tag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post3384834152069303598..comments2024-01-01T11:16:06.584+01:00Comments on Souvenirs cuisants d'une jeune fille punie: Chronique d'un redoublement : 47. Une issue attendue et à portée d'oreilles indiscrètesChristine Spaakhttp://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comBlogger52125tag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-37575958893757342982012-10-17T20:22:58.902+02:002012-10-17T20:22:58.902+02:00Chère Christine,
Je constate avec grand plaisir, ...Chère Christine,<br /><br />Je constate avec grand plaisir, comme d'autres lecteurs j'imagine, que la paresseuse s'est enfin remis au travail, celle-ci craignant peut être pour ses petites fesses ayant eu quasiment un mois de repos et voulant retarder au maximum, la prochaine échéance qui la fera revenir aux dures réalités de sa vie d'insouciance que Maman sait endiguer par de bonnes déculottées, tout à fait méritées.<br /><br />Sinon, il est vrai qu'en mère responsable de trois gamines n'évoluant que sur un plan (physique), se doit de veiller à leur alimentation et leur bonne éducation, ce dont Mme SPAAK s'acquitte parfaitement et par chance, pour la grande écervelée de Christine, je n'ai pas croisé Maman aujourd'hui, sans quoi elle aurait pu préparer ses fesses.<br /><br />Maintenant, je vais lire la suite 48.<br /><br />Amicalement, Dominique.Dominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-36905483021660927632012-10-17T14:50:51.386+02:002012-10-17T14:50:51.386+02:00En cette période d'automne naissant, où l'...En cette période d'automne naissant, où l'on trouve des champignons, des noix, des chataignes sur nos marchés de province, où les légumes de saison se font plus rares, mais où il faut veiller à ne pas en manquer, surtout lorsqu' l'on doit nourrir sainement trois filles qui grandissent vite (sauf en sagesse...), c'est vra que Maman ne manquerait pas d'aller faire un tour sur le marché... <br />Pourvu que...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-56437881752881397522012-10-17T10:19:55.303+02:002012-10-17T10:19:55.303+02:00Chère Christine,
Pas de chance, jeune fille, Domi...Chère Christine,<br /><br />Pas de chance, jeune fille, Dominique est pour l'instant, ce que l'on appel 'hors campagne' et ne travaille en moyenne que 7 heures par jour, voir moins, lui laissant le temps de constater que sa merveilleuse conteuse se laisse porter par sa nonchalance chronique, néfaste et porteuse de déboires qu'elle craignaient.<br /><br />Implicitement, vous avouez que je suis dans le vrai et que notre Christine, comme à son habitude joue la carte du temps 'Un jour de plus', principe lui ayant pourtant valu quelques unes de ses plus belles volées à force de retarder l'inéluctable.<br /><br />Et en effet, il serait bon pour vous de priez que je ne rencontre pas Mme Spaak, pour lui faire part du relâchement de sa fille, sinon vous n'auriez plus qu'à préparez vos fesses comme vous saviez si bien le faire pour Maman qui n'a pas son pareil pour les tannées.<br /><br />Alors gare à vos rondeurs petite fainéante, celles-ci risquent fort de s'étaler au grand jour, pour être longuement réchauffées par la dextre maternelle et vous faire verser des flots de larmes, en criant votre repentir, à bon entendeur !<br /><br />Amicalement, enfin sauf pour vos fesses, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-74420428934020332002012-10-17T09:43:55.889+02:002012-10-17T09:43:55.889+02:00Un jour de plus... Je n'oserais jamais l'a...Un jour de plus... Je n'oserais jamais l'avouer, mais je pense un peu que Dominique a en partie raison. Christine mériterait peut-être que Maman s'occupe de lui rappeler ses devoirs...<br />Cela me fait repenser à cette époque, quand parfois "j'oubliais" de faire un devoir, prétextant je ne sais quel empêchement à motif familial auprès de la prof, lui promettant de le faire pour le prochain cours, et passant ensuite les prochains jours à prier dans mon for intérieur pour que ma chère mère ne rencontre pas fortuitement ladite prof... <br />Les petites villes ont cet avantage que tout le monde se connait et se croise souvent. J'en ai fait à quelques reprises l'amère expérience...<br />Heureusement qu'un Dominique ne fait pas son marché aujourd'hui en même temps que Mme Spaak...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-31959817433701431912012-10-16T10:38:32.367+02:002012-10-16T10:38:32.367+02:00Chère Christine,
Oh ! Que oui, je le vois très bi...Chère Christine,<br /><br />Oh ! Que oui, je le vois très bien et je crois même qu'il ne serait pas immérité pour Christine de faire un petit voyage au travers des cuisses maternelles, culotte baissée, pour une composition savamment graduée de Maman sur une paire de fesses bien offertes, afin de remettre la demoiselle sur de bons rails.<br /><br />Par conséquent, je vous accorde le bénéfice du doute et me donne un temps de réflexion, avant d'informer (virtuellement) cette admirable mère de 'devoir' et qui sait parfaitement ce dont a besoin son aînée, pour fournir un travail régulier et de bonne qualité, rien de tel qu'une bonne déculottée pour rééquilibrer cette 'tête de linotte'. (humour, bien entendu!)<br /><br />Amicalement, dominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-46736077522518197532012-10-16T10:11:27.601+02:002012-10-16T10:11:27.601+02:00Hou la la, il va falloir que Christine se fasse bi...Hou la la, il va falloir que Christine se fasse bien vite pardonner, car si Maman apprend ça, il va y avoir de la déculottée dans l'air...<br />Désolé pour mon fidèle lectorat, mais il y a des imprévus parfois, et je n'ai pu être tranquille comme je le souhaitais. La suite va arriver bientôt, promis, dis-je...<br />Merci à Dominique de ne rien dire à Maman, du moins virtuellement, car ses "promesses" à elle sont plus "concrètes" que celle de son ainée... Si vous voyez ce que je veux dire... Mais je suis sûre que vous le voyez.... Non ?Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-86170676901582599332012-10-14T17:54:11.672+02:002012-10-14T17:54:11.672+02:00Chère Christine,
Je suis très déçu par votre atti...Chère Christine,<br /><br />Je suis très déçu par votre attitude, Christine, vous faites des promesses que vous ne tenez pas, comme l'adolescente que Maman devait déculotter et fesser copieusement, afin qu'elle comprenne l'importance d'un travail assidu, qu'en pensez vous ?<br /><br />Je sais, je suis exigeant, mais reconnaissez que vous je n'ai pas tout à fait tort, même si le dimanche est un jour sacro-saint pour vous, ce qui n'est pas mon cas, vous auriez pu faire un effort pour vos lecteurs.<br /><br />Désolé ! Vous n'apprécierez certainement pas ce billet d'humeur, mais il est sincère, compte tenu du temps pourri d'aujourd'hui n'incitant pas à sortir, malgré des projets prévus.<br /><br />Amicalement, enfin si l'on peux dire ! DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-77048331909239852562012-10-14T12:42:19.469+02:002012-10-14T12:42:19.469+02:00Chère Christine,
Mésaventure avec ma Monique (2° ...Chère Christine,<br /><br />Mésaventure avec ma Monique (2° partie) :<br /><br />Tata nous trouva donc tous les deux étalés au milieu des boulets, couverts de suie, bien entendu et fonçant sur nous, nous releva sans ménagement, moi par l'oreille, ma cousine par la tignasse et nous flanqua, à chacun un aller-retour bien appuyé nous faisant gémir l'un et l'autre.<br /><br />Hébétés et plaquant nos mains sur nos joues, par réflexe, Tata s'adressa à nous calmement mais avec un regard qui en disait long « Alors maintenant ! Comme vous ressemblez à des charbonniers, vous allez me ramasser tout ça rapidement et après vous irez faire un brin de toilette et vous changer, c'est compris ? » entraînant une réponse positive de 2 imbéciles, ayant quelques craintes pour la suite des événements, sachant très bien que ce calme apparent, n'était pas de bonne augure pour eux.<br /><br />D'ailleurs ma Tante, confirma aussitôt nos craintes de façon ironique, ajoutant « Ensuite, vous me rejoindrez pour que l'on discute du renversement de ce seau à charbon, imaginant que vous aurez une bonne raison à me fournir, mais sachez déjà que Mireille vous expliqueras de façon beaucoup plus claire, ce qu'elle en pense ! Je pense que vous saisissez ? ».<br /><br />Evidemment que nous avions compris l'allusion, sans répondre et là, les 2 fautifs commencèrent le ramassage des boulets, tout en se rejetant la faute l'un/l'autre, sans discrétion, donnant l'occasion à Tantine d'élever le ton depuis la cuisine « Cesser donc de vous chamailler, on réglera cela tout à l'heure et faites ce que j'ai demandé, un point c'est tout ! ».<br /><br />Après en avoir terminé, Tata nous envoya chacun dans une salle de bains (l'un en bas, l'autre en haut) pour enlever la suie, récupérer nos vêtements sales et nous inviter à ne pas traîner, celle-ci devant finir de préparer le repas du midi.<br /><br />Bien entendu, ni ma cousine, ni moi, n'étions pressés d'en finir avec notre toilette, n'ayant aucune envie d'accélérer l'étape suivante qui passait, sans aucun doute possible, par une position horizontale sur les cuisses de Tata et offrir, 2 fessiers découverts (bien sur) à une main très affûtée, dont Monique et moi connaissions l'efficacité pour y avoir déjà goûté.<br /><br />Sauf que ma Tante, ayant autre chose à faire manifesta son impatience en venant nous cherchez , elle monta tout d'abord à l'étage ou se trouvait sa fille et j'entendis clairement quelques claques tombées, suivie d'une descente d'escalier plutôt musclée (entre claques et petits cris), pris de panique, commençant seulement à me rhabiller, je vis débarquer Tata qui me saisi par le bras et me colla 2 / 3 claques sur le fond du slip, pour que je m'active, ma cousine juste à coté d'elle frottait ses fesses en pleurnichant.<br /><br />Et là, Tantine prenant l'une de nos oreilles, nous entraîna tranquillement vers la cuisine, en geignant et nous donnant une chtouille terrible, sachant très bien ce qui nous attendaient.<br /><br />A suivre........<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-81215150246289839072012-10-13T23:37:58.988+02:002012-10-13T23:37:58.988+02:00Chère Christine,
Petit aparté sarcastique !
Il m...Chère Christine,<br /><br />Petit aparté sarcastique !<br /><br />Il me semble que la Très Grande Christine a toujours autant de mal, que l'adolescente de l'époque, à tenir ses promesses, dans la mesure ou le cap des 20 jours sera atteint d'ici 30 minutes et que l'épisode 48 ou une éventuelle parenthèse n'a été livrée, malgré de nombreux échanges avec vos lecteurs.<br /><br />Il m'apparaît donc évident que seules des méthodes plus énergiques, sont à même de motiver cette Chère Christine qui se complet dans la fainéantise, n'ayant plus de bride sur le cou et je pense qu'il serait peut être utile de contacter Maman, pour qu'elle remette un peu de plomb dans la cervelle de sa fille, sans gratuité pour ses fesses, bien entendu.<br /><br />Amicalement et avec humour, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-92078911562307934642012-10-13T19:28:20.567+02:002012-10-13T19:28:20.567+02:00Chère Christine,
Désolé pour l'utilisation du...Chère Christine,<br /><br />Désolé pour l'utilisation du mot 'bécasse', celui-ci correspondant simplement au fait que je pratique une activité que bien des gens combattent et j'aurais pu, je l'avoue humblement, utilisé une autre référence.<br /><br />Ma pensée étant celle que vous avez retranscris ' Tête de linotte, têtue et j'ajouterais écervelée, innocente' et en aucun cas, crétine et dénuée de raisonnement, bien au contraire celle-ci sachant parfaitement faire la part des choses lorsqu'elle le voulait et simplement en proie à ses propres contradictions qui la tiraillait, alors qu'elle aurait pu se montrer exemplaire (comme ses fessées).<br /><br />Et cela, ne pouvait que pousser Maman à 'bien' vous fesser, pour vos erreurs et par voie de conséquence, inciter les petites à une réflexion plus approfondie pour elles-mêmes.<br /><br />Sachez donc que mon intention n'était nullement de vous froisser, mais simplement rebondir au précédent message, en attendant que vous repreniez la plume (afin le clavier) pour le plus grand plaisir de vos lecteurs et vous remercie de pardonner, ces petites erreurs de référence, qui ne sont que le reflet d'un vécu populaire, sans grandes études.<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-88756537904628082072012-10-13T18:01:38.307+02:002012-10-13T18:01:38.307+02:00Fort bon développement encore, à ce détail près, q...Fort bon développement encore, à ce détail près, que je ne pense pas que Maman me trouvait "bécasse". Tête de linotte, têtue, mais surtout pas idiote, et c'est bien ce qui la navrait souvent de penser que je gâchais mes chances et aurais pu souvent faire mieux.<br />Le reste, et notamment ce qui concerne l'exemplarité de mon "traitement" qui devait faire réfléchir les petites, là, je suis bien d'accord, hélas, puisque cela ne faisait qu'inciter Maman à toujours "bien" me fesser...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-50577325900249659942012-10-13T15:43:59.997+02:002012-10-13T15:43:59.997+02:00Chère Christine,
Je partage votre avis sur le fai...Chère Christine,<br /><br />Je partage votre avis sur le fait Maman représentant l'ordre chez les SPAAK, celle-ci ne pouvait accepter que l'une de ses filles (surtout l'aînée) prenne sa place et qui plus est par une ruse, doublée d'un mensonge, dés lors elle ne peux que sanctionnée sévèrement la justicière non autorisée, à cela.<br /><br />Je me souviens, d'ailleurs, que Madame SPAAK l'avait clairement évoquée à Christine, lors d'une volée méritée pour avoir giflé sa sœur qui se moquait d'elle, Maman rappelant qu'elle n'avait qu'à attendre son retour pour éclaircir la situation, mais voilà cela aurait constitué un moment de honte pour la jeune adolescente, préférant s'en remettre à son propre jugement, au risque d'en payer le prix.<br /><br />Par conséquent, dans le cas présent, la pensée maternelle est simple, « Très bien, puisque mes filles n'ont pas l'air de bien saisir mes paroles, je vais passer aux actes qui seront peut être plus explicites,<br />dommage pour la grande, qui s'est à nouveau fait prendre (comme souvent), tant pis pour elle, mais elle ne l'aura pas volé et cela servira aussi, aux petites, qui pourront entendre ce que signifie, la promesse d'une bonne fessée de Maman ».<br /><br />Dans le même ordre d'idée, me laissant porté par mon imagination, j'entrevois un prolongement à cette pensée maternelle, vis à vis de Christine, se disant :<br /><br />« C'est navrant ! Mais cette grande bécasse s'est encore crue plus maline que tout le monde, n'appréciant pas ma réprimande au parc, pour la non surveillance de sa petite sœur, même si j'admets que Diane l'avait provoqué et il est clair que son coup en douce, plus le mensonge, me confirme qu'elle n'est (par moment) qu'une gamine méritant encore de bonnes déculottées et ceci malgré ses qualités ! »<br /><br />« Bon ! De toute façon, je ne vais pas changer (du jour au lendemain) des règles qui fonctionnent et qui sont les seules comprises par 2 fillettes et une demoiselle qui se refuse à grandir, par conséquent Christine recevra ce qu'elle mérite et même plus, d'autant qu'elle sait que je n'aime pas me faire remarquer en public, alors elle peux donc bien préparer ses fesses, car je ne vais m'en occuper comme il faut et donnera aux petites une idée de ce qui, peux leur arriver »<br /><br />Chère Christine, j'admettrais volontiers que vous soyez critique, par rapport à cette extrapolation sur les pensées de votre mère, mais c'est précisément ce que pensaient nos parents (pluriels) pour en avoir discuté quelques années plus tard, avec eux et sans aucune amertume.<br /><br />Amicalement, Dominique et à bientôt,Dominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-47488667207141944122012-10-13T10:43:37.346+02:002012-10-13T10:43:37.346+02:00Oui, "malgré tout", dit Dominique. Diane...Oui, "malgré tout", dit Dominique. Diane aurait certes mérité un rappel à l'ordre du genre qui vous réchauffe le bas du dos...<br />Mais, il est vrai qu'en cherchant à me venger dans le dos de Maman, je me posais en justicière, et que notre mère ne pouvait le tolérer. A la maison, la loi, c'est Maman, un point c'est tout, se devait-elle de bien rappeler. Si j'avais à me plaindre de ma soeur, je n'avais qu'à lui dire à elle, et non pas chercher à régler mes comptes, qui plus est en douce, qui plus est en mentant dans la foulée...<br />Dans ce cas de figure, la seule issue, dans le raisonnement maternel, était donc bien de remettre chacune à sa place... Et, en l'occurrence, la mienne de place était en travers de ses genoux, culotte baissée...<br />Il était aussi essentiel dans l'idée maternelle que le "message" soit partagé. L'annonce publique de la fessée à venir, le rappel à la fin du diner, c'était bien une façon de dire : "Ta soeur t'a fait mal, je vais la punir, comme je pourrais le faire à l'inverse le cas échéant".<br />Et si la porte laissée entrouverte était une manière de garder une oreille attentive à un (peu probable) chahut des petites, c'était aussi, sans aller jusqu'à donner la fessée devant elles, une façon de faire prendre conscience aux petites que quand Maman promettait une bonne fessée, elle donnait bien une "bonne" fessée... comme la bande son en témoignait...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-48056410415398574212012-10-12T12:45:08.851+02:002012-10-12T12:45:08.851+02:00Chère Christine,
Je suis content que l'impro...Chère Christine, <br /><br />Je suis content que l'improvisation vous est plus et sachez que pour celle-ci, je me suis inspiré d'un souvenir en compagnie de mon cousin Eric, alors que nous étions dans ma chambre et que ma grande sœur Isabelle était dans la sienne, mais surtout sur les genoux de Maman pour une déculottée méritée, après lui avoir mal répondue.<br /><br />Et là, les 2 petits chenapans de 7 ans s'étaient moqués (sans méchanceté) de la demoiselle (13 ans), en commentant ce qui passait dans la pièce d'à coté. <br /><br />Je vous rejoins également sur le sentiment de compensation ressenti par Diane, malgré tout je maintiens que celle-ci aurait mérité plus qu'un aller-retour de Maman, lors de son escapade, même si cela n'enlève rien à celle que vous aviez mérité pour votre gaminerie et le mensonge public.<br /><br />Désolé pour vos petites fesses, qui ont connues une nouvelle flambée magistrale, largement diffusée et détaillée à des oreilles indiscrètes et moqueuses, envers la grande sœur.<br /><br />Amicalement, Dominique et à bientôtDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-12949772847066779932012-10-12T11:36:54.172+02:002012-10-12T11:36:54.172+02:00Sympathique improvisation du dialogue supposé de m...Sympathique improvisation du dialogue supposé de mes soeurs. J'aurais pensé que les chuchotis entre elles se déroulent surtout avant et après, et qu'elles aient pendant ma fessée une écoute quasi religieuse... <br />Mais, j'admets volontiers que lorsqu'Aline et Diane entendent Maman dire : "Lâche ta culotte, Christine. Je ne plaisante pas. Tu mérites une bonne déculottée, ma fille, et plus tu m'en empêches et plus ça va aller mal pour tes fesses, tu peux me croire...", cela ne peut laisser mes soeurs indifférentes et qu'une Aline puisse en effet commenter : "T'entends, Didi, Maman lui baisse la culotte, oh là là !"<br />Le bruit caractéristique ensuite de la paume maternelle s'abattant sur des fesses bien exposées et sans protection aucune devait ensuite leur confirmer mon déculottage, sans oublier que très vite, même si je tentais de les retenir, mes gémissements devenaient pleurs et cris mêlés de supplications.<br />En tout cas, il est évident aussi que le "c'est bien fait pour elle, elle avait qu'à pas êtes méchante, avec moi !" mis dans la bouche de Diane correspond bien à ce que soeurette devait penser et que, cette fois, elle n'avait guère de compassion pour son ainée, et devait prendre chaque claque que recevait ma lune écarlate comme une sorte de compensation par rapport à ce que je lui avais fait.<br /><br />Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-456788235930159012012-10-12T08:47:56.528+02:002012-10-12T08:47:56.528+02:00Chère Christine,
Après ces apartés, voici la suit...Chère Christine,<br /><br />Après ces apartés, voici la suite :<br /><br />Quatrième réflexion : L'attitude et les pensées de vos sœurs. (2°partie)<br /><br />Arrive le moment d'aller au lit pour les petites qui ne se font pas prier, impatientes d'entendre la chanson que va leur proposer Christine sous la main de Maman, alors qu'elles bénéficient d'un moment de tendresse maternelle, à l'inverse de la grande sœur qui va de nouveau goûter à la dextre de Maman chérie, beaucoup moins tendre.<br /><br />Les petites ne voulant surtout pas prendre la place de la grande sœur, ne font que chuchoter et ricaner dans le creux de leurs oreillers, après son départ, ce qui parvient néanmoins aux oreilles de Christine et lui font imaginer ce qu'elles vont entendre, lorsqu'elle sera sur les genoux de Maman, la porte n'étant pas fermée.<br /><br />Et voilà que la fête commence pour Christine et sans être présentes les petiotes n'ont aucun mal à imaginer la scène et s'engage alors entre elles un dialogue en sourdine et des émotions, qu'il est assez facile de retranscrire, compte tenu de mon vécu et que je vous propose ci-dessous :<br /><br />Diane : Oh ! T'entends Aline, Maman est vraiment pas contente après Cri-Cri, ça va barder pour elle, tu crois pas ? Hhi.....<br />Aline : Ouais, j'crois qu'elle va s'en prendre une sévère, mais c'est un peu à cause de toi, non ?<br />Diane : Bah pourquoi ! C'est elle qui m'a mis un coup de pied, pas moi ?<br />Aline : Ouais, mais tu t'es bien barrée du toboggan en douce, pendant qu'elle lisait son livre ?<br /><br />Diane s'apprêtant à répondre, est coupée par Aline :<br /><br />Aline : T'entends, Didi, Maman baisse la culotte, oh là là ! Elle va bien chanter, la grande sœur ! Hihi.......<br />Diane : Oups ! Ça y est Liline, ça commence, ouahouuuuuuu....! Ça claque fort et çà doit faire mal, j'voudrais pas être à sa place,hihi....<br />Aline : Oh ouais, çà pour claquer, ça claque ! J'te l'ait bien dit qu'elle allait en prendre une sacrée, t'entends comment Maman la fait chanter, alors imagine la couleur de ses fesses !<br />Diane : Ah ouais ! Super rouge, comme la dernière fois qu'on était là, tu t'rappel ? Hihi....<br />Aline : Oh ouais ! Et Maman l'avait bien servie, comme ce soir ? Hihi...<br />Diane : Ouais, et c'est bien fait pour elle, elle avait qu'à pas êtes méchante, avec moi !<br /><br />Les 2 petites moqueuses peuvent alors s'endormir la tête pleine d'images supposées, de la grande sœur étalée sur les genoux maternels pour une déculottée, somme toute 'plutôt méritée', grâce à une bande son quasi parfaite, Maman ayant laissé (volontairement?) la porte ouverte.<br /><br />Voilà, Chère conteuse, ma dernière réflexion sur l'épisode 47, espérant que l'ensemble de cette contribution vous aura convenu et maintenant, je vais m'atteler à la suite du récit avec Tantine.<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-10005025687877322222012-10-11T19:48:47.498+02:002012-10-11T19:48:47.498+02:00Chère Christine,
Voilà qu'en plus d'être ...Chère Christine,<br /><br />Voilà qu'en plus d'être 'fainéante', mademoiselle Christine l'espiègle se permet de tendre une perche à l'un de ses fidèles lecteurs, imaginant (à juste titre, je l'avoue) qu'il rebondisse, à celle-ci.<br /><br />Non, mais sincèrement ! Il y a de bonnes claques qui se perdent et que je me ferais un plaisir de distribuer à une partie de votre anatomie, très accueillante pour une dextre affûtée, comme l'était celle de Maman, n'est ce pas, Mademoiselle l'insolente ?<br /><br />Alors si aujourd'hui, vous avez le privilège d'avoir poussé physiquement et intellectuellement et ne plus être soumise au joug maternel (ce qui est regrettable, pour nous, hihi....!), il serait donc souhaitable que la grande Christine tienne ses promesses, à l'inverse de la demoiselle qui suppliait lorsqu'elle avait peur pour ses fesses, est ce que je me trompe ?<br /><br />Non bien sur ! Oh mais, quel prétentieux ce vieux garnement ! Lui aussi en mériterait une bonne, dommage que Maman ou Tata ne soit plus là pour le corriger !<br /><br />Amicalement, Dominique, bon cette fois je vais vous servir la suite des petiotes aussi espiègles que la grande sœur !Dominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-70330388752291254722012-10-11T17:18:36.099+02:002012-10-11T17:18:36.099+02:00OK Louis, merci pour la précision : j'avais pe...OK Louis, merci pour la précision : j'avais peur que la 8e partie se soit égarée.<br />Quant à Dominique je me doutais bien qu'il rebondirait sur la perche tendue, et trouverait la réponse à la question "espiéglement" posée par mes soins...<br />Et comme l'on arrive à 18 jours sans nouvelle livraison, et que je ne suis pas sûre de pouvoir écrire longuement avant samedi et le cap des 20 jours, j'ai bien conscience que c'est un sacré privilège d'voir grandi et de ne plus craindre la foudre maternelle... Surtout que, assurément, du temps dont je parle, Maman n'aurait jamais attendu 16 jours pour vérifier mes devoirs, et que comme c'est joliment dit "la paresseuse étalée au travers des cuisses maternelles" aurait depuis longtemps senti sa culotte glisser pour dévoiler une lune qui aurait tôt fait de rougir... Et pas que de honte, ainsi que le bruit caractéristique l'aurait trahi jusqu'aux oreilles de mes soeurs...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-13255585799478494672012-10-11T11:03:33.703+02:002012-10-11T11:03:33.703+02:00Chère Christine,
Oh que oui, je le devine, Chère ...Chère Christine,<br /><br />Oh que oui, je le devine, Chère narratrice ! La paresseuse étalée au travers des cuisses maternelles, pleurnichant, suppliant, promettant monts et merveilles, alors que sa culotte glisse inexorablement vers ses genoux, pour offrir à Maman une belle lune immaculée, qui va se colorer sous l'action de sa dextre très expérimentée.<br /><br />L'acquisition de cette expertise, Maman SPAAK, là doit à ses 3 fillettes qui ont le don pour proposer fréquemment leurs fesses, à ses bons soins et notamment l'aînée, qui a la particularité de savoir se concocter, elle-même, des séances beaucoup plus intensives que les petiotes.<br /><br />Navré, Chère Christine, pour ce funeste constat à votre égard, mais qui résume assez bien je pense, cette période de votre vie que vous nous faites partager, avec délice.<br /><br />Alors, félicitations, très Chère conteuse et continuez, à nous enchanter de la sorte par vos récits de grande qualité et vos messages, nous donnant l'occasion de rebondir, comme la main de Maman savait si bien le faire sur vos rondeurs jumelles (Bon ça, c'est moins sympa, je vous l'accorde).<br /><br />Nouvel aparté, du malicieux garnement toujours présent dans la mémoire, d'une carcasse de senior.<br /><br />Amicalement, Dominique, (la suite de vos sœurs, arrive)Dominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-81034126709129856092012-10-11T09:06:06.902+02:002012-10-11T09:06:06.902+02:00Bonjour Christine.
Tout d'abord, pardonnez-mo...Bonjour Christine.<br /><br />Tout d'abord, pardonnez-moi de mon erreur sur la numérotation des parties. Mais rien ne manque à mon récit, il n'y a pas de 8 e partie.<br /><br />Je comprends que vous soyez moins réceptive aux fessées scolaires, car c'est du non-vécu pour vous. J'espère tout de même que vous ne trouvez pas cela trop ennuyeux. Si oui, je souhaite être apprécié de l'ensemble de vos lecteurs et lectrices, du moins ceux qui sont de ma génération (j'ai 59 ans) ou des générations antérieures. J'ai d'ailleurs reçu, dans ma boîte mail, un commentaire d'une dame plus âgée que moi, qui me dit avoir apprécié mon récit. Il faut dire que c'est une ancienne institutrice en retraite, qui me dit avoir eu justement recours à ces méthodes cuisantes de temps à autre, y compris en déculottant les élèves, et justement comme Mlle H... ou Mlle P..., pas seulement dans la classe.<br /><br />Je prends toutefois bonne note, chère Christine. Je termine prochainement mon actuel récit et, à l'avenir, je me ciblerai uniquement sur mes fessées maternelles, j'ai déjà suffisamment à raconter dans ce domaine. C'est votre blog, j'essaie d'aller dans son sens, le but de vos lecteurs et lectrices est avant tout de VOUS faire plaisir et de VOUS rappeler des souvenirs, tout en intéressant bien sûr si possible l'ensemble des personnes qui visitent votre blog.<br /><br />Pour ma part, je reste très réceptif à vos récits. Certes, c'est aussi du vécu pour moi. Continuez. Et je salue aussi Dominique, très actif et très pertinent sur votre blog.<br /><br />A bientôt. Amicalement.<br />Ecolement vôtre.<br /><br />Louis3901<br />gallie050753@yahoo.fr Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-28359926639570919302012-10-10T17:55:39.591+02:002012-10-10T17:55:39.591+02:00Louis continue son récit. J'avoue être moins r...Louis continue son récit. J'avoue être moins réceptive au cadre scolaire, cela ne se faisant plus de mon temps. Mais, l'effort narratif est certain.<br />Quant à Dominique, sa remarque est en effet pertinente, et je vois bien qu'il cherche à titiller mes peurs... à me faire imaginer ce que Maman dirait d'un retard de seize jours sans faire son devoir d'écriture... Facile en effet d'imaginer ce qu'elle "dirait" (ou aurait dit), mais je frissonne encore plus en imaginant ce qu'elle ferait en telle situation, et où sa chère grande paresseuse de fille se retrouverait, et en quelle position ? Vous devinez, n'est-ce pas ?Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-21544078336109396202012-10-10T13:46:13.739+02:002012-10-10T13:46:13.739+02:00A L'ECOLE : NON EXEMPT DE FESSEES / 9 E PARTIE...A L'ECOLE : NON EXEMPT DE FESSEES / 9 E PARTIE<br /><br />"Grâce à" (sic) cette sévère mise au point de la maîtresse envers les élèves de CP présents dans la classe, j'eus droit à quelques secondes de répit supplémentaires, je continuais à pleurnicher. Je restais immobile, les fesses à l'air, ne sentant pour l'instant que la main gauche de Mlle P... me tenir par la taille pour me maintenir fermement sur ses genoux. Comme toujours, je n'opposais aucune résistance, sachant que ce serait peine perdue (je vous rappelle toutefois que je me débattais avec ma mère, mais pas avec mes maîtresses, je ne saurais pas dire pourquoi).<br /><br />Mais le moment fut venu. La maîtresse dit simplement : "Allez, Louis, tout comme avec Julien, moi aussi, je veux m'amuser !" Puis elle joignit le geste à la parole, cette fois, c'était la main droite de la maîtresse qui oeuvrait. Cette cuisante fessée me fut administrée avec force, rapidité, efficacité, elle me parut très longue, pour ne pas dire interminable. Je ne sais pas ce qui faisait le plus de bruit : étaient-ce les claques stridentes sur ma peau bien tendre, ou mes cris et mes pleurs que je ne pouvais pas retenir ? Quand j'attendais mon tour pendant la fessée de Julien, je m'étais dit qu'il fallait que je me retienne, en raison de la présente des petits du CP. Mais je n'y pensais plus, devant une telle douleur interminable et une telle honte, impossible de me retenir de pleurer très fort. Il faut dire que, en assistant à la "petite" fessée de Julien, je ne m'attendais pas à être ainsi déculotté devant tout le monde ! Mais comme la maîtresse me rappelait souvent à l'ordre...<br /><br />Quand je retournai à ma place, je n'osai pas croiser les regards de mes camarades de classe, et encore moins ceux des petits (et petites) de CP.<br /><br />Cette honteuse correction n'allait pas rester sans alimenter des commentaires dans la cour de récré ou à la sortie de la classe. Je vous raconte cela très prochainement. <br /><br />A SUIVRE<br /><br />Amicalement, à bientôt.<br />Mlle P...ment vôtre.<br /><br />Louis3901<br />gallie050753@yahoo.frAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-28942576030872394252012-10-10T13:17:01.497+02:002012-10-10T13:17:01.497+02:00A L'ECOLE : NON EXEMPT DE FESSEES / 7 E PARTIE...A L'ECOLE : NON EXEMPT DE FESSEES / 7 E PARTIE<br /><br />Puis la maîtresse enchaina : "Allez, Louis, approche ! Après m'être bien amusée, moi aussi, avec Julien, je vais m'amuser avec toi. Viens ici, dépêche-toi !" Je n'avais plus le choix, je ne pouvais qu'obtempérer. "Quant à toi, mon petit Louis, continua Mlle P..., après mes deux avertissements de ce matin dont visiblement tu n'as pas tenu compte, j'ai l'intention de m'amuser encore davantage, alors on va passer à la vitesse supérieure !" Je compris vite les allusions ironiques de la maîtresse, je me mis à pleurnicher, sachant parfaitement ce qui m'attendait. J'étais debout face à elle, toujours assise. Elle commença à dégrafer mon short (bretelles de devant, boutons, braguette) et me fit basculer sur ses genoux. Encore quelques secondes de répit, je sentis la main de la maîtresse dégrafer les bretelles de derrière et tirer énergiquement sur le short. Je pleurnichais encore un peu plus fort, en criant : "Non, Madame... non... non..." Les quelques secondes supplémentaires de "préliminaires", je m'en serais bien passé. La main droite, toujours aussi ferme, de Mlle P... tira sur mon slip blanc de coton, dévoilant à toute la classe un petit derrière tout aussi blanc, mais plus pour très longtemps. Ce geste punitif de la maîtresse fut accompagné de quelques cris moqueurs et éclats de rires. Mlle P... coupa court et enraya l'euphorie aussitôt, elle avait constaté que cette réaction moqueuse émanaient des petits élèves de CP : "Ah non ! cria-t-elle. Je ne veux pas de ça. Mes élèves savent très bien ce qu'il en coûte de se moquer d'un camarade puni. J'ai vu plusieurs petits du cours préparatoire crier. Je vous préviens, les enfants, si j'en vois ou si j'en entends encore un crier ou rire pendant la fessée de votre camarade Louis, juste après, il prendra sa place ici même. Vous voilà prévenus !" <br /><br />A SUIVRE<br /><br />Louis3901<br />gallie050753@yahoo.frAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-40360305657329622522012-10-10T12:51:17.201+02:002012-10-10T12:51:17.201+02:00A L'ECOLE : NON EXEMPT DE FESSEES / 6 E PARTIE...A L'ECOLE : NON EXEMPT DE FESSEES / 6 E PARTIE<br /><br />Mlle P... prit Julien par la main et lui fit faire les trois ou quatre mètres qui les séparaient de la "chaise à sanctions". Elle prit place sur cette chaise et fit basculer Julien sur ses genoux (contrairement à maman, cette position classique, que vous connaissez bien, chère Christine, était la position "favorite" de Mlle P..., sauf à l'extérieur, dans la cour de récréation par exemple, lorsqu'elle n'avait rien pour s'asseoir). Elle commença son expédition punitive, composée d'une rafale de claques, tantôt sur le short de Julien, tantôt sur le haut des cuisses. Julien hurlait de douleur, suppliait Mlle P... d'arrêter, disant qu'il avait trop mal, qu'il ne recommencerait plus... Bref, les supplications habituelles.<br /><br />Pour ma part, j'attendais mon tour, c'était très dur. Une ou deux fois,je ne pus m'empêcher de regarder vers la classe, la plupart des visages de mes camarades étaient radieux, ils ne rataient rien du spectacle. Je vis juste les regards de deux ou trois petits du CP, qui eux non plus n'en perdaient pas une miette : certains semblaient un peu angoissés devant une telle scène punitive, sans doute parce que non habitués avec leur propre maîtresse ; d'autres avaient les yeux pétillants, visiblement ravis de voir un "grand" se faire ainsi corriger. Je ne regardai la classe que très peu de temps, sachant pertinemment que ma situation ne serait guère meilleure d'ici quelques instants.<br /><br />Quand la fessée fut enfin terminée, la maîtresse releva Julien et lui ordonna de retourner à sa place, en lui précisant qu'il devait désormais se tenir tranquille, faute de quoi "on pouvait recommencer". Julien rejoignit son pupitre en pleurs. <br /><br />A SUIVRE<br /><br />Louis3901<br />gallie050753@yahoo.frAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-37269207411016108962012-10-10T12:28:37.640+02:002012-10-10T12:28:37.640+02:00Bonjour Christine.
A L'ECOLE : NON EXEMPT DE ...Bonjour Christine.<br /><br />A L'ECOLE : NON EXEMPT DE FESSEES / 5 E PARTIE<br /><br />Quelques minutes avant la sortie pour pause déjeuner, je me suis à nouveau fait prendre par la maîtresse, qui m'avait à l'oeil (j'aurais donc dû me méfier !) : j'étais en train de rire avec Julien.<br /><br />"Bon, ça suffit, dit la maîtresse. Louis, viens ici... je t'avais prévenu ! Et Julien aussi, d'ailleurs." Julien et moi nous sommes regardés brièvement, conscients de notre bêtise, mais c'était trop tard. Nous arrivâmes près du bureau de la maîtresse, qui venait de prendre la chaise qui se trouvait dans un coin de l'estrade pour la placer au beau milieu de cet estrade. Nous avions compris, Julien et moi, la signification de l'action de Mlle P..., car il s'agissait presque d'une "chaise spéciale fessées".<br /><br />"Vous vous amusiez bien tous les deux, dit la maîtresse, en tout cas, ça rigolait bien. Qu'est-ce qui vous faisait rire comme ça?" Ni Julien ni moi-même n'apportions une réponse. Nous restions muets. Je sentais mes joues chaudes et sans doute bien rouges, seulement les joues pour l'instant. "Allez, j'attends, enchaîna Mlle P... Julien, ça avait l'air vraiment drôle ?... Louis, peux-tu me dire ce qui vous faisait rire à ce point ? - Je sais pas, Madame, répondis-je du bout des lèvres. - Tu ne sais pas ? Mais ce n'est pas grave ! répondit la maîtresse. Moi, ce que je sais, c'est que j'ai envie de m'amuser aussi, et vous devinez de quelle façon ? Allez, on commence par toi, Julien, je vais t'apprendre à ne pas écouter en classe !"<br /><br />A SUIVRE<br /><br />Louis3901<br />gallie050753@yahoo.frAnonymousnoreply@blogger.com