jeudi 7 août 2014

Chronique d'un redoublement : 75. Une fessée majuscule qui me remet à "ma" place...

SUITE 74

Et la fessée tomba. A coups de grandes claques bien ciblées, Maman se lançait assurément dans un récital qu'elle maitrisait parfaitement. Je tentai de retenir mes cris, de contenir mes pleurs, mais la claquée faisait son oeuvre, avec méthode et efficacité. J'aurais voulu protester, supplier, implorer le pardon maternel, mais je savais bien que cela aurait été vain, et n'aurait fait qu'accroitre la détermination maternelle.
Et puis, jouer l'innocente aurait été comme jouer la comédie, tellement j'avais conscience que, sans être devin, j'avais depuis des heures le pressentiment que la journée ne s'achèverait pas sans une étape sur les genoux maternels...
Cela me pendait au nez, ou plutôt au dessus des fesses, depuis que mes soeurs y étaient passées, comme si c'était mon tour. Et puis, j'avais surtout fait l'erreur de me montrer grognonne en public, devant Mamie, qui était pourtant souvent une avocate et non un procureur pour moi.

Si encore j'avais joué les filles modèles, ne disant rien, me montrant souriante et serviable, Maman aurait peut-être été confortée dans son rôle de mère efficace... J'aurais dû la laisser raconter les problèmes qu'elle avait avec ses filles et les inquiétudes quant au dernier trimestre, sans grogner. Mais, comme l'évocation de ce sujet me vexait encore, je l'avais montré, ce qui, dans l'esprit de Maman, signait le fait que son ainée n'avait pas suffisamment compris, qu'elle n'avait pas été assez calmée...




D'ailleurs, dans les petites phrases que Maman répétait entre chaque série de claques ou pour repartir de plus balle, il y avait des mots comme : "Quand je pense que, même chez Mamie, tu te montres impolie... Tiens, tiens, et tiens, je vais t'apprendre la politesse..."
Ou encore : "Si, au moins, tu t'étais bien tenue ce midi pour qu'on puisse passer un dimanche tranquille... On aurait dit que tu la cherchais cette fessée... Mais, avec Maman, la fessée, on la trouve... Tiens, tiens, tiens..."  

La porte était grande ouverte, et le son avait été baissé en bas, et je ne doutais pas que mes soeurs tendaient l'oreille pour ne rien perdre de cette fessée d'avant diner. Et, en pensant à cela, je commençais déjà à imaginer le regard des petites quand il faudrait bien que je les rejoigne pour le repas familial. J'aurais presque préféré être envoyée au lit sans souper...

J'essayais donc surtout de ne pas trop parler, ne pas trop crier, ne pas trop donner l'occasion à Maman de commenter son action, ou de repartir de plus belle, remotivée par mes réactions...

D'un autre côté, autant la première fessée qui avait mis fin à la trêve de deux mois, m'avait marquée, autant le fait que déjà, j'en avais reçu une autre plus "ordinaire", et le fait que cela faisait ainsi la troisième fois en deux semaines que je me retrouvais sur les genoux maternels, tout cela me rendait presque philosophe, et m'aidait à modérer mes réactions...

En revanche, si le fait de surjouer parfois entrainait des répliques beaucoup plus appuyées de Maman, le fait de retenir mes cris l'incitait aussi à forcer un peu la dose, se demandant si le traitement était suffisamment efficace et tenant à le vérifier par une série de claques encore plus fortes...
Comme si une "bonne" fessée se jugeait à l'épuisement de la punie...
De toute manière, la tannée avait déjà amplement rougi ma lune, et chaque claque devenait de plus en plus insupportable. Je ne pouvais plus retenir mes larmes, ni mes supplications faites à toute petite voix entre deux "aïe, ouille".




Maman semblait satisfaite et elle paracheva son oeuvre par un final dont elle avait le secret, commentée par un discours du genre : "Ah, j'espère que tu réfléchiras avant de te montrer à nouveau désagréable... Tu n'as eu que ce que tu méritais, Christine... Une bonne fessée, tu l'as cherchée, tu l'as eue... Et, tant que tu ne comprendras pas autrement, tu pourras préparer tes fesses, ma fille..."

J'étais en larmes, pleurant sans retenue, épuisée, pour ne pas dire calmée par une fessée qui avait été longue et appliquée, efficace comme Maman savait en donner à son ainée particulièrement.

Je tombai à genoux, enchevêtrée dans mes vêtements, ma jupe retombant, ma culotte encore à mes genoux, et le visage raviné de larmes, bref je n'avais pas fière allure, reniflant entre deux sanglots.
Maman s'était relevée et allait quitter ma chambre, non sans m'ordonner de me relever : "Ne reste donc pas affalée par terre. Tu es ridicule, ma fille. Si tu te voyais... Rhabille toi, on va bientôt passer à table. Regarde comme ta jupe est toute chiffonnée".
C'est vrai que je devais ressembler à une marionnette désarticulée, n'ayant aucune envie de bouger, tant que je n'aurais pas évacué le plus gros de mes larmes.

Finalement, se ravisant, Maman me dit : "Mets-toi plutôt en pyjama, et passe un gant de toilette sur ta figure, tu auras meilleure allure. Au passage, pose ta jupe et ton chemisier dans le panier de linge sale."

Sur ce, Maman descendit retrouver mes soeurs et mettre la dernière main au diner.

Cinq minutes plus tard, elle cria : "A table !", et je me rendis compte que je n'avais pas bougé, demeurant prostrée, les fesses encore à l'air sous la jupe qui les cachait, broyant des idées noires, me remettant doucement de cette tannée qui était tout de même, dans son genre, un exercice très physique pour les deux protagonistes.

L'appel de Maman me sortit de ma torpeur. Je me rappelai qu'elle avait demandé que je me mette en pyjama, et je quittai à vitesse grand V mes vêtements, les mettant en boule dans le panier à linge sale. 
Je récupérai mon pyjama, enfilant le haut, puis me retrouvai près de la glace, la lune écarlate... Je n'avais pas eu loisir de la voir blanche avant la fessée, mais je sombrai à la tentation d'observer mes joues du bas "réchauffées" par la main de Maman.
Dix minutes s'étaient écoulées, et le rouge n'était plus vif comme sous la claquée. Toutefois la coloration était presque uniforme, comme la sensation de chaleur qui me parvenait. Assurément, Maman avait appliqué ses claques sur toute la surface de mes deux hémisphères : cela n'avait pas été la volée du siècle, mais une fessée grand format, un modèle du genre, bref la "bonne fessée" version Maman Spaak.

J'avais entendu les petites filer vers la cuisine pour se mettre à table, et j'étais encore à moitié nue. Constatant que je ne descendais pas dans l'instant, Maman se rapprocha du bas de l'escalier et lança : "Christine, je ne vais pas t'appeler trois fois. Ou tu descends maintenant, ou je monte te chercher, et ça va barder... Si la fessée que tu viens de recevoir ne te suffit pas, dis-le, et j'arrive..."

Affolée, je répondis : "Non, non, Maman, je descends vite..."

J'enfilai à la hâte le bas de mon pyjama, regardai un instant mon visage aux yeux rougis, passai le gant de toilette sur mes paupières et descendis. Je dévalai même les escaliers, arrivant dans la cuisine, haletante, en pyjama, les yeux encore rouges, faisant face à Maman et aux petites, toutes trois attablées encore en habits du dimanche.

Je me sentais toute bête, sous ces trois regards, débarquant en courant presque suite aux menaces maternelles.
Maman m'invita à m'asseoir, tout en commentant, ce que mes soeurs avaient bien compris, mais qui, avec des mots, est encore plus mortifiant : "Ah te voilà, Christine. Je vois que tu as couru pour ne pas fâcher Maman. C'est bien, ça ! Je vois que la fessée de Maman a fait son effet... Vous voyez, Aline et Diane, votre grande soeur est redevenue calme et ne grogne plus, à me faire honte comme chez Mamie, ce midi... Allez, Christine, ne reste donc pas plantée là. Assieds-toi à table".
J'eus un très gros sanglot qui me remonta dans la gorge et mes yeux s'embuèrent à nouveau, me sentant ridicule, honteuse.
Maman le remarqua : "Ne te remets donc pas à pleurer, Christine. C'est fini. Tu n'as eu que ce que tu méritais, voilà tout. Je t'avais assez prévenue... Mais, avec Mademoiselle, les mots ne suffisent pas... Il a encore fallu lui baisser sa culotte et lui flanquer une bonne fessée  pour qu'elle comprenne qu'on obéit et qu'on ne fait pas la tête... Sèche donc tes larmes, Christine. Et n'en rajoute pas... Ce n'est qu'une bonne fessée de plus, et il ne tient qu'à toi qu'il n'y en ait plus... Même si je me doute bien que ce n'est sûrement pas la dernière..."

Mes soeurettes buvaient du petit lait en entendant cette tirade maternelle. Elles jouèrent les filles modèles, profitant de cette scène où elles étaient endimanchées, à table, entourant leur ainée en pyjama, assise, chacun le devinait sur deux fesses encore chaudes de la claquée maternelle...

Je retrouvais dans le regard de mes soeurs cette espèce de moquerie si souvent ressentie, façon pour elle de se rassurer peut-être, de se dire que si elles avaient aussi droit aux fessées maternelles, la grande soeur y était soumise également, voire de façon plus marquante du fait de son âge notamment.

Moi qui avais, durant cette longue trêve de deux mois sans fessée, où mon statut de grande s'en était comme revalorisé, je me retrouvais au contraire comme dans les périodes les plus difficiles, un peu comme l'année précédente quand j'accumulais les heures de colle, les mensonges et les mauvaises notes. Cette troisième déculottée en deux semaines me remettait à "ma place", celle devenue habituelle de première dans la ligne de mire maternelle, à celle dont les fessées servaient d'exemple ou de menaces. D'ailleurs, Aline et Diane ayant un moment pouffé en me voyant le nez dans mon assiette, me trémousser un instant sur ma chaise, pour cause de picotements ressentis, Maman n'avait-ellepas grondé : "Arrêtez de rire, les filles, il n'y a rien de risible. Si vous voulez vous aussi comme Christine une bonne fessée déculottée, je n'hésiterai pas".
Aline et Diane étaient demeurées plus discrètes ensuite dans leurs moqueries, mais une fois encore, la menace maternelle n'avait fait que leur rappeler que Maman venait de baisser la culotte de leur ainée pour une fessée majuscule ! Leurs yeux pétillants montraient qu'elles mettaient des images sur les phrases maternelles, et j'avais l'impression, moi aussi, que ces mots de Maman me déculottaient devant elles.


A SUIVRE

107 commentaires:

  1. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Moi : « C'est Aline, qui s'en ramasse une, parce qu'elle n'a pas obéit et surtout répondu à sa mère ! »

    Caroline : « Et bein, ça chauffe dur chez les voisines, ce soir ! ».

    Ce que nous ignorions, c'est que ça allait également chauffer sur notre terrasse, pour la plus petite des sœurs, qui tout en enlevant le reste du couvert, continuait à ronchonner ! Ce qui n'échappa pas à sa mère et interpella Sylvie !

    Belle-Maman : « Sylvie, ça suffit ! J'en ai plus qu'assez de vos sautes d'humeur ! Alors, tu ramène ce que tu as dans les mains, à la cuisine et tu reviens, vite me voir ! Je vais te faire passer l'envie de râler pour rien, fais-moi confiance ! Allez, ouste ! ». La gamine parti, comme on dit, la queue entre les jambes et ma Belle-Mère ajouta, très gentiment, à l'attention de Caroline : « Ma chérie, tu peux nous apporter le café, s'il te plaît ! ».
    Tout le monde avait compris, qu'à son retour, Sylvie allait se retrouver sur les genoux de sa mère, pour une déculottée et Caro, tout en répondant à la demande de celle-ci, se fît l'avocate de sa sœur, avec une certaine hésitation !

    Caroline : « Oui, M'man, pas de problème ! Euh, Maman je me mêle sans doute, de ce qui ne me regarde pas ! Mais, ne soit pas trop dur avec Sylvie, c'est vrai qu'elle ronchonne souvent, mais elle est moins turbulente et insolente que Bernadette ! ». Cette dernière, relevant la tête, jeta un regard noir à sa grande sœur, confirmant les propos de cette dernière ! Et la mère, repris la parole !

    Belle-Maman : « Allons, ma chérie ! J'vais juste rappeler à ta petite sœur, qu'il y a des règles à respecter et toi, comme Bernadette, le savez aussi ! Alors elle aura simplement droit à ce qu'elle mérite et rassure toi, je veux juste qu'elle comprenne bien le message, car parfois ses oreilles sont un peu bouchées ! ». Cette dernière tirade, me fît sourire et la mère ajouta « Mais c'est gentil de ta part, de t'inquiéter du sort de ta petite sœur ! ».

    Les choses allaient s'enchaîner, Caroline était revenu avec le café, alors que Sylvie n'avait toujours pas réapparu ? Sa mère, sans dire un mot se leva et se dirigea, vers la cuisine ! D,où émanèrent des suppliques et nous vîmes alors revenir, la Maman et sa fille, tenue par l'oreille, avec des larmes aux yeux, accompagné de petits gémissements que la mère repris à son compte !

    Belle-Maman : « Cesse donc de gémir et pleurnicher pour rien, Sylvie ! D'ici une minute, j'vais te donner l'occasion de crier et vraiment pleurer ma petite fille ! »

    En deux temps, trois mouvements, Sylvie était sur les genoux de sa mère, retroussée et déculottée ! La gamine n'eut pas le temps de supplier, que la main maternelle s'abattît sur ses fesses, lui donnant l'occasion d'ouvrir la bouche pour crier et verser, cette fois, de grosses larmes ! La fessée ne dura pas très longtemps, mais elle était énergique et forte, la mère ne faisant qu'une pause avant de finaliser la leçon et laisser fuir, Sylvie et ses fesses bien rouges, vers sa chambre, éponger son chagrin !

    A suivre..............

    Amicalement, Dominique

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  2. Voilà qui équilibre les scènes de chaque côté de la haie. Comme chez les Spaak, Caroline la grande a tenté de plaider la cause de sa soeur, en vain. Les deux mères ont en la matière une détermination commune...
    Après avoir assisté en première loge aux déculottées de mes soeurs, puis avoir entendu ce qui arrivait aux deux petites Lebrun, sans compter ce que j'ai su de la bouche de l'intéressée des mésaventures de Caroline, la grande Christine que je suis devenue aurait tendance à se féliciter d'être devenue sérieuse et sans (gros) reproche, et de pouvoir ainsi, depuis plusieurs années, être débarrassée de ces très mauvais moments qui ont rythmé mon enfance et mon adolescence, d'une manière très marquante, et pas que par l'empreinte de la main de Maman sur le bas dénudé de mon dos...
    Cela dit, bizarrement, au lieu d'être rassurée pleinement, c'est quand même une sorte d'angoisse qui me prend....

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  3. Chère Christine,

    Il est vrai de les neurones de Christine, peuvent cogiter, après ce qu'elle a vu de près ou entendu chez les voisins ! Ainsi que la confession de son amie ! Alors même si elle épargnée, depuis plusieurs années, la sérénité ne peux être de mise ! D'autant que le discours maternel, a été très clair, englobant également l'aînée ! Ce qui n'a rien de rassurant pour la jeune fille et serait même plutôt angoissant, compte tenu du secret qu'elle porte, vis à vis de sa mère, depuis des mois, tout en l'ayant partagé avec d'autres et notamment, Tata Jacqueline ! D'où ce dilemme partageant son esprit !

    Amicalement, Dominique

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  4. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Le lendemain, Caroline vint me chercher à la base, vers 14h, avec Christine ! Pour passer l'après-midi à la ferme, en compagnie de Maman et ma Tante ! Christine, avait bien évidemment prévenu sa mère de cela, sans lui préciser que Christian y serait également, n'étant pas de service après sa garde de nuit !
    Alors que nous discutions, tous les six, Maman proposa que l'on reste à dîner avec le reste de la famille ! Caroline et Christian, avaient déjà prévus cette possibilité et en avaient informés leurs parents, mais pas Christine qui s'adressa à Maman.

    Christine : « Pourquoi pas, Madame Liliane, mais il faut que je demande à Maman, si elle d'accord, vous comprenez ! »

    Maman : « Tout à fait ma grande, tu n'as qu'à lui téléphoner ! »

    Christine : « C'est gentil, mais la connaissant, je préfères lui demander de vive voix et puis avec Caroline, il était prévu de récupérer ma sœur à la fac, avant de me ramener à la maison ! », ce que Caro confirma !

    Maman : « Bon, très bien, les filles, faites comme cela et tenez moi, courant ! »

    Caroline ajouta : « Je pense que ce serait bien que Dom, vienne avec nous ! Madame Spaak l'apprécie beaucoup et si l'invitation vient de sa part, je ne crois pas qu'elle refusera ! »

    Maman : « En effet, Caroline, je sais qu'elle l'apprécie, tout comme ta Maman ! Alors faites comme ça ! »

    Tant et si bien, que vers 17h45, nous prîmes tous les trois, la voiture, afin de récupérer Aline et nous rendre chez elles ! Je crois pouvoir dire que Caroline, avait eu une riche idée, en me demandant de venir ! Car passant le portillon de la maison Spaak, des bruits, significatifs parvinrent à nos oreilles, en provenance de la cuisine ! Où se trouvait Madame Spaak, mais surtout une Diane étalée sur les genoux de sa mère, sans short, ni culotte, ceux-ci étant sur le sol et recevait une bonne fessée, ses fesses étaient déjà bien rouges ! Mais Anne-Marie, en nous voyant stoppa son action, sans lâcher sa fille et nous dit.

    Maman Spaak : « Passez donc au salon, vous servir un verre, j'en termine avec Diane et je vous rejoins ! ». Je fît donc faire demi-tour aux filles ! Et là, retentit une exclamation de Diane ! Suivit d'une réponse maternelle, contraire à son désir !

    Diane : « Arrêteee, M'maannn ! Promiiiss, jt'obéiraiiss ! Maiisss, arrêteee ! J'aiii maallll ! »

    Maman Spaak : « Je me doute, que tu as mal, ma chérie ! Et je te rappel, que c'est le but d'une fessée et puis, tu sais que lorsque Maman en donne une, elle va jusqu'au bout, sans ce soucier de vos suppliques ou promesses à rallonge ! ». Bien entendu, la valse des claques repris, ainsi que les plaintes et les sanglots de Diane, que l'on entendait fort bien !

    A suivre.........

    Amicalement, Dominique

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  5. Voilà encore une situation bien gênante pour Diane... Le spectacle, je l'imagine, était haut en couleurs...
    Mais je ne vais pas en rire... Je sais trop ce que c'est...
    En attendant la suite, je vous informe juste que je vais prendre une petite dizaine de jours de vacances. Bien méritées, elle aussi... Comme l'étaient vous savez quoi....

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  6. Chère Christine,

    J'ai bien pris note de vos vacances, qui je n'en doute pas sont méritées, comme d'autres choses à une certaine époque et le sera aussi dans le synopsis, vous aurez donc tout cela pour votre retour ! Bonnes vacances, profitez en !

    Ne reprenant qu'après le 15 Août, j'aurais donc le temps de vous préparer tout cela et vous les transmettre à votre retour !

    Amicalement, Dominique

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  7. Bonjour Christine,

    Désolé, Christine, mais Mamie Valérie c'est laissée embarquer, par son fils pour un très long mois de vacances, avec les petits enfants qui étaient ravis, mais sans ordinateur ! Je suis donc de retour, comme on dit et j'ai pu lire les 2 derniers épisodes de votre chronique ! Ainsi que les commentaires de Dominique et la suite de son synopsis, qui m'aurait effectivement fait, faire des cauchemars, tout comme vous !
    Toutefois, la lecture est plaisante et pleine de rebondissements astucieux, qui complète parfaitement vos récits et font la qualité de ce commentateur, à l'imagination débordante, certes, mais dont on ressent le vécu !
    Bon, ceci dit, je vais m'attacher à reprendre mon propre récit ! Mais avant cela, je souhaite vous faire part de mon avis, sur certains points évoqués dans le présent épisode. La notion de la dose maternelle, au cours d'une fessée et le fait de se sentir, à nouveau déculottée devant des personnes !

    Dose maternelle :
    Maman ne faisait pas semblant, lorsqu'elle m'administrait une fessée ! Jamais, je ne suis ressortie de ses genoux, avec des fesses couleur pastel ! Celle-ci me fessant en fonction de la faute, bien sur, mais aussi de mes réactions, qui variaient selon mon ressenti de la punition ! Et j'ai le souvenir, de quelques fessées pour des bêtises qui me semblait anodines, retenir mes émotions au maximum ! Ce qui avait pour effet, d'amener Maman à claquer de plus en plus fort mes pauvres fesses, qui n'en demandais pas autant, s'agissant d'une petite bêtise et devaient s'en sortir, avec une bonne claquée, certes ! Mais pas une tannée en règle !
    A l'inverse, parfois il est arrivé que mes expressions très poussées (voire exagérées) modèrent et écourte l'action maternelle, tout en restant une bonne fessée ! C'était souvent le cas, lors d'une deuxième tournée de Maman, seulement quelques heures après une tannée en règle, du fait que je continuais à bougonner ! Celle-ci me disant « Je constate, ma fille, que la bonne fessée de Maman ne t'a pas suffit et bien, qu'à cela ne tienne, je vais recommencer ! ».
    Là, à peine m'avait-elle attrapé le bras, que je me lançait dans des grands « Non, non, Maman » en continu et avant même de plonger sur ses genoux et sentir ma culotte ou mon pyjama glisser vers le bas, je poussais des cris, lui faisant dire « Inutile de crier à l'avance, Valérie ! Cela ne changera rien, au fait que Maman va te calmer pour de bon ! », la phrase étant suivi d'effet immédiat !
    Dés les premières claques, je me mettais à hurler sans retenue, car bien sur la fessée ravivait une épiderme sensible, même si sa coloration s'était estompée, selon l'espace temps entre les deux claquées ! Je criais sans interruption, tel un cochon qu'on égorge, même lors des pauses que Maman faisaient, alors qu'elle ne claquait plus mes fesses !
    Lui permettant d'ajouter de l'ironie, dans ses propos du genre « Alors, ma chérie, la main de Maman te convient-elle, cette fois ? » ou « Ah, si tu voyais comme tes fesses, de demoiselle rougissent aussi bien que celles des vilaines petites filles, qui ne comprennent que cela ! ». Réflexion pour le moins idiote, dans la mesure ou si je ne les voyais, la chaleur qui s'en dégageait, m'indiquait qu'elles devaient êtres bien rouges !
    Néanmoins, considérant avoir atteint son but, même si elle n'était pas dupe, sur le fait que je forçais mes vocalises, celle-ci abrégeait la fessée, la concluant sur une tonalité moins élevée ! Je m'en sortais donc, avec tout de même une bonne fessée, mais j'évitais ainsi une seconde tannée en règle !
    Maigre consolation, me direz-vous ! Mais pour moi, la différence était tangible, au niveau de mon fessier et mon esprit, qui était satisfait du stratagème !

    A suivre, car trop long !

    Valérie,

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  8. Bonjour Christine,
    Suite 2 :

    Oh, bien sur ! Cela ne marchait pas à tous les coups, en fonction de son humeur et j'ai connu des deuxièmes tournées exceptionnelles ou mes cris la motivait particulièrement avec des réflexions du style « Oh ! Mais tu peux crier, ma fille ! Et même encore plus fort ! Comme çà, tout le quartier saura que Valérie reçoit de nouveau une bonne fessée de sa Maman, sans aucun doute méritée ! » ou « C'est ça, ma fille, crie bien fort ! Et imagine le regard des voisins, demain, en te voyant ! Peut-être que tu seras beaucoup moins fière et que tu retrouvas, pour un temps, une attitude de vraie jeune fille et non de chipie ! ».
    Je me sentais alors toute bête, honteuse par avance et malheureuse comme les pierres d'être dans cette position, ô combien détestable et ce qui m'amenais d'énormes sanglots, comprenant que Maman allait donc me coller, une deuxième volée, celle-ci s'appliquant à me tanner le cuir sur toute sa surface, sans ce soucier de mes cris (réels) que je ne pouvais plus retenir, sous la douleur !
    Ma chère mère me servant de longues doses de claques totalement indigestes ! Avant de me laisser choir de ses genoux, telle une poupée de chiffons, éreintée, les fesses en feu et pleurant toutes les larmes de mon corps ! Et entre 11 et 15 ans, vu la dégradation de mon caractère, il était bien rare que l'espace temps entre deux fessées, dépasse la quinzaine de jours ! Et j'ai même connu, de fortes périodes de pointe ou cet espace était réduit, à deux ou trois jours maximum ! Inutile de vous dire, que durant celles-ci, la main de Maman était beaucoup plus sévère et les fesses de Valérie s'en souviennent !
    J'imagine donc que Maman, tout comme votre mère, devait juger l'efficacité de l'action aux rougeurs de nos fesses et nos attitudes durant la fessée, afin d'y mettre un terme ou continuer en forçant la dose et obtenir notre reddition, pour bien nous faire comprendre, notre erreur. Du moins, c'est comme cela que je le ressentais !

    A suivre...........

    Valérie

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  9. Bonjour Christine,

    Sentiment d'être déculottée, devant des personnes :
    Maman ne cachait rien de sa méthode éducative, envers moi ! Même en dehors du cercle familial, tout comme ma Tante, d'ailleurs, si bien que nos commerçants habituels (boucher, boulanger ou épicier et j'en passe) savait que la demoiselle Valérie, au demeurant charmante et gentille qui grandissait, avait encore le droit à de bonnes fessées de sa Maman, qu'en c'était nécessaire ! Et ça, je l'avais en tête, à chaque fois que je faisais des courses, avec elle !
    Alors, imaginez mon angoisse et ma détresse, lorsque ayant reçu une déculottée méritée, juste avant de sortir, pour faire des courses ou le marché ! J'affichais une mine plutôt déconfite, que ces gens remarquaient aussitôt, s'étonnant de me voir ainsi ! C'est là que Maman entrait en scène (si j'ose dire) et sans omettre aucun détail !
    Maman : « Et oui ! Que voulez vous, lorsqu'on fait une bêtise, on mérite une punition, n'est ce pas Valérie ? » aussi muette qu'une carpe, je baissais la tête sans répondre, donnant à Maman l'occasion de renchérir « Mais, comme vous le voyez ! Une bonne déculottée et la demoiselle redevient sage, du moins pour un temps ! Oh bien sur, à son âge, je trouve dommage de devoir encore lui baisser la culotte pour la punir, mais comme c'est la seule chose qui fonctionne avec elle, j'en use dés qu'il le faut, même si ce n'est pas de gaieté, de cœur ! »
    Là, c'était l'horreur pour moi, en relevant la tête, je voyais la personne avoir un léger sourire, avec un regard narquois, comme si elle assistait à la scène et j'avais vraiment l'impression d'être déculottée sous ses yeux ! Je me sentais rougir, telle une pivoine et en ces moments là, je n'avais qu'une envie, m'enfuir le plus loin possible, pour cacher ma honte ! Ce qui m'était impossible et je ne pouvais que supporter, cette humiliation, sans broncher ou en risquer une autre, dés le retour à la maison ! Le choix devenait donc évident, même s'il me mortifiait !


    Valérie

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  10. Chère Christine,

    Je ne voudrais paraître impatient, mais la petite dizaine de jours annoncée se transforme plutôt en quinzaine ou je me trompes ?

    Petit clin d'oeil du taquin Dominique, qui a concocté plusieurs morceaux du synopsis, qu'il a hâte de soumettre à votre approbation !

    Amicalement, Dominique

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  11. De retour, avec un peu de retard, je le concède, Dominique. Et, qui plus est, juste le temps de valider ces quelques commentaires, en espérant être plus disponible la semaine prochaine. Cela dit, j'ai hâte de lire les nouveaux morceaux du synopsis dominicain... Et ne manquerai pas de les commenter...
    Que Dominique me pardonne ce retard. Et ce faux retour furtif, Comme si je rentrais en coup de vent à la maison, dire à Maman que je dois repartir, mais que je rentrerai bientôt, et comme si elle profitait de ce bref passage pour me confirmer mes craintes, et me dire clairement qu'elle m'attendra de pied ferme, pour ne pas dire de "main" ferme... Vous devinez pourquoi, je suppose ?

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  12. PETIT PROBLEME DE VALIDATION : Les deux derniers envois de Dominique ont été perdus, après que je les ai lus, mais avant qu'ils soient validés. Merci de me les renvoyer.
    Au passage, je n'ai pas tout à fait compris, dans la suite enquestion du synopsis, ce qui était "une erreur" dans sa demande à Mme Spaak, erreur provoquant le regard inquiet de Caroline et Christine. Mais cela va sûrement s'expliquer par la suite.
    En tout cas désolée de cette fausse manip... Promis, je ne recommencerai plus...

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  13. Chère Christine,

    Dominique vous pardonne et vous supposez parfaitement, car je devine fort bien le 'pourquoi' que lui réserverait, la « main ferme » de Maman à son retour ! Ce qui ne peux que développer vos craintes, sachant que Maman tient toujours ses promesses et que ses compositions à l'égard de son aînée, sont des œuvres majeures ! Et non de simples préludes, comme pour les petites sœurs !

    Néanmoins, comme vous pourrez le remarquer, en bon prince que je suis ! J'ai préféré utiliser une métaphore, pour répondre à votre question, que seuls les érudits Spaakiens pourront traduire et ne pas froisser davantage, une Christinette, avec ces mots précis qui la font flipper grave !

    Sur ce je vous transmet un nouveau passage du synopsis ou les choses commencent à se préciser, pour la grande Christine, certes pas très enviables, mais il faut bien y arriver ! Sinon, ce feuilleton aurait un goût d'inachevé !

    Sinon, j'espère que vous avez bien, profité de vos vacances !

    N.B : Je me permets d'adresser également mon appréciation, pour le complément de Mamie Valérie, sur deux des éléments de l'épisode ! Donc je partage, le ressenti et sur lequel je reviendrais, l'ayant moi-même vécu, si vous le permettez ?

    Amicalement, Dominique

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  14. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Diane fini par hurler, sous l'effet d'une dernière claquée plus forte et rapide, de sa mère ! Signant la fin de sa correction ! Après quelques minutes d'un certain silence, ponctué de gémissements et de gros sanglots, la Maman repris la parole !

    Maman Spaak : « Allez, Diane, relève-toi, ramasse tes affaires et file dans ta chambre ! Tu redescendra quand, je t'appellerais et profite en donc, pour te mettre en pyjama ! ». Puis Madame Spaak arriva au salon et j'aperçus Diane, prendre l'escalier, en se frottant les fesses !
    Bien sur Christine, se risqua avec hésitation, à poser une question à sa mère !

    Christine : « Excuse-moi, Maman ! Mais qu'a t-elle encore fait ? »

    Maman Spaak : « Oh, c'est simple, ma grande ! J'imaginais que ta petite sœur serait bien calmée, après sa soirée d'hier et bien je me trompais! Elle n'avait pas bien compris, lorsque voulant sortir, pour aller voir une copine, je lui est répondu, non ! Là, elle s'est mise à grogner, après moi, en tapant du pied, comme une petite fille ! Alors j'ai fait basculer la fillette, sur mes genoux, baisser le short et la culotte, pour lui flanquer à nouveau une bonne fessée, méritée et à laquelle, vous avez en partie assisté ! Voilà, c'est tout ! » ajoutant « Peut-être que Diane réfléchira, à deux fois, avant de refaire ce genre de choses ! Tout en pensant, au fond de moi, qu'elle me donnera encore l'occasion de lui baisser sa culotte ! ». Puis, elle s'adressa Caroline et moi !

    Maman Spaak : « Mais au fait, que faites vous là, tous les deux ? », me permettant de présenter la requête.

    Moi : « C'est à dire qu'au cours de l'après-midi, Maman, a proposé à Caroline et Christine de rester pour le dîner et votre fille, a préféré, vous le demander avant d'accepter ! De plus, comme il était prévu de récupérer Aline à la fac, en la ramenant ! Voilà, pourquoi, nous sommes là ! ».

    Maman Spaak : « Quelle délicate attention, ma grande fille ! Mais tu aurais pu me téléphoner et je serais aller chercher, Aline, avant de m'occuper de ta petite sœur ! Sinon, bien sur que Christine peux dîner chez tes parents, Dom et tu remercieras, ta Maman, de ma part ! ». Christine remercia sa mère et je repris, la parole avec une grosse boulette, ayant oublié la présence de Christian, à la ferme !

    Moi : « Je n'y manquerais, Anne-Marie ! Et si ça vous arrange, on peux également emmener Aline ! Ce n'est pas un couvert de plus, qui dérangera Maman ou ma Tante habituées aux grandes tablées journalières de dix personnes ! ». Là, je vis ma Caroline et Christine, me jeter un regard qui en disait long, sur leurs pensées et je compris, mon erreur, mais il était trop tard ! D'autant que la mère embraya !

    Anne-Marie : « C'est gentil, Dom ! Cela lui fera une distraction, même si hier elle rigolait moins et puis ça me permettra, de mettre les points sur les I, avec Diane ! N'étant que toutes les deux ! ».

    J'étais donc coincé, Caro et Christine, me fusillant alors du regard !

    A suivre........

    Amicalement, Dominique

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  15. Chère Christine,

    Je vous ai retransmis les deux messages, en question et il serait en effet souhaitable que Christine, montre un peu plus d'attention, dans son travail ! A moins qu'elle ne cherche des ennuis d'un genre détestable, pour sa petite personne, avec la « main ferme » de Maman ! Vous voyez ce que je veux dire, mademoiselle ?

    Au sujet de l'erreur dans ma demande à Mme Spaak, c'est le fait d'inviter également Aline, alors que Christian se trouve chez moi et que la demoiselle est censée ignorer, la liaison entre lui et sa sœur ! Et pour éclairer votre lanterne, je vous adresse donc une suite du synopsis. Tâcher de ne pas la perdre, cette fois-ci ! Sinon, sinooon.............


    Amicalement, Dominique

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  16. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Moi : « Pas de problème, Anne-Marie et on vous ramènera, pas trop tard les petites demoiselles ! », ce qui eu pour effet, de la faire sourire et d'ajouter !

    Maman Spaak : « Dom ! Je te fais confiance ! Je sais qu'elles sont entre de bonnes mains et qu'elles les préfèrent, aux miennes ! Comme la petite Diane, aujourd'hui ! » déclenchant alors le rire de deux personnes, les trois autres se contentant d'un sourire !
    Une fois dans la voiture, Caroline ne pu se retenir de me dire « Bravo, M'sieur le gaffeur, ça va pas être simple à gérer, maintenant ! Si tu vois, ce que je veux dire ? »

    Moi : « Oui, mais bon à un moment donné, il faudra bien crever l'abcès et je pense qu'il y a moins de risque, avec qui tu sais ! », je n'avais cité aucun prénom, mais Caroline m'avait compris ! D'autant que les deux sœurs, à l'arrière, discutaient de Diane et de la soirée à venir, chez mes parents.

    Christine : « Tu vois, Aline ! Je trouve que Diane est franchement idiote par moment, elle avait déjà eu affaire à Maman, hier soir pour son exclusion et aujourd'hui, elle grogne après elle, alors qu'elle sait que Maman ne supporte pas çà ! Je me dis qu'elle est encore vraiment gamine ! Non ? »

    Aline : « M'ouais, c'est sur et je me dis, connaissant la frangine, que comme il lui reste un peu plus d'une semaine à passer, avec Maman, avant la fin des cours ! Il est plus que probable que ça barde encore pour elle ! C'est pas à toi, que j'vais apprendre, que quand Maman est remontée de la sorte, vaut mieux qu'on file droit ! Tu l'a vu avec moi, hier soir ! ».
    Christine un peu rougissante, avec une légère angoisse dans la voix, répondit.

    Christine : « Ohhh, que non ! Et j'en garde plusieurs souvenirs ! Ce que tu dis est vrai, au sujet de Diane, mais peut-être qu'elle réfléchira avant d'attiser Maman ! Elle n'est pas si idiote que cela, impulsive d'accord, mais pas crétine à ce point là ? »

    Aline : « Oh, avec Diane, rien n'est moins sur ! Tu sais que de nous trois, c'est la petite dernière astucieuse qui a toujours su embobiner Maman, parfois à nos dépens, grâce à sa facilité d'apprentissage qu'elle a conservé et tant mieux, pour elle ! Mais tu sais aussi, que par nature, elle demeure une capricieuse aux réactions imprévisibles, qui avec le temps ne s'est pas arrangée ! Alors, je doute fort que d'ici la fin de la semaine prochaine, elle n'en reprenne une, deux ou plus de Maman qui n'a pas l'air en mode plaisanterie ! ». Christine ne répondit pas, étant plutôt songeuse !
    Plus nous avancions vers la ferme, plus je la voyais dans le rétro, passer par toutes les couleurs ! S'interrogeant certainement sur comment annoncer à sa sœur, qu'elle avait un petit ami caché depuis plusieurs mois ! Alors que tout le monde le savait, y compris sa Tante ! Et que elles seules, ainsi que la Maman étaient censées ignorer ! Car en fait, Aline allait faire un aveu à sa sœur, après avoir fait la bise à Maman, ma Tante et Christian !

    Aline : « Tu sais, Christine ! Je sais depuis plusieurs semaines, que tu fréquentes Christian, vous ayant aperçu chez Tata, tous les deux, alors que je venais chercher des choses pour Maman ! Mais, rassure toi, je ne lui est rien dit ! Connaissant trop sa réaction, face aux cachotteries ou aux mensonges et si moi, je n'ai pas vendu la mèche, j'en connais une qui s'en privera pas, si elle l'apprend ! ». A suivre...........

    Amicalement, Dominique

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  17. Merci Dominique, je comprends bien cette fois, et j'avoue que cette suite est bien menée. Je me mets aisément à la place de Christine version 23 et je ressens ce qu'elle aurait pu avoir comme angoisse naissante, angoisse qui ne va pas manquer d'augmenter à ce que je devine...

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  18. Chère Christine,

    Très bonne déduction, Christine et pour vous remercier des compliments que vous me formulez, je vous envoi, un autre bout de suite qui confirmera votre pensée. Les autres cartouches viendront après, afin d'entretenir le suspens, dans lequel vous exceller et donc vous m'avez communiqué, une certaine maîtrise ! Même s'il me faut du temps pour rédiger cette prose, que j'élabore avec beaucoup de plaisir, mais aussi de compassion pour une certaine Christinette !


    Très Amicalement, Dominique

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  19. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Christine : « Oui, je le sais bien, Aline ! Mais comment veux-tu, que je présente cela à Maman, après plus de trois mois et qui plus est couvert, par Tata, sans la contrarier ou même la mettre en colère ? »

    Aline : « M'ouais, c'est pas facile, je suis d'accord ! Mais si elle l'apprend au hasard d'une rencontre ou par une cafteuse, ça risque d'être pire ! Je pense que le plus simple, serais que tu lui en parle, de façon enrober, mais franche du genre : Maman, il faut que j'te dise que je fréquente un collègue de Dom, depuis plusieurs semaines et avant de t'en parler, j'voulais m'assurer que cette relation, ne perturbe pas mes études, à l'image de Caro ! » ajoutant « Oh, bien sur, il est possible qu'elle ne soit pas très contente, après toi et qu'elle te serve un bon sermon, ainsi qu'à d'autres ! Mais à mon avis, c'est la meilleur solution ! ».

    Aline avait conclu son monologue, plein de bons sens, en nous regardant Caroline et moi ! Pensant à juste titre que les autres, c'était nous ! Christine un peu perturbée par les paroles de sa sœur, enchaîna !

    Christine : « Sur le fond, tu as raison, Aline ! Mais tu sais que face à Maman, je suis bloquée et que j'ai un mal fou, à aligner trois mots cohérents, malgré mes capacités intellectuelles et lui faire un tel aveu, m'angoisse par avance ! Sincèrement, j'm'en sens pas capable et j'crains sa réaction, pour tout te dire ! »

    Aline : « J'te comprends, Christine, mais imagine qu'elle l'apprenne autrement ! Tu penses que tu seras mieux face à elle ! Moi, j'en doute, même si tu n'es plus concernée depuis plusieurs années, la confession de Caroline et les paroles qu'elle a tenu hier soir, pourrait bien l'inciter, à te rappeler qu'il ne faut ni cacher, ni mentir à sa mère et ceci malgré ton âge, si tu vois ce que je veux dire !!! »

    Christine : « Oui, ouiiii, Aline ! Je le vois très bien et justement, c'est ce que je crains ! La sachant trop capable de le faire et je n'ai aucune envie, de revivre, ce genre de moment ! Rien que d'y penser, j'en ai des frissons ! D'autant qu'étant l'aînée, je dois montrer, le bon exemple ! Or, sur ce coup, j'ai tout faux et je n'ai aucune peine, à imaginer qu'elle soit très mécontente, après moi ! », ajoutant « J'vais donc y réfléchir, mais j'ai vraiment la trouille ! ».

    Après ce dialogue entre sœurs, d'autres sujet furent abordés, comme le départ de Christian pour une mission de six mois, en outremer et la soirée fût un délice, pour tout le monde ! Sauf au moment du café, pour ma nièce de 11 ans qui refusait d'aller au lit ! Ma belle-sœur (d'origine scandinave), qui ne criait jamais, courba sa fille sous son bras et lui flanqua, devant nous ! Une déculottée vive et rapide, mais bien cinglante ! La gamine prit alors la poudre d'escampette, après avoir remis son pyjama, tout en pleurant et sans tourner la tête, vers nous.

    Christine et Aline, étaient bouches bées voyant que même chez moi, la fessée était la règle ! Et je pense aussi, qu'elles furent impressionnées par la sérénité de ma Belle-sœur exécutant cette tâche, comme n'importe qu'elle autre !

    La soirée terminée, je ramenais les filles chez elles, en compagnie de Christian qui dormait chez moi, étant du même service, le lendemain. A suivre...........

    Amicalement, Dominique

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  20. Encore une improvisation assez réussie avec ce dialogue entre Christine et Aline. J'imagine bien ma soeurette tenir ces propos, étant cette fois du côté des grandes, contre la petite cafteuse de Diane que ses derniers exploits, comme le fait d'avoir été vue sur les genoux maternels, risquent d'inciter à chercher un moyen de revanche...
    Comme il est sûr que dans des circonstances où la fessée se fait fréquente dans l'entourage, et pas que pour les plus jeunes, Caroline étant là pour le prouver, je suis certaine que la Christine que j'étais aurait vraiment été inquiète, sentant remonter des souvenirs plus que chaleureux pour son bas du dos. Et, comme c'est bien souligné, c'est le genre de peur, d'angoisse qui paralyse, et fait que devant Maman j'étais dans un état qui lui faisait lire dans mes pensées...
    L'imaginer déjà, en dialoguant avec Aline qui cherche à me protéger, à bien me conseiller, me fait pourtant me sentir bloquée, comme si je jouais perdue d'avance, et donc faire la démarche pour aller avouer le problème à Maman, me semble, à ce moment-là comme un obstacle insurmontable... Avec comme souvent chez moi la tentation de tenter de gagner encore du temps... Comme lorsque je ne disais rien à Maman si un prof m'avait donné deux heures de colle, et cachais mon nouvel exploit jusqu'à ce que l'avis de colle arrive à la maison par la Poste. Alors que, parfois, peut-être, un aveu avec des explications convaincantes, ne m'aurait valu qu'un sermon, voire une privation quelconque, ces jours de cachotteries (et donc de mensonges) ajoutés au motif de la colle ne faisaient, au regard du raisonnement maternel, que justifier la déculottée et la fessée magistrale que l'arrivée de l'enveloppe du collège déclencherait...
    Dans cette situation de Christine 23, je me demande si, en effet, je n'aurais pas joué aussi la montre. Car, avouer si l'on n'est pas sûr de convaincre, parait plus dangereux que de tenter de gagner encore du temps...

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  21. Chère Christine,

    Joli rebond, chère conteuse! Mais il est vrai que vous êtes la mieux placée pour analyser le ressenti d'une Christine de presque 23 ans, dans une situation délicate et se retrouver face à une Maman, qui sait faire preuve d'indulgence envers ses filles, si elles sont franches et honnêtes ! Dominique, s'étant contenté d'utiliser, sa connaissance de vos écrits !

    Et comme j'apprécie, ce complément, je ne vais pas vous faire languir (à l'image de Maman, ayant les fesses de sa grande fille, sous la main) en livrant une nouvelle suite, qui je pense suscitera votre perspicacité ! Tout en entretenant l'angoisse et le doute, de la Christine de 23 ans, sur l'attitude à tenir, vis à vis de son secret !!!!!!!!!

    Amicalement, Dominique

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  22. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Le lendemain, Christian et moi étions de service jusqu'à 13 heures, Christine et Caroline n'ayant qu'une matinée de cours, nous avions prévu de déjeuner chez les parents de celle-ci et passer l'après-midi, en leurs compagnie ! C'est là que les choses allaient commencer à tourner au vinaigre !
    La petite sœur cloisonnée, depuis trois jours par sa mère, lui imposant tant des travaux du quotidien, qu'une révision régulière de ses cours, devait trouver le temps très long et en bonne fouineuse qu'elle était, allait allumer la mèche aux dépens de Christine, avec l'aide de Bernadette (autre fouineuse patentée, chez les Lebrun, qui n'hésitait pas à dénoncer ses sœurs! Celle-ci étant la plus sujet aux foudres parentales, compte tenu de son caractère et de son comportement).

    Au moment de l'apéro, que nous prenions sur la terrasse, on entendit Madame Spaak demander gentiment à Diane de mettre le couvert, qui s'exécuta tout en grommelant, suivit par une menace de sa mère !

    Maman Spaak : « Diane ! Cesses donc de grogner, sinon celle que tu vois là, va renouveler l'opération d'hier et crois-moi, que je ferais en sorte, de te ramener à de meilleures dispositions ! Tu peux me faire confiance ! ».

    Sans la voir, nous avions tous devinés, la gestuelle maternelle accompagnant la menace, qui allait se transformer en promesse au retour de la demoiselle ! Car celle-ci ronchonnait toujours en disposant le couvert, la mère sans doute excédée par la bêtise de sa fille, réagît aussitôt !

    Maman Spaak : « J'en ai assez, Diane ! De t'entendre râler ! Alors que ta position est déjà plus que délicate ! Non mais franchement ma petite fille, t'es idiote ou tu le fais exprès ? ». Il n'y eu aucune réponse et la mère enchaîna « Comme tu ne veux pas répondre, je vais le faire pour toi ! Vois-tu je penche, plutôt pour la deuxième solution et je crois que la leçon d'hier, n'a pas suffit ! Donc, ma chérie, après le déjeuner, tu monteras sagement dans ta chambre et ce que tes oreilles ne veulent pas saisir, tes fesses le comprendront peut-être mieux ! Alors, prépare les bien, car ça va barder, je te le garantis ! »
    Entendant sa mère, le visage de Christine se figea et compte tenu de son expérience, celle-ci nous livra son inquiétude, pour sa petite sœur, avec une certaine compassion ! Que Diane n'allait pas avoir en retour le lendemain pour sa grande sœur ! Car le samedi nous étions invité chez Madame Spaak (Caro, moi et la Tante, mais sans Christian,) pour la journée !

    Christine : « Diane est vraiment têtue ! Elle sait pourtant qu'avec Maman, insister n'est pas la bonne solution et qu'il est préférable de faire le dos rond, quand on est en mauvaise posture ! Mais Diane est une vrai tête de mule ! Et là, je crois qu'elle va s'en prendre une sévère, vous pouvez me croire ! ». Ce que confirma la voix de la gamine !

    Diane : «  Non, Maman, nooon ! J'te promets, j'arrêtes, promis, juréeee ! », avec des trémolos trahissant son angoisse, que sa mère se chargea d'accentuer, en confirmant sa décision !

    Maman Spaak : « Oh, mais j'nen doute pas ma petite fille ! Surtout après la bonne déculottée que Maman va te servir ! Ce qui est dit, est dit et tu sais, que je tiens toujours mes promesses ! Tant pis pour toi, il fallait réfléchir avant ! Allez assieds-toi et mange ! ». Le tout suivit par une crise de larmes de Diane et une Aline, très silencieuse qui ne devait pas broncher !

    Amicalement, Dominique

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  23. Eh bien, c'est vraiment une sale période pour Diane ! Avec cette fois une fessée promise pour "après le repas", et avec "une attente dans la chambre", autant d'éléments qui ne peuvent que réveiller nombre de souvenirs encore vivaces dans la tête de Christine...
    Même si le fait que Diane rattrape un peu de "retard" en la matière, sa grande soeur devait tout de même compatir en imaginant combien Diane devait avoir du mal à manger, l'appétit coupé par l'angoisse et la perspective, clairement annoncée, de se retrouver en travers des cuisses maternelles, déculottée et les fesses à l'air pour une nouvelle tannée en règle...
    Et Christine d'y penser avec d'autant plus d'intensité, qu'elle ne veut surtout pas revivre cela un jour, malgré divers éléments qui ravivent sa peur...

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  24. Chère Christine,

    J'avais comme une intuition (comme Maman Spaak) que cette livraison allait susciter votre réaction, même si elle l'est aux dépens de la petite sœur (qui le mérite, soit-dit en passant) ! Qui ravive la mémoire de Christine d'une certaine époque ! Qui si ! Selon elle ! Elle ne les cherchaient pas, elle les trouvaient avec Maman !
    Avec toutes ses composantes, annonce précise (faisant sourire les frangines), repas difficile, attente angoissante, sachant ce qu'il l'attend ! Attentive à la montée maternelle, qui couchent les petites, avant d'aller s'occuper de la grande et signe la fin du suspens, pour une Christine apeurée, qui se réfugie dans un coin de la pièce, ne connaissant que trop bien, ce que signifie : Venir au travers des cuisses de Maman ! Le pyjama, ainsi que la culotte étant descendu vers le bas, pour présenter ainsi une lune immaculée, que Maman se fera un devoir de rougir, malgré les plaintes et les suppliques de la demoiselle.

    Voilà que Dominique en rajoute une couche ! Détaillant la procédure maternelle dans ses moindres détails ! Non, mais quel vilain bonhomme, celui-là ! Et ce qui ne rassure en rien, la grande Christine sur la suite du synopsis ! Se demandant qu'elle sauce lui est réservée ? Mais comme on dit : suite au prochain numéro !!!!!!!!

    Et justement en voici un, qui devrait raviver la mémoire de Christinette, par l'intermédiaire de son avatar ! Oui ! Je sais !!!!!! L'avatar va me vilipender et me mettre au piloris, mais je suis comme ça, sans carapace, ni fioriture ! Comme on dit, en terme militaire : Brute de décoffrage et je l'assume, alors tant pis je l'aurais mérité!

    Amicalement, Dominique

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  25. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Le repas chez les Lebrun, fût émaillé de conversations diverses, ce qui n'était pas le cas chez les Spaak ou régna un grand silence jusqu'au moment ou la mère repris la parole !

    Anne-Marie : « Aline, tu veux bien m'aider à débarrasser le couvert et faire la vaisselle ? »
    Aline : « Oui, Maman, j'allais te le proposer ! »

    Anne-Marie : « C'est gentil, ma fille ! Quant à toi, Diane, tu va monter attendre, que je vienne m'occuper de ton cas et crois-moi, que tu ne seras pas déçue ma petite fille, car j'ai pas l'intention de plaisanter ! ». Diane se remettant à sangloter, implora de nouveau sa mère, sans succès !

    Diane : « Oh, non, Mamaaan, noooon ! J't'en supplieee ! J'grognerais pluuus ! Mais pas la fesséeee ! S'te plaiiiis ! J'veux paaaas ! »

    Anne-Marie : « Oh que si, ma chérie, une bonne fessée pour te remettre les idées en place ! Voilà ce qui t'attend et je dirais même une bonne déculottée, qui va bien réchauffer tes fesses ! Alors tu peux monter les préparer, ma grande, en m'attendant ! Allez oust, file maintenant ! »
    De ma place, j'aperçus Diane rentrer au salon, son visage dans les mains et qui devait pleurnicher ! Après environ 20 minutes, alors que nous prenions le café, des voix retentirent à nouveau en provenance du premier étage, avec quelques mots infantiles !

    Maman Spaak : « Allez Diane, viens donc par ici, que je te rappelle les bonnes manières ! »
    Diane : « Nooon, M'maaan, nooon ! J't'en suppliiiie ! Paaas çaaaa ! J'veux pluuuus la fesséeee ! »

    Maman Spaak : « C'est trop tard mademoiselle ! Maman chérie va remettre de l'ordre dans la tête de sa fillette, par le biais de ses fesses et si j'ai un conseil à te donner, plus tu me fait attendre et plus tu aggrave ton cas ! Ta grande sœur pourrait, t'en parler ! Alors décides-toi et vite ! ».
    Il y eu un grand silence, d'une ou deux minutes, suivit d'un bruit de mouvements et d'explosion de voix ! Sur notre terrasse, il y avait une Christine angoissée et légèrement rougissante à l'évocation maternelle !

    Anne-Marie : « Bon, ça suffit, Diane ! Je vais pas attendre plus longtemps ! ». On pouvait supposer que la mère s'était relevée, pour attraper sa fille, celle-ci se mettant à crier ! « Noooon, M'maaaan, noooon ! J'veuuux paaaas ! », ce que Madame Spaak allait confirmer !

    Anne-Marie : « Que tu sois d'accord ou pas, cela ne changera rien ! C'est moi qui décides, je te le rappelle et ton entêtement, mon confirme que tu n'as toujours pas compris! Je vais donc renouveler la leçon d'hier et dis-toi que je recommencerais, autant de fois qu'il le faudra ! Allez passons aux choses sérieuses !». Là c'est la voix de Diane qui se fît entendre !

    Diane : « Noooon, M'maaaan, noooon ! Paaas la culooootte ! »
    Anne-Marie : « Oh mais bien sur que si, ma fille ! Je te baisse la culotte ! Rappel-toi, je t'ai promis une bonne fessée et celle-ci, n'est efficace que culotte baissée pour bien rougir les fesses ! Allez, je ne vais pas te faire languir davantage ! ».

    A suivre.............

    Amicalement, Dominique

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  26. Soirée bien troublante pour Christine en effet. L'envoi de Diane dans sa chambre après le diner pour attendre la fessée promise suffisait à entretenir le malaise d'une ainée qui aurait bien aimé que l'on parle d'autre chose, que ces événements se passent loin des oreilles de tiers, surtout en sa propre présence, elle qui ne voudrait que penser à la romance entamée avec Christian.
    Et, en plus, il y a cette manie de Maman Spaak de faire référence à la première de ses filles, à celle qui a inauguré la méthode Anne-Marie, à celle pour laquelle Maman a tenu à être exemplaire en matière d'éducation, bref à se servir de Christine, ou plutôt du traitement appliqué à son bas du dos, comme une référence en la matière, comme l'exemple...
    C'est vrai que lorsque j'avais 12 ou 13 ans, et que Maman menaçait les petites d'une fessée comme celle reçue par grande soeur, cela les faisait reprendre vite le droit chemin...
    Mais, dix ans plus tard, alors que les dernières fessées reçues remontent à plusieurs années, il est facile d'imaginer le sentiment de honte que je peux ressentir... Surtout quand la proximité de la scène offre à des tiers d'être témoin, et de ne rien manquer, hormis peut-être la vue directe, d'une fessée que Maman associe à la "grande soeur" qui pourrait "en parler", tant elle s'en remémore le déroulement et les effets...
    Quand, en plus, il y a au fond de l'esprit de Christine une petite voix qui lui murmure que, peut-être, un jour pas si lointain, le souvenir pourrait redevenir réalité, cela a de quoi émouvoir une jeune adulte comme cela faisait trembler une pré-ado alors...

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  27. Chère Christine,

    En effet si Diane avait un léger « retard » sur la grande sœur, en terme de quantité ! Elle a pu apprécier, ce qu'était l'attente et le manque d'appétit ! En sachant qu'au final, une bonne fessée maternelle de grande fille l'attendait et non plus les petites cinglées rapides, connues auparavant (17 ans, lors du synopsis), sans préambule ! Là, pour Diane, c'était une autre dimension, depuis qu'elle avait passé l'âge du primaire !
    Du moins, je l'espère pour la conteuse à titre de compensation, vis à vis de cette petite chipie, certes adorable, mais particulièrement têtue et espiègle.
    Petite précision, sans importance, la tannée de Diane intervient juste après le déjeuner, c'est donc l'après-midi qui est troublant pour Christine et je comprends parfaitement la gêne éprouvée par celle-ci, à l'évocation maternelle qui s'obstine à faire référence à son aînée, pour confirmer sa méthodologie !
    Tout le monde comprend alors que Christine a eu la primeur, des grandes envolées fessières dont Anne-Marie a le secret et servait d'exemple, en matière de bonne fessée, calmant aussitôt les petites.

    L'émotion de la jeune adulte, est donc compréhensible surtout devant témoins et la perturbe, elle qui ne voudrait penser qu'à cette idylle amoureuse ! Or c'est justement cela qui la rend songeuse, comme à l'époque de sa pré-adolescente ou ses rendez-vous avec Maman, la faisait trembler par avance et l'amène à imaginer que ce genre de souvenir, pourrait bien se concrétiser à nouveau, malgré son âge ! Ceci n'étant pas un obstacle à la volonté d'action maternelle, si cela est nécessaire !


    Amicalement, Dominique

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  28. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Résonna alors un fort bruit de claquement, accompagné par la seule voix de Diane, qui poussait de grands cris, la mère fessant en silence sur un rythme méthodique ! La main de celle-ci devant parcourir l'intégralité du fessier et donc la tonalité de force, n'était pas vaine ! Les expressions de Diane (Cris, suppliques et pleures) nous transposant presque l'image de la scène !
    Ce que Christine nous confirma, avec une certaine compassion pour sa sœur !

    Christine : « Comme, c'est parti ! J'peux vous garantir que vous n'avez pas fini d'entendre, la petite Diane ! Croyez en mon expérience ! Lorsque Maman entame la fessée de cette façon, ça annonce une sévère tannée, pour le fessier qui se trouve sous sa main et je vous assure que ça fait vraiment très mal ! » ajoutant l'émotion aidant « Cà me fait bizarre, de vous dire ça ! Car quand j'étais plus jeune et assez concernée ! Rien que de prononcer ce mot de 'fessée' m'angoissait et me donnait des frissons pas possible, honteuse que j'étais face à cette punition et qui n'avait rien d'une partie de plaisir, avec Maman ! ». A ce moment là, ma belle-mère intervint et se lança dans un monologue !

    Belle-Maman : « Tu sais, Christine, lorsque je donne la fessée à l'une de mes filles ! Ce n'est pas par plaisir ! Mais mon devoir de mère, de leur faire comprendre leurs erreurs ! Et sincèrement je pense que dans ton cas, tu n'a pas été très honnête, vis à vis de ta Maman, comme ta petite sœur qui continue à grogner bêtement ! » ajoutant « Je t'avoue donc, que je comprendrais qu'elle soit très mécontente à ton égard et je n'ai aucune peine à imaginer le fond de sa pensée et la manière dont-elle pourrait te la transmettre ! ».
    Marquant une pause face à une Christine très émue, qui percevait tout comme nous, les échos de la correction de sa sœur, qui se prolongeait et que nous étions tous silencieux ! Belle-Maman poursuivit sur un ton maternel, mais pas forcement rassurant pour la demoiselle !

    Belle-Maman : « Tu vois ma grande, sans vouloir t'ennuyer davantage ! Je pense que si ta Maman apprend ta relation avec Christian par quelqu'un d'autre, que toi ! Sa pensée pourrait être la suivante : Voilà que ma grande fille, intelligente et brillante, retombe dans les travers favoris de sa pré-adolescence, fais de cachotteries et de mensonges, plutôt que de se confier à moi ! Je suis vraiment déçue ! Et quand je repense à la confession de Caroline, je me dis que Mme Lebrun est dans le vrai et sans soucis, vis à vis de son âge ou de ses capacités, lorsque sa fille mérite d'être punie par cette seule méthode, qui fasse de l'effet ! »

    Belle-Maman : « Je suis sur que tu me comprends, Christine et même si cela comporte un risque qui te fais peur, je te crois assez intelligente pour surmonter celui-ci et confier ce secret, à ta Maman ! Bien sur c'est plus facile à dire, qu'à faire ! Mais sincèrement ayant appris à connaître ta mère, je ne pense pas qu'attendre encore, jouera en ta faveur ! Sans oublier, l'éventuelle délation d'autrui ! »

    Ces paroles pleines de bons sens de ma belle-mère, émurent Christine que l'on sentait prête à craquer et qui répondis d'une voix emprunt d'appréhension !

    Christine : « Vous avez raison, Madame Lebrun ! Je dois le faire, mais face à Maman, je suis figée ! D'autant que son regard, semble lire mes pensées, avant même que je les expriment et cela me déstabilise complètement ! »

    A suivre................

    Amicalement, Dominique

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  29. Intéressant dialogue, une fois de plus (je me répète), avec cette intervention judicieuse et pleine de bon sens de la maman de Caroline... Mais, il est bien difficile pour Christine de se résoudre à suivre ces conseils, surtout en ce moment très particulier où Diane prend une tannée magistrale...
    Maman Spaak l'avait déjà associée au nom de Christine qui est effectivement bien placée pour "pouvoir en parler". Et, jusqu'au déroulé, avec envoi dans la chambre après le repas, attente et application d'une fessée grand format, tout cela fait remonter dans la tête une foule de souvenirs, souvenirs où l'ainée des Spaak n'était pas, comme aujourd'hui à tendre l'oreille, mais dans le rôle bien plus délicat de celle qui présentait ses fesses largement découvertes et déculottées sous l'orage des claques maternelles...
    Cela a beau s'être arrêté depuis plusieurs années, le fait d'être témoin d'une copie conforme de ce qu'elle a vécu ne peut que faire monter l'angoisse de Christine...

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  30. Chère Christine,

    Non, non, Christine, vous ne vous répétez pas ! Vous apprécier simplement la prose Dominicaine et j'en suis fort aise ! D'autant que vous ajoutez des intuitions judicieuses sur la suite, comme Maman savait le faire en décryptant le regard sa fille et déterminer qu'il y avait 'anguille sous roche' !

    J'adhère donc au fait que la grande Christine, ayant servi de référence et à l'écoute de la tannée de sa petite sœur, puisse angoisser grave, compte tenu de sa situation ! Même si les gens qui l'entoure, se montre rassurant et de bons conseils, comme avait pu l'être Tata, à une certaine époque !

    La suite du synopsis, qui vous plaira à n'en pas douter, arrive !

    Amicalement, Dominique

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  31. Pas si sûre que la suite du synopsis soit "plaisante" à mon goût... Même si je me doute bien de là où vous voulez en venir... J'ai toutefois hâte de la lire, car j'avoue que pour l'instant j'ai du mal à me concentrer sur la suite de mon propre récit, celui du synopsis occupant une partie de mes pensées, et me donnant envie de réagir, d'y apporter mes "intuitions" comme vous dites.
    Je me demande d'ailleurs comment vous allez procéder pour arriver à vos fins, tout en restant compatible avec une version plausible. Mais les connaissances dominicaines en la psychologie spaakienne (tant côté mère que côté fille) sont grandes et je leur fais confiance pour y parvenir...
    D'ailleurs, je suppose bien qu'en écoutant les conseils de la maman de Caroline, j'aurais effectivement pensé à certains conseils que me donnait parfois Tata Jacqueline en la matière, conseils parfois suivis, parfois ignorés, avec des conséquences qui restent encore vivaces dans ma tête, pour ne pas dire au bas de mon dos, si vous voyez ce que je veux dire...

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  32. Chère Christine,

    Je suis flatté que le synopsis occupe une partie de vos pensées et qui vous plaise, vos réactions en sont la preuve ! Néanmoins cela m'ennuierais d'entacher votre concentration, sur la suite de la chronique et si vous le souhaitez, je peu faire une pause, vous permettant d'élaborer celle-ci pour l'ensemble de vos lecteurs !
    Même si j'ai bien compris que le synopsis, vous tient en haleine et a vos faveurs ! Malgré qu'il se dirige vers une situation, que Christinette à bien connue et qu'elle ne veux surtout pas revivre à presque 23 ans ! Mais à l'image de Maman Spaak, je me dois d'accomplir cette tâche jusqu'au bout ! Sinon elle n'aurait aucune valeur !


    Amicalement, Dominique

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  33. Mais, "accomplissez" donc, Dominique, cette "tâche" jusqu'au bout. Une pause n'arrangerait rien, et j'espère vous lire bientôt, en ne doutant pas que ces suites provoqueront des réactions de ma part, et certainement des commentaires ou la livraison de ce que j'imaginerais être mes pensées, comme un récit écrit à quatre mains. Merci d'avance.

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  34. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Christine était visiblement désorientée, s'interrogeant sur l'attitude à tenir face à sa mère, alors que la situation n'avait rien de dramatique, si ce n'est le fait d'une cachotterie, vis à vis de Christian et un mensonge, lorsque sa mère lui avait posé la question au sujet, de la fréquentation des garçons ! Se référent à l'exemple de Caroline, donc les études n'étaient pas perturbées ! Et je pense que c'est cela qui la minait, le plus ! Ma belle-mère constatant le trouble de Christine, reprit alors la parole !

    Belle-Maman : « Christine, ta Maman t'aimes, tout comme tes sœurs et je suis persuadée que si tu fais preuve de franchise, envers elle, enrobée s'il le faut et avec retardement ! Un aveu de ta part, aussi difficile soit-il à faire passera beaucoup mieux, qu'une découverte par une tierce personne, qui risque d'en rajouter ! Qu'en penses tu ma grande ? ». A ce moment là, Christine, ne savait plus sur quel pied danser (avouer ou attendre) !

    Christine : « Ouiiiii, M'dame, c'est vrai c'que vous dites, mais j'men sens pas capable ! Connaissant trop ce que Maman n'accepte pas, de la part de ses filles ! Et encore moins de son aînée qui s'était fait une spécialité de ce genre de choses, à une certaine époque, malgré bons nombres d'explications maternelles très musclées et je n'ai aucune envie de revivre cela ! ».

    Belle-Maman : « Je suis d'accord avec toi, Christine ! La décision est difficile, mais à mon avis, plus tu tarderas, plus celle-ci sera dure ! Sans compter que si ta Maman découvre, au hasard d'une conversation que tu la mène en bateau depuis des mois, le résultat risque d'être pire ! Et en me mettant à sa place, crois-moi que dans ce cas, je te réserverais un quart d'heure inoubliable, malgré tes 22 ans passées, tu peux demander à Caroline ! ».

    Ma Caroline se mît à rougir et Christine, s'épancha sur l'épaule de Christian, les yeux aux bords des larmes, l'inquiétude se lisant sur son visage ! De l'autre coté de la haie, les bruits venaient de cesser et l'on entendit la voix d'Anne-Marie !

    Madame Spaak : « Allez Diane, relève toi et cache moi ces fesses ! J'espère que tu as bien compris, cette fois et que je n'aurais pas à renouveler la leçon, d'ici la fin de la semaine prochaine ! Même si avec toi, rien n'est moins sur ! Mais sache que je n'hésiterait pas, s'il le faut ! ».

    Tout était dit et le reste de l'après-midi, se passa dans une ambiance plus sereine jusqu'au retour des collégiennes, Sylvie très joviale annonçant à la cantonade qu'elle avait obtenu un 18, à un contrôle de maths ! Alors que Bernadette, n'affichait pas la même liesse et nous allions vite comprendre pourquoi ! Celle-ci ayant récolté 4 heures de colle, pour un chahut organisé et faisait grise mine ! Sachant qu'à la maison, punition scolaire = punition parentale ! Et cela n'allait pas traîner, avec un supplément auquel, elle ne s'attendait certainement pas !

    Belle-Maman, félicita Sylvie pour sa note et interrogea Bernadette, vu son attitude opposée ! « Qui y a t-il, ma grande ? Tu as un souci ? » sans répondre celle-ci sorti de son cartable, le carnet de correspondance et le donna à sa mère ! Qui explosa d'un coup ! « Non, mais c'est pas possible, Bernadette, maintenant tu organise des chahuts collectifs ! Qu'as tu donc dans la cervelle, du mou de veau ou de l'intelligence ? J'avoue que je penche davantage pour la première solution et comme tu aimes le spectacle ! Et bien, tu vas en être la vedette !». A suivre............


    Amicalement, Dominique

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  35. Encore une déculottée en perspective ! Et peut-être même donnée en "spectacle", voilà qui fait une occasion de plus pour Christine de réfléchir, mais aussi d'angoisser... Surtout après les réflexions très détaillées et concrètes de la maman de Caro, qui lui a dit sans détour que, si elle était Anne-Marie Spaak, elle, elle n'hésiterait pas à lui faire subir le sort de Caroline...
    Cela dit, voilà encore une scène de transition, qui retarde d'autant la suite côté Christine... Pas question bien sûr d'aller trop vite en besogne, d'autant que qu'entre la nouvelle (de ma romance) apprise par Maman et le final que l'on devine, je ne doute pas qu'il y aura matière à réflexion, à montée d'angoisse, à attente, etc...
    Ceci pour dire que, je l'avoue, j'aimerais bien que tout cela avance... Sans évidemment nous priver de ce qui va arriver à une Bernadette qui, comme Christine à l'époque, a su, dès l'annonce des 4 heures de colle, qu'il ne lui restait plus qu'à préparer ses fesses, et que ce ne serait pas de la rigolade, ni un semblant de fessée...
    J'avais juste "l'avantage", si c'en est un, que le bulletin de colle arrivait par la Poste, et donc de deux à cinq jours plus tard, délai utile parfois pour tenter de gagner du temps, mais qui ne faisait qu'augmenter l'angoisse et l'appréhension...

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  36. Chère Christine,

    Voilà que la conteuse serait presque impatiente, que j'en arrive à son cas, cela ma surprend ! Car si j'ai bonne mémoire, la Christine d'une certaine époque n'était jamais trop pressée que Maman, la rejoigne dans sa chambre lui donner, la bonne fessée qu'elle méritait ! Elle aurait même été capable d'aller décrocher la lune, pour l'offrir à Maman et que celle-ci renonce à s'occuper de la sienne !

    Alors soyez rassurée, chère Christine, on y arrive gentiment et comme vous le dites, très justement ne précipitons pas les événements, pour la jeune femme qui a déjà dans sa tête, une conclusion qu'elle redoute et ne voudrait surtout pas revivre, à son âge ! Mais bon, la faute est là et il convient d'en assumer les conséquences, même si elles sont difficiles !

    Amicalement, Dominique

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  37. Chère Christine,

    Ayant quelques soucis de connexion, je relis l'ensemble de mon synopsis et je m'aperçois que j'ai oublié certains mots ou commis de grosses fautes d'étourderie, dans mes textes ! Et cela me chagrine, vis à vis d'une forte en langue, ce que je ne suis pas ! L'ancien mataf étant plutôt porté sur l'action, que la rédaction de rapports d'opérations à remettre aux supérieurs ! Ce qui l'ennuyait profondément, sa seule préoccupation étant de ramener au bercail, tout ses bonhommes en plus ou moins bonne état ! Car comme le dit l'adage : « On ne fait pas d'omelette, sans casser d'oeufs ! ».

    J'espère que vous ne me tiendrez pas rigueur de cette digression et vous pouvez même la garder pour vous, toute seule, en m'envoyant juste un petit signe.

    Amicalement, Dominique

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  38. Pas de souci, Dominique, ce n'est pas une leçon de français, et je ne vous en veux pas de laisser quelques fautes ou mots oubliés, puisque c'est fait dans l'idée d'être réactif et d'alimenter sans tarder votre synopsis. Ne vous en faites pas, je ne vous mettrez pas de "zéro" pointé et vous n'aurez pas à craindre une quelconque réaction maternelle, hi hi... Une du genre que vous devinez, et dont j'ai déjà donné nombre d'exemples...
    Vous avez bien compris que c'est la lectrice Christine d'aujourd'hui qui est impatiente de lire la suite... Ce n'est évidemment pas Christine d'alors qui, elle, ne se sent pas le courage de dire la vérité à Maman et qui effectivement irait décrocher la lune, si elle était sûre que cela lui permettait d'échapper à ce qu'elle craint...
    Comme vous dites, à votre tour, ne précipitons pas les événements, même si ils vont encore donné l'occasion à Christine de se rappeler de cuisants souvenirs...
    Mieux que quiconque, Christine peut en effet compatir et savoir ce que ressent Bernadette qui ne doit se faire aucune illusion, certaine qu'elle doit être, depuis le moment même où un prof lui a dit qu'elle aurait quatre heures de colle, que cela signifie une punition parentale en prime, et qu'elle doit depuis cet instant là ressentir une angoisse de plus en plus forte, doublée d'une étrange sensation physique qui revient à "préparer ses fesses".

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  39. Chère Christine,

    Minot vous remercie de votre clémence, car en ramenant un 'zéro' pointé à la maison, il savait tout comme ses sœurs ou ses cousines, qu'il allait s'en prendre une sévère ! Car si je n'étais pas très doué pour les études, Maman et Papa ont veillé à ce que j'ai un minimum de connaissances ! Cela passant malheureusement par les genoux de mes parents pluriels !

    En effet, j'avais compris que c'est la Christine lectrice et conteuse, qui est impatiente de connaître, la suite des événements et non la Christine d'antan, lorsqu'elle tenais le premier rôle, sur les genoux de Maman ! Et vous êtes effectivement l'une des mieux placées, au même que Caroline pour comprendre le ressenti de Bernadette, qui en rentrant à la maison avec cette colle, savait très bien ce qui l'attendait ! Mais pas forcément à la cerise sur le gâteau, d'une tannée publique, encore plus mortifiante pour une demoiselle de 14 ans passés, même si elle en avait déjà fait l'expérience !

    Amicalement, Dominique

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  40. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Avant que Bernadette ne réagisse, sa mère avait reposé le carnet sur la table et attrapé sa fille par le bras, la basculant aussitôt au travers de ses genoux, sous le regard de cinq personnes, un peu surprises ! La demoiselle se mît alors à brailler, comme un cochon !

    Bernadette : « Noooonn, M'maaaan, nooonn ! Paaas d'vannt tout le monde ! Jt'eeen suppliiiie ! »

    Belle-Maman : « Oh que si, ma fille ! Comme tu aimes organiser le spectacle, Maman va juste te donner la main, pour offrir au public un final grandiose et très coloré ! ».

    En l'espace d'une seconde, Bernadette ceinturée, se retrouva troussée et déculottée par sa mère, qui entama sous nos yeux une valse à mille temps ! Son bras décrivant un demi cercle, dans l'air, avant que la main prolongeant celui-ci ne vienne s'écraser, sur chacune des fesses rebondies de sa fille ! Jacqueline (Belle-Maman) n'y allant pas de main morte ! La gamine criait sous chaque claque, malgré l'assistance, exprimant ainsi sa douleur et fondît très vite, en larmes, telle une fillette !

    Même si j'avais acquis une certaine expérience visuelle, en la matière, avec mes sœurs et cousines ! J'allais assister, comme les autres, à une correction phénoménale ! Ma belle-mère s'étant calmée les nerfs après cette longue dégelée, arrêta son bras et nous pensions tous, qu'elle en avait terminé, les fesses de sa fille ayant bien mûries, sous la claquée ! Sauf que Belle-Maman, ne supportant plus les facéties d'une grande fille de 14 ans, était bien décider à lui servir une leçon mémorable, tant en paroles, qu'en actes !

    Jacqueline : « Alors, ma petite demoiselle ! Le spectacle vous convient-il ? ». Bernadette hoquetait et suffoquait, sans pouvoir répondre, envahie par la douleur et la honte ! Ajoutant « Ah, tu rigoles moins, ma fille ! La chanson que tu pousses n'est plus là même et bien dis-toi, qu'elle n'est pas encore finie ! Ce n'était que le premier couplet et crois-moi que tout le monde, va pouvoir admirer mes talents de compositeur, pour une interprète de ta valeur ! ». Le tout étant dit sur un ton ironique, mortifiant la demoiselle, sans voix et muselait toute l'assistance, impressionnée par la détermination de ma Belle-Mère à corriger sa fille !

    Bien entendu, les visages de Christine, Caroline qui tenait la main de sa plus jeune sœur, étaient compatissants envers Bernadette, Sylvie ayant même les yeux au bord des larmes, pour elle !

    Le bras de Belle-Maman reprit son action, sur des rythmes différents, mais une main toujours aussi efficace sur les fesses de sa fille ! Elle en parcourait, tous les contours sans faiblir, alternant les séries de claques, vives et rapides ou lourdes et posées, comme les braises qui font rôtir, un méchoui, tout en observant quelques pauses ! Le plus surprenant, est que ma Belle-Mère exécutât sa tâche, quasiment en silence, mise à part au début et à la fin ! Ne rappelant au cours de la fessée, à Bernadette que ses travers, qui ne s'arrangeaient pas avec le temps et lui déplaisaient fortement !

    La gamine était, de toute façon, dans l'incapacité de répondre, vu la volée qu'elle se ramassait ! Elle n'exprimait qu'une longue plainte, en continu ou des cris plus aigus et des flots de larmes, ayant même perdu sa culotte, tombée sur le sol !

    A suivre..............

    Amicalement, Dominique

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  41. Chère Christine,

    Christine, en marge de mes commentaires et du synopsis, mais en rapport avec la volée publique de Bernadette ! Je souhaites vous relater la trempe de Maman à son garnement de 13 ans, sous les yeux d'une dame (boulangère et voisine) et surtout de sa fille de 15 ans, que j'avais un peu titiller en la flirtant (elle était très mignonne, mais un peu coincée) et envers laquelle, je m'étais montré assez grossier ! Pas vraiment dans mes habitudes, mais j'étais encore un gamin assez vif, qu'il fallait contenir et Maman ou Tata, savaient parfaitement le faire ! J'imagine que vous vous souvenez de cette anecdote (enfin pas pour le Minot), que nous avions évoqué lors d'un échange sur l'épisode 73 ! Ouiii, je sais l'archiviste refait surface ! Mais bon, je sais aussi que venant de moi ou de Mardohl, cela ne vous déplaît pas !

    Amicalement, Dominique

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  42. Je lirai avec attention ce récit de volée du Minot, mais mieux vaut nous concentrer sur celui en cours, vous en conviendrez.
    Pauvre Bernadette, elle se souviendra longtemps de cette déculottée suite à ses heures de colle... Le seul élément qui pourrait la consoler, c'est que sa mère a agi sur le champ et qu'elle n'a pas eu à attendre la fessée après que Maman l'ait annoncée... Comme cela était le plus souvent le cas pour ce qui me concerne, hormis là aussi quelques contre-exemples que l'archiviste en chef trouverait aisément...
    Mais, il est évident que ce n'est qu'un mince avantage, surtout qu'à l'évidence, Bernadette avait déjà vécu une attente angoissante, puisque dès que le prof l'a collée, elle savait qu'elle se retrouverait bientôt sur les genoux maternels... Et j'imagine aisément ce qu'ont été les dernières heures de cours et le chemin vers la maison en sachant qu'il faut préparer ses fesses...

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  43. Chère Christine,

    Je partage tout à fait de votre avis sur le principe de concentration, pour le synopsis en cours et j'élaborerais la volée du petit Minot, tranquillement entre deux comme on dit, avant de vous la livrer et que vous puissiez y réagir.

    Sinon je peux vous affirmer que Bernadette n'a pas oublié cette déculottée, à laquelle j'ai vraiment assisté, comme d'autres ! Dans un contexte différent du synopsis, mais assez similaire ou mes parents et mon beau-père remplaçaient, Christian ! Belle-Maman laissant mijoter sa fille, jusqu'au lendemain, lui annonçant après lecture du carnet et en ma présence ! Qu'une fois la colle exécutée au collège, Maman lui réservait une surprise inattendue et se fût la cas, ne pouvant que générer une terrible angoisse chez la jeune fille !

    En fait je me dois de vous dire que Bernadette, était ce qu'on appelle un garçon manqué, bagarreuse et assez agitée, mais très intelligente, ses soucis scolaires résultant uniquement de son indiscipline chronique et ce coté réfractaire à l'autorité, sauf parentale ! Preuve en est qu'après ses études, elle a crée sa propre entreprise qu'elle mène de belle manière. Ainsi que ses deux jumelles, issues d'une union qu'elle n'a pas souhaité poursuivre, avec un capitaine de vaisseau.

    Tout ça pour vous dire que l'une de mes Belles-soeurs, était davantage concernée par les foudres parentales, compte tenu de son caractère plus que trempé.

    J'ai donc simplement replacée cette scène, en changeant quelques éléments, comme l'exécution immédiate donc Christine, n'était pas coutumière ! Mais que l'archiviste en chef n'aurait aucun mal à retrouver, je suis bien d'accord avec vous!


    Amicalement, Dominique

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  44. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Après une dernière volée de claques gigantesques, faisant hurler Bernadette, ma Belle-Mère arrêta son bras, tout en gardant sa fille affalée comme une poupée de chiffons, sur ses genoux ! Les bras ballants, pleurant tout son saoul, émettant une longue plainte de douleur, le reste du corps secoué par des tremblements ! Son fessier n'était qu'une vaste étendue écarlate, du bas du dos jusqu'au premier tiers des cuisses, tout n'était que rougeur ! Avec une coloration plus intense, sur le gras des fesses ! Aucun centimètre carré de peau, n'avait été épargné par la main maternelle et je pensais que la paume de celle-ci, devait également être bien colorée !

    Une ou deux minutes s'écoulèrent, dans un silence de cathédrale, mise à part les échos de Bernadette et Belle-Maman aida sa fille, à se remettre sur pieds, pleurant toujours en évitant nos regards ! Dans le mouvement, le bas de la robe recouvra ses fesses nues, sa culotte gisant sur le sol ! Et Jacqueline, lui prenant les poignets, clôtura la punition sur un monologue s'adressant tant à Bernadette, qu'à ses sœurs et des mots, pas très rassurant pour l'avenir !

    Belle-Maman : « Ma petite fille, j'espère que cette fessée devant témoins, restera bien ancrée en ta mémoire, ainsi que dans celles de tes sœurs et te permettra de vraiment réfléchir ! Même si te connaissant, je ne doute pas que j'aurais d'autres occasions, de te baisser à nouveau la culotte ! Alors écoutez bien, ce que je vais te dire ! ». Marquant une petite pause celle-ci reprit, sans employer de conditionnel ! « Comme j'en ai plus qu'assez, de ton indiscipline et de tes grands airs ! Sache que ta prochaine fessée, sera publique et quand je dis publique, je ne pense pas qu'à tes sœurs ! Ce qui signifie qu'à la moindre incartade de ta part, même en dehors de la maison, je n'hésiterais pas à te déculotter devant tout le monde, malgré ton âge ! Tu m'as bien compris ? »

    Bernadette abasourdie, balbutia : « Ouiiiii, M'maaaan, ouiiiii ! J'aiiiii compriiiiis ? » tout en repartant dans une crise de larmes ! Ma Belle-Mère remontée comme une pile ajouta « Si tu as saisi le message, comme d'autres, c'est très bien ! Car rappel-toi, que je tiens toujours mes promesses ! ».

    Bien entendu, la promesse maternelle concernait uniquement, Bernadette et Sylvie, ne pouvant imaginer ma Belle-Mère déculotter Caroline en public, même si au retour à la maison, celle-ci n'y échappait pas, malgré ses 22 ans passés, mais dans l'intimité d'une mère et sa grande fille ! Mise à part d'éventuelles espionnes ! Ce que je savais !
    Belle-Maman, renvoya alors Bernadette dans sa chambre, avec l'ordre de n'en bouger que lorsqu'elle l'appellerait et invita Sylvie à aller faire ses devoirs, afin d'être tranquille pour le week-end. La petite sœur un peu perturbé, par ce qu'elle venait de voir, réagit au quart de tour, ne voulant surtout pas attiser davantage la Maman, qui releva bien sur l'extrême obéissance de sa dernière !

    Belle-Maman : « Vous voyez comme une bonne déculottée, n'est pas qu'utile à celui ou celle qui la reçoit ! Ma petite Sylvie l'a bien compris et obéis à sa Maman, immédiatement, pour s'éviter la même chose ! »

    Là, il y avait deux jeunes femmes assez pâlichonnes, dont les neurones devaient fonctionner à 200%, du fait que nous passions la journée du lendemain chez Mme Spaak (sans Christian), mais avec la Tata Jacqueline (même prénom que Belle-Maman) !

    A suivre................

    Amicalement, Dominique

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  45. Je constate que Dominique construit son synopsis en mélangeant habilement des souvenirs de mes propres récits et des situations et épisodes vécus par lui ou par ses proches, ce qui est une bonne manière de rester dans le plausible, et de faire que j'y adhère avec un certain intérêt teinté d'amusement, du moins du point de vue de la lectrice que je suis aujourd'hui, et nullement de la Christine qui est imaginée là, et qui doit sentir ses angoisses croître à mesure que l'on avance dans un récit, qui lui ravive bien des souvenirs, tout en faisant renaître des peurs de plus en plus fortes et palpables.
    La perspective de voir ces différents acteurs, heureusement sans Christian, réunis au domicile familial des Spaak le lendemain, n'est pas du genre à rassurer Christine 23, bien au contraire... Surtout qu'avec les dernières fessées distribuées dans les demeures voisines, même si Christine parvenait à ne pas avoir à dévoiler son secret, sûr que les mères vont encore avoir des conversations sur le sujet, ce qui est toujours gênant pour celle qui sert encore de référence dans les souvenirs évoqués chez les Spaak...

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  46. Chère Christine,

    Dominique vous remercie, pour le compliment sur l'élaboration du synopsis, en effet je me sert de vos souvenirs et des miens, pour en tisser la trame et que celui-ci demeure crédible.
    Et je saisi fort bien la différence de ressenti, qu'il peut y avoir, entre la Christine lectrice qui s'en amuse et la Christine actrice du récit, les positions étant diamétralement opposées ! L'une rigole, l'autre angoisse, même s'il s'agit d'une fiction Dominicaine !

    Et une fois encore, votre intuition (sans doute héritée de Maman), vous met sur la piste de la suite que je prépare et ne permettrons pas à Christine, de rester sereine, avec l'entrée en lice de tous les acteurs, le lendemain et les jours suivants, sans oublié les deux fouineuses, vexées par leurs déboires respectifs !

    Amicalement, Dominique

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  47. Sereine, en effet, la Christine qui s'imagine dans le récit n'est pas près d'être sereine... Tous ces épisodes claquants, vus, sus, ou entendus, ne font que raviver des souvenirs qu'elle aimerait bien enfouis à jamais dans sa mémoire.
    Persuadée depuis belle lurette que, sauf énorme surprise, elle en était épargnée à jamais, voilà que les événements en cours font renaître une angoisse qui peupla bien de ses jours et de ses nuits à une époque pas si lointaine que cela puisqu'elle en garde au fond d'elle tous les détails, toutes les sensations...
    Surtout que l'analyse faite par la Maman de Caroline lui a démontré que, pour une mère attentive comme elle, et comme Maman Spaak, les cachotteries concernant sa romance ne peuvent être interprétées que comme des "mensonges" et même des "mensonges répétés", ce qu'une Maman ne saurait tolérer...
    Et même s'il n'y a pas de quoi en faire un drame, et si la faute n'est pas un crime, Christine sent bien qu'elle retrouve dans son attitude, dans sa volonté de gagner du temps, dans sa persistance à mentir, des travers que sa mère trouvait à l'époque plus grave que ce qu'ils cachaient... Une mauvaise note aurait pu parfois être comprise, voire pardonnée, ou du moins pas trop sévèrement réprimandée, si Christine avait tout dit, mais une mauvaise note cachée des jours durant jusqu'à l'arrivée du carnet mensuel et c'était la fessée assurée...
    En repensant à cela, Christine ne peut que se poser mille questions et se demander que faire... Non sans ressentir une peur si souvent connue auparavant... Et, le plus souvent, que la suite des événements justifiait... Si vous voyez ce que je veux dire...

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  48. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Après une heure environ, ma Belle-Mère appela Bernadette et lui demanda d'aller porter à Mme Spaak une corbeille de légumes de son jardin (mes beaux-parents, ayant un magnifique potager) pour le lendemain ou ne devions tous ensemble, fêter les 19 ans d'Aline qui ne s'y attendait pas !

    Sauf que Bernadette, digérant tant bien que mal sa volée, aurait préféré que sa mère envoi Sylvie ou Caroline et la laisse tranquille ! Mais Belle-Maman était visiblement déterminée à remettre les pendules à l'heure, de sa cadette, sur son comportement !
    L'ennui est que cela n'allait pas jouer en faveur de Christine ! Mme Spaak étant partie avec sa sœur, cherché le cadeau d'Aline, qui elle était chez une copine de fac ! C'est donc Diane consignée par sa mère qui accueilli Bernadette, n'ayant certainement rien raté des échos de la déconvenue de celle-ci et en finaude qu'elle était enclencha la discussion !

    Diane : « Dis-moi, Bernadette, ta mère n'avait pas l'air de rigoler avec toi, tout à l'heure ? »

    Bernadette : « Ah ça c'est sur, elle m'en a mît une sévère et déculottée, devant tout le monde ! Tu t'rends compte ! J'savais plus ou me mettre tellement j'avais honte ! Et tout ça pour une colle ! »

    Là, la perfide Diane voulant en savoir plus, évoqua sa propre déconvenue, tout en interrogeant habilement Bernadette !

    Diane : « J'te plains ma pauvre, c'est dur ça !  Et si cela peut te consoler un peu, sache que moi aussi, j'm'en suis ramassée une sévère deux heures avant toi ! Mais dans ma chambre, sous le seul regard de Maman ! A la différence d'il y a deux jours ou Caroline, Dom et Christine m'ont aperçu étalé sur les genoux de ma mère, sans culotte, qui m'en collait une autre pour un manque de respect, envers elle ! Je comprends donc ce que tu as pu ressentir ! »

    Bernadette : « Sauf qu'en plus, il y avait ma sœur et Christian, le collègue de Dom et petit copain de ta sœur, tu sais !!!!! ».
    Sans s'en rendre compte, la gamine venait de délivrer une information capitale à Diane qui n'allait pas manquer de s'en servir aux dépens, de sa grande sœur !
    Au moment de cet échange, nous n'étions plus que deux sur la terrasse ! Christian et moi, les filles et ma Belle-Mère étant occupées à la cuisine ! Nous comprimes que la mèche était vendue et qu'ils nous fallait l'expliquer, à Christine, pour l'aider à minimiser les choses ! Car Diane, la maligne répondit !

    Diane : « Oui, oui, Bernadette, je sais ! », alors qu'elle n'en savait rien, ajoutant « J'te comprends et j'aurais pas voulu être à ta place ! ». Et là, je dis à Christian !

    Moi : « C'est fichu pour Christine, l'espionne en herbe, a les cartes en main et crois-moi, qu'elle va s'en servir, sans état d'âme, compte tenu de sa mauvaise position du moment ! ».

    A suivre...................


    Amicalement, Dominique

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  49. Aïe, aïe, aïe, voilà une sacrée tuile pour Christine. Dominique, qui a décidément l'ouïe fine, et entend tout ce qui se passe dans la maison voisine, a bien raison de s'émouvoir... Une Diane en proie, pour une fois, à la colère maternelle, aura vite compris que cette confidence est assurément un moyen efficace de détourner l'attention maternelle, non plus sur elle, mais sur l'ainée...
    Surtout que Diane est certainement très vexée d'avoir offert, contre son gré, la vision de sa lune déculottée et rougissante, aux yeux de cette même grande soeur, qu'accompagnaient Dom et Caroline.
    Dans ce genre de situation, l'idée de prendre vite sa revanche ne peut qu'avoir germé dans l'esprit inventif et vif d'une Diane qui sait jouer les petites rapporteuses, quand elle y a intérêt...

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  50. Chère Christine,

    En effet, badaboum pour Christine, la plus jeune des soeurettes confrontée aux foudres maternelles, depuis quatre jours, tant en actes (3 bonnes fessées) qu'en paroles (infantilisation, interdictions multiples et consignations au domicile) vient d'obtenir une information, plus qu'utile pour faire pencher la balance, vers l'une des frangines et cerise sur le gâteau, celle-ci concerne l'aînée des trois ! Que du bonheur, pour cette demoiselle vexée (en effet), de pouvoir inverser les rôles entre elle et la plus grande de ses sœurs !
    Car dans son esprit, il ne fait aucun doute, qu'en sachant bien présenter la chose (l'ayant sûrement déjà fait), elle pourra obtenir une revanche inespérée (Aline ayant encore à faire avec Maman), à l'encontre de la grande sœur ! Et donc, la possibilité d'un scénario bien plus consistant que les siens ou ceux d'Aline, Christine étant épargnée depuis plusieurs années ! En se rappelant la confession de Caroline, l'amenant à penser que cette cachotterie doublé d'un mensonge ne serait pas pardonné aussi facilement par Maman !
    Dés lors la petite rapporteuse (comme Bernadette) sait qu'elle est en position de force, avec juste le risque éventuel de s'en prendre une autre, si elle n'emballe pas correctement la délation ! Mais comme elle sait y faire !!!!!!!!!

    Amicalement, Dominique

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  51. Oui, je me fais du souci pour Christine (version 23), car une Diane vexée peut être redoutable. J'ai quelques souvenirs en la matière, où la petite avait cherché à se venger, ou à faire que sa grande soeur se retrouve dans le collimateur maternel, histoire d'oublier les déboires qu'elle venait d'avoir...
    Alors, vous pensez bien que trois fessées en quatre jours, ce sont des événements rarissimes pour Diane (en tout cas plus rares hélas que pour Christine à une certaine époque), et que la cadette des Spaak sait que, si rien ne se produit, ses déculottées risquent de devenir les références des futures menaces maternelles, comme l'étaient régulièrement les fessées de Christine.
    Aujourd'hui, même si elle sait que grande soeur est épargnée depuis plusieurs années, l'idée de tenter d'inverser le cours de l'histoire ne peut que germer dans la tête de Diane la mutine et rusée.
    Christine risque fort d'angoisser et de ne pas savoir comment faire, d'hésiter encore, de peser le pour et le contre, de voir défiler tant de souvenirs, dont elle a peur, mais qui justement la bloque... Pas facile à vivre, pas facile à trancher ce dilemme...

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  52. Chère Christine,

    En effet, le dilemme est d'importance pour la Christine de presque 23 ans, sachant que la petite futée de Diane, sous le joug d'une mère depuis quatre jours et peu habituée à ce genre de chose, va tout faire pour inverser la tendance, au profit de l'une de ses sœurs ! Et là, c'est merveilleux ! Puisque que l'info, concerne Christine, l'épargnée depuis longtemps !

    L'angoisse ne peut donc être que très forte, pour cette jeune femme, bien au fait de l'intransigeance maternelle sur certains points et que l'attitude à tenir, ne soit pas chose facile ! D'autant que l'aveu d'une certaine Caroline, n'est pas tombé dans l'oreille d'une sourde !

    Amicalement, Dominique

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  53. "Merveilleux", vous y allez fort... Peut-être pour Diane, mais pas pour Christine, qui se fait du souci et commence à cauchemarder...
    Petit élément qui la trouble encore un peu plus, c'est que ce qu'elle a vu et entendu des fessées reçues par Diane, ne ressemblait guère aux petites claquées que prenait parfois sa cadette, quand Christine était pré-ado et sa petite soeur gamine...
    Non, Maman lui a réservé un traitement "christinien", digne des périodes les plus "fastes" pour la lune de l'ainée des Spaak. Et, donc, c'est ce qu'elle a vécu parfois, pour ne pas dire souvent, que Christine a de nouveau entendu et même aperçu, de quoi raviver encore plus ses souvenirs de scènes qu'elle espère finies à jamais...

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  54. Chère Christine,

    Le 'Merveilleux' concerne en effet, Diane, qui grâce à l'information, va tout faire pour inverser la tendance en faveur d'une autre et cerise sur le gâteau, pour la plus grande sœur épargnée depuis quelques années, de la méthode maternelle ! Celle-ci se disant à elle-même : « Si Maman est très fâchée, Christine risque de redécouvrir, ce qu'est une fessée de grande, comme à une certaine époque ou les miennes, n'étaient pas si terribles, à l'inverse d'aujourd'hui ! ».

    Donc la Christine (version 23) à de quoi s'inquiéter et cauchemarder, lorsque Dom l'aura mise au courant de ce qu'il a entendu ! La bourde de Bernadette n'étant du qu'à une aigreur envers sa mère, de l'avoir corriger devant témoins, mais qu'elle va payer cash !


    Amicalement, Dominique

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  55. Le suspense est total... Que va-t-il se passer ? On attend la suite... Merci d'avance...

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  56. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Comme je l'ai dit, nous devions informer Christine, Caroline et Belle-Maman, du problème ! Et ayant une plus grande connaissance des deux familles, que Christian ! Je lui proposais donc de m'en charger, ce qu'il accepta.
    Lors du retour de ces dames sur la terrasse, ma Belle-Mère remarqua immédiatement mon changement de physionomie et m'interrogea !

    Jacqueline : « Qu'il y a t-il Dom ? Tu sembles contrarié ? »

    Moi : « Pas tout à fait, Belle-Maman, embêté, oui ! Mais asseyez vous donc toutes les trois, j'ai une information à vous donner au sujet de Christian et Christine ! ». Cette dernière se mît à pâlir d'un coup, compte tenu de mon ton directif ! Et je poursuivis m'adressant à ma Belle-Mère « Jacqueline, tout à l'heure, vous avez envoyé Bernadette, porter un panier chez Mme Spaak et celle-ci ne semblait pas très contente, de devoir faire cela après sa rouste ! »

    Belle-Maman : « Oui, Dom ! Mais je ne vois pas le rapport ? »

    Moi : « Vous allez vite comprendre ! En fait, il n'y avait que Diane, à coté et celle-ci a entamé une conversation avec Bernadette, au sujet de sa volée dont elle avait eu les échos ! Maligne comme elle est, Diane, a obtenu les détails de celle-ci ! Et amener Bernadette à citer la présence de mon collègue et petit copain de sa grande sœur depuis plusieurs mois ! Voilà, le problème ! », ajoutant « Et connaissant Diane, vu la position qui est la sienne, en ce moment, il y a fort à parier qu'elle délivre l'information de façon judicieuse à sa mère ! Qu'en penses-tu, Christine ? »
    Celle-ci, était carrément livide et me répondis, avec des tremblements dans la voix !

    Christine : « Ah çaaaa, c'est suuur ! Doooom et cela me rassure pas du tout ! D'autant qu'elle est très pour délivrer des messages à l'encontre de ses soeurs ! ». Tandis que ma Belle-Mère explosa !

    Belle-Maman : « Mais c'est pas possible ! Quelle pipelette cette Bernadette ! Ah, quand elle va revenir, je vais m'occuper d'elle en lui les points sur les I et les barres aux T. Là, croyez-moi que ça va vraiment barder pour son matricule ! ». Je vis ma Caroline, changer de visage et sans dire un mot, comme pour me faire patienter, serrer ma cuisse avec sa main !

    Effectivement, lorsque Bernadette revint, elle se prit deux gifles de sa mère, une de chaque coté ! Ne comprenant pas, elle poussa deux « Aie, aie » de surprise et mît les mains sur ses joues ! Et Belle-Maman ajouta une injonction, sans appel et promesse d'un mauvais moment !

    Belle-Maman : « Mais voilà ma pie jacasse ! Qui ne sait pas se retenir d'ouvrir sa grande bouche ! Alors monte dans ta chambre, je te suis ! Je vais t'apprendre à te taire et te rappeler les bonnes manières ! Tu as vraiment besoin, dune grosse reprise en main, ma fille ! Tu peux compter sur moi ! »
    Stupéfaite, la gamine rougissante du fait des deux gifles, mais aussi de honte et de peur ! Tourna les talons et s'enfuit en courant, sa mère ajoutant « Tu peux courir, ma belle ! On va se retrouver là-haut et prépare bien tes fesses, car après ce que tu vas prendre ! T'asseoir, te sera difficile! »

    A suivre..................

    Amicalement, Dominique

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  57. Décidément, ça pleut les fessées dans le quartier ! Voilà qui va encore entretenir le stress de Christine... Difficile de penser à autre chose lorsque les scènes s'enchainent et que le pire est à craindre...
    Comment faire donc ? Que dire ou ne pas dire ? Nier, essayer de gagner du temps, ou tout déballer, tout en sachant que l'on pourra lui reprocher d'avoir caché (donc menti) durant des semaines...
    J'attends avec une impatience de lectrice, et en même temps une angoisse de Christine, la suite....

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  58. Chère Christine,

    Désolé, ma Chère conteuse, mais j'ai quelques soucis de connexion, avec mon fournisseur d'accès qui gêne ma réactivité, à vos judicieuses remarques

    Sinon, en effet, Christine, cette fin d'année scolaire est chargée en fessées, dans le quartier ! Mais il n'y a pas que cela, les langues aussi se délient et pour ne pas faire languir, la lectrice, voici une suite qui n'aidera certainement pas la Christine (version 23 ans) à faire diminuer son stress, ni ses angoisses !

    Amicalement, Dominique

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  59. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Ma Belle-Mère suivit sa fille en marchant tranquillement et Caroline, nous livra alors sa pensée !

    Caroline : « Dans l'état ou est Maman, ça va être très sévère, pour Bernadette ! Je vous le garantis sur facture ! Car lorsqu'elle annonce, ce genre de reprise en main, elle n'utilise pas que sa main justement !!!! ». Ayant connu le martinet, chez certains copains, je posais une question bateau !

    Moi : « Il y a un martinet, chez toi, peut-être ? Tu sais j'ai connu ça, chez certains voisins ou les mères, l'utilisait pour cingler le haut des cuisses et les fesses ! Leurs mains n'étant plus assez efficace, notamment pour les plus grands (filles ou garçons) ! Et crois-moi, que ça criait très fort, à ce moment-là ! » et je fût suivis par Christian, qui lâcha également un aveu !

    Christian : « Dom a raison, moi-même j'ai connu ça, avec Maman qui étant de constitution frêle ! A largement compenser ce manque, avec ce bon dieu de martinet, qu'elle maniait à la perfection ! Mes frangines et moi ont s'en souvient, très bien ! Ces maudites lanières, faisaient vraiment très mal ! »
    Nous fûmes surpris, par cette confession ! Surtout moi, car ayant connu Christian, lors de notre passage à l'école de Maistrance (moi sortant de l'école des mousses et lui venant de s'engager directement, après un bac+2) ! Mais jamais nous n'avions abordé le sujet, de nos éducations respectives ! Puis Caroline, repris la parole, en me répondant !

    Caroline : « Non, non, Dom ! Il n'y a pas de martinet à la maison ! Par contre, Maman possède une grande brosse plate, pour démêler les cheveux et un soir, dans la salle de bains ! J'avais un peu plus de douze ans, en pyjama ou elle me démêlait les cheveux, avant d'aller au lit ! Et lors de l'opération, ne pouvant éviter de me tirer, ceux-ci de tant à autre ! Je me m'y à grogner, lui disant qu'elle me faisait mal ! Celle-ci me répondant sur un ton maternel et bonne enfant ! ». Maman : « Ma chérie, il faut savoir souffrir pour être belle ! », ce que je trouvais parfaitement idiot comme principe, à cette âge, lui lançant un « Ah, c'est malin ça ! ». Caro ajoutant !

    Caroline : « C'est là, que Maman découvrit et moi, par la même occasion, qu'une brosse à cheveux pouvait également servir à autre chose et notamment claquer mes fesses rebondies de grande fille, en cas de nécessité ! M'assénant deux coups sur chacune d'elles qui même couvertes, me firent crier, sans retenue ! La douleur des impacts étant fulgurante et sans comparaison, avec sa main, même si celle-ci ne faisait pas du bien, lors d'une fessée ! Lui faisant dire avec ironie « Et bien, ma fille, tu préfères ce coté là, de la brosse ! Peut-être ? ». Je fût donc la première a en tester, les effets et je suis à peu près sur, que Bernadette va une nouvelle fois y avoir droit ! Celle-ci y ayant déjà goûté ! Seule
    Sylvie n'en a pas fait l'expérience à ce jour ! Et je peux vous garantir, que l'on s'en souvient !!!!!!! ».

    Christine semblait toute chose, par ces confessions, tout en pensant à sa situation du moment ! Se posant certainement mille questions, sur la façon d'agir au mieux, face à sa mère !

    Et là, d'un coup ! On entendit en provenance du premier étage, de fortes exclamations, de la part de Bernadette ! Suivi, par les réponses de Belle-Maman !

    A suivre...........


    Amicalement, Dominique

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  60. Dommage en effet, si un problème d'accès rend Dominique moins réactif. Je constate cependant qu'il introduit dans le synopsis des éléments qui sont plus dans son univers que dans le mien, comme brosse et martinet. Je suppose que cela aurait contribué à alimenter l'angoisse grandissante de Christine, même si la seule perspective d'une simple fessée manuelle suffisait à lui faire remonter des images, des sensations, des peurs restées (heureusement pour elle) sans application concrète depuis plusieurs années...
    Les cris et supplications de Bernadette, mêlés à la détermination de sa mère, et aux bruits caractéristiques d'une déculottée magistrale, telle que cela se profile dans le récit de Dominique, ne vont rien arranger pour le moral de Christine... Surtout que la suite se complique et que je suis impatiente de savoir dans quel sens elle se dirige...

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  61. Chère Christine,

    je reconnais que les éléments intégrés sont plus de mon univers et que pour Christine, le fait de devoir envisager un éventuel retour sur les genoux de Maman, après plusieurs années d'abstinence ! Même pour une simple déculottée manuelle, puisse déjà la miner profondément, celle-ci ayant toujours redouté ces moments et que les événements chez les Lebrun, ne soient pas de nature à la réconforter, sur sa situation plutôt précaire ! Tant qu'à la suite, elle se profile, toute comme la raclée de Bernadette !

    Amicalement, Dominique

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  62. Là, je ne doute pas que la prose de Dominique va nous narrer le sale quart d'heure que Mme Lebrun réserve à Bernadette. Cela dit, si je voulais pinailler, je reste un peu étonnée que le motif soit du fait que Bernadette n'ait pas tenu sa langue, c'est à dire n'ait pas caché (ce qui revenait à mentir) ce qu'elle savait de la romance de Christine.
    Mais, j'imagine que ce n'est qu'un détail, et je ne veux pas me déconcentrer du sujet principal qui est bien la peur grandissante que ressent l'ainée des Spaak qui aimerait bien se rassurer, voire ne plus y penser, mais que les événements en série qui se passent dans les deux maisons ramènent inexorablement vers une vision de cauchemar, celle de retrouver les genoux maternels...

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  63. Chère Christine,

    Vos réactions sont toujours aussi judicieuses et comprends votre étonnement sur le seul motif, du bavardage entraînant Mme Lebrun à corriger de la sorte, sa fille ! En fait, pour être plus clair, ce que je n'ai pas intégré, c'est que depuis plusieurs semaines le comportement général de Bernadette, tant se le plan scolaire, qu'à la maison se dégradait !
    Celle-ci, ramenant punition sur punition du collège pour des motifs d'indiscipline et s'opposait de plus en plus, à l'autorité parentale ! Lui valant, comme vous pouvez l'imaginer, bons nombres de rouste de sa mère ! Je précise que Bernadette, était plutôt du genre, garçon manqué !

    Voilà pourquoi, j'avais fait évoquer à Belle-Maman une reprise en main ! En réalité, ce qui avait valu cette correction à Bernadette, était une nouvelle convocation du collège, reçu par sa mère !
    Pour le synopsis j'ai intégré, ce bavardage comme étant la goutte qui fait déborder le vase et me permet de créer la suite que craint, à juste titre, la grande sœur ! J'espère avoir répondu, à votre interrogation fort légitime.

    Sinon, pour vous satisfaire, je vous adresse la narration du sale quart d'heure, réellement vécu par la petite sœur de Caroline.


    Amicalement, Dominique

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  64. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Bernadette : « Nooon ! Nooon ! M'maaaan ! Paaas la brooossse, en pluuus ! J'ten suppliiiie ! Ça faiiit trooop maaal ! »

    Belle-Maman : « Oh mais que si ma petite fille ! Comme depuis quelques mois, tu semble avoir pris goût et de plus en plus souvent, à la brosse de Maman, je ne vais donc pas t'en priver ! »

    Bernadette : « Nooon, M'aaaan, c'est fauuux ! J'laaaa détesteeeee ! J'te jureee ! Ça m'cuiiit troop les fesseeees, à chaque fois ! »

    Belle-Maman : « Tant pis, pour toi, ma chérie ! Tu n'as qu'à apprendre à tenir ta langue, mais avec toi c'est pas gagner et tu vois, comme je t'ai bien réchauffé les fesses, il y a une heure environ pour ta colle et bien je vais faire parler la brosse, de suite, sans user ma main ! »
    Dans la seconde ! Il y eu un claquement, sec et lourd ! Suivi par d'autres et accompagné par les hurlements de Bernadette ! Après deux ou trois minutes, les échos provenant de la chambre ne s'estompaient pas, entre la brosse qui claquait et Bernadette qui hurlait, en continu ! Puis le bruit de la brosse cessa, seule la longue plainte de la gamine résonnait, ainsi que ses pleurs ! Caroline en profita pour reprendre la parole !

    Caroline : « Vous voyez, je vous l'avait dit que ça allait être très sévère, pour ma sœur ! Maman n'a même pas utilisé sa main avant et je pense qu'elle n'en a pas fini ! Ce que confirma la voix de ma Belle-Mère !

    Belle-Maman : « Et bien, ma petite Bernadette ! Tes fesses commencent à reprendre une belle couleur, sous la brosse ! Et ce n'est pas fini, Maman va la finaliser pour bien te faire comprendre, qu'il faut apprendre à se taire et se comporter, en vrai jeune fille et non en petite peste ! »

    Avant même que Bernadette ne réponde, la sérénade de la brosse repris de plus belle, ainsi que les cris de la gamine, qui se prenais une volée assourdissante ! Et après, un certain temps, que je ne saurais évaluer, Belle-Maman arrêta son bras et nous n'entendions plus que la longue plainte de sa fille, dont elle venait de tanner le fessier !

    Belle-Maman réapparu quelques minutes plus tard et s'adressant plus particulièrement à Caroline : « Ah ! J'espère que ta sœur, aura bien compris la leçon, cette fois-ci et que ça va la calmer, pour un temps ! », faisant réagir ma Caro, avec une certaine retenue vis à vis de sa mère !

    Caroline : « Oh ! Je crois que oui, Maman ! Car il me semble que tu l'a pas ménagé et je pense que pour le dîner, elle aura bien besoin d'un gros coussin sur sa chaise, tu ne crois pas ? »

    Belle-Maman : « En effet, ma grande, je ne l'ai pas ménagé ! Mais elle le méritait et tu sais bien qu'il ne faut pas trop tirer, sur la corde de ma patience ! Sinon, c'est gentil de vouloir prendre soin, de ta sœur, pour le dîner ! Car, tout comme toi, je pense qu'elle aura du mal à s'asseoir ! »

    A suivre...........


    Amicalement, Dominique

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  65. Efficace, la belle-maman de Dominique ! Bernadette va peut-être réfléchir avant de défier à nouveau la colère maternelle... Je ne doute pas que la brosse soit douloureuse et encore plus insupportable sur une lune qui est à peine remise d'une claquée manuelle plus classique mais tout aussi énergique, pour cause d'heures de colle récoltées par la demoiselle...
    Parce que, si je n'ai pas de référence pour juger de la morsure du dos de la brosse sur un épiderme de collégienne, je sais en revanche parfaitement combien est sensible une lune venant de recevoir une fessée déculottée... Et si les quelques fois où j'ai eu à retourner peu après sur les genoux maternels, cela fut encore pour y subir la main de Maman, je me rappelle comme si c'était hier combien cela devenait insupportable et me tirait vite des cris et supplications.
    En tout cas, pour Christine 23, ces nouveaux déboires de Bernadette, causés notamment pour des heures de colle, ne pouvaient que raviver bien des souvenirs et faire monter son angoisse...

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  66. Chère Christine,

    En effet, Christine, je vous confirme que Belle-Maman était très efficace, lorsqu'elle distribuait une fessée à l'une de ses filles et celles-ci s'en souviennent encore aujourd'hui !
    Et je vous rejoins tout à fait, sur le principe qu'une deuxième déculottée rapprochée, devenait très vite insupportable, pour en avoir fait l'expérience ! Rappelez vous, ma journée en compagnie de Monique et ma Tante ou nous avions joué au charbonnier.

    Sinon je comprends que ces histoires de colle, de Bernadette, puisse raviver les propres souvenirs d'une Christine 23 et faire grimper, cette angoisse qu'elle n'a que trop connue, avant que Maman n'arrive pour régler, les comptes !
    Mais bon, il me faut bien avancer sur le synopsis, pour en délivrer l'apothéose ! Même si je compatis par avance, à la détresse et au chagrin de la demoiselle ! Mais c'est tout même elle, qui c'est mis dans le pétrin ! Certes aidée par d'autres, je l'avoue et qui ne seront pas épargnés !


    Amicalement, Dominique

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  67. Effectivement Dominique connait aussi la double application à intervalle court...
    De mon côté, il est évident que les histoires de colle remontent vite en mémoire et leurs souvenirs se bousculent, surtout si je m'imagine dans la situation de Christine 23 qui n'a rien oublié des scènes en question et que celles qu'elle surprend ou entend dans son entourage ne font que raviver le souvenir...
    Vivement que l'on en sache plus, et que Christine 23 puisse (j'espère...) se dire que ce n'était qu'un mauvais rêve... Mais, peut-être que je me trompe... non ?

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  68. Chère Christine,

    Si le synopsis devait se conclure, en simple mauvais rêve pour Christine, celui-ci perdrait à mon sens, tout sa valeur ! Vous ne pensez pas ?
    D'autant que l'idée de départ, était bien que Christine 23, intelligente et brillante universitaire, par le biais de certaines circonstances, redécouvre cette position très inconfortable et honteuse qu'elle n'a que trop bien connue, avec en prime la curiosité de la perfide petite sœur ! Qui en fera les frais, si cela peux vous consoler, un peu !

    Par conséquent, je vous prépare la suite et vous l'adresse, dés que possible.

    Amicalement, Dominique

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  69. Permettez, Dominique, que Christine 23 garde l'espoir jusqu'à l'ultime seconde... Je ne saurais jouer autrement ce rôle, puisque, même dans les moments où j'étais quasi certaine de mon devenir, ma cervelle travaillait pour savoir comment gagner du temps, pour chercher comment inverser la sentence, pour imaginer l'inimaginable qui aurait changé le cours de l'histoire...
    Vous me direz qu'après quelques années de répit, avec une maturité plus grande et un raisonnement censé être plus posé et plus réaliste, je devrais comprendre la réalité de la situation, le fait que le danger est grand de revivre une scène si souvent connue...
    Mais, comme à une époque plus agitée pour mon bas du dos, je préfère ne pas y croire...

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  70. Chère Christine,

    Bien sur que je permets, à Christine 23, de conserver l'espoir jusqu'au bout, en espérant un revirement de situation et échapper, à l'un de ces moments, qu'elle a toujours redouté n'osant imaginer se retrouver comme les soeurettes, au travers des genoux de Maman et sans culotte, pour y subir la foudre maternelle, à presque 23 ans !

    Sauf que la situation est plus que délicate, la confession de son amie n'arrangeant pas ses affaires, bien au contraire et cerise sur le gâteau, la petite Diane ayant eu vent de son secret !


    Amicalement, Dominique

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  71. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    En principe, Christine était censée rentrer chez elle ! Mais Belle-Maman, voyant sa petite mine et l'angoisse qui s'en dégageait, lui proposa de rester pour le dîner et qu'elle se chargerait de prévenir sa mère !
    Christine se détendit et remercia ma Belle-Mère, de la proposition, n'ayant visiblement aucune envie de se retrouver face à sa petite sœur (vu ce qu'elle sait) et sa mère, par crainte que celle-ci, ne devine son malaise !

    Christine : « Merci beaucoup, Mme Lebrun ! Car j'avoue que je suis un peu dans le flou sur ce qu'il convient de faire, vis à vis de Maman ! Car face à elle, en fonction de la situation, soit je m'exprime aisément ou je me fige telle une fillette en faute, lui laissant alors entrevoir qu'il y a un problème ! Et là, ce soir, je sais que ce serait plutôt le deuxième cas de figure, surtout en présence de Diane, sachant ce qu'elle a appris ! »

    Belle-Maman : « Je te comprends, ma grande ! Même si je pense que repousser encore l'échéance, n'est pas la meilleure des solutions, d'autant que ta petite sœur risque fort d'en profiter et même en rajouter ! »

    Christine : « Vous avez raison, Mme Lebrun ! Mais j'me sens incapable d'affronter Maman ce soir, même en enrobant les choses ! Celle-ci me connaît trop bien et n'aurait aucun mal, à me faire craquer et lâcher toute la vérité, ce qui à ses yeux, constituerait un motif supplémentaire ! »

    Belle-Maman : « Vu comme cela, je comprends ta position, Christine ! Mais je pense qu'il serait sage que tu abordes le sujet, dés demain avec elle, seule à seule ! »

    Christine : « Je vais y réfléchir, mais la décision est difficile ! »

    Belle-Maman : « C'est vrai, Christine, mais tu es intelligente et brillante, comme Caroline ! Alors fait en sorte de trouver, le bon moment ! »

    Christine très émue par ce dialogue, hocha la tête en signe de « oui », mais sans répondre ! Et ce que personne n'imaginait à cet instant ! C'est qu'un événement allait modifier le cours des choses et que nous allions percevoir, au travers de la haie !
    Une heure après, Belle-Maman alla donc voir, Anne-Marie pour la prévenir que Christine restait à dîner et nous entendîmes la conversation entre les deux mères !

    Anne-Marie : « Pas de problème, Jacqueline, ça ne me dérange pas, au contraire ! Simplement qu'elle ne rentre pas trop tard, car demain matin toutes les deux nous avons des choses à faire, sans ses sœurs qui passent la soirée et dorment chez leur Tante, en accord avec elle et je voudrais donc en discuter, avec elle ce soir ! »

    Belle-Maman : « Très bien, Anne-Marie, je vous la renverrais après le dîner ! ». Là, Christine fît une drôle de tête, sachant qu'elle devait s'occuper des préparatifs, avec sa mère, mais ne comprenais pas pourquoi, celle-ci voulait en discuter ! Ainsi que le fait que les frangines, soit chez leur Tante pour la soirée et la nuit. A suivre...........


    Amicalement, Dominique

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  72. Il me semblerait que Dominique a trouvé une idée intéressante qui laisserait un créneau de tranquillité entre Maman Spaak et Christine 23... Mais, qu'est-ce donc que ces préparatifs dont il faudrait discuter "dès ce soir" ?
    Voilà en tout cas qui fait fortement avancer le récit... Reste à savoir dans quelle direction...
    J'ai comme une petite appréhension qui me gagne, une sorte de mauvais présage...
    Je crois d'ailleurs que je vais, dès que ce sera moins flou, écrire mon ressenti des choses, si bien sûr le "scénariste" accepte une partie de récit à quatre mains...

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  73. Chère Christine,

    Allons, Christine, comment le petit scénariste que je suis, pourrait refuser une contribution sur le ressenti de Christine 23 et surtout de sa conteuse préférée ! Bien au contraire, il la réclame à corps et à cris !
    Tant qu'au moment de tranquillité, entre Maman et sa fille, ce n'est qu'une reprise d'éléments dans certains de vos récits et que vous appréhendiez, la direction du synopsis, cela est tout à fait logique, puisqu'on en arrive, au cas Christinien !


    Amicalement, Dominique

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  74. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Anne-Marie : « En fait, Jacqueline, je dois voir des points de détails avec Christine, donc ma sœur m'a fait part, en faisant nos courses et j'aimerais avoir son avis, sur un certain sujet ! »

    Belle-Maman : « D'accord, Anne-Marie, on fait comme ça et je vais le dire à Christine ! »

    Anne-Marie : « C'est cela, Jacqueline, faites lui en bien part ! »

    La dernière phrase de sa mère, la perturba et lorsque Belle-Maman, rapporta l'échange que nous tous suivit, Christine essaya dans savoir plus auprès de ma Belle-mère !

    Christine : « Elle a rien dit d'autre ? Et quelle tête avait-elle ? »

    Belle-Maman : « Non, non, rien d'autre ! Tant qu'à son visage, c'est vrai qu'il ma semblé un peu fermé et qu'elle avait une attitude légèrement froide, à l'inverse de nos autres rencontres ! Mais je pense, que c'est du au problème de Diane, voilà c'est tout ! »
    Christine ne semblait pas partager l'avis de ma Belle-mère et son visage exprimait une certaine inquiétude ! Peut-être une sorte d'intuition ! Puis Belle-Maman invita les filles à la cuisine, pour préparer le dîner !
    Une nouvelle fois, Christian et moi étions seuls sur la terrasse ! Et nous allions avoir la réponse au sixième sens de Christine ! De l'autre coté de la haie, Aline venait de rentrer de chez sa copine et la mère annonça aux sœurs, qu'elles dînaient et dormaient, chez leur Tante ! Précisant que Christine sortait en ville, avec Caroline et moi ! C'est là, que la perfide Diane mis son grain de sel, qui allait se retourner contre elle !

    Diane : « Ah, flûte alors ! J'avais des choses à te raconter, Maman ! »
    Anne-Marie : « D'accord, Diane, mais ça attendra demain, pour l'instant vous filez chez Tata, j'ai besoin d'être seule pour réfléchir ! ». Diane insista et lâcha d'un coup, l'info qu'elle avait eu ! Ce qu'elle ne savait pas, c'est que sa mère l'avait également eu par le biais de sa sœur !

    Anne-Marie : « Oui, je suis au courant, votre Tante m'en a déjà parlé ! Et Diane, tu sais que j'ai une sainte horreur des petites fouineuses, dans ton genre ! », s'ensuivit alors deux claquements très net, indiquant une paire de gifles et des pleurnichements, de la gamine ! Ce que la mère, confirma !

    Anne-Marie : « Peut-être qu'avec ça, tu arrêteras de jouer les rapporteuses, sinon je peux t'en donner ailleurs, si tu préfères ! ». Et la discussion s'arrêta là !

    Christian et moi, avions le cul entre deux chaises ! Tout dire à une Christine déjà perturbée et lui assurer un dîner, très morose ou se taire ? De tout façon, maintenant les dés étaient jetés et la mère voulait s'entretenir, seule à seule, avec sa fille ! Nous regardant l'un et l'autre, on opta pour la deuxième solution, la seule difficulté étant de masquer au mieux, nos pensées, vis à vis des filles !

    La soirée se passa donc très bien, Christine portée par les petites attentions de son chéri, se détendit et retrouva, le sourire, ayant néanmoins en arrière pensée, la discussion avec sa mère ! A suivre......


    Amicalement, Dominique

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  75. Bizarre... Pourquoi mes soeurs iraient-elles chez Tata Jacqueline ce soir ? Si Maman avait à sortir, elle l'aurait dit avant. Et, à moins d'une réunion imprévue, ou je ne sais quoi, je ne vois pas pourquoi elle ne m'aurait pas confié de garder mes soeurs. Surtout à leur âge. Plus besoin de baby-sitter. D'ailleurs, quand elles étaient petites, et moi encore ado, c'est Tata qui venait nous garder à la maison.
    Ce qui m'inquiète le plus, c'est que Maman ait évoqué des "choses à faire" avec moi, et aussi une "discussion" !
    C'est étrange, mais j'ai vraiment un mauvais pressentiment, et je voudrais bien être rassurée... Ce n'est pas possible que ce soit ce qui me trotte dans la tête, et ravive de mauvais souvenirs...
    Je me rappelle quelques exemples précis où Maman disait à des tiers que nous allions avoir une "discussion" en rentrant à la maison... C'était par exemple en conclusion d'une entrevue avec un prof qui se plaignait de ma conduite, ou quand j'avais mal répondu à Mamie, ou quand j'avais fait un caprice dans un magasin, etc... Maman n'avait pas besoin d'en dire plus que j'en rougissais, sentant mon coeur se mettre à battre, ayant bien compris que la discussion s'achèverait sur les genoux maternels, et que, quels que soient mes arguments, il fallait que je prépare mes fesses...
    D'un autre côté, peut-être y avait-il une chance que ce ne soit pas ce que je craignais ? Et, alors, peut-être devrais-je profiter du temps de tranquillité, seule à seule avec Maman, pour lui parler de ma romance ? Mais, franchement, en serais-je capable ?
    En attendant, mieux vaut tenter de rester calme, de me changer les idées, de profiter de ce diner... Enfin, facile à dire... Moins à faire... C'est fou, mais je me sens à certains moments comme quand je devais rentrer à la maison un jour où le facteur avait mis dans la boite une enveloppe du collège contenant un bulletin de colle... C'est idiot, une dizaine d'années après de se sentir comme une gamine de Cinquième...
    PS : J'ai noté que le synopsis semble aller vers une discussion du soir et une action le lendemain matin. Une variante intéressante en effet... Je ne suis pas contre... Mais, peut-être que finalement, Christine 23 échappera à tout, hi hi...

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  76. Chère Christine,

    En effet, pourquoi les frangines iraient chez Tata, ce soir ! C'est très simple et je l'ai laissé supposer, en précisant que Maman voulait être seule pour réfléchir, car ce que Diane ignorait avec sa bouche enfarinée, c'est que sa mère n'avait appris la nouvelle que l'après-midi même, en faisant les courses avec sa sœur ! Je ne me voyais pas introduire, une demande de Maman à Christine, de garder ses sœurs, compte tenu de leur âge ! D'autant que je vous rappelle que Diane est resté, toute seule, mais consigné, durant la sortie de sa mère ! Voilà pour éclaircir votre lanterne !

    Tant qu'aux paroles imprécises de Maman, pour ma Belle-Mère, celles-ci soulèvent en effet une inquiétude pour Christine, ayant une expérience consumée en la matière ! L'utilisation maternelle, de faux semblants, vis à vis de tiers, n'étant pas une nouveauté pour Christine ! Celle-ci se rappelant notamment, le message transmis par Corinne (épisode 67) !

    Concernant l'idée de profiter d'être seule à seule, pour lui évoquer cette romance cachée depuis plusieurs mois est pleine de bons sens, sauf que Christine ignore encore que Maman a appris celle-ci de la bouche, de sa sœur et il me semble, sans vous dévoiler la suite, que c'est plutôt Mme Spaak qui va provoquer l'aveu de sa fille, avec à la clé une discussion pleine de reproches envers elle ! Et conduire Maman à prendre le temps de la réflexion, vis à vis de son aînée !

    Ceci corroborant peut-être, votre hypothèse du PS ! Sauf pour l'échappatoire, hi hi.........

    Amicalement, Dominique

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  77. Oui, encore une référence judicieuse de l'archiviste en chef. C'est vrai que Maman apprenant ma roublardise pour ne pas avoir à lui dire que Corinne et moi avions été séparées après bavardage en classe, avec des devoirs supplémentaires à faire, avait fait passer un message par ma copine. Celui consistant à me prévenir que l'on allait "en parler" le soir à mon retour. Elle n'avait pas dit à Corinne et sa mère : "Je vais m'occuper de ses fesses ce soir", mais je savais bien, moi, en quoi allait consister cette façon d'en "parler". Et, dans cet épisode 67, cité par Dominique, j'étais rentrée penaude à la maison, certaine que j'allais avoir droit à une bonne fessée déculottée...
    Bien sûr, des années après, la situation n'est pas la même, mais Maman n'a pas changé de méthodes, les derniers déboires subis par Diane le démontrent... Alors, faire dire par Mme Lebrun qu'elle voulait "voir quelques points de détail", et autrement dit "avoir une discussion" avec moi, ne peut que faire naitre une inquiétude, et quand je dis naitre, je minimise mon état, c'est plutôt déjà une forte angoisse qui me prend...

    Et

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  78. Cela dit, puisque l'archiviste m'a fait relire l'épisode en question, je vois aussi que son premier commentaire fut ""Oh la la, quelle divine fessée pour une vilaine menteuse" !
    Ce n'est guère gentil pour moi. J'aurais aimé une pointe de compassion...
    J'espère que si le synopsis en cours allait vers une issue que je redoute, Dominique serait moins moqueur envers moi, et moins admiratif de l'efficacité de Maman Spaak...

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  79. Chère Christine,

    J'imagine fort bien l'angoisse qui peut envahir, Christine 23, lorsque Belle-Maman lui transmet les paroles de sa Maman, car si elles sont imprécises pour Mme Lebrun, ce n'est pas le cas pour Christine qui sait parfaitement les interpréter ! D'autant que la petite sœur, durant ces derniers jours a confirmé la méthodologie maternelle et cela n'a rien de rassurant.

    Tant qu'à la référence de l'archiviste, celui-ci est confus d'avoir fait relire à Christine l'épisode et prie la conteuse, de bien vouloir lui pardonner ce début de commentaire, pas très compatissant, mais je l'assume et le confirme !

    Concernant le synopsis et l'attitude de Dominique, vous verrez bien ! Rappeler vous simplement qu'ils sont amis, mais qu'il ne rejette en rien la méthode efficace de Mme Spaak, identique à celle de Belle-Maman ou de ses parents pluriels !

    Amicalement, Dominique

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  80. Dominique insiste dans son jugement. Ce n'est pas très gentil, mais c'est certainement une position défendable. Il est vrai que de ce que je me rappelle de la fessée reçue à l'épisode en question, la Christine de l'époque n'avait pas été ménagée, et en avait pris pour son grade de la part d'une Maman qui n'a jamais aimé apprendre des bêtises de ses filles par l'extérieur... Ajoutez à cela que j'avais caché ma punition d'histoire et menti sur la raison de ces devoirs à faire, et l'on imagine combien Maman se sentant menée en bateau par son ainée avait donc à coeur de lui faire retenir la leçon de la manière la plus efficace qui soit...
    De là à parler de fessée "divine", moi j'aurais plutôt pensé que j'avais passé ce sale quart d'heure en enfer !

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  81. Chère Christine,

    Je reconnais que le 'quart d'heure' passé sur les genoux de Maman, lors de l'épisode 67, était plus un enfer, que le divin paradis pour Christine ! Je n'avais utilisé cet adjectif, qu'à l'attention de Maman Spaak, pour souligner la maestria avec laquelle, elle avait fesser sa grande fille, en lui laissant au final une lune incandescente.

    Bien entendu, pour Christine, il n'y avait rien de divin, à être dans cette position et sans sa culotte, pour recevoir de magistrales claques, faisant crier et pleurer, à foison ! Maman ayant failli être berner par sa fille et n'apprenant ses turpitudes, qu'au hasard d'une rencontre ! Justifiant alors à ses yeux, l'application d'une sévère punition pour la demoiselle et celle-ci avait donc été « divinement servi », par cette mère de devoir ! Désolé d'insister, chère Christine !

    Amicalement, Dominique

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  82. Que d'éloges de Dominique envers Maman Spaak ! Avouez que cela soit un peu délicat pour moi de lire ces compliments qui soulignent la façon dont elle "s'occupait" attentivement et méthodiquement à rougir ma lune... Surtout quand il est précisé que c'était appliqué sans culotte, rien ne me protégeant des claques "magistrales".
    Je remarque d'ailleurs que le choix de cette référence au dit épisode 67 rappelle combien Maman se faisait un "devoir" d'appliquer une "sévère punition", durant laquelle son ainée était "divinement" servie (et hélas, je le confirme, même si l'adjectif m'irrite). Et cela parce que Maman avait appris "au hasard d'une rencontre" quelque chose que lui avait caché sa fille... Voilà qui ressemble, étrangement n'est-ce pas, à une situation que développe un certain synopsis ! Pourvu que l'issue en soit différente...

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  83. Chère Christine,

    Allons Chère amie (si vous le permettez et sans vouloir vous offenser), pourquoi changer une équipe qui gagne, Maman Spaak et Christine, étant des leaders dans ce domaine, chacune dans son rôle, bien sur ! L'une s'appliquant à bien donner et l'autre sachant offrir matière, à recevoir !

    Sinon je comprends fort bien que ce soit délicat, pour Christine, de lire ces éloges envers Maman et les détails constituant, ces conversations particulières qu'elle avaient, avec elle.

    Tant qu'à la similitude avec le synopsis, cela est une évidence et cela ne peut à mon sens, que conduire au même résultat, même s'il s'agit d'une Christine 23 ! Les épisodes précédents et leurs événements allant plutôt, dans cette direction, moins théâtrale certes, mais bien palpable !

    Amicalement, Dominique

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  84. Allez, cher Dominique, j'accepte ce qualificatif d'amie, mais j'aimerais que le synopsis avance plutôt que de se focaliser sur les qualités de ma chère mère... Inutile de me rappeler les détails de ces "conversations particulières" qui nous occupaient, Maman et moi, certains soirs à la maison, notamment quand un bulletin de colle était arrivé, ou qu'elle avait découvert certains de mes mensonges...
    Je veux bien reconnaître que Maman "s'appliquait" à "bien donner" la fessée tant redoutée... Quant à dire que je "savais" lui "offrir matière" à sévir, il y a un pas. Je savais, je savais, disons plutôt que ma propension à être distraite ou chahuteuse en classe, que ma manie d'essayer de gagner du temps au lieu d'avouer d'entrée, et que ma capacité à travestir la vérité, et donc à mentir, sans oublier quelques défauts de gamine, quand j'étais effrontée ou parfois capricieuse, tout cela effectivement "offrait" des occasions à Maman de tenir son rôle...
    Je ne sais pas si l'on peut parler d'une équipe qui gagne. Maman, elle, peut-être, gagnait, car c'était toujours elle, à la fin, qui imposait sa loi...
    Ce que je gagnais, moi, je le ressentais plus comme des défaites, même si vous pouvez dire que tout cela faisait que je "gagnais" à devoir présenter mes fesses déculottées sur les genoux maternels plus souvent qu'à mon tour...

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  85. Chère Christine,

    Le synopsis avance, rassurez vous ! Mais comme vous le savez, je ne suis pas un homme de lettres et je vous trouve, un peu gonflée (boutade), de réclamer la suite de celui-ci, alors que j'ai produit bons nombres d'épisodes ! Alors que vous même, dans le même temps, vous êtes en léthargie sur la chronique et ceci depuis le 07/08 ! Non, mais !!!!!!!!

    Voilà, na, na, na et re-na ! Tant pis, si ça vous plaît pas, fallait que je le dise ! Non de Zeus !!!!!!

    Bien entendu, comme vous l'aurez deviné, ceci est purement amical et j'essaie de faire au mieux, pour adresser la suite, qui risque d'ailleurs de vous surprendre !

    Amicalement, Dominique

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  86. Oui, j'avoue, Dominique, que j'abuse... Même que je ne me serais jamais permis autant de retard dans mes devoirs d'écriture, à une certaine époque, et je n'ai pas à vous faire de dessin, sur ce qui me serait arrivée alors...
    Pour votre gouverne, j'ai quand même sous le coude et presque fini un épisode 76, mais mes pensées sont un peu prises par le synopsis, dont j'aimerais qu'il avance un brin, car j'aurais alors évidemment matière à réagir et à jouer du quatre mains.
    J'ai à ce sujet une idée de ce que pourrait être le discours maternel, et comment le rendre crédible à mes yeux, mais je ne voudrais pas brider votre créativité, à moins que vous ne m'accordiez de vous en dévoiler les grandes lignes, quitte à l'accommoder, l'un et l'autre ensuite.

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  87. Chère Christine,

    Faites donc « chère amie conteuse » ! Tout comme vous je suis preneur de bonnes choses, même si je m'efforce d'être créatif, mon intellect a ses limites et malgré que cela m'amuse de rédiger, ce synopsis, pour vous faire plaisir, ainsi qu'au autres lecteurs, je suppose !

    Sinon, si je suis ravi, que ce dernier occupe vos pensées ! Je ne voudrais surtout pas vous détourner de votre tâche, que vous accomplissez avec beaucoup de talent et la gouverne, a bien senti, la vague de travers, mais il en a connu d'autres !!!!!!!

    Ceci étant, j'attends donc avec impatience, les grandes lignes Christiniennes ! Car moi aussi, j'ai avancé sur le synopsis ! Alors, peut-être que cela ajoutera du piment


    Amicalement, Dominique

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  88. Dominique, je ne sais pas si cela va "apporter du piment" au synopsis, mais j'imagine surtout ce qui ferait (ou aurait fait dans la vraie vie) que Christine 23 admette ce retour sur les genoux maternels.
    L'idée d'éloigner les soeurs est bien en phase avec le comportement maternel qui allie sévérité et respect, n'étant dans la démonstration publique (familiale du moins) qu'à de rares occasions (devenant ainsi plus marquantes).
    Comme il ne saurait être question de force et de pugilat, il faut donc une certaine acceptation christinienne, du moins une non-révolte. Elle est déjà un peu contenue dans le fait que les confidences de Caroline ont mis dans sa tête que c'était possible chez les Lebrun, et donc que Maman Spaak toujours croyante en cette méthode pouvait en avoir à son tour l'idée.
    Reste que la "discussion", en sa partie préliminaire, doit être plausible, et que, quitte à arriver à ce que l'on imagine, cela se fasse peut-être avec des références (timing, situation, tenue, etc.) qui reprennent les "habitudes" du duo Christine-Maman.
    J'imagine donc que la discussion entre les deux aboutira à ce que Christine reconnaisse l'existence de la romance, fasse croire d'abord à un événement récent, avant d'admettre que cela dure depuis plus longtemps (d'où nouveau manque de franchise souligné par Maman), et que tout cela aboutisse au constat que Christine ment depuis des semaines, comme à une certaine époque, et fasse dire à Maman que c'est inacceptable et qu'elle a bien l'intention de lui faire payer à sa manière...
    Evidemment, Christine ne peut que protester, mais Maman de lui expliquer que si elle veut continuer à être hébergée à la maison, nourrie, dorlotée, au lieu d'être dans une chambre d'étudiante à devoir s'occuper de tout, elle se doit de respecter les règles familiales, et donc en subir les conséquences lorsqu'elle ment et se moque donc de sa mère durant des semaines...
    D'où le deal : ou tu acceptes la fessée ou tu vas vivre ailleurs en grande fille majeure qu'elle est. Maman laisserait un temps de réflexion à sa fille, en lui demandant de venir ensuite lui donner sa réponse. Celle-ci étant, malgré la peur, forcément positive, il faut imaginer que l'exécution soit programmée plus tard, style au moment du coucher, ou le lendemain, avec au moment dit l'envoi pour se changer, l'attente, etc...
    D'où autant d'occasions de revivre en réel les étapes "classiques" des anciennes "discussions" entre Maman et Christine.
    Bien sûr, c'est à arranger à notre sauce, mais il y a là, à mon sens, quelques passages à ne pas négliger pour que le ressenti fonctionne bien.
    Amitiés.

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  89. Chère Christine,

    J'ai comme l'impression que vous lisez dans mes pensées, ayant quasiment terminé une début de suite, d'après dîner entre Maman et Christine, à son retour au bercail. Les idées que vous évoquer, sont en parfaite harmonie avec les miennes et notamment, celle d'une certaine acceptation de Christine, à l'image de Caroline, de la décision maternelle, même si cela lui est très difficile à presque 23 ans.

    Sachez que dés le départ du synopsis, Dominique fort de son expérience avec ses sœurs ou cousines (ma sœur aînée ayant reçu, sa dernière fessée à 22 ans, la veille de son mariage) n'avait pensé à décrire un rapport de force et transcrire une espèce de lutte, entre une mère déterminée et son enfant (fille ou garçon) refusant d'être puni !

    Là, nous sommes en présence, d'une une jeune femme réfléchie, intelligente, brillante dans ses études et donc bien consciente, qu'elle a commis une erreur, vis à vis d'une mère aimante et attentionnée ! Lui offrant comme à ses sœurs, un cadre de vie facile, pour qu'elle puisse se consacrer à ses études, sans souci du quotidien !

    Par conséquent cette Maman admirative de la réussite, de sa fille, ne peux être que très déçu par le comportement de celle-ci ! La demoiselle ne pouvant donc que comprendre et admettre la position de sa mère, qui lui accorde sa confiance !

    L'attitude maternelle n'est donc plus la même ! Sa fille n'étant plus la gamine qu'il fallait éduquer et conduire sur le bon chemin !


    Amicalement, Dominique

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  90. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue, dans la peau de Christine :

    Après cette soirée délicieuse, en compagnie de Christian, je suis rentrée à la maison aux environs de 21h45 ou je retrouvais Maman, sur la terrasse qui buvait une tisane ! Son accueil ne fût pas très chaleureux et la suite encore moins, concrétisant mes doutes, suite à l'annonce de Mme Lebrun !

    Maman : « Bonsoir, ma grande ! La soirée avec ton petit chéri, c'est bien passée, je suppose ? ». Le ton était donné et ravalant ma salive, j'eus un peu de mal à répondre, comme à la grande époque de mes 12/13 ans ou ces conversations avec Maman qui étaient monnaie courante, me bloquait !

    Moi : « Baaah, euuuh, c'est à dire ! Oui M'man ! Mais, j'peux t'expliquer tu sais ! »

    Maman : « Oh, mais j'y compte bien, ma chérie ! Car vois-tu, moi j'ai passé la soirée à m'interroger depuis la discussion que j'ai eu cet après-midi, avec ta Tante, à propos d'une très grande fille qui n'ayant pour seul souci, que de se consacrer à ses études, n'a malheureusement pas perdu quelques mauvaises habitudes, comme la cachotterie et le mensonge ! ».
    Celle-ci ne me laissant pas le temps d'ouvrir la bouche, enchaîna !

    Maman : « Voilà que je découvre, au hasard d'une discussion avec ma sœur, que ma grande fille, pourtant intelligente et brillante universitaire, préfère se confier aux autres, plutôt qu'à sa propre mère ! Au sujet d'une relation amoureuse ! Reconnais qu'il y a de quoi s'interroger ? Alors je t'écoute ? »
    Là, je sentis que malgré ma gorge sèche, un sac de nœuds à l'estomac et les yeux brillants, il me fallait apporter des réponses sans détour à Maman !

    Moi : « C'est vrai, Maman, je n'ai pas osé te parler de ma relation avec Christian, au début de celle-ci, ne sachant pas si elle allait durer et je voulais m'assurer qu'elle n'entache pas mes études, à l'image de Caroline, avant de t'en faire part et que tu ne t'inquiètes pas ! »

    Maman : « D'accord, ma chérie, je veux bien admettre le principe ! Mais pourquoi t'être confiée à ta Tante, plutôt qu'à moi sur le sujet ? Je ne pense pas être si terrible, que cela ! Exigeante et rigide envers vous, c'est sur ! Mais ce n'est que pour votre bien ! Et je ne crois pas être une espèce de monstre, dénuée de sentiments ? »

    Moi : « Oh, non, non, Maman, bien au contraire ! Tu es merveilleuse et nous t'adorons toutes les trois, même si nous redoutions et redoutons toujours tes punitions ! Mais il vrai que parfois, ils nous est plus facile d'aborder un sujet un peu plus délicat entre sœurs ou avec Tata ! Ce qui est logique, puisqu'elle n'a pas le même rôle que toi et je me rappelle très bien, la mésaventure de Diane, il y a un peu plus d'un an, vis à vis de son flirt ! »

    Maman : « C'est bien, ma chérie, je vois que tu n'es pas idiote et que ta mémoire fonctionne, mais cela ne me dit toujours pas pourquoi, tu t'es confiée à ta Tante et à d'autres personnes, en m'excluant ainsi que tes sœurs, au passage je te précise que Diane l'a appris aussi cet après-midi et qu'elle ne s'est pas privé de me le rapporter, pour m'inciter à inverser la tendance de mon courroux, vu sa situation défavorable ! »

    A suivre...........

    Amicalement, Dominique

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  91. Voilà que nous entrons dans le vif du sujet, et je vois que nous sommes assez sur la même longueur d'ondes avec Dominique. Je me permets juste, puisque la contribution ci-dessus est écrite comme "dans la peau de Christine", de faire un petit rajout, comme si je voulais corriger un ou deux points sur lesquels j'aurais été volontairement imprécise... Cela donne ceci :
    Bon, puisque nous sommes entre nous, cela ne sert à rien de cacher certains détails. C'est vrai que j'ai vu, au premier regard, que Maman ne m'accueillait pas avec le sourire... Il y avait comme un froncement de sourcils et comme un changement d'attitude, en me voyant arriver. Un peu comme cette expression qu'elle avait quand elle m'attendait un jour d'arrivée de bulletin de colle, sachant bien que je rentrais en trainant les pieds...
    C'est sûr que sa première phrase m'a glacée, surtout qu'elle était presque ironique : « Bonsoir, ma grande ! La soirée avec ton petit chéri s'est bien passée, je suppose ? »
    De quoi en effet me bloquer les mots dans la gorge, en sentant mon coeur se mettre à palpiter...
    Je viens de vous dire que j'avais répondu : « Baaah, euuuh, c'est à dire ! Oui M'man ! Mais, j'peux t'expliquer tu sais ! ».
    De fait, cette phrase n'est pas venue la première. Comme prise la main dans le sac, ce sont mes vieux réflexes de gamine qui ont pris le dessus, et j'ai d'abord répondu du tac au tac : "Euh, un petit chéri ? Moi ? Mais, non, je t'assure..."
    La réplique de Maman m'avait ramenée à la raison. Elle s'était mis les poings sur les hanches, élevant le ton : "Christine, arrête de mentir. Je sais tout. Ne rajoute pas encore des mensonges à ce que tu me caches depuis des semaines..."
    Consciente qu'il valait mieux ne pas insister, j'ai donc effectivement répondu dans un deuxième temps : « Baaah, euuuh, c'est à dire ! Oui M'man, c'est vrai ! Mais, j'peux t'expliquer tu sais ! »
    Je n'étais pas très fière de moi, car ce vieux réflexe de nier l'évidence n'a jamais été apprécié par Maman, mes fesses en ayant souvent fait l'expérience, mais on ne se refait pas complétement, et le naturel revient parfois au galop.
    En tout cas, Maman l'avait noté, répondant à ma proposition de m'expliquer par le "J'y compte bien", mais ajoutant quand même au passage : "C'est vraiment dommage, Christine, que même à ton âge, tu aies la tentation de mentir d'abord, au lieu de te confier à Maman".
    Mais, c'est vrai que ce début de conversation était pénible, et que je ne savais pas trop quoi dire à Maman, ni expliquer le pourquoi je m'étais confiée à ma Tante et non à elle. Si ce n'est bien sûr par la peur des conséquences, mais cela ne s'avoue pas aisément, surtout que cela accréditerait dans son esprit la nécessité de réagir comme avant...
    Pour le reste, c'est vrai

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  92. Chère Christine,

    Très belle contribution, Christine et j'admets que vous êtes la mieux placée, pour être « dans la peau de Christine », Dominique n'essayant que s'y immiscer à l'aide de sa connaissance de votre blog.
    Et en effet, j'aurais pu introduire cette attitude maternelle, attendant sa fille et la négation de la demoiselle, répondant à la phrase d'accueil de Maman.
    Celle-ci mettant alors les points sur les I et les barres au T, à sa fille replongeant dans son gros travers de mensonge, c'est vrai ! Ainsi que son appel, à la raison d'une grande fille, qui s'évertue à mentir au lieu de se confier à Maman.

    Le petit rédacteur que je suis, avoue humblement avoir zappé ces références que contient votre blog et tout à fait juste, mais ceci dans le seul but d'éviter le plagiat et faire de ce synopsis, une histoire à part entière, à l'image du dernier jour de vacances d'été ou Christine s'était ramassée deux belles volées de sa Maman, en l'espace de quelques heures !

    Et comme vous êtes demanderesse, pour la suite, je tâcherais d'intégrer ces réactions que pouvaient avoir mère et fille, par le passé


    Amicalement, Dominique

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  93. Merci du compliment, Dominique, mais c'est évident que je suis la mieux placée pour décrire comment Christine aurait réagi. Je trouve même que les deux textes mis bout à bout fonctionnent bien. Le premier est comme un premier aveu, d'une Christine qui raconte de façon édulcorée, sans tout dire, et la partie que je rajoute est finalement comme si, en me relisant, j'avais des scrupules et que je rajoute quelques précisions plus conformes à ce qui s'est passé.
    C'est vrai que si Christine, à la question de Maman, avait répondu : "Oh Maman, tu sais, eh bien cela me soulage, je ne savais pas comment t'en parler, j'attendais de savoir si c'était sérieux et durable, je ne voulais pas que tu t'inquiètes, mais oui, j'ai un petit copain et j'aimerais bien te le présenter", alors, sûrement que Maman aurait en partie été agréablement surprise par cette franchise spontanée, et moins encline à vouloir réagir et agir...
    Mais, nier l'évidence d'entrée, jouer les innocentes, avant d'admettre sans pouvoir donner d'explication qui tienne la route, voilà qui ne pouvait que faire rager Maman Spaak, à qui son ainée renvoyait cette image, trop souvent connue d'une fille, intelligente certes, mais qui se sert d'abord de cette intelligence pour cacher la vérité, pour tenter de s'éviter des problèmes, bref pour mentir tant qu'elle n'est pas mise en face de l'évidence...
    On peut comprendre alors que Maman Spaak rumine en constatant que ce vilain travers n'a pas disparu chez Christine, alors que, pourtant, Maman n'avait jamais ménagé son énergie pour tenter d'en corriger sa fille... Et question traitement "énergique", elle n'y allait pas de main morte, comme on dit... quitte à renouveler le "traitement" à la moindre récidive... On comprend donc que, Maman Spaak y repensant, les mensonges de sa fille, même à 23 ans, fassent qu'elle avait comme la main qui la démangeait...

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  94. Je relis le dernier message de Dominique, et je m'aperçois que je n'ai pas souligné une fois encore sa capacité d'archiviste, à trouver des exemples dans mes écrits passés. Sauf que là, hi hi, il n'y a pas la date ou le numéro de la référence.
    Mais, d'ailleurs en quoi cet épisode d'un dernier jour de vacances a-t-il rapport avec notre synopsis actuel ? Je vais peut-être le relire, si je le retrouve.

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  95. Chère Christine,

    Je partage votre avis, sur la complémentarité des textes, l'un étant une ébauche et l'autre finalisant le travail à quatre mains, puisque la grande Christine conteuse sommeil un tout petit peu ! Mais je ne me plaindrais pas, celle-ci réagissant positivement à la prose Dominicaine !

    Sinon, il est bien évident qu'une certaine franchise de la part de Christine, plutôt qu'une dénégation aurait amené Maman à plus de compréhension, envers sa fille reconnaissant les faits, même enrobés ! Sauf que Maman qui a tout appris, constate que son aînée, n'a pas perdu ses mauvaises habitudes, tel que la cachotterie et surtout le mensonge, malgré bons nombres d'explications maternelle sur le sujet !

    Par conséquent, Maman ne peut avoir qu'une réflexion profonde, sur ce qu'il convient de faire vis à vis de cette grande fille intelligente et brillante, pour la sanctionner de ce dérapage ? La réprimander, bien sur ! La gifler et l'exclure du cocon familial, avec tous les risques que ça comporte et regretter cette décision, par la suite ? Alors que finalement si je suis l'exemple de Mme Lebrun avec Caroline, cela me semble être la solution ? D'autant que ses sœurs, certes un peu plus jeunes, mais presque femmes aussi, n'en sont pas épargnées ! Alors, pourquoi hésiter ?

    P.S : Le rapport entre le dernier jour de vacances (premier conte Dominicain) et l'actuel synopsis, est qu'il s'agisse d'histoires à part entière, tout en reprenant des références de vos écrits, bien sur ! Voilà pourquoi il n'y a pas de date ou de numéro, fournis par l'archiviste ! Bon ceci dit, je vais m'atteler à la suite, pour ne pas décevoir ma Chère Christine et lui rendre une copie, fiable et conforme à son blog !


    Amicalement, Dominique

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  96. Attelez-vous, Dominique. Christine a hâte de vous lire, et Christine 23 ne manquera pas de réagir en ce duo à quatre mains.

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  97. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue, dans la peau de Christine :

    Moi : «  C'est vrai, Maman, je reconnais que j'ai tort sur toute la ligne et que tu as le droit d'être fâchée après moi ! Concernant Tata, tu sais que j'ai une très grande complicité avec elle, comme si c'était ma grande sœur ! D'ailleurs, je t'avoue, que par le passé, elle m'a plusieurs fois sauvé la mise, avec toi ! Voilà pourquoi, je me suis d'abord confiée à elle ! Oh, bien sur ! Celle-ci m'a fortement conseillé de t'en parler, immédiatement ! Mais, comme j'men sentais incapable, j'ai préféré attendre et le temps a passé, ce que je regrette aujourd'hui et j'ten demande pardon, Maman ! »

    Maman : « En effet, Christine, je suis très fâchée et plus que tu ne l'imagines ! Mais je suis aussi très déçu d'avoir, une grande fille de presque 23 ans, intelligente et brillante qui retombe dans ses travers de collégienne ! Ce que tu viens de me dire, je le savais déjà figure toi, connaissant très bien ma sœur et ses sentiments, envers sa nièce préférée ! Il n'empêche que tu aurais du suivre son conseil et m'en parler franchement ! Au lieu de ça, tu t'es enferrée dans la cachotterie et le mensonge ! Or, tu sais que je déteste cela et j'imagine que tu te rappelle, de quelle manière j'ai toujours réglé, ce genre de choses ? »

    Là, je commençais à flipper grave, car ce type de souvenir, j'en avais plus d'un en tête et repensant à la confession de Caroline, je me voyais mal parti ! Imaginant que Maman, allait m'envoyer dans ma chambre, me mettre en pyjama et l'attendre, n'étant que toutes les deux à la maison ! La trouille aidant, je me confondis en excuses sincères et profondes, ne voulant pas revivre une situation trop connue !

    Moi : « Oh oui, bien sur, Maman ! Que je m'en souviens et j'te demande mille fois pardon ! J'me suis vraiment conduite comme une idiote, c'est vrai ! Mais j'implore sincèrement ton pardon ! »

    Maman : « Bien entendu, ma chérie, tu m'implores parce que tu es au pied du mur ! Mais si je n'avais pas eu cette conversation avec ta Tante, sans compter sur ta perfide petite sœur à qui je réserve une surprise ! Tu aurais continué, à me mener en bateau ! Or je te rappelle, qu'étant toujours sous mon toit, avec gîte et couvert comme tes sœurs, tu te dois de respecter mes règles ! D'autant que tu es l'aînée et donc montrer l'exemple ! ». J'étais figée et ne savait pas quoi répondre, Maman ne m'en laissa d'ailleurs pas le temps, enchaînant !

    Maman : « Christine ! Tu l'as constater, tes sœurs sont absentes et ce jusqu'à demain midi, car je voulais être seule avec toi ! Mais comme il se fait tard, j'ai besoin de repenser à cette décision, vis à vis de toi ! Et puis, cela te permettra également de réfléchir et me donner ton avis sur la question, demain matin ! »

    J'étais abasourdie, comme à l'époque ou Maman me laissait ruminer jusqu'au lendemain, avant de m'administrer la fessée méritée, ce que je prenais comme un sursis inespéré ! A la grosse différence, que là, elle attendait de moi, comme une sorte d'acceptation de ce châtiment réservé généralement aux plus jeunes, même si mes sœurs presque adulte n'en n'étaient pas épargnées !

    Ayant dis bonsoir, à Maman, j'allais me mettre en pyjama et me coucher ! Le sommeil fût très long à venir et la nuit assez découpée, ma mémoire joua avec mes nerfs, me repassant en boucle ses épisodes néfastes de ma période collégienne !
    A suivre..........

    Amicalement, Dominique

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  98. Quel dilemme. Je n'en croyais pas mes oreilles. Même si j'avoue que c'était ce que je craignais, comme on me l'avait bien dit chez les Lebrun, et comme Tata elle même m'avait mise en garde. Cacher cela à Maman, surtout aussi longtemps, c'était comme lui mentir effrontément, ce qui, pour elle, était souvent pire encore que la mauvaise note ou la colle que je ne voulais pas avouer...
    Et j'ai eu beau implorer Maman, demander pardon, je me retrouve comme à ma plus glorieuse époque face à une mère qui a des principes, et ne se contente pas de jolis mots, ni de belles promesses...
    Non, même cette fois, elle veut "régler les choses" comme elle l'a toujours fait...
    Non, je ne fais pas un cauchemar éveillé, oui, Maman a bien l'intention de me donner la fessée ! Pire, encore, je dois l'admettre, l'accepter donc, sinon je ne sais quoi, sinon, je ne pourrai peut-être plus rester sous son toit. Cela se bouscule dans ma tête... Que dire, que faire ? Comment "accepter" ça ?

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  99. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue, dans la peau de Christine :

    Le lendemain matin, vers 8h heures, j'entendis Maman qui s'affairait déjà dans la cuisine, mais je n'osais pas bouger, repensant à notre conversation de la veille et surtout sa ferme intention, de régler ce mensonge, comme par le passé ! Donc, sans équivoque pour moi, ayant même écarté mes sœurs de la maison, pour que nous soyons, seule à seule !
    Difficile à 23 ans, de se faire à cette idée ! Mais le pire, était que Maman m'avait dit d'y réfléchir et lui donner mon avis, sur le sujet ! Comme si elle voulait, mon accord préalable à être punie pour ce mensonge ! Telle qu'elle le faisait pour mes mensonges de collégienne, par le biais d'une bonne fessée, sauf qu'à l'époque, je n'avais pas donner mon avis et il me fallait simplement attendre son bon vouloir, pour qu'elle vienne me déculotter et tanner ma lune, comme je le méritais !

    D'où la question pour moi, même à 23 ans et plus évoluée intellectuellement, comment admettre et accepter ce que j'ai toujours refusé étant ado, redoutant intensément cette épreuve ? Allant, même aujourd'hui jusqu'à prendre la défense de mes plus jeunes sœurs, encore soumises aux bonnes grâces maternelle ! Je ne m'imagine pas faire cela et pourtant c'est ce que Maman attend de moi, telle la grande fille responsable que je suis, reconnaissant son erreur et acceptant le châtiment, qui lui est réservé ! Ou bien, Maman, pensera peut-être que je ne suis plus apte à rester en sa demeure et suivre ses règles ? M'invitant alors à le quitter et assumer seule, ma destinée !
    Autant de questions, sans réponses qui me tiraillent l'esprit et m'angoissent terriblement !

    Après 20 ou 30 minutes de profondes réflexions, je me décidais à rejoindre Maman à la cuisine ou elle avait préparé le petit-déjeuner et m'accueillit chaleureusement, comme si il ne s'était rien passé la veille !

    Maman : « Bonjour, ma chérie, viens donc déjeuner ! », ce à quoi je répondis par un « Bonjour, M'man » en l'embrassant ! Le tout emprunt, d'une certaine émotion et une angoisse visibles ! Celle-ci repris alors !

    Maman : « Et bien, ma grande, tu n'as pas l'air bien réveillé ? T'es soucieuse ? » répondant par un « Non, non, M'man ça va ! » sonnant un peu faux et lui faisant enchaîner, avec une pointe d'ironie « Bon ! Ça ne doit pas être bien grave, allez prend donc ton chocolat et les tartines, j'ai fait du bon pain grillé, rien que pour nous deux !». Celle-ci se positionnant comme une mère attentive, au bien- être de ses enfants, ce qui ne m'aidait pas vraiment ! Peut-être aurais-je préféré un accueil plus froid, m'amenant à craquer sous la pression maternelle et lâcher le morceau d'un coup, en ayant les larmes aux yeux ? Je ne sais pas ?

    Toujours est-il, quand déjeunant face à Maman qui buvait son café en silence, je compris très vite qu'elle attendait que j'aborde la première, le sujet et fasse preuve de responsabilité, en assumant mes fautes et me résigner à la sanction, qu'elle avait en tête, certes pénible pour une jeune femme de 23 ans, mais au final, beaucoup moins difficile à supporter qu'une éventuelle exclusion du cercle familial, dont j'étais l'un des piliers et me retrouver seule, comme une âme en peine !

    Tout cela trottait dans ma tête, mais je ne savais pas, par quel bout m'y prendre ! Partager entre un accord franc et sans détour ou tenter d'inverser la tendance maternelle, comme je le pratiquais à une certaine époque ?
    A suivre..................

    Amicalement, Dominique

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  100. Intéressante suite du synopsis dominicain. L'attente dans le lit d'une Christine n'osant pas se montrer, ni faire de bruit, pour faire croire qu'elle dort encore, alors qu'elle a la tête qui bouillonne d'interrogations et d'angoisse, c'est bien une attitude qui ressemble à la Christine d'alors.
    L'accueil sûre d'elle de Maman, comme si de rien n'était, c'est aussi du typique Mme Spaak... C'est l'attitude d'une mère qui lit parfaitement dans les pensées de sa fille, qui la laisse mijoter, qui devine sa peur, et qui attend de voir si Christine va oser aborder le sujet et surtout comment elle le fera...
    J'espère une suite dominicaine, même si elle n'est que partielle, pour pouvoir réagir à quatre mains, en imaginant la scène côté Christine 23, ce que je ne peux guère faire là, ne sachant pas les prochaines étapes imaginées par Dominique. Merci d'avance, et félicitations pour cette scène très crédible.

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  101. Chère Christine,

    Merci, pour les compliments, j'en rougirais presque ! Je sais que vous n'aimez pas ça, mais tant pis, le vieux matelot parfois insubordonné, se le permet !

    Sinon, voici la suite qui donnera peut-être l'occasion à la grande Christine, de compléter l'étape Dominicaine, qui vous avoue humblement que cela l'amuse beaucoup et le ravi !


    Amicalement, Dominique

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  102. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue, dans la peau de Christine :

    Tout en déjeunant, j'observais Maman qui ne bronchait pas ! Souriante, mais hermétique, qui me refît des tartines grillées, sans me le demander et toujours en silence, ayant avalé les deux premières ! Bizarrement, j'avais envie de manger, à l'inverse de l'époque ou m'ayant annoncé une fessée, après le dîner, je chipotais le repas ! Ne pensant qu'à ce qui m'attendait !
    Maman, toute en patience, attendait que je fasse le premier pas ! Et mon dieu ! Que cela m'était difficile, repensant à ma dernière tannée reçu à l'âge de 19 ans, suite à la fuite de mon père que je ne supportais pas et ou j'avais exprimé, maladroitement ma rage, conduisant Maman à me corriger sans attendre, certes à l'abri des regards ! Mais très pénible pour la jeune fille, devant s'excuser face à ses proches qu'ils l'aimaient et donc admettre son erreur, vis à vis d'une mère déjà dans la tourmente !

    Là, non ! Maman voulait de ma part, peut-être à cause de mon âge, un accord sur cette punition qui était la règle en cette maison, mes sœurs en faisant encore les frais, telle Diane si mielleuse et maligne étant gamine, qui avait bien changé depuis son entrée au lycée ! Étant devenu celle, la plus servie par Maman, non à cause de ses résultats toujours brillants, mais pour son comportement général tant à l'école, qu'à la maison ! C'était comme une sorte de passage de relais entre l'aînée et la benjamine !

    Mon esprit bouillonnait, face à Maman toujours aussi impassible, ne m'offrant aucune piste sur laquelle j'aurais pu m'engager ! Comprenant qu'il me fallait amorcer, ce dialogue à sens unique, Maman étant sans faille dans sa volonté ! Après avoir fini, mes tartines et bu mon chocolat, prenant une respiration et regardant Maman, dans les yeux, je me lançais malgré mon angoisse ! Mais je n'avais pas vraiment de choix !

    Moi : « Maman, il faut que je te dise, que cette nuit j'ai repensé à notre conversation d'hier et je comprends que tu puisses être très mécontente, après moi ! Dans la mesure ou tu me fais confiance !
    Sauf que sur le coup, j'ai certainement perdu celle-ci ? J'ai également compris qu'avec la confession de Caroline, tu penses que finalement remettre au goût du jour, pour ton aînée, une méthode qui a fait ses preuves par le passé, serait la meilleure des solutions ! Plutôt qu'une autre qui t'affecterais bien plus et te priverais d'un second élément, de la famille ? ». Avant que je puisse enchaîner, Maman me coupa la parole !

    Maman : « Je t'admire, ma fille ! Tu as parfaitement analyser la situation à quelques détails près ! Ma confiance tu l'as toujours et si je sais, qu'un jour tu quitteras la maison, je ne souhaite en aucun cas que ce soit, pour cela ! Et perdre une de mes filles, me serait bien plus pénible ! Alors que régler la question simplement avec elle, même si ça doit l'affecter dans son amour propre, me semble plus logique que d'en arriver à des extrémités ! Qu'en penses tu ? »

    J'étais surprise ! M'attendant à un éclat de voix de la part de Maman ! Au lieu de ça, voilà qu'elle me réaffirmait son amour, tout en voulant punir mes erreurs et me faire comprendre, que j'avais douté de sa confiance ! Je ne pouvais donc que poursuivre et tenter de la faire changer d'avis, ce à quoi je ne croyais absolument pas !

    A suivre...................

    Amicalement, Dominique

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  103. Dominique est ravi que je le sois. Cette suite est également bien réussie, même si n'ayant pas encore d'idée du déroulé des prochaines étapes, il m'est difficile de m'aventurer dans une suite à quatre mains. Mais, comme je suppose que Maman va incessamment en dire plus, je pourrai plus aisément développer mon ressenti.
    Là, où nous en sommes, les paroles de Christine sonnent assez justes, c'est le fruit de la réflexion d'une nuit qui fut très pénible, agitée de visions cauchemardesques, de souvenirs que je croyais déjà lointain, mais me revenaient comme si c'était hier, me donnant réellement la chair de poule.
    L'attitude maternelle colle aussi parfaitement, avec un calme qui m'impressionnait en vrai dans ma période la plus délicate pour mon bas du dos. Il arrivait à Maman d'être sur les nerfs, de punir sur le coup de la colère, mais les souvenirs les plus marquants je les ai pour des épisodes, où justement, Maman était calme et déterminée, sûre de son fait, certaine de bien faire.
    Dans cette hypothèse d'un épisode de Christine 23 avec retour aux bonnes vieilles méthodes, j'imagine bien ce calme maternel qui, effectivement, fait que si je vais évidemment plaider ma cause et implorer le pardon, je ressens déjà que la démarche n'a que très très peu de chances d'aboutir...

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  104. Chère Christine,

    Petit aparté Dominicain :

    Tout comme vous, pris par la rédaction du synopsis, qui a visiblement votre aval ! Je me rends compte que je n'ai produit aucun commentaire sur cet épisode 75, pourtant riche en novations ! Qu'importe j'essayerais de me rattraper sur le prochain, qui devrait venir ? Même si il est de transition !

    Cela dit, je prépare la suite du synopsis, espérant que vous ne m'en voudrez pas pour ce manque d'apport à votre production !


    Amicalement, Dominique

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  105. Non, je ne vous en veux pas, Dominique. Je comprends que ce soit délicat de rédiger sur deux sujets à la fois. Quant au 76, c'est vrai qu'il faudrait que je le valide prochainement, puisqu'il est déjà au trois quart écrit.
    Mais, j'avoue que Christine 23 me perturbe un peu, d'autant que l'on arrive aux choses sérieuses... Même si la jeune adulte doit encore croire au miracle, je suis sûre que la petite voix de la raison lui susurre à l'oreille le genre de messages qu'elle lui répétait quand elle rentrait du collège un jour d'arrivée d'un bulletin de colle : "Ma chérie, ne te berce pas trop d'illusions... Je serais à ta place, je crois que je préparerais plutôt mes fesses..."

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  106. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue, dans la peau de Christine :

    Moi : « Bien sur, je comprends que tu veuilles me punir pour ma conduite totalement idiote, c'est normal ! Mais la manière donc tu as l'intention de le faire, est particulièrement gênante à mon âge ! »

    Maman : « Oh, mais je le sais, ma fille ! Mais ne crois-tu pas que ce soit, aussi gênant pour tes sœurs, même si je m'es à part Diane qui est encore très gamine et assez difficile, depuis son entrée au lycée ! Mais Aline, qui a évolué dans le bon sens, sauf quelques ratés ! Tu penses que ça ne la gêne pas, lorsque je la déculotte et lui donne une bonne fessée, à 19 ans ? »

    Moi : « Non, bien sur, Maman ! Mais justement la dernière que j'ai reçu, j'avais cet âge, suite à ma colère et je l'avais mérité, je l'avoue, même si elle m'a surprise ! Toi-même, étant en colère à ce moment là, après coup je ne t'en voulais pas de l'avoir fait ! Sauf qu'aujourd'hui, tu me demandes comme un accord préalable à revivre, ces instants que j'ai toujours redouté et c'est plus que difficile, pour moi ! Même si j'admets, que tu as le droit de me punir, pour cette grosse erreur vis à vis de toi ! Mais ça ! J'aurais vraiment du mal à le supporter ! Tu me comprends, Maman ? »

    Maman : « Bien entendu que je te comprends, ma chérie ! C'est sur que ce n'est pas facile ! Mais dis-moi ? À choisir entre une bonne fessée de Maman certes difficile à supporter autant physique, que morale et un éventuel départ de la maison, selon toi quel est le meilleur choix ? D'autant que nous ne sommes que toutes les deux, sans oreilles indiscrètes et donc une absence de moqueries désagréables en plus, de la part de Diane qui ne s'en ai jamais privé, à ton égard ou celui d'Aline ! Car à ce jour, c'est plutôt elle qui est en ligne de mire, depuis environ deux ans, comme tu le sais ! Et qui a comme pris ta relève, de collégienne et qui sais, maintenant ce qu'est une fessée de grande ! Aline, ayant juste besoin de quelques recadrages, pour sa nonchalance dans l'effort ! »

    Maman m'exposait tout cela, comme elle le faisait avec sa sœur ou Mamie, à une certaine époque et ou les rôles étaient inversés entre Diane et moi ! J'étais un peu médusée, son calme m'impressionnait, conversant avec moi, comme avec d'autres adultes ! Sauf que je ressentais également sa détermination à me punir et surtout qu'elle sollicitait de ma part, en quelque sorte une autorisation d'agir ! Cela me perturbait profondément, repensant aux années ou pour mes frasques, je n'avais qu'à préparer mes fesses, sans discuter et ne manifester aucune rébellion qui se payait cash ! Plusieurs souvenirs me revenant à l'esprit !
    Là, le contexte était bien différent ! C'était un dialogue entre deux adultes conscients de leur devoir respectifs, l'une se devant de punir et l'autre accepter la punition, pour son erreur ! Gros dilemme, pour la seconde, non habituée à ce genre de chose ! En plus clair, lorsque Maman estimait que l'une de ses filles devaient être corrigées, il n'y avait pas d'alternative ! C'était la fessée déculottée assurée pour la fautive !

    Tous ces éléments trottaient dans ma tête et en effet, le choix m'appartenait ! Recevoir une bonne fessée et revivre, un moment que je détestais ! Ou être exclue, de ce cocon familial ou j'avais réussi, avec l'aide de Maman et Tata à faire ma place, même si les règles maternelles étaient strictes et les conséquences, en cas de non-respect, très tangibles ! Et cette solution qui me semblait, encore plus insupportable que la première, fît pencher la balance du coté de celle-ci ! Malgré ma peur !

    A suivre.....................

    Amicalement, Dominique

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  107. Je me savais reine du suspense, mais Dominique devient un expert aussi. Son récit n'avance que par petites touches (et d'ailleurs, j'aimerais, même en off, sans le développer avoir une idée des étapes suivantes, histoire de pouvoir mieux compléter le récit à quatre mains).
    Christine 23 se rend compte de la détermination maternelle, qui montre bien qu'elle risque fort de se montrer inflexible, de ne pas se laisser amadouer par les promesses de sa fille, d'autant qu'elle sait que son ainée n'en a jamais autant fait que lorsqu'elle craignait de devoir préparer ses fesses... A ces paroles qui voulaient l'endormir, Maman Spaak a toujours préféré des actes aptes au contraire à réveiller la conscience de sa fille, et à lui rappeler les règles élémentaires de ce que Maman attendait de ses filles.

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