lundi 14 juillet 2014

Chronique d'un redoublement : 74. Jamais deux sans trois...

SUITE 73

Comme je viens de l'écrire, cette fessée reçue une semaine après celle qui avait marqué la fin de la grande trêve de deux mois, m'avait touchée psychologiquement, presque plus que la tannée précédente... La volée prise à l'issue d'une longue période de calme avait comme un caractère exceptionnel, montrant bien que je n'étais pas à l'abri de ce genre de rechutes, mais se trouvant être la seule fessée prise par la grande en huit ou neuf semaines, alors que les petites avaient été "servies" à plusieurs reprises, j'en gardais une sorte de statut d'ainée assagie et devenue plutôt raisonnable.

La rechute, une semaine plus tard, m'amenant à recevoir une nouvelle fessée, me ramenait au contraire dans une position de gamine ordinaire, de celle que l'on doit, comme ses soeurs, surveiller de près...

Il n'y aurait pas eu cette assez mauvaise note en anglais (du moins pour une redoublante), je serais peut-être repartie pour une nouvelle et longue trêve, car Maman n'aurait vraisemblablement pas continué sa surveillance rapprochée plusieurs semaines de suite...
Mais, le fait est qu'en se mettant, après la première tannée, à tout vérifier, à chercher la petite bête, ma défaillance en anglais lui donnait quelque part raison, et persuadait donc Maman qu'elle faisait bien de ne pas me faire confiance, et qu'il était grand temps de reprendre la situation en main, surtout dans la perspective du dernier trimestre décisif...

Et je sentais bien aussi que, vis à vis de mes soeurs, voire des proches comme Tata et Mamie, autant la "longue" (du moins pour moi) période de sagesse, ou disons de mieux, m'avait redonné une position de grande, d'aînée, etc., autant la deuxième rechute me remettait en position de grande, certes, mais de grande qui a "besoin" de bonnes fessées pour rester dans le droit chemin.

C'était évidemment très sensible dans le regard de mes soeurs, qui redevenaient aux aguets de mes faits et gestes, qui avaient tendance à me provoquer davantage, à chercher à se plaindre de moi auprès de Maman pour la moindre broutille...

La deuxième fessée, une semaine après la première, n'avait certainement pas été aussi démonstrative et aussi marquante que la première, physiquement parlant, mais elle me faisait replonger dans une sorte de chronique de la fessée ordinaire, celle qu'on devine à l'avance, celle qu'on ne discute presque que pour la forme, trop certaine de l'issue qu'il adviendrait, et qu'il faudrait vraisemblablement aller attendre dans sa chambre en préparant ses fesses...

Ma seule chance dans mon état de fille placée dans le collimateur maternel, et devant subir les contrôles au quotidien, fut que deux ou trois jours plus tard, arrivèrent les vacances de Pâques, avec deux semaines sans fouille de cartable au retour à la maison...

Mais, deux semaines de vacances, avec une mère qui tient absolument à ce que son ainée, et Aline aussi, brillent lors du dernier trimestre, sont tout sauf une période de grand repos...

Aline l'a expérimenté la première, puisque dès le troisième jour, elle rechigna à faire les devoirs demandés par Maman, puis s'y est mise en grognant, et fit plusieurs fautes d'étourderie qui étaient la preuve qu'elle n'était pas attentive...

Nous étions toutes les deux à faire nos devoirs, installée Aline et moi, chacune à un bout de la table de la salle à manger, Diane étant en train de jouer dans le jardin, et Maman allant et venant nous surveillant tout en vaquant à ses occupations ménagères.

Déjà la veille, Maman nous avait prévenues qu'elle ne tolérerait pas de mauvais esprit, et Aline en fit les frais...

"Mais, ce n'est pas possible, tu ne fais pas attention à ce que tu écris. Je vais t'apprendre, moi, à être plus attentive... Tu vas voir...", lança-t-elle en tirant Aline par le bras pour la faire se lever. Elle la traina comme un paquet de linge vers le canapé du salon, Aline sanglotant, mais ne résistant pas, ce qui valait mieux, en suivant Maman.

Quelques secondes plus tard, Maman s'était assise sur le bord du canapé et basculait ma soeur en travers de ses genoux. La jupe d'Aline relevée et coincée sous le bras gauche de Maman, celle-ci baissa sans attendre la culotte de soeurette, qui me montrait ainsi, à quelques pas de la table où je travaillais, juste en face de moi, ses deux fesses blanches et tremblantes.

   
Cela faisait un bon moment que je n'avais pas assisté à une fessée 
ainsi aux premières loges. Et j'eus des pensées de compassion
pour Aline, que Maman ne ménagea pas... 

Cela faisait un moment que je n'avais pas été ainsi aux premières loges, et je restai bouche bée, alors que Maman, elle, ne perdait pas de temps en parlottes inutiles, se mettant à claquer de bon coeur la lune de l'ainée de mes petites soeurs, qui se mit très vite à crier et supplier.

La fessée fut conséquente. Moi qui, lorsque je guettais la scène de l'autre côté du mur de ma chambre, avais l'impression que les fessées des petites étaient vraiment plus rapides que les miennes (ce qui n'était pas faux), je trouvai que Maman, cette fois, ne ménageait pas ma soeur. Mais, c'est vrai qu'étant en vision et en audition directe, j'étais sûrement plus impressionnée, et il est vraisemblable aussi que, Maman corrigeant ma soeur devant moi, avait peut-être tendance à s'appliquer pour me montrer qu'elle ne plaisantait pas...

J'avais évidemment arrêté de faire mes exercices, et regardais la scène, les yeux grand ouverts, le stylo relevé. J'aurais pu me dire que ma soeur l'avait cherchée, que cette fessée était un moyen de focaliser l'attention maternelle sur Aline, alors que les deux dernières données en une semaine sous notre toit, l'avaient été à mon encontre...

Mais, cette déculottée énergique et qui n'avait été précédée que de deux avertissements verbaux, montrait bien que la détermination maternelle n'allait, quant à elle, ne pas prendre de vacances. Et que, puisque j'étais, pour ainsi dire, revenue dans la norme, je me doutais bien qu'il allait falloir ne pas mollir dans les exercices et révisions que Maman allait imposer pour assurer la meilleure reprise pour le dernier trimestre...

Attirée par le bruit caractéristique et par les cris de sa soeur qui montèrent d'intensité à mesure que sa lune rougissait, Diane trouva une excuse bidon pour rentrer à la maison, juste au moment où Maman relâchait Aline. Elle n'aperçut que fugacement le bas du dos de la punie, comprenant de par ma position qu'au contraire je n'avais rien manqué de la scène. J'eus l'impression qu'elle me décocha un regard presque jaloux.

Maman renvoya Diane jouer dehors, alors qu'Aline, vite rhabillée, mais le visage inondé de larmes, fut invité à se moucher et à se remettre au travail.

Quant à moi, Maman me lança : "Arrête donc de bayer aux corneilles, Christine. Concentre-toi plutôt sur tes exercices, que tu as intérêt à réussir au mieux, si tu ne veux pas prendre la suite d'Aline. Tu sais que je ne plaisante pas. A toi de choisir, Christine... Ou tu t'appliques, ou tu peux d'ores et déjà préparer tes fesses..."

 
 L'avertissement maternel avait été clair : 
"Concentre-toi sur tes exercices, Christine. 
Ou tu t'appliques ou tu peux d'ores et déjà préparer tes fesses..."
La menace était claire et nette, et j'ai relu plutôt deux fois qu'une mes devoirs. J'avoue avoir bien fait, car j'ai trouvé deux ou trois erreurs d'inattention ou d'étourderie que Maman n'aurait pas appréciées, mais pas du tout. Quelque part, la fessée de ma soeur venait certainement de m'en éviter une autre...  Dans les dispositions où se trouvait Maman, on avait bien senti qu'elle ne tolérerait pas que l'on bâcle nos devoirs, et qu'il y aurait forcément du grabuge. C'est Aline qui en a subi les conséquences et je lui en étais reconnaissante au fond de moi, c'est en partie ce qui faisait que je la plaignais sincèrement, et que la vision intégrale de sa fessée m'avait presque peinée, alors que j'aurais été assez satisfaite en secret si Diane avait été la punie.

Cela dit, je comprenais aussi, en ce troisième jour des vacances que les deux semaines seraient longues, et qu'avoir été épargnée grâce à une relecture attentive ne voulait pas dire que cela durerait jusqu'à la rentrée.

D'ailleurs, même Diane eut affaire à Maman. Certainement trop sûre d'elle-même, après un bulletin excellent, et alors que Maman avait eu à sévir successivement pour Aline et moi ces derniers jours, ma plus petite soeur s'est montrée du genre capricieuse, n'en faisant qu'à sa tête durant ces premiers jours de vacances.

Une salle de bains transformée en pataugeoire après son bain valut, le lendemain, à Diane une fessée, sur place, à l'abri de nos regards, mais les cris de soeurette claquée sur une lune encore mouillée provoquèrent chez Aline et moi qui étions au salon, un regard complice, mi-souriant, qui fut sans parole, mais semblait dire : "C'est bien fait pour la crâneuse. Au moins, elle ne se moquera pas de nous ce soir..."


 


Nous n'y avions pas assisté, mais deviner que Diane
était sortie en courant de la salle de bain
en se frottant les fesses rougies,
nous semblait "bien fait" pour "la crâneuse" ! 

La fessée de Diane avait été instantanée, rapide et efficace, en version gamine, si j'ose dire. Qu'importe, au moins, cela faisait que je redevenais celle des trois filles qui n'avait pas été fessée depuis le plus longtemps... Même si une petite voix me murmurait : "N'espère pas pour autant que cela durera encore deux mois. Si tu arrivais déjà à dépasser la semaine, voire à atteindre la quinzaine, et la rentrée du troisième trimestre, ce serait une performance..."  

Inconsciemment d'ailleurs, puisqu'elle avait sévi à l'encontre d'Aline et de Diane, depuis mes deux dernières fessées, je me demande si Maman, très persuadée qu'il fallait me reprendre en main, et qu'il ne fallait surtout pas que je fasse un mauvais dernier trimestre comme l'année précédente, n'était pas encore plus attentive à mes faits et gestes, du fait justement que, dans une certaine logique, cela allait être vraisemblablement "au tour de Christine" !

Devant faire, chaque jour deux à trois heures de devoirs et révisions, je commençais à trouver ces vacances moins amusantes que le collège, où j'avais mes moments de détente et de liberté, et pouvais m'amuser avec les copines.

Heureusement que le temps était assez beau en ce printemps, et nous pouvions profiter du jardin, une fois les devoirs terminés, ou de balades au parc voisin. Mais, ces vacances ne furent guère propices aux sorties, si ce n'est que pour des courses, et à part un déjeuner dominical en famille, chez Mamie, où je ne pus éviter les réflexions sur la nécessité de faire un bon dernier trimestre, et sur les confidences maternelles, expliquant qu'elle veillait au grain, quitte à employer la seule bonne vieille méthode qui fasse de l'effet avec Christine... 
Grrrr, j'enrageais en écoutant ces conversations, on ne peut plus gênantes et déplaisantes pour ma fierté de pré-ado...

J'avoue que je montrai à plusieurs reprises, par des regards noirs, et par une volonté de changer de sujet, que cela me rendait de mauvaise humeur, et cela n'échappa pas à Maman qui me fusilla du regard une ou deux fois. Je me murai dans le silence, ne répondant même pas à Mamie sur une question anodine, ou employant un ton presque cassant en réponse à une autre interrogation de Mamie sur le même genre de sujet...

Maman me lança : "Christine, arrête de te faire la tête, sinon je te donnerai une bonne raison de te plaindre. Encore une remarque, et on en reparlera ce soir à la maison..."
Le message était clair, et je fis tous les efforts nécessaires pour me montrer sous un meilleur jour. Enfin, tous les efforts de mon point de vue, car je sentais bien que, du côté de Maman, elle n'avait pas le même avis, et n'avait pas apprécié du tout que je laisse voir un agacement voire de la mauvaise humeur qui revenait à contester la méthode maternelle...


 
Même devant Mamie, lors du repas dominical,
les regards noirs de Maman à mon encontre
me promettaient de prochaines déconvenues...
si je continuais à faire la mauvaise tête...


En fin d'après-midi, lorsque nous sommes rentrées à la maison, je fus chargée de ramasser le linge qui séchait dehors sur un fil, de ranger les jeux qui trainaient dans le jardin, pendant que les petites regardaient des dessins animés. Je trainai un peu les pieds pour m'exécuter, mais Maman sut me faire comprendre qu'il ne fallait pas abuser de sa patience... "Christine, tu fais ce que je te demande, et vite. Et sans faire la grimace, comme chez Mamie, sinon tu peux préparer tes fesses, ma fille. C'est vrai que, contrairement à tes soeurs, tu y as échappé depuis le début des vacances, mais dis-toi bien qu'à la prochaine remarque, ça pourrait barder. Je dirais même que ça va barder, Christine, ça va barder..."

J'ai évidemment changé de rythme et exécuté les ordres maternels sans délai. Mais, je le fis en affichant une mine agacée d'être ainsi mise à contribution, alors que mes soeurs se la coulaient douce, jouant les petites filles modèles, ce qui était assurément rusé de leur part...


Quand je dus aller dans le salon récupérer un livre qui était à lire pour la rentrée, Diane se plaignit que je les dérangeais, elle et Aline, en passant devant elles. Je niai bien sûr, Diane exagérant évidemment cette petite gêne, mais Maman ne chercha pas à savoir, et une fois encore se montra menaçante : "Christine, laisse donc tes soeurs tranquilles, tu cherches vraiment les ennuis, à ce que je vois..."

Je filai donc lire dans ma chambre, ce qui était plus raisonnable que de rester avec des petites qui auraient profité de la situation. L'accalmie ne dura qu'une petite heure, Maman m'appelant pour mettre la table, ce que je fis encore en trainant des pieds, ne descendant qu'au deuxième appel.
Le regard noir de Maman me fit me presser et je disposai au plus vite assiettes, verres et couverts, avant de repartir vers ma chambre. J'avais oublié de mettre les serviettes, ce que Maman remarqua, me faisant faire demi-tour, alors que je sortais de la cuisine. J'attrapai machinalement le panier où étaient rangées nos serviettes après chaque repas. Mais, en prenant le panier, je fis tomber une verrine de confiture à moitié pleine, qui éclata sur le carrelage de la cuisine. Patatras...

Je me précipitai à vouloir ramasser, comprenant que cette maladresse n'allait pas arranger mes affaires... J'attrapai un torchon accroché à côté de l'évier et commençai à essuyer le sol. Maman qui était dans le couloir surgit : "Arrête, Christine ! Mais, non, pas un torchon, idiote. Il faut déjà passer l'éponge, ramasser les morceaux. Enlève-toi de là, tu as assez fait de bêtises comme ça. Tu es capable de te couper. Passe-moi donc la pelle et la balayette", s'écria-t-elle.

Je lui passai les ustensiles, alors qu'elle commençait à éponger et rassembler les éclats. J'étais debout dans la cuisine, ne sachant pas que faire, me sentant très mal à l'aise.

Maman releva la tête : "Ne reste donc pas plantée là, Christine. Tu me caches la lumière. Laisse-moi finir, et va plutôt m'attendre dans ta chambre... On va causer toutes les deux..."

Je répondis, d'un ton angoissé : "Mais, euh, Maman, je n'ai pas fait exprès..."
Maman répliqua du tac au tac : "Encore heureux que tu ne l'aies pas fait exprès. Mais, tu m'as assez énervée depuis ce matin, et je vais te calmer à ma manière, moi... Allez, file..."




 
J'étais comme tétanisée par la bêtise que je venais de faire,
et je regardais Maman ramasser mes dégâts.
Malgré mes protestations (pour la forme), je savais
que j'étais en fâcheuse position, et l'ordre de Maman d'aller
l'attendre dans ma chambre voulait tout dire... 

Mieux valait ne rien rajouter, et je me dirigeai vers ma chambre, abasourdie par ce que je venais d'entendre...  Je croisai mes deux soeurs que le bruit et la discussion avaient attiré comme les curieuses qu'elles étaient...
Maman les renvoya dans le salon, leur expliquant que ce n'était pas le moment de la déranger...

Arrivée dans ma chambre, seule à l'étage, je tournai en rond, le coeur battant. J'avais laissé ma porte ouverte pour guetter ce qui se passait ou se disait en bas...

Les ordres de Maman n'avaient pas été totalement explicites, mais ils étaient assez clairs pour que je n'ai aucun doute sur la teneur de la "discussion" que nous allions avoir... C'était juste le fait qu'elle me demande d'aller l'attendre tout de suite, qui me perturbait encore plus. Je me repassais ces mots dans ma tête. Cette fois, il n'était pas question de comptes que l'on réglerait "après le diner", ou du style "on en reparlera ce soir". Non, c'était bien : "Allez, va m'attendre, j'arrive..."

Il n'y avait pas non plus de consigne, comme "Mets-toi en pyjama" ou "Prends ta douche". Toutefois, c'était évident que c'est à mes fesses que Maman allait surtout "causer" !

De toute manière, depuis les fessées successives de mes soeurs, les signes avant-coureurs se multipliaient de la part de Maman, comme si elle m'avertissait que cela allait être mon tour...
Et mon comportement pendant le déjeuner chez Mamie n'avait fait qu'abonder les griefs maternels, et jusqu'à faire presque déborder le vase...

Puis, quand j'avais rechigné à faire les quelques tâches demandées, je l'avais sentie comme prête, une fois n'est pas coutume, à me corriger sur le champ...

La chute du pot de confiture donnait cette fois à Maman le motif ultime pour solder tous ces manquements successifs qui l'énervaient, et qui lui démangeaient la main...

Le premier dessin animé étant fini, j'entendis Aline demander si elles pouvaient regarder l'émission suivante avant le repas. Maman répondit que oui, car on ne dinerait "pas avant une heure". J'en conclus qu'elle allait bien "s'occuper" de moi d'ici là...

Je me regardai dans la glace, j'étais en tenue du dimanche, et je sentais mes jambes flageoler. Je jetai un oeil en arrière, regardant mon dos, relevant un instant ma robe, pour constater que ma culotte de coton blanc protégeait bien ma lune... Pour le moment... Pour le moment seulement...

 
J'étais en habit du dimanche, sans ordre de me changer.
Je n'allais pas avoir la tentation de regarder mes fesses encore blanches...
Je vérifiai quand même ma tenue, constatant que mes joues du bas
étaient bien protégées... Pour le moment seulement...
 
Maman avait dû finir de nettoyer mes dégâts et de ranger la cuisine, allumant à feu doux minimum sous la cocotte en fonte, pour que mijote une petite heure le plat du soir.

Puis, je n'entendis plus rien durant une dizaine de minutes, ce qui accroissait mon angoisse, ne sachant pas que faire, ne pouvant rien faire d'ailleurs, tellement je ne pensais qu'à ce qui allait m'arriver...

Je n'allais quand même pas demander ce qui se passait. Je sortis de ma chambre et m'avançai jusqu'en haut de l'escalier pour mieux entendre les bruits du bas. Apparemment les petites étaient toujours devant leur émission, et Maman occupée à lire ou écrire ou raccommoder, bref une occupation silencieuse.

Je restai ainsi figée deux ou trois minutes en haut de l'escalier, me demandant ce qu'elle attendait. C'est à ce moment qu'elle retraversa le couloir, sûrement pour aller vérifier si son plat mijotait bien. Elle m'aperçut en haut de l'escalier, s'arrêta et lança : "Ne me dis pas que tu t'impatientes, Christine. Je t'ai dit de m'attendre dans ta chambre... Cette fois, j'arrive ma grande... Tu peux préparer tes fesses... Allez, file..."




 Je m'étais avancée dans le couloir pour guetter depuis le haut
de l'escalier ce que faisait et disait Maman. Elle m'aperçut, angoissée et tendue,
et elle m'ordonna de regagner ma chambre, 
me demandant ironiquement, si je m'impatientais...
avant de m'annoncer son arrivée imminente...


Je n'avais plus qu'à regagner ma chambre, tête basse, angoissée, au bord des larmes.
Maman entrouvrit la porte du salon, vérifiant que mes soeurs étaient sages. Elle leur dit : "On dinera après la fin de votre émission. En attendant, restez tranquilles. Je monte m'occuper de Christine."
Diane, toujours aussi curieuse et sans complexe, demanda : "Dis, tu vas lui donner la fessée à Christine, pour avoir cassé le pot de confiture, hein, M'man ?"
Maman répondit sans détour : "Oui, Diane, ta grande soeur va recevoir une bonne fessée, pour sa maladresse, mais aussi pour son attitude et quelques autres motifs qui m'ont contrariée... A force de jouer avec ma patience, et de tirer sur la corde, il y a un moment où elle casse... C'est aussi vrai pour Christine que pour vous, alors ne tentez pas le diable si vous ne voulez pas suivre l'exemple de votre grande soeur..."

Si j'avais eu la moitié d'une parcelle d'espoir, le discours maternel devant les petites l'aurait fait disparaitre... Le pas de Maman dans le couloir, puis dans l'escalier, fit repartir mon coeur à grande vitesse.

Je me réfugiai au fond de ma chambre, près de la fenêtre, plaquant un instant mes mains dans le dos sur mes fesses, comme pour vérifier qu'elles étaient bien là, bien couvertes, intactes et fraiches sûrement. Je n'avais pas osé regarder combien elles étaient blanches, mais je le devinais presque par ce contact furtif. Peut-être était-ce un geste inutile ou inconscient ? Mais, c'était comme s'il répondait à la recommandation maternelle, à son invitation à ce que je "prépare mes fesses". Comme avant d'ouvrir à qui sonne à la porte, on peut avoir le réflexe de vérifier que l'on est bien coiffée, c'était une manière inconsciente, peut-être, de me dire, au fond de moi : "Voilà Maman qui arrive, oui, ça va barder, oui, mes fesses sont prêtes..."

   
Entendant Maman monter les escaliers, je plaquai mes mains sur mon bas du dos,
comme si, inconsciemment, sachant ce qui allait m'arriver,
j'avais une sorte de "besoin" de vérifier si mes fesses étaient "prêtes".

On entendait depuis ma chambre le fond sonore de l'émission que regardaient mes soeurs, Maman ayant laissé la porte ouverte, soit-disant pour pouvoir écouter si elles chahutaient. Elle fit de même en pénétrant dans ma chambre, venant sans attendre s'asseoir sur le bord de mon lit...

"Maman, Maman, je n'ai pas fait exprès, tu sais", fut ma première phrase de défense, lancée automatiquement. Ce fut la dernière aussi, Maman me coupant la parole : "Heureusement que tu n'as pas jeté volontairement la confiture par terre... Mais, s'il n'y avait que cela... Tu le sais bien, Christine. Cela fait deux ou trois jours que tu cherches les ennuis. Et, depuis ce matin, c'est pire... Alors, tu vas gentiment venir ici que je te rappelle les bonnes manières... Allez, ne me fais pas aller te chercher, Christine..."

Le ton ne souffrait aucune contestation, et je savais depuis la fessée de la semaine d'avant, celle qui m'avait comme remise dans le cycle des fessées ordinaires, que rien n'y ferait et que je n'y échapperais pas, d'autant que mes petites soeurs venaient d'entendre Maman leur dire qu'elle montait "pour donner la fessée" à leur ainée, et que tout renoncement serait mal compris, ou passerait pour une faiblesse...

Je me mis à sangloter, mais je m'approchai quand même, à tous petits pas, mais de moi-même, venant jusqu'à la droite des genoux maternels, qui afficha un demi-sourire de satisfaction, commentant : "C'est bien, Christine. Tu es raisonnable. Tu sais qu'il vaut mieux ne pas fâcher Maman davantage... Viens donc ici recevoir la bonne fessée que tu mérites..."

Je n'ai rien répondu, laissant Maman m'attraper par le bras, et me basculer en travers de ses cuisses.



 J'avais tellement conscience que cette fessée était inéluctable
que je suis venue presque sans faire d'histoire, à la droite de Maman,
qui me prit le bras et me bascula en travers de ses genoux...

Pour une fois, elle n'avait pas attendu le moment du coucher ou de l'après-diner du moins, pour une fois aussi, et depuis plus longtemps encore, je crois, j'étais restée en tenue de ville (et de dimanche) pour attendre ma fessée, mais je pense que cela traduisait dans l'esprit de Maman la marque de mon retour à un statut de gamine, certes plus grande que les deux autres, mais qu'il faut fesser quand c'est nécessaire, pas forcément n'importe où, mais n'importe quand si besoin est.

Par vieux réflexe, je tentai de m'accrocher au fond de ma robe, mais Maman réagit de suite : "Christine, tu sais que je n'aime pas ça..." Et je relâchai, la laissant dégager mon bas du dos, puis descendre largement ma culotte, dévoilant des fesses blanches et tremblantes...


J'avais eu un instant la tentation de résister, de retarder le déculottage,
mais l'avertissement maternel, élevant tout de suite la voix,
m'avait dissuadé de persévérer, sachant que ce que je risquais surtout
c'était une tannée plus longue encore... 
Je n'osais me cabrer ou gigoter, et Maman prit le temps de bien bloquer mon bras, de bien me rééquilibrer, d'ajuster ses pieds, de trouver la meilleure des positions. Entre deux gestes, dans un moment de silence, je remarquai que l'on ne percevait plus le son de l'émission des petites. Cela aurait pu être parce qu'elles avaient fermé la porte du salon, c'était plus sûrement parce qu'elles avaient baissé le son, si même elles n'étaient pas en bas de l'escalier à tendre l'oreille...

"Alors, Christine, comme ça, on fait la tête chez Mamie, on lui répond en grognant, on fait la grimace quand je te demande de m'aider, et en plus, on ne fait pas attention à ses gestes et on casse un pot de confiture... En voilà bien des raisons pour te retrouver une fois encore sur les genoux de Maman, ma fille..", se mit à dire Maman, d'une voix posée et déterminée à la fois, alors que j'étais en position, tremblante dans l'attente de la première claque...

"Maman, je t'en prie, je serai sage, j'obéirai...", répondis-je, faute de trouver un quelqconque meilleur argument...

Maman soupira longuement : "Je le sais bien, Christine, je le sais bien. Une bonne fessée, cela sert à ça... Au moins un moment... C'est juste dommage qu'il faille te le rappeler aussi souvent... Mais, puisque Mademoiselle l'a bien cherchée, elle ne sera pas déçue... Allez, il est temps de réchauffer tout cela...". Elle accompagna sa dernière phrase de deux petites tapes, une sur chaque fesse, deux tapes presque moqueuses et qui me firent rager intérieurement, tout en me retenant heureusement.



Vérifiant que ma lune était parfaitement dégagée, bien disposée sous sa main,
Maman la regarda, comme si elle jaugeait le travail à accomplir...
"Il est temps de réchauffer tout cela, lâcha-t-elle, ironique,
accompagnant ces mots de deux petites tapes toutes douces, 
les dernières avant l'orage. Troublantes et vexantes à la fois... 

Le bras de Maman bloquant mon dos se fit plus pesant, elle-même redressant sa position, signe ultime que l'orage allait s'abattre sur ma lune...

"Allez, assez parlé,Christine, je vais te rappeler ce que c'est qu'une bonne fessée...", dit-elle enfin, au moment où sa main droite allait retomber pour la première fois...

A SUIVRE 





81 commentaires:

  1. Chère Christine,

    Quel épisode, Ma chère Christine !!!!! Dantesque ! Une grosse déculottée pour Aline, une autre plus modérée pour Diane, mais bien cinglante, les fesses de la gamine étant encore mouillées et une tannée qui commence, pour l'aînée !

    C'est certainement égocentrique de ma part ! Mais je me demande, si le synopsis Dominicain en cours, n'a pas quelque peu inspiré, ma chère conteuse ? Bien sur, je peux me tromper ? Mais cela m'interpelle !!!

    Surtout Christine ! Ne prenez pas mal, cette réaction Dominicaine (ayant regardé ses pairs défiler, ce matin), celle-ci n'étant qu'une simple interrogation, de l'ancien soldat ravi par la livraison Christinienne, d'une qualité exemplaire, comme ses discussions avec Maman !! Hi, hi...

    Amicalement, Dominique

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  2. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain, suite du dialogue, avec Christine, mais aussi avec moi :

    Caroline : « J'ai donc enchaîné, sur ton idée de week-end, en amoureux ! »
    Moi : « M'Oui et alors ? »
    Caroline : « Bah ! C'que j'avais pas prévu, c'est que ça allait relancer notre premier sujet de conversation ! Christine, se mît à rougir, avant d'me répondre ! »

    Christine : « C'est super ça ! J'aimerais bien pouvoir en faire autant avec Christian ! »

    Caroline : « Là, j'ai eu l'idée de lui proposer de venir, avec nous et Christian ! La maison de tes grands-parents, étant assez grande, pour deux couples ! »
    Moi : « Oui, c'est sur, puisque on y loge plus de dix personnes, pendant les vacances ! C'est sympa de ta part ! »
    Caroline : « M'ouais, je sais ! Mais c'est là ! Que le visage de Christine a changé de physionomie ! Et m'a fait part de son trouble ! »

    Christine : « C'est gentil, Caro ! Mais c'est pas possible ! Vous savez Dom et toi, que j'fréquente, Christian, depuis un peu plus de trois mois ! Ma Tante le sait aussi et pour cause ! Il n'y a que mes mes frangines, dont je me méfie, qui n'en savent rien ! Mais aussi et surtout Maman, à laquelle, je n'ai jamais osé parler de cette rencontre, avec le collègue de Dominique, qu'il m'avait présenté ! »

    Caroline : « D'accord ! Mais ou est le problème ? Tu as presque 23 ans, cette relation ne perturbe pas tes études, tout comme moi avec Dom ! Donc j'ai du mal à saisir !!! »

    Christine : «  Oh, c'est très simple, Caro ! C'que tu dis est juste ! Sauf que durant mes années de collège, ma mère a fait la guerre aux cachotteries ou mensonges, tant scolaires, que de vie courante dont je m'étais fait une spécialité ! Craignant par avance, sa réaction, même si je savais qu'au final, cela me coûterait bien plus cher ! ». Celle-ci ajoutant « Et Maman a toujours eu, cela en horreur ! Il y a un peu plus d'un an, Diane encore lycéenne en a fait les frais ! Elle flirtait avec un garçon de sa classe (terminale), Aline et moi nous le savions ! Mais elle n'en avait pas parler à Maman, qui l'appris au hasard d'une rencontre, avec la mère du garçon ! J'peux dire que le soir même et sous nos yeux, la petite Diane s'est pris une terrible volée, non pour le fait de flirter, normal à son âge ! Mais pour avoir cacher cela à Maman et la faisant passer pour une idiote, auprès de la mère du garçon ! ».

    Caroline, à moi : « Prenant une grande respiration, Christine a poursuivit ! »

    Christine : « Voilà, Caro, ce qui m'inquiète un peu, car si ma Tante est au courant, nous ayant accueillit plusieurs fois, avec Christian, dans sa maison ! Maman, elle, ne le sait pas ! Et ce que je crains le plus, c'est qu'elle l'apprenne par quelqu'un d'autres !!!!!!!! ».

    Caroline : « Bah ! Christine, c'est simple ! Tu lui en parles, avec un scénario ! Du genre : Maman, y faut que j'te dise, Dominique m'a présenté un de ces collègues, il y a trois mois et j'flirte avec lui, mais comme j'voulais pas précipiter le choses ! J'ten ai pas parler à l'époque, M'man et j'te demande pardon, mais aujourd'hui, j'pense que c'est du sérieux ! Comme Caroline et Dominique !  Et il a les mêmes galons que Dom ! »

    A suivre..............

    Amicalement, Dominique

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  3. Merci du compliment ! Non, le synopsis n'a pas influé mon récit, sinon par la prise de conscience qu'il fallait avancer, et en finir un jour avec cette chronique d'un redoublement qui traine un peu en longueur. C'est vrai qu'il y a dans cet épisode trois événements (ou deux plus le début d'un) mais ils procèdent de la même volonté maternelle de profiter des dernières vacances avant l'ultime trimestre scolaire pour bien reprendre en main ses chères filles...

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  4. Chère Christine,

    Désolé, Christine, au risque de vous contrariez ! Cette Chronique ne traîne pas en longueur ! Un redoublement n'est pas un mince affaire, celui-ci étant théoriquement prévu pour remettre l'élève sur de bons rails et ne peux donc, à mon avis, ce réduire à deux ou trois textes ! Certes nous en sommes au numéro 74 et je vais encore vous faire un compliment, ayant parcouru votre blog, de long en large et vous le savez !
    Cette chronique d'un redoublement est, pour moi, l'une de vos meilleurs productions ! Au même titre que les ruses de sioux et le malade imaginaire ! Je sais ! Encore et toujours des références du Papé !

    Tant qu'à la détermination maternelle, de conduire ses filles sur la bonne ligne, cette épisode le retranscrit parfaitement et si la Christine a conscience, qu'il faut avancer, j'imagine que le 75 ne tardera autant !!!!!!!!!!! Car pour l'instant, la première claque n'est même pas tombée !!!!!!!!

    Amicalement, Dominique

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  5. Voilà que pendant que je réponds au commentaire dominicain sur cet épisode, au même moment (à 3 minutes près), il m'envoie la suite de son synopsis.
    A sa lecture, je comprends où il veut en venir, avec ce petit ami inventé, militaire aussi, et que j'aurais caché à Maman et à mes soeurs, mais pas à Tata (qui m'aurait accueillie avec, ce qui est quand même beaucoup, non ?).
    De prime abord, j'avoue que c'est un peu gros dans mon esprit, mais pourquoi pas... Je ne voudrais pas brider la capacité créatrice de Dominique.
    J'avais en tête un développement plus classique, partant du fait que Maman ayant appris que Caroline en avait pris une à 23 ans, cela lui redonnait l'idée que, somme toute, son ainée, en aurait bien mérité encore une à son âge...
    J'aurais peut-être joué justement sur un motif plus banal, pour ne pas reproduire le style grande scène de la colère due à la séparation, ce qui est un peu le cas dans cette hypothèse de petit ami caché, non ?
    Pour tout dire, j'avais par exemple un instant imaginé la suite de la conversation familiale qui s'était déroulée en présence de Caroline et Dominique. J'imaginais une Christine faisant quelques remarques et montrant sa mauvaise humeur, et une Maman qui bouillait et commençait à le montrer en faisant des menaces à demi-mots.
    Puis à un moment, Christine et Maman allant chercher quelque chose dans la cuisine, cette dernière aurait dit à mi-voix à sa fille qu'elles auraient "une discussion" lorsque tout le monde serait parti, confidence que Diane aurait entendu...
    Je voyais bien les uns et les autres partant ensuite, Aline devant aller chez Tata, et Caroline et Dominique rentrant chez les parents de Caro, en compagnie de Diane, qui devait récupérer des livres par exemple.
    Maman et Christine se seraient alors retrouvées seules, la mère envoyant sa fille dans sa chambre... Mais, dehors, Diane se doutant de quelque chose aurait mis au courant Dom et Caro, les emmenant à pas feutrés dans la nuit derrière la maison, devant la fenêtre de la chambre restée entrouverte en ce soir d'été. Là, se croyant seule avec sa fille, Maman aurait agi...
    C'était une idée jouable, non ?

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  6. Entre temps, Dominique a répondu à me première réponse, me faisant des compliments agréables, je l'avoue... J'essaierai de ne pas le décevoir avec le N° 75 et la suite.

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  7. Chère Christine,

    Désolé, chère Christine, mais j'ai passé l'après-midi sur la plage.

    Sans vouloir contrarier ma conteuse préférée, je trouve son scénario un peu Hitchcockien, certes jouable, mais une peu trop classique ! Ce genre de scène s'étend produit plusieurs fois ! Comme dans l'épisode actuel ! Avec en prime une Aline qui irait chez Tata et pour quelle raison ? Et une Diane ayant épié la conversation (ça d'accord) qui ramène en catimini, Dom et Caro censés rentrer chez les parents de celle-ci, dans le but de leur faire assister à la rouste de la grande sœur ! M'ouais, pourquoi pas !
    Tant qu'a la Tante qui se fait complice de Christine, en offrant à la petite sœur qu'elle n'a pas eu, un havre de paix (sous sa surveillance, bien sur), ne me semble pas si gros que cela ! Celle-ci ayant, à une époque, gardé secret quelques bourdes ou erreurs commises par Christine, à sa grande sœur ! Connaissant parfaitement, les méthodes de celle-ci !

    Concernant mon hypothèse de départ, celle-ci ne repose pas sur le cas de la séparation et de la grande scène qui s'en suivit, mais sur quelque chose de plus ordinaire ! Qui était récurrent, chez Christinette et que Maman ne supporte toujours pas, même avec les frangines ! Et que j'avais déjà dans l'idée d'y ajouter, quelques ingrédients cités par Christine.
    Ce qui veux dire, que les grands esprits se rencontrent, chère conteuse !

    Amicalement, Dominique

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  8. Oui, Dominique, vous avez raison sur plusieurs points. Je récriminais surtout car je n'imagine pas un instant (comme j'ai eu un peu de mal à imaginer Aline au coin cul nu en public) que Maman annonce publiquement (et encore moins l'exécute) une fessée à son ainée de cet âge, l'épisode séparation pouvant passer du fait du coup de colère de la fille puis de la mère, mais cela reste ponctuel.
    D'accord avec vos arguments sur une Tata pouvant cacher mes amourettes, mais les surveillant de près (là je m'y retrouve), surtout que, vous avez raison, elle a parfois cacher de mes sottises à sa soeur et m'a évité quelques déboires que vous devinez...
    Donc, votre synopsis globalement est en effet très acceptable quand on y met ces quelques ajustements. Et je vous suit parfaitement si vous vous orientez vers une scène (quasi) ordinaire, qui à mon ressenti est d'autant plus forte que j'aurais presque 23 ans, et retrouverait les sensations non connues en vrai depuis plusieurs années...
    Cela amenait donc plus facilement le fait que Maman me fasse comprendre par signes, puis par quelques mots murmurés dans l'oreille quelles étaient ses intentions.
    Après, je ne sais ce qui est prévu dans le scénario dominicain, je suggérais que Diane ait compris et trouvé un moyen d'y assister sans être vue, ce qui laisse, là encore, plus de spontanéité à l'échange entre Maman et Christine.
    J'ajoutais la mise dans la confidence de Caroline (voire de Dom) comme quelque chose de plausible de la part de l'espiègle petite soeur...
    Et, comme Dominique, justement, dit avoir des idées aussi de rajout d'éléments en résonance avec mon vécu, je ne doute pas que le synopsis puisse alors très bien marcher, ce dont je doutais au départ, et ce dont il m'a convaincu petit à petit, et fort bien. Si je me permettais de m'exprimer là, c'est parce que le petit essai de récit à quatre mains avait bien fonctionné, et que, justement, puisque j'adhère en très grande partie à cette mise en scène, je voulais dire mes petites réserves, afin de ne pas être déçue.
    Merci d'avance Dominique.

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  9. Chère Christine,

    Vous me comblez, chère Christine, avec ces éloges et je reconnais bien là, l'esprit critique positif de ma conteuse, comme l'est celui de Mardohl, bien muet depuis un moment, ce que je regrette ! Et cela me pousse, à élaborer un synopsis assez crédible, je pense ! Même si j'y ajoute quelques touches de mon propre vécu, comme la mise au coin qui était monnaie courante, chez moi et pour tout le monde !

    Sinon, je suis ravi que le synopsis vous plaise, malgré vos doutes à l'origine ! Tout à fait légitimes ! Et sachez que je prends avec bonheur, vos petites réserves, pour ne pas justement vous décevoir ! Le jeu à quatre mains fonctionnant très bien, en effet et la suite de ce synopsis, je pense ? Vous le confirmera, même si vous devez y apporter quelques ajustements judicieux.

    Tant qu'à la perfide petite Diane, qui sait longtemps moquée de ses sœurs, je lui réserve une petite surprise, qu'elle n'aurait certainement pas apprécié dans la réalité ! Mais j'nen dis pas plus !

    Amicalement, Dominique

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  10. Voilà qui est bien si chacun respecte les petites réserves et suggestions de l'autre. Pour la mise au coin, je l'admets aussi, ayant rarement été employée chez nous, si ce n'est très gamines, à la limite pour séparer ou calmer des soeurs se chamaillant, et plutôt employée comme avertissement ultime avant la fessée et non après.
    C'est plus le fait de l'exposition dans le salon à la vue d'intrus éventuels qui me gênait dans le projet de synopsis.
    Sinon, je vois bien, ce que seraient les pensées de Maman à ce moment du scénario en cours. Je lis dans ses pensées :
    "Christine était vraiment agaçante, tout à l'heure, à vouloir interrompre nos discussions dès que cela gêne Mademoiselle. Dans un sens, je ne suis pas mécontente que Caroline ait avoué devant nous qu'elle avait encore reçu récemment une fessée maternelle... J'ai d'ailleurs bien vu que cela l'avait perturbée... Quand je lui rappelle parfois qu'elle est toujours sous mon autorité, il lui arrive presque d'être moqueuse, de répondre comme si c'était une promesse en l'air... Et, pourtant, j'avoue qu'il m'arrive encore que la main me démange, d'autant que je sais combien c'était en son temps la seule façon de lui faire entendre raison... Mais, bon c'est vrai que, maintenant à près de 23 ans, c'est peut-être un peu tard" se remémore Maman, songeuse et perdue dans ses pensées, alors qu'elle est seule dans la maison calme.
    Repensant à l'efficacité de ses méthodes à une période cruciale de la vie de son ainée, Maman Spaak repart dans son petit monologue interne : "La mère de Caroline n'a pas eu tort, puisque sa fille ne se plaint pas et lui donne même raison. Cela dit, je n'ai pas à me plaindre trop de mon côté. Christine réussit ses études, elle est assez sage, même si elle est à l'âge des flirts, et je sais bien qu'il y a parfois de petites histoires qu'elle confie plus à sa tante qu'à moi. C'est vrai que Jacqueline a toujours chouchouté la plus grande de ses nièces. Et tout ne regarde pas une Maman, à condition que l'on ne se moque pas d'elle en mentant à tout bout de champ. Cela a hélas souvent été le défaut majeur de ma Christinette, qui aurait tout fait pour éviter ou retarder une fessée..."
    Maman se resservit une tasse de tisane du soir, et émit un petit sourire, en pensant : "Le plus drôle, ce soir, c'est qu'après la confidence de Caroline, quand j'ai fait une remarque à Christine, en lui disant que si elle n'était pas contente, je pourrais toujours l'envoyer m'attendre dans sa chambre... Ce qui m'a marquée, c'est que ma grande a instantanément blêmi, et a tout de suite baissé le regard, ne répondant rien, exactement comme elle le faisait il y a quelques années quand je lui lançais la même phrase... Elle comprenait même sans que j'ai à en dire davantage qu'elle allait devoir préparer ses fesses... C'est vrai qu'à cette époque, les menaces étaient vite suivies d'effet... A voir sa tête, c'est sûr que Christine s'en est rappelée également..."

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  11. Chère Christine,

    Que dire après un tel commentaire et ce complément fort judicieux sur les pensées internes maternelles, la conduisant à ne pas être dupe ! Tant sur les capacités de sa fille, que ses petits travers (mauvaise humeur ou autres) et sur ce qu'elle peux confier à sa Tante, notamment ses flirts ! Plutôt qu'à sa mère, qui le comprends, à la condition de ne pas être prise pour une idiote !
    Et l'aveu spontané de Caroline ! Lui permettant de recadrer Christine gênée par la conversation, et rappeler ou se trouve l'autorité dans cette maison et de quelle façon, elle savait le démontrer à ses filles et notamment l'aînée, se souvenant parfaitement ce que cela signifiait !

    Amicalement, Dominique

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  12. Que dire après ce commentaire, demande Dominique. Mais, rien, si ce n'est poursuivre le récit, rebondir dessus, etc. Merci en tout cas du compliment. Mais, je n'ai guère de mérite ayant juste interprété quelles pourraient être les pensées maternelles dans ce canevas tissé par Dominique. Et, c'est vrai que, vu ainsi, une suite qui passerait des mots aux actes, tout en voulant rester discrète, devient plus que plausible. On se plairait même à la lire. Sauf si l'on s'appelle Christine ou Christinette bien sûr...

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  13. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, poursuite du dialogue à trois :

    Christine : « Ouais, pourquoi pas Caro ! C'est jouable ! Mais connaissant Maman, celle-ci me posera alors des questions ! Ou ? Quand ? Comment ? Je voyais Christian ? Et face à elle, j't'avoue que j'perd facilement mes moyens de défense, comme mes frangines d'ailleurs ! Celle-ci ayant la faculté à dénicher, les entourloupes de ses filles et j'peux dire que j'en ai fait les frais, plus d'une fois, avec ce que j'appelais, mes ruses de sioux ! Et qui m'ont surtout valu de sacrées tannées, au moment de la découverte ! » ajoutant « Car si ma mère, pouvait admettre des résultats scolaires moyens, si on avait travaillé ! Elle n'a jamais supporter, l'indiscipline, les cachotteries ou les mensonges de ses filles ! Et j'peux dire que dans ce cas là, ça chauffait grave pour celle, qui était concernée ! »

    Caroline : « Oui, j'te comprends, Christine ! Avec la mienne, c'est idem et mes frangines en savent quelque chose, compte tenu de leurs turbulences ! J'peux dire qu'il bien rare, qu'une semaine se passe, sans que résonne dans la maison, les sons d'une fessée ! Quand c'est pas l'une, c'est l'autre ou même moi, de temps à autre ! Mais ça vaut peut-être le coup d'essayer, non ? Tu ne crois pas ? »

    Christine : « Oui, Caro, c'est vrai ! Mais je doute sincèrement, que même si j'arrive à faire ça !!! Je puisse venir avec vous et mon Christian ce week-end !!!!!!!! ».

    Caroline : « J'suis d'accord avec toi, Christine, mais qui ne tente rien, n'a rien ! Comme dit mon Dom ! Alors essaie de passer tes craintes, légitimes et lâche-toi, un peu ! Tu le sais, une mère est protectrice et ne souhaite que le bonheur, pour ses enfants ! Bien sur, tu risque de t'en prendre une ! D'autant que ma confession, de samedi dernier devant tout le monde, a du faire réfléchir ta mère ! Se disant que finalement cette méthode d'éducation, est bonne et ce, quelque soit l'âge ! La mère de Caroline n'hésitant pas à lui donner encore de bonnes fessées, quand elle le mérite ! Certes, j'tavoue que la décision n'est pas facile ! Mais tu ne penses pas, qu'il est préférable de prendre le risque ! Alors que si ta mère l'apprend par autrui, là, à mon avis elle n'hésitera une seule seconde ! En se remémorant ma confidence et le fait que j'nen veux pas à Maman de me corriger, comme mes frangines, quand il le faut, malgré mes 22 ans passés ! »

    Christine : « Oui bien sur, t'a raison Caro ! Mais quand je suis devant elle, tu peux pas savoir comment j'angoisse, c'est fou ! J'ai du mal à aligner deux ou trois mots cohérents ! J'perds les pédales comme à 12 ou 13 ans, me sachant fautive ! Ayant une trouille bleue, de la déculottée qui allait suivre, d'autant qu'avec moi c'était toujours de véritables tannées magistrales ! Mes sœurs et ma Tante y ayant assisté, plusieurs fois, pourraient te l'confirmer ! Alors oui ! J'adhère, là, devant toi à cette solution ! Mais devant Maman, ce sera une autre paire de manches, comme disent Dom et Christian ! »

    Caroline à moi : « Et là, on s'est mis à rire, comme deux gamines excitées ! »

    Moi : « Et alors, tu penses qu'elle la fait ? »
    Caroline : « Je sais pas ! De toute façon, pour ce week-end à mon avis, ça faisait un peu court et puis, j'suis pas mécontente de pouvoir profiter de toi, toute seule !!!!!! »
    Moi : « C'est gentil et jt'avoue que moi aussi, je suis bien content, même si j'ai une pensée pour Christine et Christian, alors profitons-en ma chérie !!!!!!!! ». A suivre.........

    Amicalement, Dominique

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  14. Chère Christine,

    Une suite vient d'être livrée et j'écris déjà la suite, qui je n'en doute pas, aura votre assentiment, mêlant certains de vos ajustements, au canevas que j'ai en tête ! En me disant, prétentieusement que j'ai peut-être raté une carrière de romancier ! Certes la militaire a été plus que bien remplie et comme on dit « On se découvre, bien souvent sur le tard ! ».
    Et votre blog, a permis de développer en moi, cette propension à l'écriture ! Oh ! Bien sur, ce n'est que la prose pleine de fautes d'orthographes ou de syntaxes et de contre sens ! Mais je me plaît à rédiger ces commentaires ou ce synopsis, qui n'a de valeur que pour moi, retraçant une partie de ma vie !
    Tiens, je me demande si je ne devrais pas écrire, mes mémoires, comme le grand Général, dont je ne citerais pas le nom, mais qui avez pour épouse Momonne et que vous devez connaître !

    Désolé, pour la digression, mais je suis un amoureux d'histoire ! Matière dans laquelle, j'avais de très bonnes notes, à l'inverse d'autres !

    Bon ceci dit, il est certain qu'en s'appelant Christine ou Christinette, la suite du synopsis risquent de ne pas les faire sourire, bien au contraire !

    Amicalement, Dominique

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  15. Ne vous en faites pas, Dominique. Les (quelques) fautes d'aurtograff (hi, hi) ne sont pas importantes. Mieux vaut un récit qui se tient, qu'un truc sans fautes, mais qui serait incompréhensible à la lecture.
    Cela dit, si vous écrivez vos mémoires, comme le Grand Charles, mieux vaudrait réviser vos leçons d'histoire. Ce n'était pas Momone, mais Tante Yvonne, je crois ! Je connais une mère qui n'aurait pas apprécié que je fasse une telle erreur d'étourderie dans un devoir d'histoire, surtout en Cinquième... si vous voyez à quoi je fais référence...
    Cela dit, la suite du dialogue entre Christine et Caroline, racontée par cette dernière à Dominique, se tient bien, et comme la suite est déjà en cours d'écriture, j'espère la lire vite, car je commence à penser qu'elle ne sera pas forcément au goût d'une jeune femme de presque 23 ans, mais qui n'a pas perdu tous ses défauts de gamine, et garde une mémoire intacte de toutes ses émotions d'alors...

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  16. Chère Christine,

    Mea culpa ! Christine et merci pour l'indulgence ! C'est vrai, c'était Tante Yvonne et je me confonds en excuses, sauf qu'il me semble avoir entendu le grand Charles, que vous avez reconnu ! Prononcez au cours d'une interview ou il était malmené par la journaliste, un peu idiote ! Monter sur ses grands chevaux, en se levant (1m98, sans son képi) et cité le surnom de Tante Yvonne, pour mettre fin au questionnement de celle-ci, sur la première dame de France !
    Et en effet, je suis sur que Maman Spaak n'aurait pas apprécié une telle faute d'étourderie de son aînée et lui aurait fait payer, illico, presto ! Sur le principe, je me fait tout petit, sachant que Maman n'aurait pas apprécié, non plus !

    Et pour la suite du synopsis, il vous faudra attendre, comme à une certaine époque et je vous avoue, que celui-ci ne sera pas du goût de Christinette devenue jeune femme, ni d'une Diane trop curieuse !


    Amicalement, Dominique

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  17. Attendre, attendre, je ne sais pas si je préfère ne pas savoir et espérer encore, ou voir le récit avancer et s'apercevoir qu'il tourne vinaigre pour la Christinette devenue presque grande...
    C'est comme la suggestion de Caroline : aller raconter tout à Maman, cela me soulagerait sûrement, mais en même temps c'est si confortable d'arranger un peu la vérité, de repeindre en rose ce qui pourrait fâcher, de ne pas tout dire, sans vraiment mentir, si ce n'est par omission... Surtout que, lorsque l'on a un peu de mémoire et que l'on sait précisément ce que l'on a raconté, il y a peu de chances de se faire prendre, tant que la version est plausible.
    Ce n'est donc pas forcément la meilleure idée qui soit de vouloir tout dire à Maman, d'autant qu'il ne faudrait pas que l'exemple de la mère de Caro fasse du chemin dans sa tête. Pour moi, tout cela, c'est de l'histoire ancienne, mais je ne voudrais pas qu'elle revienne au goût du jour... Rien que sa demi-menace l'autre jour m'avait déjà remise dans tous mes états...

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  18. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, du dialogue entre Caro et moi :

    Caroline : « T'a raison mon Dom, profitons-en ! On verra bien, puisque vendredi prochain on est invité à dîner, chez Madame Spaak ! Mais je doute que Christine, prenne le risque et suive mon idée, celle-ci m'ayant précisé que sa mère n'aime absolument pas, que ses filles lui racontent des bobards ou la mène en bateau ! Et connaissant Christine, je ne crois pas qu'elle puisse déballer comme ça, la vérité à sa mère ! Mais ce que je crains surtout, pour ma copine, c'est que sa mère soit mise au courant par quelqu'un d'autre ! Là, Christine serait vraiment très mal ! Bon ! Je verrais ça lundi, avec Christine ! En attendant, on peux p'être s'occuper autrement, tout les deux, non ? »

    Moi : « C'est vrai, ma puce, on est pas là, pour parler uniquement de Christine et de sa mère, même si j'les aiment bien, comme la Tata Jacqueline !!!!!! ». Là je me pris un camouflet de ma dulcinée, sous forme de menace « Bon ! Ça suffit Dom, arrête avec la Tante Jacqueline ! Sinon j'en parle à ta mère, qui sera quoi faire, pour que tes ardeurs me soient réservées ! Tu vois, ce que je veux dire ! ».
    Ce qui nous fît partir dans un éclat de rire, tous les deux !

    Après ce merveilleux week-end, je repris le chemin de la base ou je retrouvais Christian et Caroline le chemin de l'université pour deux semaines, avec Christine et ses sœurs, avant les vacances d'été !
    J'interrogeais alors Christian, sur sa relation avec Christine et savoir s'il avait rencontré la mère !

    Christian : « Oh ! Tout va bien entre nous ! Le plus souvent, on se voient chez sa Tante ou chez mes parents, elle prends le bus et jl'a ramène en voiture, en la déposant au bout de la rue ! Au sujet de sa mère, je l'ai rencontré, par hasard sur le marché, samedi matin ! J'aidais mon oncle, qui tu le sais, a le bras cassé, à tenir son étal ! Sinon jusque là, je ne connaissais que la Tante, qui est une femme très séduisante et les deux sœurs que Caro m'avait présenté un soir, en les ramenant de l'université et venant te chercher !

    Moi : « Ok ! D'accord ! Mais est ce que Christine t'a dis pourquoi, elle ne t'a pas présenté à sa mère, depuis que vous êtes ensemble ? Ça fait quand même plus de trois mois ! »

    Christian : « Non ! Au début de notre relation, Christine m'avait simplement dit qu'elle préférait attendre un peu, pour me présenter à sa mère ! Alors qu'elle la fait, à peine une semaine plus tard, avec sa Tante ! Qui m'a accueilli avec beaucoup de gentillesse et j'ai tout de suite ressenti qu'il y avait une grande complicité, entre elle et Christine ! Et si, elle accepte que je passe de bons moments avec ma Chrissou ! Elle reste vigilante, ce que je trouve normal ! Celle-ci ayant toujours protégé sa nièce, en couvrant certaines de ses bêtises ! C'est Christine qui me l'a dit ! ».

    Moi : « Ok, j'te suis ! Mais alors samedi ? »

    Christian : « Oh, c'est simple ! C'est la malicieuse Diane, accompagné de sa mère et de la Tante, qui m'a reconnu derrière l'étal et a entamé la conversation, avec moi ! Me demandant ce que je faisais là, sous le regard surpris de sa mère et celui amusé de la Tante ! La mère ne comprenant pas, apostropha Diane, qui lui répondit, alors que j'étais ton collègue et a fait les présentations, sauf que je connaissais déjà la Tante ! Après on a discuté tous les quatre et j'ai précisé les raisons de ma présence, derrière l'étal ! »

    A suivre...........

    Amicalement, Dominique

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  19. Je commence à voir que cela risque de se compliquer pour Christine... Plausible l'histoire du marché et l'intervention de Diane... Je me demande ce que va être la suite...

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  20. Chère Christine,

    Vous le verrez bien, ma chère Christine ! Mais en effet, ça va commencer à devenir délicat pour la Christinette qui s'approche, petit à petit d'une position qu'elle a bien connu, comme ses soeurs! Ceci malgré ses presque 23 ans !

    Plus que plausible l'histoire du marché, car je me suis inspiré d'un fait réel ou j'avais remplacé mon père qui s'était blessé à la main, la veille en réparant un tracteur ! Et mon grand frère me demanda, si je pouvais prendre sa place, ce que je fît, n'étant pas de service ! Voilà pour la petite histoire !

    Sinon concernant le sort de la jeune femme de 22 ans passées, celui-ci se profile ! Mais est ce que la Christine est si pressée que cela ? Franchement j'en doute !
    Tant qu'à l'intervention de l'espiègle Diane, celle-ci me semble, tout à fait dans le ton et je ne crois que Christine me contrediras sur sa petite sœur, plutôt encline à se manifester, non ?

    Amicalement, Dominique

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  21. Non, c'est vrai, Dominique, que Diane est toujours restée espiègle et pas du genre à tenir sa langue dans sa poche. Et, en pensant à ce qu'elle pourrait dire et révéler, et à la situation dans laquelle elle mettrait sa grande soeur, je vous accorde que je ne suis pas forcément pressée de connaître la suite... Si même vous pouviez ne jamais l'écrire... Christine de 23 printemps n'a pas du tout envie de revivre certaines angoisses... ni surtout les scènes qui s'ensuivaient...

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  22. Chère Christine,

    Désolé ma chère Christine, mais je ne suis pas dans la peau de la facétieuse Diane, à laquelle, je vous l'ai dit, je réserve de sacrées surprises ! Auxquelles, elle ne s'attendait certainement pas et compenseront un peu, la déconvenue de la grande sœur, méritée sur le fond, pour avoir cacher à sa chère Maman, mais pas à sa Tante ! Cette idylle qui allait durer plusieurs mois, jusqu'au départ de Christian pour d'autres horizons, celui-ci n'ayant pas le choix et ne pouvant emmener sa petite Chrissou !

    Mais ne pas écrire la suite, serait un manque de respect, envers ma conteuse préférée ! Tout en sachant que je vais la chagriner et lui faire revivre, des angoisses et des émotions du passé !

    Amicalement, Dominique

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  23. Faites donc, cher Dominique, écrivez, écrivez... J'apprends déjà que l'amourette avec mon supposé petit ami (hi, hi) ne durera que quelques mois. Voilà déjà une partie de l'histoire qui se finit mal... Et quelque chose me dit qu'il n'y a pas que cette partie du synopsis qui connaitra une issue difficile...

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  24. Chère Christine,

    Désolé, Christine, malgré mon imagination débordante et la romance de ce synopsis, je ne peux par décence, vous attribuer un éventuel époux, concernant Caroline et moi, c'est le vécu ! Donc au sujet de Christian (qui était vraiment mon collègue), je pense qu'il faut garder cela comme une aventure amoureuse plus longue que d'autres, de Christine ! Mais non douloureuse, simplement lié à la profession de Christian.

    Tant qu'à l'issue du synopsis, celle-ci serait en effet plus difficile pour Christine et surtout une partie de son anatomie, ravivant des émotions qu'elle n'avait plus ressenti depuis plusieurs années et la ramenant à l'état, d'une petite fille punie comme elle le mérite, par sa maman ! Mais je n'en dis pas plus !

    Amicalement, Dominique

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  25. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, du dialogue avec Christian et Caroline :

    Moi : « Ok, j'ai compris ! Donc j'en conclus que Christine n'a toujours rien dit à sa mère, en ce qui vous concerne ! »

    Christian : « Ouais ! Et alors, ou est le blême ?

    Moi : « Bah ! Le souci, c'est que si Madame Spaak est informé de votre relation par quelqu'un d'autre, ta petite Chrissou à de fortes chances, de passer un très sale quart d'heure avec sa Mère, celle-ci n'étant pas du genre à plaisanter, sur les cachotteries ou mensonges de ses filles et Caroline pourra te le confirmer! ».

    Christian : « D'accord ! J'comprends pas trop et j'vois pas ce que tu veux dire ! Mais que puis-je faire, Dom ? »

    Moi : « Oh ! C'est tout à fait simple, Christian ! La mère de Christine est très stricte sur l'éducation et les études de ses filles ! Comme celle de Caroline, d'ailleurs ! Alors quand c'est nécessaire, elle les punies par de bonnes déculottées, à l'image d'Aline qui s'en est ramassée une, pour avoir raté un partiel, par manque de travail ! Et il y a des choses qu'elle supporte encore moins, tel que le mensonge ou les cachotteries et Christine qui s'en était fait une spécialité, durant ses années de collège, s'est pris de sacrées roustes pour cela ! Alors bien sur, aujourd'hui, elle n'en reçoit plus et c'est les sœurs qui ont affaire avec la mère, mais !!!!!! »

    Christian : « Mais, quoi ! Dom ? »

    Moi : « Bah, le samedi d'avant, invité pour l'apéro chez elle ! Aline s'en était pris une deuxième, dans l'après-midi, alors qu'on étaient sur la plage avec ses sœurs et Caro ! Et se trouvait, dans un coin du salon, en pleurs, les fesses à l'air et très rouges, preuve que la mère n'avait pas du lésiné !
    Bien entendu, cela a déclenché une conversation sur ce sujet et ma Caroline, s'est lâché d'un coup, avouant qu'elle en avait reçu une de sa mère, quelques semaines avant, malgré ses 22 ans et ne en lui voulait pas, car elle la méritait ! Ce que je savais !
    Alors je me dis, que cela n'est pas tombé dans l'oreille d'une sourde et que si Madame Spaak vient à être informé de votre liaison, par quelqu'un d'autre que sa fille, il y a de fortes chances que sa mère décide, de rappeler à sa fille, ce qui l'en coûte, de lui faire des cachotteries, malgré ses presque 23 ans et justifie son action, avec l'aveu de Caroline ! Tu comprends mieux, maintenant ? »

    Christian : « Tout à fait, mais que puis-je faire, selon toi ? »

    Moi : « A mon avis, la bonne solution, est que vous alliez Christine et toi, en tenue ! Voir sa mère et que tu lui explique, la situation ! J'pense que ça voudra à ta Chrissou, un bel aller-retour, de sa mère, mais peut-être que cette présentation commune, lui évitera le pire, à savoir une bonne dérouillée ! »

    Christian : « Ok ! J'veux bien, mais est ce que Christine, acceptera de le faire ? Ça, j'en suis moins sur ! »

    Moi : « Là, je sais pas, mais Caro qui la connaît mieux pourra sûrement t'aider, à la convaincre ! ». A suivre.............

    Amicalement, Dominique

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  26. Je vois que le scénario prend forme et pense que, indépendamment même de la suite qui se profile en direction du bas du dos de Christine, celle-ci a dû rager en sachant que Dominique et Caroline confie à son petit ami ce qu'ils savent de l'éducation de la demoiselle. Pas sûr qu'elle l'ait en effet confiée à ses premières amourettes. J'avoue à ce point que la vraie Christine n'a jamais raconté spontanément, et pas avant un certain temps de mise en confiance, ses déboires à un ami ou petit ami.
    Mais, revenons à nos moutons, comme on dit, et attendons la suite même si elle prend une tournure qui va déplaire à Christine version presque 23 ans...

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  27. Chère Christine,

    Vous n'avez pas tort, Christine, sur l'aigreur ressenti par la Chrissou, concernant les confidences faites par Dom et Caro, à son petit ami ! Celle-ci allant d'ailleurs la manifester, le soir même dans la voiture de Caroline, après une question un peu brutal de Christian ! Mais ce sera pour le synopsis !

    Tant qu'à la tournure des événements, celle-ci ne sera pas qu'en défaveur de la Christine, de presque 23 ans ! D'autres auront leur part de gâteau, comme on dit !!!!!!

    Amicalement, Dominique

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  28. J'avais donc bien deviné que la connaissance par des tiers de mes mésaventures ne pouvait me plaire, et Dominique, en fin connaisseur de la pensée christinienne, a l'idée de l'inclure dans son synopsis. Très bien !
    Comme je suppose que, malgré les exhortations de sa copine Caro et de son petit copain, Christine risque, une fois devant Maman, même si elle aurait envie de tout dire, de retomber, par peur des conséquences, dans les mensonges plus que dans l'aveu... Une attitude qui risque, alors hélas, d'ôter toute hésitation que sa mère avait encore sur la conduite à tenir...

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  29. Chère Christine,

    Vous avez parfaitement devinez l'idée profonde de Dominique, vis à vis de Christine ! A la fois, très gênée que d'autres personnes soient mises au courant de ses mésaventures avec Maman, même s'ils ne sont plus d'actualité ! Mais conservant, au fond d'elle même, cette peur naturelle, liée à son passé et donc ses sœurs prolongent l'héritage ! Hésitant entre l'aveu et la cachotterie, malgré les bons conseils de ses amis et son petit copain, mais on ne se refait pas ! Même si on a une petite sœur à la langue bien pendue et à l'affût du moindre événement, surtout concernant la grande sœur !

    Amicalement, Dominique

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  30. On ne se refait pas, dit Dominique. C'est bien vrai. Et j'imagine bien que dans le synopsis proposé, même si cela pouvait sembler invraisemblable à Christine que Maman en revienne à une certaine bonne vieille méthode, l'exemple de Caroline incitait à la prudence...
    Et quand l'idée faisant son chemin dans la tête, l'angoisse revient et les souvenirs se bousculent, il est presque naturel que le premier réflexe de Christine soit un comportement à la Christinette, allant plutôt vers la cachotterie, le non-dit, voire le mensonge, que vers l'aveu naturel et complet... Quitte bien sûr à ainsi aggraver son cas...

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  31. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, du dialogue entre Caroline, Moi, Christine et Christian :

    Vers 18 heures, Caroline vînt nous chercher, en compagnie de Christine, ses deux sœurs étant rentrées, en début d'après-midi n'ayant pas de cours, pour leurs spécialités ! Et le deux officiers en tenue, furent accueilli avec beaucoup de tendresse, par deux charmantes jeunes femmes !
    Avant de monter, dans la voiture, Caro me glissa « Au fait, Christine n'a toujours rien dit, à sa mère, pour Christian ! » lui répondant « Ouais, je sais ! Car, j'ai discuté avec lui et il m'a précisé avoir rencontré sa mère, accompagné par la Tante et Diane qui la reconnu, sur le marché samedi, alors qu'il aidait son oncle, qui s'est cassé le bras ! », ajoutant « Je lui ai donc conseillé, d'aller voir la mère de Christine, en sa compagnie, pour éclaircir la situation ! »

    Caroline : « C'est bien, mais je suis pas sur que Christine, adhère à l'idée et ce que je crains, pour elle, c'est que Diane ou Aline découvrent le pot aux roses et en fasse part à leur mère ! Et là, Christine sera vraiment mal, surtout que sa mère se rappellera mon aveu, en se disant que finalement, Maman à raison d'agir avec moi, comme avec mes sœurs, malgré mon âge ! »

    Moi : « Oui, je partage ton avis et je l'ai dis, à Christian ! Mais maintenant tout dépend de Christine et je doute, en effet que celle-ci, affronte sa mère, même avec l'aide de son chéri ! »

    Caroline : « C'est pas faux ce que tu dis, car pour avoir discuté avec elle au cours de la journée ! Elle pense surtout, que sa mère prendrait très mal cet aveu tardif, alors que la Tante est au courant ! Et l'ennui est que si elle l'apprend, par quelqu'un d'autre, ce sera pire pour Christine, non pas par rapport au flirt ! Mais sur le fait de le lui avoir caché cela, tout en le confiant à sa Tante ! Là je suis sur que sa mère n'hésitera pas une seule seconde ! Si tu vois, ce que je veux dire ! »

    Moi : « Oui, oui, je vois très bien, ce que tu veux dire ! Mais je ne vois pas comment changer le cours des choses ! »

    Caroline : « Non ! Moi, non plus et connaissant Christine, je pense qu'elle va rester dans l'attente, malgré un risque, plus grand ! »
    Nous installant dans la voiture, Christine discutait avec Christian, un peu vivement et m'interpella, avec un léger courroux dans la voix, me reprochant d'avoir délivré à son petit ami, des choses qu'elle s'efforçait de garder secrète, par pudeur et honte ! Celle-ci était d'ailleurs, rouge comme une tomate !

    Christine : « Dom !!! Quand même, tu aurait pu tenir ta langue ! J'ai l'impression d'être une fillette, aux yeux de Christian, que sa mère pourrait à nouveau corriger, comme ses sœurs encore gamines, s'il le faut ! Franchement !!! Je n'ai pas la moindre envie de revivre cela, comme Caroline ! ». Ce qui me fît réagir aussitôt, tel le chef de compagnie que j'étais !

    Moi : « C'est vrai, Christine, t'a raison et je comprends ta colère, mais je l'ai fait, dans le seul but d'apaiser la réaction de ta mère, à laquelle tu n'as rien dis depuis plus de trois mois, alors que ta Tante le sait ! Et ayant cerné le profil de ta Maman, je crois d'ailleurs que celle-ci, se ramassera une sacrée soufflante de sa grande sœur ! Je n'ai agi que pour ton bien être, me disant que si ta mère l'apprend par quelqu'un d'autre et notamment l'une de tes sœurs ! Là ! Tu n'y couperas pas, ta mère ayant en mémoire la confession de Caro ! » A suivre........


    Amicalement, Dominique

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  32. Dialogue intéressant, ma foi. Christine ne pourra pas dire qu'elle n'a pas été mise en garde... Mais, est-ce que cela va suffire ? C'est tellement plus aisé de ne rien dire, en croisant juste les doigts pour que rien ne se sache...
    J'attends avec impatience de voir comment cela va évoluer...

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  33. Synopsis Dominicain suite du dialogue à quatre et développement :

    Christine : « Je suis d'accord, avec toi Dom ! Et ça me rassure pas, c'est sur ! Mais j'connais trop Maman pour savoir qu'elle traduira cet aveu tardif, comme étant une cachotterie, voir même un mensonge ! Puisqu'il y a quelques semaines, voyant que ta relation avec Caro, ne gênait pas ses études, elle m'avait demandé par simple curiosité, si j'avais un petit ami ! J'ai dis, que non et ça elle s'en rappellera ! Alors vois-tu, j'suis pas trop tentée de prendre ce risque, même si c'est Christian qui présente les choses ! ». Et là, Caro intervint !

    Caroline : « D'accord, Christine ! Mais imagine que l'une de tes sœurs qui sont toujours à l'affût, de ce que tu fais, découvre ta relation avec Christian et le rapporte à ta mère ! Tu pense que ce sera mieux, pour toi ? »

    Christine, rougissante : « Oh, non ! Encore moins, Caro ! Car comme Dom l'a dit, elle aura toujours en mémoire ta confession et cela ajouté à mon mensonge, la convaincra qu'il convient de remettre au goût du jour cette méthode efficace, pour son aînée ! A l'image de ta mère, qui n'hésite pas ! Et ça m'angoisse, terriblement ! Ne pouvant m'imaginer de nouveau, dans cette position, à presque 23 ans ! Mais je suis, ainsi faîtes et je fais tout pour que ça n'arrive pas ! Ne voyant Christian que chez ses parents ou chez ma Tante, ce qui écarte la présence de mes sœurs, même si parfois c'est plus difficile avec la très curieuse Diane, mais j'men sort ! »

    Moi : « Ok, Christine, mais jusqu'à quand ? Tes frangines sont deux espiègles, très fouineuses et j'me dis que comme l'une et l'autre ont toujours à faire, aux bonnes grâces de ta mère, comme celles de Caroline, qui y a droit aussi ! Je pense qu'elles ne seraient, pas mécontentes, de voir leur aînée retrouver le chemin des genoux de Maman et pouvoir même y assister ! Tu crois pas ? ». Christine palissant et montant sur ses grands chevaux répondit !

    Christine : « Ah, nooonnnn, Dom ! C'est horrible, c'que tu dis ! J'pourrais jamais supporter ça, tu te rends compte ? Quelle honte, pour moi et sans parler tu reste ? »

    Christian : « Justement, ma Chrissou, c'est pour ça que j'pense que l'idée de Dom d'une présentation commune est la meilleure solution ! Oh, bien sur ! T'auras certainement droit à un aller-retour de ta mère, mais si cela peux t'éviter d'autres conséquences ! Je suis prêt à le faire et accepter l'éventuelle soufflante que ta mère, serait tout à fait en droit de m'adresser, du fait de ma fonction identique à celle de Dom ! ». Christine très ému, des larmes au coin des yeux et se jetant dans les bras de Christian ajouta !

    Christine : « Merci, mon chéri ! C'est gentil de ta part, mais connaissant trop bien Maman ! Je suis consciente que même cette présentation commune, ne m'évitera pas une explication avec elle et j't'avoue que je préfère, ne pas la provoquer, même si ça doit me coûter plus cher au final ! De toute façon, qu'ont lui disent maintenant ou qu'elle l'apprenne par mes sœurs ou quelqu'un d'autre ! Je sais que c'est trop tard et que le résultat sera le même ! Je sais déjà que, j'vais revivre un de ces moments que je redoutais, il y a quelques années ! D'autant que l'aveu de Caroline, la fait réfléchir ! Alors, si je ne me fais pas d'illusions, je ne me vois pas accélérer les choses ! »

    Moi : « J'te comprends Christine, mais c'est dommage, dans la mesure ou Christian était prêt à t'aider ! Mais bon, tu es la seule juge pour décider !!!!!!! A suivre............ !

    Amicalement, Dominique

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  34. Encore une conversation intéressante qui est assez fidèle à ce genre d'attitude qui m'était coutumière. Même si, là, dans cette fiction, on l'imagine à presque 23 ans.
    Je me vois bien tiraillée entre une certaine raison qui me pousserait à parler franchement à Maman, et l'autre petite voix, celle qui est consciente que je suis déjà en mauvaise posture, et qui a tendance vouloir d'abord gagner du temps...
    Avouer en présence de mon petit ami, à bien y réfléchir, me semble même une des plus mauvaises solutions, car je vivrais très mal que Maman m'annonce une suite cuisante devant lui, même si dans les actes ce serait entre quatre z'yeux comme on dit...
    Déjà, devant mes soeurs, je me sentirais si honteuse, que je ne préfère pas y penser...
    Alors, quitte à prendre des risques, chaque jour de plus agissant en ma défaveur, l'ex-Christinette se dit que c'est aussi un jour de gagné...
    Comme au temps des colles, où une fois, ayant été collée en même temps que ma voisine, et que celle-ci me sentait angoissée de le dire à Maman, elle m'avait proposée de le dire avec moi, pour relativiser ma faute auprès de Maman. J'avais refusé et préféré attendre que le bulletin arrive à la maison, quitte à en payer le prix supplémentaire...

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  35. Chère Christine,

    Excellent! La référence avec la copine collée en même temps que Christinette est parfaitement judicieuse et il est vrai que je me suis attaché à essayer de retranscrire, ce qu'était l'attitude et le ressenti Christinien face à une situation délicate, pour ne pas dire inéluctable ! Et cette fameuse double voix contradictoire, qui trottent dans la tête de Christine, qui n'a pas envie de vivre une situation trop honteuse pour elle et préfère s'en remettre à son principe de gain de temps ! Même si celui-ci coûte plus cher, au final !

    Amicalement, Dominique

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  36. En tout cas, ça fonctionne assez bien dans ma tête. J'imagine bien ce que j'aurais pensé (et un peu comment Maman aurait réagi et raisonné) dans ce cas de figure, d'autant plus qu'en dehors de la question de l'âge, on retrouve des ressentis profondément ancrés dans les souvenirs de Christinette...
    Et, elle qui a le plus souvent choisi de gagner du temps plutôt que d'affronter la réalité, comment imaginer que, plusieurs années plus tard, elle ait une autre attitude. Je crois que, si j'avais vécu cela, certainement que mes vieux démons de cachottière auraient repris le dessus.
    Surtout si, malgré le nombre important d'échecs, et ce que cela signifiait pour mes fesses, ma mémoire savait trouver quelques exemples où j'avais réussi à berner Maman, à signer un bulletin de colle, à ce qu'elle ne sache pas telle ou telle bêtise...
    Se mettre en tête qu'à 12-13 ans, rarement, mais quand même, j'avais réussi à éviter une déculottée méritée, il y a forcément une petite voix qui vous murmure qu'avec 10 ans de plus, vous y arriverez plus aisément encore...
    Dans ces cas-là, aller risquer l'aveu complet, qui plus est, devant témoins, on comprend que cela ne me tente pas...

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  37. Chère Christine,

    Oh, mais dites moi ! Christine se livre, avouant avoir dupé Maman pour des bêtises et même imité sa signature, afin d'éviter de bonnes déculottées qu'elle aurait mérité, c'est extraordinaire et je comprends mieux pourquoi, l'aveu n'était pas forcément le plus évident pour la Christinette, surtout devant témoins !
    Alors bien sur, que j'imagine mal la Christine (de presque 23 ans), mais ayant conservé ses idées sur le gain de temps, accepter de livrer à Maman (même si c'est le petit ami qui le fait) une cachotterie, plus un mensonge ! Au risque de se prendre un aller-retour et s'entendre dire, qu'elle peux préparer ses fesses ! Alors qu'avec l'âge et l'expérience acquise, elle peux plus facilement déjouer la vigilance maternelle, sauf qu'il y a parfois des éléments extérieurs que l'on ne peux contrôler !!!!


    Amicalement, Dominique

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  38. C'est tout à fait ça, Dominique. Ou du moins ainsi que j'imagine ce qu'auraient été mes réactions dans l'hypothèse du synopsis. Peut-être même que j'écrirai mon ressenti comme une partie à quatre mains dès que votre texte aura encore un peu avancé.
    Vous comprenez bien que prendre le parti de la franchise quand on sait que la réaction maternelle risque d'être forte quand même, n'est pas une solution évidente, pour une ex-ado qui a, durant quelques années, souvent tenté d'embellir la réalité, de cacher les défauts, de manoeuvrer pour échapper au pire, ou du moins pour gagner du temps, c'est à dire de prolonger la tranquillité postérieure...

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  39. Chère Christine,

    C'est une bonne idée d'attendre, ma chère conteuse ! Mais je crois me rappeler, que c'était une spécialité de Christinette que d'attendre ! Maman, certes ! Mais surtout autre chose, non j'me trompe peut-être ?

    Sinon, je comprends fort bien qu'une ex-ado, forte de son expérience et ayant fini par grandir, se souvienne parfaitement, que ses ruses de sioux ou ses manœuvres dérisoires, ne la menait qu'a un seul endroit très accueillant à l'origine (les cuisses de Maman), sauf dans ces moments particuliers ou la Christinette, avait sa culotte baissée, afin que Maman lui rappel, les bonnes manières ou la nécessité d'un travail régulier !

    Alors, en effet l'idée d'une franchise directe, n'est pas facile à appliquer ! Dans la mesure ou on a déjà vécu ce genre de situation !!!!!

    Amicalement, Dominique

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  40. Quand j'imaginais que Christine version 23 ans préférerait "attendre" avant de trouver le bon moment pour se confier à Maman, quitte peut-être à réussir à ne jamais lui dire, je parlais de cette attente là, qui était déjà délicate à vivre, tant il fallait jouer l'innocente, ne pas se tromper dans les explications, éviter de se contredire, et croiser les doigts pour que Maman ne rencontre pas une prof ou une mère de copine, qui lui dévoile la vérité.
    C'était une situation angoissante que l'oeil perspicace de Maman devinait parfois sans que je ne dise rien, mais c'était aussi, à chaque jour de gagné, comme une satisfaction personnelle intense...
    L'autre attente, celle qu'évoque Dominique, d'une façon taquine, que je n'aime pas trop, était évidemment autrement plus perturbante et diablement plus angoissante... C'était cette affreuse attente imposée par Maman quand elle m'envoyait dans ma chambre "préparer mes fesses", ou quand Maman, même dans un contexte extérieur, me disait : "Tu ne perds rien pour attendre. On en "reparlera" toutes les deux ce soir (ou en rentrant à la maison), etc..."
    Là, j'avais à la fois envie que Maman ne vienne jamais, que le temps s'éternise, mais en même temps chaque minute, chaque seconde, était emplie de la peur de ce qui m'était promis, et j'en frissonnais du bas du dos, ne doutant pas un seul instant que j'allais me retrouver, les fesses à l'air, à pleurer sous les claques d'une fessée méritée...
    Et, autant, j'appréciais de gagner du temps tant que Maman ne savait rien, autant je trouvais le temps long dans l'attente de la déculottée, mais jamais, bien sûr, je n'aurais fait quoi que ce soit pour hâter la manoeuvre, mijoter en imaginant la suite étant malgré tout plus confortable que plonger en travers des cuisses maternelles...

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  41. Chère Christine,

    Je bien compris la nuance sur la notion 'd'attente' pour Christine et je suis désolé de mettre trompé sur celle-ci, n'évoquant que celle imposée par Maman, lors d'une promesse de fessée ! Alors que je connaissais en effet l'autre ou Christinette guettait l'instant propice, pour affronter Maman, répétant dans sa tête les bons mots à prononcer, en espérant que celle-ci ne soit pas informé par un élément extérieur (bon nombre d'épisodes, que je ne citerais pas, l'on démontrés).
    Sinon que vous n'appréciez pas mon évocation, sur cette attente plus qu'angoissante de l'avant fessée, je le comprends et moi-même, je l'ai vécu plus d'une fois, le plus souvent à l'extérieur quand Maman ou Tata ne pouvant agir immédiatement, me promettait, alors la bonne dérouillée à notre retour ! Autant vous dire que je flippais grave, sur le chemin menant à la ferme, car bien sur la promesse était tenue et de belle façon !

    Par contre et pour l'anecdote, lors de l'épisode 73, vous avez amicalement provoqué l'archiviste en chef au sujet, d'un retour de la plage seule avec Maman pour y recevoir une bonne fessée, les petites étant restées avec Tata ou une voisine et le perfectionniste que je suis, vous avait promis de trouver la référence !
    Et bien c'est fait et en plus, le chef des archives avait raison ! En vous disant après une première recherche que celle-ci, devait se trouver dans une réponse ou un commentaire de votre part et en voici la preuve : Réponse à Dominique du 06/08/2013 concernant les signaux maternels dans l'épisode 62 du redoublement !

    Vous voyez, je vous l'avait bien dit que je trouverais, je plaisante et vous taquine ! Hi, hi...........

    Amicalement, Dominique

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  42. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite du dialogue à quatre et développement :

    Caroline enchaîna alors un monologue, presque intime envers Christine :

    Caroline : « J'suis bien d'accord avec toi, Christine ! Connaissant ta mère et son aversion pour les cachotteries ou mensonges, comme la mienne ! J't'avoue que la situation ne m'inciterait pas, moi non plus, à prendre le risque d'un aveu tardif, même présenté par Dom ! Maman, ayant une sainte horreur que l'on assume pas, soi-même, ses actes ! C'est le genre de choses qui l'a met dans une rage folle et mes frangines pourraient te le confirmer, s'étant couvertes plusieurs fois l'une et l'autre à tour de rôle ! Leur valant, au final à chacune, une terrible volée ! Car dans ce cas là, ma mère ne fait vraiment pas semblant, leurs fesses pourraient en témoigner ! », celle-ci ajoutant « Mais sait on jamais ! Peut-être, que ta mère plus occupée par les facéties ou la fainéantise de tes sœurs, qui méritent encore de bonnes trempes, comme les miennes ! Se montrera plus indulgente envers toi, en constatant que ta relation avec Christian, n'interfère en rien tes études ! Certes, il est plus que probable que tu te prennes, une bon aller-retour et un très gros savon, de sa part, ainsi que Christian ! Complice, comme ta Tante, qui à mon avis se fera allumer par sa grande sœur ! Mais, je pense que ça vaut, le coup d'être tenté ! Plutôt qu'une délation extérieur, surtout si elle vient de l'une de tes sœurs, qui ne se gênera pas pour en rajouter davantage, comme les miennes ! Et ce que je crains profondément pour toi, c'est que ta mère plus attentive à tes frangines, se reproche d'avoir été de nouveau berné, par son aînée brillante, certes ! Mais qui a conservé, ce coté cachottière et menteuse ! Et compte tenu de mon aveu de samedi dernier, j'ai peur qu'elle ne décide de remettre au goût du jour, comme tu le disais, une méthode qui fait ses preuves, malgré tes 22 ans passées ! Ceci à l'image de ma mère, qui n'hésite pas, avec moi quand c'est nécessaire! ».

    Les paroles de Caroline étaient pleines de bon sens et Christine tout en remerciant son amie, dévoila sa pensée profonde, avec une certaine émotion et une angoisse se lisant sur son visage !

    Christine : « Tout ce que tu viens de dire, est juste Caroline et je te remercie pour ta franchise, ainsi que tes conseils ! Mais, je ne me sens pas capable d'affronter Maman et tenter le diable, même avec l'aide de Christian ! Et malgré ma crainte, d'une dénonciation extérieur, peut-être qu'avec un peu de chance, elle n'en saura rien, puisque début septembre Christian, part en Afrique pour 6 mois ! Je verrais donc ça, à son retour et surtout s'il n'a pas changé d'avis à mon égard ! ».

    Cette dernière phrase, nous fît rire tous les quatre ! Sauf que Christine malheureusement se trompait sur la tournure des événements et donc nous allions, Caroline et moi, avoir la confirmation le vendredi soir, puisque nous étions invités à dîner chez Madame Spaak ! Et quelques surprises ! Autant pour nous, que les personnes intéressées !

    A suivre................

    Amicalement, Dominique

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  43. Chère Christine,

    Ma chère conteuse préférée serait-elle, en vacances ? Sa dernière réponse étant du 25/07, si c'est la cas, j'avoue qu'une petite information de sa part serait la bienvenue, comme je l'avais fait en début de mois ! Même si je sais que ce n'est pas dans ses habitudes !
    Alors peut-être serait-il utile, dans toucher deux mots à Maman Spaak, qui saurait sans aucun doute rappeler à sa fille, quelques bonnes valeurs que celle-ci néglige, malgré son âge et son intelligence !

    Bien évidemment, ceci n'est qu'un trait d'humour du facétieux Dominique, toujours en vacances cumulant congés et récups non prises en cours d'année, un peu à l'image des personnes originaires des Dom-Tom ! Donc plus disponible, en ce moment pour servir à sa conteuse, la suite du synopsis ou des commentaires, sauf que j'avoue être comme vous ma chère conteuse, plus pris par le premier ! Mais je pense que vous n'êtes pas déçu, comme la Christinette ne l'était pas, une fois étalée au travers des cuisses de Maman ! Hi, hi.............

    Amicalement, enfin si je puis dire ! Dominique

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  44. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Au cours des jours suivants, Caroline et Christine, vinrent nous chercher tous les deux, puisqu'elles suivaient les mêmes cours ! Alors que les sœurs rentraient séparément par le bus et nous déposions Christine et Christian chez ses parents ou chez la Tante de celle-ci, sa maison ayant un accès par l'arrière donnant, sur l'autre rue ! Avant que Caroline ne me ramène à la ferme !

    Le mercredi soir, Christian étant de service pour la nuit (22h/6h), il avait récupéré Christine à la sortie de la fac, pour passer un moment avec elle ! Alors que moi invité, par les parents de Caroline, à dîner, je rentrais directement avec ma dulcinée, chez elle ! En arrivant, nous vîmes les deux mères en train de papoter, sur le trottoir !
    Madame Spaak, s'interrogea alors sur l'absence de sa fille : « Bah ! Christine n'est pas avec vous ? »

    Caroline, un peu hésitante, répondit : « Euh, non ! Je l'ai déposé à la bibliothèque, pour faire des recherches d'éléments, sur un sujet de sociologie, qu'elle doit présenter demain ! J'voulais venir avec elle, mais comme Dom était là, elle m'a dit non, c'est pas la peine ! Rentre avec lui, j'prendrais le bus ! ». Je ne sais pas, si Caro l'avait vraiment convaincu, toujours est-il qu'elle accepta l'alibi ! Précisant qu'elle avait d'autres chats à fouetter, comme on dit !

    Madame Spaak : « Je te fais confiance, Caroline, ainsi qu'à Christine ! Vous êtes toutes les deux travailleuses et brillantes dans vos études, ce qui est plaisant! A l'inverse de ses deux sœurs, qui ne forcent pas trop d'effort ou agissent encore comme des gamines et il y en a une, qui est en train de m'attendre ! Mais qui n'est pas très pressée de me voir arriver ! ». Caro pensant à Aline et ses difficultés d'apprentissage avança !

    Caroline : « Ah !!! J'imagine qu'Aline, a ramené une mauvaise nouvelle ? », la mère enchaîna aussitôt !

    Madame Spaak : « Eh bien, pas du tout, ma grande ! Tu te trompes ! Tout va bien pour Aline, qui a bien retenu la leçon de son dernier partiel ! Non, c'est mademoiselle Diane qui n'a rien trouvé de mieux à faire que de se montrer vulgaire et grossière, envers l'un des intervenants sur le programme qu'elle suit, si bien que celui-ci est allé voir le recteur, qui a décidé d'exclure la demoiselle jusqu'à la prochaine rentrée, certes il ne reste qu'une semaine de cours ! Et comme elle va la passer avec moi, crois-moi que celle-ci n'aura rien d'une semaine de vacances supplémentaire ! A commencer par ce soir ! ». Caroline avait bien compris que la mère était très remontée contre Diane et pensant, en même temps au secret de son amie ! Elle tenta d'apaiser, la colère de la mère !

    Caroline : « Vous avez raison, Anne-Marie, ce qu'a fait Diane est très bête ! Mais d'un autre coté, elle aussi brillante, que Christine ! Et vous savez, que l'on peux craquer sous la pression, à certains moments, alors sans excuser Diane, pour son comportement idiot, peut-être qu'un très gros sermon, serait suffisant ! Vous ne pensez pas ? ».

    Madame Spaak : « C'est gentil de ta part, Caroline pour Diane ! Mais je connais suffisamment mes filles, pour savoir ce qui leur permet de vraiment réfléchir et puis après Aline, pour son partiel, je ne ne peux pas faire, de différences ! Elles ne comprendraient pas, donc Diane aura droit à ce qu'elle mérite, comme sa sœur ! A suivre............. !


    Amicalement, Dominique

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  45. Non, je n'étais pas en vacances, juste en week-end prolongé pour cause de mariage d'un couple d'amis, sur la côte.
    Je retrouve pas mal de (bonne) lecture. J'y répondrai demain. Merci Dominique. Je vois que la suite promet d'être chaleureuse pour Diane...

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  46. Chère Christine,

    Je suis ravi, pour vous que vous ayez pu, profiter d'un long week-end de détente et quand vous dites sur la côte, je ne sais pas s'il s'agît de la côte d'azur, mais si c'est le cas, vous n'étiez pas très loin de ma nouvelle habitation, ceci pour l'anecdote !

    Sinon, je vois que mes écrits vous ont plu, alors sachez que j'en prépare d'autres ! Bon, une certaine Christine de presque 23 ans, risque de ne pas les apprécier ! Mais il faut bien, en arriver au final et contenter la grande Christine, d'aujourd'hui !

    Amicalement, Dominique

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  47. Non, Dominique, il s'agissait de la côte charentaise. Sinon, j'avoue être assez impatiente que le récit se prolonge, tant que le premier rôle revient à la (trop) taquine Diane...
    Et, même, pour être franche, comme nous sommes dans le virtuel seulement sur le synopsis version 23 ans, je suis, malgré tout, curieuse de découvrir ce qui va arriver à Christine, ne serait-ce que pour voir si je continue à me prendre au jeu, et peux imaginer ladite scène que je devine...
    De mon côté, j'ai avancé la suite 75 de la Chronique d'un redoublement, et la mettrai en ligne très vite.

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  48. Chère Christine,

    Je constate avec plaisir, que la grande Christine s'est remis au travail pour la suite 75 ! Et votre impatience sera récompensée, dans un premier temps pour la petite Diane exclue de la fac et qui aura bien méritée, la leçon maternelle ! Mais peut-être qu'il y aura de nouvelle surprises, que je me réserve d'énoncer pour d'autres, avant le bouquet final ! Point d'orgue du synopsis Dominicain !

    Amicalement, Dominique

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  49. Je me doute bien de ce à quoi pourrait ressembler le bouquet final... Cela dit, ne rajoutez pas trop de surprises quand même... Il ne faudrait pas se disperser trop et perdre le fil, le cheminement de l'histoire concernant Diane puis Christine est déjà suffisant à décrypter en détail je pense...

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  50. Chère Christine,

    Rassurez vous, Christine, les surprises seront incluses dans le développement concernant Diane et Christine, il n'y aura donc pas de dispersion, mais de simples compléments verbaux aussi difficiles à supporter que d'autres choses ! Et tout cela est en préparation, ma chère conteuse !

    Amicalement, Dominique

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  51. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    La mère ajouta : « Et puis, Caroline ! Si Diane est brillante dans le travail, c'est vrai ! Elle est encore très gamine dans son comportement et toujours aussi turbulente ! Alors vois-tu, je doute que même un très gros sermon, la fasse vraiment réfléchir ! Tandis que cela, sera beaucoup plus efficace, au moins pour un certain temps ! Celle-ci accompagnant, sa dernière phrase, par un geste significatif (bras levé et paume de main bien ouverte), ce qui fît rosir le visage de ma petite Caroline et sourire sa mère, qui pris la parole !

    Madame Lebrun, ma future belle-mère : « Anne-Marie, je suis bien d'accord avec vous, rien de telle qu'une bonne déculottée, pour que tout rentre dans l'ordre et mes filles le savent ! N'est ce pas ma chérie ? ». Là ! Ma Caroline, aussi rouge qu'une tomate, balbutia un timide « Oui, oui, M'man ».
    Je sentais les deux mères, en parfaite osmose sur le sujet, tout en étant un peu gêné pour ma jolie Caroline ! Et j'intervins, de manière un peu sèche, mais avec un certain humour !

    Moi : « Bon ! Mesdames, je ne voudrais pas vous déranger ! Mais, il faut que je me lève à 4 heures, demain matin, pour remplacer mon collègue Christian et je ne voudrais pas me coucher trop tard ! », ce qui fît sourire les deux femmes ! La mère de Caro, me disant « Bein alors, le grand Dom veux se coucher comme les poules !! », faisant alors rire les deux femmes, mais pas ma Caro qui pensait à son amie, qui était justement avec lui, au moment ou nous parlions !
    Et alors que nous discutions de choses et d'autres, Christine arriva à pied (déposée par Christian à l'arrêt de bus, dans la rue adjacente) et sa mère lui si sa recherche à la bibliothèque, c'était bien passée, un peu hésitante Christine s'en sortie, grâce à un petit signe de tête de Caroline.

    Christine : « Euh..., oui, oui, Maman ! J'ai trouvé ce qu'il me fallait ! »

    Madame Spaak : « C'est bien, ma fille, tu n'as donc plus qu'à préparer ta présentation ? ». C'est à nouveau Caroline qui sauva, Christine, en embrayant aussitôt.

    Caroline : « J'ai dis à ta mère, que tu faisais des recherches, pour la présentation de sociologie, que tu dois faire demain ! »

    Christine : « Oui, en effet ! Mais juste mes notes, à relire ! Ayant tout préparé, à la bibliothèque ! » et changea de conversation, en ajoutant « Mais vous, qu'est ce que faites sur le trottoir, tous les quatre ? »

    Madame Spaak : « Oh, c'est simple, Christine, j'étais venu demander un conseil de botanique, à la Maman de Caro ! Et lorsque, ils sont arrivés, comme je n'étonnais de ton absence ! Caroline m'a dit qu'elle t'avait déposé à la bibliothèque et nous avons continué, à discuter de choses et d'autres ! », ajoutant « Et notamment de Diane, qui a eu un souci à la fac et m'attend, mais n'est certainement pas pressée, de me voir revenir si tu vois, ce que je veux dire ! ». Christine, un peu étonnée, sachant que sa petite sœur était brillante, mais toujours aussi turbulente, repris.

    Christine : « Diane ? Elle a raté, un test ou un partiel, comme Aline ? », ce qui enchaîner la mère !

    A suivre...........

    Amicalement, Dominique

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  52. Voilà une suite qui fait bien avancer le synopsis, et reste dans le très plausible. Bien joué, Dominique.
    J'en imagine aisément les pensées de Christine, se trouvant en position délicate, par cette rencontre en pleine rue :
    "Heureusement que Maman et Mme Lebrun n'étaient pas dans la rue voisine. A cent mètres près, elles auraient vu Christian me déposer à l'arrêt de bus... Cela n'aurait pas été commode à expliquer. En tout cas, je dois une fière chandelle à Caroline, qui m'a sauvé la mise... J'espère quand même que Maman n'a pas trop remarqué mon hésitation. Elle a le don de lire souvent dans mes pensées, et de deviner mes éventuels mensonges. Je me souviens de toutes ces fois, quand j'étais au collège, où j'inventais des histoires pour expliquer telle mauvaise note, ou quand je tentais de cacher un bulletin de colle, ou quand je voulais faire croire que l'on n'avait pas eu tel résultat, histoire de gagner un jour ou deux, mais où, si j'avoue avoir réussi un certain nombre de fois, j'étais souvent démasquée par une mère attentive et connaissant mes réactions, mes gestes quand ils sonnaient faux... Bon, heureusement, que je ne suis plus à cette époque... C'est vrai, pourquoi ces souvenirs remontent ainsi ? Je suppose que c'est à cause des déboires de mes soeurs encore confrontées à la discipline maternelle, elles... Cela dit, j'aurais peut-être dû suivre les conseils de Caroline et parler à Maman, à un moment tranquille, de ma relation avec Christian. Elle aurait sûrement compris. Mais, bon, on verra plus tard. Aujourd'hui, lui en parler reviendrait à lui expliquer que je viens de lui mentir à propos du prétendu devoir de socio. Ce ne serait pas une bonne entrée en matière, connaissant Maman, et surtout depuis qu'elle sait que Mme Lebrun n'hésite pas à remettre au goût du jour des méthodes que je n'ai que trop connues à mon goût...

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  53. Chère Christine,

    Excellent rebond, Madame la conteuse ! Et Dominique vous remercie pour le compliment !

    Tant qu'au pensées de Christine, que vous évoquez (et vous êtes la mieux placée), elles me seront fort utile pour la suite ou à un moment donné, je me mettrais dans la peau de la grande Christinette devant affronter Maman ! Néanmoins pour l'instant, c'est la petite sœur qui occupe le terrain et la suite arrive !

    Par contre, il est vrai que les conseils de Caroline étaient judicieux, mais comme vous le dites si bien, le moment n'est pas opportun pour dévoiler, à sa chère Maman, ce qu'on lui cache depuis plusieurs mois et avouer des mensonges, en plus ! Devoir de socio inexistant et réponse négative sur
    la fréquentation d'un petit ami ! Ce donc Maman, se souviendra, à n'en pas douter !

    Amicalement, Dominique

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  54. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Madame Spaak : « Oh, non, Christine ! Ta petite sœur, a fait bien plus fort qu'Aline ! Celle-ci a été exclue de la fac, jusqu'à la prochaine rentrée, pour vulgarité et grossièreté envers un intervenant, certes il ne vous reste qu'une semaine et demi, de cours ! Mais comme elle va la passer, à la maison, crois-moi qu'elle va s'en souvenir, à commencer par ce soir ou ça va bien barder pour son matricule et connaissant la malignité de ta sœur, je pense qu'il y en aura d'autres, d'ici la fin de la semaine prochaine ! ».
    Aucun mot précis n'avait été prononcé, mais tout le monde avait compris ! Et ce donc, ne se doutait pas Madame Spaak, à cet instant ! Focalisant sur le cas de Diane ! C'est qu'elle allait en effet avoir plusieurs soirées, très riches en événements et en actions ! Et, pas seulement pour la petite Diane ! Là, Christine, en grande sœur protectrice qu'elle était, même si Diane ne l'avait pas épargné dans la moquerie, à une certaine époque ! Tenta, elle aussi de minimiser le courroux de sa mère !

    Christine : « C'est vrai, Maman, tu as raison ! Ce qu'à fait Diane, est totalement crétin de sa part ! Mais, sans vouloir la soutenir, elle fait de bonnes études, certes elle est impulsive et turbulente ! Alors que tu veuilles la punir pour cela, c'est normal et je te comprends ! Puisque tu as puni Aline pour son partiel ! Mais peut-être, que pour une fois, tu peux le faire de façon différente, puisqu'elle sera avec toi, durant la dernière semaine, non ?

    Madame Spaak : « Et bien, dis-moi, Christine ? Vous, vous êtes donnez le mot, Caroline et toi, pour prendre la défense de ta petite sœur ! Je sais qu'elle est brillante, dans ses études, comme toi ou Caroline ! Mais il n'empêche qu'elle a toujours, cette impulsivité comme tu dis, qui l'entraîne dans des excès, que je ne peux accepter ! Et tu me connais assez, pour savoir que quand le vase de Maman déborde, il ne reste plus qu'une chose à faire ! Je pense pas qu'il faille te faire un dessin, même si tu n'es plus vraiment concernée ? »

    Christine rosissant du visage et un peu fébrile répondit : « Non, non Maman, je le sais bien ! » et sur ce, la mère dit en souriant !

    Madame Spaak : « Bon et bien, nous allons rentrer, car j'ai une tourte à mettre au four et je dois discuter avec une certaine demoiselle, qui m'attends et toi, Christine, tu dois relire tes notes, pour être prête demain ! » et celles-ci prirent alors congés !
    Caroline eu comme un petit soupir de soulagement, que sa mère perçut et lui en demanda la raison !

    Madame Lebrun : « Bah, dis-moi Caro ! T'a l'air contente qu'elles soient parties ? C'est pas vraiment dans tes habitudes ? ». Ma jolie Caroline, s'en sorti par une pirouette !

    Caroline : « Non, non, M'man ! C'est juste que j'pense à Diane, qui va s'en prendre une très sévère et même si je ne l'excuse pas, pour ce qu'elle a fait et qui est très crétin ! Je connais assez sa mère, pour savoir qu'elle va passer un très sale quart d'heure et dont on aura certainement, les échos ! ».

    Madame Lebrun : « Oui, c'est sur, Caroline ! Et je compatis également pour Diane ! Mais, elle la bien cherchée ! D'ailleurs tu sais très bien que cela arrive, souvent à tes sœurs ! ».

    Caroline : « Oui, M'man, mais elles sont encore gamines, alors que Diane a plus de 18 ans et elle fait de brillantes études ! ». A suivre...........

    Amicalement, Dominique

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  55. Cela commence à devenir angoissant pour Diane, dans le récit de Dominique. Même Christine et Caroline compatissent à l'avance... C'est généreux de leur part, malgré les moqueries dont soeurette s'est souvent rendue coupable vis à vis de son ainée...
    Mais, comme Dom fait dire à Maman Spaak : "quand le vase de Maman déborde, il ne reste plus qu'une chose à faire"...
    Et, Christinette, comme Christine de 23 ans ou de maintenant, le savent bien et en gardent de multiples souvenirs... La "seule chose à faire", c'est bel et bien de "préparer ses fesses", de prendre conscience de la chance que l'on a qu'elles soient encore toutes blanches, en sachant parfaitement qu'elles seraient bientôt complètement à l'air, mises à nu, déculottées, pour que Maman les claquent et les rougissent en leur donnant la bonne fessée bien méritée...

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  56. Chère Christine,

    C'est vrai, Christine, ça sent très mauvais pour Diane ! Maman Spaak, étant particulièrement remontée et j'avoue qu'il y a de quoi, même si sa sœur aînée et Caroline on jouées les avocates, sans réussite, la plus jeune des filles Spaak va vivre un très long quart d'heure, au travers des cuisses de Maman et devoir également supporter des paroles maternelles, très mortifiantes ! Mais ce sera pour le synopsis !
    Sinon, ma charmante conteuse, a parfaitement traduit l'expression que j'ai mis dans la bouche, de sa chère Maman ! Étant très au fait des us et coutumes, de celle-ci ! N'est ce pas Christine ? Hi, hi....

    Amicalement, si je puis dire ! Dominique

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  57. Je ne doute pas que soeurette va passer un sale quart d'heure, mais au fond n'est-ce pas un juste retour des choses, la demoiselle l'ayant méritée, et cela rattrapera un peu de "l'avance", si j'ose dire, que j'ai en matière de rendez-vous sur les genoux maternels...
    Quant aux "us et coutumes" de notre chère mère en la matière, c'est vrai que j'en suis "très au fait", en ayant eu une expérience qui n'était pas que théorique, mais également pratique... Et, hélas, un certain nombre de fois que je préfère ne pas compter...

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  58. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Nous étions donc installés sur la terrasse arrière de la maison, pour prendre l'apéritif et dîner ! Tout comme chez les Spaak, puisque que l'on entendait la mère discuter avec Christine et Aline, les deux maisons étant à 7 ou 8 mètres, l'une de l'autre et seulement séparées par, un grillage et une grande haie de troènes, qui laissaient passer les sons.

    Madame Spaak : « Bon, les filles ! La tourte sera prête dans 45 minutes, soyez gentilles de mettre le couvert, pendant que je monte voir Diane ! Les fenêtres des chambres, donnaient également sur l'arrière de la maison, deux à l'étage et deux au rez de chaussée, celles de la mère et de Christine !
    Et comme, il faisait beau, celles-ci étaient grandes ouvertes ! Nous, savions donc que la bande son allait nous parvenir, ainsi qu'aux deux sœurs sur la terrasse ! D'autant que dans ces cas là, la Maman avait le verbe plutôt haut, qui résonna après moins de deux minutes, par une injonction !

    Madame Spaak : « Diane ! Tu laisses cette fenêtre ouverte et tu viens ici, tout de suite, je n'ai pas que cela à faire ! Alors exécution, ma petite fille ! Maman va donner ce que tu mérites et tant pis pour toi, si les gens entendent la fessée, de la soi-disant grande demoiselle Diane ! Ça t'aidera peut-être à réfléchir ! ».
    Diane : « Non, non, M'man ! J'ten supplie ! Promis, j'recommencerais plus ! Promis ! Juré ! »

    Madame Spaak : « Oh, mais j'y compte bien, ma petite fille ! Surtout après, la bonne déculottée que je t'ai prévue, crois-moi que tu ne vas pas être déçue ! Alors ne me fait pas attendre plus longtemps! Sinon, tu risque vraiment de le regretter ! Souviens toi, donc de ta grande sœur qui s'y était essayée ! Je pense qu'elle s'en rappelle ! Allez, DIANE, ICI ET TOUT DE SUITE !!!!!!!».

    Se regardant avec Caroline, nous avions compris que la mère avait atteint son point de rupture et que Diane allait passer, une très sale quart d'heure ! Tout en pensant à Christine, qui devait être toute rouge, de part la référence maternelle ! Sur la terrasse, nos échanges avec ses parents étaient du genre feutrés, emprunts d'une certaine compassion pour Diane ! A l'inverse des frangines de Caro, qui souriaient ouvertement et mettaient la main devant leurs bouches, pour se retenir de rire ! Ce que remarqua ma future belle-mère, qui réagit au quart de tour !

    Belle Maman : « Ah, ce qui se passe à coté, vous amusent ? Peut-être ? » ce qui entraîna une double réponse, l'une de Sylvie apeurée et l'autre insolente de la fonceuse Bernadette !
    Sylvie : « Nooon, noonn, M'man ! C'est v'nu comme ça ! Pardon, M'man ! J'arrête, promis ! »
    Bernadette : « Bein, si on peux plus s'amuser, vraiment ! Pfff ! »
    Là, je vis le visage de ma belle-mère, changer de physionomie et s'adressant à sa fille !

    Belle Maman : « Ah, tu trouves ça amusant ? Et bien, pas de problème, ma chérie ! On va voir, s'y ça t'amuses autant, en étant à la meilleur place ! A la différence avec Diane, c'est qu'il y aura également l'image de cet amusement, pour tous ! ». Ma belle-mère, se levant, fondit alors sur Bernadette ! Qui figée sur sa chaise, ne pût que quitter celle-ci, tirée qu'elle était par les cheveux ou Jacqueline (ma belle-mère) pris place et bascula sans aucun ménagement sa fille, retroussant dans la foulée, la petite robe d'été qu'elle portait ! Dévoilant, une culotte 'petit bateau' très mignonne, mais qui n'allait pas resté en place très longtemps !

    A suivre.............

    Amicalement, Dominique

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  59. Chère Christine,

    Je partage votre avis sur le 'juste retour des choses' concernant la plus petite des soeurettes, vis à vis des grandes qui avaient pris une large avance, en matière de rendez-vous sur le giron maternelle !
    Néanmoins, la compassion n'est pas interdite envers elle, car Maman est très, très remontée et les fesses de la demoiselle, vont bien le sentir !

    Tant qu'aux 'us et coutumes' maternels ! Je sais que Christine ou même Aline avaient une expérience plutôt pratique, que théorique et qu'il est préférable, en effet, de ne pas en faire le décompte ! Ce qui risquerait de chagriner, la grande Christine, mais aussi Aline !

    Donc, je vous rejoins sur le fait que Diane, a parfaitement méritée sa volée, pour cette conduite inacceptable et j'ajouterais même, la semaine et demi, qui se profile sous la surveillance de sa Maman ! Qui risque d'être teintée, plutôt de rouge, que de rose ! Connaissant la perfide demoiselle !

    Amicalement, Dominique

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  60. Oui, je préférerais que vous ne me chagriniez pas, Dominique. Je fais déjà un bel effort de franchise en reconnaissant que mes connaissances des us et coutumes maternelles n'étaient pas que théoriques, mais hélas du domaine de la pratique (presque) fréquente, à une certaine période de ma pré-adolescence.
    Ce que j'aurais nié ou tenté de cacher devant des tiers.
    Alors, merci de ne pas aller plus loin en terme de décompte, qui risquerait de froisser ma pudeur, voire de me faire me sentir honteuse, voire de me faire rougir, même devenue grande...

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  61. Cela dit, côté synopsis, cela se bouscule dans les maisons voisines. J'ai noté que l'ainée avait une chambre au rez-de-chaussée ou rez-de-jardin, petit détail bien pensé, si ce que je crains devait être observé en douce...

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  62. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Ma belle-mère ne fît pas languir, Bernadette qui surprise par l'entrée en matière, ne résista pas si ce n'est par des « Non, non, M'man, j'veux pas, pas iciiiiiiiii !!! », avec en réponse un baissé de culotte sec et rapide à mi-cuisses, la demoiselle nous présentant alors, une jolie paires de fesses rebondies et toutes blanches, lui faisant pousser un cri d'horreur!

    Bernadette : « Non ! M'maannn, noonnn, pas devant Dommmm, tu peuuux pas, c'est horribleeee ! ».

    Belle Maman : « Ah ! Et pourquoi, ma fille ? Tu penses, qu'il va perdre la vue en voyant une gamine cul nu ? Moi, pas ! Car je pense qu'il a eu l'occasion de voir celles de ta grande sœur ! Alors si ça te gêne, tant pis pour toi, faut réfléchir avant de dire, des âneries, ma petite fille ! C'est trop tard ! ». J'avoue que j''étais un peu gêné, non de voir les fesses de Bernadette, qui attendaient la fessée, mais par la phrase de la mère concernant celles de Caroline !
    Là, sa mère lui colla une terrible dégelée, vive et rapide, sous nos yeux ! Elle poussait des cris et pleurait, sans retenue, celle-ci fût courte, mais intense ! La gamine remise sur ses pieds, fila sans demander son reste, dans sa chambre !

    Les sons de la claquée de Bernadette donnée sur la terrasse, c'était bien sur rependue, de l'autre coté de la haie ou les hostilités pour Diane, n'avaient pas encore commencer ! La mère et la fille étant en phase de discussion ! Comme la fenêtre de la chambre de Diane, était la plus proche, on peut penser que celle-ci avait stoppé son approche vers sa mère, qui la sermonnait vertement, puisqu'elle ajouta.

    Madame Spaak : « T'as entendu, ce qui vient de se passer à coté, ma fille ! Et bien, c'est la même chose qui t'attend, à l'inverse que ce sera plus fort et bien plus long ! Car crois-moi, que je ne vais pas me contenter d'une claquée, rapide sur tes fesses ! Oh, que non !!! Alors prépare les bien, car ça va barder, c'est moi qui te le dis !!! Allez finis les discussions, viens ici que je parle à tes fesses ! »

    On entendit clairement, Diane fondre en larmes, tout en suppliant sa mère qui ne répondit pas, mais qui avait certainement attrapé sa fille et couché au travers de ses cuisses, car un grand cri de la part de Diane, nous parvins.

    Diane : « Nooonn, non, M'maannn ! Paass la culotteeee ! J'teennn suppliiiee, j'suiiis trop grande! » obtenant bien sur une réponse opposée à sa requête, teintée d'ironie et d'infantilisation !!!

    Maman Spaak : « Non, mais tu rigoles, ma fille ! Tu ne penses, tout de même pas que je vais fesser ton pyjama ou ta culotte ! Ce sont tes fesses, de gamine vulgaire et grossière qui vont sentir ma main et fais-moi confiance, qu'elles vont bien la sentir ! Je t'ai promis une bonne déculottée et bien la voilà ! ».

    Et là, des claquements énormes et rythmés résonnèrent dans la pièce, accompagné par la voix de Diane, qui s'exprimait sans retenue à chaque claque ! Sylvie et ma Caroline, étaient un peu pâle ! Et sans les voir, j'imaginais qu'il devait en être de même, pour Christine et Aline, juste sous la fenêtre de la frangine ! Car ça claquait vraiment très, très fort et en continu ! La dégelée de Bernadette, n'avait rien de comparable, avec ce que se ramassait, la demoiselle Spaak et sincèrement, même moi, je n'aurais pas voulu être à sa place ! Et ce n'était que le début, de la correction !
    A suivre............

    Amicalement, Dominique

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  63. Chère Christine,

    Si vous le permettez et je sais que oui (prétentieux!), je voudrais revenir sur mon premier commentaire du 26/07, envoyé tardivement ou très tôt le matin (00h13), comme on veux !

    Sur le fait que mon dernier paragraphe, concernant la provocation faites à l'archiviste en chef, lors de l'épisode 73, au sujet d'un retour de plage, vers la location, seule avec Maman pour une bonne déculottée, laissant les petites à la garde de Tata !

    Ne suscitant de votre part, aucune réaction, ni même un simple compliment sur le travail accompli par l'archiviste en chef ! Bon, je reconnais que dans la masse de commentaires ou de synopsis, que je vous adresse, vous ayez pu escamoter ce passage et je ne vous en veux, donc pas ! Ceci n'étant qu'une simple remarque, du perfectionniste Dominicain ! S'attachant à faire de son mieux, pour satisfaire sa conteuse préférée !

    Amicalement, Dominique

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  64. Bernadette s'en prend une bonne, rapide mais sévère, du moins de l'opinion des ainées qui ont l'impression (pas fausse) qu'elles sont "soignées" davantage. J'aurais, puisque Dominique me fait une remarque par ailleurs, évité l'allusion maternelle à sa probable connaissance des fesses de Caroline. C'est plus de l'humour masculin ou militaire, que ce que peut dire une mère en de telles circonstances. En tout cas, je n'imagine pas Maman Spaak plaisanter ainsi.
    Cela dit, Diane est à son tour sur le grill, et la détermination maternelle, là, est en revanche bien rendue. Un renvoi est plus grave qu'une simple retenue, et soeurette va s'en apercevoir.
    Christine, qui a bon fond, devrait ressentir un peu de compassion pour sa cadette, surtout que le dialogue mère-fille et la très audible volonté maternelle de marquer le coup, ne peut que rappeler quelques épisodes de sa propre vie à Christinette.
    Comme on l'évoquait récemment, elle sait, mieux que quiconque, ce que sont les "us et coutumes" maternels en la matière...

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  65. Oui, Dominique, j'avoue avoir zappé la réaction au travail fructueux de l'archiviste en chef. Comme si j'avais un "devoir", style "commentaire de texte" à faire et que je ne l'ai pas fait... Pourvu, hi, hi, que ce ne soit pas consigné sur mon prochain bulletin, ni sanctionné par deux heures de colle...
    Effectivement, merci Dominique d'avoir retrouvé ladite référence. J'étais pourtant persuadée d'y avoir consacré un texte à part, mais c'est bien de cette "sortie de plage", si j'ose dire, sortie peu glorieuse devant les témoins auditifs des menaces maternelles, pour ne pas dire, pire encore, les témoins de la promesse maternelle puisque, dans ce cas précis, et je reprends le texte en question, << Maman laissa les petites sous la garde de Tata Jacqueline en disant haut et fort : "Vous pouvez rester encore un peu. Moi, je ramène Christine à la location. On va avoir une petite discussion. J'en ai assez de la voir faire des caprices depuis deux ou trois jours. Je pense qu'une bonne fessée va lui faire le plus grand bien...">>
    C'est vrai que, même si ce devait être surtout des inconnus, mais quand même des gens susceptibles d'être souvent dans le même coin de plage, voire des voisins de notre location, les paroles maternelles ne prêtaient à aucune confusion. Elles pouvaient observer mère et fille ramasser leur serviette de plage et se diriger vers le remblai, la mère avec une attitude déterminée, la fille tête basse et trainant les pieds, chacun pouvant imaginer que la seconde allait se retrouver sur les genoux de la première, et qu'il n'y aurait certainement plus la protection du maillot de bain...
    L'intéressant dans ce commentaire du 6 août 2013 aussi, c'est qu'il évoque "le carton rouge discret", celui où parfois Maman me glissait des mots sans équivoque à l'oreille, mais où ma réaction, que j'essayais de cacher, pouvait être décrypter par des proches, devinant ce qui allait m'arriver...
    C'est ce genre de "promesse maternelle" que j'imaginais dans la version 23 ans, témoin d'une volonté de Maman de "reprendre la main" à mon encontre, mais sans forcément que d'autres soient au courant, sauf que l'oeil perspicace d'une Diane pourrait comprendre et l'amener à vouloir espionner ladite suite, éventuellement en se confiant aussi à Caro...

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  66. Chère Christine,

    J'avoue humblement que l'allusion mise dans la bouche, de ma belle-mère est plus du ressort de l'ancien militaire, cela m'est venu comme ça et je présente mes excuses à la conteuse ! Néanmoins, je me dois de vous préciser, que Belle-Maman avait un langage très cru et pour l'illustré, je vais vous citer une petite anecdote, concernant Sylvie.

    Un dimanche étant invité chez ma dulcinée, pour fêter l'anniversaire de Bernadette, il y avait aussi la famille, Oncles, Tantes, Neveux et Nièces aux âges différents ! Dont l'un des garçons de 13 ou 14 ans assez provocateur, taquinait les filles plus jeunes que lui, en soulevant leur jupes ou robes par jeu ! Mais cela ne plaisait pas à Sylvie qui râlait et à un moment, celle-ci interpella son cousin « Mais, pourquoi tu fais ça, Julien ? C'est énervant !» avec en réponse « Bah, juste pour voir vos culottes et vos fesses ! ». Là, Sylvie lui dit « Ah, tu veux voir des fesses de filles et bien en voilà ! », celle-ci se retroussant et baissant sa culotte, en ajoutant « T'es content, maintenant ! ».

    Sauf que sa mère, ramenant le café, vu le geste et sans connaître le contexte, fondît alors sur sa fille, lui disant « Non, mais Sylvie !!! C'est quoi ces manières ? Ça t'amuses de montrer ton cul à tout le monde, peut-être ? », la gamine blanche comme un linge ne prononça aucun mot, à l'inverse de la mère qui ajouta « Et bien, je vais leur donner l'occasion de bien le voir, mais sous une autre apparence, une fois que je m'en serait occupé ! ».
    Sylvie tremblante, essaya de s'expliquer, mais rien n'y fît et ma belle-mère la courbât sous son bras ! Releva le bas de sa robe et baissant sa culotte, elle lui asséna une bonne douzaine de claques bien crépitantes, faisant crier la gamine et pris la fuite ! Honteuse et dépitée vers sa chambre, une fois relâchée !
    C'est là, que le frère de ma belle-mère et père du garçon, intervint « Denise, je comprends ta réaction pour le geste de ma nièce ! Mais le vrai fautif, c'est Julien qui depuis tout à l'heure, n'arrête pas d'embêter les fillettes, en jouant les petits coqs et malgré mes remontrances, il a continué ! Alors je vais donc montrer à tout le monde, que lui aussi a une paire de fesses qui peux changer de couleur !
    Le garçon ne rigolait plus du tout, lorsque son père l'attrapant par l'oreille, l'entraîna vers sa chaise ! Baissant d'un coup sec, son short et son slip, le coucha sur ses genoux pour lui flanquer une raclée qu'il n'a certainement pas oublié, son père ne se limitant pas à une quinzaine de claques ! Tannant copieusement le fessier, de son fils, qui implorait sa clémence comme un tout petit garçon !

    J'avoue qu'en assistant à cette dégelée, je repensais à celle que mon père m'avait filer à l'âge de 14 ans, pour avoir manqué de respect à Maman et j'en éprouvais des frissons, après plus de 10 ans !


    Amicalement, Dominique

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  67. Chère Christine,
    Réponse à votre 2° message, du 03/08.

    Rassurez vous, Christine ! Je ne vous en veux absolument pas d'avoir zappé l'info Dominicaine et y apporter une réponse, celle-ci ne sera pas consigné sur le prochain carnet et les heures de colle resteront en réserve, dans le placard de Dominique ! Au cas où ! Hi, hi...........

    Sinon, je reconnais que votre développement sur le texte en question, est fort judicieuse ! En effet, les mots utilisés ne prête à aucune confusion, pour les gens présents au moment de l'échange ! La jeune demoiselle, traînée par sa mère, va s'en ramasser une et certainement sans son maillot de bain ! Tout comme le 'carton rouge discret' maternel provoquant un changement de physionomie, chez la Christinette et amener des personnes de l'entourage Spaakien, à ce dire ! Oh, là ! La Christine va entendre parler du pays !!!!!

    Et merci, pour la piste à laquelle, j'avais déjà pensée pour la suite du synopsis, avec l'aide de Diane qui est pour l'instant sous les feux de la rampe maternelle ! Mais apprécierait que celle-ci, se dirige vers d'autres !


    Amicalement, Dominique

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  68. Oui, n'allons pas trop vite en besogne, puisque pour l'instant c'est Diane qui est dans le feu de l'action...
    Pour ce qui est de la sortie de la plage, je n'étais pas physiquement trainée par Maman, mais je marchais derrière elle à contre-coeur bien sûr. Elle allait d'un pas décidé, me demandant de la suivre sans tarder. Je restais à deux mètres derrière, essayant d'avoir une attitude détachée, cherchant à cacher mon angoisse, évitant surtout de croiser le regard des plus proches de l'endroit où nous étions installées, de ceux qui n'avaient pas manqué d'entendre la sentence maternelle...
    En restant ainsi un peu derrière, j'avais l'impression de ralentir notre progression, de gagner quelques secondes, sorte de réflexe christinien. En même temps, je ne voulais pas être trop loin derrière, pour éviter qu'elle ne se retourne et m'intime l'ordre de me dépêcher avec une de ses formules du genre : "Allez, Christine, dépêche toi, cela ne sert à rien de trainer, cela risque juste de m'énerver davantage..." Ou : "Christine, dépêche toi donc. A moins que tu ne préfères que l'on attende le retour de Tata et de tes soeurs pour que je te donne ta fessée devant elles..." Bref, je voulais éviter ce genre de remarques qui m'auraient encore plus fait honte. Et je suivis Maman sans plus rechigner, sachant qu'il fallait que je prépare mes fesses...

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  69. Chère Christine,

    Sans vouloir influencer, ma chère conteuse, il me semble que ce retour de plage mériterait un épisode à part entière ! Avec introduction, développement comportant les ingrédients de la famille Spaak et au final se terminer par la bonne fessée, de Christine, sans son maillot de bain.

    Ceci, n'est bien sur qu'une suggestion Dominicaine, comme celle déjà faite concernant la porte claquée, par Christinette, alors qu'elle venait tout juste de sortir, des genoux maternels après une tannée, sans aucun doute méritée.

    Amicalement, Dominique

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  70. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Cette entrée en matière, déjà bien longue, cessa d'un coup ! Et durant une ou deux minutes, seuls de grandes plaintes et des sanglots, parvinrent à nos oreilles ! Qui diminuaient, en tonalité, au fur et à mesure d'autant qu'il régnait un silence quasi religieux dans les deux jardins ! Puis la voix de la mère se fît entendre !

    Maman Spaak : « Enfin, Diane, est ce que tu te rends compte, de ce tu as fais ? Même ta grande sœur qui m'en a pourtant fait de belles, durant ses années de collège ! N'a jamais connu d'exclusion et surtout pour un motif, aussi grave ! J'espère que tu en as conscience, ma fille ? » et l'on entendit, la réponse de Diane entrecoupée de gros sanglots.

    Diane : « Ouiiii, ouiiii, M'amnn ! J'leee feraiiis pluuuus, promiiiis ! Maiiis, j'ten suppliiiiiie, arrêteeeee ! J'aiiii maaaal ! » amenant une réaction prévisible de la mère.

    Maman Spaak : « Oh, mais c'est très bien, si tu as mal ! Les bonnes déculottées d'une Maman, sont faites pour cela, tu le sais ! Comme tes sœurs ou celles de Caro, ainsi qu'elle même d'ailleurs ! » ajoutant : « Mais ce n'est qu'un début, ma chérie ! Alors n'exagère pas ! Crois-moi, que quand j'en aurais fini avec tes fesses, là tu pourras dire que tu as vraiment mal ! Fais-moi confiance, que tu vas comprendre ta douleur et ton erreur ! » avec en réponse, un « Noooonnn, M'maaaann » accompagné par une nouvelle crise de larmes, de Diane !

    Et dans la seconde qui suivit, les claquements reprirent toujours aussi forts, mais plus espacés ! Il était facile d'imaginer que la mère s'appliquait à rougir l'intégralité du fessier, de sa fille, n'occultant aucune partie de celui-ci ! Faisant deux ou trois pauses, pour laisser sa fille respirer, avant de repartir de plus belle !
    L'expression de la demoiselle, n'étant qu'un long gémissement ininterrompu et quelques cris plus aigus, lorsque la mère touchait des zones plus sensibles ! Ce n'était pas une simple déculottée, mais une véritable tannée que Diane se ramassait ! Et après une dernière pause, la mère paracheva son œuvre, par une claquée encore plus forte et rapide ! Faisant littéralement hurler, sa fille !

    Puis, tout à coup ! Plus de claquements ! Seuls résonnait la plainte et les gros sanglots de Diane, que sa mère avait dû abandonner à son chagrin ! Puisque moins d'une deux minutes après, on entendit la voix de celle-ci sur la terrasse, s'adresser aux frangines !

    Maman Spaak : « C'est bien les filles, vous avez mis le couvert ! Bon, je pense que votre petite sœur a bien compris la leçon et il reste, encore 15 minutes de cuisson pour la tourte, cela lui donnera le temps de réfléchir et de reprendre ses esprits, car comme vous avez pu l'entendre, je ne l'ai pas ménagé ! Mais elle le méritait, n'est ce pas les filles ? » amenant une réponse de l'aînée !

    Christine : « Oh, oui, Maman ! Ça pour entendre, on a entendu ! Et il n'y a certainement pas que nous, si tu vois ce que je veux dire ? »

    Maman Spaak : « Bien sur ma chérie ! Mais tant pis pour elle, ça lui apprendra peut-être à ne plus réagir comme une petite peste, mal élevée ! Ce dont, je doute, sois dit en passant, la connaissant ! »

    A suivre.....................

    Amicalement, Dominique

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  71. Oui, Dominique, j'en ai bien l'intention de décrire cet épisode que je croyais sincèrement avoir déjà développé. Mais, chaque chose en son temps, d'autant que je suis déjà entre ma suite d'épisodes de l'année du redoublement et le synopsis qui me fait réagir aussi. Cet épisode estival viendra logiquement après la fin de ladite année scolaire. Et si j'oubliais, je ne doute pas que vous me rappeliez à mes devoirs... Quitte à me faire croire que vous le diriez à Maman Spaak, hi, hi, qui n'apprécierait pas... Du tout !
    En attendant, Diane vient de se prendre une tannée digne de mes plus belles heures... Je me demande ce qui va arriver dans les heures suivantes ou plutôt, je suppose un jour prochain...

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  72. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    20 minutes s'étaient écoulées et la mère invita gentiment Diane à descendre pour le dîner, une première fois ! Comme celle-ci n'avait pas du obtempérer, Anne-marie renouvela l'appel, mais de façon plus sèche et forte !

    Maman Spaak : « Diaanneee !!! Tu descends ou il faut que je vienne te chercher ? » et là, oh surprise j'aperçus la demoiselle à la fenêtre de sa chambre, répondre à sa mère.

    Diane : « Vous n'avez qu'à manger, j'ai pas faim ! », le brouhaha d'une chaise s'en suivit et moins d'une minute après, la voix de Madame Spaak résonnait de nouveau à l'étage, accompagnée par des dénégations de sa fille !

    Maman Spaak : « Je ne t'ai pas demander, si tu avais faim, mais seulement de descendre à table ! Alors, je vais t'aider à le faire et te montrer, ainsi qu'à tes sœurs, qu'on ne se rebelle pas envers sa Maman, ni auprès des grandes personnes, donc tu ne fais pas encore partie ! ».
    Nous entendîmes clairement une descente tonitruante d'escalier, la jeune Diane donnant de la voix et une fois sur la terrasse, la mère repris la parole !

    Anne-Marie : « Allez, Diane ! Ne perdons pas de temps, car moi j'ai faim, ainsi que tes sœurs et elles demain, vont à la fac, à l'inverse de toi ! Mais t'inquiète, tu vas passer un peu plus d'une semaine avec ta Maman chérie, qui va bien s'occuper de toi et sans aucun doute de tes fesses, comme maintenant ! ». Bien entendu, la petite sœur se mis à crier, sa mère ayant du la coucher sur ses cuisses et la déculotter devant les frangines, avant de lui flanquer, une nouvelle dégelée ! Certes courte, mais bien cinglante (d'autant que celle-ci, tombait sur des fesses déjà endolories), les cris de Diane en témoignaient ! La Maman s'aidant de la voix !

    Maman Spaak : « Ah, on n'est moins fière jeune fille, dans cette position, devant ses grandes sœurs ! Et comme vous le savez, toutes les trois, il ne faut pas trop tirer sur la corde de la patience, de votre chère Maman, sinon ça vous tombe dessus ! Enfin surtout, sur vos fesses ! ». L'ayant relâché, la mère ajouta « Maintenant tu te mets à table et je ne veux plus t'entendre, sinon je t'en ressert une autre, avant d'aller au lit ! C'est bien compris ? Tout en pleurant, sa fille lui répondit !

    Diane : « Ouiiii, ouiii, M'man ! J'teeee demande pardon ! » permettant à la mère d'enfoncer le clou et pas seulement envers Diane !

    Maman Spaak : « Vous le savez, mes filles ! Il y a des choses qui m'insupporte au plus haut point, telles que la rébellion, la grossièreté ou le manque de respect, les cachotteries et le mensonge, ainsi que le manque d'effort, dans le travail ! Je trouve tout cela inadmissible, de la part de jeunes filles brillantes, à l'avenir prometteur ! Donc sachez, que je resterais vigilante et sans concession, si l'une de vous, fait un faux pas ! Et ceci quelque soit votre âge, tant que vous êtes sous mon toit ! ».

    A ce moment là, sur la terrasse d'à coté, deux personnes se regardaient, en entendant ce monologue ! Caroline et moi, bien sur ! Étant impliqués dans le secret de Christine et sachant très bien que si la mère le découvrait, par hasard, cela aurait des conséquences néfastes pour notre amie ! A suivre............


    Amicalement, Dominique

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  73. Très déterminée, Maman Spaak. Diane aurait mieux fait de descendre dès le premier appel de notre chère mère. La moindre rébellion ou le moindre signe de mauvaise volonté sont en effet immédiatement interprétés par Maman comme la preuve que la leçon n'a pas été complètement comprise, et qu'il vaut mieux, comme dit l'expression, battre le fer tant qu'il est chaud...Idem pour les fesses de soeurette...

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  74. Chère Christine,

    Merci, Christine, d'avoir adhéré à ma suggestion et je compte sur vous, pour la réaliser ! De toute façon je resterais vigilant comme Maman et serais vous rappeler, vos promesses en temps voulu !

    Tant qu'au synopsis une suite vous a été livrée et j'en prépare une autre, risquant d'ennuyer davantage Christine, qui entre en scène ! Ainsi que sa Tante, Caroline et moi !

    Amicalement, Dominique

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  75. Je ne doute pas que l'archiviste en chef ait aussi de la mémoire, et sache me rappeler mes promesses,.. Je ne voudrais pas prendre le risque qu'il en parle à la Maman de Christinette...
    Cela dit, vous pouvez très bien arrêter le synopsis sur cette vision de la lune écarlate de Diane, que je plains sincèrement, sachant mieux que quiconque sous ce toit, ce qu'elle ressent. Mais je me dis aussi que ce n'est qu'un juste retour des choses, ma très moqueuse soeurette ayant eu plus souvent qu'à mon tour l'occasion de voir la scène quand c'était son ainée qui en était la vedette... Si vous voyez de quoi je veux parler...
    Alors, inutile d'aller plus loin, restez-en là, cher Dominique...
    D'ailleurs, si j'ai regardé avec attention la scène, je me suis bien gardée de sourire ouvertement, on ne sait jamais, une Diane vexée étant capable de tous les coups en douce imaginables...

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  76. Chère Christine,

    Ah, non Christine ! Ce serait faire offense à la conteuse que d'arrêter le synopsis à ce niveau, bien sur celle-ci n'en serait pas mécontente, n'étant pas concernée ! Mise à part quelques remarques maternelles et des rappels de ses années de collège !
    Alors même si je partage votre avis sur le juste retour des choses, vis à vis de Diane qui n'a pas ménagé sa grande sœur, sur le plan de la moquerie, lorsqu'elle celle-ci tenait la première place des foudres maternelles, il y a quelques années en arrière !
    Néanmoins, je me permets de vous rappeler l'idée de départ du synopsis ! Donc, je ne peux que continuer, même si Christine préférerait, que je m'arrête là ! Ceci ne serait pas conforme à mon idée originelle et frustrant pour le conteur d'occasion, que je suis.


    Amicalement, Dominique

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  77. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Nos deux visages, affichaient comme une sorte d'inquiétude, ce que remarqua la mère, qui nous dit.

    Belle Maman : « Bah, vous en faites une drôle de tête, tous les deux, comme si vous craigniez quelque chose ? » me faisant embrayer aussitôt.

    Moi : « Non, non, Jacqueline ! C'est juste quand entendant la Maman de Christine, on a eu la ma pensée avec Caroline, à savoir qu'elle n'a pas l'air de plaisanter et que si l'une de ses filles, sort du bon chemin, elle risque les mêmes ennuis que Diane ce soir ! D'où notre réaction commune ! »

    Belle-Maman : « Mais tu sais, mon petit Dom (alors que je faisais, une tête et demi de plus qu'elle, ce qui en fait, était une marque affectueuse de sa part), moi non plus je ne plaisante pas et mes filles le savent ! D'ailleurs tu as pu le constater, tout à l'heure avec Bernadette et même ta petite Caroline n'y échappe pas, quand c'est nécessaire ! N'est ce pas, ma chérie ! ». Ma Caro se mît à rougir comme une pivoine et répondit.

    Caroline : « Oui, oui, Maman ! Et j'avoue, même si c'est pas facile! Que cela me permet de bien réfléchir à mes actes, parfois impulsifs et incontrôlés ! Dom le sait, on n'en a déjà parlé ! »

    Belle-Maman : « Et bien, tu vois mon petit Dom ! Même ta dulcinée, admets les biens faits d'une bonne déculottée, lorsqu'elle est méritée ! ».

    L'ennui étant que le jardin d'à coté, était silencieux, mise à part les pleurnichements de Diane ! M'indiquant que notre échange était parvenu, aux oreilles des filles et surtout de la mère, qui en rajouta une couche !

    Maman Spaak : « Vous voyez, mesdemoiselles, que vous n'êtes pas les seules concernées, par les bonnes grâces d'une mère attentive ! Alors tâcher de vous en souvenir, sinon, gare à vos fesses et ceci est valable, pour toutes les trois ! ».

    Là avec, Caroline, nous imaginions sans la voir, Christine devenir aussi pâle qu'un linge ! Elle l'épargnée depuis presque quatre ans, venait de s'entendre dire clairement, qu'elle était toujours susceptible de retrouver le giron maternel ! Sa mère étant certainement aidée en cela, par les propos de Belle-Maman et de Caroline ! ».
    Le repas dans chaque jardin, se passa normalement, Bernadette qui était redescendue, demanda pardon à sa mère et se mît à table en silence, comme Diane ! Les choses allaient se gâter pour deux autres à la fin, de celui-ci ! Une de chaque coté, du grillage ! Lorsque les mères demandèrent gentiment aux deux autres sœurs, de débarrasser le couvert et d'apporter la café !
    J'entendis clairement la voix de Christine dire « Oui, Maman, pas de problème ! » et de notre coté, Caroline en fît de même, seules Aline et Sylvie ne réagir pas, immédiatement !
    Ce qui allait déclencher, deux réactions, presque en simultanée sur les deux terrasses ! Tout d'abord en paroles, Belle-Maman, suivit par Madame Spaak dans un langage différent !

    A suivre..............

    Amicalement, Dominique

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  78. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Nos deux visages, affichaient comme une sorte d'inquiétude, ce que remarqua la mère, qui nous dit.

    Belle Maman : « Bah, vous en faites une drôle de tête, tous les deux, comme si vous craigniez quelque chose ? » me faisant embrayer aussitôt.

    Moi : « Non, non, Jacqueline ! C'est juste quand entendant la Maman de Christine, on a eu la ma pensée avec Caroline, à savoir qu'elle n'a pas l'air de plaisanter et que si l'une de ses filles, sort du bon chemin, elle risque les mêmes ennuis que Diane ce soir ! D'où notre réaction commune ! »

    Belle-Maman : « Mais tu sais, mon petit Dom (alors que je faisais, une tête et demi de plus qu'elle, ce qui en fait, était une marque affectueuse de sa part), moi non plus je ne plaisante pas et mes filles le savent ! D'ailleurs tu as pu le constater, tout à l'heure avec Bernadette et même ta petite Caroline n'y échappe pas, quand c'est nécessaire ! N'est ce pas, ma chérie ! ». Ma Caro se mît à rougir comme une pivoine et répondit.

    Caroline : « Oui, oui, Maman ! Et j'avoue, même si c'est pas facile! Que cela me permet de bien réfléchir à mes actes, parfois impulsifs et incontrôlés ! Dom le sait, on n'en a déjà parlé ! »

    Belle-Maman : « Et bien, tu vois mon petit Dom ! Même ta dulcinée, admets les biens faits d'une bonne déculottée, lorsqu'elle est méritée ! ».

    L'ennui étant que le jardin d'à coté, était silencieux, mise à part les pleurnichements de Diane ! M'indiquant que notre échange était parvenu, aux oreilles des filles et surtout de la mère, qui en rajouta une couche !

    Maman Spaak : « Vous voyez, mesdemoiselles, que vous n'êtes pas les seules concernées, par les bonnes grâces d'une mère attentive ! Alors tâcher de vous en souvenir, sinon, gare à vos fesses et ceci est valable, pour toutes les trois ! ».

    Là avec, Caroline, nous imaginions sans la voir, Christine devenir aussi pâle qu'un linge ! Elle l'épargnée depuis presque quatre ans, venait de s'entendre dire clairement, qu'elle était toujours susceptible de retrouver le giron maternel ! Sa mère étant certainement aidée en cela, par les propos de Belle-Maman et de Caroline ! ».
    Le repas dans chaque jardin, se passa normalement, Bernadette qui était redescendue, demanda pardon à sa mère et se mît à table en silence, comme Diane ! Les choses allaient se gâter pour deux autres à la fin, de celui-ci ! Une de chaque coté, du grillage ! Lorsque les mères demandèrent gentiment aux deux autres sœurs, de débarrasser le couvert et d'apporter la café !
    J'entendis clairement la voix de Christine dire « Oui, Maman, pas de problème ! » et de notre coté, Caroline en fît de même, seules Aline et Sylvie ne réagir pas, immédiatement !
    Ce qui allait déclencher, deux réactions, presque en simultanée sur les deux terrasses ! Tout d'abord en paroles, Belle-Maman, suivit par Madame Spaak dans un langage différent !

    A suivre..............

    Amicalement, Dominique

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  79. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite, développement et dialogue :

    Belle-Maman sur un ton, plus fort : « Sylviiiie !!! Je t'donne 10 secondes, pour lever ton cul de la chaise et aider ta sœur, sinon c'est moi qui vais t'aider à le bouger, avec ça ! », ma Belle-Mère avait le bras levé et la paume de la main, ouverte ! Quasiment en simultanée, on entendit la voix de Maman Spaak s'élever également !

    Anne-Marie : « Aline !!!! Je viens de vous demander quelque chose à toi et ta grande sœur, qui elle a obéit et tu sais que j'ai horreur, d'avoir à me répéter ! Donc, je te conseil, d'en faire autant, sauf si tu souhaites, que je m'occupe de toi, comme Diane ! ». La réaction d'Aline fût impulsive et idiote, face à sa mère, déjà à cran envers la plus petite des frangines.

    Aline : « Mais, Maman ! On a pas b'soin d'être à deux, pour débarrasser trois couverts et une cruche d'eau ! ». Là ! C'est la goutte qui fît déborder le vase de la mère, enchaînant !

    Anne-Marie : « C'est possible, ma fille ! Mais j'aime qu'on m'obéisse, immédiatement et vois-tu, à l'inverse pour une bonne fessée, il faut être deux ! ». S'ensuivit alors un brouhaha de chaises et de suppliques, de la part d'Aline, ainsi qu'une réplique maternelle sans appel !

    Aline : « Non, non, M'man, c'est bon j'obéis ! »

    Anne-Marie : « C'est trop tard, jeune fille et je vais te rappeler les bonnes manières ! Allez hop, sur mes genoux et sans culotte, peut-être que tu comprendras mieux, la notion d'obéissance que tu dois avoir, envers ta mère ! ». Bien sur, on ne voyait pas la scène, mais les bruits étaient distinctifs, ainsi que l'ultime appel d'Aline !

    Aline : « Noooonn, non, M'man, j'veux pas la fessée ! Jt'en supplliiiie ! » et donc la réponse ne surpris personne !

    Anne-Marie : « Oh, mais si mademoiselle, une bonne fessée déculottée, va te remettre les idées en place, comme ta petite sœur ! », aussitôt suivit de claquements et de cris significatifs !

    Les maisons étant surélevées et la place que j'occupais, me permirent d'apercevoir, Christine, qui revenant de la cuisine avec le café, se figer ! Restant quelques instants, sur le perron avant de descendre les trois marches, menant à la terrasse ! Sur laquelle, se jouait une symphonie au détriment des fesses d'Aline ! Alors qu'une autre allait démarrer, sur la nôtre !

    Car si bien sur, Sylvie s'était mis en route, poussée par la trouille ! Elle le fît en maugréant, alors qu'à coté cela avait déjà démarré et donna l'occasion à ma Belle-Mère, d'enfoncer le clou !

    Belle-Maman : « Sylvie, cesse de râler, sinon tu va faire écho à Aline ! J'te l'garantis !». Je ne sais pas si la gamine, avait saisi l'allusion ! Toujours est t-il qu'elle revint chercher le reste du couvert, en compagnie de sa sœur, qui entendant les bruits du jardin voisin, me demanda discrètement (faisant mine de me faire un bisou) !

    Caroline : « Qu'est ce qui passe t-il à coté, mon chéri ? ». A suivre.............

    Amicalement, Dominique

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  80. Aline qui prend la suite de Diane, là encore devant mes yeux, et pour ainsi dire devant les oreilles des voisins, voilà ce que j'appelle un synopsis animé...
    En tout cas, voilà qui me fait constater que Maman n'a rien perdu de sa détermination correctrice, et cela m'amuserait plutôt, et me consolerait de déboires passés si le discours maternel ne nous avait englobé toutes les trois dans la promesse de sévir si c'était nécessaire... Je ne prendrais pas cela au sérieux normalement, surtout après plusieurs années de tranquillité fessière, si j'ose dire... Mais l'exemple de Caroline commence à faire remonter mes angoisses, et des peurs que je croyais enfouies, mais qui demeurent terriblement présentes dans ma mémoire...
    Mieux vaudrait que je ne pense plus à cela, sinon je vais refaire des cauchemars peuplés de scènes gravées en moi... Et je préfère ne pas vous dire lesquelles...

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  81. Christine a nice blog plenty of botties being spanked rosey ,best spanks,Tim.

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