lundi 24 septembre 2012

Chronique d'un redoublement : 47. Une issue attendue et à portée d'oreilles indiscrètes

SUITE 46

J'étais rentrée à la maison, la peur au ventre, avec les mots de Maman qui tournaient en boucle dans ma tête : "Nous allons régler cela à la maison... Tu peux préparer tes fesses, ma grande..."
De doute, personne n'en avait plus, et la jeune vendeuse de la boulangerie connaissait même le programme, annoncé clairement par une mère qui n'avait pas l'air de plaisanter : "Ma chère fille réfléchira peut-être à deux fois avant d'embêter sa soeur, une fois que je lui aurai donné la bonne fessée qu'elle mérite..."
Alors, inutile de préciser qu'une fois la porte refermée, ça filait droit chez les Spaak. Même côté des petites soeurs, si l'oeil pétillait en imaginant que l'ainée allait passer un sale quart d'heure, les consignes maternelles étaient appliquées à la lettre.
Nulle ne voulait risquer de faire partie de la distribution imminente...
Aline ou Diane aurait certainement, en de telles circonstances, montré leur nervosité, chigné en implorant le pardon, pleurniché avant l'heure, et Maman n'aurait pas tardé à régler ses comptes.
Moi, dans l'attente d'une fessée, je cherchais plutôt à jouer à la fille invisible, à ne pas me faire remarquer, à rentrer dans le moule, à ne pas faire de vague.
La fessée à donner à Christine devenait donc l'une des tâches maternelles à accomplir dans la soirée, certainement aussi "obligatoire" dans la pensée de Maman que de nous faire diner, que de vérifier les devoirs et de coucher son monde. Mais, comme elle n'agissait plus sur le coup d'une colère ponctuelle, et avait annoncé la sanction en en différant l'exécution, l'ordre des choses à faire dépendait de son bon vouloir. Et mon attitude consistant à préférer "gagner du temps", amenait logiquement Maman à vouloir se débarrasser des choses à faire dans un ordre allant de la plus petite à la plus grande, comme c'est le cas habituellement dans les familles où les petits sont couchés avant les grands.

A posteriori, je comprends que je ne gagnais pas au change, car ma fessée hantait le climat familial et illustrait les moindres menaces au cours de la soirée. Car, aussi, cela ne faisait que rallonger ma période d'angoisse, que prolonger le temps où me revenaient des images, des peurs, des sensations anticipatrices. Car, bien sûr, aussi, n'étant pas donnée dans la hâte au milieu d'une liste de tâches à accomplir, ma fessée devenait le point d'orgue de la soirée maternelle. Et je pense que Maman devait avoir alors une réflexion du style : "Bon, le diner est pris, la cuisine rangée, les petites au lit, ouf, voilà déjà de bonnes choses de faites. Reste encore à m'occuper de Christine. Pas question qu'elle y échappe..."
Mais, dans une maison devenue silencieuse, l'affaire n'était pas à la minute. Maman pouvait souffler un instant, se re-motiver, avant de passer aux choses sérieuses... 

C'est en tout cas dans cet ordre que se déroulèrent les événements de cette soirée. Maman m'avait laissée mijoter dans ma chambre jusqu'au dîner, et j'avais vaguement tenté de réviser mes leçons, pour me donner bonne conscience, pour pouvoir montrer une image studieuse au moment où elle viendrait me retrouver.

Mais, elle n'avait pas franchi le seuil de ma porte restée close durant un temps dont chaque minute me semblait durer dix fois plus. Ce qui m'impressionnait était d'ailleurs un calme inhabituel, à la place des éclats de voix fréquents en pareil moment de la journée. Maman n'avait pas besoin d'élever la voix, pour obtenir ce qu'elle voulait, du moins n'entendai-je rien qui pouvait ressembler à un rappel à l'ordre. Et cela devait certainement conforter notre mère dans l'idée que sa méthode était la bonne, et donc qu'il ne fallait sûrement pas en changer, ni revenir sur ce qui était dit...

Quand Maman nous appela pour passer à table, les petites dévalèrent l'escalier sans doute en appétit, ce qui n'était pas mon cas...

J'arrivai donc la dernière dans la cuisine, sous le regard de trois paires d'yeux qui me scrutaient d'un drôle d'air.

Maman me lança : "Tu aurais pu te mettre en pyjama, Christine".
Mais elle ne l'avait pas demandé et je m'étais bien gardée d'en prendre l'initiative, n'aimant guère être en tenue de nuit pour dîner, trouvant que cela renvoyait une image infantile.

Les petites portaient leur chemise de nuit et robe de chambre, et cela ne me déplaisait pas d'avoir une image de grande en ces circonstances. L'image se trouva toutefois très vite écornée par une paire d'allusions maternelles au cours du repas, qui rappelèrent que Maman n'en avait pas fini avec moi.

Dès son ramequin de crème caramel maison avalé, Diane fut autorisée à sortir de table, Aline étant réquisitionnée pour aider Maman à ranger la cuisine. J'achevai mon dessert plus lentement, puis je fus envoyée dans ma chambre...

Au bas de l'escalier, j'esquissai un : "Euh, dis, M'man..." qui se voulait comme une supplique tardive, mais dont les mots étaient bloqués dans ma gorge.

Maman coupa net : "Allez, Christine, ce n'est pas le moment de discuter. Tu sais très bien ce que je t'ai promis... Monte te mettre en pyjama et attends-moi" !




 
Le regard de Maman dans mon dos, alors que je montais les escaliers en disait long sur sa motivation. Mes tentatives d'amadouage resteraient vaines, j'en avais conscience...

En passant devant la chambre des petites, la mine ouvertement réjouie de Diane me donna envie d'aller lui redonner des coups de pied, mais je me retins, sachant que j'étais déjà en bien fâcheuse posture...



J'ai baissé les yeux et suis rentrée dans ma chambre, la refermant derrière moi, et m'asseyant sur le rebord de mon lit, hagarde, désemparée, au bord des larmes. J'avais envie de me sauver au bout du monde, mais qu'aurais-je fait toute seule ? Je comprenais qu'il n'y avait rien d'autre à faire que d'attendre le bon vouloir maternel, que d'attendre ce qui "m'avait été promis", comme elle venait de le rappeler au vu et au su de toute la maisonnée, donc de "préparer mes fesses".

Et, au lieu de me dire que cela faisait un moment que j'y avais échappé, que tôt ou tard cela devait bien arriver, au lieu de dédramatiser dans ma tête, au contraire, le délai de presque trois semaines depuis ma dernière déculottée semblait décupler ma peur, rendre ce qui n'était "qu'une fessée de plus", en "la" fessée, la Fessée avec un F majuscule, parce que la fessée imminente fait forcément peur, donne comme une sorte de trac de débutante... 

Je suis restée ainsi un bon moment, me refusant à bouger, à me "préparer"...

La remontée d'Aline dans la chambre des petites, les bruits de fermeture des volets du bas, me sortirent de ma torpeur, et je me décidai à me mettre en tenue de nuit, en essayant de focaliser sur le fait que je dormirais ainsi, et en chassant de ma tête que ce serait auparavant ma "tenue de fessée", si j'ose dire...



Pas facile en tout cas de quitter des vêtements bien protecteurs pour d'autres plus vulnérables, et de sentir un instant l'air frais sur une lune encore blanche, mais qui frissonne à l'avance de ses futurs tourments.

En montant coucher mes soeurs, Maman avait ouvert la porte de ma chambre, passant la tête et vérifiant : "Ca y est. Tu es prête, Christine ?" qui résonnait comme "Es-tu prête pour recevoir la fessée?" Et non pas "prête pour dormir" bien sûr...

Le bonsoir aux petites suivit ses rituels habituels, toujours accompagné de petits dialogues avec chaque enfant et d'un gros câlin final. Il me sembla presque plus rapide qu'un autre soir, mais dans mon cas, il agissait comme un compte à rebours....

Maman l'acheva par un "Plus un bruit, je ne veux rien entendre", dont je savais qu'il serait évidemment respecté. A peine, entendis-je un début de chuchotement et comme un rire étouffé (mes soeurettes devaient évoquer mon cas...), quand Maman redescendit un instant, mais dès que son pas remonta l'escalier, le silence se fit total. Aline et Diane devaient sûrement passer en mode "écoute amplifiée"...

Par réflexe, en entendant Maman arriver, je m'étais mise près de la fenêtre, soit le plus loin de la porte, qu'elle franchit et ne referma qu'à peine à moitié derrière elle...

"Alors, Mademoiselle l'écervelée à qui on ne peut même pas demander de garder un oeil sur sa soeur plus de cinq minutes, et qui en plus fait ses petits coups en douce, en mentant publiquement à sa Maman, viens donc voir ici que je t'apprenne les bonnes manières". En prononçant ces mots à voix suffisamment audible pour que la chambre voisine en profite, Maman s'était assise sur le lit et me désignait ses genoux...



"Maman, non, s'il te plait, je te demande pardon, mais non, pas la fessée, non..."  Ma supplique était prononcée à mi-voix, consciente que la porte ouverte m'imposait d'être discrète, et surtout ne sachant pas que dire, tant je savais ma cause perdue...


"Oh, si, tu vas l'avoir la fessée, et pas plus tard que tout de suite... VIENS ICI..." La voix de Maman se faisait de plus en plus forte, et je m'approchai comme pour la faire taire. Presque vite pour une fois, et elle en profita pour me basculer immédiatement en travers de ses genoux...

La chemise de nuit était remontée sur mon dos pendant que je plongeais en position. Restait seuelemnt ma culotte bien couvrante, sur laquelle Maman asséna d'entrée quelques claques en me demandant d'arrêter de gigoter... Puis, elle stoppa sa main pour attraper l'élastique de ce dernier rempart.



Je tentai d'interposer ma main, essayant de m'accrocher, de l'empêcher de descendre...
"Lâche ta culotte, Christine. Je ne plaisante pas. Tu mérites une bonne déculottée, ma fille, et plus tu m'en empêches et plus ça va aller mal pour tes fesses, tu peux me croire..." Tout ce que j'avais gagné en faisant ce geste protecteur, c'était bien d'énerver davantage Maman, et en plus de lui faire dire à haute voix, qu'elle était en train de baisser ma culotte, et d'ajouter ce détail dans l'imagination débordante de mes soeurettes aux aguets...


Je rendis les armes et Maman dégagea ma lune largement, arrêtant la culotte au dessus de mes genoux, et je la sentais entravant les jambes quand par moment, la douleur montant, je me remettais à gigoter sous l'averse maternelle...

"Ah, je vais t'apprendre à faire des coups en douce... Heureusement que la boulangère t'a vue... En tout cas, je vais t'enlever l'envie de recommencer... Tiens, tiens, et tiens..." La fessée tombait alternant les cycles rapides et ceux plus méthodiques. Assurément Maman s'appliquait à fesser d'importance son ainée...




Après cette période de calme plat sur mon bas du dos, le retour aux dures réalités n'en était que plus mortifiant, que plus honteux, que plus douloureux... Je retrouvais des sensations qui n'avaient pas arrêté de peupler mes cauchemars et mes peurs.

"Tiens, tiens, tiens, tu l'auras bien cherchée cette volée, ma fille. Cela fait quelques jours qu'elle te pendait au dessus des fesses. Voilà, Mademoiselle est servie et bien servie, et tu n'as pas intérêt à recommencer, parce que, moi, je te promets que tu n'es pas au bout de tes peines, Christine... Puisqu'il n'y a que cela qui te fasse comprendre certaines choses, eh bien, je continuerai à te les faire comprendre ainsi... Tiens, tiens, tiens, par une bonne fessée chaque fois qu'il le faudra, une bonne déculottée, ma fille... Et ce n'est pas moi qui céderai la première... Alors, tiens, tiens et tiens... je te conseillerais de retenir la leçon et de t'assagir, Christine... Sinon, j'en connais une qui s'endormira souvent avec les fesses bien rouges... Comme ce soir, ma fille, comme ce soir... Et, tiens, tiens, tiens..." Le final de cette dégelée maison fut accompagné de ce sermon aux allures de promesses de fessées à venir, et me laissa sans force, vaincue, épuisée, la lune écarlate et brulante...





"Remonte ta culotte, et mets-toi au lit", lança Maman, à voix forte, comme s'il y avait encore quelqu'un qui doutait de ma déculottée.
Le bonsoir fut sommaire et Maman me laissa pleurnichante dans le noir, au terme d'une tannée que, somme toute, j'avais, je le reconnais, plutôt méritée...

A SUIVRE

52 commentaires:

  1. J'adore la référence aux tenues, le pyjama connotant l'enfance pour les petites et le reproche de la mère à l'égard de la grande qui devrait se mettre elle aussi en pyjama pour sa punition et qui rechigne à le faire...

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour Christine.

    Vous sembliez désolée et surtout angoissée de vous déshabiller et de retirer ainsi vos habits "plus protecteurs". Pas de regrets, Christine, puisque, quelle que fût votre tenue, vous saviez très bien que votre maman ne concevait jamais une distribution de fessée sans avoir préalablement retiré tout "amortisseur fessier" : jupe soulevée, pantalon ou short baissé, et idem pour la culotte. Alors, protection épaisse ou non, qu'est-ce que ça changeait au final ?

    Et pour ma part, comme je vous l'ai déjà dit, ce dilemne ne se posait pas, puisque maman sévissait généralement sur-le-champ, tant pis pour moi si c'était en public. Un coup en douce comme vous l'aviez fait avec Diane dans la boutique, ma propre mère m'aurait, soit donné une fessée dans cette même boutique sous les yeux de la vendeuse, soit amené sur le trottoir, ce qui n'aurait été qu'un "très léger différé" ! Et selon l'intensité de la colère de maman, je pouvais très bien me retrouver en slip (blanc), ou plus probablement "cul nu" devant tout le monde.

    Amicalement, à bientôt.
    Vendeusement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

    RépondreSupprimer
  3. Bonjour Christine,

    Vous lire est un réel plaisir, vous retranscrivez si bien les sensations, qu'elles soient physiques ou psychiques, que l'on a vraiment l'impression d'y être. Lorsque je vous lis, je me revoit dans mon enfance et mon adolescence, lorsque mon insouciance ou parfois ma bêtise me mettait dans des situations comparables à la votre, et me conduisait,à coût sûr, à un tête à tête avec maman, ou plutôt à un rendez vous entre sa main et mes fesses, mis à nues. Et même si dans ces cas là, nous promettions toujours monts et merveilles, nous recommencions plus ou moins vite.
    En tout cas félicitations pour votre blog, et pour votre style d'écriture, continuez à nous régalez de vos récits.

    Cordialement,
    Jennifer.

    RépondreSupprimer
  4. Chère Christine,

    Je commencerais donc par la fin de l'épisode, puisque votre liberté vous permet de valider ou pas les commentaires de vos lecteurs et me concernant, j'ai ressenti une certaine frustration, pour un message qui ce voulait simplement anecdotique !

    Alors, voilà que notre conteuse, après une volée d'anthologie et des promesses de suivantes, aussi bien servies, admet comme une écervelée qu'elle est (repris par Maman), l'avoir « plutôt méritée », non mais je rêve !

    Christine ? Enfin ! Vous l'avez, sans conteste possible (même si Diane, aurait du y avoir droit également) amplement méritée cette déculottée de gamine, par sur la forme puisque la demoiselle par ses habitudes à vouloir 'gagner du temps' et son comportement effacé, sait programmée elle même, une fessée de grande sœur, longue et appliquée à la perfection, par une mère déterminée à faire comprendre à son aînée qu'elle doit grandir.

    Voilà, Chère Christine, première réflexion d'un lecteur, quelque peu insolent envers vous, je le reconnais, mais qui ne renie pas ce caractère entier qui l'anime aujourd'hui et lui permet d'être, ce qu'il est, à ce jour, tout comme vous !

    A bientôt, Chère Christine,

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  5. Merci Dominique pour cette "première" réflexion, qui donc en annonce d'autres que je lirai avec plaisir. Je vous accorde en effet que l'expression "plutôt méritée" est une façon de minimiser ma culpabilité, alors que j'avais d'une part désobéi aux consignes maternelles en ne surveillant pas ma soeur, et d'autre part essayé de faire accuser Diane avec un petit coup de pied en douce et un mensonge par dessus, qui ne faisaient qu'aggraver mon cas. Je vous accorde donc, cher Dominique, que la fessée reçue était bien "méritée", pour ne pas dire "amplement", et vous remarquez d'ailleurs avec raison que c'est une fessée version "ample" et non version "petite soeur" que Maman s'est employée à me donner, à "m'appliquer" !

    RépondreSupprimer
  6. MARDOHL ENVOIE cette "Critique épisode 47"
    D’entrée de jeu, vous rappelez le clivage, déjà souligné, entre l’exécution des fessées de Christine et de celles de ses petites sœurs, en en donnant la raison. Contrairement à Aline et Diane, Christine rase les murs en de telles circonstances, ce qui permet à Madame Spaak de remettre à plus tard le passage de la parole à l’acte.
    Pour autant, notre héroïne n’en ressort pas gagnante, puisque Christine attendant avec angoisse dans sa chambre que sa mère ne vienne « s’occuper de son cas », m’évoque parfois ces condamnés à mort égrenant leurs derniers jours à vivre dans leur cellule, car dans les deux cas, dans un calme lourd et un lieu clos, il y a ignorance exacte du moment du châtiment.
    Vient le dîner. Rappel de la réticence de Christine à revêtir, avec les petites, un pyjama ou une chemise de nuit. Tenue infantilisante, « tenue de fessée » à laquelle néanmoins elle échappe sur le moment, puisque sa mère ne lui a pas donné d’instruction précise sur ce point, et que la future punie s’est bien gardée de prendre les devants.
    Tenue de fessée qu’elle revêt néanmoins, une fois rentrée dans sa chambre, sans échappatoire possible. L’auto-questionnement « J’avais envie de me sauver au bout du monde, mais qu’aurais-je fait toute seule ? » nous rappelle que, derrière son statut d’aînée, son rang de collégienne qui n’en fait plus tout à fait une enfant, Christine demeure une petite fille soumise à l’autorité maternelle, qui n’a aucun moyen de se soustraire à une punition, fût-elle une punition de gamine, dès lors que celle-ci a été clairement prononcée. En effet, que pourrait faire Christine loin de la maison ? Je l’imagine mal fuguer pour essayer d’échapper à la dextre maternelle, car même dans ce cas, on aurait tôt fait de la ramener au bercail, où l’attendrait un chaleureux accueil postérieur.
    Tenue de fessée qu’elle revêt donc finalement, au terme d’une prostration apeurée, lorsqu’elle entend Aline monter dans sa chambre, pour ne pas risquer d’attirer à elle le courroux d’une mère qui contrairement à ses ordres la trouverait dans sa chambre encore habillée.
    Tenue de fessée qu’elle revêt enfin, dans une scène qui, aux yeux de l’insatiable lecteur que je suis, aurait mérité plus ample description. Vous auriez pu vous attarder sur chaque vêtement que Christine doit quitter, un par un, dans un genre de strip-tease mortifiant : le chemisier qu’elle déboutonne les épaules basses, la jupe qu’elle dégrafe et fait coulisser le long de ses jambes tremblantes, le soutien-gorge qui ne la fait pas ce soir sentir femme et qu’elle ôte la larme à l’œil. Par contre, quand vient le moment fatidique, pourquoi Christine s’échine-t-elle à éviter l’inéluctable, à retarder l’inajournable ? Pourquoi les mêmes plates et inutiles suppliques ? Elles n’amènent qu’une seule conséquence : faire hausser le ton de Madame Spaak, dont les petites sœurs moqueuses peuvent d’autant plus facilement saisir les impératifs à travers la porte mi-close. Pourquoi cette main empêchant dérisoirement la culotte de descendre ? Christine a pourtant déjà été avertie de ne plus tenter ce geste, après avoir déchiré son bloomer jaune. Résultat : énoncé explicite du déculottage, complété plus tard par l’ordre du reculottage (on remarquera que les deux opérations sont strictement réparties entre la mère et la fille : jamais Christine ne doit se déculotter elle-même, mais toujours elle se reculotte toute seule comme une grande), qui l’un comme l’autre n’échappent pas aux oreilles tendues des petites, qui captant le son peuvent aisément se représenter l’image.
    Et puis viennent les menus détails par lesquels chaque fessée se distingue de la précédente : ici la culotte entravant les jambes, là l’alternance de rythme, amuse-bouches fugaces que je goûte davantage peut-être que le sermon maternel, plus long mais un brin réchauffé. Ceci dit, j’apprécie avec un attendrissement sans cesse renouvelé la vision finale de la Christine chignant dans le noir, même si cette scène figure au kaléidoscope de vos scènes récurrentes.

    RépondreSupprimer
  7. Chère Christine,

    Deuxième réflexion,

    Lors de cet épisode, on ne peux que louer l'attitude maternelle face à sa grande bécasse de fille, lui promettant devant témoins, une bonne fessée méritée, la demoiselle cumulant les motifs d'indiscipline (incapacité de surveillance, coups en douce et mensonge, par dessus le marché) la détermination de Maman SPAAK n'en est que plus grande à corriger cette gamine aussi écervelée que ses petites sœurs, par moment et s'ingénie à ne pas vouloir grandir.

    A partir de ce constat, Maman SPAAK, sait qu'elle va devoir sévir et de façon démonstrative sur les fesses de sa grande nigaude, qui dominée par la trouille préfère s'effacer en jouant la carte du temps (psychologiquement éprouvante), mais ancrée dans sa cervelle de moineau et là, en toute innocence, celle-ci entretien la volonté maternelle, qui accomplira son devoir éducatif en toute sérénité, libérée de ses obligations quotidiennes et pouvant, ainsi, se consacrer entièrement au postérieur de son aînée, considérant cette tâche supplémentaire comme l'apogée d'une journée bien remplie.

    Forte de cela, son autorité ne souffre d'aucune contestation dans la maisonnée, les petites obéissantes au doigt et à l'oeil, ne voulant pas prendre la place de la grande sœur qui se distingue, à nouveau, ne s'étant pas changée, alors qu'elle est déjà en délicate position et que cette initiative, aurait peut être été considéré comme un bon point par Maman.

    Mais voilà, notre narratrice, bercée par son insouciance, y perçoit là un privilège de jeune fille, aussitôt amoindri par les réflexions maternelles et confirmée par un injonction précise, rappelant la promesse qui sera tenue et n'appelant pas de réplique.

    Ramenée sur terre, la demoiselle est à la dérive, consciente que la motivation maternelle est intacte, sans fausse note et qu'elle va donc bientôt, devoir offrir à une Maman calme et déterminée (mauvais présage) ses rondeurs jumelles découvertes, pour une volée majuscule appliquée, par une main experte et en ressortira, vaincue, éreintée, mais bien calmée.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  8. Cervelle de moineau, vous y allez fort, Dominique. Mais, c'est vrai que, moi la calculatrice, celle qui peut parfois s'ingénier (et donc presque avoir du génie) à éviter les ennuis postérieurs, dans pareil cas, je devrais oser affronter la discussion au lieu de la fuir. J'aurais dû aussi prendre l'initiative de revêtir ma tenue de nuit, montrant ainsi ma bonne volonté, mais cela revenait à "préparer mes fesses" avant d'y avoir été invitée, à admettre que cette volée m'était due, et vous savez bien, cher Dominique, que tant que je pouvais entrevoir un soupçon d'espoir, je préférais ne pas hâter la procédure d'atterrissage sur les genoux maternels...
    Merci en tout cas pour cette "deuxième" réflexion. Et, comme le proverbe dit : jamais deux sans trois, j'espère vous lire encore bientôt...

    RépondreSupprimer
  9. Chère Christine,

    Aparté sur mes réflexions, après un après-midi sportif passé avec mon dernier fils, afin de vous répondre.

    Je reconnais que le qualificatif est peut être un peu fort, vis à vis d'une jeune fille dotée d'une malignité débordante et sachant faire preuve de génie ( la malade imaginaire), pour tenter d'éviter, des déboires fessiers qu'elle craint.

    Et, je constate avec bonheur le soupçon d'aveu de ma narratrice préférée (tiens comme Tata) sur son incapacité de l'époque à affronter l'inéluctable (qu'elle a elle même provoquée, soit dit en passant) et montrer à Maman qu'en demoiselle responsable, elle assume ses bêtises, sauf que la cervelle de moineau (je persiste et je signe) perçoit ses actes comme une soumission à l'ordre maternel et ne peux s'y résoudre par peur (compréhensible) d'une part, mais aussi par sa propension à retarder l'échéance.

    Alors, oui ! Chère Christine, je sais que tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir, mais à un moment donné, il faut savoir faire les bons choix, certes, cela est plus facile à 54 ans (quoique ?) qu'à 12 et je suis certain que vous me comprendrez et le 'jamais deux sans trois' vous sera servi, n'en doutez pas !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  10. Chère Christine,

    Suite à cet aparté sur mes réflexions, je me permets de vous livrer , la première tranche d'une journée aussi remplie, que la votre, pour mes fesses et celles de ma cousine, nos parents ne faisant pas de jaloux en cas de doute, sur la genèse.

    1° partie :

    Comme promis, je vais vous narrer la mésaventure doublement claquante que Monique et moi, avons connu par un beau jour d'été ensoleillé, le ciel ne portant aucun signe d'orage, sauf que celui-ci allait tout même s'abattre sur nos fesses respectives ( et par 2 fois), par l'intermédiaire de la main de Tata et croyez moi, qu'elles s'en souviennent, la dextre très sèche de Tantine n'y allant pas de main morte sur les tendres fessiers juvéniles (10 et 13 ans), que nous allions lui offrir.

    Ce jour là, Tata, ma cousine et moi étions seuls à la ferme, le reste de la troupe (7 personnes) étant parti sur la foire agricole annuelle vendre nos produits, nous jouions donc tous les deux autant à l'intérieur qu'à l'extérieur faisant plus ou moins de bêtises, avec des rappels à l'ordre de Tata que nous ignorions en toute insouciance.

    Sauf que celle-ci n'était pas du genre à se répéter (comme Maman) et qu'à la suite d'une nouvelle sottise de notre part, elle nous adressa un dernier avertissement beaucoup plus précis nous faisant frémir ( moi c'est sur, ma cousine je ne sais pas ) :
    « J'ai comme l'impression qu'il y a 2 chenapans qui ont envie de se faire rougir les fesses par Mireille (son prénom) , alors ci c'est cela que vous cherchez, il suffit de le demander et elle se fera un plaisir de vous servir, d'accord ? Entraînant un « Noooonnnnnnnnn........!, Tata, Maman, on arrête, promis ! » à l'unisson par peur de la suite.

    Nous ravisant alors, nous avions repris nos jeux plus calmement, sauf qu'une menace est moins dissuasive qu'une bonne déculottée (surtout quant on la craint) et celle-ci allait nous tomber sur la tête, enfin, plus exactement sur nos fesses dénudées et bien offertes à la mimine de Tata, qui dans ce cas là, n'avais aucune tendresse pour les rondeurs qui lui était présentées.

    Excité par nos jeux, nous ne contrôlions plus nos débordements et bien entendu, arriva ce qui devait arriver, à la suite d'une course poursuite idiote dans la maison (étant plus vif que ma cousine), je la ceinturais pour l'attraper, sauf que son poids associé au mien, plus la vitesse, nous entraîna directement vers le seau à charbon qui se renversa, le bruit des boulets roulants sur les tomettes, alerta ma tante, qui nous trouva tous les deux allongées au milieu de ceux-ci.

    Autant vous dire que nous étions très mal, allongés comme deux crêpes, salis par la poussière de charbon, mais surtout pris sur le fait d'une bêtise que Tata n'allait pas laisser passer cette fois ci et nous le faire comprendre, de façon cinglante.

    Amicalement, Dominique.

    RépondreSupprimer
  11. A L'ECOLE : NON EXEMPT DE FESSEES


    Bonjour Christine.

    En cette période, passée mais pas encore si lointaine, de rentrée des classes, j'aimerais vous faire part d'une de mes anciennes mésaventures. En plus des fessées maternelles, je me souviens aussi de quelques fessées scolaires particulièrement mémorables.

    La scène que je vous relate aujourd'hui s'est déroulée en CM1 avec ma maîtresse Mlle P... durant l'année scolaire 1962-1963. Ce devait être dans le courant du dernier trimestre, car je me souviens que j'étais en short. L'école était devenue mixte lors de la rentrée de septembre 1961.

    Ce beau matin de printemps, Mme L..., la maîtresse des CP, était absente. Comme toujours en pareil cas, les élèves étaient répartis dans les différentes autres classes. Mlle P... avait elle aussi "hérité" de six ou sept élèves de CP.

    A SUIVRE

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

    RépondreSupprimer
  12. A L'ECOLE : NON EXEMPT DE FESSEES / 2 E PARTIE

    Mme L..., maîtresse des CP, était elle aussi adepte des châtiments corporels, mais d'un autre style : gifles, tirages de cheveux ou d'oreilles, coup de règles sur les doigts. Elle avait aussi un châtiment corporel redoutable : elle plaçait sur l'estrade une règle carrée (bois ou métal, je ne sais plus), le ou la mauvais élève devait se mettre à genoux sur la règle pendant plusieurs minutes, sans s'asseoir sur les talons. Je l'ai vue opérer notamment à deux reprises, deux jours où inversement j'étais chez Mme L... en l'absence de Mlle P... La première fois, c'était un petit garçon du CP, il était en pantalon, la maîtresse a relevé les bas de pantalon au-dessus des genoux, pour que ces derniers portent directement sur la règle. Un autre jour, c'était le tour d'une petite fille de cette même classe, ce devait être en plein hiver, car elle était en jupe avec un gros collant de laine (c'était avant 1968, les petites filles, jeunes filles et femmes étaient rarement en pantalon). La maîtresse l'a amenée sur l'estrade, a soulevé la jupe, puis baissé le collant au-dessous du genou, dévoilant ainsi la petite culotte blanche un très court instant, remettant ensuite la jupe en place. Je m'attendais à une fessée déculottée : pas du tout, là encore, Mme L... voulait simplement dégager les genoux de la petite fille dissipée, avant de placer celle-ci à genoux sur la redoutable règle carrée.

    Mme L... était connue pour sa sévérité, elle n'avait rien à envier aux méthodes de ma maîtresse Mlle P... En revanche, Mme L... ne donnait pas de fessées.

    A SUIVRE

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

    RépondreSupprimer
  13. A L'ECOLE : NON EXEMPT DE FESSEES / 3 E PARTIE

    Ces six ou sept élèves de CP confiés par le Directeur à Mlle P... allaient peut-être bientôt découvrir une autre méthode de châtiments corporels, certes plus classiques, mais cuisants et humiliants.

    Ce matin-là, je fus pris en flagrant délit de bavardage avec Julien, mon voisin de table. J'eus droit à une simple remontrance de Mlle P...Un peu plus tard dans la matinée, je me fis remarquer à nouveau, toujours pour bavardages. Cette fois, la maîtresse haussa le ton : "Louis, tous tes bavardages, ça commence à bien faire. Dernier avertissement. La prochaine fois, ce sera une fessée, tant pis pour toi s'il y a des petits du cours préparatoire ! Et tu sais comment ça fait, puisque tu y es déjà passé plusieurs fois, alors un conseil, tiens-toi tranquille !"

    C'était ma deuxième année avec Mlle P..., j'avais déjà effectivement avec elle trois fessées à mon "actif". Mais rien que cette menace me colla la honte, surtout quand je vis un ou deux petits de CP se retourner vers moi, avec des yeux coquins et pétillants.

    A SUIVRE

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

    RépondreSupprimer
  14. A L'ECOLE : NON EXEMPT DE FESSEES / 4 E PARTIE

    Quelques minutes plus tard, c'est une fille de CP, Catherine, qui fut rappelée à l'ordre, également pour bavardages : "Catherine, attention, ce que j'ai dit pour Louis est valable pour toi aussi. Et pour toi aussi, la fessée n'est pas loin si tu continues. Sache qu'avec moi, il n'y a pas de claques ou de coups de règles comme avec Mme L..., mais il y a parfois des fessées." Puis Mlle P ajouta : "Demande à Louis si c'est vrai, il te racontera !" Pour la deuxième fois en présence de ces petits de CP, je ne me sentais pas à l'aise. Moi qui, dans la cour de récré, frimais un peu devant les petits (on disait "craner" à l'époque), cette remarque de la maîtresse devant certains d'entre eux risquait de rabattre mon caquet pour un bout de temps.

    Hélas ! quand on est un gamin remuant, dissipé, indiscipliné... chassez le naturel, il revient au galop !

    Quelques minutes avant la sortie pour pause déjeuner, je me suis à nouveau fait prendre par la maîtresse, qui m'avait à l'oeil (j'aurais donc dû me méfier !) : j'étais en train de rire avec Julien.

    A SUIVRE

    A bientôt, amicalement.
    Maîtresse d'écolement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

    RépondreSupprimer
  15. Chère Christine,

    Troisième réflexion : Les pensées de Christine, face à la promesse. (1° partie)

    Ma chère narratrice (pardonnez l'appropriation) consciente comme d'autres (les petites sœurs et la boulangère) qu'elle n'a plus qu'à se préparer à un néfaste rendez-vous, qu'elle craint par dessus tout, fait le dos rond et se montre aussi transparente qu'un vitrage, là où les petiotes auraient fait preuve d'agitation, conduisant Maman à s'occuper rapidement de leurs fesses.

    Mais voilà, notre chère conteuse et sa sempiternelle manie à retarder au maximum l'inéluctable, fait inconsciemment le jeu d'une mère responsable face aux tâches qui lui incombent, dont la fessée que mérite Christine, mais qui n'est pas à son sens une priorité immédiate, cette attente pouvant même peut être faire réfléchir la demoiselle.

    L'ennui, pour la grande sœur, est que cette réserve (compréhensible) nourrie ses émotions et la met dans un état de stress plus important, sachant que Maman libérée de ses obligations pourra alors prendre le temps de s'occuper généreusement des fesses de sa grande fille.

    Et là, Christine, confinée dans son antre, mijote à feu doux, s'étonnant que les échos habituels de la maisonnée ne raisonne pas et se rend, suite à l'appel maternel pour le dîner, sans enthousiasme, ni appétit, à la cuisine affronter une épreuve supplémentaire, avant l'instant fatidique.

    Après ce repas, difficile à avaler, la demoiselle (la mort dans l'âme) est renvoyée dans ses quartiers pour se changer, mais cette chemise de nuit à enfiler, devient pour elle la tenue de fessée choisie par Maman pour une action plus aisée et là, morte de trouille, celle-ci songe à s'enfuir, mais pour faire quoi ? Seule et sans but, si ce n'est échapper, à une nouvelle fessée majuscule qu'elle mérite, mais qui la terrifie et la fait trembler comme une feuille.

    La voici donc, incapable d'effectuer le moindre geste ou d'avoir une réflexion logique sur la situation se laissant porter par ses neurones en ébullitions, mais réveillée par des bruits quotidiens, qui la font réagir et obéir à l'ordre maternel.

    Celle-ci, résignée et perturbée, s'exécute alors, ne souhaitant pas attiser la détermination d'une mère déjà très remontée contre sa grande nigaude, qui en guise de préambule inquiétant pour Christine, s'assure que celle-ci est prête, pour aller au lit certes, mais aussi et surtout pour venir, avant cela, au travers de ses cuisses et y recevoir, la tannée qu'elle mérite.

    Christine, à l'apogée de sa peur, tel un animal pris au piège, est à l'affût du moindre bruissement qui l'affole et prise de panique se replie sur ses arrières, se réfugiant dans un recoin à l'arrivée du chasseur (Maman), implorant sa grâce, sauf qu'il est trop tard et ne peux que se soumettre à l'exécution.

    A suivre..........

    Amicalement, Dominique.

    RépondreSupprimer
  16. Belle analyse Dominique. J'ai hâte de lire la suite...

    RépondreSupprimer
  17. Chère Christine,

    Troisième réflexion : Les pensées de Christine, face à la promesse. (2°partie)

    Christine étalée au travers des cuisses de Maman, est alors envahie par une peur bleue, muet non par l'inconnu, mais par ce qu'elle connaît trop bien, a savoir ce moment de souffrance pour ses fesses, que la dextre maternelle va s'appliquer à claquer copieusement.

    Ce ressenti de trouille intense est le même, à chaque fois, Christine redoutant ces claquées maternelles qui font mal et lui procurent un sentiment de défaite totale pour une grande fille, comme elle, soumise, dans une position et une tenue infantile mettant à mal sa pudeur et sa fierté.

    Mais telle est la volonté éducative maternelle, bien comprise par Christine, même si elle la réfute pour elle même, consciente que Maman ne cédera pas sur le sujet et recommencera autant de fois que nécessaire, tant que l'écervelée Christine se refusera à grandir.

    La demoiselle quitte alors le giron maternel n'en pouvant plus, elle est rincée, vidée de son énergie, avec une gémellité fessière bouillante après cette volée insupportable, mais bien calmée et reconnaissant, au fond d'elle même, l'avoir méritée.

    Christine n'a plus qu'à pleurer abondamment sur son sort, telle une petite fille justement punie pour ses bêtises et réfléchir à la promesse maternelle, lui annonçant un avenir fessier bien noir (enfin surtout très rouge), saura t-elle l'évité ? Pas sur !

    Voilà ma Chère Christine, mes réflexions vous concernant, je vais maintenant me pencher sur l'attitude et les pensées de vos sœurs.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  18. D'accord avec vous, Dominique, la sensation ressentie sur les genoux maternels, une fois ma lune dégagée, et la cible découverte et offerte à la colère maternelle, n'est autre qu'une peur bleue, qu'une angoisse forte, qu'une hantise des minutes qui vons suivre et qui transformeront mes globes jumeaux encore blancs et frais, en bouillote brulante... Sans compter que les paroles maternelles sont déjà dans la menace et me font déjà avoir peur de me retrouver à court ou moyen terme en si fâcheuse posture...
    Mais, je vois que vous avez une petite idée sur l'attitude et les pensées de mes soeurs. J'ai hâte de les lire... Merci d'avance.

    RépondreSupprimer
  19. Chère Christine,

    Bien sur que j'ai une petite idée sur l'attitude et les pensées de vos sœurs, dans la mesure ou moi-même étant le dernier né d'un confrérie familiale, il m'est arrivé ainsi que Monique (je l'avoue humblement) de nous moquer bêtement de mes sœurs ou de ma grande cousine, ayant reçu ou allant recevoir une bonne fessée.

    Oh ! Bien entendu, jamais ouvertement comme tout chenapan qui se respecte, ne voulant pas lui même subir les foudres de Maman ou de Tantine, n'étant pas complètement crétin et ayant surtout peur pour ses fesses. Quel vilain garçon, tout de même ! Que vous voulez vous, on ne se refait pas !

    A part cela, je comprend parfaitement la peur anticipatrice de Christine pour son futur fessier et sans conditionnel, compte tenu des propos maternels ne laissant aucun doute sur votre destiné, désolé pour vos fesses, Chère Narratrice, quoique.......!

    A bientôt, Chère Christine

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  20. Bonjour Christine,

    La peur que vous ressentez sur le chemin du retour, est compréhensible, sachant ce qui vous attend, d'autant que Maman l'a clairement annoncé devant témoins, mortifiant votre égo de jeune fille ramené au rang d'une gamine insupportable.

    Dés lors votre mère, ne reviendra pas sur ce qui a été promis à sa grande fille, ne voulant pas se déjuger vis à vis des petites et risquer une remise en cause de son autorité, par conséquent Christine recevra ce qu'elle mérite sans concession de sa part, mais au moment ou elle l'aura décidé.

    Vous entrez alors, sans peut être le savoir, du fait d'une attitude transparente, dans le jeu de Maman qui lui permet de vaquer à ses occupations quotidiennes, sachant très bien que sa grande bécasse de fille ne viendra pas réclamer ce qui lui est du et j'avoue que j'avais des réactions quasi identiques aux vôtres, lors d'une promesse différée de fessée, me montrant (comme vos petites sœurs) obséquieuse, mon obéissance n'ayant d'égal que la peur de cette punition douloureuse et affligeante, qui m'attendait.

    A partir de là, Maman a parfaitement conscience que sa grande est désemparée et qu'être déculottée, comme ses petites sœurs, pour une fessée (méritée et certainement plus intense) prends une dimension incalculable et inavouable pour une jeune fille en herbe.

    Sauf que la détermination maternelle ne s'estompera que lorsque la demoiselle aura les fesses bien rougies et en appellera à la clémence, ne supportant plus la claquée douloureuse, priant et suppliant pour que cela s'arrête, mais voilà seule Maman décide de ce qui est suffisant ou pas et la punie ne peux qu'abdiquer, en se résignant et s'abandonnant pleinement à la volonté de celle-ci.

    Et là, malgré ses dénégations et ses promesses de bonne conduite, Christine atterrie sur les cuisses de Maman qui s'attaque aussitôt au dernier rempart de pudeur de sa fille, en tirant la culotte vers le bas et mettre à nues des fesses qu'elle va longuement claquer, mortifiant la demoiselle, même si elle est seule avec Maman.

    La cible bien dégagée et la punie parfaitement calée, Maman peut s'atteler à la dernière tâche essentielle de sa journée et corriger comme il se doit, sa grande bécasse de fille, pour ses gamineries, commence alors pour Christine ce ¼ d'heure difficile qu'elle ne connaît que trop bien et les émotions qui y sont associées, la laissant au final abattue et éreintée, pleurant sur son sort, telle une vilaine petite fille bien punie et qui ne comprend que cela.

    D'ailleurs au cours de la fessée, Maman tout an rappelant les griefs à sa fille, n'oublie pas de préciser qu'elle recommencera à lui tanner ses fesses, autant de fois que cela sera nécessaire, présage plus que néfaste pour Christine, qui devra s'endormir en pensant à cette promesse maternelle affligeante pour elle.

    Cordialement, Sonia

    RépondreSupprimer
  21. Chère Christine,

    Quatrième réflexion : L'attitude et les pensées de vos sœurs. (1°partie)

    L'annonce maternelle étant parfaitement claire, les soeurettes et notamment Diane à l'origine du scénario catastrophe pour Christine (qui aurait mérité, plus que l'aller/retour de Maman) se trouvent en position de force, en sachant qu'il est préférable d'être obéissantes, voir obséquieuses vis à vis de Maman, afin éviter le même sale quart d'heure auquel la grande sœur se prépare.

    Voilà donc 2 fillettes, aux yeux pétillants de moqueries, qui s'efforcent de montrer qu'elles sont sages, Maman n'ayant pas besoin d'élever la voix (contrairement aux habitudes) et s'offrent même une descente d'escalier, tambour battant à l'appel du dîner, certes peut être en appétit, mais aussi et surtout pour ne pas retarder l'événement qu'elle attendent impatiemment, à savoir, la fessée de Christine (La grande sœur) qui mijote dans sa chambre.

    L'arrivée de Christine, conforte d'ailleurs cette position, les petites sœurs étant sagement prêtent pour allez au lit, alors que la supposez grande ne s'est pas changée et en tire une certaine satisfaction, très vite refroidi par les allusions de Maman confirmant qu'elle n'en a pas fini avec la demoiselle, revigorant ainsi l'image des petiotes qui en profitent pour se mettre en avant.

    Et là toutes les péronnelles étant renvoyées dans leur chambre, s'engage alors une partie différenciée, entre les participantes :
    L'une se sent perdue, apeurée et contrite, sachant qu'elle va offrir dans quelques minutes ses fesses nues à la dextre maternelle, qui vont rougir profondément et la faire pleurer comme une gamine, Maman ne se déplaçant jamais pour rien.

    Les 2 autres, fortes de leur image de sagesse, contrariant la narratrice qui voudrait se venger, sont bordées et câlinées, alors que la grande va être fessée, suscitant leurs curiosités de fillettes, sans méchanceté profonde, mais à l'affût de l'événement qui concerne la grande sœur.

    D'autant que pour Christine, fessée rimant plutôt avec tannée, c'est la garantie pour les 2 fillettes d'entendre la grande sœur chanter longuement sous la claquée maternelle et nourrir leurs imaginations débordantes.

    A suivre......

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  22. Joliment dit tout cela. On croirait, Dominique, que vous étiez à la place de mes soeurs. Et, c'est vrai que la notion d'écoute, d'être à l'affût, se ressent dans les deux sens. Je sais qu'elles n'attendent que cela. Sans "méchanceté profonde", comme vous le soulignez justement, mais avec une curiosité intense...
    Et les bruits ne prennent pas le même sens. Les pas de Maman dans l'escalier font monter l'imagination de mes soeurs, et leur degré d'attention, alors que pour moi, c'est la peur qui prend forme.
    Et, le fait d'entendre les petits bruits venant de leur chambre, de comprendre même les phrases que Maman leur adresse, c'est pour moi la honte qui monte en ayant conscience que ma claquée, mes pleurs, les sermons maternels iront jusqu'à leurs oreilles...

    RépondreSupprimer
  23. Chère Christine,

    Quatrième réflexion : Aparté

    Il est vrai que je pourrais prendre le place de vos sœurs, compte tenu de mon vécu plus riche en écoute et présence de fessées reçues par d'autres, n'en étant pas exempt bien sur, mais avec une fréquence moins importante que mes sœurs et mes cousines.

    Et, je vous rejoins tout à fait sur la notion de bruit, qui n'ont pas le même sens, selon la position que l'on occupe, puni (e) ou spectateur (auditif ou présent) et j'avoue peureusement, que je préfère la deuxième solution, si vous voyez ce que je veux dire !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  24. Chère Christine,

    Quatrième réflexion : Double aparté

    Bien sur ! Christine, que les bruits de la maisonnée (pas, paroles) ont une résonance bien différente à vos oreilles, ceux-ci accentuant l'angoisse et la peur vous minent, depuis l'annonce maternelle devant la boulangère.

    Et bien évidemment, que votre claquée, vos pleurs, vos sempiternelles suppliques et les sermons de Maman seront entendus par les petiotes, leurs permettant de rire de la grande sœur.

    Désolé, Christine, mais c'est la vie ! A vous d'en mériter moins, quoique....! Hihi...!

    Oh ! Quel vilain garçon celui-là ! Il en veux vraiment à mes fesses, c'est pas possible ?

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  25. Encore deux réflexions de Dominique, cette fois sous le signe de l'aparté, et j'avoue qu'elles sont bien vues, mais si elles retournent le couteau dans ma plaie, en me faisant prendre conscience combien mes petites soeurs allaient tout entendre, à défaut de voir.
    Mais, comme le précédent commentaire du même Dominique, s'appelait :
    Quatrième réflexion : L'attitude et les pensées de vos sœurs. (1°partie),
    j'espère qu'il y aura bien une deuxième partie... Merci d'avance !

    RépondreSupprimer
  26. Chère Christine,

    Quatrième réflexion : Pause nécessaire

    Bien entendu, que vous l'aurez la 2° partie, je m'y attelle et désolé d'appuyer là ou ça fait mal, mais reconnaissez que vous tendez aussi les perches, tout comme vous le faisiez avec Maman, pour de bonnes dérouillées dont l'ouïe avertie de vos petites sœurs, savaient profiter.

    Amicalement, Dominique et à tout à l'heure,

    RépondreSupprimer
  27. Chère Christine,

    Avant de vous servir la 2° partie concernant vos sœurs, il me semble que vous preuve d'une certaine fainéantise pour la suite de vos récits, certes nous avons un échange agréable tous les deux et que vos lecteurs apprécient peut être, mais tout de même, voilà 16 jours que vous n'avez pas rendu de devoir, pensez vous que Maman aurait été aussi conciliante que vos lecteurs ?

    A bonne entendeur, salut, jeune fille

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  28. Bonjour Christine.

    A L'ECOLE : NON EXEMPT DE FESSEES / 5 E PARTIE

    Quelques minutes avant la sortie pour pause déjeuner, je me suis à nouveau fait prendre par la maîtresse, qui m'avait à l'oeil (j'aurais donc dû me méfier !) : j'étais en train de rire avec Julien.

    "Bon, ça suffit, dit la maîtresse. Louis, viens ici... je t'avais prévenu ! Et Julien aussi, d'ailleurs." Julien et moi nous sommes regardés brièvement, conscients de notre bêtise, mais c'était trop tard. Nous arrivâmes près du bureau de la maîtresse, qui venait de prendre la chaise qui se trouvait dans un coin de l'estrade pour la placer au beau milieu de cet estrade. Nous avions compris, Julien et moi, la signification de l'action de Mlle P..., car il s'agissait presque d'une "chaise spéciale fessées".

    "Vous vous amusiez bien tous les deux, dit la maîtresse, en tout cas, ça rigolait bien. Qu'est-ce qui vous faisait rire comme ça?" Ni Julien ni moi-même n'apportions une réponse. Nous restions muets. Je sentais mes joues chaudes et sans doute bien rouges, seulement les joues pour l'instant. "Allez, j'attends, enchaîna Mlle P... Julien, ça avait l'air vraiment drôle ?... Louis, peux-tu me dire ce qui vous faisait rire à ce point ? - Je sais pas, Madame, répondis-je du bout des lèvres. - Tu ne sais pas ? Mais ce n'est pas grave ! répondit la maîtresse. Moi, ce que je sais, c'est que j'ai envie de m'amuser aussi, et vous devinez de quelle façon ? Allez, on commence par toi, Julien, je vais t'apprendre à ne pas écouter en classe !"

    A SUIVRE

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

    RépondreSupprimer
  29. A L'ECOLE : NON EXEMPT DE FESSEES / 6 E PARTIE

    Mlle P... prit Julien par la main et lui fit faire les trois ou quatre mètres qui les séparaient de la "chaise à sanctions". Elle prit place sur cette chaise et fit basculer Julien sur ses genoux (contrairement à maman, cette position classique, que vous connaissez bien, chère Christine, était la position "favorite" de Mlle P..., sauf à l'extérieur, dans la cour de récréation par exemple, lorsqu'elle n'avait rien pour s'asseoir). Elle commença son expédition punitive, composée d'une rafale de claques, tantôt sur le short de Julien, tantôt sur le haut des cuisses. Julien hurlait de douleur, suppliait Mlle P... d'arrêter, disant qu'il avait trop mal, qu'il ne recommencerait plus... Bref, les supplications habituelles.

    Pour ma part, j'attendais mon tour, c'était très dur. Une ou deux fois,je ne pus m'empêcher de regarder vers la classe, la plupart des visages de mes camarades étaient radieux, ils ne rataient rien du spectacle. Je vis juste les regards de deux ou trois petits du CP, qui eux non plus n'en perdaient pas une miette : certains semblaient un peu angoissés devant une telle scène punitive, sans doute parce que non habitués avec leur propre maîtresse ; d'autres avaient les yeux pétillants, visiblement ravis de voir un "grand" se faire ainsi corriger. Je ne regardai la classe que très peu de temps, sachant pertinemment que ma situation ne serait guère meilleure d'ici quelques instants.

    Quand la fessée fut enfin terminée, la maîtresse releva Julien et lui ordonna de retourner à sa place, en lui précisant qu'il devait désormais se tenir tranquille, faute de quoi "on pouvait recommencer". Julien rejoignit son pupitre en pleurs.

    A SUIVRE

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

    RépondreSupprimer
  30. A L'ECOLE : NON EXEMPT DE FESSEES / 7 E PARTIE

    Puis la maîtresse enchaina : "Allez, Louis, approche ! Après m'être bien amusée, moi aussi, avec Julien, je vais m'amuser avec toi. Viens ici, dépêche-toi !" Je n'avais plus le choix, je ne pouvais qu'obtempérer. "Quant à toi, mon petit Louis, continua Mlle P..., après mes deux avertissements de ce matin dont visiblement tu n'as pas tenu compte, j'ai l'intention de m'amuser encore davantage, alors on va passer à la vitesse supérieure !" Je compris vite les allusions ironiques de la maîtresse, je me mis à pleurnicher, sachant parfaitement ce qui m'attendait. J'étais debout face à elle, toujours assise. Elle commença à dégrafer mon short (bretelles de devant, boutons, braguette) et me fit basculer sur ses genoux. Encore quelques secondes de répit, je sentis la main de la maîtresse dégrafer les bretelles de derrière et tirer énergiquement sur le short. Je pleurnichais encore un peu plus fort, en criant : "Non, Madame... non... non..." Les quelques secondes supplémentaires de "préliminaires", je m'en serais bien passé. La main droite, toujours aussi ferme, de Mlle P... tira sur mon slip blanc de coton, dévoilant à toute la classe un petit derrière tout aussi blanc, mais plus pour très longtemps. Ce geste punitif de la maîtresse fut accompagné de quelques cris moqueurs et éclats de rires. Mlle P... coupa court et enraya l'euphorie aussitôt, elle avait constaté que cette réaction moqueuse émanaient des petits élèves de CP : "Ah non ! cria-t-elle. Je ne veux pas de ça. Mes élèves savent très bien ce qu'il en coûte de se moquer d'un camarade puni. J'ai vu plusieurs petits du cours préparatoire crier. Je vous préviens, les enfants, si j'en vois ou si j'en entends encore un crier ou rire pendant la fessée de votre camarade Louis, juste après, il prendra sa place ici même. Vous voilà prévenus !"

    A SUIVRE

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

    RépondreSupprimer
  31. A L'ECOLE : NON EXEMPT DE FESSEES / 9 E PARTIE

    "Grâce à" (sic) cette sévère mise au point de la maîtresse envers les élèves de CP présents dans la classe, j'eus droit à quelques secondes de répit supplémentaires, je continuais à pleurnicher. Je restais immobile, les fesses à l'air, ne sentant pour l'instant que la main gauche de Mlle P... me tenir par la taille pour me maintenir fermement sur ses genoux. Comme toujours, je n'opposais aucune résistance, sachant que ce serait peine perdue (je vous rappelle toutefois que je me débattais avec ma mère, mais pas avec mes maîtresses, je ne saurais pas dire pourquoi).

    Mais le moment fut venu. La maîtresse dit simplement : "Allez, Louis, tout comme avec Julien, moi aussi, je veux m'amuser !" Puis elle joignit le geste à la parole, cette fois, c'était la main droite de la maîtresse qui oeuvrait. Cette cuisante fessée me fut administrée avec force, rapidité, efficacité, elle me parut très longue, pour ne pas dire interminable. Je ne sais pas ce qui faisait le plus de bruit : étaient-ce les claques stridentes sur ma peau bien tendre, ou mes cris et mes pleurs que je ne pouvais pas retenir ? Quand j'attendais mon tour pendant la fessée de Julien, je m'étais dit qu'il fallait que je me retienne, en raison de la présente des petits du CP. Mais je n'y pensais plus, devant une telle douleur interminable et une telle honte, impossible de me retenir de pleurer très fort. Il faut dire que, en assistant à la "petite" fessée de Julien, je ne m'attendais pas à être ainsi déculotté devant tout le monde ! Mais comme la maîtresse me rappelait souvent à l'ordre...

    Quand je retournai à ma place, je n'osai pas croiser les regards de mes camarades de classe, et encore moins ceux des petits (et petites) de CP.

    Cette honteuse correction n'allait pas rester sans alimenter des commentaires dans la cour de récré ou à la sortie de la classe. Je vous raconte cela très prochainement.

    A SUIVRE

    Amicalement, à bientôt.
    Mlle P...ment vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

    RépondreSupprimer
  32. Louis continue son récit. J'avoue être moins réceptive au cadre scolaire, cela ne se faisant plus de mon temps. Mais, l'effort narratif est certain.
    Quant à Dominique, sa remarque est en effet pertinente, et je vois bien qu'il cherche à titiller mes peurs... à me faire imaginer ce que Maman dirait d'un retard de seize jours sans faire son devoir d'écriture... Facile en effet d'imaginer ce qu'elle "dirait" (ou aurait dit), mais je frissonne encore plus en imaginant ce qu'elle ferait en telle situation, et où sa chère grande paresseuse de fille se retrouverait, et en quelle position ? Vous devinez, n'est-ce pas ?

    RépondreSupprimer
  33. Bonjour Christine.

    Tout d'abord, pardonnez-moi de mon erreur sur la numérotation des parties. Mais rien ne manque à mon récit, il n'y a pas de 8 e partie.

    Je comprends que vous soyez moins réceptive aux fessées scolaires, car c'est du non-vécu pour vous. J'espère tout de même que vous ne trouvez pas cela trop ennuyeux. Si oui, je souhaite être apprécié de l'ensemble de vos lecteurs et lectrices, du moins ceux qui sont de ma génération (j'ai 59 ans) ou des générations antérieures. J'ai d'ailleurs reçu, dans ma boîte mail, un commentaire d'une dame plus âgée que moi, qui me dit avoir apprécié mon récit. Il faut dire que c'est une ancienne institutrice en retraite, qui me dit avoir eu justement recours à ces méthodes cuisantes de temps à autre, y compris en déculottant les élèves, et justement comme Mlle H... ou Mlle P..., pas seulement dans la classe.

    Je prends toutefois bonne note, chère Christine. Je termine prochainement mon actuel récit et, à l'avenir, je me ciblerai uniquement sur mes fessées maternelles, j'ai déjà suffisamment à raconter dans ce domaine. C'est votre blog, j'essaie d'aller dans son sens, le but de vos lecteurs et lectrices est avant tout de VOUS faire plaisir et de VOUS rappeler des souvenirs, tout en intéressant bien sûr si possible l'ensemble des personnes qui visitent votre blog.

    Pour ma part, je reste très réceptif à vos récits. Certes, c'est aussi du vécu pour moi. Continuez. Et je salue aussi Dominique, très actif et très pertinent sur votre blog.

    A bientôt. Amicalement.
    Ecolement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

    RépondreSupprimer
  34. Chère Christine,

    Oh que oui, je le devine, Chère narratrice ! La paresseuse étalée au travers des cuisses maternelles, pleurnichant, suppliant, promettant monts et merveilles, alors que sa culotte glisse inexorablement vers ses genoux, pour offrir à Maman une belle lune immaculée, qui va se colorer sous l'action de sa dextre très expérimentée.

    L'acquisition de cette expertise, Maman SPAAK, là doit à ses 3 fillettes qui ont le don pour proposer fréquemment leurs fesses, à ses bons soins et notamment l'aînée, qui a la particularité de savoir se concocter, elle-même, des séances beaucoup plus intensives que les petiotes.

    Navré, Chère Christine, pour ce funeste constat à votre égard, mais qui résume assez bien je pense, cette période de votre vie que vous nous faites partager, avec délice.

    Alors, félicitations, très Chère conteuse et continuez, à nous enchanter de la sorte par vos récits de grande qualité et vos messages, nous donnant l'occasion de rebondir, comme la main de Maman savait si bien le faire sur vos rondeurs jumelles (Bon ça, c'est moins sympa, je vous l'accorde).

    Nouvel aparté, du malicieux garnement toujours présent dans la mémoire, d'une carcasse de senior.

    Amicalement, Dominique, (la suite de vos sœurs, arrive)

    RépondreSupprimer
  35. OK Louis, merci pour la précision : j'avais peur que la 8e partie se soit égarée.
    Quant à Dominique je me doutais bien qu'il rebondirait sur la perche tendue, et trouverait la réponse à la question "espiéglement" posée par mes soins...
    Et comme l'on arrive à 18 jours sans nouvelle livraison, et que je ne suis pas sûre de pouvoir écrire longuement avant samedi et le cap des 20 jours, j'ai bien conscience que c'est un sacré privilège d'voir grandi et de ne plus craindre la foudre maternelle... Surtout que, assurément, du temps dont je parle, Maman n'aurait jamais attendu 16 jours pour vérifier mes devoirs, et que comme c'est joliment dit "la paresseuse étalée au travers des cuisses maternelles" aurait depuis longtemps senti sa culotte glisser pour dévoiler une lune qui aurait tôt fait de rougir... Et pas que de honte, ainsi que le bruit caractéristique l'aurait trahi jusqu'aux oreilles de mes soeurs...

    RépondreSupprimer
  36. Chère Christine,

    Voilà qu'en plus d'être 'fainéante', mademoiselle Christine l'espiègle se permet de tendre une perche à l'un de ses fidèles lecteurs, imaginant (à juste titre, je l'avoue) qu'il rebondisse, à celle-ci.

    Non, mais sincèrement ! Il y a de bonnes claques qui se perdent et que je me ferais un plaisir de distribuer à une partie de votre anatomie, très accueillante pour une dextre affûtée, comme l'était celle de Maman, n'est ce pas, Mademoiselle l'insolente ?

    Alors si aujourd'hui, vous avez le privilège d'avoir poussé physiquement et intellectuellement et ne plus être soumise au joug maternel (ce qui est regrettable, pour nous, hihi....!), il serait donc souhaitable que la grande Christine tienne ses promesses, à l'inverse de la demoiselle qui suppliait lorsqu'elle avait peur pour ses fesses, est ce que je me trompe ?

    Non bien sur ! Oh mais, quel prétentieux ce vieux garnement ! Lui aussi en mériterait une bonne, dommage que Maman ou Tata ne soit plus là pour le corriger !

    Amicalement, Dominique, bon cette fois je vais vous servir la suite des petiotes aussi espiègles que la grande sœur !

    RépondreSupprimer
  37. Chère Christine,

    Après ces apartés, voici la suite :

    Quatrième réflexion : L'attitude et les pensées de vos sœurs. (2°partie)

    Arrive le moment d'aller au lit pour les petites qui ne se font pas prier, impatientes d'entendre la chanson que va leur proposer Christine sous la main de Maman, alors qu'elles bénéficient d'un moment de tendresse maternelle, à l'inverse de la grande sœur qui va de nouveau goûter à la dextre de Maman chérie, beaucoup moins tendre.

    Les petites ne voulant surtout pas prendre la place de la grande sœur, ne font que chuchoter et ricaner dans le creux de leurs oreillers, après son départ, ce qui parvient néanmoins aux oreilles de Christine et lui font imaginer ce qu'elles vont entendre, lorsqu'elle sera sur les genoux de Maman, la porte n'étant pas fermée.

    Et voilà que la fête commence pour Christine et sans être présentes les petiotes n'ont aucun mal à imaginer la scène et s'engage alors entre elles un dialogue en sourdine et des émotions, qu'il est assez facile de retranscrire, compte tenu de mon vécu et que je vous propose ci-dessous :

    Diane : Oh ! T'entends Aline, Maman est vraiment pas contente après Cri-Cri, ça va barder pour elle, tu crois pas ? Hhi.....
    Aline : Ouais, j'crois qu'elle va s'en prendre une sévère, mais c'est un peu à cause de toi, non ?
    Diane : Bah pourquoi ! C'est elle qui m'a mis un coup de pied, pas moi ?
    Aline : Ouais, mais tu t'es bien barrée du toboggan en douce, pendant qu'elle lisait son livre ?

    Diane s'apprêtant à répondre, est coupée par Aline :

    Aline : T'entends, Didi, Maman baisse la culotte, oh là là ! Elle va bien chanter, la grande sœur ! Hihi.......
    Diane : Oups ! Ça y est Liline, ça commence, ouahouuuuuuu....! Ça claque fort et çà doit faire mal, j'voudrais pas être à sa place,hihi....
    Aline : Oh ouais, çà pour claquer, ça claque ! J'te l'ait bien dit qu'elle allait en prendre une sacrée, t'entends comment Maman la fait chanter, alors imagine la couleur de ses fesses !
    Diane : Ah ouais ! Super rouge, comme la dernière fois qu'on était là, tu t'rappel ? Hihi....
    Aline : Oh ouais ! Et Maman l'avait bien servie, comme ce soir ? Hihi...
    Diane : Ouais, et c'est bien fait pour elle, elle avait qu'à pas êtes méchante, avec moi !

    Les 2 petites moqueuses peuvent alors s'endormir la tête pleine d'images supposées, de la grande sœur étalée sur les genoux maternels pour une déculottée, somme toute 'plutôt méritée', grâce à une bande son quasi parfaite, Maman ayant laissé (volontairement?) la porte ouverte.

    Voilà, Chère conteuse, ma dernière réflexion sur l'épisode 47, espérant que l'ensemble de cette contribution vous aura convenu et maintenant, je vais m'atteler à la suite du récit avec Tantine.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  38. Sympathique improvisation du dialogue supposé de mes soeurs. J'aurais pensé que les chuchotis entre elles se déroulent surtout avant et après, et qu'elles aient pendant ma fessée une écoute quasi religieuse...
    Mais, j'admets volontiers que lorsqu'Aline et Diane entendent Maman dire : "Lâche ta culotte, Christine. Je ne plaisante pas. Tu mérites une bonne déculottée, ma fille, et plus tu m'en empêches et plus ça va aller mal pour tes fesses, tu peux me croire...", cela ne peut laisser mes soeurs indifférentes et qu'une Aline puisse en effet commenter : "T'entends, Didi, Maman lui baisse la culotte, oh là là !"
    Le bruit caractéristique ensuite de la paume maternelle s'abattant sur des fesses bien exposées et sans protection aucune devait ensuite leur confirmer mon déculottage, sans oublier que très vite, même si je tentais de les retenir, mes gémissements devenaient pleurs et cris mêlés de supplications.
    En tout cas, il est évident aussi que le "c'est bien fait pour elle, elle avait qu'à pas êtes méchante, avec moi !" mis dans la bouche de Diane correspond bien à ce que soeurette devait penser et que, cette fois, elle n'avait guère de compassion pour son ainée, et devait prendre chaque claque que recevait ma lune écarlate comme une sorte de compensation par rapport à ce que je lui avais fait.

    RépondreSupprimer
  39. Chère Christine,

    Je suis content que l'improvisation vous est plus et sachez que pour celle-ci, je me suis inspiré d'un souvenir en compagnie de mon cousin Eric, alors que nous étions dans ma chambre et que ma grande sœur Isabelle était dans la sienne, mais surtout sur les genoux de Maman pour une déculottée méritée, après lui avoir mal répondue.

    Et là, les 2 petits chenapans de 7 ans s'étaient moqués (sans méchanceté) de la demoiselle (13 ans), en commentant ce qui passait dans la pièce d'à coté.

    Je vous rejoins également sur le sentiment de compensation ressenti par Diane, malgré tout je maintiens que celle-ci aurait mérité plus qu'un aller-retour de Maman, lors de son escapade, même si cela n'enlève rien à celle que vous aviez mérité pour votre gaminerie et le mensonge public.

    Désolé pour vos petites fesses, qui ont connues une nouvelle flambée magistrale, largement diffusée et détaillée à des oreilles indiscrètes et moqueuses, envers la grande sœur.

    Amicalement, Dominique et à bientôt

    RépondreSupprimer
  40. Oui, "malgré tout", dit Dominique. Diane aurait certes mérité un rappel à l'ordre du genre qui vous réchauffe le bas du dos...
    Mais, il est vrai qu'en cherchant à me venger dans le dos de Maman, je me posais en justicière, et que notre mère ne pouvait le tolérer. A la maison, la loi, c'est Maman, un point c'est tout, se devait-elle de bien rappeler. Si j'avais à me plaindre de ma soeur, je n'avais qu'à lui dire à elle, et non pas chercher à régler mes comptes, qui plus est en douce, qui plus est en mentant dans la foulée...
    Dans ce cas de figure, la seule issue, dans le raisonnement maternel, était donc bien de remettre chacune à sa place... Et, en l'occurrence, la mienne de place était en travers de ses genoux, culotte baissée...
    Il était aussi essentiel dans l'idée maternelle que le "message" soit partagé. L'annonce publique de la fessée à venir, le rappel à la fin du diner, c'était bien une façon de dire : "Ta soeur t'a fait mal, je vais la punir, comme je pourrais le faire à l'inverse le cas échéant".
    Et si la porte laissée entrouverte était une manière de garder une oreille attentive à un (peu probable) chahut des petites, c'était aussi, sans aller jusqu'à donner la fessée devant elles, une façon de faire prendre conscience aux petites que quand Maman promettait une bonne fessée, elle donnait bien une "bonne" fessée... comme la bande son en témoignait...

    RépondreSupprimer
  41. Chère Christine,

    Je partage votre avis sur le fait Maman représentant l'ordre chez les SPAAK, celle-ci ne pouvait accepter que l'une de ses filles (surtout l'aînée) prenne sa place et qui plus est par une ruse, doublée d'un mensonge, dés lors elle ne peux que sanctionnée sévèrement la justicière non autorisée, à cela.

    Je me souviens, d'ailleurs, que Madame SPAAK l'avait clairement évoquée à Christine, lors d'une volée méritée pour avoir giflé sa sœur qui se moquait d'elle, Maman rappelant qu'elle n'avait qu'à attendre son retour pour éclaircir la situation, mais voilà cela aurait constitué un moment de honte pour la jeune adolescente, préférant s'en remettre à son propre jugement, au risque d'en payer le prix.

    Par conséquent, dans le cas présent, la pensée maternelle est simple, « Très bien, puisque mes filles n'ont pas l'air de bien saisir mes paroles, je vais passer aux actes qui seront peut être plus explicites,
    dommage pour la grande, qui s'est à nouveau fait prendre (comme souvent), tant pis pour elle, mais elle ne l'aura pas volé et cela servira aussi, aux petites, qui pourront entendre ce que signifie, la promesse d'une bonne fessée de Maman ».

    Dans le même ordre d'idée, me laissant porté par mon imagination, j'entrevois un prolongement à cette pensée maternelle, vis à vis de Christine, se disant :

    « C'est navrant ! Mais cette grande bécasse s'est encore crue plus maline que tout le monde, n'appréciant pas ma réprimande au parc, pour la non surveillance de sa petite sœur, même si j'admets que Diane l'avait provoqué et il est clair que son coup en douce, plus le mensonge, me confirme qu'elle n'est (par moment) qu'une gamine méritant encore de bonnes déculottées et ceci malgré ses qualités ! »

    « Bon ! De toute façon, je ne vais pas changer (du jour au lendemain) des règles qui fonctionnent et qui sont les seules comprises par 2 fillettes et une demoiselle qui se refuse à grandir, par conséquent Christine recevra ce qu'elle mérite et même plus, d'autant qu'elle sait que je n'aime pas me faire remarquer en public, alors elle peux donc bien préparer ses fesses, car je ne vais m'en occuper comme il faut et donnera aux petites une idée de ce qui, peux leur arriver »

    Chère Christine, j'admettrais volontiers que vous soyez critique, par rapport à cette extrapolation sur les pensées de votre mère, mais c'est précisément ce que pensaient nos parents (pluriels) pour en avoir discuté quelques années plus tard, avec eux et sans aucune amertume.

    Amicalement, Dominique et à bientôt,

    RépondreSupprimer
  42. Fort bon développement encore, à ce détail près, que je ne pense pas que Maman me trouvait "bécasse". Tête de linotte, têtue, mais surtout pas idiote, et c'est bien ce qui la navrait souvent de penser que je gâchais mes chances et aurais pu souvent faire mieux.
    Le reste, et notamment ce qui concerne l'exemplarité de mon "traitement" qui devait faire réfléchir les petites, là, je suis bien d'accord, hélas, puisque cela ne faisait qu'inciter Maman à toujours "bien" me fesser...

    RépondreSupprimer
  43. Chère Christine,

    Désolé pour l'utilisation du mot 'bécasse', celui-ci correspondant simplement au fait que je pratique une activité que bien des gens combattent et j'aurais pu, je l'avoue humblement, utilisé une autre référence.

    Ma pensée étant celle que vous avez retranscris ' Tête de linotte, têtue et j'ajouterais écervelée, innocente' et en aucun cas, crétine et dénuée de raisonnement, bien au contraire celle-ci sachant parfaitement faire la part des choses lorsqu'elle le voulait et simplement en proie à ses propres contradictions qui la tiraillait, alors qu'elle aurait pu se montrer exemplaire (comme ses fessées).

    Et cela, ne pouvait que pousser Maman à 'bien' vous fesser, pour vos erreurs et par voie de conséquence, inciter les petites à une réflexion plus approfondie pour elles-mêmes.

    Sachez donc que mon intention n'était nullement de vous froisser, mais simplement rebondir au précédent message, en attendant que vous repreniez la plume (afin le clavier) pour le plus grand plaisir de vos lecteurs et vous remercie de pardonner, ces petites erreurs de référence, qui ne sont que le reflet d'un vécu populaire, sans grandes études.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  44. Chère Christine,

    Petit aparté sarcastique !

    Il me semble que la Très Grande Christine a toujours autant de mal, que l'adolescente de l'époque, à tenir ses promesses, dans la mesure ou le cap des 20 jours sera atteint d'ici 30 minutes et que l'épisode 48 ou une éventuelle parenthèse n'a été livrée, malgré de nombreux échanges avec vos lecteurs.

    Il m'apparaît donc évident que seules des méthodes plus énergiques, sont à même de motiver cette Chère Christine qui se complet dans la fainéantise, n'ayant plus de bride sur le cou et je pense qu'il serait peut être utile de contacter Maman, pour qu'elle remette un peu de plomb dans la cervelle de sa fille, sans gratuité pour ses fesses, bien entendu.

    Amicalement et avec humour, Dominique

    RépondreSupprimer
  45. Chère Christine,

    Mésaventure avec ma Monique (2° partie) :

    Tata nous trouva donc tous les deux étalés au milieu des boulets, couverts de suie, bien entendu et fonçant sur nous, nous releva sans ménagement, moi par l'oreille, ma cousine par la tignasse et nous flanqua, à chacun un aller-retour bien appuyé nous faisant gémir l'un et l'autre.

    Hébétés et plaquant nos mains sur nos joues, par réflexe, Tata s'adressa à nous calmement mais avec un regard qui en disait long « Alors maintenant ! Comme vous ressemblez à des charbonniers, vous allez me ramasser tout ça rapidement et après vous irez faire un brin de toilette et vous changer, c'est compris ? » entraînant une réponse positive de 2 imbéciles, ayant quelques craintes pour la suite des événements, sachant très bien que ce calme apparent, n'était pas de bonne augure pour eux.

    D'ailleurs ma Tante, confirma aussitôt nos craintes de façon ironique, ajoutant « Ensuite, vous me rejoindrez pour que l'on discute du renversement de ce seau à charbon, imaginant que vous aurez une bonne raison à me fournir, mais sachez déjà que Mireille vous expliqueras de façon beaucoup plus claire, ce qu'elle en pense ! Je pense que vous saisissez ? ».

    Evidemment que nous avions compris l'allusion, sans répondre et là, les 2 fautifs commencèrent le ramassage des boulets, tout en se rejetant la faute l'un/l'autre, sans discrétion, donnant l'occasion à Tantine d'élever le ton depuis la cuisine « Cesser donc de vous chamailler, on réglera cela tout à l'heure et faites ce que j'ai demandé, un point c'est tout ! ».

    Après en avoir terminé, Tata nous envoya chacun dans une salle de bains (l'un en bas, l'autre en haut) pour enlever la suie, récupérer nos vêtements sales et nous inviter à ne pas traîner, celle-ci devant finir de préparer le repas du midi.

    Bien entendu, ni ma cousine, ni moi, n'étions pressés d'en finir avec notre toilette, n'ayant aucune envie d'accélérer l'étape suivante qui passait, sans aucun doute possible, par une position horizontale sur les cuisses de Tata et offrir, 2 fessiers découverts (bien sur) à une main très affûtée, dont Monique et moi connaissions l'efficacité pour y avoir déjà goûté.

    Sauf que ma Tante, ayant autre chose à faire manifesta son impatience en venant nous cherchez , elle monta tout d'abord à l'étage ou se trouvait sa fille et j'entendis clairement quelques claques tombées, suivie d'une descente d'escalier plutôt musclée (entre claques et petits cris), pris de panique, commençant seulement à me rhabiller, je vis débarquer Tata qui me saisi par le bras et me colla 2 / 3 claques sur le fond du slip, pour que je m'active, ma cousine juste à coté d'elle frottait ses fesses en pleurnichant.

    Et là, Tantine prenant l'une de nos oreilles, nous entraîna tranquillement vers la cuisine, en geignant et nous donnant une chtouille terrible, sachant très bien ce qui nous attendaient.

    A suivre........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  46. Chère Christine,

    Je suis très déçu par votre attitude, Christine, vous faites des promesses que vous ne tenez pas, comme l'adolescente que Maman devait déculotter et fesser copieusement, afin qu'elle comprenne l'importance d'un travail assidu, qu'en pensez vous ?

    Je sais, je suis exigeant, mais reconnaissez que vous je n'ai pas tout à fait tort, même si le dimanche est un jour sacro-saint pour vous, ce qui n'est pas mon cas, vous auriez pu faire un effort pour vos lecteurs.

    Désolé ! Vous n'apprécierez certainement pas ce billet d'humeur, mais il est sincère, compte tenu du temps pourri d'aujourd'hui n'incitant pas à sortir, malgré des projets prévus.

    Amicalement, enfin si l'on peux dire ! Dominique

    RépondreSupprimer
  47. Hou la la, il va falloir que Christine se fasse bien vite pardonner, car si Maman apprend ça, il va y avoir de la déculottée dans l'air...
    Désolé pour mon fidèle lectorat, mais il y a des imprévus parfois, et je n'ai pu être tranquille comme je le souhaitais. La suite va arriver bientôt, promis, dis-je...
    Merci à Dominique de ne rien dire à Maman, du moins virtuellement, car ses "promesses" à elle sont plus "concrètes" que celle de son ainée... Si vous voyez ce que je veux dire... Mais je suis sûre que vous le voyez.... Non ?

    RépondreSupprimer
  48. Chère Christine,

    Oh ! Que oui, je le vois très bien et je crois même qu'il ne serait pas immérité pour Christine de faire un petit voyage au travers des cuisses maternelles, culotte baissée, pour une composition savamment graduée de Maman sur une paire de fesses bien offertes, afin de remettre la demoiselle sur de bons rails.

    Par conséquent, je vous accorde le bénéfice du doute et me donne un temps de réflexion, avant d'informer (virtuellement) cette admirable mère de 'devoir' et qui sait parfaitement ce dont a besoin son aînée, pour fournir un travail régulier et de bonne qualité, rien de tel qu'une bonne déculottée pour rééquilibrer cette 'tête de linotte'. (humour, bien entendu!)

    Amicalement, dominique

    RépondreSupprimer
  49. Un jour de plus... Je n'oserais jamais l'avouer, mais je pense un peu que Dominique a en partie raison. Christine mériterait peut-être que Maman s'occupe de lui rappeler ses devoirs...
    Cela me fait repenser à cette époque, quand parfois "j'oubliais" de faire un devoir, prétextant je ne sais quel empêchement à motif familial auprès de la prof, lui promettant de le faire pour le prochain cours, et passant ensuite les prochains jours à prier dans mon for intérieur pour que ma chère mère ne rencontre pas fortuitement ladite prof...
    Les petites villes ont cet avantage que tout le monde se connait et se croise souvent. J'en ai fait à quelques reprises l'amère expérience...
    Heureusement qu'un Dominique ne fait pas son marché aujourd'hui en même temps que Mme Spaak...

    RépondreSupprimer
  50. Chère Christine,

    Pas de chance, jeune fille, Dominique est pour l'instant, ce que l'on appel 'hors campagne' et ne travaille en moyenne que 7 heures par jour, voir moins, lui laissant le temps de constater que sa merveilleuse conteuse se laisse porter par sa nonchalance chronique, néfaste et porteuse de déboires qu'elle craignaient.

    Implicitement, vous avouez que je suis dans le vrai et que notre Christine, comme à son habitude joue la carte du temps 'Un jour de plus', principe lui ayant pourtant valu quelques unes de ses plus belles volées à force de retarder l'inéluctable.

    Et en effet, il serait bon pour vous de priez que je ne rencontre pas Mme Spaak, pour lui faire part du relâchement de sa fille, sinon vous n'auriez plus qu'à préparez vos fesses comme vous saviez si bien le faire pour Maman qui n'a pas son pareil pour les tannées.

    Alors gare à vos rondeurs petite fainéante, celles-ci risquent fort de s'étaler au grand jour, pour être longuement réchauffées par la dextre maternelle et vous faire verser des flots de larmes, en criant votre repentir, à bon entendeur !

    Amicalement, enfin sauf pour vos fesses, Dominique

    RépondreSupprimer
  51. En cette période d'automne naissant, où l'on trouve des champignons, des noix, des chataignes sur nos marchés de province, où les légumes de saison se font plus rares, mais où il faut veiller à ne pas en manquer, surtout lorsqu' l'on doit nourrir sainement trois filles qui grandissent vite (sauf en sagesse...), c'est vra que Maman ne manquerait pas d'aller faire un tour sur le marché...
    Pourvu que...

    RépondreSupprimer
  52. Chère Christine,

    Je constate avec grand plaisir, comme d'autres lecteurs j'imagine, que la paresseuse s'est enfin remis au travail, celle-ci craignant peut être pour ses petites fesses ayant eu quasiment un mois de repos et voulant retarder au maximum, la prochaine échéance qui la fera revenir aux dures réalités de sa vie d'insouciance que Maman sait endiguer par de bonnes déculottées, tout à fait méritées.

    Sinon, il est vrai qu'en mère responsable de trois gamines n'évoluant que sur un plan (physique), se doit de veiller à leur alimentation et leur bonne éducation, ce dont Mme SPAAK s'acquitte parfaitement et par chance, pour la grande écervelée de Christine, je n'ai pas croisé Maman aujourd'hui, sans quoi elle aurait pu préparer ses fesses.

    Maintenant, je vais lire la suite 48.

    Amicalement, Dominique.

    RépondreSupprimer