samedi 9 janvier 2016

Chronique d'un redoublement : 95. L'exemple cuisant d'Aline ne me rassure pas du tout...

SUITE 94

Je me sentais complètement déstabilisée par cette histoire, d'autant qu'à force de vouloir tout faire pour éviter de nouveaux ennuis fessiers, je demeurais tendue, inquiète, ce qui faisait penser à Maman que je lui cachais quelque chose... Et cela la rendait encore plus vigilante et menaçante...
Dans cette situation, l'orage pouvait éclater à tout moment. Ce qui fit une première victime en la personne d'Aline, moins d'une heure après mon retour à la maison. Pendant que je faisais mes devoirs au mieux, Maman surveillait ceux de mes petites soeurs, installées sur la table du salon-salle à manger, sous le regard maternel, occupée à un peu de raccommodage.
Diane était tranquille, ayant surtout de la lecture à faire, alors qu'Aline peinait comme souvent sur des exercices de calcul, ne mettant il est vrai pas trop de bonne volonté. Maman regardait régulièrement les résultats, non sans commenter avec des menaces à la clé : "Applique-toi donc, Aline. Sois concentrée au lieu de rêvasser... On dirait que tu cherches les ennuis, vraiment. Je ne sais pas ce que vous avez, toi et Christine, mais je crois que ça va se terminer par une bonne fessée, si vous ne comprenez pas autrement..."
J'avais tendu l'oreille quand Maman avait forcé la voix, et je fis la grimace en entendant notre mère m'associer à la menace qui planait sur le bas du dos d'Aline...
Ma soeur dut s'appliquer un peu plus puisque aucun autre éclat de voix ne me parvint durant les dix minutes suivantes. Sauf qu'au moment de corriger les dernières opérations, j'entendis Maman hausser le ton, en constatant deux nouvelles fautes. De l'étourderie assurément, car ma soeur les retrouva rapidement, ce qui ne calma pas Maman, constatant une fois de plus qu'Aline n'avait pas été assez attentive...




Corrigeant les opérations faites par Aline, Maman trouva encore
quelques fautes grossières, signe évident du manque d'attention
de ma soeur qui n'en menait pas large...
Un geste maladroit de sa part devait ensuite venir à bout
de la patience maternelle... 

Pour couronner le tout, ma soeur, en rangeant ses affaires, renversa le verre de lait qu'elle n'avait pas fini et laissé à côté de ses livres. Il n'était qu'à moitié plein, mais se répandit sur deux des livres scolaires, avant de dégouliner sur la jupe et les collants d'Aline.
Maman bondit, écartant ma soeur, afin de nettoyer les livres avant qu'ils ne soient tachés en profondeur. Aline était penaude, figée à deux pas de la table, jupe et collants détrempés. Maman éleva la voix : "Ne reste pas plantée là. Monte donc te changer et mettre tes affaires dans le panier à linge sale. Tu n'as qu'à te mettre en pyjama et m'attendre dans ta chambre..." 
Aline balbutia : "Euh, mais, euh, M'man" ! Maman fut donc plus claire encore : "Il n'y a pas de mais qui tienne, Aline. Tu l'as assez cherchée, tu n'auras que ce que tu mérites..."
Je m'étais placée sur le palier pour entendre ce qui se passait en bas, et je vis monter une Aline, sanglotante et apeurée...


Aline, sanglotante, monta dans sa chambre,
marchant comme une automate,
abasourdie qu'elle était en venant de comprendre
quel sort Maman lui réservait...
 

Elle se déshabilla dans la salle de bains en quatrième vitesse, comme pour montrer qu'elle obéissait bien. Elle repassa devant moi dans le couloir, nue comme un ver, les fesses à l'air, avant d'aller enfiler sa tenue de nuit. 
Puis, une fois en pyjama, elle s'immobilisa, ne sachant plus quoi faire, la tête remplie des menaces maternelles. Elle semblait presque hésiter à lancer : "Ca y est, Maman, je suis déjà en pyjama. Je t'ai bien obéi." Mais, cela aurait été comme un appel, et elle n'avait pas envie que Maman monte vite...
Aline s'assit sur le bord de son lit, restant là, bouleversée, sans rien pouvoir faire d'autre. Je la regardai avec beaucoup de compassion, connaissant trop bien ce genre de situation, où l'on ne peut penser à autre chose que ce qui va vous arriver...


Elle s'était assise au bord de son lit,
bouleversée, ne pouvant penser à autre chose,
ni rien faire d'autre que d'attendre sa fessée... 

Je retournai dans ma chambre, prenant un livre pour faire semblant d'être occupée, mais laissant ma porte ouverte et l'oreille aux aguets...
Maman, en bas, avait vite épongé les dégâts et essuyé délicatement les pages des livres aspergés, avant de les mettre sur le radiateur pour qu'ils sèchent au plus vite.
Elle ne monta pas tout de suite, repassant par la cuisine quelques minutes, puis contrôlant que Diane lisait bien, et lui demandant de continuer en restant là, pendant qu'elle allait "s'occuper d'Aline".
Je suppose que c'est volontairement qu'elle avait laissé la punie mijoter avant de la rejoindre. Aline avait sûrement entendu, comme moi, la phrase de Maman annonçant qu'elle allait "s'occuper" de son cas, et j'imaginais que cela devait battre la chamade dans le coeur de Soeurette. Je le savais d'expérience, et dans un contexte où je craignais tellement de devoir y passer moi-même, je vivais la scène plus que comme simple témoin. Comme si c'était presque une répétition...
Le pas de Maman dans les escaliers, je le connaissais par coeur... Elle montait les marches sans se presser, comme pour ne pas s'essouffler, comme pour montrer son calme et sa détermination, alors que la future punie, elle, avait le coeur qui se mettait à battre plus vite...


Ce n'était pas pour moi, heureusement, que Maman montait
vers nos chambres, mais je ressentais ce que devait vivre Aline,
comprenant que son heure était arrivée,
et que Maman allait s'occuper de ses fesses... 

Elle alla directement à la chambre des petites, vérifiant qu'Aline l'attendait : "Tu es prête ? Bien, alors, j'arrive..."
Elle passa la tête par ma porte, me lançant : "J'espère que tes devoirs sont bien faits. Ce n'est pas le moment de m'énerver davantage, si tu ne veux pas être la deuxième sur la liste..."
Je répondis que tout était fait et bien fait, qu'elle pourrait vérifier. J'avais une voix pas rassurée du tout. Maman commenta : "On verra ça plus tard..."
Puis, passant par la salle de bains, elle tria un instant le linge sale, préparant de quoi faire une machine. Il n'y avait pas un bruit dans la maison. On aurait entendu une mouche voler. Diane, comme moi, devait tendre l'oreille pour ne rien rater de la suite, et Aline, elle, n'osait même plus bouger, pétrifiée par cette attente angoissante...
Enfin, Maman rejoint la chambre des petites, Aline se levant du lit, et reculant vers la fenêtre, alors que Maman dégageait une chaise du bureau des filles et la retournait vers le centre de la chambre pour s'y asseoir.
"Maman, je t'en prie, j'ai pas fait exprès de renverser. Je ferai attention. Pardon, pardon..." se mit à supplier Aline, qui se vit répondre par Maman du tac au tac : "Heureusement encore que tu ne l'as pas fait exprès, ma fille. C'est comme les fautes de calcul, c'est de l'inattention, et j'ai un bon moyen pour que tu t'en souviennes la prochaine fois qu'il faudra faire attention... Allez, assez perdu de temps, viens ici, Aline... Ne m'oblige pas à venir te chercher... VIENS ICI !"


Aline eut beau promettre monts et merveille,
supplier, dire qu'elle ne recommencerait plus,
Maman resta intraitable, intimant l'ordre à sa fille de venir près d'elle...
 

Le ton ne souffrait aucune contradiction, et Aline s'approcha en sanglotant, Maman l'attrapant par un poignet et la basculant en travers de ses cuisses. Par réflexe, ma soeur dut tenter d'agripper désespérément l'élastique de son bas de pyjama, en chignant : "Non, Maman, nooon, pas la fessée, Noooooon, pas déculottée..."
Un "Lâche-ça immédiatement", ponctué de deux bruits de claques sur la main d'Aline lui firent lâcher prise, et je devinai que Maman s'employait à bien dégager sa cible, en glissant le bas de pyjama à hauteur des genoux.
Il y eut comme un moment de pause, Maman devant rajuster sa position, rééquilibrant la punie, reprenant sa respiration, jaugeant la cible à rougir, autant de détails, de moments infimes mais marquants, que je ressentais depuis ma chambre, comme vivant la scène par procuration...
"Ah, je vais t'apprendre, Aline, à rêvasser au lieu de travailler, à faire des fautes d'étourderie, à renverser son verre en ne faisant pas attention... Tiens, tiens, et tiens... rien de telle qu'une bonne fessée pour te faire réfléchir..." lança Maman en commençant à rougir la lune de ma soeur.
Visiblement, la correctrice était décidée à donner une bonne leçon, à ne pas faire les choses à moitié, et je compris bien dès les premières claques que Maman s'appliquait et n'allait pas se contenter d'une fessée vite faite.


Je compris dès les premières claques
que Maman allait s'appliquer à donner une fessée soignée,
à la hauteur des menaces par lesquelles elle nous mettait en garde
depuis quelques jours... Aline en faisait les frais la première... 

Aline se mit à piailler, criant à chaque claque, ce qui n'impressionna pas Maman, qui comprit qu'elle forçait ses réactions. "Garde donc tes pleurs pour quand tes fesses seront bien rouges, ma fille. Je ne fais que commencer... Tiens, tiens, et tiens..." ajouta Maman en claquant de plus en plus fort.
Cela dura encore un long moment, puis Maman s'arrêta. Aline pensant que c'était fini, tenta de se relever, mais Maman la ceintura à nouveau, dit : "Non, Aline, je n'en ai pas fini avec toi... Ne bouge pas comme ça."
Aline supplia : "Non, Maman, ça suffit. Ca fait trop mal. Je veux plus la fessée, arrête", et elle tenta une ruade désespérée en lançant ses jambes en arrière. C'est ce qu'il ne faut jamais faire avec Maman. Celle-ci lui asséna alors instantanément une demi-douzaine de claques très fortes, qui firent crier réellement ma soeur, avant de commenter : "Aline, je n'aime pas ces réactions. C'est moi qui décide, si ça suffit ou pas. La dernière fois qu'une de vous a essayé de m'échapper, c'est Christine, et je l'ai remise sur mes genoux pour une nouvelle tannée qu'elle n'est pas près d'oublier..."
La réflexion maternelle me rappela en effet de douloureux souvenirs et, depuis ma chambre, sur les nerfs et bouleversée, j'enrageais qu'au cours d'une fessée d'Aline, ce soit encore mon exemple qui soit évoqué...



Pour avoir tenté de s'échapper avant l'heure,
Aline eut droit à un supplément de claques cuisantes,
Maman rappelant au passage un épisode qui avait été douloureux
pour ma propre lune... Même au cours d'une fessée d'Aline,
j'étais une fois de plus citée en exemple...

Aline, apeurée par la menace maternelle, arrêta de gigoter, se laissant retomber en position, déjà épuisée aussi par une fessée plus proche de celles de son ainée que des habituelles claquées rapides des petites...
Satisfaite de voir sa fille se laisser faire, Maman repositionna quand même Aline, prévenant : "Allez, c'est bientôt fini", mais reprenant la fessée, comme pour mettre une dernière couche, en commentant : "Ah, je vous ai bien prévenues, les filles. Et surtout Christine et toi, que je ne tolérerais rien durant ce dernier mois. J'espère que cette fessée suffira, mais il y en aura d'autres s'il le faut... Tiens, tiens et tiens..."
Maman paracheva sa démonstration par une dernière série de claques qui firent crier Aline avant que Maman ne la libère et qu'elle se retrouve à genoux, frottant sa lune écarlate, et pleurant longuement.
Maman redescendit vers la cuisine, pour préparer le dîner, et chacune des trois filles n'osa se montrer dans l'heure qui suivit, jusqu'à ce qu'elle ne nous appelle pour venir à table.
Seule à descendre en pyjama, situation que je connaissais hélas trop, sachant combien elle était gênante à vivre, Aline réapparut, tête basse, restant silencieuse durant le repas, se retenant difficilement de sangloter à nouveau lorsque Maman fit, comme à son habitude, allusion à "la bonne fessée" que ma soeur avait reçue...


Aline était redescendue pour le dîner, honteuse et penaude,
devant supporter sans broncher nos regards, 
ainsi que les réflexions maternelles
justifiant la "bonne fessée" reçue. 

Une fois le repas achevé, nous remontâmes dans les chambres, sans faire d'histoire, même Diane restant très calme, et évitant de se montrer moqueuse, bien consciente que ce n'était pas un soir à risquer d'énerver Maman. Celle-ci vint jeter un oeil à mes devoirs et leçons, au moment du coucher. Je m'étais bien appliquée et elle ne trouva pas grand-chose à me dire, si ce n'est que je démontrais là que quand je voulais bien faire, je pouvais aisément...
Sentant bien, elle qui devinait si souvent en moi, que j'étais tendue et sur les nerfs, Maman me redemanda si j'avais quelque chose à lui dire, si je ne cachais rien, ce à quoi je répondis par la négative, sans vraiment la convaincre, m'attirant un rappel dont je me serais bien passée : "En tout cas, j'espère bien pour toi qu'il n'y aura pas de mauvaises surprises durant ce dernier mois... Sinon, comme ce qui est arrivé ce soir à Aline, tu n'auras qu'à préparer tes fesses, ma fille. Et je te prie de croire que je n'irai pas de main morte... Je t'aurai assez prévenue, Christine " !
Je ne pus m'empêcher de répondre en promettant de bien travailler, de ne rien cacher, bref de ne pas décevoir Maman, qui me souhaita bonne nuit en m'embrassant doucement et me déposant un baiser sur le front.
Je l'entendis ensuite dire bonsoir à mes soeurs, non sans quelques dernières phrases moralisatrices envers Aline, comme pour justifier qu'elle ait dû sévir, en tenant ses promesses maintes fois répétées. Et en avertissant qu'il en serait de même à nouveau, à destination de l'une ou l'autre d'entre nous, dès que ce serait nécessaire...

Pour moi qui angoissais, en voulant à tout prix éviter une prochaine fessée, pour couper court aux rumeurs de mes camarades, et déjouer leurs pronostics bien négatifs à mon encontre, la soirée venait de donner encore plus de corps à mes peurs...
Un manque de bonne volonté et de l'inattention de la part d'Aline en faisant ses devoirs, ajoutés à une maladresse l'amenant à renverser un verre, cela avait suffi à faire déborder le vase de la patience maternelle. Et Maman n'avait pas hésité à lui flanquer une fessée qui semblait, qui plus est, calquée sur les miennes... C'est du moins ce que j'avais ressenti, en étant témoin indirect des malheurs d'Aline.
Ma soeur, envoyée dans sa chambre, devant se mettre en pyjama, attendant le bon vouloir de Maman, tentant de résister et en subissant les conséquences, comment aurais-je pu éviter de voir mes propres souvenirs cuisants remonter dans ma tête ? Et d'en être le témoin depuis la pièce d'à côté, me faisait prendre une fois de plus conscience que, dans le cas inverse, elles ne manquaient pas grand chose de mes propres fessées, juste en tendant l'oreille et devinant les moindres détails...


La fessée d'Aline avait montré que Maman tenait ses promesses... 
Et, en ce dernier mois de classe, nul doute que les premières visées
dans le collimateur maternel étaient Aline et moi...
Et, ce dont je venais d'être témoin m'angoissait de plus en plus...
Je savais que je n'avais pas droit à l'erreur, pas du tout...
Même si je voulais tout faire pour l'éviter, dans mes pensées
et mes rêves noirs, c'est bien moi que je voyais, pleurant, 
déculottée sur les genoux maternels,
offrant mes fesses à une claquée magistrale,
aussi sonore que cuisante, et peut-être méritée...


De surcroît, le discours maternel, s'il ciblait théoriquement les trois soeurs, était bel et bien surtout destiné à Aline, et plus encore à moi... J'en prenais là encore pleinement conscience, et cela n'était en rien rassurant. Après l'avoir régulièrement répétée, Maman venait de mettre sa menace à exécution vis à vis d'Aline. Il n'en était donc que plus évident encore que la prochaine visée serait en priorité l'ainée de la famille... Et que, lorsque cela se produirait, j'en prendrais pour mon grade... Pas évident, avec ce genre de peurs, fortes comme un pressentiment, de dormir tranquille, sans en cauchemarder...

A SUIVRE

30 commentaires:

  1. Chère Christine,

    Me sentant en verve et après avoir pris connaissance de ce nouvel opus, je vous livre un premier commentaire à chaud ! Pardon ! J'le fait pas exprès, quoique..... !!! Hi, hi..... !

    L'épisode comportent bien les éléments de faux pas (évoqués dans nos derniers échanges) qu'ils convient absolument d'éviter, en ce dernier mois (Absence d'effort, Inattention, Maladresse ou Attitudes comportementales bizarres) face à une mère, en vigilance rouge (pas fait exprès, promis, juré!) pour Aline et Christine. Mettons à part, la petite dernière Diane, qui doit seulement surveiller ses caprices ou ses sautes d'humeur, étant moins dans le collimateur maternel que ses frangines.

    Étonnement, alors que Christinette est actuellement sous une pression psychologique, sans précédent, c'est Aline qui dérape la première en cumulant 3 erreurs d'un coup (paresse, inattention, maladresse) lui offrant aussitôt la sentence inéluctable de Maman, éconduit par celle-ci vers sa chambre ! Soeurette grimpe alors l'escalier, comme on monte à l'échafaud, contrite et sans illusion sur sa destinée, passant par le giron maternel pour une déculottée et une bonne !
    Maman, en ce dernier mois, étant dans un mode répressif très dissuasif, si les avertissements ne suffisent plus et c'est la pauvre Aline, qui l'expérimente la première, mais le suspens reste entier pour les autres, enfin surtout Christine qui n'échappent d'ailleurs pas à de nouveaux rappels préventifs très clairs, de la part de Maman, au moment du coucher.

    Ceci lui conférant des idées noires et la fait cauchemarder, comme souvent dans ce genre de situation et même davantage, compte tenu de son stress intense, lié aux événements.

    Petite remarque Domicaine, concernant trois mots de la légende sous la dernière illustration :
    Le « peut-être méritée... » me paraît bien fallacieux et contraire aux principes fondamentaux de Mme Spaak. Et je me dis que si ce manque d'honnêteté, de Christinette, parvenait aux oreilles de Maman, celle-ci aurait un motif supplémentaire d'ajout de coloration, sur la partie anatomique de sa fille ou rebondi allègrement et assez fréquemment sa main.
    Bon ! Comme, une certaine jeune fille, je risque bien de passer à la trappe, moi aussi ! A cause de ma langue trop pendue et légèrement acide, à l'image de Corinne, envers cette demoiselle déjà bien tourmentée ! N'est ce pas Christine ?

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  2. Et bien voilà, Christine c'est Aline qui ouvre le bal, non pas à la surprise générale mais cela reste logique puisque depuis cette nouvelle année civile votre cadette a semble-t-il pris la relève en ce qui concerne les déculottées.

    En effet s'il fallait compter les fois où Aline s'est retrouvée étalée sur les genoux de Maman Spaak, je pense qu'elle vous devancerait assez largement.

    Ceci dit, je trouve, contrairement à vous, Maman Spaak très sévère avec sa cadette car celle ci rencontre de réelles difficultés qui semblent la décourager ce qui n'est pas votre cas puisque vous lorsque que vous le voulez ou plutot apres de severes mises au point de Maman vos notes sont encourageantes et auraient pu etre si vous le vouliez bien etre brillantes, mais malheureusement vous etre plus tentee à amuser la galerie bref à faire le clown et à bavarder.

    Enfin le point positif de cette nouvelle déculottée d'Aline (la première du mois, mais la deuxième d'affilée) c'est qu'elle vous fait réfléchir car vous savez que l'épée de Damoclès plane plus que jamais au dessus de votre tête surtout que vous ne connaissez toujours pas la note que vous avez obtenu à votre controle de géographie que vous pensez avoir réussi, mais une mauvaise surprise pourrait intervenir, comme je l'ai déjà évoqué dans mon commentaire précédent.

    Voilà Christine mon prémier commentaire qui vient en supplément de celui de Dominique à qui je souhaite une bonne et heureuse année 2016 et qu'il continu de nous transmettre ses judicieux commentaires avec toujours autant d'humour.

    RépondreSupprimer
  3. Dominique fait de l'humour en parlant de commentaire "à chaud" de cet épisode effectivement brûlant pour Aline. Mais il faut qu'il en rajoute encore sur sa vision d'un proche avenir plus qu'agité pour Christinette... Grrrrrr, grrrr... C'est pas gentil.... Il arrive même à imaginer des griefs supplémentaires qui augmenteraient la démonstration maternelle à mon encontre, alors que je fais tout pour l'éviter et espère encore y échapper...
    Comme Dominique dit que ce sont là ses "premiers " commentaires, j'espère que les suivants viendront bien vite me rassurer...

    RépondreSupprimer
  4. Le commentaire de Sylvie est arrivé entre temps et j'y réponds donc aussi. C'est vrai que ce n'est pas de chance pour Aline, qui a droit à deux fessées de suite, mais cela m'est arrivé plus souvent qu'à mon tour aussi (Mes archivistes patentés le confirmeront peut-être avec des exemples...).
    Cela dit, si cela semble sévère à l'encontre d'Aline, sans vouloir défendre Maman, ce n'est pas sa difficulté d'apprendre qui est en cause là. Il s'agissait d'opérations simples demandant juste un peu d'attention et Aline mettait assurément de la mauvaise volonté en ayant la tête ailleurs et en ne faisant même pas gaffe à ses gestes, d'où le verre renversé... Un ensemble de griefs qui aurait largement suffi pour nous retrouver sur les genoux maternels que ce soient Aline, Diane ou moi...
    Cela dit, d'accord avec Sylvie que cet épisode d'Aline m'impressionne et augmente l'angoisse de Christinette qui y voit une démonstration de plus que Maman Spaak est plus déterminée que jamais que ses filles finissent l'année en beauté quitte à devoir employer les méthodes qui fonctionnent le mieux, notamment avec son aînée...

    RépondreSupprimer
  5. Bonjour Christine.

    Je vous présente mes meilleurs voeux pour 2016, ainsi qu'à tous vos lecteurs, je pense notamment à Sylvie, Dominique et Mardohl.

    Vous semblez bien compatissante vis-à-vis de votre soeur Aline. Pourtant, quand c'est votre tour d'être punie, elle se lie volontiers avec Diane pour se moquer de vous.

    Il est vrai qu'en voyant ou en entendant Aline se prendre sa cuisante fessée maternelle, vous vous dites sans doute que la prochaine fois, ça pourrait être votre tour. C'est en tout cas ce que j'éprouvais quand je voyais maman donner une fessée à mon frère (ou à mon cousin Johnattan, que maman gardait le soir et le jeudi, jour de congé scolaire à l'époque).

    Et quelle est la réaction de Diane quand Aline est allongée sur les genoux de maman avec la culotte baissée ? Elle se moque d'elle, comme elle le fait avec vous, ou elle compatit, par "solidarité entre petites soeurs" ?

    Amicalement, à bientôt.
    Alinement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

    RépondreSupprimer
  6. Merci de vos voeux, Louis. Je comprends votre réaction, et vous me faites remarquer justement que mes soeurs n'ont guère la même compassion que moi, lorsque c'est mon tour de jouer le premier rôle sur les genoux mpaternels...
    Mais, je crois que j'avais (et ai toujours) un bon fond, surtout en ces circonstances où j'étais bien placée pour savoir que ce qu'endurait Aline n'était pas de la rigolade...
    Avec Diane, c'était plus rare, et elle était plus moqueuse aussi, donc j'avais tendance à être moins compatissante quand cela lui arrivait aussi.

    RépondreSupprimer
  7. Bonjour Christine.

    Merci de votre réponse. Toutefois je me permets de vous demander cette précision supplémentaire : quand Aline se prenait une fessée, Diane était-elle compatissante, ou se moquait-elle d'Aline comme de vous ?

    Amicalement.
    Bon-Fond-de-Christinement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

    RépondreSupprimer
  8. Louis, j'ai envie de répondre "les deux à la fois". Diane était un peu plus compatissante avec Aline, car elles étaient très proches en âge, et étaient souvent, comme on dit, mises dans le même panier, Maman intervenant alors contre "les petites" avec parfois une fessée (rapide) à chacune.
    Mais, Diane étant plus souvent épargnée qu'Aline, elle savais aussi se moquer en douce de sa "moyenne" soeur si on peut dire ainsi.
    Toutefois, cela ne prenait pas les proportions des moqueries contre l'aînée que j'étais. Surtout que, contrairement aux petites la plupart du temps punies sur le champ, mes fessées étaient presque toutes plus ou moins décalées dans le temps et dans le lieu.
    Cela pouvait être en m'envoyant attendre dans ma chambre, voire en l'annonçant pour "après le dîner" c'est à dire au moment du coucher. Voire aussi promise du style "on règlera ça en rentrant à la maison".
    Cela donnait du temps aux petites, et surtout à Diane la moqueuse, d'observer cette "grande soeur" qui n'allait pas manquer d'être déculottée...
    Petits regards rieurs en douce, petits gestes furtifs mais très explicites, les moqueries n'étaient pas trop démonstratives, mais je les ressentais profondément.

    RépondreSupprimer
  9. Chère Christine,

    Tout d'abord, je remercie Sylvie et Louis pour ces bons vœux, que je leur retournes, avec un petit plus pour Sylvie qui apprécie mon humour, j'en suis fort aise comme vous dites.

    Sinon pour simplifier, voici une réponse recoupant vos derniers commentaires (94 / 95).

    Que la fessée d'Aline, vous mette dans l'angoisse jusqu'à en cauchemarder sur le fait qu'il ne s'agit là que du simple répétition pour Maman, avant peut-être de devoir composer une œuvre majeure à l'attention de sa grande fille est logique, dans la mesure ou demeure dans l'esprit de Christinette des précédents (Episode 60 de la chronique 18/06/13, Aline fessée la vielle pour son mauvais carnet ou mieux encore l'épisode 49 du 27/10/12, Aline fessée pour dissipation, alors que Christinette rentre avec une nouvelle colle à avouer, erreur débouchant inéluctablement sur une tannée maternelle!).

    Étant dans les références et pour satisfaire votre appel du pied, sur la réponse à Sylvie du 10/01, en voici quelques uns illustrants les passages rapprochés de Christinette, sur le giron de Maman :
    Episode 61 : Dernière fessée de l'année civile, qui coïncidence est également l'oeuvre magistrale de Maman, après la répétition Alinienne ! Suivi du 64 : Première de l'année civile à rebondissements imprévus, à peine 3 semaines plus tard !
    Episode 75 du 07/08/14 : Fessée de recadrage dominical. Troisième tannée en deux semaines après une trêve de deux mois inespérée ! Auquel, il est même possible d'ajouter l'épisode 77 ou huit jours à peine, après la reprise du dernier trimestre, Christinette s'en prend une nouvelle suite à sa mauvaise humeur lors d'un essayage d'habits en compagnie de Jeannette, qui comprend fort bien que la demoiselle va passer un sale quart d'heure !
    Sans vouloir être désagréable, il y en a bien d'autres que j'aurais pu citer ou Maman n'hésitait pas à remettre le couvert assez rapidement, estimant que sa grande fille n'avait pas suffisamment compris la fois d'avant. Désolé, Christine, je ne suis qu'un archiviste un peu trop zélé, mais que vous appréciez semble t'il !

    Tout comme vous, je pense que les circonstances ou les conditions de vos désagréments étaient plus propices à la moquerie de vos soeurettes et notamment la petite Diane, qui ne manquait pas de malice ! Ce qui était moins vrai à l'inverse pour Christinette, Maman agissant plus dans l'instantané avec les petiotes, sauf quelque fois pour Aline plus en proie aux difficultés scolaires. De plus, Christinette n'avait pas au fond d'elle-même, cette propension à la moquerie mise à part envers Diane, davantage épargnée et profitant parfaitement de son statut de petite dernière !

    Sans quoi en guise de soutien à Christinette, j'ai un message du Minot à son attention:

    « Ecoute , Christinette, reste calme ! En l'état Maman n'a aucun grief envers toi ! Bon d'accord, c'est pénible qu'elle te suspecte en permanence, de tous les maux et te menace d'une grosse dégelée, si tu dérapes ce dernier mois ! Mais en même temps, d'puis qu't'es collège, tu lui a donné matière à la méfiance, alors quéque part on peut la comprendre ! Alors essaye de t'faire violence pour être bien attentive en classe et agréable au quotidien, en évitant la mauvaise humeur ! J'sais c'est pas facile, mais si t'arrive à laisser de coté, les affreuses du collège, tu d'vrais pouvoir t'en sortir et épargner tes fesses ! Courage, j'te fais un gros bisous ! »

    PS : Bien sur, je m'amuse, Christine ! Même si je trouve le message, plein de bon sens et amical.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  10. Quel beau dimanche ! Deux longues analyses de Mardohl sur l'épisode 94, et qui font espérer d'autres de sa part sur le 95. Et puis ce long commentaire, enrichi de références archivistes intéressantes, de la part de Dominique, avouez que j'ai de quoi être satisfaite.
    J'y répondrai prochainement, mais je les valide déjà en montrant ma grande satisfaction. Merci à vous deux !
    Amitiés.
    Christine

    RépondreSupprimer
  11. Dès le retour de Christine, nous enchaînons sur une narration plus classique, en commençant par une traditionnelle scène domestique (maman raccommode pendant que les petites font leurs devoirs).
    Mais dans cet épisode, dont les péripéties vont se succéder rapidement et efficacement, Christine, d’habituelle actrice va se montrer spectatrice du drame qui se joue ce soir-là, en l’occurrence cette magistrale fessée d’Aline, qui est venue à bout la patience maternelle, avec son inattention malencontreusement ponctuée par ce verre de lait renversé.
    Loin de se réjouir de ne pas figurer cette fois dans le rôle de la punie, Christine montrera de la compassion pour sa petite sœur, revivant à travers son exemple bien des vicissitudes qu’elle a elle-même connues « d’expérience », « par cœur » en tant que pénitente. Christine auditrice, vit « par procuration » la fessée d’Aline, autant dans sa coutumière globalité que par « de moments infimes mais marquants », des situations que « [vous] connaiss[ez] hélas trop ».
    Les événements que vous nous décrivez successivement par le biais de votre regard, constituent en effet l’exacte reproduction de ceux que vous vivez communément quand vos propres fesses reçoivent leur dû.
    Ainsi, dès que sur le palier, vous voyez monter Aline, vous assisterez, impuissante et morfondue, comme pour une tragédie, à la succession fatale, inévitable, des étapes caractérisant une authentique fessée « maison ».
    Vous avez d’abord la vision de votre petite sœur nue, exhibant sans gêne mais non sans frayeur, ses fesses bientôt ciblées par la main maternelle. Puis vous devinez, pour l’avoir souvent vécue vous-même, l’attente angoissée en pyjama dans la chambre : Aline ne peut penser à rien d’autre, non plus que Christine d’ailleurs, qui demeure « aux aguets », tous les sens tendus en une vigilance apeurée dans la perception de ce qui va se produire. En effet, elle assistera à cette scène « plus que comme simple témoin » : aucunement soulagée d’échapper ce soir aux foudres maternelles, elle se rongera les sangs, de plus en plus anxieuse, « peu rassurée », puis « bouleversée » parfaitement consciente qu’une telle mésaventure risque bien de lui être promise pour bientôt.
    Vous entendez ensuite les pas de votre mère dans l’escalier, d’un calme apparent (mais d’une vigueur contenue) contrastant avec la chamade battant dans le cœur de l’imminente punie, ce pas rythmant l’approche d’un destin inéluctable. Dans la maison qu’a recouverte un silence monacal, véritable calme avant la tempête déjà maintes fois ressenti et décrit dans votre blog, dans lequel votre sœur macère d’épouvante, votre mère prend son temps, préparant une machine après avoir séché les livres scolaires souillés, affectant dans ses gestes une pondération qui détonnera d’avec le déchaînement gestuel qu’elle s’apprête à prodiguer. (Et qui pourtant dans son esprit s’inscrit dans la prolongation des tâches ménagères fastidieuses mais nécessaires.)

    RépondreSupprimer
  12. Vous percevez l’ultime tentative d’esquive, doublée par les dérisoires supplications de la patiente, dont ne tient pas compte l’officiante, qui absolument au clair sur ses intentions et l’issue de ce qui se prépare, réitère ses ordres en haussant la voix. Vient ensuite le basculement sur les genoux, le geste de protection visant à empêcher le déculottage, désamorcé par votre mère qui ne s’en laisse pas conter, fait sèchement lâcher prise à la réticente, puis lui dévoile la lune jusqu’aux genoux.
    Arrivent les dernières secondes durant lesquelles Madame Spaak rééquilibre la punie, jauge le labeur à accomplir, se fend d’un sermon justifiant la sanction. Puis tombent les premières claques, et forte de sa pratique dans le domaine, Christine peut inférer dès l’entrée en matière de quelle nature sera la fessée qui s’amorce. En l’occurrence une « fessée soignée », ardue, appliquée, prolongée, en un mot « christinienne », pour le plus grand préjudice d’Aline, qui vient en quelque sorte de franchir un palier dans le régime disciplinaire, et dont on peut deviner les pensées affolées à ce moment-là : « Maman me donne la fessée comme à Christine ! Ce n’est pas juste ! Pas une fessée de grande, je suis trop petite ! Je ne le mérite pas ! J’ai trop mal ! Elle va me corriger comme elle a corrigé Christine devant Diane et moi ! Je vais me retrouver avec les fesses aussi rouges qu’elle ! C’est trop affreux ! etc. »
    Aline semble d’ailleurs surjouer dès l’entrée en matière, ce qui n’impressionne guère votre mère, qui sait à quoi s’en tenir, et qui, décidée à appliquer jusqu’au bout une mémorable sanction, recommande à Aline de garder ses pleurs pour quand la fessée les justifiera vraiment. (Tiens, cette remarque m’évoque un extrait du roman « Enfance » de Gorki : « Élevant un peu le bras, il fit claquer la baguette sur le corps nu. Sachka se mit à crier. — Silence ! ordonna le bourreau ; cela ne fait pas mal ! Comme ceci, c’est plus douloureux ! Et il frappa de telle façon qu’une bande rouge apparut aussitôt, s’enflamma et se gonfla sur le dos de mon cousin, qui poussa un gémissement prolongé. » Connaissiez-vous ce passage ?)
    Puis jaillissent successivement, comme avec Christine, les vains piaillements, gémissements, cris, implorations, gesticulations, qui n’amènent d’autre résultat qu’une aggravation ou une prolongation de la sanction, qui se terminera par son final éclatant, mettant un terme marquant à cette fessée dont le lecteur familier a pu percevoir le séquencement tripartite (même si la phase centrale semble avoir été provoquée par les gigotements de la punie). Enfin, après qu’Aline est descendue des genoux maternels, frottant à genoux ses fesses écarlates, sonne l’heure du dîner familial durant laquelle la punie, seule en pyjama, se retrouve sanglotante et penaude devant les autres membres de la famille.
    Christine au final aura réalisé que, si elle n’a perdu aucun détail de la fessée administrée à l’une de ses sœurs, ces dernières, inversement, ne loupent aucune miette de celles qu’elle-même reçoit, même dans l’intimité de sa chambre.
    Cette mésaventure de la cadette, assurément met les nerfs de Christine à vif, car selon votre propre terme, elle la perçoit comme une « répétition » de ce que subira son propre postérieur au moindre faux pas, ce que ne manque pas de rappeler sa mère au moment du coucher.

    RépondreSupprimer
  13. Chère Christine,

    En effet, vous êtes gâtée par ce beau dimanche ensoleillé (enfin chez moi), mon compère Mardohl à qui je présente mes meilleurs vœux pour 2016, vous sert (à nous aussi) deux excellents textes comme à son habitude, relevant les détails qui mettent en valeur la qualité de vos écrits, merci à lui.
    Et je comprends votre satisfaction, chère conteuse, pour ma part je vous prépare une suite sur le 95 et le Minot, malgré qu'il n'y tienne pas vraiment, vu sa position et un rôle peu enviable, que vous avez bien connu également.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  14. Meilleurs vœux à Dominique également ! J'ai été quelque peu surpris qu'il ne m'ait oublié dans sa précédente liste et j'ai craint qu'il ne m'en veuille pour une raison ou pour une autre. Ouf, me voilà soulagé, et ravi en plus par son appréciation positive de mes commentaires.
    Je tire quant à moi le chapeau à sa rigueur archivistique. Je me permets une seule précision à sa glose : l'épisode 48 (qu'il cite) s'intitule : "Quand la fessée d'Aline ressemble à une répétition..." Or, Christine utilise, en un contexte grandement similaire, le même terme de "répétition" dans cet épisode 95.

    RépondreSupprimer
  15. Mes commentateurs les plus fidèles qui s'envoient des politesses. Voilà qui me plaît bien. Je suis plus que gâtée, avec des analyses très fines et des références judicieusement retrouvées.
    J'y répondrai prochainement, mais comme je suis à deux doigts de livrer une suite, je préfère ne pas me replonger dans les archives pour éviter d'être influencée par des situations qui, forcément, sont souvent assez proches, ce qui fait que je les vis avec de plus en plus d'acuité.
    Sur ce point, et comme c'était le cas quand je m'attendais à recevoir une fessée, toute autre scène de menaces ou d'exécutions de la sanction vis à vis de mes soeurs, me faisait repenser à ma situation, angoisser en imaginant bien que ce que subissaient les petites était un peu comme un échantillon de ce qui m'attendait... Une sorte de bande annonce ou bien, comme dans certains feuilletons, quand on diffuse à la fin d'un épisode des images rapides en forme de "teasing" comme on dit, avec le commentaire : la semaine prochaine, vous verrez...
    Cela me faisait cette impression, notamment quand, moi, je savais qu'une mauvaise nouvelle ou note arriverait à tel moment, sans que Maman ne le sache encore, et où mon imagination débordante se forgeait elle-même une sorte de bande-annonce de la sorte, sur un prochain épisode qui ne manquerait pas de contenir ma prochaine fessée...

    RépondreSupprimer
  16. Chère Christine,
    Episode :

    Christinette est en plein désarroi du fait de tout ce colportage de cancanières, sur ce quoi elle a droit avec Maman Spaak, lorsqu'elle se conduit mal ou que les résultats scolaires ne suivent pas, sans parler des éventuelles sanctions de profs produisant automatiquement une explication maternelle bien gênante pour une pré-ado. Le pire étant que ces moqueuses, en connaissent visiblement les moindres détails, ce qui la rend encore plus honteuse et irritable.
    A vouloir trop bien faire, Christine est à fleur de peau, entraînant du coup la suspicion (assez justifiée avec son aînée) de Maman craignant une quelconque cachotterie, de sa part (spécialité récurrente chez Christinette).

    Or en ce dernier mois scolaire, la fratrie Spaak (plus particulièrement Christine et Aline) se doit d'éviter toutes contrariétés à cette chère Maman, en vigilance maximale et bien disposée à mettre en pratique sa pédagogie claquante en action, si nécessaire.

    Dans cette ambiance électrique, c'est la cadette Aline qui va être à l'origine de la surtension dans la maisonnée et déclencher l'arc maternel, manifestant tout d'abord un manque de concentration sur ses devoirs, que Maman jugule par une réflexion menaçante valant également pour l'aînée, donc l'attitude générale lui semble suspecte. Chagrinant la grande demoiselle!
    Lors de la correction, deux nouvelles erreurs fond remonter la sauce maternelle, d'autant qu'il s'agit d'étourderie qu'Aline rectifie aussitôt sous la tonalité de Maman, donc le vase de patience déborde suite au renversement du verre par la soeurette, renvoyée manu-militari en pleure dans sa chambre attendre la sentence énoncée et sans appel !

    Christine sur le palier de l'étage, se trouve alors en situation de spectatrice et non d'actrice, comme bien souvent ! Elle voit donc monter sa sœur, la mine déconfite par la peur et en larmes, qui file vers la salle de bains se déshabiller rapidement, puis lui passe devant en tenue d'Eve !
    Ce que la grande ne pourrait jamais faire, protégeant s'il le faut sa nudité dans une serviette pour simplement traverser le couloir, ses affaires oubliées ou changées par Maman étant dans sa chambre (épisode 70 du 01/03/14, de la chronique).
    Le regard de l'aînée, observant l'attitude penaude et l'inertie de sa cadette, est empli d'émotions envers celle-ci (alors qu'en bas, Diane doit être plutôt moqueuse), sachant trop bien que l'apathie envahie tout l'être, à ce moment là !
    A suivre...........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  17. Chère Christine,

    Si vous le permettez, Christine, juste un petit mot à mon compère Mardohl.

    « Non, non, Mardohl, ce n'était pas un oubli lors de ma première liste, mais un fait volontaire de ma part. Préférant attendre votre retour, sur le blog, pour vous adresser mes vœux individuellement, compte tenu des échanges francs et cordiaux que nous avons eu, par le passé et que j'avais apprécié. Il ne s'agit donc que d'une simple marque d'amitié, sans arrière pensée de discrédit pour les autres commentateurs que je respecte et non une déférence particulière envers l'homme de lettres que vous êtes, même votre sagacité est un réel plaisir, la preuve en est avec l'utilisation du mot 'répétition' »

    Merci, Christine, pour l'espace de liberté accordé ! Bon, je sais ! Vous allez me dire, « Stop ! Çà suffit, le cirage de pompes !». Euuuhhhh …..., pardon ! De « chaussures », quel bêta je fais ! Oups !

    Sinon, je viens de livrer une suite et une autre suivra demain, bonsoir.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  18. Chère Christine,
    Episode :

    En fait, Christinette forte de son expérience, pourrait écrire ligne par ligne, le scénario de ce qui va suivre dans la pièce d'à coté comme si elle était à la place de sa jeune sœur, partageant la peine que ressent Aline ! Alors que Maman s'affaire à autre chose et laisse volontairement mariner la cadette, dans son jus !
    L'aînée connaît parfaitement la stratégie maternelle en ce domaine et le déroulé intégral de la suite des événements, pouvant en décrypter chaque phases, ainsi que le ressenti de la future punie, instants après instants! Celle-ci va en quelque sorte vivre par procuration, la raclée de sa sœur !
    D'autant que Maman, avant d'aller s'occuper d'Aline, lui met un coup de pression supplémentaire par le biais d'une phrase, qui n'est autre qu'une menace très claire et sans appel.

    Pour une Christinette tendue comme un roseau, par l'agitation négative qu'elle subit et les efforts à produire, pour éviter une éventuelle rechute, l'injonction maternelle n'a rien de l'aide qu'elle pourrait espérée pour surmonter son état de tension, dont-elle ne peux surtout pas exprimer l'origine à sa chère mère et risquer une réponse pour le moins décourageante du genre « Et bien, Christine, si tu ne veux pas que tes camarades se moquent de toi, parce que tu reçois encore de bonnes fessées de Maman ! Tu n'a qu'à faire en sorte, de ne plus en mériter et ce n'est pas à moi, de changer une méthode qui fonctionne, même temporairement, parce que cela gêne la petite Mademoiselle !!!!! ».

    C'est donc dans ses petits souliers et de sa chambre, que Christine, va avoir (une fois de plus) confirmation (si l'en était besoin), par l'audition (tout comme Diane) de l'efficacité maternelle dans le domaine de la fessée et plus encore, en transposer les images, tel un film que l'on se passe dans la tête ! Celle-ci étant, ainsi qu'Aline à un degré moindre, la référente en la matière, qui va d'ailleurs être citée (à son grand dame) durant l'action punitive concernant soeurette.
    A suivre...........


    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  19. Les compliments entre mes commentateurs les plus fidèles se poursuivent comme leurs contributions bien détaillées comme je les apprécie... Avec des références d'archives judicieusement trouvées et qui montrent bien que la situation que Christinette vivait à ce point du récit est d'autant plus angoissante que ce n'est pas la première fois que je la vivais et que je ressentais en effet ce qui arrivait à Aline comme une répétition de ce que je craignais de devoir subir prochainement et dont les petites phrases maternelles en se répétant et en se précisant ressemblaient à une sorte de compte à rebours...

    RépondreSupprimer
  20. Chère Christine,
    Suite épisode :

    La sonorité des prémices parvient alors, aux oreilles de Christine et y associe aussitôt des images !

    L'installation de la chaise ! Aline qui se justifie en suppliant ! Maman qui reprend l'argument et rajoute les autres fautes, qualifiant l'ensemble et intimant l'ordre à sa fille de venir, immédiatement !
    Le dialogue suivant lui fait comprendre qu'Aline a basculé et que la main maternelle s'attaque au pyjama, pour déculottée soeurette (indispensable chez Maman, pour l'efficacité de la fessée) qui conteste en vain « Non, Maman, noooon, pas la fessée ! Noooooon, pas déculottée....... ! » n'obtenant que deux claques et un « Lâche-ça, immédiatement ! » de Maman qui, ayant le champ libre, peut alors dénuder amplement ce fessier à rougir.

    Pour Christine, c'est comme si elle avait la scène sous les yeux, tous les échos qu'elle perçois lui sont bien trop familiers, pour les avoir vécus à plusieurs reprises ! A l'instar de Maman, il serait malheureusement possible de lui attribuer, le titre symbolique de MRF (Meilleure Receveuse de Fessées), tant son expertise en la matière est confirmée.

    D'ailleurs, dés les premières claques, elle sait que Maman ne va pas faire semblant, en lui donnant une fessée de petite fille ! Mais plutôt une volée de type grande sœur, cette dernière comprenant que la pauvre Aline va donc passer un très mauvais quart d'heure et essuyer les plâtres de la détermination maternelle, en ce dernier mois ! Sa cadette allant donc devoir encaisser et digérer un soin particulier de Maman, similaire aux siens, lorsqu'elle est en lieu et place de soeurette !

    De fait, les claquées maternelles perdurent et le temps semble suspendu, seulement rythmé par la paume de Maman et les braillements, un peu forcés au départ, mais justifiés par la suite, d'Aline ! Puis d'un coup, l'arrêt des hostilités va déranger Christinette ! Aline voulant certainement s'extirper du giron en ruant, est reprise par Maman, le tout avec un dialogue mère/fille bien connu !

    « Non, Aline, je n'en ai aps fini avec.... Ne bouge pas comme ça », « Non, Maman, ça suffit. Ca fait trop mal. Je veux plus la fessée, arrête ! », ceci ponctué par une volée de grosses claques faisant pousser d'énormes cris (justifiés) à la gamine et Maman ajoutant la phrase qui désole la grande !
    « Aline, je n'aime pas ces réactions ! C'est moi qui décide, si ça suffit ou pas ! La dernière fois qu'une de vous a essayé de m'échapper, c'est Christine, et je l'ai remise sur mes genoux pour une tannée qu'elle n'est pas près d'oublier ».
    Ce rappel douloureux contrarie Christinette, celle-ci étant prise en référence au cours d'une fessée d'Aline !
    Que cela gêne Christine est normal, malheureusement dans l'esprit maternel, la symbolique de l'exemple à suivre ou pas au sein de la fratrie Spaak, c'est l'aînée (en bien ou en mal) et l'archiviste que je suis, sans vouloir enfoncer le clou, citera deux récits différents dans le déroulement, mais aux conséquences similaires.
    Episode 65-10/2013 : Christine retournant sur les genoux, de Maman, après la tannée initiale pour avoir tenté d'empêcher celle-ci, de la déculottée. Seconde tournée difficile et très mortifiante.
    Episode 83-03/2015 : Suite à une ruade désespérée pour s'échapper, Christine est remise en position avec menace d'une seconde fessée, au coucher. S'ensuit alors une tannée exceptionnelle, tant par son intensité, que par la honte qu'elle procure à la grande fille, ses soeurettes présentes étant prises à témoin de son obéissance.
    A suivre..........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  21. Chère Christine,
    Suite et fin, épisode :

    Aline craignant, sans aucun doute, une tannée encore plus sévère, du rendre les armes et laisser Maman agir à sa guise, celle-ci précisant « Allez, c'est bientôt fini » avant d'administrer une nouvelle volée de claques, en ajoutant « Ah, je vous ai bien prévenues, les filles. Et surtout Christine et toi, que je ne tolérerais rien durant ce dernier mois. J'espère que cette fessée suffira, mais il y en aura d'autres s'il le faut..Tiens, tiens et tiens... » et conclure cette fessée « presque Christienne ». Soeurette ayant crier, sans retenue et pour cause, mais libérée pleurait à gros sanglots et devait à coup sur, frotter ses fesses meurtries.

    Assurément, Maman est dans une position mi affirmative, mi conditionnel au niveau des punitions et vise en priorité, l'aîné et la cadette ! Par conséquent, la plus jeune venant d'y passer, Christinette à de quoi être anxieuse et angoissée à l'idée que le moindre faux pas, la conduise à être la suivante sur la liste maternelle.
    D'autant que dans son discours du soir, Maman se montre particulièrement claire, en cas de dérapages et lui précise qu'elle sera même très généreuse, avec elle.
    Précision, ô combien funeste pour Christine, sa jeune sœur venant de prendre une raclée d'une rare intensité maternelle, lui étant plutôt réservée habituellement et lui garantit alors, si cela devait se produire, une tannée des grands jours sans concession, Maman tenant toujours ses promesses.

    Alors qu'Aline va s'endormir du sommeil du juste, repu par la bonne déculottée maternelle,
    Christinette, s'apprête elle, à une nuit plus agitée et cauchemardesque, imaginant déjà la possibilité de devoir présenter la partie charnue de son anatomie sans couvertures, au travers du giron maternel pour permettre à la main de Maman, d'y rebondir très longuement et lui offrir un apparat naturel, d'une couleur très vive et bien chaude.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  22. Voilà Dominique qui achève fort bien son long commentaire, et qui met fort justement le doigt sur ce qui angoisse Christinette. La fessée d'Aline prouve bien, s'il en était besoin, la détermination maternelle qui s'est exprimée de façon éclatante. C'était bien une fessée magistrale, plus appliquée que celles reçues habituellement par ma cadette.
    Et, dans le discours accompagnant la claquée, Maman avait bien réaffirmé que ses promesses étaient avant tout faites en direction d'Aline et moi. Comme elle m'avait répété au moment du coucher, que c'était aussi ce qui m'attendait au moindre faux-pas...
    Et, comme Aline venait de prendre les deux dernières fessées, j'aurais bien voulu parier que "jamais deux sans trois" mais autant cela avait parfois marché avec moi, comme mes archivistes peuvent en témoigner, je m'attendais plus sérieusement à un rééquilibrage de la distribution qui me mettait inévitablement au premier rang des punies potentielles...
    Et si je compatissais un peu envers ma soeur, en percevant ses cris et les claques maternelles, je ne pouvais que penser que, si mon tour venait, la dose ne manquerait pas d'être plus forte encore...
    Cela dit, merci à Mardohl et Dominique en particulier, et guettez donc ce blog, car la suite va arriver bientôt...

    RépondreSupprimer
  23. Chère Christine,

    Pas de souci, Christine, je reste aux aguets du blog et piaf d'impatience. A l'inverse d'une certaine jeune fille de ma connaissance qui parfois, pour ne pas dire souvent, guettait tous les bruits et mouvements dans la maisonnée, depuis sa chambre.
    Surtout si le facteur était passé ou qu'un prof vachard l'avait saqué lors d'un contrôle, elle la demoiselle très studieuse, attentive et n'amusant jamais la galerie, enfin tout le monde sait !!!!!!!
    Malgré ça, Maman était toujours d'un avis contraire et pensait que ce la tête ne saisissait pas, serait mieux compris par une partie du corps plus charnue et découverte.
    Alors, lorsque la pauvre jeune fille était aux aguets, c'est parce qu'elle attendait Maman dans une certaine angoisse, celle-ci tenant toujours ses promesses et des promesses délicates pour une pré-ado sensible et pleine de pudeur.
    Rien que d'y penser, je suis sur qu'elle en a des frissons ?

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  24. Chère Christine,

    Voilà plus de deux heures, que je guette et comme Sœur-Anne, je ne vois rien venir ?

    Peut-être que le « bientôt » de la grande Christine, est à rallonge, comme les promesses de la Christinette « J'te promet, Maman, la prochaine fois j'aurais une bonne note, mais s'te plaît pas la F...., Nonnnn, j'ten supplieeeee ! »

    Alors le commentateur zélé que je suis, se demande si la grande Christine n'aurait pas besoin d'un petit rappel du bon vieux temps ou Christinette retrouvait étonnement son efficacité au travail, après un entretien avec Maman chérie ? Non ?

    Je plaisante bien sur !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  25. Toujours moqueur Dominique. Mais, Christinette, elle, ne trouve pas ça drôle du tout, surtout en cette période où les camarades s'en donnent à coeur joie dans les moqueries sur ce sujet...
    La grande Christine sait heureusement qu'elle a passé l'âge d'un "petit rappel", comme vous dites...
    Elle a bien compris ce à quoi vous faisiez allusion... Pas la peine de préciser surtout, s'il vous plait...

    RépondreSupprimer
  26. Chère Christine,

    Oh bein, je suis déçu ! Christinette me trouve pas drôle et la grande Christine préfère que je garde pour moi, le détail de mes allusions pourtant fort intéressantes et que d'autres auraient certainement apprécié ! Bon, bein tant pis ! Puisqu'on m'rejette, j'me tais et j'vais lire le nouveau devoir de Christine, yaura p'têt des choses à dire, na....... !


    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  27. Bon, allez, si vous y tenez tellement, Dominique, détaillez donc ces allusions, puisque vous les dites si intéressantes...
    Mais, mon petit doigt me dit que "l'entretien avec Maman chérie" censé me redonner goût au travail n'est pas composé que de paroles...
    Sans vouloir paraphraser le titre d'une émission, je me demande si vous n'imaginez pas qu'il y ait à la fois "des paroles et des actes"...
    Et ces actes ne seraient-ils pas du genre claquants, réchauffants à en devenir brûlants et tirant des larmes d'une Christine dont une partie de l'anatomie aurait été dégagée largement pour rendre la leçon encore plus efficace ?
    Répondez donc Dominique, puisque je vous tends la perche...

    RépondreSupprimer
  28. Chère Christine,

    Voilà que Christine, fait dans la provocation, avec un phrasé un rien désinvolte et un air de grande Dame blasée livrant, elle-même, les détails de ma pensée.
    Le tout, avec un voile pudibond, qualifiant très justement les actes (claquants, réchauffants, brûlants, tirant des larmes et aussi des cris, qu'elle aurait pu ajouter). Mais se gardant bien d'utiliser les mots justes pour désigner ceux-ci, tels que fesses, fessée ou tannée et déculottée, pour être efficace. Sauf que ces mots sont difficilement supportables, quand on s'appelle Christine ou Christinette.

    Sur ce, je vous prépare un commentaire sur le 96, maintenant que je l'ai lu et qu'il m'inspire.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  29. Oui j'avoue, Dominique, que ce que vous appelez des "mots justes" ne me plaisent pas du tout... Je les ai trop souvent entendus dans la bouche de Maman, et les épisodes suivants devraient, hélas, sans vouloir les dévoiler à l'avance, en donner encore la preuve... Et je n'ai pas besoin de vous faire un dessin à propos de ce que craint Christinette, non ?

    RépondreSupprimer
  30. Chère Christine,

    Non, non Christine, nul besoin de dessin pour Dominique ou mieux encore pour Minot, dont je vous transmet une suite sur le 96 dans laquelle, Christinette pourra constater que son compagnon d'infortune lui aussi (comme Aline) entre dans la phase concrète et très palpable, de ce qu'elle redoute pour son avenir proche et que le gentil garçon « très sage », n'apprécie pas du tout. Maman comme Madame Spaak manquant vraiment de tendresse, dans ces moments là !!! Sniff...sniff...... !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer