dimanche 21 février 2021

Chronique d'un redoublement : 156. Quand le calme persistant fait craindre un nouvel orage

SUITE 155

J'étais soucieuse en rentrant à la maison ce vendredi soir, mais je tentai de bien cacher mes angoisses à la suite de cette discussion ô combien gênante avec Babette et Brigitte. Je ne voulais surtout pas que mes soeurs comprennent dans quel état nerveux me mettaient leurs bavardages au sujet de mes mésaventures de la semaine précédente... Car évidemment les détails donnés par les moqueuses ne pouvaient venir d'ailleurs...


 

 J'étais inquiète en rentrant à la maison, angoissée par les moqueries de mes camarades. Mais je ne voulais pas le dire à Maman, étant sûre qu'elle allait encore me dire son raisonnement sur le fait que nul ne se moquerait si je n'avais pas bel et bien mérité ces fessées...

En avertir Maman me semblait trop risqué, car je pensais bien qu'elle aurait au mieux grondé mes petites soeurs, mais elles n'avaient fait que dire la vérité, et ma chère mère n'aurait pas manqué de me dire que ceci ne serait pas arrivé si je n'avais pas "bien mérité" cette double déculottée magistrale...

Et, au pire, même si Diane avait pris une fessée pour ses bavardages, je ne doutais pas qu'elle aurait cherché ensuite à se venger en guettant la moindre de mes disputes et autres réprimandes...

De toute façon, cela faisait déjà une semaine d'écoulée sans nouvelle anicroche depuis cette double tannée, et je croisais surtout les doigts en espérant que le temps allait passer et les moqueries diminuer si j'arrivais à éviter d'être à nouveau punie... Le mieux était donc d'être attentive à bien travailler, à faire le maximum pour ne pas fâcher Maman, ni bien sûr les profs, dont ma bête noire...

 

Le problème était que j'en faisais des cauchemars, allant même jusqu'à imaginer que Babette et Brigitte se trouvaient dans le salon familial pour assister à ma prochaine fessée... Culotte baissée, les fesses à l'air, allongée sur les genoux maternels, je voyais en tournant la tête mes camarades de classe, les yeux grands ouverts et cachant mal leur envie de rire de la situation...

J'essayai surtout de ne plus y penser, mais ce n'était pas facile tant les moqueries de Babette et Brigitte restaient présentes à mon esprit, au point que j'y repensais chaque soir en essayant de m'endormir, et que j'en faisais des cauchemars imaginant que les moqueuses assistaient à ma prochaine fessée...

Comme je me voyais au lendemain d'une fessée devoir aller voir Babette et Brigitte pour leur avouer ce qui m'était arrivé...

Alors, dans un tel contexte de peur, je ne voyais qu'une seule issue, celle de ne plus mériter de nouvelle déculottée... D'où je me décidai à vraiment travailler consciencieusement, à bien étudier mes leçons, et à ne surtout pas bavarder ni chahuter en classe...

Cela me permit de passer une deuxième semaine sans incident. Je rapportai même des bonnes notes, jusqu'à presque étonner ma chère mère, qui croisait les doigts en espérant que cela continue longtemps. Même si elle s'attribuait une part du mérite...

Je l'entendis d'ailleurs en parler à Tata Jacqueline, reconnaissant que Christine "faisait des étincelles" ce qui "prouvait" qu'elle avait "eu raison de sévir de la seule manière qui fonctionne bien avec les filles, et principalement la grande". Tata plaida que "c'était aussi sûrement du fait que justement Christine grandissait".

Maman avait conclu : "J'espère que tu as raison, mais je ne suis pas sûre que je ne serai pas encore obligée bientôt de lui rougir les fesses. En tout cas, ta nièce préférée le sait très bien. Et moi, je tiens mes promesses". 

 


 Alors que ma tante faisait remarquer à Maman que j'étais bien sage et studieuse, Maman expliqua ce mieux par le fait qu'elle avait sévi, rajoutant que c'était la seule méthode efficace avec moi...  Et de dire devant moi qu'elle ne serait pas étonnée de devoir à nouveau me rougir les fesses... J'en frissonnai de peur...

La troisième semaine s'ajouta aux deux autres sans nouvelle déculottée, ce que je pris pour une victoire d'autant qu'Aline et même Diane eurent droit chacune à une fessée, magistrale pour Aline, et assez vive aussi pour Diane.

Je ne pus m'empêcher de me moquer discrètement de la plus petite de mes soeurs. Elle s'en plaint à Maman, qui ne put guère réagir, n'ayant pas vu mon air moqueur, mais j'eus droit quand même à un avertissement dont je me serais bien passée, Maman me rappelant : "Ne te moque pas, Christine, car ce sera peut-être toi la prochaine qui viendra sur mes genoux..."


Les fessées reçues par mes soeurs me rassuraient un peu, surtout quand Diane fut déculottée devant moi... Mais comme ma soeur se plaignait en disant à Maman que j'avais ri en la voyant punie, j'eus le droit à une menace claire... Maman me rappela que je serais peut-être la prochaine à venir sur ses genoux pour une fessée carabinée...

Diane en profita pour me chercher querelle les deux jours suivants, heureusement Maman ne fut pas dupe, même si je sentais que ses réflexions à mon encontre commençaient à devenir de plus en plus agacées... Par prudence, je me reconcentrai vers mes devoirs, me montrant aussi serviable, ce qui n'était pas forcément la chose la plus judicieuse à faire, car Maman se mit à imaginer le pire, me disant : "Oh, toi, Christine, quand je te vois jouer les petites filles modèles, je commence à me demander si tu ne me caches pas un de tes exploits habituels... En tout cas, si c'était le cas, je serais à ta place, je préparerais mes fesses".

Cette menace faite devant mes soeurs me vexa, mais je réussis à ne pas répondre pour éviter d'autres allusions maternelles...

Cela dit, je fus surprise que le lendemain après-midi, Brigitte vint me voir dans la cour du collège, pour me demander, mine de rien, si je n'avais "pas encore reçu de fessée"... Je niai, en balbutiant, me montrant nerveuse, surtout que la moqueuse s'éloigna non sans m'avoir chuchoté : "Moi je crois que c'est pour bientôt..."  

Sur le moment, je trouvai ces questions de Brigitte déplacées, mais j'ai bien compris depuis que ma soeurette avait dû raconter la scène de menaces maternelles à mon encontre à qui voulait l'entendre...

Même Brigitte était venue me taquiner à l'heure de la récréation, me prédisant une prochaine fessée... Avec en prime les menaces de plus en plus énervées de Maman me promettant de sévir dès la prochaine grosse bêtise ou punition au collège, je sentais comme ce moment venir, et cela hantait mes nuits où je me voyais déjà devoir "préparer mes fesses" pour que Maman les tanne à les rendre écarlates... 

Voilà qui nourrit à nouveau mes cauchemars plusieurs soirs durant... D'autant que, dans ma tête, une petite voix commençait à me dire et répéter : "Fais attention, Christine. Maman est aux aguets... Tu sais qu'elle n'hésitera pas si elle avait quelque chose de grave à te reprocher... Tu tiens depuis plus de trois semaines, mais justement raison de plus de ne pas provoquer de colère maternelle..."

                                                                                                               A SUIVRE


47 commentaires:

  1. vous avez enlevé mon commentaire pourtant sympa ?
    Yves

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  2. Bizarre, je l'avais validé pourtant. Je suis étonnée. Essayez de me le renvoyer... Merci d'avance.

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  3. Je ne comprends pas tout. Désolée. Je ne l'ai pas fait exprès en tout cas...

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  4. cela n'est pas grave. je disais simplement que j'étais très heureux que vous continuez d'écrire sur votre blog, et que c'était un grand plaisir de vous lire. vos textes sont fins et savoureux, ainsi que les illustrations.
    merci
    salutations
    Yves

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  5. C'est bon, ça remarche. Merci pour les compliments. Voilà qui me motive pour continuer mes récits...
    J'avais eu un gros coup de mou et joué la paresseuse durant de longues semaines... Comme au temps de certaines années collège... Mais, là, vous devinez ce qui m'arrivait... N'es-ce pas ?

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  6. Oui Chère Christine je devine bien les conséquences que votre paresse amenait votre maman à vous corriger. J'en profite pour vous dire qu'à mon époque nous recevions de bonnes déculottées à l'école, pour quelque motif que ce soit, et si maman venait à l'apprendre, le deuxième tournée si j'ose dire, était distribuée de retour à la maison, nos fesses rougissaient à nouveau.
    Amicalement
    Yves.

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  7. Je me doutais bien, Yves, que vous alliez deviner ce que ma paresse à l'époque avait comme conséquences...
    De mon côté, je n'ai pas connu de fessées à l'école, mais les motifs d'ordre scolaire étaient bien souvent les raisons amenant Maman à sévir...

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  8. Ah pauvre Christine, prise au piège entre ces deux petites pestes de Babette et Brigitte qui vous harcèle, les frangines qui guettent et maman SPAAK qui est prête à justifier ses fessées, et que si Christine ne voulait plus en recevoir, il fallait ne plus les mériter. cette pression vous amenant à faire de drôles de rêves, vous voyant déculottée devant les yeux moqueurs de ses deux chipies.
    Heureusement Christine se décide enfin à travailler, et sera épargnée quelque jours de déboires fessiers, toujours aidée par sa chère tata, qui la défend et qui compatit comme moi d'ailleurs...
    ces moments sans orage vous réjouisse, d'autant que vos soeurs se sont vues infliger chacune une bonne fessée, déculottée je suppose, maman vous rappelant que toute moquerie, pourrait aboutir à un passage sur ses genoux.
    A suivre.. Amicalement
    Yves


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  9. Merci Yves de ce commentaire très juste. Vous comprenez bien comment les moqueries au collège et le comportement de mes petites soeurs toujours aux aguets, et cherchant à savoir si, quand et comment, leur ainée allait ou non recevoir la fessée, bref que tout cela hantait mes peurs au quotidien, et m'amenait à faire des cauchemars fréquents.
    Et ce ne sont pas les fessées reçues par mes soeurs qui me rassuraient. Cela me vengeait certes un peu, mais elles me rappelaient aussi combien les méthodes maternelles restaient de mise, et que Maman tenait toujours ses promesses...
    Cela dit, Yves, je constate que votre message se termine par un "à suivre" et des points de suspension prometteurs... Alors, il me serait agréable de vous lire à nouveau... Merci d'avance...

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  10. Je suis enchanté de retrouver les mésaventures de Christine, dont je suis un grand fan, après cette longue absence. Merci et continuez à nous régaler ! ��

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  11. Merci du compliment. Cela dit, si la grande Christine est contente que ses écrits soient appréciés, la Christinette que j'étais en rougirait de honte de savoir que vous connaissez les moindres détails de tout ce qui lui arrive...

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  12. Oui chère Christine, je suis ravi de continuer.
    je vois que maman SPAAK est obligé de faire la police entre la grande Christine et les petites pour moqueries réciproques. Heureusement Christine la joue plus fine, en se concentrant sur ses devoirs et se rendant serviable, laissant sa soeur ricaner. Mais maman n'est pas dupe, et fait savoir à sa grande fille, la voyant fayotter, qu'il pourrait lui arriver quelques soucis fessier!!! si elle lui cachait certaines choses!!!
    cela dit, vous avez la visite le lendemain, si je puis dire, de la curieuse Brigitte, et meme vicieuse, au collège, qui n'a de cesse que de vous taquiner pour savoir si vous n' avez été encore fessée par maman.
    Puis elle s éloigne, en espérant que vous le soyer bientot.
    bien évidemment, il y a de la soeurette là dessous, racontant vos déboires à qui veut bien l'entendre.
    Et puis vos cauchemars vous reprennent...
    Pauvre Christine...



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  13. avez vous reçu mon commentaire d'hier Christine ?

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    1. Je ne l'avais pas encore validé, mais c'est fait maintenant, en espérant vous lire encore. Merci d'avance...

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  14. Bonjour Christine,
    C'est avec un grand plaisir que nous vous lisons à nouveau.

    Dans ce nouvel épisode, notre Christinette semble partir sur des nouvelles bases. Aurait-elle eu raison de ne pas divulguer ou du moins de cacher à Maman Spaak sa mésaventure avec les deux pimbêches que sont Babette et Brigitte ? En tous cas, pour l'instant les faits lui donnent raison, car les choses se déroulent plutôt bien pour elle. Ainsi, je relève qu'elle semble avoir compris la leçon et décide enfin de se mettre sérieusement au travail, d'être attentive et à faire le maximum pour ne plus se retrouver les fesses à l'air sur les genoux maternel. Finalement, son bon comportement ne peut qu'atténuer les moqueries des deux pestes dont elle est victime depuis un petit moment déjà.

    Cependant, qu'en sera-t-il des sœurettes et notamment Diane qui est la dernière à être allongée sur les cuisses de Maman Spaak les fesses à l'air, d'autant plus que notre Christounette ne peut s'empêcher de se moquer discrètement de sa benjamine, qui évidemment s'en aperçoit. Fort heureusement pour notre héroïne, Mme Spaak n'ayant rien observé, ne peut réagir, malgré de vives protestations de Diane.

    A cet effet, je reste persuadée que Diane fera tout son possible pour que Christine se retrouve à nouveau sur les genoux maternel.

    Notre petite demoiselle devra-t-elle se méfier de la dernière de ses sœurettes ? Les épisodes précédents nous obligent à nous poser des questions sur ce dernier point.

    Voilà Christine mon commentaire sur ce nouvel épisode. Je n'hésiterai pas à vous transmettre une nouvelle analyse s'il y a d'autres points qui m'auraient échappé pour le moment.

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  15. Merci chère Christine.
    J'attends avec impatience votre prochain récit que j'imagine
    dèjà emplit d 'aventures fessières...
    Yves.

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  16. Merci ? De rien, cher Yves. Je note votre impatience quant à la suite de mon récit, mais je comprends surtout que vous l'imaginez d'un genre très agité pour mon bas du dos...
    Je ne dirai pas tout de suite si vous avez raison, ne voulant pas déflorer le contenu des prochains épisodes...
    Je vous laisse la surprise, mais avouez que cela aurait de quoi faire trembler à l'avance la Christinette que j'étais, elle sait très bien ce que sous-entend l'expression "empli d'aventures fessières" !!! Elle aurait préféré que vous la rassuriez, que vous lui laissiez croire qu'il était possible d'échapper à la foudre maternelle...
    Mais je devine bien que vous parieriez bien sur un retour de l'ainée des filles Spaak sur les genoux de Maman... Sûr même que vous savez pourquoi et comment, non ? Dites-le voir...

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  17. Effectivement, Christine, vous n'avez pas encore fini de me régaler de vos récits à venir, en utilisant le mot " déflorer"
    avec élégance et subtilité, qui m 'amène à penser que ceux ci relateront certainement des souvenirs piquants pour vos fesses.
    Vous me taquinez, me faisant languir à attendre la suite des évènements, mais je sais très bien que christinette n'échappera pas à sa destinée.
    Je voudrai bien vous rassurer et compatir un peu, mais la jeune fille de l époque était trop espiègle, écervelée, ce qui
    provoquait la colère de maman SPAAK.
    Malheureusement, j'ai la conviction que Christinette continuera à se retrouver les fesses à l'air sur les genoux maternels.
    Bonne chance!!!!!
    Yves.




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  18. Oh, j'aurais mieux fait de me taire... Moi qui espérais des mots de compassion, et qu'Yves me rassure en me disant que j'allais encore passer des jours et des semaines sans provoquer la colère maternelle... Eh bien c'est raté, snif snif, Christinette va faire encore des cauchemars en imaginant ce qui l'attend...

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  19. Comme vous dites, Christine, snif, snif, désolé, mais il faut parfois payer ses erreurs... A bientôt de vous lire.
    Amicalement,
    Yves.

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  20. Yves insiste et dit ne pas douter que Christinette devra "payer ses erreurs" ! Pour lui, je vais me retrouver sur les genoux maternels... Et, qui plus est,les fesses à l'air, voilà qui est clair et ne me laisse guère d'espoir... Avouez que si je me remets dans la peau de l'espiègle que j'étais, cela a de quoi me faire faire des cauchemars...

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  21. Bonjour, chère Christine,
    je suis actuellement en train de lire le récit de septembre 2012, ou vous retranscrivez les sensations physiques et morales, que l'on peut ressentir, on a l'impression d etre à votre place.
    C'était pourtant simple, surveiller votre soeur, et accuser Diane en lui donnant un coup de pied ne pouvait que conduire maman, à sévir de façon démonstrative sur vos fesses, déculottées bien sur. Je continue de lire ce récit avec passion et réel plaisir.
    A plus tard...
    Amicalement,
    Yves.

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  22. Yves, je constate que vous donnez une fois de plus raison à Maman Spaak. J'avoue que, devenue adulte, et me remémorant la scène, je comprends qu'elle ait voulu sévir...
    Mais, si je me remets dans la peau de Christinette, la seule évocation de ces épisodes me font encore frissonner, comme si je devais retrouver les genoux maternels...
    Cela dit, votre "A plus tard" me fait espérer que vous aller réagir aussi sur la suite de ce récit... En avez-vous terminé la lecture ? Et que vous inspire-t-il ?

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  23. Bonjour Christine

    Mon intervention sera brève et s'adresse tout particulièrement à Yves à qui je souhaite la bienvenue sur ce blog.

    J'aimerais savoir sur quelle base il s'appuie pour affirmer une suite des plus chaudes pour la lune de la malheureuse Christine, car selon moi, notre pitchounette semble être sur la bonne voie car comme l'affirme Tata Jacqueline, l'âge amène la raison n'est-ce pas et puis les menaces proférées par ses deux camarades de classe Babette et Brigitte l'auraient elle fait réfléchir ? La suite des événements nous le dira.

    De mon côté, je constate que cela fait maintenant trois semaines que notre Christinette ne s'est retrouvée la lune à l'air sur les genoux de Maman pour recevoir une fessée des plus redoutables comme il en a été souvent de coutume et ses notes déjà pas trop mauvaises se sont encore améliorées. N'oublions pas non plus l'absence d'heures de colle depuis le début de l'année.

    Même s'il est vrai qu'il faille se méfier de Diane et ses petites vacheries en douce, je ne vois pour le moment pas les raisons qui pourraient ramener Christine sur les genoux de Maman Spaak, à moins qu'un fait grave ne se produise.

    Voilà Christine pour cette petite intervention qui, j'espère ne vexera pas Yves.

    PS Avez-vous des nouvelles de Dominique et de Mardolh dont j'attends avec impatience le commentaire sur cet épisode.

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  24. Chrisine,
    oui j'ai terminé de lire ce délicieux récit. cela me rappelle mon époque d'enfance, ou les chamailleries amenait maman parfois à faire la police entre moi et ma soeur, elle ne cherchait pas à connaitre le ou la coupable, c était la fessée déculottée pour les deux.
    dans votre cas, on sent bien votre façon de retarder l'inéductable, essayant de retourner la faute sur les frangines, et vous retrouvant à la fin sur les genoux de maman. je reconnais que les deux chipies, curieuses et toujours à l'affut, mériteraient bien que l 'on s'occupe aussi de leurs petites fesses. j'ai pu m'apercevoir que d'en d'autres récits selon la gravité de leurs betises, maman SPAAK
    pouvait etre intraitable.
    Je continue à lire les savoureuses anecdotes que vous contez si bien.
    Amicalement
    Yves.

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  25. Jean-Claude qui s'adresse à Yves, voilà qui n'est pas pour me déplaire, d'autant qu'il laisse un espoir à Christinette d'échapper à la colère maternelle... Je le souhaite même si je dois avouer que je ne parierais guère sur cette hypothèse...
    Cela dit, Yves me flatte en disant que je conte "si bien" mes "savoureuses" anecdotes. Merci du compliment.
    Même si, du point de vue de Christinette, il n'y a rien de "savoureux" à se faire réchauffer les fesses...

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  26. Bonjour Jean Claude et bien venue à vous sur le merveilleux blog de Christine.
    En effet, dans le récit présent, Christine essaie de calmer le jeu à ne pas provoquer maman par rapport à Babette et Brigitte, et la fait réfléchir pour un certain temps, aidée par sa chère tata.
    Alors est ce que Christine s'est assagie parce qu'elle c'est fait rougir les fesses ? ou parce qu'elle commence à grandir ?
    Si je demandai l'avis à maman SPAAK, je ne me ferai pas d'illusions sur la réponse.
    Chassez le naturel, il revient au galop.
    Ne m'en tenais pas rigueur chère Christine, mais je crois bien que votre postérieur n'en pas fini avec la main affutée de maman.
    Meme si nous avons un avis contraire avec Jean Claude.
    Salutations à vous deux.
    Yves.

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  27. Yves imagine lire dans les pensées de Maman Spaak, et son verdict est clair... Selon lui, mon "postérieur n'en a pas fini avec la main affûtée de Maman" ! Autrement dit, Christinette peut commencer à préparer ses fesses que Maman va déculotter et rougir comme elle sait le faire...

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  28. Et oui chère Christine, la jeune fille de l'époque, pré-ado, était toujours hantée avec ses propres contradictions, ses provocations qui amenait maman à traiter sa fille comme une gamine et qu'il convient de déculotter et de fesser comme telle, afin qu'elle comprenne ses erreurs.
    J'attends avec impatience vos prochains récits, qui m'enchanteront sans aucun doute.
    Salutations.
    Yves.

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  29. Yves insiste et cela ne rassure pas la pauvre Christinette, qui espère toujours et encore échapper à la foudre maternelle...
    Qu'imaginez-vous qu'il va lui arriver ? Pourquoi et comment ?
    Et vous Jean-Claude, qu'en pensez-vous ?

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  30. Eh bien chère Christine, je ne voudrai pas etre oiseau de mauvaise augure, mais je crains que de notre Christinette de l'époque va devoir encore affronter les foudres maternelles.
    Et qu'elle sera toujours engluée dans ses travers, mensonges, effronteries, note en dessous de 10,heures de colle. Elle se
    cloitrera dans son antre, apeurée, pleurnichant, attendant sa sentence que maman s'appliquera à donner sur des fesses dénudées. S'en suivra quelques réflexions, remords, sera-t 'elle calmée ? pour un temps ?
    Puis-je etre taquin? Aie j'ai mal la main!!!
    Amicalement.
    Yves.

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  31. Yves insiste dans ses prévisions qui ne sont guère clémente pour le bas du dos de Christinette... Voilà qui ferait cauchemarder notre pré-ado si elle pouvait lire la prose d'Yves...
    Cela dit, à la question qu'il pose : "Puis-je être taquin ?" je veux bien répondre oui, même si je redoute que cela ne plaise pas à Christinette...
    Alors, Yves, que vouliez-vous dire ???

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  32. Je comprends que vous soyez étonnée Christine. Je ne veux surtout pas vous vexer. je voulais simplement dire qu' imaginer etre à la place de maman Spaak à devoir encore s'occuper des fesses de Christinette et en avoir mal à la main. Voilà.

    Ceci dit, je vais terminer de lire les récits de 2012 et commencer ceux de 2013.
    Yves.


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  33. Je ne sais pas si c'est de la taquinerie de vous imaginer dans le rôle de Maman, et j'ignore si elle en avait mal à la main...
    Ce dont je me souviens et qui me reste gravé dans la mémoire, c'est bien que j'avais réellement mal aux fesses quand Maman s'en occupait... Sans parler de la honte ressentie et qui reste presque palpable quand j'y repense aujourd'hui encore...

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  34. Chère Christine,
    Je voudrai revenir sur l'épisode 50 de novembre 2012.
    Je vois qu'il est difficile pour vous d'avouer à maman avoir ramasser 2 heures de colle. (encore). La déculottée d'Aline a de quoi faire trembler la jeune collégienne craignant pour ses fesses et essayant de retarder l'échéance.
    Mais quand arrivera le bulletin de colle, il n'y aura plus de doute quant aux conséquences qui en découlent. Evidemment Christine aimerait avoir un petit calin de maman, mais préfère
    encore cacher la vérité un certain temps, et finalement se retrouver sur ses genoux les fesses à l'air, pour une déculottée méritée, qui plus est devant les soeurettes.
    Votre récit est superbement écrit, et l'on ressent parfaitement votre angoisse avant l' orage.
    Yves.

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  35. DES NOUVELLES DE MARDOHL. Notre fidèle commentateur et analyste me transmet ce message que je publie en deux messages.
    MARDOHL DIT :
    Chère Christine,Hé bien, après une pause de plusieurs mois, vous voilà de retour, ce dont je me réjouis. J’ai lu avec intérêt votre dernier épisode.

    En tant que lecteur de longue date, et pour me montrer franc (qualité appréciée de votre mère), je l’ai appréhendé comme un « tour de chauffe thématique », un rodage conceptuel, par lequel vous aiguisez votre plume avant le véritable départ.

    En effet, dans cette séquence clairement transitionnelle, vous alignez, sans grande originalité, des thèmes bien souvent rebattus dans votre chronique.

    A savoir, les angoissantes suspicions de Christine envers les délations manifestes de ses deux petites sÅ“urs ; la crainte d’un coup bas de la part d’Aline si elle se plaint de ce fait à sa mère ; le recours au cauchemar pour exprimer l’impensable, le refoulé (ici, la présence de vos camarades hilares à l’une de vos fessées) ; le répit offert à Christine par son attitude exemplaire à l’école et à la maison ; cette provisoire rémission justifiant sa méthode aux yeux de votre mère ; laquelle mère ne manque pas d’en informer tante Jacqueline ; laquelle tante prend votre défense et se montre optimiste ; la sournoiserie d’Aline qui cherche à vous rendre fautive et pour ce multiplie les pièges ; Christine qui réagit par une prudence excessive ; laquelle prudence se montre contreproductive en ce qu’elle éveille chez sa mère des soupçons pourtant infondés ; le harcèlement discret de Brigitte pendant la récréation, qui montre qu’elle est parfaitement informée d’une récente menace maternelle et vous prédit le pire ; ce qui alimente votre appréhension croissante de ce que « le beau temps ne dure pas éternellement ».
    SUITE CI DESSOUS...

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  36. SUITE DU MESSAGE DE MARDOHL :
    La seule pointe d’originalité, prolongeant une menace du précédent épisode, réside dans cette scène, malheureusement trop succincte, imaginée par Christine, où elle se voit contrainte d’aller d’elle-même avouer sa dernière fessée à Babette et Brigitte.
    Les fessées reçues par chacune de vos deux sÅ“urs auraient d’ailleurs également mérité un plus ample développement, voire faire l’objet d’un épisode à part entière, avec leurs causes, déroulements et conséquences respectives.
    Mais enfin, j’espère que vous ne prendrez pas en mauvaise part cette appréciation quelque peu mitigée (et bien sûr subjective), tout comme j’espère que ce retour, à mes yeux timide, n’annonce un retour gagnant.
    Je constate, sinon, par la pléthore de récents commentaires issus de lecteurs récents (dont Yves qui semble s’être mis en devoir de compulser l’intégralité de votre blog, ou Jean-Claude qui demande aimablement de mes nouvelles), que votre public ne cesse de se renouveler et de de s’étendre, ce dont je me déclare heureux pour vous.
    Recevez donc, chère Christine, mes encouragements pour la suite.

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  37. Toujours intéressant et très documenté, le point de vue de Mardohl. J'apprécie d'autant plus ses encouragements. Voilà qui me donne de l'énergie pour poursuivre mon récit.
    J'espère que cela entrainera aussi d'autres commentaires...

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  38. Oui, je me réjouis aussi du retour de Mardhol, dont j'ai pu apprécier, les commentaires très fructueux, intéressants, pointus, détaillés depuis que je me suis mis à lire les récits de votre blog chère Christine. J'espère qu'il continuera à nous régaler de ses remarques toujours pertinentes, lors de la parution de vos prochains textes.
    Et comme il le dit si bien, j'ai tout de suite " accroché " et donc du compulser l'intégralité de votre blog.
    A bientôt de vous lire,
    Yves.

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  39. Yves complimente Mardohl. Il le mérite en effet. J'espère que ce même Yves qui dit avoir lu l'intégralité de mon blog ne manquera pas d'écrire aussi nombre de commentaires... Cela m'intéresserait bien...
    Cela dit, de mon point de vue d'adulte bien sûr. Car, vous imaginez bien que Christinette n'apprécierait pas que l'on débatte sur ses mésaventures fessières...

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  40. Eh oui Christine, je vais essayer de commenter certains récits de votre blog si savoureux, mais je vais avoir du mal à tout reprendre, ceux-ci étant de grande qualité, et si j 'avais suivi vos aventures depuis l'année 2009, j'aurai pu les annoter au jour le jour si je puis dire, et surtout les apprécier régulièrement.
    Yves.

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  41. Commentez donc, Yves. N'hésitez pas... Merci d'avance.

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  42. Récit 56.Février 2013.
    Christine a la tete qui tourne, se voyant comme dans un manège,
    très angoissée, mais sachant très bien qu'elle n'échappera pas
    à l'inéluctable, à savoir le retour sur les genoux de maman.
    Ne pouvant meme pas relativiser un peu.
    Etant rodée sur le système de colles depuis la sixième, puis ayant pris l'habitude en cinquième de manoeuvrer à sa guise, pour retarder l'échéance.
    Mais pour une redoublante, qui en ai dèjà à sa deuxième colle,
    elle ne peut immaginer meme avec philosophie, autre chose que de recevoir une déculottée carabinée.
    En cours d"anglais, christine ne répond pas aux provocations de sa voisine, jouant les élèves plutot sages, se voyant presque félicitée par Melle Paule, quant aux bienfaits des heures de colles.


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  43. Récit 56. Année 2013.
    La petite Christine restant très discrète à la récré, n'osant surtout pas attirer les regards et les rires de camarades ( illustration appropriée des jeunes filles hilares )qui ne manqueraient pas de se moquer d'elle.
    Puis la sonnerie annonçant la fin des cours, obligeant Christine à regagner la maisonnée, et connaissant le chemin par coeur, y allant à petits pas, et presque à reculons, pour y affronter, une fois la porte d'entrée franchie, sa chère mère lui mettant sous le nez le bulletin de colle tant redouté.
    Maman Spaak coupant net à toutes tentatives d'explication de Christinette, effondrée, sachant parfaitement qu'elle peut préparer ses fesses en allant s'enfermer dans sa chambre se morfondre.
    Il restait donc à savoir quand christine allait recevoir son du, maman n'étant pas pressée. C'était à son bon vouloir.
    Finalement Christine se retrouvera fatalement sur ses genoux, pour recevoir la déculottée promise.
    Voila chère Christine, j'essaie de résumer à ma façon vos récits, n'ayant pas le talent de Mardhol ou Dominique que l'on n'entend plus pour l'instant.
    Salutations.
    Yves.

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  44. Yves nous offre deux commentaires sur l'épisode 56 qui semble donc lui avoir particulièrement plu. C'est vrai qu'en le relisant à mon tour, il est intéressant car il dissèque bien ma façon de faire, de toujours vouloir retarder l'échéance, de gagner du temps, tout en comprenant bien que je n'y échapperais pas...
    Merci de ce texte, Yves. J'espère que vous avez lu la suite (le récit 57) qui entre cette fois dans le vif du sujet, si j'ose dire, et dont mon bas du dos se souvient encore...

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  45. Chère Chrisine,
    Comme vous dites, on est entré dans le vif du sujet, à savoir la promesse tenue et la dérouillée qui en découle. On ressent un véritable vécu dans vos textes.
    Christine se sent perdue, coincée, sachant parfaitement de quelle façon va se terminer la soirée. Maman Spaak préparant le repas, les soeurs dèjà moqueuses. Elle attends l'instant ou le chàtiment lui tombera sur la tete. (non sur les fesses).
    Puis elle se réfugie sur son lit à se morfondre. c'est alors que maman débarque dans la chambre, déterminée à procéder au déculottage, à fesser sa fille méthodiquement, sachant aussi que les frangines doivent jubiler à coté.
    Christine s'endormira alors les fesses rouges, en espérant que la nuit l'aura calmée et fait " grandir "
    J'attends avec impatience la suite d'autres nouveaux récits.
    Salutations.
    Yves.


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  46. Merci Yves de ce commentaire. Je ne sais pas si c'est "la nuit" qui aura "calmé et fait grandir" Christinette... Mais, je peux vous assurer que la main de Maman et l'énergie qu'elle mettait pour me rougir les fesses, me calmaient vraiment...

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