dimanche 4 janvier 2015

Chronique d'un redoublement : 79. Enfin un bon carnet, puis la perspective d'un second, mais hélas...

SUITE 78 

Le fait de ramener une de mes meilleures notes de l'année, juste lors d'une semaine qui avait commencé pour moi par une fessée magistrale, et dont mes soeurs, qui plus est, avaient été témoins, ne serait-ce qu'un instant, avait conforté Maman dans l'idée que son intervention avait été efficace, et que, décidément, c'était bien la meilleure méthode pour que je ne retombe pas dans mes travers préférés.

Tata eut même droit, le lendemain, à un condensé explicite de la pensée maternelle, Maman répondant à sa question de savoir si tout allait bien en ces termes : "Oui, je n'ai pas à me plaindre ces jours-ci. Même Christine m'a rapporté deux très bonnes notes. Il faut dire qu'elle avait commencé la semaine par une fessée déculottée, et que cela a dû la calmer pour un moment..."
Entendant cela, j'avais protesté d'un timide : "Maman...", qui accompagnait un léger grognement de désappointement de voir le sujet revenir sur le tapis.
Mais, au lieu de se taire, Maman avait enfoncé le clou : "Voyons, Christine, Tata a bien le droit de savoir comment se comporte sa nièce préférée... Et ce que je dis est bien vrai, non ? Ce n'est pas de ma faute, si tu as besoin d'une bonne fessée de temps à autre... A toi de faire en sorte de ne pas en mériter..."


Maman n'avait pu s'empêcher d'expliquer à Tata 
que mes bonnes notes avaient été précédées
d'une fessée déculottée, et j'avais détourné le regard,
rougissant en me sentant honteuse...


Nous avions aussi rencontré quelques jours plus tard, dans la rue du Collège, la prof de maths, qui venait à nouveau de rendre une interro où j'avais décroché un joli 16 sur 20. Pour une fois, j'abordais cette rencontre de façon détendue, moins stressée que dans bien d'autres rencontres entre Maman et mes profs...
La prof fut d'ailleurs très positive, estimant que je travaillais bien, et que je retrouvais la place qui aurait dû toujours être la mienne, parmi les bons élèves.
La seule chose, le seul bémol, de cet avis fut que la prof ajouta : "Votre fille est intelligente et vive. Elle a juste parfois le défaut de ses qualités, vive à comprendre, vive aussi parfois à bavarder ou à vouloir faire rire les autres, mais moins ce trimestre, semble-t-il".
Maman acquiesça, globalement satisfaite, mais ne put s'empêcher de répondre : "Oui, je sais bien. Christine n'écoute pas toujours, et j'enrage quand elle gâche un peu ses chances. Hélas, il faudrait toujours être derrière elle. Mais, si ce trimestre est bien parti, c'est ce qu'il faut, et je lui répète assez combien c'est important. J'ai d'ailleurs fait ce qu'il fallait pour qu'elle comprenne, vous savez..." Et elle accompagna ces mot d'un geste de la main assez facile à décrypter...
La prof eut un petit sourire ironique, et commenta : "En tout cas, l'essentiel est que cela fasse de l'effet, et j'espère que Christine vous ramènera encore de nombreuses bonnes notes."
Maman conclut : "Oui, je crois qu'elle l'a compris. Mais, vous pouvez compter sur moi pour surveiller ça de près. Et n'hésitez pas à me prévenir si vous constatez un relâchement. Je préfère réagir vite que d'avoir de mauvaises surprises."  
Inutile de dire que je n'étais pas fière, même si Maman n'avait pas employé le mot fessée... J'étais certaine que la prof avait bien compris...


En discutant avec la prof de maths, rencontrée dans la rue,
Maman lui avait bien expliqué qu'elle était très attentive
à mon travail et n'hésitait pas à réagir
dès que nécessaire, comme très récemment...
Maman n'avait pas dit explicitement comment... 
mais le petit geste esquissé de la main, paume ouverte,
voulait tout dire... 
Je me serais volontiers caché dans un trou de souris en entendant ça... 


Heureusement pour moi, ce dernier trimestre s'était entamé sur de bons résultats, et cela avait tendance à durer. Il faut se rappeler que l'année précédente, c'est à ce moment-là que Maman avait repris les choses en main, comprenant que j'allais vers un redoublement. Si cela s'était quand même soldé par un échec, c'était pour bonne part pour des questions de discipline, mais cette partie du programme annuel était bien celle que j'avais le plus assimilée, notamment en raison d'interventions maternelles fréquentes, dont chacun devinera la teneur...

En conséquence, et ne doutant pas un instant que les menaces maternelles étaient plus que sérieuses, je passai plusieurs semaines à travailler régulièrement, et à bénéficier de mes acquis de la première Cinquième, pour accumuler une série de résultats allant d'encourageants à bons, voire certains très bons.

Maman n'en continuait pas moins à être très attentive, à tout vérifier, à rappeler qu'elle ne tolérerait aucun faux pas. Et cela semblait lui réussir, puisque mes soeurs aussi avaient plutôt des résultats satisfaisants, Diane en premier bien sûr, mais aussi Aline qui s'en sortit avec une seule fessée durant les cinq premières semaines.

Pour une des premières fois depuis longtemps, j'avais ramené mon carnet de notes mensuel sans stress, récoltant presque des félicitations, où je sentais bien quand même que Maman considérait que sa méthode n'y était pas pour rien...


J'étais sortie du collège comme sur un petit nuage,
tellement heureuse de ramener un carnet de notes, 
sans la moindre véritable fausse note...
Maman pensait que c'était pour bonne part 
le fruit de ses méthodes, mais qu'importe,
 puisque l'accalmie durait et durait...


Qu'importe, puisque je m'en sortais sans anicroche, et j'entamai le deuxième mois, l'avant-dernier de cette année scolaire, très confiante.Oui, j'étais sur mon petit nuage, appréciant chaque jour supplémentaire sans fessée comme une victoire quotidienne ! Avec, toutefois, mais on ne se refait pas, comme une sorte d'excès de confiance, dans la mesure, où je me sentais tellement bien partie sur de bons rails, que je m'imaginais finir l'année scolaire en beauté, et commençais à croire ne plus rien risquer...

Or, Maman veillait toujours au grain, et connaissait sa fille parfaitement, sachant parfois, lorsque je me montrais un peu trop sûre de moi, me rappeler à l'ordre dans le genre : "Attention Christine, tes quelques bons résultats ne te mettent pas à l'abri de tout problème... Ce n'est pas parce que tu y as échappé depuis longtemps que je ne pourrais pas m'occuper bientôt de tes fesses..."

Et c'est vrai que j'avais tendance à me faire redire deux fois les choses avant d'obéir, à devenir un peu plus moqueuse, à mon tour, vis à vis de mes soeurs, ou à grogner pour des futilités, qui faisaient entrer Maman dans un discours que je connaissais bien, et qui se caractérisait par des "Oh, toi si tu continues..." ou bien, "Christine, on dirait que tu cherches les ennuis". Des situations que je pourrais apparenter à celle du vase qui se remplit de petits motifs, mais qui pourrait bien déborder un jour prochain, sans que ce soit pour un motif grave...

Mais, tant que j'avais de bons résultats, je demeurais plutôt dans l'insouciance, alors que, du côté maternel, je crois que l'impression que j'y avais échappé "depuis longtemps" prenait un sens de plus en plus concret...

Cinq semaines, c'était déjà "longtemps", mais quinze jours de plus, et donc sept semaines, pour moi, c'était un vrai bonheur, alors que pour Maman, c'était beaucoup, et cela lui faisait se demander si je n'avais pas réussi à lui cacher quelques bêtises, ou à la berner par quelques mensonges, tant ce répit devenait presque suspect à ses yeux.


Je sentais bien que pour Maman, ces sept semaines sans incident,
paraissaient presque suspectes, 
tant elle se demandait si je ne lui cachais pas des choses...
Et, elle accompagnait les quelques remarques qu'elle avait à me faire
par des menaces non voilées... me rappelant
qu'elle pourrait bientôt s'occuper à nouveau de mes fesses...

Moi, j'y croyais toujours, d'autant que les notes de ce deuxième mois continuaient à être au dessus de la moyenne, sans être toutes brillantes, mais suffisamment pour m'éviter de nouveaux désagréments...

Il y eut pourtant une alerte, avec un 8,5 sur 20 en rédaction, une de mes matières fortes, note accompagnée d'un "Le sujet aurait pu être mieux travaillé". Une de ces annotations comme le célèbre "Peut mieux faire" qui avait le don pour énerver Maman...

Cela restait une note présentable, qu'à certains moments où cela allait mal on aurait presque trouvé encourageante, mais dans un dernier trimestre où le deuxième mois allait se terminer sans anicroche, ce 8,5 sonnait comme un avertissement, heureusement sans frais : "J'espère, Christine, que ce n'est pas le début d'un relâchement. Je veux bien considérer que c'est juste un faux pas, mais l'appréciation de ta prof semble dire que tu n'as pas assez travaillé... Et, avec toi je me méfie, je sais que les bonnes périodes ont toujours une fin... Ce n'est vraiment pas le moment de ne plus faire d'efforts... Je veux bien passer pour cette fois, mais ne t'avise pas de faire des tiennes à nouveau, sinon tu sais ce qui t'attend..."

La menace, main levée, paume ouverte de Maman n'avait pas besoin d'être plus explicite... Je savais qu'elle s'adressait à mon bas du dos...


Ce 8,5 sur 20, première note en dessous de la moyenne ramenée
depuis près de deux mois, avait alerté la vigilance maternelle, 
le commentaire de la prof disant que j'aurais pu "mieux faire",
était du genre à énerver Maman, craignant un nouveau relâchement...
J'en avais été quitte pour un sermon maison, avec un avertissement plus que clair...
La prochaine fois, il n'y aurait pas de clémence...
Je n'aurais qu'à préparer mes fesses...


Mais, en Christine confiante que j'étais, je savais qu'il n'y avait plus qu'une semaine avant le carnet de notes du deuxième mois de ce dernier trimestre, et qu'il serait bon, hormis ce léger faux pas du 8,5. 

Cela me rendait même quasiment euphorique, en retournant au collège, le lundi de cette dernière semaine de mai. Euphorique et confiante, tellement que j'ai su répondre sans faute quand la prof d'anglais m'a envoyée au tableau pour faire un exercice de conjugaison. Revenue à ma place, j'étais ravie, comme si j'avais joué un mauvais tour à Mlle Paule, dont je sentais parfois qu'elle m'interrogeait exprès quand elle me sentait peu sûre de moi.

Les trois filles suivantes passant au tableau furent moins bien notées que moi, et j'en riais sous cape, et même plus ou moins ouvertement, en me permettant de chuchoter des commentaires à l'oreille de ma voisine... Ce que la prof repéra, une première fois, me faisant une remarque. Mais, comme je récidivai cinq minutes avant la fin du cours, je l'entendis lancer : "Ca suffit, Mlle Spaak. Puisque vous avez tant envie de rire et de bavarder, vous viendrez le faire pendant deux heures de colle !" Je restai bouche bée, j'avais l'impression que le ciel venait de me tomber sur la tête... Et il ne me fallut pas deux secondes pour imaginer ce que cela signifiait pour moi... Après quasiment deux mois de clémence maternelle, je n'avais pas l'ombre d'un doute sur ce que serait la réaction de Maman... 
   
A SUIVRE

36 commentaires:

  1. Un nouvel épisode en forme de cadeau pour la nouvelle année. En espérant que les douze mois à venir seront fructueux et riches en textes et en commentaires.
    Il ne faudrait pas que Maman Spaak ait vent de griefs contre son ainée...
    Après la trêve des confiseurs, comme l'on dit, c'est le retour aux choses sérieuses, dirait-elle. Je ne voudrais surtout pas que, pour moi, l'on trouve une autre rime plus riche que le traditionnel "bonne année, bonne santé" !
    Sûr que certains devineront vite que bonne année rimerait plus encore avec un mot terminé, non pas par "é", mais pas "ée". Et s'il est besoin d'un indice, peut-être même que le mot commence par un "f" !

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  2. 79 / 1
    Chère Christine,

    Je viens de lire l'épisode 79 de transition, que je trouve très intéressant en ce sens qu'il regroupe l'ensemble les éléments Spaakien, qui la richesse de vos compositions ! Pèle-mêle ! Une Christine studieuse et appliquée, qui conforte la déontologie maternelle ! Maman Spaak qui reste vigilante et prête à endiguer tous dérapages de ses filles, tant sur le plan scolaire que sur le quotidien ! Une collégienne portée par ses bons résultats, se laissant entraîner à nouveau vers ses travers de confiance et d'insouciance sur les principes de la vie (obéissance) du fait de l'accalmie fessière qui dure à son encontre ! Ressenti différent entre mère et fille, sur longueur de celle-ci ! Prévention maternelle et menaces très claires ! Première alerte à la suite d'une note pas terrible en français (pourtant matière forte de Christine) et Bad News délivrée par la bête noire de Christine, celle-ci comprenant sur l'instant ou cela va la conduire et effacer ces sept semaines de repos, fort agréable !

    Sinon je vous remercie pour vos vœux et vous retourne les miens, avec une pensée pas très sympa, en vous souhaitant, une bonne et heureuse année, qui je n'en doute pas sera également riche en « Bonnes f...ées », mot de sept lettres que Maman Spaak maîtrise à la perfection, au creux de sa main pour ses ouailles et notamment l'aînée, qui en a fait les frais, plus d'une fois !

    En dehors de cela, j'avais préparé des commentaires pour l'épisode 78, sans les transmettre et vous enverrai également la conclusion de l'analyse de celui-ci ! Même si je sais que vous n'aimez pas trop les retours en arrière, je pense qu'avec le petit Minot cela sera accepté de la conteuse !

    P.S : « J'ai comme le sentiment que la Bad News made in England, va apporter un réchauffement climatique tangible, à une partie de l'anatomie Christinienne ! Mais peut-être que je vais trop vite en besogne et que Maman Spaak, dans un excès de clémence, ne fera que réprimer sa fille comme pour le 8,5 en français ! Bon très sincèrement, j'en doute, car il s'agit de discipline et aux yeux de Maman cela est impardonnable ! Désolé pour cette vision néfaste de votre avenir proche, Chère Christine, mais les faits et vos souvenirs parlent d'eux-mêmes ! »

    Sur ce, à bientôt !

    Amicalement, Dominique

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  3. Si je comprends bien Dominique, les voeux qu'ils forment à l'égard de Christine sont certes colorés, sonores et chaleureux (!), mais je ne suis pas sûre qu'ils me plaisent... Je voudrais plutôt croire à la poursuite de la clémence maternelle, et que cela dure et dure jusqu'à ce que je ne sache même plus deviner le mot de sept lettres auquel il fait allusion...
    Cela dit, je ne peux, hélas, que confirmer que son pressentiment est proche de la réalité, sachant bien, de mon côté, pour en garder un souvenir "marquant" combien l'expression "Bad news" est très juste... Du moins pour une certaine Christinette...

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  4. Chère Christine,

    Vous avez fort bien compris, chère Christine, que mes vœux ont une couleur unique prononcée, en rapport avec l'habit du Père Noël, forte en sonorités (ding, deng, dong) et aussi chaudes, qu'un foyer de cheminée ! Qu'ils vous en déplaisent, j'en suis conscient et en suis désolé ! Mais la continuité d'une trêve maternelle à rallonge me semble bien illusoire avec cette Bad News et le motif qui y sera associé, rappel à l'ordre et sanction !
    La demoiselle pouvant alors bien déchiffrer ce mot de six ou sept lettres (surtout la concernant) et qui a toutes les chances de réapparaître dans l'univers Christinien, d'ici peux, n'est ce pas jeune fille ? Et bien sur préparer ses fesses, pour Maman qui saura les gratifier, comme il se doit ! Je ne pense pas trop me tromper sur l'avenir proche de Christinette !

    Comme vous le constater, je laisse un certain espoir à la demoiselle, spécialiste du gain de temps, lui permettant de gagner quelques heures ou quelques jours, en attendant l'avis de colle postal ou dans un effort de franchise imaginable, Christinette, livre cet écueil ! Avec à la clé une exécution maternelle magistrale qui sera inéluctable et méritée ! Même si ça fait mal et qu'on pleure comme une fontaine en recevant ces claques qui rougissent le fessier et sont douloureuses, je le confirme pour l'avoir vécu ! Ce qui je le conçois, n'est pas une aide pour Christinette sachant que l'attends une déculottée grand format de Maman, à l'inverse des petiotes servies en dose édulcorée ! Mise à part Aline, qui de temps à autre, à le droit à un traitement presque Christinien ! Tels les épisodes 25 (Inquiétudes autour du premier bulletin – 11/02/2012) ou 49 'Quand la fessée d'Aline ressemble à une répétition – 27/10/2012).

    Donc Christinette a de quoi, se faire du mouron pour ses fesses, car je ne crois pas un seul instant que Maman hésite à baisser encore la culotte de sa grande fille et lui donner une bonne fessée pour cette nouvelle colle ! Seul le moment reste à définir, selon les considérations de Christine ! Ce soir ou dans deux/trois jours ! J'avoue que je penche plus pour la deuxième solution, qui voudra alors à la demoiselle, une nouvelle tannée exemplaire. Et ne me dites pas non, votre blog regorgeant d'exemples en la matière.


    Amicalement, Dominique

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  5. Encore deux références bien trouvées. Notamment avec l'épisode 49 où je prends déjà deux heures de colle pour bavardage, avec presque les mêmes termes de la part cette fois de la prof de maths, et non de ma bête noire de prof d'anglais.
    Sans dévoiler la suite de cet épisode 79, la situation est aussi perturbante pour moi, tant il est évident que l'annonce de cette colle me plonge dans un quasi-désespoir, ou en tout cas, dans une situation où je n'ai quasiment aucune chance d'échapper à ce que je redoute...
    Il est vrai que, dans l'épisode 49, le fait qu'Aline se prenne une volée majuscule le soir même ravive mes craintes et me fait imaginer que je serai bientôt à sa place...
    Quant à savoir, pour revenir à mon récit actuel, quand se déroulera la suite, j'ai presque l'impression que Dominique lit à l'avance dans mes souvenirs. Mais, il est vrai que l'un de mes plus fréquents travers a toujours été de préférer gagner du temps plutôt que de jouer la franchise qui aurait permis d'être "débarrassée" plus vite de l'angoisse...

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  6. Chère Christine,

    C'est sur que Mlle Paule a été la plus grosse pourvoyeuse de déconvenue, pour Christinette ! Je pense qu'il existait une espèce de lutte interne et masquée, entre les deux ! L'une trop insouciante vis à vis de l'autre, qui soutenue par Maman ne se privait pas de faire tomber le couperet, sur la première signifiant pour elle, un retour sur le giron maternel sans grâce possible ! Mlle Paule disposant d'un arsenal redoutable, colle, mot dans le carnet de correspondance épluché chaque soir par Maman, rencontre ou appel téléphonique direct à celle-ci !

    Ce qui pour Christinette était l'assurance, d'une plongée aux travers des cuisses maternelles, pour une copieuse et cuisante déculottée, sans rémission ! Cela m'amène à penser (mais je me trompe peut-être) que Mlle Paule avait une connaissance précise sur les méthodes de Maman Spaak, à l'égard de sa fille, l'ayant certainement appris à l'occasion d'un rendez-vous ! Je n'irais jusqu'à dire qu'il y avait du machiavélisme de sa part, mais je m'interroge.

    Bien sur ! Christine, sera sans doute d'un avis différent, mais pour l'avoir vécu ainsi que mes sœurs ou mes cousines, nos mères ne cachaient pas leurs croyances en les vertus d'une bonne déculottée, vis à vis des maîtresses, des profs ou d'autres ! Et j'avoue avec le recul, que cela nous faisaient réfléchir de temps à autre, certaines personnes n'hésitant pas à utiliser cet argument, en guise d'avertissement pour nous remettre aux pas ! A ce sujet, je vais poursuivre la rédaction de la fessée du petit Minot, devant une dame et sa fille, souvenir qui m'est resté gravé en mémoire, peut-être plus à cause de la honte, que par la tannée en elle-même qui fût pourtant tangible, je puis vous l'assurer !

    Amicalement, Dominique

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  7. Chère Christine,

    Petit ajout à mon message précédent ! Je ne sais pas si je lis à l'avance dans vos souvenirs, mais vos textes regorgent de situations d'attentisme, de la part de Christinette, lui valant au final des tannées plus que mémorables ! Alors je me dit que la demoiselle, championne incontestée du gain de temps, pour la tranquillité de ses fesses, va attendre que ce foutu bulletin de colle arrive par le biais de la poste ! En souhaitant même, qu'il n'arrive jamais à la grâce d'un quelconque événement ! Cela me faisant penser, à la carte postale d'une femme adressée à son amoureux, reçue 72 ans plus tard, par son petit fils !
    Donc la Christinette peut avoir cet espoir, assez mince, mais possible ! Car sincèrement, je ne crois pas à un aveu direct et franc, en rentrant ce soir à la maison, après sept semaines de quiétude fessière !
    Nous verrons bien, mais mon petit doigt me dit que je ne suis pas loin de la vérité ! Sauf si bien sur, Maman venait à croiser Mlle Paule entre deux distributions postales, ce qui serait un plus aggravant pour le cas Christinien ! Mme Spaak étant prise en défaut, par un tiers ! La tannée de Christine n'en serait que plus insupportable pour elle, comme lors de la rencontre avec Corinne et sa mère (épisode 67 : Une nouvelle rechute moins de deux semaines après – 24/11/2013), à laquelle s'ajoute le dîner en chemise de nuit, alors que les petites sont encore habillées ! Terrible vexation pour Christine !

    Amicalement, Dominique

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  8. Je sais bien, Dominique, que vous ne lisez pas dans mes pensées et souvenirs à l'avance, mais il est évident, qu'avec le temps, vous devinez justement comment la Christine redoublante a dû réagir après ce nouveau coup du sort, pour lequel elle n'a qu'à s'en perdre à elle-même, car c'est bien elle qui riait et bavardait et non la prof d'anglais, quel que soit l'attention particulière que Mlle Paule portait à Christinette. Ce qui aurait dû l'inciter doublement à faire attention...
    Sans dévoiler la suite, je ne pense pas non plus que la judicieuse référence à l'épisode 67 soit répétée, avec Maman me prenant par la main pour monter me donner la fessée, puis me faisant redescendre, étant la seule en pyjama et encore larmoyante pour le diner... Des moments ô combien marquants en effet, tant sur mes fesses, que pour mon amour propre.
    De toute manière, au moment où Mlle Paule m'annonce la colle, je n'en suis pas à imaginer les détails, mais bel et bien à me demander quand et comment je vais devoir affronter la situation... et ses conséquences, sur lesquelles je n'ai aucun doute...
    Surtout que nous sommes là dans une situation plutôt rare, presque inédite, d'un tel délai sans me retrouver sur les genoux maternels...
    Et, on retrouve là deux éléments qui pourraient paraître contradictoires, mais que je vivais vraiment ainsi. D'un côté, chaque jour de plus sans fessée me faisait petit à petit me sentir à l'abri, croire que cela allait durer, et être moins attentive en ayant moins peur, d'où le relâchement fatal.
    Et puis, une fois la bêtise faite, la colle obtenue, la mauvaise note décrochée, ou le mensonge éventé, bref à partir du moment précis où je prenais conscience que, quoi que je fasse ou plaide ou supplie, je n'y échapperais pas, la peur, l'angoisse revenait au contraire plus forte que jamais.
    Les quelques périodes où j'ai récolté assez régulièrement deux à trois fessées par semaine, j'avais peur certes, mais pas au point de quand cela faisait "longtemps" (aux dires de Maman) que cela ne m'était pas arrivée...
    Là, après sept bonnes semaines de répit, certains pourraient se dire que ce n'est qu'un juste retour des choses, que ce n'est pas grave, que j'en ai vu bien d'autres, alors que, à l'inverse, pour moi, je me faisais de cette certitude de nouvelle déculottée imminente une peur bleue. D'où l'inévitable tentation de gagner du temps, comme l'inévitable difficulté de cacher son angoisse, sa nervosité, à une mère d'autant plus attentive qu'elle redoute qu'après la première note à nouveau sous la moyenne, il y ait un relâchement dont elle ne veut absolument pas...

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  9. Chère Christine,

    Bel aveu de culpabilité, de la redoublante qui reconnaît que c'est elle, qui s'agitait au lieu d'écouter la prof et après un premier rappel à l'ordre ! Ces deux heures de colle, ne sont donc pas tombées par hasard, comme ce qui va tomber sur les fesses, de la demoiselle, seule responsable de sa destinée et qui en effet aurait du être plus méfiante, avec cette sacrée Mlle Paule ! Christinette a donc bien cherché, ce qui va lui arriver avec Maman !

    Maintenant étant, en effet, de savoir comment va agir Christinette vis à vis de la reine mère ! Aveu ou attentisme ? J'avoue que je penche plus pour le deuxième ! Tant qu'à la situation ou Christine bénéficie d'une accalmie de sept semaines, celle-ci était en effet plutôt rare, mais pas inédite ! Pour référence l'épisode 70 du 01/03/2014 ou Christine retrouve les genoux de Maman, après une trêve de presque 60 jours lors du second trimestre (de mi-janvier, à la troisième semaine de mars), avec simplement quelques fausses alertes et ou Christinette, se faisait une joie d'avoir passé un jour de plus sans fessée !

    Donc à mon avis, la situation sera identique aux yeux de Maman, considérant qu'il y a bien trop longtemps qu'elle ne s'est pas occupée des fesses, de son aînée ! Alors que Christine, elle, souhaiterait que ce « bien longtemps » puisse durer encore ! Mais voilà, son relâchement chronique la fait replonger dans ses angoisses de l'avant fessée, qui sera inéluctable et lui file une peur bleue, bien compréhensible, Maman étant du genre à rattraper ce retard qu'elle juge négatif de sa part, sur le fessier de Christine !

    Alors, pour Christinette qui a bien conscience de tout cela, plus cette trouille qui l'envahie ! Celle-ci, à mon sens, jouera la carte du temps, avec les risques que cela comporte ! Réussir à bien jouer son rôle, de collégienne studieuse pour noyer le poisson et attendre l'avis de colle ou par malchance une rencontre fortuite de la prof, par Maman ! Dans tous les cas, le sort de Christine est scellé et non enviable, par quiconque ! Après la dose de la tannée sera proportionnelle aux déroulements des événements !

    Sinon, chère Christine, je vais vous adresser de nouvelles tranches du synopsis et également du Minot chez sa Tati très cool !

    Amicalement, Dominique

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  10. L'aveu de culpabilité est effectivement chose rare chez Christinette, j'en conviens. Mais, dans cette situation où j'avais pleinement conscience que près de deux mois sans fessée c'était un sursis inespéré, et que Maman était à l'aguet, qu'elle avait déjà nombre de petits griefs à mon encontre qui s'accumulaient et allaient bientôt faire "déborder le vase", comme on dit, il aurait fallu être deux fois plus vigilante, et surtout faire biien attention dans les situations à risque comme l'étaient les cours de Mlle Paule, très encline à distribuer des zéros et des heures de colle, voire de téléphoner à Maman...
    S'il n'y avait eu qu'un petite bêtise, qu'un petit manquement à faire passer, j'aurais pu être tentée de jouer franc jeu, de plaider ma cause dès le retour à la maison, du moins est-ce ce que j'imagine, et même là rien n'est moins sûr, car je sentais bien Maman dans cet état d'esprit consistant à se dire qu'au bout de deux mois, une bonne fessée serait un efficace rappel à l'ordre, presque pour que je n'oublie pas ce que cela fait...
    Mais, au lieu d'un motif mineur, ce que je venais de récolter, c'est à dire deux heures de colle, qui plus est en cours d'anglais, qui plus est pour du bavardage et de l'inattention en classe, cela n'avait rien de mineur, et à l'exception peut-être, et je n'en suis pas sûre (l'archiviste le dira le cas échéant) d'une seule fois, chaque fois que Christine avait été collée, cela avait rimé avec fessée, et plutôt dans le genre déculottée magistrale...
    Donc, au lendemain d'un jour où Maman m'avait clairement annoncé que la prochaine remarque se terminerait sur ses genoux, cela semble difficile d'imaginer que la reine du gain de temps va aller dès le retour du collège faire ce qui équivaudrait à venir présenter ses fesses...
    Sans aller jusqu'à décider que, quoi qu'il arrive, mieux vaudra attendre le courrier postal du collège, Christinette angoissée et ne doutant pas de ce qui l'attend, va sûrement au moins tenté de trouver le moment le plus propice pour qu'il y ait moins de témoins ou une mère de bonne humeur...
    En cela, l'intuition de Dominique est plus que vraisemblablement la bonne...

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  11. Chère Christine,

    C'est vrai qu'il s'agit la, d'un sursis inespéré pour Christine, avec une mère aux aguets surveillant et relevant le moindre écart de son aînée tant du quotidien, que scolaire ! Et une accumulation de ces petits motifs négatifs, trop régulière pouvant, en effet, faire exploser la soupape de la patience maternelle ! Il est donc aussi vrai que Christine, aurait du faire preuve de davantage d'attentions, surtout avec sa bête noire, de Mlle Paule, très attentive à ses habitudes et non avar de sanctions, à son encontre ! Cette prof entretenant une relation étroite, avec la mère de celle-ci !

    Tout comme j'imagine bien qu'une petite boulette ou une erreur minime, auraient peut-être incité Christinette à se montrer franche avec un argumentaire préparé, face Maman et pouvoir obtenir ainsi une clémence de sa part ! Ce qui n'est pas certain, comme vous le dites fort justement, après deux mois d'abstinence ! Maman Spaak se disant, à juste titre, qu'une fessée serait finalement bien plus efficace pour indiquer à son aînée, les bons rails à suivre !

    Mais là, il s'agit d'un délit majeur, contenant tous les ingrédients que déteste Maman ! Une colle, de nouveau donner par la même prof et pour deux motifs d'indiscipline, assurant alors à Christinette non plus une bonne fessée, mais une tannée magistrale, en ce troisième trimestre important ! Et l'archiviste que je suis, vous le confirme, Christine collée rimait avec fessée et voir même tannée, pour motifs aggravants ! Je pourrais en citer, un certain nombre ! Désolé !

    Il est donc plus qu'évident que mademoiselle Christine ne viendra pas la bouche enfarinée, dire à sa mère « Au fait, Maman ! Il faut que je te dise que j'ai reçu encore deux heures de colle, alors je monte dans ma chambre préparé mes fesses ! ». Inimaginable de la part d'une Christinette, redoutant depuis toujours ce châtiment maternel, sachant parfaitement ce que cela fait, à son bas du dos et à sa fierté de jeune fille ! Non ! Carrément impensable !

    Les seules solutions pour elle, étant soit d'attendre l'arrivée du courrier ou pouvoir trouver le bon créneau pour annoncer son forfait, à Maman afin de minimiser son courroux, ce qui n'est pas gagné en cette année de redoublement pour Christine ou l'attention maternelle est à son maximum, tant pour elle que pour Aline, ne voulant pas revivre la même expérience avec la cadette et qui possède au creux de sa main, une arme qui a fait ses preuves et donc même Diane n'est pas épargnée de temps à autre pour ses gamineries !

    Je pense donc, en effet, que mon intuition est la bonne et malheureusement pour Christinette, celle-ci risque de se concocter, un rendez-vous maternel, on ne peut plus corsé, après deux mois de diète !
    Mais bon ! Il faut savoir assumer ses choix et leurs conséquences, si dur soit-elles et mademoiselle Christine, en sait quelque chose !

    Pas vraiment sympa, le commentateur, mais lui-même en a l'expérience ! Amitiés tout de même, Chère Christine et surtout continuez à nous régaler, avec vos récits, donc ceux qui sont encore dans le placard et non écris, par la conteuse ! Petite touche du Minot, pour être pardonné !

    A bientôt...........

    Amicalement, Dominique

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  12. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, pensées de Christine, dialogue et mauvaise surprise pour Diane :

    Diane s'éclipsa très vite, pour ne pas courroucer davantage Maman et revînt avant les cinq minutes prescrites, avec un visage rafraîchi, mais encore bien coloré par la honte et certainement la douloureuse chaleur que sa culotte contenait ! Les yeux humides penchés vers le sol ! Elle vînt se rasseoir avec prudence, sur sa chaise et en silence ! Permettant à Maman, d'en rajouter une couche en paroles !

    Maman : « Et bien tu vois, ma chérie ! Qu'en tu veux, tu sais obéir à Maman et comprendre à ne pas te comporter, comme une vilaine gamine de 8 ans ! Qui rapporte et vient espionner, en montant un gros bateau à sa Tante, voir ce qui passe entre Maman et l'une de ses sœurs, juste pour le plaisir d'en rire et se moquer, d'elle par la suite ! Et ça, c'est quelque chose que je n'ai jamais pu supporté, de ta
    part toujours à fureter dans tous les coins, ta réputation en ce domaine n'est vraiment pas usurpée ! Alors je te conseille de bien réfléchir, à l'avenir ! Car s'il faut, te déculotter et te fesser en public, pour que tu perdes tes mauvaises habitudes ! Je n'aurais pas d'état d'âme, crois-moi ! C'est bien compris Diane ? ». Ma petite sœur baissant la tête, se remise à pleurer le visage dans les mains, ce qui permis à Maman d'enfoncer le clou d'infantilisation et de honte, pour soeurette !

    Maman : « Vas-y ma petite Diane, pleurniche comme la fillette que tu étais et que tu ais redevenue depuis la fin du collège ! Malgré des études brillantes, tu es toujours une gamine irréfléchie qui à encore besoin que sa Maman, lui baisse sa culotte pour la punir, de ses bêtises ! Alors dis-toi, ma petite fille que tant que tu poursuivras, dans cette voie ! Tu pourras préparer tes fesses, pour ta chère Maman qui saura les gratifier, comme elles le méritent ! Et j'aimerais bien que tu me regardes, quand je te parle ! Alors relève la tête, je me fiche éperdument que tu sois gênée et ce ne sont pas tes larmes de crocodile, qui vont m'émouvoir ! »

    Diane s'exécutât et je découvris alors son visage décomposé, les yeux rougis par les flots de larmes qu'elle avait versé durant sa tannée et continuant à en verser, avec le sermon maternel ! Malgré tout, je me rendis compte que son regard exprimait une aigreur envers Maman, qui le vît aussi et embraya aussitôt !

    Maman : « Garde donc ce genre de regard pour tes copines, Diane et non pour ta mère ! A moins que tu ne veuilles revenir sur mes genoux et que je déculotte à nouveau, moi ça ne me dérange pas ! Tu n'a reçu que ce que tu méritais ! Oh, bien sur tu ne n'attendais pas à ce Maman te déculotte devant tout le monde, mais ça vois-tu c'est le lot des gamines perfides et curieuses ! Leurs chères Mamans, les déculottent quelque soit l'endroit, pour mieux leurs faire rougir les fesses et leurs faire honte ! Tu ne peux t'en prendre qu'à toi même et tant pis pour ta fierté, de soi-disant jeune fille ! Et s'il le faut je recommencerais, tu es prévenue ! »

    Soeurette se remis à pleurer à gros sanglots, tout en regardant Maman ! Moi-même j'étais encore plus perturbée, comme Aline sans aucun doute, en voyant la détermination de Maman et sa volonté de reprendre la petite sœur en main, afin de lui faire passer ses excès ! C'est à ce moment que Sylvie et Bernadette, se mirent à pouffer de rire, des déboires de Diane ! La réaction de Mme Lebrun ne se fît pas attendre !

    A suivre........

    Amicalement, Dominique

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  13. Chère Christine,

    Petit plus de Dominique, je viens de vous adresser une suite du synopsis que j'ai en réserve et je souhaiterais, même si cela vous demande plus de temps et je ne vous en voudrais pas, que vous répondiez tant à mon commentaire qu'au synopsis ! Je sais, vous allez dire que je suis exigeant, mais à qui la faute, très Chère Christine !!!!!!!!!!

    Amicalement, Dominique

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  14. Exigeant en effet, Dominique ! Je tâcherai toutefois de répondre aux deux parties, même si ce ne sera pas fait aujourd'hui. Pour ce qui est du récit en cours, je crois que le mieux sera que je livre la suite assez vite, car nous dialoguons sur les différentes hypothèses, en anticipant déjà sur ce que fut ma réaction. Tout ce que dit Dominique, je l'avais bien en tête, et je ne me faisais absolument aucun doute, consciente que j'avais déjà accompli comme une sorte d'exploit,en tenant quasiment deux mois mes fesses à l'abri des tannées maternelles, surtout dans une année de redoublement où j'étais davantage surveillée,..
    Pas idiote, ni du genre à croire au miracle dans ces circonstances, la Christinette. je n'avais aucun doute sur ce qui m'attendait. Le seul privilège, si c'en est un, c'était d'être, tant que le bulletin de colle n'était pas arrivé, la seule à savoir, mais avouez que ce n'est pas une position confortable, puisqu'elle consiste à pouvoir, pour ainsi dire, choisir simplement quand j'allais recevoir cette fessée...
    Or, dans la tête d'une imaginative comme moi, cela peut tourner au cauchemar, puisque tout ce que j'ai en tête me fait me demander s'il vaut mieux attendre l'arrivée du courrier, ou avouer ce soir, demain matin, demain midi, ou je ne sais quand, mais à chaque hypothèse je me vois sur les genoux de Maman, dans ma chambre, au salon, voire dans la chambre de Maman, seule à seule ou devant les petites, mais à chaque fois, c'est bien déculottée et recevant une fessée des grands jours... Un rendez-vous "corsé" comme dit Dominique, en effet.

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  15. Chère Christine,

    Merveilleuse Christine ! Car elle ne s'appelle pas Angélique ! Voilà que tout en faisant plaisir à Dominique, elle fait une promesse (espérant que ça n'en soit pas une à la mode Christinette) de livrer la suite 80 rapidement, du fait de nos échanges communs sur le présent épisode et les suites possibles qui donnera Christine, étonnant, non ?

    Sinon je vous rejoins, sur le fait que Christinette n'était ni stupide, ni Bernadette Soubirous ! Dés lors de la sanction professorale, celle-ci n'a aucune illusion sur ce qui l'attend à la maison, surtout après deux mois d'accalmie fessière !
    Alors bien sur, pour l'instant elle seule est au courant de ce nouveau faux pas, donc la divulgation lui appartient et lui permet de « gérer », l'emploi du temps de ses fesses si l'on peux dire ! Le jeu en voudra t-il la chandelle, je n'en suis pas certain !
    Mais Christinette est ainsi faites, toujours partagée entre plusieurs possibilités, sachant que la finalité qu'elle redoute sera identique quoiqu'elle fasse ! Avec pour seul bémol éventuel, une plus grande amplitude, de l'action maternelle ! Les motifs s'accumulant !

    Sans quoi je partage, votre avis sur l'autre fait que nos échanges empiètent sur la ou les suites du développement que Christine, devra se faire un devoir de livrer au plus vite, comme promis ! A moins qu'elle ne préfère qu'une autre personne tienne, elle, ses promesses qu'il est inutile de citer ! Boutade Dominicaine, bien sur !


    Amicalement, Dominique

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  16. Merci pour la boutade, Dominique... Je m'en serais bien passée... Inutile de me rappeler à mes devoirs, et de laisser entendre que cela pourrait inciter une certaine Maman Spaak (si j'ai bien deviné) à tenir ses promesses... Là, on ne parlerait plus de boutade, mais de moutarde (!) qui lui monterait au nez, et dont une partie de mon anatomie ferait les frais... De la manière que vous imaginez aisément...
    Cela dit, si j'avais pu, au moment où s'arrête cet épisode, comme vous dites, "gérer l'emploi du temps" de mes fesses, j'aurais choisi de les laisser au repos total durant plusieurs mois de suite, voire à jamais...
    Mais, dans le cas précis, j'avais bien conscience que ma marge de manoeuvre était bien plus retreinte, et se limitait aux deux ou trois jours à venir, au début, au milieu ou au bout desquels, il y aurait forcément à insérer une séquence des plus désagréables...

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  17. Pour ce qui est de rebondir sur la suite du synopsis dominicain, je constate que la démonstration maternelle est impressionnante, et que Diane se retrouve dans une situation qui avait longtemps été l'apanage de sa soeur ainée, pour ne pas dire de moi...
    Je la plaindrais presque de devoir ainsi revenir peu après sa déconvenue publique, reprendre sa place devant une assistance qui était aux premières loges de sa déculottée magistrale.
    Les discours maternels très chargés en menaces sont aussi comme des promesses de futures fessées, et chacun sait que Maman ne promettait jamais sans tenir...
    Bien sûr, la terriblement vexée que je suis de savoir que ma petite soeur a pu assister, comme en exclusivité, à presque toute la scène du retour de Christine sur les genoux maternels après des années d'absence, se réjouit quelque part que celle qui y échappait le plus souvent durant notre enfance et mon adolescence, devienne celle qui tient le haut de l'affiche, mais ce que je ressens moi-même et ce que je devine que les autres témoins pensent, c'est bien que ce qu'il viennent de voir au dépens de Diane et tous les raisonnements et menaces qui lui sont faites, ne sont que le reflet, la transposition de ce que j'ai vécue, et de ce que, dans un certain sens, du fait de mon retour à la case fessée le matin même, pourrait encore me pendre au nez...
    Et, nous ne sommes pas près de changer de sujet de conversation si je devine bien que la réaction de Mme Lebrun envers Sylvie et Bernadette sera sûrement du même genre...

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  18. Chère Christine,

    De rien, Christine, je me doutais bien que la boutade ne serait pas à votre goût ! Mais je n'ai pas pu y résister, d'autant que la personne que vous citer est exactement celle à laquelle, je pensais ! Et qui a toute mon admiration, pour avoir su amener trois demoiselles, sur le bon chemin de la vie !

    Oui, je sais ! Vous allez encore dire que je louange votre Chère Maman ! Mais sincèrement le résultat est là, je ne sais pas pour Aline et Diane, mais pour Christine c'est une évidence que les bonnes déculottées maternelles ont été profitables, à son évolution ! N'est ce pas jeune dame ?

    Et il est vrai que la boutade, tournerait vite en moutarde aux narines de cette personne, qui serait alors rappeler à la demoiselle ses devoirs, d'une manière aussi piquante que ce condiment, si l'on en prend trop ! Vous voyez ce que je veux dire, chère amie conteuse !

    Sinon, il est bien évident qu'au moment ou s'arrête le récit actuel ! Pour Christinette « gérer l'emploi du temps » de ses fesses est plus que limité ! Celui-ci ne peux correspondre à une longue période, voir l'infini que souhaiterait la demoiselle ! Mais qui en fait ne dispose en l'état, que d'un répit de quelques jours, qui au bout du compte la conduira à un endroit qu'elle a fréquenté assez souvent et pour une épreuve qu'elle redoute, par dessus tout ! Lui garantissant douleur et honte pour une jeune fille en herbe, traitée comme une gamine de 7 ou 8 ans ! Alors que celle-ci en a une douzaine et un corps plus développé que celui des soeurettes et demandant donc à Maman Spaak, une application plus dense, pour l'efficacité de la punition, de son aînée ! Une claquée, similaire à celles de Diane, n'ayant pas l'impact voulu sur cette grande fille.

    Certes, je ne suis pas très charitable, avec Christinette, mais ça n'est que le reflet des écrits de la grande Christine.

    Amicalement, Dominique

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  19. Chère Christine,

    Merci, Christine, pour cette réponse au synopsis et je vois avec plaisir, que la grande sœur montre une certaine compassion, envers sa cadette, qui elle n'en a eu aucune pour son aînée !

    Les pensées de Christine sont tout à fait justes, vis à vis de l'assistance et d'elle-même, ayant bien saisi que ce retour sur les genoux maternels, après une longue abstinence, pour cette grosse erreur vient d'être remise au goût du jour, en ce qui la concerne et pourrait, le cas échéant être renouvelée !

    Pour ce qui est de Sylvie et Bernadette avec leur mère ! Je récompense votre intuition avec une suite de celui-ci !

    Sinon, l'exigeant Dominique remercie la conteuse (je sais, vous n'aimez pas), pour chacune de ses réponses, qui récompense l'effort du petit rédacteur !

    Amicalement, Dominique

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  20. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, pensées de Christine, dialogue et autre surprise pour Bernadette :

    Mme Lebrun : « Oh, mais dites-moi les filles, vous trouvez ça drôle peut-être ? Si c'est le cas, dites-le ? Parce que, comme Madame Spaak, je peux très bien vous baisser la culotte devant tout le monde et vous corriger de la même façon, pour vos moqueries ! Alors je vous conseille de stopper immédiatement vos imbécillités, sinon ça va barder pour vos matricules ! Et vous savez que je n'hésite pas a vous fesser en public, s'il le faut ! ». Sylvie apeurée se manifesta la première !

    Sylvie : « Non, non, Maman ! J'arrête de rire, promis ! » et la gamine rougissante, ferma sa bouche ! Bernadette plus rétive, resta muette tout en affichant un sourire insolent envers sa mère, qui lui colla aussitôt une paire de gifles, la faisant gémir et lui donner deux larmes aux yeux ! Mme Lebrun reprit alors la parole, sur un ton péremptoire qui m'était familier de la part de Maman !

    Mme Lebrun : « J'attends ta réponse dans la seconde, Bernadette ! Sinon, crois-moi que ce sont bien plus de deux claques que tu vas recevoir et pas au même endroit, je te le garantis ! ». La sœur de Caroline, plus frondeuse et têtue que la benjamine, ne trouva rien de mieux que de provoquer sa mère ! Ce qui était pour le moins risqué et la suite allait le prouver !

    Bernadette : « Oui, oui, c'est bon, j'arrête, comme ici aussi on a pas le droit de rigoler ! ». C'était la phrase de trop et en quelques secondes, la demoiselle fût attrapée par sa mère, qui la bascula sur ses cuisses, en ajoutant des paroles !

    Mme Lebrun : « Ah, tu veux rire, ma fille ! Et bien, je vais t'en donner l'occasion ! Quoique je ne suis pas sur que tu continue à rigoler, les autres personnes certainement, mais toi ça m'étonnerait ! » Et là, en un clin d'oeil la robe fût retroussée et la culotte baissée à mi-cuisses, la gamine se mît alors à hurler son désaccord, mais il était visiblement trop tard pour elle !

    Bernadette : « Non, non, M'man, pas ça d'vant tout le monde, tu peux pas ? »

    Mme Lebrun : « Oh, mais si ma fille ! D'autant qu'en plus de ton insolence, tu as gêner Mme Spaak chez laquelle tu es invitée, sans parler de tes parents ! Donc comme tu nous a fait honte, maintenant c'est a toi d'avoir honte et permettre à Diane de pouvoir se moquer de toi, à son tour ! Ce n'est justice et tu sais comme tes sœurs que dans ce domaine, je ne fais aucune différence ! Alors, tant pis pour toi, tu l'a bien cherché ! ». Le bras de Mme Lebrun s'éleva alors vers le haut, laissant sa main le prolongeant retomber sur les fesses de sa fille et son visage affichait une détermination, identique à celle de Maman, en corrigeant Diane !

    La fessée démarra dans une tonalité de force et les claques se succédaient rapidement, Bernadette était sous un vrai déluge, ses fesses prenant très vite de la couleur et sa bouche en exprimait toute l'intensité, ainsi que ses yeux qui versaient de grosses larmes ! Tout comme Maman avec Diane, Mme Lebrun déployait une énergie, peu commune et cela faisait remonter à mon esprit, quelques unes de ces tannées d'adolescente, dont Maman savait me gratifier ! Cette claquée me semblait interminable et les expressions de la gamine, le confirmait ! A l'image de ma petite sœur, elle aussi vivait alors un enfer et sa mère n'allait pas s'arrêter, en si bon chemin !

    A suivre..........

    Amicalement, Dominique

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  21. Eh bien, c'est la journée des lunes rouges ! Après Christine 23 et Diane la cafteuse, c'est au tour de Bernadette, frondeuse et têtue, qui n'imaginait sûrement pas que cette réunion de famille et du voisinage pour fêter un anniversaire, ferait d'elle une des vedettes de la journée... Et, en la matière, Mme Lebrun tient à montrer qu'elle est aussi efficace que sa voisine, ce qui l'oblige quelque part à être particulièrement sévère.
    C'est la le paradoxe d'une fessée donnée devant du public. Le fait en lui-même est déjà vraiment aggravant et particulièrement insupportable pour la punie et pour son amour propre. Mais, la personne qui punit se sait observée et se sent comme obligée de ne pas se contenter d'une fessée vite expédiée. Comme si elle ne voulait pas décevoir son public, et surtout de peur que l'on trouve qu'elle était trop gentille.
    Je le ressentais quand il arrivait que Maman me déculotte volontairement devant mes soeurs. Il y avait alors, dans le discours, comme dans l'application à bien fesser, la volonté de montrer aux petites ce qu'était une bonne, une grosse fessée.
    Dans le synopsis dominicain, Mme Lebrun ayant assisté à la tannée de Diane en peut que se donner comme défi de faire au moins aussi bien que Maman Spaak...

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  22. Chère Christine,

    En effet, c'est la journée des lunes rouges, comme vous dites ! Et si l'une des filles Spaak fête son anniversaire dans la joie, les deux ont eu droit aussi à leurs fêtes, mais très joyeuses, ainsi qu'une des filles Lebrun !

    Sinon, je vous confirme que Belle-Maman savait se montrer d'une rare efficacité, lorsqu'elle s'occupait des fesses de l'une de ses filles et en particulier Bernadette, qui était la plus difficile ! Pour elle, s'était à chaque fois de longues tannées copieuses et pour y avoir assisté à plusieurs reprises, je peux vous affirmer que ça cinglait fort sur sa lune, qui n'en ressortait qu'écarlate ! Une fois relâchée, celle-ci dansait sur place en se frottant les fesses, tellement elle avait dégusté !
    Et je dois dire que Belle-Maman, n'avait pas nécessairement besoin d'un public, pour bien faire, mais il vrai, en effet que dans ce cas de figure, celle-ci y mettait plus d'ardeur ! Afin de démontrer qu'elle savait tenir ses filles et faire respecter l'autorité parental !

    Pour l'anecdote, ma Caroline m'avait un jour, confié avoir reçu quelques tannées publiques « pas piquées des hannetons » comme on dit !

    Je vous rejoins donc sur la possibilité que Belle-Maman, ayant assisté à la correction de Diane, ne pouvait en faire moins avec Bernadette, qui de plus était une gamine très insupportable au quotidien !

    Amicalement, Dominique

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  23. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, pensées de Christine, dialogue et autre surprise pour Bernadette :

    Mme Lebrun stoppa son bras, dévoilant à l'assistance une paire de fesses déjà bien rouges, cette claquée énergique ayant produit son effet ! Bernadette hoquetait et pleurait à foison ! Sa mère prit alors la parole sur un ton monocorde et très infantile que j'avais bien connu !

    Mme Lebrun : « Mais dis-moi, ma petite fille, bizarrement tu ne rigoles plus ? Il est vrai que ta position n'est plus la même ! Et tu sens bien la différence, qu'il y a entre la spectatrice qui rit, du malheur des autres et l'actrice qui tiens le premier rôle ! C'est bien moins drôle, d'exposer ainsi ses fesses à la vue de tous et sentir comme Maman chérie sais s'en occuper, n'est ce pas ma fillette ? Certes, ce n'est pas ta première expérience et à mon avis, tu en connaîtra encore bien d'autres, vu tes humeurs de vilaine petite chipie ! ». Bernadette qui avait repris, un peu ses esprits, tenta d'amadouer sa mère par des promesses à rallonge ! Mais cette dernière qui avait reposé son bras, enfonça alors le clou de la honte pour sa fille, avant de repartir de plus belle !

    Mme Lebrun : « Oh oui, bien sur ma fille ! Des promesses tu sais en faire quand tu es déculottée et étalée sur mes genoux, pour une bonne raclée ! Mais pour les tenir, c'est autre chose ! A l'inverse de Maman qui respecte les siennes ! Et à ton âge, j'aurais vraiment honte d'être à nouveau cul nu, pour payer le fruit de mes exploits et qui plus est, en publique ! Mais bon, si tel est ton désir, je ne vais pas te décevoir ! »

    La gamine nu pas le temps de répondre, le bras maternel reprenant son action ! La main toujours aussi lourde, tombait cette fois sur un rythme différent et de façon plus méthodique ! Ne s'attachant plus qu'au seul gras des fesses, comme pour le premier déluge, mais arrosait l'intégralité du fessier de Bernadette qui ne retenait aucune de ses émotions, malgré l'assistance ! La fessée tournant à la même tannée magistrale, que Diane avait reçu ou comme celles que je recevais, dix ans auparavant et donc j'avais redécouvert toutes les sensations, au cours de la matinée !

    Mme Lebrun fessait sa fille sans dire un mot, il régnait un silence de cathédrale, ne résonnait dans la pièce que le bruit des claques et les cris de la gamine ! Deux ou trois pauses furent observées par Mme Lebrun et après la dernière, elle paracheva son œuvre par un final aussi crépitant que l'entame ! Sauf que celui-ci, tomba sur des fesses déjà très cuites, fît pousser des hurlements à Bernadette qui n'en pouvait certainement plus et tomba des genoux de sa mère, une fois l'étreinte relâchée et tout comme Diane, celle-ci avait perdu sa culotte durant l'épreuve !
    Mme Lebrun s'adressa d'abord à Maman, lui demandant si sa fille pouvait utiliser la salle de bains, ce que Maman accepta et ensuite à la gamine, sur un ton n'appelant normalement pas la contestation!

    Mme Lebrun : « Bernadette, tu es tout à fait ridicule dans cette position ! Alors tu te relèves et tu va remettre de l'ordre dans ta tenue, en t'activant et pas comme tu en as l'habitude ! Allez oust, bouge toi, sinon je vais t'y aider à ma manière ! ». Caroline m'avait dit que sa sœur pouvait, par moment, être une vraie tête de mule et celle-ci allait nous le prouver !

    A suivre..........

    Amicalement, Dominique

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  24. Sérieuse et efficace, Mme Lebrun ! Bernadette se souviendra de l'anniversaire d'Aline... Et, il me semble que ce n'est pas fini... Dominique ménage le suspense...
    Bien sûr que Maman Spaak ou Belle-Maman de Dom savaient également être efficace sans public... J'en sais quelque chose évidemment...
    Mais, ce que je voulais dire, c'est que devant une assistance, il y avait forcément une notion d'exemplarité, une volonté de celle qui punissait de montrer qu'elle ne plaisantait pas.
    D'ailleurs, si les circonstances ne permettaient pas de prendre son temps, comme cela pouvait être le cas, dans un lieu public, Maman reportait la suite au retour à la maison, mais le clamait bien à qui voulait l'entendre. Cela a été le cas, parfois, du style en ville, dans un magasin, dans un parc ou à la plage, où la punie se prenait une paire de claques ou quelques tapes sur les fesses, accompagnées de l'annonce que l'on réglerait la suite en rentrant... Nous, nous le savions bien, mais c'était une façon d'affirmer aux témoins : "Ne croyez pas que ma fille va s'en sortir ainsi. Dites vous bien que je vais m'en occuper sérieusement. N'imaginez pas que sa bêtise, son mensonge ou sa désobéissance ne lui vaudra que ces deux claques... C'est une bonne fessée qui l'attend à la maison..." Comme une façon de bien se justifier et de bien montrer qu'elle élevait ses filles sérieusement...

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  25. Chère Christine,

    En effet, Christine, l'anniversaire fût très marquant pour Bernadette ! Tant pour ses fesses, que pour son esprit !
    Et je partage votre avis sur le fait qu'en présence d'une assistance, Mme Spaak, Mme Lebrun, ma mère ou Tata, se montraient plus démonstratives ! Tant qu'au report de la punition, au retour à la maison, mes sœurs, mes cousines, moi-même, ainsi que Caroline et ses sœurs, ont bien connu ce principe !
    C'est vrai, que cela se passait le plus souvent au dehors, lors d'une promenade ou de courses, la correctrice ne pouvant agir dans l'instant, lorsque l'un de nous faisait un caprice ou n'obéissait pas ! L'aller-retour ou quelques claques, sur la jupe ou le short nous tombaient dessus immédiatement ! Le tout étant effectivement accompagné par une promesse qui tout en étant voilée, était bien compréhensible pour les personnes et lancée à la cantonade, à qui voulait bien l'entendre ! D'autant que Maman ou Tata ajoutait un geste caractéristique (bras levé et paume bien ouverte), qui voulait tout dire !

    C'était la honte assurée, pour l'intéressé (e) qui rougissait comme une tomate et n'avait aucune illusion sur le fait que la promesse serait tenue, une fois arrivé à la maison ! Le chemin du retour était alors bien difficile, la trouille envahissant celle ou celui concerné !
    Et parfois, comme il y en avait plusieurs de concerné, nos chères Mamans étaient alors encore plus précises, l'une disant à l'autre ! « Et bien, dis-moi ? Nos mains vont êtres bien chaudes, avec toutes ces fesses, à s'occuper » « Ah oui, pour sur ! Elles vont avoir des coups de soleil ! Mais tout comme leurs derrières ! ». L'échange se finissant le plus souvent, avec un regard tourné vers nous et une main droite bien ouverte ! C'était la honte absolue ! Car les autres personnes présentes regardaient nos mines déconfites, en se disant certainement « Et bien ! Ces marmots vont passer un sale quart d'heure, à la maison ! ».
    Et le gros ennui, pour nous, c'est qu'au retour, en effet ça chauffait grave pour nos matricules, nos chères mères ayant du contenir leurs mécontentements sur l'instant, nos fesses en faisait les frais !

    Petite anecdote du Minot, qui lui aussi a connu, de bonnes dérouillées ! Et pour récompenser l'assiduité de Christine, il lui transmet une suite du synopsis ! Néanmoins, il ne faudrait pas que la conteuse oublie ses devoirs et ses promesses !

    Amicalement, Dominique

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  26. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, pensées de Christine, dialogue et autre surprise pour Bernadette :

    Bernadette ne bougeant pas, sa mère se leva et l'attrapa par la tignasse, sans ménagement, la forçant à se relever avec des « Aiiiiie, ouilllle, ouillle ! », les cheveux étant tirés vers le haut sans aucune douceur ! Une fois sur pieds, la mère ayant ramassé aussi la culotte de sa fille, lui colla celle-ci dans les mains ! Puis Mme Lebrun souleva le bas de la robe, en le tournant sur lui-même, dégageant ainsi les fesses rouges de Bernadette et fît avancer sa fille, vers la salle de bains, à l'aide de claques gigantesques et rythmées, faisant hurler la gamine, le bras de la mère décrivant un arc de cercle impressionnant ! Ce supplément m'en rappelait bien d'autres que j'avais connu avec Maman et qui étaient horrible à supporter, les fesses étant déjà très cuites !

    Je savais donc ce que Bernadette endurait, lors de cette marche forcée et l'on entendit les échos de la salle de bains, cris et injonctions à se rendre présentable, le tout accompagné par des claquements significatifs, la demoiselle étant sur le mode rébellion, ce que Mme Lebrun ne supportait pas, tout comme Maman d'ailleurs, le supplément était copieux ! Après cinq minutes environ, nous vîmes revenir une Bernadette le visage presque aussi rouge que ses fesses du fait des larmes versées et de la honte ressentie, pleurnichant toujours et qui tirée par le poignet fût invitée par sa mère, à s'asseoir comme Diane. Celle-ci le fît avec précaution, ses fesses devant lui cuire intensément !

    En moi-même je me disais qu'elle l'avait bien cherchée, car ayant assisté à la volée de Diane, celle-ci aurait du faire profil bas, comme sa petite sœur qui ne pipait mot et connaissant sa mère, sa réaction intempestive ne pouvait la conduire qu'à ce résultat ! Mme Lebrun étant aussi stricte que Maman, sur le respect et l'obéissance de ses filles ! La conclusion de l'apéritif et le repas se fît donc avec deux demoiselles aux visages déconfits, devant se tenir correctement, malgré leurs fesses endolories !
    J'avoue que malgré ma tannée matinale, je n'aurais pas voulu être à leurs places, certes j'en avais pris une bonne, mais celle-ci s'était déroulée entre quatre yeux, du moins à mon esprit du moment, ne sachant pas qu'il y avait une espionne ! Qui venait de payer, sa perfidie de façon exemplaire et la journée n'était pas finie !
    Le repas se passa très bien, avec des échanges amicaux entre les convives, sauf les deux gamines qui s'efforçaient de digérer leurs déconvenues respectives ! Aline particulièrement en joie, du fait de ses cadeaux et qui se montrait un peu excessive, fût très vite rattrapée par Maman de façon gentille, mais significative et précise !

    Maman : « Aline, ma chérie ! Je sais que tu es heureuse avec ces cadeaux que tu mérites et j'en suis moi-même heureuse pour toi, mais n'en fait pas trop ! Car tu sais que je possède, comme Mme Lebrun, un bon petit calmant pour les jeunes filles turbulentes ! Alors essaie de pondérer tes excès de bonheur, qui sont logiques, mais un peu trop prononcés à mon goût ! Je pense que tu m'a compris, ma grande ? ». Le tout en levant sa main droite, paume ouverte, ce qui voulait tout dire !
    Ma sœur esquissa un sourire, ainsi que l'assistance, mise à part Diane et Bernadette en pénitence sur leurs chaises, avec une paire de fesses bien réchauffée les empêchant de tenir en place et répondit, gentiment à Maman !

    Aline : « Oui, oui, M'man, je me calme promis, mais tu sais je suis vraiment très heureuse et je ne sais pas comment vous remercier de tous ces merveilleux cadeaux ! »

    A suivre..........

    Amicalement, Dominique

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  27. Si même Aline est rappelée à l'ordre, c'est vraiment la journée de la reprise en main...
    Pas de raison en effet que la cadette soit soumise à un traitement de faveur, par rapport à l'ainée et à la benjamine. Surtout qu'en la matière, la vraie nouveauté, c'est bien le fait que Diane se retrouve en tête de file dans l'administration de la discipline familiale, avec les quatre fessées de ces derniers jours dans le synopsis, ce qui n'était quasiment jamais arrivé à notre petite soeur du temps de mon adolescence. En revanche, mes souvenirs de manquent pas d'exemples de séries douloureuses pour mes fesses, et Aline, qui étudiait moins facilement, avait eu l'occasion aussi d'être "motivée" à certaines périodes par des fessées à répétition...

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  28. Chère Christine,

    Le rappel à l'ordre maternel à l'encontre d'Aline, n'est que la confirmation de l'autorité naturelle de Mme Spaak qui savait, sans aucun doute moduler ses actions, envers ses filles ! Et la Diane trop intempestive, malgré de brillantes études, en faisait les frais comme Christinette durant ses années collège ! Sur le fond, ce n'est qu'un juste retour des choses, la petiote à l'époque étant plus épargnée que les deux grandes, profitant de son statut de petite dernière, rôle que j'ai très bien connu ! D'ailleurs à ce sujet, mon frère, mes sœurs et mes cousines, entretenaient ce statut étant très protecteur envers le petit Minot, qui en profitait ! Jusqu'au jour au Maman changeant de diapason !

    Amicalement, Dominique

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  29. Un juste retour des choses, dit Dominique, que ce "rattrapage", si j'ose dire, où Diane devient la principale abonnée au passage sur les genoux maternels... Voilà qui n'est pas pour déplaire à la vraie Christine, qui se dit que cela ne lui aurait pas déplu, dans la vraie vie, de voir la petite dernière rattraper son "retard" en la matière.
    Sans exagérer bien sûr, n'ayant pas été moi-même soumise à quatre fessées dans la même semaine, à moins que mon archiviste en chef ne me démontre le contraire.
    Comme je l'ai déjà dit, dans la vraie vie, une fois que je n'ai plus été fessée, cela a continué un peu pour les petites, avec encore quelques menaces pour moi, mais elles ont été épargnées définitivement plus tôt (du point de vue de l'âge) que moi.
    Cela dit, si cela ne me déplait pas d'imaginer Diane dans le collimateur maternel, comme je le fus longtemps, je ne vais pas jusqu'à approuver tout du synopsis... Vous imaginez bien, hi, hi, que la mésaventure imaginée pour Christine 23, elle, je suis bien moins fan, évidemment...

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  30. Chère Christine,

    Je conçois que vous n'approuviez pas tout du synopsis et que vous ne soyez pas fan de la mésaventure de Christine 23, mais je vous rappelle qu'il s'agit d'une fiction Dominicaine, même s'il y insère des tranches ou des anecdotes de sa propre vie, afin d'en faire une histoire tenant la route et non quelque chose d'insensé !
    De telle sorte que je n'ai pas donné, de futur époux à Christine, ni spéculé sur le devenir d'Aline ou de Diane et encore moins sur Tata Jacqueline, même si mon imaginaire me laisse à penser qu'elle est toujours une très belle femme, malgré les années !

    Concernant la fréquence fessesque de Christine, l'archiviste que je suis, vous rappelle simplement vos propos, lors d'une récente réponse ou vous avez avouer, qu'il arrivait que celle-ci ne soit que deux ou trois jours entre deux fessées ! Certes, au niveau de vos récits, la variation est plutôt d'une ou deux semaines entre chaque claquées ! Sauf exception, que je pourrais retrouver, si vous le souhaiter ! Enfin, je ne suis pas sur que cela vous ravisse, hi, hi...... !

    Au sujet de vos sœurs dans la vraie vie, épargnées plus tôt que vous, des foudres maternelles (au niveau de l'âge), j'imagine que ayant eu de nombreuses occasions de bien enregistrées (par l'audition ou visuellement) ce qui pouvait leurs arriver, si elles suivaient le même chemin que la grande sœur ! Et ont adopter une autre attitude ! Alors c'est vrai qu'à ce niveau là, les déconvenues majeures de l'aînée ont du s'incruster dans l'esprit des deux plus jeunes ! Celles-ci se disant qu'il était préférable de suivre une voie différente, à moins de vouloir présenter souvent ses fesses à Maman, pour des fessées de grande ! Même si de temps à autre, Aline avait droit à un traitement presque Christinien ! Celles-ci préférant éviter la main de Maman, n'étant pas idiotes, tout comme Christine ! Et profitant donc de son expérience, si je puis dire !

    Amicalement, Dominique

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  31. C'est par jeu, évidemment, Dominique, que je dis ne pas approuver la mésaventure de Christine 23. J'imaginais qu'elle aurait plus apprécié tous les aspects du scénario où Diane devient la vedette et, pour ainsi dire, "rattrape" un certain retard en matière d'exposition de son bas du dos, si vous voyez ce que je veux dire...
    Pour ce qui est du travail de l'archiviste, pas sûr en effet que je veuille qu'il me rappelle quelques détails sur mes souvenirs claquants... Je n'ai pas envie d'avoir honte rétrospectivement...
    Cela dit, c'est vrai que mes soeurs ont certainement souvent réfléchi avant de faire des bêtises en voyant ce qui arrivait à leur ainée... Si les fessées que je recevais venaient punir certains de mes actes, elles avaient aussi, par ricochet, un aspect pédagogique vis à vis de mes petites soeurs...
    PS : Le prochain épisode ne va pas tarder...

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  32. Chère Christine,

    Vous me voyez ravi, de la prochaine livraison Christinienne et j'avais fort bien compris que votre remarque correspondait à notre jeu à quatre mains, sachant très bien que Christine 23 était plus encline à apprécier le scénario de Diane, d'Aline ou des petites voisines, que le sien !

    Je me doutais aussi que la proposition de l'archiviste n'aurait pas l'approbation, de la grande Christine conteuse, ne souhaitant pas se remémorer des instants délicats pour son bas du dos !

    Sinon, je partage votre avis sur l'aspect pédagogique qu'avaient vos fessées de grande, sur les deux gamines qui suivaient ! Se disant, qu'il était préférable pour leurs fesses, d'éviter la même chose !

    Sur ce je vous adresse, en parallèle une suite du synopsis !

    Amicalement, Dominique

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  33. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, pensées de Christine, dialogue et nouvelle surprise pour Diane :

    Maman : « Que tu sois heureuse, je le comprends ! Et la meilleure façon de nous remercier, c'est de t'accrocher pour obtenir ton permis du premier coût et je t'en sais capable, comme ta grande sœur l'a dit ! Et que tu fasse ainsi honneur, à Caroline et Christine qui t'ont fait un cadeau supplémentaire grâce à leurs divers travaux, sans oublier Christian, Dom, ta Tante et les parents de Caroline, chacun dans leurs domaines ! »

    Aline : « Promis, Maman ! Je vais tout faire pour ne pas vous décevoir les uns et les autres ! » et Maman mît la touche finale, comme à son habitude !

    Maman : « C'est bien, Aline ! Mais agît surtout dans le bon sens et ainsi tu seras gagnante ! ». Je précise qu'Aline obtint son permis du premier coût.

    Le reste de l'après-midi, fût très agréable ! Tout le monde était souriant et détendu ! Sauf Bernadette et Diane, qui affichaient des visages sombres ! Ma petite sœur ayant même quelques regards en coin plein d'aigreur envers Maman ! Que celle-ci remarqua, en fronçant les sourcils plusieurs fois dans sa direction, mais sans plus ! Afin certainement de ne pas plomber l'ambiance, qui régnait après les événements de l'apéritif !
    Puis entre 18/19 heures, tout le monde pris congé, Caro, ses sœurs et ses parents étant invités chez ceux de Dom, avec Christian pour la soirée, ce que je savais bien sur ! Tata Jacqueline, elle, avait un dîner de prévu avec son patron et ses collaborateurs, pour préparer une campagne de publicité.

    Nous n'étions donc plus que trois à la maison, en ce jour anniversaire et si Aline était en joie, Diane avait une attitude plutôt renfrognée et des regards de défis, déplaisant fortement à Maman ! Qui allait calmer la ronchonneuse de manière plus que magistrale et ceci sous les yeux, de ses deux sœurs ! Maman y ajoutant, les ingrédients utilisés avec moi, lors de mes années collège !

    Alors qu'Aline et moi aidions Maman à faire la vaisselle et tout remettre en ordre, Diane avait été astreinte par notre mère a rester sans bouger dans le canapé, ce qui n'était pas pour lui plaire et allait le manifester ! Une fois revenue au salon, Maman nous proposa pour le dîner, une salade composée et un tarte aux pommes, compte tenu du déjeuner d'anniversaire copieux que nous avions fait ! Ce en quoi les deux grandes filles étaient d'accord ! C'est à ce moment que Diane explosa, de manière insolente et très idiote, vu sa position du moment !
    Diane : « Et moi, alors ! J'ai pas le droit à la parole, dans cette maison ? ». En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, celle-ci se prît un magistral aller-retour de Maman, qui enchaîna aussitôt !

    Maman : « Non ! Ma petite fille ! Toi, tu as juste le droit d'obéir, en faisant ce que je te demande ! Donc tu vas monter prendre ta douche, te mettre en pyjama et attendre dans ta chambre que je t'appelle, comme une gamine obéissante ! Et celle que tu vois-là, crois-moi que tu vas encore la sentir, puisque tu persiste à me défier ! Allez, fiche le camp et vite ! Sinon, je te donne un avant goût de ce qui t'attends ! ». Maman avait bien sur, le bras levé et la paume de sa main bien ouverte, ce qui était tout à fait explicite pour nous trois ! Même si, à ce moment là, les intentions précises de notre mère, n'étaient pas connus, nous avions toutes compris que Diane allait s'en ramasser une de plus et tout aussi méritée, cela ne faisait aucun doute !

    A suivre............

    Amicalement, Dominique

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  34. Eh bien, quelle semaine pour Diane, et quelle journée puisqu'une nouvelle déculottée se profile à l'horizon, cette fois, dans une configuration strictement familiale, qui va rappeler bien des souvenirs aux trois filles Spaak, et particulièrement à Christine 23 qui connait parfaitement ce mode opératoire maternel très typique de mes années collège...
    Mais, quand même, deux dans la même journée, je suis sûre que l'archiviste trouverait des exemples, mais autant dans la semaine, là, Diane met les bouchées doubles, pour ne pas dire les fessées doubles, pour rattraper son "retard" vis à vis de son ainée, hi hi...
    Cela dit, je préfère en effet que Dominique évite de jouer les archivistes en la matière.
    Et, pour ce qui est de mon épisode 80, je devrais pouvoir le livrer avant ce soir. Un bel effort de Christine, non ?

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  35. Chère Christine,

    En effet, je reconnais l'effort de Christine, dans la mesure ou celui-ci a été respecté ! Et j'en suis ravi ! Ma chère conteuse tenant ses promesses ! Pas comme une certaine Christinette, de ma connaissance, qui savait en faire à foison étant sur les genoux de Maman, la culotte baissée attendant en tremblant que la main maternelle, tombe sans relâche ! Les fessées de la demoiselle, n'ayant aucune comparaison avec celles des frangines !
    Bon, c'est vrai le commentateur n'est pas très charitable, mais il est ainsi et vous le savez ! Tant qu'à l'archiviste celui-ci n'aurait aucun mal à retrouver, Christine fessée deux fois dans la même journée ou la même soirée ! Mais par délicatesse, envers la conteuse, il ne citera pas de référence, même s'il en a plusieurs en mémoire !

    Et si j'admets que dans le cadre du synopsis, Diane met les bouchées doubles ! Sachez que c'est une sorte de compensation que l'auteur a volontairement insérée, pour Aline et Christinette ! Celles-ci ayant été à une époque plus sujets, aux foudres maternelles, pas forcément pour les mêmes motifs et aux moqueries de la petiote, qui ne se privait pas de se gausser de leurs déboires !

    Comme le dirait, Christine, ce n'est qu'un juste retour des choses, pour la gamine ayant bien profité de son statut, de petite dernière ! Mais ayant bien changée, depuis sa sortie du collège

    Voilà pour la petite touche amicale, de Dominique qui va maintenant consulter la nouvelle livrée de Christine et la commenter bien entendu, en servant entre deux, synopsis et suite du Minot chez sa Tata très cool !

    P.S : Pour l'anecdote, je constate que les deux dernières productions, ont été faites un dimanche

    Amicalement, Dominique

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  36. Pff, l'archiviste joue les charitables pour faire croire qu'il a des exemples sous le coude, comme ça, histoire de faire croire que cela m'arrivait tous les quatre matins. J'en doute un peu, mais je ne vais pas rentrer dans ce jeu... Mieux vaut qu'il tienne ses autres promesses, de commentaires de l'épisode suivant et de poursuite du synopsis... pfff !

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