jeudi 16 septembre 2010

Quand la pudeur donne des frissons (2)

SUITE...
La chair de poule, je l'avais bien. Oui, je frissonnais en rentrant dans l'appartement. Et cette réaction m'étonnait tellement ma peau était hérissée.
Mais, c'est la menace de Maman, la petite phrase qui avait fait tilt...  
"Allez, Christine, rentre. Tu sais bien que tu vas l'avoir ta fessée... Je compte jusqu'à trois... Rentre ou bien, je te la donne sur le balcon. Tu ne veux pas que je te baisse ta culotte devant tout le monde quand même ?" 
Le tout le monde, c'était le voisinage, ceux qui avaient vue sur notre balcon ou qui, du moins en étaient proches et pouvaient entendre les menaces de Maman.
A cette heure-là, chacun était rentré dans la résidence et il y avait du monde au balcon. D'ailleurs d'où j'étais assise, je voyais le balcon de l'appartement voisin, avec ces deux dames que nous croisions souvent.
Celle qui était le plus proche s'était redressée de son siège où elle lisait et semblait tendre l'oreille. Sa vue, sa présence, étaient à l'origine d'une part de ma réaction...

La voisine s'était redressée et tendait l'oreille


En d'autres circonstances, j'aurais encore trainé les pieds, j'aurais cherché à gagner du temps, quelques poignées de secondes, mais d'imaginer que la voisine, voire une part de la résidence, avait compris ce qui se tramait, provoquait une sensation de honte indicible...
Maman, quand elle comptait jusqu'à trois, avait plutôt l'habitude de passer par une longue pause entre chaque chiffre. Et même d'ajouter "deux et demi" pour montrer l'imminence de l'accroissement de sa colère tout en sachant que la punie obéirait au final...
Là, Maman n'avais pas encore dit "deux" que j'étais déjà debout et que je rentrais dans l'appartement. Et j'en refermais la baie vitrée derrière moi alors qu'elle demeurait bien souvent ouverte jusqu'aux premières fraicheurs de la soirée...

J'ai refermé la baie vitrée derrière moi


Maman sourit en me voyant faire : "Oui, c'est bien, ferme la fenêtre. On sera plus tranquilles entre nous. Je comprends que tu ne veuilles pas ameuter tout le quartier. Parce que ça va claquer sur tes fesses, tu peux me croire, Christine..."
Elle disait cela en enlevant une pile de linge qu'elle venait de repasser et qui se trouvait sur le coin du canapé convertible. Je comprenais que c'est là qu'elle allait s'asseoir... me faire venir...
C'est alors qu'un bruit vint du balcon. Diane était restée dehors. Je l'aurais volontiers laissée de l'autre côté de la baie vitrée, mais Maman se dirigea vers le balcon et ouvrit à ma soeur qui rejoint Aline qui lisait sur la table du coin cuisine.

Diane était restée dehors

"Et que je ne vous entende pas vous chamailler, les filles. J'ai assez à faire avec votre soeur", lança Maman aux petites qui n'avaient aucunement l'envie de se faire remarquer, heureuses qu'elles étaient d'être aux premières loges de la punition de leur ainée...
Maman n'avait repoussé qu'aux deux-tiers la baie vitrée. Je le fis remarquer : "Maman, c'est ouvert, dis, on va nous entendre..."
Je chignais et elle consentit quand même à refermer la baie entièrement, non sans commenter : "Si Mademoiselle a honte de recevoir la fessée, elle n'a qu'à commencer par ne plus la mériter..."
Elle s'était assise et me désignait ses genoux : "Allez, assez discuté, viens ici, Christine..."
La porte refermée, malgré la présence de mes soeurs, je me sentais moins honteuse et un instinct de résistance me fit reculer au lieu de venir vers elle.
La manoeuvre ne laissa pas Maman sans réaction. Elle se releva et s'avança vers la baie vitrée : "Christine, tu obéis immédiatement ou je rouvre la fenêtre..."
Je poussai un cri : "Non, Maman, non" et je me rapprochai d'elle en disant : "Je viens, je viens, oui, Maman, oui."

Elle me prit par la main et je la suivis


 "Ah, voilà qui est plus raisonnable", commenta Maman. Elle me prit par la main et je la suivis, docile comme un agneau. Je n'avais plus une once de résistance, et lorsqu'elle s'assit au coin du canapé convertible, je la laissai me basculer en travers de ses cuisses comme un paquet de chiffons.
Elle remonta ma robe, dégagea ma culotte, puis la fit glisser jusqu'en bas de mes cuisses, dévoilant pleinement ma lune. Je ne protestais même pas, gigotant à peine, ne murmurant que des petits "Non" presque inaudibles..
En regardant à droite, il y avait les visages de mes soeurs qui contemplaient la scène, mais je voyais aussi la baie vitrée bien fermée et j'étais presque rassurée...
J'avais tellement eu peur d'être déculottée devant la résidence que je prenais cette fessée entre quatre murs comme un soulagement...

Je pleurais à chaudes larmes sans presque gigoter


Mon acceptation involontaire offrait ainsi mon bas du dos à la dextre maternelle dans des conditions optimales. Maman en profita pour me donner une fessée longue et très appliquée, un modèle du genre, qui finit quand même par me faire pousser quelques cris. Après une série de claques plus forte qu'une autre, je criai même un instant : "Aie, aie, aie, arrête Maman ouille, pas la fessée, plus la fessée".
Maman reprit son souffle et commenta : "Crie encore plus fort et tout l'immeuble entendra, ma chérie, que tu reçois la fessée, la bonne fessée bien méritée"
Cela me ramena à la raison. Je me mordis les lèvres et étouffai mes sanglots la tête dans le couvre-lit du canapé.
Ma lune était écarlate et Maman acheva son oeuvre correctrice par une longue, longue, longue série de claques bien sonores et brulantes. "Ah, tu l'as bien cherchée, celle-là, Christine... J'espère qu'elle t'ôtera l'envie de recommencer".
Je me relevai et je filai pleurer longuement dans notre chambre pendant que Maman préparait le dîner. Il n'y eut guère de commentaires durant la soirée, si ce ne sont quelques allusions à destination de mes soeurs pour leur dire que si elles "cherchaient" les ennuis à leur tour, elles savaient ce qu'elles risquaient.
Mais, je ne relevai aucune des allusions, j'étais épuisée et n'avais qu'un souhait, celui d'aller dormir pour oublier cette fin de journée agitée pour mon bas du dos... Et pour mes nerfs...
J'ai dormi comme un loir et me suis réveillée presque guillerette. Un autre jour commençait et je voulais oublier tout.
 
 Le petit geste de la voisine me fit rougir à nouveau


Ce sont mes soeurs qui se retrouvaient dans le collimateur maternel et je savais que je serais tranquille, sauf surprise.
Le souvenir de ma fessée restait quand même dans ma mémoire, et il se rappela en fin de matinée, lorsque je fis quelques pas sur la plage à la recherche de coquillages. J'arrivai à côté de nos deux voisines de balcon qui bronzaient.
"Tiens, c'est la grande fille de Mme Spaak", lança l'une, alors que l'autre se retourna vers moi en souriant :  "Alors, ma pauvre chérie, on fait des misères à sa Maman. J'ai entendu qu'elle avait réglé ses comptes... J'espère que tu n'as pas trop mal aux fesses".
Et elle éclata de rire alors que son amie lui tapota le fond du maillot en riant à son tour : "Allez, arête de l'embêter, tu vois bien qu'elle rougit... C'est la vie. Et puis une bonne fessée, cela ne fait pas de mal quand elle est bien méritée..."
Je m'éloignai sans répondre. J'avais les larmes qui remontaient aux yeux. Je sentais leur regard dans mon dos et j'éprouvais à nouveau comme un frisson, comme si j'avais la chair de poule...

 

13 commentaires:

  1. Bonjour Christine,
    Ne soyez pas découragée. C'est vrai que je ne suis pas bavard du tout, mais je vous assure que j'apprécie tout particulièrement vos deux derniers récits sur votre pudeur blessée.
    Bien amicalement

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  2. Recit terriblement vrai et je comprends votre honte le lendemain matin Christine,devant ces voisines au courant de votre somptueuse fessee!!
    Comme je l'ai deja dit,ma mère par pudeur utilisait un martinet et fouettait mes cuisses,je devais toujours relever ma jupe pour cela.Et pour moi c'etait la honte si des voisins,comme c'est le cas ici pour vous,etaient au courant de ma correction car les lanieres laissaient des traces visibles un bon moment;si je devais aller dehors j'essayais de descendre ma jupe le plus possible mais en vain et on voyait bien ce qui m'etait arrive.Donc tres souvent j'ai eu droit aux memes commentaires que vous,et pour ma mère cela faisait partie de la puunition.
    Encore merci Christine pour ces si beaux et emouvants recits qui me replongent moi aussi dans ma jeunesse:en effet le martinet servit jusqu'a mes seize ans environ,toujours de facon justifiee.

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  3. Chère Christine,
    Voilà une fois encore un récit bien marqué du sceau de votre griffe. Je vous félicite, vous avez charmé mes impressions d'avide lecteur.
    Tous les ingrédients conférant à vos souvenirs cette saveur si particulière sont présents.
    D'abord par cette place accordée au détail. Ici en l'occurrence, l'évocation du rythme par lequel Maman Spaak compte jusqu'à trois avant de se fâcher sérieusement, connotant de la part de la narratrice une expérience pointue en la matière ! Ou encore le commentaire bien ajusté de la mère, parfaitement au courant du trouble ressenti par son aînée, et ravalant la grande Christine au rang de petite fille punie : "Si Mademoiselle a honte de recevoir la fessée, elle n'a qu'à commencer par ne plus la mériter..."
    Ensuite par le jeu des péripéties, ici avec celle de Diane cherchant à rentrer, rouvrant par son passage la fatidique porte vitrée.
    Enfin par la modulation du thème central, ici la honte ressentie par Christine à l'idée que de tierces personnes puissent être mises au courant de ce qui l'attend. C'est la voisine qui hausse la tête, la porte vitrée fermée, rouverte, refermée, menacée d'être rouverte par une maman qui a très bien compris quel parti elle peut tirer de l'humiliation publique fortement crainte par Christine, et sur laquelle elle joue afin d'asseoir son autorité, et c'est le questionnement final des deux dames, confirmant à la punie ses craintes : elles connaissent parfaitement le châtiment qu'elle vient de subir. Il ne lui reste plus qu'à s'éloigner, le rouge aux joues.
    Je me permettrai un seul bémol, mais qui d'après moi peut s'appliquer à l'ensemble de votre production. Si les détails abondent concernant la psychologie de Christine, l'ambiance, les préparatifs de la correction, ses détails (main qui claque, fesses qui rougissent, sermons, protestations, supplications) et ses conséquences (pleurs, moqueries), je trouve que vous escamotez un peu systématiquement la DOULEUR ressentie par votre héroïne. En effet, comment se manifeste la souffrance physique qu'elle ressent ? En quoi exactement, la fessée "fait mal" et par-là même invite la patiente à ne plus recommencer ? Est-il possible que vous nous fassiez plus cliniquement part de votre expérience, et que vous décriviez au néophyte le ressenti "technique" d'une bonne fessée ? Voilà un thème, à mon goût un peu négligé jusqu'alors, qui pourrait donner lieu à d'intéressants développements.
    J'attends avec impatience le prochain chapitre qui poursuivra votre riche épopée et vous salue amicalement.
    Mardohl

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  4. Chère Christine,

    Je visitais autrefois votre blog, que je retrouve aujourd’hui après une longue absence. Quel plaisir ! Vous écrivez avec une élégance qui se perd, avec sensibilité et tact sur un sujet difficile, et vos photos sont choisies avec goût, quand on en trouve ailleurs de si vulgaires.

    Pourquoi alors vous avoir délaissée ?

    Il me semblait que la narration des fessées devenait répétitive. La variété des motifs, les changements de lieu d’exécution, conduisaient toujours au même rituel : Christine en travers des genoux maternels, le derrière nu, exposé à la rude main correctrice. Mais voici qu’un élément nouveau apparaît. Le cercle s’agrandit. A côté de vous et votre mère, et vos jeunes sœurs figurantes, des voisins entrent en scène. D’autres acteurs/actrices encore, peut-être, qui feront naître en vous des émotions troublantes. Les conséquences sur vos punitions vont être passionnantes à suivre – si vous nous en offrez le récit.

    Votre mère arrive à une situation que bien d’autres ont connue. La fille devient grande. La fessée n’est plus dissuasive (à preuve, le fait que Christine en reçoive tant). Il faut, soit augmenter l’impact physique par l’usage d’instruments, comme la badine, la ceinture, la brosse à cheveux…, soit intensifier l’effet psychologique, par la gêne, l’embarras et les petites mortifications. Attentive comme toutes les mères, Madame Spaak a bien perçu votre pudeur ; une réticence, toute normale à l’âge de Christine, au moment où vous devez être dénudée ; le rouge aux joues quand on ricane de votre rouge aux fesses ; et votre humiliation d’être punie devant vos sœurs. Votre mère sait maintenant quoi faire pour vous corriger plus efficacement.

    Reverra-t-on votre tante, cette fois spectatrice attentive d’une déculottée salée ? une amie de votre mère l’encourager dans ses œuvres ? une maîtresse de votre lycée, prompte à recommander un châtiment corporel et ravie de constater son application ? la voisine que vous détestez, mais qui sera présente à vos fessées, et dont vous devrez subir les propos narquois le lendemain ? une cousine à vous, à peine plus âgée, qui fait hypocritement semblant de vous plaindre pour seulement renforcer votre gêne ? Vous complèterez si vous voulez ; c’est votre histoire, et vous avez plus d’imagination que moi.

    Chère Christine, vous savez admirablement décrire les émotions d’une jeune fille au moment de la punition. Vous les avez vécus. Vous avez le talent pour nous relater maintenant des situations plus complexes, des émotions plus profondes, des corrections plus vives, et j’espère que vous nous offrirez le bonheur de les lire.

    François

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  5. Pour Mardohl,
    Bonne suggestion. Il est vrai que je me suis peu étendue sur la douleur, même si je pense l'avoir évoquée en détail à certains moments, mais peut-être était-ce sur Flickr où une partie de mes confidences a été détruite.
    Je tâcherai donc de parler de ce sujet prochainement.

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  6. Merci François de ces suggestions.
    Patience, ma tante Jacqueline n'a pas disparu et les voisines, ni les camarades de ma classe ou de celles de mes soeurs vont bien réapparaître au détour d'autres récits. Surtout si vous y tenez particulièrement et le demandez ainsi gentiment et avec de beaux arguments.
    Cela fait plaisir de se savoir lu par un lectorat réactif.
    Merci encore.
    Amitiés.
    Christine

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  7. Comme le dit Francois l'usage d'instruments peut augmenter l'impact de la fessee et si il^parle de badine ou autre brosse a cheveux pourquoi ne pas inclure un bon vieux martinet familial?Objet tres usite jadis et tres infantilisant surtout si sa presence est visible,donc connue,de toutes les personnes frequentant la maison,depuis la voisine jusqu'a la copine de classe en passant par la grande soeur de cette copine:"oh tu recois encore le martinet a ton age?"c'est bien plus humiliant de repondre oui que de recevoir une fessee qui n'est pas toujours connue du reste de l'entourage.Votre mere ne vous a jamais menacee d'en acheter un chere Christine?A la maison ma mere ne faisait pas mystere de son utilisation et je piquais un fard aussi important que vous quaand vous saviez que vos voisines avaient entendus votre mere vous menacait d'etre deculottee sur le balcon.
    Merci pour vos recits si vivants.

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  8. j ai beaucoup de plaisir à vous lire . Vous écrivez tres bien et je viens également de lire les commentaires . Je rejoint le souhait de Mardohl qui effectivement voudrait des détails sur la féssée en elle meme . par exemple , combien de temps dure t 'elle ? Est ce que madame Spaak claque une fesse apres l autre ou simultanément les deux en meme temps? Sur toute la surface des fesses ou seulement sur la partie tendre des fesses , c est à dire le bas des fesses ? Combien de claques environs recoit Christine et à quelle rapidité ? Vous qui savez raconter les fessées à la perfection , voila quelques détails suplémentaires que vous pourriez rajouter à vos recits. Aline

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  9. Bonjour Bénédicte,

    Je ne suis pas sûr que le blog de Christine soit le lieu pour discuter des instruments de correction. Mme Spaak n’en utilise pas – ou pas encore. Vous-même mentionnez le ‘bon vieux martinet familial’. C’est vrai qu’il occupe une place dans l’imaginaire français et dans bien des souvenirs, dont les vôtres. Vous demandez pourquoi je ne l’ai pas inclus dans une courte liste de ces auxiliaires d’une bonne punition.

    Ma raison est l’efficacité. Je n’ai jamais subi le martinet, mais je l’ai vu dans ses œuvres. Il m’a paru moins cuisant qu’une main sèche au bout d’un bras athlétique animé par une ferme volonté correctrice (Mme Spaak !). C’était l’avis aussi de la jeune punie ; elle avait pu comparer. Est-ce votre cas ? Vous parlez des cinglées au martinet administrées par votre mère ; elles étaient douloureuses, certes (sinon pourquoi les donner ?), je compatis (enfin, un petit peu ;-), mais je me demande si la douleur était aussi vive que celles qu’eut provoquée un de ces accessoires qu’on trouve dans toutes les bonnes maisons et leur jardin : une badine, une solide cuillère en bois, une large spatule, une ceinture, un fil électrique doublé, voire des orties, qui peuvent servir d’utiles compléments. Je ne veux pas entrer dans plus de détails. Le sujet est délicat. Il réclame beaucoup de discernement de la part d’une mère qui élève une grande fille. Comme on dit, le but est de faire mal ; il n’est jamais de faire du mal.

    Vous nous donnez, cependant, un robuste argument en faveur du martinet. Tous les instruments que j’ai cités ne servent qu’accessoirement à la fessée. Votre prof’, vos cousines, les voisines en visite ne soupçonnent pas (supposons) que la règle plate sur votre bureau a bien des fois laissé son empreinte sur la peau nue au bas de votre dos. Mais pas le martinet. Il est à usage unique. Suspendu bien en vue dans votre chambre, il est un rappel à la discipline ; accroché dans la cuisine ou l’entrée de la maison, il annonce à tout un chacun : ‘Ici, je fais régner l’ordre’.

    Bonne journée
    François

    PS 1 j’espère que Christine ne me tiendra pas rigueur de ce long message, un peu hors de propos

    PS 2 habitez-vous un pays anglo-saxon, Bénédicte, où les claviers ne comportent pas d’accents ? je suis exilé moi-même dans un de ces pays (mais j’ai acheté mon ordinateur en Suisse)

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  10. Bonjour Christine,permettez moi de répondre a Francois:vous avez tout a fait raison,une fessee manuelle peut etre plus cuisantes que quelques coups de martinet donnes"a la volée"mais sa presence montre a tous(y compris au beneficiaire)qu'ici on est corrigee!et c'est la l'interet car meme sans punitions tout le monde sait que ca peut tomber,a l'inverse Christine apres une solide fessee sa culotte remontee et sa jupe retombee personne ne peut le deviner.Ma mere estimait que de savoir que j'etais fouettée etait deja une punition,et avec le recul elle avait tout a fait raison
    Bonjour a vous Christine et Francois

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  11. STOP !!! Merci Bénédicte (avec ou sans accents). On a compris que votre Maman utilisait le martinet. La mienne, non. Point final.
    Pour moi, la "fouettée" (terme que vous employez) et la fessée n'ont rien à voir. Les marques sont des blessures, les imaginer sur des enfants ou ados me semble déplacé, voire relever du pénal.
    Oui, cela a existé et existe sûrement encore, mais je ne le cautionne nullement. Je n'ai pas envie d'en discuter. Il y a foule de sites, de blogs aux tendances sado-maso pour développer ces sujets entre personnes les admettant. Mais, de grâce, pas ici !

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  12. Bonjour, Christine,

    surtout ne changez rien et continuez à me régaler de vos histoires de fessées douces-amères, de fessées cuisantes et honteuses mais pas brutales. Je pense comme vous : la main (et j'ajoute pour mon goût personnel la main féminine) est l'instrument le plus approprié pour faire rougir la peau des fesses. C'est certainement dû à mon vécu : j'ai reçu la fessée, maintes et maintes fois, et autant l'expérience sur le moment me semblait cuisante et humiliante, bref, à éviter à tout prix, autant le souvenir m'en est doux...
    Je ne me lasse pas de me remémorer mes fessées, et lire le récit des vôtres est pour moi délicieux.
    "la fessée", et rien d'autre.
    à la recherche de la fessée perdue...

    Amicales salutations d'un garçon qui a connu les mêmes émotions. Après tout, les hommes aussi ont des fesses !

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  13. Chère Christine,
    Je comprends que vous vous refusiez à insérer dans vos souvenirs l'utilisation d'un martinet ou d'un instrument de ce genre. Comme vous le précisez bien, de telles pratiques ne relèvent pas de l'esprit de votre blog.
    Néanmoins, et sans vouloir lourdement insister sur cet aspect que vous avez déjà débattu, l'utilisation exceptionnelle d'une brosse à cheveux ou d'une règle en bois, venant sanctionner une faute particulièrement grave, ne me paraît pas non plus totalement déplacée, et pourrait faire l'objet d'un récit à part entière.
    Ceci dit comme de bien entendu, vous procédez à votre guise. J'attends déjà pour l'heure la suite de "La malade imaginaire" dont le dénouement sera je suppose plus dramatique que celui de la (presque) éponyme pièce de Molière.
    Cordialement,
    Mardohl

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