vendredi 8 avril 2016

Chronique d'un redoublement : 100. Une Maman calme et déterminée, malgré un imprévu...

SUITE 99

Mes soeurs me regardaient finir mon bol de lait chocolaté, et ne semblaient pas pressées de monter. Aline était dans le registre compatissant : "Elle ne te fera peut-être pas trop mal, tu sais". Je pensais de mon côté, sans le dire : "Ma pauvre soeurette, les fessées de Maman qui ne font pas mal, ce n'est pas encore inventé..."
C'est Diane qui rétorqua :  "Je crois plutôt que Maman n'est vraiment pas contente et que ça va barder..."
Je leur fis comprendre qu'elle feraient mieux de monter s'habiller, pour ne pas risquer de subir aussi la colère maternelle. Elles me laissèrent enfin seule, et je pus finir mon bol en ayant surtout la tête à ce qui m'attendait...
"Christine, qu'est-ce que tu fais encore en bas ? Cela ne sert à rien de traîner ainsi",  me lança Maman du haut de l'escalier. "J'arrive, Maman, j'arrive. J'ai fini, je viens m'habiller", répondis-je. Je posai mon bol dans l'évier et montai les escaliers, pas rassurée du tout.


 Je montai les escaliers, pas rassurée, puisque Maman
semblait pressée que je la rejoigne...


En arrivant dans ma chambre, je vis que mes affaires de la veille avaient disparu, sûrement mises au sale. Mais aucune autre n'était sortie, alors que j'avais remarqué en passant devant la chambre des petites que leurs affaires étaient prêtes, chacune au bout de leur lit.
Aline et Diane étaient dans la salle de bain, en train de faire la toilette du matin, débarbouillage au gant de toilette, et brossage de dents suffisaient.
J'hésitai, mais allai demander à Maman ce que je devais mettre. Elle était dans sa chambre et rangeait du linge dans l'armoire. Elle me regarda en fronçant les sourcils : "Je te donnerai tes habits tout à l'heure. Tu n'en as pas besoin pour l'instant. Va donc faire ta toilette, et on va discuter toutes les deux..."
La phrase signait la promesse d'une exécution imminente. Je me doutais bien qu'on n'attendrait pas le lendemain, mais savoir que ce n'est plus qu'une question de minutes a de quoi faire remonter le rythme cardiaque, à implorer un délai, comme le condamné à mort avait droit à une ultime cigarette. 


La menace maternelle était sans équivoque... Selon elle, je n'avais
"pas besoin" de m'habiller avant que l'on "discute" toutes les deux...
Cela voulait tout dire... Je pouvais préparer mes fesses...  

 
Je tentai de protester : "Euh, mais, Maman, non..." Je ne reçus qu'une réponse sans équivoque : "Il n'y a pas de "non" qui tienne. Tu sais très bien ce que je t'ai promis. Ne m'énerve pas davantage que je ne le suis..."
Je filai dans la salle de bain, où mes soeurs avaient tout entendu, et me regardaient comme une bête curieuse. Diane murmura : "J'avais raison, tu vois", puis elle reposa sa brosse à dents, et sortit en passant derrière moi. Au passage, elle tapota mon bas du dos, avec une sorte de petit rire. J'ai eu du mal à me retenir de ne pas la gifler, mais ce n'était vraiment pas le moment de la faire crier et de risquer d'amplifier la réaction maternelle...

Les petites filèrent s'habiller, laissant leur ainée en pyjama, pour "attendre" sa fessée...
Je me débarbouillai, me lavai les mains qui étaient moites, et pris le temps de me brosser longtemps les dents...
Maman était allée dans la chambre des petites, leur ordonner de s'habiller, puis de "rester tranquilles" le temps qu'elle "s'occupe" de Christine...
Après trois ou quatre minutes de brossage, je me rinçai la bouche et rangeai la brosse, sortant le coeur battant pour aller me réfugier dans ma chambre. Je croyais Maman revenue dans la sienne, mais la découvris au contraire, dans ma chambre, assise sur le bord de mon lit, en une position que je connaissais trop... Elle avait encore les jambes croisées. Elle se redressa et les décroisa en me voyant arriver... Une manière de me présenter ses genoux, des genoux qui m'attendaient...


Je trouvai Maman assise sur mon lit, à une place que je connaissais
trop bien.. Mon regard se fixait sur ses genoux qui m'attendaient...
J'en frissonnai...
 

J'eus un mouvement de recul, mon visage se figeant dans une expression d'étonnement... "Pourquoi fais-tu cette tête, Christine ? Tu préfèrerais que je t'attende au salon, comme la dernière fois ?", dit-elle avec un calme impressionnant.
Je bredouillai des mots sans queue ni tête, implorant le pardon, promettant de ne plus recommencer, recevant en retour le classique : "C'est toujours ce que tu dis, Christine, et tu recommences toujours, heureusement que Maman, elle, tient ses promesses, comme tu vas pouvoir le constater une fois encore... Allez, viens donc ici..." dit-elle en tapotant ses genoux.
Je passai le pas de la porte, et commençai à la refermer derrière moi, mais Maman intervint : "Non, Christine, non, laisse la porte ouverte, que j'entende si tes soeurs sont sages". Je n'osai rien dire et rouvris la porte entièrement. J'étais déjà étonnée de ne pas recevoir cette fessée devant les petites, alors le fait qu'elles entendent tout était un moindre mal...
Je tentai quand même de plaider ma cause : "Tu sais, Maman, je n'ai fait que parler un peu fort en cours. Même Babette et Brigitte ont aussi été collées" !
Mais, l'argument ne convainc pas Maman : "Je t'ai déjà dit que je me fichais des bêtises des autres. C'est ma fille qui compte, c'est elle qui redouble, et c'est elle doit faire doublement attention..."
Je sanglotai : "Oui, Maman, je sais, je sais, mais pardonne moi... Snif, snif, c'est trop dur..."
Elle reprit : "N'exagère pas,Christine... Tu mériterais que je te déculotte devant tes soeurs, comme pour la dernière colle en anglais... Bon, cette fois, tu as presque été franche, pas complètement, mais tu n'as pas attendu l'arrivée du bulletin de colle pour avouer ton comportement... J'espère quand même pour toi que le motif qui sera écrit par Mlle Paule est bien ce que tu dis, sinon tu auras de nouveaux ennuis... En attendant, tu vas recevoir la fessée que tu as méritée, et je vais faire en sorte que tu t'en souviennes longtemps... Allez, viens donc ici, Christine... "
Je ne pouvais fuir, de peur de me retrouver déculottée devant mes soeurs, je n'avais d'autre choix qu'avancer, à pas lents, tétanisée de peur, mais sachant qu'il n'y avait pas d'échappatoire, et que je devais en quelque sorte apporter mes fesses blanches sur les genoux maternels où elles allaient recevoir une tannée mémorable...
Très étonnamment, je n'ai plus le moindre souvenir de la demi-douzaine de pas que j'ai dû faire pour arriver à portée de main de Maman, restée assise sur le bord de mon lit. Comme si j'avais fermé les yeux, comme si j'avais marché telle une automate, peut-être même sans rien dire, sans implorer, conditionnée par l'évidence que je n'échapperais pas à mon "dû" comme insistait Maman...



 Je n'ai aucun souvenir des derniers pas, effectués comme dans le brouillard...
Je me suis retrouvée en travers de ses cuisses,
où j'étais venue, résignée, sans résister...

J'ai certainement eu comme un mouvement de recul quand Maman m'a attrapé le poignet gauche, pour m'attirer vers elle, pour me faire plonger en travers de ses cuisses... Je crois que Maman a commenté : "C'est bien, Christine, c'est bien", façon de souligner que je n'avais pas les gestes de défense habituels, ou du moins que je me laissais davantage faire...
J'ai bien, par une sorte de réflexe inné, amené ma main libre vers le bas de mon dos, pour tenter d'agripper l'élastique du pantalon de pyjama, mais il a suffi d'un "Christine... Ta main !!!" pour que je la desserre et que Maman ne me bloque main et avant-bras sans peine.
Ayant la situation bien en main, Maman s'employa à dégager mon bas du dos  largement, avec des gestes calmes et posés, qui montraient sa pleine détermination.
Le haut de pyjama remonté et coincé sous mon bras gauche qu'elle me bloquait dans le dos, le pantalon descendu jusqu'aux mollets, la culotte glissa, glissa, ne s'arrêtant qu'entre mi-cuisses et genoux, dévoilant pleinement deux fesses encore blanches offertes à la tannée promise...
Je ne suppliais qu'en murmurant, sachant la porte de la chambre grande ouverte, et ne doutant pas que les petites tendaient l'oreille...
Les gestes maternels étaient posés, précis, sans hâte, comme si la correctrice récitait une leçon parfaitement acquise, comme si elle voulait faire une démonstration de la fessée modèle !


Maman était étonnamment calme, prenant soin de dégager pleinement
ma lune, se préparant à donner une fessée exemplaire... 


J'en avais de plus en plus conscience et comprenais que je devais me préparer à une volée des grands jours... J'en frissonnais de haut en bas du corps, d'autant que j'avais désormais les fesses à l'air, tremblotantes et guettant la première claque...
Mais, Maman voulant bien faire passer la leçon, tardait à agir, plaçant un sermon maison annonciateur d'orage : "Alors, Christine, on fait moins la fière qu'en cours d'anglais. J'espère que tu regrettes ton comportement, parce que tu vois bien que Maman tient ses promesses... Je t'avais prévenue que tu devrais préparer tes fesses en cas de récidive... Voilà qui est fait, et tu vas la sentir passer cette fessée, crois moi... J'espérais pourtant que la dernière volée te ferait réfléchir plus longtemps avant de recommencer à te distinguer en classe... Mais, non, ma grande fille n'a pas compris, c'est à croire qu'elle en redemande même... Mademoiselle Christine va donc être servie... Allez, occupons nous de ces fesses qui ne demandent qu'à rougir... Allez, ça va claquer, tu peux me croire..."
J'avais laissé Maman débiter son discours, en ne faisant que gémir de petits "Non, Maman, non" sorte de prière tant de fois dite dès que je me trouvais en pareille position.
Puis, donc, les premières claques tombèrent, espacées, réparties savamment, alors que je serrais les dents et retenais mes cris, ce qui fait que j'avais l'impression que la claquée résonnait avec un bruit assourdissant...
Après ces claques espacées, dosées pour recouvrir tout le blanc de mon bas du dos, Maman changea de rythme et asséna une première volée de claques vives et rapides, qui m'arrachèrent les premiers cris, me faisant pleurer et tenter de gigoter...
Je suppliai : "Arrête, Maman, arrête". Elle se redressa le dos, rajusta ma position, et répondit d'un ton ironique : "Voyons, Christine, cela ne fait que commencer..."


 La fessée maternelle était méthodique, appliquée savamment...
Mes premières supplications ne m'attirèrent qu'une réponse
peu rassurante : "Voyons, Christine, cela ne fait que commencer..."

Désespérée, je me relâchai, et c'est sur une lune non crispée que tomba la claque suivante, Maman retournant à une série calme et appliquée...
Mais, à peine la deuxième nouvelle claque ciblée tombant sur ma fesse droite, la sonnette retentit. Juste un coup...
Maman s'arrêta, sans me relâcher pour autant. 
Aline et Diane, qui avaient entendu la sonnette rappliquèrent en trombe, tombant sur la scène de leur grande soeur déculottée sur les genoux maternels.
"Regarde donc qui c'est... ", demanda Maman à Aline qui allait vers la fenêtre de ma chambre, qui donnait, elle, sur le devant de la maison et le portail en fer forgé.  
"C'est la voisine d'en face. Elle a l'air de porter des plantes", renseigna Aline. 


 Aline était allée voir à la fenêtre pendant que Maman me gardait en position...
C'était la voisine qui venait de sonner au portail d'entrée.

Diane réagit très vite : "Tu veux que j'aille ouvrir, M'man, et que je dise que tu es occupée ?" avait déjà imaginé ma soeurette qui n'aurait pas manqué de renseigner plus complètement encore la voisine...
Maman ne laissa pas faire : "C'est vrai qu'elle devait m'apporter des plants de tomate. Bon, je vais aller lui ouvrir." dit-elle en me relâchant. Je me retrouvai à genoux, les fesses à l'air, emberlificotée dans mon bas de pyjama, sanglotant doucement.
Relevée, Maman se dirigea vers le couloir, en disant : "Toi, Christine, tu restes là. On est loin d'en avoir fini toutes les deux... Je reviens juste après pour reprendre ma petite conversation avec tes fesses..."
J'avais imaginé une demi-seconde que j'allais être sauvée par le gong de cette sonnette-surprise, mais il n'en était rien...
Je me relevai maladroitement, tout en marchant sur mon pantalon de pyjama, avant de le remonter et de me rhabiller à la hâte. Diane s'écria : "Maman a dit que tu dois l'attendre. Elle a pas dit que tu pouvais te rhabiller... Je vais aller lui dire que tu as remonté ta culotte..."
Ma soeur descendit alors retrouver Maman et la voisine. Je n'ai pas entendu ce que Diane a pu dire à Maman. Je crois qu'elle l'a faite taire, lui demandant de s'occuper de ses oignons et de ne pas jouer les petites rapporteuses, mais je me doute que cela a dû renseigner la voisine sur ce que faisait Maman quand elle a sonné...


Je me relevai maladroitement, les fesses déjà colorées, que mes soeurs
observaient les yeux brillants de curiosité...
Je me rhabillai donc afin de cacher ma lune à leur vue...
J'avais toutefois conscience que, sauf miracle improbable,
  je ne m'en tirerais pas sans un nouveau supplément...

Aline, elle, était restée avec moi, et cherchais à me consoler : "Ma pauvre Christine, ça doit faire mal. J'ai vu, tes fesses étaient déjà rouges... Mais, c'est sûrement bientôt fini..."
C'était gentil de sa part, mais j'avais plutôt retenu la phrase de Maman où elle avait dit que cela ne faisait "que commencer..."  
 A SUIVRE

62 commentaires:

  1. Pauvre Christine, qui coyait avoir échappé à la honte de la déculottée publique devant ses chipies de soeurs, et qui doit malgré tout exhiber son derrière nu, déjà rougi par maman !...
    On imagine effectivement Diane : "Maman !... Christine à remonté sa culotte !..." Et cela devant la voisine...

    Mais en attendant, la fessée de Christine commençait à peine, et elle peut s'angoisser pour la seconde partie, après cet entre acte humiliant.
    Le fait de s'être reculottée sans permission lui vaudra-t-il un surcroît de punition ?... Chez moi, les suppléments se faisaient au martinet. Mais il semble que la maman de Christine n'emploie jamais cet instrument classique, ni aucun instrument, d'ailleurs.

    Vous écrivez très joliment, et vous avez un sens du suspense qui force l'admiration !...

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  2. Chère Christine,

    Après une première lecture, de cette centième fess..tive, je vois avec plaisir que cette suite mélange (fruit du hasard sûrement) mes suppositions 3 et 4 (moins l'imprévu), ce qui me confirme mes dons de divinations (trop fort Dom) et me ravi.
    Sinon concernant l'épisode en lui-même, si celui-ci démarre sur un aspect de tranquillité, voir de compassion (échange entre les deux sœurs, les plus concernées par les foudres maternelles) ou de vilaines prémonitions (Diane), le ton et le rythme s'accélèrent assez vite !
    Alors que les petites sont grimpées à l'étage, c'est une Christine pensive qui se voit interpellée sèchement par Maman « Christine, qu'est-ce que tu fais en bas ? Cela ne sert à rien de traîner ainsi ! », l'obligeant à se mouvoir malgré l'envie qui lui manque !

    Premier constat, pas d'affaires dans sa chambre, alors que les petites ont les leurs sur le lit ! Osant (ce qui est rare) interroger Maman, elle ramasse un deuxième camouflet « Je te donnerai tes habits tout à l'heure. Tu n'en as pas besoin pour l'instant. Va donc faire ta toilette, et on va discuter toutes les deux... » signifiant à Christinette, qu'elle va rapidement passer par la case « fessée » entre toilette et habillage, pas rassurant pour un sou et à même de faire monter l'adrénaline, vers des sommets ! Petite remarque gentillette, le condamné à mort, avait droit à une ultime cigarette et un verre d'alcool fort ! Christine, elle n'a droit que de se taire et obéir, pour ne pas augmenter la précarité de sa situation, même si elle subi une dernière moquerie de la perfide Diane !

    Puis, la fuite en avant « la queue entre les jambes » et deuxième constat ! Maman n'est pas dans sa chambre, mais bien là ! A cette place, pour ne pas dire « sa place » évoquant tant de souvenirs, donc certains pas très éloignés dans le temps, présentant des genoux qui ont toujours fait flipper grave Christine, dans ces moments là !
    Christinette affiche un état de surprise, mais vite ramenée sur terre par une Maman au calme olympien « Pourquoi fais-tu cette tête, Christine ? Tu préférerais que je t'attende au salon, comme la dernière fois ? » déstabilisant la demoiselle qui bafouille, en appelant la clémence et faisant promesse d'amende honorable, n'obtenant qu'un rappel justifié sur la tenue des promesses (l'une les tient, l'autre pas) de la part de Maman chérie qui l'invite à venir, vers elle !
    Christine souhaiterais pour la suite, une certaine intimité (même si le son traversera les murs) en refermant la porte, mais l'injonction maternelle l'en empêche et dans un dernier élan de défense, tente de minimiser son erreur, incluant deux autres récipiendaires ! Ce donc Maman se fiche éperdument, rappelant que seule sa fille l'intéresse et ajoute, après une dernière supplique de celle-ci, le pourquoi (semi franchise et pas d'attente du bulletin) elle a la chance d'échapper à une déculottée, devant ses sœurs comme la dernière fois, mais recevra néanmoins ce qu'elle mérite et que Maman fera ce qu'il faut pour qu'elle s'en souvienne durablement !
    Je note également que Maman fait (tout comme moi) référence au libellé du bulletin avertissant que si celui-ci diffère de ses dires, Christinette pourra certainement préparer à nouveau ses fesses !

    N.B : Christine, je vous retourne un compliment, vous nous fait partager un redoublement depuis 48 mois et ce n'est pas fini, alors que généralement sa durée est de 12 mois ! « Trop forte, Cri-Cri ! ».
    A suivre......

    Amicalement, Dominique

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  3. Oui, Dominique, c'est entre vos suppositions 3 et 4, mais avouez que les quatre correspondent aux "habitudes" maternelles, si j'ose dire, et donc il y avait de fortes chances qu'elle ait utilisé un des quatre déroulés que vous avez imaginés. Mais, l'essai de jouer les devins était sympathique et démontrait votre connaissance experte des us et coutumes de la famille Spaak...
    Je ne doute pas d'ailleurs que l'archiviste nous dira s'il y a des références de fessée interrompue dans le passé. Il me semble qu'il y en a eu une ou deux je crois.
    En tout cas, le commentaire dominicain est déjà bien fourni, même s'il n'aborde que le début de l'épisode, ce qui laisse augurer de suites aussi bien vues...
    Amusante la précision sur le petit verre d'alcool du condamné. Christinette n'avait pas l'âge, mais un petit remontant aurait été apprécié dans sa position, alors que Maman vient de lui signifier que l'heure de la "discussion" est imminente, et qu'elle n'a "pas besoin" de s'habiller, ce qui signifie bien que Maman a l'intention de la déculotter, ce qui est plus aisé en pyjama...
    Pour ce qui est du libellé du bulletin de colle, il est certain que Mlle Paule ne les remplissant qu'après les cours pour les remettre au secrétariat du collège, Christinette ne peut savoir quels termes exacts seront employés. Quand c'est un mot dans le carnet de correspondance à faire signer, ou une annotation sur une copie rendue, l'élève en a parfaite connaissance et peut mieux préparer sa défense. Là, il est vrai que Christinette n'a pas donné les détails, mais s'est contentée de dire qu'elle avait "parlé fort" en classe, ce qui est déjà suffisant pour motiver la colère maternelle. Maman, qui connait l'art de sa fille d'enjoliver les choses et de minimiser ses torts, ne peut donc que mettre en garde son ainée à propos de toujours possibles suites si le libellé est plus grave que la faute avouée...

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  4. Chère Christine,

    J'avoue humblement, Christine, que mes suppositions relèvent plus d'une profonde connaissance des us et coutumes Spaakiennes, que d'une prétendue capacité divinatoire de ma part ! Néanmoins j'ai pris beaucoup de plaisir à les rédiger et m'attribuer cette position de devin amusante.

    Tant qu'à l'archiviste celui-ci ne peux que confirmer votre pensée, au sujet des fessées interrompues et vous offre pour le plaisir quelques références : Sauvée par le gong... hélas non ! Du 18/04/2011 – Episode 53 et 77 du redoublement ou les situations sont quasi similaires au présent épisode, les frangines faisant des incursions dans la chambre interrompant l'action, mais pour des motifs plutôt stupides ! Dans le cas présent, la raison existe ! Justifie t-elle leurs venues ? Pas sûr, mais la curiosité aidant, c'est trop tentant, malheureusement pour Christinette.
    En plus la perfide Diane profite de la situation, pour en rajouter, elle aussi mériterait bien quelques bonnes claques sur son cul nu et ce n'est pas Christine, qui me dira le contraire.

    Certes Christinette n'avait pas l'âge pour l'alcool, c'est dommage car un petit coup de 'gin-gin' un peu corsé, l'aurait sûrement aider à supporter sa position, étant grisée par les effets ! Bon, c'est juste pour imager l'angoisse de Christine, face aux propos de Maman, d'autant qu'en effet un pyjama permet de déculotter plus facilement le ou la fautive !

    Tant qu'au libellé du bulletin, s'il est vrai que Christinette ne peut en connaître les termes exacts qui seront employés par Mlle Paule, elle sait bien que son « parlé fort » déclaré à Maman, résulte d'une moquerie envers des camarades punies et cela risque fort d'y figurer, connaissant la rigueur de la prof ! Alors il est à souhaiter pour Christine, que Maman face preuve de mansuétude en considérant cela comme un enjolivement anodin et non une minimisation des faits volontaire, la demoiselle estimant son aveu suffisant et ne voulant pas attiser davantage la colère maternelle.

    A voir d'ici quelques jours ! En l'état Christinette est déjà en bonne position et commence à prendre une belle coloration, à un certain endroit découvert de son anatomie et donc les soeurettes ne perdent pas une miette, ceci au plus grand désarroi de la demoiselle !

    Amicalement, Dominique

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  5. D'accord avec vous Dominique que le véritable libellé du bulletin de colle sera sûrement plus explicite que le simple "Christine a parlé fort", mais nous n'en sommes pas là évidemment.
    Merci d'avoir déjà trouvé des références de fessées interrompues, mais les cas que vous citez correspondent à des intrusions de mes sœurs, ce qui n'était pas rare en effet... Que n'inventeraient-on pas pour pouvoir jeter un coup d'œil sur les fesses rougissantes de sa grande sœur ? Mais, ce à quoi je faisais allusion, c'est à une ou des fessées réellement interrompues et reprises peu après ou plus tard. Je crois qu'il y avait un exemple avec un coup de téléphone survenant au début d'une déculottée maison...

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  6. Chère Christine,

    C'est vrai, Christine, nous n'en sommes pas encore là, au sujet du bulletin et j'ai d'ailleurs précisé que l'on verrait ça, d'ici quelques jours ! A ce jour, ce sont les fesses de Cricri, qui sont en fâcheuse posture pour sa colle et ça va pas être de la tarte, à mon avis ! Hi,hi... !

    Au sujet de la référence, je suis d'accord avec vous, cela me dit quelque chose ! Il me semble que Christinette s'était recouchée, durant le coup de fil et que cela avait même fait sourire Maman, avant qu'elle ne l'extirpe du lit pour terminer, la fessée qu'elle méritait ! Je rechercherais la référence !

    Sinon, je suis entrain d'écrire la suite du 100 et vous l'adresserait certainement dans la journée.

    Amicalement, Dominique

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  7. Chère Christine,
    Episode :

    Ne pouvant s'échapper, au risque de finir sans culotte devant ses sœurs, Christine dans un brouillard total marche vers ces genoux pour livrer à son corps défendant, au courroux maternel, l'immaculé lunaire des ses fesses encore sous protection du pyjama et de la culotte, en sachant qu'une tannée mémorable va transformer profondément cette couleur originelle !
    Ce flou artistique, l'a fait plonger presque naturellement sur les cuisses en position adéquate, pour la volée qu'elle mérite et se voit même féliciter de sa coopération, ne manifestant aucune opposition, mis à part ce vieux réflexe de protection inutile de la main, pour retenir le bas de pyjama, très vite stoppé par la voix maternelle !
    S'ensuit alors l'instant suprême de la mise à nue, de la cible concernée par l'action maternelle, que Christine vit comme un ralenti de cinéma ! Maman prenant le temps de dévoiler largement et méthodiquement, l'objectif à atteindre, le haut de pyjama remonté et coincé sous son bras gauche, le pantalon suivant le chemin inverse jusqu'au mollets et enfin la petite culotte, qu'elle fait glisser délicatement la laissant entre cuisses et genoux (la position de celle-ci qui gêne les mouvements et le frottement du tissu, lors de la descente, confirmant que l'on est déculotté(e) et prêt (e) à recevoir son dû) !
    Cet effeuillage sans précipitation durant lequel, Christine se contente de simples murmures, les frangines étant sans nul doute possible à l'écoute, l'amène à penser que ce préparatif habituel effectué de la sorte, précède généralement un modèle de tannée, made in Maman Spaak et cela la fait frémir de tout son corps, sans parler de la partie ciblée qui est découverte et secouer par des tremblements d'effroi, dans l'attente des hostilités !

    C'est là, que Maman sûr de sa décision de bien faire, démontre toute son expertise dans la manière d'enseigner les bonnes leçons à ses filles et notamment l'aînée qui tarde à vraiment grandir, offrant à son corps défendant, plus d'occasion qu'il n'en faudrait à son âge, de tester les capacités maternelles à faire rougir une lune et lui mitonner une cuisson parfaite !
    Celle-ci se lance alors dans un long sermon de responsabilisation, rappelant ses promesses, la mise en garde préventive, le constat négatif et sa conséquence directe qui sera à la hauteur de celui-ci !

    « Alors, Christine, on fait moins la fière qu'en cours d'anglais. J'espère que tu regrettes ton comportement, parce que tu vois bien que Maman tient ses promesses... Je t'avais prévenue que tu devrais préparer tes fesses en cas de récidive... Voilà qui est fait, et tu vas la sentir passer cette fessée, crois moi... J'espérais pourtant que la dernière volée te ferait réfléchir plus longtemps avant de recommencer à te distinguer en classe... Mais, non, ma grande fille n'a pas compris, c'est à croire qu'elle en redemande même... Mademoiselle Christine va donc être servie... Allez, occupons nous de ces fesses qui ne demandent qu'à rougir... Allez, ça va claquer, tu peux me croire... »

    Sa fille en position adéquate, déculottée, ne peut que subir ce sermon en gémissement des bribes de réponses, envahie par la trouille de l'orage qui va suivre et qu'elle redoute depuis toujours.

    A suivre.........

    Amicalement, Dominique

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  8. L'archiviste a déjà une idée qui me semble correspondre à ce à quoi je pensais. Merci d'avance.
    Sinon, voici déjà aussi une deuxième partie de commentaire dominicain, et ce n'est pas fini. J'en suis fort aise car tout ceci est fort bien vu... Je suis d'accord avec ce qui est souligné dans ce commentaire. L'impression de brouillard au moment de rejoindre les genoux maternels, où le corps avance alors que la tête dit non, où la résignation est plus forte que la tentation du refus qui ne ferait qu'empirer les choses...
    L'expression "instant suprême " pour qualifier la mise à nue de la lune de la punie, instant vécu en effet très fortement comme le point de non retour, comme la fin de toute illusion, est bien trouvée aussi...
    Quant à la manière calme et méthodique de "préparer " la cible, je la ressentais effectivement comme le signe annonciateur d'une fessée "modèle", n'ayant rien à voir avec quelques versions rapides distribuées aux petites, avec un dégagement éclair de la zone à rougir et une claquée expédiée en deux minutes. Non, le déculottage précis et posé signait à l'avance une fessée "de grande" ! De quoi angoisser plus fort encore pour celle qui venait de plonger en travers des genoux maternels...

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  9. Chère Christine,

    Je reviens sur la manière calme et méthodique de Maman Spaak, préparant la cible de son action ! En fait, effectuant ma recherche de référence (je n'ai pas trouvé, pour l'instant), je revisite avec plaisir vos récits et je crois pouvoir dire que pour ses discussions avec Christine à partir d'un certain âge, Maman s'était forgée comme une ligne de conduite dans l'exécution, pour que la portée de celles-ci soient en rapport avec sa grande fille (censée être plus responsable).
    Impliquant de fait et en règle générale, une action différé dans le temps, une fois libérée des autres obligations, afin d'avoir l'esprit libre et entièrement consacré à sa fille, procédant avec méthode et calme tant pour le sermon, le déculottage ou l'intensité de la fessée et correspondre à une leçon de grande, ne pouvant être identique aux scénettes des petites sœurs !

    D'ailleurs, pour faire un parallèle, Aline plus concernée que Diane par les foudres maternelles reçoit au cours de cette année de redoublement de Christine (dernière année de primaire pour elle, à priori) des fessées quasi Christiennes, reflétant peut-être une volonté maternelle de lui dire « Si tu suis les traces de sa grande sœur, voilà ce que je te réserve ». Je ne suis peut-être pas dans le vrai, à vous de me le dire.

    L'angoisse plus grande de Christinette est donc compréhensible et d'ailleurs elle l'exprime très bien à soeurette au début de l'épisode « Ma pauvre soeurette, les fessées de Maman qui ne font pas mal, ce n'est pas encore inventé... » et aurait même pu ajouter « surtout pour moi ! ».

    Amicalement, Dominique

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  10. Bonsoir Christine. J'ai déjà tenté de vous transmettre mon commentaire depuis hier sans succès, je pense que cette fois-ci c'est la bonne.

    Je n'ai pas encore lu les commentaires de Dominique mais, je pense qu'ils vont dans le bon sens.

    Quant à moi, je m'attendais un peu à ce scénario, d'ailleurs je l'avais un peu prévu dans mes commentaires précédents. La seule différence c'est que j'avais prévu que la déculottée de Christinette risquait d'être interrompue par l'arrivée inopinée de Tata Jacqueline ou Mamie. Bien entendu il n'était pas question de voisine (donc étrangère) et, Christinette peut s'estimer chanceuse, dans son malheur, car je ne sais pas si Maman n'aurait pas poursuivi sa correction si c'était un membre de la famille (Tata Jacqueline ou Mamie).

    Mais la question que je me pose actuellement : la visite de la voisine ne risque t elle pas de s'éterniser et en conséquence mettre fin à la déculottée de Christinette ce samedi, pour une nouvelle fessée dès l'arrivée du bulletin de colle faisant passer à notre héroïne un début de semaine encore plus difficile que prévu.

    Par ailleurs, je relève que Christinette s'est reculottée, ce qui est tout à fait normal et l'intervention de Diane à Maman "Maman... Christine a remonté sa culotte..." devant la voisine est vraiment mal placée et marque un manque d'éducation flagrant et si moi je me mets à la place de Maman Spaak ce n'est pas un "occupe-toi de ses oignons et ne pas joues les petites rapporteuses" qui aurait primé, mais une bonne gifle en présence de la visiteuse, d'ailleurs mais enfants pourront vous le confirmer, je n'aimais pas du tout lorsque qu'un d'eux agissait de la sorte. D'ailleurs, connaissant Maman Spaak, je pense que Diane après coup risque d'en subir les conséquences après le départ de la voisine, car son attitude est inconcevable. Je serais fort étonnée que Maman laisse passer cela.

    Voilà Christine mon premier commentaire, peut être un peu différent de ceux de Dominique (que je n'ai pas encore lus) mais qui va sans doute dans le même sens.

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  11. Chère Christine,

    Désolé, Christine, mes recherches ne m'ont pas permis de trouver un texte correspondant, à une fessée interrompue, puis reprise après un coup de fil ! Par contre nous avons tous les deux, en partie raison sur un élément, le coup de téléphone, mais je vous dévoilerais cela après mon commentaire du présent épisode et je reviendrais aussi sur les références que j'ai donné précédemment, pour compléter votre réponse à leurs sujets !
    Mais pour l'instant, je vais vous laisser mijoter, un peu comme Maman, hi..hi... !

    Amicalement, Dominique

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  12. L'archiviste qui a un coup de mou, c'est rare. Dominique n'est donc pas infaillible. Mais, je suis sûre qu'il retrouvera ladite référence un de ces jours. En attendant, j'espère lire bientôt le commentaire qu'il annonce, s'il ne fait pas trop "mijoter" Christinette, ce qu'elle n'aimait pas du tout, ce qui se comprend...
    Pour ce qui est de la volonté démonstratrice de Maman, que Dominique résume ainsi : « Si tu suis les traces de sa grande sœur, voilà ce que je te réserve », il est, je pense dans le vrai.
    On comprend que cela touche davantage Aline, qui est la plus concernée de par ses difficultés ou son manque d'entrain scolaire, et de par le fait qu'elle est "l'aînée" des petites en quelque sorte... Donc celle qui avance avec l'âge vers des fessées plus magistrales...

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  13. Sylvie, elle, fait souvent des suggestions sur la suite, sur ce que devrait ou va faire ou non Maman, mais j'évite d'y répondre pour ne pas anticiper sur la suite du récit que je suis en train d'écrire. Vous comprenez que cela m'obligerait à débattre de ce qui n'est pas encore rédigé.
    Mieux vaudrait, sans vouloir vous commander, commenter surtout sur l'épisode en cours, sur comment il est ressenti par les acteurs de la scène, demander éventuellement des éclaircissements, mais rester dans le tempo. Merci.

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  14. Chère Christine,

    Non, non, Christine ce n'est pas un coup de mou, j'ai relus tout les textes et aucun ne fait état d'une déculottée interrompue par un coup de fil, je ne pourrais donc pas le trouvé et je pense plutôt qu'il s'agit de l'un de ces cas de figures qui sont pour l'instant au fond de la mémoire Christinienne, mais non mis noir sur blanc comme d'autres que la conteuse, nous a promis ! Et pour ce qui est de mijoter, c'est Dom qui décide, pas Christinette ! Comme lorsque Maman claque ses fesses, c'est elle qui décide si ça suffit ou pas, non mais ! Ceci dit, il se trouve que j'ai un peu de temps, en ce moment, donc Christinette ne devrait pas mijoter trop longtemps, un peu comme dans l'épisode ou l'espace temps entre l'annonce de la sanction maternelle et son exécution, certes interrompue en l'état, est réduit au petit-déjeuner et une toilette ! Si l'on excepte bien sûr, le temps écoulé depuis le couperet professoral !

    Sinon je suis content d'être dans le vrai, pour Aline qui est effectivement la plus concernée des deux petiotes, n'ayant pas les facilités d'apprentissage de ses sœurs (admissible si effort il y a) et surtout une propension à en faire le moins possible, ce qui chez Maman Spaak ne passe pas et ce sont alors les fesses qui en payent le prix fort et comme la gamine évolue avec l'âge, elle à de quoi se faire du souci pour sa gémellité ! Christinette pouvant en témoigner largement et attester de la capacité maternelle à distribuer, des tannées mémorables, quand c'est nécessaire !

    Amicalement, Dominique

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  15. Chère Christine,
    Episode :

    La cible étant dégagée de toute entrave et en bonne position, Maman n'a plus qu'à ajuster le tir, ce qu'elle fait sans plus attendre, par des claques espacées, précises et suffisamment fortes pour colorer la zone d'action, sans laisser une seule parcelle vierge !
    Une fois cet ajustement effectué, Maman peut alors lancer la première rafale permettant à Christine de vérifier la justesse de sa réponse à Aline « Ma pauvre soeurette, les fessées de Maman qui ne font pas mal, ce n'est pas encore inventé... » et le manifester (cris et supplique) n'obtenant qu'une réponse peu engageante et presque amusée de Maman « Voyons, Christine, cela ne fait que commencer... ».
    Désemparée, même si au fond d'elle-même, elle n'espérait pas une fessée de fillette, Christinette se décontracte au moment ou la main retombe à nouveau et s'écrase alors sur une fesse détendue, Maman ayant repris un rythme posé et précis !
    La deuxième claque sur l'autre fesse (sûrement détendue, elle aussi suite à la disgestion de la première) résonne en même temps que la sonnette du portail, stoppant l'action maternelle et provoquant le déboulé des soeurettes dans la chambre, sautant sur l'occasion de voir la grande sœur déculottée, sur les genoux de Maman et pleurnichant comme une fillette, ce qui est bien plus drôle que d'être à sa place !

    D'autant que Maman conserve Christinette, en place et sollicite Aline, pour regarder par la fenêtre « Regarde donc qui c'est... ? », obtenant l'info « C'est la voisine d'en face. Elle a l'air de porter des plantes ! ». Diane la perfide, réagissant au quart de tour, se proposant d'aller ouvrir pour dire à la voisine qu'elle est occupée, mais surtout pour la renseigner sur le genre d'occupation.
    Cela n'échappant sûrement pas à l'intuition de Maman qui donne la raison de sa venue et décide alors de laisser en plan une Christine sanglotante, sans omettre de préciser avant de descendre « Toi, Christine, tu restes là. On est loin d'en avoir fini toutes les deux... Je reviens juste après pour reprendre ma petite conversation avec tes fesses... ».

    L'espoir fugace de Christinette d'échapper à son sort, grâce à l'invité surprise tombe aussitôt à l'eau !
    Malgré cela, sa grande pudeur, l'incite à se reculotter prestement, ne voulant pas exposer une seconde de plus sa semi-nudité, au regards des frangines plutôt moqueuses. Ce qui bien évidemment interpelle, la pire des deux qui reformule les propos maternels et ajoute sa volonté de délation, en filant très vite rejoindre Maman, qui néanmoins la remet à sa place sans fioritures !
    Mais si Christine, ne perçoit pas distinctement l'échange, elle imagine sans difficultés que la voisine vient d'être suffisamment informer, sur la tâche occupant Madame Spaak lors de son arrivée, à l'improviste.
    Aline par gentillesse, car plus concernée adresse une phrase de compassion et d'espoir, à sa grande pour tenter de la rassurer, mais celle-ci se rappelle surtout le propos ironique de Maman et ne s'attend donc pas à autre chose, qu'à une tannée méthodique, précise et amplement dosée, propice à enflammer et cuire ses rondeurs, de façon mémorable, comme Maman sait si bien le faire !

    Autre problématique qui risque de s'ajouter ultérieurement, à l'encontre et au plus grand désarroi de Christinette, c'est celui de la voisine d'en face, visiblement en assez bons termes avec Maman Spaak et pourrait avoir, à l'occasion d'une conversation, connaissance de certains détails bien gênants pour la demoiselle ?
    Fin de l'épisode, vivement le prochain ! Même si, je me doute que Christinette est moins pressée ! Hi.., hi.. ! Je m'attache maintenant au commentaire attendu et pour lequel, la demoiselle mijote !

    Amicalement, Dominique

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  16. Merci Dominique, voilà qui est réactif et démontre, s'il en était besoin, combien vous aussi "tenez vos promesses".
    Et c'est bien de rappeler ce que Maman dit avant d'aller ouvrir à la voisine... Christinette, qui a déjà les fesses rougissantes (et pas seulement de honte...), n'a donc aucune illusion de s'en sortir ainsi. Non, il y aura une suite. Elle est annoncée, programmée, promise, et donnera donc lieu à une nouvelle déculottée...
    Pour ce qui est de la voisine, il est évident que l'intervention de Diane qui, de fait, explique ce qui se passait au moment du coup de sonnette, ne fait pas plaisir à Christinette, dont les mésaventures ont ainsi un témoin de plus, du moins en paroles et en pensées.
    Mais, je pense que ladite voisine ne découvrait rien en la matière, et savait bien les méthodes de Maman Spaak. Cela aurait été plus gênant s'il s'était agi d'une prof ou d'une mère de camarade de classe...
    Pour ce qui est d'écrire la suite, effectivement, Christinette n'est pas pressée du tout comme elle ne l'est pas de voir réapparaître sa chère mère...

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  17. Chère Christine,

    Oh zut alors ! C'est dommage que Christinette ne soit pas aussi pressée que moi, de revoir Maman Chérie, mais bon en même temps c'est vrai que, qui dit retour maternel, dit douleur et grosse chaleur pour la demoiselle qui s'en passerait volontiers !

    D'autant qu'ayant remis ses frusques, cette chère Maman va devoir à nouveau déculotter sa grande fille et peut-être se dire « Flûte alors, elle s'est rhabillée ! Et je vais perdre un peu de temps, car elle va renâcler en gémissant c'est sûr, alors que ça sert à rien et qu'en restant cul nu, c'était plus simple ! Mais au fait j'y pense, tout à l'heure avant de descendre, je ne lui ai pas dit de le faire ! Ah quelle tête de mule, par moment ! Eh bien, tant pis pour elle, je vais faire comme si on n'avait pas commencer, ça lui apprendra à n'en faire qu'à sa tête ! ». Possible pour la suite ! Christine, non ?

    Concernant la voisine, j'avais effectivement dans l'idée que celle-ci n'ignorait certainement pas les méthodes de Maman Spaak avec ses filles, puisque d'autres les connaissaient (boulangère, la marchande de vêtements sur le marché ou les mères de copines)

    Amicalement, Dominique

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  18. Je voudrais bien vous y voir, vous, Dominique, d'être pressée de se retrouver sur les genoux maternels... Je préférerais même que Maman ne revienne plus de la matinée, et oublie sa promesse... Mais, l'on sait bien, vous et moi, que ce n'est pas le genre de Maman Spaak de ne pas achever une tâche commencée...
    En revanche, je n'imagine pas Maman me reprocher de m'être rhabillée. Si j'étais pudique (et le reste un tant soit peu), c'est bien en raison des principes qu'on nous imposait. Pas question de dévoiler ses parties intimes, et de montrer son bas du dos, en temps normal du moins.
    De fait, si vous me relisez bien, Maman m'avait demandé de l'attendre, de rester là, mais pas de passer ce temps les fesses à l'air...
    Il est vrai qu'elle s'étonnera sûrement si, une fois de retour, je fais une comédie pour retarder le déculottage, mais a contrario je pense qu'elle aurait ri de moi si je l'avais attendue culotte aux genoux, la lune rosie toujours découverte et ne cachant rien aux regards moqueurs de mes soeurs...
    Je l'imagine me dire ironiquement : "C'est bien, ma grande, tu attends sagement Maman qui revient te donner la bonne fessée que tu as méritée... Tu as gardé tes fesses à l'air, et elles sont bien prêtes pour que je les claque et les rougisse... Allez, viens donc les remettre sur mes genoux où elles étaient tout à l'heure... Je ne vais pas te faire languir plus longtemps..."

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  19. Chère Christine,

    Je vois que comme moi, Christine, vous veillez et me transmettez une réponse correspondant à mes attentes, en réagissant à ma supposition et apportant des éléments très clairs, que vous seule pouviez fournir et vous en remercie donc.

    En effet, Maman ne vous a pas demandé de rester les fesses à l'air et votre développement de ses possibles réactions, me confirme l'opinion que je me suis faîte sur l'idéologie de Maman Spaak (au travers de vos récits et commentaires) et partage donc vos suggestions, dans la situation présente.

    Sinon, je m'y vois bien, mais vous laisse volontiers la place et comprends que l'on soit pas pressé dans une telle situation, en préférant être oublié par sa chère Maman et qu'elle range sa promesse au placard ! Mais ça, c'est du domaine du rêve et j'ai également connu cela, avec la mienne qui n'oubliait jamais une promesse de ce type et s'acquittait entièrement de sa tâche, elle aussi !

    En dehors de cela, mon commentaire attendu est presque bouclé, restera à Christinette de l'apprécier ou pas ! Et le digérer !

    Amicalement, Dominique

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  20. Attendons donc ce commentaire "presque bouclé" que promet Dominique.
    Cela dit, je ne suis pas étonnée qu'il me "laisse volontiers la place" quand il s'agit de retrouver les genoux maternels pour la poursuite d'une fessée qui s'annonce exemplaire et magistrale... Surtout lorsque l'on vient déjà d'en "déguster" quelques copieux échantillons, et que l'on sait bien que Maman va se faire un point d'honneur à tenir ses promesses...

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  21. Chère Christine,

    Tout comme Maman, je tiens mes promesses et vous adresse les deux premières parties de mon commentaire, attendu, la troisième et dernière tout à l'heure. Tant qu'à la place laissée, c'est vraiment de bon cœur et sans aucune envie de ma part, de vous la chiper, hi.., hi... !

    Amicalement, Dominique

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  22. Chère Christine,

    Comme promis, voici le développé au sujet des références, en réponse à votre commentaire.

    Si je suis d'accord avec vous sur le fait que l'interruption des épisodes 53 et 77 du redoublement correspond à une incursion intempestive des frangines sous des prétextes fallacieux :

    53 du 17/12/2012 :
    Aline et Diane : « Maman, Maman, on a tout fini nos devoirs », « Et je sais ma poésie par cœur » ! Puis réapparaissent quelques minutes après la mini-pause, la fessée ayant repris Aline « Maman je ne trouve pas mon pyjama » suivit comme son ombre par Diane ! Celles-ci demeurant scotchées devant le spectacle offert d'une grande sœur déculottée aux fesses écarlates, avant d'être rembarrées.
    77 du 23/10/2014 :
    Les deux frangines déboulent d'en bas, sans réelle raison « Ca y est, M'man, c'est rangé en bas, et la table est mise. On peut aller jouer dans notre chambre » et enregistrent avec leurs grands yeux, la scène offerte, avant d'être virées. L'idée cachée derrière la demande de permission, étant de pouvoir mieux entendre la bande son délivrée par Maman et grande sœur !

    Dans les deux cas, l'interruption est minime, quelques minutes tout au plus ! A l'inverse je vais évoquer l'épisode de « Sauvée par le gong... Hélas, non ! » ou la genèse est différente et l'interruption plus significative.

    Sauvée par le gong... Hélas non !:
    Après le sermon, Maman fait plonger Christine sur ses genoux qui refuse et rue dans les brancards, mais force de loi reste à Maman, qui s'attaque aussitôt au pyjama pour avoir les fesses de sa fille, sans protection comme il est de rigueur, pour bien la fesser ! C'est alors que retentit un barouf et un cri d'Aline, tombée de sa chaise ou elle se balançait qui fait réagir de suite Maman, laissant son aînée en plan qui respire et espère un miracle, l'urgence du moment étant ailleurs. Christine écoute attentivement et perçoit clairement les tonalités maternelles, ainsi qu'une distribution de baffes aux soeurettes, après discussion et ne rentrant pas dans le jeu des gamines, Maman leur intime l'ordre de se mettre au lit immédiatement tout en surveillant la manœuvre, occultant la fenêtre et éteignant la lumière, avec menace de revenir s'il le faut !
    Christinette pas bête pour un sou, ayant entendu Maman dire qu'il était l'heure de dormir, se dit que c'est sa chance et se réfugie sous les draps, comme une gentille fifille qui veux faire un gros dodo et Maman retournant au rez de chaussé, la demoiselle pense vraiment échapper à sa fessée ! Hélas, cinq minutes plus tard, elle remonte s'assurer que les petites sont calmes, puis repasse par la chambre de Christine, constatant que celle-ci est au lit à réviser, la félicite tout en ironisant sur sa position « Tu es déjà au lit, Christine. Et tu révises tes cours, c'est bien... Mais, tu t'es couchée un peu vite, je crois ma fille... Nous n'avions pas terminé notre "petite discussion", je crois... » et là malgré de belles promesses, sa fille tirée du lit reçoit l'ordre d'approcher et refait la même bascule qu'avant la coupure, mais vingt minutes plus tard !
    A suivre....

    Amicalement, Dominique

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  23. Chère Christine,
    Suite du développé :

    Prise de gros sanglots, Christinette supplie mais obtient en retour une phrase ironique d'une mère encore plus énervée et moins incline à entendre ses jérémiades « Garde donc tes larmes, Christine, tu vas en avoir besoin bientôt ».
    S'ensuit alors un nouveau déculottage, auquel Christine tente de s'opposer par un geste et une supplique, recevant une claque sur le main et une réponse infantile, chargée d'une menace pas rassurante « Ne dis pas n'importe quoi, Christine. Je t'avais déjà baissé ta culotte tout à l'heure. Lâche cette main ou tu vas vraiment le regretter... », le tout sur une tonalité très forte certainement perçue par les soeurettes, malgré la porte fermée et apprenant donc que grande sœur allait être déculottée une deuxième fois.
    Abdiquant et lâchant prise, une fois déculottée Christinette essuie un dernier camouflet infantile de Maman « Eh bien, Christine, nous revoilà au point où nous en étions tout à l'heure... Je ne vais pas te faire languir plus longtemps... Désolée pour ce contretemps mais tu n'as rien perdu pour attendre. Maman t'avait promis une bonne fessée, la voici, ma chérie, la voici... » avant de prendre une déculottée modèle, Maman étant encore plus remontée par toutes ces bêtises à répétitions !

    Bizarrement en rédigeant ce développé, je m'aperçois que je viens d'apporter une contribution sur une partie de cet ancien récit, j'espère ne pas perturber Christine.
    Passons maintenant à ce fameux que j'ai retrouvé, réunissant à la fois le coup de fil et la mise au lit anticipé de Christine, mais mettant en scène une non-fessée et pas une fessée interrompue, désolé.

    Mes sœurs aussi (suite 4 et 5) du 23/10/2010 :
    Au cours de ces épisodes, après les déboires de ses sœurs Christinette davantage dans le collimateur de Maman accumule les remarques et les sottises, débouchant dans le 4 au parc à un dernier rappel, agrémenté d'une menace claire et précise « Arrête tes jérémiades, Christine. Ca suffit ! Je ne veux plus t'entendre, sinon ça ira mal... C'est compris ? Plus un mot ou je m'occupe de tes fesses en rentrant à la maison. Je crois que tu en as bien besoin.... » prononcé devant les petites sœurs, muselant la demoiselle qui fait profile bas !
    Dans le 5, c'est le retour à la maison ou Christine sent bien que Maman est dans la même dynamique et comprends qu'au moindre incident, la menace planant au dessus de ses fesses sera concrétisée, dés lors elle se fait transparente et obéissante à la première demande !
    Malgré son coté attentif, voulant se protéger du regard indiscret des frangines, ferme mal le rideau de douche et met de l'eau partout, s'appliquant à éponger, elle est surprise par Aline qui ne manque pas d'alerter Maman, celle-ci hausse alors le ton en découvrant sa fille à quatre pattes, transformant la menace en promesse « Mais, ce n'est pas possible, Christine. Tu les accumules... Je t'ai dit combien de fois de faire attention... Tu as intérêt à bien éponger, parce que ça va barder, je te le dis... Ah, vraiment, tu cherches les ennuis, ma fille. Tu vas voir quand je vais m'occuper de tes fesses, ce sera bien mérité... » laissant Christine dans une terrible angoisse que les frangines guillerettes attisent par un jeu et des mots moqueurs « Tu vas être punie, tralala » ou « Maman va te donner la fessée, c'est bien fait....Christine va avoir la fessée, elle l'à bien méritée, hé, hé, hé.. ». Christinette est furieuse mais réalise, qu'hélas leur petit jeu funeste n'est souvent que le reflet d'une réalité prochaine, surtout énoncé de cette manière par Maman !
    Celle-ci termine son labeur, mais hésite à revenir dans sa chambre retrouver Maman, ayant la trouille d'être face à face avec elle, après cette bêtise de gamine ! A suivre....

    Amicalement, Dominique

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  24. Chère Christine,
    Suite et fin du développé :

    Christinette se sent très vulnérable, dans son petit pyjama et se dirigeant vers son antre, elle croit marcher directement vers les genoux maternels, la position de Maman et son accueil confirmant ses intentions « Ah te voilà, je vais m'occuper ton cas.. » soulevant bien sûr une réaction pleine de trémolos, de sa fille "Pardonne-moi, Maman, je ne le ferai plus, j'ai tout nettoyé, tu peux aller voir... Je te promets, je ferai attention" .
    Maman le visage fermé et le regard sombre, lui répond de façon infantile rappelant son comportement, en ajoutant qu'elle compte bien y remédier et même si elle n'utilise pas de mots précis « J'espère bien que tu ne recommenceras pas. A ton âge, on peut faire attention quand même. Il y a des moments j'ai l'impression que tu es encore plus gamine que tes sœurs. J'en ai assez. C'est comme tout à l'heure au parc... Mademoiselle fait des caprices, joue l'égoïste. Ah, cela ne va pas se passer comme ça... Je vais te rappeler les bonnes manières, moi... ».
    Et Christine n'est pas dupe, la fessée arrive, sa fessée, celle d'une grande longue, précise, méthodique et fortement appliquée, sans commune mesure avec celles des petites, sauf pour Aline de temps à autre ! C'est alors que le téléphone retentit, Maman abandonnant sa fille pour décrocher, Christine tendant l'oreille apprends que c'est Tante Jacqueline (sa chère Tata, à qui elle confit ses petits secrets), qui rappelle à Maman son rendez-vous chez le médecin, qui elle en profite pour évoquer ses tracas avec la demoiselle, qui comprends que Tata prolonge alors la conversation.
    Saisissant l'aubaine, Christinette plonge sous les couvertures priant pour un miracle, ce n'est que dix minutes plus tard que son cœur s'emballe à nouveau, lui coupant la respiration en entendant Maman remonté, le son de ces pas se dirigeant alors vers la chambre des petites, pour éteindre et avant de revenir dans celle de l'aînée, en y pénétrant elle sourit en voyant sa fille pelotonnée sous les couvertures, puis s'asseyant sur le lit d'une voix calme, sur ton sans colère mais ferme, « Ah, Christine, tu l'as echappée belle... Mais, tu ne perds rien pour attendre, ma fille. Allez, je vais te laisser dormir. Il y a école demain... », Christinette la remerciant sincèrement du fond du cœur, en l'enlaçant et promettant d'être sage !
    Et là, Maman pour bien marquer cette clémence exceptionnelle précise « Tu as intérêt, Christine... Parce que je suis bien gentille de ne pas te flanquer la bonne fessée que tu avais largement méritée ce soir... Cela fait un petit bout de temps que tu y échappes, mais crois-moi cela ne durera pas... Tu m'entends, Christine, tu m'entends ? » ajoutant au « Oui, Maman, oui, je sais, je sais, j'ai compris » de sa fille « Ne te crois surtout pas à l'abri, Christine... Je saurai me rattraper s'il le faut... La prochaine remarque que j'ai à te faire, la prochaine bêtise, et on remettra les pendules à l'heure ma fille. Tu vois, je serais à ta place, je me tiendrais à carreau, ou alors, je préparerais mes fesses, parce qu'avec ce que tu m'as fait subir cet après-midi et ce soir, la prochaine déculottée, tu n'es pas prête de l'oublier... ».
    Christine, enfin seule, entends encore ses mots maternels l'épargnant ce soir, certes, mais lui promettant également qu'un prochain jour, de clémence il n'y aura et donc en cauchemarder toute la nuit ! Même si au fond d'elle-même, elle remercierait volontiers Tata pour son aide involontaire, l'ayant sauvée d'une tannée promise et sur le point d'être exécutée !

    Voilà, j'en ai terminé et constate que ce n'est pas une, mais deux contributions sur des anciens textes ! Bon, je pense que Christine, appréciera néanmoins, moins sûr pour Christinette vu le rappel de souvenirs !

    Amicalement, Dominique

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  25. Me voilà gâtée via Dominique qui tient ses promesses, et ce n'est pas encore fini, puisqu'il y a un "A suivre..."
    Sans que ce soient de véritables interruptions, avec reprise depuis le début, il est vrai que les exemples citées par Dominique d'interruptions fortuites, comme une sorte d'arrêt sur l'image, de par les irruptions de mes soeurs, sont des éléments marquants qui me laissaient mal à l'aise, que je vivais mal.
    Cela ne durait pas longtemps, mais c'était toujours un moment gênant, pour ne pas dire honteux.
    L'irruption d'une ou des deux soeurs pendant une de mes fessées provoquait une réaction rapide de Maman les renvoyant, mais le mal était fait dans ma tête, car je savais qu'elles venaient d'avoir une vue imprenable sur mes fesses écarlates...
    Maman s'interrompait, arrêtait la claquée, mais me gardait en position, son bras droit venant bloquer mes cuisses, pour que je ne descende pas de ses genoux. Ma lune déculottée apparaissait donc entre ses deux bras, et Maman congédiait mes soeurs, leur répondant rapidement, ce qui durait toutefois quelques secondes suffisantes pour bien enregistrer la scène...
    Puis, Maman se redressait le dos, rajustait ma position si elle avait un peu bougé, puis prenait une ou deux respirations avant de poursuivre sa tâche correctrice, comme si elle regardait la lune, jaugeait sa couleur, et se demandait en son for intérieur : "Voyons, où en était-on ? Reprenons donc cette fessée bien méritée..."
    Je tendais le dos sachant en plus que la suite allait être entendue par les petites avec encore mon image de grande soeur déculottée sur les genoux maternels bien ancrée dans leur tête...

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  26. Bon, je viens de répondre aux trois premiers commentaires de Dominique, sans avoir vu le quatrième qui est arrivé à 15 h 34 pendant que je rédigeais la réponse ci-dessus.
    Voilà qui explique que je parle du "à suivre" de 13 h 08.
    Pour ce qui est du dernier commentaire donc, il prouve que j'ai parfois échappé en effet à une fessée que je croyais imminente. Je soupçonne Tata Jacqueline d'avoir prolongé sciemment la conversation le temps que Maman se calme, moins motivée en effet après dix minutes de parlotte que sur le coup de la bêtise de son ainée, arrivant tremblante vers elle, persuadée d'aller au devant d'une nouvelle fessée...
    Mais, si je me souviens bien, cette fessée évitée grâce au coup de fil de Tata n'a pas empêché, et a même en quelque sorte justifié en partie, une autre déculottée quelques heures ou jours après...

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  27. Chère Christine,

    Je confirme, Christine, votre souvenir d'une tannée deux jours après cette clémence (La roue tourne du 30/03/2010-Fessée majuscule et regards discrets du 02/04/2010), pour un bavardage avec Anne et récoltant des lignes à copier, avec signature parentale, pour couronner le tout et faire tomber Christinette de son piédestal d'impunité depuis un mois ! Maman donnant alors le ton en apprenant la nouvelle par sa fille, minimisant une fois de plus sa responsabilité et rappelant l'épisode du coup de fil « Christine, il faut  être deux pour bavarder. Je ne veux pas savoir qui causait le plus. Tu es punie et c'est tout ce qui compte. Et cela ne va pas se passer comme ça, tu sais. Tu sais ce que je t'ai promis si tu refaisais des tiennes. Je peux te dire que cette fois, il n'y aura pas coup de téléphone de Tata ou de je ne sais quoi pour m'empêcher de m'occuper de toi... ».
    Christine se ramassant alors, en cet fin d'après-midi, une tannée majuscule sous les regards discrets, mais bien présents des soeurettes, la fessée se déroulant au salon et au cours de celle-ci, Maman se motivant plusieurs fois, en rappelant à sa fille que si cela fait longtemps qu'elle y échappe, cette fois c'est la bonne et va donc particulièrement s'appliquer ! Au final, Christine pouvant faire le constat de ne pas avoir préparer ses fesses pour rien !

    Voilà, chère conteuse, il suffit de demander pour être servie, comme avec Maman (quoiqu'avec elle ce ne soit pas forcément nécessaire) !

    Amicalement, Dominique

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  28. Chère Christine,

    Au fait, j'ai omis de répondre à votre premier paragraphe et m'en acquitte donc à présent.

    Je partage votre avis sur le fait que votre Tante est volontairement prolongé, la conversation avec sa sœur, dés lors que celle-ci lui a évoqué les soucis que lui générait sa nièce préférée et étant bien au fait de ses méthodes, notamment avec la grande pour y avoir à son corps défendant assisté à plusieurs reprises et pu constater que la demoiselle passait alors un très mauvais quart d'heure ! Donc celle-ci, c'est sûrement dit quand monopolisant l'attention de sa sœur, elle parviendrait à faire baisser sa tension et l'inciter à être compréhensive, ce qui a fonctionné pour cette fois ! A l'inverse d'autres, telles « La tuile en maths 01 et 02/2011 ou les photos de vacances 07/2010 »

    Amicalement, Dominique

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  29. Il suffit de "demander à être servie" suggère Dominique. Et puis quoi encore ? Pas question, vous rêvez ? Moi, ce serait un cauchemar plutôt...
    J'en frémis rien qu'à l'idée, m'imaginant rentrer à la maison, et me dirigeant vers Maman, en lui disant : "Tu sais, il faut que je te dise que je viens d'être collée en maths pour avoir chahuté. Pourrais-tu donc me déculotter et me donner la fessée que je mérite ?"
    Non, c'est impossible ! Même pas en rêve, comme on dit...
    De toute manière, comme vous dites, avec ma chère mère, ce n'était même pas la peine de demander... On était "servies" avant !

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  30. Joli travail, Dominique, d'avoir retrouvé ces deux exemples de fessée reçue devant Tata, malgré ses tentatives d'intercéder pour sa nièce préférée.
    Mais, il est vrai que l'épisode du short taché et caché découvert dans la location de vacances avait contraint Maman à sévir dans la pièce principale devant Tata. Et l'autre cas, avec le zéro en maths, aurait dû se régler dans ma chambre, mais un "j'm'en fiche" murmuré un peu fort avait provoqué une réaction immédiate pour une déculottée sous les yeux de Tata.
    Ce doivent être les deux seuls cas racontés, je crois, à moins que Dr Archive n'en trouve encore...

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  31. Chère Christine,

    Désolé, Christine, je n'ai pas pu vous répondre avant, car je n'avais plus internet depuis mon dernier message à cause des pluies orageuses et cela vient de revenir.

    J'étais sûr de faire réagir, Christine, avec mon « y a qu'à demander, pour être servie » vis à vis de Maman et « le puis quoi encore ? » vous me le donnez « Tu sais, il faut que je te dise que je viens d'être collée en maths pour avoir chahuté. Pourrais-tu donc me déculotter et me donner la fessée que je mérite ? » en plus ça correspond à l'épisode en cours, alors j'ai rien d'autre à demander ! Hi.., hi... !
    Sinon, bien sûr que je n'imagine pas du tout cela de la part de Christinette, impensable c'est vrai ! Même pas en rêve, comme vous dites ! Comme il est aussi vrai que Maman Spaak savait « servir » sa fille, sans qu'elle lui réclame ! Et même quant elle refusait, par habitude et pour le principe, ne pouvant se résoudre à être déculottée et fessée comme une gamine !

    Amicalement, Dominique

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  32. Chère Christine,

    Je vous remercie pour le compliment sur mon travail, c'est sympa ! Et je vous rejoins sur le fait que Tata est la meilleure avocate de Christine (car plus proche d'elle, la différence d'âge étant moindre et Tata n'occupant pas la même position que Maman) mais pas infaillible, la preuve en est sur « la tuile en maths » malgré une défense bien menée, n'arrive pas à dissuader sa sœur de sévir et qui d'ailleurs à un moment, rabroue un peu sa petite sœur ! Le pompon dans l'épisode, étant tout de même la très grosse bourde de Christine, qui se condamne elle-même à être servie sur le champ et non dans sa chambre comme prévu, qui plus est sous les yeux de sa chère Tante !

    Dans l'épisode du short taché, Tata se montrant surtout de bons conseils auprès de Christine, pour atténuer la réaction maternelle ! On imagine que celle-ci aurait ensuite plaider la conséquence pour sa nièce, en lui faisant risquer tout au plus qu'une bonne paire de gifles ! Mais une fois encore la demoiselle n'en fait qu'à sa tête et s'offre ainsi la peine maximum, une déculottée mémorable sous le regard incrédule de Tata et les oreilles de ses sœurs à la sieste, Maman ne pouvant agir que dans la pièce principale de la petite location de vacances ! Dommage pour Christinette !

    Sinon, il me semble tout comme vous que seuls ces deux récits où Tata assiste à une déculottée de sa nièce préférée, néanmoins le Dr Archive (l'ancien militaire apprécie le titre, compte tenu de son niveau d'instruction général) fera une recherche, puisqu'il est « trop fort, Dom ».

    Amicalement, Dominique

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  33. Comment auriez-vous voulu que Christinette puisse "se résoudre à être déculottée et fessée comme une gamine" ?
    C'est facile de dire des années après : ce n'était qu'un mauvais moment à passer, je n'en suis pas morte, ce n'était jamais gratuit, toujours motivé, et je me dois de l'avouer, toujours mérité, à quelques exceptions près, mais qui compensaient aussi, les fessées évitées, les bêtises qui n'ont jamais été sues, les stratagèmes qui ont fonctionné...
    Sur le moment, ce genre de considérations n'est plus de mise. Seules demeuraient l'angoisse et la peur de ce qui allait m'arriver... Et, paradoxalement, je préférais tout faire pour gagner du temps, même si cela de fait prolongeait ma peur, plutôt que de me dire : bon, allez, allons-y, plus vite ce sera fini et plus vite mes fesses redeviendront blanches...

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  34. Chère Christine,

    Sachez, Christine, que j'adhère totalement à votre fond de pensée, seul le recul des années et une position d'adulte, permet d'avoir le raisonnement que vous exprimée ! Pour ma part, je n'ai jamais connu d'enfant, de pré-ado ou ado qui soumis au régime de la fessée, pouvait s'y résoudre en se disant cela !
    Et je confirme par expérience, que la peur et l'angoisse étaient les seuls maître mots pouvant régner à l'esprit de ceux-ci, dans ces moments là ! Et moi-même (ou mes frangines), tout comme vous, nous nous efforcions de retarder l'échéance, n'allant pas crier « Eh, M'man, au fait ! Je viens de faire une bêtise ou j'ai eu une punition à l'école ! ». Ca aurait été comme réclamer, une déculottée et nous préférions bien entendu, qu'elle le découvre elle-même, mais si au final cela nous coûtaient sûrement plus cher !
    Je vous avoue aussi, que je pensais surtout à ce qu'allait devoir endurer mes fesses (durant le pendant) et à la cuisson qui allait persister, un moment plus ou moins long (selon l'intensité de la déculottée), qu'au fait que plus vite ce serait fini et plus vite elles redeviendraient blanches et fraîches ! Le Minot étant courageux, mais pas téméraire, tout comme Christinette !

    En dehors de cela, l'inspiration n'est pas vraiment de mise, chez les commentateurs ! Bon, vous allez me dire que les absents ont toujours tort, c'est vrai ! Et puis, comme ça, j'vous ai pour moi tout seul, na..., na..., na.... !

    Amicalement, Dominique

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  35. Chère Christine,

    Tenez, Christine, en bonus de mon précédent commentaire, voici une référence que vous avez écrite (Christine, je t'avais prévenue... du 20/09/2009) qui transcris et complète parfaitement nos échanges que ces notions.

    Oui, oui, entre deux commentaires le Dr Archive revisite votre blog !

    Amicalement, Dominique

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  36. Chère Christine,

    Oui, c'est encore moi ! Comme je sais que Christinette n'est ni enjouée, ni pressée que Christine déballe la suite de ce foutu samedi matin, une fois que la voisine aux plants de tomates sera parti et que Maman chérie ne revienne achevé l'esquisse du plan qu'elle avait commencé avec la collaboration de sa grande fille, afin ne pas la décevoir et lui démontrer (une fois de plus) toute la qualité de son expertise, en la matière !
    Alors je lui propose (par compassion et à titre de possible compensation) de livrer la suite des mésaventures du Minot, au retour de vacances passées chez sa Tata cool, donc le dernier épisode remonte au 30/01/2016 sur le récit 96. Et hasard ou coïncidence fortuite, l'action se déroule aussi un samedi ! Ceci bien sûr, si Christine est d'accord !

    Amicalement, Dominique

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  37. Faites donc, Dominique. Si le Minot "attend" depuis le 30 janvier, ne le faites plus languir...
    Cela dit, ce n'est pas à Christinette que cela arriverait de devoir attendre deux mois et demi... Elle serait trop contente, même si cela décevrait les sœurettes qui espère bien profiter, même si ce n'est que par le son, de "l'animation " annoncée pour le retour de Maman dans la chambre de son aînée...

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  38. Chère Christine,

    Vous voyez, Christine, il suffit de demander pour être servie ! Et j'imagine Christinette jubiler d'attendre deux et demi, pour que Maman reprenne se qu'elle a commencé, mais faut pas rêver petite demoiselle, l'échange avec la voisine va pas durer autant et c'est les frangines qui vont pouvoir jubiler !

    Suite du Minot : (dernière livraison le 30/01/2016 sur le 96) :

    Car un grand nombre de claques sur le gras des fesses, avec quelques incursions sur le pli fessier et les cuisses, était plus supportable, qu'une fessée complète à cet endroit, moins charnu !
    D'autant que j'en avais déjà fait plusieurs fois l'expérience, pour des fessées données sur l'instant (donc plus courtes) courbé sous le bras ou basculer en équilibre sur une seule jambe mise en équerre ! D'une main, elle tirait les pans du short et du slip vers le haut, dégageant une partie des fesses, mais surtout le pli et les cuisses et de l'autre envoyait une succession de claques rapides, provoquant une douleur inouï à l'endroit où ça tombait, à en couper le souffle et pousser des cris aigus, réels et justifiés.
    La piqûre de ces dérouillées immédiates étaient très vive et engendrait invariablement, du receveur remis sur ses pieds, l'exécution d'une danse tribale (plus ou moins longue), frottant avec ses mains les zones touchées pour en apaiser l'effet, sautillant et tournant sur place en gémissant et pleurant, sans retenue. Pour l'anecdote, ma cousine Monique et Sylvie ma plus jeune sœur, étaient de vraies comédiennes en la matière, exagérant la durée de la danse leurs valant, le plus souvent un rappel à l'ordre verbal, mais parfois quelques claques supplémentaires sur les cuisses nues (jupe ou robe) accompagné d'un « Tiens, tiens, tiens et tiens ! Là, tu danseras pas pour rien ! » qui les calmaient.

    Par conséquent, dans ma position je n'envisageais pas une seule seconde, recevoir la bonne fessée maternelle annoncée de cette manière, même si éventuellement Maman que cela ne gênait pas de me la donner ainsi, aurait sûrement moins appuyée ses claques et réduit la durée, de la correction. Je me sentais dans l'incapacité, de pouvoir endurer, une telle raclée ! Ma raison, doublée d'une peur bleue, me firent donc rendre les armes et me soumettre à la volonté de Maman, avec de gros sanglots.
    J'avais l'impression d'être redevenu le garçonnet de mes 6 ans, alors que j'en avais presque 13 et le sentiment d'être un « homme » (en fait j'en était encore bien loin), lorsque la main de Maman dégrafa le bouton du short et tira ensuite vers le bas, l'ensemble (short et slip) à hauteur des genoux, dégageant ainsi largement son champ d'action, je tremblais et pleurnichais comme un bébé !
    Le frottement du tissu sur la peau de fesses et des cuisses augmentait ma honte, être écossé tel un haricot était très pénible, pour ma fierté de jeune coq !
    Oh, bien sur ! L'orage qui allait suivre serait tropical, surtout que d'un coup, je m'disais qu'ayant fait perdre du temps à Maman dans l'accomplissement de sa tâche, par mes petites manies inutiles, qu'en plus de la bonne fessée prévue, celle-ci allait peut-être en rajouter et qu'au final j'aurais droit à une tannée maison, me remettant à ma place. Mais, mon dieu, quel honte pour l'homme en devenir !

    A suivre.........

    Amicalement, Dominique

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  39. Chère Christine,

    Le petit Minot est chon-chon ! Voilà qu'il patiente depuis deux mois et demi, dans l'angoisse que ce samedi en fâcheuse posture avec Maman, se termine et lorsqu'il revient, bien malgré lui (il eu préféré qu'on le laisse en sommeil), pas un signe de soutien ou de compassion de Christinette et pas même un mot ou une remarque de Christine ! Il a vraiment pas de chance, déjà qu'il s'en prend une sévère de Maman, il est tout seul et triste comme les pierres !
    Malgré tout, il fait un gros poutou à Christinette et lui souhaite d'avoir beaucoup de courage, quand Maman en aura fini avec la voisine et qu'elle reviendra dans la chambre, pour terminer ce qu'elle a commencé sur les petites fesses de sa grande fille et d'après ce qu'elle a dit, ça va barder pour toi, ma pauvre Christinette !

    Amicalement, Dominique

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  40. Ne soyez pas chon-chon, Dominique. J'ai à nouveau quelques jours très occupés et n'ai pu que valider le message de vendredi, l'endroit d'où j'étais ne me laissant pas accès aux commentaires, ce qui est le cas quand l'ordi est en réglage très strict.
    Je compatis bien sûr avec le Minot, et je lui conseillerais de ne pas abuser de ce qu'il appelle ses "petites manies inutiles", qui ne font que retarder l'échéance de quelques minutes, mais qui ont le don d'énerver la correctrice...
    Christinette pourrait vous en dire long sur ce point, ses efforts pour empêcher Maman de lui baisser sa culotte lui ayant même valu un supplément magistral que Diane avait qualifié de "deuxième fessée" !
    Pour l'instant, elle n'est pas pressée que Maman achève sa conversation avec la voisine, espérant même que cela aura calmé un peu la détermination maternelle, mais rien n'est moins sûr...
    L'avantage de quelques minutes supplémentaires, c'est que la température de la lune déjà claquée diminue tranquillement et que la rougeur pâlit.
    Pour le Minot, lui, c'est au contraire le début d'une tannée exemplaire qui s'annonce... Bon courage...

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  41. Chère Christine,

    Christine! Je ne suis plus chon-chon, ni Minot d'ailleurs envers Christinette, maintenant c'est après moi qu'il ronchonne ! Et il vous adresse ce petit mot.

    « Bonjour, M'dame Christine ! J'vous dit merci, pour le soutien c'est gentil de votre part, même si ça va pas changé grand chose pour mes fesses ! D'autant qu'vous avez raison, sur deux points ! D'une part si ça s'annonçait déjà pas très bien pour moi, j'ai peur et j'crains qu'sa tourne vraiment au vinaigre pour mon matricule et la bonne fessée de départ pour ma bêtise, va devenir, à cause de mes gamineries idiotes, une tannée exemplaire, comme vous dites !
    Maman n'aimant pas du tout, ni ma Tante qu'on (sœurs, cousines ou moi) tente par de « sales petites manies » comme elles disaient, de gagner quelques minutes ridicules au moment fatidique, ce qui les agaçaient profondément et avait plutôt pour effet, de leurs en faire rajouter une couche, comme votre Maman ! Et en cas de rébellion excessive ou fuite (spécialité des deux plus jeunes filles de la fratrie), là j'vous dit pas c'était pire pour elles ! Nos mères n'hésitant pas alors à coller une première dérouillée pour la bêtise et après un temps de digestion, une seconde pour l'autre motif ! Bonjour les dégâts, pour les fesses de la gamine !
    Alors pour la suite, j'suis vraiment pas pressé et j'comprends que Christinette préfère aussi que sa Maman reste le plus longtemps possible, avec la voisine, en espérant qu'elle soit plus détendue et que sa volonté de sévir, soit moindre ! Ce qui arrangerait un peu ses affaires, mais c'est pas gagné !
    Tant qu'à moi, j'crois bien qu'l'autre grand dadais a déjà sous le coude une texte et n'a plus qu'à vous l'envoyer, sans s'occuper de mon avis ! Un vrai faux-frère ! Sniff.., sniff.. ! »

    Voilà Chère Conteuse, je lui ai laissé le clavier ! A mon tour maintenant ! Je comprends très bien que vous puissiez être plus occupée, à certains moments, c'est juste parce qu'étant plus disponible, je prenais goût, à nos échanges au quotidien et je vous en tiens absolument pas rigueur, le clin d'oeil chon-chon allant dans ce sens ! Sinon, pour confirmer mon titre de Dr Archive, je vous donne la référence sur la « deuxième fessée » de Christinette (Redoublement 65 du 08/10/2013. Une fessée magistrale et....à rebondissements!) et vous livre en bonus, la suite du Minot, même s'il ronchonne !

    Amicalement, Dominique

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  42. Chère Christine,
    Suite du Minot :

    Ma réflexion fût soudainement interrompue, par la tombée des premières claques au centre de mes fesses (cette fois sans protections) m'amenant des cris, que je ne pouvais retenir, Maman n'y allant pas de main morte et faisant durer cette première volée, sur une zone presque intacte.
    Cette entrée en matière, confirma l'une de mes pensées, aucun doute possible, j'étais bon pour une copieuse et mémorable tannée, d'autant plus que Maman avait eu (comme moi) trois jours pour s'y préparer et se forger une volonté d'agir avec détermination.

    Alors que Tata avait réussi, en plaidant ma cause, à obtenir que Maman atténue la sévérité de la punition, ma conduite imbécile pour retarder l'inéluctable, venait d'inverser la tendance et ma chère mère faisant une mini pause m'en informa de façon calme et infantile, rythmant chaque mots ou expression, par des claques supplémentaires très appuyées et douloureuses qui augmentaient sérieusement la cuisson de mes fesses. Et ce n'était que le début, de cette tannée à venir, générée par ma propre bêtise ! J'men voulais d'être aussi idiot !

    « Et bien, mon petit bonhomme ! CLAC.., CLAC ! T'as tout gagné, avec ces manies de bambin ! CLAC.., CLAC ! A vouloir échapper à ce que tu mérites ! CLAC.., CLAC ! Et qui agace vraiment Maman chérie ! CLAC.., CLAC, CLAC, CLAC ! Tu vois ! CLAC.., CLAC ! J'étais prête à t'accorder une certaine clémence! CLAC.., CLAC, CALC ! Après ma discussion avec Tata et mon explication sur ton erreur ! CLAC.., CLAC, CLAC, CLAC ! Mais voilà, que tu en rajoutes ! CLAC.., CLAC ! Avec des minauderies de pt'it garçonnet ! CLAC.., CLAC, CLAC, CLAC! ».

    C'est donc une vingtaine de claquées, plus fortes les unes que les autres qui s'ajoutèrent aux précédentes, chacune accompagnés par un cri de ma part, exprimant une douleur qui s'accentuait de plus en plus, frôlant l'insupportable, Maman n'ayant pas changé de zone et j'imaginais alors la couleur que pouvait avoir le centre de mes fesses, compte tenu de la chaleur et la cuisson ressenties, à ce seul endroit ! Certaines parties de mon fessier ayant été délaissé, si j'ose dire, je m'attendais à ce que Maman continue les claquées sur celles-ci, de suite, afin d'uniformiser son champ d'action !

    Mais au lieu de ça, Maman arrêta son bras (sans doute pour le décontracté, vu qu'elle n'y avait été de main morte) et se lança dans un petit discours moralisateur, emprunt d'un certain agacement à mon égard.
    « Dominique, tu ne crois pas que le temps est venu, de te calmer un peu dans l'art des bêtises ou de tes manières insolentes, envers ta Tante et moi ? Toi qui était un petit garçonnet, calme, obéissant et agréable, tu as bien changé depuis un peu plus d'un an, nous obligeant ta Tante et moi, à utiliser de plus en plus souvent la fessée pour que tu t'assagisses durant un temps, alors que les sermons devraient suffire ? Penses-tu vraiment que ça nous amusent, de devoir encore te déculotter et te tanner les fesses ? Tout comme tes sœurs ou cousines, d'ailleurs ! Eh bien, non cela nous désolent et nous fatiguent ! Mais comme elles, c'est la seule méthode pour que tu comprennes vraiment, c'est bien dommage et ça me déçoit de ta part, mais comme il faut en passer par là ! Tant pis, pour toi ! ».

    Durant ce monologue, aucune claque n'était tombée et tentant d'assimiler plus ou moins les premières claquées déjà cuisantes, j'émettais des « Oui ou Non, M'man » à peine perceptibles entrecoupés par mes respirations et des sanglots plutôt dus à mon mal-être vis à vis de Maman, que par la douleur, à ce moment là, la fessée étant interrompue ! A suivre......

    Amicalement, Dominique

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  43. Quel plaisant épisode, alliant avec harmonie le prévisible à l’inattendu, sachant répondre aux attentes de son lectorat tout en le surprenant, alliant classicisme et baroque en un savoureux amalgame spaakien.
    L’exécution de la sentence sera donc immédiate et, occurrence plutôt rare dans vos synopsis, matinale. Christine le réalise quand elle constate que, contrairement à ses sœurs, ses affaires du jour ne sont pas encore préparées, ce qui lui signifie un maintien en pyjama pour recevoir sa fessée, alors qu’Aline et Diane, selon une parlante dissymétrie seront déjà habillées.
    Cependant, le châtiment sera exécuté dans la chambre de la punie, ce que Christine enregistre comme un moindre mal, de même que sa mère, qui l’amène sur ses genoux en la menaçant d’une nouvelle fessée dans le salon si elle ne se montre pas plus coopérante.
    Une fessée qui s’annonce matinale, intime, mais surtout magistrale. Les propos de Madame Spaak sont sans équivoque sur ce point : « Je vais faire en sorte que tu t’en souviennes longtemps », « tu vas la sentir passer », « ça va claquer, tu peux me croire ».
    Et en effet, les étapes successives (et connues) du déculottage, s’effectuent avec le calme et les gestes précis, mesurés, d’une maman « en démonstration », attitudes que Christine par expérience, peut interpréter comme le prélude d’une correction d’anthologie.
    Le lecteur également ne s’y trompe pas, en voyant se dérouler le scénario type d’une fessée royale, avec une entrée en matière caractérisée par une série de claques « vives et espacées », savamment réparties pour rougir uniformément le bas du dos, puis la deuxième phase marquée par une accélération de la cadence et une augmentation de l’intensité.
    Mais alors que nous cheminions en terrain connu, voilà que tombe l’imprévu (à la deuxième claque ciblée sur la fesse droite, comme vous le mentionnez avec une redoutable précision) : la sonnette d’entrée retentit.

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  44. Il n’en faut pas davantage à vos sœurs pour se ruer dans votre chambre, saisissant cet alibi en or pour vous reluquer, les fesses nues et rougissantes en travers des genoux maternels. Aline, sans doute la première entrée car la plus curieuse, observe par votre fenêtre. Je note au passage que votre chambre donnait sur l’entrée (ce qui vous plaçait idéalement pour voir arriver les visiteurs) et que celle-ci était dotée d’un portail en fer forgé. Il s’agit de la voisine.
    (J’ouvre ici une parenthèse. Je n’ai pas dans votre historique le souvenir d’une fessée interrompue par une visite, ni pour quelque motif que ce soit. Pour moi cette situation se nimbe donc du charme de l’inédit. Par contre, je me rappelle qu’une voisine, la même qui sait, avait figuré dans un précédent épisode. Vous aviez d’ailleurs recouru à la même photo de jeune fille vêtue de rose penchée à une fenêtre, à ceci près qu’alors, il s’agissait d’un avatar de Christine, et non de Diane. Je ne me souviens plus par contre de la nature exacte de la transaction entre ladite voisine et votre mère, mais il me semble bien qu’il s’agissait également d’un item ayant trait au jardinage. Bref.)
    Christine bénéficie ainsi d’un léger répit, inespéré mais que l’on devine fort succinct. A genoux et les fesses déjà rouges dévoilées, n’ayant reçu de sa mère aucune consigne, elle se reculotte en gestes malhabiles pour cacher son intimité aux yeux de ses sœurs.
    Diane, qui dans ses moments de jubilation peut se montrer la pire des fayotes, ne se prive pas pour légiférer sur ce cas (caractérisé il est vrai pas un vide juridique en ce qu’il ne s’appuie sur aucune jurisprudence) et vous annonce qu’elle va rapporter ce détail à votre mère : « Je vais aller lui dire que tu as remonté ta culotte. » Grisée par sa presque immunité, ne sachant décidément pas rester à sa place, elle aurait voulu que vous attendiez sans bouger, allongée, la suite du programme les fesses dénudées sous ses yeux.
    Même si vous ne l’avez pas entendue, tout comme vous j’imagine la réplique que Madame Spaak assénera à la petite délatrice : « Voyons Diane, de quoi je me mêle et pour qui te prends-tu ? ce n’est pas à toi de t’occuper de ça. Laisse Christine tranquille et file dans ta chambre si tu ne veux pas que je te déculotte, toi, séance tenante devant la voisine. » avant de se tourner vers ladite voisine et de lui expliquer : « En effet, mon aînée a encore fait des siennes et je suis en train de lui administrer une fessée. Vous m’excuserez de ne pas vous inviter à rentrer prendre un café, mais j’ai cette tâche à terminer. » Avant même que Diane ne s’en aille tout raconter à Charline, qui transmettra l’information à Corinne, laquelle en informera Babette et Brigitte, avant même donc, que le récit de votre fessée ne se répande dans toute votre école, votre quartier en sera, hélas pour vous, instruit.
    Ceci dit, en l’absence de précédente contingence similaire, j’aurais moi aussi pu me demander comment votre mère, en revenant dans votre chambre pour reprendre la fessée, aurait jaugé votre initiative de reculottage, sans son autorisation explicite. L’un de vos commentaires laisse entendre qu’elle aurait trouvé la démarche normale (elle se serait même moquée gentiment de vous si vous ne l’aviez pas fait), avant de vous déculotter à nouveau. Pourtant, je me suis plu à l’imaginer abonder dans le sens de sa benjamine : « Christine, je ne t’ai pas permis de te rhabiller, c’est Maman qui décide quand tu remontes ta culotte. Pour la peine, tu vas me l’enlever toi-même tout de suite, tu auras droit à un supplément et tu resteras cul nu en famille toute le dimanche. » Oui, je sais, je rêve, comme il arrive d’ailleurs à Christine de le faire.^^

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  45. Youpi, j'arrête de me plaindre. Voici de nouvelles contributions, de Dominique qui est très en verve actuellement, et de Mardohl dont le retour fait bien plaisir aussi.
    C'est juste dommage que cela tombe dans une semaine très occupée pour Christine.
    Christinette ne s'en plaint pas, car elle n'est pas pressée de voir revenir Maman...

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  46. Chère Christine,

    Merci, pour la validation et le petit mot, en espérant qu'une Christine moins débordée revienne sur le contenu de ces livraisons, notamment celles (fort justes et rejoignant les miennes) de mon compère Mardohl, à qui le Dr Archive donne par sympathie la référence se rapportant à ses propos (« Es-tu si pressée que j'arrive ? » du 28/04/2011) et confirme qu'il s'agissait comme dans le cas présent de plants de tomate, l'illustration étant bien identique.

    Voilà, à bientôt Christine et plus longuement peut-être ! c'est un souhait.

    Amicalement, Dominique

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  47. Chère Christine,

    Petit bonus très tardif, mais qui je pense vous fera plaisir.
    Vous criez « Youpi, j'arrête de me plaindre » ! C'est bien et vous avez raison, car voilà une 100ème particulièrement bien fêter et qui gâte Christine la conteuse, puisque celui-ci affiche déjà plus de 45 commentaires et à priori, ce n'est pas fini, puisque Christinette gagnant du temps grâce aux fidèles lecteurs de ses mésaventures, apprécie grandement que cela retarde d'autant le retour de Maman, et ne souhaite en aucun cas, pousser son avatar à le produire !

    Amicalement, Dominique

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  48. Chère Christine,

    Il semblerait bien que notre Christine soit vraiment très occupée ! A moins que ce soit Christinette par le biais de grandes suppliques (dictées par la trouille) et de nombreuses promesses (grande spécialité de la demoiselle ! Certes sincères, quand elle tremble comme une feuille pour ses fesses), tente d'influencer son avatar de modifier la suite, pour le retour de Maman dans la chambre ! Du genre :
    « Il était une fois ! Une Maman revenant voir sa grande fille avec laquelle, elle avait entamée une sérieuse discussion sur ses fesses, amplement dénudées ! Prise d'une soudaine et miraculeuse clémence, décide d'épargnée la demoiselle exprimant une rédemption épique et sincère, au demeurant ! Ceci à titre de dernière chance, éprouvant une légère lassitude à devoir corriger de la sorte son aînée, une nouvelle fois et souhaitant au plus profond d'elle-même, que sa fille saute enfin le pas et devienne vraiment grande ! »

    Alors bien sûr, comme dirait Mardohl « On peut toujours rêver ! » et moi-même, je n'y crois pas ! Par contre, je suis certain que ce scénario aurait toutes les faveurs d'une Christinette, qui le signerait les yeux fermés et plutôt dix fois, qu'une, pour échappée à la tannée promise !
    Bon, sinon le retour de Christine (et peut-être de Maman Spaak) est très attendu !

    Amicalement, Dominique

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  49. Chère Christine,

    Christine ! Je suis désolé ! Mais vous me contraignez à rédiger une missive, à l'attention de Madame votre mère concernant votre attitude, qui si elle devait lui parvenir, n'aurait sans doute pas ses faveurs et ne manquerait sûrement pas de vous en faire écho ! Alors à titre préventif, comptant sur votre capacité à réagir, dans le bon sens, je vous en livre le contenu !


    « Madame Spaak, »

    « Permettez-moi, tout d'abord de me présenter et vous indiquer les raisons m'amenant à vous adresser ce pli, quelque peu déplaisant et donc le contenu pourrait vous irrité !

    Je me nomme Mr Dominique Le G.....et entretien avec votre fille aînée Christine, depuis plus de 4 ans, un lien social par le biais d'une correspondance électronique en tout bien, tout honneur, rassurez-vous ! Celle-ci ne reposant que sur les sujets d'une vie de famille au quotidien, comme l'environnement familial, les loisirs, les études et l'éducation des enfants.

    Nos échanges sont enrichissants, conviviaux, cordiaux et réguliers ! Or son dernier message où elle précisait avoir une semaine chargée de travail, remonte à 8 jours ! Certes, nous sommes dans le délai me direz-vous ! Et bien entendu, si je ne conteste pas ce fait, ayant été moi-même dans ce cas récemment et m'en suis excusé auprès d'elle, je m'étonne qu'elle n'est pas le moindre moment de répit, pour faire ne serais-ce qu'un petit signe, même si l'art de mijoter lui a été fort bien enseigné !

    D'autre part et cela me chagrine davantage, c'est le fait que Christine justifie souvent ses absences avec ce motif ou bien encore, des congés ou week-ends surprises. Ceci un peu à l'image de sa période pré-ado ou elle avait la fâcheuse manie, d'associer des événements extérieurs ou d'autres personnes pour minimiser, voir acquitter ses propres erreurs ! Du style « C'est pas moi, Maman » !

    Or de ce que je sais, cela vous agaçait et en tant que Maman de devoir, responsable de la bonne éducation de vos filles, vous saviez parfaitement reprendre en « main » la demoiselle, ainsi que ses petites sœurs ! En femme intelligente et ex enseignante, je suis sûr que vous me comprenez !

    Par conséquent, si vous aviez la possibilité, au cours d'une discussion (sans la conclure de la même façon) avec votre aînée, devenue une femme épanouie et responsable, de lui remémorer simplement et gentiment de quelle manière tangible et concrète, vous régliez ce genre de petits travers ! Je suis sûr que cela l'aiderait à réagir et vous en serais infiniment reconnaissant !

    Madame Spaak, je vous prie de bien vouloir excuser mes piètres compétences en notre belle langue, donc je n'ai jamais réussi à maîtriser toutes les subtilités, uniquement dû à un manque d'effort et d'implication de ma part ! Et ceci, malgré l'aide palpable de ma chère Maman !

    Je vous prie de croire, Madame Spaak, à l'expression de mes sincères salutations. »

    Dominique Le G......


    Bien évidemment, Chère Christine, ne prenez pas au pied de la lettre, si j'ose dire, ce qui précède ! Il ne s'agit que d'un exercice de style virtuel, auquel je me suis livré avec beaucoup de plaisir et sans volonté d'intrusion, en votre seing privé ! Vous pouvez donc bien sûr, conserver celui-ci par de vers vous, puisqu'il n'a d'intérêt que pour son auteur et peut-être vous, je l'espère.

    Amicalement, Dominique

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  50. Trop drôle, Dominique ! Bien joué le coup de la lettre adressée à Maman Spaak, et assez joliment tournée, ma foi...
    Je me demande ce que ma chère mère dirait en recevant une telle missive... Je pense bien que mes commentateurs préférés imagineraient volontiers que Maman Spaak voudrait avoir une conversation à ce sujet avec son aînée... Et même que cela vous amuserait qu'elle veuille, juste à titre d'exemple, me "rafraichir" la mémoire, en "reprenant" en quelque sorte une petite "conversation" interrompue il y a déjà bien des années...
    L'idée m'amuse même... Mais, hi, hi, je ne prendrai pas le risque de vous communiquer l'adresse de ma chère mère. Mieux vaut ne pas prendre de risques, hi hi...
    Cela dit, désolée, mais je suis vraiment "overbookée" comme on dit. Je ne le fais pas exprès, promis, et j'espère pouvoir trouver un créneau pour poursuivre mon récit bientôt.
    Amitiés.
    Christine

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  51. Chère Christine,

    Merci du compliment, pour ma missive à votre Maman et je vous avoue, qu'en la rédigeant, j'avais en arrière pensée, l'idée amusante que vous soulevez d'un « rafraîchissement de mémoire, concret » pour la grande Christine, par Maman qui aurait en effet le même type de « conversation » avec son aînée, comme du temps de Christinette ou elle n'hésitait pas à reprendre celles qui pouvaient être interrompues, par un coup de fil ou une voisine ! Mais cette fois, après bien des années et pour l'exemple, inviter Aline et Diane, qui en seraient à coup sûr ravies !

    Ce serait vraiment trop drôle ! Hi..,hi... ! Mais bon tant pis ! Puisque Christine a les chocottes, en se souvenant trop bien de ses passages sur le giron maternel et du résultat final, pour sa lune ! Je me contenterais donc d'imaginer la scène !

    Sinon, j'espère bien que vous ne le faites pas exprès, inutile de promettre ! Car comme Maman, nous connaîssons la valeur des promesses Christiniennes !
    Alors pour la suite vivement attendue par Christinette, nous serons patients ! Et il suffit à Christine, de faire des petits coucous, aux fidèles lecteurs qui ont plus de temps et se montrent prolixes.

    Amicalement, Dominique

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  52. Chère Christine,

    Comme vous le savez, Christine, le Dr Archive revisite (avec beaucoup de plaisir) l'ensemble de votre ouvrage et comme je ne suis apparu, en tant que commentateur fidèle que depuis septembre 2011, je me propose pour combler votre manque de disponibilité temporaire, d'apporter une contribution sur certains de vos textes, qui en les relisant inspirent ma réflexion (mon vécu ayant des similitudes) et plus précisément ceux ayant attraits, à vos ressentis sur ces instants (avant, pendant et après) ou votre compréhension générale, sur la déontologie maternelle ! Ceci en relation avec vos écrits, qui bien sûr, raviveront le souvenir de ces moments cuisants et j'en suis désolé, mais qui sur le fond ne seront pas pour vous déplaire !
    Sachant également, que vous n'êtes pas très réceptive au retour en arrière, afin de ne pas perturber l'actualité immédiate et se disperser, je pense délivrer ceux-ci par petites touches lorsque l'activité des commentateurs, est moins dense, comme la suite du Minot. Qu'en pensez-vous, Chère conteuse ? Il ne s'agit que d'une suggestion, bien entendu.

    Amicalement, Dominique

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  53. Alors, non seulement, Dominique imagine bien Maman Spaak vouloir "rafraichir" la mémoire de son ainée en lui "réchauffant" le bas du dos, mais en plus elle inviterait mes soeurs pour assister à la scène... N'importe quoi, voyons, vous pouvez ranger cette idée dans le tiroir des oubliettes, pff...
    Même si, je ne doute pas que cela amuserait les petites devenues grandes...
    Cela dit, je n'ai rien contre la proposition de délivrer par petites (et voire grandes) touches d'autres commentaires, Dominique. Surtout si cela meuble mes périodes de silence forcé pour cause de surcharge de travail par ailleurs. N'hésitez donc pas. Merci d'avance... Même si je crains que "l'ordonnance" du Docteur Archive ne soit pas toujours du goût de Christinette, surtout si elle prescrit des traitements d'un genre que Maman appliquait volontiers...

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  54. Chère Christine,

    Comme je le pressentais, le scénario avec Maman et les soeurettes, n'a pas les faveurs de Christine qui préfère voir ranger celui-ci, dans un tiroir lugubre que l'on ne ré-ouvre jamais.

    Tant qu'à « l'ordonnance » du bon Docteur Archive, certaines médications risquent en effet d'être du genre amère (pour pas dire dégueulasse), au goût de Christinette et sans compter ceux vraiment indigestes ! Mais comme pourrait le dire Maman Spaak, le traitement qui donne le meilleur résultat pour sa fille, est celui dont-elle a une sainte horreur et qu'elle ne prend qu'à son corps défendant !

    A bientôt, jeune fille pour de nouvelles séquences fortes en émotions..... !!!!

    Amicalement, Dominique

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  55. Chère Christine,

    Comme convenu voici une suite du Minot :

    L'intermède passé, Maman ajouta « Allez, mon p'tit bonhomme, inutile de traîner davantage reprenons où nous en étions ! », ce qui dans un sursaut de peur déclencha une réaction immédiate de ma part hurlant « Non, non, M'man ! J'te jure, j'ai compris ! Stop, arrêteee.. ! J't'en supplieee... ! » avec pour toute réponse « Oh, mais oui, Minot ! Je suis sûr que tu as compris ce que j'ai dit ! Mais comme tu le sais, Maman va toujours au bout de ses promesses! ».

    Elle reprit alors la fessée, ciblant d'abord les parties charnues non touchées précédemment par de fortes claques précises, espacées, pour parfaire la coloration du fessier, celles-ci étaient très piquantes, car tombant sur des zones encore vierges et me faisait pousser des cris plus aigus! Puis elle enchaîna, poursuivant son œuvre globale sur le même rythme, sa main claquait comme suivant un circuit prédéfini amenant une cuisson progressive et régulière de tout mon fessier.
    Je sentais la température de celui-ci, monter, monter et monter, imaginant qu'elle n'allait jamais s'arrêter, de ma bouche ouverte sortait non plus des cris (sauf quand la main atterrissait sur le haut des cuisses) mais un long bêlement ininterrompu, sauf par les reprises de souffle et ne s'atténuant en sonorité, que lors des pauses faites par Maman.

    Au cours de celles-ci, le peu d'énergie donc je disposais me permettait de supplier Maman, lui exprimant ma douleur, que j'avais compris la leçon, lui promettant la lune pourvu qu'elle arrête de s'occuper de la mienne ! Mais rien n'y faisait, Maman me répondait de façon calme, en reformulant mes propos, admettant ma sincérité du moment « C'est normal que ça fasse mal, mon chéri, une fessée c'est fait pour cela, pour que tu t'en souviennes avant de faire d'autres bêtises » ou « Je sais que tu n'es pas idiot et que tu comprends » ou encore « Bien sûr, que tu es sincère, une fois sur mes genoux et les fesses qui te cuises, mais jusqu'à quand ? », ce à quoi j'étais incapable de répondre !

    Oh bien entendu, sur l'instant et sous l'effet de cette cuisson douloureuse, j'aurais pu juré « Pour toujours, M'man ! », mais en fait je n'en savais rien moi-même et ne souhaitant qu'une chose, que mon tourment cesse ! Malheureusement, Maman reprenait de plus belle à chaque fois, la cuisson devenait franchement insupportable et je n'avais plus aucun ressort, m'abandonnant totalement à la volonté maternelle, ressentant une immense brûlure au niveau de mes fesses entièrement relâchées, que j'offrais bien malgré moi à la main de Maman qui rebondissait comme une balle ! Durant ces claquées méthodiques, chaque impact était une douleur supplémentaire s'ajoutant à la cuisson générale et tout mon corps, la ressentait, alors que seul mon bas du dos était meurtri ! Je sentais même que mon visage devait être aussi rouge que mes fesses, à force de gémir et pleurer !
    Néanmoins, après une dernière pause, Maman eu la bonté de m'informer qu'elle en avait presque terminé, trop épuisé je ne pus que dodeliner un « non » de la tête et Maman me colla une dernière salve d'une quinzaine de claques très fortes et rapides sur le gras des fesses, réveillant mon corps qui se raidit et poussant des cris énormes, à chacune d'elles !

    A suivre.........

    Amicalement, Dominique

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  56. Ranger aux oubliettes l'idée saugrenue de Dominique, c'est une sage décision, hi hi... Mais, soyez rassuré, je n'ai pas été choquée autant que ma réaction le laisse entendre, par jeu bien sûr.
    Si j'ai validé le message, c'est bien parce que cela m'a plus amusée que choquée. La scène serait en effet des plus cocasses avec les actrices d'aujourd'hui rejouant leur rôle d'hier.
    Quant à l'ordonnance du Dr Archive, si elle me promet, du moins à Christinette, des médicaments "amers", c'est à dire durs à avaler, c'est un moindre mal, car je craignais surtout qu'elle ne préconise certains remèdes qui s'appliquent à même la peau, et ont tendance à accélérer la circulation sanguine sur certaines zones de l'anatomie de la patiente...
    Cela dit, je compatis sincèrement avec le Minot, qui vient de se prendre une tannée maison, aussi pleine de "rebondissements" que de détermination maternelle. Je comprends que Dominique s'en souvienne encore, comme son récit le montre.

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  57. Chère Christine,

    Je vois que vous adhérez pleinement à ma grande sagesse de rangement, vos « petites fesses » et votre pudeur étant concernées et je n'avais pas besoin d'être rassuré, ayant bien compris que Christine s'était prise au petit jeu Dominicain.

    Pour ce qui est du traitement prescrit par le Dr Archive, l'amertume évoquée (merci au passage pour la correction) peut être ressentie, tant par l'ingestion orale désagréable, mais supportable ! Que par les pores de la peau, s'il s'agit d'une onction très astringente (propre au tannage du cuir) provoquant en effet, un afflux sanguin plus important de la zone traitée, beaucoup moins supportable !
    C'est donc en sens qu'il convient de traduire la pensée du Dr Archive et je suis sûr que la fine Christine l'avait bien saisi, mais préfère comme à son habitude, se retrancher derrière une solution moins délicate pour sa petite personne.
    De plus, j'avais volontairement évité l'emploi de termes plus précis, sachant qu'ils ont tendance à froisser la sensibilité et l'égo de la demoiselle.

    Tant qu'au Minot, s'il vous remercie pour la compassion, car si la tannée très copieuse fût pour le moins indigeste, la détermination maternelle à remettre de l'ordre dans la caboche de son fiston, n'était pas éteinte et allait se manifester, suite à l'après immédiat du tourment vécu, que voici.

    Amicalement, Dominique

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  58. Chère Christine,
    Suite du Minot :

    Enfin, desserrant son étreinte, je glissais le long de ses jambes et m'affalais sur le tapis, en chien de fusil, pleurant comme une fontaine, secoué de tremblements et complément essoré ! Maman me laissa où j'étais et quitta ma chambre me disant « J'espère que pour l'avenir, tu retiendras bien la leçon d'aujourd'hui, pour que je n'ai pas à recommencer! ».
    Si j'en avais fini, avec mes tourments tangibles et palpables en ce samedi maudit, d'autres émotions m'attendaient au niveau de la honte, Maman (poussée par sa sœur) allait rappeler sa belle-sœur, la mère d'Eric en ma présence, ce que j'ignorais !

    Demeurant un bon moment en l'état, short et slip aux chevilles, tâchant de digérer au mieux le plus gros de cette tannée exemplaire que Maman avait particulièrement soignée, transformant mon bas du dos en un brasier incandescent ! La douleur n'était plus celle ressentie, lors des claquées ! Celle-ci était lancinante suivant une courbe montante et descendante, rythmée par la circulation sanguine ou lorsque je bougeais un peu ! J'étais prostré, pleurant sur mon sort (mérité sur le fond), sans aucune rancœur envers Maman qui n'avait fait que son devoir, certes d'une manière que je détestais, mais qui était la règle à la maison ! M'en voulant surtout d'avoir été aussi idiot, imaginant qu'étant loin de ma chère mère et en vacances chez Tata cool, je ne risquais pas grand chose, sauf que j'avais oublié l'un des principes de Maman, cette fameuse double peine qu'elle appliquait pour la scolarité, mais aussi si quelqu'un d'autre devait agir, en son absence !

    Une fois ce cap passé, me redressant doucement, je posais alors mes mains sur mes fesses (à la sortie des genoux maternels, ce contact étant impossible) et les passais délicatement dessus, celles-ci étant encore très sensible au touché, la chaleur était présente du bas du dos, jusqu'à mi-cuisses ! Maman m'en avait déjà donné des bonnes, mais là elle s'était surpassée, était-ce le fait qu'elle est due attendre trois jours pour sévir et s'y préparer en conséquence ou bien une exaspération vis à vis des frasques que je multipliais, depuis un moment et souvent à l'extérieur, me croyant à l'abri des conséquences ! Je ne savais pas, mais en tout cas, elle m'avait pas raté et me trouvant seul à l'étage, pris d'une certaine curiosité, je passais dans la chambre contigu de ma sœur où se trouvait un grand miroir basculant, pour voir ! Oh, stupeur ! J'avais quitté le giron maternel depuis plus de quinze minutes, et là sous mes yeux, se reflétait une écrevisse sortant d'un bouillon, j'en revenais pas !

    J'en frissonnais d'effroi ! Voyant mon bas du dos ruiné par la main maternelle, afficher cette palette nuancée de rose et de rouge ! C'était l'image d'un vilain garçonnet bien puni, par sa Maman et cela ravivait ma honte de pré-ado d'être corrigé de cette manière ! Je remontais alors slip et short, en vitesse et filais vers ma chambre ! Remplis d'émotions, je m'affalais à plat ventre sur mon lit en pleurnichant comme un bambin malheureux, plein de tristesse et non plus vraiment de douleur, celle-ci diminuant peu à peu et constituée en grande partie par la forte cuisson exacerbant mon épiderme, ainsi qu'une température très élevée ! Short et slip, n'aidant pas à sa baisse, je décidais de remettre mes fesses à l'air, même si ce geste et ma position évoquait un passé récent !

    A suivre.........

    Amicalement, Dominique

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  59. Pas sûre que ce soit une bonne idée de se remettre la lune rouge à l'air... Ce n'est pas quelque chose qu'aurait apprécié ma chère mère, qui nous apprenait qu'il est des parties du corps que l'on ne doit jamais montrer, sauf bien sûr quand c'est maman qui s'en occupe...

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  60. Chère Christine,

    Sans en dire davantage (la suite étant déjà prête), je vous confirme également qu'à la maison, il ne rentrait pas dans les habitudes d'avoir les fesses à l'air, sauf dans le cas que vous citez où là ce n'était pas par choix, mais par obligation, nous sommes bien d'accord !

    Et en effet, ce n'était pas forcément une bonne idée ! Mais au départ, décidant de faire cela j'étais attentif aux bruits extérieurs, sauf que je pouvais pas prévoir........ ! Réponse dans la suite du Minot ci-dessous.

    Amicalement, Dominique

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  61. Chère Christine,
    Suite du Minot :

    Finalement, éreinté et contrit, je m'endormis comme une masse dans cette tenue et c'est Maman qui vint me réveiller, plus d'une heure après environ! Ouvrant les yeux, je vis Maman assise à coté de moi et sentis sa main posée sur mes fesses, dans un réflexe je me tournais sur le coté pour me reculotter ! Et là, elle me dis « Tu n'en pas reçu assez, pour être rester cul nu, peut-être ? ».
    Tout penaud, la nudité n'étant une pratique de vie à la maison et craignant une réaction de Maman, je répondis en bafouillant « Nonnn..., nonnn..., M'mannn..., m'suis endormi..., pas fait exprès..., sniff, sniff.... ! ». Après un silence, réfléchissant, elle ajouta « Bon, j'admets, vu ce que j't'ai collé!Alors, mon chéri, comme tu es reposé et que tes fesses sont presque blanches, tu peux finir de te rhabiller et descendre au salon ! Maman t'a puni car tu le méritais, mais elle te pardonne, allez viens là, mon grand ! ».

    Me tendant les bras grand ouverts, je m'y jetais, sans mettre reculotté, tel un gamin heureux de recevoir un gros câlin de sa Maman chérie, malgré la grosse déculottée qu'elle lui avait donné peu avant, mais lui accordant son pardon et lui démontrant ainsi, simplement, l'amour d'une mère attentionnée, sachant chérir ou sévir quand c'est nécessaire!

    M'étant rajusté, je descendis alors en sa compagnie au salon rejoindre ma Tante, qui elle aussi me tendit les bras et m'embrassa tendrement !
    Malgré la tourmente donc mes fesses avaient fait l'objet, je me sentais comme apaisé, libéré d'une tension accumulée durant ces trois jours chez ma Tante Jeannine, même si je ne l'avais pas montrée ! En fait au fond de moi, plus les jours passaient, plus le soir dans mon lit je pensais à cette promesse que Maman m'avait faîte, pour mon retour et qu'elle ne formulait jamais pour rien, disant souvent « Chose promise, chose due » ! N'hésitant pas si des circonstances exceptionnelles ne lui permettait pas d'agir, elle-même, de déléguer son action à quelqu'un d'autre !

    Aparté :
    J'ai d'ailleurs le souvenir d'un matin ou Maman avait promis à ma grande sœur, une dérouillée à son retour du collège, suite à un gros mensonge découvert ! Or au cours de la journée, en faisant du repassage, Maman s'était brûlée la main et lorsque ma sœur rentra, je me rappelle très bien sa mine réjouie, en voyant sa mère le bras en écharpe et même ses paroles « Oh ben, M'man ! Tu t'es blessée ? C'est pas grave, j'espère ? » teintées d'ironie, accompagné d'un petit sourire ! Ma frangine croyait donc échapper à sa trempe, mais Maman qui n'était pas dupe l'a scotcha et ruina ses espoirs en deux phrases « Non, non, ma chérie, ça va je te rassure! Par contre pour toi, ça risque d'être différent, car tu te rappelle ma promesse de ce matin ? Oui, bien sûr ! »
    « Et je pense que tu vas moins sourire, parce que Tata est dans ta chambre et elle t'attend, pour me remplacer ! Tu vois, tu perd pas au change ! Allez ouste, file là-haut ! ».
    Pour l'anecdote, tout en obéissant, j'suis pas sûr que ma sœur pensait la même chose que Maman, sur le fait qu'avec Tata, elle ne perdait pas au change ! Et la confirmation me parvint aux oreilles, en entendant ma sœur chanter très fort !

    A suivre.....

    Amicalement, Dominique

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  62. Oui, j'avais bien reçu cette suite, envoyée alors que j'étais en train d'écrire l'épisode suivant, ce qui fait que je ne me suis pas aperçue que j'avais des commentaires à valider.
    L'anecdote finale, rappelant un souvenir où la Maman du Minot avait délégué à Tata le soin de corriger sa soeur, est fort originale.
    Cela ne s'est pas produit chez nous, du moins à cette période où j'étais déjà grande. Peut-être que j'aurais préféré, car Tata n'aurait sûrement pas été aussi stricte que Maman, surtout avec sa Christinette adorée.
    Mais, déjà que j'étais super honteuse les quelques fois où Tata assista (Dr Archive peut le confirmer) à l'une de mes fessées, je me dis quand même que j'aurais eu encore plus honte si Tata m'avait déculottée sur ordre maternel.
    Cela dit, puisqu'elle nous a souvent gardées, depuis mon plus jeune âge, il lui était arrivé de distribuer quelques gifles, voire des tapes sur le fond de culotte. Le plus gros risque était surtout qu'elle le raconte au retour de Maman et que cela ne vaille à la turbulente une fessée maternelle, pour ne pas avoir été sage avec Tata...

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