jeudi 10 décembre 2009

Mes ruses de Sioux : surprise en essayant de réparer sa faute... (SUITE)

(Suite du message précédent)

Maman m'avait bien prévenue : "Ah, Christine, tu peux préparer tes fesses..." Le fait d'avoir volé de l'argent dans son porte-monnaie, même si je n'avais été prise qu'en le remettant, était à ses yeux impardonnable. Surtout de la manière dont j'avais ajouté des mensonges répétés en niant farouchement les faits, au risque de faire accuser mes soeurs...
J'imaginais que nous allions avoir une sérieuse "discussion" après le repas, à l'heure du coucher dans ma chambre. Et je ne me faisais guère d'illusion sur la manière dont cela finirait...
Maman était redescendue pour préparer le dîner et j'essayais de penser à autre chose, mais je n'arrivais pas à m'ôter de l'esprit que j'allais m'endormir avec les fesses rouges...
"Christine, descends voir, je t'attends..." La voix de Maman depuis le rez-de-chaussée me ramena sur terre. Déjà ! Que veut-elle ? Peut-être que je l'aide à mettre la table ? Quand même pas s'occuper de mon cas avant le dîner ?
La réponse était en bas de l'escalier et je suis descendue pas rassurée du tout. En arrivant dans la cuisine, j'ai vu la table mise, et la soupe qui mijotait sur le gaz en veilleuse.
"Je suis dans le salon, Christine. Que fais-tu donc ?", lança Maman d'une voix teintée d'agacement...
Je suis entrée et j'ai compris son intention. Elle était assise sur une chaise au milieu de la pièce, bien dégagée de la table.
Mon coeur s'est mis à battre la chamade. J'ai bégayé : "Euh, M'ma, Maman, euh que euh, que veux-tu ? Attends, je vais t'expliquer..."
Elle m'a coupé la parole : "Christine, il n'y a rien à expliquer. Je n'ai pas de temps à perdre... On va régler nos comptes avant de passer à table. Ne fais pas l'étonnée, tu sais très bien ce qui t'attend... Allez, viens ici..."


Elle tapotait ses genoux pour me montrer la direction à suivre... J'ai eu un mouvement de recul, mais devant son regard noir, je me suis rapprochée d'elle jusqu'à ce qu'elle me prenne le bras...
"Maman, non, je t'en prie... Pas la fessée, pas maintenant, non, non, non !!!"
Ma protestation n'a rien changé. "Christine, ce n'est pas toi qui décide ce que j'ai à faire... Allez, je vais te montrer ce qui arrive aux voleuses dans cette maison". Et m'ayant agrippée le bras des deux mains, elle m'a basculée en travers de ses genoux...

J'avais à peine plongé en position que ma jupe était relevée et que Maman d'une main experte et combien expérimentée baissait mon collant en bas de mes cuisses, puis ma culotte, dévoilant ma lune encore blanche et sans plus aucune protection...
"Mamaman, non, nooon, pas déc..., nooon, pas déculottée..." Mon cri du coeur était évidement vain...
"Tais-toi donc, Christine... Ici, les petites voleuses de ton espèce ne méritent qu'une bonne volée... Et les menteuses aussi... Ah, je vais t'apprendre les bonnes manières, moi... Tiens, tiens, tiens et tiens..."
Il n'y avait pas eu de temps mort. L'averse tombait déjà, drue et forte, claquante en diable, résonnant dans toute la maison...
"Arrête, Maman, arrête, aïe, aïe, aaaïïeee, j'ai mal..."
Je criais ma douleur, entre deux sanglots, les larmes ruisselant sur mon visage...
"J'espère bien que tu as mal, Christine... Et ce n'est pas fini... Tu t'en souviendras de cette fessée, de cette bonne fessée bien méritée..." Et elle reprenait de plus belle, me gratifiant d'une claquée de plus en plus sonore et brulante, d'une tannée mémorable...


Quand enfin, elle arrêta, j'avais le bas du dos en feu. Je me suis relevée d'un bond, sautillant d'un pied sur l'autre et en me tenant les fesses écarlates...
"Rhabille-toi et viens à table. Aline, Diane, descendez vite. On va dîner", dit Maman d'une voix forte, me sortant de ma torpeur...
Prenant conscience de ma semi nudité, j'ai vite remonté culotte et collants, tentant de montrer bonne figure... alors que mes soeurs dévalaient les escaliers après avoir bien sûr compris et entendu depuis leur chambre ce qui arrivait à leur aînée...
Je dus avaler ma soupe, entre deux sanglots et en reniflant souvent, restant tête la plus basse possible pour éviter les regards des petites. Maman commenta bien sûr l'événement, expliquant à mes soeurs que "Christine avait été punie pour le vol et les mensonges", précisant bien : "Je lui ai donné une bonne fessée déculottée". Avant de nous mettre en garde : "Et que cela vous serve de leçon. Vous n'avez pas intérêt à recommencer, sinon gare à vos fesses".

10 commentaires:

  1. toujours aussi bien ! je ne le dis pas a chaque fois mais je lis tout !
    Pauvres petites fesses , elles ont du souvent rougir !

    herge

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  2. Merci de compatir à mon sort... Ou plutôt à celui de mes petites fesses...
    Et si vous voulez laisser des commentaires plus longs, je n'en serai que plus ravie...

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  3. moi j`aurais terminer la punition sur tes fesses avec une bonne dizaine de coup de ceinture puis apres mise aux coin culotte a mi cuisses devant les petite soeur incrédule sur ton sort de petite voleuse bien et severement puni !!

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  4. Mais, toi, tu n'es pas ma mère. Qui n'était pas sadique. Et qui ne se serait pas exprimée de façon anonyme...

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  5. anonyme non Francois de montreal canada !! pour la ceinture j`avous peut etre un peut severe pour une gamine mais avoue que la faute est grave ...

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  6. Que du bonheur, Christine, quand vous racontez cette fessée ! Que ressentez-vous exactement quand votre mère vous penche sur ses genoux et vous baisse la culotte ? Pourriez-vous nous faire entrer dans le détail de vos sentiments à ces instants précis ?

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  7. Je viens de découvir votre blog, je n'ai pas encore tout parcouru mais dès à présent je voudrais que vous sachiez à quel point ce que j'ai lu m'a ému.
    Moi aussi j'avais une Maman aimante, affectueuse, mais... bien convaincue de l'intérêt pédagogique des fessées. Lorsqu'elle s'est retrouvée seule responsable de mon éducation elle a vite estimé qu'il était de son devoir de sévir sans faiblesse quand elle l'estimait nécessaire. Ainsi je me suis souvent retrouvée couchée à plat-ventre en travers des genoux maternels pour y être "punie comme une gamine". Bien sûr je détestais recevoir la fessée mais pourtant je savais que chacune de ces punitions cuisantes et vexantes m'ouvraient les portes du pardon et de la réconciliation avec Maman voilà peut-être qui explique que je ne ressente maintenant aucune amertume ni sentiment d'injustice.
    Mes expériences, mes sentiments, de cette époque, je les retrouve en vous lisant et surtout je ne pense pas vous trahir en supposant que, comme moi, vous ressentez beaucoup d'émotion à remuer ces souvenirs. Aujourd'hui, alors que tant d'années se sont écoulées ces corrections enfantines demeurent pour moi un secret honteux. J'ai plus d'une fois écrit - puis mis au panier - des récits inspirés de mes souvenirs mais je pense que je suis loin d'avoir aussi bien que vous réussi à évoquer ces moments intenses. Merci de l'avoir fait

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  8. Merci de ces encouragements, ceux fidèles de Philippe, et ce témoignage touchant d'Agnès. Dommage que vous ayez mis au panier vos souvenirs. J'aimerais les partager aussi. N'hésitez pas à commenter longuement les miens, ce qui pourra servir de déclic à quelques confidences, non ?
    A bientôt.

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  9. Maman paraît bien jeune mais les photos sont superbes, comme l'histoire.

    Bienvenue à Agnès, avec qui votre blog gagne une commentatrice délicieuse. Quand lancerez-vous votre propre blog Mademoiselle ?

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  10. j'ai l'impression que ce jour là tu etais trés femme sous tes jupes avec le collant et la culotte en nylon bien soyeuse.
    le contraste avec la dure fessée.....;)

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