dimanche 18 janvier 2015

Chronique d'un redoublement : 80. Quand tentation et raison s'affrontent jusqu'à l'aveu annonciateur d'orage...

SUITE 79

Deux heures de colle pour avoir "bavardé et ri en classe au lieu d'écouter" l'enseignante... C'était assurément le genre de motifs que Maman ne pardonnerait pas. J'étais bien placée pour le savoir... Un faux-pas sur un devoir ou une interrogation, cela se négociait. Mais, tout ce qui touchait la discipline, le chahut, qui plus est en cours d'anglais avec ma bête noire de Mlle Paule, je n'avais aucun exemple que cela se soit terminé autrement que par une sérieuse explication entre Maman et moi. Avec le sermon maison, mais aussi la fessée à la clé !
Et, encore, aurions nous été dans une période euphorique, avec seulement des bonnes notes, une fille serviable, et des compliments de tout le monde, j'aurais pu croire au miracle. Hélas, si je venais de vivre plusieurs semaines de calme, avec même un premier bon carnet de notes mensuel, le deuxième n'était pas encore remis, et divers griefs, dont une presque mauvaise note dans une de mes matières fortes, avaient mis Maman aux aguets, persuadée qu'elle était que son aînée allait encore faire des siennes...
Bien sûr, en mon for intérieur, je savourais chaque jour de plus sans fessée comme une victoire, et je commençais presque à me sentir comme à l'abri... Arrivée à sept semaines sans incident, je me sentais quasiment invulnérable, mais ces quelques derniers jours, de nouvelles menaces maternelles m'avaient rappelée à l'ordre. Et, comme à chaque fois ou presque que ce genre d'accalmie fessière se prolongeait, il y avait un moment, une sorte de cap, où l'on devinait que les motifs bénins s'accumulant, il y aurait un instant où le vase déborderait, peut-être même pour ce qui aurait été considéré comme une broutille à d'autres périodes...
Sauf, que, là, au lendemain d'une première note décevante, les deux heures de colle ne pouvaient qu'agir comme la goutte qui fait déborder le fameux vase. D'autant qu'en matière de goutte, celle-là avait l'allure d'un raz de marée...

Quand la fin des cours a sonné, j'ai mis plusieurs minutes à me lever, restant à ma place, alors que la prof et les autres élèves avaient quitté la pièce. Assise, la tête ailleurs, j'étais comme groggy, et j'avais les genoux qui tremblaient. "Non, ce n'est pas possible... Comment vais-je pouvoir dire ça à Maman ? Jamais, elle ne l'acceptera... Je vais me prendre une fessée, c'est sûr", me disais-je, émue et prête à éclater en sanglots... 

 
Je suis restée quelques minutes, assise à mon pupitre, 
après que la sonnerie ait retenti. J'étais comme assommée,
j'avais les genoux qui tremblaient...
Comment allais-je pouvoir dire ça à Maman ? 

Une surveillante est passée dans le couloir et m'a demandé ce que je faisais : "Ca y est, je rangeais mes affaires, je sors". J'ai ramassé cahiers, trousse et cartable, et suis sortie dans la rue, redevenue calme, la plupart des élèves étant partis, ce qui m'arrangeait car je n'avais envie de voir personne.

En chemin vers la maison, je réussis à me calmer un peu. Je me suis dit que je ne savais pas comment présenter la chose à Maman, et que mieux valait attendre au moins demain, le bulletin de colle ne pouvant arriver au courrier que le surlendemain... C'était "risqué", me disait la voix de la raison, mais, de toute manière, "le résultat serait le même", à peu de choses près, répondait en écho la voix de la tentation.

Les événements m'aidèrent, puisqu'en arrivant à la maison, Maman était en pleine discussion avec une amie qui avait une fille dans la même classe que Diane. Je n'eus donc droit qu'à un rapide : "Ca va, Christine ? Ca s'est bien passé en classe ? Si tu as des devoirs, monte donc les faire", devait me dire Maman, sans me laisser le temps de répondre autre chose qu'un "Oui, oui, M'man" sur un ton qui cachait mon angoisse...

J'avais donc déjà gagné une heure ou deux, et ma tendance naturelle à retarder les échéances me poussa à ne rien dire ce soir-là. Je cherchai à me faire la plus transparente possible, me montrant serviable et obéissante au point où Maman eut même cette réflexion : "Tu es bien gentille ce soir, Christine. J'espère que tu ne me caches rien..."
J'ai tourné la tête pour ne pas montrer ma réaction, stupéfaite, une fois de plus, qu'elle semble lire dans mes pensées les plus secrètes...

Heureusement, la copine de Diane était restée dîner, et le repas fut ponctué de conversations autour des deux petites, Maman n'en profitant pas comme souvent pour réinterroger les unes et les autres sur leur journée, les devoirs, les résultats, etc.

Je ne m'attardai pas pour aller me coucher ensuite, jouant les moitié endormies quand Maman vint nous dire bonsoir, histoire d'éviter de me trahir par une réaction quelconque devant une mère que je sentais méfiante (et qui, sans le savoir, l'était à juste titre d'ailleurs...).

Mais, j'eus du mal à trouver le sommeil, me repassant le film de cette journée et imaginant quelles en seraient les conséquences... J'étais satisfaite d'avoir gagné une journée, mais la remarque de Maman sur ma sagesse apparente me restait dans la tête, sachant qu'une fois le pot aux roses découvert, nul doute que ma cachotterie serait considérée comme une circonstance aggravante... Mais, entre une bonne fessée le soir-même et une fessée magistrale le lendemain, je n'ai jamais pu me résoudre à opter pour la première solution...


Comment trouver le sommeil après une telle journée ?
Si j'avais déjà gagné du temps, cela ne faisait que me rappeler
que la fessée qui m'attendait n'en serait que plus conséquente... 

Au point où j'en étais, pourquoi ne pas gagner aussi une deuxième journée, me conseilla la voix tentatrice, dès mon réveil. Et je me dis qu'advienne que voudra, et qu'il n'y avait qu'à être fataliste, et à voir comment la journée évoluerait...

De fait, là encore, les circonstances m'aidèrent, puisque, à l'heure du déjeuner, nous fumes dérangées par l'intervention d'un artisan venu changer le chauffe-eau de la cuisine et qui voulait terminer son intervention alors que nous mangions, ce qui ne laissa guère le temps à Maman de nous questionner.

Le soir, j'étais encore rentrée à la maison pas rassurée pour un sou, et le coeur battant la chamade, mais entre un rendez-vous d'Aline chez le dentiste à la sortie de l'école, puis un dîner à prendre tôt, car les deux petites avaient en soirée un cours de danse avec premier essayage des costumes du gala qu'elles donneraient fin juin, c'était plutôt l'effervescence à la maison, et cela me permettait de cacher mon angoisse...
Malgré tout, il y eut encore une réflexion de Maman me trouvant "l'air bizarre des mauvais jours", ce qui commençait à me faire penser que ma stratégie allait sûrement se retourner contre moi.


J'avais beau jouer les innocentes, et faire semblant que tout allait bien,
j'avais l'impression que Maman devinait mon trouble.
Son "je te trouve un air bizarre" montrait qu'elle soupçonnait
que je cachais quelque chose... Et je risquais de le payer... 

A la fin du dîner, Maman me prévint qu'elle allait accompagner mes soeurs, et ne reviendrait qu'après leur cours, afin d'aider aux essayages, alors qu'habituellement, elle s'arrangeait avec une autre Maman pour que chacune ne fasse qu'un trajet, l'une les amenant, l'autre les ramenant.

J'allais donc rester seule durant une heure et demie, mais ce n'était pas la première fois. "S'il y a un problème, tu appelleras Tata", avait précisé Maman qui, dans la foulée, passa un coup de fil à sa soeur pour vérifier qu'elle était chez elle, et la prévenir qu'elle me laissait à la maison. Un appel tout à fait ordinaire, sauf que Tata Jacqueline dut en profiter pour demander de nos nouvelles, et que j'entendis Maman répondre notamment :"Oui, Christine, ça va encore à peu près, mais je lui trouve un drôle d'air, et je ne serais pas étonnée de devoir bientôt sévir à nouveau..."

J'ai fait semblant de ne pas avoir entendu, et suis montée dans ma chambre, alors que Maman rameutait les petites pour partir, m'indiquant : "On revient vers 10 h. D'ici là, fais ta toilette et mets toi en pyjama et au lit avant qu'on ne rentre". 

J'avais près d'une heure et demie à rester seule dans la maison, mais je le regrettais presque, ayant imaginé que, les deux petites étant à la danse, j'aurais pu peut-être essayé de parler à Maman, et de provoquer une explication entre quatre z'yeux, comme j'aime à dire...

Non, au lieu de cela, j'étais seule, et pouvais me réjouir de gagner encore du temps, mais les nouvelles réflexions de Maman me faisaient penser que, plus je tardais à parler, et plus mes ennuis augmenteraient...

Personne n'étant dans la maison, j'étais tranquille pour prendre ma douche, et je ne pus m'empêcher en me déshabillant de regarder longuement mon bas du dos, ma lune bien blanche, intacte depuis quasiment deux mois.

 
Le contact de ma main sur ma lune blanche,
épargnée depuis près de deux mois, 
me renvoyait une impression de douceur...
Comment supporter l'idée que la foudre maternelle
allait s'abattre sur elle ? 


C'était presque fascinant et je posai à plusieurs reprises mes mains sur mes fesses rebondies. C'était doux, si doux, et cela s'entrechoquait dans ma tête avec mes peurs qu'une autre main ne transforme cette lune douce et fraîche en mappemonde écarlate, brûlante et douloureuse.

"Prépare tes fesses, ça va barder", me rappelait la voix de la raison... "Rassure-toi, ce n'est pas encore pour ce soir. Tu auras réussi à gagner deux jours, et cela fait presque deux mois que tu y as échappé... Ce sera juste un mauvais moment à passer, tu en as vu d'autres...", rétorquait la voix de la tentation...

Et le dialogue raison-tentation se poursuivait... "Oui, tu en as vu d'autres, mais rappelle-toi comment ça fait mal. Mieux vaudrait ne pas augmenter encore la colère de Maman", murmurait la raison ! "Avec un peu de chance, la Poste aura du retard, ou l'enveloppe se perdra. Pas besoin de préparer tes fesses tant que Maman n'est pas au courant", répliquait la tentation." Ce à quoi la raison rétorquait : "Mais, suppose que Maman rencontre Mlle Paule avant l'arrivée du courrier, et qu'elle lui apprenne que tu lui mens depuis hier, tu imagines la déculottée et la tannée que tu vas prendre..."

Si j'avais suivi la tentation depuis la veille, les arguments de la raison me taraudaient l'esprit, et je sentais mon angoisse monter, et j'en cauchemardais presque toute éveillée que j'étais. A posteriori, je pense que ma peur était d'autant plus forte que j'avais évité de me retrouver sur les genoux maternels depuis près de deux mois. De ce fait, l'argument de la voix de la tentation de me dire que "j'en avais vu d'autres", que c'était "juste un mauvais moment", cet argument bizarrement ne fonctionnait pas. Je crois que si j'avais récolté une ou deux fessées dans la semaine précédente, mon fatalisme aurait eu le dessus en me disant quelque chose comme "jamais deux sans trois", ou "une de plus et il y en aura d'autres".

Là, c'était différent, et c'était comme si j'avais oublié ce que cela faisait réellement, comme si je n'en avais jamais reçu et que je me faisais un monde du mal que j'allais avoir...

Je pris ma douche en ayant tout cela qui me tournait dans la tête, bien consciente que de toute manière, je n'y échapperais pas... Je m'essuyai en douceur, comme pour protéger mon épiderme, et je dus réprimer un sanglot qui me montait dans la gorge, quand je dus enfiler mon pyjama. Il n'y avait pourtant aucun risque tant que Maman ne savait pas, mais cela me remémorait tant d'épisodes où la tenue de nuit était aussi la tenue de fessée...

Je pris un livre et m'étendis sur mon lit, tentant de penser à autre chose, mais la peur de la fessée reprenait le dessus. En me retournant j'avais posé à nouveau la main sur mon fond de culotte, et de sentir ma lune intacte me rassurait.

   
Sentir sous ma main une mappemonde intacte me rassurait,
mais je ne pouvais m'ôter de l'esprit
que j'allais devoir l'exposer sur les genoux maternels... 

La peur me donnait la gorge sèche, et j'allai prendre un verre de jus de pomme dans le réfrigérateur. 
De retour dans la chambre, je me mis devant la glace et fis glisser mon bas de pyjama vers le bas. Je le remontai vite fait, comme si j'avais peur d'être surprise ainsi, mais la maison était encore déserte pour une petite heure.

La sensation de l'étoffe descendant pour dégager ma lune me donnait la chair de poule, mais je recommençai une seconde fois, comme si je me préparais à ce que je craignais. 
La glace me renvoyait une image de deux fesses tremblantes. Je me surpris à leur décocher une petite tape douce, qui me fit sursauter, comme si ce n'était pas moi.
Puis, sans savoir pourquoi, je récidivai mais cette fois avec une vraie claque sur chaque fesse. Rien à voir avec la version de la grande main maternelle, mais quand même, le bruit et un certain picotement m'impressionnèrent...
Cette sensation, je ne l'avais plus connue depuis presque deux mois. Je savais bien pourtant ce qu'était une fessée maternelle, et j'étais même, dans la maison, de loin la mieux placée, par expérience hélas, pour connaître le sujet. Mais, cette fois, je ne sais pourquoi, j'avais l'impression que j'allais recevoir comme la première fessée de ma vie...

Je me rhabillai vite en constatant qu'une petite rougeur apparaissait sous l'impact. En moi, la voix de la raison me disait : "Cela, ce n'est rien Christine, à côté de ce qui t'attend. Et si Maman sait que tu as menti en plus, je ne voudrais pas être à la place de tes fesses..."
Cette pensée me faisait paniquer à l'intérieur de moi, et je commençais à me traiter d'idiote de ne rien avoir dit à Maman.


En baissant mon pantalon de pyjama
et en tapotant mes fesses,
je frissonnais et avais le coeur battant.
J'avais peur comme si j'allais recevoir
la première fessée de ma vie...

Je me glissai dans mon lit, pour suivre les instructions maternelles, n'arrivant pourtant pas à lire en attendant le retour de Maman et de mes soeurs. Tout cela me nouait l'estomac, et je ne savais plus quelle attitude adopter...

A 22 h, les petites débarquèrent toutes joyeuses, ravies de leur futur costume de scène, et Maman dut élever la voix pour qu'elles se mettent au plus vite en pyjama et au lit, après une toilette expresse. Sa voix qui haussait le ton contribuait à approfondir mon malaise. J'étais dans le brouillard, incapable de tenir un raisonnement cohérent et non contradictoire, toujours tiraillée par les deux petites voix internes...

Une fois, Aline et Diane bordées et la lumière éteinte, Maman vint me dire bonsoir. Je cherchais à cacher mon trouble, mais le flair maternel opéra, et me déstabilisa. "Tu n'as pas l'air dans ton assiette", me lança-t-elle. "Tu as quelque chose à dire à Maman, ma chérie ?"
Le ton doucereux me fit craquer. Je ne pouvais plus garder mon trouble pour moi seule, et j'éclatai en sanglots, versant immédiatement de grosses larmes. 
Maman commenta : "Ah, je le savais bien..." et cela me débloqua la parole.
Moitié hoquetante, je balbutiai : "Oh, Maman, snif, snif, j'ai, euh, j'ai été, euh, snif, j'ai eu deux, snif, j'ai eu deux heures de colle".
Maman dodelina de la tête : "Ce n'est pas vrai, Christine. Je le sentais, c'est pas Dieu possible. Pas maintenant, pas au troisième trimestre. Et c'est où, et pourquoi donc ?"
Je baissai les yeux et avouai d'une petite voix : "Bah, euh, c'est, euh, en anglais, M'man. Juste pour euh, pour un bavardage".
Maman fulminait : "En anglais, bien sûr, en anglais. Comme si tu ne savais pas que tu dois t'y tenir à carreau encore plus qu'ailleurs. Ce n'est pas vrai, tu cherches vraiment les ennuis, ma fille... Et, on recevra le bulletin de colle quand ?"
Je répondis :  "Euh, sûrement demain par la Poste, je crois."
Maman en conclut : "Oui, si je comprends bien, tu le sais depuis hier. D'ailleurs, j'avais bien senti que quelque chose clochait... Tu t'es bien gardée de m'en parler le jour même... Toujours aussi courageuse, Christine... Tu savais bien ce qui t'attendait..."
Je fondis à nouveau en larmes : "Oh, Maman, Maman, non... Je serai sage, je ne bavarderai plus..."
Elle rétorqua : "Je les connais tes promesses, Christine. Moi, les miennes, je les tiens au moins... Et je vais te passer l'envie de bavarder en classe à nouveau, je te prie de le croire..."
Je psalmodiai : "Non, Maman, non..."
Elle me coupa net : "Allez, assez parlé pour ne rien dire. Il est presque dix heures et demie. Il y a école demain. On réglera nos comptes, quand le bulletin de colle sera arrivé. Dépêche-toi de dormir".
J'avais encore de gros sanglots et je reniflais. Maman me fit me moucher et essuya mon visage : "Sèche donc tes larmes. Cela ne changera rien, ma fille. Tu ferais mieux de les garder pour demain. Et préparer tes fesses aussi..."


Maman me fit me moucher et essuya mes larmes.
Mais, ce n'était pas vraiment pour me consoler...
C'était pour me faire comprendre que j'en aurais besoin le lendemain.
Et que je ferais mieux de préparer mes fesses... 


Rien ne sortait d'autre de ma bouche que : "Non, oh, nooon !" 
Maman confirma : "Oh, si, Christine, oh si... Tu y as échappé depuis longtemps, pour ne pas dire trop longtemps. On va remettre les pendules à l'heure. Et, avec toi, rien de telle qu'une bonne fessée pour te rappeler à l'ordre... Tu n'y échapperas pas, Christine, crois-moi... Tes notes qui recommencent à fléchir... En plus de ça, une nouvelle colle pour bavardage, sans oublier le mensonge, puisque Mademoiselle s'est bien gardée d'avouer sa faute dès hier, tu vas t'en souvenir, Christine, de la déculottée qui t'attend demain... Et estime toi chanceuse, parce qu'il est tard et que tes soeurs doivent dormir, sinon je t'en aurais bien donné un petit échantillon dès ce soir..."
Sur ce, Maman se pencha pour me poser un baiser sur le front, et se releva pour sortir de la pièce en éteignant la lumière, et en marmonnant : "Ah, Christine, Christine, tu m'en auras fait voir, toi..."
Inutile de dire que j'eus du mal à m'endormir ensuite... J'avais un poids en moins sur la conscience, car j'avais avoué mon forfait, que je n'avais plus à mentir, mais en même temps, j'avais un autre poids, plus sur l'estomac, qui se nouait en se repassant les mots de Maman en boucle, à propos de cette fessée de cette "déculottée qui t'attend demain". Et que, "par chance", disait-elle, je n'en avais pas eu "un petit échantillon" dès ce soir...
Ma nuit allait être agitée, car dès que je fermais les yeux, ce sont des scènes de fessées qui me revenaient. Avec cette étrange peur, comme rarement j'en avais eue, qui me hantait...


Une fois la lumière éteinte, je cauchemardais encore éveillée,
imaginant à l'avance ma lune dénudée rougissante
sous la claquée maternelle "oubliée" depuis deux mois.

A SUIVRE

42 commentaires:

  1. Chère Christine,

    Pour répondre à votre dernier commentaire sur l'épisode 79, rappelez-vous que Dominique comme Maman Spaak, tiens toujours ses promesses ! A l'inverse d'une petite Christinette, qui avait tendance à oublier les siennes et les reformulaient, lors de la claquée maternelle suivante ! Sinon l'archiviste vous confirme que les exemples ne manquent pas, mais il vous en fera grâce, pour ne pas froisser la grande Christine.

    Concernant l'épisode, voici une première analyse !
    Celui-ci m'est en exergue les contradictions de la collégienne Christinette, qui n'a toutefois aucune illusion sur le fait qu'une bonne fessée l'attend ! Et d'ailleurs, étant seule, celle-ci ne pouvant être dérangée, tente une expérience en tapotant elle-même, doucement, ses deux fesses ! Cette action lui donnant l'impression d'être quelqu'un d'autre ! Et poussée par on ne sait quel idée ! Celle-ci récidive (habitude chez Christinette), mais cette fois avec deux vraies claques, amenant une petite coloration qui sera beaucoup plus prononcée, après être passée sous la main de Maman et en même temps, lui remémore ce qu'est une fessée maternelle, dont elle en épargnée depuis longtemps ! Comme depuis trop longtemps, dirait Maman ! Et je subodore d'ailleurs que celle-ci, sera en faire la démonstration aux fesses de sa fille !
    Et là, comme dans un espèce de brouillard, s'imagine qu'elle va recevoir la première fessée de sa vie, alors qu'elle une expérience confirmée, en la matière !

    Il y a aussi dans ce récit la confirmation du sixième de Maman, qui détecte le moindre indice chez sa fille dans son comportement, lui faisant penser qu'il y a peut-être anguille sous roche et qu'il va lui falloir sévir, sous peu !

    Je développerais le reste par la suite, celui-ci fourmillant de petites choses très intéressantes pour le lecteur et commentateur que je suis ! Je vous livre également une suite du synopsis !

    Amicalement, Dominique

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  2. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, pensées de Christine, dialogue et nouvelle surprise pour Diane :

    Maman prépara alors le dîner, en compagnie de ses deux grandes filles ! L'une récompensée par des cadeaux et l'autre ayant reçu ce qu'elle méritait, pour sa cachotterie et ses mensonges, dans la matinée ! Bien sur, pour moi, même si le plus dur était passé ! J'y repensais encore, d'autant que la volée publique de Diane et les paroles de Maman avaient ravivé ce moment toujours aussi difficile et honteux, qu'à mon adolescence, ce donc je me serais bien passée ! Et sur le fond, si je n'en voulais pas à Maman, je regrettais juste le fait qu'elle ait corrigé ma petite sœur devant tout le monde à l'apéritif, pour son espionnage ! Plutôt qu'à l'instant même de son forfait ou le soir, dans une relative intimité familiale (présence de ses deux sœurs) !

    En y réfléchissant, je me disais que Maman aurait peut-être alors perdu un peu de sa motivation, à punir son aînée, si elle avait chopé immédiatement Diane, pour lui flanquer une volée sous mes yeux et une fois l'espionne partie, me rappeler sur genoux pour conclure sa tâche envers moi ! Même si cela aurait été plus à mon goût, si je puis dire !

    En même temps, si Aline et moi, étions sur à cet instant que Diane allait s'en prendre une autre! Nous ne savions pas que Maman allait rééditer le même scénario d'une intensité égale, pour la frangine ! Avec une infantilisation, plus prononcée, celui-ci se déroulant sous les seuls regards des deux sœurs, plus propice aux rappels et exhortations maternels, à suivre le bon chemin !

    Evidemment, même si ces paroles allaient remémorer bien des souvenirs aux deux grandes assistant à la nouvelle correction, de la petite ! J'en étais assez ravie, pour ma part et je pense qu'Aline aussi ! Ayant eu notre part de moqueries, de la benjamine profitant de son statut de petite dernière et qui même s'il lui arrivait de prendre des fessées, celles-ci étaient moins nombreuses et importantes que pour ses deux sœurs, moi la première ! Et c'est sur ce registre que Maman allait baser son discours et démontrer de nouveau à sa dernière, que ses fesses n'étaient plus celles d'une gamine facétieuse, qu'une simple petite claquée pouvait calmer ! Que nenni, depuis sa sortie du collège, Diane était au régime des tannées de grandes, tout comme ses sœurs ! Celle-ci n'ayant plus alors, qu'à bien préparer son fessier, pour une volée exemplaire, en mijotant dans sa chambre !

    Il se passa environ une heure, avant que Maman n'appelle Diane, pour le dîner ! Aline et moi, étant déjà à table ! Deux rappels furent nécessaires, pour que soeurette pointe le bout de son nez et à son arrivée, elle se pris un nouvel aller-retour, accompagné par les paroles de Maman !

    Maman : « Voilà, ma petite fille, ça c'est pour m'obliger à répéter trois fois, la même chose ! Or tu sais comme tes sœurs que j'ai horreur de cela ! Tu as vraiment besoin de réapprendre les bonnes manières et je vais m'en charger, après le dîner ! Et celle que tu viens de sentir sur tes joues, crois-moi qu'elle va tomber plus de deux fois, sur tes fesses ! Tu vas comprendre ta douleur, fais moi confiance ! ». Tout en disant cela, Maman avait gardé sa main droite bien ouverte et levée ! Diane tête basse, pleurnichait, permettant à notre mère d'en rajouter une couche !

    Maman : « Cesse donc de pleurnicher ! Des vraies larmes, tu vas en verser quand je m'occuperais de tes fesses, ma fillette, je te le garantis ! Allez passe à table ! »

    A suivre..............

    Amicalement, Dominique

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  3. Bon, je suis reconnaissante à l'archiviste de m'épargner une liste de références qui m'auraient rappelé autant de mauvais souvenirs... Je pensais quand même qu'il allait en glisser un ou deux, juste pour me titiller et me prouver la pertinence de son propos.
    En tout cas, là où je suis contente, c'est de ne pas avoir connu la série de déconvenues que Diane est en train de vivre dans le synopsis. Et si Aline, comme moi, avons pu être gênées de voir notre soeur déculottée en public,car cela faisait imaginer aux témoins qu'il en était aussi de même pour nous en ce qui concerne la discipline maternelle, la perspective de la voir plonger à nouveau en travers des genoux maternels sous nos yeux, cette fois, juste entre mère et ses filles, j'imagine aisément, comme le devine bien Dominique, que cette fois, Aline comme moi, sommes moins troublées et devrions être des spectatrices riant sous cape, en se disant que ce n'est que justice au regard de ce que nous avons vécu sous ses moqueries à elle...
    Ah, Diane descendant en pyjama pour dîner tête basse, en préparant ses fesses pour un dessert brûlant, cela mérite d'être vu, surtout quand on se souvient d'avoir vécu ce même genre de scène, et qu'alors Diane jouait les fillettes modèles et se retenait de rire...

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  4. Pour ce qui est de la première analyse dominicaine sur l'épisode 80, je suis contente qu'il ait repéré nombre de détails à commenter.
    Dans ce qu'il analyse, c'est vrai que cette sorte de sixième sens de Maman de deviner mon trouble, de subodorer mes cachotteries, était un mystère pour moi. Et je crois que c'est justement parce que j'avais peur qu'elle ne me perce à jour, que je devais sûrement sur-jouer la fille qui n'a rien à se reprocher. Il devait y avoir des signes, des attitudes, des tons employés qui me trahissaient... Et cela ne faisait qu'augmenter l'agacement de Maman qui, dès qu'elle repérait quelque chose, devait déjà se dire qu'il allait falloir sévir, et faisait qu'elle était d'autant plus motivée quand elle découvrait le pot aux roses... Avec les conséquences que l'on devine pour mes fesses...
    Dominique relève aussi la (modeste) claque que je me donne devant la glace. Aussi étrange que cela paraisse, je crois vraiment que c'était motivé par cette peur très forte que j'avais soudainement, comme si je me faisais un monde de ce qui m'attendait. Je crois que le délai depuis la dernière fessée, qui aurait pu me faire penser que j'en avais vu bien d'autres, que c'était déjà presque une performance d'avoir tenu deux mois à peu près, qu'il fallait bien que ça tombe un jour, je l'analysais à l'inverse. Au lieu de dédramatiser, je me faisais un monde de ce qui allait me tomber dessus, et c'était comme si j'avais oublié que ce n'était qu'un sale quart d'heure à passer.

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  5. Chère Christine,

    Tout en remerciant l'archiviste, la conteuse regrette qu'il n'est pas citer une ou deux référence pour titiller la grande Christine toujours aussi joueuse, que la Christinette souvent collée par ses profs et en particulier, Mlle Paule ! Et bien qu'à cela ne tienne, puisqu'elle le réclame, en voici deux prises dans la chronique du redoublement (mot tout à fait adapté) !

    L'épisode 5 du 10/2011: Une surprise en forme de confirmation brûlante:
    La demoiselle se retrouvant à nouveau sur les genoux de Maman, au coucher, après sa tannée de fin d'après midi, devant les soeurettes pour son redoublement ! L'instigatrice de cette déculottée étant la désagréable Mme Aumont, mère d'une pimbêche nommée Marion et détesté par Christinette !

    L'épisode 40 du 06/2012 : La rancoeur est mauvaise conseillère :
    Christinette ayant pris une volée formidable, une fois de plus sous les yeux des frangines et privée du Walt Disney ! Rejoint à nouveau les genoux de Maman, venue simplement la consoler, à la suite d'une réaction idiote et insolente « Mais non j'ai rien dis, t'as rêvé Maman » !

    Voilà, chère amie, comme vous qui l'avez sollicité, l'archiviste a fait son travail de recherches et répondu à votre demande ! Tant pis pour vous, si cela ravive quelques mauvais souvenirs et vous amènera à relire ces récits ! Mais je vous l'ai déjà dit, provoquer l'archiviste n'est pas forcément bon, comme avec Maman, surtout lorsque celui-ci se montre clément avec votre sensibilité ! Hi, hi....

    Concernant votre réaction sur le synopsis, vous aurez la réponse avec la suite ! Sinon je partage votre avis sur le sixième sens maternel qui savait, en fonction des attitudes ou des signes émis par sa fille, sentir que celle-ci n'était pas très à l'aise et devait avoir quelque chose à se reprocher ! Et qu'il allait lui falloir sévir, sans tarder !

    Au sujet des claquettes, que se donne Christinette, je pense en effet, que ça correspond à une peur ancrée au fond d'elle même, de ce qui l'attend ! Car malgré qu'elle en soit épargnée depuis presque deux mois, celle-ci n'en a pas oublié ces effets, qu'elle craint toujours autant !

    Amicalement, Dominique

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  6. Bon, puisque c'est ça, je ne provoquerai plus l'archiviste, car il serait capable de me trouver un troisième exemple de Maman "remettant le couvert", si l'on peut dire, ou plus exactement remettant une couche de rouge sur ma lune déjà récemment claquée...
    C'est vrai, je crois qu'il y en a d'autres en effet. J'ai notamment un souvenir d'une semaine où j'avais été collée et savais que l'avis de colle arriverait, il me semble, le mercredi par la Poste, bien décidée à cacher mon jeu jusque là. Mais, une autre tuile m'était tombée sur la tête la veille, et j'avais récolté une fessée, certes méritée, mais en sachant que la même chose m'attendait le lendemain.
    L'épisode 40 est dans une autre catégorie, correspondant à ces quelques fois où la fessée ne m'avait pas calmée totalement, notamment quand je m'en voulais de quelque chose ou quand j'avais un sentiment d'injustice ou de rancoeur. Mais, l'exprimer par un "je m'en fiche", et nier l'avoir dit dans la foulée, c'était en effet plus que risqué... C'était presque comme replonger soi-même en position pour un complément sonore et claquant...
    Dans l'épisode 5, c'est en revanche mon mensonge qui me rattrape. Marion, la fille de ma classe, s'est bien entendu vantée dès le retour chez elle à midi qu'elle passait en classe supérieure, et avait évidemment cité le nom des redoublantes.
    Moi, ayant été prévenue par Maman de ce qui allait m'arriver, j'avais préféré attendre le retour en fin d'après-midi pour montrer ce bulletin qui confirmait mon redoublement... Et Maman avait tenu sa promesse avec cette déculottée au salon devant mes petites soeurs.
    Le diner et la soirée pendant laquelle Maman préparait la kermesse tout en papotant avec les autres mères, m'avaient permis de passer, comme qui dirait, dans l'après-fessée, mon bas du dos perdant ses couleurs, et mes pensées me disant que le mauvais moment était passé. Sauf que, Maman venant d'apprendre par une autre mère (ce qu'elle avait toujours en horreur), que je lui avais menti à midi, elle ne pouvait laisser passer cela... La nouvelle déculottée, cette fois dans la chambre au moment du coucher, en fut la preuve éclatante, et sacrément pénible pour moi...

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  7. Chère Christine,

    Sage décision, que de ne plus provoquer l'archiviste, à la condition que ce ne soit pas une promesse, à la Christinette et vous confirme en effet, qu'il y a d'autres exemples ou Maman avait « remis le couvert ». J'ai choisi ceux-ci, que par le fait qu'il font partis de la chronique actuelle !
    Par contre, je n'ai pas le souvenir de cette semaine que vous évoquez ou outre la colle et ses conséquences connues, une tuile vous était tombée dessus la veille ! Cela doit faire parti des récits restés au placard et non écrits, à ce jour, mais il n'est jamais trop tard pour bien faire, comme pour d'autres !

    Sinon concernant l'épisode 40, je suis bien d'accord avec vous, cette deuxième couche maternelle est plus dans le registre, d'un sentiment d'injustice pour Christinette et dans ce style, il y a d'autres que j'aurais pu citer ou bien ceux que vous n'avez pas écrit, comme « Le claquement de la porte, après une bonne volée) qui sans aucun doute, vous en valu une seconde !

    Et pour l'épisode 5, celui-ci correspond effectivement à l'un des travers récurrent de Christinette (le mensonge) d'ailleurs dans mon premier commentaire sur le 3, j'y avais fait référence ! En posant la question de savoir sur le jeu, en valait la chandelle et je ne m'étais pas trompé ! La moqueuse Mme Aumont se chargeant de fournir, le motif nécessaire à Maman d'en remettre une deuxième couche !
    Alors bien sur, dans ce cas c'était bien plus difficile et plus dur pour une Christinette corrigée publiquement et se trouvant dans la situation d'une post-fessée, de replonger à nouveau au travers des genoux maternels, pour une seconde tournée ! Je suis d'accord et le récit du petit Minot, vous en donnera l'exemple !

    Amicalement, Dominique

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  8. Chère Christine,
    Suite du petit Minot, chez Tati très cool :

    Repassant le combiné à ma Tante, je me sentais très mal et au bord des larmes, celle-ci continua sa conversation avec sa Maman ! Et après avoir raccroché, Tati remarquant mon état m'interrogea sur ce qu'elle m'avait dit ! Là ! Le petit bonhomme de 12 ans passés, fière comme le chevalier qui surgit hors de la nuit, craqua ! Se mettant à pleurer comme une madeleine ! Incapable de faire une phrase compréhensible !
    Ma Tante me prît alors dans ses bras, ainsi qu'un verre d'orangeade pour atténuer mon émoi et obtenir des réponses de ma part, une fois calmé ! Et là, je lui transposait en partie, le discours de Maman, faisant l'impasse sur la bonne volée qui m'attendait au retour à la ferme et lui livrant un autre type de punition, ayant trop honte d'avouer cela à ma Tante et mon cousin !

    Minot : « Maman m'a dit que je devrais payer la moitié du rachat de la lampe, avec mon argent de poche et que je serais privé de sortie, jusqu'à nouvel ordre, c'est dur Tati !!! » et je me remis à pleurer ! Ma Tante me consola à nouveau et embraya, en me disant !

    Tati : « Je te comprends mon grand, mais reconnaît qu'Eric et toi vous m'avez désobéi ! Le résultat étant que vous avez cassé la lampe ! Alors t'inquiète, Eric paiera la moitié de la lampe comme toi et lui aussi sera privé de sortie, durant un certain temps ! »

    Là mon cousin était plutôt déconfit et moi, je n'avais pas prévu que ma Tante appellerait Maman le samedi, pour savoir si j'étais bien rentré et plaider ma cause sur le temps de la punition, ce qui partait d'un bon sentiment ! Sauf que cette bonne action allait tourner au vinaigre, pour mes fesses, me ramassant non pas une, mais deux volées en ce jour de retour !

    Durant ces trois jours qui restaient, je fût le garçon le plus gentil de la terre, jouant tranquillement avec mon cousin et répondant immédiatement aux sollicitations de ma Tante ! En fait plus le temps passait, plus je pensais à ce qui m'attendait au retour à la ferme ! Sachant que Maman tenait en général ses promesses, sauf en de rare occasions et j'avoue que mes trois nuits suivantes, furent accompagnées par des cauchemars à répétition ! Je souhaitais ne jamais rentrer et rester chez ma Tati cool, sauf que toutes les bonnes choses ont une fin et le samedi matin, je repris donc le train, direction la Bretagne ou ma chère mère m'attendait de pied ferme !

    A mon arrivée, Maman était très souriante et détendue, dans ma petite tête, je me disais qu'elle avait peut-être classée cette histoire de lampe et que j'en serais juste quitte, pour en payer la moitié avec mon argent de poche ! Pensée idiote, d'un garçonnet connaissant bien mal sa chère mère ! Celle-ci allait d'ailleurs me le confirmer, très calmement une fois dans l'autocar nous ramenant à la ferme !

    Maman : « Dis-moi, mon chéri, tu te rappelle ce que je t'ai dit au téléphone, au sujet de la lampe ? »

    Moi : « Bah..., euh...., oui ! J'dois en payer la moitié avec mon argent ! »

    Maman : « On est d'accord, là dessus ! Mais encore ? ». Je devînt alors tout rouge, car nous n'étions pas seuls dans l'autocar, comprenant ce qu'elle voulait me faire dire et surtout qu'elle n'avait pas changé d'avis, envers ma petite personne !

    A suivre..........

    Amicalement, Dominique

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  9. Merci Dominique pour ces précisions d'archive. C'est vrai que la porte claquée de rage de venir de recevoir une fessée ne pouvait m'amener qu'à prendre immédiatement un supplément que, avec le recul des années, je dois reconnaître qu'il était plus que mérité...
    L'autre exemple que j'évoquais n'est pas unique, et j'ai quand même l'impression d'en avoir écrit au moins un. Il s'agit d'une situation du type, arrivée prévue de l'avis de colle tel jour précis, ou rendu du carnet de notes tel autre jour, ou rendez-vous pris avec une prof deux jours plus tard, autant de situations dont je pouvais savoir qu'elles me vaudraient, du fait de leur révélation ou de leur contenu, une déculottée assurée. Mais, justement, dans le ou les exemples auxquels je pense, et où je commençais à préparer mes fesses pour cette date, était survenu un autre incident, un autre motif, moins prévisible, mais tout aussi sérieux, qui allait me valoir une fessée. C'est alors l'étrange situation où l'on sait que l'on y retournera le lendemain par exemple. Et l'on se dit à ce moment là que l'on devrait peut-être avouer le motif encore inconnu, dans l'espoir d'une confusion des peines, ou d'une seule au lieu de deux. Mais, c'est aussi forcément aggraver la colère maternelle et cela fait que l'on garde son secret, en sachant que ce qui nous attend est la répétition de ce qui arrivera le lendemain ou deux jours plus tard.
    Sinon, côté souvenirs du Minot, je compatis et imagine bien qu'il n'ait aucune envie de retourner à la ferme. En plus, la conversation avec sa mère dans le car, et que les voisins doivent suivre, risque de le faire rougir du visage, avant bientôt de rougir d'ailleurs...
    Petit étonnement tout de même qu'à 12 ans, un garçon voyage ainsi en train seul. Je suppose qu'il devait être confié à quelqu'un si la Tata ne l'accompagnait pas.

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  10. Chère Christine,

    De rien, Christine, pour les précisions de l'archiviste ! Concernant votre évocation, je rechercherais, mais de prime à bord, je n'ai pas de référence écrite en tête sur ce genre de situation et cela m'étonne ! Car comme vous le savez, la lecture de vos récits fait partie de mes activités extra professionnelles et encore plus aujourd'hui, travaillant à mi-temps et n'ayant plus de fonctions d'éducateur sportif !

    En effet pour le trajet en train, j'avais une accompagnante de la SNCF, précision que je n'ai pas incluse, n'y voyant pas un intérêt particulier pour le développement de ce souvenir ! Mais je reconnais là, votre sagacité !
    Sinon, comme vous le pensez fort justement, la conversation avec Maman dans l'autocar fût très gênante pour mon amour propre, dans la mesure ou celle-ci était entendue par les personnes et notamment, d'autres gamins (filles et garçons), rentrant également de vacances.

    En attendant la suite, je vous en transmet une du synopsis.

    Amicalement, Dominique

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  11. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, pensées de Christine, dialogue et nouvelle surprise pour Diane :

    Le repas se passa bien, avec des échanges agréables entre Maman et ses deux grandes filles, seule Diane était silencieuse et sans trop d'appétit, étant dans la phase d'attente de ce qui lui avait promis Maman et sans illusion, sur la suite de sa soirée, notre mère tenant toujours toutes ses promesses !
    Aline et moi, en ayant acquis une expérience confirmée !

    A la fin du dîner, Diane qui semblait ailleurs, fût prise par la main comme une gamine et conduite par Maman jusqu'au canapé du salon, avec l'ordre de ne pas en bouger et de façon plutôt infantile !

    Maman : « Allez oust ! La vilaine fillette, s'assoit là et elle n'en bouge sous aucun prétexte, sauf si elle souhaite un autre aller-retour de sa Maman chérie, avant la bonne déculottée qu'il l'attend et qui sera bien corsé ! Tu peux me croire ! ». Bien entendu, cela déclencha une nouvelle crise de pleurnichement chez la soeurette ! Alors qu'Aline et moi débarrassions le couvert, avant de faire la vaisselle avec Maman et lui donnant l'occasion, de rajouter une nouvelle couche d'infantilisation !

    Maman : « C'est ça, pleurniche ! C'est tout, ce que les fillettes savent faire ! Mais soit patience, ma petite fille, Maman va te donner l'occasion de pleurer pour de vrai et te faire chanter comme tu as toujours su le faire, pour essayer de m'amadouer quand tu était sur mes genoux, en jouant la petite fille qui n'a rien fait ! Ton public ne sera pas déçu, fais-moi confiance ! »

    Cette dernière tirade maternelle, nous interpella Aline et moi ! Se regardant l'une et l'autre, sans échanger un seul mot, nous avions compris d'un coup, que Maman allait donc corriger Diane au salon et non dans sa chambre ! Le public étant formé par ses deux sœurs, plus Maman au premier rang ! Et je pense que Diane avait également compris ! Puisque cette fois, elle versait de grosses larmes !

    J'avoue qu'Aline et moi, étions moins compatissante envers soeurette, qu'au moment de l'apéritif et même un peu satisfaites de pouvoir assister, nous seules, à une volée de celle qui riait presque ouvertement en nous voyant déculottées quelques années auparavant ! Ceci n'étant qu'un juste retour des choses, pour la moqueuse qui endossait aujourd'hui le premier rôle ! En fait, nous étions assez souriantes, sans excès, car Maman ne l'aurait pas admis et aurait pu également nous rappeler nos devoirs ! Ce qui ne me tentait absolument pas, en ayant eu un rappel le matin même et supposant qu'il en était de même pour Aline, récemment corriger pour son partiel !

    Mais disons que les grandes sœurs étaient à ce moment là, comme deux complices pas mécontentes que la petite dernière soit sous les feux de la rampe et que Maman nous offre une représentation privée, d'une gamine à qui on rabaisse le caquet !
    Bien évidemment, j'imagine que la pensée de Diane était toute différente, à cet instant et que tenir le premier rôle, n'était pas son souhait, bien au contraire !

    Maman était parfaitement calme, ce qui ne présageait rien de bon pour Diane ! Devisant avec ses grandes filles, sur les vacances qui se profilait et savoir, ce qu'Aline et moi envisagions pour celles-ci, étant les deux seules majeures, des filles Spaak et disposant donc d'une certaine liberté, accordée par Maman, dans ce domaine !

    A suivre..............

    Amicalement, Dominique

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  12. Diane envoyée se mettre en pyjama avant le diner, voilà qui doit en rappeler des souvenirs à Christine 23...
    Evidemment, lors du repas, la petite soeur (même devenue grande) ne doit guère avoir d'appétit, alors que ses deux ainées doivent être naturellement plus loquaces, voire enjouées, sans trop le montrer bien sûr...
    Le coup de l'accompagnement ensuite pour faire attendre la future punie, non pas dans sa chambre, mais sur le canapé du salon, est inédite dans la mémoire de Christine. Cela dit, ce doit être encore pire que d'attendre dans sa chambre, car l'attente dans le salon sous-entend une fessée reçue sur place, et donc certainement devant des témoins que Diane connaît bien pour avoir été parfois dans la situation inverse...
    Et, comme Diane se rappelle forcément l'espèce de joie intense et de moquerie que cela provoquait en elle, elle doit se sentir encore plus gênée, honteuse, d'en être cette fois la vedette principale, celle qui va chanter sous la claquée maternelle, dont elle n'ignore pas qu'elle sera longue et forte, appliquée et douloureuse sur une lune parfaitement dégagée, étalée au regard de ses soeurs, une lune d'autant plus sensible qu'elle a déjà été rougie plusieurs fois dans cette semaine dont elle se souviendra longtemps...

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  13. Chère Christine,

    C'est vrai que Diane expédiée par Maman se mettre en pyjama, avant le dîner, ne peux qu'évoquer de mauvais souvenirs à Christine 23, qui se souvient également que l'appétit n'était pas au rendez-vous dans ce cas là ! Ne focalisant que sur ce qu'il l'attendait ! Mais là, c'est la petite moqueuse de soeurette qui est concernée et cela n'est pas pour déplaire, aux deux grandes, plus soumises à une époque aux bons soins de Maman, dont la petiote se gaussait ! Même si de temps à autre, elle se ramassait une dégelée, pour ses caprices !

    Là, c'est Diane qui est aux premières loges de la situation et si celle-ci la faisait rire sous cape, pour les frangines ! Elle ne rigole plus du tout, avec cette marche infantile vers le salon et les directives maternelles, ne présageant rien de bon pour elle ! Ayant bien saisi, qu'elle se préparait à un remake de l'apéritif, mais devant ses seules sœurs ! Signifiant donc que la volée allait être d'anthologie, Maman étant plus démonstrative, dans ce cas, afin de marquer tous les esprits et pas seulement de la punie !
    Il est donc bien évident que pour la benjamine, la honte sera encore plus forte, Maman en présence des autres sœurs n'hésitant pas à citer des références, d'autant que maintenant les fessées de la petite dernière, sont des fessées de grandes ! Sans comparaison avec les courtes dégelées, qu'elle a connu étant plus jeune ! On imagine aisément la peur qui peux la miner, à attendre dans le salon, plutôt que dans sa chambre, surtout que ses fesses ont connu durant ces derniers jours un regain d'activité, pour le moins difficile de la part de Maman et sont donc, plus que sensibles et promptes à rougir, sous l'effet d'une main experte, en la matière ! La claquée devenant vite insupportable !

    La suite du synopsis, vous sera livrée sous peu, ainsi que celle du petit Minot.

    Amicalement, Dominique

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  14. Diane qui se morfond dans le salon, comprenant bien que si Maman lui a demandé de rester là et de n'en pas bouger, c'est bien parce qu'elle a l'intention de tenir ses promesses dans ce cadre, qui a déjà servi à quelques démonstrations maternelles dont Christine se souvient (et, sans déflorer le récit en cours, les références ne sont peut-être pas terminées... mais, chut !).
    Je vois très bien en effet Maman, motivée et déterminée, prendre son temps pour ranger la cuisine, ce qui fait "mijoter" autant la future punie, puis inviter ses deux ainées à venir avec elle dans le salon pour une sorte de conciliabule familial.
    Là, elle va pouvoir rappeler le comportement de Diane et expliquer en quoi il appelle une sanction exemplaire.
    Et si Diane proteste, elle pourra lui rappeler qu'elle ne disait rien lorsque c'était elle la témoin et Christine la punie.
    Je pense aussi que Maman s'appliquera à en faire une tannée exemplaire, en n'oubliant pas de préciser à ses ainées qu'elles non plus n'ont pas intérêt à défier son autorité, car personne des trois filles n'est à l'abri d'une telle déconvenue, comme Christine 23 le sait bien, pour l'avoir vécue le matin même, et que Diane peut en témoigner pour en avoir espionner la claquante réalité...

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  15. Chère Christine,

    Je ne peux que confirmer vos intuitions sur les références et la motivation maternelle, à remettre de l'ordre dans la cervelle, de sa plus jeune fille, au travers d'exemples avec sa grande sœur, dont-elle était témoin et s'en gaussait, sans vergognes ! Certes, cela ne sera pas très agréable, pour Christine 23 et peut-être encore moins pour la grande Christine d'aujourd'hui, lui rappelant des souvenirs pénibles !

    Mais voilà ! Porté par vos écrits, ainsi que vos commentaires ! Le petit rédacteur se sent pousser des ailes de liberté, lui permettant de s'exprimer et d'échanger, avec une personne de qualité, qui avalise ses modestes productions ! Celui-ci n'étant pas un écrivain, ni un romancier, mais simplement un ancien officier de Marine conscient de ses limites !

    Amicalement, Dominique

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  16. Eh bien, qu'il continue le petit rédacteur, comme il se surnomme modestement. Même si, je n'en doute pas, le mauvais quart d'heure que va passer Diane mettra aussi mal à l'aise Christine 23, de par ce que cela lui rappellera et de par les références maternelles, d'autant qu'elle sait que les méthodes maternelles dont elle croyait être sorties, sont encore d'actualité pour elle, ses fesses en ayant un souvenir plus que récent...

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  17. Chère Christine,

    Modeste dans l'écriture, c'est possible que je le sois ! Même si en tant qu'ancien officier, j'ai eu à rédiger des rapports pour mes supérieurs, tel que Christian ou d'autres ! Mais leurs libellés étaient plutôt du genre répétitifs et stéréotypés, ne faisant fonctionner que l'hémisphère gauche du cerveau dédié à l'organisation des choses ! Celui de droite étant plus créatif, mais soumis à des variations ! D'ailleurs l'épisode 80, en est une parfaite représentation, pour Christinette, partagée entre deux courants.
    Alors que votre blog et nos échanges, a réveillé en moi, une inspiration créative qui devait être enfouie au fond de mon cerveau et je n'en suis pas mécontent.

    Sinon concernant le synopsis, la raclée de Diane, risque d'être un peu troublante pour Christine 23, se remémorant ses années collèges bien fournies, en discussions maternelles à son encontre et consciente, avec l'exemple matinal, qu'elle n'en n'est toujours pas à l'abri, malgré son âge !


    Amicalement, Dominique

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  18. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, pensées de Christine, dialogue et nouvelle surprise pour Diane :

    Aline embraya précisant qu'elle allait mettre à profit, le mois de juillet (moins chargé pour les autos-écoles), afin de passer son permis et avait trouver un job d'été, afin de pouvoir partir en août une quinzaine de jours, sur la côte basque, faire du camping avec deux copines de fac ! Maman trouva ce programme tout à fait judicieux et enchaîna avec moi !

    Maman : « C'est très bien Aline, ce sont de bonnes décisions et toi, ma Christine ? »

    Moi : « Au mois de juillet, Caroline et moi on a également trouvé un job et on va préparer notre stage d'entreprise, aussi ! Et pour le mois d'août, bah.... ! C'est à dire que j'pensais partir avec Caro et Dom qui sera en vacances, ainsi que Christian, dans la maison des grands-parents et pouvoir profiter de lui, avant son départ ! Sauf si tu y vois un inconvénient ? ». Sans le vouloir, j'avais repris ce côté hésitant d'adolescente, demandant la permission à Maman, avant de faire quelque chose !

    Maman : « Allons, ma chérie, bien sur que non ! Au contraire, c'est une excellente idée ! Cela vous permettra à Caroline et toi de décompresser, avant la reprise ! Par contre, comme je te l'ai dit ce matin, j'aimerais bien faire plus ample connaissance avec Christian ! Ce joli garçon que je n'ai rencontré qu'une fois par hasard, sur le marché ! ». Un peu rougissante à l'évocation de Maman, sur le physique de mon petit ami, ce qui n'était pas faux ! Je répondis !

    Moi : « Bien entendu, Maman ! On pourrait même organiser une soirée avec Caro et Dom, ici ! Ça pourrait être sympa ! Hein, M'man ? »

    Maman : « Mais, oui ! Ma chérie ! J'en serais ravie, alors disons samedi prochain ! Si Christian et Dom ne sont pas de service, Caroline et toi serez en vacances ! Et on pourra passer la journée, tous ensemble, plus ta Tante éventuellement ! Alors qu'en penses tu, ma grande ? »

    Moi : « Bein oui, M'man ! Faut juste que je m'assure, que les garçons ne travaillent pas ! »

    Maman : « Très bien ma chérie, tu vois ça dans la semaine et tu me tiens au courant ! ».
    Visiblement notre chère mère ne semblait pas pressée, alors que Diane attendait dans le salon et devait angoisser grave, notre soeurette mijotant depuis plus de deux heures, situation que j'avais bien connu quelques années auparavant ! Maman poursuivait tranquillement la conversation avec ses deux grandes filles, comme si de rien n'était ! Celle-ci nous demanda des précisions sur les jobs d'été, à Aline et moi !

    Maman : « Je suis fière de vous, mes grandes, vous au moins, vous me faites plaisir ! Mais dites-moi, qu'avez vous trouvez comme petit travail d'été ? ». Sa phrase m'était donc de coté, Diane et je dois dire, sans méchanceté, qu'avec Aline, nous étions plutôt satisfaites de ce revirement à notre égard, vis à vis de la petite soeurette ! Qui à une époque, n'hésitait pas à se mettre en avant, par rapport à ses grandes sœurs et son statut de petite dernière ! Ce compliment de Maman, nous fît chaud au cœur, même si nous pensions à Diane, qui se morfondait toute seule au salon ! Finalement, pour nous, ce n'était qu'un juste retour des choses !

    A suivre...............

    Amicalement, Dominique

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  19. Diane qui mijote et patiente dans le salon, pendant que nous discutons de vacances avec Maman, c'est effectivement une situation qui ne nous déplait guère. Un "juste retour des choses", comme dit Dominique, et je ne peux qu'être d'accord dans un certain sens, moi qui, dans mon récit actuel, me trouve dans la peau de celle qui attend... Et il n'est pas question pour la redoublante de penser aux vacances, puisqu'il reste un peu plus d'un mois de cours pendant lequel notre chère mère est bien décidée à agir autant qu'il le faudra, "pour notre bien", comme elle dit, mais la Christinette qui a du mal à trouver le sommeil en pensant à ce qui l'attend le lendemain n'a pas exactement la même appréciation...
    Cela dit, pour revenir au synopsis, je vois que Dominique a déjà prévu de nouveaux épisodes, dont une rencontre avec le petit ami. On était partis d'une idée et d'une perche tendue à propos d'un épisode imaginaire, et plus ça va, plus le récit se développe, tout en restant dans le ton souhaité. Félicitations à M. l'archiviste galonné.

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  20. Chère Christine,

    L'ancien Lieutenant de Vaisseau, devenu archiviste en chef, vous remercie pour les félicitations et est ravi que le développement du récit, parti d'une simple idée et de la perche tendue, plaise à la conteuse ! Et pour vous remercier, je vous en adresse un nouveau morceau ou les choses s'accélère pour Diane ! Parallèlement, j'ai repris la rédaction de mon analyse pour l'épisode 80 !

    Amicalement, Dominique

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  21. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, pensées de Christine, dialogue et nouvelle surprise pour Diane :

    Moi : « Bah, en fait c'est le père de Caroline, qui nous a obtenu deux contrats d'étudiant pour le mois de juillet dans son entreprise et comme les places sont réservés aux membres de la famille du salariés, il m'a fait passer pour sa nièce ! Et on va faire du classement et divers travaux de secrétariat ! Il faudra juste que je l'appelle Tonton ! ». Cette dernière tirade nous fît rire toutes les trois, Maman la première qui enchaîna !

    Maman : « Et bien voilà que je suis, la sœur de Mr Lebrun, si je comprends bien ! C'est ta Tante Jacqueline qui va être surprise, d'avoir un frère ! » et Aline en rajouta, une couche !

    Aline : « C'est vraiment trop drôle, car mon job d'été, je vais justement le faire dans l'entreprise de Tata, en remplacement de son assistante ! ». Nous partîmes alors ensemble dans un fou rire !

    Sauf que Diane, devait nous entendre et n'étant pas du genre patiente, elle vînt à la cuisine que nous finissions de ranger ! Ce qui déclencha une réaction immédiate de Maman, qui lui flanqua un nouvel aller-retour, ajoutant en haussant le ton !

    Maman : « Diane, je croyais t'avoir dit de ne pas bouger, non ? », laissant sans voix soeurette qui se remis à pleurnicher ! Je précise que les deux claques, ne ressemblaient en rien à des caresses ! Puis Maman embraya !

    Maman : « Ah, non je sais ! La fillette se demande quand sa Maman chérie, va la laisser rejoindre sa chambre, c'est ça ? Et bien qu'à cela ne tienne, ma petite fille, je ne vais m'occuper de ton cas, sans plus attendre ! Allez venez, mes grandes, je vais rappeler les bonnes manières à votre petite sœur, comme je le faisait à une certaine époque avec vous ! Enfin un peu plus avec toi, je le reconnais, ma Christine ! Mais bon, en même temps tu le méritais, comme cette gamine qui est là, devant vous ! »

    Bien entendu, ce rappel me fît rougir, ainsi qu'Aline ! Puis Maman attrapa Diane pas le bras gauche, la faisant avancer avec de grandes claques, sur les fesses, par dessus le pyjama et la fît pousser de grands cris, sans retenue ! Aline et moi savions, que soeurette avait toujours eu par habitude de forcer ses exclamations, dans l'espoir d'adoucir la colère maternelle ! Sauf que maintenant, cela ne marchait plus et depuis sa sortie du collège, celle-ci se prenait de vraies roustes, comme j'en avais connu, ainsi qu'Aline et notre chère mère ne se laissait plus attendrir, par les vocalises de Diane !

    Et le prouva par la parole, de façon infantile, tout en poursuivant sa marche en avant, avec la pénitente ! Donc les fesses de celle-ci, devait déjà ressentir l'efficacité de la main maternelle, malgré les protections (pyjama et culotte) qui sans nul doute, n'allaient pas resté en place très longtemps ! Permettant à Diane, de bien percevoir toute la différence, entre quelques claques données sur une lune couverte et les suivantes en plus grand nombres, sur une surface amplement dégagée !

    Le souci pour moi, étant que les phrases de Maman, allaient me ramener dix ans en arrière et me faire rougir un peu, malgré ma position de spectatrice, comme Aline !

    A suivre...............

    Amicalement, Dominique

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  22. C'est parti. Petite soeur va en prendre pour son grade, comme dirait notre ex-militaire. Maman la fait avancer à l'aide de quelques claques qui la font sursauter, réveillant un épiderme sensibilisé par les récentes fessées de cette récidiviste...
    Le "Venez mes grandes", adressé à Aline et moi, entérine bien le fait que soeurette va être corrigée sous nos yeux, ce qui, là encore, est un juste retour des choses, Diane ayant plus souvent vu, de par une volonté maternelle d'exemple, ou de par des ruses d'espionne, les rondeurs jumelles de son ainée se faire rougir à point par une mère déterminée et démonstrative.
    C'est vrai que les commentaires de Maman risquent de me mettre mal à l'aise, de me rappeler des exemples encore ancrés dans ma mémoire, mais je préfère quand même, et de très loin, jouer la spectatrice que l'actrice principale...

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  23. Chère Christine,

    Et oui, c'est parti pour la frangine, qui va en effet à nouveau ressentir ce que le grade de grande, confère comme désagréments, quand on dépasse les règles maternelles établies.

    Sinon l'invitation de Maman, envers ses grandes filles, ne peux que faire flipper Diane en tant qu'actrice principale, alors qu'auparavant elle était une spectatrice très attentive et rieuse ! D'autant que dans la suite du synopsis, Maman va le confirmer et il est vrai que son discours, va réveiller la mémoire de Christine 23 et celle d'Aline !

    Amicalement, Dominique

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  24. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, pensées de Christine, dialogue et nouvelle surprise pour Diane :

    Maman : « Mais dis-moi ? Ma petite fille ! Tu chantes bien plus fort que ta grande sœur, à une certaine époque, juste pour quelques claques sur le fond du pyjama ! Alors dis-toi que dans un instant, ce sont des vocalises que tu vas produire et je pourrais donc ainsi t'inscrire directement à l'opéra ! Qu'en pensez vous mes grandes ? »

    Nous ne savions pas quoi répondre, même si notre expérience nous permettaient de savoir, qu'une fois déculottée ! Ce qui allait tomber sur nos fesses, ne serait pas de la rigolade et nous feraient, en effet, chanter très fort ! Surtout moi, étant assujetti aux fessées de grandes, méthodiques, longues et très intenses, me laissant à chaque fois sans énergie, tellement la tannée maternelle avait été efficace ! Et aujourd'hui, Diane nous avaient comme qui dirait remplacées, dans le domaine des fessées de grandes ! Ce n'était plus, les petites claquées vives et rapides de son enfance !

    Néanmoins dans ce cas précis, Maman s'adressait à nous, en tant qu'adultes responsables et nous avions comme un sentiment de fierté ! Le problème est que celle-ci, allait continuer dans le même sens, avec d'autres références, tout en s'occupant des fesses de soeurette ! Qui allait passer un quart d'heure d'anthologie, accompagner de promesses de déboires identiques durant les vacances, si elle ne changeait pas d'attitude ! Diane ne faisait que gémir ou crier, sous les claques généreuses d'une mère déterminée, ramenant une gamine au salon, pour la corriger comme elle le méritait et sous les yeux de ses grandes sœurs pour l'exemple !

    Arrivée au salon, Maman tout en tenant Diane, attrapa une chaise de la table et la plaça en face du canapé ou elle nous invita à nous asseoir, Aline et moi ! Bien entendu, ceci déclencha une réaction de notre petite sœur !

    Diane : « Non, M'man, noooon ! Pas ici, devant elles, j'veux paaaas ! », la réponse maternelle ne se fît pas attendre, avec de nouvelles références !

    Maman : « Mais si, ma petite fille, je te rappel que c'est moi qui décides, où, quand et comment je dois corriger l'une de mes filles ! Et encore plus, lorsqu'il s'agit d'une gamine qui cumul les motifs et n'a toujours rien compris, malgré quelques déculottées à répétition, ces derniers jours ! Alors peut-être que celle-ci portera davantage ses fruits, je le souhaite ! Surtout pour tes fesses ! Sauf si bien sur, tu préfères me les représenter à nouveau, comme tes sœurs qui savaient si bien le faire, à une certaine époque et en particulier, la plus grande ! ».
    Tout en disant cela, Maman regardait dans notre direction et je me sentis rougir, à cette évocation, qui n'était pourtant que la vérité ! Et celle-ci embraya, en n'en rajoutant une couche !

    Maman : « Alors que tu le veuilles ou non, je m'en contrefiche ! C'est comme ça et pas autrement ! Et puis, rappel-toi, que lorsque c'était tes grandes sœurs qui étaient sur mes genoux, sous tes yeux, tu t'en amusais bien ! Ce n'est donc qu'un juste retour des choses, mademoiselle la fillette ! »
    Maman était visiblement partie pour des phrasées très mortifiants et infantiles, pour Diane, ceci sans compter la tannée qui se profilait !

    A suivre...........

    Amicalement, Dominique

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  25. De retour après cinq jours de déplacement à l'étranger, je valide enfin les deux derniers messages de Dominique, dont celui qui met Diane en fâcheuse position s'apprêtant à recevoir une nouvelle tannée... Il est temps en effet pour Maman de tenir ses promesses, après avoir fait mariner sa plus jeune fille... Je souris toutefois en me disant que mon absence de quelques jours a fait comme si soeurette avait mariné encore plus longtemps...
    J'imagine aussi que Christine 23 aurait eu hâte de découvrir cette scène, qui rattrape un peu le retard qu'avait Diane en la matière, même si les images, le déroulé de la scène et les allusions maternelles la renvoient à bien des souvenirs où elle tenait le premier rôle...

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  26. Chère Christine,

    Je me doutais que vous étiez parti, vers d'autres horizons et je constate que Christine en validant mes messages ajoute de l'ironie, vis à vis de soeurette, en mauvaise posture ! Bien sur cela n'est qu'un juste retour des choses, celle-ci ayant du subir plus d'une fois les moqueries de sa petite sœur ! Mais un peu de retenue aurait été de bon aloi, de la part de la grande Christine ayant bien grandi !
    En même temps, je ne peux pas vraiment lui en vouloir, le synopsis renversant la tendance du premier rôle qu'elle a bien connu et la plaçant en spectatrice attentive, mais tout de même sur ses gardes, comme Aline, compte tenu des paroles maternelles sans équivoques !

    Sur ce, je vous adresse une nouvelle suite, votre absence m'ayant permis de les rédiger !

    Amicalement, Dominique

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  27. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, pensées de Christine, dialogue et nouvelle surprise pour Diane :

    Maman basculât sans ménagement soeurette, au travers de ses cuisses, qui poussait des « Non, non, M'man » à n'en plus finir, gigotant comme un ver de terre pour se sortir de l'étreinte maternelle, sans succès et permettant simplement à notre mère, de faire de nouveaux rappels ! Dont un ou deux, me concernait particulièrement !

    Maman : « Oh que si, ma petite fille et cesse de gigoter bêtement ! C'est vrai qu'à l'image de tes sœurs, tu ne réagis, qu'une fois sur mes genoux et qu'il est trop tard ! Alors comme elles, tu penses pouvoir échapper à ton sort ! Et bien, non ! Car que tu oublies qui est la plus forte et qu'il est risqué de s'opposer à ma volonté, dans cette position, à moins de vouloir un supplément non prévu à l'origine, n'est ce pas Christine ? Rougissante, je répondis !

    Moi : « Oui, oui, Maman, j'm'en souviens très bien et c'était insupportable, pour mes fesses ! »
    Maman embraya, en assénant une dizaine de fortes claques par dessus le pyjama de Diane et ajouta, en enfonçant le clou dans les références !

    Maman : « Alors tu vois, ma petite Diane ! Cela ne sert à rien, de vouloir résister à Maman ! Que ce soit pour la déculottée ou l'arrêt de la fessée ! C'est moi qui décide, un point c'est tout ! Tes sœurs le savent et notamment ta grande aînée ! »

    Joignant le geste, à la parole, Maman avait attrapé l'élastique du bas de pyjama qu'elle fît glisser, en dessous des genoux de soeurette, puis sa culotte suivi le même chemin ! Diane calmée par cette claquée, implorait notre mère, certainement envahie par la honte, de cette déculottée méticuleuse et méthodique ! Ce qui me renvoya des images, du passé ou Maman pratiquait de la sorte avec moi ! Mes réactions étant les mêmes que celles, de ma petite sœur ! Pas facile, à vivre ! Même si j'étais là, en tant que spectatrice attentive, j'avais une pensée pour Diane ! Me souvenant du moment qui allait suivre, après cette mise en place posée !
    D'ailleurs, j'en avais eu un rappel le matin même, après plusieurs années d'abstinence ! Comprenant bien avec un raisonnement d'adulte, que tant que je serais sous le toit de Maman, je n'en serais pas à l'abri, tout comme mon amie Caroline, avec ses parents ! Et j'avoue que cela me trottait dans la tête, connaissant parfaitement la déontologie maternelle sur l'éducation et le respect ! Celle-ci n'ayant pas hésité à remettre, au goût du jour, la seule méthode qui donnait des résultats, même temporaires !
    Puis Maman enchaîna !

    Maman : « Allez ma petite fille, passons aux choses sérieuses, comme je le faisait avec ta grande sœur et qui te faisait bien sourire ! Tu en as déjà pris une bonne ce midi devant tout le monde, ainsi que la petite insolente de Bernadette, mais cela ne t'as pas calmée et mon petit doigt me dit, qu'elle non plus n'a pas tout compris ! Et je ne serais pas étonnée, que Mme Lebrun ait également à remettre le couvert avec elle ! Tiens, je lui poserais la question demain ! Alors soit tranquille, comme nous ne sommes que toutes les trois, tes sœurs et moi ! Je vais t'offrir, ainsi qu'à tes sœurs un dessert digne, du Meilleur Ouvrier de France, pour tout ce que tu as fait depuis hier et je peux te garantir, que ce soir, la fillette que tu es, ne pourra dormir que sur le ventre ! ».

    Je sentais Maman, encore plus motivée, qu'à l'apéritif ! Ce qui ne présageait rien de bon, pour les fesses de notre petite sœur, amplement découvertes et déjà colorées, par les claques reçues, par dessus le pyjama ! A suivre...........

    Amicalement, Dominique

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  28. Quelle énergie chez Maman Spaak ! Encore tant de motivation pour une troisième démonstration dans la journée, cela témoigne bien de son besoin de reprendre les choses en main... En tout cas, Christine 23 peut constater que sa chère mère ne plaisante pas, et qu'elle a encore de la force dans les bras, et une main qui ne craint pas de devoir déverser une nouvelle pluie de claques sur la lune de jeune adulte de sa plus jeune fille.
    Je dois avouer que si je me mets bien dans la peau de Christine 23, je compatis avec Diane, ayant pu le matin même retrouver les sensations et la douleur ressentie dans le rôle de la punie. Mais, je préfère bien sûr que ce soit elle qui tienne deux fois de suite la vedette, plutôt que moi pour qui une fois a suffi...
    Je suis évidemment gênée par toutes les allusions maternelles qui me semblent inutiles, car je suis sûre que ni Aline, ni Diane, ni Maman et moi, nulle n'a évidemment oublié les épisodes cuisants de notre éducation, ni le fait que j'en fus d'assez loin l'héroïne principale durant des années...
    Je pense que Maman pourrait se passer de faire ces rappels, mais telle avait toujours été dans ses habitudes de commenter ses fessées et de s'en servir comme exemple pour les autres soeurs.
    Je constate donc que Maman n'a pas changé sur bien des points, et si Diane peut le "constater" aussi à son détriment, c'est moi qui, comme on dit, ait essuyé les plâtres durant mes années les plus agitées...
    Et, à cette époque, ce n'était pas forcément chacune son tour. Comme le vit à ce moment Diane, ce n'est pas parce que les deux soeurs ainées venaient d'être fessées le même jour que c'était au tour de la troisième. Je suis bien placée pour savoir combien de fois j'ai pu revenir sur les genoux maternels la première après avoir reçu la plus récente qui ait été donnée dans la maisonnée. M. l'archiviste ne me démentira pas...

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  29. Chère Christine,

    En effet, Christine, M.l'archiviste ne peux vous démentir et il vous propose même deux références parmi d'autres ! L'épisode 60 (Infaillible, la logique maternelle me ramène sur ses genoux) ou Christinette pour son carnet trimestriel, reçoit comme Aline la veille, une bonne volée mais format aînée, bien sur ! Et se retrouve la dernière fessée de l'année civile !
    Ainsi que la première la nouvelle année avec l'épisode 64 (Quand Maman découvre mon mensonge), Christinette pensant avoir endormi la vigilance maternelle grâce à une explication débitée d'un seul coup (chose rare chez Christine), mais cela sans prendre en compte la parfaite connaissance de Maman, de son emploi du temps et confirmé par la question qui tue !

    J'ai pris ces deux exemples, mais il y en a bien d'autres ou les foudres maternelles se succédaient pour Christinette ou même pour Aline, alors que la petite dernière s'efforçait d'être la plus gentille fillette du monde, ne voulant surtout pas prendre la place des grandes sœurs, préférant être une auditrice ou spectatrice attentive !

    Sinon, je suis bien d'accord avec vous sur le fait que Maman, dans le cadre du synopsis n'a pas modifié sa déontologie, plus dévolue à Diane à ce moment là ! Mais donc Christine 23, a en effet, essuyé la première, les plâtres et ceci pendant quelques années !

    Tant qu'aux rappels maternels, même s'ils semblent saugrenues aux yeux de Christine 23, ceux-ci ne sont que dans la ligne de conduite de votre chère mère, considérant qu'une volée ne serais-ce qu'auditive de l'une de ses filles, devait également servir aux autres ! Désolé, mais je ne fais que me référer à vos écrits !

    Allez, pour me faire pardonner, je vous transmet une nouvelle suite du synopsis ! Ceci dit, j'aimerais bien aussi que la grande Christine, reprenne ses devoirs d'écritures, même si nos échanges sont des plus agréables !

    Amicalement, Dominique

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  30. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, pensées de Christine, dialogue et nouvelle surprise pour Diane :

    S'étant repositionnée, ainsi que Diane, bien en équilibre sur ses genoux, Maman se fît ironique et mortifiante pour soeurette, ce qui me rappela bien des souvenirs étant passée par là !

    Maman : « Oh, mais ma petite fille ! Tes fesses sont juste un peu plus roses ! T'en fais pas, Maman chérie, va arranger tout cela et leurs donner la coloration qu'il convient, aux petites pestes de ton acabit ! »

    Avant même que Diane, ne proteste ou supplie, notre chère mère joignît le geste à la parole de façon assez sévère, en assénant une demi-douzaine de claques énormes réparties sur chaque fesses, coupant littéralement le souffle à notre sœur, qui hoquetait entre deux cris ! Sans parler des larmes qu'elle versait, sous l'effet de la douleur ! Chaque claque était légèrement espacée, pas comme pour une dégelée vive et forte ou sa tombait en pluie d'orage ! Non, là ! Je sentais une application maternelle peu commune, dont-il m'était arrivée parfois d'en faire les frais, pour des fautes graves ou un cumul de motifs ! Je compris aussitôt (ainsi qu'Aline et Diane au premier chef) que le ton était donné et qu'elle allait se ramasser une tannée des grands jours !
    Maman arrêta son bras et repris la parole, toujours de façon ironique et infantile ! Alors que Diane, essayait de reprendre son souffle, sa lune affichant une coloration plus prononcée ! J'avoue que, Maman, n'y avait pas été de main morte ! La marque de celle-ci était comme un relevé d'empreintes sur chaque fesses

    Maman : « Alors, ma petite Diane ! Tes petites fesses de fillette reprennent de la couleur, c'est bien!Et soit tranquille, lorsque j'en aurais fini avec elles, leurs colorations sera parfaite et à mon avis, tu pourras te passer de ta couette, pour dormir ! »

    Maman repris alors la volée, avec des claques toujours aussi fortes, mais sur un rythme plus soutenu ! Pour Diane, c'était le début de la tannée proprement dite ! Notre chère mère lui servant de longues claquées, entrecoupées de pauses ! Notre soeurette haletait et suppliait, en pleurant comme une fontaine ! Je ne comptais pas le nombre de séries maternelles distribuées, mais cela durait, le bras de Maman semblait infatigable ! Et si Diane, avait beaucoup gigoté sous les premières séries en criant, au fur et à mesure de l'avancer de la tannée, celle-ci devînt comme inerte, exprimant seulement une longue plainte ininterrompue et quelques cris, lorsque que la main atterrissait sur le haut des cuisses ! Car Maman en parcourait, toute la surface, pas le moindre centimètre carré n'était épargné et rougi de belle façon !
    Ce qui m'interpella, c'est la différence entre la lune de soeurette (qui était assez menu et plutôt en muscle, celle-ci faisant du sport) et la mienne, plus en rondeur ! Ce qui n'empêchait nullement notre mère de servir, de fortes claques sur ce fessier qui rougissait plus vite !
    Maman fît une dernière pause et repris la parole, nous incluant dans son sermon, Aline et moi, ce qui n'était pas facile à entendre, d'autant qu'elle rappela l'événement matinal me concernant !

    Maman : « J'espère, ma petite fille, que cette fois tu auras bien compris, comme tes sœurs qu'il y a des règles à respecter, je l'ai rappelé ce matin à ta grande sœur et tu l'as d'ailleurs vu, puisque tu as joué les espionnes, en racontant des bobards à ta Tante ! Ne te rapportant au final qu'une bonne volée, devant tout le monde ce midi ! Tant qu'à défier votre mère, c'est aussi dangereux pour vos fesses et je le prouve ce soir, avec toi ! Ainsi qu'à tes sœurs, spectatrices ! ». A suivre.............


    Amicalement, Dominique

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  31. Pas d'inquiétude, Dominique, j'ai repris mes travaux d'écriture ! Validation imminente d'ailleurs de l'épisode suivant.
    En attendant, Diane est sacrément bien servie, et sa lune que vous imaginez, ce qui n'était pas faux, plus en muscle que la mienne, aura été somptueusement tannée en cette journée historique, si j'ose dire. Au moins, si l'on en reste là, cette double déconvenue devant un large public d'abord, puis devant la famille restreinte ensuite, aura-t-elle l'avantage pour Christine 23 d'être l'événement le plus récent, ce qui dans les habitudes maternelles veut dire que c'est à cette double fessée que l'on fera plus référence dans les discussions ou pour d'éventuelles menaces dans les jours et semaines qui suivront...

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  32. Chère Christine,

    Joli cadeau de pré-St Valentin (en toute honneur), que d'avoir livré l'opus 81 donc j'ai fait un survol de lecture hier soir et relu ce matin !

    En effet, Diane, aura été copieusement soigné, en ce samedi riche en intervention maternelle et permettant ainsi à Christine 23 de ne plus être la dernière punie de la maisonnée, à laquelle on fait référence ! Ce qui pour elle, n'est pas négligeable ! Dans la mesure ou à une certaine époque, c'était plutôt les déboires de Christinette qui alimentaient les conversations, au sein du clan Spaak !

    Tant qu'à en rester là, sur le synopsis ! Je n'ai pas encore décidé, car je me prend au jeu et j'ai comme l'impression que celui-ci est à l'image de votre chronique du redoublement, en moins étoffé bien sur, puisque je n'intègre pas d'illustrations ! Mais la conception sous forme d'épisodes successifs me semble similaire et sans volonté de plagiat, du fait que j'y mêle mon propre vécu et vos souvenirs, pour romancer celui-ci ! La grande Christine sera t-elle du même avis ! Je l'espère et le souhaite ?

    Mon seul regret, est que pris par le synopsis et nos échanges ! Je n'ai pas poursuivit mon analyse sur l'épisode 80 et comme je sais que vous n'appréciez pas les retours en arrière, je ferais en sorte de reprendre quelques points de ce dernier, dans mes commentaires sur le 81.

    Amicalement, Dominique

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  33. Mais, faites donc. Analysez comme vous l'entendez. Même en revenant sur l'épisode précédent, même en regroupant, l'essentiel étant de ne pas être privée de votre regard sur ma prose. Ce serait dommage...
    Et puis, comme les épisodes sont assez liés et couvrent des petites périodes de temps consécutives, cela ne gêne pas de décaler parfois les remarques ou analyses que vous en faites. Je compte donc sur vous... Moi, aussi, hi, hi, je mérite bien un cadeau... non ?
    Comme vous le rappelez, les déboires de Christinette alimentaient bien des conversations, du temps de ses années les plus agitées... Et les menaces ou avertissements maternels s'illustraient souvent d'allusions aux événements les plus récents, qui se trouvaient, de fait, être plus souvent ceux qui m'étaient arrivés que ceux moins fréquents, ou moins marquants, de mes soeurs.
    Dans le synopsis, la double mésaventure de Diane, qui plus est avec un public élargi pour la première, ne devrait pas manquer de servir de référence pour la suite, s'il y en a une (mais, sur ce point, vous avez mon autorisation, n'ayant pas été déçue jusque là, et du fait que vous avez trouvé votre rythme et votre style).
    Toutefois, j'imagine quand même que le fait que Christine 23 ait fait un retour inattendu, mais logique dans l'état d'esprit maternel, sur les genoux de Maman, sera forcément l'objet d'allusions imagées et bien gênante pour l'ainée et grande adulte que je suis devenue...
    Je pense aussi qu'Aline qui n'a pas vu la scène, mais sait que Diane l'a observée en détail, voudra assez vite, dès qu'elles seront seules, que sa petite soeur lui fasse un compte-rendu complet cette fois de ce qu'elle a pu observer en douce...

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  34. Chère Christine,

    Très bien, chère amie, je vous ferais donc ce cadeau (avec un peu de décalage) que vous méritez ! Tout comme d'autres que Maman vous offraient sans compter ! Mais donc Christinette ce serait volontiers passé, sa jolie lune étant transformée à ce moment là, en brasier incandescent ! Ceci en plus de la douleur ressentie par celle-ci, lorsque que la main maternelle se montrait très généreuse envers cette toile de fond, tout à fait adéquate pour que le maestro (Maman) puisse y composer l'une de ses grandes œuvres ! Je sais, c'est pas très gentil de ma part d'ironiser sur vos malheurs fessiers, mais que voulez vous, les récits de votre blog m'y incite et je pense que vous n'en tiendrez pas rigueur à votre commentateur assidu et assez seul, non ? Qu'en pensez vous ?

    Sinon, il est vrai que les allusions maternelles concernaient plutôt Christinette, que les deux petites sœurs, même si celles-ci n'étaient pas à l'abri de quelques fessées ! Mais notre chère collégienne avait le don de fournir, bons nombres de motifs à sa chère Maman, entraînant du coup de sérieux désagréments pour ses fesses ! Et ce n'est pas la conteuse, qui me démentira sur ce point !

    Au niveau du synopsis, ce retour imprévu de Christine 23 sur les genoux maternels, logique pour Maman et quelque part aussi pour Christine, ne pourra être que sujet à des allusions et notamment avec son amie Caroline, Tata ou Mme Lebrun ! Mais ce sera pour plus tard !

    Bon allez ! Je vais faire un premier commentaire sur le 81, qui vous fera plaisir, j'en suis sur !

    Amicalement, Dominique

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  35. Pfff, si le cadeau c'est encore des allusions de la famille, des amies et du voisinage sur les déboires de Christine 23, je veux bien m'en passer... Je me doute bien qu'un tel événement comme le retour de l'ainée des Spaak sur les genoux maternels a de quoi alimenter les conversations et autres discussions et remontées de souvenirs...
    Pfff, pffff, cela ne m'intéresse pas du tout, pfff...
    Moi, j'imaginais juste que la seule qui a été témoin de la scène de la déculottée de Christine 23, sera bien contente de raconter en détail ce qu'elle a vu, surtout pour faire changer de conversation et oublier sa propre double déconvenue...
    Et, je suis certaine qu'une Aline sera intéressée par le récit de Diane, scène qui leur rappellera le nombre de fois où elles étaient témoins auditifs des malheurs de Christine, depuis leur chambre, ou même pouvaient assister à tout ou partie du spectacle, autant de scènes qui furent leur sujet de conversations secrètes dans l'obscurité de la chambre, avec des mots moqueurs et le maximum de détails qu'elles pouvaient partager...

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  36. Chère Christine,

    Alors ça, c'est le bouquet ! Christine réclame un cadeau et lorsque je lui en dévoile le contenu, au sujet de Christine 23, cela ne l'intéresse plus ? Faudrait savoir, ce que veux la dame !

    Sinon en ce qui concerne, le récit de Diane envers Aline sur ce qu'elle a pu observer de la déconvenue, de la grande sœur ! Je vous en laisse la primeur, comme vous l'avez déjà fait lors de notre jeu à quatre mains et vous donnera l'occasion de le rééditer, avec un morceaux du synopsis, ouvrant une possibilité à la benjamine, d'apaiser un peu son double sort et faire comprendre à Aline que l'aînée, malgré ses 23 ans, en a eu pour son grade !
    Car vous êtes bien mieux placée que moi, pour imaginer ce dialogue entre les soeurettes et qui sans aucun doute, ne laissera pas Aline indifférente, même si elle n'est pas à l'abri des foudres maternelles, la preuve en étant son partiel raté !

    Amicalement, Dominique

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  37. Bah, comme cadeau, j'espérais mieux que ces moqueries à propos de mes déboires personnels... Snif, snif... J'aurais préféré, comme promis, des commentaires sur le 80 et le 81, que Dominique disait aller écrire...
    En plus, voilà Christine 23 condamnée à imaginer le dialogue entre ses soeurettes à propos de l'épisode matinal aussi claquant que déstabilisant pour ma petite personne et ma pudeur...
    Et comme je devine que si je ne le fais pas, le vilain cafteur est capable d'aller en informer Maman Spaak, je vais donc devoir faire ce "devoir" supplémentaire... Il est vrai que je suis assez bien placée pour l'imaginer, moi qui tendait l'oreille et guettait tout ce que mes frangines pouvaient se dire en douce, et surtout bien sûr quand il s'agissait de moi... que ce soit en bien ou en mal, et c'est sûr que ce qui concernait ce qui m'arrivait "parfois" (pour ne pas dire plus souvent qu'à mon tour) les passionnait...
    Il m'arrivait même en guettant leurs conversations d'apprendre telle réflexion que Maman avait faite, qui n'était pas de bon augure pour moi, et surtout pour une certaine partie de mon anatomie que Dominique devinera aisément...
    J'ai même un souvenir d'une conversation où Aline et Diane n'étaient pas d'accord sur l'attitude que Maman aurait à mon encontre, Diane étant persuadée que j'allais recevoir une fessée, et Aline pensant que Maman se contenterait d'un avertissement, et mes soeurs avaient parié, sans enjeu certes, mais parié quand même sur ce qui m'arriverait...

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  38. Chère Christine,

    Ne vous inquiétez pas, chère amie, les commentaires vous les aurez ! Mais comme vous le dites souvent, lorsque je vous taquine sur la livraison de vos récits, je ne suis pas une machine à produire, même si j'en entretiens et les réparent, si besoin est !

    Et, je vous confirme en effet que le vilain cafteur (qualificatifs pas très gentils, mais assez vrais), à l'image de la petite Diane, serait tout à fait capable de glisser, à Maman Spaak, tout en douceur et se posant en victime, que Christine a oublié comme à son habitude, de tenir l'une de ses promesses, envers lui ! Hi, hi..... !

    Sinon, j'avoue que ce souvenir de conversation, entre Aline et Diane, aux pensées diamétralement opposées sur le sort de la grande sœur, pourrait faire un épisode très concret sur le back ground Spaakien, sans forcément de conclusion cuisante pour elle ! Mais des angoisses et de la honte, en entendant les frangines deviser en rigolant, de son avenir proche ! Intéressant, je dois dire et que vous seriez parfaitement le mettre en forme ! Cela ne fera qu'un de plus, pour la conteuse !

    Amicalement, Dominique

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  39. Encore un devoir supplémentaire ! Mais, je n'y arriverai jamais, snif, snif... Je vais bientôt comparer Dominique à Mlle Paule qui agissait ainsi... Et si ce n'était pas fait, c'est Maman Spaak qui était prévenue... Avec les conséquences que l'on devine...
    Bon, j'essaierai de satisfaire cette demande, mais j'ai plusieurs autres fers au feu, comme on disait. Notamment la suite du 81, et le dialogue des deux soeurs à propos de l'espionnage de Christine 23 par Diane. Et j'en oublie sûrement dans les épisodes non encore écrits que Dominique me suggère de mettre noir sur blanc.

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  40. Chère Christine,

    Mais si, mais si, ma petite Christine ! Vous en êtes tout à fait capable et pour corroborer votre comparaison avec Mlle Paule, je pense comme elle, que la jeune Christinette avait toutes les capacités pour bien faire à la condition de mettre, celles-ci au service de son travail et non au chahut ou bavardages répétés, amenant Maman à agir de façon très concrète sur une partie de l'anatomie de son aînée ! Vous voyez, j'ai même deviné les conséquences !

    D'autant qu'il y en a une qui est programmée et qu'après deux mois d'abstinence, la demoiselle va de nouveau pouvoir se rendre compte que la main maternelle, est toujours aussi efficace et que celle-ci, fait beaucoup pleurer et crier sans retenue, à un moment donné, la douleur étant trop forte ! Ceci, malgré la présence des frangines, dans la chambre d'à coté et bien à l'écoute, de ce que la grande sœur se ramasse, de la part de Maman !

    Alors, je ne veux en aucun cas surcharger, Christine, de travaux supplémentaires qui pourront être effectués plus tard, en effet ! La priorité étant bien sur, la suite de l'épisode 81, dont j'imagine qu'il sera chaud, bouillant, comme on dit !

    Amicalement, Dominique

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  41. Chère Christine,

    Petit ajout à mon précédent commentaire sur les épisodes non écrits et je citerais pour mémoire ! La porte claquée, après une tannée en règle ou le retour de la plage, en seule compagnie de Maman, laissant les petiotes sous la surveillance de Tata, pour une mise au point envers son aînée, un peu trop capricieuse et sans oublier ces dialogues entre les frangines !

    Mais, en effet dans l'immédiat, il est préférable de s'attacher à la suite du 81, pour lequel j'élabore un commentaire, ainsi qu'une suite du synopsis qui sera livrée avant !

    Amicalement, Dominique

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  42. Bon, d'accord, je note tout ce qu'il faudra que j'écrive un jour... Mais, étant parfois du genre étourdie, je compte sur Dominique pour me rappeler la liste de temps à autre, en évitant d'en informer Maman Spaak, s'il vous plait....
    J'espère aussi les commentaire promis sur les 80 et 81... Car, comme il m'arrive aussi (parfois) de tenir mes promesses, je vais livrer sur le champ le 82, et serais heureuse de partager les réflexions, remarques et analyses sur ces différents épisodes récents...

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