en douce, mais je ne pouvais faire autrement tant la cuisson se prolongeait...




La tannée était éprouvante. Je ne retins plus mes cris. 
Je pleurais et suppliais, ne pensant même plus aux deux portes ouvertes,
et à mes soeurs qui devaient tout entendre...
Je chialais et implorais comme une gamine, promettant monts et merveilles... 

Je tentai même de m'échapper, donnant un moment une ruade désespérée. Mais, Maman réagit dans l'instant, me bloquant à nouveau et rajoutant une douzaine de claques terribles... Cela me fit cesser toute velléité de réaction. 
Maman avait comme toujours le denier mot, j'étais vaincue, sans force, lessivée, vannée, et le bas du dos écarlate et tanné version majuscule. Me voyant "calmée" pour ainsi dire, Maman paracheva son "oeuvre" par quelques claques plus modérées, avant quatre dernières bien appuyées et centrées, comme si elle appliquait un tampon "cuit à pont", me laissant tomber de ses genoux, épuisée, presque inerte, et le visage ravagé de larmes, à l'issue de cette fessée ô combien magistrale...
Par réflexe d'attachement, comme une volonté de me faire pardonner, je me penchai vers Maman, en sanglotant. Elle me serra dans ses bras un instant, avec un geste tendre, commentant : "Ah, Christine, quand arrêteras-tu de te conduire comme une gamine ? Tu l'avais bien méritée cette fessée... Maintenant, tu pleures, mais c'était avant qu'il fallait réfléchir..."


Maman me serra un instant dans ses bras,
me faisant comprendre qu'une fois la fessée donnée, la faute était pardonnée,
et qu'il ne tenait qu'à moi de ne plus en mériter... 
Sinon...  Sinon je savais ce qui m'attendait...

Je pleurai de plus belle, prolongeant l'étreinte de quelques secondes, puis Maman me relâcha, et  puis se releva pour quitter ma chambre, en disant : "Allez, c'est fini, et que cela te serve de leçon...Relève toi et rhabille toi, Christine. Cache-moi donc ces fesses bien rouges, à moins que tu ne veuilles que je m'en occupe encore..."
La phrase me sortit de ma torpeur, et je me relevai, titubante, en voyant Maman sortir en fermant la porte derrière elle... En me retournant, je vis que la glace de mon armoire me renvoyait l'image d'une lune écarlate et pleinement rougie, à croire que, comme en peinture, la deuxième couche rend mieux que la première...




Ma lune était pleinement rougie... Je la cachai vite,
n'ayant nulle envie que Maman s'en "occupe" encore...


A SUIVRE

139 commentaires:

  1. Chère Christine,

    Je viens d'effectuer une première lecture et comme je le pensais, la qualité du récit m'inspire ! Oh bien sûr ce n'est pas le premier sur le déroulement d'un « pendant » et suppose qu'il y en aura bien d'autres ! Désolé pour tes fesses Christinette !
    Sauf que celui-ci comporte un élément déjà citée par Christine dans d'autres, mais pas aussi présent et développé, assez rare, de mémoire seuls les récits de déculottées devant témoins (soeurettes ou Tata) y font référence à ce point, à savoir la notion de douleur qui surpasse, la pudeur et rend la fessée aussi insupportable ! Mais pour ne pas remuer davantage les méninges de Christine, je ne citerais pas de références !

    Il me semble que cette douleur, retranscrite avec beaucoup de justesse par vos soins, correspond à l'addition de différents facteurs cités dans le texte et sur lesquels, je reviendrais.

    Amicalement, Dominique

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  2. En entame de ce chapitre, vous dressez le bilan pour vous bien défavorable de cette visite impromptue : vos sœurs en auront profité pour jouir, certes brièvement, du spectacle de vos fesses nues, votre voisine aura été instruite de ce qui vous arrive, et ce commencement de fessée ne sera pas débité du compte que vous avez à solder.
    Passée cette préface, vous nous narrez par le menu un modèle de fessée maison, comme toujours divisée en trois parties, et souvent rythmée par des salves de trois claques. Je relève d’ailleurs le champ lexical de « l’expérience », voire de « l’expertise » dont fait preuve votre mère dans cet exercice : « méthodiquement », « régularité », « détermination » et même « science », voire « œuvre » (s’ajoutant à la « dextérité » caractérisant le déculottage du chapitre précédent).
    Vous usez également d’un vocabulaire parfois imagé soulignant l’intensité particulière de cette fessée des grands jours : « force », « claques en rafale », « tannée […] éclatante », « claques terribles », « version majuscule », qui côtoie celui exprimant votre ressenti : vous avez « mal comme rarement », vous subissez le « réchauffement » prodigué par des « claques […] douloureuses », subissez une douleur « vive, profonde ». Vous comparez votre derrière à « un brasier », puis même à « un volcan », tandis que la fessée elle-même se voit assimilée à « un orage », à une « cuisson », métaphores exprimant l’intensité calorique, voire sonore, et dont le champ sémantique (feu, lave, éclair) ramène systématiquement à la couleur rouge.
    Par ailleurs, vous jalonnez cette fessée de ces scènes attendues, si chères à votre lectorat. Christine qui tente d’abord de retenir ses cris, de se montrer stoïque, puis gémit à la première claque, pousse ensuite de petits cris, sanglote, avant de « perdre totalement le contrôle », de pleurer à chaudes larmes et enfin, abdiquant toute fierté, la douleur ayant annihilé la pudeur, de crier sans retenue, de supplier, d’implorer, sans plus se soucier de ce que ses deux sœurs peuvent entendre ou penser.
    Votre mère comme à son habitude exprime son expérience en la teintant d’une certaine ironie, en observant que vos fesses se colorent à nouveau, accompagne chaque claque d’une syllabe, enchaîne deux salves par un commentaire bien senti. Quant à vous, vous recourez bien inutilement à toute votre gamme d’échappatoires : vous vous cabrez, ne parvenant qu’à récolter une salve supplémentaire, vous invoquez la clémence maternelle, ce qui ne vous vaut qu’un sermon infantilisant (d’ailleurs, vous reconnaissez vous-même en être réduite à vous comporter « comme une gamine », ridiculement réduite à promettre tout et n’importe quoi pour que cesse la fessée) et ruez encore, ce qui là encore vous empêtre dans une décharge additionnelle.
    Je relève, au final, ce touchant geste de tendresse par lequel votre mère vous signifie que, la fessée administrée, la faute est maintenant pardonnée et la page peut se tourner. (Votre mère sachant ne pas se montrer ressassante ni rancunière.) Et le chapitre se clôt sur Christine visionnant avec émoi ses fesses écarlates, avant que de se rhabiller. Je gage que le suivant sera consacré au dimanche familial, ainsi qu’à l’écho que cette tannée rencontrera auprès de vos camarades.

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  3. Je rêve de voir les "copines" qui se moquent de Christine s'en prendre une bonne!

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  4. Chère Christine,
    Episode :

    Pour une Christinette, étalée pour la seconde fois au travers du giron maternel, sa lune amplement découverte et redevenue presque blanche, bien bloqué par le bras gauche de Maman !
    Certains mots de l'ultime sermon plombant littéralement son moral « Allez, on va reprendre tout à zéro. (...) Ce que tu as reçu tout à l'heure compte pour du beurre. (...) Tu vas l'avoir, cette bonne fessée que tu as méritée, Christine... » ! Toute manifestation supplémentaire de sa part, ayant un effet boomerang !
    Le constat est d'une simplicité déconcertante, ses fesses vont avoir pour leurs grades et ne peux que s'y résigner, son seul souhait étant qu'il n'y ait pas de nouvelle coupure imprévue, susceptible d'engendrer encore une fois, une reprise complète du service maternel.
    D'autant que cet intermède, que Christine aurait pu qualifier en BA de la voisine, n'était pour elle qu'une accumulation de points négatifs ! Déboulé des frangines, ravies de pouvoir poser un regard moqueur sur la grande sœur, allongée et déculottée sur les genoux de Maman, les fesses déjà rougies ! La voisine informée en détail, des déboires de l'aînée des Spaak ! La main de Maman ayant fait une longue pause et la coloration de ses fesses, s'étant estompée ! L'addition de ses éléments se soldant par un retour, au point de départ originel !

    Ce temps suspendu, dans l'attente de la première claque, ramène également son esprit à la genèse du moment présent ! Cette foutue colle obtenue bêtement, pour moquerie envers ses moqueuses, scénario ubuesque amenant la pire des choses, qu'il convenait d'éviter à tout prix, la conséquence maternelle étant connue et sans appel pour ce genre de sanction professorale ! Et cerise sur le gâteau, par cette prof, déjà pourvoyeuse de nombreuses déconvenues pour Christinette qui transforme de suite le « Puisque que ça vous fait rire, ce sera 2 heures de colle pour vous aussi, Christine ! » en « Christine, préparez donc vos fesses pour votre Maman, avec ces 2 heures de colle! ».
    D'où une Christine passive en cet instant, l'inéluctable s'étant déclenché en amont, la fessée qui va tomber ne devenant qu'une réalité tangible !
    A suivre.........

    Amicalement, Dominique

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  5. Dominique fait allusion à quelques références sur l'aspect d'une fessée qui devient insupportable et fait réagir sans retenue. Et de dire qu'il ne va pas citer les références pour ne pas "remuer" davantage mes méninges. Mais, quitte à faire des allusions, mieux vaudrait les faire jusqu'au bout, afin que je puisse éventuellement rebondir à mon tour, en les commentant.

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  6. Mardohl, revenu, ce qui apporte une touche de plus à ces commentaires, se livre à une analyse des mots employés qui est assez intéressante en effet.
    L'analyse de l'ironie maternelle comme celle de son geste tendre de pardon mettent bien en valeur l'aspect très humain, mais aussi réfléchi de ses méthodes, qui n'étaient en rien de simples accès de colère non maitrisés, au contraire.
    En revanche, le constat que la fessée est "jalonnée" de scènes "attendues" me parait logique. D'ailleurs, l'une des expressions fréquentes de Maman était que je savais "ce qui m'attendait" en cas de récidive. Elle-même aussi, se doutait bien de comment j'allais réagir, ou de quand je cachais quelque chose, ou encore de quand la bonne "dose" de fessée, si j'ose dire, était atteinte, de par justement des réactions auxquelles elle était pour ainsi dire "habituée".

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  7. Dominique, lui, en est resté à un premier commentaire partiel de cet épisode, ce qui en annonce encore au moins un ou deux autres, ce dont je ne me plaindrai pas, au contraire de Christinette (hi, hi...) qui n'apprécierait pas que l'on dissèque ainsi ses mésaventures.
    Dominique a en tout cas raison que cet intermède imprévu par la visite de la voisine, qui aurait pu être considéré comme une chance, ou un sursis permettant de gagner du temps, s'est au contraire avéré entièrement négatif, via le fait que les soeurettes ont eu droit à une vue imprenable sur la lune de leur ainée, bien en position et déjà rougissante, sans compter la mise au courant de la voisine, et le fait enfin que le début de fessée n'est compté que pour du beurre...
    C'est d'autant plus difficile à encaisser que, plus que dans bien d'autres cas, Christinette peut s'en vouloir, et n'est nullement étonnée de cette fessée imminente, tant elle est consciente d'avoir agi de façon étourdie, et amené Mlle Paule à une sanction évidente, que Christinette a, effectivement, traduit dans l'instant par le fait qu'elle allait devoir "préparer ses fesses"...

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  8. Chère Christine,
    Réponse à votre commentaire de 16h48 :

    Pour reprendre une expression de Jacques Brel, je cite : « Je trouve, que Madame, est gonflé !! ».

    En effet, après avoir été le seul commentateur sur l'épisode précédent et le premier à réagir sur celui-ci, le remerciement est plutôt du genre « Bien ! mais peux mieux faire », alors que mon désir était de préserver une Christine déjà bien tourmentée.
    Et puis, manque de bol, mon compère Mardohl m'a grillé la priorité d'une heure, le lendemain dans la livraison !
    Bon ceci dit, je ne lui en veux pas, ainsi qu'à vous non plus Christine, puisque vous vous êtes rattrapez avec la réponse à mon premier commentaire d'épisode, j'y réponds ci dessous et pour vous satisfaire pleinement suivra le deuxième volet de l'épisode !

    Amicalement, Dominique

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  9. Voyons, Dominique, vous devinez bien que la pseudo critique était en forme de jeu... Je n'allais pas écrire : Christinette voudrait savoir quels sont ces exemples ou références en question, alors que cela doit lui rappeler de bien claquants souvenirs...
    C'est gentil de votre part de vouloir me "préserver" mais vous savez aussi que ce genre d'allusion pique ma curiosité, et l'incite à vouloir découvrir quels sont ces souvenirs en question... Même si cela ravive la honte de Christinette...

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  10. Chère Christine,

    J'imagine bien que Christinette, n'apprécie pas la dissection de ses tourments, qui sont déjà bien difficiles à supporter, alors qu'une personne lui fasse revivre ces moments en les décryptant soit plutôt déplaisant, sauf que ce n'est pas moi qui publie ses mésaventures ! Hi, hi... !

    Sinon je me doutais que Christine apprécierait, notamment mon analyse sur l'intermède ou sur la traduction des paroles de Mlle Paule, par Christinette !
    Au passage, d'ailleurs je pense que Mlle Paule pouvait avoir, à mon avis, cette phrase plus claire en tête compte tenu des entretiens assez fréquents avec Madame Spaak, il me semble fort possible que Maman lui fait part de sa méthode, sans forcément entrer dans les détails (quoique) pour remettre Christine dans le droit chemin ! Epargnant néanmoins, à la demoiselle, de la prononcer en pleine classe et la mortifier comme jamais, surtout que cela ce serait ajouté aux railleries déjà existantes envers Christinette, des 2 autres récipiendaires de colle !

    Et s'il est vrai que Christine a fait preuve d'une grande étourderie en s'exclamant « Wouahou...Ca, c'est bien fait pour elles ! », sans l'excuser, on peux comprendre ce cri du cœur correspondant à une espèce de revanche, envers ces moqueuses de bas étages et donc Christine aurait eu trop honte, de divulguer le sujet de leurs railleries !

    Amicalement, Dominique

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  11. Chère Christine,
    Suite épisode :

    Maman de son coté, maîtrise parfaitement la situation, une Christine bien calée pour recevoir la sévère fessée qu'elle se doit d'exécuter, sans faiblesse, n'agissant que pour le bien d'une grande fille encore trop immature par moments et ne trouvant vraiment le bon itinéraire à suivre, qu'après l'application de ce moyen, efficace et prégnant.

    Christinette attentive au moindre mouvement maternel, réunie toutes ses forces, lorsqu'elle sent le bras de Maman s'élever vers le haut, afin d'atténuer son exclamation à la retombée de la main, pour ne pas offrir matière aux soeurettes et y parvient, n'émettant qu'un gémissement sous l'effet de l'impact ! Sauf que d'autres suivent en succession, Maman redélimitant la zone d'action sur ce fessier qu'elle avait déjà marquée avant l'intermède et en réveille l'irritation, Christine muselant tant bien que mal, ses émotions.
    D'autant que Maman ajoute, une gifle verbale ironique « Eh bien, voilà des fesses qui reprennent leurs bonnes couleurs » et fait craquer Christinette qui fond en larmes !
    La montée en température de sa lune attisant l'effet douloureux des claquées, l'amène néanmoins à lâcher une expression modérée « Aïe, Maman, aïe, ouille » sa résistance à la douleur s'estompant (comme la coloration de sa lune, durant l'interruption) face à l'expertise maternelle qui, elle le sait, aura très vite le dessus et battra en brèche, sa volonté de retenue et d'éventuelles réactions inutiles !

    D'ailleurs Maman confirme ce constat en se motivant ! Tant par la parole, que par les généreuses claques distribuées, elles, sans aucune retenue et sur un rythme très soutenu « Oui, ça fait mal, Christine, la fessée... C'est fait pour cela, tu le sais bien... Tiens, tiens, tiens, et tiens... C'est pour t'enlever l'envie de recommencer, ma fille... Tiens, tiens, tiens... Pour que tu saches bien ce qui t'attend si tu recommences... Tiens, tiens, tiens... » reflétant une volonté inflexible d'administrer une volée d'exception, le modèle d'anthologie réservé aux grandes causes et servie de façon rigoureuse, sans place pour la demi-mesure !
    Les claquées perdurant, Christinette commence à perdre pied sous cette douleur qui s'accroît de plus en plus et au plus profond d'elle-même ! L'incandescence de son fessier frisant la fournaise, celle-ci tente quelques mouvements échappatoires, sans succès, Maman accentuant son étreinte qu'elle accompagne d'une invective « Arrête de gigoter, Christine. Tu sais que je n'aime pas ça ! » et surtout d'une demi-douzaine de claques en bordée, au même endroit, faisant alors brailler Christine ! Comprenant qu'une lutte ne serait pas à son avantage, celle-ci change de stratégie avec une approche plus calme et l'idée de convaincre « Oui, Maman, j'arrête... Mais, arrête aussi... Je ne recommencerai plus... Je te demande pardon, aïe, ouille, promis, j'ai compris, j'ai compris... » sans plus de résultats malheureusement, mais reste tranquille lors d'une pause de Maman.

    Trop long, suite ci dessous......

    Amicalement, Dominique

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  12. Chère Christine,
    Suite du précédent...

    Celle-ci en profitant pour adresser un dernier sermon, avec une certaine lassitude, « Ah, Christine, je voudrais bien croire que tu as compris, et j'espère que cette bonne fessée va t'y aider... Mais, ce ne sont pas des paroles que je veux, mais des actes... A ton âge, tu devrais pourtant avoir plus de plomb dans la cervelle... Mais non, Mademoiselle bavarde encore comme une gamine, récolte encore des heures de colle des mêmes profs, à croire que tu cherches les ennuis, Christine... Mais, ce n'est pas moi qui céderai, Christine, et tu auras la fessée autant de fois qu'il le faudra, crois-moi... » ! Cela fait frémir une Christinette aux fesses écarlates et à laquelle Maman prédit déjà un avenir tourmenté, aussi brûlant et éclatant, que celui de l'instant présent ! Qui prie avec soumission, réitérant sa compréhension et ses promesses, le tout associé à de grosses larmes de rédemption!

    A suivre......

    Amicalement, Dominique

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  13. Chère Christine,

    Rassurez vous, Christine, j'avais compris qu'il ne s'agissait pas d'une critique et comme votre curiosité vous incite à un retour sur image, je vais la satisfaire de suite !

    La malade imaginaire (4 et 5) du 12/10/2010
    La malade imaginaire (17) du 13/11/2010
    La tuile en maths (suite 4) du 17/02/2011
    Le beau temps ne dure pas éternellement..(7) du 16/07/2011

    Voilà quelques anciennes références ou la notion de douleur prend plus ou moins le pas sur la pudeur, j'en évoquerais d'autres, mais qui me semble appartenir à la chronique du Redoublement.

    Amitiés et à bientôt.......

    Amicalement, Dominique

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  14. Chère Christine,
    Message à l'attention de Christinette, au sujet de sa remarque de 16h48.

    « Dis-moi, ma petite Christinette ! Je ne crois pas que Maman apprécierait de savoir que tu te permets de mettre en doute, la mémoire et les propos d'un adulte ayant presque 4 fois ton âge !
    Et pour ta gouverne, je viens de transmettre à ton avatar quelques références qui te démontreront, ce qui arrive aux gamines impertinentes de ton espèce ! Alors je ne saurais trop te conseiller à l'avenir, de tourner sept fois ta langue, dans la bouche avant de parler, si tu veux éviter de retrouver la position que tu viens d'occuper, pour ton exclamation en cours d'anglais ! Tu vois, ce je veux dire ? »

    Amicalement, Dominique

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  15. Merci Dominique, pour ces références judicieuses. Ce sont hélas autant d'exemples qui montrent que Maman ne donnait pas de demi-portions de fessées à son aînée... Et que même si je tentais de retenir mes réactions, surtout quand les soeurettes regardaient ou écoutaient,il y avait bien un moment où je ne me contrôlais plus...
    Cela dit, Monsieur Dominique, Christinette ne met surtout pas en doute vos propos, ni votre mémoire, et je vous demande instamment de n'en rien dire à Maman Spaak...
    D'autant que vous n'avez pas besoin d'en dire plus : oui, je vois tout à fait ce que vous voulez dire... et je n'ai nulle envie de contrarier Maman qui n'hésiterait pas à me faire retrouver la "position" à laquelle vous faites allusion...

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  16. Chère Christine,

    « Christinette, je constate avec bonheur que tu fais acte de rédemption, c'est bien, il est juste dommage de devoir te menacer pour en arriver là ! Néanmoins, sur ce coup, comme tu me semble sincère et tu n'a pas envie de contrarier Maman (ce qui est judicieux), je vais accéder à ta demande, afin de t'éviter d'avoir à lui expliquer ta réaction impétueuse et qu'elle décide alors d'en discuter, à sa manière (qui n'a pas tes faveurs) avec une partie anatomique plus rebondie de ta petite personne, que tu préfère bien enveloppée, plutôt qu'à l'air libre ! N'est ce pas ? »

    Par contre là, je m'adresse à Christine et c'est moins bien, pour elle !
    En effet, Chère Conteuse, vous avez laissé la parole à Christinette et je vous en remercie ! Mais je constate que sur 4 textes transmis, un seul fait l'objet d'une réaction et plus que courte, pour transposer je crois que Christinette aurait adoré que Maman soit aussi brève à certains moments !

    Bon ceci dit, compte tenu de l'heure de transmission, je vous laisse le bénéfice du doute en pensant que vous n'aviez pas le temps matériel d'élaborer quelque chose du plus conséquent et j'espère que vous saurez vous reprendre en « main », toute seule......, sans aide dévouée !

    Amicalement, Dominique

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  17. Pas le temps en effet, Dominique, surtout après huit envois en moins d'une journée...
    Cela dit, je ne peux répondre à tout, d'autant que vous vous répondez et complétez aussi, Mardohl et Dominique. Et, en plus, vous êtes sur deux textes à la fois, alors que je suis déjà, en pensée dans celui à écrire à la suite...
    Merci de votre compréhension.

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  18. Chère Christine,

    S'il est vrai que j'ai fait un peu fort avec huit envois en une journée, je vois que Christine c'est huit jours de silence qu'elle s'accorde, chapeau Madame la conteuse ! Alors espérons que durant ce temps, elle aura au moins travaillé sur la préparation de sa prochaine rédaction, pour éviter de ramener une mauvaise note qui chagrinerait à coup sûr, Maman Spaak encore obliger de rappeler à Christinette, la notion d'effort d'une façon concrète et palpable qui n'a pas trop les faveurs de la demoiselle ! Il me semble inutile d'être plus précis, en la matière, n'est ce pas Cricri ?

    Amicalement, Dominique

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  19. Désolée, Dominique, mais comme souvent en cette période de l'année je suis débordée de travail, ce qui est normal dans l'événementiel, où les beaux jours et autres périodes festives sont propices à l'activité.
    Je privilégie donc d'abord ce qui me nourrit, vous le comprendrez.
    Pour le reste, je n'ai même pas pris le temps de répondre encore aux différents commentaires dominicains et mardohliens. Quant à la suite du récit, ne dites rien à Mme Spaak, car j'avoue ne pas avoir encore écrit la moindre ligne... Pour ma défense, je dirais simplement que, comme aucune date précise n'est fixée, je ne me bile pas trop. C'est comme quand j'avais huit jours pour rendre un devoir ou une rédaction, j'avais tendance à ne m'y mettre que deux jours avant, voire la veille... Et cela n'était pas du goût de ma chère mère, je veux bien l'admettre...

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  20. Allez, je prends le temps quand même pour remercier l'archiviste en chef de ces références au sujet de ces "moments où la douleur prend le pas sur la pudeur" comme dit Dominique.
    L'exemple du 16/07/11 est assez "parlant" en la matière. La volonté maternelle de donner une fessée exemplaire après 37 jours de répit amène Maman à appliquer une tannée magistrale que j'encaisse en tentant de modérer mes réactions jusqu'à ce que la "cuisson" n'ait raison de ma résistance, et me fasse piailler alors que mes soeurettes aux aguets derrière la fenêtre entrouverte assistaient en douce au "spectacle"...

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  21. Chère Christine,
    Réponse au message de 11h49.

    Ah, je comprends mieux l'occupation professionnelle élevée du moment, pour Christine, puisque mon fils aîné est également dans ce milieu (Technicien son et lumière), il suffisait de le dire et si ça peux vous rassurez, dans une semaine ou deux je serais dans le même cas (station fruitière).
    Pour la rédaction, je n'en soufflerais mot à Mme votre mère, dans la mesure ou vous faites votre mea-culpa, même si je constate que les vieilles habitudes de Christinette qui horripilaient Maman n'ont pas disparues du style « Oui, mais tu sais, j'avais fait mes cents lignes comme la prof l'avait demandé » (La curiosité insistante de Tata, du 27/01/2011) et je pourrais en citer beaucoup d'autres, mais bon « Soit cool avec Cricri, Dom et n'en rajoute pas ! »

    Amicalement, Dominique

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  22. Chère Christine,
    Réponse au message de 12h00.

    « C'est bein vrai, ma pauve Lucette ! Non zut, c'est ma pauve Christinette ! Que tant dans l'épisode du 16/07/2011, que dans celui-ci la mimine de Maman à fait des ravages et offert toute la palette nuancée de rouge, à ta lune dévoilée, qui aurait préféré rester immaculée ! »
    Et là, s'en est fini de la grande demoiselle, qui sous l'avalanche insupportable, se soucie moins de sa situation impudique, que de la CUISSON qui rôti trop son cuir, entraînant l'abandon de sa maîtrise vocale et de son statut, n'étant plus qu'une fillette perclus de douleurs, qui s'exprime sans retenue !

    « Parce qu'elle a trop bobo, avec cette grosse fessée de Maman ! » comme pourrais le dire, les soeurettes et en particulier Diane.

    Bon ok, ça c'était pas forcément utile et gentil de l'écrire, je l'avoue ! Mais je voulais offrir une cerise sur le gâteau à Christine et Christinette, avant la suite ! En parlant de cela et pour me rattraper, si je puis dire, j'enverrais un peu plus tard la fin de l'épisode que j'ai rédigé !

    Amicalement, Dominique

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  23. Joliment retrouvé l'exemple de la curiosité insistante de Tata. Christinette avait alors réussi à faire ses cent lignes sans s'en vanter auprès de Maman, tout comme elle ne se vanterait pas dans la situation actuelle qu'elle n'a pas encore écrit la moindre ligne de la suite...
    Le problème dans ladite référence, c'est que notre petite ville provoquait bien des rencontres fortuites, et que celle de la prof d'histoire géo avait eu de fâcheuses conséquences que Tata avait devinées quand Maman avait appelé pour que je rentre plus vite...
    Mais, quels sont donc ces "beaucoup d'autres exemples" que l'archiviste pourrait citer ?

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  24. Dans le message suivant de Dominique, j'apprends que "la suite de l'épisode" est rédigée. Merci d'avance alors...
    Sinon, dis-je en riant, c'est bien Christinette et non Lucette, screugneugneu...
    Et, pas la peine non plus de me rappeler que mes soeurettes savaient interpréter justement quand je me mettais à crier, à promettre monts et merveilles, à supplier sans retenue, parce que la "grosse fessée" de Maman faisait "trop bobo" à la grande soeur...

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  25. Chère Christine,

    Je me doute bien que Christinette (et non Lucette, hi,hi...) n'irait pas la bouche enfarinée, même avec quelques trémolos, dire à Maman :
    « Euh, Maman, faut qu'jte dise que, euh... j'ai pas écrit une seule ligne de la rédac à rendre demain et qui était dans mon cartable depuis la semaine dernière ! Mais euh, j'peux t'expliquer, c'est pas d'ma faute tu sais ! T'inquiète, j'm'y met tout de suite » !

    Là, il est facile d'imaginer la réponse de Maman prononcée sur un ton monocorde, emprunt d'une colère rentrée pas bon du du tout pour la fifille, du style :
    « Oh mais j'y compte bien que tu vas m'expliquer, Christine ! Je ne suis pas inquiète, par contre toi tu devrais l'être, car si je me doute que tu as préparé de bons arguments surtout en huit jours de temps, je ne saurais trop te conseiller de préparer également autre chose et pas pour dans huit jours ! Allez file dans ta chambre, je finis ma couture et je te rejoins, pour une bonne conversation avec tes fesses, crois-moi que je vais la gravée dans ta mémoire, tu peux me faire confiance ! ».

    Bien sûr que Tata avait bien deviné, ce qui attendait sa nièce adorée, sa sœur ne lui demandant pas un retour immédiat de sa fille, pour faire du tricot !
    Tant qu'aux « exemples » donc j'affirme l'existence, Christinette tient-elle vraiment que je lui remémore ses fameuses petites phrases de défense puériles, qui avaient surtout le don d'énerver davantage Maman et ne pouvaient de toute façon, la sauver d'une bonne déculottée promise et méritée ! Mais si elle insiste, pas de problème, au prochain envoi elle y aura droit !

    Concernant les malicieuses soeurettes, désolé pour la grande sœur, mais c'était trop tentant, car elles aussi avaient un vocabulaire bien fourni ou des mimiques imagées, pour les causeries entre Maman et Christine ! Là, elle va grogner ! Pour mon pardon, j'envoie la suite.

    Amicalement, Dominique

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  26. Chère Christine,
    Suite épisode :

    Cette attitude sincère de Christine, ne change rien à l'affaire, bien au contraire ! Maman se doit de la punir pour cette nouvelle récidive inexcusable, en ce dernier mois crucial et d'autant plus qu'elle n'a pas manqué une occasion, depuis sa dernière fessée devant ses sœurs, de lui rappeler qu'aucun écart ne lui serait toléré ou alors la demoiselle n'aurait qu'à préparer ses fesses !
    Mais comme Christine n'a pas tenu compte de ces avertissements répétés, elle va donc pouvoir constater une nouvelle fois que Maman honore toujours les promesses jusqu'au bout ! Ses sempiternels prières n'ayant aucune influence sur la volonté maternelle, de lui administrer une volée magistrale et mémorable !
    Maman se repositionnant et resserrant l'entrave, Christine saisie de suite qu'elle va repartir de plus belle, ayant détendu son bras au cours de cette pause plus longue que d'habitude et crie à qui veux l'entendre sa peur « Non, Maman, Non ! » n'émouvant en rien Maman, qui se relance tant en paroles affligeantes, qu'en claquées appuyées et sévères « Oh que si, Christine, la fessée continue... Je vais finir de rougir ces fesses comme elles le méritent... Tu savais bien quand tu as été collée, Christine, que tu recevrais encore une bonne fessée... Maman tient ses promesses et j'espère que tu t'en souviendras longtemps, ma fille... Tiens, tiens, et tiens... La voilà ta fessée, Christine, celle que tu attendais, tiens, tiens, tiens, et que tu as bien méritée, tiens, tiens, tiens, tiens et tiens ! ».

    La tannée tourne au cauchemar pour une Christinette, se lâchant complément sous l'effet cuisant qui perdure encore et encore ! Braillant et conjurant sans réserve, jurant tout ce qui lui passe par la tête, quémandant en chialant comme une gamine, l'arrêt des hostilités ! L'épreuve l'amenant aux limites de sa douleur et de son endurance !
    Celle-ci ne cessant toujours pas, Christine dans un dernier sursaut d'énergie, tente une échappée pour forcer le destin, mais n'obtient qu'une nouvelle salve de claques gigantesques, qui l'achève !
    Maman gardant le leadership des opérations, Christinette capitule, défaite dans les grandes largeurs, brisée et anéantie par ses deux hémisphères ponceau au bas du dos, façonnés grand modèle, made in Maman Spaak !
    Maman qui n'est pas un bourreau, constatant l'abandon de Christine, estime donc la leçon suffisante et décide d'en finir en apposant, une dernière volée de claques retenues, avant quatre finales plus conséquentes au centre de la cible, tel le maître signant sa composition ! Et libère sa fille, la laissant choir de ses genoux, éreintée, sans force et ruinée par les larmes, suite à cette raclée incomparable !

    Christinette telle une gamine en peine, souhaitant le pardon, sollicite sa Maman en sanglotant qui lui ouvre ses bras et la serre contre elle tendrement, tout en recadrant la situation « Ah, Christine, quand arrêteras-tu de te conduire comme une gamine ? Tu l'avais bien méritée cette fessée... Maintenant, tu pleures, mais c'était avant qu'il fallait réfléchir..." donnant plus de larmes à sa fille, qui se blottit davantage ! Puis Maman se relevant pour quitter la chambre ajoute une touche finale, qui ramène Christine sur terre « Allez, c'est fini, et que cela te serve de leçon...Relève toi et rhabille toi, Christine. Cache-moi donc ces fesses bien rouges, à moins que tu ne veuilles que je m'en occupe encore... » et l'incite à se rajuster, constatant au passage, que sa lune affiche maintenant une couleur très vive, après cette seconde couche jugée nécessaire par Maman, la première n'étant qu'une ébauche bien pâle, à ses yeux !

    En conclusion, je dirais que cette volée magistrale et mémorable, peux figurer aux premiers rangs des annales fessesques d'une Christinette, entrée dans un « après » qui risque également d'apporter son lot d'émotions insupportables !

    Amicalement, Dominique

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  27. Des exemples de "petites phrases puériles", pfff, Dominique dit n'importe quoi... Comment les imaginer dans la bouche d'une grande comme Christinette ?
    C'est bon pour Diane et Aline, qui parlaient comme les gamines qu'elles étaient. Même, hélas, je l'avoue, pour se moquer de leur ainée, mais dire que Christinette les employait, je demande à voir... Ou alors, j'ai oublié, ou alors c'était à des moments où je ne me contrôlais pas...

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  28. Cela dit, bon commentaire de Dominique sur la scène en cours. La persistance de Maman à appliquer une tannée exemplaire est logique dans un contexte où Christine a été prévenue plutôt vingt fois qu'une que ce dernier mois devait être un mois de travail appliqué et sans la moindre remarque professorale, et bien sûr sans heures de colle...
    Le résultat de l'erreur de Christine ne peut donc être que cette fessée promise à maintes reprises, qui plus est en présence des soeurs qui ne comprendraient pas que Maman ne sévisse point...
    Pour ce qui est de la volonté christinienne de se sentir pardonnée, c'est là aussi logique. Cette fois-là, contrairement à d'autres fois où je me sentais punie injustement(même si elles étaient rares, commentera peut-être l'archiviste), je n'avais aucun doute sur ce qui allait m'arriver, et une fois la fessée reçue, je voulais que Maman exprime bien que la page était tournée, que justice avait été faite, si j'ose dire, et qu'il n'y avait plus à en parler... Du moins était-ce ma volonté à moi...

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  29. Chère Christine,

    C'est le moins qu'on puisse dire, que Christine a été prévenue plutôt «vingt fois, qu'une» par Maman chérie, des conséquences qu'aurait tout nouveau dérapage en ce dernier mois, déjà lors de sa volée sous le regard des soeurettes, aux suites amenant Christinette à cette grosse bourde pour une nouvelle tannée ou au cours du mois, la demoiselle manifestant quelques signes inquiétants où bien encore lorsque Aline joue les doublures, pour une volée quasi-Christinienne !

    Christine ne peux donc jouer la surprise ou crier à l'injustice (j'en confirme au passage la rareté, voire même l'inexistence, sauf dans l'esprit d'une Christinette), d'où en effet se besoin de pardon exprimé par la demoiselle auprès de Maman, qui accède à l'élan sincère de sa grande fillette punie comme elle le méritait, pour son erreur et conforte en quelque sorte, sa pensée d'avoir simplement accompli son devoir de mère aimante et stricte envers ses filles, même si cela la chagrine de devoir encore agir de cette façon avec son aînée, qui n'est plus une petite fille.

    Tant qu'aux «petites phrases puériles» que la soi-disant grande Christinette réfute avoir prononcée ou alors dans un moment d'égarement, j'en cite une ou deux au hasard (avant recherche) pour démonter que la bouche de la «grande» Christinette n'avait rien à envier dans les sornettes aux soeurettes, lorsqu'elle expliquait à Maman que la pauve Cricri était encore victime du destin ou des autres !
    «Euh, mais Maman, euh, c'est Anne qui parlait le plus, jt'e promets» ou «Mais, euh, Maman, on est toute une rangée à avoir été collé, euh...».

    Alors je vais faire mon devoir d'archiviste et je crois que la «grande» Christinette ne sera pas déçue du voyage, comme lorsque Maman effectue le sien ! Tant pis pour elle, ça aussi, elle l'aura bien cherchée, non mais !!!!

    Amicalement, Dominique

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  30. Chère Christine,

    J'ajoute une petite suite à mon commentaire d'hier.

    Comme Maman Spaak (souvent), j'ai l'impression qu'en ce moment Christinette file un mauvais coton, se la jouant genre «P'tite demoiselle, je conteste et je ronchonne» avec une pensée du style :

    « Flûte alors, ils sont vraiment tous casse-pieds à me rabâcher, sans cesse les mêmes choses, comme à une idiote qui comprends rien ! Bon c'est vrai, que «parfois» je suis un peu tête en l'air et que j'oublie, mes bonnes résolutions au collège ou à la maison, comme mes copines et puis je le fait pas exprès et c'est souvent à cause des autres ! Et j'ai beau le répéter à Maman, elle s'en moque et me dis toujours (C'est toi ma fille que j'élève, pas les autres, alors tu sais ce que je t'ai promis ?). Bah ça, pour sûr que je peux pas l'oublier, à force de l'entendre me le dire ! Alors si en plus, d'autres me sortent des trucs insensés pour une grande fille comme moi ! Je crie STOP, ARRETEZ, vous dites n'importe quoi, je le crois pas ! Vous m'énervez avec ces «on-dit», ça c'est encore un coup de mes pipelettes de sœurs, c'est sûr elles en ratent pas une pour se moquer et me foutre la honte ! Tiens, j'aurai envie de les griffer ou même de leur coller des baffes, pour rabaisser leurs caquets, pfff... »

    Alors au risque de lui déplaire davantage, en effectuant ma recherche pour ses «phrases puériles» de fillette et sur la seule «chronique actuelle» qui en fourmillent, j'ai pu en ma qualité d'expert, constater qu'au cours de ces disons 50 semaines (à ce jour) de «Redoublement» passées depuis l'annonce !
    Notre si charmante et mignonne collégienne (qu'elle se dit être) a, tout de même, essuyée la bagatelle de 19 conversations particulières de Maman, plus ou moins consistantes et pour des motifs aussi variés qu'inexcusables à ses yeux, scolaires bien sûr (colles, mauvaises notes, lignes ou devoirs supplémentaires), mais aussi extra-scolaires quoique souvent liés (humeur délétère ou colérique, mensonges, tricherie de gamine), la demoiselle s'évertuant à justifier, l'indéfendable de façon maladroite, telle une gamine apeurée, capable en ce cas de tout dire et surtout n'importe quoi, pour échapper à son sort, ceci sans compter les sempiternelles suppliques toutes aussi «puériles» lors de la phase concrète.

    « En conclusion, ma grande Christinette, la moyenne est d'environ, une b.... f..... toutes les deux à trois semaines, tu vois je suis gentil, j'ai pas écris les mots  ! Désolé pour ce bilan (non définitif) pas très positif, de ton année et je t'invite alors à bien réfléchir (même si tu t'y refuses et avant que je t'en donne la preuve) au nombre de sornettes, que tu as pu débiter en ces occasions ! Je t'en sais capable si tu le veux, tout comme Maman qui te le répétait fréquemment, certes pas seulement en paroles, je l'admets, mais le résultat est là ! »

    Bon sur ce, je prépare cela et espère que Christine ne se sentira pas surchargée par ces deux textes (je rigole, hi, hi...)

    Amicalement, Dominique

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  31. Bonsoir Christine.

    Me voici de retour après quelque temps d'absence dû en parti à mon travail. En effet, l'année scolaire s'achève et comme chaque année, il me faut préparer (avec beaucoup de difficultés) les élèves de 6 et 5ème pour la fête de fin d'année scolaire. Enfin...

    Mais revenons à cet épisode 102, déjà bien commenté par Dominique et Mardohl.

    De mon côté je ne suis pas surprise du tout de la suite des évênements. A mon avis la voisine a écourté sa visite du fait de l'intervention de Diane auprès de Maman Spaak.

    Christinette qui aurait peut être pu bénéficier (comme elle le pensait d'ailleurs) d'un sursis (en attendant le bulletin de colle) s'est vue récoltée une déculottée de Maman des grand jours. L'intervention de Diane y est pour quelque chose.

    D'ailleurs, c'est là que je suis un peu surprise, car l'intervention de Diane en présence de la voisine aurait mérité une sévère mise au point de Maman (mais peut être que cela viendra) et ce, malgré sa remontrance de Maman devant la voisine.

    Par ailleurs, vous ne faites aucune allusion de la discussion entre Maman et la voisine durant sa courte visite, mais tout laisse à penser que cette dernière a du s'excuser d'avoir dérangé, d'être passée au mauvais moment. Mais j'imagine que ni vous, ni vos sœurettes n'ont pu entendre la conversation.

    Enfin, la déculottée, bien que moins démonstrative que la précédente, est tout de même un modèle du genre et au-delà de la honte qu'elle procure à notre pré-ado, c'est la douleur qui prévaut. Maman n'y est pas allée de main morte comme on dit. Je ne sais pas où elle prend une telle énergie, mais notre Christinette a du souffrir le martyr et ne plus sentir ses fesses après une telle volée ou du moins avoir un brasier sur les fesses à ne plus pouvoir s'asseoir pendant quelques minutes.

    Voilà, Christine, ce que je retiens de cet épisode palpitant en sois et dont la suite devrait être un vrai calvaire pour notre héroïne. Tout un week-end à passer avec à la clé les punitions de Maman (privation de fête, interdiction de jouer etc..) et ne parlons même pas du retour au collège, l'arrivée du bulletin de colle et ces fameuses heures de colle du samedi en présence de Brigitte et de Babette.

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  32. Que Sylvie se rassure, Maman savait aussi remettre Diane à sa place. Mais,il ne faut pas oublier que la plus petite de mes soeurs avait cinq ans de moins que moi, et était donc une petite gamine, qui croyait bien faire en disant tout ce qui n'allait pas à Maman. Mais, comme j'ai déjà donné divers exemples, sa "curiosité" excessive ou son côté petite rapporteuse ont aussi été sanctionnés quand Maman le jugeait bon.
    Effectivement, je n'ai pas eu connaissance de l'échange entre Maman et la voisine, mais ce que vous imaginez est très crédible. Il est vraisemblable qu'elle se soit trouvée gênée de "déranger" Maman dans une situation si particulière...
    J'imagine Maman la rassurer en la remerciant pour ses plants à repiquer, et en ajoutant que je ne perdais rien pour attendre...
    Sur ce, la conversation s'est poursuivie autour du jardinage et des conseils de la voisine qui, effectivement, a certainement décliné l'invitation de Maman à rentrer prendre un café, pour "ne pas déranger davantage".
    Je vois bien la voisine s'en retourner ensuite chez elle, après avoir souhaité "bon courage" à Maman avec un air compatissant. Et Maman de répondre par un refrain du genre : "C'est vrai qu'il en faut, mais vous savez, je ne peux pas me permettre de laisser Christine n'en faire qu'à sa tête et gâcher ses chances, surtout en cette année de redoublement... Alors, pas question de changer de méthode, et je vais aller de ce pas lui donner la bonne fessée qu'elle a bien méritée..."
    Et Maman a tenu sa promesse...

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  33. La "petite" suite de commentaire de Dominique est très intéressante, même si Christinette, elle, enragerait en la lisant...
    Sûr qu'elle n'appréciera pas non plus l'évocation de ses phrases puériles prononcées dans le feu de l'action...
    Cela dit, l'archiviste a encore frappé, en donnant un chiffre en forme de bilan provisoire de cette "année de redoublement", qui effectivement a débuté à l'annonce du redoublement, l'année précédente, donc il y a bien 49 à 50 semaines.
    Dominique a répertorié "dix-neuf conversations particulières" entre Maman et son ainée, pour ne pas dire entre sa main et le bas du dos de sa grande fille. Je pourrais me consoler en me disant que c'est moins de deux par mois, c'est environ une tous les dix-huit jours, soit presque trois semaines, alors que la fin de la première Cinquième avait été plus agitée...
    Heureusement que je n'avais pas à cette époque d'archiviste pour me dresser un tableau de bord de mes activités fessières...
    J'étais alors surtout captivée, non par le nombre de fessées reçues, mais par les délais, quand il y avait une période d'accalmie, et que parfois je me vantais (intérieurement bien sûr, et surtout sans le dire à personne) d'avoir passé le cap d'une semaine de plus ou celui d'un mois sans retrouver les genoux maternels... sans, comme le suggère Dominique, en ne donnant que les initiales, recevoir une b... f...
    Et, si j'ai réussi, dans cette année, à avoir parfois des périodes de répit, ce n'est pas la peine, Dominique, de jouer les oiseaux de mauvaise augure, en ajoutant au terme bilan, la qualificatif (non définitif) qui, même entre parenthèses, tendrait à faire angoisser Christinette qui espère bien s'arrêter là...

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  34. Chère Christine,
    Erreur de transmission, message du 19/05/

    C'est le moins qu'on puisse dire, que Christine a été prévenue plutôt «vingt fois, qu'une» par Maman chérie, des conséquences qu'aurait tout nouveau dérapage en ce dernier mois, déjà lors de sa volée sous le regard des soeurettes, aux suites amenant Christinette à cette grosse bourde pour une nouvelle tannée ou au cours du mois, la demoiselle manifestant quelques signes inquiétants où bien encore lorsque Aline joue les doublures, pour une volée quasi-Christinienne !

    Christine ne peux donc jouer la surprise ou crier à l'injustice (j'en confirme au passage la rareté, voire même l'inexistence, sauf dans l'esprit d'une Christinette), d'où en effet se besoin de pardon exprimé par la demoiselle auprès de Maman, qui accède à l'élan sincère de sa grande fillette punie comme elle le méritait, pour son erreur et conforte en quelque sorte, sa pensée d'avoir simplement accompli son devoir de mère aimante et stricte envers ses filles, même si cela la chagrine de devoir encore agir de cette façon avec son aînée, qui n'est plus une petite fille.

    Tant qu'aux «petites phrases puériles» que la soi-disant grande Christinette réfute avoir prononcée ou alors dans un moment d'égarement, j'en cite une ou deux au hasard (avant recherche) pour démonter que la bouche de la «grande» Christinette n'avait rien à envier dans les sornettes aux soeurettes, lorsqu'elle expliquait à Maman que la pauve Cricri était encore victime du destin ou des autres !
    «Euh, mais Maman, euh, c'est Anne qui parlait le plus, jt'e promets» ou «Mais, euh, Maman, on est toute une rangée à avoir été collé, euh...».

    Alors je vais faire mon devoir d'archiviste et je crois que la «grande» Christinette ne sera pas déçue du voyage, comme lorsque Maman effectue le sien ! Tant pis pour elle, ça aussi, elle l'aura bien cherchée, non mais !!!!

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  35. Nos messages ont dû se croiser... Les grands esprits se rencontrent, dit-on. Mais, Christinette préfère quand Dominique a les mêmes réflexions qu'elle, et non les mêmes que celles de sa mère...

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  36. Chère Christine,

    Que Christinette enrage à la lecture de mes commentaires, n'a rien de surprenant, puisque ceux-ci la plupart du temps remue un peu trop le couteau dans la plaie et ont tendance à raviver les angoisses d'une petite Cricri ayant le c... entre deux chaises, Maman qui ne laisse rien passer et sanctionne avec une détermination sans faille et des moqueuses de tous bords très actives, soeurettes et depuis peu les copines renseignées par une source sûre, de ses déboires. Il est donc certain qu'elle n'appréciera pas celui de ses petites phrases puériles et pourtant bien réelles !

    En dehors de ça, je me doute que Christine comptabilisait davantage les jours successifs sans F...., que le nombre qu'elle pouvait recevoir sur une période donnée, d'autant que chacune d'elle était à chaque fois une F..... à part entière et incomparable à la précédente dans l'esprit de Christinette, sauf le fait que cela en faisait une de plus.
    Tant qu'à l'oiseau de mauvaise augure, il est simplement pragmatique et comme Maman Spaak, légèrement incrédule aux belles paroles de Christinette, à laquelle je souhaite néanmoins de tout cœur d'en avoir fini, avec ses entretiens maternels particuliers pour ce «redoublement».

    Amicalement, Dominique

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  37. Chère Christine,

    «Désolé Christinette, mais comme tu le sais, Dominique épouse plus facilement les réflexions de ta mère, que les tiennes ! A l'inverse du Minot, qui comprend bien ton désarroi et le partage, d'autant que j'crois que ce grand dadais à l'intention d'envoyer la suite de mon samedi ! Bon ça t'aidera pas beaucoup, mais au moins tu te sentiras peut-être moins seule ! Jt'e fais un gros poutou de soutien, pour l'après, qui risque d'être difficile à supporter et d'apporter encore des émotions, comme moi !»

    Sinon, chère conteuse, il est vrai que les grands esprits se rencontrent et c'est très agréable, ceci dit je pense que Christinette n'a pas fini de ronchonner à mes écrits, d'autant que comme je vous l'ai promis, je prépare des commentaires sur les anciens textes, alors !!!

    Amicalement, Dominique

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  38. Chère Christine,

    Avant de transmettre, le sujet chagrin pour Christinette et la suite du Minot, je voudrais revenir sur l'indication que vous mentionnée dans votre première réponse du 22 et que voici :
    «alors que la fin de la première Cinquième avait été plus agitée...
    Heureusement que je n'avais pas à cette époque d'archiviste pour me dresser un tableau de bord de mes activités fessières...».
    Ce qui laisserait sous entendre que Christine a donc encore sous le coude, un certain nombre de déboires de Christinette non développés, malgré ceux déjà fournis en dehors de la chronique et nous promets «peut-être» quelques tranches de vie piquantes et épiques !

    Ok, c'est pas très gentil pour la grande «fifille» toute mignonne et sage qu'elle est assurément........... parfois et qui ravie sa Maman chérie......enfin pas tout le temps ! N'exagérons pas....hi, hi !!!

    Amicalement, Dominique

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  39. "Pragmatique" Dominique ? Pfff, je veux bien admettre qu'il a parfois (pour ne pas dire souvent) raison, mais quand même, à peine sortie, dans l'histoire, de ma fâcheuse posture, qu'il n'a d'ailleurs sûrement compter que pour une b... f... alors qu'il y a eu deux déculottées consécutives... ce n'est pas la peine d'en rajouter dans le genre oiseau de mauvais augure.... Pfff...

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  40. Chère Christine,

    Voilà que Cricri se fait grognon, envers le commentateur zélé, réactif, archiviste compétent qu'elle qualifie d'oiseau de mauvaise augure, lui reprochant d'en rajouter et de la chagriner, alors que celui-ci fait preuve de mansuétude en ne comptant qu'une B...F..., sa dernière déconvenue ! Tout ça parce que la demoiselle digère mal le fait que sa petite culotte, ait été baissée par deux fois ! On croit rêver, d'autant que la première claquée n'a pas été si aussi terrible que ça, Christinette surjouant un peu, dans l'espoir d'amadouer Maman qui ne se laisse pas duper, fort heureusement ! Non mais!

    Amicalement, Dominique

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  41. Chère Christine,

    Christine, tout d'abord je vous présente mes respects du matin et en celui-ci, je vais essayer de compenser les petits désagréments que le Dr Archive cause en ce moment, à la mignonne et toute gentille Cricri, sous la forme d'un message de soutien qui j'espère lui donnera un peu de baume au cœur et que je lui livre, avec un petit nœud rose !

    Ma chère petite Christinette,

    En prenant mon petit-déjeuner, j'ai eu comme un flash en repensant à ta position matinale très inconfortable de ce samedi matin ! Et le voici, en fait ta lune que la main de Maman vient de parcourir sur tous les contours et par deux fois devrait, sauf cataclysme imprévu ou idée saugrenue de vengeance de ta part (ce donc je doute), pouvoir se reposer durant ce week-end et probablement au cours des prochains jours, ça l'avenir nous le dira !
    Par contre ce samedi est à peine entamé et suivi du dimanche ! Donc si je considère que Maman à libéré (et dans les grandes largeurs) son courroux concernant ta petite personne ! Les deux petites punaises vont se retrouver, en ligne de mire maternelle et notamment Diane qui s'est vu rembarrer, lorsque comme toute gamine de cet âge, elle est venue rapporter à Maman, que selon elle tu n'avais pas respecter les consignes !
    Alors j'imagine que bercées par l'euphorie, d'avoir vu la grande sœur déculottée et étalée sur le giron maternel, se faisant claquer le popotin une première fois et profité ensuite d'une bande son de qualité, les portes étant ouvertes et toi, ma pauvre Cricri, incapable malgré ta volonté, de retenir les grandes émotions provoquées par cette volée, très majuscule d'une Maman décidée à marquer de son empreinte, la détermination qui l'habite en ce dernier mois crucial ! Il me semble envisageable, que malgré la méfiance dont-elles faire preuve, par peur de s'en prendre une aussi, l'une ou l'autre voire les deux ne commettent l'erreur fatale conduisant la main de Maman à explorer de nouveau une ou deux lunes découvertes, certes moins épanouies, mais accueillantes et cerise sur le gâteau, sous les yeux d'une Christinette, appréciant toute en modération ce juste retour des choses !
    Voilà, ma grande, c'était ma pensée positive du matin donc la réalisation ne serait pas pour te déplaire, j'en suis convaincu ! Je t'embrasse, si tu le permets !

    Sur ce, Christine, je vais reprendre ma seconde activité et honorer le titre que j'ai reçu pour celle-ci, vous avez deviné je suppose ?

    Amicalement, Dominique

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  42. Je vais en rougir de honte... N'avez-vous pas, cher Dominique, autre chose à imaginer en prenant votre petit-déjeuner que de penser à ma lune, et à la main maternelle qui en "parcourt tous les contours", qui plus est... deux fois de suite...?
    Alors, c'est bien gentil de faire croire que les soeurettes pourraient suivre l'exemple de leur ainée durant le week-end... Mais, c'est oublier que, si la vision de ma lune rougie exposée sur les genoux de Maman la première fois, puis l'écoute en stéréo de la suite de ma fessée, ont réjoui mes petites soeurs, a contrario le fait que Maman soit intraitable les pousse à redoubler d'attention, sachant que notre chère mère n'hésiterait pas un instant pour leur faire subir le même sort, du moins proportionnellement à leur âge...
    Alors, comme "pensée positive du matin", elle se pose là...
    Surtout qu'elle se complète par une promesse de l'archiviste de recommencer à me rappeler quelques épisodes claquants pour mon bas du dos, où j'aurais tenu un langage de gamine...
    Je préférerais que vous n'en fassiez rien... Cela m'éviterait de repenser à des moments que je voudrais oublier...
    Mais, vous allez me dire que, comme Maman Spaak, vous, au moins, tenez vos promesses...

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  43. Chère Christine,

    Ah, bah flûte alors, moi qui croyait faire plaisir Christinette, voilà que Christine rougirait à mes pensées matinales ! Mais, euh..., j'y peux rien ma pauve Cricri, euh..., c'est pas moi, euh... ! C'est vous Christine, euh..., qui racontez toutes ces choses sur Christinette, euh.... moi je fais que reprendre ce qui est écrit, euh... et puis, c'est bien vous qui m'avez quand même provoqué sur l'histoire du langage de gamine, alors....qui sème le vent, récolte la f...., euh, non, la tempête... !

    Bon, sinon, je me doute bien que les sœurettes vont vachement se méfier, entre ce qu'elles ont vu au premier tour et entendu au deuxième, j'imagine qu'elles n'ont aucune envie de prendre la suite de la grande sœur, car même si Maman adapte le traitement à leur condition de gamine, ça fera quand même très bobo aux f....f.... !

    Et puis tant qu'aux promesses, c'est exact l'archiviste les tient comme Maman, c'est dommage pour Christinette je l'admets et qu'elle veuille oublier ces moments, ce serait alors dramatique pour nous, plus de lectures intéressantes, plus de commentaires à rédiger ! Oh, non, j'ose pas y penser !

    Amicalement, Dominique

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  44. Pfff... "Bobo aux fefesses" ? Voilà Dominique qui se met au langage de gamine... On aura tout vu... Même si je n'aime pas cette expression, pour l'avoir entendu à diverses reprises dans les discussions de mes soeurettes, surtout après avoir parfois réussi à surprendre en douce une scène entre Maman et moi, ou pire encore lorsque cela arrivait que je sois punie volontairement devant les petites...
    Et, j'imagine bien que si l'une ou l'autre d'entre elles utilisait cette expression en se vantant "d'avoir tout vu" de la dernière punition de son aînée, cela ne pouvait que susciter toute une série de questions de la part de son interlocuteur ou interlocutrice...
    "Tu as tout vu, donc ? Alors, raconte... C'était pourquoi qu'elle était punie ? Ca c'est passé quand, où, comment, etc ? Dis, c'est vrai qu'elle lui a baissé sa culotte , Alors, tu as vu ses fesses ? Etc., etc., etc."
    Cela dit, je vais donc devoir subir les commentaires et références éclairées de l'archiviste en chef... Je veux bien admettre que si je n'avais pas confié tous ces souvenirs de mon histoire, il n'y aurait pas place aux analyses et autres remarques étayées par des exemples précis... Je ne dois donc m'en plaindre qu'à moi, surtout que je sais bien que Dominique tient autant ses promesses que Maman Spaak ne le faisait à l'encontre de sa grande fille quand celle-ci s'entêtait, récidivait, mentait ou je ne sais quel grief à propos desquels les menaces maternelles avaient été claires et souvent répétées, et pour lesquelles je ne pouvais jouer l'ignorante, tant je "savais" parfaitement ce qui "m'attendait". Et, pas besoin là encore de vous faire un dessin... non ?

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  45. Ma très chère Christine, je n'ai utilisé l'expression de gamine, comme les «euh..., euh....» que dans l'idée de vous mettre dans l'ambiance, de ce fameux commentaire de l'archiviste en chef, qui va suivre prochainement, en effet ! De plus le choix du «Bobo aux fefesses» n'était pas anodin, imaginant que vous déjà l'aviez entendu de la part de vos sœurettes, tout comme moi et même de l'utiliser, aujourd'hui, envers mes petits enfants, lorsqu'ils leur arrivent de faire des bêtises, du style «Oh, mais si Maman apprend ça ou qu'elle te vois faire, tu risque bien d'avoir bobo aux fefesses, dis-moi ?», ce qui généralement le ou la fait rougir avec un petit sourire et ne pas tenter le diable, en écoutant Papy (car il l'a dit avec sa grosse voix) ! Je pense que vous ne m'en voudrez pas, de ce petit hors cadre, plutôt mignon.

    Sinon, concernant vos sœurettes, je n'ai aucun mal à imaginer qu'elle puissent utiliser, la panoplie que vous citez, en racontant vos mésaventures auxquelles elles avaient assisté, notamment Diane avec Charline !

    Et je tiens à féliciter Christinette, pour cet élan de franchise et d'honnêteté, reconnaissant et citant (chose rare) ses petits travers récurrents, pour lesquelles Maman ne pouvait qu'agir en conséquence, l'ayant maintes fois menacée des conséquences ! La demoiselle ne pouvant jouer l'innocente qui sort de sa boîte et ne «savait» pas ce qu'elle «encourait» ! Tant qu'au dessin, il est inutile, même je ne doute pas de ses talents, de dessinatrice et puis pour ne rien vous cachez, comme les sœurettes, j'ai quelque images gravées au fond de ma petite cervelle !

    A bientôt, pour un «Oh, la, la, la ! Le bougre ! Et en plus, il a raison !» Hi, hi...

    Amicalement, Dominique

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  46. Oui, le bougre, en effet... J'imagine bien qu'il n'y a pas besoin de lui faire un dessin après tous les détails donnés dans mes récits... Même sans dessin, il a de quoi se faire une image très fidèle de ce que je craignais et de ce qui m'attendait certains jours, dont en plus Dominique s'amuse à donner le nombre... Comme si c'était intéressant...
    Heureusement pour moi, le fameux commentaire "qui va suivre prochainement" reste dans les seules intentions, et j'en suis fort aise...
    Plus tard il viendra, et c'est déjà ça de gagné...

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  47. Dominique parle de "la panoplie" de ce qu'elles pouvaient utiliser en "racontant mes mésaventures"...
    C'est vrai que je prenais mal le fait qu'elles s'arrêtent à des détails, et surtout que cela fasse l'objet de questions de la part de la personne qui recueillait ces confidences.
    Déjà, se raconter entre soeurs, ou le confier à des copines que "Christine a encore reçu la fessée", était rien que cela apte à me faire rougir de honte. Ne serait-ce que parce que le "encore" faisait imaginer des épisodes précédents, et était donc dans mon esprit inutile à colporter...
    Sauf que, même cette phrase simple, suscitait des questions et des échanges encore plus troublants, encore plus gênants...
    Si je pouvais admettre que l'on demande "pourquoi" j'avais été punie, je prenais forcément plus mal les questions sur le où j'avais été fessée, le quand c'était, et évidemment l'ensemble des questions posées ou détails fournis sur le "comment".
    Entendre, ou même simplement savoir, deviner que Diane ou Aline ont expliqué que la grande soeur était en telle tenue, qu'elle suppliait, que Maman lui a baissé sa culotte, que ses fesses étaient blanches et tremblantes, puis tout ce que l'on peut dire jusqu'au constat d'une lune écarlate et d'une Christinette au visage ruiné de larmes, que c'était dur à encaisser...

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  48. Réponse au message de 15h55.

    Je confirme que l'image que j'ai en tête de par vos récits, sur la crainte d'une Christinette rentrant après son programme collégiale du jour, pour celui un peu trop répétitif à son goût, de Maman en certains soirs est parfaite et je dirais même, du genre haute définition.
    Pour le comptage ou les comptages donnés par mes soins, ce n'est que la preuve d'une qualité d'expertise reconnue au Dr Archive, mettant simplement en exergue les qualités d'une consœur experte, dans une autre matière qu'il est inutile de citer, mais qu'une petite demoiselle aux travers récurrents ne semble pas apprécier les biens faits ! On se demande bien pourquoi ?
    D'ailleurs je constate, que cette dernière fait une nouvelle fois, ses choux gras, que ce bon docteur à l'image du facteur, n'est pas encore délivré l'ordonnance aux prescriptions plutôt désagréables, qui lui fait «gagner» du temps, même s'il n'amenuise pas l'angoisse!

    Amicalement, Dominique

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  49. Réponse au message de 16h16.

    Je partage complètement ce ressenti de difficulté que l'on éprouve, à l'évocation de ses déboires ! C'était déjà dur, lorsque celle-ci se faisait entre les adultes au même courant de pensées, échangeant de façon moralisatrice sur l'accomplissant du devoir, ne citant que le «pourquoi» et le «comment» général du style «Oh c'est simple, il où elle a pris une bonne déculottée, point final» où «Bah, il où elle s'en est ramassé une sévère, croyez-moi !», le tout souvent accompagné d'un geste répété de la main parfaitement significatif !
    Mais c'était encore plus dur, en effet, lorsqu'il s'agissait de plus jeunes gamins ou pire du même âge, qui malgré qu'ils soient soumis au même régime pour la plupart, ne pouvaient s'empêcher en se racontant la dernière du frère, de la sœur ou d'un(e) camarades, d'ajouter force de détails en rigolant et souvent même, en mimant l'action.

    Je comprends donc fort bien, ce sentiment que je vais étayer, par une suite du Minot (promise il y a peu), qui apaisera peut-être un peu, le coté chonchon de Christinette à mon égard, avant que.........!Chuuuut, tais-toi !

    Amicalement, Dominique

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  50. Suite du Minot :

    Puis Maman, m'invita à m'asseoir dans le canapé, il n'y avait que nous trois dans la maison et elle engagea la discussion avec sa sœur, tout en m'interrogeant et repasser le message, par la parole cette fois, afin que je saisisse qu'elle m'avait corrigé pour mon bien et par devoir, non par plaisir !C'était son habitude, comme une sorte de rappel et de mise en garde pour l'avenir !

    «Tu vois, Mireille, ton neveu n'est pas idiot et je crois qu'il a bien compris la leçon, que si Maman l'a corrigé sévèrement comme un vilain garnement, malgré ses 12 ans, c'est qu'il l'avait vraiment mérité ! Tant pour sa bêtise, que le dépassement des limites, depuis un bon moment ! N'est ce pas Minot ?».
    Maman avait raison, bien sûr, mais lui répondre un «Oui, M'man» tout court ! C'était à mon esprit comme lui dire «Oh oui, M'man ! Merci pour cette sévère déculottée, j'en avais besoin et t'a bien fait de ml'à donner !». Non, impossible ! Ravalant ma salive, je fît un petit «oui» de la tête, ajoutant «Bah, tu sais, M'man, j'étais pas seul pour la lampe et puis j'serais plus sage, promis, juré M'man !»

    Sans le savoir, je venais de fournir à Maman, le lien lui permettant en accord avec sa sœur d'appeler Tata Jeannine pour l'informer des suites que la lampe cassée, venait de me valoir et l'inciter en toute justice, à faire de même avec Eric, qu'elle ne punissait plus de cette façon depuis l'âge de 8/9 ans ! C'était pas gagné, mais Maman qui était aussi sa marraine et n'hésitait pas, elle, à le déculotter pour lui filer une volée, avait un certain aura sur sa jeune belle-sœur !

    «En effet, Dominique, tu n'es pas le seul concerné pour la lampe et tu sais que si cela s'était produit ici, Eric aussi n'aurait pas échappé à la déculottée, comme cela lui est déjà arrivé plusieurs fois avec sa marraine chérie ! Alors je vais donc appeler ta Tante, pour lui dire qu'il serait juste, qu'elle punisse aussi Eric pour ça ! Tata Mireille est d'accord avec moi ! Et toi, mon chéri ?».

    Sa question me surpris, me demander un avis sur l'une de ses décisions, c'était pas le genre à la maison que les parents aient besoin de l'accord des enfants (sauf mon frère aîné) pour leurs actions.

    Prenant un temps de réflexion, avant de répondre, me vînt immédiatement à l'esprit que Maman allait donc forcement évoquer le type de punition, détails compris et préciser qu'entre la désobéissance et la bêtise, celle-ci ne pouvait être que sévère! Ce qui me gênais vraiment, mais d'un autre coté le fait qu'Eric soit également punit (enfin peut-être) me paraissait juste et quelque peu consolateur pour moi, même si cela n'effacerait pas ma tannée, je s'rais moins seul dans la douleur et la honte !
    C'est donc la voix hésitante que je répondis «Bah.., euh... Voui..et Non... ! En fait, j'sais pas trop, M'man! Et puis c'est toi qui décide, pas moi !», interloquée Maman me dit alors, avec un sourire.

    «Bien sûr, que c'est moi qui décide, mon chéri ! Mais ta réponse de normand, ne m'aide pas vraiment et je crois surtout deviner, qu'une chose t'ennuies dans mon idée et je le comprends ! Mais toi, tu dois comprendre que pour une justice équitable, il faut que je sois assez claire pour convaincre ta Tante d'agir de la même façon! Et tu sais que Maman t'aime et t'a pardonné, alors même si c'est difficile pour toi, je t'écoute ! Fais-moi plaisir, montre nous que tu es grand!».

    A suivre.......

    Amicalement, Dominique

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  51. Une image "haute définition" ! Dominique s'en vante même... Heureusement qu'il n'a pas précisé qu'il a en tête une image en couleurs qui évoluent au fil de la scène du blanc au rouge écarlate... Ni qu'il peut sans se tromper en reconstituer comme si il l'entendait la bande son en stéréo faite de claquements caractéristiques d'une réception sur une cible dénuée de toute protection, de cris, de remontrances et de supplications...
    Ah, franchement, je ne trouve pas cela drôle du tout...

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  52. Moi, au lieu de me moquer, je compatis avec le Minot, d'autant que lui a deux Tantes proches, alors que je n'en avais qu'une.
    Déjà que Mireille était aux premières loges pour constater l'efficacité des méthodes de sa sœur, il faut que ce soit devant elle que Maman demande au Minot si elle doit prévenir la mère d'Eric et l'inciter à agir de la même manière...
    Si effectivement j'imagine que le Minot, sans être consolé pour autant, ne verrait pas d'un mauvais œil que son cousin subisse le même sort que lui, cela veut dire une fois de plus que les mésaventures du Minot vont être dites et redites au sein de la famille, avec détails gênants certainement. Et là dessus, Christinette sait de quoi elle parle...

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  53. Chère Christine,

    Bon je reconnais que c'est pas drôle et que j'aurais pu me passer, du qualificatif HD, mille excuses Christinette ! Mais vous voyez que je me suis tout de même limité à l'image, sans ajouter les suppositions que vous citez et bizarrement, j'ai le sentiment que vous lisez en moi, comme dans un livre ouvert, avec la capacité de transcrire mes pensées, même non écrites !

    «Ah , c'est pas possible, il insiste le bougre !»

    Amicalement, Dominique

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  54. Chère Christine,

    Minot vous remercie pour la compassion et comme vous le remarquez judicieusement, celui-ci a deux Tantes proches (en fait j'en ais même une troisième, que je ne voyais qu'aux enterrements), dont une à demeure et aux premières loges, en effet, des actions redoutables de sa sœur ! J'ajoute en plus (même s'il je l'ai déjà dit) qu'elle était également pratiquante, envers nous tous ! Du style, un train peut en cacher un autre, une mère cachait une sœur et vice versa ! Ce qui fait que pour nous, il était bien difficile d'échapper à l'une ou à l'autre, si vous voyez ce que je veux dire... ? Tandis qu'avec la tante Jeannine, c'était plus tranquille avant ce fameux samedi ! Mais je vous réserve cela, dans les suites du Minot, dont je livre un exemplaire ci-dessous.

    Amicalement, Dominique

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  55. Chère Christine,
    Suite du Minot :

    Mis en confiance, par les paroles de Maman, je livrais timidement le fond de ma pensée !

    «Bah, en fait qu'Eric soit aussi punit, serait juste puisque nous avons tous les deux désobéi à Tata, ce qui a entraîné notre grosse bêtise ! Pour ça, j'suis d'accord avec toi, Maman !».

    Puis, me triturant les mains, arborant un visage de garçonnet malade, mon regard naviguait alternativement de mes cuisses au visage de Maman, recherchant comme une aide tellement j'étais mal à l'aise, éprouvant de grosses difficultés à poursuivre ! Maman se fît alors souriante et me dit très gentiment.

    «C'est bien, mon grand, tu es honnête et tu reconnaît l'erreur, vous conduisant à la bêtise, je t'en félicite ! Alors maintenant, tu peux me dire ce qui te pose problème, même si j'en ai une petite idée ! Allez, mon chéri, vide ton sac, je te promets que tu te sentira bien mieux après, fais confiance à Maman !».
    Rassuré par la douceur de Maman, je repris avec néanmoins une certaine émotion dans la voix !

    «Bah, ce qu'y a, M'man, c'est que quand tu vas dire à Tata, qu'tu m'a puni pour la bêtise et qui s'rait donc juste qu'Eric le soit aussi ! Es va t'dire qu'a l'a djà fait, l'aut'e jour et là......, bah...., euh.....tu vois quoi ? Y faudra qu'tu dise tout....c'que t'a fait quoi... !!! Et ça... ! C'est trop la honte pour moi, tu vois, M'man, hein dis.... ?».

    En lâchant ça, j'me sentais tout chose, mes yeux s'embuaient et Maman saisissant mon trouble, caressa ma joue d'une main douce, avant de me relever le menton d'un doigt pour la regarder et repris la parole.

    «Minot, j'ai sais que ta fierté t'empêche de mettre les mots, sur ce qui t'es arrivé, mais que tu méritais ! Nous sommes d'accord, fiston ?», me laissant le temps de répondre j'émis un petit «Oui, M'man, sniff...» avant de poursuivre !

    «Dis-toi, tout d'abord, que Tante Jeannine sait parfaitement que cette punition est toujours en vigueur, dans notre maison et souviens-toi qu'aux dernières vacances de Pâques, ton cousin s'en est pris une aussi, lorsque vous espionniez les filles et n'était pas plus fier que toi, après ! Et le lendemain, avant que j'appelle sa mère pour l'informer, comme d'habitude il m'a supplier de ne pas dire comment je l'avais puni et qu'il m'aimait toujours autant ! Sauf que ta tante, estime que ses enfants sont trop grands maintenant et pense qu'ils la détesterait, si elle l'utilisait encore, c'est tout ! Donc rassure-toi, je n'aurais qu'à lui dire que tu as reçu une bonne volée, sans la détailler et la convaincre d'en faire autant, avec son fils ! Alors comme tu le vois, je peux déjà lui glisser cette histoire ou d'autres qu'elle ne connaît pas, donc quelques unes qui pourraient bien la surprendre ! Toi aussi par la même occasion !».

    Les derniers mots de Maman m'intriguaient, que ne savais-je pas ?

    A suivre.......

    Amicalement, Dominique

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  56. Pfff, je savais bien que Dominique n'avait pas que l'image dans sa tête et que, comme mes sœurettes, il imaginait aisément la bande son avec ses détails caractéristiques... Ainsi que les nuances de couleurs.... Heureusement que je ne lui demande pas de me le prouver, il serait capable d'illustrer ce propos par quelques images ou sons qui me mettraient mal à l'aise...
    Sinon, l'archiviste se mue aussi en roi du suspense... Par chance, il ne publie pas le résultat de ses recherches sur de soi-disant propos de gamine que j'aurais tenus...
    Mais, voici qu'il nous tient en haleine avec des phrases énigmatiques de la Maman du Minot, qui risquent de ne pas être de bon augure pour lui... J'ai hâte de savoir ce qu'il en est...

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  57. Chère Christine,
    Suite du Minot :

    Vers 17 h, Maman appela donc Tante Jeannine, en ma présence et celle de Tata Mireille ! Sur la conversation je n'allais entendre que la voix de Maman, mais à ses réactions ou ses réponses, je vous pouvais presque en déduire ce que Tante Jeannine disait à l'autre bout du fil, d'autant que Tata Mireille qui avait l'écouteur réagissait également !

    «Jeannine ?....C'est Liliane...........»
    «Non, non, il est rentré en entier, t'inquiète il va bien, enfin presque !......»
    «Non, en fait je t'appelle au sujet de la lampe cassé, pour te dire que j'ai envoyé un mandat ce matin et que je m'arrangerais avec Minot, pour qu'il me rembourse l'argent, ça c'est une chose ! Mais aussi t'informer qu'en début d'après-midi, je l'ais puni pour t'avoir désobéi en lui collant la bonne volée qu'il méritait» suivit d'un blanc pour moi où Maman dodelinait de la tête et Tata Mireille faisait des commentaires, en chuchotant avec des petits gestes parlant, avant de m'interroger.
    «La belle affaire ! Privé de télé et consigné dans le canapé ! Tu parles d'une punition, c'est comme si tu sifflait dans un violon, le soir même ils y pensent plus ! Tandis qu'une dégelée carabinée, on l'oublie pas si vite, voire même jamais ! Hein, mon neveu ?».

    Rougissant, je balbutiait un «Vouiii, vouiii, Tata» timide et en sourdine, l'évocation spontanée, sans malveillance de ma tante, ravivant mon passé mortifiant très récent. Puis Maman reprit la parole, se lançant dans un monologue plus incisif, en reprenant le commentaire de sa sœur et démontrer tranquillement, à sa belle-sœur, que ses enfants malgré la différence de régime, aimaient venir chez leur Tante Liliane qu'ils adoraient, même si sa main manquait parfois de tendresse !

    «Excuse-moi, Jeannine ! Que tu penses qu'une privation de télé ou je ne sais quoi d'autres soit suffisamment marquante aujourd'hui, à l'esprit de tes enfants, lorsqu'ils font des bêtises ou prennent un peu trop de liberté avec toi ! Je veux bien, c'est ton choix ! Mais je doute sincèrement, que ce soit réellement efficace, tes enfants comme les miens, attendant qu'on leurs donnent de vrais repères, d'affections ou de sanctions, sans tomber dans l'excès ! J'en veux pour preuve l'enthousiasme qu'expriment Eric et Nathalie à venir chez leur Tata Lily comme ils disent, même si quand c'est nécessaire je deviens plutôt la Tante Fouettard ! Bien entendu, les miens aussi apprécient de venir chez toi et t'aiment, c'est certain ! Mais vois-tu et cet un hasard, dernièrement au cours d'une conversation avec mes grandes filles (16 et 18 ans) sur tout et rien, Sylvie (la plus jeune) qui est plus entière que sa sœur, nous a sorti en souriant, que si mes punitions sont tangibles pour la peau durant un moment, la cervelle les enregistrent bien et pour plus longtemps, que d'autres qui passent d'une oreille à l'autre, sans faire d'arrêt ! Donc sans être une tortionnaire, je crois qu'il est utile de mettre les points sur I et les barres aux T, quand la parole ou le dialogue ne donnent pas les résultats escomptés ! Par conséquent, dans un souci de justice équitable, je trouverais normal que mon neveu soit sanctionné de la même façon, le temps passé n'ayant pas d'influence, sur la faute commise si importance est bien expliquée !».

    Après ce discours maternel ininterrompu, qui m'impressionna et m'apparaissait comme un sermon, au cours duquel, si Maman n'avait employé aucun mot précis, ses expressions étaient significatives même pour retranscrire les paroles de ma sœur, qui la connaissant devaient être tout autres ! On n'entendait que le tic-tac de l'horloge au salon ! Supposant qu'à l'autre bout du fil ma tante devait y réfléchir !

    A suivre....
    Amicalement, Dominique

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  58. Non, bien sûr , pas question de "provoquer" le fidèle commentateur sur sa capacité à imaginer et transposer ses pensées en les illustrant... J'aurais trop peur que Christinette en soit vraiment gênée... Mais, et surtout ne le répétez pas, cela titille un peu la curiosité de Christine...
    Sinon, Christine tend aussi l'oreille pour écouter la suite et fin du cours de téléphone de Maman Liliane... Que va donc décider Jeannine ? Et quelles sont donc ces histoires qui pourraient surprendre aussi bien Tante Jeannine que le Minot ?

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  59. Chère Christine,

    Promis, Christine, je tiendrais ma langue et n'en soufflerais pas un mot à Christinette, mais pour satisfaire votre curiosité, ma chère conteuse, vous aurez droit, à un développé personnel sur le sujet ! Néanmoins pour les images, je vous renverrais vers vos textes, ce sera plus simple.
    Je vous l'ai déjà dit, avec moi, il vous suffit de demander pour être servi ! Pas comme avec Maman, qui répondait, avant même d'improbables demandes de Christinette, si vous voyez ce que je veux dire ?
    Sinon, pour le Minot, tendez l'oreille bien sûr, mais lisez surtout la suite du discours persuasif de Maman, qui savait y faire comme pour d'autres choses plus tangibles, ci-dessous. Cela titillera un peu plus votre appétit, qui me ravit, avant la réponse aux questions que je finalise !

    En dehors de cela et complètement hors sujet (quoique!), ne sachant si vous êtes concernée personnellement, mais fera sans doute plaisir aussi à Madame Spaak ! Je tiens à souhaiter une bonne fêtes à toutes les Mamans du monde et à vous, bien sûr en particulier, me permettant dans ce cas de vous embrasser, en toute amitiés.

    Amicalement, Dominique

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  60. Chère Christine,
    Suite du Minot :

    Maman et Tata Mireille mimait ce long silence, dans l'attente de la réaction de ma tante et moi, un peu déconcerté, je les observais à tour de rôle guettant le moindre changement d'attitude pouvant refléter la reprise de la conversation ! D'un coup, l'expression de leurs visages repassa en mode écoute et Maman ouvrit la bouche !

    «Oui, Jeannine, nous t'écoutons !» puis un nouveau blanc pour moi, par contre je voyais bien la tête des deux sœurs osciller, de haut en bas ou de droite à gauche, se jetant des regards complices montrant qu'elles avaient le même avis, sur ce qu'elles entendaient ! Puis Maman répondis !

    «En effet, Jeannine, c'est oui à tes deux questions, tu as bien traduit ce que j'ai dis ! Concernant la première, excuse-moi, mais tes scrupules pudibonds vis à vis d'Eric ou Nathalie, j'appelle ça de l'enfantillage et je le prends surtout pour un aveu de faiblesse de ta part ! Et en tant que mère de famille, responsable et garante de la bonne éducation, comme nous autres ! Il t'appartient d'utiliser tous les moyens à ta disposition pour la faire respecter, sans culpabiliser ou t'imposer des interdits ridicules, pour t'empêcher d'agir comme tu devrais le faire et te donner bonne conscience ! Maintenant pour ce qui est de ta deuxième interrogation ! Et bien, Jeannine, je confirme ta pensée sur le fait que la règle est toujours en vigueur ici, lorsqu'elle s'impose et que nous en faisons usage, quelque soit celui ou celle, qui l'a mérite, sans faire de distinction !........................».

    «Ah ! Tu aurais aimer que je t'en parle ! Certes, j'aurais pu ! Mais sincèrement à quoi cela aurait servi ? L'affaire étant réglée, je n'y reviens déjà pas avec eux et ils ne m'ont jamais manifesté de rancœur, bien au contraire ! Alors t'en parler, ne me paraissait pas utile et encore moins pour eux, à moins de vouloir leurs ressasser, un bref souvenir de vacances pas très glorieux, au milieu de tant d'autres bien plus agréables ! Et si tu en doute, interroge les sur le sujet, tu verras bien!»

    Maman se mis alors en position d'écoute plus attentive, souriante et me faisant des petites mimiques avec sa bouche que je ne comprenais pas et des clins d'œil, pas plus compréhensibles, mai qui semblaient vouloir dire que la balance commençait à pencher en sa faveur et la conversation reprit de plus belle.

    «Ah, tu viens de leurs demander et alors ?......... Quoi ! Oui, quand ils étaient petits, mais depuis c'est comme avec toi, ni plus, ni moins !»

    Tata Mireille et Maman, partirent dans un éclat de rire, donc la raison m'échappait un peu, mais que Maman allait éclaircir dans tous les sens du terme et me mettre mal à l'aise!

    «Non, non excuse-moi, Jeannine, j'ai pas pu me retenir ! Bon, c'est vrai que comme je te l'ai dit, tout à l'heure, je deviens Tata Fouettard, selon le degré de gravité des faits ou quand ils récidivent! En fait vois-tu, Jeannine, je crois surtout que tes gamins ne sont pas très fiers et plutôt honteux, de t'avouer que Tata Lily, elle, donne encore de bonnes déculottées, s'il le faut ! D'ailleurs, lorsque je t'appelle pour t'informer, que ce soit Eric ou Nathalie, ils veulent pas que je te le dise ! Ce que je leur concède volontiers, la fessée étant reçue et la faute pardonnée, inutile d'en rajouter ! Et je suis bien d'accord, qu'à plus de 12 ans, ce genre d'aveu soit difficile à faire !..............»

    A suivre......

    Amicalement, Dominique

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  61. Le coup de fil se prolonge, et je reste dans l'attente, comme devait l'être le Minot, car même si Liliane utilise des paraphrases, chacun comprend bien que l'on ne parle pas ici de recettes de cuisine, mais plutôt de la façon de ramener un rejeton dans le droit chemin... J'aimerais bien savoir ce qu'il va en sortir de ce dialogue assez gênant pour qui a pris déjà une bonne déculottée...

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  62. Chère Christine,

    En effet, les paraphrases de Maman sont claires et sa dernière élocution, comportait déjà quelques mots très précis, sans référence avec des recettes de cuisine, mise à part le mijotage qui pouvait se lier à mon angoisse du moment. La suite vous parviendra sous peu et dites vous déjà que certains participants vont devoir faire face, à quelques soucis, votre interrogation/supposition pourrait bien prendre forme, mais je n'en dis pas plus pour le moment.

    Amicalement, Dominique

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  63. Chère Christine,

    Dans le mémo précédent, j'ai oublié de vous donnez une information me concernant, à partir de demain la campagne des fruits, démarre, je serais donc un peu moins disponible dans les horaires, mais je m'efforcerais de consulter et transmettre, autant de fois que possible.

    Amicalement, Dominique

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  64. OK pour la campagne. Cueillez, mais cueillez donc, Dominique. Pendant ce temps-là, le Minot n'a rien à craindre, hi hi... Et Christinette aura moins d'occasions de rougir à cause de l'archiviste... Que du bonheur, hi hi... dis-je bien sûr sur le ton de la plaisanterie, sans moquerie.

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  65. Chère Christine,

    Je ne cueille pas, j'ai passé l'âge. Par contre la tranquillité pour le Minot et la Christinette, c'est moins sur, Hi, hi.

    Amicalement, Dominique

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  66. Zut, alors ! Moi qui croyais Christinette à l'abri des commentaires et exemples judicieux mais gênants de l'archiviste, l'imaginant fourbu après des jours de cueillette, c'est donc raté... Il faut donc s'attendre à tout... Le Minot aussi qui se trouve dans l'embarras en écoutant le coup de fil maternel... Voilà hélas qui promet... Et en la matière, il y a des spécialistes des promesses tenues...

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  67. Chère Christine,

    Et non , Christinette, l'archiviste ne sera pas sur les rotules par la cueillette à outrance des fruits, mais juste un peu plus occupé ! Par contre, la cueillette de «bons mots» et d'attitudes de la demoiselle, sera pour lui un moment de détente savouré à sa juste mesure !
    Et comme il s'aperçoit que Maman Spaak avait bien raison quand elle disait « Je dois rester vigilante, avec Christine, car si je lui lâche un peu la bride sur le cou ! Allez hop, elle repart comme en 14, sur le chemin du laisser aller, sauf qu'avec moi ça marche pas !».
    C'est pourquoi en ce doux matin, je livre deux infos, pour que Christinette demeure sous pression, comme le Minot et ne croient déjà en vacances.

    Amicalement, Dominique

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  68. Chère Christine,

    Comme convenu je rend un premier jet de mon travail, sur les «petites phrases puériles» de Christinette qui va pouvoir constater que le Dr Archive (presque Professeur, sans jeu de mots, hi, hi)
    maîtrise son expertise, comme Maman et remettre ses dénis, ainsi que son insolence dans sa poche, en y mettant son mouchoir par dessus ! Pour cette fois, je passerais l'éponge sur cet égarement, n'en informant pas Mme Spaak et que la demoiselle conserve cette couverture de coton pudique, que sa chère Maman élimine sans vergogne, dés que sa fille lui en offre l'occasion, pour converser avec la partie anatomique, qu'elle est censée préserver.

    Voici donc le fruit d'une première recherche, ô pas bien difficile à faire et plutôt dans le genre «il suffit de se baisser, pour les ramasser», notamment dans la chronique du redoublement.

    Episode 2 du 30/09/2011 :

    1) Lorsque Mme Petit confirme ce que Christine pressentait, bredouillant d'un air faussement dubitatif un «Oh, Madame, mais, euh..» coupé net par Maman, qui elle ne joue pas la gamine surprise !

    2) Où, le soir dans sa chambre, à la suite d'une question anodine de Maman «Tu n'es pas couchée, Christine», dressée comme un piquet et coite, bafouille un «Bah, euh, Maman, euh, je, euh, je t'attendais... On devait, euh, parler, euh...», avant un incrédule «Oh Maman, non...» après la phrase très claire, toute en sourire de Maman «Moi, je ne suis pas sûre qu'il y ait beaucoup à parler... Je crois que c'est plutôt une bonne fessée que tu attends, Christine...» .

    Episode 3 du 03/10/2011 :

    Retour du collège, Maman apostrophe une Christine cherchant à filer vers l'étage pour poser son cartable, mais surtout être entre quatre yeux, pour la «discussion» ! «Non, ce n'est pas la peine. Tu le monteras plus tard. Je voudrais bien voir ton bulletin avant. J'espère que tu l'as cette fois ?», là, le palpitant de Christinette monte dans les tours et le démon du gain de temps, déjà branché le midi, se réamorce un court instant, mais disjoncte sous le regard maternel et emberlificote la réponse de la fifille qui cherche celui-ci, avec une maladresse forcée de gamine coincée «Mon bulletin, euh, non, je ne l'ai, euh enfin, si, si, je l'ai bien sûr» !

    Je n'en dis pas plus sur celui-ci, car j'y reviendrais ultérieurement.

    Suite ci dessous :

    Amicalement, Dominique

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  69. Chère Christine,
    Suite

    Episode 5 du 10/10/2011 :

    Là, dans cet épisode, on est en présence d'un véritable morceau d'anthologie, sur les capacités de mutations comportementales, made in Christinette. L'élément déclencheur étant la phrase de Maman à l'adresse de Mme Aumont «En tout cas, merci pour le renseignement. Vous m'en avez encore appris une belle. Je vais régler cela sur le champ».

    1) Méfiance interrogative et espoir disons «équitablement légitime», que je paraphrase, en prenant la place de Christine et l'imitant dans la forme «Oh ! Euh.., oh, non quand même, euh... Ca doit pas être pour moi ? Oh, c'est pt'êtes bien pour Diane ? Oh, chic alors !»

    2) Incrédulité soudaine, car Christinette tire vite un trait, sur les petits écarts qu'elle juge anodins, sauf quand elle est rattrapée par la patrouille et donne ce genre d'échange verbal :

    Maman : «Ah, Christine, ah, Christine, tu n'en louperas pas une...»
    Christine : «Mais, qu'y a-t-il Maman ? Que veux-tu dire ? Je n'ai rien fait ce soir».
    Maman : «Ce soir, non, à moins que je ne l'aie pas encore découvert, mais je vais te parler de ce midi, Christine, moi !»

    3) Inquiétude, amenant une défense grossière et supecte, la mémoire étant ravivée par un flash-back, sur une phrase de Mme Aumont, «Ma fille m'a appris ça ce midi...»

    Christine : «Euh, que veux-tu dire, Maman ? Je peux sûrement t'expliquer».
    Maman : «Oh, non, Christine, ne dis rien. Tu es encore capable de vouloir me faire croire que toutes tes camarades ont eu leur bulletin ce matin et que toi, tu ne l'as eu que l'après-midi. Non, ce que je vois, moi, c'est que tu m'as menti, Christine. Allez, au point où tu en es, ose au moins le reconnaître... C'est vrai, Christine ?»

    4) Fébrilité totale, face à l'évidence, confirmée par l'ultime supplique d'une candeur infantile

    Christine : «Euh, non, non. Euh, enfin, euh, bah oui, M'man. Mais, c'était euh, parce que, euh, tu allais, euh, enfin, que tu avais euh, promis, euh de me euh, de me donner euh...»
    Maman : «De te donner la fessée, Christine, bien sûr. Et au lieu d'être franche et courageuse, Christine a encore préféré mentir, dire un mensonge de plus, juste pour être tranquille à midi... Mais, ça, Christine, tu sais très bien que je ne l'admets pas et que je ne l'admettrai jamais... Alors, viens ici, tout de suite...»
    Christine : «Mais, Maman, je viens de l'avoir ma fessée. Non, non, je t'en prie»

    Alors Christinette, toujours aussi suspicieuse après ce constat du Dr Archive, en seulement trois épisodes ? Oh, je ne doute pas que la demoiselle oppose des arguments, de son cru, comme à son habitude, pour noyer le poisson !

    Amicalement, Dominique

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  70. Ah, voilà, l'archiviste joue son rôle et y prend goût...
    Je ne vais pas me plaindre, car je l'ai un peu cherché en titillant Dominique sur ses promesses... Christinette en rosit donc, toute gênée que Dominique rappelle ces quelques moments où elle en perdait non pas son latin, mais son langage de grande fille, pour bredouiller ou bégayer des bouts de phrase pas toujours compréhensibles, du fait de l'émotion ou de la peur qui la saisissait...
    Vu de façon plus détachée, et cette fois c'est Christine qui parle, il faut bien reconnaître que les situations en question avaient de quoi impressionner la jeune ado et la bouleverser même...
    Surtout que l'exemple choisi est on ne peut plus marquant... C'est rien moins que l'annonce du redoublement, et la Christinette qui s'est pris durant l'année bon nombre de déculottées maison a forcément conscience que la décision du conseil de classe va la ramener une fois de plus sur les genoux maternels, et qu'elle n'a aucune chance d'y échapper...
    La remise au lendemain, d'une fessée annoncée au dîner devant les deux soeurettes, ne pouvait aussi que jouer sur les nerfs d'une Christinette qui sait parfaitement ce qui l'attend...
    Je passe sur les cauchemars que cela a dû provoquer cette nuit-là... après avoir attendu dans sa chambre la venue de Maman, en tremblant du bas du dos...
    La fessée finalement donnée le lendemain après le goûter, devant Aline et Diane, pour l'exemple, était aussi un moment fort en émotion...
    Quant à l'épisode 5, je n'y repensais plus trop, mais il fut plus que marquant en effet, prenant Christinette par surprise, et donnant l'occasion à Maman Spaak de montrer que ses promesses n'étaient pas des paroles en l'air...
    Pas de chance pour Christinette qui avait "oublié" de ramener son bulletin à midi, et menti à Maman à propos de sa distribution. Ce mensonge qui avait marché à midi, explose en vol de par une phrase anodine de Mme Aumont...
    Alors, oui, le coeur de Christinette a battu la chamade, comprenant que ce mensonge qui ne cherchait qu'à gagner du temps, comme souvent, tombe on ne peut plus mal, dans une soirée débutée à l'heure du goûter par une volée carabinée...
    La seule phrase audible qu'elle peut prononcer est « Mais, Maman, je viens de l'avoir ma fessée. Non, non, je t'en prie ». En employant d'ailleurs le "ma" fessée comme pour se l'approprier...
    Mais, là, ce n'est pas comme il y a eu parfois une sorte de supplément claquant juste après une fessée, ni comme dans l'exemple où nous en sommes, où la première partie avant l'irruption de la voisine, n'est pas une fessée proprement dit, non dans cet exemple rappelé par Dominique, c'est après une fessée magistrale, trois ou quatre heures plus tard une nouvelle fessée, pas d'anthologie mais sérieuse quand même, et que l'archiviste doit sûrement comptabiliser comme la deuxième de cette année de redoublement où son compteur approche la vingtaine, n'est-ce pas ?
    Cela dit, Christinette n'ose demander si les exemples de l'archiviste s'arrêteront là. J'ai une petite intuition qui me dit que ce ne sera peut-être pas le cas...

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  71. Chère Christine,

    Que dire après une telle réponse, sinon un grand merci à Christine pour celle-ci complétant avec justesse cette étude de l'archiviste, pouvant donc entrevoir une promotion au rang de Professeur, toujours sans arrière pensée (quoique, hi, hi) et que je trouve la prononciation, en parfaite symbiose, avec le contexte.
    Christinette, sûrement moins puisqu'elle rosit de gêne, au rappel de ces moments forts face à Maman chérie ou son langage cohérent de demoiselle intelligente, laissait place à des bafouillages et des onomatopées, mus par l'angoisse et une trouille bleue sur la finalité de ces échanges !
    Et je reconnais volontiers que ces situations d'entretiens particuliers avec Maman, avaient de quoi déstabiliser et retourner, dans tous les sens du terme, une jeune ado.

    Sinon j'avoue ma satisfaction, sans machiavélisme, d'avoir ranimé la mémoire de Christine sur l'épisode 5,

    Tant qu'à la seule phrase audible, que celle-ci prononce, la remarque sur l'appropriation par le «ma fessée» est très judicieuse et j'avoue que cela m'a échappé ! J'espère que la conteuse sera clémente, pour la note de ma copie, malgré cette faute d'inattention.

    Et je partage votre point de vue sur la différence, entre cet épisode et d'autres comme l'actuel. D'ailleurs je confirme sa place de numéro 2 dans ma comptabilisation des déboires de Christinette lors de son redoublement (qui frôle en effet la vingtaine, à ce jour), pour une déconvenue à part entière au motif précis et différend de la tannée reçue au retour du collège, sanctionnant le dit redoublement et non comme un type de supplément, suite à une mauvaise réaction de Christinette ou une reprise après interruption (plus ou moins longue).

    Pour ce qui concerne la prolongation de l'étude archivistique, que Christinette n'ose titiller son auteur à ce sujet, est une réaction pleine de bon sens pour cette jeune fille, ayant déjà forte à faire avec Maman et préfère donc adopter l'attitude du «Chien échaudé, craint l'eau froide», sachant (peut-être à juste raison ?) qu'il a une fâcheuse tendance à tenir ses promesses dans leur intégralité, comme ma chère Maman. Alors « Aléa jacta est ».

    Voilà le petit mot du soir, Christine, après une journée bien remplie.

    Amicalement, Dominique

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  72. Bon, si je comprends bien, Christinette n'a aucune illusion à se faire : l'archiviste n'en a pas fini avec ses exemples de retour à un parler ou un phrasé de gamine qui témoignent de moments où la demoiselle est submergée par l'émotion et l'angoisse consciente qu'elle est de se trouver dans une impasse dont l'issue passe assurément par un retour sur les genoux maternels, avec ce que cela implique comme changement de tenue vestimentaire et autre modification déteinte d'une partie de son anatomie, je suppose que vous devinez ce à quoi je fais allusion, non ?

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  73. Pour ce qui est de la remarque sur l'appropriation de la fessée, dans la phrase où je supplie en rappelant que j'ai déjà au "ma fessée", il faudra effectivement que j'y revienne, car c'est assez significatif à mon sens. Comme si la fessée était une entité palpable et matérialisée. Et, "palpable", elle l'était en effet, si j'ose dire...
    Ce qui amène aussi à cette appropriation est le fait que l'on "donne" une fessée, qu'on la reçoit... Et puis, je savais bien que ce qui m'attendait à certains moments n'était pas n'importe quelle fessée, mais bien la mienne, différente de celles de mes sœurs, la fessée que Maman m'avait promise...
    C'était aussi quelque part, "sa" fessée à elle, celle de Maman, celle qui, puisqu'elle me la donnait, devenait bien la mienne...
    Et je crois qu'elle même faisait en sorte que ce soit bien "ma" fessée, pas celle de Diane ou d'Aline, comme on personnalise ce que l'on donne... Même si j'aurais préféré autre chose comme cadeau...

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  74. Chère Christine,

    En effet que, Christinette, range ses illusions au placard, car comme devais le penser et peut-être même le dire Maman Spaak, chose promise, chose due ! En tout cas c'est ce que la mienne m'a appris, souvent aux dépens de mes fesses d'ailleurs et j'ai bien retenu la leçon, donc.....!

    Désolé de remémorer ces moments d'angoisse et d'émotions, qui étreignent lorsqu'on doit rejoindre les genoux maternels, après avoir enfilé un pyjama que Maman aura plus de facilité à baisser, pour que lui apparaisse, cette lune immaculée qu'il convient de faire rougir copieusement !

    Si c'était ça la devinette, je crois que j'ai gagné, hi, hi....... !

    Amicalement, Dominique

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  75. Chère Christine,

    Je partage en tout point, votre avis sur la notion d'appropriation que l'on pouvait avoir en ces instants ou la fessée qui était «donnée», était «reçu» par soi-même et non quelqu'un d'autre, son coté très «palpable» de celle-ci, n'étant bien que pour soi.
    Et dans mes souvenirs, il n'était pas rare d'entendre Maman ou ma Tante dire à celui ou celle qu'elle corrigeait «Crois-moi que 'Ta fessée', tu vas la sentir passer ou t'en souvenir» et je crois comme vous que dans l'esprit de la fesseuse, « la fessée » qu'elle «donnait» était personnalisé en quelque sorte, celle de Dominique, n'était pas celle de Monique ou de Sylvie, à ce moment là !

    Même si dans l'absolu, ce n'était qu'une fessée de plus distribuée, à celui ou celle qui l'avait mérité.

    Tout comme vous, ce genre de cadeau n'avait vraiment pas ma préférence, bien au contraire !
    Sinon en guise de parité envers, Christinette, je vous adresse la suite du Minot, avant un retour sur épisode de l'archiviste, qu'elle va finir par maudire !

    Amicalement, Dominique

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  76. Chère Christine,
    Suite du Minot :

    Là, plus question d'allusions, les mots qui dérangent étaient prononcés par Maman et l'ennui pour moi, est qu'elle n'en avait pas fini ! Ma tante Jeannine, devait sans doute discuter avec ses enfants, avant de répondre à Maman qui allait poursuivre et enfoncer le clou, comme on dit, avec plus de précisions, pour la convaincre définitivement ! Et dans le même temps j'allais découvrir ses fameuses histoires que je ne connaissais pas !
    Durant la réponse de ma tante Jeannine, je voyais Tata Mireille hausser les yeux et faire des grimaces, mimant des na, na , na désabusés et Maman reprit la parole.

    « Ecoutes, Jeannine, il me paraît logique que tes enfants tente de noyer le poisson, dans la mesure où si après réflexion tu décides que finalement cette méthode, mélangeant souplesse et sévérité, qui était la tienne auparavant, est celle qui convient le mieux. Je pense que, n'étant pas des idiots, ils modifieront certains de leurs comportements, qu'ils ont avec toi ! Plus l'une que l'autre, d'ailleurs et que j'estime inappropriés envers l'adulte, qui plus est une mère ! Ce n'est qu'un constat de ma part, non un jugement envers toi ! J'ajouterais qu'avec nous, ils savent à quoi s'en tenir et que s'ils leur prend l'idée de franchir la ligne, c'est leurs fesses qui en font les frais ! Alors pour que tu puisses en discuter et mettre carte sur table, au calme dans un esprit de confiance et d'amour avec eux, je crois utile aujourd'hui de te donner des précisions sur les petites histoires que j'ai pu avoir avec eux et donc je t'avais informé brièvement, cela pas plus tard que l'année passée ! Et à mon sens, il serait judicieux qu'ils ne soient pas auprès de toi, car même si tu t'es façonnée une autre vue de l'esprit envers eux, au fond de toi, je suis bien certaine que tu t'interroges encore sur ce choix et notamment pour Nathalie ! Qu'en dis-tu ?»

    Là, il y eu un nouveau blanc, par contre les dernières phrases de Maman, me firent rougir des joues du haut, car dans sa proposition d'explication à ma tante, je me sentais concerné par les histoires de mon cousin, car comme nous étions toujours fourrés ensemble, 9 fois sur 10, c'était deux chenapans qui se prenais une rouste, en même temps, avec pour moi «la cerise sur le gâteau» de passer entre les mains osseuses de Tata Mireille, qui cinglaient comme des bâtonnets ! J'avais juste le souvenir, d'une fois ou seul Eric s'en était ramassé une de Tata, au beau milieu de la cour, courbé sous son bras, pour une déculottée assez courte, mais bien cinglante, car il criait comme un goret sous les claquées ! Je ne savais plus le motif exact, sauf que j'lui avait dit plusieurs fois de ne pas insister, sinon ça allait lui tombé dessus !

    J'étais donc plus que pas à l'aise, guettant Maman dans l'attente de la réponse de ma tante, espérant presque inconsciemment que celle-ci dédaigne la proposition, pour m'éviter des rappels pas très glorieux et désagréables pour ma petite personne, sauf que l'on est pas maître du destin ! Puis au bout d'un certain temps, Maman se lança alors dans un discours, qu'elle ponctua de petites pauses, pour respirer et que ma tante, absorbe petit à petit celui-ci !

    «Tu es seule et prête à attendre, d'accord Jeannine ! Dans un premier temps, prend en compte que les faits sont passés et ont été sanctionnés, comme ils se devaient de l'être ! Après il t'appartiendra de juger, le fait qu'ils n'aient pas eu cette démarche envers toi et m'incite à la faire aujourd'hui, à leur place ! Je commencerais donc par Eric, puisqu'il est à l'origine de mon appel»

    A suivre.......

    Amicalement, Dominique

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  77. Pour ce qui est de la devinette, grrrrr, c'est gagné en effet.... Pfff, mais avec des mots au lieu des allusions, c'est plus troublant... Christinette en rougirait des joues du haut d'abord si elle pouvait lire ça...
    Quant au retour de l'archiviste, c'est moi qui vais gagner donc, puisqu'il y en aura un au moins... Là encore, j'en connais une qui va être fumasse... Et qui s'en passerait bien...
    Enfin, côté Minot, ce coup de fil n'en finit pas... Mais je suppose que l'on va aborder des révélations qui risquent de gêner le Minot cette fois... Je voudrais bien savoir lesquelles... C'est vrai que l'on est plus curieux ou curieuse avec les histoires des autres plutôt que de voir étalées les nôtres...

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  78. Chère Christine,

    Je me doutais que Christine allait grogner, le poids des mots, le choc des photos ! Ah, non zut j'ai pas de photos à associer, c'est dommage car je les ais bien en tête, hi, hi..... !
    Et en effet, à son tour de gagner et ce n'est que le premier retour sur épisode, alors, alors, la Christinette va fumer de rage si elle lit tout ça et rentrer dans un trou de souris, en quatrième vitesse pour qu'on la voit plus !

    Tant qu'au Minot, je vois que la conteuse, la joue fine encore une fois avec des intuitions assez justes, alors pour satisfaire sa curiosité, je termine la suite et la livrerait dans la soirée ou demain.

    Amicalement, Dominique

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  79. On va donc être au bout du suspense concernant le coup de fil qui dérange le Minot... Je parie que la suite ne pas pas lui plaire, comme la promesse de Dominique de poursuivre ses "retours sur épisode" n'enchante pas Christinette...
    Il en est de même pour le retour à l'épisode 14 auquel je me dois d'aller répondre de ce pas...

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  80. Chère Christine,

    Au bout du suspense, pas tout à fait, car Maman avait également un dossier sur Nathalie, la grande sœur d'Eric et les motifs la concernant, dérangeaient davantage Maman, de plus comme vous l'avez supposé dans une de vos réponses, quelle suite allait donner ma Tante Jeannine à ce coup de fil, gênants pour ses enfants, mais aussi pour elle ! Car l'air de rien et tout en douceur, Maman, lui laissait entendre que son changement de direction, en matière d'éducation, l'amenait petit à petit vers un laxisme risquant de lui faire perdre, sa crédibilté.
    Néanmoins, pour ne pas trop vous faire patienter, je vous enverrais deux textes d'un coup, pour apaiser votre envie de savoir et vous préparer à la conclusion, de ce souvenir, avant d'autres que j'ai sous le coude comme une certaine conteuse, pour l'instant moins disponible !
    Alors pour ce soir, ce sera le tour de Christinette (désolé ma grande) sur l'épisode 14, les textes étant rédigés.

    Amicalement, Dominique

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  81. Effectivement, l'accusation de glisser vers un laxisme qui risque de voir ses enfants la mener par le bout du nez, risque de faire réagir cette Tante... Et elle voudra sûrement le prouver par des actes, la mère de Dominique ne se contentant pas de simples promesses, elle.
    Voilà qui devrait donner lieu à quelques règlements de compte chez les cousins et cousines... Reste à savoir si Dominique ne sera pas concerné par ricochet... Je comprends qu'il soit attentif à ce que se disent au téléphone sa mère et sa tante...

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  82. Chère Christine,

    Grrrrr, Christine ! Votre intuition est comme celle d'une certaine Madame Spaak, d'un genre déstabilisant, poussant à s'emberlificoter pour trouver une réponse bateau, en cherchant les mots, pour noyer le poisson et gagner du temps.
    Bizarrement, j'ai l'impression d'être dans la peau d'une demoiselle de ma connaissance, lorsque sa Maman reniflais une quelconque entourloupe de sa part et qui selon les circonstances, soit faisait preuve d'un aplomb, la surprenant elle-même ou bafouillait une explication oiseuse et peu cohérente, pour le plus souvent accorder un délai supplémentaire de tranquillité, à l'extrémité basse de sa région dorsale.
    Dominique est donc, bien enquiquiné et ne sait comment répondre à vos suppositions, si ce n'est qu'elles ne seraient pas de bonnes augures pour certains protagonistes, au centre du coup de fil et n'auraient donc pas leurs faveurs........ ! Cela je puis le confirmer, sans langue de bois, par contre pour ce qui est de leurs réalisations possibles au demeurant, disons que celles-ci seraient des réponses, logiques et sensées à la situation !'Voilà ce que je puis en dire, sans m'avancer.

    Bon sur ce, Christine, je ne rentre pas de très bonne heure (23h hier) et cela va faire plaisir à Christinette, en semaine mes neurones sont essentiellement concentrées sur le travail et celles-ci sont moins disponibles pour la demoiselle, par contre le week-end c'est l'inverse, alors gare à vos f...., jeune fille ! Sinon, je viens de lire vos commentaires sur l'épisode 14 et je tâcherais d'y répondre, au plus vite.

    Amicalement, Dominique

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  83. Un peu de calme pour Christinette. Voilà qui va lui faire plaisir, sans risquer d'avoir encore à lire les commentaires et analyses de Dominique sur certains événements familiaux qu'elle préférerait évidemment voir rester comme un secret entre Maman et elle...
    Déjà que les petites soeurs soient souvent au courant, dans les moindres détails, a de quoi gêner Christinette, alors qu'un archiviste mette le doigt sur certains épisodes et détails est plus gênant encore...
    Mais, j'admets qu'en sens inverse, les questions et suppositions christiniennes sur le proche avenir du Minot doivent être agaçantes pour l'intéressé, surtout s'il sait ou devine que Christine a sûrement raison...
    En plus, ce qui arrange Christinette, c'est qu'effectivement je sois en période vraiment très occupée, et délaisse la suite de mon récit que je n'ai pas poursuivi depuis un mois, je le reconnais. Et, pourtant, comme nous sommes de fait dans ce qui est le dernier mois d'une année scolaire, j'ai de la chance de ne plus être sous la coupe maternelle, sinon je vois bien comment mon absence de travail serait traitée...
    Cela dit, avec un clin d'oeil, je ne le fais pas exprès, car vraiment c'est une des périodes de l'année les plus chargées professionnellement pour moi. Promis, je me rattraperai plus tard...

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  84. Chère Christine,

    Non, non, que Christinette ne se réjouisse pas tout de suite, je suis rentré plus tôt ce soir et je n'ai qu'une réunion demain jusqu'à 12h, c'est chouette ça, une demi journée de plus à lui consacrer, que du bonheur pour la jeune fille, non ? Oh puis vouloir garder secret, juste entre Maman et elle, des événements d'une telle richesse, serait bien dommage pour un archiviste diplômé.

    Sinon, en effet, les capacités de déduction de Christine, n'ont pas matière à arranger l'état de fébrilité du Minot, ni ses craintes, la dame ayant une fâcheuse tendance à lire entre les lignes et prêcher le faux, pour savoir le vrai, comme sa chère Maman savait le faire ! Ceci dit j'admets que Dominique n'est pas mauvais non plus, dans l'exercice, concernant Christinette ! C'est donc de bonne guerre, après le bon petit soldat

    Au sujet de la non productivité de Christine, la conteuse, je suis sûr qu'une telle absence d'effort aurait passablement irritée Maman Spaak, qui elle aurait eu tôt fait de remettre les pendules à l'heure de Christinette, la collégienne. Néanmoins, à la décharge de Christine, cette période de l'année est effectivement propice à l'événementiel, il en est un qui démarre demain soir et qu'il n'est point besoin de nommer.

    Par contre, Christine, attention aux promesses formulées ! Qui plus est écrit noir sur blanc, pour l'archiviste que je suis ! Cochon qui s'en dédit, comme le veux l'expression ! Hi, hi.....

    Amicalement, Dominique

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  85. D'accord avec Dominique et Mardohl, il serait temps que je poursuive mon récit, mais ces jours-ci sont plus qu'occupés. Désolée, mais je dois faire passer mon gagne-pain avant le blog.
    J'admets que Maman Spaak aurait déjà agi depuis longtemps si je n'avais pas "travaillé" durant une si longue période...
    Merci en tout cas aux commentateurs de meubler cette période, et je promets, dès que possible, de rebondir sur certains commentaires récents, et judicieux, je ne peux que le reconnaître...

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  86. Je n'ai rien à ajouter aux exégèses et prolongements de Dominique, qui se révèle en outre un pointilleux documentaliste.
    La fessée détaillée dans cet épisode constitue en effet un point d'orgue dans le tempo de votre narration : par sa longueur et son intensité physique comme sonore, elle prend place parmi les plus marquantes de votre chronique et vous recourez à tout le panel de votre talent de conteuse pour nous en livrer le ressenti.
    Je pointe en passant les quatre claques ultimes, sonnant comme une signature, et somme toute quelque peu inhabituelles de la part de votre mère, plutôt adepte il me semble du rythme ternaire.
    Cependant, comme cette fessée n'a pas été administrée devant témoin, je vous avoue, mais ce n'est là que goût personnel, qu'elle m'a un rien moins emballé que la précédente.
    Ce que je guette à présent, c'est l'écho que va rencontrer cette fessée dans le cadre scolaire de Christine. Voilà qui clorait de belle manière cette vaste chronique. (Avez-vous remarqué que, si elle relate des faits s'étendant sur approximativement douze mois, vous en avez débuté la rédaction en septembre 2011, soit il y a presque cinq ans ?)

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  87. Chère Christine,

    Comme je vous l'ai dit, Christine, je sais que cette période est chargée pour les personnels œuvrant dans l'événementiel, vous êtes donc pardonnée et puis moi-même, avec les fruits de saison, le coté intensif est simplement retardé, par manque de soleil ! Mais cela risque de changer la semaine prochaine et Dominique sera donc davantage sur le pont, certes pour un ex-mataf, c'est logique me direz-vous ! Et je suis bien d'accord, qu'il convient d'abord de penser à ramener le foin au râtelier, avant la distraction ! Alors, bon courage et pour votre détente, j'enverrais d'autres textes, tel un menuisier ravit que son travail, soit apprécié.

    Sinon, j'ai une petite pointe de déception, n'ayant pu lire le commentaire de mon compère Mardohl, qu'il a lui-même supprimer a priori, mais peut-être avait-il ses raisons ? Dommage, car je suis un fervent adepte de ses écrits !

    Amicalement, Dominique

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  88. Ca y est, Dominique, Mardohl a remis son commentaire. Cela dit, j'espère aussi, comme vous, que le soleil va revenir, car on se croirait au mois de mars, alors que l'été c'est lundi !
    Tant mieux pour les fruits de saison, même si cela vous donne plus de travail. Le soleil va faire rougir des pommes joufflues... Heureusement que certaines ne sont pas exposées au grand air... Ou seulement, de temps à autre, pour ne pas dire très rarement, comme celles de Christinette... Si vous voyez ce que je veux dire...

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  89. Chère Christine,

    Si vous le permettez, je sais que oui ! Je vais d'abord répondre à mon compère Mardohl.

    Mardohl :
    Merci d'avoir remis votre commentaire, mais également pour le compliment à mon égard, cela fait plaisir de la part d'un homme de lettres.
    Je partage votre avis sur la narration, délivrée par Christine, dans cet épisode ou les phases plus détaillées qu'à l'habitude, transpose parfaitement le ressenti d'une tannée en règle et j'avoue qu'à sa lecture, mon esprit a voyagé dans le temps, me ramenant à quelques situations vécues par un certain Minot d'où peut-être cette profusion de ma part !
    Sinon tout comme vous, cette «signature» maternelle de quatre claques, pour le moins inhabituelle de la part de Madame Spaak, plus incline à une dernière salve (bonne douzaine de claques, plus appuyées que les autres), m'avait aussi interpellé et surtout rappeler le souvenir de ma chère Maman, qui elle utilisait presque à chaque fois, ce processus des quatre dernières claques, d'une force inouïe, que le ou la récipiendaire accompagnait de hurlements incontrôlés, la main maternelle se transformant à ce moment là, en véritable battoir à linge !

    Par contre, Cher Mardohl, si comme vous je guette les échos à venir de cette magistrale fessée, je me permets à titre tout à fait amical, de vous dire qu'au sujet de la durée de ladite chronique du redoublement, qui en théorie s'étale sur 12 mois, alors que nous avons la narration depuis le 29/11/2011, le documentaliste l'avait déjà évoqué et donc doublé le professeur, je plaisante !

    Amicalement, Dominique

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  90. Chère Christine,

    C'est vrai que le grand soleil, tarde à venir et c'est navrant.
    Par contre pour les fruits de saison, nous sommes davantage dans la cerise, l'abricot, la nectarine et les pêches, que dans les pommes (style Pink Lady), sauf qu'en effet leur couleur se rapportent mieux à celle de rondeurs morphologiques joufflues, que l'on appelle communément ainsi, lorsqu'elles sont dévoilées à l'air libre, par la suppression de toute enveloppe et copieusement honorées, par une Maman de devoir !
    Comme cela arrivait, un peu plus que parfois à celles d'une certaine Christinette, même si celle-ci ne peut se résoudre à en avouer, la réelle fréquence. Donc sans prononcer les mots justes et adéquats, je pense avoir traduit votre pensée, en ce jour historique (appel du Grand Charles), chère conteuse.

    Amicalement, Dominique

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  91. Comment ça "plus que parfois" Dominique ?
    J'avais écrit "de temps à autre, pour ne pas dire très rarement", et vous me détrompez, ce n'est pas gentil. Je préfère largement mon expression à la votre... J'ai l'impression qu'elle est plus proche de la réalité...
    Mais, je ne voudrais pas aller trop sur ce terrain, surtout en m'adressant à l'archiviste en chef, qui risque de me mettre les points sur les "i" ! Et ne me dites pas alors, comme Maman, que je l'aurai bien cherché...
    Cela dit, pour rester sur un terrain qu'aime l'ancien militaire, je préfère que l'on célèbre l'appel du 18 juin, que "l'appel de Maman Spaak" demandant à Christinette de descendre au salon... Vous imaginez pourquoi...

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  92. Chère Christine,

    Oui, oui, Dominique, l'archiviste de renom confirme le «plus que parfois» comme plus proche de la réalité, au sujet des discussions Materno-Christiniennes, que le «de temps à autre, pour ne pas dire très rarement» minimaliste, mais très Christinien et je pourrais, en effet, démontrer qu'il s'agit même de la «valeur étalon» du référentiel ! Alors concernant la petite remarque impertinente de Christine, je la renverrais simplement vers une autre remarque très juste de Maman «Si tu ne cherches pas les ennuis, Christine, en tout cas tu sais les trouver... !».

    Pour ce qui est de «l'appel du 18 juin» et «l'appel de Maman Spaak», il est entre les deux, un point commun et pas des moindres, celui de la finalité que je vais juste prononcer du bout des lèvres, à savoir une bonne Déc....... !!!!!!! Et l'ancien Lieutenant de vaisseau, vous remercie pour cette manœuvre stratégique, un peu bateau, lui donnant l'avantage, hi.., hi... !

    Amicalement, Dominique

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  93. Pfff, moi, chercher les ennuis, hi hi... Quelle drôle d'idée... Mais je ne vais pas me battre sur des appréciations... Le "de temps à autre" me parait très approprié, faute de me prouver le contraire... Mais, Dominique ne ferait quand même pas ça...
    D'ailleurs, je n'ai pas compris ce que vient faire et dire "la valeur étalon".
    Quant au 18 juin, je vois bien ce que vous voulez dire, sauf que, en 40 l'appel est fait après la défaite que vous assimilez à une "bonne déc....", alors qu'avec Maman, l'appel était plutôt du genre à précéder ladite "bonne déc..."
    Celui du Général donnait de l'espoir, celui de Maman Spaak n'en laissait guère au petit soldat Christinette...

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  94. Chère Christine,

    Décidément l'expression maternelle est plus que juste, elle colle parfaitement à l'impertinente provocation de sa fille aînée, qui veut toujours avoir le dernier mot, même au risque de s'en ramassée une sévère, comme on dit et peut-être même crier, ensuite à l'injustice, arguant qu'on ne la pas comprise ! Non, mais je te jure ! Il y en a quelques unes qui se perdent, mais je vais y réfléchir !

    Chère conteuse, une « valeur étalon » comme son nom l'indique sert à étalonner les variations graduelles, hautes ou basses de fonctionnement d'un moteur électrique par exemple, c'est en quelque sorte la valeur moyenne ! Donc dans le cadre qui nous occupe le « plus que parfois », me semble être la bonne référence moyenne, concernant la fréquence des entretiens de notre petite Christinette avec sa chère Maman.

    Pour l'appel du 18 juin, certes celui-ci intervient après une première défaite (consécutive à une accumulation d'erreurs), mais donc l'idée première d'espoir ne débouchent finalement, à la déroute totale des Allemands et je pensais à cette «bonne déc.....» de 45, assimilable à «l'appel» formulé au petit soldat Christinette, certes pour elle le seul espoir étant un revirement, exceptionnellement rarissime, de Maman, je vous l'accorde !

    Amicalement, Dominique

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  95. Vachement technique, cette histoire de "variation graduelle, haute ou basse", à adapter à la fréquence des "entretiens" entre Christinette et Maman. Si ça continue, Dominique va mettre tout cela en équation !
    Mais, mieux vaudrait peut-être que j'arrête de pinailler sur la différence entre "de temps à autre" et "plus qu parfois", sinon l'archiviste serait capable d'étaler des chiffres qui ne seraient pas du goût de Christinette... Et même qu'il dirait en plus que je l'ai bien cherché...
    En revanche, je veux bien admettre que lorsque "l'appel de Maman" retentissait jusqu'aux oreilles de Christinette ou des soeurettes, le "revirement" était en effet "plus que rarissime" en ce qui concerne une suite des événements du genre sonore et colorée pour une partie de l'anatomie de la fautive...

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  96. Chère Christine,

    Mais non, Christine, ce n'est si technique que ça, c'est juste en effet une application mathématique à des valeurs types et qui peut se mettre en équation, c'est exact.
    Il est très sage de ne pas trop titiller l'archiviste, car les chiffres seraient en effet fort déplaisant pour la petite Christinette et même si elle l'avait bien cherché, cet écueil supplémentaire n'est peut-être pas utile, ayant déjà fort à faire avec Maman, qui lorsqu'elle lance un «appel» à l'une de ses filles et en particulier l'aînée, ce n'est pas pour rien, mais plutôt pour lui montrer qu'elle peux faire cuire des «pommes» autrement qu'au four, mais de façon beaucoup moins sucrée !
    Et dans ce cas, le mot ''revirement'' ne fait pas parti du vocabulaire maternel, qui perdrait alors sa crédibilité !

    Amicalement, Dominique

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  97. Christinette ne le dira pas, mais elle s'amuse en douce à titiller l'archiviste, satisfaite d'avoir (jusqu'à maintenant) le dernier mot, puisque Dominique ne lui ferme pas le bec avec des chiffres qui pourraient en effet calmer la demoiselle, qui préférerait sûrement aller cacher sa honte dans sa chambre, plutôt que d'être impertinente et d'aller un peu trop loin, comme cela lui arrivait de temps à autre (hi, hi) du temps où Maman Spaak croyait toujours en certaines "bonnes vieilles méthodes"...

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  98. Chère Christine,

    Ah, bah voilà ! J'ai la confirmation que la petite Christinette est une jusqu'au boutiste de première et démontre bien qu'elle cherche vraiment les ennuis et à force va finir par les trouver, comme avec Maman ! Et lorsqu'ils arriveront, il sera bien temps de pleurnicher et s'apitoyer sur son pauvre petit sort de mademoiselle honteuse, en réclamant de la compassion, parce qu'un méchant mossieur a été vilain avec elle, si mignonne !
    D'ailleurs, on pourrait se demander pourquoi Maman Spaak, lui donnait aussi fréquemment de bonnes déculottées et bien là, on a la réponse, avec la confirmation qu'elles étaient amplement méritées.
    Ceci dit, n'étant pas une personne à me laisser mener, par le bout du nez et encore moins par une gamine impertinente, je vais faire en sorte de lui clouer le bec, non par une fessée donc je laisse à Maman Spaak le soin d'exécuter, sachant très bien y faire avec son aînée, mais par des chiffres qui la rendront encore plus honteuse et attendant cela, je vous livre une suite du Minot.

    Amicalement, Dominique

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  99. Chère Christine,
    Suite du Minot :

    Entendant cela, une certaine fébrilité me gagna, Maman débutait par ce qui me gênait le plus, puisque directement concerné par les faits qu'elle voulait exposer à sa belle-sœur, je me triturais les mains tout en regardant Maman, espérant qu'elle ne soit pas trop précise !

    «Jeannine, concernant ton fiston qui est aussi mon filleul, c'est un gamin adorable, espiègle, joueur et parfois entêté, tout comme le mien ! Mais sans difficulté majeure et assez facile à contrôler, un peu moins quand ils sont ensembles, car l'un entraîne l'autre, il faut donc être plus vigilante et agir au premier signe, pour éviter l'escalade». Bing, pour le Minot, prends ça dans les dents, tu sais ce que Maman pense de toi ! Bon, en même temps, c'était pas faux.

    «C'est d'ailleurs, son petit coté entêté, qui un jour aux grands vacances, lui a valu une petite surprise non pas de sa marraine, mais de Mireille sa tante par adoption au milieu de la cour ! Je t'explique, les deux zigotos faisaient du vélo, dans la cour et ma sœur récurait les auges à grain avec de la soude, ils roulaient sur les résidus de poudre, par jeu, mais passaient un peu trop près des auges ! Elle leur demanda une première fois, gentiment, d'aller plus loin pour éviter un accident s'ils rataient leurs coups et comme tu l'imagines, ils ont recommencé, alors elle a haussé le ton ! Minot a obéi et j'ai su par la suite qu'il avait dit à Eric, de faire comme lui, car Mireille ne le dirait pas 3 fois !.....»

    «Et alors ? Eh bien, ton fiston a refait un tour, mais par intuition ma sœur avait anticipé le coup et s'est mis en travers de sa route, l'obligeant à s'arrêter et Mireille l'attrapa par l'oreille, lui faisant lâcher son vélo ! Là je peux te dire que ton petit Eric, ne rigolait plus du tout ayant compris que sa petite bravade, n'était pas du goût de Mireille, essayant de l'amadouer par des 'Non, non, Tati, j'voulais pas, pardon Tati !'. Mais c'était trop tard, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, il se retrouva courbé sous son bras, short et slip baissé pour une dégelée assez courte, mais bien cinglante ! Ma sœur toute en os, le faisant chanter sans difficulté et une fois lâché, il s'est sauvé dans la grange, plus fier du tout, n'en ressortant que 10 ou 15 minutes plus tard, penaud et s'excusant auprès de Mireille, qui lui fît un câlin! Voilà, Jeannine, l'une des petites mésaventures de ton fils chez sa marraine chérie, parmi d'autres et pas qu'au cours du mois d'été, si tu veux le savoir ?......»

    Alors que Maman, écoutait sa belle-sœur, je priais pour qu'elle dise que cela lui suffisait, car je me rappelais fort bien des vacances de pâques durant lesquels, nous avions réussi l'exploit d'en prendre deux, durant la quinzaine de jours ! La première pour l'espionnage des filles et la seconde pour avoir trouvé très marrant, de jongler avec des œufs frais, sauf que Maman a trouvé ça moins drôle et n'a pas traîné, en compagnie de Tata, à faire jongler nos fesses ! Comme je le pressentais, ma tante voulait tout savoir et j'allais être gâter, car si Maman livra les deux histoires assez brièvement, je me serais bien passé des commentaires de Tata Mireille !

    «Très bien, Jeannine, puisque tu veux tout savoir et bien laisse moi te dire, que parfois nos garçons sont très créatifs dans leurs activités, comme durant les vacances de Pâques où ton fils et le mien ont fait non pas un, mais deux passages sur nos genoux, pour des déculottées bien copieuses et crois-moi que là, ils trouvaient ça moins amusant !»...... « La première ! A cause de l'anatomie des filles, dont-ils voulaient connaître les secrets, comme des petits voyeurs malotrus, par le trou de la serrure ! Non mais je te jure ! Ils sont pas en retard, nos chenapans, tu ne crois pas ?.....»

    A suivre......

    Amicalement, Dominique

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  100. N'allez pas dire que certaines femmes ne sont pas bavardes... Le coup de fil de la mère du Minot à sa soeur n'en finit pas, et j'imagine que le Minot doit être dans une mauvaise posture, en entendant ses exploits racontés en détail...
    Reste à savoir sur quoi cela va déboucher, hormis un sentiment très fort de honte... Mais, je ne doute pas que l'on sera bientôt fixé, et que des surprises ne sont pas impossibles...

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  101. Du côté de la discussion avec Dominique, qui trouve Christinette "jusqu'au boutiste" et dit comprendre ma chère mère quand elle devait réagir à sa manière vis à vis de son aînée qui semblait presque "chercher" les ennuis, je pense qu'il vaut mieux que je n'abuse pas...
    Dominique menace et parle de certains éléments qui "cloueraient le bec" à Christinette, et il se pourrait que ce soit vrai...
    Christinette réfléchit donc à deux fois, se demandant s'il ne faudrait pas arrêter de titiller l'archiviste, même si dans un coin de sa petite tête de linotte, cela l'amuse un peu. Et, puis, peut-être sont-ce des paroles en l'air, se dit-elle... Mais, la grande Christine, elle, lui conseillerait de se méfier des promesses de Dominique, qui ont un point commun avec celles de Maman Spaak...

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  102. Chère Christine,

    Quelle grande sagesse, chez Christine et de très bon conseil envers Christinette un peu plus joueuse, mais qui craint tout de même, le retour de bâton du Dominique dont-elle a déjà fait l'expérience, au sujet de ses petites phrases puériles !
    Néanmoins, au lendemain de la fête de pères et le travail aidant, je ressent en moi un courant de bonté, qui m'incite à surseoir à ma promesse dans l'immédiat, mais attention celle-ci demeure suspendue au-dessus de la tête, de Christinette et non plus bas comme avec Maman... !
    De plus, je pense que celle-ci devrait remercier grandement Christine, pour son attitude préventive, à l'image d'une certaine Tata Jacqueline en son temps !

    Amicalement, Dominique

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  103. Chère Christine,

    Je vous confirme, Christine, que Maman avait la langue bien pendue, combien de fois ne l'ais-je vu passer de long moment au téléphone ou discuter de tout et de rien, avec voisins ou commerçants.
    Au sujet de cette communication avec Tata Jeannine (belle-soeur), elle dura en effet un très long moment, au cours duquel le Minot était dans ses petits souliers ! Car comme vous le dites, ses exploits pas très honorifiques ressortaient, à l'image des photos des vacances pour Christinette et j'aurais donner tout l'or du monde, pour qu'elle abrège cet étalage qui me secouait les tripes !

    Tant qu'aux surprises et la finalité de la conversation, cela ne va pas tarder ! En attendant voici une suite qui vous donnera un aperçu de mon état, à ce moment là.

    Amicalement, Dominique

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  104. Chère Christine,
    Suite du Minot :

    C'est là, que Tata Mireille crut bon d'ajouter, son grain de sel, alors que j'étais déjà rouge comme une pivoine en entendant les propos gênants et peu flatteurs de Maman, qui attendait la réponse de sa belle-sœur !
    Tout en souriant, elle s'adressa à sa sœur et développa, le sujet qui venait d'être présenté à Tante Jeannine ! Ô sans malice volontaire où machiavélisme envers moi, mais comme une simple péripétie d'un jour, sauf que je me serais bien passé de cette piqûre de rappel, sur un souvenir qui avait marqué (comme d'autres) ma petite cervelle et qu'il n'était pas nécessaire de faire remonter à la surface !

    «Ah, oui! C'est moi qui avait surpris, les petits gaillards penchés vers le trou de la serrure, tout content et se bousculant presque, pour avoir la place ! Sauf que les deux jeunes petits coqs, trop occupés par leur espionnage, ne s'attendaient pas à sentir mes deux pinces attraper leurs oreilles et descendre jusqu'au salon, avec des ''Aie, aie, ouille''! Ensuite, tu m'a demandé si je pouvais me charger des fesses de ton fiston, pendant que tu t'occupais de celles de ton filleul ! Et là, bon sang, quelle tête ils faisaient ! Le Minot était blanc comme un linge, à l'idée de recevoir sa fessée, de la main de Tata chérie et ton Eric, qui essayait de t'amadouer ''Non, Marraine, non... Pas ça, j'suis trop grand, M'man l'fait plus, s'te plaît Marraine...'' et toi en réponse, tu lui avait baisser son maillot de bains et sortit ''Je le sais Eric, Maman fait ce qu'elle veux, mais ici c'est différend et tu le sais, ce n'est pas la première fois que Marraine te déculotte, alors.....'' et moi j'avais fait de même avec celui de Dominique, qui chouinait des ''Tata, tata, non, non, pas toi, j'veux pas'' et en le couchant sur mes cuisses, je lui avait dit ''J'y peux rien mon chéri, c'est Maman qui décides'', tu te souviens Liliane ?»

    Bien sûr, Maman confirma «Oui, oui, je m'en rappelle, tout comme la chanson qu'ils ont chanté en chœur, quand nos mains sont tombées». J'étais anéanti et je savais plus où me mettre, en moins d'une minute, Tata venait de faire le remake complet de l'histoire, en l'écoutant je fixais ses cuisses et mon esprit l'image de mon étalement sur celles-ci, le maillot de bains aux genoux, recevant des claquées cinglantes et douloureuses, me faisant brailler, pleurer et supplier Tata en vain, qui continuait à cuire mon fessier qui s'enflammait, haletant sous le rythme endiablé de sa main osseuse, avec la sensation que chaque claque m'arrachait un peu plus la peau des fesses, celle-ci étant en ébullition ! C'était la même chose pour Eric, à la différence peut-être quand n'en recevant que sa marraine, il avait plus de mal à supporter, hurlant dés les premiers claques de Maman !

    Encore tout retourné, Maman se redressa pour écouter et répondre à ma tante Jeannine.

    «Ah, tu pensais pas que ton Eric était un petit fripon ! Et bien si, Jeannine, comme le mien, mais tu sais à cette âge là, ça commence à les chatouiller, puis s'ils ont fait ça en douce c'est bien qu'ils avaient conscience de faire quelque chose de défendu ! Et nous avec Mireille, ont leur a offert un cours d'anatomie réciproque et une belle couleur de lune, certes sur l'instant les petits coqs étaient moins fiers, en frottant leurs fesses bien cuites, mais une heure après ils jouaient sagement avec les filles, dans le bassin en ayant retrouvé leur gaieté, voilà pour cette petite histoire......»

    A suivre.........

    Amicalement, Dominique

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  105. Dominique ressent "un courant de bonté" et Christinette s'en sort bien...
    La voilà qui, intérieurement, ri sous cape... Elle avait eu un moment d'appréhension quand elle a commencé à pinailler sur les questions de fréquence de ses "rendez-vous" avec Maman Spaak, et qu'elle a vu Dominique jouer de la menace de mettre les points sur les "i".
    Mais, comme rien n'est venu, la demoiselle se dit que ce n'était que menaces en l'air, et que désormais elle est à l'abri...
    C'est vrai quand même, pense-t-elle, je suis la mieux placée pour savoir si ces rendez-vous étaient "de temps à autre", voire "rarement", comme j'ai envie qu'on le dise. Monsieur l'archiviste ne va quand même pas me contredire... De quoi je me mêle, non ?
    C'est comme quand il menace de dire à Maman Spaak que je ne poursuis pas assez vite mon récit...
    Mais, là, c'est Christine qui reprend la parole, et je veux bien admettre que si j'avais encore l'âge de Christinette, cela aurait bardé et pas qu'ue fois depuis belle lurette...

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  106. Pour rebondir aussi sur le récit du Minot, je donne cette fois raison à sa mère et sa tante, car jouer les petits curieux à espionner l'anatomie des filles, cela mérite bien qu'une mère attentive vous expose un moment une partie de votre anatomie pour la rougir, et ça devant les filles de préférence...
    Cela dit, en continuant à se demander sur quoi va bien déboucher ce coup de fil à rallonge...

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  107. Chère Christine,

    Monsieur l'archiviste, constate que Mlle Christinette ne désarme pas malgré la mansuétude de ce dernier et fanfaronne, se la jouant petite effrontée du style « Na, na, na, c'est moi qu'à le dernier mot, pas lui non mais ! », sauf que la demoiselle doit lire en diagonale, car il n'était question que de ''surseoir à la promesse, dans l'immédiat, mais que celle-ci restait suspendue au dessus de sa tête'' !
    Alors, Monsieur l'archiviste tiendra sa promesse, dés qu'il sera moins pris par le travail, donc jeune fille ce n'est reculer, que pour mieux sauter !

    Tant qu'à Christine et là c'est Dominique qui le dit, il est bien dommage qu'elle soit libérée du joug maternelle, sinon il y a effectivement belle lurette que l'immaculé lunaire de ses fesses, aurait viré au rouge ponceau à plusieurs reprises, pour ses retards de livraison rédactionnelle. Et d'ailleurs, cet épisode, comme d'autres, possède une kyrielle de commentaires et en affiche même le record à ce jour, avec un nombre de 105 dépassant celui des récits de la chronique !!!!!

    Amicalement, Dominique

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  108. Chère Christine,

    Pour le rebond, là c'est le Minot qui parle ! Pas très gentille et même franchement désagréable, la dame qui approuve Maman et Tata pour la leçon d'anatomie particulière, donnée deux pauvres bougres encore tout vert et simplement émoustillés, par la beauté féminine! L'envisageant même de préférence, sous le regard des filles, non mais puis quoi encore ? Vous êtes trop injuste, M'dame Christine !

    Sinon, et là c'est Dominique ! Sincèrement Christine, c'est l'hôpital qui se fout de la charité, avec cette marque d'impatience de la conteuse ! Mais rassurez-vous, ça va venir, comme le prochain épisode de la chronique !

    Amicalement, Dominique

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  109. J'avoue que Christinette s'est un peu amusée à taquiner ou titiller Dominique, avec ces histoires d'appréciations entre le "de temps à autre" qu'elle affirmait, et le "plus que souvent" prôné par l'archiviste. Et comme elle sentait bien qu'un Dominique occupé, et qui plus est le nez dans le récit du Minot, n'allait pas lui clouer le bec de sitôt, elle ressort de ce petit jeu comme quand ele réussissait à éviter une fessée promise, et se sentait ensuite comme si les compteurs étaient remis à zéro, comme si de rien n'était, alors que, côté Maman, il demeurait une série de griefs non punis, et qui donc faisaient que le vase des reproches était prêt à déborder à la première nouvelle incartade...
    Je crois en effet que Christinette ne devrait pas en rajouter et espérer que l'archiviste n'y pensera plus...

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  110. Cela dit, et Dominique l'a admis, il n'y a pas que dans la récolte des fruits que le travail est intense en cette période de mai-juin, et jusqu'à mi-juillet au moins. Voilà qui explique que la suite reste dans les tuyaux (et n'est même pas écrite), la grande Christine que je suis préférant le petit jeu des commentaires, qui demande moins de temps.
    Mais, je comprends que certains s'impatientent, tout en ne pouvant rien promettre avant quelques jours encore...
    Heureusement, direz-vous, que Christinette a grandi et n'est plus sous la coupe de Maman Spaak. Comme dirait l'archiviste en chef, cela fait en effet six semaines et quatre jours que l'épisode 102 a été mis en ligne, soit 46 jours, pour qui aime les chiffres.
    Et, là, il est sûr et certain qu'en une certaine période, ce genre de fainéantise aurait déjà été sanctionnée... Et pas qu'une fois...

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  111. Chère Christine,

    Ah, comme il est agréable de retrouver la Christinette pleine de sagesse, faisant un mea-culpa sincère envers l'archiviste, se remémorant le même genre de situation vécue avec Maman ou celle-ci ayant une coupe pleine de reproches, prête à se déverser sur les fesses de son aînée, trop longtemps épargnée, la libère au moindre nouveau travers de sa fille, lui offrant l'intégralité de celle-ci jusqu'à la lie.
    En conséquence, le conseil de Christine, est plus que judicieux pour Christinette, qui aurait tout intérêt à en tenir compte et reposer ses espoirs, sur le fait que l'archiviste soit le plus occupé possible, afin qu'il range au placard (peut-être) cette promesse, qui sans nul doute serait bien désagréable à supporter.......... !

    Amicalement, Dominique

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  112. Chère Christine,

    Christine, j'admets sans détour, que nos activités respectives ont le point commun d'une surcharge, en cette période et j'avoue également que le jeu des commentaires, me convient davantage durant la semaine, ne consacrant au Minot, que quelques moments au cours du week-end et comprend donc fort bien la position de la conteuse, qui nous manque certes, mais reviendra au top dés qu'elle le pourra et n'ait aucun doute à ce sujet !

    Sinon, je constate que la forte en maths, même si elle a connu un ''une tuile en géométrie'' l'est toujours, surtout en se souvenant qu'avec Maman, fainéantise de Christine rimait avec Christine punie, sauf que la punition ne faisait pas dans la poésie et se renouvelait disons ''parfois un peu plus'' que ce qu'une certaine demoiselle, énoncerait....... !

    Amicalement, Dominique

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  113. Christinette est bien heureuse de voir que son mea culpa a suffi pour que Dominique passe d'une promesse au futur à une menace au conditionnel. Et elle serait prête à promettre n'importe quoi pour que l'archiviste "range effectivement au placard" ses promesses. En tout cas, c'est toujours un jour de plus de gagné, et pour la reine du gain de temps, c'est déjà ça de pris, hi hi, se dit la maline...
    Mais, comme il me semble avoir compris qu'il y a deux soirs sans football pour les fans de ballons ronds, Christinette devrait se méfier... Dominique pourrait bien avoir un peu plus de temps que prévu, et sortir, dans la bataille des chiffres et des appréciations de fréquence, des arguments aptes à faire taire la demoiselle... non ?

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  114. Incorrigible Dominique (contrairement à Christinette...), voilà qu'au lieu de faire un vrai compliment en reconnaissant que Christine a gardé ses qualités de "forte en maths", il faut qu'il ramène un mauvais souvenir, avec cette "tuile en géométrie" de douloureuse mémoire...
    Et je revois cet envoi au tableau pour une formule géométrique simple, mais où le stress de cette interrogation surprise m'a fait répondre n'importe quoi...
    Et ce zéro en maths, avec mot sur le carnet de correspondance à ramener le lendemain, je savais bien ce qu'il me vaudrait... Bien sûr, à la sortie, la présence de Tata m'avait conduite à espérer une clémence, mais au moment où mes illusions s'envolaient, un "j'm'en fiche" murmuré m'avait fait gagner le jackpot, avec une déculottée magistrale sous les yeux de Tata Jacqueline...
    Grrr, Grrrr, ce n'est pas charitable de me rappeler ainsi un épisode aussi marquant... et pas que sur mes fesses...
    Je me console en me disant que voilà un 47e jour sans suite du récit, et que je suis à l'abri d'une quelconque réaction maternelle, hi hi... Car évidemment, Maman Spaak aurait déjà réagi, "de temps à autre", prétend Christine... ou "parfois un peu plus", affirme Dominique...

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  115. Chère Christine,

    Tiens ce soir, je ne vais faire qu'un seul commentaire aux deux réponses, puisque celles-ci mêlent autant l'archiviste, que Dominique !

    Tout je reconnais bien là, la Christinette satisfaite de sans sortir à si bon compte, pour le moment, alors qu'elle était prête à promettre la lune et que si elle n'est pas absous, elle se gausse d'avoir gagné un temps précieux et cher à sa pensée de gérer ainsi, sa petite vie et surtout l'emploi du temps de son anatomie, lorsqu'une exploration maternelle était à prévoir.... !
    Tout comme Christine, qui n'a donc pas perdue cette habitude d'autant plus qu'aujourd'hui, celle-ci est assurée d'une impunité totale, à ''gagner'' un jour de plus et sans même afficher une once de regrets envers ses fidèles lecteurs... ! Il est donc bien dommage qu'elle ne craigne, ni son ''de temps à autre'' minimaliste, ni le ''parfois un peu plus'' réaliste de Dominique !

    Tant qu'au fait que je sois incorrigible, désolé mais pour Christinette c'est pas mieux, car si cet incident malencontreux en maths, ne pouvait qu'avoir des conséquences douloureuses, il n'en demeure pas moins que la cerise sur le gâteau, d'une sévère déculottée sous les yeux de Tata, c'est bien la Christinette qui se l'est offerte, avec ce ''j'men fiche'' ! Alors je me plaît à rigoler, d'autant que je n'ai fait preuve que d'un professionnalisme d'archiviste !

    Pour ce qui est des deux soirées sans foot, c'est pas faux, sauf que ce week-end je serais sur la région parisienne pour récupérer mon fils, qui passera les 2 mois de vacances chez moi et de plus, si je suis encore un peu fan (pour l'avoir pratiqué), mon engouement est moindre et avec mon téléphone, je suis moins à l'aise comme vous le savez, ceci dit sait-on jamais !

    Amicalement, Dominique

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  116. Je suis flatté que Dominique ne me qualifie d'« homme de lettres ». Quant à la redondance que j'ai commise, au temps pour moi, je veillerai dorénavant à consulter plus attentivement les archives de l'archiviste.^^
    Concernant le dernier commentaire de Christine, je me souviens également de cette tribulation géométrique où les triangles avaient été considérés comme des cercles.
    Et comme tout le lectorat de ce blog, j'attends encore et toujours la suite avec impatience.

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  117. Tiens, voici que mes deux plus fidèles commentateurs expriment tour à tour leur impatience... Bon, d'accord, il va falloir que je m'y mette, dès que j'aurai un moment, car au moins, lorsqu'ils sont en train de me lire, ils ne sont pas en train de me gratifier de considérations qui agacent Christinette, même si Christine se doit bien de reconnaître qu'ils ont souvent plutôt raison...
    Je remarque d'ailleurs que ni Mardohl, ni Dominique, n'ont oublié ces épisodes tournant autour d'un zéro pointé en cours de maths, pour une histoire de formule erronée, non pas que je ne l'aie pas sue, mais surtout parce que le stress d'une interrogation surprise, avec envoi au tableau, m'avait amenée à répondre sans réfléchir vraiment... Avec pour conséquence deux heures de colle dans une de mes matières fétiche, ce qui ne laissait aucun doute sur ce que cela me vaudrait de la part de Maman...
    Mais, il est vrai que le "j'm'en fiche" murmuré par Christinette avait envenimé la situation, me retrouvant pour ma plus grande honte déculottée sous les yeux de Tata, et lui offrant un spectacle haut en couleurs... Tata qui me traitait toujours comme une grande, et était souvent ma meilleure avocate n'avait alors pu qu'être spectatrice aux premières loges de comment sa soeur traitait sa chère nièce en lui flanquant une fessée magistrale, comme à une gamine, mais avec l'intensité et l'application dues à une demoiselle insolente...
    J'en ai encore au fond de moi le souvenir cuisant...
    Cela dit, ce n'est pas ça qui fait que mon récit avance... Mais, je pense que les commentaires ont aussi du bon, en exprimant des ressentis ou des éléments explicatifs.
    Et puis, histoire de taquiner Dominique, cela ne fait que 49 jours, soit sept semaines, que je n'ai pas ajouté d'épisode nouveau... Cela dit de la part de Christine, car Christinette, elle, aurait trop la trouille que l'archiviste nous renvoie dans les gencives un ou deux éléments statistiques rappelant qu'en certaines périodes Maman serait déjà intervenue... Peut-être même plus d'une fois...

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  118. Chere Christine,

    En effet, il est préférable que la taquinerie vantarde au sujet des 50 jours (et oui un de plus) soit le fait de Christine et non de Christinette qui a bien raison, d'avoir la trouille d'un revers cinglant de l'archiviste.
    Bon, étant dans le TGV et avec mon phone, je tacherais revenir ce soir de mon ordinateur.

    Amicalement Dominique

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  119. La taquine espère que Dominique est sorti du TGV, hi hi... Sinon, trois jours après, il a eu le temps de faire le tour du monde... Ou d'aller jusqu'à la lune... Mais, je ne vais pas pousser la plaisanterie, sinon l'archiviste va encore faire référence à la mienne, de lune, hi hi...
    Les 50 jours sont dépassés, il va falloir quand même que je m'y remette... Mais, avouez que, là où s'est arrêté le récit, on puisse ne pas avoir envie de partager ses réflexions à propos de ce que l'on vient de vivre...

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  120. Chère Christine,

    Heureusement, Mademoiselle l'espiègle, que Dominique est sorti du TGV (Paris/Nimes, c'est 3 heures, pas trois jours) et mon absence au boulot, ce serait remarquée... ! Tant qu'à aller sur la lune, c'est pas mon truc, ce désert hostile ne m'inspire pas, préférant et de loin, la ''lune'' accueillante d'une certaine demoiselle, blanche en général, sauf lorsque sa chère Maman lui offre une teinte beaucoup plus soutenue, grâce à l'action répétée, constructive et maîtrisée de sa main, qu'elle doit renouveler assez fréquemment, la jeune fille pourtant pas friande de celle-ci, en ayant comme une sorte de besoin pour son équilibre... !

    D'ailleurs, il ne fait aucun doute qu'un dilettantisme de cet ordre, ne serait pas passé inaperçue au regard de cette Maman de devoir, qui aurait réagit plutôt deux fois qu'une si nécessaire, pour une remise sur rails adéquate, de son aînée... !

    Ceci dit, je peux comprendre, que la suite soit délicate à partager et génère un énorme frein, à exprimer, cette situation aussi inconfortable de l'après, qui triture les méninges... ! Mais il va bien falloir s'y coller, chère conteuse, pour ne rien perdre de votre crédibilité ! A l'instar de Maman Spaak, pour ses promesses, de..., vous savez quoi..., bien sûr ?

    Sinon, je vous avoue qu'entre le travail et la présence de mon fils, à mes cotés, l'accès à votre blog et la rédaction de commentaires, sera très hachée durant ces deux mois ! Cela dit, Christinette sera plus détendue, mais je saurais me rattraper et pour combler mes manques, j'adresse une suite du Minot qui était sous le coude.

    Amicalement, Dominique

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  121. Chère Christine,
    Suite du Minot :

    Je sentais que la couleur de mon visage, garder sa teinte rouge, tellement j'avais chaud jusqu'au oreilles en écoutant Maman, j'avais envie de fuir mais en même temps j'étais curieux de savoir la suite et puis Maman l'aurait certainement mal pris, puisque sa démarche était pour me rendre justice, sauf que l'égo en prenait un sacré coup et ma fierté fichait le camp !
    Maman poursuivit, tout en étant plus brève, constatant certainement que je n'étais vraiment pas à l'aise !

    «Tant qu'à l'autre mésaventure, on pourrait presque en rire, ma petite Jeannine ! Sauf que sur le moment, j'avais pas envie de rire et je peux te garantir que là, ça a vraiment barder pour leurs matricules, plus que pour le jeu de petits voyeurs ! Oh, c'est simple, je les avaient envoyé me chercher des œufs, pour l'omelette et bien figure toi, que c'est eux qui l'on faites, en trouvant très drôle de jongler avec les œufs, sauf qu'on ne joue pas avec la nourriture... ! Je peux te dire, qu'après les œufs, c'est leurs fesses que Mireille et moi, on a fait jongler et ils ont trouvé ça, beaucoup moins drôle... ! Voilà tu sais tout, pour les deux zèbres !», prenant une respiration Maman enchaîna et ses propos allaient m'apprendre le pourquoi des trois roustes (sauf une étant présent) que la sœur d'Eric (14 ans) s'étaient ramassées durant l'été, bien plus délicat, que nos facéties de chenapans ! D'ailleurs le ton de Maman se fît plus dur !

    «Maintenant, je vais t'évoquer le cas de Nathalie, ta fille... ! Jusqu'à l'été dernier, ma nièce était charmante avec comme les nôtres, des petites sautes d'humeurs d'ados, qu'un sermon ou une gifle calmait, la fessée étant l'exception ! Sauf durant cet été ou Nathalie s'en est ramassée trois, dont-une par ton frère ! D'ailleurs, si tu te souviens, une semaine après leurs arrivées, je t'avais dit que ses nouvelles manières me déplaisaient et selon ton avis, c'était juste une petite crise passagère, sauf que quelques jours plus, ta fille m'a confondu avec ses copines de classe je suppose, se permettant de m'envoyer balader de façon plutôt grossière ! Crois-moi que la trop grande qu'elle se disait être, à vite changer de ton, en se retrouvant sur mes genoux sans sa culotte devant ses cousines et je te garantis que je l'ai pas ménagé..... ! Oh que oui, cela la calmée pendant un peu plus de trois semaines et elle a trouvé autre chose, en compagnie de Monique, rentrant plus d'une heure après l'heure donnée et se vantant d'avoir entraînée sa cousine, qui n'était pas d'accord ! Mireille s'est occupé de sa fille et moi de la tienne, avec une volée maison, tu peux me croire ! Mais le pompon, dont-elle ne s'est sûrement pas vanté, c'est lorsque 8 jours après, elle a refait la même chose cette fois toute seule, alors que l'on étaient tous à table pour le déjeuner et non contente d'arriver comme une fleur, quand je lui ai demandé de s'excuser, elle a piquée une crise, avant de repartir vers la chambre en claquant la porte ! Là, ton frère, la suivit et ensuite, si personne n'a rien vu, tout le monde a entendu et compris ce qui se passait ! Et une dizaine de minutes plus tard revenant avec son oncle, en pleures, les mains sur ses fesses, il était évident qu'elle venait passer un très mauvais quart d'heure, en sa compagnie.... !».

    A suivre......

    Amicalement, Dominique

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  122. Hi, hi, Dominique est sorti du TGV pour m'expliquer que pareil "dilettantisme" aurait à coup sûr fait réagir Maman Spaak,"qui aurait réagi plutôt deux fois qu'une si nécessaire, pour une "remise sur les rails" adéquate, de son aînée..."
    Et j'imagine que les "rails" en question auraient certainement pris la forme des cuisses maternelles, où la fainéante aurait été "remise" en une position cauchemardesque pour son épiderme fessier, et sa pudeur de grande fille et petite demoiselle...
    Surtout que, même s'il ne m'a pas encore répondu sur la question du "plus que de temps à autre", je ne doute pas que le cap des 50 jours dépassé aurait déjà amené ma chère mère à agir, et pas qu'une fois... non ?

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  123. Cela dit, le coup de fil de la Maman du Minot semble toucher à sa fin... En tout cas, on a eu droit à quelques récits successifs des malheurs des cousins et cousines.
    Le Minot va peut-être pouvoir respirer et penser à autre chose... A moins que... Je me demande d'ailleurs si cela ne va pas avoir des prolongations pas forcément agréables...

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  124. Chère Christine,

    Je confirme même que Maman n'aurait pas attendu le cap des 50 jours, pour présenter ses cuisses en forme de rails, afin d'y accueillir le fessier de Christinette et lui indiquer la bonne voie, à suivre, sans égard pour sa pudeur de soi-disant grande fille et petite demoiselle, encore écervelée.
    Et n'aurait bien sur, pas hésité à remettre le couvert rapidement, sans constat d'amélioration, sa fille n'ayant pas trouver la direction souhaité, comme lors d'autres précédents.

    Rassurez vous, Christine, je répondrais au ''plus que de temps à autre'', mais pour être le plus complet possible, avec référence à la clé, j'ai besoin de temps et de tranquillité, or ce sont deux éléments qui me manque en ce moment.

    Ce sera donc pour plus tard, en attendant je poursuis sur le petit Minot et vous enverrais une suite, demain ou lundi matin, qui vous donnera d'autres indications et confirmera peut-être vos intuitions !

    Amicalement, Dominique

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  125. Chère Christine,
    Suite du Minot :

    Maman marqua une pause, puis conclut : «Tant qu'à la troisième, c'est Mireille qui l'a servie.. ! Ta fille pensant pouvoir braver celle-ci en mon absence, sans aucun risque... ! Ce qui fût vrai, sur l'instant, mais à mon retour informée par ma sœur, j'ai passée un savon à Nathalie et autorisée Mireille à agir comme avec ses filles, là ta gamine n'était plus aussi fière et ne rigolait plus du tout, sous sa main.. ! Voilà, Jeannine, tu en sais autant que moi.. ! Je vais donc te laisser réfléchir à tout ça et rappelle moi, pour me donner ton avis, ainsi que ta décision au sujet d'Eric et en attendant, je vais te passer ton neveu qui est à coté de moi, pour qu'il te demande pardon d'avoir désobéi.... ! Si, si, Jeannine j'y tiens, même si je n'ai pas ménagé ses fesses en lui collant la bonne tannée déculotté qu'il méritait, ça lui apprendra et s'il rechigne à le faire, je lui en redonne une autre tout de suite...!».

    Là, je palis d'un coup, Maman était prête a m'en coller une autre, si je ne présentait pas d'excuses à ma tante ! Je croyais rêver et pourtant non, j'avais bien entendu, ce qu'elle confirma en me passant le combiné «Tiens, tu demandes pardon à ta tante et vite, sinon je recommences, c'est compris ?». Pour sûr, que j'avais compris et je savais trop Maman capable de passer en moins d'une minute, de la menace à l'exécution et après la trempe maison, quelques heures avant, prendre le risque d'une deuxième aurait été suicidaire ! D'autant que Maman conditionnée, par ses confidences, m'aurait fourni la preuve palpable que celles-ci n'étaient pas du vent et m'assurait une tannée équivalente, de plus sous les yeux de ma tante Mireille, qui n'aurait sans doute pas hésité à motiver sa sœur !
    Prenant alors le combiné, je m'exécutais immédiatement avec des trémolos de bambin repenti, mais surtout empli de trouille, par la perspective maternelle qui aurait achevée mes fesses encore sensibles !

    Repassant le téléphone, Maman quitta sa belle-sœur et raccrocha le téléphone, puis me dit «Bon, voilà une chose de faite, Minot ! Il ne reste plus qu'à attendre que ta tante me rappelle, peut-être demain, en attendant tu peux aller jouer. Avec Mireille, on va préparer le dîner, les filles vont pas tarder à rentrer et on aura plus qu'à attendre les hommes».

    Elles se dirigèrent vers la cuisine et je quittai alors la pièce, un peu abasourdi, mais comme libéré d'un poids..! Néanmoins curieux, je m'arrêtais au bas de l'escalier pour écouter discrètement la conversation privée entre les deux sœurs et sans noter l'intégralité de l'échange, je retins quelques phrases de l'une ou de l'autre, pas spécialement rassurantes pour notre avenir à tous, filles ou garçons et des deux cotés, les deux femmes semblant bien décidées à rallier Tante Jeannine à la cause des bonnes roustes, si nécessaire, sans égard pour l'âge !
    Du genre Tata : ''Je crois qu'avec ce qu'elle a appris, ça va changer pour Nath et Eric'', Maman : ''Oh, mais je l'espère bien et je me demande même, si après réflexion, elle aussi n'aura pas quelques surprises à livrer, sur les séjours des nôtres, nous amenant à leur rappeler les bonnes manières'' !

    Là, de libéré, je remontais dans ma chambre angoissé, car me revenais en tête quelques âneries non rapportées par ma tante et qui à coup sûr, à la maison, nous auraient valu une dégelée ! De même, je pensais à mes sœurs et cousines, qui devaient avoir quelques dossiers non dévoilés, de chez la tante Jeannine ! Ce qui ne m'incitait pas à être serein et même franchement craindre par anticipation, l'appel de cette dernière ! A suivre........

    Amicalement, Dominique

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  126. Oh, oh ! Le long coup de fil de la Maman du Minot se termine d'une manière qui peut angoisser le petit Dominique... Je n'y avais pas pensé... Mais, en effet, si la Tata suit les conseils de sa soeur et règle quelques comptes avec ses rejetons, il est possible, pour ne pas dire probable, que les soeurs et cousines vont chercher à se défendre et à minimiser leurs rôles dans les bêtises révélées, voire en dénoncer d'autres dont le Minot ne se serait pas vanté, évidemment... Et cela pourrait bien aboutir à une issue douloureuse de la part d'une mère qui en apprendra de belles et voudra réagir en conséquence...
    Car, c'est bien d'expliquer à sa soeur comment elle devrait sévir, mais cela implique, pour être crédible, que dans le cas inverse on ne tergiverse pas...
    Dans un premier temps, c'est sûr qu'apprendre que Nath ou Eric, voire Nath et Eric, auront passé un sale quart d'heure, pourra rassurer le Minot, et peut-être même le réjouir, mais la joie pourrait être de courte durée... D'autant que la Maman du Minot, contrairement à Maman Spaak n'est guère du genre à faire poireauter un fautif, et sait passer rapidement aux actes... Si vous voyez de quels actes, je veux parler... Oui, c'est ça, le même genre que ceux qui arrivent à Christinette "de temps à autre", hi hi...

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  127. Chère Christine,

    Juste un petit mot ce soir, pour vous dire qu'il y a du avoir un bug, car avant de transmettre la suite du Minot qui au regard de votre réponse, titille votre réflexion et une fois encore, suscite votre intuition pour le moins juste, mais je n'en dirais pas plus, la réservant pour la suite du Minot qui voit bien les actes en question et préférerais les éviter !'Javais transmis un mémo juste avant et que voici :

    ''Je confirme même que Maman n'aurait pas attendu le cap des 50 jours, pour présenter ses cuisses en forme de rails, afin d'y accueillir le fessier de Christinette et lui indiquer la bonne voie, à suivre, sans égard pour sa pudeur de soi-disant grande fille et petite demoiselle, encore écervelée.
    Et n'aurait bien sur, pas hésité à remettre le couvert rapidement, sans constat d'amélioration, sa fille n'ayant pas trouver la direction souhaité, comme lors d'autres précédents.

    Rassurez vous, Christine, je répondrais au ''plus que de temps à autre'', mais pour être le plus complet possible, avec référence à la clé, j'ai besoin de temps et de tranquillité, or ce sont deux éléments qui me manque en ce moment.

    Ce sera donc pour plus tard, en attendant je poursuis sur le petit Minot et vous enverrais une suite, demain ou lundi matin, qui vous donnera d'autres indications et confirmera peut-être vos intuitions !''

    Amicalement, Dominique

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  128. Pfff... Si c'est pour rappeler de mauvais souvenirs à Christinette, ce n'était pas la peine de renvoyer ce message, pfff...
    Vous me direz que, de mon côté, je fais aussi le pronostic que le prochain coup de fil de Tata à la Maman du Minot aura de fâcheuses conséquences... Bon, ça fait match nul alors...
    Mais, quand même, moi je mets les formes et suggère seulement, alors que vilain méchant et taquin Dominique parler de "fessier" qui serait "exposé" sur des "cuisses en forme de rails". A lire cette comparaison ferroviaire, je comprends que l'on parle parfois "d'arrière-train", hi hi...
    Bref, je préfère en rire, même si c'est pour Christinette un rire jaune qui contratse avec une autre couleur que semble promettre Dominique...
    Cela dit, on est passé de 50 jours à deux mois pile, mais je ne le dis pas trop fort, car cela pourrait donner des idées à l'archiviste en chef...

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  129. Surprise : une suite est livrée... Après deux mois et un jour... Voilà hélas un cap dépassé qui risque d'inspirer l'archiviste en chef... Christinette ne va pas apprécier...

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  130. Chère Christine,

    Enfin.., voilà la suite !!! Christine aura mis le temps, pour rendre sa copie.. !!! A une certaine époque, je suis certain que Maman aurait baissée plus d'une fois la culotte de Christinette, pour lui tannée copieusement ses fesses, la demoiselle en ayant bien besoin pour une telle fainéantise.

    Sinon, après une première lecture hier soir et ces deux mois d'attente, l'archiviste ressent une forte inspiration qui ne va pas plaire à une Christinette, déjà prise dans la tourmente de l'après et de façon peu ordinaire, alors qu'elle vient à peine de quitté le giron maternel, les fesses bouillantes et écarlates, résultat d'une volée magistrale.

    Allez je vais relire plus posément et passer le tout à la moulinette, du Dr Archive, hi, hi !

    Amicalement, Dominique

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  131. Pff, je l'avais bien dit... L'archiviste va encore titiller Christinette avec des chiffres... Il faut absolument qu'il imagine ce qui se passerait si j'avais encore l'âge de la redoublante... Comme si cela intéressait quelqu'un... Pfff... C'est même pas drôle...
    Et puis pourquoi préciser que Maman m'aurait "baissé la culotte", pfff, ce n'est pas drôle, pfff...
    Heureusement, Christinette s'en sort bien, puisque Dominique parle juste de "plus d'une fois" ! C'est déjà assez gênant comme ça... Pas la peine de préciser davantage...

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  132. Chère Christine,

    Ça ronchonne et ça couine, chez Christinette qui a du mal, à supporter des vérités toutes simples, telles que Maman baissant la culotte, pour bien fesser sa grande fille épanouie, qui avait besoin de traitements plus énergiques que les soeurettes, non ?

    Sinon, je prépare un premier commentaire sur le 103.

    Amicalement, Dominique

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  133. Voui, ça ronchonne, ça couine, ça grogne, quand Christinette lit des commentaires de l'archiviste... Pfff, pas contente, la "grande fille épanouie" de Maman Spaak... Pfff, pas envie que Dominique en rajoute avec des détails et des chiffres qui ne lui feront pas plaisir... Même si Christine, elle, ne peut trop rien dire, sinon reconnaître que l'archiviste n'a pas toujours tort... Heureusement, il n'a pas l'air pressé de mettre des points sur les "i", ni les chiffres sur les estimations très minorées de Christinette...

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  134. Chère Christine,

    C'est vrai, que Christinette profite bien de ce sursis, car lorsque cela lui tombera sur le coin du nez! Je suis sur que les provocations et les petits rires disparaîtront d'un coup, mais ça elle ne le sait que trop bien!
    Quand on cherche, on trouve, surtout avec Maman ou le Dr archive.
    J'ajouterais même qu'on ne récolte, que ce que l'on sème.

    Amicalement, Dominique

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  135. Philosophe, Dominique. "On ne récolte que ce que l'on sème" ! Mais, comme il n'existe pas de graines de fessées, ni de plants de fessées à repiquer (pour faire un clin d'oeil à la voisine et aux deux épisodes en cours), Christinette se dit que l'archiviste est trop occupé en ce moment pour faire autre chose que des promesses. Surtout avec la suite du Minot à écrire, où le suspense est à son comble, et puis maintenant un nouvel épisode christinien à commenter... D'où une certaine sérénité de Christinette, qui se permet de rire sous cape, discrètement bien sûr, en douce, en se disant que Dominique va encore la laisser tranquille quelque temps...
    Pourvu que le "sursis" se prolonge longtemps encore...
    Et, sans vouloir trop se moquer, Christinette trouve drôle l'expression dominicaine et dominicale, qui dit que cela va "lui tomber sur le coin du nez" !!! C'est presque rassurant, car ce que craignait Christinette tombait en fait à un autre endroit habituellement caché par une culotte... Vous devinez lequel, non ?

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  136. Chère Christine,

    Oui, Christinette, je devine parfaitement l'endroit que l'on nomme les fesses, que Maman avait fréquemment l'habitude de dévoiler, en baissant ta dite culotte, pour te rappeler les bonnes manières!
    Alors en effet, profite encore de rire sous cape et te moquer, viendra le temps de ronchonner, pester ou grogner, à commencer par l'épisode 103 ou tu me semble bien mal à l'aise, en écoutant deux jardinières s'intéresser davantage à tes fesses aussi rouges, que les fruits de leurs plants potagers!
    Comme tu le vois, malgré mon manque de temps passager, je n'oublie pas tes rondeurs jumelles, ainsi que celles du Minot pour Christine!

    Amicalement, Dominique

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  137. Trop fort, Dominique, hi hi, il a trouvé ce à quoi Christinette faisait allusion... Même que si cela s'appelle ainsi, les f..., c'est pour cela que ce qui leur tombe dessus, de temps à autre... (je préfère ça à fréquemment), cela s'appelle d'un nom qui reprend le même substantif en ajoutant un "é" et qui donne donc une f...ée !
    Bon, mais Christinette ne va pas insister, car elle se dit que les promesses répétées de Dominique pourraient vite prendre forme... D'autant que, comme j'entendais dire tout à l'heure un collègue de travail : "Maintenant qu'il n'y a plus de foot, je vais pouvoir me mettre à jour". Je suppose que c'est le cas aussi pour mes commentateurs préférés.
    En espérant, dit Christine cette fois, que Dominique avancera aussi sur la suite du Minot... De quoi consoler peut-être indirectement Christinette...

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  138. Chère Christine,

    En effet, c'est fini pour l'Euro et cela libère quelques créneaux, même si cette semaine risque d'être compliquée pour cause de 14 juillet et ses fes...tivités!

    Oh, Christinette! Substantif commun aux mots que l'on a eu du mal à prononcer, évocateurs de moments colorés, comme le feux d'artifices et comparable aux feux d'arti..f...es orchestrés par le Maître artificier, j'ai nommé Madame Spaak sur le f...ier de la demoiselle? Ah, le bougre!!!!

    Bon ceci dit, je m'efforce de poursuivre sur Minot et le 103 que j'ai entamé.

    Amicalement, Dominique

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  139. Pas de souci, Dominique. Je pense aussi être moins présente durant une dizaine de jours, à partir du 14. Mais j'essaierai de lire mes messages et les commentaires.
    Christinette guettera les suites du coup de fil de la mère et des tantes du Minot. Christine, elle, est intéressée de connaître les analyses du nouvel épisode.
    Il n'y a que sur la démonstration promise par l'archiviste sur le débat entre "de temps à autre" et "plus que souvent" que Christinette n'est pas pressée du tout, et se passerait bien de toute démonstration chiffrée...
    Pour ce qui est des mots que Christinette a du mal à prononcer, il faut reconnaître qu'ils étaient plus que gênants pour une petite demoiselle qui aimait jouer la grande fille, mais qui "parfois" se retrouvait punie comme une gamine...
    Maman Spaak savait que c'était la meilleure façon de "guérir" son aînée de ses travers. Et pour la "guérir", elle employait toujours le même "médicament" dont on se transmet la recette de génération en génération, et qu'il faut appliquer de préférence sur la peau nue, à la moindre rechute... Le même médicament pour les trois soeurs, mais comme pour l'aspirine, la dose évolue selon l'âge et la corpulence... Et, là dessus, Maman Spaak était très pointilleuse, sachant qu'avec une patiente sujette à de fréquentes rechutes, comme Christinette, mieux valait parfois reprendre l'application à zéro, comme dans cet épisode, ou même parfois doubler la dose, ce que l'archiviste là aussi pourrait confirmer..

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