jeudi 2 octobre 2014

Chronique d'un redoublement : 76. D'une fin de vacances calme à une angoisse qui monte...

SUITE 75

Il restait encore une semaine de vacances avant d'entamer le dernier trimestre, et chacune des trois soeurs avait eu droit à un passage sur les genoux maternels, sans que le traitement ait été égalitaire, du fait de l'âge ou des motifs et circonstances, mais globalement Maman avait recadré ses trois filles, en faisant bien passer son message...
Il n'était pas question cette fois que la fin d'année scolaire soit marquée par une quelconque surprise, et chacune d'entre nous avait bien compris que rien ne nous serait passé...

Au lendemain de ma tannée dominicale, Maman nous fit travailler encore plus, surtout Aline et moi, mais Diane également dut faire des devoirs et des révisions tous les jours.
Mieux valait ne pas tenter le diable, et nous avons fait de notre mieux, évitant de rechigner et essayant de nous appliquer, ce qui ne faisait finalement que convaincre Maman qu'elle était dans la bonne voie...

Je l'entendis d'ailleurs discuter avec une autre Maman rencontrée dans la rue, et préciser : "Je n'ai pas à me plaindre. Cette semaine, mes filles sont plutôt calmes et travailleuses. Il faut dire que j'ai fait ce qu'il fallait. Rien de tel qu'une bonne fessée pour les ramener à la raison".
La dame, voyant que j'avais baissé la tête, et froncé les sourcils, demanda si cela concernait "même Christine", et Maman rétorqua : "Même Christine, bien sûr. Pour ne pas dire surtout. Vous savez, je n'ai pas envie qu'elle perde encore une année, et je dois dire qu'une bonne déculottée de temps à autre, c'est encore ce qu'elle comprend le mieux..."

Vous imaginez qu'entendant cela, je fulminais et me sentais honteuse.



La conversation avec la dame rencontrée en ville 
me fit me sentir honteuse comme rarement.
Dans le regard de la dame, j'avais l'impression
qu'elle m'imaginait sur les genoux maternels...

Heureusement, la semaine passa sans véritable anicroche, même pour Aline qui y échappa de peu, mais montra pas mal de bonne volonté dans son travail. Diane prit toutefois une gifle pour un mouvement de mauvaise humeur, mais se garda bien de persister pour ne pas fâcher davantage Maman.

Seul bémol de cette semaine de répit fessier, à mon point de vue, c'est que je demeurais la dernière à avoir été punie, et je dus entendre, toute la semaine durant, les quelques avertissements donnés par Maman s'y référer, du style : "Aline, tu sais ce qui est arrivé à ta grande soeur, dimanche... Tu veux la même déculottée ?" Ou encore : "Christine, rappelle toi de dimanche soir... Tu veux revenir sur mes genoux ?"

Toutefois, il n'en fut rien, mais la perspective du retour en classe le lundi matin durcissait encore le propos maternel. En tout cas, nous eûmes droit, lors du diner du dimanche soir à un sermon bien senti, rappelant que le dernier trimestre était décisif, que Maman ne tolérerait aucun relâchement, etc., etc.
Et elle récidiva au moment du coucher, chacune étant bien mise en garde, avec des menaces assez claires sur ce qui attendrait celles qui ne feraient pas d'effort...

Etant évidemment la dernière à recevoir la visite maternelle, après qu'elle ait éteint dans la chambre des petites, Maman me rabâcha les mêmes recommandations d'un ton assez fort pour que les petites l'entendent aussi.

Je dis bien que j'avais compris et je fis toutes les promesses qui me passaient par la tête, pour la rassurer, ce qui n'eut pas l'effet escompté, puisque Maman me rappela : "Je les connais trop tes promesses, Christine. Ce que je veux, ce sont des actes. Mais, moi, tu sais, les promesses, je les tiens... Alors, je te le répète, la moindre mauvaise note, la moindre colle, le moindre mensonge, et tu pourras préparer tes fesses, ma grande, oui, préparer tes fesses, tu m'entends ?"

A force de l'entendre, je bouillais intérieurement et je lâchai un : "Oui, j'ai compris, j'ai compris, M'man. Ce n'est pas la peine de le répéter sans arrêt... Tais-toi donc !"

Je pris conscience, en le prononçant, que ce "Tais-toi donc" était très déplacé, et mal venu, surtout dans ma position. Maman fit la grimace, interloquée, et haussa le ton : "Comment ça : tais-toi donc ! Tu réponds à ta mère ? Qu'est-ce que c'est que ça ?"


 J'avais répondu de façon un peu déplacée à Maman
qui fut à deux doigts de me donner la fessée
sur le champ. Heureusement, j'y échappé,
mais la menace laissait penser que ce n'était que partie remise...

Je compris que j'avais été trop loin, et répliquai sur un ton doucereux : "Non, Maman, non, je disais juste que je sais tout ça, que je te promets que je vais bien travailler, et que ce n'est pas la peine de me le redire, je sais très bien ce qui arriverait si je travaillais mal".

Ma supplique ne la convainquit qu'à moitié... Je sentis qu'elle hésitait, mais il était l'heure de dormir et elle se contenta d'un avertissement : "Bon, tu as de la chance, Christine. Tu mériterais bien que je m'occupe de tes fesses... Parce que je ne tolérerai pas que tu me répondes à nouveau ainsi... Mais, ce n'est que partie remise, ma fille. Ne t'avise pas à me chercher, sinon la prochaine remarque sera la bonne et on réglera nos comptes"...

Je demandai pardon avec une petite voix, effrayée que j'étais, sentant bien que j'étais passée à deux doigts du pire...

Maman se calma, mais je sentais bien qu'elle avait réellement hésité et que j'avais eu de la chance sur ce coup-là ! 
Elle déposa un rapide baiser sur mon front et se releva, non sans en remettre une couche : "Fais attention, Christine, fais attention, sinon gare à tes fesses... Cela fait une semaine que je ne m'en suis pas occupée, mais cela ne va sûrement pas durer. Alors, c'est à toi de voir ce que tu veux..."

J'eus du mal à m'endormir, persuadée que j'étais que je venais d'échapper, par je ne sais quel miracle, à une déculottée maison... 
J'aurais dû en être contente, soulagée, mais connaissant la psychologie maternelle, je comprenais que Maman allait y repenser, et se demander si elle avait bien fait, ou si elle n'aurait pas dû sévir... Et ce genre de réflexion allait faire que, sans guère de doute, elle serait encore plus attentive à mes moindres faits et gestes, et ne manquerait sûrement pas de saisir la prochaine occasion pour "s'occuper" de mon cas...

D'ailleurs, dès le lendemain, pas question de lambiner le matin, de trainer les pieds, de discuter les consignes maternelles, ni de tarder à se mettre aux devoirs, dès le goûter avalé. Goûter durant lequel, Maman reprit assez souvent son habitude de jeter un oeil dans les cartables, pour ne pas dire de les fouiller, et de vérifier les carnets de correspondance, les cahiers, les devoirs à faire, et ce qui avait été rendu le jour même.

Si mes soeurs n'y voyaient guère à redire, vu leur âge, j'avais plus de mal à la voir reprendre ce petit manège presque quotidien, qui montrait bien que Maman se méfiait de ma tendance à ne pas dire les choses d'entrée, et de chercher le moment propice, voire de cacher le plus longtemps possible ce qui pourrait la fâcher...

Dès le deuxième soir, je manifestai ma grogne en la voyant aller chercher mon cartable dans l'entrée et se mettre à ouvrir mes cahiers. "Arrête donc, M'man. Il n'y a rien de neuf, je n'ai pas eu de nouvelles notes, et en plus, je n'ai même pas devoirs pour demain", dis-je d'un ton légèrement agacé qui fit réagir Maman. Je n'avais rien dit de malpoli, mais comme je m'exprimais en présence de mes soeurs, cela ne pouvait être apprécié par notre mère, qui répliqua : "Euh, Christine, garde donc tes réflexions pour toi. Je fais comme il me semble bon. Je n'aime pas cette manie de me répondre. Je te l'ai déjà dit avant-hier soir, alors fais attention car ma patience a des limites. Si c'est une fessée que tu veux, continue, ma fille, tu es sur la bonne voie..."

La réflexion maternelle a calmé les esprits, le mien et celui de mes soeurs, toutes les trois étant bien conscientes que Maman n'hésiterait pas, surtout en ce début d'un dernier trimestre, tellement important à ses yeux, puisque décisif en terme de réussite scolaire.

Et la menace claire et précise qu'elle faisait planer sur mon bas du dos n'étonnait aucune de nous trois, tant nous avions le pressentiment que, de toute manière, la première occasion serait mise à profit par Maman pour rappeler, dans les actes, et plus seulement en paroles, comment cela allait fonctionner à la maison, côté discipline...

Aline et Diane filaient donc droit, évitant tout ce qui pourrait déranger notre mère, quitte même à se montrer bien plus serviable et calme que d'habitude... Je comprenais d'ailleurs leur jeu, et cela contribuait à m'énerver, même si c'était comme qui dirait de bonne guerre... Quand vous savez qu'il y a un risque d'orage, vous ne vous hasardez pas à montrer le bout de votre nez, surtout quand vous savez qu'une autre personne est plus exposée, et prendra la foudre si elle doit tomber...



 J'angoissais et craignais la moindre discussion avec Maman.
J'avais bien conscience qu'après deux avertissements
des plus sérieux, la prochaine occasion serait la bonne.
Dans ma tête, je me disais qu'il fallait
que je prépare mes fesses...


Ayant entendu la veille au soir de la rentrée, puis au deuxième soir d'école, Maman menacer son ainée d'une fessée, et expliquer publiquement qu'elle n'était pas passée loin, mais que "cela ne durerait sûrement pas", c'est bien normal que les deux petites se disent que ce n'était pas le moment de détourner l'attention maternelle sur elles... 
Mieux valait laisser grande soeur dans le collimateur et attendre que l'orage éclate, ou qu'une goutte d'eau de plus ne fasse déborder le vase de la patience d'une mère qui se demandait certainement au fond d'elle si elle n'aurait pas dû sévir dès l'autre soir, quand son ainée s'est permise de lui répondre et de lui demander de se taire...

Tout cela, je l'avais compris aussi, et cela commençait à m'inquiéter sérieusement. L'insistance de Maman à chercher la petite bête, le manquement ou la faute qui justifierait de passer à l'acte, comme l'attitude comme feutrée de mes soeurs, et leurs yeux et oreilles aux aguets de la moindre conversation entre Maman et moi, tout cela ne me disait rien de bon, consciente que j'étais qu'il n'y aurait pas de troisième avertissement préventif, et que s'il devait y avoir des pronostics sur qui prendrait la première fessée du dernier trimestre, la grande Christine serait à coup sûr favorite, et de loin...

A SUIVRE

54 commentaires:

  1. Chère Christine,

    Bravo, Christine, pour la livraison de ce numéro 76, certes de transition, mais à sa lecture on sent que la tension est présente ! Christinette, pourtant dernière punie de la maisonnée, pour des attitudes déplaisantes et un manque d'attention dans ses tâches, ne peux s'empêcher de grogner, se montrant même insolente avec Maman et passant tout près d'une nouvelle déculottée, à peine 10 jours après la précédente, alors que les deux frangines plus finaudes font le dos rond !

    Je reviendrais plus en détail sur cet épisode, qui démontre parfaitement la volonté de Maman Spaak à maintenir une discipline sans faille, dans la maison et principalement envers son aînée, au cours du dernier trimestre scolaire et l'on peux penser, que Christine retrouva rapidement le giron maternel pour une explication de texte fessière, que Maman maîtrise à la perfection !

    Voilà, un petit résumé d'approche, par contre je souhaiterais savoir si vous avez bien reçu mon précédent message sur le 75 ?

    Amicalement, Dominique

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  2. Merci du compliment, Dominique. J'espère lire vite la suite du synopsis aussi. Peut-être un bout s'est-il perdu, car j'ai publié ces derniers jours tout ce que j'ai reçu de vous. Si c'est le cas, vous pouvez le renvoyer. Amitiés.

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  3. Chère Christine,

    Peut-être en effet qu'il c'est perdu ou bien j'ai une fausse manipulation à la transmission, voici donc ce message qui répondait à votre demande !

    D'accord, Christine, je vous offre (cet off) que je traduis comme une demande sur la suite, même synthétique, n'étant pas anglophile, comme vous le savez ! Pour l'anecdote, je vous précise que les marins français, ont un gros contentieux avec la Royal Navy et l'amiral Nelson (Trafalgar), donc la cravate noire de l'uniforme représente cette défaite ! Au même titre que Camerone, pour la légion face aux Mexicains, ce haut fait d'armes de 63 légionnaires ayant son monument aux invalides !

    Bon, en dehors de cette apologie militaire, qui sont mes racines, autant que la ferme de mes parents ! L'expert en suspense accepte (lui aussi) de vous livrer le déroulé du synopsis, d'autant que ma conteuse préférée réagit de façon fort positive, à celui-ci et me ravi ! Alors globalement voici les titres que vous pourrez y donner :

    Acceptation très difficile de Christine, face à une mère déterminée et sure d'elle, en sa méthode considérant qu'il n'y a que celle-ci qui soit vraiment efficace, envers ses filles.
    Fessée majuscule, ravivant des sensations presque oubliées par Christine et un espionnage, inattendu de Diane.
    Repas d'anniversaire d'Aline, en compagnie des principaux complices de Christine, au sujet de Christian ! Tata Jacqueline, Caroline et Dominique, bien arrosés en paroles, par Madame Spaak.
    Bonheur et joie pour Aline, à la remise de son cadeau.
    Surprise très empoisonnée pour Diane, rapporteuse et espionne.
    Mise au point, le lendemain, de maman Spaak avec ses filles.

    Comme vous pouvez le constater, ma tête pleine de souvenirs (tout comme vous) fourmille d'idées, mais je ne voudrais pas entacher la production Christinienne et envahir votre espace ! A moins de créer le mien, ce donc je suis bien incapable.

    Amicalement, Dominique

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  4. Effectivement, je n'avais pas reçu ce message. Je vois que le synopsis va plus loin que le premier événement tant redouté... Avec déjà des développements incluant mes soeurs, et certainement l'occasion de reparler pour ma grande honte de ce qui s'est passé...
    Cela dit, je tique juste sur le flou qui existe là entre l'acceptation difficile et le passage à l'acte. J'aurais imaginé une petite partie d'attente, voire de préparatifs, avant l'action. Et c'est vrai que le temps choisi du matin est un peu en décalage avec les souvenirs que cela fait revivre...
    Il y aurait pu y avoir une sorte de report, soit obligé parce que une fois l'acceptation affirmée, nous aurions été dérangés, et que la scène serait remise au soir, où les deux soeurettes devaient par exemple aller au cinéma.
    Sinon, effectivement, si l'on reste sur le matin, Maman pourrait une fois la discussion achevée sur mon acceptation, me demander d'aller après le petit-déjeuner, faire ma toilette, prendre ma douche, et puis de me remettre en pyjama (plus pratique et plus symbolique) pour aller l'attendre dans ma chambre, non sans que je doive, une fois prête, appeler Maman et lui demander de monter...
    L'idée que Diane, se doutant de quelque chose revienne en douce espionner n'est pas pour me déplaire non plus, j'aurais presque pensé que les deux soeurettes seraient planquées quelque part avec une vue totale, ce qui aurait été plus facile à imaginer de nuit que le matin, mais tout est possible. Qu'en pensez-vous ?

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  5. Chère Christine,

    Vous êtes vraiment pénible, à deviner mes idées de développement sur le synopsis ! Bon, je ne vous en veux pas, puisque ce n'est que le reflet de votre perspicacité et de ce jeu à quatre mains que, j'apprécie.
    Je prépare donc la suite, dans laquelle vous retrouverez certains éléments que vous venez de citer ! Bien entendu, ce n'est pas de la copie, puisque que j'y avais déjà penser, pour crédibiliser le synopsis, mais vous l'avez devancée.

    Amicalement, Dominique

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  6. Hi, hi... moi, pénible ? Je souris, mais ne le dites pas à Maman Spaak, hi hi...
    Contente en effet que nous allions dans la même direction. Je n'en attendais pas moins du spécialiste en affaires christiniennes.
    Je voulais avoir le canevas aussi pour plus facilement réagir et contribuer à quatre mains à la suite. N'hésitez pas à avancer, même partiellement, histoire que je commente ou dise mes pensées en parallèle. Merci d'avance !

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  7. Chère Christine,

    Oh que oui ! La Christine est pénible ! Comme pouvait l'être une Christinette ado et Dom ne peux pas vous promettre de tenir sa langue, face à cette chère Madame Spaak qui lui fait confiance ! Même si il sait, que ce sera au détriment des fesses de Christine ! Hi, hi......

    Sinon, rassurez vous, j'avance sur le synopsis, ainsi que sur l'analyse de l'épisode 76.

    Amicalement, Dominique

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  8. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue, dans la peau de Christine :

    Comprenant qu'il me serait impossible de modifier la détermination maternelle, je fît un effort de volonté incroyable pour moi-même, de donner mon accord sur cette punition que je redoutais et donc j'étais épargnée, depuis 4 ans environ ! Le tout avec une voix tremblante, car j'imaginais bien que cette fessée allait être, longue et sévère, sans illusion sur le fait qu'elle serait déculottée ! Maman ayant sous sa main un fessier, de femme épanouie et non de gamine, demandant une application plus intense !

    Moi : « M'mannn, j'te d'mandeee pardon encore une fois ! Et mêmeeee, si c'est très duuur à direee ! J'préfèreee la premièreee solution ! »

    Cette phrase était sortie d'un bloc, de ma bouche accompagnée par deux larmes perlant, sans prononcer le mot fatidique, ce que Maman remarqua bien sur et lui fît me répondre !

    Maman : « Sage décision, Christine ! Qui me prouve, que j'ai une grande fille intelligente et sensée, qui a commis une grosse erreur, vis à vis de sa mère, certes ! Mais qui la reconnaît et accepte la meilleure des punitions pour cela ! Bien entendu, je comprends qu'à ton âge, ce soit très difficile de se dire que l'on va recevoir une bonne fessée déculottée, de sa Maman ! Alors qu'on est une jeune adulte, étudiante brillante et posée, comme son amie Caroline ! Et non une gamine, irréfléchie ! »

    Avant que je ne réponde, Maman enchaîna avec des directives me replongeant dans l'adolescence et l'angoisse de l'avant !

    Maman : « Et bien, ma chérie, comme ton petit-déjeuner est terminé, tu n'as plus qu'à aller faire ta toilette, ton lit et m'attendre sagement dans ta chambre, en pyjama ! Tu sais comme au bon vieux temps ! Ensuite, je viendrais te rappeler, ce que c'est qu'une fessée pour une grande fille, qui ment et cache des choses à sa Maman, depuis des mois ! Tu sais comme au bon vieux temps, sauf qu'à l'époque, elle te tombait dessus plus rapidement avec parfois quelques bonus ! Voir même une deuxième, dans la foulée ! Je suis sure que tu t'en souviens ! »

    Bien sur, que je m'en souvenais et je n'avais en aucun cas, besoin de ce genre de rappel pour cela ! D'autant que mes sœurs y étaient encore soumises et en particulier Diane, qui en effet avait pris ma relève dans ce domaine. Ce que je comprenais surtout, c'est que Maman s'apprêtait à me donner une déculottée maison (car il ne faisait aucun doute, qu'elle allait baisser pyjama et culotte), un modèle du genre ! Comme j'en avais déjà vécu, bien des fois et que Diane, connaissait, depuis son entrée au lycée par pour ses résultats, mais son indiscipline chronique !
    J'étais donc atterrée et incapable de contenir, mes yeux qui fournissaient des larmes ! Ce qui permis à Maman d'en rajouter une couche dans le rappel et le fait, que m'était promise une tannée !

    Maman : « Allons, ma grande ! Garde donc tes larmes pour tout à l'heure ! Car crois-moi que tu vas en avoir bien besoin, avec ce qui t'attend ! N'étant pas en mode plaisanterie ! »
    Tout ceci était dit, avec le plus grand calme déconcertant, ce qui ne me rassurait pas du tout et revivant alors des sensations, presque oubliées !




    Amicalement, Dominique

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  9. Bien vu, Dominique. Très conforme à ce que cela aurait pu être...
    J'embraye donc un peu :
    Je suis sortie de la cuisine, marchant comme une automate, imaginant le regard de Maman dans mon dos, où l'on devait lire un rien de satisfaction, car sa fille malgré ses implorations avait fini par accepter la décision maternelle.
    Je me demandais encore comment j'avais réussi à dire que je préférais cette solution, sans d'ailleurs que je la nomme, comme si le mot était encore tabou dans ma bouche...
    Quatre ans après la dernière, qui avait toutefois été dans des circonstances exceptionnelles, et encore depuis bien plus longtemps, j'étais en train de monter dans ma chambre pour aller y attendre ma fessée...
    Je n'arrivais pas à y croire, mais étonnamment je ressentais les mêmes sensations qu'avant, la même angoisse, la même appréhension...
    Maman avait donné des ordres bien précis et c'était mieux ainsi. Cela m'empêchait de trop gamberger. Elle avait dit de monter dans ma chambre, j'y montais, de faire ma toilette, mon lit, puis de l'attendre, j'étais prête à tout faire au mieux comme si cela pouvait améliorer mon cas, ou du moins pour éviter de l'aggraver. Et, sans le vouloir, je reproduisais des schémas d'avant, où la peur de la fessée me rendait sage comme une image, hélas trop tard toutefois...
    J'ai fait mon lit, nickel, bordé parfaitement, puis suis allée dans la salle de bains. J'étais moite, ayant mal dormi, et j'ai pris une douche, y restant plus longtemps qu'à l'accoutumée, me rinçant longuement en essayant, en vain, de m'ôter de la tête ce qui m'attendait...
    J'en sortai enfin et m'essuyai soigneusement, résistant un instant avant de me retourner et de me regarder nue dans la glace.
    Mon bas du dos attirait mon regard. Je me souvenais de ces regards fugaces que j'avais eus parfois juste avant de rejoindre les genoux maternels... Je me sentais l'ado de 13 ans, qui avait récolté deux heures de colle, mais c'était bien une silhouette plus féminine, aux formes plus épanouies qui regardait ses fesses en tremblant...
    J'osai poser ma main sur cette pleine lune blanche, et je frissonnai. J'eus la chair de poule, et je retirai ma main. Je regardai encore, et eus l'idée folle d'esquisser deux ou trois toutes petites tapes sur une fesse, ressentant une drôle de sensation... C'était juste un léger tapotage, mais le petit bruit m'a presque fait sangloter. A l'endroit où ma main avait tapoté, une toute petite auréole rose est apparu, et j'ai senti mon coeur battre. Un instant, je me suis dit : mais Maman va s'en apercevoir... Que va-t-elle dire ?
    Heureusement, la rougeur est partie aussi vite qu'elle n'était apparue. En tout cas, j'avais vu que mon bas du dos pouvait encore vite changer de couleur...
    Il fallait me rhabiller. J'aurais bien enfilé ma robe et mon chemisier du jour, mais la consigne maternelle était le pyjama... Je savais bien que c'était une façon de rappeler bien des souvenirs, de bien positionner ce qui allait suivre dans la droite ligne de mon éducation, comme un prolongement, une poursuite malgré mon âge.
    Je ne voulus pas me poser de questions et renfilai, non sans frissonner, mon pyjama, au dessus d'une culotte propre. Puis, je retournai dans ma chambre, attendre, attendre, en cette position insupportable de celle qui prépare ses fesses...

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  10. Chère Christine,

    Magnifique échange à quatre mains, Dominique essayant d'imaginer un scénario crédible grâce à ses connaissances de ce blog et sa propriétaire qui appuis celui-ci, part son vécu, en y ajoutant quelques novations du fait de la situation, d'une Christine 23 replongeant dans son passé !

    J'avoue d'ailleurs, que ces petites touches personnelles sur le ressenti de celle-ci, me seront utiles pour agrémenter mes propres idées sur le développement de ce synopsis et j'en remercie, Christine.

    Je prépare donc, la suite, afin de lui en faire profiter ! Quoiqu'en l'occurrence, c'est de bien autre chose dont elle va surtout profiter et qu'elle imaginait rangé, au fond de son esprit, la concernant.

    Amicalement, Dominique

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  11. Pff, en ces circonstance, Dominique, vous pourriez éviter de plaisanter... Profiter, vous parlez d'un "profit" ! Ce qui m'attend dans le synopsis, Christine 23 s'en passerait bien...
    Puisque j'attends la suite des écrits dominicains, poursuivons donc les réflexions ce celle qui attend sa mère...
    Attendre, Dieu que cela me renvoie des souvenirs en nombre. L'attente, c'étai la spécialité christinienne, déjà parce que je cherchais toujours à gagner du temps, mais aussi parce que Maman ne passait quasiment jamais à l'acte sur le champ, comme elle pouvait le faire sur le coup de la colère avec les petites. La grande, elle, avait le droit de mijoter avant qu Maman n'arrive... Et, comme l'envoi de l'ainée dans sa chambre ramenait souvent un silence religieux dans la maisonnée, Maman aurait eu tort de se précipiter, sachant qu'en plus, durant ce temps, la future punie regrettait ses fautes et angoissait ce qui faisait partie de la punition via une prise de conscience de la fautive.
    Là, Maman avait reproduit le schéma, insistant que j'allais être fessée "comme au bon vieux temps". Je n'imaginais pas pour ma part que j'allais autant retrouver les sensations enfouies en moi, les souvenirs de cette période où, comme disait Maman, il n'y avait que cela pour me faire rentrer dans le droit chemin...
    Comme à cette époque, j'étais partagée entre l'angoisse qui m'étreignait et la peur plus grande encore de la suite. Autrement dit, l'attente était insupportable, mais je n'aurais rien fait pour que la suite arrive plus vite...
    Maman avait dit quelque chose comme : Tu m'appelleras quand tu seras prête. Mais, je ne m'en sentais pas capable. De toute manière, elle allait bien demander avant de monter si je l'étais. Mais, de là à ce que je l'appelle, il y avait un pas énorme. C'était comme si je disais : "Maman, ça y est, je suis prête à recevoir la fessée" ou "Maman, tu peux venir, mes fesses sont prêtes..." Non, jamais je n'aurais dit ça, je m'étais déjà assez forcée à dire que je choisissais la première solution... Sans, là aussi, lui dire clairement avec les mots que je choisissais la fessée.

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  12. Bonjour Christine,

    quel plaisir de lire vos aventures... quelle belle et bonne plume et quel art du récit. Merci pour ces récits et pour les échanges tout aussi intéressants avec quelques uns de vos fidèles lecteurs. Dans les commentaires des "Souvenirs", pas de mesquineries ou polémiques ou encore de propos déplacés, comme la plupart des blogs en connaissent invariablement... Ca reste bon enfant, intelligent, entre gens de bonne compagnie...

    (cependant, ce "tais toi donc" aurait bien dû, en temps normal, vous valoir une réponse beaucoup plus "claquante", et je trouve que vous avez été très chanceuse sur ce coup là... mais pas pour longtemps j'imagine...)

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  13. Chère Christine,

    Mille excuses, pour la boutade, mais c'était vraiment trop tentant et je sais bien que Christine 23 se passerait volontiers de ce qu'il l'attend et qu'il n'y a aucun « profit » à recevoir une bonne déculottée, dont-on ressort les fesses écarlates et brûlantes ! Sauf peut-être, que c'est un très bon calmant, hi hi !

    Vous voyez, le taquin ne peux résister à la tentation, peut-être en mériterait une lui aussi ! Pour calmer sa moquerie, à la Diane !

    Bon, sur ce je vais, avancer sur le synopsis, sinon Christine risque de penser que je traînasse (ce qui n'est pas faux) et elle pourrait bien se fâcher, ce qui n'a rien de tentant cette fois-ci !

    Amicalement, Dominique,

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  14. Merci du compliment, Giselle. Entre nous soit dit, je partage votre opinion sur le fait que j'avais été chanceuse sur le coup de mon "tais-toi donc". Mais, la suite des événements devrait montrer (sans vouloir la dévoiler à l'avance) que cela s'est payé à retardement...
    Pour Dominique, je ne réponds que de manière courte, afin de ne pas le retarder dans son écriture de la suite du synopsis. Surtout qu'il avoue "traînasser", ce que je n'aurais de mon côté, jamais osé avouer à Maman.

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  15. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue, dans la peau de Christine :

    En l'espace de 5 minutes, j'étais redevenu l'ado de 12/13 ans apeurée, craignant la suite des événements et obéissant aux ordres maternels, en quittant la pièce, telle une poupée mécanique, dont elle avait remonté, la clé !
    J'étais dans un brouillard total, m'interrogeant sur mon acceptation lâchée d'un coup, à Maman ! Sur la punition que je préférais, soit-disant, même sans la prononcer ! Comment avais-je pu faire cela ?

    En fait, j'aurais surtout voulu pouvoir remonter le temps et revenir 3 mois, en arrière et dire à Maman, que je fréquentais un garçon ! Mais c'était impossible et là, au pied du mur, avec une réflexion d'adulte, j'avais osé donner mon choix à Maman ! Comprenant qu'elle était déterminée, à me punir d'une façon ou d'une autre, pour mes fautes ! Et je crois qu'au fond de moi, je ne pouvais envisager la deuxième solution, me paraissant encore plus pénible !

    Par contre, j'avais sous-estimé la capacité maternelle à me remettre dans les conditions de mon adolescence et le pire est que j'allais y adhérer, sans résistance ! Résignée que j'étais devant cette volonté de Maman, qui ne m'avait pas pris en traître, mais au contraire bien défini les choses !
    Sauf qu'à presque 23 ans, je me retrouvais prise en faute, comme la gamine que j'étais à la pré-adolescence et que Maman, allait donc corriger, sans se laisser attendrir par ses suppliques et encore moins ses promesses, dont-elle connaissait la valeur !

    Donc, en exécutant les consignes de Maman, j'avais comme l'impression d'être la collégienne d'une certaine époque, qui ayant été collée ou ayant des devoirs supplémentaires à faire, se préparait à la punition maternelle, avec des réactions identiques ou même plus poussées !

    A la sortie de ma douche, je me surpris à regarder dans le miroir, ma lune épanouie de jeune femme, toute blanche comme il m'arrivait de le faire, auparavant et là, entraîner par, je n'sais quel démon, ma main se mît en action comme celle de Maman, sur ma fesse droite deux ou trois fois ! Oh, doucement ! Mais quelle sensation étrange, me rappelant un temps que je croyais révolu ! Cela me fît rougir immédiatement et humidifier mes yeux, constatant que ce simple geste, réveillait mon épiderme ! Imaginant qu'une fois sur le giron maternel celle-ci, serait beaucoup plus stimulée ! Maman ne se contentant pas de petites claquettes, sauf en fin de tannée, pour me signifier que c'était fini et m'ayant valu, quelques gratifications supplémentaires, pour une réaction intempestive !

    Les instructions maternelles étaient claires : Tu fais ta toilette, ton lit et tu m'attends, en gardant ton pyjama ! Je m'étonnais à les suivre à la lettre « comme au bon vieux temps » ! Telle la demoiselle obéissante, ne voulant pas contrarier davantage Maman ! J'étais à fond dans mon rôle, renfilant mon pyjama (même si j'aurais préféré m'habiller) et regagnant ma chambre pour attendre, en m'asseyant sur ce lit ou j'avais vécu un certains nombres de déboires maternels !

    Perdue dans mes pensées, je retrouvais tous les gestes d'angoisses du passé, tripotant mes mains, regardant mon réveil et guettant le moindre bruit ou mouvement, prête à réagir au moindre signal m'indiquant l'arrivée de Maman ! Du haut de mes 22 ans passés, j'étais comme la collégienne de 12/13 ans confinée dans l'attente par Maman, tel un mironton qui mijote et c'était toujours aussi insupportable, même si j'étais la reine du temps gagné, pour ces moments là !

    A suivre..............

    Amicalement, Dominique

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  16. Ah, Dominique rattrape son retard ! En réinterprétant surtout ce que j'avais confié comme un récit à quatre mains. C'est bien écrit et cela reste parfaitement dans le ton, mais ce n'était pas forcément la peine d'y revenir, si l'on considère que nos messages se complètent. Surtout que, là, je me retrouve au même moment de la scène, alors que j'espère un petit bout au moins de développement en plus, pour pouvoir y réagir à mon tour...
    Mais, peut-être est-ce que Dominique est en train de le rédiger ? Suspense...

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  17. Chère Christine,

    Cà pinaille, ça pinaille, chère conteuse ! Tout en reconnaissant que c'est bien écrit et pour tout vous dire, mon esprit avait déjà pensé à ses ressentis possibles, de la part de Christine 23, repositionnée par Maman, dans le contexte de le collégienne d'antan ! Mais vous les avez devancés !

    Pour le prochain, j'essayerais donc d'apporter des novations, même s'il est difficile les redites et de piquer les compléments de Christine, pour moi, qui n'a pas la faculté d'un romancier ! Même si finalement je ne m'en sort pas trop mal, purée quel égo, ce type !

    Amicalement, Dominique

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  18. Non, je ne pinaille pas, Dominique, c'est juste que dans ce cas présent, j'ai du mal à réagir, ayant déjà fait deux commentaires sur les pensées que Christine 23 a. Je regrettais juste que le texte n'avance pas plus, pour que je puisse aussi avancer dans le commentaire ou le ressenti à quatre mains.
    Pas besoin d'un long développement tout de suite, mais un ou deux petits pas de plus dans le récit m'auraient sûrement amené à réagir et commenter. Vous comprenez ?

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  19. Chère Christine,

    J'ai bien compris, chère Christine, je ferais donc en sorte d'être plus court pour susciter vos réactions et découper davantage le développement, avec tout le suspens que cela implique.
    J'avoue que n'étant pas écrivain, par nature, cela m'arrange et me permettra d'élaborer les suites en toute sérénité, n'ayant qu'à découper mes préparations et entre deux, décrypter cet épisode 76 qui m'inspire surtout du coté maternel, que j'admire et me fascine !
    Je sais ! Vous allez encore dire que je louange, Maman Spaak, mais au vu du résultat elle le mérite, comme ses filles méritaient les bonnes fessées qu'elles ont reçu, de sa part !

    Amicalement, Dominique,

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  20. C'est cela... Félicitez Maman Spaak, et l'efficacité de ses méthodes. Pfff... Enfin, je ne peux vous en vouloir totalement, puisque je suis un (bel) exemple de cette réussite, hi hi...
    Pour la suite, oui, vous avez compris. J'ai développé ce que je ressentais à attendre Maman, à ne pas oser l'appeler, lui dire que j'étais prête, mais j'ignore la suite. Ne serait-ce qu'un peu d'avancée supplémentaire pouvait m'inciter à relancer à mon tour.

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  21. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue, dans la peau de Christine :

    Mon réveil indiquait 9h15, mes sœurs, Caroline, Dom et Tata étaient censés arriver aux alentours de 12h00 et j'attendais Maman, mais surtout la fessée, ma fessée devrais-je dire ! Comme au bon vieux temps ! Oh, bien sur Maman m'avait dit de l'appeler, une fois prête, mais je m'en sentais incapable !

    Réaction typique de la Christinette d'antan, qui n'allait pas précipiter les choses ! Néanmoins en y réfléchissant, vu ce qui m'était promis, il me faudrait un certain temps pour digérer et récupérer cette épreuve, surtout à presque 23 ans et 4 ans d'abstinence ! Afin de paraître convenable, aux yeux de tous, même si j'imaginais déjà que Maman ne se priverait pas d'en informer l'assistance ! D'autant qu'elle avait quelques comptes à régler, avec d'autres personnes présentes, donc mademoiselle Diane qui allait payer son rapportage et sa curiosité, au prix fort !

    Par conséquent, le temps n'était pas si large que cela ! Après un nouveau quart d'heure, je n'arrivais toujours pas à me décider, d'appeler Maman, ayant déjà fait l'effort de lui donner mon choix sur la punition, ce qui me semblait encore hallucinant de ma part !

    Heureusement ou malheureusement devrais-je dire, c'est Maman qui allait mettre fin à cette indécision ! Lorsque j'entendis les petits talons de ses mules, résonner sur le carrelage du couloir menant à nos chambres respectives, l'une en face de l'autre, mes sœurs ayant les leurs à l'étage !

    Là ! Je savais que prenait fin l'angoisse de l'attente, pour faire place à la trouille d'encaisser cette correction maternelle, qui était toujours dense et si interminable, que j'en implorais la fin ! Mes souvenirs rejaillissant à mon esprit ! Sauf qu'il était trop tard et que Christine 23, n'avait plus qu'à bien préparer ses fesses, pour ce moment incomparable à d'autres !

    A suivre.........

    Amicalement, Dominique

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  22. Chère Christine,

    Sinon pour répondre à votre commentaire du 06/10, vous aurez beau râler ! Oui, je félicite cette mère de devoir, qui a su conduire ses filles sur le bon chemin, même si leurs fesses en ont souffert à plusieurs reprises ! Le résultat est là !

    Et je suis certain que Maman Spaak, n'éprouvait aucun plaisir à déculotter et corriger ses filles, quand elles le méritaient, pour leurs frasques et comme moi-même, ainsi que ma fratrie l'ont vécu avec Maman et Tata que je remercie à titre posthume, celles-ci ayant su forger des personnes capables et responsables, même si cela passait par de bonnes roustes !

    Petite digression, que vous pouvez garder ou publier ! A votre guise, chère conteuse !

    Amicalement, Dominique,

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  23. D'accord, grosso modo, avec cette digression. Je ne peux que reconnaître que le résultat est là, et que l'épreuve subie "à plusieurs reprises" (merci de rester dans le vague) m'a aidée à grandir.
    Sinon, retour au synopsis, même si l'avancée est vraiment minime... Elle n'en fait pas moins ressurgir des sensations enfouies :
    Trente minutes d'attente, cela parait une éternité dans ma situation ô combien inconfortable... Mais, c'est bien là une tactique de Maman, le besoin de me laisser mijoter et réfléchir, angoissée et mal à l'aise...
    Je suis partagée entre le désir d'en finir et la peur d'affronter ce moment. Chaque minute, je me demande ainsi : "Mais que fait-elle ? Quand viendra-t-elle ?" Et puis, à l'écoute d'un bruit de pas, à l'inverse, j'ai presque envie de crier : "Oh, non, pas déjà !"
    Nous avons déménagé, et ce ne sont plus des pas dans l'escalier, comme dans mon adolescence, mais ce sont encore des bruits de pas qui me refont battre le coeur à cent à l'heure... J'en frissonne du bas du dos...
    La porte s'entrouve. J'ai un mouvement de recul. Mais, Maman se contente de passer la tête dans l'entrebâillement. Elle me regarde de la tête au pied, et commente : "C'est bien, Christine, tu as gardé ton pyjama, comme Maman te l'a demandé... J'espère que tu es prête, ma chérie ? Dis-le donc à Maman..."
    Je baisse les yeux et balbutie : "Euh, bah, euh, oui, euh, oui Maman, je suis prête... Mais, euh, tu sais, euh..."
    Mon début de supplication ne sert à rien. Maman me coupe net : "Il n'y a pas de mais qui tienne, ma chérie. Puisque tu es prête, Maman va venir te donner la bonne fessée que tu as méritée. J'arrive, ma chérie, j'arrive bientôt... Prépare tes fesses, ma grande, prépare tes fesses..."
    Puis, elle a disparu pour aller vers sa chambre...

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  24. Chère Christine,

    Ma chère petite Christine ! Un coup, vous me demandez des développements plus court, afin de pouvoir intervenir et quand je vous en sert un, vous faites la fine bouche ! Faudrait savoir ce que vous voulez au juste ? Peut-être une dose de la main maternelle, tangible, que vous avez plus que bien connu, même si je suis resté dans le flou, dans la digression ?

    Sinon votre complément à quatre mains est très intéressant, celui-ci m'ouvrant des portes auxquelles je n'avais pas pensé, alors que vos écrits en fourmille ! Merci Christine !

    Amicalement, Dominique,

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  25. Mais, non, je ne fais pas la fine bouche. C'est juste que l'on passe d'un grand développement à un très petit (puisque la nouveauté est surtout le pas de Maman dans le couloir), vous me comprenez, je suis sûre.
    La dose de "main maternelle", pas besoin d'en rajouter, SVP, car je me doute bien que celle qui arrive ne sera pas qu'une "dosette"...

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  26. Chère Christine,

    Bien sur que je comprends, ce que vous voulez, c'est des développements intermédiaires ! Bon, Ok !
    Vous n'arrangez pas le conteur de fortune, mais il fera avec et essayera de faire de son mieux.

    Tant qu'à la dose de la « main maternelle », il bien évident que Maman ne peux servir un ersatz sur les fesses d'une jeune femme épanouie, celles-ci ne sont plus les deux petites pommes de la fillette d'antan, encore fragile ! Non ! Elles ont pris de l'amplitude et acquis de la fermeté, ceci d'ailleurs grâce aux bons soins répétés, d'une mère de devoir, durant quelques années !

    Il ne serait donc être question, d'une fessouillette symbolique, qui ne porterait pas les fruits d'une vraie leçon ! Même si pour cela, la « main maternelle » devra se montrer solide et endurante ! Mais je fais confiance à Maman Spaak, celle-ci ayant acquis une belle expérience, avec ses filles !

    « Allez ! Encore des louanges pour Maman ! Sans aucune pensée pour les pauvres fesses de ces demoiselles, il est vraiment insupportable, ce type ! »

    Amicalement, Dominique,

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  27. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue, dans la peau de Christine :

    N'ayant pas fermé la porte de ma chambre, Maman qui portait du linge à la buanderie, me vît assise sur mon lit, avec un visage respirant la peur, ayant entendu ses pas sur le carrelage !
    Celle-ci toujours très calme, me dit :

    Maman : « Ah ! Tu as fini, c'est bien ma chérie ! Mais tu aurais du m'appeler, car je te rappelle que nous avons des invités pour la journée et comme on doit régler, nos petits comptes toutes les deux, autant le faire avant qu'ils arrivent ! Cela te donneras un peu de temps, pour te refaire une beauté ! Tu ne crois pas ? »

    Moi : « Euuuh, ouiii, M'maaan ! Mais tu sais, je regrette vraiment c'que j'ai faiis et jt'ee d'mandeee à nouveau pardoooon ! Accordeee moiii, ta clémenceee, j'ten suppliiie ! »
    Maman toujours avec son linge sale, sur les bras, mais le visage plus grave me rétorqua :

    Maman : « Ce serait trop facile, ma fille ! Voilà des mois que tu te moques de moi et tu voudrais t'en sortir aussi vierge que la Sainte Marie ! Non et non ! Christine ! C'est hors de question ! De plus, je te rappelle, que tu as choisi ta punition, alors assume et cesse de pleurnicher ! T'inquiète ma chérie, je dépose le linge et je serais tout à toi, d'ici 3 minutes ! »

    Cà je n'en doutais plus, l'inquiétude, je l'avais surtout pour la suite ! Maman étant déterminée à me donner une leçon mémorable et marquante, pour mon amour propre ! Je savais donc que le quart d'heure à suivre, serait très copieux et douloureux !
    Maman pris la direction de la buanderie, sans rajouter un mot, alors que mes yeux fournissaient déjà des larmes et qu'ils n'auraient pas fini d'en fournir, une fois sur les genoux de Maman !
    Réfléchissant, durant ce laps de temps ! Je me disais « Bien sur, Maman à raison, j'ai fais un choix et je dois l'assumer ! Mais, bon dieu ! Pourquoi, ais-je fait ça ? ». J'étais dans le plus grand flou, mais je ne pouvais revenir en arrière et dans quelques minutes, j'allais être déculottée et fessée de belle manière ! Sachant que Maman n'allait pas faire semblant et me faire revivre l'une de ces séances du passé, que j'avais peut-être oubliées !
    Sauf que mon esprit, les avaient bien en mémoire ! Et dix ans, plus tard, en excluant la volée de mes 19 ans dans des circonstances particulières ! J'allais m'en prendre une, signée Maman Spaak, qui n'avait par habitude de faire les choses, à moitié !
    La grande Christine de presque 23 ans, n'avait plus qu'à préparer ses fesses ! Maman allant arriver pour les gratifier, à sa manière !

    A suivre..........

    Amicalement, Dominique

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  28. Cela avance. Nous allons y arriver. Mais, ce pas ci est encore petit, car Maman est toujours entre couloir et buanderie, et je ne peux guère en rajouter dans le commentaire à quatre mains... Cela dit, l'échéance se rapproche vraiment... Christine 23 doit trembler et frissonner...

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  29. Chère Christine,

    Madame la conteuse, est vraiment exigeante, considérant que si ça avance, c'est encore un peu court !
    Christine serait-elle si pressée, d'aller rejoindre les genoux, pour être déculottée et fessée, comme elle le mérite ? Là pour le coup, ce serait une vraie nouveauté, pour la championne du temps gagné !

    Alors ne soyez pas inquiète, cela arrive, mais je pense qu'une fois en place, la chanson de Christine sera bien différente et qu'elle aura surtout envie, que cela te termine au plus vite, en regrettant cette impatience !

    Amicalement, Dominique,

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  30. Non, pas pressée du tout, surtout qu'il y a toujours de l'espoir jusqu'au dernier moment. Mais, c'est vrai que là, en la circonstance, rien n'est moins sûr...

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  31. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue, dans la peau de Christine :

    Pour moi, ces 3 minutes passèrent à une vitesse grand V, alors que j'aurais souhaité quelles durent longtemps, mais le bruit des talonnettes me fît réagir et comme dans en réflexe acquis depuis des lustres, je me levais du lit et allait me réfugier contre la fenêtre, au plus loin de celui-ci ! Car comme je l'imaginais, c'est là qu'elle vint directement s'asseoir, sans refermer la porte, chose inutile puisque nous étions censées être que toutes les deux dans la maison ! Et le tout, sans prononcer une parole, avec juste un petit sourire, en me voyant près de la fenêtre !

    Une fois bien installée, celle-ci me fît le signe classique de son index, invitant à venir vers elle ! En ajoutant simplement !

    Maman : « Allez, ma chérie ! Finissons en, avant que nos invités n'arrivent, ce sera moins délicat pour toi ! Même si, qu'en ils seront là, tu repenseras à ce qui t'es arrivée ! ». Elle avait dit cela sur un ton calme et très maternel, comme pour m'éviter une vexation supplémentaire, la fessée promise à mon âge, en étant déjà une, difficile à supporter !

    J'étais figée par son attitude, plus habituée si j'ose dire à une certaine époque, par des tonalités plus marquées, du style commandement que l'on ne discute pas ! Là, non ! Elle était très sereine, sure de son fait, face à sa grande fille qui avait « accepté » de recevoir une fessée, en punition de ses fautes ! N'osant pas bouger et balbutiant un « Ohhh, nooon, nooon, M'maaan ! S'teee plaiiit ! », elle repris la parole toujours aussi calmement, pour me dire !

    Maman : « Allons, ma grande, ne fait pas la fillette, en m'obligeant à venir te chercher ! Tu as passé l'âge de ces simagrées ! Tu sais très bien, que tu n'y échapperas pas ! Alors plus vite ce sera fini, plus vite, tu seras tranquille pour réfléchir à ton erreur ! Même si ça passe, par un moment délicat ! Autant pour toi, que pour moi, car dis-toi que ce n'est pas de gaîté de cœur, que je vais punir ma grande fille, comme tes sœurs d'ailleurs ! Si je le fais, c'est parce que c'est mon devoir de mère ! »

    Hypnotisée par tant d'assurance, je comprenais que Maman faisait appel à ma conscience, ne cherchant nullement l'épreuve de force, mais déterminée à accomplir la tâche qu'elle s'était assignée et que sa grande fille avait « acceptée ».
    Mu par je ne sais quelle puissance interne, j'entamais une marche vers les genoux de Maman, que je fixais intensément, ceux-là même ou je m'étais retrouvée allongée, il y a un peu moins de 4 ans ! Certes les conditions étaient bien différentes, mêlant deux colères pour une action instantanée ! Mais que ces genoux me faisait peur et dans un vieux réflexe, je me bloquais à un mètre de ceux-ci, paralysée par la trouille ! C'est là, que Maman attrapa mon poignet et me fît basculer, avec une force que je ne soupçonnais pas !

    Étalée au travers de ses cuisses, son bras gauche enserra ma taille pour me caler et dans le mouvement, fît tomber trois au quatre claques, par dessus le pyjama et la culotte ! Oh, pas fortes ! Mais simplement pour me signifier, que j'étais maintenant sous sa coupe et qu'elle allait me la faire boire jusqu'à la lie ! Surprise par cette énergie, je ne pu retenir des larmes, comprenant j'allais vivre l'un de ces cauchemars, qui avaient hanté certaines nuits de mon adolescence, à presque 23 ans et que celui-ci serait tangible !

    A suivre.............

    Amicalement, Dominique

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  32. Voilà une avancée que je n'apprécie pas, bien sûr... Car, c'est un sacré retour en arrière effectivement...
    Merci Dominique. Je vais le commenter de mon point de vue. Cela dit, vous pouvez aussi, de temps à autre, vous mettre dans la peau de Maman Spaak, si vous le souhaitez.

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  33. Chère Christine,

    Alors là, grand merci Christine ! Par déférence et respect, je n'osais pas me mettre dans la peau de Madame Spaak, même si j'admire le résultat de la tâche, qu'elle a accompli avec ses filles et surtout son aînée, n'ayant pas la chance de connaître les deux autres, si ce n'est que par les récits de la grande sœur ! Sincèrement vous me comblez !

    Tant qu'à l'avancée que vous n'appréciez pas, je m'en doutais en la rédigeant ! Imaginant bien que Christine 23, faisant un remake de 10 ans en arrière, ne serait pas à sa convenance ! Mais voilà c'est Maman qui en a décidé ainsi et la belle jeune femme épanouie, intelligente et respectueuse, n'a plus qu'à s'y plier ! Même si cela la chagrine !

    Amicalement, Dominique,

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  34. N'hésitez pas, Dominique. En plus, ce sera plus aisé pour moi de jouer la suite à quatre mains, en renvoyant la balle de mon côté, après avoir lu le récit, vu du point de vue maternel.
    Commentaire :
    Je n'arrivais pas à croire comment j'étais arrivée sur les genoux maternels. J'avais l'impression que ce n'était plus la Christine de 23 ans qui habitait mon corps. Dès que j'avais entendu les pas de Maman venant vers moi, je m'étais retrouvée comme l'ado qui entendait Maman monter, qui entendait "sa" fessée monter...
    D'un sel coup j'avais eu les mêmes réflexes qu'à 12-13 ans : le recul vers le fond de la pièce, la supplication, la prise de conscience que rien ne servait de résister, puis l'avancée, comme dans le brouillard, comme une autoate vers les genoux maternels. Et ce basculement, je retrouvais la même sensation qu'avant.
    Les trois ou quatre tapes sur le fond du pantalon de pyjama ont juste permis à Maman d'évaluer la distance, de voir si j'étais bien en place, bien exposée...
    Elles m'ont aussi sorti de ma torpeur. Non, mais, je rêve. Ou plutôt je cauchemarde. Ce ne peut pas être moi, pas là, pas encore...
    Je supplie : "Oh, Maman, non, non, non, arrête..."
    Par réflexe, je tente de me protéger le bas du dos, d'agripper l'étoffe qui protège ma lune...

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  35. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, pensée et raisonnement de Maman Spaak :

    Depuis la veille au soir et notre conversation, je savais que Christine était dans l'angoisse, lui ayant demandé de choisir entre une fessée et une mise à la porte, de la maison ! Choix très difficile pour une jeune femme épanouie et brillante dans ses études, d'autant qu'elle était épargnée de cette punition depuis environ 4 ans, alors que je gratifiais encore ses sœurs et notamment Diane, plus difficile dans son comportement.

    Même pour moi, ce n'était pas facile, non plus ! Mais je pensais qu'il était préférable d'agir de cette façon, que de la mettre dehors et j'espérais sincèrement qu'elle choisisse cette solution, certes très vexante pour elle (raison pour laquelle, j'avais écarté ses sœurs), à presque 23 ans, mais moins pénible et durable qu'une mise à la porte.

    Bien sur la difficulté, pour Christine était « d'accepter » d'être fessée et me donner son accord, à la différence de son adolescence ou je ne lui demandait pas son avis, l'envoyant simplement dans sa chambre, préparer ses fesses, en attendant que je vienne la corriger !
    Mais là, compte tenu de son âge et de son évolution très positive, pour une mère ! Je ne pouvais me comporter avec cette grande fille, comme avec une gamine ! Chacune de nous, devant avoir conscience de son devoir respectif ! S'il me fallait la punir, elle devait « l'accepter » pour ses fautes envers moi !

    Et à la fin de son petit-déjeuner que je lui avait préparé ! J'eus le plaisir de constater que j'avais une grande fille très intelligente, qui me lança d'un seul trait sa décision (qui était la bonne, à mon sens) ! Oh bien sur, la voix était pleine de trémolos, comme à l'époque ou elle me conjurait de ne pas la fesser ! Me faisant esquisser un petit sourire interne, en notant que mon aînée, femme équilibrée et brillante, n'avait pas perdu son âme d'adolescente, craignant toujours les bonnes fessées de Maman, qu'elle avaient bien connu !

    Bien sur, je la félicitait pour cette prise de décision sensée et intelligente, tout en la recadrant dans le contexte ! Dés lors, je me devais de marquer ma volonté de punition (même si cela m'oppressait un peu), mais dans un cadre familier à son esprit ! Je pris donc la décision d'observer la même attitude, qu'à son adolescence, ce qui la troubla quelque peu !

    Je vît alors ma grande fille, s'exécuter tel un robot, se diriger vers sa chambre la tête basse qui devait encore se demander, comment elle avait pu me lâcher cet accord ! Tout en faisant d'autres tâches, j'entendis des bruits d'eau en provenance de la salle de bains ! Puis tout d'un coup, plus rien, imaginant donc que Christine, avait suivi mes demandes et m'attendait sagement dans sa chambre, mais sans m'avoir appelé !

    J'en eus la confirmation, en passant devant sa chambre, dont la porte était ouverte ! Pour préparer une machine de linge, à la buanderie ! Et j'entamais la discussion, lui rappelant que nous avions des invités pour la journée et qu'il ne fallait donc pas traîner, si elle voulait montrer la belle jeune femme qu'elle était ! Comme je m'y attendais, celle-ci me demanda à nouveau pardon, en me suppliant de l'épargnée, comme à l'époque de son adolescence et cette expression d'antan, traduisant sa peur du châtiment !

    A suivre......

    Amicalement, Dominique

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  36. Bien vu ce côté Maman Spaak. Je n'ose dire quand même que cela est un peu en recul par rapport à l'avancement du récit.
    Christine 23 en reste donc à sa réaction apeurée, se retrouvant sur les genoux maternels, où elle est venue comme si elle revivait ses 12-13 ans. De l'envoi dans la chambre à l'arrivée de Maman, en passant par l'attente, par la mise en tenue, par le positionnement des protagonistes, on croirait presque une reconstitution... Sauf que ce n'est pas pour rire, et Christine 23 le sait bien, consciente qu'elle ne gardera pas ses derniers remparts d'étoffe, et tellement effrayée par cette perspective qu'elle retrouve aussi le réflexe de tenter de s'y opposer...

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  37. Chère Christine,

    Rassurez-vous, Christine, il n'y a aucun recul, c'était juste pour interposé le ressenti maternel sur la situation et ce que j'ai bien envie de reproduire pour la suite ! Alternance entre mère et fille ! Comme ça, la grande Christine conteuse pourra réagir aux deux, enfin si elle le souhaite ?

    Sinon je suis bien d'accord avec vous ! Pour Christine 23, il s'agit d'un vrai remake de cette période délicate de collégienne ! Revivant toutes ces étapes, de la punition annoncée ! Sauf qu'à presque 23 ans, le ressenti est peut-être différent et plus difficile, à supporter, mais je peux me tromper ?

    Pour info, j'ai entamé l'analyse du récit 76, que je vous livrerais entre deux et pour l'anecdote, j'ai fêté mes 56 ans, hier ! Rappelez vous, il y a un an ! Je vous avait dit, m'avoir fait un beau cadeau à cette occasion, sans le savoir ! Mais vous avez sans doute oublié, ce n'est pas grave et je ne vous en veux pas, dans la mesure ou même certains de mes proches l'oublie !

    Amicalement, Dominique,

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  38. Joyeux anniversaire, à retardement donc. Désolée, mais je n'avais pas noté la date. En tout cas, depuis l'an dernier, vous avez bien progressé dans votre rôle. J'espère que vous prenez mes compliments comme des cadeaux. Je ne peux guère vous offrir autre chose. Et, sachez que, de mon côté, vos messages sont appréciés ainsi.
    Comme vous l'imaginez bien, le ressenti pour Christine 23 est différent et plus difficile encore qu'à 12-13 ans, où l'autorité maternelle semblait couler de source, être naturelle, pour des filles élevées dans le sage principe du "qui aime bien, châtie bien"...
    Et, même si le moment était dur à vivre, il s'inscrivait dans une logique, après d'autres fessées, et, je m'en doutais bien, avant d'autres aussi...
    Alors que, dans ce cas précis, même si ce que subissaient encore parfois mes soeurs ravivait mes souvenirs, je me sentais jusque là comme exemptée, comme libérée de ces cauchemars.
    Voir cela ressurgir, d'abord comme une vague peur, après les confidences de Caroline, puis comme une angoisse montante, et maintenant comme une réalité, cela changeait tout...
    De tout cela, j'avais pensé au cours d'une nuit agitée. Une nuit perturbée par la question à laquelle je devais répondre.
    Mais, si j'avais penché pour la solution fessée, c'était en partie en me disant : tu en as reçu des tas, alors ce n'est qu'une de plus. Tu n'en es pas morte, loin de là, et souvent même ce sont surtout les moqueries de tes soeurs qui te marquaient plus longtemps que ta peau ne rougissait.
    Sauf que le raisonnement est plus facile à tenir après qu'avant...
    Sauf aussi que, dans mes souvenirs, j'avais conscience que Maman avait toujours adapté la sanction à l'âge de la punie, que déjà à 12-13 ans, je passais un sale quart d'heure sur ses genoux, en comparaison avec les fessées de mes soeurs.
    J'avais grandi depuis, mon corps n'était plus celui d'une petite ado, mais celui d'une femme, et que rendre ma lune écarlate allait être une tout autre affaire...
    C'est à cela que je pensais en rejoignant les genoux de Maman, c'est là où mon consentement vacillait, où je me demandais si j'avais fait le bon choix. J'avais envie de dire "Stop", de "Attends, Maman, on est bien d'accord, c'est une fessée comme au temps des heures de colle que tu vas me donner ? Ce que tu appelais à cette époque "une fessée de grande". C'est bien cela et pas plus ? Rassure-moi, Maman".

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  39. Chère Christine,

    Bien sur, Chère Christine, que je prends vos compliments comme des cadeaux et notamment ces deux derniers, ma progression et l'appréciation de mes messages, vous m'en voyez plus que ravi et je vous en remercie.

    Sans en être certain, je me doutais que le ressenti d'une Christine 23, ne pouvait être que différent d'une Christinette de 12/13 ans devant respecter l'autorité parentale et se soumettre à son corps défendant, à la méthode maternelle en terme de punition et ou le choix n'avait pas sa place.

    Il est donc bien évident, que l'ensemble des événements et notamment la confession de Caroline, incitant Maman à se dire « Pourquoi ne pas agir, avec Christine, comme le fait Mme Lebrun avec sa fille ! Certes elle a bien grandi, mais demeure ma fille au même titre, que ses sœurs, qui reçoivent encore de bonnes fessées, de ma part, quand c'est nécessaire ? » ne peux qu'inquiéter Christine en se dirigeant vers les genoux maternels, pour une fessée de très grande, son corps n'étant plus le même qu'à 12/13 ans ou elle en prenait déjà, de sévères !

    Mais je garde cela, pour la suite du synopsis « dans la peau de Christine ».

    Amicalement, Dominique,

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  40. Chère Christine,
    Analyse épisode 76 :

    Dernière semaine de vacances pour Maman Spaak et ses filles, avant le trimestre fatidique, mais pas question pour elle de relâcher la bride, pour chacune d'elles et encore moins l'aînée, ayant déjà à son actif un échec, ne devant pas se reproduire, pour qui que ce soit !
    Dés lors la mission maternelle, est rigueur et travail pour les demoiselles ! Celle-ci ayant servi chacune d'entre elles durant ces vacances, de ses bons soins, la dernière en date étant la grande ne pouvant supporter qu'on fasse référence à ses déboires précédents, face à Mamie, se montrant alors grognonne et maladroite dans les tâches confiées par Maman.

    Nouvelle vexation pour la demoiselle, lors d'une rencontre avec une autre Maman, l'échange entre les deux se soldant par une mortification de Christine ! A ce sujet, l'illustration est parfaite et parle d'elle-même, on y voit une Maman à l'attitude déterminée et une jeune fille dans ses petits souliers, la suivant d'un pas traînant et affichant un visage tristounet, empli de honte !
    En dehors de cela, la semaine fût calme en terme d'occupation fessière pour Maman Spaak, seule la petiote récoltant une gifle !

    Le souci pour Christinette, étant d'avoir été la dernière fessée et à laquelle Maman fait bien sur référence, pour ramener le calme auprès des autres ou elle-même, pour faire passer son message !
    D'ailleurs à la veille de la reprise, Maman Spaak réaffirme à chacune de ses filles, la position qui sera la sienne au cours de ce trimestre ! Tolérance zéro et bonnes déculottées, en cas de dérapage !
    Celle-ci forçant le discours, auprès de son aînée, qui agacée par ces répétitions maternelles, lâche trois mots « Tais-toi donc ! » mal venu déclenchant la réaction de Maman, sur cette insolence !

    Christinette comprenant son erreur, se ravise aussitôt et se confond en excuses, apeurée par une exécution immédiate de la sentence maternelle ! Fort heureusement, l'heure tardive jouant à sa faveur, Christine y échappe ! Maman Spaak, se contentant d'une menace très claire et sans équivoque, dés la prochaine incartade, pour remettre les pendules à l'heure de sa fille !
    Ceci n'étant pas de bonne augure pour la demoiselle, ressentant que cette clémence exceptionnelle, n'est qu'un sursis et que celui-ci ne durera pas très longtemps, Maman se positionnant en mode de haute surveillance !
    Christinette, ainsi que les soeurettes, ayant confirmation, dés le lendemain et les jours suivants, de cette pression maternelle, rythmant la vie de ces demoiselles tambour battant ! Pas de contestation, contrôle journalier du travail effectué ou à faire, par une fouille en règle des cartables !

    Si les frangines encore trop jeunes, ne pipais mot ! La grande Christine trouve cela détestable et ne peux contenir, une nouvelle réflexion à l'encontre de sa mère ! Ceci dés le surlendemain de son insolence, pour laquelle, elle a échapper de justesse, grâce à l'heure tardive, à une bonne dérouillée !

    Ce qui fait aussitôt réagir, Maman, qui recadre la petite demoiselle en lui précisant qu'elle risque de trouver, ce qu'elle cherche ! En abusant de la patience maternelle et assez rapidement.

    A suivre...........


    Amicalement, Dominique,

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  41. Dominique joue sur les deux tableaux à la fois. En attendant la suite du synopsis que Christine 23 n'est vraiment pas pressée de vivre, voici un commentaire judicieux sur l'épisode 76 de l'année du redoublement. Là aussi, pour Christine 13 cette fois, l'avenir s'assombrissait... Surtout que les promesses maternelles se précisaient...
    Pas facile à vivre en ce début de trimestre décisif, où la pression maternelle risque d'être plus présente encore...
    Petit élément agaçant supplémentaire : si parfois, le fait d'être celle qui a reçu le plus récemment une fessée, était gênant du fait des rappels maternels, il y avait l'espoir que pour l'une ou l'autre, voire les deux soeurs, ce soit bientôt comme on dirait "leur tour". Là, au point du récit, non seulement, j'ai pris la plus récente des tannées familiales, au retour d'un repas dominical chez Mamie, mais tout semble porter à croire que je suis à nouveau dans le collimateur, et que la dernière servie a bien des raisons de craindre d'être la première à retourner sur les genoux maternels...

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  42. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, vécu de la fessée, coté Christine :

    Ce basculement et ces trois ou quatre tapes sur le fond du pyjama, venait de me ramener 10 ans en arrière, excluant de mon esprit la dernière fessée reçue à 19 ans, dans des circonstances bien particulières !
    Là ! Non ! C'était comme au temps de mes 12/13 ans, lorsque Maman m'envoyait me mettre en pyjama et l'attendre un certain temps dans ma chambre, qu'elle vienne pour m'étaler sur ses genoux, me déculotter et me fesser longuement, pour mes erreurs, sans aucun avis de ma part ! C'était la pure logique maternelle « Comme tu as fait une bêtise, tes fesses vont en payer le prix ! ».
    Sauf que là, j'avais du donner mon « accord » sur la sanction et je n'en revenais toujours pas ! Moi, qui avait toujours redouté cette punition, j'avais dis « Oui » pour une fessée! Incroyable !

    Mais dans la position ou j'étais, venant de prendre quatre claques sur mes fesses, certes encore couvertes, mais qui sans aucun doute n'allaient pas le rester ! Je n'étais plus dans une fiction, mais dans la dure réalité ! Christine 23 était bien étalée sur les cuisses de Maman, dans l'attente de sa fessée et il était bien trop tard pour changer les choses ! C'est alors qu'une autre question, me vint à l'esprit ! A l'époque, Maman m'administrait des fessées de grande, par rapport à mes sœurs ! Non bâclée, ni expédiée ! A chaque fois, pour moi, c'était l'assurance d'une vraie longue tannée, douloureuse et mortifiante à souhait !

    Or, mon corps et surtout mes fesses n'étaient plus les mêmes ! Je fût alors tentée de demander à Maman, si cette fessée ressemblerait, aux celles qu'elle m'avait habitué à cet âge, déjà insupportable et non une plus intense, compte tenu de mon évolution corporelle ! Néanmoins craignant une réponse du genre « Allons ma chérie, tes fesses se sont bien développées depuis tes 13 ans et en partie, grâce à mes bons soins ! Il va donc me falloir plus d'énergie, avec elles, pour que tu comprennes la leçon ».

    Je n'en fît rien et je sentis, les doigts de Maman s'insérer sous la ceinture du pyjama ! Aussitôt comme dans un vieux réflexe, je lançais mon bras à l'arrière, ma main attrapant l'élastique de celui-ci pour le retenir, en implorant « Nooon, nooon, M'maaan ! Pas çaaa, j'teen suppliiiie ! », la réponse ne fît pas attendre !

    Maman : « Voyons, Christine ! Tu sais très bien qu'avec Maman, une bonne fessée c'est toujours déculottée, pour être efficace ! Je vais donc baisser ton pyjama et ta culotte ! Ensuite nous passerons aux choses sérieuses ! Alors je te demande gentiment de retirer, ta main, en te souvenant ce qu'il t'en coûtait ! Lorsque tu faisais cela et ce qui m'agaçait fortement ! »

    Une nouvelle fois, Maman faisait appel à ma conscience d'adulte et ma mémoire ! Ce genre de choses, comme la rébellion, m'ayant valu plusieurs fois, des suppléments inattendus, malgré une bonne tannée encaissée !

    Résignée, je lâchais prise en pleurnichant, comme la gamine de 12/13 ans que j'avais été, laissant donc Maman faire glisser ce pyjama, vers la bas ! Avant de s'attaquer à la culotte et découvrir cette lune, épargnée depuis environ quatre ans ! Je ne savais plus quoi penser ! Sauf que j'allais m'en ramasser une sévère et même une très sévère, pour bien marquer mon esprit !

    A suivre..........

    Amicalement, Dominique

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  43. Chère Christine,
    Analyse épisode 76

    Cette réaction maternelle, calme aussitôt les trois demoiselles, comprenant que cette menace pourtant adressée à Christine, donne le ton pour l'ensemble de la maisonnée et que celle-ci pourrait bien se concrétiser, au premier faux pas commis par l'une des trois.

    Les petiotes se montre alors d'une sagesse exemplaire, forçant même la dose vis à vis de la grande sœur, que cela irrite ! Les gamines préférant que la prévision d'orage maternel, s'abatte plutôt sur Christine, que sur elles ! Courageuses mais pas téméraires les frangines.

    Le petit jeu des soeurettes et la volonté maternelle, à maintenir le bon cap du bateau Spaakien en utilisant, si nécessaire, la punition en vigueur dans la maison !
    Ces éléments ne favorise pas la sérénité de Christinette, qui même si elle est la dernière punie du groupe, durant ces vacances ! Il fort probable qu'elle entame la nouvelle vague d'hostilités maternelles, en ce début de trimestre décisif ! Maman ne menaçant jamais trois fois, de suite !
    Christine ressent donc une sérieuse angoisse, en tant que leader de la course et numéro un pour les parieurs !

    Amicalement, Dominique,

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  44. Chère Christine,

    L'égocentrique que je suis, va se faire lui même un compliment, en plus des votre ! Il est vrai de j'ai pris une dimension dans l'écriture que je ne soupçonnait pas et je m'en étonne ! Mais je pense que cela est du, à la qualité de votre blog et les judicieux commentaires de vos fidèles commentateurs ! Tel que Mardhol ou Valérie, plus que muets depuis un certain temps, ce que je regrette !

    Alors, mise à part les fautes d'orthographes et de syntaxes, je me surprend moi-même à rédiger des textes (analyse ou synopsis) dont, je ne me savais pas capable ! Alors quand vingts ans de carrière militaire, j'ai fait des choses inimaginables !

    Voilà, c'est juste un petit aparté Dominicain, que vous pouvez publier ou garder pour vous !

    Amicalement, Dominique,

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  45. De retour d'un court déplacement pro, je vois que Dominique a bien occupé le terrain et s'adresse même des félicitations. Je lui accorde bien volontiers.
    Côté commentaire de l'épisode 76, il souligne bien cette situation particulière que je vivais à ce moment là, consciente que, même si j'avais été la dernière "servie", je sentais bien qu'il y avait de fortes "chances" (terme bien déplacé en la matière) que je sois la prochaine punie... Et, paradoxalement, plus je le craignais et plus j'angoissais, plus je devenais irritable et plus je risquais moi-même de provoquer par mes réactions ce que je voulais absolument éviter...
    Pour ce qui est du synopsis dominicain, les choses sérieuses commencent, et la résistance de Christine 23 imaginant un instant pouvoir bloquer le déculottage est bien rendue via le rappel de ce qui arrivait en cas de pareille attitude quelques années plus tôt... Je vais peut-être rajouter comment j'imagine mon ressenti en ce moment précis, en attendant peut-être que Dominique n'écrive cette partie du point de vue de Maman Spaak...

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  46. Chère Christine,

    Je me doutais que Christine, s'était absentée pour raisons professionnelles, tant qu'à l'hommage que je me suis rendu ! Ce n'était qu'un trait d'humour, mettant en avant le dicton « On n'est jamais si bien servi, que par soit-même », malgré que vous m'ayez couvert de louanges !

    Sinon concernant le synopsis et le ressenti maternel, celui-ci est en préparation et vous sera livré, dés que possible.

    Pour l'épisode 76, il est bien évident que la Christinette pourtant servie la dernière, par les bonnes grâces maternelles, ne peux qu'angoisser, compte tenu du lourd climat régnant dans la maison qui l'a met à fleur de peau, avec des réactions inappropriées, vis à vis de Maman !
    Cela contribuant à faire monter son adrénaline, sur le fait qu'il y a de fortes « malchances », qu'elle soit la première de la liste, pour le service maternel de ce dernier trimestre ! Ayant un mal fou à contrôler, cette impulsivité !

    Amicalement, Dominique,

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  47. REFLEXIONS A LA PLACE DE CHRISTINE 23 :
    C'est comme une automate que j'avais laissé Maman m'attirer et me faire plonger en travers de ses genoux. Ce retour à une position inconfortable et familière à la fois (dans mes souvenirs) me semblait presque irréel, comme dans un cauchemar.
    Les trois ou quatre tapes anodines données par Maman, sans véritable force, presque comme on tapote un coussin pour le rendre présentable, me firent sortir de cette sensation de mauvais rêve pour me faire prendre conscience que j'étais bien dans la réalité. Je n'étais plus dans mon angoisse, dans ces dernières heures où j'imaginais ce qui m'était promis, non, j'étais bien dans le réel, dans une situation qui, par de multiples aspects (attente, chambre, tenue, etc.), me faisait revenir à ma période adolescente la plus agitée...
    Un retour qui s'accompagnait des sensations d'alors, et des mêmes réflexes... Bien que j'ai dû en accepter la sentence, la "choisir" en la "préférant" à une solution pire à mes yeux, comme à l'époque, une fois en position, la peur, associée à ma pudeur naturelle, m'ont amenée à vouloir protéger mes fesses, à agripper mon fond de culotte, à implorer et supplier...
    Maman avait immédiatement réagi, avec des mots qui réveillaient ma mémoire : « Voyons, Christine ! Tu sais très bien qu'avec Maman, une bonne fessée c'est toujours déculottée, pour être efficace ! Je vais donc baisser ton pyjama et ta culotte ! Ensuite nous passerons aux choses sérieuses ! Alors je te demande gentiment de retirer, ta main, en te souvenant ce qu'il t'en coûtait lorsque tu faisais cela, ce qui m'agaçait fortement ! Tu t'en souviens, n'est-ce pas, Christine ? »
    Comment ne m'en serais-je pas souvenu ? Oui, je le savais, et Maman avait souvent rajouté quelques volées de claques pour me faire lâcher prise, quand, comme cela était arrivé, notamment une fois, elle n'avait pas hésité, une fois la fessée donnée, à me replonger en position pour une sorte de deuxième tournée...
    A 23 ans, si le réflexe protecteur était revenu, la sagesse de l'âge me conseillait de ne pas insister, et j'ai donc retiré ma main, laissant libre cours aux préparatifs maternels, qui, consciente qu'elle avait la situation en main, ne voulait surtout pas agir dans la précipitation, ni bâcler ce qu'elle considérait comme son devoir.
    Maman a donc descendu mon pantalon de pyjama jusqu'à mes mollets, puis s'est attaquée à ma culotte, la glissant lentement vers le bas. Ce n'était peut-être pas si lentement que ça, mais j'avais l"impression d'une séquence passée au ralenti, Maman dégageant, derrière comme devant, un bas du dos, frissonnant d'angoisse, et faisant remonter des sanglots dans ma gorge, accompagnés d'un long lamento murmuré qui disait "Oh, nooon, noooooon, nooon" !
    Maman rajusta bien ma position, commentant par un : "Oh, mais si, Christine, mais si, je vais te donner la bonne fessée que tu mérites..."
    Je sentais mon bas du dos complètement nu, sans protection, comme offert...
    Maman devait s'imprégner de cette vision, prendre conscience de la tâche qui l'attendait. Elle prit deux ou trois longues respirations, et je me doutais bien qu'il allait encore y avoir, de sa part, quelques mots ou phrases justificatives et annonciatrices de la suite... Après m'être cabrée un instant, je me relâchai, ne pouvant plus qu'attendre la suite...

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  48. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, vécu de la fessée de Christine, coté Maman Spaak :

    Revenant de la buanderie, je pénétrais dans la chambre de Christine, que je découvris, non plus assise sur son lit ! Mais au fond de la pièce, le dos à la fenêtre comme elle le faisait à une certaine époque, lorsqu'elle entendait mes pas !

    Je me dirigeais alors, directement vers son lit ou je m'installais, comme j'en avais l'habitude et je fît ce signe de l'index caractéristique, qu'elle connaissait parfaitement, pour l'inviter à venir vers moi ! En lui précisant, très calmement qu'il était préférable d'en finir au plus vite et surtout avant que nos invités n'arrivent, pour ne pas la gêner davantage !

    Comme je m'y attendais, celle-ci marqua un temps d'hésitation en me suppliant, une dernière fois ! N'ayant aucun désir, d'engager une épreuve de force avec elle (que je n'aurais peut-être pas gagnée, à l'inverse de son adolescence), je fît appel à son intelligence et sa conscience d'adulte, insistant sur le fait que ce n'était pas par plaisir, qu'il me fallait la punir, mais mon devoir de mère ! D'autant qu'elle avait « acceptée » le type de punition !

    Se décidant, elle commença à avancer vers moi ! Ô sans précipitation et se bloqua à environ un mètre, ressentant certainement comme avant, une trouille bleue de l'instant fatidique ! Mon expérience en la matière, tant avec elle, qu'avec ses sœurs me fît sentir qu'il me fallait l'aider pour le dernier pas ! Ce que je fît, avec une certaine énergie, attrapant son poignet fermement et la couchant au travers de mes cuisses ! Dans la foulée, la ceinturant de mon bras gauche, je claquais par quatre fois ces fesses, encore couvertes, légèrement ! Action symbolique, comme une sorte de message pour lui dire, que j'étais passée dans la phase active de la punition et que bien sur j'irais jusqu'au bout !
    Et pour moi, me permettre de ressentir ce fessier qui n'avait plus 13 ans et évaluer la tâche qu'il me fallait accomplir, pour que la leçon soit comprise, mais sans excès ! Christine un peu surprise par ces quatre claquettes, émis quelques pleurs, mais ne broncha pas ! Le vrai souci pour elle, était que ma règle fondamentale ! Etait qu'une bonne fessée, pour qu'elle soit efficace, se donnait sur des fesses nues !
    Je sentis instinctivement qu'elle appréhendait ce moment et lorsque je glissais mes doigts, sous l'élastique, je me doutais qu'elle allait tenter de s'y opposer, en s'accrochant à celui-ci comme elle le faisait étant plus jeune, accompagné d'une supplique ! Ce geste d'auto-défense, dérisoire, m'avait toujours agacé, j'aurais pu comme je le faisais à son adolescence, claquer le haut de ses cuisses pour créer une diversion et lui bloquer le bras !

    Sauf que là, c'était une femme épanouie et intelligente qui se trouvait sur mes cuisses, je fît donc appel à sa raison, en lui remémorant ce qu'il en coûtait lorsqu'elle faisait cela ! A savoir un supplément de claques, en fin de fessée, voir même de tant à autre, un retour sur mes genoux alors qu'elle s'apprêtait à se reculotter ! Cela lui fît lâcher l'élastique, dans un sanglot, se résignant à ma volonté de la déculotter, comme à ses 13 ans !
    J'entrepris alors de baisser ce pyjama, en le faisant descendre quasiment jusqu'aux chevilles, avant d'en faire autant avec la culotte et avoir, sous les yeux, cette lune blanche et tremblante, que je n'avais pas vu, depuis environ 4 ans !

    A suivre..............

    Amicalement, Dominique

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  49. Dans la tête de Christine 23 :
    Mais, pourquoi avais-je si facilement relâché l'élastique de ma culotte et oté ma main qui tentait de s'interposer et de protéger ma lune ? A mon âge, j'aurais peut-être pu tenter l'épreuve de force ? Mais, dans ma tête, j'étais résignée, comme arrivée à un point de non-retour, dans une situation dont je savais que nul n'est jamais ressorti les fesses indemnes... Même parfois quand Maman avait été dérangée par un événement impromptu (visite, téléphone, etc.), celle qui étaiit à ce moment là sur ses genoux y passait de toute manière que ce soit sur le moment ou plus tard, mais sans jamais y échapper...
    C'est ce qui devait tourner dans ma tête à ce moment. Non seulement, j'avais "choisi" la fessée, comme moins pire solution, mais j'étais déjà sur les genoux maternels et donc il n'y avait plus qu'à recevoir mon dû.
    Et si je ne savais pas encore combien ce dû serait long et douloureux, je ne voulais surtout pas risquer un supplément ou une deuxième tournée...
    Or, c'est bien ce que Maman me promettait si je ne lâchais pas prise, et même si des années étaient passées depuis, j'avais encore en moi le souvenir des fessées où quelques gestes de révolte ou de résistance avant de céder m'avaient valu une tannée supplémentaire d'autant plus difficile à supporter qu'elle tombait sur une lune déjà écarlate.
    Ces images me revenaient comme si c'était hier, et je repensais même à cette fois où Maman m'avait replongée en travers de ses cuisses pour une seconde tournée, et où mes soeurs le lendemain racontaient à Tata ou à je ne sais plus qui que Christine avait reçu deux fessées déculottées la veille, alors que pour mon ego je n'en comptais qu'une...
    Obéir ainsi ordres maternels et ne plus l'empêcher d'agir me rassura un instant, une petite voix me disant en moi : c'est bien, Christine, comme ça tu n'auras qu'une fessée...
    Mais, en même temps, ne plus bouger et laisser Maman me déculotter était un moment insensé, dont toutes les sensations semblaient me revenir, se réveiller, et être comme décuplées.
    Le glissement du tissu sur mon épiderme, la sensation qu'il se dénudait, me faisait frissonner comme jamais.
    N'osant plus tenter le moindre geste de défense, je devenais en quelque sorte une punie modèle, et je sentais que Maman en profitait pour que tout soit parfait, tant dans la descente du bas de pyjama en dessous des genoux, et le baissé de culotte jusqu'en bas des cuisses, que dans mon positionnement bien équilibré pour que la cible soit parfaitement disposée...
    J'avais l'impression que Maman agissait comme si elle avait une réputation à tenir, comme si elle tenait à ce que cette fessée soit exemplaire en tout point...
    La dernière pause, une fois sûre que tout était en ordre, le temps de bien prendre sa respiration, le temps d'un ultime sermon qu'elle allait tenir, me semblait une éternité.
    Combien de fois avais-je entendu dans ma prime jeunesse Maman annoncer que je serais punie et me demandant de "préparer mes fesses", sorte de cheminement intellectuel que j'entamais, même sans qu'elle le demande, quand un prof me collait et que je devinais ce que cela me vaudrait ?
    Là encore, depuis que Maman m'avait mis le marché en main, et que j'avais dû "choisir" cette solution, dans ma tête, je préparais mes fesses... Mais, là, maintenant, Maman avait pris le relais et avait, cette fois concrètement, préparé mes fesses...
    Je les sentais exposées, offertes, blanches et tremblantes, et j'en étais presque à vouloir qu'on en finisse, à vouloir dire : "Voilà, ça y est, Maman. Tu vois, mes fesses sont prêtes..."
    D'un autre côté, j'avais une peur bleue...
    Alors, je ne dis rien, attendant que Maman ne débite son ultime sermon qui allait précéder l'orage...

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  50. Chère Christine,

    Que dire après un tel commentaire de Christine 23, sur son ressenti ? Si ce n'est en utiliser les éléments pour les prochaines suites ! Là, vraiment merci, Christine ! C'est un caviar de Beluga que vous m'avez servi et je trouve que le jeu à quatre mains, fonctionne bien et est particulièrement motivant ! Chaque texte, se complétant parfaitement, serez-vous du même avis, je ne sais pas ? Mais je le souhaite !

    La suite, coté Christine, arrive bientôt en espérant qu'elle vous convienne ! Celle-ci étant issue de mon imagination et mon vécu, non du votre.

    Amicalement, Dominique,

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  51. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain, suite du vécu de la fessée, coté Christine :

    J'étais dans un brouillard total, sauf que je ne rêvais pas ! J'étais bien au travers des cuisses de Maman qui venait de baisser mon pyjama et allait bien évidemment, en faire de même avec ma culotte ! Déstabilisée par son assurance, après mon réflexe d'antan, je la laissais donc opérer selon son bon vouloir, ressentant néanmoins un très grand frisson, en sentant ses doigts passer sous l'élastique de la culotte !
    Une foule de souvenirs honteux me revenaient et je me sentais rougir à nouveau, comme à l'époque de mon adolescence ! Maman s'appliqua à baisser ma culotte sans précipitation, jusqu'aux genoux, cette gestuelle que je n'avais pas oublié et qui me mortifiait toujours autant, me fît naturellement poussée une lamentation incontrôlable « Oh, nooooon, nooooon, M'maaaan ! ».
    Aussitôt repris par Maman, se repositionnant et m'équilibrant ! Tapotant alors chacune de mes fesses, comme pour me dire « Tu vois, ma chérie ! Tu ne rêve pas, ta lune blanche est sous le regard et la main de Maman, qui va se charger dans modifier la coloration ! ». Avant de démarrer les hostilités sérieuses, elle me servi en paroles un dernier rappel !

    Maman : « Oh, mais si, Christine, mais si ! Tu vas recevoir ce que tu mérites, pour avoir caché des choses et menti à ta chère Maman, alors que tu aurais du te confier, à elle ! Et ne pas la mener, en bateau, pendant des mois ! Comme tu l'a toujours su, à un moment ou un autre, j'arrive à savoir et tu en as fait, plusieurs fois l'amer expérience par le passé ! Je suis donc plus que déçu, que ma grande fille intelligente et sensée, soit retombée dans l'un de ses travers favoris, d'une certaine époque ! », ajoutant « Tu m'aurais présenté cette amourette, dés le début, j'en n'aurais discuté avec toi ! Pour te conseiller et te guider, mais au lieu de ça ! Tu as préféré me laisser de coté comme une vieille chose à qui on fait plus confiance ! Et sincèrement, cela me chagrine beaucoup ! C'est en partie, pour cette raison que j'ai décidé, compte te de ton âge, de te donner le choix de la punition, en espérant que tu fasses le bon et tu l'a fait ! Alors bien sur, maintenant que tu est là et que tu trembles de peur, en te souvenant de ton passé, tu voudrais ne jamais avoir fait ce choix, pourtant moins terrible que le deuxième ! Mais il est trop tard et je suis bienheureuse de ta décision, intelligente, même si elle te renvoie 10 années, en arrière ! Donc ! Passons aux choses sérieuses, ma grande et crois-moi, que tu ne sera pas déçu, toi !»

    J'avais écouté ce monologue, sans répliquer, pleurnichant doucement et comprenant que ma faute aux yeux de Maman, était d'importance, compte tenu de mon âge ! Mais qu'avant tout, elle m'aimait et ne souhaitait en aucun cas, une séparation brutale avec sa grande fille et préférait cette solution, certes mortifiante pour elle, mais somme toute moins pénible ! Sauf le fait d'avoir mal aux fesses et se sentir honteuse !

    Bien évidemment, jamais je n'aurais eu ce raisonnement à 13 ans, mais là dix ans plus tard, mon intellect surmontant la peur du châtiment, me conduisit à ne pas bouger, même si la durée de celui-ci me paru très longue ! Je me sentais comme « offerte » à son bon vouloir, ayant comme l'envie de lui dire « Et bien, vas y Maman, donne moi cette fessée que je mérites et qu'on en termine, même si je n'en ai pas envie ! » Ce que je ne fît pas, bien entendu, me contentant de pleurnicher comme à 13 ans ! Envahie par la trouille, ne sachant que trop bien ce qu'était une bonne fessée maternelle !

    A suivre..............


    Amicalement, Dominique

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  52. Merci des compliments, Dominique. J'apprécie aussi ce jeu d'écriture à quatre mains, mais ce serait bien d'essayer d'avancer à chaque fois un peu plus loin qu'où je me suis arrêtée. Sinon, je ne peux pas rebondir. C'est le cas là encore où votre texte s'arrête où ma réaction s'arrêtait. Je ne vois donc pas trop quoi rajouter. N'hésitez pas à aller de l'avant, notamment dans le rôle maternel (paraphraser le côté Christine est moins nécessaire), afin que je puisse écrire ce que j'imagine que je ressentirais de mon côté.

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  53. Chère Christine,

    Mon Dieu ! Quelle exigence, de ma conteuse préférée ! Qui apprécie les compliments, mais trouve que je n'avance pas assez vite à son goût, pour renvoyer la balle ! Très bien, Mademoiselle, je vais faire en sorte d'être plus créatif tout en restant crédible et vous fournir de quoi réagir !

    Ah ! Là, là, ces femmes ! Quelles sont difficiles à satisfaire, surtout quand elles sont dotées d'un cerveau ! Mais bon, comme j'aime les défis et je vais donc essayer de le relever ! Foi de l'ancien Lieutenant de vaisseau !

    Amicalement, Dominique,

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  54. Mais, non, je ne suis pas difficile. Comprenez juste que pour que je puisse réagir, imaginer ma pensée, encore faut-il que le synopsis avance, sinon nous ne faisons que paraphraser la situation figée.
    Je ne doute pas que Dominique puisse avancer dès l'instant où nous avons une idée assez proche (et plausible) de ce qui va se passer. Merci d'avance.

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