dimanche 30 mars 2014

Chronique d'un redoublement : 71. Une magistrale leçon qui fait naître une inquiétude...

SUITE 70

"Allez, assez parlé, ma grande, passons aux choses sérieuses. Je ne vais pas te faire attendre plus longtemps... Puisque l'on a l'impression que cela te manque et que tu la cherches cette fessée... C'est vrai que cela faisait un peu trop longtemps que je ne les avais pas eues sous ma main ces fesses-là... Je vais te montrer, moi, Christine, au cas où tu l'aurais oubliée, ce que c'est qu'une bonne fessée de Maman". 

Etalée en travers des cuisses maternelles, la lune largement dégagée, les fesses blanches toutes tremblantes, j'avais subi cette ultime tirade maternelle, qui prolongeait encore mon attente, en augmentant encore mon angoisse de par la détermination du discours de Maman. Avant même de s'attaquer à sa tâche correctrice, elle affirmait bien ainsi que cette fessée serait mémorable, rappelant que cela faisait longtemps, "trop longtemps" à son goût, qu'elle ne s'était pas "occupée" de mes fesses, signifiant a demi-mots son intention de rattraper ce retard.


Etalée sur les cuisses maternelles, j'avais dû subir son sermon,
et cette ultime tirade rappelant que j'avais échappé à la fessée, 
depuis trop longtemps à son goût, 
et que Maman allait s'employer à rattraper ce retard...

Autant les fessées données à mes soeurs ne donnaient guère lieu à des commentaires verbaux prolongés, surtout en préliminaire, autant je ressentais que Maman tenait à mettre des mots, à bien cadrer et qualifier son intervention, à bien me faire rentrer la leçon, à la fois par les fesses et par les oreilles.


Je crois que cela lui apportait un surcroit de motivation, qu'elle se faisait ainsi un devoir de bien faire de "bien" fesser. Sans parler du fait que sa voix haute portait jusqu'aux oreilles des petites, et que cela, dans l'esprit de Maman, devait montrer à mes soeurs ce qu'elles risquaient si elles suivaient mon exemple... Comme pour leur dire : "Vous n'aimez déjà pas quand je vous donne la fessée, alors grandissez sagement, sinon un jour ce sera à vous que je donnerai la fessée comme à Christine, une fessée de grande !"

Me sentant aussi honteuse qu'apeurée, honteuse de me faire encore déculotter comme une gamine, honteuse de montrer mes fesses qui ne demandaient qu'à rester couvertes, protégées, épargnées, j'aurais eu envie de crier : "Mais, non, Maman, tu te trompes, je n'ai pas oublié ce qu'est une "bonne" fessée, comme tu dis. Non, ce n'est pas la peine de me rafraichir la mémoire, non je sais que cela fait mal, très mal, et que je vais pleurer et pleurer encore..."

Mais, autant j'étais encline à discuter tant que je n'étais pas les fesses à l'air, autant je savais que chaque réflexion de ma part ne ferait qu'enfoncer le clou, que permettre à Maman de me rappeler que je n'allais avoir que ce que je méritais, que ce qu'elle m'avait promis, que ce que j'étais montre "attendre" dans ma chambre...

Et, c'était très dur, plus que difficile, pour celle qui cherchait toujours à gagner du temps, de devoir en quelque sorte se résigner, ne plus protester, et simplement tendre ses fesses à la première claque, comme j'avais dû aussi, la mort dans l'âme, relâcher ma main qui tentait de retenir ma culotte, pour laisser Maman la glisser vers le bas à sa guise, et ne pas risquer un supplément de fessée.

J'avais fermé les yeux, décryptant les derniers gestes de Maman, réajustant ma position et la sienne, regardant bien la cible, avant de lever enfin la main pour la première claque... pour celle qui mettait fin à une période d'impunité, dont j'aurais pu être fière, mais qui, à ce moment précis, me semblait ne pas avoir assez duré...


J'avais fermé les yeux, en attendant la première claque,
celle qui mettait fin à une longue impunité,
celle qui me ramenait au statut de grande fille fessée... 

"Aïïïïïe !", la première claque m'arracha un cri. Elle avait atterri au milieu de la fesse droite, énergique et sonore, réveillant mes sens. La deuxième suivit au milieu de la fesse gauche, équilibrant la sensation de picotement, et me fit pousser un autre "aïe" que je tentai d'étouffer, en suppliant : "Non, Maman, nooon" !

J'avais remué entre les deux claques, glissant légèrement des genoux maternels, et Maman me rattrapa, bloquant plus sûrement encore sa prise de mon dos par son bras gauche...

Cela dura quelques secondes, et je sentais ma lune encore fraîche, sur laquelle il devait y avoir deux empreintes de la main maternelle, une sur chacune de mes jours du bas... 

Maman répondit à ma supplication : "Arrête donc de gigoter, Christine. Cela ne ferait qu'aggraver ton cas. Tu vois bien que tu vas l'avoir cette fessée. Et tu n'as qu'à t'en prendre qu'à toi : tu l'as bien cherchée depuis le temps que je te la promets... Allez, tiens... tiens, tiens..."

Je serrai les dents très forts, essayant de retenir mes cris alors que la fessée commençait vraiment. Parfaitement ceinturée, je ne bougeais plus, et exposais pleinement ma lune à la colère maternelle...

Colère n'est d'ailleurs pas le mot juste : c'était surtout sa détermination qui se ressentait. Presque calmement, dirais-je, Maman s'employait à donner une fessée exemplaire, répartissant les claques sur toute la surface à corriger. Et si je réussissais à ne pas crier, je n'en pleurais pas moins, de par la douleur de la fessée, comme de par une sorte de détresse, de sentiment de honte et de tristesse mélangées, malheureuse de me retrouver en une position que j'avais évité durant presque deux mois, et qu'il me semblait d'autant plus pénible de retrouver en ce qu'elle me ramenait à une position de gamine punie comme telle...


Maman reposa un instant son bras, le temps de respirer profondément,
de juger sûrement du degré de cuisson de mon bas du dos,
et d'en conclure à l'évidence qu'il y avait encore beaucoup à faire...

Après je ne sais combien de douzaines de claques, qui avaient transformé un bas du dos frais en deux radiateurs bien chauds, Maman reposa son bras droit. Elle respira longuement par deux fois. Je savais bien, moi, que ce n'était pas fini, mais je ne pus m'empêcher de supplier qu'elle arrête, promettant au passage de bien travailler, etc.

Maman soupira : "Bla, bla, bla, tais-toi donc, Christine. Non, je n'en ai pas fini avec tes fesses. Elles commencent à peine à être bien rouges. On va pouvoir passer aux choses sérieuses... Ne me dis pas que tu as oublié ce que c'est qu'une bonne fessée de Maman. Mais, je vais te le rappeler, moi, puisqu'il n'y a que cela que Mademoiselle comprenne..."

Aussitôt, le bras droit se releva et la fessée reprit. De plus belle. Autant la première partie, après les deux claques initiales, avait été appliquée,comme une sorte de leçon de rougissement, autant la suivante fut vive et brûlante, comme un orage qui succéderait à une pluie drue. 

Pendant la courte pause, j'avais ressenti comment mes fesses étaient devenues chaudes, retrouvant ces sensations tellement craintes mais écartées depuis presque deux mois. La partie suivante tenait de la vraie tannée, s'abattant sur un épiderme réveillé, sensibilisé, comme à vif...




La première partie avait rougi et réchauffé ma lune,
la suite devenait une véritable tannée,
et j'en oubliais la porte entrouverte, poussant de petits cris,
implorant Maman qui poursuivait inlassablement son oeuvre...

Je ne pus me retenir de pousser à nouveau des petits cris à chaque fois qu'une claque tombait avec fracas. "Aïe, ouille, aïe, Maman, non, nooooon, je, ouille, aïe, stop, ouille", même si je savais la porte de ma chambre à moitié ouverte, et deux paires d'oreilles aux aguets, je ne pouvais me retenir et laissais ma peine et ma douleur s'exprimer. A voix haute.

Maman ne se laissa pas attendrir pour autant : "Il fallait réfléchir avant, Christine. Tiens, tiens, tiens... Tu sais bien que je ne te laisserai pas gâcher une nouvelle année... Tiens, tiens, tiens, voilà ce qui arrive quand on désobéit, quand on ne travaille pas assez... Tiens, tiens, tiens, et tiens... Oui, ma fille, Maman donne la fessée, une bonne fessée déculottée... Tiens, tiens, tiens... "

La volée était magistrale, et je la subis en alternant des moments où je me bloquais, tentant de me cabrer, et poussant des petits cris implorants, et d'autres où, épuisée, je subissais la claquée comme un pantin, pleurant doucement.

C'est sur une de ces périodes de calme que Maman acheva cette tannée, comme si nous étions l'une et l'autre épuisées et ayant accompli notre rôle jusqu'au bout.

La claquée s'arrêta, et j'attendais que l'étau du bras gauche se desserre de mon dos, pour glisser en bas des genoux maternels. Mais, Maman regarda un instant son "oeuvre" pour ainsi dire, ajoutant : "J'espère que tu retiendras la leçon..."
Puis, comme pour dire que c'était fini, elle tapota doucement par deux fois ma lune écarlate, en accompagnant ce geste de : "...sinon, tu sais ce qui t'attend, Christine, tu sais ce qui t'attend...", manière de bien réaffirmer sa détermination.

Cela n'avait pas été deux claques de plus, après une fessée magistrale, mais une double tape presque douce, que je ressentis comme une sorte de moquerie, une manière de me dire : "Si tu recommences, c'est de cela que je m'occuperai à nouveau".


Les deux petites tapes presque douces, après la volée magistrale,
m'avaient surprise, comme vexée, et j'avais par réflexe idiot tenté
de me débattre et de descendre des genoux maternels. En vain...

Je ressentis cela comme un geste vexatoire, et il me fit réagir sans réfléchir. Je ruai des deux jambes, comme pour forcer ma libération, essayant de descendre des genoux maternels... Juste une tentative, pas longtemps, seulement deux ruades, mais c'était un réflexe idiot, surtout dans ma position...

Maman, au lieu de desserrer son étreinte, redressa son dos et renforça son blocage. "C'est quoi ce mouvement d'humeur, Christine ?", lança Maman. "Rien, Maman, rien, arrête, c'est fini", répliquai-je entre deux sanglots. "On ne se rebelle pas, Christine, tu devrais le savoir... Ni pour empêcher Maman de te déculotter, ni pour décider quand c'est fini... Sinon, on a des ennuis, Christine, des ennuis..."

Et, levant à nouveau le bras droit, Maman se mit à m'asséner une nouvelle volée de claques, plus sonores que jamais, qui me firent crier sans retenue. "Tiens, tiens, et tiens, tu comprendras mieux ainsi... Tu n'en avais peut-être pas eu assez. Voilà, puisque Mademoiselle insiste... Tiens, tiens et tiens !"

J'avais déjà le bas du dos brulant, et cette salve supplémentaire me fit ressentir chaque centimètre carré comme s'il était incandescent, me faisant haleter, hoqueter.


Me rebloquant complétement, Maman me fit payer cette ruade
par une salve ultime qui était insupportable, 
tombant sur un épiderme déjà si sensible de par la tannée précédente. 
 
Heureusement, le bras maternel, lui aussi, devait ressentir la fatigue, et la démonstration maternelle s'acheva par deux dernières claques gigantesques, une de chaque côté, là où Maman avait déposé ces deux tapes douces qui avaient entrainé mon accès de réaction inconsidérée. Deux claques espacées et précises, après une bonne douzaine de tannées démonstratives, comme pour me dire : "Si tu ne supportes pas les tapes taquines, j'ai ça à la place, si tu préfères..."


Maman me retint encore quelques secondes, comme si elle regardait son oeuvre, et cette fois, je n'osais même plus implorer qu'elle en reste là, et pleurait doucement, sans rien dire.


Certainement satisfaite, Maman desserra son étreinte qui me bloquait le dos, et je roulai par terre, me frottant les fesses, et sentant sous mes mains, combien elles étaient chaudes et sensibles.


Maman se releva et alla vers la porte en me lançant : "Allez, Christine, cache-moi donc ces fesses toutes rouges, et mets toi au lit. A moins que tu veuilles que je m'en occupe encore..."

 Elle sortit pour aller éteindre à mes soeurs, et je me relevai en titubant à moitié, empêtrée dans le bas de pyjama et ma culotte qui entravaient mes jambes. Je remontai l'ensemble, voyant au passage dans la glace de mon armoire, ma lune écarlate, dont la couleur tranchait avec la pâleur observée quand je m'étais mise en pyjama. 
J'avais imprimé dans ma tête l'image d'une lune épargnée depuis près de deux mois, je recevais comme un choc celle de deux fesses écarlates et savamment tannées...





En me rhabillant, regardant dans la glace de mon armoire,
je reçus comme un choc l'image de ma lune écarlate...
Si rouge, peu de temps après avoir été si blanche...
Y posant le dos de ma main, je ressentais la chaleur qui s'en dégageait...
 
Maman ne s'attarda pas avec mes soeurs, malgré les questions faussement anodines de Diane, qui aurait bien aimé que Maman lui raconte ce qui venait de se passer...


Puis, je l'entendis revenir vers ma chambre, où je venais juste de sauter dans les draps, encore larmoyante, et comme épuisée.


Maman me borda et s'assit au bord de mon lit. Quand elle mit sa main dans mes cheveux pour me caresser la tête un instant, en disant : "C'est bien, tu es couchée, j'espère que tu vas bien dormir... Et que cela te servira de leçon..."
Sur le coup de l'émotion, je ravalai trois sanglots, mais fus submergée par le quatrième, ne trouvant qu'à dire : "Oui, Maman, oui, je travaillerai mieux..."
Elle acquiesça, satisfaite de ma réponse qui semblait valider sa méthode. "J'en suis sûre, Christine, j'en suis sûre. Parce que tu sais que Maman ne cédera pas, ma grande, et que si tu ramènes encore de mauvaises notes, eh bien, Maman te donnera encore une bonne fessée, Christine, tu le sais bien..."

J'entendais ces menaces alors que m'étant mise sous les draps et les couvertures, la chaleur de ma lune écarlate remontait et me faisait comme un petit radiateur en bas du dos. Je répondis encore : "Oui, Maman, oui", pour ne pas la contrarier, pour qu'elle achève son sermon qu'elle tenait à voix haute, et dont mes soeurs devaient profiter sans aucun doute.

"Allez, dors vite, ma chérie. Il y a classe demain.Et, réfléchis à ce que Maman t'a dit. Tu l'avais bien cherchée, cette fessée. Et, depuis le temps que tu n'en avais plus reçue, ce n'est qu'un juste retour des choses... Je suis sûre que cela va te faire du bien... Pour un moment du moins... Mais tu as intérêt à tenir tes promesses, sinon je n'attendrai sûrement pas aussi longtemps pour m'occuper à nouveau de tes fesses, crois moi.."
    
Le message était clair et avait été prononcé calmement. Chacun de ses mots résonnait en moi, et je savais que Maman était déterminée et passerait ses paroles aux actes sans hésiter...


Maman m'avait serrée dans ses bras avant de quitter la chambre,
me laissant dans le noir, 
où ses sermons et ses menaces devaient hanter ma nuit. 
 
Elle m'avait laissée en me déposant un baiser sur le front et me disant "bonne nuit", après m'avoir serrée dans ses bras un instant. C'était réconfortant, comme pour me prouver son amour, pour me dire que c'était pour mon bien qu'elle se devait de me punir. Mais, une fois dans le noir, je mis un peu de temps à me tourner et retourner pour trouver la bonne position, ne pouvant rester sur le dos, du fait d'une lune chaude et sensible.


Mais, je m'endormis quand même, me sentant épuisée moi aussi au sortir d'une séance mêlant la douleur physique et une foule de ressentiments dans la tête et le coeur. La fessée m'avait pour ainsi dire mis les nerfs à plat, et me remettait en quelque sorte à ma place de fille qui n'avait eu que ce qu'elle méritait. Tout cela n'est pas simple à exprimer, mais le fait de battre presque des records d'impunité m'avait à la fois satisfaite, mais avait aussi augmenter mon angoisse, faisant que, jour après jour, je me préparais de plus en plus à ce que je savais inévitable...


Evidemment, je venais de subir une séance magistrale, de prendre une volée très appliquée, de vivre des sensations et des moments que j'appréhendais plus que tout, mais en même temps je n'étais plus la Christine à la sagesse record et donc presque suspecte, redevenant simplement la fille aux fesses écarlates, la demoiselle que Maman avait fessée une fois de plus, et j'en rentrais presque dans le rang, dans la normalité.


Bien sûr, demain, mes soeurs auraient des yeux moqueurs, mais je me demandais presque si je ne préférais pas ces yeux amusés et compatissants d'après la fessée, que leurs pupilles toutes excitées en sachant que Grande soeur allait en recevoir une...


Je dormis plutôt pas trop mal, juste réveillée une ou deux fois par des visions cauchemardesques, où j'étais à nouveau en mauvaise posture...


Il y avait surtout cette ultime phrase de Maman qui me revenait : " je n'attendrai sûrement pas aussi longtemps pour m'occuper à nouveau de tes fesses, crois moi.."
Et, il me fallait bien convenir qu'elle avait sûrement raison. Si ces presque deux mois sans fessée pouvaient me sembler un titre de gloire, j'avais a contrario conscience qu'il n'y avait donc guère de chances que j'améliore cette durée de répit. Et que prochaine fessée, il y aurait, et que ce serait à coup sûr avant deux mois...

Un délai large, vu ainsi, sauf que, connaissant Maman, et en ayant nombre d'exemples en tête, je savais qu'il faudrait aussi se tenir à carreau, surtout dans les premiers jours, la ou les premières semaines, car après une fessée magistrale comme celle reçue ce soir, je me doutais bien que Maman serait particulièrement aux aguets, et prendrait un manquement ou une faute relativement minime comme la preuve que je n'avais pas forcément bien compris la leçon... Quitte à me faire retrouver ses genoux...


Ayant du mal à sécher mes larmes, prise encore par moments par de gros sanglots, 
au creux de mon lit, je repensais à la phrase maternelle : " Je n'attendrai sûrement pas aussi longtemps pour m'occuper à nouveau de tes fesses, crois moi.."  Et, je ne pouvais m'empêcher d'entendre une petite voix en moi qui me disait : "Connaissant Maman,
sûr qu'il faudra, bien vite, à nouveau, préparer tes fesses..."



Le choix allait être donc : être un ange et bien travailler ou risquer une nouvelle déconvenue... Cela me tarabustait déjà... Et c'était une drôle de sensation, qu'être sous les draps avec les fesses encore tièdes, et se dire déjà qu'il va falloir se tenir à carreau. 
Maman avait d'ailleurs trop dit et répété durant cette soirée que cela faisait "bien longtemps" qu'elle ne s'était "pas occupée de mes fesses", que c'était "un juste retour des choses", que cela allait "me faire du bien", pour que mon petit doigt ne me souffle à l'oreille : "Je ne voudrais pas être un oiseau de mauvais augure, Christine, mais quelque chose me dit que Maman ne te passera rien, et que, te connaissant, je ne serais pas rassurée du tout, et que j'ai bien peur que tu ne doives bien vite, à nouveau, préparer tes fesses..."

Et, comme souvent, mon petit doigt ne se trompait pas, j'avais de quoi être inquiète...

A SUIVRE 


79 commentaires:

  1. Bonjour Christine,

    Je viens de lire l'épisode 71 de cette chronique, d'une remarquable qualité dans les détails, d'une magistrale déculottée maternelle, ainsi que le ressenti de l'après fessée et hasard ou pure coïncidence, j'y retrouve des similitudes avec mon fameux samedi de juin, certainement lié à cette longue trêve concernant nos punitions.

    Je vais donc poursuivre mon récit, bien entendu, mais j'essaierais également d'apporter quelques commentaires ou remarques sur cet épisode, au travers de ma propre expérience et sur certains points ayants marqués mon esprit de l'époque.

    Valérie

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour Christine,
    Suite du samedi :

    Ayant répondu à la demande de Maman par force, concernant le ménage, celle-ci me dit alors sur un ton badin et ironique « Et bien tu vois, ma grande ! Quand tu veux ! Et avec l'aide de Maman, tout fonctionne! » ajoutant « Bon, alors maintenant, tu vas prendre ta douche et t'habiller, pendant que je passe l'aspirateur en bas, comme ça ensuite je prendrais la suite, allez ma chérie ! » accompagnant ses paroles par quelques tapettes sur mes fesses, comme pour me faire avancer, ce qu'elle faisait fréquemment en souriant, lorsque trop mollassonne, je tardais à bouger.

    Sauf qu'avec l'âge, je détestais de plus en plus, cette manie maternelle, qui me vexais profondément et là, mon énervement aidant, j'allais commettre la boulette en me retournant et lui lançant au visage « Mais enfin ! Arrête de faire ça, M'man ! J'suis plus une fillette, quand même ! », ce que ma chère mère n'apprécias pas du tout et m'attrapant par l'oreille me dit « Pardon ! Tu peux répéter ? J'ai pas bien entendu !», comprenant mon erreur, mais enferrée dans ma stupidité, au lieu de me confondre en excuses et me ramasser au pire, un aller-retour, ma bouche exprima ce qu'il ne fallait pas « Bein, oui, M'man ! J'suis plus une fillette ! » sur un ton d'effronterie inacceptable, pour Maman.

    Le regard aussi noir que du charbon, Maman m'entraînas vers le lit (pas vraiment dans ses habitudes), tout en exprimant sa colère « Alors comme çà, tu n'es soi-disant plus une fillette ! Pourtant tu en as le comportement ! Et, Maman va te montrer de quelle manière, on corrige les petites pestes de ton espèce, qui sont insolentes avec leurs mères, rien de telle qu'une bonne déculottée ! », prise de panique, je tentais de résister, mais Maman me tenait fermement par l'oreille et cela me faisait mal, criant des « Aiiiie, aiie ! Tu m'fais mal, lâche moi ! ».

    Sans me répondre, Maman s'assit sur le lit et dans le mouvement, me bascula au travers de ses cuisses, tout en tirant sur l'élastique du pyjama pour me déculotter et ceinturant ma taille, m'asséna une claquée rapide et forte, libérant d'un coup sa colère sur mes fesses, surprise par son énergie, je me contentais de gigoter et crier sous la volée qui faisait mal (Maman n'y allant pas de main morte) et pleurant à gros sanglots, je la suppliais d'arrêter, mais sans résultat, celle-ci me collant une dégelée maison pas très longue, mais bien piquante.
    Et qui tout en claquant mes fesses, se motivait par la voix de façon ironique « Oh, mais la grande demoiselle, crie et pleure comme une fillette qu'elle n'est plus selon elle, sous la main de Maman ! Alors, jeune fille ! On a toujours envie de se plaindre, de ce que fait Maman ?».
    Question pour le moins surprenante, étant étalée, les fesses à l'air, sur les genoux d'une mère qui vous fait rougir la peau de celles-ci et dont la réponse est une évidence, à moins d'aimer cela (ce qui n'a jamais été mon cas), balbutiant entre deux sanglots « Nooooonn, noonn, M'maaann ! Promiiiis, stoooppp, j'teeenn priiiiieee !!!! ».

    Me remettant alors sur mes pieds, encore en pleurs, celle-ci me dit « Allez, c'est bon, Valérie ! Je t'ai réchauffer un peu les fesses, certes, mais n'en rajoute pas, tu en as reçu de bien plus sévères et je pense qu'il y en aura d'autres, alors maintenant tu files sous la douche en vitesse, d'autant que tu es à moitié prête (remuant sous le déluge, mon bas de pyjama était tombé sur le sol) ! » ajoutant un « Allez, mademoiselle, hop, hop ! » et deux claquettes supplémentaires, sur mes fesses pour lesquelles je ne regimbais pas, cette fois-ci, sachant trop capable Maman de remettre le couvert

    A suivre.............

    Valérie

    RépondreSupprimer
  3. Chère Christine,

    Voilà notre Christinette, dans une posture qu'elle redoute depuis toujours, étalée sur les cuisses de Maman, amplement déculottée et n'attendant plus que le déclenchement de l'orage maternel, qui par ses paroles, fait comprendre à sa fille, avant même la première claque, que celui-ci sera fort compte tenu de la longue trêve accordée et qu'il donc, en quelque sorte, rattraper ce retard et démontrer à son aînée ce qu'est une bonne fessée de Maman, celle-ci semblant l'avoir oublié.

    Ceci n'est pas, la pensée de Christine, qui se souvient très bien les effets de la 'bonne' fessée façon Maman, surtout à son encontre et donc nulle besoin, d'en recevoir une autre, pour se remémorer la précédente sachant trop bien que cela finira dans les larmes, la douleur et une lune écarlate, tannée méthodiquement par la dextre maternelle.
    Et en cet instant précis ou Maman parle fort, comme pour transmettre un message préventif aux soeurettes du genre « Attention les filles, en grandissant, si vous faites les mêmes erreurs, Maman vous donnera les mêmes fessées que Christine, une fessée de grande, bien plus sévère que celles qui vous déplaisent déjà aujourd'hui ! », Christine ressent cette détermination dans la gestuelle et la voix maternelle, craignant à juste raison, une tannée mémorable, Maman s'appliquant à bien fesser sa grande fille, qui ne comprends que cela.

    Et avant même que la distribution ne commence, Christine est déjà vaincue, obligée de se soumettre à la volonté maternelle, sans rébellion aucune (au risque d'un supplément), Christinette mortifiée ne pouvant qu'attendre résigner, le bon vouloir de Maman en tendant ses fesses offertes à la punition et appréhendant le premier impact, les yeux fermés, qui donnera le ton de la fessée.

    A suivre........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  4. Bonjour Christine,
    Suite :

    Filant vers la salle de bains, les mains posées sur mes fesses qui sans être bouillantes (comme après une volée en règle), celles-ci étaient quand même bien chaudes, prouvant s'il en était besoin que Maman n'avait pas rigolé et j'en eu la confirmation, par le reflet du miroir de la porte, qui affichait deux belles auréoles rouges grenadine, très vexantes pour la grande Valérie.

    Si la douche fût bénéfique pour mes fesses, elle n'eut aucun effet sur mon esprit, ruminant comme une idiote après Maman, alors que j'étais seule responsable de ce qui m'était arrivée et c'est surtout à moi, que j'aurais du en vouloir, sauf qu'en cette période de pré-adolescence, mon caractère s'affirmait de plus en plus et pas toujours dans le bon sens, ce qu'une mère attentive et élevant seule sa fille, ne pouvait que border pour éviter les excès et j'avoue que celle-ci s'y employa, par le biais de mes fesses, qui connurent alors de longues conversations avec sa dextre ou celle de ma chère Tata.
    Avec pour seule consolation dans ces cas là, une distribution collégiale, ma Tante ne s'attardant pas à savoir laquelle des trois était la plus responsable dans la bêtise, nous collant à chacune une bonne déculottée devant les autres, qui attendaient leur tour ou y étaient déjà passé, ce qui était éprouvant d'autant que celle-ci variait souvent sa méthode (sans autre pensée que le fait, qu'une fessée était autant physique, que psychologique), décuplant notre honte ou notre angoisse envers cette punition.

    Redescendant au salon, une fois habillée et des idées pas très claires, j'annonçais sur un ton légèrement insolent que la place était libre à Maman qui de dos, conversait avec ma grand-mère, faisant un volte-face, elle se planta devant moi et me prenant par le menton, me lança « Mais dis-moi,Valérie, la petite séance de tout à l'heure ne t'a pas suffit ! Tu veux peut-être qu'on remonte toutes les deux, cela ne me pose aucun problème ! Mais dis-toi, que là, le tabouret sera de sorti et que mon petit avertissement te semblera bien léger, à coté de ce que tu prendras, cette fois ! C'est ça que tu veux ? ».
    Je m'écriais alors « Non, non, Maman, j'te d'mande pardon, pas çà j't'en prie ! » avec des trémolos dans la voix trahissant ma trouille à l'idée d'une tannée en règle, cette fois-ci et non d'une simple dégelée, certes piquante, mais bien plus supportable qu'une démonstration maternelle en bonne et due forme.
    Maman satisfaite de ma rédemption, ajouta « C'est mieux, ma chérie ! Je vois que tu sais faire le bon choix de temps à autre, mais rappelle toi bien que la journée n'est pas finie et qu'au moindre reproche que j'aurais à te faire, celles-ci le regretterons! », accompagnant sa phrase d'un geste symbolique, mais très significatif en tapotant mes fesses par dessus mon short en éponge.

    Ceci se passant sous les yeux de ma grand-mère, j'étais vexée au possible et Maman partie, Mémé voyant ma mine déconfite et quelques larmes qui perlais, m'invita à la rejoindre sur le canapé qui tout en consolation me prenant par les épaules, me dit « Allez, ma grande, sèche donc tes larmes, c'est fini. Tu le sais ! Ma puce, ce n'est que pour ton bien, que Maman est ferme avec toi, avant tout elle t'aime et son seul souhait, est que tu sois heureuse dans la vie que tu auras choisi, alors essaie de faire un effort et ne provoque pas des ennuis, que tu n'aimes pas, je sais que tu me comprends ! ».

    Ce monologue réconfortant et plein de bon sens, aurais du me conduire à une attitude plus sereine et moins rebelle envers Maman, sauf que je n'avais pas encore le discernement d'un adulte et ne percevait à l'époque, que la sévérité maternelle, au détriment de mes fesses et de mon égo, de jeune fille. A suivre...........

    Valérie

    RépondreSupprimer
  5. Chère Christine,

    Je saisi bien la nuance du ressenti, de la conteuse, concernant l'usage par les soeurettes du diminutif (Cricri) en fonction des circonstances, autant cela pouvait être gentillet et charmant lors d'une partie de jeux avec elles, ça l'était beaucoup moins lorsque Christine était étalée sur les genoux de Maman, ce 'Cricri' devenant alors à ses yeux, une raillerie des petites sœurs comme si elles disaient « Ah, bein, finalement ! La grande sœur, n'est pas si 'grande' que ça, puisque Maman la punit encore comme nous, en lui baissant sa culotte et la fesser comme une 'petite fille', à la seule différence que ce sont à chaque fois, de plus grosses fessées que nous ! »

    Concernant l'épisode, je ferais gentiment remarquer à la conteuse, qu'elle a déjà reçu deux suites de récit assez chauds de Valérie et un commentaire de Dominique, pour lesquels, elle ne sait même pas foulée pour apporter sa petite touche personnelle !
    Alors, je trouve que la Christine « Reine du mijotage » envers ses lecteurs, est un peu 'gonflée' (vous me pardonner l'expression, plutôt trivial de l'ancien militaire, mais je suis comme ça !) de se montrer impatiente à l'encontre de ses commentateurs, même si je sais que cela n'est que gourmandise de sa part et qu'elle est plus friandes de ce genre de rebondissements, que ceux de la main de Maman, sur sa lune découverte.

    Petit billet d'humeur Dominicain, comme vous en avez l'habitude et comme Christinette pour d'autres choses, à une certaine époque, vous voyez ce que je veux dire, M'dam Christine ?

    Sinon, rassurez vous je vais poursuivre et reviendrais même, si vous le permettez, sur le récit de Mamie Valérie qui elle aussi, avait semble t-il le don, de se concocter des moments intenses sur les genoux de sa chère mère.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  6. Un billet d'humeur dominicain, hi hi, je souris, en cachette bien sûr, comme mes soeurettes, n'osant évidemment pas me moquer en public...
    Je reconnais que je n'ai pas commenté la suite de Valérie, attendant le dénouement du récit, et étant, pour ma part, plus dans mon propre récit, ce qui est compréhensible, pour ne pas me disperser dans toutes les directions.
    C'est vrai qu'il y avait un premier commentaire de Dominique que j'aurais dû relever. Il y souligne bien les sensations que Christinette ressent étalée dans une position à laquelle elle avait échappé depuis presque deux mois, culotte baissée, devant subir le discours maternel qui prévient bien que la fessée sera magistrale... Comme Dominique remarque bien le petit détail de la punie, vaincue, qui ferme les yeux, dans l'attente de cette première claque qui "donnera le ton" de cette fessée...
    Cela dit, je me suis faite mal comprendre à propos du diminutif. Si, bien sûr, le Cri-cri était employé en terme complice de la part de mes soeurs, j'ai plus l'impression qu'elles ne l'employaient pas justement en parlant de mes fessées.
    Je crois que si Aline ou Diane disaient à Tata ou je ne sais qui : "Cri-cri a eu pan-pan cucu", cela aurait passé pour une chose ordinaire, un non-événement, une scène de la vie d'une mère de trois gamines, alors que lorsque les yeux écarquillés Diane ou Aline racontait : "Maman a donné la fessée à Christine... Oui à Christine ! Et même qu'elle lui a baissé sa culotte à ma grande soeur", cela était bien plus insupportable pour moi, plus honteux car associant mon statut de grande à cette punition éprouvante et honteuse à reconnaitre.
    Me fais-je mieux comprendre ?

    RépondreSupprimer
  7. Chère Christine,

    Tout à fait, Christine, je comprends mieux votre ressenti sur l'emploi du diminutif, vu sous cet angle ou vos petites sœurs étalant sans vergogne à autrui, votre dernière fessée, employait votre prénom, afin que les personnes saisissent bien que malgré son âge, la grande sœur a droit à la même punition qu'elles de la part de Maman, à savoir une bonne fessée, culotte baissée !
    Ce qui ne pouvait être que très mortifiant pour la grande fille, les fessées maternelles faisant voler en éclat son statut de grande sœur et ramenaient la jeune fille, à un état de fillette, braillant, pleurant et honteuse d'être encore déculottée, par sa Maman, comme ses petites sœurs.
    Punition, ô combien difficile et inavouable, pour une pré-adolescente à l'épanouissement certain et visible de tous.

    Par ailleurs, je constate que Madame Christine, a gardé son espièglerie d'antan, souriant en catimini comme ses frangines, ayant trop peur des représailles et en fait tout son charme, celle-ci ayant conservé au fond d'elle-même, un peu d'âme de la fillette qu'elle fût !

    Néanmoins, je doute sur le principe de dispersion que pourrait avoir, la Christine d'aujourd'hui qui si elle est effectivement plongée dans son propre récit (logique), ne puisse rebondir sur d'autres éléments et celle-ci la déjà prouver par le passé (notamment à l'occasion d'une chamaillerie, bon enfant, de deux fidèles lecteurs) !
    Ceci étant juste une petite remarque Dominicaine, fidèle comme Maman Spaak, à sa déontologie.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  8. Oui, c'est ça, Dominique. L'usage du prénom complet, le rappel que c'est la "grande soeur", l'usage d'expressions comme "à ton âge quand même" ou d'autres qui insistaient sur le fait que j'avais beau grandir, c'était encore la seule méthode qui fonctionne avec moi, tout cela ne pouvait qu'accentuer ma gêne, ma honte, comme le fait que Maman promettait de recommencer dès que ce serait nécessaire.
    Ce n'était jamais : "j'espère que tu as compris cette leçon et que je n'aurai plus à te donner la fessée", mais au contraire toujours une formule comme : "Ne t'avise pas de recommencer, sinon tu peux préparer tes fesses", ou du genre : "Tu n'as eu que ce que tu méritais. Et je te préviens qu'à la prochaine mauvaise note, tu retourneras sur mes genoux".

    RépondreSupprimer
  9. Chère Christine,

    Il est vrai que les expressions maternelles, sans conditionnel, n'avait rien d'engageant pour une Christinette sans illusion sur la conséquence, d'une prochaine bêtise ou d'un faux pas scolaire, ce serait la fessée déculottée assurée pour la grande sœur honteuse, qui ne comprends que cela et ne pouvait alors que pleurer, sur son sort. Bon ceci dit, je continue mon analyse de l'épisode.

    Tannée plus que magistrale, après une trop longue trêve (au goût de Maman) :

    Retenti alors une première claque sur l'une de ses fesses, lui faisant pousser un cri, aussitôt suivi d'une deuxième sur l'autre et un second cri, surprise par l'énergie, Christinette gigote et Maman arrêtant son bras séculier, repositionne sa fille, lui intimant l'ordre de ne pas bouger et se taire, cela ne faisant qu'accroître sa détermination à faire comprendre à la demoiselle, qu'elle doit vraiment grandir pour éviter, la sanction maternelle en vigueur dans la maisonnée (ce qui n'est pas gagné).

    Maman sûr de son fait, reprend alors sa démarche punitive, fessant sans colère, mais avec une volonté de faire passer la leçon s'appliquant à rougir ce fessier, qu'elle n'a pas eu sous la main depuis bien trop longtemps, plus occupée par ceux d'Aline ou de Diane.
    Et Christine, qui sent bien que Maman s'est engagée à effectuer un marathon sur cette lune épargnée depuis deux mois, s'efforce tant bien que mal de retenir son expression vocale (pour cause d'oreilles attentives dans la pièce d'à coté), déverse un flot de larmes sous la douleur et la honte qui l'envahit, ramenant la jeune fille qu'elle est, à l'état d'une fillette que Maman déculotte pour lui donner la bonne fessée qu'elle mérite, sans ce soucier de ses états d'âme.

    Maman faisant alors une pause, permettant à Christinette de supplier l'arrêt des hostilités et faire maintes promesses qu'elle a du mal à tenir, confirme par la voix son objectif « Bla, bla, bla, tais-toi donc, Christine. Je viens juste de te réchauffer les fesses, maintenant on passe aux choses sérieuses et Maman va te rafraîchir la mémoire, sur ce qu'est une bonne fessée, puisque Mademoiselle ne comprend que cela ! ».

    L'heure de l'hallali a sonné, pour Christinette, qui retrouve alors toutes les sensations de la tannée méthodique maternelle, les claques s'abattant sur un fessier préchauffé et devenant très vite insupportable, la demoiselle s'exprimant largement et sans retenue, malgré la diffusion sonore, de ce douloureux voyage sur les genoux maternels.
    Maman réaffirmant sa volonté implacable de faire comprendre à sa fille, qu'il convient de réfléchir avant la bonne déculottée méritée, faisant rendre les armes à la demoiselle, implorant comme une fillette sa chère mère, qui satisfaite met un terme à son devoir et le contemple en ajoutant « J'espère que tu retiendras la leçon ! », Christinette pouvant alors commencer à digérer la difficile épreuve.

    Sauf que celle-ci vexée par un geste anodin et dans son empressement à quitter les lieux d'exécutions, va s'offrir une cerise sur le gâteau (comme lors de l'épisode, sur le baissée de culotte), de la main maternelle, sous laquelle est vient déjà de passer un moment, pour le moins désagréable.

    A ce demander, si depuis l'épisode de la culotte, Christinette ne s'est pas pris un abonnement au supplément de Maman, de part ses réactions futiles, qui agace fortement celle-ci ?

    A suivre...........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  10. Contente, Christine. Un peu moins Christinette, qui n'apprécierait pas ce long (et bon) commentaire de Dominique, qui est "copieux", comme pouvaient l'être les fessées maternelles.
    Il ressent bien les étapes de cette tannée servant quelque part à "rattraper" ce que Maman considère comme un certain "retard"...
    Quant à savoir si Christinou s'est abonnée aux "suppléments" de par ses réactions inconsidérées, l'avenir nous le dira, car je ne veux pas dévoiler la suite. Il est vrai que, plus je grandissais, moins Maman ne pouvait admettre que je me rebelle ou fasse montre de mauvaise humeur, et qu'elle s'empressait de réagir de suite pour éviter que je ne recommence et que je conteste par là son autorité.

    RépondreSupprimer
  11. Chère Christine,

    Content de vous avoir ravi, chère conteuse, à l'inverse de Christinette qui me jettera certainement des pierres, du fait que je lui fait revivre ce moment, ô combien détestable pour une jeune fille ravissante (sans aucun doute), charmante et mignonne (quand elle veut), mais encore trop écervelée, ne comprenant que les bonnes déculottées de Maman pour se remettre sur les rails, de la bonne conduite ! Oh là, là ! Dominique risque de se faire lyncher par la demoiselle!

    Tant qu'à l'abonnement de Christinou sur les 'suppléments', en effet l'avenir nous le dira ! Mais j'ai la sensation à l'image d'une Mamie Valérie ou même de mes sœurs et cousines, quand grandissant la Christinette redoutant ce traitement de faveur, normalement dévolu aux gamines, manifestait de plus en plus son désaccord, vis à vis de celui-ci et cela ne pouvait convenir à nos parents, dont l'autorité sous quelques formes que ce soit, ne se contestait.
    Le Dominicain est bien d'accord avec vous, pour l'avoir vécu au travers de la fratrie et appris à ses propres dépends, lors de sa dernière volée reçue à presque 15 ans, de la main de son père qui ce jour là, ne rigolait pas du tout et permis au Minot de prendre, du plomb dans la tête (comme on dit), lui étant bénéfique pour sa carrière militaire.

    Sinon, en dehors de ça, je vais poursuivre et assurément cela ne plaira pas à la gentille (enfin, pas toujours) et mignonne Christinette qui sera toute rouge (des joues du haut) en lisant, le commentaire de Dominique, le mieux serait de ne pas lui montrer, n'est ce pas Christine ? Hi, hi.........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  12. Non, je ne montrerai pas ce commentaire à Christinette... Elle aurait trop honte...
    Sinon, vous voyez juste en pensant qu'avec l'âge les envies de se rebeller faisaient parfois oublier le bon sens qui aurait dû me convaincre de laisser passer l'orage en préparant mes fesses, sans mouvements inconsidérés, qui sont d'autant plus risqués que l'on est déjà ou presque culotte baissée...

    RépondreSupprimer
  13. Chère Christine,

    Je pense , en effet, qu'il est préférable qu'elle ne lise pas le prochain commentaire Dominicain qui ne sera pas de son goût et risque de froisser son égo de demoiselle grandissante, mais qui a le don de fournir des motifs, à sa Maman, incitant celle-ci à la déculotter et fesser convenablement cette grande fille, comme une gamine qui ne comprends que cela.

    Sinon, je confirme votre avis sur le fait qu'en prenant de l'âge 'les envies de rébellion' étaient plus fortes et notamment chez les demoiselles (la pudeur, étant plus prononcée), ce qui n'engage que moi bien sur, mais j'ai le souvenir de mes sœurs ou cousines, qui après s'être ramassé une bonne dérouillée ou rejetant l'idée de celle-ci (rappelez-vous ma sœur, avec Tata, qui d'ailleurs n'en a pas fini, Maman ayant pris la relève, que je vous adresserais dés que possible), perdaient leurs bon sens et se voyaient alors gratifier, soit d'une deuxième tournée ou une volée plus sévère.

    Sur ce je vais poursuivre ma réflexion et la transmettre à Christine, mais pas à Christinette dont la seule envie, sera de se jeter sur Dominique et le griffer pour ses moqueries, voir même lui coller une baffe (comme à Aline « 04/2010 / Un retour aux dures réalités ») ce que je préférerais éviter, hi,hi.. !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  14. Oui, attention aux réactions de Christinette, le Minot ! Une fille en pétard, ça griffe et ça fait des croche-pattes...
    En attendant, Christine va guetter ces commentaires annoncés...

    RépondreSupprimer
  15. Chère Christine,

    Je sais très bien de quoi est capable, une fille en pétard et pour tout vous dire, le frère et ancien militaire préfère avoir à se battre contre deux ou trois hommes, qu'une seule fille ou femme en colère, celle-ci ayant des ruses imprévisibles (vécu, là aussi), ceci dit tant pis, je vous livre la suite en espérant que Christinette n'en saura rien et que cela me permette de préserver ma fierté de mâle..... !

    Supplément inattendu pour cause de rébellion :

    Maman, ayant atteint son but éducatif, claquette gentiment les fesses de Christine pour lui signifier que la leçon est terminée, pour aujourd'hui, tout en l'accompagnant d'une promesse pour l'avenir.
    Christinette perçoit alors ce geste anodin, comme une raillerie supplémentaire, comme si de façon ironique Maman lui disait « Tu vois ma fille, je t'ai donner ce que tu méritais et si tu recommences, et bien ma main, tombera à nouveau sur tes jolies petites fesses, mais bien plus fort ! ».

    Vexée dans son amour propre de jeune fille, la Christinette rue bêtement dans les brancards, pour tenter de s'extirper, en vain, de l'étau maternel et sent aussitôt que celui-ci se resserre, accompagné par les paroles de Maman « C'est quoi ces gestes d'humeurs ! Pas de rébellion, Christine, tu le sais ! Ni pour la déculottée, ni pour décider quand c'est fini, c'est Maman qui juge et non la demoiselle, sinon elle le paie, sans tarder ! ».

    Et là, Maman le confirme, qui tel un métronome remet en marche son bras séculier, sa main s'abattant sur la mappemonde de Christinette déjà bien tannée, tout à fait insupportable, la faisant crier, haleter et suffoquer, ses fesses devenant deux volcans en éruption.
    Maman concluant le message, par deux énormes claques détachées et ciblées sur chacune des fesses, en forme d'apothéose, pour que la demoiselle saisisse bien la différence entre deux tapettes et deux vraies claques, sonores et douloureuses sur ses petites fesses.

    Abattue, rincée et vidée de toute énergie, Christinette demeure inerte, étalée sur les genoux de Maman qui lui a servi, une fessée d'anthologie comme quelques unes auparavant et une fois l'étreinte desserrée, se laisse choir sur le sol et passant ses mains, sur ses pauvres petites fesses, ressent combien l'oeuvre maternelle, a été exécutée avec maestria.

    Maman sortant de la pièce, donne alors une directive à Christine de façon infantile et assortie d'une menace, prête à remettre une nouvelle fois le couvert sur cette gémellité, qu'elle n'avait pas eu sous la main, depuis bien trop longtemps.
    Groggy et gênée par ses vêtements (pyjama et culotte), Christine se relève fébrilement et replace pêle-mêle les deux étoffes, apercevant dans le reflet du miroir, sa lune écarlate, témoignage ô combien parlant d'une volée exemplaire et qui ne sera, sans doute pas la dernière.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  16. Bonjour Christine,
    Suite :

    Le reste de la matinée, se passa dans le calme, Maman préparant le repas en compagnie de Mémé et me demanda de mettre le couvert, ce que je fît sans rechigner, en obéissant sans délai (chose assez rare chez Valérie), consciente de la tension maternelle à mon égard et ravalant donc mon aigreur, à son encontre, de m'avoir traité comme la gamine de 8 ans que je n'étais plus.

    Vers 15h, mes cousines, ainsi que nos 2 copines (filles de notre voisine, amie de Tata et Maman, partageant comme vous pouvez l'imaginer, la même méthode éducative pour elles) arrivèrent et la pluie ne nous permettant pas de jouer, dans le jardin, l'après-midi allait donc se dérouler dans ma chambre, autour de jeux de société et de papotage entre filles.

    Bien entendu, avant de monter, Maman nous donna ses directives, sur la tenue à observer (pas de chahut, de cris intempestifs et rangement de ce qui serait déballé), d'autant que ma grand-mère venait de monter dans sa chambre (voisine de la mienne) pour la sieste et m'engagea à faire respecter ses règles à tout le monde, sans quoi, elle saurait nous les rappeler à sa manière, en agitant sa main de façon distinctive, ayant pour effet de nous faire rougir à l'unisson.

    S'il est évident, que concernant Catherine et Bérengère, Maman ne ce serait pas permis d'agir directement et aurait tout d'abord appelé leur mère, sur l'attitude à tenir ? A l'inverse pour mes cousines ou moi, ce n'était pas la même chose, Maman n'ayant nul besoin d'autorisation pour passer de la menace à l'acte, si nécessaire et c'est encore, mademoiselle Valérie, qui allait se distinguer pour la troisième fois de la journée, donnant à Maman l'occasion de me démontrer sa détermination à me reprendre en mains, si j'ose dire !

    En fait, si nous avions commencé tranquillement par des jeux de société, tout en papotant gentiment sans éclat de voix, du moins de la part de mes cousines et nos copines (trouille plus forte, n'étant pas chez elles, c'est possible?), ce n'était pas le cas de Valérie qui voulant se faire mousser, déblatérais sur des profs (communs) ayant certaines manies, qui l'amusait en classe (comme d'autres) et la faisait beaucoup rire, avec à la clé des punitions de ceux-ci (ma réputation de turbulente n'étant pas usurpée) et surtout, celle de Maman, bien moins drôle, lorsqu'elle en avait connaissance.

    Portée par mon excès de vantardise, je me laissais aller à des confidences concernant quelques punitions scolaires au cours de ces dernières semaines du trimestre, que j'avais réussi à dissimuler (pas de signature parentale, ouf...) et une aide involontaire de Mémé Lis, que j'avais embobiner au sujet d'une colle pour le samedi matin (Maman étant absente 4 jours pour son travail), lui expliquant que je devais aller collège, comme d'autres copines, pour aider à la décoration de la salle qui servirait à la fête de fin d'année, ce qui était en parti faux, puisque seules les filles en dernière année de collège étaient sollicitées pour cela.
    Le problème, c'est que je débitais mes âneries à haute voix, faisant rire et pousser des cris, de petites fofolles à toute l'assistance, y compris moi qui ne pensait plus à l'avertissement de Maman (pas de cris intempestifs), mais que celle-ci allait savoir me rappeler et par la même occasion, me faire payer cachotterie et entourloupe, dont je venais de me vanter, ne sachant pas que ma chère mère attirée par le bruit s'était plantée, derrière la porte, écoutant attentivement mes sornettes.

    Bien entendu, tous ces motifs allaient offrir à Valérie, l'une de ces additions maternelle, les plus salées que ses fesses aient connu, a suivre.........

    Valérie

    RépondreSupprimer
  17. Voilà une situation qui se corse pour Valérie qui n'a pas pensé que Maman pouvait écouter derrière la porte. Les aveux d'une gamine qui se vante d'avoir réussi à tromper la vigilance maternelle devrait lui valoir une fessée d'anthologie... Je suis impatiente de savoir comment... Merci d'avance !
    Dominique, lui, commente le mouvement d'humeur de Christinette que Maman lui fait payer sur le champ, avec un supplément de fessée la faisant crier sans retenue cette fois, même si les oreilles des soeurs guettent... Et il est vrai que les menaces de recommencer bien vite sont d'autant plus difficiles à supporter quand on a encore les fesses écarlates...

    RépondreSupprimer
  18. Bonjour Christine,

    En effet, Christine, l'affaire se corse pour Valérie qui emportée dans son élan vantard et s'amusant comme une fofolle, n'imagine pas une seule seconde que Maman puisse être derrière la porte, à écouter les aveux de sa gamine aussi roublarde, que malicieuse, l'ayant roulé dans la farine et lui donne alors une volonté de recadrer, de façon exemplaire, la demoiselle et je peux vous assurer que la miss, garde un souvenir inoubliable de ce samedi, dont je vous propose la suite :

    Maman ouvrit la porte en silence ! Après quelques secondes, alors que j'étais de dos, les rires et les cris cessèrent d'un coup, sauf les miens, ne la voyant pas et c'est ma cousine Annie, qui à l'aide d'un regard, fît faire un demi-tour à ma tête, pour constater que ma chère mère était dans l'encadrement de la porte, les bras croisés et un regard, qui en disait long sur son mécontentement et qu'elle allait d'ailleurs me confirmer par un monologue, ne me laissant aucune illusion sur mon programme de fin de journée et qui me fît pâlir.

    « Bravo, Valérie ! Je viens d'en apprendre de bien bonnes à ton sujet, en jouant les espionnes ! Et le plus drôle, même si cela ne me fait pas rire, de ta propre bouche !!! Ce qui m'amène à penser, que tu m'en a caché bien d'autres et n'hésite pas à raconter des bobards, à ta grand-mère, en mon absence ! Et bien, ma petite fille, tes amies et tes cousines vont gentiment rentrer chez elles ! Quand à toi tu vas sagement ranger les jeux et ensuite tu descendras au salon, me livrer tous tes exploits du même genre et sans exceptions, après je verrais ce qu'il convient de faire, c'est bien compris Valérie ? ».

    Son ton était sec et cassant, mais calme, accentuant certains mots ou expressions me clouant sur place, j'avais le visage aussi pâle qu'un linge (confirmé par les spectatrices, le surlendemain), la gorge sèche, sentant mes yeux s'embuer au fur et à mesure du discours.
    Déglutissant, tant bien que mal, je tentais de défendre l'indéfendable, que Maman stoppât net par une injonction « Tais-toi, donc Valérie ! Je ne veux plus d'entendre pour l'instant ! Tu fais ce que j't'ai demandé, un point c'est tout! Allez les filles dites au revoir, à Valérie. », Maman les fît sortir et ajouta « Allez, Valérie, exécution et ne traîne pas, ça ne changera rien ! A tout de suite, ma chérie ! » et elle disparue, me laissant seule, en plein désarroi et une angoisse terrible, qui me nouait les tripes.

    Rangeant mécaniquement les jeux, je lâchais les larmes que j'avais réussi à contenir devant les filles, mon esprit me repassant, en boucle les images et les sons de la matinée, imaginant que ce qui m'attendait allait être d'une tout autre dimension et me faisait trembler, comme une feuille, m'y reprenant à plusieurs reprises pour remettre les pions ou les sujets, dans les boîtes.
    Bien entendu, après en avoir terminé, il me fallait descendre affronter le regard de Maman, pour lui faire des aveux complets, avec la certitude qu'au final je finirais au travers de ses cuisses, sans ma culotte, pour une tannée exemplaire et amplement méritée, ce qui accentua mes larmes.
    Malgré mon coté mollasson chronique, je ne pouvais pas faire durer éternellement ce rangement, toute penaude et déconfite, mon cœur battant la chamade, je descendis !

    A suivre....., car trop long !

    Valérie

    RépondreSupprimer
  19. Suite :

    Retrouvant alors Maman, assise tranquillement sur le canapé, en compagnie de Mémé Lis à laquelle, elle avait du exposer mes manigances et entrant au salon, je vît bien que ma grand-mère n'avait pas ce regard habituel, envers sa petite fille chérie et cela me perturbait.
    Maman calme et sereine, me voyant arrivée, embraya aussitôt d'un ton ironique « Ah ! Voilà enfin la demoiselle, qui a tant de choses à raconter ! Allez, ma fille, on t'écoutes ! Nous sommes toutes ouies, ta grand-mère et moi ! », me paralysant et verser de grosses larmes, ne sachant plus que dire !

    Ce qui fît enchaîner, ma chère mère « Cesse donc de pleurer, comme une madeleine et gardes tes larmes pour plus tard, ma chérie, car crois-moi que tu vas en avoir besoin, je te le garantis ! Donc, en attendant, exprime-toi, comme tu le faisais tout à l'heure avec les filles et nous voulons tout savoir, dans les moindres détails, alors on t'écoutes et vite ! ».

    Déboussolée, nouée par la peur, j'étais incapable d'aligner une phrase cohérente, balbutiant des demandes de pardon à répétition, agaçant fortement Maman qui attendait autre chose de ma part et se redressant, j'étais debout à coté d'elle, me fît pivoter sur moi-même et m'asséna quatre énormes claques sur le haut des cuisses (je portais un short, style éponge), juste sous la jonction des fesses, me faisant hurler de douleur, celle-ci n'ayant pas retenu son bras et ajouta en rythmant la claquée.
    « Mais Valérie ! C'est pas possible, tu n'as rien compris ! Ce que j'attends de toi, c'est la vérité et des excuses envers ta grand-mère, que tu as roulé dans la farine, profitant de mon absence! Alors, on assume, mademoiselle la grande fille et je t'écoutes attentivement !».

    Effondrée par l'autorité maternelle et tout en pleurant, je libérais (en quelque sorte ma conscience) livrant à Maman, ce que je lui avait caché (punitions scolaires sur le trimestre) et l'aide involontaire de Mémé Lis, que j'avais en fait berné plus d'une fois, pour protéger mes fesses.

    Sauf qu'en ce samedi, Maman allait (un peu comme la votre) en quelque sorte rattraper ces impunités, au détriment de mes fesses, particulièrement soignées ce soir là et dans des circonstances, ô combien honteuse pour la jeune fille, que je devenais et ayant toujours en mémoire, ce fameux jour néfaste, pour ma fierté.

    A suivre........, si vous le voulez bien, mais je ne suis vraiment pressée, tout comme vous !

    Valérie

    RépondreSupprimer
  20. Je comprends que Valérie ne soit pas pressée de nous conter la suite. Les quatre claques sur les cuisses lui ont délié la langue, mais j'imagine aisément que Maman ne s'est pas contentée de ce hors-d'oeuvre, et que le plat de résistance a été servi un peu plus haut...
    Racontez-nous donc cela...

    RépondreSupprimer
  21. Bonjour Christine,

    En effet, Christine, Maman ne se contenta pas de ces quatre claques (si fortes soit-elles) et le plat de 'résistance', comme vous dites, allait être plus que copieux et franchement indigeste pour les fesses de Valérie et sa fierté de jeune demoiselle, ramenée au rang d'une gamine de 8 ou 9 ans, que l'on déculotte pour lui donner la fessée qu'elle mérite, sauf que celle-ci en avait un peu plus de 12.

    Suite de ce maudit samedi :

    Ayant fait mon mea-culpa et demander mille fois pardon, à ma grand-mère, qui avait cette fois un regard réprobateur, envers moi ! Maman me dit alors « Très bien, ma petite fille, maintenant tu remonte dans ta chambre, te mettre en pyjama et attendre que je t'appelle ! Allez oust, Valérie, hors de ma vue pour le moment ! ».
    Stupeur ! Alors que je m'attendais à finir au travers de ses cuisses, ma chère mère me demandait simplement de disparaître, de son champ de vision et j'en étais ravie, bien entendu, sauf qu'en quittant la pièce j'allais vite déchanter !
    Prenant l'escalier, j'entendis ma grand-mère demander à sa fille « Dis-moi, Paulette ? Tu ne compte tout de même pas, la laisser s'en sortir aussi facilement ? », paroles étonnantes de sa part et je me stoppais, pour écouter la réponse de Maman, qui elle ne me surpris pas et me fît plonger dans une terrible angoisse.
    « Oh, mais non, Maman ! Rassure toi, je vais m'occuper d'elle, comme elle le mérite et crois-moi que je ne vais pas plaisanter et lui réserve même une petite surprise qu'elle n'est pas prête d'oublier, tu peux me faire confiance ! », ajoutant « Pour l'instant, je préfère qu'elle réfléchisse, car tu as bien vu qu'elle s'attendait plutôt à venir sur mes genoux, qu'être renvoyée de la sorte, alors on va la laisser mariner dans son jus, mais je garantis qu'elle ne sera pas déçue du voyage ! » entendant cela je me posais mille questions, non pas sur le fait que j'allais me ramasser une volée exemplaire (ça, je le savais déjà), mais sur ladite surprise ? Qu'est-ce que Maman me réservait ?

    Une fois dans ma chambre, j'exécutais les ordres remarquant au passage, dans le miroir, l'empreinte de la main maternelle sur mes cuisses, preuve qu'elle avait claqué de bon cœur !
    Cette vision me donnant une boule au fond de la gorge, imaginant déjà l'état dans lequel serait mes fesses, au moment d'aller me coucher, d'autant que j'avais en tête certaines expressions de Maman « Je ne vais pas plaisanter » ou « Elle ne sera pas déçue du voyage » et me faisant penser que j'allais passer un moment mémorable, au travers de ses genoux.
    J'attendis en ruminant mes exploits et me reprochant d'avoir été prise, pendant plus d'une heure, puis tout à coup la voix maternelle retentit, m'invitant à descendre ! Mon adrénaline grimpa en flèche, résignée j'obéissais, me disant que le moment de rendre des comptes était venu !

    Mais, non ! La mine déconfite et tête basse, Maman m'accueillit gentiment au bas de l'escalier, en me relevant le menton, puis m'enlaçant par les épaules, me dit « Allez, ma chérie, ne fait pas cette tête ! Je pense que tu as du réfléchir et viens donc manger, pour le reste on verra ça plus tard ! » tout en passant sa main en forme de caresse, sur mes fesses !
    Le message étant, on ne peut plus clair, j'ouvrais la bouche pour un « Oh, non, non, M'man, s'te plait ! » qu'elle musela, avec mettant son doigt sur la sienne, en ajoutant « Chut, chut, on mange d'abord et on vois ensuite ! Mais ne te fais pas trop d'illusions, ma grande ! »
    C'est les yeux embués et de sombres pensées que je dînais difficilement, en compagnie de Maman et Mémé, au visage plus fermé qu'à l'habitude. A suivre......


    Valérie

    RépondreSupprimer
  22. Que de suspense... La Maman de Valérie nous la joue à la Hitchcocq... Première attente dans la chambre, descente apeurée, remontée dans la chambre pour mariner, re-descente tremblante, puis re-sursis le temps d'un dîner qui a évidemment du mal à passer, tant la peur coupe l'appétit... Valérie aura eu le temps de s'inquiéter et d'imaginer ce qui l'attend... On ne peut pas dire qu'elle n'aura pas "préparé" ses fesses... J'ai hâte de lire la suite...

    RépondreSupprimer
  23. Bonjour Christine,

    Tout à fait, Christine, Maman me la joua à la Hitchcocq, en fait je crois qu'elle tenait à marquer autant mes fesses, que mon esprit, car depuis un peu plus d'un an, comme je l'ai dit, si mon caractère s'affirmait, ce n'était pas forcément que dans le bons sens et mon coté petite peste rebelle, roublarde et menteuse lui déplaisait, de plus en plus et je peux vous dire que lorsqu'elle m'envoyait dans ma chambre préparer le tabouret, je pouvais également me préparer, à une séance aussi chaude qu'endiablée, n'en ressortant qu'avec les fesses écarlates et vidée de toute énergie. Et en effet, ce jour là j'avais eu le temps de 'préparer mes fesses', comme vous dites et pas pour rien, je puis vous l'assurer.

    Suite :
    A la fin du repas, je restais assise le nez vers la table, Maman ne me demanda même pas de l'aider à débarrasser le couvert, comme tous les jours et s'en chargea avec ma grand-mère. N'ayant eu aucune directive, de sa part je n'osais pas bouger, ne sachant que faire, mais avec en tête la certitude que j'étais bonne pour une déculottée maison.
    Revenant dans la grande pièce, elles reprirent leur place et Maman s'adressant à moi entama, alors un sermon, sur un ton monocorde et s'en appel, si ce n'est des pleurnicheries que Maman allait vite recadrer.
    « Alors, ma fille ! J'imagine qu'après avoir réfléchi, tu as conscience, de t'être bien moquée de moi et encore plus grave, abusée de la confiance de ta grand-mère et ça je ne peux l'admettre ! Car non contente de faire l'idiote au collège et récolter des punitions que tu me caches, tu profites de mon absence pour entourlouper Mémé, avec des histoires à dormir debout digne d'une gamine, que tu es encore malgré tes 12 ans ! Sache que je suis très déçu par ton attitude et tes manières de petite demoiselle rebelle, qui ne me conviennent pas du tout ! Il faut donc que cela change et au plus vite, c'est bien compris Valérie ? »
    Cà pour comprendre, c'était pas difficile ! Je comprenais surtout que sous cet air calme, Maman était très remontée envers moi et que la fessée inéluctable, allait tournée en tannée magistrale, me fichant une trouille bleue ! Tout en pleurnichant, je tentais de me justifier, mais Maman me cloua aussitôt le bec, de façon péremptoire.
    « Stop, Valérie !!! Je me fiche de tes explications inutiles, je veux juste entendre 'Oui ou Non, Maman', c'est tout ! Et puis garde tes pleurnicheries, de fillette pour après, rassure toi tu vas en avoir l'occasion ! Bon, maintenant je t'écoutes et vite ! ». Rassurez je ne l'étais pas du tout, bien au contraire, mais désemparée je répondis un timide « Oui, oui, Maman ». A ce moment là, un bref dialogue à sens unique s'instaura entre Maman, toujours sûr d'elle et moi, continuant de pleurnicher doucement !
    « Très bien, ma fille ! Tu comprends donc que ton comportement ne peux rester impuni ? »
    « Ouiii, M'mannn »
    « L'ennui, est que tu as berné deux personnes, ta grand-mère et moi ! Donc en toute logique,
    tu mériterais une punition de chacune de nous, on est d'accord ? »
    « Ohhh, nonnnn, M'mannnn ! » et «  Ouiiii, ouiiii, M'mannnn » à la vue de son regard et n'osant imaginer ma grand-mère, me donner la fessée.
    J'étais complètement paralysée, d'autant que je voyais Mémé, soutenir ma chère mère par l'expression de son visage, qui en disait long sur sa déception, envers sa petite fille et cela me faisait froid dans le dos.
    Après un court silence, Maman, reprit la parole ironiquement, pour conclure la discussion et passer aux actes.
    A suivre, car trop long....... !

    Valérie

    RépondreSupprimer
  24. Bonjour Christine,
    Suite :

    « J'aime mieux ça, ma chérie ! Tu vois, c'est pas si difficile d'être raisonnable à ton âge ! Alors puisque tout est dit, je pense que l'heure est venue pour toi de régler tes dettes, ma grande et d'aller préparer ton tabouret ! », entraînant de ma part un « Noonnnn, noonnn, M'mann, pas le tabouret, M'mannn, j'veuuuuux paaaas, paaaas, laaa fesséeeeee, noooonn, s'teeee plaiiit ! » tout comme vous, j'avais prononcé le mot la première et lui permis de renchérir, en rajoutant « Oh, mais si ma petite fille, c'est la fessée, une bonne déculottée bien salée, de ta Maman chérie, pour te passer l'envie de faire des cachotteries et qui plus est, avoir berné effrontément ta pauvre grand-mère, bien trop gentille avec toi, crois-moi que je vais te rappeler les bonnes manières, allez oust mademoiselle, exécution ! ».
    Tétanisée, rouge comme une tomate et pleurnichant toujours, j'étais incapable de bouger, mon inertie permettant, sans le savoir, à Maman d'annoncer sa petite surprise ! « Bon ! Puisque tu n'a pas l'air décidée, nous allons faire ça ici et éviter ainsi à ta grand-mère, d'avoir à monter ! », déplaçant dans le même temps sa chaise, vers l'arrière !
    Sortant de ma torpeur, je m'exclamais « Noooonn, nooonn, pas devant Méméeee, j'ten supplie, j'aurais trop honte, s'te plaiiit, M'maaann, pas ça ! » lui donnant l'occasion de confirmer sa décision, de façon ironique, mais très ferme n'appelant pas la réplique !
    « Oh, mais si Valérie ! C'est la déculottée devant Mémé ! Que cela te plaise ou non, je m'en contrefiche ! Car comme, je te l'ai dit tout à l'heure, tu nous as déçu, l'une et l'autre ! Donc en toute logique, elle aussi serait en droit de te punir, mais je vais lui épargner cette tâche ingrate et m'en chargée, pour toutes les deux, en te faisant payer tes erreurs, comme il se doit, fais-moi confiance ! Alors viens sagement par ici et vite, qu'on en finisse ! ».

    Acculée que j'étais, je ne pouvait qu'obéir et la mort dans l'âme, je me dirigeait difficilement vers Maman, mais aussi et surtout vers une fessée, qui sans aucun doute, allait être exemplaire à plus d'un titre ! Cumul de motifs, longue trêve (plus de deux mois) et découverte maternelle imprévue, de mes frasques, j'étais bonne pour une tannée des grands jours et qui plus est, publique, même si ce n'était que le regard de ma grand-mère, non compatissante, pour cette fois envers sa petite fille !

    M'approchant à tout petits pas, Maman me lança « Tu t'actives, Valérie ! Ou faut-il que je vienne d'aider, à venir ? Si c'est ça, dis-le, je peux le faire ? Mais dis-toi alors, que tes fesses qui ont déjà un lourd tribu à payer, regretteront ce jeu inutile qui m'impatiente ! »
    Décontenancée, je me figeait sur place, la trouille aidant, au lieu d'avancer sagement et versant cette fois, de grosses larmes, s'en était trop pour Maman qui se leva d'un bond et m'attrapant par le poignet, ajouta « Bon, ça suffit, Valérie ! On va pas y passer la nuit et tant pis pour tes fesses, tu n'avais qu'à obéir ! ».
    En un éclair, nous avions rejoint sa chaise ou Maman s'assit, tout en me basculant au travers de ses cuisses et me colla aussitôt, une formidable claquée, qui malgré la protection symbolique du pyjama était tangible, ressentant parfaitement l'exaspération maternelle, sa lourde main traduisant celle-ci sur mon fessier et me faisant pousser des cris, de douleur bien sur, mais aussi empreinte d'une certaine colère, d'être dans la position d'une fillette, que l'on doit corriger.
    Gesticulant, plus fortement que d'habitude, j'en perdis mes chaussons, ce que Maman remarqua et lui fît dire « Oh, mais tu peux gigoter, ma fille ! Cà ne changera rien, au fait, que tes fesses vont recevoir ce qu'elles méritent et cela ne fait que commencer ! »

    A suivre, car encore trop long, Mamie étant emportée dans son élan, désolé..... !

    Valérie

    RépondreSupprimer
  25. Valérie continue ce récit bien mené, en jouant à la reine du suspense...
    Voilà la demoiselle en position et l'averse qui commence, même si reste le pyjama pour cacher sa lune... Je ne doute guère que cette dernière protection va elle aussi être baissée... Merci d'avance de nous livrer une suite qui s'annonce carabinée, et double si j'ai bien compris...

    RépondreSupprimer
  26. Bonjour Christine,
    Je ne sais pas, si je suis la reine du suspense, mais merci pour le compliment. Je vous avouerais simplement, Christine, que cette magistrale volée maternelle a marqué mon esprit, comme d'autres, bien sur ! Et qu'en rédigeant cette confession, les petits détails me reviennent, au fur et à mesure, qui après plus de 50 ans, donnent à la mamie que je suis, l'impression de revivre ces moments forts, comme si c'était hier et la fait à nouveau frissonner, comme ce jour là ou Maman s'appliqua comme rarement à s'occuper de mes fesses.
    D'ailleurs, vous avez fort bien deviné, que si la suite fût 'carabinée' et sur une 'lune' bien dévoilée, je le confirme, celle-ci fût également doublée par ma chère Maman, du fait de mon inertie et une réponse maladroite de ma part, à l'une de ses expressions imagées qu'elle utilisait en me donnant la fessée, qui soit m'infantilisais ou se voulaient comique, alors que l'instant ne l'était pas du tout et rendait celui-ci encore plus pénible, à supporter ! Sauf que ce genre d'attitude ou de bourde ne faisaient qu'accroître, sa volonté de corriger sévèrement la demoiselle, qui ne comprenait que cela !

    Suite :
    Cette première averse maternelle était forte et rapide, je sentais très bien chaque impact de sa main sur mes fesses, malgré ce pyjama molletonné (protection assez dérisoire, face une experte en la matière) et la température de celles-ci qui augmentait petit à petit, pleurant franchement, cette fois !
    Maman qui se motivait par la parole, tout en claquant mes fesses, retraça en une phrase ironique le déroulement de ce samedi :

    « Mais, dis-moi, Valérie ? La fessée devait vraiment te manquer ! Car en une seule journée, tu m'auras présenter par trois fois tes fesses ! Bravo ma chérie, belle performance et si la fessée était une discipline olympique, tu serais médaillée d'or, pour celle-ci !»
    Sauf que sa dernière tirade me parue totalement idiote, comme si l'on pouvait gagner une médaille, à recevoir des fessées, sincèrement !!!!

    Et plutôt que de me taire dans la position ou j'étais, cela me fît réagir bêtement ! Lâchant entre deux respirations « C'est bête, c'que tu dis, M'man ! » me valant alors une série de claques gigantesques, me faisant crier plus fort, mon pyjama n'atténuant que partiellement l'énergie dont Maman faisait preuve pour cette claquée et je sentais bien que mes fesses, devaient changer de couleur !

    Puis tout à coup son bras s'arrêta, alors que mes cris (un peu exagérés) s'amplifiaient, mais fût remplacé par sa voix, ajoutant une couche verbale infantile, mortifiante et toujours aussi ironique, avant une suite, bien plus sévère encore et sur le fond, amplement méritée (avec le recul) par la stupide Valérie, qui allait une nouvelle fois chanter comme une diva, non pas sous les clameurs du public, mais sous la simple main de sa chère Maman, Chef d'orchestre, d'une symphonie ô combien pathétique et achevée, celle-là, avec pour seule spectatrice, ma grand-mère !

    Désolé, Christine, mais Mamie Valérie n'arrive pas à faire plus court !

    Donc à suivre, pour le meilleur comme on dit, enfin sauf pour la pauvre Valérie et ses fesses, à l'air libre maintenant et déjà bien colorées, mais elle l'avait bien cherchée.
    Comme on dit, il faut savoir réfléchir, avant d'agir et Valérie, sur ce coup, ne pouvait que s'en prendre à elle-même, récoltant simplement ce qu'elle avait semé.

    Valérie

    RépondreSupprimer
  27. Qui sème les sottises et les mensonges, récolte les fessées, dirait un proverbe de la Maman de Valérie, et qu'elle applique avec une belle efficacité.
    Et si Valérie "n'arrive pas à faire court", sa mère non plus ne semble pas savoir ce que seraient des fessées courtes.
    Attendons donc la suite qui promet d'être claquante et bouillante pour la lune de la punie...

    RépondreSupprimer
  28. Vous avez raison, Christine, concernant ce proverbe qui colle parfaitement à ce que pouvait dire ou faire, Maman, lorsqu'elle s'occupait des fesses de sa fille chérie et il est vrai que les fessées de celle-ci n'était jamais de courte durée, mis à part les petits rappels à l'ordre, à la sauvette ! Mais quand Maman, annonçait à Valérie une bonne fessée, le mauvais quart d'heure à passer n'était pas qu'une expression, celui-ci était bien tangible et les fesses de la demoiselle, pouvaient en témoigner au final, ainsi que son visage tout déconfit par la douleur et la honte.

    Suite :

    « C'est vrai, ma chérie ! Parfois ta Maman dit ou fait des choses un peu idiotes, comme celle de déculotter une demoiselle de 12 ans, pour la fesser comme une fillette qu'elle est encore, qui ne comprends que cela et tu vas pouvoir juger, à quel point son idiotie peut aller, lorsqu'elle dispose d'une belle paire de fesses bien rondes sous sa main, parfaites pour la fessée ! », ceci tout en joignant l'acte à la parole et passant ses doigts sous l'élastique du bas de pyjama, pour le faire glisser vers le bas !
    S'en était trop pour moi, être déculottée sous les yeux de ma grand-mère, m'était insupportable, même si elle m'avait langé, la situation était différente et honteuse pour la demoiselle que j'étais, me mettant alors à ruer, dans tous les sens en regimbant !
    Mais ne récoltant (tout comme vous) qu'une énorme claque sur le haut des fesses, celles-ci étant en partie découvertes, me faisant hurler de douleur et stopper mon agitation, ainsi que mes suppliques mais permettant surtout à Maman de passer, à l'étape suivante ou la grande Valérie, allait redevenir la fillette pleurant toutes les larmes de son corps et supplier à grands cris, sa Maman d'arrêter la fessée, qui faisait trop mal, mais sans y parvenir bien sur!!!!!!!!

    Me ceinturant parfaitement la taille, Maman entama ce qu'il est convenu d'appeler une 'véritable fessée' à même la peau, sans protection, main contre fesses et dans un but punitif, sans violence, mais répressif ! Ce n'était pas une jeu anodin entre deux personnes, mais une punition, au même titre que l'on pouvait être privé de dessert ou de sortie, mais en moins douloureux, je l'admets.

    Et là, sa main commença à tomber sans retenue, au même rythme et aussi fortement que la fessée par dessus le pyjama, sauf que mes fesses n'avaient plus de couverture et ses claques faisaient vraiment très mal, celles-ci se succédant sans relâche sur la totalité de mon pauvre fessier, y compris le haut des cuisses, me faisant alors crier plus fort !
    Mes yeux n'étaient que deux fontaines, déversant un flot de larmes, de ma bouche grande ouverte sortait des cris en continu, comme un disque rayé, suffoquant sous ce terrible orage et mes jambes battaient tellement la chamade, qu'à un moment le bas du pyjama les quitta, pour finir sur le sol, m'exposant ainsi à moitié nue devant ma grand-mère, ce qui accroissait ma honte.
    Puis, le bras de Maman s'arrêta de déverser l'orage tropical, j'avais néanmoins la sensation de sentir encore sa main tomber sur mes fesses, tellement l'épiderme de celles-ci réagissaient, malgré l'absence de contact ! Imaginant donc que mes fesses, même sans les voir, devaient être déjà bien rouges et me disant, malheureuse comme les pierres, que Maman n'en avait pas encore fini, avec moi, ayant bien saisi dés les premières claques, que la fessée allait tourner à une tannée des grands jours, éprouvante, interminable et douloureuse au possible ! Et ce fût le cas !
    Maman, reprenant la leçon s'aida de la voix « Allez, ma grande, maintenant ton idiote de mère va te montrer ou plutôt te faire sentir, ce dont est elle capable et crois-moi, que tes fesses vont vite le comprendre, tu peux me faire confiance ! Et la dense était partie, pour Valérie. A suivre..... !


    Valérie

    RépondreSupprimer
  29. En effet, cela devient une tannée magistrale cette fessée, et je compatis avec la pauvre Valérie qui n'en a pas encore fini... Je comprends aussi la sensation ressentie quand, à force de gigoter, le bas de pyjama quitte les jambes qu'il entravait jusque là... La punie peut remuer davantage, mais elle se sent encore plus nue et exposée qu'avant.

    RépondreSupprimer
  30. Bonjour Christine,

    C'est tout à fait exact, Christine, la pauvre Valérie n'en avait pas encore fini avec le main de Maman et c'est vrai que le fait, d'être à demi nue, mes ruades ne faisaient que m'exposer davantage, offrant sans le vouloir, chacune de mes fesses aux claquées maternelles et dévoiler mes trésors cachés, aux regards, même si dans le cas présent, il n'y avait que Maman et ma grand-mère, cela était vraiment mortifiant pour une jeune fille de 12 ans, très pudique ! Celle-ci éprouvant même aujourd'hui, à plus de 60 ans, une difficulté à se montrer en maillot de bain, sur une plage.

    Suite en deux parties :

    Maman s'attacha alors à claquer ce fessier, de façon très copieuse et avec méthode, du au fait des circonstances (fessée publique et mon ardeur, plus forte à refuser la fessée), mais je crois aussi que la longue trêve sans fessées sérieuses (j'exclus les petits rappels à l'ordre) pour Valérie, contribua à la motivation de ma chère mère, qui (tout comme la votre) devait se reprocher, d'avoir fait preuve d'une certaine faiblesse à mon égard et allait en quelque sorte, compenser celle-ci, au détriment des fesses de la demoiselle, qui en virent de toutes les couleurs ce soir là !
    Et même plus tard, car Maman renforçant sa vigilance, vis à vis de mon comportement tant sur le plan scolaire, que le quotidien, valant à la jeune Valy de présenter bien souvent à sa Maman, des fesses blanches, que celle-ci se chargeait de faire rougir, d'autant que Mémé était moins complice avec sa petite fille.

    Sa main tombait tel un balancier d'horloge et jamais au même endroit, le haut, le bas, les cotés, au milieu des fesses et sans oublier, le haut des cuisses (plus sensible et douloureux) !
    Tout y passait, alternativement, j'étais un véritable pantin désarticulé, pleurant comme jamais, ma bouche expulsant de longs gémissements, ponctués par quelques cris stridents, lorsque sa main touchait mes cuisses et tout juste capable, d'émettre des onomatopées appelant la clémence de ma chère mère et que cesse, cette correction que j'avais méritée, certes, mais vraiment insupportable !
    Maman, alternait les cycles de celle-ci ! Vif et rapide ou lourd et puissant, avec des pauses entre chaque séries ! Si bien, que mes fesses devenaient au fur et à mesure de vrais volcans, à la limite de l'explosion et que Maman se chargea, de déclencher, par une ultime salve infernale, m'arrachant des cris énormes, me faisant brailler comme un petit cochon !

    La volée maternelle avait été d'une sévérité exceptionnelle (certes, je cumulais nombre de points négatifs), mais je n'aurais jamais imaginé recevoir une telle raclée, sous les yeux de ma grand-mère, qui n'avait à ce moment là, aucune compassion pour sa petite fille, estimant certainement que celle-ci ne l'avait pas volé et pour son plus grand bien ! Ce qui n'était pas faux !

    Valérie

    RépondreSupprimer
  31. Bonjour Christine,

    2° partie :

    D'ailleurs, elle le manifesta par des paroles infantiles, me réduisant à l'état de gamine, félicitant sa fille pour son action « C'est bien, Paulette ! Tu as fait ce qu'il fallait pour remettre en place, cette gourgandine qui veux jouer les grandes, mais qui n'est encore qu'une petite peste, comme ses cousines ! Bravo ma fille, je suis fier de toi ! ».

    Etalée sur les genoux de Maman, essayant tant bien que mal de reprendre mes esprits, épuisée que j'étais par la tannée maternelle, ayant deux fournaises à la place des fesses, pleurant et gémissant comme une fillette bien punie par sa Maman, pour ses bêtises !

    Je reçue cette phrase de ma grand-mère, telle une gifle maternelle, soudaine et inattendue surtout de sa part ! Et, si je pestais intérieurement, ma position délicate et vulnérable, me ramena à la raison !
    Ô, pas longtemps, juste celui de remettre les pieds sur terre et renfiler mon pyjama, avant de replonger au travers des cuisses maternelles, pour une nouvelle déculottée plus courte, mais très appuyée, tombant sur des fesses déjà plus que cuites et une mère qui, au sommet de l'exaspération, me ramena à l'état d'une fillette de 7 ou 8 ans et ceci sous le regard d'une grand-mère, non compatissante. A suivre........ !

    Valérie

    RépondreSupprimer
  32. Et le récit de Valérie continue. J'avoue n'avoir pas tout compris du dernier message, qui semble parler d'une "replongée" sans explication ni dialogue, mais le "à suivre" annonce une suite, et je ne doute pas que l'auteure en dira plus.
    Merci d'avance.
    Cela dit, entre temps, plus de nouvelles de Dominique. J'espère qu'il va bien.
    Et, côté Mardohl, un commentaire arrive incessamment.

    RépondreSupprimer
  33. Bonjour Christine,

    En effet, Christine, l'auteure amateur que je suis, vous en dira plus ! Mais pour être brève (pour une fois) et répondre à votre question, une fois remise sur pieds par Maman ! Tremblante et pleurant sans retenue, je ramassais mon bas de pyjama, sur le sol et le renfilait avec difficulté, afin de fuir vers ma chambre pour y éponger mon chagrin !
    Sauf que la têtue et sotte, que j'étais à l'époque, ne pu s'empêcher d'adresser à sa grand-mère un « T'est aussi méchante que Maman et je te déteste ! », ce qui bien sur, n'était le fond de ma pensée adorant celle-ci, mais sous le coup d'une déculottée maternelle magistrale et honteuse, je fût dans l'incapacité de retenir, me valant donc un retour immédiat au travers des cuisses de Maman, pour un second service rapide, mais très difficile, avec une prime surprenante pour mon âge ! A suivre.....

    Valérie

    RépondreSupprimer
  34. OK, je comprends mieux cette suite à rebondissement. Tout en étant assez étonnée par la similitude des situations et déroulements. Mais je ne me permettrais pas de mettre ces souvenirs en doute, tout juste suis-je parfois perplexe.
    Cordialement.

    RépondreSupprimer
  35. Chère Christine,

    Rassurez vous, Christine, Dominique va très bien, mais il a du s'absenter durant une huitaine de jours, hors de l'hexagone pour des raisons professionnelles et sans accès internet, privé, un peu comme mon compère Mardohl.
    Mais je constate avec plaisir que Mamie Valérie, m'a amplement seconder avec ce témoignage aussi chaud que les récits de ma conteuse préférée, ravissant le lecteur/commentateur que je suis et lui donne envie de rebondir, tant pour Christine, que pour Valérie.

    A bientôt, Chère Christine.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  36. Excellente nouvelle, Dominique, que ce retour donc.
    Merci d'avance pour les futurs "rebondissements" !
    Amitiés.

    RépondreSupprimer
  37. Chère Christine,

    Pas de souci, Christine, les rebondissements viendront, je vous le promets et vous savez que comme une personne très proche de vous, je tiens mes promesses ! A l'inverse d'une certaine demoiselle que sa mamie surnommait affectueusement, Christinou, gentille et charmante, mais qui de tant à autre avait besoin d'une bonne fessée de sa Maman, pour rentrer dans le rang ! N'est ce pas Christinette ?

    Voilà, Christine ! Le papy ironique et pas très gentil avec la mignonne Christinette est revenu !
    Amitiés, chère Christine.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  38. Merci d'avance à Dominique, de la part de Christine. Christinette, elle, est moins ravie des allusions à de prétendus "besoins" de bonne fessée qu'elle aurait. Pfff... Même pas vrai, pfff....
    Petit clin d'oeil aussi à Valérie, dont je n'ai pas passé une réaction personnelle un peu aigre. Qu'elle se rassure, quoi que j'ai pu pensé un moment, je suis ses écrits avec grand intérêt. Et espère en lire encore et encore.

    RépondreSupprimer
  39. Chère Christine,

    Je me doute bien que Christinette est moins ravie, par mes allusions sur de prétendus 'besoins' de bonne fessée qu'elle aurait, mais je confirme haut et fort que cette demoiselle qui s'épanouit naturellement, possède toujours de tant à autre, une âme de fillette, qu'il convient de recadrer par le biais d'une bonne fessée et bien sur, en lui baissant la culotte, pour se faire.
    D'ailleurs, celle-ci le prouve avec ce petit pouffement de gamine effrontée !

    « Allez, Christine, çà suffit maintenant tes grands airs de demoiselle, je me moque de tout le monde ! Viens donc par ici, je vais te rappeler les bonnes manières, moi ! Cela te feras le plus grand bien ! ».

    Il me semble que ce genre de phrase, aurait parfaitement collée, à l'image de Maman Spaak, n'est ce pas Christinou et n'aurait pas été dénuée, de bon sens !

    « Grrrrrr, grrrrrr ! J'enrage ! Quel affreux ce type ! Qui ne pense, qu'à voir mes pauvres petites fesses rougir, sous la main de Maman et que j'pleure des torrents de larmes ! Oh ! Nooonnn, nooonn ! J'veux plus la fessée ! »
    «  M'sieur ! Vous êtes méchant, vilain et trop moche, j'vous déteste ! Foi de Christinette, na, na, na ! Hi, hi, hi !!!!!! »

    Bon je m'amuse Christine, mais je pense vraisemblable ces mots dans la bouche de la Christinette de l'époque ou du moins dans sa pensée, car l'exprimer aurait bien sur été fatale pour ses fesses, avec Maman, non ?
    Et sur ce, je vais m'atteler à continuer mon analyse de l'épisode, en attendant avec impatience le retour de mon compère Mardohl, ce qui ne sera pas du goût de Christinette, mais tant pis.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  40. Et il insiste le vilain Dominique. Pff, on croirait entendre Maman raconter mes mésaventures à des proches... "Oui, Christine grandit, mais pas toujours en sagesse... Ne vous fiez pas aux apparences, derrière ses allures de grande, c'est encore une demoiselle à surveiller comme le lait sur le feu. Avec ses petits travers, une certaine propension à relâcher ses efforts, dès que les résulttas vont mieux. Et je ne parle pas de sa tendance à bavarder ou chahuter derrière le dos de ses profs, voire à inventer de gros mensonges pour éviter les conséquences de ses actes... Alors, oui, Christine grandit, mais elle n'échappe pas, de temps à autre, à quelques chaudes explications... Je ne vous en dis pas plus, mais vous aurez sûrement compris que je doive, et plus souvent qu'à son tour, m'occuper de ses fesses..."
    Vous imaginez comment Christinette pouvait rougir en entendant cela, et pester en silence, de peur de représailles sonores et claquantes...

    RépondreSupprimer
  41. Chère Christine,

    Bravo, Christine ! Quel magnifique monologue maternel ! Plein de bon sens et très juste envers cette demoiselle, certes intelligente, mais encore trop écervelée ! Malicieuse à souhait, plus encline à se faire remarquer par son agitation ou sa faculté d'imaginer des entourloupes, aussi grosses que le nez au milieu, de la figure !
    Et lui valant, alors, les bons soins de Maman, sur ses fesses bien dégarnies de toutes protections, la faisant brailler et pleurer, comme une fillette qu'elle n'est plus censée être ! Mais voilà, c'est toute la question pour une Christinette, dénuée de tout mauvais fond, mais en délicatesse avec ses propres contradictions, la conduisant à de fâcheuses postures et n'en ressortant qu'avec de jolies petites fesses bien écarlates, douloureuses à souhait et honteuse, d'avoir encore eu sa culotte baissée, comme les soeurettes.
    « Mais c'est pas vrai ! V'la qui continue ct'affreux bonhomme ! J'suis pas une attraction et c'qui se passe entre Maman et moi, n'regarde personne ! Et encore moins ce vieux machin qui s'moque de moi, comme les frangines ! Bon j'le dit pas trop fort, pas c'que si M'man entend, est va m'en coller une et çà j'veux pas ! Ah !!! Non ! Cà fait trop mal ! »

    Vous l'aurez compris, Christine, Dominique s'amuse encore, aux dépends de Christinette, risquant d'être vilipender par elle et ne pourra lui en vouloir, l'ayant bien cherché.

    Désolé, pour ce commentaire très tardif, mais il me faut bien gagner mon pain quotidien, comme Christinette, ses fessées !

    « Mais, bon sens!!!! Je rêve ou je cauchemarde !!!! J'y crois pas !!!!! Dixit Christinou !!! » à qui je fais une grosse bise, sur le front ! Hi, hi !!!! MDR !!!!

    En toute amitiés.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  42. Pfff, je ne vais même pas répondre... Sinon, Dominique va encore répliquer, et on n'en finira pas, tellement il est moqueur, ce vilain taquin. Je vais aller bouder dans ma chambre, comme ça je serai à l'abri des regards hilares et en douce de mes petites soeurs, et des discours dominicains qui vont tous dans le sens des méthodes maternelles. Na !

    RépondreSupprimer
  43. Bonjour Christine,

    Mamie Valérie vous remercie pour le clin d'oeil et vous propose donc la suite de son témoignage, tout en s'efforçant de ne pas susciter, votre perplexité, que je comprends.
    Et je tiens à vous préciser que dans le cas présent, si la situation évoquée est très similaire à la vôtre, cela tient au fait que je n'ai connu qu'une seule fois ce type de longue trêve fessière, après mes 10 ans ! Car passé cet âge, la mignonne et gentille Valérie d'avant, assez facile à gérer au quotidien, devint une véritable petite peste, au caractère difficile et d'une gestion moins reposante pour Maman qui ne ménagea, ni sa main, ni mes fesses !
    Devenant beaucoup plus sévère, les rendez-vous entre sa main et mes fesses se multipliait assez souvent et généreusement, en fait il était bien rare que Valérie tienne plus de deux semaines, sans avoir la culotte baissée par sa Maman (ou sa Tante, aussi) et qui en l'absence de bon sens à l'époque, pestait à l'encontre de cette sévérité qu'elle trouvait injuste ! Alors qu'elle était seule responsable de ses excès, tout comme ses cousines qui n'étaient pas en reste, se ramassant aussi de sacrées roustes

    Suite :

    N'ayant donc pas apprécier l'éloge de ma grand-mère, à sa fille ! Tout en me reculottant, je commis la bourde vis à vis de mon aïeule, qui s'exclama « Ohhhhh, mais Valérie ! Comment peux-tu, dire çà !!!! » aussitôt secondée par Maman qui instantanément m'attrapa par les cheveux, me jetant littéralement sur ses cuisses et ajouta « C'est bon, Valérie ! J'ai compris ! Il t'en faut davantage ! Et bien, si c'est ça ! J'vais t'en donner, puisque tu en redemandes ! ».
    Inerte et surprise, je ne réagis que par la voix, hurlant des suppliques de détresse, en pleurant de plus belle, ayant saisi qu'un nouvel orage allait me tomber dessus et que rien n'y ferait !
    Dans un temps record, Maman baissa à nouveau mon pyjama et m'asséna une série de claques, terrible, étonnamment aider par Mémé disant « C'est çà, Paulette ! N'hésite pas ! Elle s'en remettra et çà lui apprendra, à se taire ! ».
    J'étais atterrée d'entendre ma grand-mère, dire cela à mon sujet et Maman claquait si fort, que je poussais des cris énormes, ayant l'impression qu'elle arrachait la peau de mes fesses et que je ne pourrais plus m'asseoir, durant deux ou trois jours, tellement la sensation de brûlure était intense !

    Gesticulant dans tous les sens, j'en perdis à nouveau mon bas de pyjama ! Maman arrêta la claquée, me relevant aussi énergiquement, qu'elle m'avait couché sur ses cuisses !
    Alors que je chancelais, saoulée par la correction ! Bêlant et chialant comme une fillette ! Maman me tint par les poignets, pour que je retrouve mon équilibre ! Puis se levant, avec un regard très noir, elle me lança, sur un ton péremptoire et exaspéré :
    « Valérie ! Maintenant tu laisses, ton pyjama où il est ! Tu mets les mains sur la tête et tu vas aller mettre ton nez face au mur, de la cheminée ! Ceci, jusqu'à ce que je te rappelle et si tu bouges, ne serais qu'un cil ! Je t'en remets une autre ! »
    Meurtrie et affligée par cet ordre infantile, j'hésitais un instant à l'exécuter, mal m'en pris, Maman tournant autour de moi, claqua à nouveau mes fesses, ajoutant en rythme, « Oh, mais s'il faut te dresser, je vais m'y employer, je te le garantis, ma fille ! Est ce que tu m'as bien compris, cette fois ? ».
    Sans défense, à moitié nue, m'exposant seulement aux regards et aux claques, je ressentais une terrible honte, hochant la tête, tel un âne, j'obéis la mort dans l'âme !
    C'était quasiment aussi insupportable que la sévère volée reçue et je n'avais toujours pas rejoint mon lit !!!!!!


    Valérie

    RépondreSupprimer
  44. Voilà Valérie bien reprise en main... Cette fessée à rallonge, et la perte du soutien de Mamie qui soutient sa fille dans la nécessité de faire comprendre à l'insolente que cela ne se fait pas de remettre en cause l'autorité, ni de grogner après une volée méritée, voici une scène dont Valérie se souviendra longtemps... La preuve, elle nous la raconte aujourd'hui. Avec en prime le passage au coin, mains sur la tête et fesses à l'air, qui doit être une situation difficile à supporter pour une gamine pudique.
    Et comme Valérie dit qu'elle n'est pas encore au lit, je suis curieuse de connaitre la suite...

    RépondreSupprimer
  45. Chère Christine,

    « Oh ! Tu te fais boudeuse et impertinente ! Préférant fuir discrètement dans ton antre, pour te réfugier, sans affronter la vérité ! Attention Mademoiselle, si cela parvenait aux oreilles de ta Maman, celle-ci pourrait bien débarquer dans la pièce et prendre sa place, au milieu du lit, pour t'offrir, une bonne séance récréative amère, mais très instructive sur le comportement ! Tu vois ce que je veux dire, Christinette ? », signé Minot.
    « Vous voyez, Madame Christine ! Mon avatar me fait rebondir à sa place, pour se dédouaner et me faire porter le chapeau, voilà ce que j'ai gagné, avec votre non réponse ! Avec tout mes respects, Minot. »

    Sinon voici la suite de l'analyse Dominicaine, qui ne sera certainement pas du goût, de Christinou !

    Maman ne prolongeant pas le coucher des petites, pourtant curieuses, revient vers son aînée pour la border et la réconforter, suite à l'épreuve, de façon câline !
    Faisant surgir l'état d'âme profond de Christinette, qui promet de s'amender et crédite ainsi la règle maternelle, en vigueur dans la maisonnée !
    Sa chère Maman, confirmant à haute voix celle-ci, par un rappel intangible et infantile !
    « Qu'on soit grande ou petite ! Qui dit, mauvaises notes ! Dit, Bonnes fessées de Maman ! Et tu le sais ! Et même davantage que tes sœurs en cette année, alors j'espère que la leçon te profiteras, sinon ce sera retour direct sur mes genoux ! Comme tu sais aussi qu'avec toi, Maman ne plaisante vraiment pas ! Je crois de l'avoir démontré, une nouvelle fois, alors réfléchit bien ma grande, avant de déraper et dis-toi, que j'attendrais pas si longtemps, pour te remettre les pendules à l'heure !».
    Message très clair pour Christinette, qui sais au fond que sa Maman l'aime profondément et que si elle baisse sa culotte pour la punir ! Ce n'est pas, par plaisir ! Mais par devoir maternel de conduire ses filles et en particulier son aînée, sur le bon chemin, qui malgré son âge ne comprends vraiment bien les choses, qu'après une bonne déculottée.
    Une fois la lumière éteinte, l'esprit embrouillé, plus la difficulté à trouver la bonne position, perturbent l'endormissement de la demoiselle, celle-ci ayant deux volcans à la place des fesses, qui ont été copieusement tannées, par une main maternelle toujours généreuse, avec son fessier ! La nuit s'annonçant délicate pour Christinou.

    A suivre.............

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  46. Bonjour Christine,

    En effet, Christine, la reprise en main de l'insolente Valérie était très nette et celle-ci, ne pouvait plus compter que sur elle-même, pour se défendre et tenter d'éviter, d'avoir à présenter ses fesses, trop souvent à Maman, mais tout comme vous, ce n'était pas gagner et malheureusement, Valérie connue bien d'autres déculottées, tout aussi mémorables.
    Tant qu'au passage par le coin, très pénible à vivre, Maman le renouvela, sans ce soucier de ma pudeur, avec parfois des éléments ou des situations encore plus mortifiantes, bien décidée qu'elle était à redresser la barre du bateau Valérien, qui penchait du mauvais coté, depuis deux ans environ et vous confirme que c'était aussi marquant pour l'esprit, que la déculottée.

    Suite :

    Ayant rejoint le mur de la cheminée, dans la position indiquée, Maman m'y laissa un très long moment (combien de temps exactement, je ne saurais le dire), mais celui-ci me parut interminable, pour plusieurs raisons, tant physiques, que morales.

    Physiquement :
    J'avais un mal fou à me tenir, mains sur la tête (c'est fatiguant) et sans gigoter, à cause de mes fesses, ayant la sensation qu'on les piquaient avec avec des centaines d'aiguilles et qu'il m'était impossible, d'apaiser en passant mes mains dessus, à moins de vouloir m'en reprendre une autre ! Maman et ma grand-mère ayant pris place dans les fauteuils du salon, avec une vue imprenable sur l'insolente et ses fesses écarlates, qui pleurait tout son soûl.

    Moralement :
    C'était presque pire, les entendant converser sur les vertus d'une bonne déculottée, ramenant à la raison (Maman et ma Tante, ayant été élevées avec cette méthode), évoquant presque en rigolant leurs souvenirs communs (fesseuse et fessée), tout en me prenant comme référence du genre :
    « Tu vois, Paulette ! Ta fille me rappelle, ta sœur et toi, quand après une bonne fessée, je vous envoyaient au même endroit, pleurnichant et les fesses à l'air, tu t'en souviens ? »
    « Oh, que oui, Maman ! Je m'en souviens ! Comme Jeannine doit s'en souvenir aussi ! Et même si c'était difficile à supporter, aujourd'hui le résultat est là et j'espère que tes petites filles, vont finir par le comprendre, car c'est navrant d'avoir encore à les déculotter et les fesser, à leur âge ! »
    « Je suis bien d'accord avec toi, Paulette, mais souvent il n'y que cela qu'elles comprennent ! Alors, faut pas hésiter, tant pis pour elles ! »

    Attendant dans une position inconfortable et très honteuse ! Meurtrie dans ma chair, je fulminais intérieurement d'entendre ça, sans l'exprimer (même si j'en avais l'envie) par peur d'une réaction maternelle, vive et douloureuse, mes fesses ayant été plus que soignées.
    Je subissais ce dialogue, avec amertume, comprenant que même ma grand-mère, faisait alliance avec ses filles pour bien éduquer, ses gamines devenues de petites pestes.

    Valérie

    RépondreSupprimer
  47. Ce n'est pas Pâques, c'est Noël ! Un texte de Valérie, un de Dominique, et un de Mardohl (que je vais copier et publier ci-dessous). Gâtée la Christine ! Même si Christinette doit rager en lisant ces analyses, dont elle ne peut se moquer, car au fond, elles sont vraies et pertinentes.
    Que de cadeaux à Pâques. Toutefois, je me passerai de la plaisanterie classique en disant que "les cloches sont passées, hi hi... Car ce serait vexant pour mes fidèles contributrice et commentateurs. Je ne voudrais pas les choquer, ni surtout qu'ils aillent dire à Maman Spaak que son ainée a un humour déplacé... Je n'aimerais pas du tout, ne doutant pas de ce que serait (ou plutôt aurait été) sa réaction à mon encontre... Vous devinez, je suis sûre...
    Cela dit, les sentiments ressentis par Valérie au coin sonnent très justes et je compatis sincèrement. Je n'aurais pas voulu être à sa place...
    Dominique, lui, souligne bien combien la morale maternelle faite au moment du coucher, peu après la fessée, ne pouvait que développer en moi inquiétude et mauvais pressentiments...

    RépondreSupprimer
  48. COMMENTAIRE DE MARDOHL (Début)

    Le sermon maternel, qui n’est pas sans évoquer les discours officiels précédant les événements notables (inaugurations, concerts, compétitions, etc.) solennise la fessée qui s’annonce d’un caractère exceptionnel, d’autant plus que la narratrice le perçoit comme un « privilège christinien » distinguant ses fessées de celles d’Aline et Diane, Madame Spaak ne se fendant pas de tels propos avant de corriger les cadettes. C’est donc bel et bien, pour votre plus grand malheur et pour le plus grand bonheur des petites aux aguets, une « fessée de grande » qui se prépare.

    Le mélange des deux sentiments que ressent alors Christine se révèle une association particulièrement incommode (qui d’ailleurs la fera pleurer), amalgamant honte et frayeur : opprobre infantilisant de la situation (déculottée sur les genoux maternels à l’âge des premiers flirts) allié à l’épouvante d’une tannée crainte et inévitable et imminente et mémorable, qui n’aura rien, elle, d’une fessée de gamine, une peur qui, comme aux montagnes russes au moment du grand huit, vous fait bien dérisoirement fermer les yeux, en déni d’une situation intolérable et pourtant bien réelle.

    Les deux premières claques, méthodiques, équilibrées, une pour le milieu de chaque fesse, sont décrites avec détail. Elles retentissent comme une semonce symbolique accusant la fin de votre préservation fessière (d’autant que votre mère parachève son sermon après celles-ci) avant que la « vraie » fessée ne s’engage, d’autant plus appliquée que Madame Spaak procède avec cette détermination calme que Christine connaît bien et dont elle se défie particulièrement, en ce que cet état d’esprit signifie une correction longue, méthodique, appliquée, un modèle du genre.

    La première phase se termine. La narratrice (aussi bien que le lecteur averti) sait d’expérience que la fessée ne s’arrêtera pas là, ce qui ne l’empêche pas de s’épancher comme de coutume en vaines supplications. Mais la correctrice, avec une précision clinique, jauge à la couleur des fesses « à peine […] bien rouges » que ce n’est que la fin du commencement, et qu’à présent la deuxième partie, marquée par une accélération de la cadence et une intensification des impacts, s’impose comme de raison pour une punie qui ne peut que reconnaître tactilement ce programme aussi connu que redouté, et crier sa peine en abdiquant sa fierté, tandis que Madame Spaak martèle ses claques de sa signature verbale : « Tiens ! », tandis aussi que, sa volonté réduite à néant, Christine n’a plus que l’alternative de se cabrer (bien inutilement) ou de subir. (Cette variation d’attitude modifie-t-elle pour autant le ressenti des claques ? Je crois d’ailleurs vous avoir déjà posé la question, en supputant qu’une posture détendue serait de nature à amortir la violence des coups.)
    A SUIVRE

    RépondreSupprimer
  49. La question de Mardohl contient sa propre réponse. Oui, la posture, le degré ou non de tension, donnait à la claque un ressenti différent. Et la sensation semblait plus supportable sur une fesse détendue. Sauf que si la cible était comme relaxée, la main s'appliquait sur toute sa surface, la marquant de son empreinte, et la claque ébranlait tout le fessier, résonnant d'un bruit plus fort et plus mat, que la claque sur une fesse tendue.
    Cette dernière était peut-être plus douloureuse sur l'instant, mais c'était comme si le corps se défendait, et je serrais en même temps les dents, attendant la claque, alors que la lune détendue la subissait.
    Il faudra sûrement que je poursuive cette analyse, mais je ne veux pas trop interrompre mon récit.
    Et puis, comment imaginer tenir longtemps la lune détendue alors qu'elle rougit et pique de plus en plus, dès que l'on atteint ce degré que Mardohl qualifie bien en disant "ce moment où l'on abdique sa fierté", et faisant fi des oreilles des soeurettes, on pleure et crie sans retenue ?
    Il y a forcément une partie où l'on ne peut se retenir de gigoter, de se tendre.
    Paradoxalement, c'est parfois en fin de fessée, où l'épuisement aidant, le corps s'affalait au lieu de se cabrer et où l'averse s'abattait un moment sur des fesses déjà écarlates, mais comme vaincues et offetes à la volonté maternelle.

    RépondreSupprimer
  50. COMMENTAIRE DE MARDOHL (FIN)

    C’est d’ailleurs sur l’une de ces phases de soumission que la fessée s’arrête (Le lecteur averti se demande immanquablement : « Ben, et le troisième temps alors ? ») par deux claques légères faisant comme écho aux deux premières. Or, ces deux presque caresses chiffonnent l’ego mortifié de notre demoiselle qui, « réflexe idiot » en effet, rue dans les brancards pour hâter sa libération.

    Ce petit mouvement de révolte ne pouvait passer inaperçu ni rester impuni par votre mère qui resserre son étreinte et offre à notre petite effrontée le supplément qu’elle mérite, afin qu’elle

    sache bien que, à l’initiale du déculottage aussi bien qu’à la finale de la descente des genoux, il est bien futile de vouloir s’opposer au programme maternel. (C’est là que le lecteur attentif qui se croyait frustré de la phase finale se dit : « Ah oui d’accord, et avec un mutin geste inédit en prime. »)

    C’est finalement la fatigue du bras (tout comme avec Madame Mac’Miche, mais la comparaison s’arrêtera là) qui écourte le châtiment, ponctué par deux ultimes claques magistrales, en écho inverse elles-mêmes des deux douces claques de la « fausse fin » (ce qui n’échappe pas à l’interprétation pointue de notre éveillée narratrice). La leçon a porté puisque Christine, en sanglots, n’a plus le cran de protester, ni en paroles, ni en geste. En se reculottant, elle peut furtivement par la vue et le toucher évaluer sur son épiderme fessier l’ampleur exemplaire de la tannée reçue.

    Symétrie de l’intervention maternelle qui, amorcée par un sermon, se termine, au moment du coucher, par un autre sermon, prononcé certes d’une voix plus calme, radoucie, où ne perce aucune rancœur, mais rappelant fermement les principes et préceptes maternels, et comme annonçant déjà la prochaine fessée, alors même que la mère prend tendrement sa fille dans ses bras, comme en complément nécessaire de la correction, en illustration parfaite de l’adage « Qui aime bien châtie bien ».

    Ainsi, Christine, essorée au sortir de cette séance qui l’a remise à niveau, loin de faire preuve de soulagement bien que sachant ce mauvais moment désormais derrière elle, prend en quelque sorte de l’avance en appréhendant déjà la prochaine séance sur les genoux maternels.

    RépondreSupprimer
  51. Mardohl parle de "claques légères" et de "presque caresses" qui provoquent ma mini-révolte. C'est en effet plus cette sensation, sinon de véritables caresses, mais de douces tapes, que j'ai vécu comme si c'était de la moquerie de la part de Maman, comme si arrêtant et contemplant une mappemonde bien chaude et écarlate, elle se serait donnée un satisfécit, du style : "regardez moi cette lune bien rouge", la tapotant de façon taquine, comme pour dire : "voilà une bonne chose de faite, mais gare à toi si tu recommences".
    Ma réaction n'a pas été calculée, sinon bien sûr je me serais abstenue...

    RépondreSupprimer
  52. Bonjour Christine,

    C'est vrai que ma place, dans cette posture de pénitente, n'avait rien d'enviable et je me doute bien que vous n'auriez pas apprécier, d'y être!
    Et justement en parlant de posture, avant de continuer mon témoignage, je vais me permettre d'apporter ma pensée, sur le sujet évoqué par Mardohl.

    Je suis bien d'accord avec vous sur la différence de ressenti, des claques tombant sur un fessier tendu ou détendu et Maman, ayant une vue parfaite sur ce dernier, variait sa technique de claques en fonction de la tension de celui-ci.
    Lorsque je serrais les fesses, appréhendant le début de la claquée ou la reprise après une pause, sa main fouettait plutôt mes fesses, dans le style gifle ! Tandis que les fesses relâchées, la main tombait lourdement bien à plat, s'écrasant sur chacune de celles-ci et résonnait dans tout le corps, incitant celui-ci à se tendre naturellement, faisant que la main de Maman reprenait alors ses fouettées pour contrecarrer mes mouvements.
    Ce genre de fouettées, étaient en effet plus douloureuses sur l'instant, car comme vous le dites, le corps se défendait et je pense que cette défense, participait à rendre ces claques plus douloureuses sur le moment.
    A l'inverse de celles données sur un fessier détendu, assimilable à une cuisson plus lente, mais devenant à la longue totalement insupportable pour la punie et lui faisait rendre les armes, en s'abandonnant complètement.
    Et, Maman, l'ayant bien compris, faisait des pauses un peu plus longues, rappelant mes fautes et endormant, en quelque sorte ma vigilance aux claquées, pour que machinalement je me détente et me prenant par surprise m'assénais alors une bonne demi douzaine de lourdes claques, avant que mon corps ne réagisse et qu'elle reprenne ses fouettées, avant de m'écrouler, et lui permette de finaliser la volée magistrale et méritée de Valérie.

    Je ne sais pas, si mon propos est assez clair, mais j'espère qu'il vous plaira ainsi qu'à Mardohl et aux autres.

    Valérie

    RépondreSupprimer
  53. Bonjour Christine,

    J'ose, avant même votre réaction, vous adresser un deuxième message, concernant toujours l'analyse de Mardohl et votre réponse au sujet des claquettes maternelles, avant ou après une fessée, que j'ai évoqué précédemment et que Maman utilisait, fréquemment !
    Ces petites tapes gentillettes, étaient très vexantes et mon esprit de l'époque, traduisait la pensée maternelle, de deux façons différentes et pouvant être les suivantes :
    « Attention, Valérie, si tu n'obéis pas ou te montres insolente ! Voilà ce que Maman, a pour toi ! » ou « Que voilà ! Des fesses bien rougies, qu'ils l'ont bien mérité et qui le seront à nouveau, si la demoiselle persiste, dans la bêtise ! »
    Ce qui parfois, en effet, engendrait des réactions impulsives, au résultats néfastes et comme le dit l'adage « Il faut savoir tourner, sept fois sa langue dans sa bouche, avant de parler ! », ce que Valérie avait bien du mal à appliquer, à cette époque et lui valurent, de belles démonstrations maternelles, plutôt indigestes !

    Valérie

    RépondreSupprimer
  54. Deux rebonds intéressants de la part de Valérie. Son point de vue sur le ressenti des claques qui diffère selon que la fesse est tendue ou pas, confirme globalement mes propres souvenirs, et j'y adhère.
    Idem pour l'aspect vexatoire de la petite tape qui semble dire : attention ta lune reste à portée de ma main. Et qui rappelle à sa manière que c'est là précisément sur cette cible là que se régleront les prochains conflits...

    RépondreSupprimer
  55. Bonjour Christine,

    Valérie, vous remercie pour l'adhésion à ses points de vues, concernant les remarques de Mardohl et à mon tour j'adhère, à votre expression « attention ta lune reste à portée de ma main », ce qui était tout à fait la pensée de Maman, en faisant ce geste, même si elle aurait plutôt employer le mot 'fesses' et non lune.
    Suite du témoignage:

    Malheureuse comme les pierres, je subissais donc, sans pouvoir répliquer cette pénible conversation dont j'étais le sujet principal, ainsi que mes fesses !
    Ayant, l'ensemble en point de mire, celles-ci sans se préoccuper de ma petite personne continuaient sur le même registre, me sentant anéantie, je pleurais en continue, non de douleur celle-ci s'étant estompée avec le temps, mais de honte !
    Leurs propos me rabaissant à l'état d'une fillette, plus réceptive aux bonnes déculottées, qu'aux paroles et cela m'affligeais terriblement (même si, ce n'était pas tout à fait faux), leurs paroles étaient vraiment insupportables.
    « Tu n'as pas tort, Maman ! C'est vrai que dés, que je commence à lui baisser sa culotte, ta petite fille retrouve tout d'un coup la raison et me fait des promesses à n'en plus finir ! C'est étonnant, tout de même ? »
    « Non, pas du tout, Paulette ! Ta sœur et toi aviez la même réaction ! Parce qu'après, c'était la bonne fessée de Maman, qui fait mal et beaucoup pleurer ! Et comme je te l'es déjà dit, il n'y a rien de telle qu'une bonne déculottée, pour remettre les idées en place d'une gamine, crois-moi ça marche ! Ta sœur et toi, en sont la preuve !», ma grand-mère ajoutant « Et parfois, il faut savoir remettre le couvert, comme tu l'as fait aujourd'hui et je t'en félicite, ma fille ! Valérie, n'a eu que ce qu'elle méritait et j'ose espérer que tu ne faibliras pas, même si j'adore ma petite fille ! »
    « Oh que non, Maman ! S'il le faut, je saurais m'occuper de ses fesses, tu peux me croire ! Même si pour cela, je dois user ma main et ceci malgré mon amour, pour elle ! »

    Ecoutant cela, j'étais mal à l'aise ! Partagée entre les sentiments d'amour exprimés, tant de ma grand-mère, que de Maman et leur union sur le fait, que l'une comme l'autre, pensaient que seules de bonnes déculottées me ferait bien grandir ! Ce en quoi aujourd'hui, je suis d'accord ! Mais pas à l'époque ou Valérie la jouait, petite effrontée rebelle et qui connût alors, biens d'autres séances fessières du même tonneau.
    Pleurnichant toujours, Maman me fît sortir du coin et machinalement, je baissais les bras pour cacher mon intimité, arrivée devant elle, je reçue une claque sur chaque coté de mes cuisses, accompagné d'un « Tais-je autorisée, à baisser les bras ? » et me fît répondre par un non de la tête, en remettant aussitôt mes mains sur celle-ci, malgré ma gène et la douleur, car je peux vous assurer, que les claques à cet endroit, font vraiment très mal, comme celle que vous avez connu sur le devant de la cuisse.

    Maman entama alors un dernier sermon, me laissant à demi nue dans cette position terriblement honteuse, accentuant mes pleurs et ma détresse, que je souhaitais assouvir seule, en grande fille, même si j'avais été punie comme une fillette ! Mais ma chère Maman, elle ! Pensait différemment.


    Valérie

    RépondreSupprimer
  56. Pas facile à vivre en effet que de devoir écouter ce dialogue entre mère et grand-mère, pour une fois d'accord avec la méthode employée. Et la suite, avec deux claques pour avoir baissé les bras sans permission montre bien que la Maman de Valérie est bien décidée à ne rien laisser passer à celle qui s'est moquée en douce de son autorité, jusqu'à tromper la confiance de Mamie.
    Même si les fesses de la demoiselle refroidissent, sentir qu'elles demeurent découvertes, à portée de la main maternelle, doit être très éprouvant...

    RépondreSupprimer
  57. Bonjour Christine,

    C'était en effet, très éprouvant d'être là, les fesses et les cuisses à l'air, à portée de cette main maternelle devenue, de plus en plus leste, depuis deux ans et celle-ci venait encore de me le prouver, en ce samedi noir (enfin surtout très rouge, pour mes fesses).
    Il est vrai aussi que Maman était vraiment décidée, à ne rien me laisser passer, aidée en cela par Mémé moins indulgente envers son insolente et trompeuse petite fille, qui l'avait vraiment déçu.
    N'hésitant plus à informer Maman de mes écarts en son absence ou m'adresser des phrases infantiles et menaçantes, pour des choses plus anodines, du genre « Oh, oh !!! Je connais une petite fille, qui doit avoir envie que sa Maman, lui baisse la culotte, quand elle va rentrer ! » ou pire encore « Tu sais qu'une fillette qui n'écoutes pas les grandes personnes, finie généralement au travers des genoux de sa Maman, pour une bonne déculottée ! Et mon petit doigt, me dit que ce soir tu pourrais bien y avoir droit ! ».
    L'ennui pour Valérie, c'est que si ma grand-mère informait Maman, j'étais bonne pour la déculottée, sans discussion possible ! Je m'efforçais alors d'être très gentille et serviable avec Mémé, afin de l'amadouer pour qu'elle ne dise rien à Maman !
    Sinon je pouvais préparer mes fesses et ensuite mon tabouret, pour un dessert spécial Maman, très copieux, avant d'aller au lit ! Ou bien, si la faute était plus importante, Maman me collait alors ma volée sous le regard de ma grand-mère et cela devint plus fréquent chez Maman, ainsi que la mise au coin, les fesses à l'air, ce qui était très pénible !
    Et celle-ci innova même, le principe de la fessée publique, n'hésitant plus à me déculotter devant le cercle familial (Oncle, Tante, Cousines) en cas de dérapages, de ma part ! Copiant ainsi sa sœur, chez qui, ce principe était systématique et là, Valérie, se sentait vraiment tout petite !

    Suite :

    Debout ! A moité nue, mains sur la tête, le visage couvert de larmes, face à Maman et ma grand-mère ! Ma chère mère attaqua un sermon final, très enfantin et plein de promesses (tenues) pour mon avenir fessier, que j'allais avoir l'occasion de vérifier.

    « Ma petite fille, cela fait deux ans environ que tes manières m'insupporte ! Et si les fessées reçues ont permis quelques assagissement de courte durée, ta petite cervelle de linotte n'as pas évoluée, pour autant ! Bien au contraire, puisque ton comportement se dégrade de plus en plus et je pense que c'est un peu de ma faute, mes fessées devant être trop légères !
    Et comme là, tu as dépassé les bornes, crois-moi que ça va changer ! Alors garde bien au fond de ta cervelle de gamine, le souvenir mouvementé de cette journée ! Parce que tes prochaines fessées, car il y en aura d'autres à coup sur, seront du même tonneau, quitte à user ma main et peler la peau de tes fesses de grande, mais qui appartiennent à une fillette, je le garantis sur facture ! »
    « Et pour commencer, cette nouvelle ère, sache que ta grand-mère, que tu as beaucoup déçu ! Aura pour mission de te surveiller au quotidien, sans compter que je vais demander à ta Tante, d'être plus vigilante et sévère avec toi ! En ce qui concerne, le collège, je vais me charger d'avoir une relation encore plus étroite, avec tes enseignants ! Alors pense bien à tout ça, ma petite fille ! Sinon ta culotte risque d'être souvent au niveau de tes chevilles, au lieu de sa place originelle, à couvrir tes fesses ! Ais-je été assez claire, petite demoiselle ? »

    Suite ci-dessous, car trop long

    Valérie

    RépondreSupprimer
  58. Suite :

    Pour sur, le monologue maternel annonçant le futur programme de Valérie, était plus que clair, il était limpide ! Et ne m'offrait que deux choix, changer en profondeur ou me retrouver, plus souvent qu'à mon tour, la culotte baissée pour des fessées ou plutôt des tannées, de tout premier ordre identique à celle que je venais de me ramasser et ceci sans compromis, ni conditionnel ! Son message pouvant se résumer à : Erreur de ma part = Sévère déculottée de Maman ! Avouez que comme programme, il y a plus enchanteur, que cela !

    Ecoutant, Maman, débiter son discours ! Je me dandinais sur place en pleurant des torrents de larmes ! Mon regard s'alternant entre Maman et ma grand-mère, qui visiblement adhérait à celui-ci, considérant certainement et à juste titre, que finalement sa petite fille, devait la faire tournée en bourrique depuis longtemps et finir par abuser de sa confiance, chose dont elle ne me pardonna que bien plus tard ! J'étais très mal à l'aise entre Maman et ma Grand-mère !
    Tout en pensant à ma Tante, qui m'ayant déjà fait goûter sa main (et pas qu'une fois), allait appliquer sans état d'âme, la directive de sa grande sœur ! Ce qui me foutait une trouille terrible, ses doigts de pianiste longs et secs, cinglants les fesses comme des petits bâtons et faisaient très, très mal.

    Incapable de prononcer un mot, ma bouche ouverte n'émettant que des sons de détresse, liés à mes pleurs abondant! J' hochais la tête de bas en haut, deux ou trois fois en signe de 'Oui' et totalement abasourdie par ce qui venais de m'arriver !
    Maman enchaîna alors, m'autorisant à baisser les bras et me donna mon bas de pyjama, que je pris dans la main sans le renfiler, quasiment au garde à vous, attendant les ordres cette fois ! Ce qui lui permis de rajouter une couche verbale, infantile et très vexante, faisant sourire ma grand-mère !

    « Et bien ! Voilà une fillette, qui apprend à obéir ! Comme c'est agréable ! Alors maintenant, ma petite demoiselle, tu va filer et très vite, dans ta chambre pour te rhabiller et te coucher, sinon je t'accompagnes au rythme d'une bonne claque, par marche gravie et comme il y en a plus d'une douzaine, imagine alors l'état de tes fesses, déjà bien servies, à l'arrivée ! Quoique l'avantage, est que tu pourras te coucher, sans ton bas de pyjama, grâce au petit radiateur fournit par Maman chérie ! Allez, file ! ».

    Autant vous dire, que je pris la poudre d'escampette, mon pyjama à la main, ayant à ce stade laissé la honte un peu de coté, ne pensant qu'à fuir pour éviter de nouvelles claques et me réfugier dans mon antre ! Machinalement, montant l'escalier, je comptais les marches, il y en avaient 16 avant d'arriver au palier et là, d'un coup, je ressentis comme un soulagement, me disant que si je n'avais pas réagit (fréquent chez Valérie), j'en aurais pris 16 de plus et assurément pas des tapettes, car vu le contexte, celle-ci m'aurait arrêté à chaque marche pour me coller, la bonne claque qui fait mal.

    C'est donc, un peu moins anxieuse, que je renfilais à moitié mon pyjama et me couchais sur le ventre, sans couette, pour finir d'évacuer le reste de chaleur de mes fesses, tout en cogitant sur mon avenir, qui s'annonçait plus rouge, que rose, si je ne changeais pas ! Comprenant que Maman, en plus qu'assez de mes frasques, de chipie demeurant dans l'insouciance et la rébellion. Mais ça, c'est une autre histoire !

    Valérie

    RépondreSupprimer
  59. Valérie en a enfin fini avec cette journée à rebondissements pour ses fesses de gamine effrontée et roublarde. Elle a été copieusement servie et prend conscience que ce ne sera pas la dernière fois, se doutant bien que sa mère tiendra ses promesses... Les réflexions qui tournent dans sa tête alors qu'elle cherche le sommeil allongée, le bas du dos encore à l'air et à vif, doivent être bien sombres...

    RépondreSupprimer
  60. Bonjour Christine,

    Vous avez parfaitement saisi, Christine ! Si Valérie en avait fini avec cette journée rebondissante et funeste pour ses fesses, enfin tranquilles sur son lit pour en apaiser, la cuisson ! Celle-ci se repassait en boucle les paroles de Maman et de grand-mère, sans illusions sur le fait qu'il y aurait une prochaine fois et même bien d'autres !
    Et que celles-ci serait du même acabit, Maman l'ayant bien précisé et comme elle n'était pas du genre, à se contredire, ni à changer d'avis ! Cela n'aida pas la petite demoiselle, encore trop gamine dans sa tête, à trouver le sommeil, tout comme vous, même si celui-ci fût paisible au final, rincée et vidée qu'elle était, par la tannée et les surprises (désagréables), au cours de cette journée, qui marqua le changement maternel à mon égard ! Aux seuls dépends de mes fesses et de ma fierté de jeune fille, bien entendu !

    Valérie

    RépondreSupprimer
  61. Les émotions épuisent, c'est bien connu, avec en plus l'épreuve physique d'une tannée en règle, on comprend que Valérie finisse par trouver un sommeil réparateur, même s'il sera certainement peuplé d'angoisses et de cauchemars fondés sur ce que les promesses maternelles lui font envisager...

    RépondreSupprimer
  62. Chère Christine,
    Fin d'analyse :

    Christinette éreintée par la volée reçue et le petit plus, pour cause d'insubordination, arrive à trouver le sommeil ! Cette tannée !!!! L'ayant ruiné physiquement et moralement, surtout après près deux mois d'abstinence, la ramenant finalement au rang des demoiselles faisables dans la maisonnée !
    Celle-ci, tout en appréciant cette longue trêve, se doutait bien qu'un jour prochain, elle n'y échapperait pas !
    Cette longue période d'impunité, n'est pas un atout pour Christinette, n'en devenant que plus suspect aux yeux de Maman, qui elle aussi se doutait bien qu'un jour ou l'autre, il lui faudrait remettre les pendules à l'heure de son aînée !
    Et là, badaboum !!!! Cette mauvaise note, que Christinette ramène, la précipite à nouveau vers ce qu'elle redoute le plus ! Et Maman ne se prive pas de lui faire, une magistrale démonstration, de ce qu'elle avait peut-être oubliée et la repositionne comme la demoiselle, qui a besoin de temps à autre d'avoir les fesses rougies, par la main maternelle.
    Cette volée d'anthologie, permet au final à Christinette de bien dormir, seulement dérangée par un ou deux cauchemars de futures fessées, liés aux paroles de Maman « Crois-moi ! Christine, que je n'attendrais aussi longtemps, pour m'occuper à nouveau de tes fesses ! » et imagine, que cette trêve exceptionnelle, ne se reproduira pas ! Sans illusion sur le fait qu'il y aura une prochaine fois et bien avant deux mois !

    Sa conscience et son expérience, lui faisant penser, qu'après une telle volée, Maman sera plus que vigilante à son égard et parfaitement capable de remettre le couvert, pour une broutille, considérant que la dernière leçon n'a pas suffit.
    Pour Christinette, une double choix s'impose en théorie : Sagesse et travail ou Bonne Déculottée ! Sauf qu'en pratique, c'est une autre paire de manches ! La parfaite connaissance de soi-même, inquiétant à juste raison, une Christine pas rassurée du tout, se disant que très prochainement il lui faudra préparer ses fesses, pour la mimine chaleureuse de Maman

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  63. Bonjour Christine,

    Comme vous le dites, les émotions fortes et les tannées épuisent, c'est sur ! Mais elles font aussi fourmiller l'esprit de pensées négatives, accroissant l'angoisse et les mauvais rêves, je suis bien d'accord !
    D'autant que je me repassait en boucle, le discours de Maman et ses promesses, qui elle savait, les tenir, à l'inverse de Valérie qui sous la main maternelle, en faisait des dizaines bien entendu, mais sans les respecter !
    Ce qui n'était pas le cas, des claques que Maman appliquait généreusement sur mes pauvres petites fesses et dont Valérie ce serait bien passé, mais qui tout comme vous j'imagine, y pensait bien trop tard.
    Comme vous le supposez, à juste titre, ma nuit fût assez paisible, avec simplement quelques retours sur images de cette soirée désagréable, pour une demoiselle, que son avenir inquiétait !

    Valérie

    RépondreSupprimer
  64. Chère Christine,

    Mais dites-moi, chère conteuse ? Voilà 24 jours que vous n'avez pas rendu de devoirs ! Pensez-vous que cela soit raisonnable ? Car même, si vous avez répondu aux commentaires ou témoignages de vos chers (ès) lecteurs, il me semble que vous faîtes preuve d'un certain 'poil dans la main' !

    Et j'en connais une autre, qui saurait vous remettre le 'pied à l'étrier' et vous redonner du tonus ! Je pense qu'il est inutile de vous préciser, à qui appartient cette main, ô combien efficace et source de bonnes résolutions pour une jolie demoiselle, d'une certaine époque, que je ne nommerais pas !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  65. Chère Christine,

    Soit ma conteuse, a pris quelques jours de congés, ce qui pourrait être mérité ! Ou celle-ci est en mode fainéantise et ne serait pardonné, qu'après une bonne déculottée ! Qu'en pense, mademoiselle Christinette ?

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  66. Bonjour Christine,

    Pour compléter ma précédente réponse, je souhaite revenir sur la notion d'angoisse très présente, dans vos textes et vous faire part de mon ressenti de l'époque, à ce sujet.
    Celle-ci était différente, selon les situations et plus ou moins forte ! Les exemples sont nombreux et je vais essayer de les synthétiser, afin de faire court !

    La menace, à l'extérieur :
    « Valérie ! Maintenant ! Cesse donc tes caprices ou bêtises, si tu ne veux pas avoir de gros soucis, une fois à la maison ! ». Là ! Mon petit cœur s'emballait d'un coup, générant une légère angoisse, me disant à moi-même « Attention, Valérie ! Si t'insiste, tu vas t'en prendre une, c'est sur! » et en règle générale cela me ramenait au calme, en pensant que Maman, n'avait pas besoin de grand chose, pour concrétiser sa menace et j'en ai vécu quelques exemples.
    La menace plus claire ! Presque une promesse, à la maison :
    « Valérie, j'en ai assez soupé de tes jérémiades ! Alors ! Tu montes, tout de suite dans ta chambre pour geindre et si après, çà ne suffit pas ! Peut-être qu'une bonne déculottée, sera plus efficace ! », souvent accompagné d'un geste de la main, très significatif ! Là ! Une angoisse plus forte, mêlée de peur me prenait, ne sachant pas si Maman allait mettre ou pas, à exécution sa menace et suite à un appel de sa part, redescendant au rez de chaussée, mon ventre gargouillait, m'incitant alors à être la fifille modèle, pour éviter de s'en prendre une ! Et cela marchait quelques fois, à mon plus grand bonheur !
    L'ultime avertissement, précurseur éventuel d'une fessée :
    « C'est bon, Valérie ! Comme tu ne veux pas comprendre ! Je pense que le mieux, est que je te déculotte tout de suite et que je t'en colle une bonne, cela te fera du bien ! ». Là, mon cerveau ne faisait qu'un tour, la phrase étant sans équivoque et me donnait une terrible angoisse, m'amenant alors à faire mille promesses à Maman qui selon son humeur, les acceptaient ou bien me déculottait !
    L'ordre, sans appel ! Générateur de fessée, quoique je puisse dire :
    « Valérie, ça suffit ! Tu montes ! Et je te suis ! ». Là, c'était la montée des marches de l'escalier, tout en pleurnichant qui me faisait angoissée, sachant qu'au bout, une bonne déculottée m'attendait ! Maman ajoutant très souvent « Cesse donc de pleurnicher pour rien, ma fille, d'ici trois minutes, tu auras une bonne raison de le faire et crois-moi que là, ce seront de vraies larmes que tu vas verser, je te le garantis! ».
    L'annonce préalable du style :
    « Valérie, j'ai bien saisi, ce que tu avais à dire pour ta défense ! Sauf que tu as quand même manqué de respect, à ta grand-mère et ça, je ne l'accepte pas ! Alors, tu vas monter gentiment dans ta chambre, sortir ton tabouret et m'attendre, pour ce que tu sais ! » Là, c'était l'angoisse profonde de l'attente, non de l'inconnu, mais de ce que je connaissais justement trop bien, à savoir une bonne fessée déculottée, je devrais même dire une volée en règle !
    En fonction de son humeur et des impératifs du quotidien, cette attente angoissante était plus ou moins longue et grandissante, selon les circonstances !
    Soit elle surgissait, dans ma chambre après un petit moment, me surprenant dans mes pensées et sans aucune paroles attrapait ce qui se présentait à elle, bras, cheveux ou oreilles, selon ma réaction et en deux temps, trois mouvements, direction le tabouret !
    Culotte ou pyjama prestement, baissés ! Etalée sans ménagement, sur ses cuisses et la valse démarrait sur une tonalité énergique, pour finir en volée exemplaire et cuisante à souhait ! Ceci malgré mes suppliques et promesses, que Maman ne croyait plus !
    Bon, tout compte fait, je suis encore trop bavarde et il me faut une deuxième page !

    Valérie

    RépondreSupprimer
  67. Suite annonce préalable :
    Ou bien, celle-ci me laissant mijoter un plus long moment, tout d'un coup m'appelait, m'invitant à redescendre et là, l'ébullition de ma cervelle augmentait au fur et à mesure de la descente qui était laborieuse, que voulait-elle ? Me donner la fessée devant Mémé ou était-ce pour manger ? M'interrogeant à chaque marche, cette situation humidifiait souvent mes yeux, craignant en tout point la première idée et je crois que Maman en me voyant arriver, selon la mine que j'affichais, optait pour l'une ou l'autre des possibilités !
    Dans la mesure ou pour le dîner, l'appel n'était pas de dernière minute et que quelque soit l'option choisie, par elle ! Valérie méritant une bonne fessée, celle-ci serait donner !
    Elle avait donc le temps de me coller, cette bonne raclée que je méritais avant le souper, m'obligeant cependant dans ce cas à partager le repas, de façon très inconfortable, mes fesses étant bouillantes et sensibles ! Et Maman me voyant gigoter sur ma chaise, m'ordonnait de me tenir tranquille, sauf si j'en voulais une autre !
    Si elle choisissait l'autre option, ce n'était pas mieux, voir même encore plus angoissant ! Car si j'avais déjà mijoter dans ma chambre et cela continuait pendant le repas, Maman n'étant pas avare d'allusion plus ou moins directe en s'adressant à ma grand-mère, tout en me regardant, du genre « Bon ! Tu vois Maman, c'est ce que j'appelle une journée bien remplie ! Après le repas, la vaisselle et me brosser les dents, je n'aurais plus qu'une seule chose à faire, avant d'aller au lit, n'est ce pas Valérie ? ». Autant vous dire que cela, faisait grimper mon adrénaline, car sous ce calme apparent, ce cachait la volonté d'une mère à corriger sa fille, mais lui laissant beaucoup de temps de réflexion, avant d'agir et c'était très pénible.

    L'angoisse la plus vive et instantanée, que j'ai connu, c'est chez ma Tante :
    Lorsque j'étais la dernière à être punie, assistant tour à tour, aux volées de mes deux cousines, voyant leurs fesses devenir écarlates, gesticulant sous la claquée généreuse de ma Tante, qui comme Maman ne faisait pas semblant ! Ainsi que le bruit des claques, leurs cris et leurs pleures ! M'imaginant déjà dans la même position, à gesticuler, crier et pleurer comme une fillette ! Mais je ne pouvais qu'attendre et regarder, les tripes totalement noués, grimaçante et me triturant les mains ! Ou pire encore, lorsque ma Tante, qui variait sa manière de faire, nous faisaient mettre les mains sur la tête et baissait nos culottes à toutes les trois (exemple), avant de fesser la première d'entre nous et faisait patienter ainsi les deux autres ! Insupportable au niveau, du ressenti émotionnel, pour celles qui attendaient !
    Et avec Tata, il y avait d'autres surprises, tout aussi difficiles à supporter !

    Valérie

    RépondreSupprimer
  68. Chère Christine,
    Je reprends mon récit (arrêté, en février), avec Tata et Maman, qui après m'avoir corrigé le fiston de belle façon, allait s'occuper de sa grande petite sœur, avec une volonté encore plus forte.

    Suite :
    Maman qui s'apprêtait à monter dans la chambre, rejoindre Isabelle, fût stopper dans son élan par ma Tante « Attend, Liliane ! Tu viens de corriger le Minot, devant Sylvie et moi ! Alors je crois qu'Isabelle ne mérite pas de traitement de faveur, d'autant que sa rébellion est liée, au fait d'être déculottée et fessée devant son frère ! Donc étant concernés, lui et moi, en toute justice, je pense que nous avons le droit d'assister à ce qu'elle mérite, de ta part ! Ainsi que ses cousines, pour qu'elles comprennent, bien ce qui l'en coûte de résister à l'autorité ! Qu'en penses tu, Liliane ? »

    Maman étant d'accord avec le point de vue de sa sœur, appela donc Isabelle et ma Tante en fît de même avec mes deux cousines, sauf qu'il n'y en avait qu'une en pyjama à la mine très déconfite et pleurnichant, alors que les deux autres en mode 'motus et bouche cousue' s'interrogeaient sur le motif de l'appel, ma Tante invitant celles-ci à prendre place, en silence, dans le canapé et s'asseyant elle-même dans un fauteuil.
    Il n'y avait donc que deux personnes, exclues du groupe ! Maman assise sur une chaise et Isabelle debout à coté d'elle, sous les yeux de sa sœur, ses cousines, sa Tante et son petit frère, attendant le bon vouloir maternel, en tremblant comme une feuille ! Et Maman passa à l'action en prenant la parole de façon, ironique et mortifiante pour ma sœur !!!!!!

    « Alors, comme ça ! Cà amuse la demoiselle, de voir les fesses de son petit frère, corrigées par Tata ! Mais, quand vient son tour, elle se rebelle refusant que celui-ci voit les siennes dans la même situation! Et bien, ma petite fille ! Maman va faire encore mieux que ta chère Tante !
    En montrant à tout le monde, les fesses d'une petite peste, juste bonnes à recevoir des raclées ! Et quand, je dis raclée ! Crois-moi que tu vas sentir, tout le sens de ce mot ! ».
    Joignant le geste à la parole, Maman avait bien sur, fait pivoter Isabelle sur elle-même et baisser son pyjama jusqu'aux chevilles, celle-ci exposant alors à nos regards, une paire de fesses encore teintée.
    Ce qui donna l'occasion à Maman, d'enfoncer le clou, vis à vis de ma sœur, qui devait se sentir aussi petite qu'une fillette, à ce moment là et confirmé par ses gémissements, ainsi que de gros sanglots, alors qu'elle avait presque 14 ans ! Ce qui me troublais et je n'étais pas le seul !

    « Oh ! Mais regardez moi ça ! Ces fesses sont à peine roses ! Mais ça, dites-moi ? C'est la couleur de celles, des petites filles qui ronchonnent un peu ! Mais pas d'une petite peste, qui se rebelle contre la punition de sa Tata, qu'elle a mérité ! Et bien, je vais remédier à cela et donner à ces fesses de vilaines gamines, la couleur qui convient ! »

    Et, Maman coucha aussitôt ma sœur, au travers de ses cuisses, le mouvement assez brusque faisant tomber son bas de pyjama, sur le sol et sans perdre de temps, Maman déversa alors un gigantesque orage de claques, sur le fessier d'Isabelle, qui ne pu se retenir de pousser des cris à couper le souffle, et gigotant, sous le déluge, lâchait un torrent de larmes !
    Cette entame maternelle me parut interminable, voyant les pauvres fesses de ma sœur, rougir, à vitesse grand V ! Et ses cris !!!!!! Me faisait trembler et m'impressionnait terriblement, car si j'en avais pris une bonne de Maman, ce à quoi j'assistais n'avait rien à voir !

    A suivre,

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  69. Désolée, chers commentateurs, mais effectivement Christine était moitié en repos, moitié en déplacement professionnel, ayant eu la chance de pouvoir jumeler les deux en prolongeant le premier par un grand week-end. Mais, il faut bien cela pour profiter un peu de La Réunion.
    Merci à Valérie et Dominique d'avoir comblé mon absence par leurs confidences et commentaires.
    Je me remets au clavier très prochainement. Promis, juré, et ce n'est pas une parole de Christinette... pour éviter une réaction maternelle que vous avez évidemment devinée...

    RépondreSupprimer
  70. Chère Christine,

    C'est vrai, chère Christine ! Que quitte à parcourir 9000 kilomètres pour son travail, autant joindre l'utile à l'agréable et vous avez raison de le faire, je crois qu'aucun de vos commentateurs ne vous en voudras, moi le premier ! Mon nouveau job m'amenant à des déplacements plus fréquents et sans possibilités d'avoir un accès privé, sur internet.

    Par contre, Christine, attention aux promesses ! Les faire, c'est bien ! Les tenir, c'est mieux ! N'est ce pas, Christinette ? Sinon, Maman, elle ! Sait tenir les siennes, vous voyez ce que je veux dire !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  71. Oui, je vois très bien ce que vous voulez dire, Dominique... Ce n'est pas la peine d'insister. Je ne voudrais pas que le compte-rendu de ma non-production arrive aux oreilles de Maman, et qu'elle assimile cela à une preuve de fainéantise caractérisée de Christinette...

    RépondreSupprimer
  72. Chère Christine,

    Bon, je saisi votre angoisse, Christine ! Et comme Maman, je vais exceptionnellement vous accorder un sursis et garder sous le coude, mon rapport à votre chère Maman, qui aurait en effet, vite fait de comprendre que sa grande fille, la joue encore dilettante.
    Et je ne voudrais pas (enfin pas sur, MDR !) que Christinette, se retrouve sans apparat, en dessous de la ceinture, pour une explication maternelle concrète et très chaude !

    Vous voyez, chère Christine, je n'ai employé aucun mots précis, mais je suis sur que vous comprendrez et me direz, que ce n'est pas la peine de 'tourner le couteau' dans la plaie, hi, hi......

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  73. Pfff, vous trouvez cela drôle, Dominique ? Aucun mot précis, mais personne ne s'y trompe. Et l'explication maternelle très chaude sur un bas du dos dégagé de toute protection, il n'est pas besoin d'être finaud pour comprendre ce que c'est...
    La même sans aucun doute que celle qui attendait Christinette lorsqu'un bulletin de colle était arrivé à la maison... Alors, épargnez moi les mots en question, le seul souvenir de l'angoisse que j'avais suffit à m'en remémorer tous les détails...

    RépondreSupprimer
  74. Chère Christine,

    « Euhhhh ! Bahhhh ! Euhhh ! Ouiiii !!! ». Voilà que je fait la Christinette, incapable d'aligner trois mots cohérents de suite !!! « Oh, mais quel moqueur, ce vilain garçon ! Peut-être faudrait-il, que j'demande à Maman de lui rappeler, les bonnes manières à sa façon !!!!!!!!! »

    Sinon, c'est vrai, Christine, que pour traduire ces mots ! Il n'est nul besoin de sortir de Saint Cyr, surtout lorsqu'on s'appelle, Christinette, Valérie ou Minot !
    Tant qu'à l'explication maternelle très chaude, c'est bien celle à laquelle pense Christinette et que Maman, lui réservait avec beaucoup de ferveur et primer un bulletin de colle ou un mensonge !

    Etant magnanime et connaissant la sensibilité de Christine, sur le sujet et l'angoisse qu'il lui générait ! Je m'abstiendrais donc de cité, l'une des expressions qu'employait nos chères mères pour résumer en deux ou trois mots, une situation plutôt délicate pour celle ou celui à qui, elle était adressée.

    Vous voyez, Christine ! Je fais des efforts pour ne pas trop chagriner Christinette, que le petit Minot embrasse amicalement et avec compassion, pour ses prochains rendez-vous, avec Maman !!!!!!!

    « Oh !!! Oiseau de mauvaise augure ! Tu vas finir par te faire étriper, tant par Christinette, que par Christinou, en même temps ! Et là, bonjour le mauvais quart d'heure, pour toi !!!!!!! ».

    MDR !!!! Désolé c'est symptomatique et amusant, en attendant la suite de Christine, qui je l'espère ne tardera plus.

    Amicalement et en toutes amitiés, Dominique

    RépondreSupprimer
  75. Chère Christine,

    Suite :
    Et, Sylvie qui avait pris place, à coté de moi, se rendant compte de mon trouble passa son bras, sur mes épaules et me serra contre, elle, comme une sorte d'union, car nous savions les uns et les autres, ce dont notre Maman (ou Tata) en colère, était capable et Isabelle l'avait visiblement oublié !
    Celle-ci nous offrant, à tous et contre son gré, une démonstration exceptionnelle, de la maîtrise maternelle en matière de fessée ! Mes cousines étant également blottît l'une contre l'autre, aussi muettes que des carpes, les yeux écarquillés devant la scène !
    Seule ma Tante semblait sereine, même si je pense qu'au fond d'elle-même, tout en étant satisfaite par l'action de Maman, elle devait avoir une certaine compassion pour sa nièce, qui se ramassait une fameuse volée de sa mère ! Elle et sa sœur, n'étant pas des bourreaux dénués de sensibilité, envers leur progéniture, même si elles savaient de temps à autre, donner de magistrales corrections à celle ou celui, qui la méritait !

    Et cet exactement, ce que ma pauvre grande/petite sœur était en train de vivre, s'époumonant sous la déferlante de Maman, qui se motivait par des paroles, aussi claquantes que sa main !
    « Ah, la petite Isabelle est moins fière, quand elle montre à tout le monde, ses fesses qui rougissent ! Ecoutes donc comme ça claque ! ». Clac, Clac, Clac, Clac......, encore et encore...... ! Je ne sais pas si ma sœur, discernait le bruit des claques, mais je suis sur qu'elle les sentaient, au vu de ses réactions et nous par contre, nous les entendions très bien, ainsi que ses cris à chacune de celles-ci !

    Puis Maman, arrêta son bras ! Pour qu'Isabelle respire, mais sans la libérer, la repositionnant sur ses cuisses ! Le corps de ma sœur, était secoué par des spasmes, ses fesses déjà très rouges devaient la faire souffrir et ayant repris un peu son souffle, bredouilla un « Stooppp... ! M'maaamm... ! Tu fait troooppp...., maaalllll... ! », permettant à Maman d'embrayer.
    « Oh, mais je m'en doute, ma petite fille ! Car même ma main est chaude ! Et cette bonne fessée, que tu mérites et qui fait mal, bien sur ! C'est justement pour essayer de te faire comprendre, que ce coté petite peste rebelle, n'a pas lieu d'être dans cette maison et si tu as mal, tant pis pour toi ! Il fallait réfléchir avant, maintenant c'est trop tard et crois-moi, que j'nen est pas fini avec toi ! Enfin surtout avec vos fesses, ma petite de'moiselle ! ». Ce qui plongea ma sœur, dans une nouvelle crise de larmes, ayant saisi qu'elle n'était pas au bout de sa souffrance ! Et nous, au bout de nos émotions, qui allions assister à une monumentale tannée.

    C'était reparti ! Tel un métronome, le bras maternel se mît en action ! Maman ayant évacué en quelque sorte, son adrénaline, se remit à fesser ma sœur de façon plus précise ! Sa main parcourant l'ensemble du fessier d'Isabelle, qui n'épargnait aucune partie de celui-ci, jusqu'au moindre recoins tel un coloriage méticuleux !
    Faisant quelques pauses, pour reposer son bras et non par pitié pour les fesses de ma sœur, qui vivait un véritable cauchemar ! Et les claquées successives étaient si fortes, qu'après une ou deux pauses, Isabelle, ne réagissait plus que par la voix et ses pleurs ! Exprimant sans retenue, la douleur ressenti, Maman, fessant encore et encore, ma grande/petite sœur à n'en plus finir !
    J'étais comme figé devant cette scène, versant moi-même quelques larmes ! Sylvie, attentive à mes réactions m'enlaça davantage, pour calmer mes émotions et les siennes aussi, consciente que malgré son âge, elle pouvait se retrouver à la place de sa sœur !

    A suivre.............

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  76. Chère Christine,
    Suite pour Isabelle, avec Maman :

    Isabelle était affalée, sur les cuisses de Maman, telle une poupée de chiffons que l'on manipule à sa guise et c'est exactement ce que Maman, faisait avec les fesses de sa fille, lui assénant d'horribles salves de claques, transformant celles-ci en poivrons (ni vert, ni jaune !).

    Ma sœur offrait littéralement ses fesses, en pâture à Maman, accompagnant les claquées, d'une longue plainte en continu et des flots de larmes interminables ! De mémoire c'est l'une des plus belles (mot inadéquat) fessées, à laquelle j'ai assisté, Maman étant motivée comme jamais à corriger sa fille ! C'est d'ailleurs ma Tante qui fît stopper les hostilités pour Isabelle, en s'adressant à sa sœur, de façon diplomate.
    « Eh bien, Liliane !!!! Je pense que ma nièce y réfléchira à deux fois, avant de se rebeller ! », et Maman de répondre « En effet, Mireille, je l'espère pour elle !!!! Enfin surtout pour ses fesses!!!Alors, Ouiiiii !!! Elle a intérêt à bien réfléchir !!! Sinon, crois-moi que je n'hésiterais pas, s'il le faut, à lui répéter la même leçon qu'aujourd'hui !!! »

    Après une dernière série rapide, faisant hurler Isabelle ! Maman cessa la correction et desserra l'étau de son bras gauche, tout en gardant quelques instants ma sœur sur ses cuisses, avant qu'elle ne glisse sur le tapis du salon, en chien de fusil !
    Pleurant et gémissant, comme un bébé, en passant une main sur son fessier, qui au vu de la couleur, devait lui cuire intensément ! Et cachant son visage, au creux de son autre bras, honteuse qu'elle devait être d'avoir encore reçu (à presque 14 ans) une déculottée magistrale et devant témoins.

    Maman la laissa ainsi quelques minutes, pour récupérer un peu et évacuer le plus gros de ses larmes, avant de lui donner l'ordre de se relever (l'aidant dans la manœuvre), car pour ma chère mère la leçon n'était pas terminée.
    Une fois sur pieds, chancelante et à demi nue, face à Maman qui la soutenait par les poignets, Isabelle nous présentait (contre son gré) un fessier écarlate sur toute sa surface, la main maternelle en ayant parcouru, les moindres recoins jusqu'à mi-cuisses et cela nous troublaient tous, imaginant la souffrance de ma pauvre sœur, dont la punition n'était pas close, confirmé par la voix de Maman !

    « Ma petite Isabelle ! Si j'en ai fini avec la cuisson de tes fesses, que tu garderas sans doute en mémoire et que je n'aurais pas l'obligation de répéter, je l'espère !!!!!! Maintenant, pour que tu comprennes bien tes erreurs !!!! Avant de ficher le camp, dans ta chambre, tu vas comme la gentille petite fille que tu peux-être! Aller, demander pardon à ton petit frère et présenter tes excuses, à ta Tante ! ».
    Ma sœur repartit dans une crise de larmes, en balbutiant un « Ohhhhhh, noonnn, M'maannn ! Noonn pas çaaaa !!!! Jt'ennn supplieeeee !!! » déclenchant une réponse maternelle immédiate.

    « Oh, mais si mademoiselle, tu vas le faire !!! Et sans pantalon !!! Cela te serviras peut-être de leçon, allez exécution !!!! Sinon jt'en colle une autre et comme t'es cul-nu, ce sera plus facile pour moi ! Alors décides toi et vite ! Avant que l'vent tourne de nouveau mauvais pour tes fesses !!!!!! ».

    Je ne voyais pas encore le visage atterré de ma sœur, mais j'en allais avoir la confirmation, lorsque la mort dans l'âme, elle se retourna et se dirigea vers nous, Sylvie et moi toujours l'un contre l'autre !!!!!
    A suivre.........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  77. Quelle leçon pour Isabelle ! Je pense que la soeur de Dominique doit s'en rappeler encore aujourd'hui. Même si ses fesses sont redevenues blanches depuis, il est des sentiments de honte que l'on n'oublie pas de sitôt.

    RépondreSupprimer
  78. Chère Christine,

    En effet, Christine ! A un peu plus de 60 ans, Isabelle se souvient très bien de cette journée, plus que mémorable pour ses fesses et son esprit de jeune fille ! Lorsqu'ils nous arrivent en étant réunis, lors de repas familiaux, d'évoquer le sujet de l'éducation (elle-même étant, six fois grand-mère), sur le ton de la plaisanterie, ma sœur cite assez souvent ce moment, comme référence, sans amertume et en souriant, aujourd'hui !!!

    Parce qu'à l'époque, celle-ci ne souriait pas du tout ! Bien au contraire (comme moi-même, Sylvie et mes cousines), la démonstration maternelle étant marquante pour tous les esprits et ma plus grande sœur, ainsi que mes cousines, en firent l'amère expérience ! Ainsi que moi, mais avec Papa ! Qui si le cœur m'en dit et si vous êtes d'accord ! Je vous évoquerais à l'occasion !

    Sur ce, je vais m'atteler à la rédaction du final, de ce moment pour ma pauvre petite sœur, que je vivais avec beaucoup d'émotions et je n'étais pas le seul !

    Sinon, j'ai prévu de vous adresser, une statistique en rapport avec cette chronique du redoublement ! Puisque Christine, est mode petite joueuse, validant les écrits, mais ne se foulant pas trop pour ses réponses, du style plutôt télégraphiques ! Alors que comme, une certaine Christinette ! Elle peux faire beaucoup mieux ! Humour, je vous rassure !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  79. Oui, je peux mieux faire... Surtout si je me sens motivée comme l'était Christinette pour échapper aux foudres maternelles...
    Et, puisque je ne voudrais pas que Maman Spaak ne soit d'humeur belliqueuse, je vous livre à l'instant un nouveau texte, de transition certes, mais que j'espère que vous apprécierez...

    RépondreSupprimer