jeudi 23 octobre 2014

Chronique d'un redoublement : 77. Le pronostic était hélas bon, la prochaine fessée était pour moi.

SUITE 76

Le problème, quand on se sent observée, lorsque l'on sait que l'on a déjà bien tiré sur la corde, et que la patience maternelle a des limites, c'est que cela n'aide pas à être détendue ou insouciante...
La plus petite remarque vous fait sursauter, et l'on ne peut pas s'enlever de l'esprit que, derrière le moindre regard noir, il y a une mère qui pense tellement fort qu'on le lirait sur ses lèvres : "Toi, ma grande, tu ne perds rien pour attendre..."

Il faudrait alors comme "un miracle" pour repartir à zéro, pour que tout soit effacé, mais nous avions beau être élevées dans le respect de la religion catholique, je me doutais bien qu'implorer Notre Dame de Lourdes était inutile et, en tout cas, bien trop tard pour me sauver...

Je débutai donc le troisième jour de ce troisième trimestre d'humeur grincheuse et tendue. Et la première alerte de ce mercredi arriva dès le petit-déjeuner, où Diane s'ingénia à me chercher querelle en douce, puis à me demander de lui passer confiture, lait, jus d'orange, avec une petite voix d'enfant sage et polie, jusqu'à ce que je lui réponde : "T'as qu'à te servir toi-même", d'un ton agacé. 

 
Dès le petit-déjeuner, Maman m'avait menacée
de me "calmer" à sa manière...
Inutile de préciser ce que cela voulait dire... 

La réplique maternelle fusa : "Christine, tu peux quand même aider ta soeur quand elle te le demande. Et, qu'est-ce que c'est que ce ton ? Si tu es énervée, je vais te calmer à ma manière. On dirait vraiment que tu cherches les ennuis, ma fille. Mais, je te prie de croire que tu vas les trouver..."

Je filais assurément un mauvais coton, et j'en devenais vraiment nerveuse. J'avais l'impression que, quoi que je fasse, cela ne servirait à rien, et que les nuages s'amoncelaient au dessus de ma tête, pour ne pas dire que cela sentait l'orage...

Une ou deux remarques à midi me rappelèrent que j'étais bien dans le collimateur maternel, et le fait que je les prenne de manière désabusée, presque fataliste, sans réagir, n'arrangea pas mes affaires, Maman n'appréciant pas d'avoir l'impression de parler dans le vide. Et cela me valut une réflexion : "Attention, Christine, il ne faudra pas te plaindre s'il t'arrive des ennuis. Je ne vais pas supporter ton attitude longtemps".

Connaissant Maman, je savais bien que ses menaces n'étaient pas des paroles en l'air, et que mieux valait filer doux, car elle n'était pas du genre à dire dix fois les choses avant d'agir. D'un autre côté, la situation m'énervait passablement, chaque menace faisant monter mon angoisse, alors que, de leur côté, je sentais bien que mes soeurs riaient sous cape de voir leur aînée en situation délicate...

Et ladite situation se gâta même plus vite que je ne le pensais...

En fin d'après-midi, Jeannette, la couturière à laquelle Maman faisait appel était venue à la maison pour prendre des mesures et récupérer divers travaux à faire. Econome, Maman récupérait parfois quelques vêtements que lui donnait (en échange de quelques pots de confiture) une amie dont les deux filles étaient plus âgées que moi, de deux et quatre ans.

Un élastique à reprendre, un ourlet à rajuster, il suffisait souvent de pas grand chose pour que la jupe, le pull ou le chemisier m'aille ensuite. Mes petites soeurs récupéraient bien certaines de mes affaires, cela était logique que l'on profite de quelques occasions, d'autant que c'était en général des vêtements de bonne facture.



 Etant donné la tension qui régnait entre Maman et moi,
j'avais du mal à me résoudre à cette séance d'essayage.
Enfilant les vêtements à retoucher à la va-vite,
je craquai légèrement une couture... 


Reste que, pour moi, autant parfois j'étais ravie de ce qui était proposé, autant d'autres fois, cela ne me plaisait guère.

Ce soir-là, tendue comme je l'étais, je me montrai plutôt rétive à cette séance d'essayage improvisée dans le salon. Maman n'apprécia pas une réflexion que je fis sur une des robes, puis que je l'enfile sans faire attention, et en craquant légèrement une couture. 
Jeannette (qui devait avoir un nom de famille, mais que j'ai toujours entendu appelée par son seul prénom) vit bien que Maman s'énervait, et minimisa le dommage : "Ce n'est rien, Mme Spaak, juste deux petits points à refaire", mais Maman n'était pas de cet avis. D'autant que, dans la foulée, je grommelai à mi-voix à propos de cette robe : "De toute façon, j'la mettrai pas".

Maman ayant l'ouïe fine, haussa le ton : "Non, mais, Christine, tu te crois où ? Ici, c'est moi qui commande, pas toi. Et je vais te le rappeler à ma manière. On en reparlera tout à l'heure quand Jeannette sera repartie. Mais, tu ne perds rien pour attendre, crois-moi".

Je suppliai, consciente de ce que Maman me promettait : "Mais, non, Maman, je ferai tout comme tu veux... Je la mettrai cette robe, promis. Tu sais, euh..."

Elle ne me laissa pas en dire plus : "C'est trop tard, Christine. Depuis le temps que tu me cherches, tu n'auras que ce que tu mérites". Et, constatant que c'en était fini pour les essayages me concernant , Maman me congédia : "Allez, file donc dans ta chambre. Je vais venir m'occuper de ton cas, dès que j'en aurai fini avec Jeannette".



Ma réflexion avait été la goutte d'eau qui faisait déborder
le vase de la colère maternelle. Devant Jeannette, elle m'annonça
que je n'avais qu'à préparer mes fesses 
et m'expédia l'attendre dans ma chambre...

Je me rhabillai et quittai le salon sans demander mon reste, mais je tendis l'oreille depuis le couloir avant de monter à l'étage vers ma chambre. La couturière, qui avait deux jupes de Maman à retoucher, tenta de plaider ma cause, en disant : "Vous savez, ce n'est pas si grave. A son âge, Christine peut encore faire des caprices, ce n'est pas très méchant..."

Maman ne se laissa pas infléchir pour autant : "Si ce n'était qu'un caprice, Jeannette, je comprendrais, mais Christine cherche vraiment les ennuis. Elle redouble déjà sa Cinquième, et il n'est pas question qu'elle n'en fasse qu'à sa tête. De toute manière, cela fait plusieurs jours qu'elle y échappe de justesse. Je vais remédier à cela, et pour cela, il n'y a rien de tel qu'une bonne fessée pour calmer ma grande..."

Je ne cherchai pas à en entendre plus, je venais d'avoir la confirmation de la manière dont Maman allait "s'occuper de mon cas", même si je n'avais guère de doute. Ce qui me chagrinait le plus, et me faisait mal au coeur, c'est que Jeannette ait eu, de son côté, l'explication de texte, et qu'elle sache ce qui m'attendait après son départ. Et, comme elle était efficace, et reviendrait sûrement, d'ici un jour ou deux, ramener les habits retouchés, j'imaginais déjà que je n'échapperais pas à quelques regards curieux ou à des allusions sur ce qui me serait arrivé entre temps...

Supportant difficilement les regards amusés de mes soeurs qui jouaient sur le palier et avaient tout entendu, quand Maman avait haussé le ton, je me réfugiai dans ma chambre, laissant la porte un rien entrouverte pour guetter le départ de Jeannette.

Les deux femmes papotèrent plus que je ne l'imaginais, croyant à chaque minute que Maman allait monter...

Cela dura une demi-heure, et je commençais à espérer que le laps de temps aurait permis à Maman de se calmer, mais il n'en était rien. A peine la porte d'entrée refermée, et Jeannette partie, que Maman appela Aline et Diane qui, jouant les petites filles modèles, comme toujours en pareille circonstance, dévalèrent l'escalier pour s'entendre dire : "Dites, les filles, il faudrait ranger vos affaires qui sont au salon, et vous mettrez la table pour le dîner dans la cuisine. Et je ne veux rien entendre, c'est compris ?"
Le "Oui, Maman, promis", qu'elles lancèrent à l'unisson avait un ton presque enjoué, qui me fit grimacer, imaginant ce qu'elles pensaient à ce moment...
La confirmation vint de la bouche maternelle : "Bien, en attendant, je vais aller régler mes comptes avec Christine..."



 


Maman avait informé mes soeurs qu'elle montait "s'occuper" de moi. 
Ses pas dans l'escalier, c'était comme si
j'entendais ma fessée venir à moi... 

Les pas de Maman dans l'escalier me firent battre le coeur très vite. Des larmes me montèrent aux yeux, au moment où elle pénétra dans ma chambre, laissant la porte ouverte derrière elle, comme si elle voulait entendre ce qui se passait en bas.

Je balbutiai en reniflant : "Pardon, Maman, je ferai tout comme tu veux...".

Elle rétorqua : "Je l'espère bien, Christine, je l'espère bien, mais pour l'instant je vais d'abord m'occuper de tes fesses... Allez, viens ici, je n'ai pas de temps à perdre...", dit-elle en tapotant sur ses genoux, après s'être assise au bord de mon lit...

J'avançai lentement, suppliant : "Non, Maman, pas la fessée, non !"

Mais son ton ne souffrait aucune contestation, et me faisait comprendre que mieux valait obéir : "Ne joue pas les étonnées, Christine. Tu sais bien depuis dimanche soir que cela te pend au nez. Tu as eu largement le temps de préparer tes fesses. Je t'ai laissé ta chance, tu as continué à n'en faire qu'à ta tête et à te montrer désagréable, voire insolente. Maintenant, tu vas le payer, ma fille..."

C'est vrai que j'avais eu tellement peur après mon "Tais-toi donc" de l'autre soir, peur qu'elle me déculotte sur le champ, que me retrouver prête à plonger en travers de ses genoux seulement maintenant, rendait le discours maternel crédible, comme si c'était normal de devoir payer pour mes fautes...

Je fis donc l'avant-dernier pas sans réfléchir davantage, avant que Maman ne me saisisse par le poignet, et me bascule en travers de ses cuisses...

J'eus droit à un : "Bon, tu vois quand tu veux", pendant que, de ses mains expertes, Maman remonta ma jupe au dessus de ma taille, et s'employa à baisser largement ma culotte...


Maman avait dégagé ma jupe et baissé ma culotte.
Tétanisée, trop consciente qu'elle me pendait au nez
depuis plusieurs jours, je m'étais avancée vers ses genoux 
presque sans résister...  

La porte étant ouverte, j'implorais le pardon maternel à voix feutrée, bien consciente qu'Aline et Diane tendaient l'oreille en bas.

"Ah, Mademoiselle répond à sa mère. Ah, Mademoiselle est de mauvaise humeur depuis la rentrée. Eh bien, Maman va la calmer, et lui donner ce qu'elle mérite", lança Maman après avoir bien rajusté ma position et avant de décocher les premières claques.

Déterminée, elle débuta cette fessée sur un rythme soutenu. Je tentai un moment de retenir mes cris, alors que le bruit des claques résonnait dans la maison, mais je fus vite en larmes, haletante, gémissante, suppliante, quand je ne poussais pas des petits cris aigus.

Maman s'aidait de la voix en poursuivant : "Ah, tu l'as bien cherchée cette fessée. Ce n'est pas faute de t'avoir prévenue, mais puisque les avertissements ne suffisent pas, je vais te rappeler ce qui arrive aux désobéissantes et aux effrontées, moi ! Tiens, tiens et tiens..."

Maman ne rigolait pas. La tannée était efficace et avait rapidement transformé mon bas du dos en lune incandescente. Assurément, la volonté maternelle était d'aller plus loin que de me faire payer ma mauvaise humeur et mes répliques irrespectueuses. D'ailleurs, après plusieurs séries de claques sonores et bien ciblées, entrecoupées de petites phrases en forme de sermon, le discours de la correctrice remit l'événement dans le contexte scolaire. Et Maman, d'insister : "Tiens, Christine, tiens ! Et que cela te serve de leçon aussi en ce début de trimestre... Tiens, tiens, tiens... Tu sais bien que je ne tolérerai aucune mauvaise note, aucune heure de colle, aucun mensonge... Tiens, tiens, tiens... Sinon, je n'hésiterai pas, Christine... Tiens, tiens, tu la sens cette fessée, comme elle claque bien tes fesses... Tiens, tiens... Eh bien, ce sera pareil, Christine, pareil, la culotte baissée, sur les genoux de Maman, jusqu'à ce que tu comprennes, Christine..."

Pendant que Maman débitait ce monologue menaçant, des pas résonnèrent dans les escaliers. Et, deux têtes apparurent dans l'entrebâillement de la porte. "Ca y est, M'man, c'est rangé en bas, et la table est mise. On peut aller jouer dans notre chambre ?", demandèrent mes soeurs, les yeux grand ouverts sur la scène qu'elles avaient devant les yeux.

Maman rétorqua : "Allez, filez-donc, si vous ne voulez pas prendre la place de votre grande soeur, dès que j'en aurai fini avec elle..."



Maman avait expédié Aline et Diane dans leur chambre.
Mais, en s'arrêtant devant la porte ouverte de la mienne,
elles avaient pu enregistrer la scène de leur ainée
recevant la fessée déculottée...

La menace eut l'effet désiré, puisque Diane et Aline disparurent , non sans bien avoir enregistré le tableau dont j'étais l'héroïne involontaire...

Ayant légèrement glissé des genoux maternels durant cet intermède fortuit, Maman me remonta en bonne position, regardant ma lune écarlate, et commentant : "Bon, voilà des fesses bien rouges, Christine. J'espère que tu retiendras la leçon..."

Je suppliai : "Oui, Maman, promis. Oui, arrête, ça suffit..."

Mais, elle ne m'avait pas remise en position pour rien, et la réplique fusa : "C'est Maman qui décide si c'est fini ou pas, Christine... Tiens, tiens, tiens et tiens ! J'aimerais bien, en effet, que tu retiennes la leçon... Cela vaudrait mieux pour toi, ma fille.... Tiens, tiens, tiens... Cela vaudrait mieux, si tu ne veux pas te retrouver souvent les fesses à l'air pour que je te les rougisse comme elles le méritent... Tiens, tiens, et tiens, prends donc encore ça, ma grande, et dis-toi bien que je recommencerai autant de fois qu'il le faudra, Christine, autant de fois... Tiens, tiens, tiens et tiens !"

Maman avait accompagné son discours de claques encore plus sonores et fortes qu'au début. Ce final me fit crier et supplier, sans retenue, malgré la porte ouverte qui devait propager le moindre son de cette tannée magistrale.




J'étais éreintée, à l'issue de cette fessée magistrale,
le visage ruiné de larmes,
pleurant à gros sanglots au terme de cette première fessée du trimestre 

Les dernières claques données, Maman relâcha son étreinte, et je tombai à genoux, m'agrippant à ses jambes en pleurant à gros sanglots. De sa main droite redevenue douce, Maman caressa un instant le haut de ma tête, puis écarta mes cheveux qui cachaient en partie mon visage, disant : "Allez, c'est fini, Christine. Sèche tes larmes et rhabille-toi. On va bientôt diner".

Puis, Maman se releva, me laissant encore à genoux, toute dépenaillée. Ma jupe était retombée en partie sur ma lune, mais la culotte était restée à hauteur des genoux, entravant un peu ma tentative de me relever. Je chancelais et me retrouvai devant la glace de mon armoire, qui reflétait l'image d'une sorte de poupée de chiffon mal fagotée, défaite et décoiffée.

Le temps de bien remonter ma culotte, j'aperçus mes deux fesses écarlates, et les cachai bien vite, cherchant déjà à trouver le moyen de faire bonne figure quand il allait falloir redescendre pour le diner, et le partager avec deux soeurs qui m'avaient vue sur les genoux de Maman, culotte baissée, offrant à sa juste colère deux fesses rougissant sous les claques de la fessée maternelle...


A SUIVRE

72 commentaires:

  1. Chère Christine,

    Ayant eu des soucis, de connexion internet, dans ma pampa méridionale durant ces derniers jours ! Je découvre avec grand plaisir l'épisode 77 du redoublement Christinien et pour ne pas être en reste, je vous adresse une suite du synopsis que j'avais préparé, mais que je ne pouvais vous transmettre et une autre presque finalisée suivra, coté Christine.

    Sinon, je viens de lire ce nouvel opus ou l'on peux constater de prime à bord, que Christinette demeure fidèle à ce coté grognon, que moi-même, mes sœurs ou cousines avions lorsque la pression maternelle était orientée, vers l'un de nous ! La difficulté supplémentaire pour vous, étant vos deux sœurs, non avares d'obséquiosités envers Maman, pour laisser la grande sœur subir l'orage !

    Voilà, ceci n'est qu'une première constatation, rapide et je vous livrerais, bien évidemment des suites
    sur cet épisode, tout aussi riche que les précédents !



    Amicalement, Dominique,

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  2. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, vécu de la fessée de Christine, coté Maman Spaak :

    J'insérais donc mes doigts sous l'élastique de sa culotte, de chaque coté, afin de dégager pleinement le siège de mon action, faisant descendre celle-ci jusqu'aux genoux et n'avoir aucune entrave !
    Je sentais Christine trembler, mais n'opposait aucune résistance, laissant simplement échapper une supplique en sourdine, celle-ci se remémorant certainement ses souvenirs d'adolescente !

    Nous recalant toutes les deux, je tapotais ces fesses et lui servait un dernier sermon, rappelant les faits et les conséquences, en lui précisant mon désarroi, d'avoir été ainsi trompée par ma grande fille, durant plusieurs semaines ! Ce qui m'avait dérouté, compte tenu de son âge et de sa réussite ! Lui offrant alors, comme on dit, le choix des armes ! Et j'étais satisfaite de sa décision, celle-ci me confirmant son intelligence et sa maturité, même si cela devait être très dur, pour elle !

    Là, devant cette lune épanouie de femme, il me fallait accomplir ma tâche ! Et mon dieu, que ce n'était pas facile, n'ayant plus sur mes genoux, la gamine de 12/13 ans encore insouciante que je corrigeait quand elle le méritait ! Mais une adulte, responsable et brillante, qui avait pourtant commis une erreur, vis à vis de sa chère Maman !

    Le choix ayant été fait par elle, je ne pouvais me déroger, à moins de vouloir passer pour une girouette, à ses yeux et briser cette ligne de conduite, que je m'étais fixée avec mes filles et donc je pouvais être fière ! Celles-ci me donnant toutes satisfactions, malgré quelques travers !

    Respirant très profondément ! Je démarrais, par six fortes claques reparties sur les deux fesses, faisant gémir et fondre en larmes, Christine ! J'avoue que ces premières claques me firent comprendre que j'aurais besoin de temps, pour faire passer la leçon ! Car si ce n'était déjà pas simple, lorsqu'elle avait 12/13 ans, ce fessier qui était sous mes yeux n'avait plus rien à voir avec celui d'une adolescente et que la tâche serait aussi ardue, qu'épuisante ! Mais un renoncement de ma part, aurait été mal perçu par ma fille !
    Il me fallait donc agir, en gérant mon énergie, à l'inverse de certaines fois ou très en colère, il m'était arrivée de lui servir, des dégelées très vives, sans quasiment aucun temps mort, dont elle ressortait éreintée ! Sauf que là, je compris, que dans ce cas de figure, je ne tiendrais pas la distance et que je serais épuisé, bien avant elle !
    Je décidais donc de lui appliquer une fessée méthodique, en alternant les cycles vifs et d'autres plus précis, ou ma main se faisait plus lourde, en arrosant l'intégralité du fessier, du bas du dos jusqu'à la liaison avec le premier quart des cuisses, comme je le faisais à une certaine époque pour les fautes très graves, style son redoublement ou les affaires détruites, par un feutre !
    Le tout en canalisant, ma colère et faisant des pauses nécessaires, tant pour elle que pour moi ! Et lui laissant au final, une paire des fesses, aussi écarlates que chaudes comme des braises et des difficultés à s'asseoir, durant un certain temps !

    Sur cette entrée en matière, je sentis le corps de Christine se contracter, puis se relâcher sous l'effet de la pause que je fît, pour réfléchir, avant de repartir de plus belle ! J'imagine qu'elle avait compris que la volée serait longue et méthodique, comme elle en avait déjà connu, sans colère de ma part, mais avec une détermination et une volonté, de lui administrer une sévère fessée !

    A suivre..............


    Amicalement, Dominique

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  3. Ravi de ce retour. Voici quelques impressions côté Christine 23 :
    J'avais écouté le dernier sermon maternel sans répliquer. Je savais que le moindre mot aurait été l'objet d'une réponse, que la moindre supplication aurait été l'objet d'une réaffirmation maternelle, et que le moindre geste de révolte, une fois ainsi en position, n'aurait fait qu'aggraver mon cas, Maman ayant la situation sous contrôle.
    J'avais la trouille, une peur bleue de ce qui arrivait, mais je savais que je n'y échapperais pas, et qu'il fallait bien me résoudre à subir le châtiment...
    Et puis, il y avait cette sensation que je revivais aussi mal qu'à mon époque glorieuse du collège, la sensation étrange d'être lune en l'air et lune à l'air, exposée, comme offerte à la main de ma correctrice.
    Il y a la position peu confortable allongée en travers des cuisses de Maman, un déséquilibre maitrisé par le bras de Maman bloquant le dos, et cette impression angoissante de sentir la culotte descendre et dévoiler ses fesses. Sensation folle de cette partie du corps toujours cachée et qui se retrouve à l'air libre, tremblante, frissonnante, ressentant l'atmosphère de la pièce, plus fraiche que le confort douillet et protecteur d'une culotte de coton.
    Et, là dessus, les mots de Maman vous font comprendre sa détermination, et que plus elle sermonne longtemps, et plus sans nul doute la fessée sera longue. Alors, rien que pour cela, on espère qu'elle arrête vite de parler, qu'elle passe vite àa la suite... Même si elle est claquante et brulante...
    Les six premières claques de Maman me replongeaient dans mes pires souvenirs, le bruit, la sensation étant les mêmes à 13 qu'à 23 ans.
    D'émotion, j'éclatai en sanglots. D'émotion plus que de mal, car ces premières tombaient sur un épiderme reposé, vierge de claques depuis quatre ans, et de fessée annoncée depuis bien plus encore.
    Ma lune étant plus épanouie, il fallait bien plus de claques pour en rosir toute la surface, plus encore pour la rougir, plus encore pour la rendre vraiment écarlate.
    Je compris dès le début que Maman irait au bout de son "oeuvre", et je savais qu'il y aurait des pauses, des reprises, des rythmes différents, des moments très forts et d'autres plus minutieux, et qu'il valait mieux ne pas sur-réagir, ne pas jouer la comédie, ne pas supplier trop tôt, ni demander grâce avant que mes fesses ne soient incandescentes.
    Mais, Dieu que c'est dur d'être ainsi claquée, tannée comme une ado turbulente, et si les sensations des premières minutes me faisaient penser que ce n'était pas si douloureux que ça, la suite montait d'un cran à chaque reprise de la fessée maternelle... Et je n'étais pas encore sortie d'affaire...

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  4. Chère Christine,

    Flûte, alors ! Les impressions de Christine 23 devancent ma suite du synopsis et la grande Christine, va penser que je paraphrase, son écrit ! Ce qui n'est pas le cas, puisque j'en avais commencé la rédaction avant la réponse, en m'efforçant d'être dans la peau de Christine, avec ma propre expérience !
    J'espère donc que vous apprécierez néanmoins, cette suite et que vous pourrez rebondir sur celle-ci, en apportant votre pensée !

    Amicalement, Dominique,

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  5. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain, suite du vécu de la fessée, coté Christine :

    Maman resserrant son étreinte et respirant profondément, m'asséna alors six fortes claques rapides réparties sur mes deux fesses ! Mon dieu ! Quelle sensation de retour en arrière, ayant presque oublié combien cela faisait mal ! D'autant que ma lune, sortant de la douche était toute fraîche, avec une épiderme encore humide et plus sensible ! Puis elle s'arrêta ! Alors qu'à une certaine époque, j'avais vécu des fessées maternelles très vives, bien plus longues, sous l'effet d'une colère, me laissant sur les genoux, tellement la douleur et la brûlure étaient insupportables !

    Il me fût donc impossible de retenir, des « Aie, Ouille » et me mettre à pleurer, comme au temps de mon adolescence, en me cabrant sous l'effet de celles-ci, et que nous étions seules, Maman et moi (en théorie) ! Après ces premières claques ravivant mes souvenirs, Maman fît une longue pause en passant sa main sur mes fesses, comme si elle voulait en prendre la mesure ! Il est vrai qu'elles ne présentaient plus, ni la même vision, ni la même fermeté qu'à 13 ans ! Me relâchant !
    Je compris très vite, que Maman se préparait à un marathon sur ma lune, l'une de ces fessées méthodiques et interminables que l'on oublie pas, tellement vos fesses cuisent et recuisent sous l'effet des claques à répétition et vous transformait, le bas du dos, en éruption volcanique !

    Ce qui me faisait très peur, connaissant l'expertise de Maman, car si j'avais bien senti ces premières claques me replongeant à l'époque de mon adolescence, celles-ci était néanmoins supportables, mes petits cris et mes pleurs, étant plus une réaction d'orgueil de me retrouver à 23 ans, dans cette fâcheuse posture et me faire claquer une lune bien découverte, comme à 13 !
    Mais ce que je craignais le plus, après cette pause, c'était la suite ! Ayant bien saisi que Maman n'allait pas bâcler cette correction (que je méritais), en prenant le temps de bien rougir mes fesses et raviver le souvenir de ces tannées, qui avaient émaillé ma jeunesse !
    Ma peur était vraiment profonde, car ce type de fessée devenait au fil des séries reçus, de plus en plus insupportable ! La main de Maman tombant alors, soit sur une zone déjà endolorie s'ajoutant aux précédentes couches, soit sur des endroits encore vierges, tel le haut des cuisses formant la jonction avec les fesses et beaucoup plus sensible, que le gras de celles-ci !

    Et j'en allais avoir une confirmation éclatante et même infantile, de la part de Maman, qui s'aidant de la voix, repris ses litanies des « Tiens, tiens, tiens et tiens ! » ou « Ah, tu la sent bien ma main ! Écoutes comme elle claque, tes fesses ! » ou encore « T'en fais pas, je bien les rougir, pour que tu te souviennes que faire des cachotteries et mentir à sa mère, n'est pas raisonnable, pour une grande fille de ton âge ! ».

    Bizarrement, j'avalais tous ses propos, sans réagir ! Certainement absorbée que j'étais, par la douleur et la cuisson de ma lune, ainsi que sa température qui grimpait, sans relâche ! Là, comme on dit, je n'étais vraiment pas déçu du voyage, qui me transportait vers le passé et que j'accompagnais par les mêmes rituels, gros sanglots, gémissements à rallonge, petits cris ! Pas de doute, Maman savait y faire en matière de fessées et si je pensais au départ, être plus résistante que cela, j'ai assez vite déchanté, en redevenant la vilaine petite fille que sa Maman, punie pour ses bêtises !

    Sensation extraordinaire à 23 ans ! Mais chaviré par l'événement, je me comportais ainsi, suppliant Maman d'arrêter, que j'avais bien compris la leçon, entre deux sanglots !

    A suivre...........

    Amicalement, Dominique

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  6. En effet, le ressenti christinien, vu par Dominique, est tout à fait conforme à ce qu'il aurait pu être si le synopsis s'était déroulé dans la réalité.
    Je ne peux qu'adhérer et constater l'excellente connaissance du psychisme christinien sous la plume dominicaine.
    C'est vrai aussi que j'imagine bien que si les réactions de la punie étaient assez modérées au début de la fessée, quand ce qui touchait le plus était cette sensation de retour à la case ado, cette honte d'être la lune à l'air, cette atteinte à la pudeur de la jeune adulte, ces mêmes réactions allaient grandir avec la durée, et avec la douleur croissante.
    Et, là, plus question de pudeur, plus question de retenue, quand le bas du dos devient un petit brasier.
    Cela donne forcément quelques ruades, quelques timides tentatives de se dégager, et surtout des cris et des supplications que rien ne force à être retenus, puisque la fessée se déroule (théoriquement) à l'abri de tous les regards, et loin des oreilles curieuses des soeurs aux aguets dans leur chambre, comme c'était le cas lors des années collège...

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  7. Chère Christine,

    Chère amie ! Si vous le permettez ! J'apprécie votre vue sur la transposition des rôles et le fait de ma connaissance, sur les pensées Christiniennes ! Ceci ne résultant que d'une imprégnation de ses écrits, dans lesquels je puise, en l'associant à ma propre expérience ! Qui j'avoue est plus celle d'un spectateur, que d'un acteur, même si j'en ai connu de sévères de la part de Maman ou Tata !

    Sinon je vois que vous avez bien relever le « théorique » d'un duo entre Maman et Christine 23 ans, sauf qu'une fouineuse toujours aux aguets, va faire son apparition ! Vous voyez, je suis gentil, en vous délivrant un indice sur les suites du synopsis, qui seront chaleureuses pour d'autres !


    Amitiés, Dominique,

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  8. J'avais en effet relevé "l'indice" du futur rebondissement... Maintenant, j'attends la suite avec une certaine curiosité, même si cela risque de rendre plus honteuse encore Christine 23... Je me dis même que, le moment venu (mais ne brulons surtout pas les étapes), je pense que je pourrais aussi compléter le "quatre mains", en imaginant ce que ressent l'espionne, en regardant la scène, avant d'être découverte...

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  9. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, vécu de la fessée de Christine, coté Maman Spaak :

    J'avais évidemment compris que Christine, aurait bien souhaité que cela s'arrête là ! Mais je me devais en tant que mère et malgré ses 23 ans, la punir, pour lui faire admettre qu'elle avait mal agit, vis à vis de moi, même si cela me chagrinait de lui administrer une fessée, à cette âge !

    Mais comme celle-ci en avait fait le choix, je pris mon courage à deux mains et je passais aux choses sérieuses qui devaient, je le suppose, lui faire remonter une foule de souvenirs ! Je me mît alors à claquer ses fesses, sur un rythme soutenu, tout en me rendant compte que celles-ci avaient bien évolué depuis le temps de son adolescence et qu'il me fallait donc accentuer, mon mouvement de bras, pour qu'elle ressente que je ne plaisantait pas, qu'il s'agissait d'une punition, non d'une distraction ! Et le timbre de sa voix, augmenta, au fur et à mesure que j'enchaînais les claquées, faisant des pauses plus longues, tant pour elle, que pour moi ! Car ma main rougissait également et devenait de plus en plus chaude !
    Oh bien sur ! J'en avais l'habitude avec mes trois filles et au fil du temps, celle-ci s'était tannée naturellement ! Mais là, ce fessier présent sous mes yeux, ne ressemblait en rien, à celui d'une gamine qu'il suffit de claquer fortement, pour que la demoiselle en ressente l'effet et fasse sa rédemption, ne supportant plus la douleur et la brûlure !

    Non ! là ! Il me fallait continuer, pour que Christine et moi-même soyons en harmonie, avec nos décisions d'adultes ! Moi ! Lui proposant un choix difficile entre deux solutions et elle acceptant l'une d'elles, de son plein gré ! Je ne pouvais donc que respecter nos engagements mutuels et ne pas faillir ! Quitte à user ma main et me sentir, ennuyée de corriger ma grande fille, de cette manière!Alors qu'elle n'était plus une gamine, comme pouvait l'être encore sa plus jeune sœur, pourtant brillante, elle aussi ! Mais trop impulsive par moment !

    Alors que je donnais la fessée à Christine, depuis un bon moment et donc la sonorité de voix s'amplifiait, petit à petit ! Ayant l'oreille fine, j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir, la chambre de Christine étant la plus proche du vestibule et comme celle-ci était fermée à clé, il ne pouvait s'agir que de quelqu'un de la famille, ma sœur ou l'une de mes filles ! Je ne saurais dire si Christine avait entendu également, étant surtout préoccupée par ce qui tombait, sur ses fesses !

    Et là,! J'aperçus ma petite Diane qui était venu, je ne sais quoi faire ! Mais qui alertée par les bruits se glissa dans le couloir, de manière à voir, sans être vu ! Sauf qu'elle avait oublié le miroir de la coiffeuse de Christine donnant sur le couloir et me permettant ainsi de voir sa tête, avec des yeux pétillants et un beau sourire ! En moi même, je me dis, toi ma petite fille, tu rigoleras moins tout à l'heure ! Mais ne voulant pas rajouter, un élément supplémentaire au désarroi de Christine, qui ne retenait plus ses émotions ! Je n'interpellais pas Diane et fît une dernière pause, en m'adressant à Christine, sous forme de message à l'encontre de sa petite sœur, pour qu'elle décampe de son poste d'observation !
    « Ma grande, c'est bientôt fini et j'espère que tu retiendras bien la leçon ! Car vois-tu cela m'ennuierais beaucoup d'avoir à renouveler ça, avec toi ! D'autant que j'ai assez à faire avec ta petite sœur, qui elle en ce moment n'en loupe pas une et cherche vraiment les ennuis, à répétition ! Mais je te sais assez intelligente, pour le comprendre, à l'inverse de Diane ! ». J'accompagnais mes dernières paroles, d'un mouvement de tête vers le miroir, en fronçant les yeux et ma petite fille disparue !

    A suivre..........

    Amicalement, Dominique

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  10. EN IMAGINANT LES PENSEES DE DIANE :
    On ne me la fait pas. Que Maman nous expédie Aline et moi chez Tata jusqu'au lendemain midi, cela cachait forcément quelque chose. J'ai bien tenté d'en savoir plus, mais Tata Jacqueline est restée dans le vague, évoquant des choses à faire entre Maman et Christine. Je n'arrivais pas à m'ôter de l'idée qu'il y avait peut-être une chaude explication qui se préparait, à propos de Christian et des cachotteries de ma soeur...
    J'y ai repensé au cours de la nuit et j'imaginais Christine punie par Maman de la plus honteuse des façons, mais n'était-ce pas celle qui avait toujours "le mieux marché" avec ma grande soeur, comme Maman se plaisait parfois à le répéter.
    Ne tenant pas en place au matin, j'ai demandé à Tata quand nous pourrions rentrer à la maison, prétextant des cours à réviser. Maman ayant dit "pas avant midi", Tata avait tout de même appelé sa soeur au téléphone pour savoir si je pouvais venir plus tôt... Mais, Maman avait répondu que "ce n'était surtout pas le moment", ce qui a encore plus attisé mon attention.
    Une idée m'est alors venue. Prétexter aller à la librairie voir si ma commande de livre était arrivée et en profiter pour aller espionner à la maison...
    Tata ne vit pas ma manoeuvre et me laissa sortir, sans se douter de rien.
    Cinq minutes après, j'étais à la maison. Sans bruit, je guettai depuis le jardin, derrière la fenêtre de la chambre de Christine, qui était au rez-de-chaussée depuis que nous avions déménagé. J'ai aperçu Maman et ma soeur qui étaient en pleine discussion, mais quand Maman s'est assise au bord du lit, et que je voyais ma soeur trembler, je compris que j'arrivais au bon moment.
    Derrière la vitre, je voyais Maman de dos, ce qui n'était pas l'idéal et je risquais de me faire voir puisque nous étions dans la journée.
    Mieux valait rentrer à pas de loup, ce que nous savions faire lorsqu'il nous arrivait de tarder un peu dans une soirée et de dépasser l'heure accordée par Maman.
    Je réussis tant bien que mal à ne pas faire de bruit avec la porte d'entrée, que Maman avait fermé à clef, preuve de sa volonté de ne pas être dérangée...
    Je me glissai dans le vestibule, me cachant derrière une plante et réussissant en écartant les feuilles à avoir une vision directe de la scène.
    J'hallucinais. Christine chignant comme une gamine et s'approchant en tremblant des genoux maternels, c'était incroyable. On me l'aurait raconté, j'aurais dit que l'on exagérait. Sûr qu'Aline n'en reviendra pas quand je lui raconterai. Mieux vaut donc ne pas perdre une miette du spectacle...
    La plongée de Christine en travers des cuisses maternelles, la jupe qui remonte et puis, mais si, j'écarquille les yeux pour enregistrer l'image, mais si..., c'est vrai ! la culotte qui descend et les fesses de ma grande soeur qui apparaissent tremblantes et toutes blanches...
    Je me souviens, déjà quand on était gamines, et que l'on guettait les fessées de Christine, on trouvait ses fesses impressionnantes, différence d'âge aidant.
    Là, alors que les genoux de Maman étaient les mêmes depuis notre enfance, cette grande lune blanche étalée sur ses cuisses, cela ressemblait à un gros tambour.
    Maman, elle même, semblait impressionnée, et sermonnait Christine, en l'assurant qu'elle allait recevoir la fessée magistrale qu'elle méritait. Je sentais bien que Maman tenait à s'appliquer, à ne surtout pas manquer ce retour de ma grande soeur sur ses genoux...
    La fessée s'annonçait donc longue, appliquée, méthodique, déterminée, et elle le fut, j'en garde en moi le bruit et l'image de chaque claque et pourrais la raconter seconde par seconde.
    A SUIVRE

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  11. SUITE ET FIN
    Alors que je devinais que l'on allait vers la fin ou les ultimes pauses avant le dénouement, je tentai de mieux regarder encore, mais je m'aperçus que le miroir de la coiffeuse de Christine risquait et refléter ma présence. Je crus même un instant être découverte, mais Maman, après une hésitation reprit la tannée de Christine.
    J'ai préféré me replier, et sortir sur la pointe des pieds de la maison. Je tirai la porte d'entrée, sans la refermer à clé, pour éviter un bruit qui me trahirait, et je filai vers chez Tata, où je racontai que le libraire n'avait pas reçu ma commande. J'avais une mine hilare et les yeux pétillants. Aline me demanda pourquoi, je lui répondis que je ne pouvais pas lui dire maintenant, mais que j'en aurais une bonne à lui raconter...

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  12. Chère Christine,

    Que dire chère conteuse ? Après ce complément à quatre mains, confirmant notre pensée commune ! Moi, dans l'imaginaire m'appuyant sur vos écrits et vous dans le vécu, vos sœurs n'ayant pas ménagé votre sensibilité, par le passé, surtout la benjamine très finaude ! Mais qui va avoir une grosse surprise avec Maman et assez désagréable !

    La suite coté Christine arrive, tout de suite après ce message ! Amitiés

    Amicalement, Dominique,

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  13. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain, suite du vécu de la fessée, coté Christine :

    Les séries de claques maternelles entrecoupés de pauses furent nombreuses, combien au juste, je ne saurais le dire ! Par contre la douleur devenait de plus en plus insupportable et je sentais bien que ma lune, montait en température et allait finir en ébullition ! Aucun doute, Maman savait parfaitement tannée le cuir d'une jeune fille ou d'une jeune femme !

    Son expérience en la matière était indéniable et malgré mes 23 ans, j'avais les mêmes réactions
    qu'une fillette punie par sa Maman, comme elle le méritait ! Suppliant et promettant monts et merveilles, tout en pleurant à gros sanglots ! Poussant des petits cris, sous chaque claque, comme je le faisait dix ans en arrière !

    Et ce sentiment de honte insurmontable, d'être à nouveau dans cette position détestable, sans culotte ! Moi ! La grande pudique !!!! Je crois d'ailleurs pouvoir dire, quand dehors de la douleur bien présente, c'est cette notion qui me faisait pleurer davantage !

    Me rappelant un flot de souvenirs, celle-ci ne m'ayant pas quitté, envers ma nudité ! Fermant bien la porte, pour ma toilette ou une douche ! Préférant les culottes bien couvrantes ! Rajustant souvent mon maillot de bain, à la mer ou à la piscine, de peur qu'on découvre quelque chose ! Sursautant lorsque Maman, entrait dans la salle de bains et que j'étais nue, alors qu'elle connaissait très bien mon anatomie et en particulier mon bas du dos, donc elle s'occupait assez souvent, à mon corps défendant !

    Je n'avais quasiment plus d'énergie, après mes ruades sous l'effet du long tannage maternel, qui cuisait mes fesses, à n'en plus finir ! Et pourtant, mon dieu ! Combien en avais-je connu d'autres de ce type, à une certaine époque ! Me relâchant complètement, je laissais donc Maman accomplir la tâche qu'elle s'était fixée et que j'avais « accepté » !

    Celle-ci observa alors une nouvelle pause, mais sans desserrer son étreinte et pris la parole me servant une mise en garde classique et logique, tout en faisant une comparaison avec Diane, donc je ne saisissait pas vraiment le fond, par rapport à mes propres fautes ! Sauf que moi, je n'avais pas vu l'espionne et que Maman s'était bien gardée, dans faire état ! Se réservant le droit, d'en discuter avec l'intéressé !

    Maman resserrant son étreinte, m'asséna une dernière volée de claques assourdissantes et vives, ce qui je le savais signifiait la fin de la fessée, mais me fît pousser de grands cris ! Maman laissant tomber sa main lourdement sur chacune de mes pauvres fesses, qui n'en pouvaient plus ! Puis elle arrêta son bras, celui-ci devant être fatigué, après cette tannée exemplaire ! J'étais moi-même épuisée ne pouvant faire le moindre mouvement, telle une poupée désarticulée, sur les genoux de sa mère ! Ses mains se firent douce, passant celles-ci tendrement sur mon dos, pour que je reprenne mes esprits et m'indiquer que la punition était terminée !
    Elle m'aida à me relever et se levant également, m'ouvrit ses bras, je l'enlaçais en posant ma tête sur son épaule, pleurant toujours et sans me préoccuper de mon pyjama et de ma culotte, que j'avais sur les chevilles ! Ce signe maternel était celui du pardon, j'avais fauté et punie en conséquence, comme je le méritais, en ayant choisi le mode de punition, chose que je n'aurais jamais pu faire à 13 ans !

    A suivre.............

    Amicalement, Dominique

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  14. Chère Christine,

    Petit ajout amical de ma part, j'aurais presque envie de poursuivre les pensées de Diane et le dialogue entre les deux sœurs, l'une ayant été toujours plus moqueuse à l'égard de l'aînée des Spaak ou même d'Aline, puisque moins soumise aux foudres maternelles, de par sa roublardise à détourner les vents, sur l'une des deux autres, étant la petite dernière !

    Je vous dis cela, car étant le dernier de ma fratrie et assez docile, j'en ai un peu profité ! Ce qui n'est pas très glorieux, je l'admets bien volontiers ! A l'inverse de ma carrière militaire !

    Amicalement, Dominique,

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  15. Voulez-vous que j'imagine ce dialogue entre Diane et Aline ? Je vois bien comment la moqueuse raconterait à sa soeur sous le sceau du secret ce qu'elle vient de voir, en lui faisant promettre de ne rien dire ?

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  16. Chère Christine,

    Avec grand plaisir, Chère Christine, vous êtes sans conteste la mieux placée ! Et je ne voudrais en aucun cas vous voler la primeur de celui-ci, qui je n'en doute pas un seul instant, sera bien plus fort que mon imaginaire !

    Par contre, je suis un peu déçu de l'absence de réaction, sur la suite du synopsis, coté Christine ! Même si vous l'avez validé, preuve qu'il vous a convenu ! Vous voyez, moi aussi, je peux être exigeant, malgré qu'il s'agisse de votre espace dont je suis l'un des hôtes, apprécié !
    « Mais quel prétentieux ce garçon, c'est bien un mâle dans toute sa splendeur ! »

    Amicalement, Dominique,

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  17. Qui ne dit mot consent, dit le proverbe. Je n'ai pas réagi sur l'instant sur la suite du synopsis côté Christine, en effet, mais j'ai apprécié, notamment les références fort justes à ma pudeur naturelle, et les gestes de réconciliation post-fessée entre mère qui pardonne, une fois que la punition a en quelque sorte absout la faute.
    Cela dit, je n'ai pas eu non plus de réaction développée sur l'épisode 77, mais, moi, je ne râle pas pour autant, hi hi...

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  18. Chère Christine,

    C'est exact, Chère Conteuse et je vous présente toutes mes excuses ! Mais il est vrai qu'absorbé par le synopsis, j'ai un peu négligé l'épisode et j'admets que vous n'avez exprimé aucun grief à ce sujet !
    Ce que mon excès d'impertinence, a provoqué, un peu comme une gifle soudaine !
    Je vais faire en sorte de me rattraper, pour être si possible, pardonné par la Chère Christine, comme la fait Maman dans le synopsis ! Enfin en moins intime, bien entendu, hi hi......

    Amicalement, Dominique,

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  19. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, vécu de la fessée de Christine, coté Maman Spaak :

    Après cet intermède d'espionnage de la petite Diane, je repositionnais Christine qui avait gigoté, sous l'effet de la fessée et lui servait alors une dernière salve, plus forte et vive ! Ce qui la fît craquer, comme lorsqu'elle avait 13 ans, lâchant de grands cris et pleurant tout son saoul ! Puis je la gardais sur mes genoux, pour qu'elle se remette de ses émotions, passant mes mains dans son dos, en signe d'apaisement ! Enfin je l'aidais à se relever et me relevant également, je lui ouvrit mes bras dans lesquels, elle se jeta, en posant sa tête sur mon épaule pour finir d'y pleurer !

    Je mettais montrée sévère, mais il le fallait ! Le compte étant réglé, c'était le temps du pardon pour moi, tout en gardant une condition de mère, sachant chérir ou punir mes filles, en cas de nécessité ! Sans excès, ni violence, mais avec détermination et volonté, de faire passer la leçon ! Je savais que Christine n'étant pas idiote, l'avait compris et lui prenant le visage, dans mes mains, je l'embrassais ! En lui disant sur un ton de Maman, aimante !

    « Je te pardonne, ma chérie ! Tu as fait une grosse erreur, mais tu l'as assumé et je t'en félicite ! Je n'en attendais pas moins de toi ! Je t'ai puni, car tu le méritais et je suis fière que tu es pris la bonne décision, même si elle n'était pas facile pour toi ! Je sais que ça été dur, mais c'est fini en ce qui te concerne ! Par contre, j'ai d'autres comptes à régler, avec certaines personnes, ce que je ferais tout à l'heure au moment de l'apéritif ! Maintenant repose toi et fait toi belle, ma fille, pour nos invités ! Ah, une dernière chose, je souhaiterais et j'apprécierais que tu me présente Christian, que je n'es aperçu qu'une fois au marché ! »

    Christine était un peu dubitative, sur mes derniers propos et malgré des yeux encore larmoyants, elle m'embrassa à son tour, en prononçant quelques mots auxquels je n' était pas habitué, surtout après une tannée en règle !

    « Maman, je t'aime énormément et merci pour ton pardon ! », l'enlaçant à nouveau très fort, je la laissais tranquille dans sa chambre, ayants des choses à faire pour l'anniversaire d'Aline et me préparer moi-même, à la réception de nos invités, avec quelques surprises de ma part pour certains !

    J'avais, en effet, bien l'intention de discuter avec ma sœur, Caroline et Dom de leurs attitudes, vis à vis de moi, ceux-ci m'ayant quelque peu trompée ! Certes, je me doutais que c'était le vœux de Christine qu'aucun ne me fasse de confidence sur sa liaison, avant elle ! Mais la connaissant, je savais qu'elle aurait du mal à aborder, le sujet avec moi, malgré sa maturité et son intelligence ! Et je regrettais surtout qu'aucun d'eux n'est outrepassé, cela, pour m'en informer même d'une façon édulcorée, pour minimiser ma réaction de mère plutôt stricte, sur certaines choses !

    Alors, bien sur, avant que ma rapporteuse de Diane ne lâche sa fameuse information, j'avais au cours de l'après-midi de la veille, obtenu celle-ci de la part de ma petite sœur que je sentais perturbée, tandis que nous allions chercher le cadeau d'Aline et insistant sur son état, elle me l'avait délivré ! J'étais donc très déçu, par ma sœur, mais aussi par Caroline et Dom, qui avaient couvert cette idylle, à mon égard ! Certes, je venais de punir ma fille, mais j'avais une certaine rancoeur les concernant, sans parler de Diane à qui je réservais une drôle de surprise !

    A suivre...............

    Amicalement, Dominique

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  20. Chère Christine,
    Analyse épisode 77.

    En ce troisième jour de rentrée, l'angoisse de Christinette grimpait de plus en plus, ainsi que sa tension, se sentant épiée dans ses moindres faits et gestes tant par Maman bien sur, mais également par les frangines et notamment la plus jeune, prête à allumer la mèche qui déclencherait un incendie sur les fesses de la grande sœur ! Ceci la rendant plus que nerveuse, vis à vis de tout le monde et dés le petit-déjeuner, avec la petite sœur, qu'elle renvoie sur les roses !

    Sauf que Maman ne l'entend pas de cette oreille et recadre aussitôt sa grande fille, en lui proposant le calmant qu'il lui convient le mieux, à savoir une bonne fessée, même si le mot n'est pas prononcé !

    Loin de tempérer son énervement, Christine, encaisse d'autres remarques lors du repas, mais de manière désinvolte qui aggrave ainsi son cas, Maman renouvelant alors la menace matinale, la soupape de sa patience commençant à siffler, plus fort et que n'étant pas du genre à se répéter, sans cesse, cette menace se transformerait vite en exécution immédiate !

    Néanmoins l'entêté que pouvait être Christinette, s'enferre sur son coté grognon, plutôt que de la jouer cool avec Maman et manifeste cet état, en présence de la couturière, lors d'un essayage qui la barbe et laisse échapper à voix basse, la réflexion de trop qui fait déborder la coupe maternelle.

    Ce qui déclenche aussitôt sa réaction, n'étant pas sourde ! En transformant les diverses menaces, en promesse, une fois la couturière partie ! Bien entendu, Christinette, tente de se rattraper aux branches, mais il est trop tard et Maman réaffirme la promesse, en renvoyant la demoiselle dans ses quartiers, l'attendre ! Cela voulant tout dire pour la jeune fille, qui dés lors, sais ce qu'il l'attend ! En n'en ayant d'ailleurs la confirmation, une fois dans le couloir, même s'il elle n'avait aucun doute sur la manière donc Maman, allait la calmer, celle-ci étant la règle dans la maisonnée !

    C'est donc une Christinette dépitée qui se retire dans sa chambre et honteuse, que la couturière sache qu'elle allait se prendre une bonne fessée, même si Maman n'avait pas ajouté déculottée, cela la consterne !

    A suivre............

    Amicalement, Dominique,

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  21. Consternée en effet, je l'étais, en constatant la tournure des événements, en voyant que mon pressentiment était le bon, que, depuis ma réponse impolie, et ce "Tais-toi donc" lancé à Maman dimanche soir, j'allais devoir payer la note, déjà heureuse qu'elle ne m'ait pas déculottée sur le champ.
    Depuis trois jours, cela me pendait au nez, et la rentrée n'arrangeait rien, dans un contexte où Maman se "devait", du moins le pensait-elle, se devait donc de ne rien céder en ce début de trimestre décisif, quitte à faire des exemples le plus tôt possible...
    J'aurais dû m'en douter, et d'ailleurs je m'en doutais, et c'est bien pour cela que j'étais aussi nerveuse, ce qui paradoxalement était la plus mauvaise des attitudes en la circonstance. Mais, je n'étais pas du genre à jouer la comédie des petites filles modèles comme mes soeurs, et quand quelque chose m'agaçait, j'avais du mal à prendre suffisamment sur moi pour ne rien dire.
    Je m'en voulais encore plus d'avoir exprimé ma mauvaise humeur devant une tierce personne, et d'avoir dû vivre ce moment de honte de se voir promettre une fessée en présence de la couturière. Et, comme si je n'en avais pas assez de cette honte, il a fallu que j'écoute ce que Maman disait derrière moi, confirmant à Jeannette que c'était bien mes fesses que je devais préparer, et lui expliquant qu'il n'y avait "rien de tel pour calmer Christine", ce qui montrait bien à notre couturière que l'événement n'avait rien d'exceptionnel et que l'ainée des Spaak était encore soumise au régime des bonnes déculottées, et ceci sûrement plus souvent qu'à son tour...
    Tout cela était en effet bien pénible à supporter pour celle qui montait dans sa chambre, attendre que Maman vienne lui donner la bonne fessée promise, une fessée qu'elle redoutait d'autant plus qu'elle savait qu'elle "démangeait" la main de Maman depuis trois jours, et n'en serait que plus déterminée...

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    1. Bonjour,
      Après plusieurs mois de diète (vacances prolongées, panne d'Internet...) je redécouvre avec plaisir la suite des aventures de Christine, ses sœurs... et leur entourage !
      Un grand merci à Dominique qui est un conteur diabolique (ou divin). Ce développement du blog vers les mésaventures de jeunes filles majeures (23 ans, 19 ans...), mais néanmoins toujours soumises à l'autorité parentale, correspond en outre beaucoup plus à mes fantasmes rêvés ou vécus.
      Continuez tous les deux.
      Bien amicalement

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  22. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, l'après fessée pour Christine :

    Mon dieu, que j'étais bien dans ses bras, ses mains passant tendrement sur mon dos, comme un réconfort après la punition, j'avais été punie, mais j'étais pardonnée et je ne lui en voulais pas, elle avait simplement respecter son devoir de mère ! Et m'aimait profondément, comme mes sœurs !

    Me prenant le visage, entre ses mains, pour que je le regarde ! Elle me livra un petit monologue très maternel plein de tendresse, empli d'amour et de satisfaction envers moi, tout en me confirmant son pardon ! Par contre, elle m'informa qu'elle avait d'autres comptes à régler, pour d'autres personnes et qu'elle s'en chargerait, lors de l'apéritif ! Ajoutant qu'elle aimerait bien que je lui présente Christian !

    J'avoue que j'étais un peu désorientée, venant de prendre une volée mémorable, n'aspirant qu'à un repos et une tranquillité, tout aussi mérités que la fessée maternelle ! Encore sous le coup de mes émotions, je l'embrassais à mon tour, en l'enlaçant et à ma grande surprise, lui lâchait un « Maman, je t'aime énormément et merci, pour ton pardon ! ». Jamais, je ne me serais crue capable de débité une telle phrase, après une volée en règle, me contentant 10 ans auparavant de faire des promesses à rallonge sur ma bonne conduite ou mon travail, que j'avais à l'époque bien du mal à tenir, alors que Maman savait honorer les siennes, à savoir : Fessée promise=Fessée donnée, sans rémission et je dirais même, pour moi l'aînée, tannée mémorable et les souvenirs ne manquaient pas à mon esprit !

    Elle quittât donc ma chambre, me laissant seule, ayant des préparatifs à faire pour nos invités ! Je me jetais alors sur mon lit, comme 10 ans en arrière, pour digérer une épreuve que je n'avais plus connu depuis ce temps, mettant de coté l'épisode du départ de mon père ou le contexte entre mère et fille, était un sentiment de colère mutuelle, qu'il fallait libérer sur l'instant !

    Ce qui n'était pas le cas, pour cette faute ou Maman avait pris le temps de réfléchir sur ce qu'elle devait faire, vis à vis de sa grande fille de 23 ans, étudiante brillante et intelligente ! Celle-ci avait donc comme orchestré le scénario, écartant volontairement les plus jeunes sœurs et laisser à son aînée, le choix de la punition, en souhaitant au plus profond d'elle-même, qu'elle opte pour la première !

    Tout cela, je l'avais évidemment compris, mais un tel retour sur le passé était terrible pour moi et je venais de le vivre ! Maman m'ayant offert un choix, à l'inverse de mon adolescence ou je n'avais qu'à préparer mes fesses, à sa juste colère ! Dés lors, prise en deux feux, j'avais « accepté la fessée » comme plus supportable, qu'une mise à l'écart du cercle familial ! Ce à quoi, je ne m'attendais pas, est que Maman me remette dans le mêmes conditions, qu'à l'époque ou je devais faire gentiment ma toilette et l'attendre sagement en pyjama ou en tenue de fessée, devrais-je dire ! Ça c'était vraiment de l'inattendu, au même titre que d'avoir du faire un choix !
    Mais j'étais aussi consciente, que Maman n'avait plus face à elle, une gamine insouciance qu'il suffit de recadrer et lui rappeler, ses droits et ses devoirs, en la punissant par une bonne tannée, sans lui demander son avis ! L'obéissance et le respect, envers sa mère, étant de mise et ne se discutant pas !

    Allongé sur mon lit, pyjama et culotte toujours aux chevilles ! Je repensais à tous ces éléments, en passant ma main sur mes fesses, pour dissiper la chaleur qui y régnait ! Car Maman ne m'avait vraiment pas ratée et cela me replongeait, dans le souvenir de mes glorieuses années en matière de fessée ! Comment avais-je pu en arriver là, 10 ans plus tard ? A suivre..............


    Amicalement, Dominique

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  23. Chère Christine,

    J'ai comme l'impression que Christine a soit abandonné son blog ou alors comme d'habitude, elle est partie pour raisons professionnelles ou bien pour le plaisir, sans prévenir !

    Je sais le vieux grincheux se manifeste encore, mais il se demande simplement ou est passé sa conteuse et chroniqueuse préférée ? Néanmoins, j'ai préparé des suites du synopsis et d'analyse de l'épisode 77, que je vous livrerais dés votre retour.


    Amicalement, Dominique,

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  24. Non, je n'ai pas abandonné mon blog. Quelques soucis de santé (pas graves mais m'immobilisant une dizaine de jours) ajoutés à des impératifs de boulot qui tombaient mal, et j'ai préféré me déconnecter complétement. Je vais essayer de reprendre assez vite. Merci à Dominique pour ses contributions, et si certaines autres sont déjà prêtes, qu'il n'hésite pas à les envoyer. Cela me fera plaisir et me redonnera du coeur à l'ouvrage. Comme j'ai apprécié la façon dont il traduit les réflexions de Christine 23 laissée seule dans sa chambre et pleurant sur son lit, pyjama et culotte encore aux chevilles, "replongée" dans le souvenir de ses plus "glorieuses années" en la matière...

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  25. Chère Christine,
    Suite analyse de l'épisode 77 :

    Commence alors pour Christinette, l'angoissante attente imposée par Maman, en espérant que celle-ci apaise la colère maternelle. Mais à peine la couturière partie, la demoiselle déchante aussitôt, en entendant les ordres de Maman, donnés aux deux sœurs et leur enjoignant d'être tranquilles, durant le temps qu'elle s'occupe de Christine.

    La montée maternelle fait passer Christinette de l'angoisse, à la peur ! C'est la fessée qui arrive, sa fessée que lui a promis Maman ! Cette fois, c'est la bonne, après trois jours de menaces et Christine sais qu'elle n'y échappera pas, en voyant Maman prendre sa place habituelle !
    Les choses sérieuses sont en marche, une dernière promesse et une supplique, ne changeant rien à l'affaire que Maman est venue régler et en recadre le contexte, par la voix !

    Christine n'est pas vraiment surprise, d'en être là, après sa réflexion du dimanche envers Maman ou elle s'attendait a être déculottée, dans l'instant et obtenant au final un sursis inespéré de trois jours, tout en conservant de mauvaises grâces, au lieu de se tenir à carreau ! Le couperet ne pouvait que tomber et l'amener sur les genoux maternels ! Maman ayant des démangeaisons dans la main !
    Christinette ne résiste alors que symboliquement, par la parole, mais se plie à la volonté maternelle !

    Maman sans perdre de temps, retrousse alors la jupe et baisse amplement, la culotte ! Afin d'offrir à cette lune tremblante, ce qu'elle mérite ! Avant de démarrer les hostilités, elle cale correctement sa fille et lui ressert les griefs justifiant, cette nouvelle fessée « Ah, Mademoiselle répond et manifeste sa mauvaise humeur depuis trois jours ! Eh bien, Maman va calmer, la demoiselle ! »

    Débute alors pour Christinette, une valse maternelle, qui la fait danser et chanter, malgré son désir de retenir, ses émotions ! Mais l'expertise de Maman vient rapidement à bout de la résistance, de sa fille ! Maman étant très motivée à remettre de l'ordre, dans la tête de celle-ci, en s'aidant de la voix au fur et à mesure des claquées qui se succèdent, bien plus qu'à l'habitude !

    Maman Spaak ayant l'intention de marquer l'esprit de son aînée, bien au delà des griefs énoncés, en s'appuyant sur la scolarité de la demoiselle, dont elle n'acceptera aucun écart durant ce dernier trimestre ou alors Christine n'aura plus qu'à préparer ses fesses, qu'elle mettra au grand jour pour les claquer de la même façon et autant de fois qu'il le faudra !

    Débarque alors les deux frangines, sous un prétexte fallacieux, ayant juste dans l'idée de voir la grande sœur en fâcheuse posture, avec ses fesses de grande, bien rouges ! Bien entendu, Maman réexpédie les fillettes, en leur proposant de prendre la place de l'aînée, à la suite, si elles le veulent !

    La menace fait alors fuir les gamines, non tentées, par le même sort que la grande sœur ! Tout en ayant bien capté la scène et emmagasiné des images, propices à se moquer de Christine ! Oh, bien sur, pas sous le nez de Maman, pour ne pas risquer elles mêmes, une déconvenue maternelle !

    A suivre...........

    Amicalement, Dominique,

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  26. Chère Christine,
    Suite et fin de l'analyse de l'épisode 77 :

    L'arrivé impromptue des gamines, fait que Maman relâche un peu son étreinte et que la position de Christine, c'est légèrement modifiée ! Une fois les fillettes parties, Maman repositionne alors sa fille correctement et contemplant sa lune, donne son appréciation « Bon, voilà des fesses bien rouges, Christine, j'espère que tu retiendras la leçon ! », avec en réponse « Oui, Maman, promis. Mais arrête, ça suffit ! »

    Car Christinette n'est pas dupe, si Maman la bien recalée ! Ce n'est pas uniquement pour regarder ses fesses rouges et le confirme d'ailleurs par la voix « Je te rappel que c'est moi qui décide, de la fin et pas toi ! », tout en assénant une nouvelle série de claques assourdissantes, qui rythme ses paroles en forme de promesses pour le fessier, de Christine !

    Cette dernière, ne pouvant alors retenir ses exclamations, malgré la présence des petites sœurs, dans la chambre d'à coté et aux aguets, ses fesses ayant été déjà bien tannées par la main maternelle !
    Totalement vidée par cette fessée, Christine se laisse choir des genoux maternels, en s'accrochant aux jambes de sa mère, le visage inondé de larmes !

    La main de Maman, redevient alors caressante, accompagnée de paroles apaisantes et laisse sa fille à son chagrin, celle-ci ayant quelques difficultés à se remettre debout, gênée par sa culotte encore aux genoux et entrer dans l'après fessée, lors du dîner, en compagnie de deux moqueuses, qui l'avaient vu au travers des cuisses de Maman, déculottée et se faisant copieusement rougir la lune, par la main de celle-ci ! Images suffisantes, pour alimenter leurs sarcasmes !

    Amicalement, Dominique,

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  27. Efficace Dominique ! Il suffit de demander, et c'est déjà livré... Merci beaucoup.
    Je vais de ce pas écrire un peu, histoire de livrer une suite un de ces jours prochains.
    A très bientôt. Promis.

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  28. Chère Christine,

    C'est moi qui vous remercie, pour l'éventuelle suite de l'épisode 77 ! Mais en attendant, rien ne vous empêche de réagir à mes analyses de celui-ci et avant que je vous adresse les suites du synopsis, que j'ai préparé !

    Je sais Dominique, devient exigeant ! Mais ceci n'est du qu'à sa ferveur, vis à vis de votre blog et vos réactions au synopsis !

    Amicalement, Dominique,

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  29. Chère Christine,

    En marge des analyses sur vos épisodes, en revisitant mon synopsis, je constate que celui-ci comporte 72 pages d'écritures, soit presque autant que le nombre d'épisodes du redoublement ! Certes en moins consistant, mais je ne me pensais pas capable d'un tel travail de fond, surtout en matière de rédaction ! Où, en dehors de l'orthographe, si je n'étais pas trop mauvais sur les sujets, je n'avais rien d'exceptionnel ! Je crois avoir beaucoup progressé au contact de votre blog et vous remercie, d'avoir contribué, à cette élévation lettrée du petit soldat.

    Sinon, pour vous faire plaisir et vous apporter mon soutien, envers votre état de santé, je vous livre une suite du synopsis, que j'avais préparé.

    Amicalement, Dominique,

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  30. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, l'après fessée pour Christine :

    Etonnement je demeurais un long moment sur mon lit, sans remonter culotte et pyjama, sur ma lune endolorie, alors que plus jeune, ces gestes étaient quasiment un réflexe ! Voulant cacher au plus vite, ces fesses écarlates, que Maman avait savamment tannées et qu'il me fallait protéger des regards, ceci jusqu'à la prochaine déculottée mortifiant à nouveau, ma pudeur et qui, à l'époque, ne manquait pas d'arriver !

    Là, le contexte était différent ! Nous étions seules, Maman et moi à la maison ! Et ce n'est pas elle, qui serait venue dans ma chambre, contempler le résultat de son œuvre, dans la mesure ou je venais de passer un long moment sur ses genoux et qu'elle savait donc très bien, dans quel état, était mes fesses !
    Je pense que c'est cela, qui fît que je restais ainsi, allongée sur le ventre, à passer ma main sur ce postérieur que Maman avait bien soigné, afin d'en apaiser la cuisson, avant d'aller m'habiller et me faire une beauté, pour être présentable et ne rien laisser paraître, après cette correction maternelle !

    Cet après fessée, n'avait rien à voir avec ceux de mon adolescence ou j'appréhendais essentiellement les moqueries de mes sœurs et les références maternelles, à mes turpitudes et leurs conséquences !
    Là, non ! Oh, je me doutais bien que Maman n'allait pas faire de faux semblant, en précisant aux invités qu'elle m'avait rappelé mes devoirs (sans donner de détails, mais que tout le monde pouvait deviner, la connaissant) et lui permettant surtout d'engager ses règlements de compte, avec d'autres !
    Donc ma petite sœur, qui allait avoir une surprise très désagréable et à laquelle, elle ne s'attendait certainement pas, ni moi, non plus d'ailleurs ! Ainsi que les autres !

    Après environ 20 minutes, j'allais me préparer et rejoignais Maman, à la cuisine qui m'accueillit avec tendresse et amour « Comme tu es jolie, ma fille ! Si tu veux m'aider à préparer les festivités pour ta sœur, ce n'est pas de refus, car nous serons 11 à table ! », Maman m'avait sorti cela comme si rien ne s'était passé avant et j'en fût surprise ! M'étonnant également des intonations de ma voix, en lui répondant, qui ressemblaient plus à celles d'une fillette, bien punie et qui l'avait mérité, qu'à celles d'une jeune femme de 23 ans « Euh, oui, oui, bien sur M'man ! J'frais tout comme tu veux ! ».

    Trahissant ma crainte de replonger, à nouveau sur ce giron maternel, comme cela m'était déjà arrivée à une certaine époque et que je manifestais, mon aigreur d'avoir été punie ! Ce donc Maman, était tout à fait capable, de me remémorer !

    C'est donc une Christine, parfaitement docile et obéissante, qui aida aux préparatifs ! Répondant à la moindre sollicitation de Maman, qui le remarqua ! Lui permettant de conclure d'une manière, un peu vexante la punition reçue « Tu vois, Christine, que les bonnes vieilles méthodes sont toujours les meilleurs, n'est ce pas ? », tout en ravalant ma salive je fît un mouvement de la tête, en signe de « Oui », les mots s'étant bloqués dans ma gorge !
    Maman voyant que j'étais légèrement perturbée, elle me prit dans ses bras et me fît un énorme câlin, comme quand j'étais plus jeune, en me disant « Allez, ma grande, on oublie tout ça et tu me fais un grand sourire », il est vrai que j'avais deux larmes perlant au coin des yeux ! Ce moment de tendresse était divin et me confirmait que Maman, m'aimait profondément, ne voulant que mon bonheur, ainsi que celui de mes sœurs !

    A suivre...............

    Amicalement, Dominique

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  31. Chère Christine,

    Je m'aperçois en effet que je suis plus efficace que la Lady Christine, qui retombe dans les travers d'une certaine Christinette collégienne, insouciante, se contentant du minimum d'effort et au comportement chaotique, alternant le bon et le mauvais! Et ceci malgré les bons soins d'une mère attentive, non avare de bonnes claquées sur les fesses de la demoiselle pour lui faire comprendre qu'elle devait grandir dans sa tête !

    Bon, je reconnais que je ne suis pas trop plaisant avec Christine, mais sa dernière apparition remonte à 5 jours, alors que Dominique a livré 3 messages !!!! Donc, de quoi s'interroger !

    Amicalement, Dominique,

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  32. Oui, je ne peux qu'avouer que Dominique n'a pas tort... Je passe parfois par des périodes du genre de celles où Maman détectait un relâchement des efforts de son ainée, et ne tardait pas à menacer celle-ci du recours à des méthodes qui n'étaient pas du tout du goût de la demoiselle...
    Surtout que je savais bien que, faute d'un changement radical de comportement de ma part, elle n'hésitait pas à passer de la menace à l'action... Et j'avais beau protester ou promettre monts et merveilles, je me devais bien vite de préparer mes fesses, avant de le retrouver étalées en travers des genoux maternels, sans la moindre protection, pour recevoir une bonne fessée, qui, il faut bien le reconnaître, était méritée...
    Cela dit, la suite du synopsis dominicain a des accents fort justes en imaginant les retrouvailles mère-fille après que Christine 23 ait essuyé ses larmes. J'imagine assez bien cette dernière retrouver la petite voix timide de la gamine calmée et qui ne veut surtout pas que Maman ne se fâche à nouveau. Comme le discours moralisateur de Maman assez heureuse de constater que les bonnes vieilles méthodes sont toujours efficaces sonne très vrai dans sa bouche.

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  33. Chère Christine,

    Pour récompenser cette franchise et cet aveu de votre part, je vous fais un cadeau en vous livrant une suite du synopsis, qui j'espère vous plaira également !

    Sinon il est vrai qu'une certaine constance dans l'effort de travail, serait la bienvenue, afin que Dominique ne perde pas sa motivation, en tant que commentateur ou conteur de fortune !

    Amicalement, Dominique,

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  34. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, préparation du déjeuner et dialogue entre mère et fille :

    Maman me confia le dressage de la table, nappe, service et verres des grandes occasions, tout en me disant comme à une gamine !

    Maman : « Fais bien attention, ma grande, le service et les verres sont fragiles », ce qui eu le don de m'irriter un peu, sachant que ce n'était pas le couvert du quotidien et fronçant les sourcils, je répondis de façon légèrement effrontée !

    Moi : « Mais, enfin Maman, j'ai presque 23 ans ! Et je ne suis plus la gamine maladroite d'antan ! », celle-ci se mît alors à rire, tout en prononçant des mots inattendus, de sa part !

    Maman : « Mais bien sur, Christine, je le sais ! Et, c'était juste pour te taquiner ! Je n'ai aucun doute sur tes capacités d'attention, aujourd'hui ! Alors pardonne-moi, ma fille ! C'est moi qui suis en faute
    maintenant vis à vis de toi ! Allez, j'arrête mes bêtises et nous allons faire cela ensemble, si tu le veux bien, puisqu'à la cuisine ça mijote tranquillement ? ».

    Et en effet, tout en parlant de choses et d'autres, nous dressions le couvert dans la bonne humeur et les mêmes idées, sur le placement des convives ! Deux hommes étant présents (le père de Caro et Dom) d'un comment accord, leurs places étaient toutes désignées (en bout de table), Mme Lebrun et Maman, Tata Jacqueline à ses cotés, en face Caroline et moi, puis venait Sylvie et Bernadette, Aline et Diane ! Dom était donc plus proche des jeunes filles, que des adultes, mais je savais que cela ne le dérangerait pas, étant instructeur sur sa base, comme Christian et ayant une voix portante !

    Maman se fît alors curieuse au sujet de Christian, de façon gentille et aimable, afin d'en savoir un peu plus sur lui et se faire une opinion sur notre relation !

    Maman : « Mais dis-moi, Christine, sans vouloir te déranger ? Christian a t-il le même parcours que Dom dans la marine ? », un peu étonnée qu'elle me pose cette question sur mon chéri, de façon posée sans aucune animosité, me cloua le bec un instant, puis me ressaisissant je lui répondis !

    Moi : « Non, non, Maman ! Pas tout à fait, avant de s'engager, il a fait des études d'électrotechnicien et ayant obtenu son diplôme, il est entré directement à l'école de Maistrance ou il a rencontré Dom qui avait déjà 6 ans de carrière, ils sont devenus copains et depuis il ont presque suivi le même chemin, sauf que Dom a effectué des campagnes qui lui ont permis d'acquérir deux grades de plus que Christian, c'est d'ailleurs pour cela qu'il va partir en outremer pour six mois, fin septembre ! »

    Maman : « C'est ennuyeux pour toi, ma chérie, ce départ ! Mais si cela est utile à sa carrière, il faut qu'il le fasse et je suis sur que tu le comprends ! »

    Moi : « Bien sur, M'man et je ne ferais rien pour l'en empêcher, même si cela me contrarie et que j'éprouve des sentiments pour lui ! Et puis rien ne dit qu'à son retour, la situation sera la même, d'autant que Caroline et moi allons en entreprise, pour neuf mois, afin de compléter notre mémoire ! Il est donc possible que les choses ais changé, tant de son coté que du mien ! Oh, bien entendu, je ne le souhaite pas, mais je reste lucide ! »

    A suivre..........

    Amicalement, Dominique

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  35. Hi, hi, j'ai droit à un cours sur l'avancement dans la Marine ! Mais, je ne me moque pas, bien sûr. Dominique, lui au moins, fournit de quoi lire. Et cette complicité retrouvée entre mère et fille après la remise des pendules à l'heure, comme on peut dire, est assez bien vue. Merci.

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  36. Chère Christine,

    Non, non, ma chère ! Ce n'était pas un cours sur l'avancement du Marin que j'étais, ainsi que Christian qui entre guillemets, grâce à ses études, a terminé sa carrière à la tête de l'école des Fusiliers Marins, en tant que Vice Amiral (Général, dans l'armée de terre), alors que moi engager depuis l'âge de 15 ans à l'école des mousses, je ne pouvais aspirer qu'au grade de Lieutenant de Vaisseau (Officier Technicien ou Commandant) ! Ce qui fût le cas, tout en gardant mon amitié avec Christian, devenu pourtant mon supérieur hiérarchique ! Ça c'est un cours, hi, hi !

    En fait, j'ai intégré cela pour donner une consistance au dialogue entre mère et fille ! Et pour vous contenter je vous livre une nouvelle suite du synopsis et vous remercie pour l'appréciation finale !


    Amicalement, Dominique,

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  37. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite du dialogue mère, fille en attendant les invités :

    Maman : « Ah, là ! Je reconnais bien ma grande fille, posée, réfléchie, intelligente et sensée, dans ces décisions, sachant faire les bons choix ! Je suis fier de toi, Christine et c'est pour ces raisons, qu'il m'a fallut réfléchir, sur ton attitude pour l'histoire avec Christian, qui m'a vraiment surprise de ta part ! Non pas sur le fait que tu ais une relation avec un garçon, normale à ton âge, comme pour tes sœurs, mais sur le principe que tu m'en as tenu à l'écart, à l'inverse de ta Tante ! »

    Maman m'avait sorti ce petit monologue, sur un ton très maternel, sans excès de voix, comme une leçon moralisatrice avec simplement des accents de fierté et de déception, mêlés ! Je restais muette quelques instants, cherchant dans ma tête, quoi répondre et réconfortée par son attitude emplie de douceur et de bon sens, je me lançais à mon tour dans un monologue ou les mots sortaient clairement et naturellement de ma bouche, sans tremblement, ni balbutiement face à elle !
    Me surprenant moi-même, à me comporter telle une adulte responsable, reconnaissant ses erreurs et admettant, après coup, la punition reçue comme juste, même si elle avait été dure à supporter ! C'était comme si une nouvelle Christine était née, en ce jour ! Car au temps de mon adolescence, s'il m'arrivait de penser que finalement Maman n'avait fait que son devoir de mère ! Jamais ! Oh, grand jamais, je n'aurais été capable de tenir un tel discours !

    Moi : « C'est vrai Maman, je n'ai pas été honnête envers toi, comme me l'as dit Mme Lebrun qui m'avait d'ailleurs conseillé de t'en parler, ainsi que Tata, Dom et Caroline ! Mais tu me connaît assez, pour savoir que j'ai toujours us du mal à aborder certains sujets avec toi ou t'annoncer, un souci scolaire, me rangeant alors dans l'attentisme ou cachant ma bêtise, avec l'espoir qu'elle ne soit pas découverte ! Oh, bien sur, je savais quand cas d'échec, je ne serais pas gagnante, ces stratégies ne faisant que décupler ton courroux et ta volonté de sévir, plus fortement ! Mais c'est dans ma nature, craignant par dessus tout, tes punitions à mon égard ! J'ajoute que pour mon histoire avec Christian, ceux qui la connaissait ont respecté, mon désir de t'en parler la première, sauf que le temps passant et les circonstances diverses, m'ont encore joué un vilain tour ! Je suis donc bien consciente d'avoir commis une grosse erreur, qui méritait en effet une sanction ! ».

    J'avais débité tout cela, d'un seul trait, Maman me regardant et écoutant attentivement mes propos, sans m'interrompre, un peu surprise d'une telle confession de ma part, tout en semblant heureuse que je l'ai fait ! Se rapprochant de moi, elle prît mes mains, dans les siennes et reprit la parole !

    Maman : « Christine ! Je suis très fière de toi ma grande, pour cet aveu franc et sincère ! Cela me prouve que j'ai une grande fille intelligente, qui sait reconnaître ses erreurs et comprendre que la punition, aussi difficile soit-elle à ton âge, était méritée et que je n'ai fait que mon devoir de mère, même si ça me chagrinait, en l'exécutant ! Et je reste persuadée que c'était la meilleure des solutions proposées ! Allez, parlons d'autre choses pour l'instant et terminons nos préparatifs, pour les invités ! Je t'aime très fort, ma fille ! ».
    Maman m'embrassa et me pris tendrement dans ses bras, ce moment était divin, elle m'avait punie pour mes fautes et réglé ce compte, de la manière, qu'elle jugeait la plus judicieuse, même si c'était mortifiant pour moi ! Ne souhaitant absolument pas, me voir partir de la maison, à cause de cela !

    A suivre..............


    Amicalement, Dominique

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  38. Quelle jolie scène que mère et fille faisant la paix, en un moment de tendresse, une fois que la sanction méritée par la grande fille a été appliquée, sans faiblesse ni excès, de façon "juste", dans l'esprit et le type de fonctionnement qui régissent les rapports entre Maman Spaak et Christine depuis bien des années.
    Pas mal vu, une fois de plus, Dominique ! Merci.

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  39. Chère Christine,

    Je me doutais que cette suite, aurait votre assentiment et qu'elle vous plairait ! Sachez que je me suis inspiré de vos récits, pour l'élaborer ! Prenant en compte, vos moments de tendresses et de sérénités avec votre mère ou vous discutiez de choses et d'autres, tel l'épisode 17 de la chronique ! Et il y en a bien d'autres, que je pourrais citer et qui confirme que si votre mère était stricte avec ses filles, en utilisant malheureusement pour elles, la fessée pour les remettre dans le droit chemin. Celle-ci était avant tout, une Maman aimante et pleine de tendresse, envers elles qui se devaient de respecter la ligne de conduite maternelle ou bien préparer leurs fesses, en cas de franchissement de celle-ci !

    Comme je pense que vous aimerez le suivant, ainsi que les autres que je prépare et qui concerne essentiellement d'autres personnes, même si Christine y est mêlée ! Comme la petite sœur qui va vivre un moment intense et inoubliable, de la part de Maman, devant une assistance médusée

    Amicalement, Dominique,

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  40. Synopsis Dominicain suite, derniers préparatifs pour l'apéritif et réflexion interne de Christine :

    Maman m'invita alors à préparer les canapés, avec elle et me demanda de mettre en place les verres, les petits gâteaux sur la table basse du salon, nos invités devant arriver d'ici 45 minutes ! Celle-ci allant se préparer pendant ce temps et me laissant agir seule, en me faisant confiance, ce donc j'étais ravie !

    Tout en disposant ces éléments sur la table, je repensais à la situation ! Me disant à moi-même, que sur ce coup là, j'avais vraiment fait preuve d'une rare stupidité à mon âge, vis à vis de Maman ! Lui cachant et mentant comme lors de mes glorieuses années de collège ou je trouvais plus facile de gagner du temps, que d'avouer mes fautes, craignant ce qui m'attendait !
    Sauf que depuis ce temps, la Christine avait bien grandi, étant devenue une étudiante brillante et réfléchie, donnant à Maman la satisfaction du devoir accompli envers son aînée et mes sœurs, ceci malgré l'écueil de sa vie sentimentale !
    Je me posais alors mille questions, faisant comme un examen de conscience ! Comment avais-je pu en arriver à cela ! Douter de la confiance et la compréhension de Maman, avec laquelle j'entretenais des rapports d'adultes depuis plusieurs années ! Celle-ci étant attentive et prévenante à mon égard ! Me donnant son avis sur le choix de mes études et m'apportant un soutien inconditionnel, lorsque j'avais des moments de doute, sur mes décisions !

    Plus je réfléchissais et plus je me demandais pourquoi, j'avais caché à Maman cette relation avec Christian et menti au sujet de la fréquentation de garçons ? Alors qu'en étant franche et honnête, nous en aurions parlé toutes les deux, de façon posée, sans tension ! Maman m'aurait simplement conseillé d'être prudente et ne pas me laisser emporter par l'euphorie de cette relation, afin qu'elle ne prenne pas, l'ascendant sur mes études !

    Non ! Au lieu de cela, j'étais retombée dans mes vieux travers de collégienne, fait de cachotteries et de mensonges ! Tout en sachant que Maman détestais ça, au plus haut point, mes sœurs et surtout Diane, en payait le prix assez souvent, depuis son entrée au lycée ! Pensant certainement qu'elle pouvait gérer sa petite vie, sans tout raconter à Maman et s'émanciper, en quelque sorte, vu que ses résultats étaient brillants ! Sauf qu'avec notre mère, cela ne marchait pas comme ça ! La petite sœur vivant alors, ce qu'était de vraies roustes maternelles, comme sa grande sœur en avait connu durant sa période collégienne ! La frangine ayant repris, à son compte, cette manie de la cachotterie et du mensonge, en y ajoutant une impulsivité que ne pouvait tolérer Maman !
    Assise dans le canapé, j'étais dans mes pensées lorsque Maman revînt de sa chambre, apprêtée pour recevoir les invités, ce qu'elle remarqua et m'interrogea, sur une tonalité très douce !

    Maman : « Tu as l'air pensive, ma chérie ? Tu vas bien ? », sortant de ma torpeur, je lui répondis !

    Moi : « Oui, oui, Maman, tout va bien ! C'est juste que je réfléchissais, à mon idiotie envers toi, donc je suis sincèrement désolée ! J'ai vraiment fait preuve d'une grande stupidité, à ton égard, Maman et encore une fois, je te demande pardon ! »

    Maman : « Allez, ma grande, pense à autre chose ! On a réglé nos comptes toutes les deux et je te pardonne, bien volontiers, comme tu as fait preuve de courage et d'un raisonnement sensé, je t'aime, ma belle ! » A suivre.........


    Amicalement, Dominique

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  41. Voilà que nous continuons dans les bons sentiments, avec une analyse très fine du ressenti de Christine 23, qui fait amende honorable et reconnait qu'elle n'a pas eu une attitude adulte dans cette affaire, jouant les cachotières dans l'idée de gagner du temps, en oubliant que c'est justement ce genre de comportement qui lui avait de longue date valu les plus "chaleureux" de ses déboires. Et je n'ai pas besoin de faire un dessin pour que chacun devine ce que je veux dire...

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  42. Chère Christine,

    Encore une fois pour le ressenti Christinien, vos écrits m'ont été précieux et maintenant passons des bons sentiments, aux hostilités maternelles, rassurez vous ceux-ci ne concerne pas Christine qui a payer son dû ! Et non, en effet, je n'ai pas besoin de dessin, pour saisir ce que Christine veux dire !

    Par conséquent les suites vont varier, entre gaîté et difficultés pour certains.

    Amicalement, Dominique,

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  43. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue avec les invités :

    Vers 12h15, les invités arrivèrent, Tata et mes sœurs, puis la famille Lebrun et Dom ! Après les civilités, Maman fît passer tout ce petit monde au salon, pour l'apéro ou allait se jouer une pièce de théâtre, en plusieurs actes.

    Une fois les convives installés, entre fauteuils, canapé et chaises ! Maman me chargea de demander, à chacun ce qu'il désirait boire et servir, tandis que Mme Lebrun assez loquace avait entamé la conversation !

    Mme Lebrun : « Alors, dites-moi Anne-Marie ? Vous avez eu le temps de tout préparer avec la seule assistance de Christine ? »

    Maman : « Oui, oui, Jacqueline et je suppose que vous sentez le fumet, qui se dégage de la cuisine, nous avons bien oeuvré toutes les deux, chacune dans son rôle et sans interférence, sur ce que nous avions à faire ! Nous n'attendions plus que vous, tranquillement depuis un petit quart d'heure ! ».

    Là, je vis ma petite sœur esquisser un petit sourire qu'elle effaça rapidement, Maman ayant tourné la tête avec un regard fermé, vers elle ! Une fois tout le monde servit, d'autres sujets furent abordés entre les personnes et notamment Maman, qui entama son réglage de compte avec Tata, Caroline et Dom, sans éclats de voix, mais avec des termes bien précis montrant sa déception et les regardant à tour de rôle, elle démarra un discours, sans fin !

    Maman : « Au fait, je tiens au nom de Christine à vous remercier, d'avoir respecté son secret ! Mais je suis assez déçu que l'un d'entre vous n'est pas cru bon d'outrepassé cette demande, vis à vis de moi, à un moment donné et me laisser dans l'ignorance, tout ce temps, en l'accompagnant de mensonges ! Fort heureusement, ma petite sœur qui a toujours eu du mal à cacher, ses émotions et protéger sa nièce préférée, a craqué sur mon insistance, hier après-midi, me livrant ce secret que Christine me cachait depuis des mois et je vous avoue que cela, m'a surpris ! Oh, non par ton attitude Jacqueline, te connaissant trop bien, mais celle de ma grande fille, se confiant à sa Tante et ses amis, plutôt qu'à sa mère et la cerise sur le gâteau, est venue de ma petite dernière, m'annonçant la même chose à mon retour, avec une délectation sans retenue, vu sa situation du moment et lui valant une paire de gifles ! ». Toute l'assistance était comme médusée, sous ses paroles et ma petite sœur commençait à s'interroger ! Maman ajoutant « C'est pour tout cela, qu'hier soir, j'avais besoin de réfléchir vis à vis de Christine et être seule avec elle, t'envoyant volontairement chez toi, les deux autres ! Ce qui m'a permis d'avoir une discussion franche et honnête, entre adulte, avec elle ! Lui proposant deux choix de sanction, aider en cela par des confessions et la position de Mme Lebrun, pour lui faire comprendre qu'elle m'avait berner et menti pendant des mois ! Elle a opter pour la meilleure des deux, à mon sens et j'en suis ravie, ce qui me prouve que j'ai une grande fille intelligente et sensée, même si ce n'était pas facile pour elle ! »

    Là ! C'est moi qui était rougissante, Maman n'avait prononcé aucun mots précis, mais tout le monde avait bien compris, surtout ma petite frangine que ne pu s'empêcher avec un petit sourire et un air moqueur de sortir «  Ah, ça veux dire que tu l'as puni comme moi ? » lui valant un aller-retour et une réflexion de notre mère, celle-ci étant proche d'elle « Toi ! Tu ferais mieux de te taire et t'occuper de tes propres affaires, qui ne sont pas brillantes, en ce moment ! Si tu vois ce que je veux dire ! » A suivre..............

    Amicalement, Dominique

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  44. Oui, sans donner de détail sur la scène, Maman en dit assez pour que nos hôtes comprennent le genre d'explication qui a dû se dérouler entre Maman Spaak et Christine 23. Je me doute même que, dans cette situation, Christine 23 n'a pas manqué de rougir, cherchant à cacher sa gêne, en baissant la tête, histoire de ne pas croiser les regards de toute l'assistance qui devaient se fixer sur elle à ce moment...
    Quant à Diane, sa question provoque une réaction instantanée de Maman, qui doit lui clouer le bec, du moins pour l'instant. Je suis sûre que la plupart des convives avaient envie de poser la même question, auraient voulu que Maman emploie des mots plus précis, mais ils n'osaient pas le faire, alors que, chez Diane, c'était comme une vieille habitude...
    Combien de fois l'avais-je entendu le jour d'arrivée d'un bulletin de colle à la maison, demander à Maman : "Dis, c'est vrai que Christine va encore avoir une fessée ?" Sans parler de sa curiosité a posteriori lorsqu'elle cherchait à en savoir plus, même auprès de moi. Souvent, je niais l'évidence ou minimisais ce qui m'était arrivée, et Diane alors allait interroger Maman, demandant : "Christine dit qu'elle n'a pas eu de fessée, c'est vrai, M'man ?" Ou plus gênant : "Christine dit que tu ne lui a pas baissé la culotte, c'est vrai ?"

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  45. Chère Christine,

    Concernant Diane, je partage tout à fait votre avis sur le fait que son espièglerie et sa malignité, ne lui donnait aucune limite pour avoir des informations, sur les déboires de la grande sœur ! Ceci pouvant s'assimiler à un petit jeu perfide pour elle, au détriment des autres et j'imagine bien qu'elle était une virtuose, en la matière et qui peux se comprendre de la part d'une gamine !

    A la différence que dans le synopsis, celle-ci a grandi, non sans perdre ce coté inquisiteur et curieux ! Sauf que Maman le supportant de moins en moins, ne peux que la remettre en place, par cet aller-retour mérité !

    Sinon, il est bien évident que même sans détails, les convives ne sont pas dupe sur la nature de cette explication qui a eu lieu, entre mère et fille, normalement à l'abri des regards indiscrets ! Sauf qu'une perfide, se doutait de quelque chose !

    A ce sujet, vous deviez rédiger le dialogue, entre Diane et Aline, sur l'espionnage de la première ! Hors à ce jour, vous ne le n'avez pas produit ! J'en conclu donc que c'était encore une promesse de Christinette non tenue, comme les autres ! Rassurez-vous, je plaisante ! Et vous livre une nouvelle suite du synopsis.

    Amicalement, Dominique,

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  46. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue avec les invités et pensée de Christine :

    Tout en disant cela, Maman avait positionné ses deux doigts sous les yeux, comme pour indiquer à Diane qu'elle l'avait aperçue dans le miroir, ma petite sœur était un peu blême et très vexée, d'avoir pris une paire de gifles devant tout le monde, lui rabattant le caquet et la rangeant dans la case fillette, qu'il faut encore éduquer, malgré ses 17 ans, mais je reconnais qu'elle l'avait bien mérité !

    Sauf qu'elle n'était pas encore au bout de ses peines et ne s'attendait surtout pas à la suite que lui réservait Maman, comme nous tous d'ailleurs ! Alors que le cours des conversations avait repris, Caro et Dom s'excusèrent auprès de Maman pour leur attitude et ma Tante répondis à sa sœur !

    Tata : « Je suis vraiment, désolée Anne-Marie, mais Christine m'avait fait promettre de ne rien te dire avant elle, tout en lui indiquant qu'il serait plus sage de t'en parler, au plus vite ! Mais comme tu le sais, mes nièces me font parfois des confidences, qu'elles n'osent pas te faire, comme Diane avec son petit flirt, il y a deux ans ! J'ai donc respecter la volonté de ma nièce préférée, tout en lui conseillant à plusieurs reprises de t'en faire part et même te présenter Christian, mais la connaissant je me doutais qu'elle ne le ferait pas, c'est pour ça qu'hier sous ta pression, j'ai craqué, ce secret devant de plus en plus lourd à porter ! »

    Maman : « J'admets ta position, Jacqueline, mais en plus d'avoir gardé le silence ! Tu as également offert un petit nid d'amour aux tourtereaux ! Oh, certes, sous ta surveillance ! Comme tu me l'as dit, faisant en sorte, que personne d'autres sauf des complices ne vienne, dans ces moments là et comme ta maison donne sur deux rues, la ruse était facile ! La seule ayant percé ce stratagème, étant Aline un jour ou elle était venue chez toi, récupérer des affaires et qui me la confié, juste après que Diane ai craché son venin, me précisant qu'elle ne pouvait pas trahir sa grande sœur, ce que je comprends. » ajoutant « Mais, venant de ta part ou celle de Dom et Caroline, j'en suis plus qu'étonnée, car l'un d'entre vous aurait pu me glisser l'information, même édulcorer et surtout Dom, puisqu'il s'agit de son collègue, qui semble tout aussi brillant que lui dans sa carrière et non dénué d'intelligence ! Ainsi que toi, Caroline, en tant qu'amie de ma fille et bien au fait, de ce que sa mère déteste, au même titre que la tienne, sur le comportement de nos filles ! Au lieu de cela, vous avez préféré prendre le parti, d'une Christine cachottière et menteuse, en me laissant de coté ! A mes yeux, vous êtes presque aussi coupable qu'elle et je suis sincèrement déçu, par votre attitude ! »

    Durant ce discours, personnes n'avait pipé mots, laissant Maman vider son sac sans l'interrompre ! Je n'étais pas vraiment à l'aise, vis à vis de Tata, Caroline et Dom, qui venaient de se prendre une soufflante de Maman, par ma faute et je m'interrogeais, sur nos futures relations, certes j'étais la seule à avoir été punie physiquement, mais eux en avaient pris une sacrée rasade, en paroles ! Et Maman, n'en avait pas fini, de régler ses comptes ! C'est Mme Lebrun qui interrompit les hostilités pour environ 30 minutes, en rappelant l'objet principal de leur venue, à savoir l'anniversaire d'Aline !

    Mme Lebrun : « Anne-Marie, je vous comprends parfaitement, mais si je puis me permettre, nous sommes présents chez vous, pour une toute autre raison et je pense qu'il est temps de l'honorer, qu'en pensez vous ? »

    Maman : « En effet, Jacqueline, vous avez raison ! Je poursuivrais plus tard ! » et Maman se leva ! A suivre...........

    Amicalement, Dominique

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  47. Maman qui sermonne tous ceux qui ont été complices de mon silence, voilà qui est un moment où chacun doit se sentir gêné... Et plus encore Christine 23 qui sait que c'est à cause de sa mauvaise volonté et de sa manie de vouloir retarder toutes les échéances... A ceci près que la dernière échéance, elle, elle vient de tomber sur son bas du dos, et c'est tout à fait pénible de savoir que tout le monde a compris ce qui s'était passé... Même si Maman n'a pas employé de mots explicites... Cela dit, la journée n'est pas finie non plus...
    En attendant, OK Dominique, j'avais dit que j'imaginerais le dialogue de mes deux soeurs. Je vais essayer de m'y mettre alors...

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  48. Chère Christine,

    Je partage la gêne de Christine 23, assistant au sermon maternel envers ses amis et sa Tante, à cause de son entêtement, même si elle a payer son erreur de manière physique et honteuse de la part de Maman et surtout que toute l'assistance, en ait bien saisi la nature, malgré qu'aucun mots précis n'ait été prononcés !

    Sinon, merci par avance pour le dialogue entre sœurs et en guise de récompense anticipée, je vous livrerais, une nouvelle suite (de transition et plus agréable, pour les convives et une en particulier) dés que je l'aurais finalisé !

    Amicalement, Dominique,

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  49. DIALOGUE IMAGINAIRE DES SOEURETTES
    De retour chez Tata Jacqueline, Diane était toute hilare. Elle faillit se trahir quand Tata lui demanda si sa course (présumée) à la librairie s'était bien passée. Puis, elle alla rejoindre Aline qui lisait tranquillement allongée sur un des lits de la chambre d'amis de leur tante. Diane avait un air mystérieux, comme riant sous cape, et Aline la questionna, Diane se faisant prier pour répondre : "Non, je ne peux pas te dire, ou alors il faut me jurer que tu ne le diras à personne".
    Evidemment, Aline se dépêcha de promettre et d'enjoindre sa cadette de lui dire pourquoi elle était comme toute excitée.
    Diane s'empressa alors de fermer la porte de la chambre complètement, prenant un ton de comploteuse, et tendant l'oreille que Tata ne monte pas les rejoindre.
    "En fait, je ne suis pas allée à la librairie, mais je suis allée voir ce qui se passait à la maison, et tu ne devineras jamais ce que j'ai vu…"
    Aline hésita, puis Diane lui donna des indices : « Ca concerne Maman et Christine »,
    Aline comprit, mais ne voulait le croire : « Tu ne veux pas dire que, euh, Maman disputait Christine ? »
    Diane était trop contente de confirmer : « Oh que si, et quand tu dis disputer, le mot est faible... »
    Aline devenait tout ouïe : « Alors, raconte, dis-moi ce que tu as vu ? Tu étais où ? »
    Diane expliqua : « Quand je suis arrivée, depuis le jardin, j'ai vu que ça discutait ferme entre la grande sœur et la mère, il y avait des gestes qui ne trompent pas. Maman était furax et Christine grimaçait  Mais, comme je n'entendais rien, je suis rentrée sans faire de bruit, comme on sait le faire quand on est un peu en retard. Personne ne m'a entendu, car ça rouspétait fort. Comme elles se croyaient seules, Maman avait laissé la porte de la chambre de Christine grand ouverte. Alors en m'avançant jusque derrière la grande plante du vestibule, j'avais une vue directe sur la scène… Tu aurais vu notre frangine : elle minaudait comme une gamine, s'excusait de ne rien avoir dit à Maman sur Christian. On aurait dit Christine du temps où elle ramenait un mauvais carnet ou des heures de colle. Tu te rappelles sa petite voix suppliante qui jouait l'innocente, celle qui n'avait pas fait exprès ? »
    Aline acquiesça : « Ca, oui, je me rappelle. A l'écouter, c'était jamais de sa faute. Nous, de notre chambre, on entendait tout, et on se disait : Christine peut préparer ses fesses...  On était sûres que ça allait tomber, et ça ne manquait pas d'arriver...»
    A SUIVRE

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  50. DIALOGUE 2

    Diane confirma : « Tu ne crois pas si bien dire. Cachée derrière la plante, je me suis fait la même réflexion. J'ai vite compris que la grande allait y repasser... »
    Aline : « A son âge, quand même ! »
    Diane : « Tu sais, Maman a toujours dit que tant qu'on serait sous son toit, c'est elle qui commanderait. J'en ai hélas eu quelques preuves récentes à mon encontre… D'ailleurs, si j'ai bien compris, Maman avait mis le marché entre les mains de Christine : où elle acceptait d'être punie ou elle se prenait une chambre d'étudiante, où elle aurait dû se débrouiller toute seule pour le ménage, les repas, etc. »
    Aline était étonnée : « Ca n'a pas dû être facile pour Christine, elle qui a toujours cherché à gagner du temps... »
    Diane : « Tu sais, là aussi, elle a essayé de temporiser quand Maman lui a demandé de venir sur ses genoux. On retrouvait la Christine des grands jours, suppliant, demandant pardon, chignant, n'osant pas avancer… Mais, tu sais que Maman veut qu'on lui obéisse et qu'elle sait t'expliquer avec des menaces bien claires que si tu tardes trop, ça bardera plus encore... »
    Aline plaisanta : « Et à ce que j'ai entendu la dernière fois que cela t'est arrivé, tu ne cherches pas à tenter le diable... »
    Diane répliqua : « On ne va pas commencer à comparer nos expériences de fessées, sinon tu n'es pas mal placée non plus… »
    Puis elle enchaîna : « Toujours est-il que dès que Maman a haussé le ton, c'était redevenu la Christinette ado qui tremble comme une feuille mais vient quand même s'allonger en travers des cuisses maternelles… Je n'en croyais pas mes yeux, et encore je n'avais rien vu... »
    Aline avait les yeux qui pétillaient : « Mais, dis, est-ce que Maman l'a déculottée, dis ? »
    Diane expliqua : « Je ne t'ai pas dit, mais Christine était encore en pyjama, comme quand Maman l'envoyait l'attendre dans sa chambre après le diner… Là encore, la frangine suppliait, à en faire sourire Maman qui lui rappela qu'une bonne fessée, cela se donne sur les fesses bien dégagées, et que si elle n'enlevait pas sa main, elle le regretterait... »
    Aline commenta : « Ca, c'est sûr. Je me rappelle même une fois où notre grande sœur en avait pris une deuxième pour avoir cherché à protéger sa lune... »

    A SUIVRE

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  51. DIALOGUE 3

    Diane : « Là, Christine n'a pas pris le risque, et Maman l'a déculottée en prenant tout son temps… Wouhahou… ça me faisait tout drôle de voir ses fesses toutes blanches, tremblotantes… Ah, tu l'aurais vue sa lune, c'est qu'elle a bien grandi la frangine, et ce n'est plus de la petite fesse de gamine. Maman l'a faite patienter avant de s'en occuper, comme si elle se concentrait pour lui donner une fessée qu'elle n'oublierait pas de sitôt... »
    Aline devint compatissante : « Oh, la pauvre quand même. Cela dit j'aurais aimé être une petite souris pour voir ça... »
    Diane était moins dans la compassion : « Moi, je dis qu'elle l'a cherchée quand même. Et puis, depuis le temps qu'elle y échappait, elle n'a pas à se plaindre ».
    Aline voulait en savoir plus : « Alors, alors, raconte, elle lui a vraiment donné la fessée, à 23 ans... »
    Diane répliqua : « Oui, vraiment, et ce n'était pas de la comédie. Tu sais qu'à l'époque du collège, on remarquait que Christine avait droit à des fessées de grande, plus longues et plus démonstratives que les nôtres. Là, je peux te dire que c'était une fessée de très grande fille, une tannée magistrale, donnée avec calme et détermination, Maman s'appliquait et Christine dégustait… Au début, elle essayait de ne pas pleurer, de ne pas crier, mais au fur et à mesure que ses fesses rougissaient, la grande sœur ne pouvait plus se retenir et ça résonnait dans toute la maison… Je comprends que Maman nous ait éloignées, car on aurait tout entendu même depuis le premier… En tout cas, la Christine qui joue parfois les dames et nous prend encore de haut, je peux te dire qu'elle était redevenue comme une ado en faute qui supplie et pleure comme une madeleine pendant que sa Maman lui fait rougir une paire de fesses déculottées et offertes à sa juste colère… La frangine retrouvait ses expressions, ses plaintes, ses supplications comme quand elle avait treize ans... »
    Du bas de l'escalier, Tata s'enquit de savoir ce que faisaient ses nièces. Diane arrêta : « Je te raconterai la suite plus tard. Descendons voir Tata. Et, promis, juré, tu ne dis rien, hein ? »
    Aline promit, espérant quand même que Diane lui raconterait la fin bientôt.

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  52. Chère Christine,

    Je constate que le dialogue était déjà sous le coude, pour être livré si vite ! Par contre, c'est plus qu'un dialogue, c'est un prolongement du synopsis tout à fait intéressant, car visiblement Diane a encore des choses à dire, à la seule différence qu'une surprise désagréable l'attend, mais elle ne le sait pas !

    Amicalement, Dominique,

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  53. Chère Christine,

    Après une relecture, ce dialogue entre frangines est criant de vérité, mais c'est normal venant de votre part ! Chacune d'elles est dans son rôle, l'une d'elle inquisitrice et roublarde sans concession envers la grande sœur, comme envers la cadette ! Et l'autre simplement curieuse, éprouvant de la compassion pour Christine, avec juste le regret de ne pas avoir assisté à cela ! Sauf que elle, non plus ne savait pas, la mauvaise surprise qui attendait sa benjamine !

    Amicalement, Dominique,

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  54. Maman était donc partie dans sa chambre chercher les cadeaux d'anniversaire d'Aline ! Depuis plusieurs mois, compte tenu de ses bons résultats (malgré quelque écueils), celle-ci avait émis à Maman le souhait de passer son permis de conduire, moi je l'avais (mes grands parents et Maman me l'ayant offert pour l'obtention de mon premier diplôme, de fac), ainsi que Caroline ! Sauf que Maman n'était plus dans la même situation et ne pouvait pas financer seule, cet investissement !

    Elle eut donc l'idée, de présenter se souhait aux personnes connaissant Aline et y participer selon leurs moyens pour son anniversaire ! Tata, Dom, Caroline, ses parents et moi étions d'accord ! Et avec Caroline, nous avions passer une petite annonce pour garder des enfants ou donner des cours de soutien, aux élèves en difficultés, moyennant une rétribution modeste (notre but n'étant pas de nous enrichir) et cela marcha bien, puisqu'après plusieurs semaines, nous avions récolté une jolie petite somme, pour la donner à Maman qui n'en n'accepta que la moitié, estimant que nous méritions une part du fruit, de ce labeur ! Ce qui nous permis, de renouveler des éléments de notre garde robe et faire un cadeau supplémentaire à Aline !

    Dom, de son coté, qui connaissait bien un patron d'auto-école (Ancien Marin) obtint un contrat à un tarif préférentiel ! Et ce que seuls les trois amis savaient, est que Christian ayant un oncle garagiste, il retapait une 4l de l'armée pour l'offrir à Aline, une fois son permis obtenu !
    Les parents de Caroline et Tata, avaient donner leurs contributions à Maman, qui revint alors avec une enveloppe, contenant son inscription à l'auto-école et les vêtements que nous avions acheté, Caroline et moi, connaissant les goûts de ma sœur !
    Dans mon sac, j'avais également un petit mot de Christian, disant à Aline qu'il lui préparait une voiture ! Mais je n'osais pas le sortir et lui donner, sans l'accord de Maman ! Toute hésitante, je me levais pour aller à sa rencontre et lui en faire part à voix basse ! Celle-ci accepta et me demanda de remercier Christian de cette attention envers Aline, en regrettant qu'il ne soit pas présent, ce qui me fît plaisir ! Et Maman reprit la parole, en tendant les cadeaux à Aline !

    Maman : « Au nom de tout le monde, je te souhaites un bon anniversaire, ma chérie ! » et toute l'assistance lui fît écho ! Ouvrant ses cadeaux, ma sœur, s'exclama de joie et versa même quelques larmes de bonheur, n'en croyant pas ses yeux ! Elle nous remercia à tour de rôle, en terminant par moi et Maman en s'asseyant sur ses genoux et l'enlacer tendrement ! Elle était aux anges et très émue par ses cadeaux, auxquels elle ne s'attendait pas ! A ce moment là, je pris la parole, au sujet de la voiture, un peu à la manière de Maman !

    Moi : « Aline ! Bien entendu pour la voiture, Christian te l'offriras une fois ton permis obtenu ! Alors à toi, de maintenir un effort constant pour l'avoir du premier coup et ne pas te laisser aller, comme tu sais si bien le faire ! Hein ? Ma petite sœur ! » ce qui eu pour effet de lui déclencher un fou rire et Maman tout en souriant, semblait interloquée par mes paroles et mon assurance, telle une mère conseillant son enfant ! Ma sœur me répondit !

    Aline : « J'te l'promets, Christine ! Je vais ce qu'il faut et j'serais assidue comme jamais ! » à la tonalité de sa voix, je sentais qu'elle était très motivée et je n'avais pas d'inquiétude ! Néanmoins continuant sur ma lancée et l'euphorie aidant, je ne pu m'empêcher d'ajouter comme Maman !

    A suivre...............

    Amicalement, Dominique

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  55. Merci des compliments à propos du dialogue imaginé entre Aline et Diane. C'est vrai qu'il peut être criant de vérité, puisque je suis bien placée pour décrire les caractères de mes petites soeurs. Et aussi parce que j'ai, effectivement, eu parfois, pour ne pas dire souvent, l'occasion d'écouter en douce ce qu'elles se racontaient à propos des déboires de leur ainée...
    Comme lorsqu'une seule avait pu entendre une scène entre Maman et moi (ou en apercevoir une partie).
    Le sujet ne manquait pas de passionner mes cadettes, toujours aux aguets, et sachant bien deviner lorsqu'il y avait de l'orage dans l'air...
    Cela dit, félicitations en retour à Dominique, qui m'étonne par tout ce qu'il rajoute comme éléments annexes à son récit. Après les histoires de grades dans l'armée, voici la solidarité familiale pour payer le permis à soeurette, et même un ancien marin qui tient une auto-école, et autres détails qui enrichissent le récit, sans le focaliser sur un seul sujet. Même si, comme mon petit doigt me le dit, la suite pourrait bien réserver des surprises à Diane...

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  56. Chère Christine,

    Merci, pour le compliment, mais il est vrai qu'inspiré par votre blog, j'essaie d'introduire dans le synopsis des éléments de vie quotidienne, tout en gardant le sujet principal sur des méthodes éducatives, que certains condamne aujourd'hui, alors qu'elles ont fait leurs preuves.
    Sinon, en effet, sa sent le roussit pour la petite Diane qui commence à flipper grave, en écoutant sa mère et dont je vous la suite !


    Amicalement, Dominique,

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  57. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, pensées de Christine, dialogue et mauvaise surprise pour Diane :

    Moi : « Ne promets pas trop, p'tite sœur ! Agît et si tu le fais, dans le bon sens, le résultat sera au rendez-vous, comme tu l'as déjà prouvé pour d'autres choses ! J'pense que t'es d'accord avec moi ? »
    ce qui la fît rire, ainsi que Maman qui répondit à la place d'Aline, avec deux références moins agréable pour moi !

    Maman : « Moi, je suis bien d'accord avec toi, Christine ! Quand ta sœur veux, elle peux, comme toi et Diane, sauf qu'il faut qu'elle se concentre davantage, sur le sujet, ! Mais là vois-tu, j'ai confiance et je suis sur qu'elle y arrivera, sans difficultés ! Et je constate que tu m'a devancé, dans le conseil, c'est bien ma grande, çà prouve que mes leçons ont porté leurs fruits !», cette dernière phrase me fît rougir un peu !
    Maman fît alors une grosse bise à Aline, toujours assise sur ses genoux ! Alors qu'une autre de ses filles allait, prendre la place, mais pas dans la même position et cela personne ne le savait encore !
    Légèrement confuse, je répondis à ma mère !

    Moi : « Désolé, Maman, ça m'est venu comme cela, parce que j'connais bien Aline et ses capacités si elle s'en donne la peine ! » ma mère tout en souriant me dit !

    Maman : « Tu as raison, Christine ! Et je ne te reproche rien, cela m'amuse même que tu te sois glissée dans ma peau, ça démontre que tu es une personne responsable et sensée, je suis fière de toi, même si nous avons eu un petit différent ! ». Ces derniers mots me firent à nouveau rougir, car tout le monde se doutait ou savait de quelle manière, celui-ci avait été réglé ! Et j'avoue que je n'étais pas très à l'aise, même si je rejoins Maman dans le sourire !

    Une fois la liesse passée, Maman me demanda de resservir les invités et s'adressa à sa sœur, sur un ton agréable, mais interrogatif !

    Maman : « Au fait, Jacqueline ! Je voulais te demander, Aline et Diane n'ont pas bougé de chez toi, durant la matinée ? Dis-moi ? ». Là, je vis le visage de ma plus petite sœur se fermer, comprenant que Maman l'avait certainement aperçu dans le miroir de ma coiffeuse, ce que je ne savais pas à cet instant ! Ma Tante un peu surprise par la question, répondit naturellement, sans savoir qu'elle scellait le sort de Diane !

    Tata : « Non, pas vraiment ! Aline, oui ! Mais Diane vers 10 heures, voulait absolument rentrer et je t'ai appeler pour savoir si tu étais d'accord ! Comme tu m'as répondu que ce n'était pas le moment, je lui ai dit que tu étais, très occupée et que tu n'avais pas besoin d'elles ! 10 minutes plus tard, elle m'a demandé à sortir, pour aller chez le libraire, voir si sa commande de livres était arrivée ! Et à son retour, elle m'a dit qu'il ne l'avait pas reçu, voilà c'est tout ! ». Maman fronça les sourcils et ma sœur commença à blêmir !

    Maman : « Et pour cause, Jacqueline, car vois-tu cette commande je l'avais récupéré vendredi à la librairie ! Donc ta perfide de petite nièce n'a fait que t'embobiner pour sortir, parce qu'elle avait une autre idée en tête et que je vais t'expliquer, ainsi qu'à tout le monde ! ». Là, ma petite frangine était livide et moi-même, j'étais perplexe comme les autres, sauf Aline qui était au courant du subterfuge de Diane, ce que nous ignorions à ce moment là !
    A suivre...........

    Amicalement, Dominique

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  58. En effet, voici un rebondissement inattendu pour Diane, et la perspective d'une explication très animée... Le souci pour moi, c'est que je vais non seulement apprendre que ma soeur n'a rien loupé de la scène, ce qui va me faire honte, mais aussi j'imagine bien que Maman va être obligée de mettre des mots sur ce que Diane a vu, et de dire devant tout le monde où était Diane et où étaient Maman et moi, comme le fait que j'étais sur ses genoux, culotte baissée...

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  59. Chère Christine,

    En effet, l'explication va être animée et même au delà, de ce que vous imaginez, Maman ayant déjà en tête son action malgré que la journée soit placée sous un signe de détente et de convivialité, pour l'anniversaire d'Aline ! Mais étant très courroucée par le comportement de Diane, elle va lui en faire payer le prix très fort, ce qui à mon avis, atténuera quelque peu la honte de Christine lors de l'évocation maternelle des faits !

    Je la prépare et vous l'adresserais, dés que possible, alors que Christine ne gamberge pas trop et se dise que Maman a toujours respecté un certain équilibre dans sa justice, même si parfois son aînée avait davantage besoin, de celle-ci.

    Vous voyez j'ai dis « parfois » et non « souvent » ! En sachant également que ce n'était nullement « un besoin » pour la Christinette qui si elle ne la cherchait pas ! Elle la trouvait avec Maman chérie, qui savait tenir ses promesses, elle ! Bon, j'ironise d'accord ! Mais dans le seul but d'apaiser, sans moqueries, la honte que va ressentir Christine, au discours de Maman.

    Amicalement, Dominique,

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  60. Merci Dominique de ne pas froisser ma sensibilité. Je préfère évidemment que vous employiez le terme "parfois" au lieu de "souvent", même si, vu avec le recul des années, l'ensemble des épisodes peut paraître nombreux. Vécu au jour le jour, c'était différent, puisqu'alors le fait de vivre une ou deux semaines sans fessée donnait l'impression que l'événement était rare et non fréquent.
    Je sais bien aussi que Maman, dans l'hypothèse du synopsis Christine 23, n'aurait pas ajouté trop de détails, pour ne pas faire honte à son ainée, mais le fait que Diane ait tout vu, et donc que Maman lui réserve (je l'imagine) la même chose mais avec un public plus large, fait quand même pour Christine que à ce moment précis chacun sait qu'il y a eu explication entre mère et fille, mais cela reste flou. Alors que dire à tout le monde qu'elle a vu Diane cachée derrière la ,plante en train de regarder Maman déculotter sa grande fille et lui rougir les fesses, c'est autrement plus dur à supporter sans rougir ni se sentir honteuse comme rarement...

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  61. Chère Christine,

    De rien, chère amie, les termes ont souvent de l'importance même s'ils peuvent être interprétés de façon différente par les personnes et j'imagine bien la honte de Christine 23, à l'évocation des turpitudes (délation et espionnage) de Diane, par rapport à l'assistance pour laquelle Maman ne peut éviter certains détails, même en les minimisant afin de ne pas trop froisser son aînée.
    Mais il est vrai que pour Christine 23, cela reste très dur et je le comprends !

    Amicalement, Dominique,

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  62. Je l'imagine bien que cela soit très dur à vivre pour Christine 23. Non seulement, il a fallu se dépêcher pour faire bonne figure, effacer les traces de larmes, se recoiffer, remettre de l'ordre dans ses vêtements, paraître naturelle, avant l'arrivée des invités, au lieu de rester effondrée à pleurer dans sa chambre pour se remettre de la fessée maternelle.
    Déjà quand Maman avait évoqué devant eux le choix qui m'avait (je me remets dans le rôle) été laissée entre "deux sanctions", je devinais bien que nul n'était dupe et que chacun avait compris de quelle sanction il s'était agi...
    Mais, se retrouver à entendre (comme je suppose que Maman va le dire) que Diane s'est cachée pour voir sa grande soeur, culotte baissée, la lune à l'air, les fesses rougissantes sous la tannée maternelle, c'est autrement plus difficile à supporter, vous en conviendrez...

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  63. Chère Christine,

    J'en conviens tout à fait, Christine ! Se dire que Maman va devoir, pour expliquer l'inconduite de Diane, évoquer à tout le monde ce qui s'est passé entre elle et Christine, ne peut être que très mortifiant à son encontre et mettre à mal, sa pudeur !

    Mais Maman, ne peut éviter de revenir sur ce moment ayant suscité la vilaine curiosité de Diane, qui avait la puce à l'oreille, depuis la veille au soir, en étant envoyée chez Tata après avoir craché son venin et ramassée une paire de gifles !

    Alors même si Maman utilise des termes choisis, connaissant la susceptibilité de sa fille aînée, cela demeurera un instant très fort et marquant pour Christine 23, légèrement compensé par celui que Diane va devoir endurer ! Mais ceci sera pour le synopsis !


    Amicalement, Dominique,

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  64. Mortifiante situation, qui met mal à l'aise évidemment. Surtout si, fidèle à sa méthode éducative, Maman rend la pareille à Diane, cette fois en présence de tout le monde.
    Evidemment pour Christine 23 cela est une compensation, et elle ne plaindra sûrement pas sa petite soeur. Mais, la voir prendre une fessée publique n'est pas forcément ce qui "consolera" le plus Christine 23. En effet, me remettant à sa place, j'imagine bien volontiers que j'aurais préféré que Maman attende que nous ne soyons qu'entre mère et ses filles pour déculotter la plus petite et "offrir" à mes yeux le même spectacle qu'elle avait volé en cachette.
    Car, y assister en présence d'autres personnes ne peut que me donner à voir comment j'étais moi-même un peu plus tôt, et je pense bien que les témoins en regardant Diane pourront aisément imaginer ce que donnait la scène avec l'ainée en vedette...
    Cela peut paraître étrange, mais autant mes soeurettes semblaient être ravies de surprendre ou d'assister à une fessée de leur ainée, autant quand cela m'arrivait en sens inverse, si je pouvais parfois penser que c'était bien mérité, j'avais quand même toujours un peu de compassion, et aussi une sensation de honte rétrospective, en me disant "tu vois comme tu étais l'autre soir", quand ce n'était pas, pire, une honte anticipée, en pensant secrètement : "tu vois comme tu seras quand Maman aura appris que tu viens de récolter deux nouvelles heures de colle"...

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  65. Chère Christine,

    Je saisi tout à fait la nuance de compensation, pour Christine 23, qui tout en compatissante pour sa petite ne la plaindra pas ! Et puis rien ne dit, qu'il n'y aura pas de suites pour Diane, qui très vexée, ne pourra peut-être pas s'empêcher de manifester sa rancoeur envers Maman, de l'avoir traitée de la sorte publiquement ! Nous verrons bien et vous aussi !

    En attendant je finalise la suite et vous l'adresse, dés que possible.

    Amicalement, Dominique,

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  66. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, pensées de Christine, dialogue et mauvaise surprise pour Diane :

    Maman enchaîna alors, entamant un monologue devant l'assistance qui allait être médusée et moi particulièrement affligée par ses révélations et ce retour sur images, si j'ose dire ! Même si je compris qu'elle ne pouvait pas faire autrement, pour exposer la situation et justifier son intervention envers Diane, qui soit dit en passant le méritait amplement ! Et au final, j'en aurais presque remercier Maman de l'avoir fait, malgré une certaine compassion pour ma petite sœur qui allait vivre un moment aussi extrême que le mien, avec un sentiment honteux peut être plus fort !

    Maman : « Et bien, vois-tu Jacqueline ! Tout à commencer hier soir lorsque mademoiselle Diane était ravie de jouer les rapporteuses, vis à vis de sa grande sœur, pour une information dont j'avais eu la teneur l'après-midi même, par toi et c'est alors pris une bonne paire de gifles, pour cela ! Aline me confiant, juste après qu'elle aussi était au courant, mais qu'elle avait gardé le secret de son aînée, ce que j'admis, entre sœurs ! A partir de là ! Te confiant Aline et Diane jusqu'à ce midi, connaissant sa perfidie, je suppose qu'elle s'est posée des questions, se demandant pourquoi je les avaient envoyé chez toi ! Étant assez roublarde pour deviner qu'il se tramait quelque chose à la maison entre Christine et moi, qu'il ne fallait surtout pas manquer ! Raison pour laquelle, après sa demande initiale et ton coup de fil, elle t'a monter un plan foireux, pour endormir ta confiance et s'éclipser de chez toi, pour venir en catimini à la maison ! »

    Ma petite sœur était de plus en plus livide, comprenant que Maman avait mis à jour sa tactique, se demandant cette fois à quelle sauce, Maman allait lui faire payer tout cela ! Car elle cumulait les motifs, délation enjouée, espionnage de la fessée de sa grande sœur et tromperie envers sa Tante ! Je pense qu'elle se voyait très mal parti, sur ce coup ! Et Maman poursuivit son discours, bien délicat pour moi, même si elle fît en sorte de choisir ses mots, pour ne pas trop me gêner !

    Maman : « Comme je l'ai dis j'avais offert la veille au soir, un choix à Christine sur la sanction, pour m'avoir mener en bateau pendant des mois et menti ! Alors que tu étais au courant ! Donc lors du petit-déjeuner celle-ci m'a précisé préférer l'une à l'autre, ce que j'ai trouvé très intelligent de sa part, même si cela était difficile pour elle et pas plus facile pour moi, ayant en face de moi une jeune femme de presque 23 ans, mais à mon sens, c'était la bonne décision et je suis heureuse qu'elle l'ai prise! ». Ma Tante reprit alors la parole, sans doute pour justifier son attitude et minimiser mon erreur ! Sauf qu'il était trop tard, puisque que j'avais été punie, par Maman ! Mais cela me fît chaud au cœur !

    Tata : « C'est vrai, Anne-Marie, j'aurais du insister davantage auprès de Christine, pour qu'elle te parle de cette idylle, avec Christian, voir le faire moi-même beaucoup plus tôt, en constatant son hésitation ! Mais tu sais que j'ai une connivence particulière avec ma nièce, même si j'aime aussi les deux autres et je t'avoue que j'étais perturbée, ne voulant pas la trahir, tout en pensant qu'elle avait tort ! En fait je me rends compte, que c'est moi qui est eu tort de céder à sa demande et je le regrette ! Comme j'ai cédé à Diane, ce matin, ne suspectant pas la supercherie, à l'inverse de toi qui sais détecter les petites manœuvres de tes filles ! Ce qui au fond, est normal, puisque nous n'avons pas le même rôle, l'une et l'autre ! Et je suis sincèrement désolée pour toi ma grande, de ne pas avoir su t'éviter cela ! ». A suivre.............

    Amicalement, Dominique

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  67. Voilà donc qui fait avancer le récit. J'imagine qu'à la place de Christine 23, j'aurais été stupéfaite de comprendre de la tirade maternelle que Diane était venue nous espionner à la maison... Moi qui n'avais rien entendu, hormis un petit bruit à un moment et comme une hésitation maternelle, je n'arrivais pas à croire que ma soeur ait pu assister à tout ou partie de la scène... Et, à ce moment précis du récit, j'espère sincèrement que la suite des explications de Maman va dissiper ce doute et me rassurer... Non, ce n'est pas possible quand même, et si Maman l'a vue, pourquoi aurait-elle continué son oeuvre ?
    Finalement, il n'y a que l'intervention de Tata qui me défend qui soit rassurante...

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  68. Chère Christine,

    Je reconnais que c'est très dur, pour Christine 23, d'entendre les propos maternelles lui indiquant que l'espiègle petite frangine se doutant de quelque chose, a embobiner sa Tante pour aller fureter à la maison et confirmer ce à quoi elle pensait, depuis la veille !

    Tant qu'aux interrogations de Christine 23, celles-ci sont légitimes et la suite du récit y répondra avec la poursuite des propos maternels, expliquant notamment son attitude !

    Amicalement, Dominique,

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  69. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, pensées de Christine, dialogue et mauvaise surprise pour Diane :


    Les paroles de Tata, étaient réconfortantes bien sur, néanmoins sa dernière tirade même sans mots précis, confirmait à tout le monde que l'explication entre Maman et moi, avait été plutôt d'un genre musclé et cela me rendait vraiment honteuse, celle-ci me regardant avec compassion, en exprimant des regrets envers moi ! Et Maman qui n'en avait pas terminé, allait confirmer ma stupeur à la suite de ses premiers propos et répondre à ces interrogations, qui me remuait l'estomac dans tous les sens et ne faisaient que décupler la honte que je ressentais !

    Maman : «  Je comprends ton hésitation, vis à vis de ta nièce chérie, Jacqueline ! Et je ne t'en veux pas, je trouve juste dommage que tu n'es pas su réagir à temps et lui éviter un gros souci, avec moi ! Délicat et difficile, certes ! Mais néanmoins plus supportable, que de devoir quitter la maison ! ».

    Là, il n'y avait plus de mystère, même si le mot n'avait pas encore été prononcé, par Maman, tout le monde avait compris que la grande Christine 23, c'était donc ramassée une bonne fessée et même une tannée mémorable pour ses erreurs et j'en avais la tête toute retournée, en voyant les convives me regarder et peut-être m'imaginer, toute déculottée, au travers des cuisses de sa Maman qui s'appliquait à tanner le cuir de son aînée, comme à l'époque de sa période collégienne ! Cela me remuait les tripes et j'aurais tout donner pour que Maman, se taise, mais comme je m'y attendais, celle-ci allait poursuivre son exposé et justifié ainsi, son action à l'encontre de Diane !

    Maman : « Pour tout te dire, Jacqueline, alors que je discutais avec Christine qui tournait le dos à la fenêtre de sa chambre, le soleil aidant j'ai aperçu une ombre furtive ! Pensant qu'il s'agissait d'un animal errant, je n'ai pas bougé ! Sauf que lorsque la discussion, est devenue plus animée et plus concrète pour Christine, l'ombre est à nouveau apparue et à sa forme, il ne pouvait s'agir d'un animal ! Mais ne voulant pas en rajouter vis à vis de ma grande fille, après quelques minutes j'ai simplement levé la tête vers la fenêtre et l'ombre à disparue ! ».

    J'étais bouillonnante à l'intérieur en écoutant Maman, même si ces termes étaient choisis, ils ne laissaient aucun doute sur la teneur de notre conversation et surtout celle, qu'elle avait eu avec mes fesses et cela me mortifiait, face à l'assistance ! Et Maman enchaîna !

    Maman : « Une ou deux minutes après, j'ai entendu un bruit dans la serrure de la porte d'entrée que j'avais fermé à clé ! Je pense que Christine ne l'a pas perçu et là, je me suis dit qu'il ne pouvait s'agir que de toi ou de l'une de mes filles, mais toujours dans le même esprit pour Christine, je n'ai pas bronché, imaginant qu'une fouineuse était rentrée, pour scruter ce qui se passait ! Et j'avais raison l'espionne s'était cachée derrière la grande plante du couloir, afin de voir sans être vu, sauf qu'elle avait oublié un détail ! Le reflet du miroir de la coiffeuse que sa grande sœur, ne pouvait voir, mais moi oui et là sans surprise, j'aperçus la tête de la plus jeune de mes filles, contempler la scène avec un certain délice, dans le regard ! N'est ce pas Diane ?

    Ma petite sœur était totalement coi, les yeux brillants, ne pouvant exprimer le moindre mot,se sentant prise au piège par Maman qui l'avait démasqué ! Elle devait s'interroger sur les suites maternelles lui étant réservées et cela n'allait pas traîner, Maman reprenant la parole !

    A suivre...............

    Amicalement, Dominique

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  70. Et bien, voici la confirmation de ce que je n'osais croire lors des premières allusions maternelles... Diane est donc venue nous espionner, et elle est arrivée au bon moment, ou, devrais-je plutôt dire, au pire moment pour moi !
    Ma soeur qui assiste à la déculottée de son ainée, c'est quelque chose qui me faisait honte et que j'avais du mal à supporter quand j'avais 12 ans, mais l'imaginer là, surprenant une scène dont j'aurais tellement souhaité qu'elle demeure secrète entre Maman et moi, c'est encore plus insupportable... Surtout que c'est révélé en même temps à toute la tablée...
    D'instinct, j'aurais envie que Maman l'attrape sur le champ et lui flanque la même fessée devant tout le monde... Mais, en même temps, j'ai presque honte de voir une telle scène, en pensant bien que tout un chacun pourra alors imaginer ce que cela donnait avec mes propres fesses à l'air...

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  71. Chère Christine,

    Et oui, je suis désolé d'avoir dissipé vos doutes et interrogations, qui vous minait ! Mais voilà, vous savez maintenant que la frangine à malheureusement à une bonne partie de votre déculottée !
    Néanmoins, soyez rassurez votre vœu à toutes les chances de se réaliser et en intégralité, ce qui atténuera quelque peu votre courroux, envers Diane ! Même si cela vous donnera des pensées assez sombres vis à vis de l'assistance.

    Amicalement, Dominique,

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