jeudi 24 décembre 2015

Chronique d'un redoublement : 94. Quand mes camarades apprennent des détails gênants...




SUITE 93

Corinne n'avait pas tardé de faire savoir à Babette et Brigitte qu'elle possédait des informations susceptibles de les intéresser... Au surlendemain des confidences de Diane et au lendemain de mon 9,5 ma presque mauvaise note, Corinne avait distillé quelques confidences à ses deux amies sans aller cependant jusqu'à tout raconter, afin que l'origine de ses informations ne soit pas divulguée. Et puis, Corinne se doutait bien que d'autres détails lui parviendraient via Charline à qui Diane se ferait un malin plaisir de rapporter mes prochaines mésaventures...

En tout cas, Corinne était amusée de voir deux filles de Cinquième tenter de l'amadouer pour obtenir le moindre renseignement sur les malheurs de sa camarade de classe de l'année dernière.



Corinne s'amusait de la curiosité de Babette et Brigitte,
et elle se plaisait à montrer ce qu'elle connaissait
des méthodes de Maman Spaak
en leur faisant des confidences à mi-voix
dans un coin de la cour de récréation...

Babette, qui avait bénéficié des confidences indirectes de sa mère lorsqu'elle avait menacé sa fille d'une fessée, en justifiant sa sévérité du fait que Mme Spaak fessait encore régulièrement sa fille, était la plus pressante, voulant des détails supplémentaires...

Corinne lui fit donc dire tout ce qu'elle savait sur le sujet, et confirma : "Bah, oui, évidemment que c'est vrai. Christine se prend une fessée à chaque mauvais carnet ou à chaque heure de colle. C'était comme ça quand j'étais avec elle en Sixième et en Cinquième. Et ça n'a pas changé, moi, je le sais, hé hé !"

Babette et Brigitte poussaient Corinne à en dire plus : "J'ai bien vu hier quand Christine repartait chez elle avec son 9 et demi. Elle avait la trouille que sa mère s'occupe de son cas en arrivant", dit Brigitte.

Corinne montra une fois de plus sa science : "Oh, un 9,5 elle ne risquait peut-être pas quand même grand-chose, alors que si cela avait été un zéro c'était la déculottée assurée, je vous le dis..."

Babette était fascinée par les propos de la grande de Quatrième : "Je comprends que Christine ne soit pas pressée de rentrer parfois. Si c'est pour se prendre en arrivant une dégelée maternelle..."

Corinne se fit un point d'honneur à apporter quelques précisions : "En arrivant, c'est surtout les premières explications, et c'est là qu'elle sait si elle va s'en prendre une... C'est plutôt le soir après le dîner quand elle est en pyjama dans sa chambre que sa mère vient lui rougir les fesses..."

Brigitte n'en croyait pas ses oreilles : "Mais tu es sûre ? Comment tu sais ? Et si c'est dans sa chambre, personne ne peut voir."

Corinne prit une pose énigmatique : "Vous pouvez ne pas me croire, mais alors je ne vous dis plus rien du tout... Vous savez, on a été deux ans dans la même classe, et je sais plein de choses, sauf que je ne vous dirai pas comment, c'est tout... Bon, allez, au revoir".

Corinne avait fait semblant de couper court, et c'est Babette qui la rattrapa : "Si, si, moi je te crois. Ca ressemble à ce que la Maman de Christine a raconté à la mienne... Raconte encore..."

Flattée de l'insistance des deux de Cinquième, Corinne reprit les confidences : "D'accord, je vous en raconterai d'autres, mais vous devez me promettre que personne ne saura que cela vient de moi, promis, juré ?"

Babette et Brigitte s'exécutèrent, assez excitées de partager des secrets. La récréation se terminait, et Corinne laissa ses deux complices en leur distillant une dernière confidence de taille : "Vous savez, la Maman de Christine laisse souvent la porte de sa chambre ouverte quand elle lui donne la fessée, le soir après le diner... Et puis, je peux vous dire que ça peut être pire quand c'est plus grave... Vous n'êtes pas obligées de me croire, mais la dernière fessée reçue par Christine, sa Maman lui a donné dans le salon, culotte baissée, devant ses petites soeurs... Mais, je ne vous ai rien dit, hein ?"







Forte des confidences de Corinne,
Babette et Brigitte imaginaient déjà la scène
d'une de mes fessées observées en douce
derrière la porte laissée entrouverte...

Je n'avais pas repéré le trio qui s'était isolé au fond de la cour, en partie derrière un arbre. Je n'avais donc pas vu le manège de Corinne. Mais, dès le retour en classe, les yeux moqueurs de Babette et Brigitte fixés sur moi, me firent grimacer. Le mot n'était pas encore à la mode, mais je pense que je ressentais comme une forme de harcèlement.

Lors de la dernière heure, le prof de géo nous fit faire un petit contrôle sur table, que j'aurais rempli à l'aise en temps normal, mais les petites mimiques de Brigitte en se retournant deux ou trois fois avec un air entendu, me déstabilisaient. Il fallut que je me relise plusieurs fois, pour corriger une paire de fautes idiotes sur des choses que je savais par coeur.






Pendant l'interrogation de géo, Brigitte s'était retournée plusieurs fois
avec un petit air moqueur, qui semblait dire :
"J'espère que réponds bien, sinon gare à toi à la maison..."
De quoi me rendre nerveuse et me faire perdre une partie de mes moyens...

Le prof ayant donné les bonnes réponses après avoir ramassé nos feuilles, je compris que j'aurais une assez bonne note, mais je suis sûre que, sans les manoeuvres de Babette et Brigitte, j'en aurais eu une très bonne...

En sortant du cours, c'est Babette qui me glissa : "Alors, Christine, j'espère que tu as bien su... Sinon, ta Maman va encore se fâcher quand on aura les résultats.."

Je rétorquai : "Pff, je savais presque tout par coeur. J'aurai une bonne note, j'en suis sûre..." Je m'en mordis les lèvres car, une fois encore, je rentrais dans le jeu de Babette en lui répondant et accréditant par là ses thèses...

Brigitte fit semblant de me féliciter : "C'est chouette, si tu as une bonne note... Ta Maman te félicitera peut-être alors..." J'esquissai un sourire confiant en entendant sa phrase, mais sûre de son effet, elle reprit une respiration et ajouta avec un petit air entendu : "Oui, c'est chouette. C'est mieux que d'attendre en pyjama dans ta chambre que ta Maman vienne te donner la fessée".

Je rougis comme une pivoine, et détournai la tête, en grommelant : "Pff, c'est même pas vrai. Tu dis n'importe quoi". Et je filai sans me retourner, le coeur battant.

De toute manière, tout autre réponse n'aurait fait qu'amplifier mon malaise, en m'obligeant à mentir...






J'avais nié l'évidence quand Brigitte m'avait décrit
la scène de mon attente en pyjama dans ma chambre
préparant mes fesses à la déculottée maternelle.
J'étais bouleversée et rentrai à la maison
avec une mine angoissée que Maman remarqua...

J'étais bouleversée en rentrant à la maison, et Maman crut même que j'avais une mauvaise nouvelle à annoncer ou que je lui cachais quelque chose. Elle insista : "Oh, toi je te connais trop... J'espère me tromper pour une fois, mais quand je te vois avec cette tête et ce regard fuyant, cela ne me dit rien de bon qui vaille... Tu n'as pas intérêt à me fâcher ce mois-ci, tu le sais, Christine. Sinon, gare à tes fesses... Et tu sais qu'avec moi, ce ne sont pas des promesses en l'air..."

Et je dus mettre bien du mien pour la convaincre du contraire, non sans qu'elle m'ait répété que j'avais intérêt à ne pas faire d'entourloupe, sinon cela irait mal pour mes fesses...

Décidément, je me sentais comme coincée, comprenant qu'il fallait que j'évite absolument le pire, que je garde surtout ma lune blanche...





Je me sentais coincée, 
troublée par ce que semblaient savoir mes camarades,
prête à tout pour éviter de fâcher Maman, mais en même temps
je partais presque perdante dans ma tête,
impressionnée par la détermination maternelle,
et imaginant que je n'échapperais pas à une prochaine,
voire très proche déculottée...


Une fois dans ma chambre, j'eus du mal à retrouver mon calme, troublée que mes copines de classe connaissent ces détails de mon éducation. Je comprenais mal, me demandant comment elle pouvaient savoir ça, mais dans ma réflexion, je pensais davantage à des confidences de ma mère à celle de Babette, à qui elle avait déjà dit bien des choses sur ses méthodes...

34 commentaires:

  1. Chère Christine,

    Alors que j'avais préparé un memo, pour vous rappeler à vos devoirs en vous tirant l'oreille. Voilà que vous nous server la suite 94.
    Merci pour ce cadeau de Noël, que j'ai parcouru vers minuit aujourd'hui, constatant que celui ci est concentré sur la chipie de Corinne et sa langue de vipère, n'hésitant pas à briser l'image de son ex-collègue de classe, qu'elle dédaignait déjà froidement.
    Cette bécasse mériterait grandement une bonne séance, façon Maman Spaak pour lui faire rabattre son caquet. Non?

    Sur ce je vous souhaite un joyeux Noël et vous informe, actualité obligé, que cet après-midi j'emmène mon fils voir, Star Wars.

    Alors que "La force soit avec Christinette" pour éviter, non " Le sabre laser de Vador", mais la main séculaire de Maman tout aussi efficace, sur les rondeurs de sa fille.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  2. Chère Christine, et bien voilà une suite qui s'annonce particulièrement dure pour notre chère Christinette.

    Pour commencer Corinne qui fait languir ses deux complices en ne dévoilant que partiellement ses informations à ses deux comparses Babette et Brigitte qui une nouvelle fois essaient de déstabiliser notre héroïne qui cette fois ci semble s'en sortir à merveille.

    Il s'en est fallu de peu, car après avoir relus son devoir de géo, notre Christinette y retrouve quelques fautes d'étourderie. Apres une ultime provocation de Babette, Christine lui répond qu'elle va décrocher malgré tout une bonne note, certe pas comme le voudrait Maman Spaak, mais une note lui évitant de se retrouver allongée sur les genoux maternels.

    Cependant, la tête que fait Christine en rentrant à la maison pousse Maman à lui poser des questions sur d'éventuelles cachotteries, mais cette fois ci, elle ne peut rien lui reprocher, mais l'attitude de notre Christinette l'oblige à être sur ses gardes.

    Selon moi, Christine en veut à sa mère car elle pense que tous ses malheurs proviennent de la discussion d'ont elle a été témoin entre sa maman et Mme Vitez, et pourtant Christine devrait également se poser des questions sur d'éventuelles fuites provenant de ses deux sœurettes car il y a eu des précédents.

    En conséquence, j'imagine que votre attitude envers votre mère deviendra conflictuelle vous amenant inexorablement sur ses genoux encore une fois devant Diane et Aline.

    Voilà Christine mon premier commentaire à chaud sur ce paragraphe qui me semble être une introduction à la suite des événements.

    RépondreSupprimer
  3. Chère Christine,
    Episode:

    Corinne est aux anges, les informations que Diane a lâché sans méfiance, sur ses réelles intentions, sont une véritable aubaine et compte tenu de sa perfidie, elle n'aura aucun mal a en obtenir d'autres par le biais de sa petite soeur Charlie.

    Pour cette précieuse demoiselle, être ainsi sollicitée par d'autres élèves sur son ancienne camarade de classe durant deux ans et ses tourments familiaux, lors de ses écarts solaires est un privilège, lui conférant un statut d'informatrice patenté pour Babette, ayant déjà obtenu quelques échos par sa mère.

    Corinne a donc tout loisir d'étaler sa connaissance sur le sujet et ainsi enfoncer un peu plus Christire, dans une position de gamine encore déculottée par sa mère, si nécessaire et fascine alors un auditoire médusé par ses propos.
    A suivre......

    Amicalement, Dominique


    RépondreSupprimer
  4. Merci de votre réactivité en cette période de fêtes où je n'ai guère de temps pour l'écriture. Je confirme que Christinette est assez déstabilisée par les allusions de ses camarades de classe qu'elle ne peut que subir. Avouer à ses copines ce qui lui arrive "parfois", pour ne pas dire souvent à la maison serait la porte ouverte à encore plus de moqueries. Le nier totalement s'apparente à des mensonges. Reste l'indifférence, mais c'est trop demander à une pré-ado sensible et touchée par ces moqueries, d'autant plus qu'elles ne sont que le reflet de la vérité, et que chaque détail que savent ses copines lui donne l'impression qu'elles ont assister à la scène, ou du moins qu'elles peuvent l'imaginer réellement.

    RépondreSupprimer
  5. Chère Christine,

    En effet, il est bien difficile pour une pré-ado sensible, de gérer à la fois les attentes d'une mère exigeante et les moqueries de camarades, sur un sujet qui la touche particulièrement.
    Celle-ci ne pouvant être que perturbée par tout cela et ne peut se sentir sereine.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  6. Etrange sensation en effet où Christinette voulait tout faire pour éviter les moqueries des autres, et donc surtout échapper à toute nouvelle fessée, et où, paradoxalement, la situation la rendait nerveuse, inquiète, irritable même, provoquant la méfiance maternelle et les menaces qui vont avec...
    Cela ressemblait presque à une situation où l'on se concentre tellement pour ne rien renverser ou ne rien casser que l'on devient fébrile et tremblante... Avec les conséquences que cela peut avoir...

    RépondreSupprimer
  7. Bonjour Christine, en ce début d'année, j'aimerai vous souhaiter une bonne et heureuse année 2016, pour vous et tous vos proches.

    Je constate que les commentaires sur cet épisode se font rares. C'est vrai que nous attendons tous et toutes la suite des frasques de Babette, Brigitte et de Corinne à votre encontre. Reussiront-elles à vous déstabiliser et vous, arriverez-vous à résister à la pression qu'elles vous imposent.

    En tous les cas, vous semblez bien confiante â l'issue de ce devoir de géographie. Mais êtes-vous vraiment certaine d'avoir bien relu votre copie. Ma question peut paraître idiote, mais vous savez, pour l'avoir vécu à bien des reprises, alors que, comme vous après les réponses données par le professeur, j'etais sereine et croyais avoir bien répondu, je me retrouvais avec des notes en dessous de la moyenne. Bien entendu, je ne subissais aucune pression de camarades de ma classe. Tout cela pour vous dire que je ne serais pas surprise si votre note n'était pas conforme à celle que vous attendez et c'est Maman Spaak qui à ce moment là risque de se défouler sur votre posterieur à la grande joie de Babette et ses deux comparses.

    Autre point qui me parait important, c'est que vous pensez que votre maman est à l'origine de vos deboires avec vos camarades suite à sa discussion avec Mme Vitez et, là aussi les relations avec votre mère risquent de se détériorer et cette dernière n'acceptant pas votre comportement vis à vis d'elle mais egalement de vos deux frangines vous le fera payer au prix fort.

    Voilà Christine un petit commentaire qui, vous conviendrez, pourrait se réaliser.

    RépondreSupprimer
  8. Merci Sylvie pour vos bons voeux. Je vous souhaite à mon tour une belle et heureuse année 2016. A vous ainsi qu'aux autres commentateurs qui, il est vrai, se font rares, mais la période de fêtes étant achevée, j'espère les retrouver aussi.
    Quant à votre commentaire, il est en effet judicieux, et que ce soit sur les rapports avec Maman, ou sur le stress qui peut être préjudiciable à mes notes, je vous concède volontiers qu'il y a là des facteurs de risque pouvant entraîner un retour sur les genoux maternels plus rapidement que je ne l'imagine... Et cela empoisonne mes réflexions comme mes cauchemars...

    RépondreSupprimer
  9. Chère Christine,

    Lundi, encore en vacances avec mes enfants, j'avais rédigé un texte de bonne année sur mon téléphone et je pensais l'avoir transmis, celui-ci ayant disparu de l'écran. Ne le voyant pas apparaître ce matin sur votre blog, je suppose avoir effectué une fausse manip et vous le transmet donc aujourd'hui de mon ordi.

    Je présente mes meilleurs vœux pour l'année 2016, à la grande Christine, ainsi qu'aux autres commentateurs et à la chère Christinette, assez soucieuse en ce moment, du fait des événements dont-elle fait l'objet et qui la mette, en grand danger, vis à vis de Maman prête à remettre le couvert au moindre de ses faux pas. Ce qui pour la demoiselle, est une source supplémentaire d'inquiétude et d'angoisse, la faisant cogiter !
    « Surtout ! Ne pas contrarier Maman, avec de mauvaises attitudes ! Ou pire encore, chuter lors d'un contrôle à cause du stress ! Là, c'est s'assurer une magistrale déculottée ! Oh, non, mon dieu ???Faites qu'il n'en soit rien, afin que la main séculaire de Maman n'est pas à se mettre en action et modifie l'immaculée d'une partie charnelle, que je ne souhaite pas voir dévoilée de nouveau !!! »

    Par conséquent, en guise de cadeau pour la nouvelle année envers Christinette, une suite du Minot sera livrée, ce qui pourra peut-être aider (moralement) celle-ci à surmonter ces épreuves qui la mine, constatant qu'elle n'est pas seule dans la difficulté (certes c'est une moindre consolation, mais je ne suis pas l'éternel)

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  10. Joli commentaire de Dominique, non sans humour quand il imagine la prière de Christinette qui craint que la main séculaire de Maman ne modifie l'immaculé d'une partie de son anatomie...
    Merci de vos voeux, en vous souhaitant également une bonne année, pleine de "rebondissements" positifs, même si certains ne seront pas du goût du Minot, comme ils risquent bien de ne pas l'être du tout pour Christinette...

    RépondreSupprimer
  11. Chère Christine,

    Merci de l'appréciation pour le commentaire, dans lequel en effet, j'ai glissé cette pointe d'humour en forme de prière, me référant aux convictions religieuses de la famille Spaak, évoqué dans le blog par la grande Christine.
    Sinon aux sujets des « rebondissements » particuliers auxquels vous pensez, s'y leurs aspects positifs sont indéniables, avec le recul ! Je confirme que leurs saveurs, sur l'instant, étaient plutôt d'un genre très amer que le Minot exécrait par dessous tout et je crois qu'il en était de même pour la Christinette !
    Et malheureusement, si pour l'un, les « rebonds » sont imminents et certains ! Pour l'autre, le risque s'accroît au fil des jours et la corde raide sur laquelle, elle se trouve se tend de plus en plus et pourrait bien se rompre, plus vite qu'elle ne le souhaite.
    Certes, cette prévision néfaste manque, cette fois, d'humour et d'empathie, je vous l'accorde et ne sera sûrement pas du goût de la charmante Christinette, qui se fait déjà un sang d'encre pour gérer le quotidien et s'éviter des désagréments qu'elle redoutent.
    Mais ce n'est que le résultat d'une légère érudition, de ma part, sur l'univers Spaakien et les pensées de Christinette (enfin , je crois).

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  12. séculaire signifie vieux d'au moins un siècle.

    RépondreSupprimer
  13. il doit y avoir confusion avec le bras séculier

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. La culture, c'est comme la confiture, moins on n'en a, plus on l'étale! De la part d'un inculte qui assume.

      Dominique

      Supprimer
    2. Ne soyez surtout pas vexé par cette précision orthographique Dominique. Mieux vaut un commentaire avec parfois quelques imperfections orthographiques qu'une simple remarque sèche... Et si Christinette elle-même n'avait pas eu parfois quelques zéros en dictée, elle aurait bien moins de souvenirs cuisants à raconter....

      Supprimer
  14. Merci pour la précision orthographique. En effet séculier est plus adapté.
    Merci aussi à Dominique pour son message, même si un peu plus de compassion aurait fait plaisir à Christinette qui angoisse fort en ce moment du récit et n'apprécierait guère de constater que le fidèle commentateur n'est pas très confiant quant à la capacité de Christinette de pouvoir éviter de prochains désagréments susceptibles de lui faire rougir de honte les joues du haut, et bien plus encore les joues du bas... Si vous voyez ce que je veux dire... Dois-je préciser davantage ?

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Chère Christine,

      Non, non, inutile de préciser, je vois très bien ce que voulez dire et le Minot aussi, qui va le détailler dans la suite qui arrive. Tant qu'à la compassion, je la réserve pour plus tard, si Christinette chu malencontreusement face aux obstacles.

      Concernant, la correction, je ne suis pas vexé. Ce qui me gène c'est la manière désinvolte! Vous-même m'avez déjà adressé des corrections d'orthographes, mais de façon amicale et sympathique, non péremptoire comme cet énergumène qui se la jouerait peut-être moins, si je l'avais en face de moi (là, c'est l'ancien officier des commandos de marine qui parle).

      Désolé, Chère Christine, mais vous connaissez la probité qui m'habite et les réactions que je peux avoir, lorsque l'on me chatouille de travers, je suis comme cela (brut de décoffrage) et je n'y peux rien ! Bien sur tout ceci, ne s'adresse nullement à vous chère conteuse.

      « Voilà ! Encore un petit billet d'humeur du Dominicain, quel bougre celui-là ! ». Je plaisante, bien sur !

      Très Amicalement, Dominique

      Supprimer
  15. D'accord avec vous sur la manière désinvolte de la remarque. Mais je ne l'ai validée que parce que j'ai moi-même repris l'adjectif "séculaire " sans faire attention, ce que Maman en son temps aurait considéré comme une faute d'étourderie qui aurait pu, au bout de cinq du genre dans la même dictée me valoir ce que vous semblez deviner... Une bonne f... Pour laquelle j'espère que vous auriez de la compassion à l'égard de Christinette...

    RépondreSupprimer
  16. Chère Christine,

    Que Christinette se rassure, je lui offre sans retenue toute ma compassion, si elle devait à l'occasion d'une dictée comportant cinq fautes d'étourderie, se présenter sur le giron maternel pour une bonne f....(donc je suis capable de bien orthographier la suite).
    Même si je pense que l'étourderie ou la désobéissance (Minot) récurrentes, peuvent être des motifs justifiant, une reprise en main maternelle plus sèche et significative, que des rappels verbaux.
    Par conséquent, tout en ayant une pensée émue pour Christinette, je ne pourrais m'empêcher de me dire que la petite Christinou s'est mise elle même dans de sales draps, en manquant vraiment d'attention ou bien en le faisant exprès ! Alors que sa Maman décide de lui donner une bonne f...., c'est très ennuyeux pour Cri-Cri, mais elle l'a bien cherchée et méritée, malgré tout.
    Là, la petite Christinette, soutenue par la grande Christine va me jeter aux lions !!!!

    Tant qu'à la validation du message, je ne vous reproche rien, c'est votre blog chère Christine et la validation ou non des messages n'appartient qu'à vous et votre liberté de choix, que nous nous devons de respecter. Je n'ai donc aucun grief, envers vous et je pense que le mieux est de clore le sujet, pour revenir à nos avatars (Christinette et Minot).

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  17. Oui je vais le jeter aux lions le vilain Dominique qui imagine que Christinette aurait bien "cherché" et même bien "mérité" la prochaine bonne fessée maternelle !!! Ah, non, pas ça alors !
    D'ailleurs en lisant la suite publiée ce jour, il verra que c'est Aline qui est servie de cette manière. Même si je crains qu'elle soit surtout la première... Ce qui laisserait entendre qu'il va y en avoir une deuxième... Mais laissez-moi encore un peu d'espoir SVP.

    RépondreSupprimer
  18. Chère Christine,
    Suite du Minot :

    Après s'être assise, Maman désigna ses cuisses, en me faisant signe d'approcher avec son index et le tout en silence !
    Cette façon de faire me figa sur place, car cela précédait généralement les très grosses dérouillées et je ne pus alors retenir mes larmes ! Néanmoins, mu par la trouille, j'eus un sursaut d'énergie me faisant ouvrir la bouche et quasiment crier à Maman :
    « Noonn, M'man, noonn ! C'est pas juste ! Y a pas qu'moi qui jouait au ballon ! Ste plaît, pas ça, j'veux pas ! Pas çaaa, j't'en suppliiiee ! ». J'avais tout sorti d'un trait, sans respirer, mais avec de gros sanglots, non forcés.
    Maman me répondit alors :
    « Je le sais bien, mon fiston, que tu n'étais pas seul et qu'Eric aussi, mérite une punition ! Mais il n'empêche que ce qui me contrarie davantage, est que tu as de nouveau désobéi (il est vrai qu'après l'âge de 10 ans, ce fait était du genre récurrent chez, entraînant du coup, plus de fessées) ! Or comme tes sœurs ou cousines, tu sais que Tata ou moi, n'aimons pas ça et qu'à chaque vous êtes punis pour cela ! Alors si je comprends ton inquiétude, parce que tu crains cette punition qui te fait honte et s'appelle une fessée ! C'est la règle en cette maison et je me dois de l'appliquer, sans faire d'exception, c'est ainsi ! Que tu sois d'accord ou pas ! Allez viens ici, qu'on en finisse et vite, je ne vais pas y passer la journée ! »

    J'étais résigné et larmoyant, sans plus aucun échappatoire ! Il me fallait approcher de Maman, pour recevoir cette fameuse « fessée », précepte immuable et appliqué par nos parents (plutôt nos mères), sans violence, ni colère (ou alors contenue), mais avec fermeté et constance. Le principe parental était simple : fessée = punition et devoir, en fonction de la personne, non un divertissement !

    Seuls 2 ou 3 mètres me séparait de Maman, que je parcourus à petit pas sans hâte, n'étant pas pressé d'atteindre une destination finale peu enviable, ce qui eu pour effet de faire sourire ma mère et me dire de façon ironique :
    « Et bien, mon grand ! D'ordinaire tu es plus rapide que ça, lorsque Maman chérie t'appelle, non ?

    J'savais pas quoi répondre ! En moi-même, j'me disais c'est pas possible, M'man va pas bien ! Comment peut-elle penser, que j'ai envie d'avancer plus vite vers ses genoux, pour une trempe ! J'rêve ou j'suis fou !!! Un peu perdu, je baissais encore plus la tête vers le sol, accélérant légèrement le pas comme un automate, imaginant bêtement amadouer un peu Maman si j'arrivais plus vite. Idiot que j'étais ! Cela ne changeait rien à l'affaire, au yeux de ma chère mère ! Elle avait une fessée à donner, elle la donnerait sans en modifier la teneur prévue. Malgré une attitude positive avant l'instant T.

    A suivre...........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  19. Chère Christine,

    Je viens de transmettre une suite du Minot et constate avec bonheur, que Christine a sorti un nouvel épisode, en m'indiquant bien que c'est Aline qui entre en lice et non pas Christinette, na.., na... et re-na....!!!
    Sauf que la demoiselle, qui se ferait un plaisir de jeter le « vilain Dominique » (même pas vrai) aux fauves, demeure sur ses gardes imaginant, à raison selon moi, qu'Aline ne soit que la première sur la liste maternelle et qu'il est plus que probable, qu'elle soit en seconde position et pour une tournée, bien plus MAJESTUEUSE, même si je n'ai pas encore lu, le 95 concernant soeurette.

    « Ouh la, la !!! Ce coup-ci, je vais le lyncher ! Allez le grand jeu pour cet affreux, la roue, le fouet, les fauves ou que sais-je encore, non mais !!!!!!! ».

    Hi..., hi...., hi...... !!!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  20. Voilà cette fois le Minot en bien fâcheuse position. Sans vouloir être méchante je pense qu'il va prendre une tannée maison bien méritée. Lui qui se moque et me prédit souvent de gros ennuis pour mon bas du dos ce n'est que juste retour des choses. Hi hi hi... Comme en plus, l'épisode suivant épargne Christinette, je n'en suis que fort aise... Même si je reste assez angoissée mais je ne vais surtout pas le dire à Dominique qui ne manquerait pas de me taquiner encore et d'imaginer je ne sais quoi....

    RépondreSupprimer
  21. Pas chère Christine,

    « Ah oui, alors ! Pas très gentille la dame, avec le gentil petit Minot, imaginant qu'il va recevoir une tannée maison et qu'il la bien méritée ! Sniff, sniff...... ! Méchante madame et le pire, c'est qu'elle a p't'ête raison ! Oh, c'est pas juste, y a qu'Aline et moi qui dégustons, pour l'instant ! Vivement que le vent tourne pour la Christinette et qu'elle en ramasse une bonne, comme Maman Spaak sais y faire avec elle ! Là, au moins, on est sur que la séance sera bien musclée ! Na, na, na, Christinette, si ça t'arrive, tant pis et bien fait !!!!! 


    Pas amicalement, Minot, hi, hi, hi.........

    RépondreSupprimer
  22. Incorrigible ce Minot... Il insiste... Pourvu que je réussisse à ne pas fâcher Maman, histoire de ne surtout pas lui donner raison. J'ai déjà assez avec les moqueries de mes copines de classe pour ne pas subir les siennes en plus...

    RépondreSupprimer
  23. Chère Christine,

    Désolé, Christine ! Le Minot, m'a dit qu'il y avait un problème de fuite à la cuisine et piqué l'ordi, pendant que je réparais ! Bien sur votre blog était ouvert, puisque que je lisais votre commentaire et il en a profité pour écrire ce message, désagréable ! Mille excuses, encore une fois !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  24. Astucieux ce jeu de double rôle Dominique et Minot. Bien vu, j'en souris, mais ne compliquons pas trop les choses pour ne pas trop nous mélanger les récits.

    RépondreSupprimer
  25. Chère Christine,

    Non, non, rassurez-vous Christine, c'était juste un petit jeu comme vous le dites, qui m'est venu d'un coup en lisant votre commentaire et pour y répondre avec une pointe d'humour. Tant mieux, si ça vous a amusé, j'ai atteint mon but et n'en abuserais pas, les meilleures choses étant les plus courtes. Je vous prépare une réponse et la suite pour l'épisode 95.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  26. Je n'étais pas inquiète Dominique mais je préférais que l'on ne s'aventure pas dans un jeu de dédoublement des rôles où le Minot et Dominique sont différents. Mais l'idée était drôle et m'a amusée.
    Cela dit, j'attends avec plaisir la suite de la scène du Minot, mais aussi les commentaires sur l'épisode 95. Merci d'avance !

    RépondreSupprimer
  27. Chère Christine,

    Je suis très content d'avoir amusé la galerie, tant que je ne le fais pas en classe, tout va bien ! Sinon, bonjour les dégâts en rentrant à la maison, avec Maman.
    Concernant la suite du Minot, que cela vous fasse plaisir je n'en doute pas (ainsi qu'à Christinette, qui compatira peu-être) un seul instant, par contre je suis sur que lui n'y voit aucun plaisir, bien au contraire et n'est pas du tout attiré par celle-ci, compte tenu du résultat final chaud, bouillant pour sa petite personne ! J'imagine que vous le comprendrez, votre expérience aidant et Christinette aussi, qui pour le moment arrive à tenir, un équilibre très précaire, sur la corde raide ou elle se trouve et ce n'est pas une mince affaire ! J'y reviendrais dans le 95.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  28. Là je suis d'accord avec Dominique : mieux valait amuser la galerie ailleurs qu'en classe... Sinon, cela promettait une suite beaucoup moins joyeuse pour celle ou celui qui avait fait le pitre... Avec un final "chaud bouillant " comme dit Dominique !
    Pour la suite du Minot, disons que si la Christine de maintenant compatit, Christinette, elle, se dit qu'une bonne dégelée maternelle calmerait peut-être celui qui se moque des déconvenues christiniennes et semble prendre un malin plaisir à lui pronostiquer de prochaines fessées, ce qui ne fait qu'augmenter son angoisse en ce moment crucial de cette année de redoublement...
    Et ce n'est pas parce que la suite du récit lui donne souvent raison, et risque, hélas, mais n'insistez pas, je vous prie, de lui donner encore raison très prochainement que cela n'attriste pas Christinette qui préférerait entendre des phrases de compassion ou que l'on lui fasse croire qu'elle va échapper à un prochain retour en travers des cuisses maternelles... Vous comprenez ?

    RépondreSupprimer
  29. Chère Christine,

    Je comprends fort bien que Christinette soit attristée par les anticipations ou suppositions (souvent justes) que Dominique peux faire en commentant les récits que nous livre la grande Christine et qu'elle préfère avoir de la compassion, au sujet des déboires fessiers, que sa chère Maman lui sert malgré son statut de pré-ado en pleine évolution. C'est bien légitime pour la jeune Christinette, qui en plus de devoir encaisser la moquerie des soeurettes ou de tierces personnes. Maintenant, ce sont les copines de collège qui s'y mettent, informées par la bande (comme on dit).

    Alors je conçois que cela fasse beaucoup, pour une jeune fille aussi sensible que Christinette, qui ne mérite pas ces sarcasmes blessants, étant déjà soumise (à son corps défendant) à une punition qui l'infantilise, par la volonté d'une mère considérant que cette méthode est la plus efficace, même pour sa grande fille.
    Par conséquent, si j'admets compatir à son sort, je ne peux désavouer Maman Spaak à son jugement, au regard des résultats obtenus, dans le temps ! N'est-ce pas Christine ?

    Sinon, tant qu'à faire croire à Christinette, qu'elle échappera à un éventuel retour sur le giron de sa chère, cela relève du devin et je ne peux que lui souhaiter, enfin pas trop fort, tout de même!

    Petit précision du Minot à Christinette :
    Celui-ci préférait et de loin, comme calmant, le sirop typhon (merci Richard Anthony) à la dé-gelée maternelle surtout si elle était royale !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  30. Dominique est moins catégorique et se met à "souhaiter", du bout des lèvres, que Christinette échappe à un retour sur le giron maternel... J'en suis fort aise, et cela me change des pronostics toujours en ma défaveur... Même si, je dois l'avouer, la fessée d'Aline ne m'a pas du tout rassurée... Et qu'elle me fait cauchemarder en imaginant que ce n'est peut-être qu'une répétition avant que je n'entre une fois de plus en scène...

    RépondreSupprimer
  31. Dans ce chapitre, vous continuez avec bonheur à broder sur ce thème qui m’interpelle particulièrement : celui de la transsudation des « détails de votre éducation » hors du strict cercle familial.
    En outre, par un procédé de « mise en abyme » que j’ai peut-être déjà évoqué, et reconstituant des dialogues que vous n’avez pu que supputer (exercice d’écriture inédit dans lequel entre parenthèses vous vous montrez fort convaincante) vous déléguez à l’un de vos personnages le rôle de narratrice, qui pour reprendre l’une de vos métaphores, entrouvre aux yeux de ses camarades ébahies, la porte de votre chambre. (De même que vous, bien que mue par des intentions différentes, l’entrouvrez à vos liseurs.) Telles des mouches ou des petites souris, Brigitte, Babette et vos lecteurs se voient donc introduits dans l’intimité de votre foyer, pour y assister par procuration au spectacle de vos fesses rougies par la main maternelle. (Mais alors que vous appelez de vos vœux les commentaires de votre lectorat, je suppose que vous vous passerez bien de ceux de vos copines.)
    Je mesure une fois encore la maestria dont fait preuve Corinne en matière de manipulation, mais cette fois envers vos deux camarades (après avoir pour ainsi dire roulé Diane dans la farine, en lui soutirant toutes les informations qu’elle en attendait sans que votre benjamine ne s’en rende compte). Très fière de susciter l’intérêt manifeste de deux cadettes (au détriment d’une tierce personne absente, ce qui certes se révèle peu glorieux, mais a-t-on tout son sens à cet âge ? et que ne ferait pas une préadolescente pour se sentir « flattée ») elle se fait fort d’attiser par tous les moyens l’attention de son public.
    Rengorgée de sa connaissance profonde de la situation, de sa « science » comme vous l’écrivez, dont elle se prévaut par des formules prétentieuses : « Moi je le sais, hé hé », avantagée par sa position de « grande Quatrième » (une année de différence d’âge paraissant énorme en cette période de la vie), cette marionnettiste tire à tous les fils.
    Par exemple, elle se garde de tout raconter, pour entretenir la sollicitude insistante de son auditorat, et se permettre de rallonger la sauce par des confidences ultérieures. Ou alors, elle laisse à ses interlocutrices la liberté de ne pas la croire, fait mine d’interrompre les confidences et de s’en aller, ce qui bien entendu exacerbe les attentes de Babette et Brigitte, qui, « excitées » par le flot de ces révélations, craignent qu’il ne se tarisse et supplient à la délatrice de leur vendre la mèche : « Raconte encore » l’en prient-elles. Corinne accentue la gravité, l’amplitude, la véracité de son secret, en faisant promettre aux dépositaires de n’en rien révéler (ni sur leur nature, ni sur leur source).
    Par ailleurs, Corinne se voit secondée dans son entreprise par l’hostilité de Babette, avide d'indices à votre charge (car désireuse sans doute de se venger de cette menace de fessée dont vous vous trouvez la cause indirecte et bien entendu involontaire). Elle lui soutire habilement sa propre version des faits, celle qui a transité de votre mère à la sienne. Par ce témoignage complaisant, elle complète son jeu sans rien en montrer.

    RépondreSupprimer