vendredi 23 juillet 2010

Aline marchait devant Maman : Je jubilais (Suite à surprise...)

Aline était partie chigner dans sa chambre, sachant bien qu'elle avait à se tenir à carreau et même à préparer ses fesses...

Je paradais comme une grande avec Maman


Rien ne semblait presser pour Maman, qui savait que ma soeur allait rester tranquille et que la menace d'une fessée imminente était du genre à ramener le calme comme par magie...
Maman attendait de savoir à quelle heure il allait falloir aller rechercher Diane à son goûter avant de s'occuper du cas de ma soeur.
J'en profitais pour essayer de me montrer digne de mon statut de grande. Je suis allée chercher des leçons que je savais et j'ai demandé à Maman de me les faire réciter. Tout allait bien et j'avais l'impression d'être en train de me mettre en valeur, bref de gagner des points en quelque sorte.
Le téléphone sonna. C'était la mère de la copine chez qui Diane était. Tout se passait bien et elle demandait si elle pouvait garder ma soeur à dîner. Ce ne serait pas tard et elle précisait qu'elle la ramènerait ensuite à la maison, évitant de déranger Maman. Elle accepta volontiers et raccrocha assez satisfaite d'avoir ainsi un peu plus de temps devant elle.
"On ne dînera que toutes les trois, Diane reste pour le repas chez sa copine", m'annonça Maman en me demandant d'aller ranger mes affaires et de redescendre mettre la table. Et de préciser : "Je vais m'occuper d'Aline en attendant..."
Mon petit coeur accéléra. Je montai vite fait, croisant Aline, qui descendait à l'appel de Maman en tirant une tête dépitée de trois kilomètres.
Dans ma tête, je jubilais à nouveau. Et comme j'étais seule à la maison en dehors de Maman et Aline, je me suis dit qu'il fallait absolument que j'arrive à assister à la scène qui s'annonçait...
La porte du salon avait été refermée par Aline, mais il y avait moyen de contourner la difficulté, si j'arrivais à me glisser dans la salle à manger attenante au salon et qui était séparée par une double porte à petits carreaux.
Il fallait que je fasse doucement, mais dans la discussion entre Aline et Maman, le ton montait...
Il n'y avait de la lumière que dans le salon et les volets fermés de la salle à manger garantissaient une pénombre relative. J'étais donc dans la position de pouvoir voir sans être vue. Je ne manquais pas une miette de la discussion. Et, comme je l'imaginais, Aline se retrouva au bout du sermon étalée sur les genoux maternels...
Quelques claques sur le short pour calmer Aline qui gigotait fort, et Maman s'attaqua à faire descendre cette ultime protection des fesses de ma soeurette...

Je pouvais voir sans être vue...


C'était trop beau. J'avais l'impression que je me vengeais de tas de moqueries de mes soeurs. Elle recevait une bonne fessée déculottée et cela me mettait en joie... J'étais juste un peu trop placé à droite pour bien voir ses fesses rougir.
Je tentai donc de me rapprocher de la porte vitrée de gauche à pas de loup. Oui, c'était mieux et j'étais aux premières loges. Sans le vouloir, inconsciemment, je rapprochais ma tête de la vitre pour mieux voir encore...
Je me régalais, c'est bête à dire, mais je me régalais. Au point d'en arriver à avoir le nez tout près de la vitre à un moment où Aline remuant sous les claques releva la tête...

Aline s'écria : "Maman, Christine nous regarde..."


Aline se mit à hurler : "Maman, Maman, Christine nous regarde... Là, dans la salle à manger, je l'ai vue..."
Maman arrêta son bras, et se leva précipitamment, laissant Aline à genoux. J'avais entrepris un repli rapide, mais je heurtai une chaise et trahis ma présence. Maman ouvrit la porte vitrée et me vit rampant vers la porte du couloir.
Je m'attendais à ce qu'elle crie. Elle était au contraire calme... "Christine, ce n'est pas la peine de te cacher. Viens ici. Si tu as tellement envie de voir ta soeur recevoir la fessée, eh bien assied toi sur la banquette."
J'étais apeurée, et j'obéis sans broncher, tout en tremblant...
Aline qui avait remonté son short se mit à protester : "Non, Maman, non, pas devant Christine".
Elle la fit taire. "Aline, allez, debout, je ne t'ai pas permis de te rhabiller. Je n'en ai pas fini avec toi..."
Et elle baissa d'un geste vif le short d'Aline, qui dévoila des fesses déjà bien rosies...
Aline n'avait pas le temps d'en dire plus que Maman la basculait à noveau en travers de ses genoux...
 
Elle lui baissa à nouveau short et culotte..


"Allez, reprenons où nous en étions, ma fille... Et puisque nous avons une spectatrice, elle va voir ce que j'appelle une bonne fessée..." Et clac, et clac, et clac, c'était reparti de plus belle...
J'assistais à la scène, très angoissée quand même...


Maman fessait comme elle le faisait parfois pour des punitions exemplaires en présence des unes ou des autres...
Mais, elle en profitait pour me lancer des piques qui ne me disaient rien qui vaille... "Alors, Christine, tu voulais voir la fessée de ta soeur... Pourtant, tu es bien placée pour savoir ce que c'est qu'une bonne fessée de ta maman... Cela ne fait pas si longtemps que tu étais à la place d'Aline, ma grande, non ? C'est à croire que cela te manque..."
La fessée d'Aline s'acheva par une dernière série de claques crépitantes qui la firent crier et supplier.
Voilà, ma chérie, cela t'apprendra à jouer les capricieuses et à faire des grimaces derrière le dos de ta mère... 
En gros sanglots, Aline était descendue des cuisses maternelles et resta un instant à genoux en se frottant ses fesses écarlates. Puis, elle remonta pêle mêle culotte et short pour cacher sa lune rouge...
Elle se relevait et se dirigeait vers la porte pour remonter pleurer dans sa chambre quand Maman l'arrêta : "Attends, Aline".
Ma soeur apeurée sanglota en disant : "Non, non", comme si elle craignait un supplément.
Maman répliqua : "Non, c'est fini, Aline, pour ce qui te concerne..."
En disant cela, elle m'avait fixée droit dans les yeux, et je fis une mine stupéfaite... J'avais hélas compris... 
 
Je fis une mine stupéfaite... mais j'avais compris !..

"Reste-là, Aline. Pendant que je m'occupe de ta soeur... Allez, Christine, viens ici..."
Je protestai : "Maman, non, j'ai été sage, moi. Non, je t'en prie".
Elle rétorqua : "Espionner la fessée de sa soeur, tu appelles ça être sage... Eh bien, il n'y a pas de raison qu'il n'y en ait qu'une qui profite du spectacle... Viens ici, Christine... Et vite !!!"
J'éclatai à mon tour en sanglots en implorant Maman, mais elle me menaça de m'en donner une autre devant Diane quand elle serait rentrée, si je n'obéissais pas immédiatement...
Aline avait presque séché ses larmes et restais là à trois pas de Maman, quand je me levai comme une automate et vins me laisser basculer en position...
"Ah, c'est bien, Christine. Tu sais qu'il faut obéir à sa maman. Alors, voyons donc la couleur de tes fesses", dit-elle d'un ton ironique en descendant ma culotte en bas de mes cuisses...
"Mais, elles sont encore toutes blanches, comme l'étaient celles d'Aline quand tu nous espionnais derrière la porte... Eh bien, il n'y aura pas de jalouses ce soir, et je vais te les rougir aussi." expliqua Maman en commençant à me claquer les fesses.

Je fermais les yeux pour ne pas voir le regard d'Aline


Aline avait le visage qui s'illuminait, prise encore de sanglots, tout en semblant ravie du spectacle.
"Alors, Christine, ce n'est plus pareil dans cette position, hein ? Ah, tu voulais voir la fessée de ta soeur, te voilà gâtée, comblée... Tu étais aux premières loges pour bien voir, et maintenant tu es à la meilleure place pour bien sentir ce que cela fait... Ah, je n'aurais jamais imaginé que cela te manquait à ce point... Tu as profité du spectacle, maintenant c'est au tour d'Aline. Il faut être équitable, tu vois..." commentait Maman en poursuivant sa mission claquante...
Ce n'était pas une fessée d'anthologie. Après la tannée reçue par Aline, son bras devait être fatigué. Mais, c'était surtout une fessée pour l'exemple, où les paroles comptaient autant que les claques. Une façon de faire passer la leçon à moi et à Aline. Et sûrement à Diane à qui tout serait certainement raconté.
Je fermais les yeux pour ne pas voir le regard de ma soeur fixé sur ma mappemonde rougissante. Mais, dans ma tête, me revenaient les images épiées de sa volée à elle. Sauf que, moi qui jubilais depuis le début de l'après-midi dans l'attente que ma soeur reçoive "sa" fessée, j'étais à mon tour, culotte baissée, la lune à l'air.

J'aurais dû me méfier, je m'en voulais, car une heure avant je jouais la grande. Et, à bien y réfléchir, je n'avais qu'à m'en prendre à moi-même. Cette fessée là n'était pas tombée du ciel pour rien. Je ne pouvais accuser personne. A trop vouloir en savoir et en voir, je me l'étais bien et amplement méritée "ma" fessée !

15 commentaires:

  1. Bonjour Christine,

    quelle jolie suite ...
    Ma tendance native au parti pris pour les héros ou héroïnes de récits (ce que vous êtes) m'entraine vers un sentiment d'injustice :
    votre soeur n'était guère charitable avec vous et tentait souvent de vous faire sortir de vos gonds pour vous faire punir...
    et votre maman devait le savoir...
    Donc cette fessée me semble quand même un peu imméritée... d'un autre coté, mon goût pour la fessée façon "malheurs de sophie" qui est un peu le genre de vos récits (je veux dire par là que je ne suis pas très "marquis de sade") ne peut que me faire gouter la saveur d'un récit de "double fessée", où, de plus, "telle est prise celle qui croyait prendre"... dilemne...
    Il n'en reste pas moins que c'est un récit plein de saveur et de légereté.
    On se demande d'ailleurs, à vous lire, si vous n'approchez pas doucement de la fin de vos souvenirs, puisque vous semblez nous dire que vous en receviez moins ces derniers temps... mais je me trompe, peut-être.. je l'espère ! Je prends tant de plaisir à vous lire.

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  2. Ne vous inquiétez pas. Je ne fais pas dans les souvenirs chronologiques. Il y a encore des choses à raconter... Ou à re-disséquer à partir d'impressions, de ressentis, de détails.
    Oui, cette fessée était moins méritée que celle de ma soeur, mais il y avait eu aussi d'autres fois où j'avais réussi à épier les punitions de mes soeurs, comme elles l'avaient fait aussi.
    Maman punissait là sans le savoir d'autres espionnages de ma part qui l'auraient mérité... Et, dans le fond de ma pensée, si je m'en voulais, si je me disais que c'était bien fait pour moi, et que je l'avais méritée, ce n'est pas pour l'avoir fait, mais pour avoir été prise...

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  3. C'est la Sainte Christine... Et personne ne m'a souhaité ma fête sur mon blog... Franchement, après un si joli récit, j'aurais aimé être réconfortée... Snif, snif..

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  4. Je ne suis pas très attentive aux fêtes (je ne regarde pas la météo ...;-))

    Mais faute avouée est à moitiée pardonnée, n'est ce pas ? (hum... je n'en suis pas certaine, en fait... sourire... ) Mais bonne fête à vous, chère Christine ! J'espère que vous avez été bien sage pour faire honneur à la journée de votre sainte patronne !
    Merci pour votre récit de fessée (forfaitaire ;) ). Même si vous en auriez probablement mérité une autre pour votre absence de vrai repentir, tss....
    Et heureuse de savoir que vous continuiez. l'important est que cela vous plaise.

    On vous a d'ailleurs peut-être déjà posé la question, mais j'avoue ne pas me souvenir de tous les commentaires et réponses : vous arrive-t-il encore aujourd'hui de recevoir la fessée, dans le cadre érotique bien sur ?

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  5. désolée de ne pas avoir souhaiter ta fete , il est vrai que je ne suis pas catholique et cela ne pas pas parti de nos coutumes ,( étant juive ) mais je te souhaite , avec un peu de reteard une bonne fete Christine!! Merci pour ton récit , Aline

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  6. Bjr Christine. Dans un de vos commentaires de debut juillet, j ai ete heureux d apprendre que vous aviez recu au moins une fois une fessee maternelle devant tata Jacqueline. A t elle ete temoin d autres distributions de fessees ? Et vos soeurs, ont elles ete parfois aussi fessees devant votre tata ? Et tata, vous en donnait elle de temps en temps ?

    A bientot. Fesseusement votre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  7. Bjr Christine.
    "Tel est pris qui croyait prendre" : ce proverbe pourrait s'appliquer à votre récit de ce 23 juillet.

    Il m'était arrivé une mésaventure similaire. C'était l'année scolaire 1966 / 1967, j'avais 13 ans, ma mère 35 ans.

    Ma cousine Elizabeth (dite Babeth, fille de tata Jeannette, soeur de maman) et mon cousin Patrice (fils de tata Marie-Jeanne, belle-soeur de maman) éprouvaient de grosses difficultés scolaires, ils étaient en CM2, ils avaient 10 ans. Pour les aider à préparer au mieux leur entrée en 6 e, maman, qui ne travaillait pas, proposa de leur donner chaque jeudi après-midi (jour de congé scolaire, à l'époque) des cours d'orthographe, grammaire et mathématiques.

    Maman aurait été une excellente institutrice, car elle expliquait clairement. En revanche, avec les pleins pouvoirs des mamans respectives, elle était aussi ferme avec ses neveu et nièce qu'avec ses enfants : paresse, indiscipline, mauvaise volonté, étourderies répétées étaient sanctionnées par des bonnes fessées.

    Inutile de préciser que, dès que j'entendais maman élever la voix, je m'arrangeais toujours pour entrer dans la salle à manger (la pièce où se déroulaient les cours), en trouvant n'importe quel prétexte, afin d'être témoin d'une distribution de fessée.

    A SUIVRE.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  8. SUITE DE MON RECIT DE CE JOUR - 2 E PARTIE

    Un jour, j'entendis maman s'énerver après Babeth. J'entrai, mine de rien, dans la pièce, maman tira sa nièce de la chaise et s'assit à sa place. Avec la rapidité que je lui connaissais, elle l'allongea sur ses genoux, souleva sa jupe et baissa sa petite culotte blanche. Babeth pouvait s'apprêter à passer un sale quart d'heure. Maman avait déjà distribué plusieurs fessées depuis le début de l'année scolaire. Babeth en était à sa troisième, mais je n'avais encore jamais vu ses petites fesses. Je n'en perdais pas une miette : certes, Babeth n'avait que 10 ans, mais je n'en avais... que 13 ! La première fois, maman avait soulevé sa jupe et tapé au-travers de son slip ; la deuxième fois, Babeth était en pantalon, que maman avait baissé, mais pas la culotte. Contrairement aux deux premières fois, Babeth ne se débattait même plus : elle devait savoir, et j'en parle en connaissance de cause, qu'avec sa tata, c'était peine perdue, que de toute façon elle devait y passer. Elle commença à pleurnicher, pensant sans doute aux durs moments qui l'attendaient. Bref, la mauvaise élève était à peine déculottée, que déjà la magistrale fessée commençait. Babeth ne pleurnichait plus, elle hurlait. Elle qui, au début, nous avait montré, bien malgré elle, un petit derrière aussi blanc que son slip, l'avait maintenant écarlate. Quand la fessée fut terminée, au bout de peut-être 30 ou 40 claques très fortes distribuées à un rythme très rapide, j'étais à la fois angoissé (je me revoyais dans cette situation, déjà vécue à maintes reprises) et satisfait, un peu vicieux sans doute, d'avoir pu admirer la lune rougissante de ma chère petite cousine.

    Mais ma mère me fit part de son mécontentement : "Louis, tu n'as pas à entrer ici à chaque fois que je donne une fessée ! La prochaine fois, tu pourrais, toi aussi, te retrouver déculotté devant tout le monde !"

    J'aimais effectivement assister aux fessées des autres, mais, sachant que maman ne plaisantait pas, je quittai la pièce, et mon air jovial avait sûrement disparu.

    A SUIVRE

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  9. SUITE DE MON RECIT DE CE JOUR - 3 E PARTIE

    Les jeudis suivants, je n'osais plus entrer dans la pièce pendant les cours. Je me contentais d'écouter discrêtement à travers la porte. Mais au bout de quelques semaines, c'était plus fort que moi. J'entrais à nouveau dès qu'il y avait de la fessée dans l'air. Je le fis une fois, puis deux. La troisième me fut fatale.

    Un jour, j'entendis ma mère s'écrirer : "Bon ça suffit, ça commence à bien faire. Attends un peu, tu vas voir ça !" J'entrai dans la pièce : cette fois, c'était Patrice qui s'apprêtait à passer un mauvais moment. Maman obligea mon cousin à se lever et posa un pied sur sa chaise. Puis elle souleva son neveu et l'allongea sur sa cuisse, ainsi surélevée. Patrice était en pantalon, mais ma mère ne jugea pas utile de le déculotter (il avait connu une fois l'humiliation du déculottage, y compris le slip) : tout dépendait de la gravité de la faute de l'enfant, mais aussi de l'humeur de ma fesseuse de mère. Je peux cependant témoigner : avec maman, même l'épaisseur d'un pantalon et d'un slip ne suffisait pas à atténuer complètement la douleur. La preuve : Patrice pleurait très fort ! Imaginez, en proportion, l'intensité d'une fessée cul nu !

    JE VOUS RACONTE LA SUITE TRES BIENTOT

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  10. Bjr Christine. A la fin de l'épisode précédent (3 e partie), ma mère infligeait une magistrale fessée non déculottée à son neveu Patrice (mon cousin). Je peux cependant témoigner : avec maman, même l'épaisseur d'un pantalon et d'un slip ne suffisait pas à atténuer complètement la douleur. La preuve, Patrice pleurait très fort. Imaginez, en proportion, l'intensité d'une fessée cul nu !

    Maman venait à peine de reposer Patrice qu'elle se précipita vers moi. En voyant son visage et son regard noir foudroyant, je compris vite, mais un peu tard, qu'elle allait me faire regretter mon voyeurisme. "Je t'avais pourtant prévenu, me dit-elle. J'en ai assez de te voir narguer tes cousins. Chacun son tour !" Puis elle ajouta : "Les enfants, si vous voulez voir rougir les fesses de votre grand cousin de 13 ans, c'est le moment ou jamais !" Aussitôt dit, aussitôt fait : elle me courba sous son bras gauche et me souleva par la taille, à l'horizontale, à un mètre du sol (rappel : position "préférée" de maman). Rapide comme l'éclair, de sa main droite elle descendit mon pantalon jusqu'à mi-cuisses (j'étais en survêtement). Elle m'administra, sur le postérieur, quatre ou cinq claques particulièrement cinglantes. Puis, la colère montant, et soucieuse sans doute de m'infliger un châtiment exemplaire, elle s'arrêta un court instant et baissa également mon slip blanc de coton, en murmurant : "La fessée... déculottée... devant tes cousins... ça t'apprendra !" Evidemment, elle s'était bien arrangée pour que mes fesses soient tournées vers mes cousins. Je me mis à hurler. Je tentai de me débattre de toutes mes forces, je gigotais un peu, mais j'étais solidement maintenu sous le bras gauche de maman. Je savais pourtant que ça ne servait à rien de résister, que maman aurait le dessus, mais ces moments étaient si redoutables, que je ne pouvais m'empêcher de tenter le tout pour le tout. Impossible, pourtant, de protéger mes fesses avec mes mains, le bras de maman autour de ma taille m'en empêchait. Je tentai alors avec les pieds, en pliant les genoux et en cambrant le dos au maximum. Mais dans cette position, je me fatiguais vite, maman eut rapidement le champ libre et, après cette brève interruption, la cuisante fessée (sans mon slip cette fois) reprit son court. "Maman, je ne recommencerai plus", criai-je en vain. Mais les claquements continuaient de plus belle, rapides, bruyants, résonnants, efficaces, interminables.

    En plus du caractère douloureux et brûlant de la fessée, j'éprouvais la honte de ma vie. Quelques semaines auparavant, je recevais pourtant ma énième magistrale fessée maternelle, pantalon et slip baissés également, mais seul mon frère était témoin, et il ne se moquait pas, car lui aussi avait souvent largement sa part. Et ma dernière fessée en public remontait à deux ou trois ans. C'était donc la première fois, en temps qu'ado, que je subissais une telle humiliation. je pleurais de douleur (mes fesses étaient en feu) et de honte.

    Cette honteuse correction m'avait servi de leçon. Depuis ce jour, plus jamais je ne suis entré dans la salle à manger pendant les cours. Alors, j'essayais de bien écouter pour savoir qui de ma cousine ou de mon cousin était puni. J'essayais également de savoir si maman avait déculotté ou non son neveu ou sa nièce. Pour mon cousin, les claquements au-travers de son pantalon étaient beaucoup plus sourds. En revanche, pour Patrice comme pour Babeth, je ne parvenais jamais à déterminer si maman tapait sur les fesses nues ou au-travers du slip. Pour Patrice (ou Babeth les rares fois où elle était en pantalon), il y avait parfois un petit moment de silence entre les cris de ma mère et les premiers bruits de la fessée : probablement le temps que maman procède à tout le dégraffage.

    A bientôt Christine. Bonnes vacances si vous partez.
    Fesseusement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  11. Merci Louis de toutes ces confidences bien racontées. Cette fessée devait vous faire honte, devant vos cousin et cousine !!!
    Mais elle était méritée, je crois... Et elle a servi de leçon puisque vous vous en rappelez encore...
    Je suis en vacances et reviendrai bientôt pour de nouvelles confidences.
    D'ici là, n'hésitez pas tous à continuer à raconter vos souvenirs ou à commenter mes textes...
    Amitiés.
    Christine

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  12. Bonjour a vous Christine et bonne fin de vacances;a bientot donc pour de nouveaux episodes si bien contes.
    Eh bien je vois que la mere de Louis n'a rien a envier a votre mere:c'etait aussi une talentueuse fesseuse!!!
    Ca me faits penser a ma tante qui elle aussi etait habile et vive pour relever une jupe ou baisser un pantalon quand il le fallait,et pour le deculottage c'etait fait de facon a donner le plus de honte a sa victime!!!Toutefois c'etait toujours en prive et merite.
    Oh comme elle fessait bien pour faire rougir et cuire les fesses des desobeissants ou insolents.
    Puis pour nous calmer nous devions aller au coin en montrant notre lune rougie et apres c'etait le grand pardon et nous devions nous excuser de notre conduite et remercier pour le chatiment!
    Cela finissait sur ces genoux,pour un gros calin et nous ne pouvions pas trop lui en vouloir.
    Amicalement a vous et merci a Louis pour ces souvenirs cuisants.

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  13. a 6ans vers 1960 je jouais avec d autres enfants sur la plage d oostende dans le sable ensuite nous avons joue a nous faire glisser assis sur la digue de l estacade a la plage de sable fin nous etions 4 bambins 2 filles 2 garcons les parents ne dirent rien sauf ma mere qui dit si tu continues ce jeu tu auras une fessee a cul nu j en avais recue une 6 mois plus tot pour quelques gros mots crotte ou sale crotte je crois qui m avait valu 2 claques sonores laissant 2 belles marques sur mes fesses et me faisant ressentir la douleur pendant une heure j arretais le jeu laissant les autres bambins jouer ma mere s absenta une 20 aine de minute je restais avec mon pere et les autres parents mon pere ne disant rien je rejoignis les autres quand ma mere revint elle m apercu et courut vers moi je compris ce qui allait m arriver je courus pleurais elle me rattrapa je la suppliais mais elle me traina vers les autres la mere d un des camarades essaya de la calmer mon pere un poltron ne broncha pas elle m etala dans le sable sur le ventre risquant de casser mes lunettes enleva ma culotte mon slip mes fesses blanches apparurent au soleil devant les autres meduses et choques et elle me flanqua 6 claques magistrales et tres sonores j entends le bruit dans ma memoire 50 ans apres clak clak clak clakclak clak etant en etat de choc je ne sentjis pas directement le mal le bruit des claques resonnait dans mes oreilles ensuite maman remit mon slip ma culotte et dit de me relever la je ressentis la douleur tout me brulait je pleurais maman j ai mal la douleur la honte la lachete du pere je crois que je lui dis les autres peuvent jouer ca t occupe t en veux encore arrete de pleurer ou on rentre a l hotel j avais trop mal je pleurais on rentra a l hotel la ma mere me dit vas dans ton lit elle me deshabilla ety mit mon pyjama en mettant ma culotte de pyjama je vis que mes fesses etaient rouges presque ecarlates je me couchais sur le ventre et m endormis en pleurant en fin d apres midi je mereveillais en m asseyant la douleur revint ma mere arriva et repentante m embrassa et me dit j ai fait ca pour ton bien tu n as plus mal j espere si quand je m assieds mon pete est encore rouge maman elle souleva ma culotte et dit oui attends alors elle partit dans la salle de bain et reveint avec de la creme nivea elle massa mon petit derriere et enduisit de la creme la elle massa si tendrement ce petit derriere qu elle avait frappe si durement 3h avant la douleur fut remplacee par du bien etre je me sentis aime ensuite on alla au resto je pus choisir mon plat des langoustines mon dessert une glace fraise melba papa m offrit un balon et on ren tra je recu plus tard d autres tanees plus douloureuses ou ma mere ne regretta pas son geste

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  14. Je laisse passer ce commentaire, car il semble y avoir de la sincérité dans ces souvenirs. Mais un derrière encore rouge trois heures après six claques, avouez que cela fait sourire...

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  15. Chère Christine,

    Je partage votre sourire, car pour avoir reçu de très bonnes claques sur le haut des cuisses (Maman ou Tata savait les distribuées) avant de connaître ma première vraie fessée, l'empreinte des mains et la rougeur ne persistaient pas aussi longtemps, d'ailleurs la seule fois où j'ai conservé durablement des séquelles encore visibles (après un peu plus d'une heure) et une épiderme très sensible, fût la correction très sévère (mais méritée) que mon père me donnât à l'age de 14 ans.

    Amicalement, Dominique

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