lundi 18 avril 2011

Sauvée par le gong... hélas non !

J'avais eu le tort de répondre à Maman, qui plus est devant mes soeurs, pour une histoire de permission de sortie dépassée. J'étais revenue une heure plus tard que prévu de chez une copine et cela avait décalé le programme de Maman qui m'attendait pour aller chercher les petites au cours de danse et faire une course ensuite.
J'avais eu droit à un début de sermon maison, et l'annonce que je ne pourrais pas retourner le lendemain chez ma copine.
J'étais vexée et quand Maman a réabordé le sujet le soir avant le dîner, je me suis plainte, j'ai dit que ce n'était pas juste et, comme Maman tenait bon, j'ai répondu devant mes soeurs, en disant que je m'en fichais.
Réaction idiote, car Maman devant mes soeurs ne pouvait que sévir : "Eh bien Christine, puisque tu t'en fiches, j'ai un autre moyen que tu vas mieux comprendre. On réglera cela après le diner, ma chérie, et tu peux déjà préparer tes fesses..."
Je n'ai pas voulu protester pour aggraver mon cas. Elle aurait été capable de me régler mon compte sur le champ.
J'ai donc dû subir les regards de mes soeurs, et attendre la fin du dîner, pour être envoyée "me mettre en pyjama... et attendre" Maman !
J'avais une trouille carabinée, et je guettais les pas dans l'escalier et le couloir, sachant que mon heure approchait.
Maman me laissa mijoter un long moment, jouant certainement sur mes nerfs volontairement.
Comme il n'y avait pas école le lendemain, mes soeurs eurent la permission de lire un peu, Maman précisant qu'elle allait revenir "une fois" qu'elle se serait "occupée de Christine".
Elle entra dans ma chambre, en referma la porte et je tentai de la supplier de me pardonner. La discussion se prolongea, Maman m'expliquant qu'elle ne pouvait admettre l'effronterie, et que si je me fichais des privations de sortie, "une bonne fessée serait plus efficace".
Elle m'attrapa et me bascula en position



Et son sermon s'acheva alors qu'elle s'était assise au milieu de mon lit, et qu'elle m'ttira par le bras pour m'alonger en travers de ses genoux. "Maman, non, je ne veux pas, non".
Je tentai de me dégager, de gigoter des pieds, mais elle me ceinturait parfaitement, et elle s'ataqua à mon pantalon de pyjama pour dégager ma lune...
Je sentis l'étoffe descendre et la "cible" de mes fesses se dévoiler. J'allais récolter une déculottée maison ! Mais...
Mais, à ce moment précis, on entendit comme un fracas, suivi d'un cri d'Aline. Elle était tombée à la renverse en se balançant sur sa chaise, peut-être aidée par Diane, mais l'incident fit sursauter Maman qui me relâcha et se précipita dans la chambre des petites.

Je ne savais pas quoi faire, espérant le miracle...


Maman m'avait laissée en plan, et je me suis rassise sur mon lit, en me disant que je l'avais échappée belle... Je ne savais pas quoi faire, espérant le miracle, puisqu'il y avait plus urgent que ma fessée à régler dans la maison.
J'écoutais ce qui se passait à côté. Maman criait et j'entendis clairement une distribution de gifles, où les deux eurent leur part, Aline et Diane s'accusant l'une l'autre d'être la responsable de la chute.
Aline se plaignait d'un poignet tordu et douloureux, mais Maman ne rentra pas dans le cinéma de ma soeur et dit qu'on verrait le lendemain matin, et que puisqu'elles n'étaient pas capables de lire tranquillement, mes soeurs allaient devoir se coucher tout de suite.
Maman surveilla la manoeuvre, les borda, ferma les volets, et éteint leur lumière avant de leur faire une bise rapide, avec menace de revenir si elle entendait le moindre bruit...
Entendant Maman dire qu'il était l'heure de se coucher, je me suis réfugiée sous mes draps, jouant les filles sages qui ont envie de dormir...
Maman était redescendue, je ne sais pour quoi faire, et je savourai cet espoir. J'allais échapper à ma fessée...
Hélas, cinq minutes plus tard, ses pas retentirent à nouveau dans l'escalier. Elle jeta un oeil dans la chambre des petites qui ne pipaient mot, puis elle se dirigea vers ma chambre...
Je lisais mon manuel d'histoire à la lumière de ma lampe de chevet pour me donner bonne contenance...
Maman s'exclama : "Tu es déjà au lit, Christine. Et tu révises tes cours, c'est bien... Mais, tu t'es couchée un peu vite, je crois ma fille... Nous n'avions pas terminé notre "petite discussion", je crois..."
Je plaidai : "Maman, non, ce n'est pas la peine, j'ai compris, je te promets de ne plus te répondre mal, tu verras je serai sage..."
Elle rétorqua très calme : "Oui, mais ce n'est pas toi qui commande, Christine. Tu as été insolente et effrontée. Il faut en subir les conséquences... Allez, sors de ces draps, et en vitesse..."
Elle m'a tirée du lit, et je me suis relevée, me reculant de plusieurs pas alors qu'elle se rasseyait à la position de tout à l'heure...
Elle tapota sur ses genoux en m'intimant l'ordre de venir. Je sentis à son ton que les frasques de mes soeurs n'avaient pas arrangé mes affaires. Maman était encore plus en colère que lors de sa précédente venue. Mieux valait ne pas résister...

Je suis venue m'allonger à nouveau, où j'étais vingt minutes plus tôt...


En sanglotant, je suis venue à sa droite et elle m'a basculée à nouveau, là même où je me trouvais vingt minutes plus tôt...
 Je chignais et suppliais avec de gros sanglots, mais pour rien : "Garde donc tes larmes, Christine, tu vas en avoir besoin bientôt", ironisa-t-elle, moins disposée à discuter que plus tôt dans la soirée.
Je cherchai à l'empêcher de baisser à nouveau mon pantalon de pyjama. Elle claqua la main qui serrait l'élastique, mais je suppliais de ne pas être déculottée...
Elle haussa le ton : "Ne dis pas n'importe quoi, Christine. Je t'avais déjà baissé ta culotte tout à l'heure. Lâche cette main ou tu vas vraiment le regretter..."
Elle avait parlé fort et je me rendis compte que mes soeurs avaient sûrement capté ses mots, et appris que leur grande soeur allait se faire déculotter une deuxième fois...
J'eus l'impression qu'elles étaient comme dans la pièce, alors que la porte était une nouvelle fois bien close.
Ce sentiment de honte, la certitude que je n'y échapperais pas ont fait que j'ai relâché ma main, laissant Maman dégager à nouveau ma lune largement...
Elle s'arrêta comme satisfaite, le temps de glisser. "Eh bien, Christine, nous revoilà au point où nous en étions tout à l'heure... Je ne vais pas te faire languir plus longtemps... Désolée pour ce contretemps mais tu n'as rien perdu pour attendre. Maman t'avait promis une bonne fessée, la voici, ma chérie, la voici..."

 La tannée tomba drue. Encore plus énervée par sa petite famille qui multipliait les bêtises, Maman me flanqua une déculottée maison, longue et appliquée, une claquée qui rougit à l'écarlate mes fesses qui venaient de subir par deux fois à quelques minutes d'intervalle, l'horrible frisson de la déculottée...



Elle me laissa pantelante et je m'affalai sur mon lit, alors qu'elle quitta ma chambre. Ma main effleurait mon épiderme endolori, sentait la chaleur de cette fessée hélas méritée. Je restai ainsi quelques minutes, encore déculottée... Avant de remonter vite fait mon pyjama en entendant le pas de Maman qui venait simplement vérifier que tout le monde était bien au lit. Mais, dans ma tête, un instant, j'ai eu comme une peur idiote qu'elle rentre à nouveau pour me remettre une nouvelle fois sur ses genoux. C'était stupide, mais dans une soirée à double déculottée, je pouvais craindre n'importe quoi...
FIN

3 commentaires:

  1. Bonjour Christine.

    J'ai souvenir, moi aussi, d'une "interruption de séance". Maman était en train de me donner une bonne fessée non déculottée, sur le short et le haut des cuisses, quand la sonnette retentit. C'était notre voisine, Mme W... Moi aussi, je crus sur le moment avoir échappé à une grosse fessée. Erreur : quand Mme W... fut repartie, maman me dit : "Mon petit Louis, viens ici, je n'avais pas fini, tout à l'heure. - Non, maman, non, je ne recommencerai plus, promis, maman", protestai-je. Comme pour vous, Christine, je retrouvai ma position de tout-à-l'heure (toujours la position "favorite" de maman : courbé sous son bras gauche, puis soulevé à l'horizontale). Maman me dit : "Tu n'auras rien perdu pour attendre", puis ajouta : "La fessée déculottée !" et joignit le geste à la parole en baissant mon short (tenu par un simple élastique à ma taille). Je commençai à pleurer très fort et recevant mes trois ou quatre premières claques. Maman s'écria : "Tais-toi, ou je t'en colle le double !" J'essayais de me retenir, mais maman me dit : "Allez, le slip aussi, y'a pas de raison !" Je me retrouvais les fesses à l'air, et la fessée longue et cuisante retentit dans toute la maison, au milieu de mes cris et mes pleurs, que je n'avais pu retenir qu'un temps.

    Comme vous, chère Christine, je pensais que la visite de Mme W... allait me tirer de ce mauvais pas. Non seulement ce ne fut pas le cas, mais je crois que cette coupure imprévue m'a même valu une déculottée, qui apparemment n'était pas "programmée" par maman au départ. "Et encore, me dit maman, si ça avait été Mme M... (une voisine que nous connaisions très bien), ou tata Marie-Jeanne, c'est devant elles que je t'aurais déculotté, je n'aurais pas attendu qu'elles partent.

    Comme quoi, les "interruptions de séances", ça n'avait pas que du bon, c'était parfois reculer pour mieux sauter !

    Amicalement.
    Fesseusement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  2. Ou reculer pour ensuite mieux avancer... vers les genoux maternels !

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  3. très joli récit Christine
    luke

    http://passionsfessees.blogspot.com

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