mercredi 11 juin 2014

Chronique d'un redoublement : 73. Quand Maman cherche, elle trouve... Quand elle promet, elle tient...

SUITE 72 


Je m'en sortais finalement mieux que je ne l'espérais, même si, à tout bien réfléchir, le raisonnement maternel était logique, le carnet n'apportant rien de neuf, puisque sa principale faiblesse avait été traitée, de cuisante manière quatre jours plus tôt.
Disons simplement que le climat qui régnait à la maison, et la réaffirmation fréquente que j'étais dans le collimateur, faisaient que j'étais constamment dans la crainte et que j'imaginais de nouveaux déboires avant même que leurs prétendus motifs ne soient réellement fondés.
J'étais évidemment soulagée d'avoir échappé à une fessée que je considérais comme inéluctable en rentrant avec mon carnet de notes. Mais, je me gardais bien de me réjouir, et surtout de parader devant mes soeurs. Elles avaient bien senti que le couperet n'était pas passé loin, et que la plus en danger ce soir-là était bel et bien la grande soeur, plus encore qu'Aline.

C'est vrai qu'en réfléchissant, j'avais peut-être été trop vite en besogne, en imaginant que ce carnet me conduirait directement sur les genoux maternels. Mais, les menaces répétées de Maman à mon encontre étaient si claires et apparemment sans la moindre nuance que je m'étais persuadée qu'en plus de mon carnet, c'étaient surtout mes fesses que je venais présenter à Maman.

La clémence passagère ne m'ôtait pas pour autant le poids de l'angoisse, ni le sentiment que ce n'était que partie remise...
Surtout que l'explication maternelle me ramenait à mes peurs. Elle n'avait pas dit : "Bon, ma chérie, finalement ce carnet est moins mauvais que je ne le craignais. Il y a quand même du bon, et j'espère que cela va continuer".  Ce qui m'aurait rassurée...
Non, Maman avait bien dit : "Ah, Christine, tu mériterais encore une bonne fessée... Tu as de la chance que je t'ai déjà punie pour tes résultats en français, sinon je te prie de croire tu aurais fini la soirée sur mes genoux... En tout cas, sache bien que ce n'est que partie remise, et que je vais te surveiller comme le lait sur le feu..."
Donc, si j'y échappais à ce moment précis, si j'avais "de la chance", c'était d'avoir été déjà punie... Etonnant raccourci quand même : ma "chance" c'était bel et bien, d'après elle, "la chance d'avoir déjà été fessée" ! Ah, quelle chance quand même... Vous parlez d'un raisonnement... Comme si, au lendemain d'une déculottée, j'allais me dire : aujourd'hui, je ne crains pas grand chose parce que j'ai eu "la chance hier" de récolter une tannée magistrale...

Ajoutez que Maman précisait bien que j'en "mériterais" bien une autre, et que, de toute manière, ce n'était que "partie remise" jusqu'au premier incident, et chacun comprendra que mon sentiment de "rescapée" ne m'incitait surtout pas à frimer ou parader...

Mes soeurs qui n'avaient rien manqué de l'explication entre leur ainée et leur mère, avaient également compris que j'étais dans le collimateur... A Aline, Maman avait dit : "Tu as intérêt à ce que le prochain bulletin soit meilleur". A moi, c'était : "Tu n'as pas intérêt à me ramener encore une mauvaise note". D'un côté, la menace était programmée pour le prochain bulletin, même si bien sûr d'autres notes intermédiaires pouvaient être dangereuses pour soeurette. Mais, de mon côté, ce n'était pas une menace à un mois d'échéance, mais une annonce que la prochaine mauvaise note serait, à n'en pas douter, suivie d'effet immédiat pour mon bas du dos...
Plus qu'une nuance, c'était la promesse d'un traitement sans délai au moindre manquement. Ceci assorti du fait que j'allais être surveillée "comme le lait sur le feu", ce qui m'assurait que Maman chaque soir allait éplucher cahiers, livres, cartable dès mon retour à la maison... 
De quoi me faire trembler à l'avance, car à défaut d'être parfaite ou angélique, je me doutais bien qu'il y aurait assez vite le motif nécessaire et suffisant aux yeux de Maman pour que la partie "remise" soit jouée avec éclat sur mes fesses...

D'ailleurs, dès le lendemain soir, en rentrant à la maison, pendant que je goûtais, c'est Maman qui se mit à examiner le contenu de mon cartable. Sans même m'avoir demandé si j'avais des devoirs ou quelque chose à lui montrer. "Je vérifie, c'est tout, Christine. Tu n'as pas à être inquiète si tu n'as rien à te reprocher..." expliqua-t-elle devant mon air interrogatif.




Maman s'est mise à vérifier le contenu de mon cartable
dès mon retour le soir après les cours.
J'angoissais, car je savais que le moindre motif
servirait à ce que Maman sévisse à nouveau...

Idem, le soir suivant, où elle remonta même dans certains cahiers bien en arrière, au cas où certaines choses lui auraient été cachées. Je vivais cela très mal, car cela me ramenait au temps de l'école primaire, où elle veillait à tout au quotidien.

Mes soeurs comprenaient qu'il y avait peut-être de l'orage à venir, et prenaient leur temps pour goûter, ne bougeant pas tant que Maman inspectait mes affaires.

Heureusement, ces deux soirs de suite, elle ne trouva rien à redire, du moins pas assez pour passer des promesses aux actes... Mais, moi, en la voyant feuilleter mes cahiers, tout regarder, je me sentais comme dans un tribunal, attendant le verdict, dont je savais qu'il serait : fessée ou pas fessée, sans guère de variante possible.

De toute façon, il semblait écrit dans le marbre qu'après mes deux mois de répit et un retour en fanfare sur les genoux maternels, la prochaine fessée ne tarderait pas et m'était comme réservée...
Aline et Diane ayant conscience que Maman n'était pas dans une phase tolérante, se comportaient d'ailleurs de façon plus calme, comme pour éviter que Maman ne change de cible... Elles cherchaient même à alimenter les charges contre moi, en se plaignant quand je ne leur donnais pas quelque chose qu'elles voulaient, ou en cherchant à m'agacer en douce. J'essayais, pour ma part, de ne pas tomber dans la provocation...

Quatre et deux, cela faisait donc six soirs de sursis, et j'en étais presque fière, ce qui montre combien l'angoisse était permanente. Il ne restait qu'un jour pour boucler la semaine, sauf que la confiance fragile qui aurait pu revenir, chuta d'un coup quand en cours d'anglais, la prof rendit une interro surprise, où ma copie était ornée d'un 8,5 sur 20, mais surtout de la mention : "Pas brillant pour une redoublante..."
Une fois encore, Mlle Paule m'alignait, alors que j'avais réussi ces trois derniers mois à obtenir toujours au moins une petite moyenne...

Je fis une telle grimace en lisant ma copie que la prof s'en aperçut et, comme pour me rassurer, pour une fois, elle qui était plutôt ma bête noire, me dit : "Ce n'est quand même pas une catastrophe, Christine, mais il ne faudrait pas que cela se reproduise."





J'avais fait une telle grimace en découvrant ma copie
que la prof, qui était pourtant ma bête noire,
chercha à me rassurer...
Si, pour elle, ce n'était pas une catastrophe,
moi, j'imaginais déjà la réaction de Maman...

  J'étais encore en cours, mais j'imaginais déjà que si je disais, à mon tour, ce soir à Maman : "Ce n'est pas une catastrophe, tu sais, je vais faire en sorte que cela ne se reproduise pas,", elle me répondrait : "Je connais la valeur de tes promesses, ma fille. Moi, j'ai une manière plus efficace pour que tu t'en souviennes..."

Une fois de plus, après les cours, je rentrai en trainant les pieds, tentant de faire bonne figure en retrouvant Maman, qui était assise sur le canapé du salon. Mais les quelques minutes de retard, et mon regard fuyant me trahirent... "Oh, toi, tu as une petite mine qui ne me dit rien qui vaille... Tu as quelque chose à me dire ?", demanda-t-elle...
Je répondis en balbutiant : "Euh, bah, c'est à dire, que, euh, il y a eu, euh, enfin, euh, une interro, euh..."
Maman me coupa : "Arrête donc ton charabia. Donne-moi ton cartable, cela ira plus vite..."
Je lui tendis et j'assistai pour le troisième soir à sa fouille en règle. Comme je fronçai les sourcils quand elle arriva au cahier d'anglais, Maman comprit que ce devait être dans cette matière, commentant : "Oh, j'en connais une qui ne semble pas fière. Si c'est ce que je pense, ça va barder..."

Si Maman me devinait à la moindre mimique, il en était de même pour moi, car comme je le craignais, si la note la fit un peu tiquer, c'est le commentaire de la prof qui déclencha sa colère : "Ce n'est pas possible, Christine. Je ne peux pas admettre que tu te relâches et redescende en dessous de la moyenne. Qui plus est, en anglais, où tu as déjà tellement fait des tiennes".

Je tentai de dire que c'était "une interrogation surprise", l'argument se retourna contre moi : "Justement, toi qui redouble en plus, tu devrais être prête à répondre à tout moment. C'est quand même un programme que tu as déjà étudié. C'est inadmissible, Christine..."

Je restai sans voix, trop persuadée que rien ne détournerait Maman de sa volonté correctrice... La suite le confirma, Maman concluant : "Ah, je savais bien que je devais t'avoir à l'oeil... Tu sais ce que je t'ai promis, Christine. Interro surprise ou pas, avec Maman, c'est le même régime... On réglera ça, toutes les deux, ce soir..."

J'eus comme un sanglot difficile à contenir, et mes yeux s'embuèrent... Je n'osais même pas supplier ou dire non... Je murmurai juste : "Mais, euh, Maman..."
Elle rétorqua : "Il n'y a pas de mais qui tienne, Christine. Tu m'as très bien comprise. Je t'ai assez prévenue depuis une semaine. Cette fois, tu n'y échapperas pas... Tu vas recevoir la fessée que tu mérites, voilà tout. Et je te prie de croire que ce sera une bonne fessée..."





Maman avait deviné mon trouble, rien qu'à mon attitude en rentrant.
Quand elle découvrit ma copie d'anglais, elle dodelina de la tête,
annonçant calmement, mais d'un ton que l'on ne discute pas :
"Cette fois, Christine, tu n'y échapperas pas...
Tu vas recevoir la bonne fessée que tu mérites..."

L'annonce sans équivoque et la précision finale ne tombèrent pas dans les oreilles de sourdes, Aline et Diane suivant la scène avec attention. Je baissai la tête et fuis leurs yeux devenus pétillants. Maman me rendit mon cartable et m'ordonna d'aller dans ma chambre faire mes devoirs. Je répondis, toujours tête baissée, que je n'en avais pas. Maman répliqua : "Eh bien, tu n'as qu'à réviser ton anglais, cela te sera utile. C'est à toi de travailler aussi sans qu'on ait à te le demander. En tout cas, occupe-toi. A moins que tu ne veuilles que je m'occupe tout de suite de tes fesses... C'est vrai, si tu préfères, puisque tu n'as rien à faire..."

Je sursautai, et m'entendis répondre : "Oh, non, Maman, Pas maintenant, pas maintenant". Et je tournai les talons pour monter dans ma chambre. Je me rendis compte que je n'avais même pas dit : "Non, pas la fessée", comme je psalmodiais souvent en de telles circonstances. Le "Pas maintenant" incluait ainsi presque une notion d'acceptation, puisque je choisissais en fait le temps de l'exécution...

Je passe sur les trois ou quatre heures suivantes qui me ramenèrent dans cette situation si insupportable et si souvent connue, celle de l'attente sans le moindre espoir... Comme toujours, je restais aux aguets, j'écoutais les moindres bruits de la maisonnée, les remarques maternelles, les espiègleries de mes soeurs, trouvant à la fois le temps long, mais ressentant l'angoisse monter avec les minutes qui passaient.

Maman donna un bain aux petites avant le diner. J'avais, moi, pris douche et shampoing la veille, et me contenterais d'une toilette au gant et brossage de dents. Ce qui fit que, seules, Aline et Diane étaient en pyjama pour le repas du soir. Je préférais, même si ce n'était qu'un détail.

J'avais du mal à avaler mon bol de soupe, et je finis la dernière, restant prostrée, ne disant rien, ne participant pas à la conversation qu'animaient au contraire mes soeurs. Maman me fit une remarque pour que je réagisse : "Ne reste pas le nez dans ton assiette, Christine. Tu n'as qu'à t'en prendre à toi-même de ce qui t'arrive... Ce n'est pas de ma faute si tu as encore mérité une bonne fessée..."

Je redressai la tête devant supporter le regard des trois autres convives, de celle qui allait me fesser, des deux qui, visiblement, imaginaient déjà leur soeur sur les genoux maternels...

Je fis l'effort jusqu'à avoir avalé la dernière cuillérée d'une crème à la vanille maison. Je ne bougeai plus sans reposer ma petite cuillère, qui aurait été le signe que j'avais fini de manger. Maman vit pourtant bien que tout le monde avait fini et demanda à mes soeurs de débarrasser la table puisqu'elles étaient déjà en pyjama. Puis, s'adressant à moi, elle prononça des mots que j'aurais deviné à l'avance : "Allez, toi, Christine, monte te brosser les dents et te mettre en pyjama. Et attends moi dans ta chambre, je vais venir m'occuper de toi..."
Je la regardais d'un air implorant sans oser prononcer la moindre syllabe. Elle ajouta : "Allez, Christine, ne me fais pas ces yeux là. Tu sais bien que Maman tient ses promesses... Allez, file donc là haut. Et prépare tes fesses, ma grande, prépare tes fesses..."

Tout était dit, et mon hésitation n'avait servi qu'à ce que Maman en rajoute dans l'annonce de ce qui m'attendait. Surtout que sa dernière phrase associait l'invitation à "préparer" mes fesses au qualificatif "ma grande", et cela donnait à l'annonce comme une sorte d'importance. En tournant le dos, et en allant vers l'escalier, j'eus l'impression que mes soeurs me regardaient, comme si elles me déshabillaient du regard, qu'elles observaient Christine monter attendre sa fessée, leur soeur ainée aller dans sa chambre préparer ses fesses, ses fesses de grande, pour une fessée de grande...



 
 En montant dans ma chambre, je sentais dans mon dos
les yeux pétillants et curieux de mes soeurs,
comme si elles me déshabillaient du regard,
voyant leur grande soeur aller attendre sa fessée de "grande" !

En entrant dans ma chambre, je vis que Maman avait préparé les affaires de nuit, mettant à laver le pyjama que j'avais ces derniers jours, et disposant sur le coin de mon lit une chemise de nuit et une culotte propre. Le détail me fit grimacer. Je n'aimais guère dormir en chemise de nuit, je préférais le pyjama plus couvrant, qui ne laissait pas les jambes à l'air, même si celle-là descendait jusqu'au genou.
La chemise de nuit comme les robes légères virevoltait trop à mon goût, et se dégageait, remontant trop aisément, même simplement de par le geste de la plongée en travers des genoux maternels.
Ce n'était évidemment qu'un détail, mais il est des circonstances où le moindre élément peut augmenter votre angoisse.

De toute manière, je n'avais pas le choix, et n'allais pas redescendre demander à Maman une autre "tenue de fessée", car c'est bien ce que symbolisaient à mes yeux ces vêtements de nuit posés sur mon lit.
Mes soeurs étaient vite remontées dans leur chambre, une fois la table rangée, et je me doutais bien qu'elles guettaient les allées et venues. Je devais aller à la salle de bains, y faire ma toilette du soir, puis réintégrer ma chambre, et je n'avais pas envie de les voir.


Je pris ma chemise de nuit et la culotte propre et ne me changeai qu'une fois dans la salle de bains, fermant la porte à clé derrière moi. Ce qui fut une bonne précaution car Diane tenta d'y pénétrer sous prétexte de se laver les dents, dès que je m'y fus réfugiée.


Je tentai d'effectuer mes gestes de façon automatique, comme si c'était un soir normal. Je ne pus m'empêcher d'entrapercevoir ma lune blanche, mais je la recouvris vite en enfilant ma culotte de nuit, essayant de m'enlever les images qui m'envahir à cet instant...





Je ne pus m'empêcher d'apercevoir ma lune encore blanche,
mais je la recouvris vite de ma culotte de nuit,
essayant de m'ôter de l'esprit ce qui m'attendait...


La toilette vite faite, je pliai mes affaires de jour pour les ramener dans ma chambre, et je traversai le couloir, tête basse, tenant le bas de ma chemise de nuit pour qu'elle ne virevolte pas dans ma précipitation. Les deux paires d'yeux de mes soeurs me suivirent du regard, ne manquant pas d'enregistrer à quoi ressemblait leur ainée angoissée, et dans quelle tenue, elle allait avoir une petite "discussion" d'un genre particulier avec Maman.

Ces regards curieux et moqueurs me faisaient très mal au coeur. J'avais l'impression qu'Aline et Diane ne compatissaient pas du tout, et étaient au contraire satisfaites que je reprenne en quelque sorte mon rôle de leader en la matière.
Et, surtout, après deux mois où j'avais été épargnée, si la première fessée que j'avais reçue, sept jours plus tôt, avait remis en partie, comme on dit, les pendules à l'heure, elle aurait pu n'être qu'exception confirmant la règle. Alors que, cette fois, la deuxième assez rapprochée ramenait la grande soeur à son statut de grande fille fessable comme ses soeurs, voire davantage.


J'étais moi-même en train de ressentir la même chose. Toute éclatante qu'avait été la fessée de la semaine passée, je pouvais au fond de moi l'associer à une sorte de record de jours où j'avais été épargnée. Maigre consolation certes, mais consolation quand même.
Alors que, me retrouver à attendre ma fessée, pour la deuxième fois à juste une semaine d'intervalle, me ramenait dans mes idées noires des périodes les plus agitées, et faisait aussi que je redevenais plus ou moins la référence familiale, celles dont les fessées et l'effet qu'elles avaient sur moi comme sur l'ambiance dans la maisonnée, servaient d'exemple...


Fataliste, désabusée, j'avais refermé la porte de ma chambre et je m'allongeai en tenue de nuit sur mon lit, ne guettant pas ou presque pas les bruits annonciateurs de ce qui m'attendait...
Je ne mis même pas l'oreille collée au mur mitoyen pour entendre ce que Maman allait dire aux petites en les couchant. Je ne le devinais que trop et ressentir la curiosité de Diane notamment m'aurait attristée encore davantage.





Désabusée et sachant trop que rien n'inverserait le cours des choses,
je m'étais allongée, en tenue de nuit, attendant Maman...
"J'arrive, ma grande, j'arrive..." avait-elle dit.
C'était surtout la bonne fessée déculottée qui arrivait... 


Avant d'aller voir mes soeurs, Maman entrouvrit la porte de ma chambre, pour voir si j'avais suivi les instructions. Elle me toisa du regard : "Bon, tu es prête, Christine ? Tu aurais pu en profiter pour réviser tes leçons, au lieu de flemmarder sur ton lit. Il est vraiment temps que je m'occupe de toi, et que tu te remettes à travailler comme il faut... Relève toi donc.Je couche tes soeurs, et j'arrive, ma grande, j'arrive..."

Je me redressai, puis restai assise sur le rebord de mon lit, là où Maman allait venir s'asseoir, comme d'habitude, oserais-je dire... Mes yeux s'embuèrent à nouveau, en me repassant sa dernière phrase : "J'arrive, ma grande, j'arrive..."  Elle n'avait pas employé exactement le même terme qu'à la fin du repas : "Et prépare tes fesses, ma grande, prépare tes fesses..."
Mais, là encore, comme je l'avais ressenti à ma sortie de table, elle avait associé "ma grande" à la fessée promise. Et j'en retirais une angoisse supplémentaire, même si je savais bien qu'elle allait me donner une fessée tout autre que celles que prenait Diane quand c'était son tour.

Je me relevai d'un bond quand, j'entendis la voix de Maman dans le couloir, conseiller à mes soeurs de ne pas faire de bruit, alors que s'il était bien des soirs où elles ne chahutaient pas, c'était quand il y avait à guetter chez grande soeur...

Maman entra, et laissa la porte grand ouverte derrière elle, ne la tirant même pas à moitié, comme souvent. J'étais comme pétrifiée, debout, droite comme un "i", et je reculai de deux pas, alors qu'elle alla directement s'asseoir sur le bord de mon lit.

Je me sentais fragilisée par ma tenue, et je tirais des deux mains sur ma chemise de nuit comme pour la faire cacher mes cuisses. "Euh, Maman, euh, non, euh, je vais travailler mieux... non, non", furent les mots qui sortirent de ma bouche, alors que Maman, elle, tapotait sur ses genoux en me faisant signe : "Viens ici, Christine".
Elle fronça les sourcils et haussa le ton : "Il n'y a pas de non qui tienne, Christine. Ni de promesses en l'air, comme d'habitude. Tu vas recevoir ce que tu as mérité... Il n'y a pas à discuter... Allez, lâche donc ta chemise de nuit, et enlève ses mains ridicules. Tu ne veux pas me fâcher davantage, n'est-ce pas ?"
Je fis le premier pas et, en se penchant, elle attrapa mon bras pour m'attirer vers elle. Je plongeai en travers de ses cuisses, ma chemise de nuit suivant le mouvement et dégageant déjà largement ma culotte de coton, heureusement bien couvrante elle...

"Maman, non, je travaillerai, promis, promis...", répétai-je, n'ayant souvent en de telles circonstances guère d'originalité, et rabâchant les mêmes promesses ou dénégations...





Je me sentais fragilisée par ma tenue, et je tirais sur ma chemise de nuit,
comme pour me protéger. Je fis tout de même le premier pas, me mettant
à portée du bras de Maman qui allait m'attirer et me faire plonger
en travers des genoux maternels...


Prenant le temps de bien remonter ma chemise de nuit, Maman commenta : "Oui, je l'espère bien, Christine, que tu vas mieux travailler. Et c'est pour cela que je vais te donner une bonne fessée, pour que tu t'en souviennes quand tu auras la tentation de chahuter ou de ne pas apprendre tes leçons... Tu sauras ce qui t'attend, ma grande, si tu recommences. Une bonne fessée, Christine..."
Puis, glissant les doigts de la main droite sous l'élastique de ma culotte, elle entreprit de la baisser, sans brusquerie, mais largement, l'arrêtant à mi-cuisses. Par réflexe, je gigotai un instant, mais elle resserra l'étreinte de son bras gauche au milieu de mon dos, et alors que je gémissais des petits "Non, non, oh, non" plaintifs, elle rétorqua : "Tais-toi donc. Puisque la fessée de la semaine dernière n'a pas suffi, je vais recommencer, et recommencerai tant qu'il le faudra. Voilà deux fesses bien blanches qui ne vont pas le rester longtemps... Tiens et tiens..."

Les deux premières claques étaient tombées en résonnant dans toute la maisonnée. Puis une douzaine de claques violentes suivirent, m'arrachant des cris que je tentais d'étouffer...

Je continuai à alterner des "aïe, ouille" avec des "Non, noooon", pendant que Maman s'appliquait visiblement, sans gestes de colère, plutôt dans une attitude de détermination calme, presque froide, comme si elle tenait surtout à "bien fesser".

Elle commentait : "Tu vois bien que cela ne sert à rien de dire non. Quand Maman promet une fessée, elle la donne... Tiens, tiens, et tiens... Je t'avais prévenue, Christine. Au moindre faux pas en classe, tu n'aurais qu'à préparer tes fesses... Tiens, tiens, et tiens, et voilà ce qui arrive... Une bonne fessée déculottée puisqu'il n'y a que cela que tu comprennes..."

Je ne protestai plus, étant passée des petits cris aux chaudes larmes, à mesure que ma lune devenait écarlate.

Je n'osais même pas tenter de descendre de ses genoux lorsqu'elle fit une pause de quelques secondes à deux ou trois reprises, pour reprendre son souffle, et pour juger de mon degré de cuisson. La seule fois où je tentai de poser ma main libre sur mes fesses chaudes, je l'enlevai au bout d'une demi-seconde, Maman avertissant : "Christine, ôte ta main.... Tu cherches les ennuis ?"
 Ma réaction d'obéissance immédiate la fit presque sourire : "C'est bien, Christine, tu comprends vite qu'il ne faut pas contrarier Maman, surtout lorsque tu es sur ses genoux, les fesses à l'air.... Tu vois que c'est efficace une bonne fessée..."

J'embrayai toutefois en suppliant : "Maman, ça suffit, j'ai compris, arrête..."  Cela eut l'effet contraire, car Maman, instantanément, repartit de plus belle en m'administrant une longue volée de claques qui me firent crier en oubliant toute retenue.




Maman s'appliquait, sans gestes de colère, cherchant visiblement
à "bien fesser" son ainée, à bien lui faire comprendre
ce qui l'attendrait à chaque mauvaise note, indiscipline ou mensonge...

Cette tannée silencieuse achevée, Maman reprit la parole : "C'est moi qui décide si ça suffit ou non, Christine... Ne l'oublie pas..." Puis, elle reposa encore son bras, semblant regarder son oeuvre... "Bon, cette fois, j'espère que cela te servira de leçon, Christine".
Je comprenais que l'issue approchait, et je tentai encore de convaincre Maman avec mes mots maladroits : "Oui, Maman, oui, j'ai compris..."
Cela ne la rassura pas : "Ca, on verra bien... C'est exactement ce que tu disais, la semaine dernière, en étant déjà sur mes genoux, Christine. A toi de voir et d'agir en conséquence... Sinon, ce sera le même tarif, crois-moi... Ce n'est pas moi qui céderai, ma grande. Tu n'auras que ce que tu mérites."

Puis, resserrant à nouveau son bras, elle redonna quelques claques, d'abord légères, en disant : "Mets-toi bien ça dans la tête, Christine, le moindre problème en classe, la moindre indiscipline, la moindre mauvaise note, et... Tiens, tiens, tiens... Et, c'est le retour sur les genoux de Maman, Christine.... Tiens, tiens, tiens... (Les claques de légères se faisaient plus lourdes). Oui, Christine, ce sera la fessée.. Tiens, tiens, tiens... La culotte baissée, Christine, pour rougir tes fesses comme ce soir... Tiens, tiens et tiens... Autant de fois qu'il le faudra, ma grande... Tiens, tiens, tiens, jusqu'à ce que tu comprennes...."
Elle paracheva la tannée par une vingtaine de claques sur ma lune plus qu'écarlate... Et je tombai à genoux, hoquetante, épuisée, le visage ruisselant de larmes.


Maman avait parachevé ma tannée par une dernière vingtaine de claques
terriblement efficaces sur ma lune déjà écarlate...
J'étais ruisselante de larmes, hoquetante, épuisée par cette fessée
peut-être moins spectaculaire et théâtrale que celle de la reprise
après deux mois de sursis... Mais, c'était bien une fessée de grande, la déculottée modèle grand format, celle qui serait mon "ordinaire", si jamais je récidivais...


Il n'y avait pas eu de "supplément" surprise, peut-être que cette fessée était presque un rien plus supportable que celle d'une semaine plus tôt, mais elle avait été donnée avec un plus grand calme encore. Comme pour montrer qu'après la reprise spectaculaire, presque théâtralisée suite aux deux mois de sursis, je rentrais dans une sorte de cycle de fessées plus "ordinaires", mais qui restaient des fessées de grande... 
En tout cas les menaces et promesses du final éclatant sur ma lune le disaient sans détour. Il n'y aurait pas de faiblesse dans l'application de la méthode maternelle. Au moindre nouveau faux pas, je savais ce qui m'attendait...

A SUIVRE

144 commentaires:

  1. Chère Christine,

    Alors là, chapeau bas, Christine !! Certes il nous aura fallut attendre plus d'un mois, mais quel Opus !!! Digne de la Christinette, qui se décidant à travailler, ramenait des 18 sur 20, à la maison ! Mettant en joie, Tata Jacqueline, félicitant la demoiselle ! Même si la liesse était très vite tempérée, par Maman qui savait recadrer le contexte, en faisant référence à la dernière fessée reçue !!!

    Je sais ! J'embête profondément Christinette et Christine, avec mes références ! Mais que voulez-vous, c'est la marque de fabrique, du taquin Dominique !!!!!

    Tant qu'aux promesses Christiniennes ! Comme sa chère Maman, nous savons ce qu'elles valent : Pour en faire, Oui ! Sans problème ! Pour les tenir, c'est une autre paire de manches !!!! Hi,hi........


    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  2. Oui, c'est sûr, Christinette rougirait en entendant les références citées par Dominique qui se plait à rappeler certaines fessées reçues...
    Christine ne peut hélas que convenir que les références sont exactes, ce qui n'enlève rien au sentiment de gêne, lorsque l'on évoque le fait d'avoir eu (parfois) une "étoffe ôtée", même si cela remonte à de nombreuses années avant...
    Merci toutefois pour l'appréciation de ma rédaction de cet épisode. 18 sur 20, vous me flattez, mais il est vrai que si j'avais eu 18 au lieu du 8,5 récolté en anglais dans cet épisode, je me serais évitée bien des désagréments...

    RépondreSupprimer
  3. Chère Christine,

    Sincèrement, Chère Conteuse ? Pensez-vous vraiment que le 'parfois' soit juste, concernant ce bout 'd'étoffe ôtée' par Maman, l'archiviste que je suis, ne le pense pas !!! Mais bon ! Cela fait partie du charme de Christine, au même titre que la taquinerie Dominicaine.

    Tant qu'au 18 pour la rédaction ! Celui-ci me semble aussi justifié, que le désagrément maternel obtenu pour ce 8,5 en anglais ! On a, que ce que l'on mérite, Mam'selle !!!!!

    Sur ce, je vais continuer mon synopsis et l'analyse de cet épisode, en espérant simplement que le prochain soit livré, version Colissimo ! Non petite vitesse et grande lenteur ! Je m'amuse bien sur !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  4. Ah, ce Dominique, toujours à chercher la petite bête... Est-ce bien important de savoir s'il faut dire "parfois", ou "de temps à autre", ou "quelquefois" pour qualifier la fréquence d'un événement qui ne regardait que Maman et moi, même si cela arrivait "parfois" jusqu'aux oreilles de mes soeurs, ou si cela était "de temps à autre" raconté à des proches ?

    RépondreSupprimer
  5. Chère Christine,

    Voilà que la conteuse, nous la fait à la Raymond Devos jouant avec les mots, tout en finesse ! Pour les mettre à sa sauce et noyer le poisson Dominicain.
    Néanmoins j'apprécie, c'est très bien fait et me convient parfaitement ! Mam'selle Christine, je vous accorde de nouveau un 18 pour cet exercice de style, ce qui ravira sans aucun doute Maman et lui confirmera qu'une bonne déculottée, redonne le goût du travail et de l'effort à sa fille !!! Hi, hi......

    J'entends déjà, Christine et Christinette, ronchonner et maudire ce satané, Dominique !!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  6. Bon, pfff, puisque c'est ça, je boude, je ne dis plus rien, je ne commente plus, pfff... Quoi que je dise, Dominique me renvoie toujours à des situations dont Christinette avait horreur, et qui l'angoissaient terriblement, dès qu'elle commençait à comprendre qu'elle n'y échapperait pas, une fois encore, une fois de plus...
    Moi, je veux bien que ce taquin m'accorde un 18, mais si c'est pour que Maman confirme qu'une bonne fessée redonne le goût au travail, je préfère ne pas avoir de note du tout, bouh, snif, snif....

    RépondreSupprimer
  7. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite :

    Je me rendis donc chez les voisines ou je fus accueillis par Christine, un torchon à la main et qui après m'avoir fait deux bises, m'invitât à entrer, sa mère étant à la cuisine et sa tante absente pour le week-end !
    Entrant au salon, Diane se leva d'un bond du canapé (en me voyant) ou elle lisait une revue, pour me faire comme sa grande sœur, deux bises ! Tandis qu'Aline était assise à la table, le nez pencher sur ses cours, visiblement absorber par ceux-ci, sans se préoccuper de ma présence, je n'allais donc pas la déranger !!
    La maman revenant de la cuisine, pour me dire bonjour ! Demanda à ses filles, si elles en avaient fait de même, Diane avec un petit sourire teinté de malice et toujours un peu exubérante, répondis « Oh, oui, M'man ! » et comme Aline ne répondais pas, celle-ci l'interrogea « Et toi, Aline ? » qui émis un timide « J'travaille, M'man ! » repris aussitôt par la mère, sur un ton très sec.

    « Oui, je le sais ! Et c'est normal, pour les fainéantes de ton espèce, à l'image de ta grande sœur à une certaine époque ! Mais cela n'empêche pas la politesse envers les gens, ma petite fille ! Ohhhh, Toi ! Je crois que tu as besoin, d'une sérieuse reprise en main !!! Alors debout ! Et viens, tout de suite dire bonjour, à Dominique, ! Sinon je m'occupes de toi, sur le champ, comme hier soir, et devant tout le monde, cette fois ! Qu'est ce que tu décides???? »

    Aline, blanche comme un linge se leva aussitôt, sans répondre et vînt me faire deux bises !! J'avoue que n'étant pas émotif par nature, j'avais quelques frissons ! L'autorité naturelle de cette femme était impressionnante, sachant comme on dit, dans le jargon rural : Manier la Chèvre et le choux !
    Sa mère enchaîna « Bonne décision, Aline ! Tu vois, quand tu veux t'en donner la peine !! Allez maintenant, tu te remets au travail et en silence ! Sinon !!!!! ».
    Sur ce dernier mot la maman présenta à sa fille, la paume de sa main bien ouverte ! Ce qui, cette fois la fît rougir, comme une tomate, avec des yeux aux bords des larmes ! Celle-ci se rassît et plongea le nez, sur ses bouquins !
    Après cet intermède, un dialogue entre la maman et moi, s'installa.
    « Alors, dites-moi, Dominique ? Que nous vaut le plaisir de votre visite ? », un petit peu embarrassé et mettant en avant ma dulcinée, je dis.
    « Oh c'est simple, comme il fait très beau, Caroline a pensé qu'on pourrait aller sur la plage, cet après-midi, avec les filles et vous aussi, si vous le souhaitez ! Sans forcément de baignade, car l'eau est encore fraîche, mais juste pour profiter du soleil ! ».
    « C'est une très bonne idée et je vous remercie pour l'invitation ! Mais comme vous l'avez vu, Aline a du travail ! Alors, vous pouvez emmener Christine et Diane, elles le méritent ! Et moi, je vais rester avec Aline, qui mérite autre chose qu'une récompense !!!! N'est ce pas ma fille ? ».
    Là, toujours le nez penché sur ses livres ! Aline balbutia dans un semi sanglot, sans relever la tête un « Ouiiiii, M'maaann, ouiiiii ! » ! N'étant pas censé être au courant, je posais une question un peu bateau, vu le contexte, à la maman, pour lui proposer mon aide et en savoir plus !

    « Pardonnez-moi ! Anne-Marie ! Je ne sais pas, ce qui se passe avec Aline et cela ne me regarde pas ? Mais si je peux vous aider, n'hésitez surtout pas ! ». A suivre........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  8. Chère Christine,

    « Bein voilà, que la petite gamine boudeuse et pleurnichant, refait son apparition ! Refusant les notes que le taquin, lui accorde, en toute bonne grâce ! Tout ça parce qu'il conforte en même temps, le principe de Maman : Que rien de tel qu'une bonne déculottée, pour remettre ma fille au travail ! Petite joueuse ! Va donc pleurnicher dans ta cour ou ta chambre et ne viens pas te plaindre, si tu en prends de sévères, de Maman chérie, tu les méritent !!!!!! Mam'selle ! »

    Tout cela n'est que du deuxième degré, chère conteuse et je conçois qu'à l'époque Christinette était plutôt dans l'angoisse, à la suite d'une mauvaise note, d'une colle ! Ou d'une bêtise, style le short taché par l'herbe et le feutre, planqué sous l'armoire, mais découvert par Maman, le lendemain et valant alors une bonne déculottée à Christine, sous les yeux de Tata, durant la sieste des petites !!!

    Je vous laisse rechercher la référence de l'épisode !!!!

    Sinon une suite du synopsis, a été livrée, mais rassurez-vous ! Celle-ci ne vous concerne pas encore, le taquin gardant le morceau de choix pour après !!!!! Je rigole, quoique !!!!!!


    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  9. Rechercher les références, moi ? Pas question. Les souvenirs, je les ai dans ma tête, et ailleurs aussi, tant quelques parties de mon anatomie ont gardé la mémoire "palpable" de ce qui pouvait leur arriver... Mais, je ne vais pas vous faire un dessin...
    Sinon, je lis avec plaisir la suite du synopsis dominicain... Du moins pour l'instant, car il ne me déplait pas d'imaginer mes soeurs en des situations délicates, comme il m'est arrivé q'en connaitre, moi aussi, du moins, parfois...

    RépondreSupprimer
  10. Chère Christine,

    Sans me faire un dessin, je constate que Dame Christine, a gardé son coté fainéante de Christinette, se refusant à faire une simple recherche, dans ses propres notes ! En se reposant sur ses acquis, soi-disant vivaces, tant dans sa cervelle (aucun doute), que sur cette partie anatomique donc Maman savait si bien s'occuper !
    Sauf que le coté 'palpable' si ce n'est dans l'esprit, me semble inapproprié, les fesses de la dame étant bien blanches, depuis quelques années, non ?

    Tant qu'au synopsis ! Je ne doutais pas qu'il vous plaise ! Dans la mesure ou il, concerne les soeurettes pour le moment !!!! Je note aussi, pour l'anecdote, que vous avez corrigé la grosse faute sur le titre l'épisode, ce qui à une certaine époque, aurait certainement valu un baissé de culotte, à la Christinette, pour une bonne fessée maternelle ! Comme plus que parfois !!!!!!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  11. Forcément que Christine râle, parce que, même quand je m'aperçois moi-même d'une faute et que je la corrige, Dominique, au lieu de me féliciter, me rappelle que si j'avais laissé passer cette grosse faute, j'aurais eu sûrement affaire avec Maman... Et d'une manière énergique, avec culotte baissée sans le moindre doute...
    J'aurais préféré n'être que félicitée pour avoir réagi à temps, avant que cela ne saute aux yeux de ma chère mère...
    Vous comprendrez que je n'aie aucune envie d'aller rechercher si tel ou tel épisode, c'était un jeudi ou un dimanche, un matin ou un soir, en hiver ou en été, en 6e ou en 5e, détails anecdotiques qui ne pourraient que raviver des souvenirs peu agréables... Surtout que je ne sais que trop ce que mes recherches aboutiraient à me faire relire...
    Ce n'est pas pour oublier, que Dominique se rassure, car effectivement je l'avoue, si vous me promettez de ne pas le répéter et de le garder entre nous, car même à mon âge, cela me gênerait.... j'avoue en effet me souvenir fort bien que si j'avais décidé un soir de cacher un short taché de façon indélébile, afin de m'éviter une fessée maternelle, ma manoeuvre doublée d'un mensonge avait été découverte le lendemain, et m'avait conduite en travers des genoux maternels, culotte baissée, les fesses à l'air, tremblantes et blanches, avant que Maman ne s'occupe à les rougir et les tanner de belle manière et que, si "parfois" j'essaie de ne pas employer le terme précis de f... de euh fes..., j'avoue que cela méritait une fessée, et que Maman m'a servie... avec une fessée magistrale, une "bonne fessée" comme elle disait, une sacrée fessée, j'en conviens...

    RépondreSupprimer
  12. Chère Christine,

    Petit plus de l'archiviste en chef ! La référence, je vous la donne, juste pour le plaisir !
    « Souvenirs cuisants : les photos de vacances. 12/07/2010. Voilà c'est juste un clin d'oeil, du taquin de ce blog !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  13. Grrr.... Je grogne... L'archiviste en chef donne sa référence, et je viens d'aller vérifier, surtout par curiosité bien sûr... Résultat : effectivement au lieu du simple souvenir d'une fessée reçue pour un short taché et caché, la relecture ramène les souvenirs de l'examen des photos de vacances de l'été précédent, du zèle de Diane pour raconter ce dont elle se souvenait aussi, et en prime de Maman qui replante le décor : c'était dans le petit salon de la location, à l'heure de la sieste des petites, devant les yeux de Tata. Non sans ajouter que "c'était une bonne déculottée qui t'a calmée pour le reste de la semaine..."
    Grrr..., c'est malin, de me remettre tout cela à la mémoire... Grrr....

    RépondreSupprimer
  14. Chère Christine,
    Réponse à votre commentaire de 15h32 :

    Allons voyons! Chère conteuse, je n'ai relevé ce détail de correction donc je vous félicite, que pour l'anecdote taquine et amicale ! Car, il est certain que si Maman l'avait remarqué la première, les fesses de Christine auraient assurément été à la noce et sans couverture!!!
    Concernant les oublis éventuels d'une Christine, je n'ai aucun doute sur sa mémoire, celle-ci le confirmant par son écrit sur l'événement cité, par le taquin et je promets de ne pas répercuter, cet aveux balbutier du bout des lèvres, par ma chère conteuse, mais qui l'honore autant qu'il me ravit !!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  15. Chère Christine,
    Réponse à votre commentaire de 15h54 :

    Christine ! C'est bien vous, qui m'avez nommer à ce poste 'd'archiviste en chef' ! Je m'efforce donc simplement de remplir ma tâche, avec sérieux et application !
    Après, le fait que ce travail suscite votre curiosité, pour en vérifier l'exactitude, c'est normal de la part de mon supérieur hiérarchique !
    Maintenant que le contenu de celui-ci, ne soit pas à votre convenance, je n'y suis pour rien !

    Ce n'est pas moi, qui ait taché le short ! Ni non observés, les bons et sages conseils de Tata, qui auraient aboutis, tout au plus à un sermon, voire une paire de gifles de Maman ! Non ! C'est bien la Miss Christinette qui avait planqué, ce short sous l'armoire !!!

    Alors que maintenant, en consultant l'archive ! La dame vienne grogner, parce que celle-ci lui ravive sa mémoire ! L'examen de ces photos souvenirs, lui rappelant un désagréable moment sur les genoux de Maman et devant Tata, pour une bonne déculottée (méritée) ! Et au sujet duquel, la petite perfide de Diane fait étalage, de sa mémoire !

    Je n'en suis pas responsable et je ne fais que rapporter, les faits ! Alors, râlez, grognez tant que vous voudrez ! Mais l'archiviste continuera, à faire son travail, de façon sérieuse ! A l'image de Maman Spaak, pour la fessée !!!!! Voilà, c'est dit ! Na, na, na ! Mam'selle !!!!!!!!!!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  16. Na, na, na, Dominique fait dans la gaminerie et se moque de ma réaction contrariée. Pff, je ne devrais même pas répondre, ce serait plus sage que d'enrager encore et encore... Mais, avouez que cette évocation d'un épisode claquant dont je me serais bien passée a de quoi entretenir ma honte, même des années après...
    Déjà, le jour en question, en pleines vacances d'été, se retrouver déculottée devant Tata pour une fessée maternelle magistrale, m'avait fait honte...
    Puis que l'été suivant, une photo rappelle l'épisode, et que Maman et Diane en redonne les détails, m'avait à nouveau troublée profondément...
    La plongée dominicaine dans les archives fait que les deux scènes me reviennent et s'entrechoquent dans ma mémoire. Comme si je revoyais en stéréo la fessée reçue devant Tata et la discussion la rappelant l'été suivant. Etrange sensation où je ne sais même plus laquelle des deux scènes me trouble le plus à y repenser.

    RépondreSupprimer
  17. Chère Christine,

    « Eh oui, Dominique, fait dans la gaminerie ! Mais, ne se moque pas ! Tout juste taquin, comme à son habitude et que je sache cela n'est pas réservé qu'aux filles, d'autant qu'avec un prénom épicène, je peux me le permettre !!! Hi, hi !!!! ».

    Bon, je reconnais et j'adresse un mea-culpa, à la conteuse, pour le rappel et l'évocation de cette scène désagréable, que la Christinette de l'époque aurait préféré évité, même si elle l'avait bien cherché !!
    J'admets également que la vision stéréophonique, entre la fessée reçue (presque publique) et son rappel un an plus tard, donc le vilain Dominique s'est fait l'écho (D'ailleurs, il en mériterait une bonne pour cela!) puisse perturber la Christine d'aujourd'hui, les deux images se juxtaposant et la fasse frissonner !!
    « Bon, mais la plongée n'est que Dominicaine et non Christinienne, sur les cuisses de Maman !!! »

    « Mais, c'est pas vrai !!!!! Y mérite vraiment, une dégelée, celui-là ! Et même une bonne tannée ! Cà lui apprendras, peut-être, à être moins taquin !! Non, mais !!!!! »

    Anticipation amicale d'une réaction Christinienne, qui serait justifiée ! Tout comme la déculottée, de Dominique !!! « Aaahhhh ! Nooonnn ! Paaass ça ! J'veuuuuuux pas! », dixit Dominique !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  18. Oui, il y a des fessées qui se perdent, c'est sûr, et j'aurais volontiers, du temps du Minot raconté ses taquineries à sa mère, ce qui n'aurait pas été de bon augure pour la blancheur de ses joues du bas du dos...
    J'aurais préféré lire la suite de son synopsis, du moins tant que cela ne concerne que d'autres que moi, ou lire ses commentaires et analyses sur le dernier épisode livré...
    Cela dit, j'avoue que ces images qui se bousculent en stéréo dans ma tête, pernnent un caractère particulier quand je remarque que tout le monde commence à parler de vacances, que la chaleur est là, et qu'il est certainement tentant pour des Christinette ou même un peu plus grandes d'en profiter ce week-end pour étrenner un short blanc et aller jouer, avec ou sans feutre dans la poche...
    Je me souviens presque du jardin où j'avais alors grimpé aux arbres. Un joli moment d'insouciance que je doublai ensuite de cachotterie et de petit mensonge, et que je payai cash, le lendemain sous les yeux de Tata, la scène restant vivace à la mémoire de tous, puisqu'il suffisait d'une photo pour qu'elle puisse être à nouveau racontée en détail un an après...

    RépondreSupprimer
  19. Chère Christine,

    Rassurez-vous, Christine, la suite du synopsis arrive, ainsi que les commentaires sur cet épisode ! Et constate que la conteuse se fait gourmande, auprès de son lecteur assidu, ce qui lui fait plaisir !

    Par contre, il apprécie beaucoup moins l'idée de raconter, à sa Maman, les facéties du Minot ! Car pour sur, il se prendrait une bonne déculottée et sous les yeux de la dame, comme cela lui est arrivé, plusieurs fois !!!! Je tacherais de vous conter ça plus tard, sale petite rapporteuse, grrrr......, c'est moi qui grogne maintenant !!!!!!

    Ceci dit, je suis bien d'accord avec vous sur ce que de simples photos, peuvent raviver comme souvenirs et permettre aux personnes, les consultants de retranscrire la scène, plusieurs mois après, voire même des années ! J'en ai fait l'expérience, il y a un mois, en allant déjeuner chez l'une de mes sœurs et j'avoue que le souvenir était encore très vivace, pour tout le monde !

    Bon, je m'attache au synopsis, même si la grande Christine n'est pas encore concernée ! Quoiqu'avec le taquin Dominique, on ne sait jamais !!!!!!!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  20. Oui, le Minot sous les yeux de la dame, comme Christinette l'avait reçue sous les yeux de Tata, voilà qui consolerait un peu Christine des moqueries et taquineries à répétition qui font ressembler Dominique à Diane...
    Mais, hélas, cela n'efface pas la sensation étrange de revivre en stéréo une scène qui avait été marquante, et pas simplement de l'empreinte de la main maternelle sur les fesses de son ainée... Cette empreinte là, elle, elle s'était effacée bien vite, pour revenir (parfois, hi hi) en d'autres circonstances d'autres plongeons en travers des genoux maternels... Mais le souvenir précis de ladite scène, qui plus est rappelée un an plus tard grâce à une photo, demeure très vivace en moi.
    C'est vrai que les conditions étaient mémorables. Nous n'étions pas dans le cadre classique de la maison familiale, mais dans celui d'une petite location à l'espace assez réduit, à un moment où les petites, dans l'attente de l'heure d'aller à la plage, se reposaient en silence plus qu'elles ne dormaient, et dans une semaine où la discipline était bien plus cool qu'en période scolaire.
    Alors, évidemment, ma bêtise, suivie d'un mensonge et d'une cachotterie, ne pouvait laisser Maman sans réaction, pour éviter que les trois filles se sentent en période d'impunité. Sévir s'imposait donc, ne serait-ce que pour faire un exemple dans une semaine où, à ce que je me souvienne, ce fut la seule fessée effectivement donnée.
    Ajoutez dans cette petite pièce, la présence de Tata, aux premières loges, pour ne pas dire qu'elle avait ma lune juste devant ou sous son nez, et l'on comprend que la scène reste gravée dans la mémoire de celle à qui Maman a baissé la culotte pour lui donner une fessée aussi magistrale que méritée...

    RépondreSupprimer
  21. Chère Christine,

    Pour consoler un peu, Christinette, je vous ferais part d'une mésaventure du Minot ou celui-ci s'est pris une sacrée trempe, sous les yeux de la boulangère (notre voisine) et sa fille de 16 ans, envers laquelle je m'étais montrer très grossier ! Le garnement de 12 ans, était moins fier, en étant sur les genoux de sa mère !

    Sinon je partage le fait, qu'un tel souvenir reste gravé à tout jamais, surtout quand une simple photo vous en remémore, les circonstances particulières ! Même si par la suite, bien d'autres ont suivis, peut-être plus difficiles ! La vision du cliché, vous fait revivre cet instant fatidique ou on a les fesses à l'air et que Maman vous les claques, sans ce soucier de vos jérémiades.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  22. Consolée, consolée, je ne sais pas si je le serai, même si savoir que le taquin a vécu une scène également difficile à supporter et qui a dû lui faire grosse honte, et rougir encore, mais des joues du haut, longtemps après que son bas du dos soit redevenu blanc...
    J'en veux d'ailleurs particulièrement à Dominique par le choix (sans qu'il le sache) particulier de cet épisode-là, que j'avais un peu oublié, mais dont il suffit que je repense à la photo de Christinette jouant joyeusement en short blanc, insouciante à ce moment précis, pour que viennent en rafale, la suite du lendemain, comme celle de l'évocation l'été suivant, avec les gestes, les lieux, les paroles, les ressentis, etc.
    Cela vient certainement de quelques détails moins "habituels" si j'ose dire que ceux qui auraient accompagné le souvenir d'une fessée dans ma chambre à l'heure du coucher.

    RépondreSupprimer
  23. Chère Christine,

    Dominique présente ses plus plates excuses, à sa chère Christine pour le choix de l'épisode cité, n'imaginant pas une seule seconde que celui-ci, puisse susciter une telle émotion chez ma conteuse préférée ! Je demande donc, mille fois pardon, à Christinette et Christine, pour ce choix malencontreux !!!

    Tant qu'à la scène concernant le garnement taquin, celle-ci vous sera livrée ! Même si l'auteur frissonnera en l'écrivant, du à la terrible honte, qu'il eu ce jour là ! Sans oublier ses fesses que sa Maman chérie, avait très copieusement tannée !! Oh, bien sur ! Depuis, celles-ci sont redevenues blanches, mais le souvenir reste intact ! Tant par la douleur éprouvée, que l'affront public pour le jeune coq, d'être fessé sous des regards féminins !!!!!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  24. Dominique présent ses "plus plates" excuses, je les accepte. Tout en grommelant et grognant encore quant au choix de la référence... Surtout que l'épisode du short blanc et ses conséquences le lendemain, comme son évocation, l'été suivant sont bien des tranches de vie qui n'ont rien de "plates"...
    Car c'est bien sur mes fesses rondes et galbées, que la main de Maman a "rebondi" et "rebondi", sous les yeux d'une Tata Jacqueline devant qui sa soeur ainée a donné une belle leçon de la manière qu'elle avait de ramener sa grande fille dans le droit chemin, et de punir à la fois maladresse et mensonge...

    RépondreSupprimer
  25. Chère Christine,

    Grommelez et grognez, tant que vous voudrez ! Mais je ne suis en rien responsable, de la bêtise et de la cachotterie, d'une Christinette, insouciante ! Ainsi que ses conséquences, qui ont vu rebondir la main maternelle, sur les fesses parfaites (pour la fessée) de la demoiselle à maintes reprises et sous les yeux de Tata ! Et qui visiblement, lui a servi de leçon, quelques années plus tard ! Non, mais !!!

    En toute amitiés............

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  26. Pffff... Fesses "parfaites" de la demoiselle. Je devrais prendre cela comme un compliment... Mais, cela sous-entendrait que l'auteur du compliment les ait vues...
    Et, ça, je ne saurais l'imaginer... Déjà, me rappeler les yeux de Tata ne manquant rien d'une fessée déculottée magistrale donnée par Maman juste devant elle, dans la location d'été, suffit à me faire encore frissonner et me sentir honteuse...
    Sans parler des regards fréquents, volés ou volontairement acceptés, de mes soeurs, pour qui mes courbes juvéniles n'avaient pas de secret...
    Pour les avoir souvent regardées dans la glace, quand elles étaient blanches et parfois quand elles ne l'étaient plus, j'avoue aisément quand même que mes rondeurs jumelles postérieures étaient, dès cet âge là, joliment rondes et évidemment plus larges et épanouies que les petites joues fessières de mes soeurettes.
    De là à dire qu'elles étaient "parfaites" pour la fessée... je ne saurais trancher, tout en devant bien reconnaitre que la main de Maman y trouvait un terrain à sa convenance, puisqu'elle s'y appliquait avec une constance, une détermination et une fréquence qui auraient été sûrement moindres si elle avait jugé la cible de mes fesses comme peu adaptée à l'exercice...
    De là à dire que j'avais des fesses faites pour la fessée, ce serait abuser... Mais, disons que si j'avais été osseuse et maigre comme un clou, ou adipeuse et énorme, ce moyen de punition aurait peut-être été moins efficace. En tout cas, il faut bien reconnaitre que l'exercice d'en recevoir une a de quoi muscler un bas du dos.
    Et il ne faut pas oublier que ce ne sont pas mes fesses, mais bien quelques bêtises, mensonges et autres mauvaises notes ou entourloupes, qui amenait la main maternelle à y exercer son talent de fesseuse efficace...

    RépondreSupprimer
  27. Chère Christine,

    Sans avoir eu la chance de pouvoir les contempler, ce que je regrette, hi, hi..... ! Je maintiens le qualificatif de 'parfaites' pour la fessée, comme l'étaient celles de mes sœurs ou des cousines, ni osseuses, ni proéminentes ! Mais bien galbées offrant une surface idéale pour une main fesseuse et j'avoue que les miennes, étaient également, bien rondelettes, à l'époque !
    Ce qui effectivement, permettait à Maman ou Tata, tout comme votre mère, d'exercer leur talent et ceci grâce à nos bêtises, caprices ou autres et non à cause de nos fesses (même si elles étaient faites pour cela), comme vous le dites fort justement.

    La suite du synopsis arrive, avec l'entrée en lice de Christine............

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  28. Heureusement que Dominique ne m'a pas vue en fâcheuse position... J'en serais morte de honte... Qu'il se contente d'imaginer me semble déjà excessif et presque gênant...
    Cela dit, j'attends la suite du synopsis, mais je crains fort qu'il me déplaise, s'il se mettait à vouloir mettre en scène d'autres demoiselles Spaak qu'Aline et Diane...

    RépondreSupprimer
  29. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite :

    Madame Spaak me répondit très aimablement « Non, non, Dominique ! C'est gentil de votre part et je vous remercie ! Non, le souci est que ma fille a raté un partiel, oubliant que pour obtenir des résultats, il faut travailler !!! Donc, hier soir, Maman en a rappelé le principe de façon très concrète à Mademoiselle Aline, comme quand elle était plus jeune !!! N'est ce pas ma chérie ? ».
    Là, Aline releva le nez et le visage aussi rouge qu'une pivoine, deux larmes perlant sur ses joues, dit de manière implorante « Ouiiiiii ! Ouiiiii ! M'man ! Maiiiiiis s'te plaiiit !!!!! » craignant visiblement que sa mère ne me livre des précisions, donc je n'avais nul besoin !!!!
    Et pourtant, c'est ce qui se passa par le biais d'un monologue de la mère.

    « Qui y a t-il, Aline ? Peut-être que ça t'ennuie ? Que Dominique, sache qu'hier soir, la grande Aline s'est pris une bonne déculottée de Maman, malgré son âge ! Et bien, si c'est çà, dommage pour toi, ma fille ! Car vois-tu, moi ! Ce qui me dérange vraiment ! C'est de voir des demoiselles gâcher leurs chances, à cause de leur fainéantise ! Cela m'insupporte, au plus au point ! Alors, tant pis pour vos fesses et votre fierté de jeune fille ! A vous de réfléchir !!!! »

    Christine et Diane ne pipaient mot ! Et moi-même, j'étais scotché par l'autorité de cette femme au regard très doux, mais qui dégageait une force, insoupçonnable !
    Là ! Aline pleurant franchement, sa mère lui dit « Garde donc tes larmes, pour plus tard et remets toi, au travail ! Sinon........», lui agitant de nouveau la paume de sa main, bien ouverte, sous le nez !!!! Et ajouta à mon égard « Voilà, Dominique ! Pourquoi je ne peux venir avec vous, ainsi qu'Aline !! »

    Je pris alors congé, accompagné des deux autres sœurs, pour rejoindre Caroline qui m'attendait et m'adressa un « Tu vois, jt'e l'avait bien dit, qu'Aline viendrait pas ! ». Une fois installé sur la plage nous discutions tous les quatre de mille choses, lorsque Diane (la plus téméraire des trois sœurs) proposa à Caro, de faire une petite trempette ! D'autres personnes étant dans l'eau !
    Je restais donc seul avec Christine pour discuter et de sujet, en sujet, se présenta tout naturellement celui de l'éducation et en une phrase de ma part, qui la troubla, j'enclenchais le dialogue !

    « Dis-moi, Christine ? Ta mère n'a pas l'air de plaisanter, avec ses filles ? », un peu rougissante, elle me répondit « Ohhhh, que nooonnn ! Elle ne plaisante pas et t'as pu l'voir, avec Aline tout à l'heure ! Et avec Diane, c'est pareil !!! ». Ma réponse allait faire briller ses yeux et lui faire monter le rouge aux joues !
    « Oui ! Christine, je suis d'accord ! J'ai bien compris qu'elle avait la main leste, avec tes frangines, qui soi-dit en passant, le méritent bien, de temps à autre ! Même si elles ont en principe, passé l'âge de la fessée ! Mais bon, parfois c'est ce qui marche le mieux ! Mes sœurs et Caro, l'on vécu aussi ! Mais j'imagine qu'avec toi, c'est différent ??? »
    Là ! Il y eu un long silence, accompagné de grandes respirations de sa part ! Et reprenant le fil de la conversation, avec hésitation, elle me dit
    « Baaahhh ! Euhhhh !Tu sais, c'est pas facile à dire, Dom ! Mais, Maman a toujours observé une ligne de conduite, envers nous, très simple! Récompense ou punition ! Et quand je dis, punition ! J'devrais plutôt dire fes..... ! » suivit d'un nouveau silence et d'un « Oh, non ! J'y arrive pas ! Dom ! Rien que d'y penser çà m'fais trembler ! », deux larmes perlant sur ses joues, quasiment cramoisies !
    Je la pris alors dans mes bras, pour l'apaiser, ressentant son trouble et celle-ci s'épancha sur mon épaule. A suivre.........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  30. Chère Christine,

    Vous dites 'heureusement', moi je dis malheureusement pour Dominique ! C'est bien dommage, car ainsi il aurait eu, la confirmation de son imaginaire, au sujet des rondeurs jumelles de Christinette ! Mais bon ! Il se contentera, de sa cervelle !!!!!

    Au fait, la suite du synopsis, vient d'être livrée et comme l'imagination de Dominique fonctionne à 200% ! Christine risque donc fort, de se sentir mal à l'aise et encore plus gênée, par la prose Dominicaine ! Après les soeurettes ! C'est sera le tour, de l'aînée et là !!!!!!!!!!!!!!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  31. Prendre Christine dans ses bras, à deux pas de sa fiancée, même si c'est pour la bonne cause, est-ce bien raisonnable, Dominique ?
    Je vois bien le synopsis avancer, et progresser dans un sens que je redoute (du moins dans notre jeu).
    Je me demande toutefois si Christine devrait être autant apeurée à ce point du récit. J'imaginais qu'elle était arrivée à se croire à l'abri de toute nouvelle désillusion, épargnée qu'elle était depuis au moins trois ans. Je la vois bien, en revanche, hésiter encore à dire le mot f..., ne pas oser avouer qu'elle était il n'y a pas si longtemps, la plus soumise à ce régime, et effectivement rougir aux questions d'un Dominique curieux, qui veut lui faire raconter des choses.
    Pour la suite, qui va, sans qu'elle le sache encore, la faire replonger en fâcheuse position, je me dis qu'il ne faut pas se presser pour autant, afin que la prise de conscience soit progressive et angoissante à souhait...

    RépondreSupprimer
  32. Chère Christine,

    Le fait que je prenne Christine dans mes bras, en étant proche de ma fiancée, n'avait rien de compromettant ! Caroline ayant confiance en moi et son amie, même si elle m'avait fait une petite scène de jalousie quelques semaines plutôt, vis à vis de la Tante Jacqueline, dont le charme naturel l'inquiétait davantage pour moi, que sa copine ! Et la suite du synopsis vous le confirmera, ainsi que sa progression que vous pouvez redouter, en effet !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  33. Dominique charmé par Tata, c'est vrai qu'elle était plus jeune que Maman et assez jolie. Je me demande quand même ce que le synopsis me réserve... Suspense, supense...
    J'ai à la fois hâte, si au final je suis rassurée, et ne suis pas pressée du tout, si c'est une mauvaise surprise qui se trame...

    RépondreSupprimer
  34. Chère Christine,

    En effet, charmé par Tata ! Comme par Maman Spaak qui, elle aussi, devait être assez jolie, même s'y elle ne plaisantait pas avec l'éducation de ses filles ! Ou la grande Christine, qui me charme par ses écrits et que j'imagine également, jolie !!!

    Là, c'est sur ! La conteuse va rougir comme une tomate, mais des joues du haut !!!!! Tant qu'à ce que vous réserve le synopsis, vous le verrez en temps voulu !! Pour l'instant, demandez vous ! Imaginez et attendez (sans angoisse bien sur) puisqu'il ne s'agît que d'un texte, du vieux taquin que vous avez appris, à cerner, me semble t-il!!!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  35. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite :

    Comprenant donc que pour Christine, c'était un sujet sensible ! Je changeais ma stratégie curieuse !
    Afin qu'elle poursuive ses confidences, qui avaient du mal à sortir !

    « Excuse-moi, Christine ! C'était juste par rapport à tes sœurs, que j'tai posé la question ! J'imagine bien que la fessée, c'est du passé, pour toi ! Et qu'aujourd'hui, l'autorité maternelle qu'il convient de respecter, s'exerce différemment envers toi ! Alors que pour elles, c'est presque logique ! Du fait qu'elles sont encore très gamines, par moment ! T'es bien d'accord avec moi ? Non ??? ». Ceci avec mon plus grand sourire, la faisant rire !
    Le coup de blues passé ! Christine enchaîna alors

    « Ouais, t'a raison, Dom ! Sauf que le passé ! N'est pas si lointain que cela, la dernière que j'ai pris de Maman, j'avais quand même un peu plus d'18 ans !! On n'étaient pas encore ici et j'men souviens très bien, c'était lié à la séparation de nos parents ! Que je n'acceptais pas !!!!
    Apprenant que mon père venait de foutre le camp, avec une fille de mon âge ou pt'être un peu plus âgée que moi ! J'sais plus et ça m'intéresse pas !!!! Sauf que ne le supportant pas, je fît une colère du diable, prononçant des mots horribles ! Devant tout le monde ! Mes sœurs ! Tata et les grands parents !! Filant comme une folle, vers ma chambre !! Sauf que Maman, malgré sa détresse d'être trompée et abandonnée ! Ne pouvait accepter que l'une de ses filles et encore moins l'aînée, censée donner l'exemple ! Se montre aussi grossière ! J'peux dire, quand moins de deux minutes, ma mère m'avait rejoint ! Et là, malgré mes 18 ans, elle m'en a collé une très sévère ! Comme celles de mon année de redoublement !!!!!!! J't'assure que j'l'ai vraiment senti passer, cette déc...... !!!!! Enfin tu vois, Dom ??? ».

    « Oui, oui, Christine, je vois très bien ! Et j'imagine que cela a calmé ta colère, compréhensible et légitime, certes ! Mais inappropriée ! Dans un contexte déjà très difficile, pour ta mère et le reste de la famille! Et que cela t'a servi de leçon, puisqu'aujourd'hui tu es réfléchie, posée et brillante dans tes études ! Ta Maman n'a donc plus que les fesses de tes sœurs, à s'occuper de temps en temps !!! »

    Cette dernière tirade, nous fît partir dans un éclat de rire commun ! Néanmoins, Christine, ajouta en toute intelligence « C'est vrai, Dom, t'a raison ! Aujourd'hui, je suis tranquille de ce coté là ! Mais tu sais ! Tant que je suis, chez Maman, rien n'est moins sur !! Alors j'reste prudente !!! » tout en riant aux éclats ! Et sans le savoir, ni moi d'ailleurs ! Elle n'avait pas tort !

    Nos éclats de rires et la fraîcheur de l'eau, firent revenir Diane et ma Caro qui nous dit, avec une petite pic, de jalousie envers moi « Bah, ça va ! Tous les deux ! Vous avez l'air de bien vous amuser, sans nous ! Pt'être qu'on pourrait participer, nous aussi, à moins qu'on vous dérange ??? », ce qui nous fît partir dans un fou rire, Christine et moi !!!
    Malgré l'incompréhension, Diane et Caro, se joignirent à nous, dans le rire ! Et nous reprîmes tous les quatre, nos échanges, sans précisions sur les raisons qui nous avaient fait rire, tous ensemble !!!

    A suivre.........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  36. Oui, Dominique va me faire rougir avec ses compliments. Effectivement Tata était charmante, Maman aussi, et ses trois filles également. Je ne suis pas objective sur ce terrain, mais disons qu'il n'y avait pas dans la famille de personne avec un physique ingrat, comme on dit.
    Cela dit, je préfère que l'imagination de Dominique s'arrête à une situation où, comme il le dit avec humour, il n'y avait pour Maman que les fesses de mes soeurs dont elle avait à "s'occuper"...
    Je n'ai pas envie du tout qu'il se mette à nous entraîner dans un scénario style "Christine, le retour..." Pfff, même pas en rêve, comme on dit. Ce serait trop un cauchemar...

    RépondreSupprimer
  37. Chère Christine,

    « Oh !!! Ma chère Christine ! Vous faire rougir !!! Moi, le petit soldat, inculte !!! Non ! Vous n'y pensez pas !! Ou alors, ce serait totalement fortuit, du à mon imaginaire débordant et qui m'incite à penser qu'au sein de la gente féminine Spaakienne, il n'y a ou n'avait pas de physique ingrat !!! ».

    Concernant le synopsis, je pense qu'il serait bien dommage de s'arrêter aux seuls déboires des frangines, même si elles le méritent et compense un peu, ceux que ma conteuse préférée a plus, que connu et puis de tout façon, dans l'histoire, c'est moi le chef et non la Christine, qui angoisse par avance, d'un retour éventuel, au travers des cuisses de Maman, mais la connaissant, c'est logique !!!

    Néanmoins, comme vous avez donné carte blanche à Dominique, sur l'élaboration de celui-ci ! A Mam'selle Christine d'assumer ! Non, mais !!!!!!!! Hi, hi..... !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  38. Chère Christine,
    Analyse de l'opus 73

    Christine pousse un ouf de soulagement, échappant à la fessée qu'elle avait déjà en tête, pour ce carnet pas terrible ! Mais demeure angoissée ! Ne devant cette grâce maternelle, qu'au simple fait d'en avoir pris une, quatre jours avant, pour le seul bémol de ce foutu carnet !
    D'ailleurs Maman le précise dans son sermon « Ah, Christine, t'en mériterais encore une bonne ! Tu as bien de la chance, que je t'ai déjà collé une bonne déculottée, pour la mauvaise note en français ! Sinon, je peux te garantir que tu serait déjà sur mes genoux, avec la culotte baissée ! Et dis-toi bien, que ce n'est qu'un sursis !! Car je ne vais pas te lâcher, ma grande !!!!!! »

    Christinette est désorienter, par cette pensée maternelle déroutante ! Imaginant se dire « C'est bon, ma Cri-Cri, heureusement que tu t'es ramassée une bonne tannée, hier soir ! Comme ça, aujourd'hui, tu ne risque rien !!! ». Impensable de la part de Christine et ne l'incite pas à la sérénité ! D'autant que Maman ajoute la menace, différée pour Aline au prochain bulletin ! Alors que pour Christine, c'est dés le prochain écart (mauvaise note ou autre) que celle-ci, sera mise à exécution !

    Donc pas de quoi faire pavoiser, la Christinette qui a bien saisi, qu'elle est la première de la liste, sur le tableau de surveillance maternel et en a la confirmation, dés le lendemain ! A peine rentrée, celle-ci voit Maman prendre son cartable pour, en vérifier le contenu ! Et ajouter, en voyant la tête de sa fille « Ne sois pas inquiète, ma chérie, s'il n'y a pas de mauvaise surprises ! Tout iras bien, pour toi ! Je contrôle, c'est tout ! ».
    Ceci ne rassurant pas du tout, la Christinette en sursis et la fait même replonger, au cours des deux jours suivants, au temps de sa prime enfance ! Maman épluchant attentivement ses affaires, comme elle le faisait auparavant, pour distribuer bons points ou punitions !!!!!!!

    A suivre.........


    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  39. Oui, j'angoisse en imaginant la suite du synopsis de Dominique. En jeu, bien sûr, mais cela réveille toujours tellement de sentiments enfouis, de souvenirs prêts à être ravivés. Je sais bien que le taquin va mener son imagination jusqu'à une situation fort délicate pour une Christinette, devenue Christine de par l'âge, mais pas toujours de par le comportement, selon Maman bien sûr...
    Sinon, l'analyse du N° 73 débute de façon très judicieuse, mais c'est une (bonne) habitude avec Dominique. Il souligne notamment cette sensation forte de savoir que Maman cherche le motif qui la fera agir... Quitte à ramener son ainée au temps de la primaire quand Maman vérifiait le cartable elle même tous les soirs...
    Christinette a bien conscience qu'elle n'est qu'en sursis et que cela ne durera pas... Elle peut d'ores et déjà préparer ses fesses...

    RépondreSupprimer
  40. Chère Christine,

    Là ! Ma chère Christine ! C'est moi qui rougis avec tout ces compliments ! La conteuse me fait honneur et j'en suis ravi ! Bien sur que pour le synopsis, nous sommes sous une forme de jeu et je m'efforce de le rendre, le plus crédible possible, en m'appuyant sur vos textes et ma propre expérience plus forte, en spectateur, qu'acteur ! Si vous voyez, ce que je veux dire ! Tant qu'à ce qu'il réserve à la grande Christine, celle-ci le découvrira, en temps voulu !!!!!!!

    Sinon concernant l'épisode 73, il me semble en effet avoir décelé un changement d'attitude chez Maman Spaak, vis à vis de sa grande fille qui malgré son redoublement ! Tire encore un peu trop, sur la corde de sa patience et qu'elle se doit donc, de lui remettre, les idées en place ! Même si pour cela, il lui faut passer par des mesures infantiles ! Telle, la fouille du cartable !!!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  41. Rougissez, Dominique. Je préfère que ce soit vous que moi...
    Quant à la volonté maternelle vis à vis de son ainée, de lui "remettre les idées en place", vous avouerez que l'expression pourrait faire sourire, si Christinette n'était pas la première concernée... Je croyais que la place des idées était dans la tête... Alors que la volonté maternelle semblait à l'évidence s'adresser à une autre partie de l'anatomie de ses filles...

    RépondreSupprimer
  42. Chère Christine,

    Je me doutais bien que vous préféreriez, me voir rougir, plutôt que vous.........
    Sinon au sujet de la 'remise en place, des idées', je suis bien d'accord avec vous que l'expression peux faire sourire et que celle-ci concerne principalement la cervelle ! Sauf qu'avec la Christinette et même les frangines, cela avait du mal à faire le chemin, par le biais des oreilles ! Il me semble donc logique, que Maman Spaak ait utilisé une autre partie anatomique, pour transmettre son message et le résultat est là, non ?
    Alors, après ! Que les demoiselles et surtout l'aînée, en soient chagrinées ! C'est compréhensible, mais celles-ci ne pouvaient, s'en prendre qu'à elles-mêmes, non ?

    Je sais, je vous taquine ! Mais comme vous tendez les perches ! Je les prends aisément !!!!!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  43. Ca, oui, Dominique est un champion du saut à la perche. Il ne manque aucune perche tendue.
    Donc vous admettez que pour "remettre les idées en place", Maman Spaak utilisait une méthode qui s'adressait à une autre partie de notre anatomie...
    Comme si dans son idée, une demoiselle ayant menti, flemmardé ou ramené une mauvais note ou des heures de colle, devait être "remise" à une "place" très particulière, c'est à dire étalée sur les genoux, et que la "place" de sa culotte n'était plus celle qui couvre et protège sa lune, mais bel et bien, largement descendue, à mi-cuisses ou jusqu'aux genoux, pour dégager totalement une zone apte à faire passer le message nécessaire, à condition d'y mettre l'énergie qu'il convenait...

    RépondreSupprimer
  44. Chère Christine,

    Merci, pour la médaille d'Or, de sauteur à la perche ! C'est très gentil de la part, de ma conteuse préféré ! Sport, que je n'ai jamais pratiqué, au passage !

    Sinon j'admets, sans aucune retenue ! Le fait que, Maman Spaak, ne pouvait que transmettre les choses de la vie, à ses filles, que par le biais d'une certaine partie charnue et réceptive de leur anatomie, bien dégagée de toute entrave ! Permettant à cette Mère de devoir, de livrer son message de façon concrète, sans tergiversation !!!!

    Après, aux demoiselles de le comprendre ! Bon chemin ou Bonnes Déculottées !!!!!!!!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  45. J'avais compris Dominique. Pas besoin de broder sur la "partie charnue et réceptive" de l'anatomie de mes soeurs et moi... Je sais bien que c'est celle là que Maman "dégageait de toute entrave", comme vous dites, pour livrer "son message de façon concrète". Et concrète, elle l'était en effet. De façon "palpable" auriez-vous pu ajouter, voire "claquante et sonore", ce qui n'aurait pas manquer d'accroitre encore ma gêne...

    RépondreSupprimer
  46. Chère Christine,

    C'est exact, j'aurais pu ajouter « palpable, claquante et sonore », mais aussi « honteuse et douloureuse à souhait », les demoiselles ne quittant jamais les genoux de Maman, sans une belle paire de fesses écarlates et brûlantes, qu'une main d'artiste en matière de fessée, avait parcouru dans ses moindres détails (particulièrement vrai pour l'aînée) et versant alors des torrents de larmes, dépitées et épuisées, qu'elles étaient par l'action maternelle !!!!!!!

    « Oh, là, là !!! Christine va encore rougir, comme une tomate, me vilipender ! Et me coller au piloris des affreux moqueurs ! Comme une certaine Diane, qui voulait tout savoir et rien payer ! J'en tremble, par avance !!!!!!!»

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  47. Grrr, oui je grogne et je rougis comme une tomate, en lisant ce commentaire... Que Dominique associe les adjectifs "claquante et sonore", à propos du traitement maternel à mon égard, me gêne déjà, en me faisant croire qu'il aurait pu, de l'autre côté d'une cloison, comme de la chambre de mes soeurs, entendre une des explications de mère à grande fille qui m'était réservée...
    Y ajouter "écarlates" introduit la notion de vision de la scène, qui est encore plus insupportable pour mon amour propre et ma pudeur...
    Mais, je ne peux même pas nier, protester, faire croire que "non, non, ce n'est pas vrai", comme je tentais de le faire quand une de mes mésaventures venait à être sue de proches.
    Je tentais de le faire quand il n'y avait pas une Diane ou une Aline alentour, sinon, je savais que la soeurette aurait tôt fait de me contredire, et de prendre comme exemple une des fois où elle avait été témoin officiel ou en douce, et de confirmer à la voisine, une commerçante, ou je ne sais quelle personne, voire fille de ma classe, que Maman m'avait en effet bien rougi les fesses...
    Comme, en plus, dans son synopsis, Dominique connait ma famille, je préfère me taire et rougir dans mon coin, plutôt que de lui dire qu'il a hélas raison et que je savais bien quand j'y plongeais que je ne "quitterais jamais les genoux maternels sans une belle paire de fesses écarlates et brûlantes".... Grrrr....

    RépondreSupprimer
  48. Chère Christine,

    Je savais que Christine allait grogner et se changer en pivoine, m'imaginant derrière la cloison comme les frangines, l'entendre chanter sous la main maternelle ou pire encore, le jeune homme venant entretenir le jardin de Madame Spaak, débarque en pleine discussion entre la mère et la fille, celle-ci étant culotte baissée, allongée sur les genoux de sa Maman, à se faire rougir les fesses de belle manière ! La jeune demoiselle rougissant alors des joues du haut, en le voyant !!!!!
    « Oh ! Non ! Mon dieu ! J'vais en mourir de honte !!!!!!!! »

    Tant qu'à la suite du synopsis, celle-ci arrive, ainsi que celle de l'épisode.

    Amicalement, enfin j'sais pas si j'suis très amical, sur ce coup là !! Dominique

    RépondreSupprimer
  49. Dominique s'imagine en petit jardinier tombant au bon moment pour sa curiosité, et au pire pour mon amour propre... L'avantage de l'imagination, c'est qu'elle n'a pas de limite... Mais, dans ce cas précis, c'est surtout un inconvénient pour moi, pour ne pas dire une vision de cauchemar...
    Je vois mal pourtant une telle scène se déroulant dans le jardin, hormis si elle concernait une soeurette prise sur le vif et punie dans l'instant.
    Sinon, il faudrait que le petit jardinier trouve une porte ouverte pour surprendre la scène, ce qui n'est pas évident non plus. Mais, vous direz qu'il y a aussi la possibilité d'une fenêtre entrouverte, ou je ne sais quel subterfuge pour arriver à observer ou surprendre une scène dont l'intrus aurait commencé à entendre les prémices, sous forme d'une discussion à voix forte d'une mère en colère, et dont les mots font comprendre que la suite est imminente...
    Il est vrai que là où une Tata ou une Mamie entendant ce début de dispute se serait faite voir pour en interrompre le cours (quitte à ce qu'il soit repris après son départ), une soeurette ou un jardinier débutant aurait sûrement tendance à ne pas se faire voir tout de suite pour tenter de savoir, et peut-être même de voir, ce qu'il en advenait...
    Mais, j'arrête là, car je vois que je tombe moi aussi dans le piège dominicain, en reprenant la perche tendue, et en angoissant sur une situation qui n'a pas existé...

    RépondreSupprimer
  50. Chère Christine,

    Chère conteuse, vous avez raison ! L'imaginaire n'a pas de limite, surtout pour l'ancien officier rompu à penser comme 'l'adversaire', afin de ne pas être surpris et avoir un coup d'avance !

    Bon, ceci dit, je n'ai parlé que d'un jardinier, venant faire son labeur et en aucun cas, que la scène se déroulait dans le dit jardin ! Mais votre propre imaginaire a fait le reste, en répondant à la perche tendue et j'en suis ravi, constatant avec grand plaisir que ma Chère Christine, a détecté le petit piège amical Dominicain, sous forme de rebond successifs très plaisant.

    Allez, sur ce je me concentre sur le synopsis et l'épisode.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  51. Oui, concentrez vous donc, Dominique, au lieu de jouer avec mes nerfs et mon angoisse... Sinon, Christinette va en faire des cauchemars, en craignant l'irruption du jardinier en herbe... Cela la pousserait à aller elle-même vérifier si la porte d'entrée est bien fermée, et les fenêtres aussi, à l'heure où Maman souhaite "discuter" avec son ainée...
    PS : Mais, entre nous soit dit, comme vous le constatez, ce petit jeu de perches tendues et reprises ne me déplait pas... Pour peu, qu'il ne nous éloigne pas de nos autres "devoirs" d'écriture et de commentaires...

    RépondreSupprimer
  52. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite :

    C'est donc très content de notre après-midi, que je ramenais les filles vers 19 heures chez leur mère, comme convenu ou nous attendaient une drôle de surprise, enfin quand je dis 'drôle', ça dépend pour qui !!! Madame Spaak, se trouvait dans le jardin à notre arrivée et nous voyant tout sourire, proposa très gentiment de prendre un apéritif, en sa compagnie ! Ne prenant mon service qu'à 23h30, à la base, j'acceptais l'invitation.

    En pénétrant dans la maison, étonnement, il y régnait un très grand silence ! Contrastant la liesse qui nous habitaient tous les quatre et nous allions très vite comprendre pourquoi ! Entrant au salon, précédé par la Maman, nous découvrîmes Aline dans un coin de la pièce ! Mains sur la tête, jupe retroussée et culotte aux chevilles ! Qui affichait une paire de fesses très rouges, en pleurnichant doucement !

    Devant notre surprise à tous les quatre ! Madame Spaak, très sereine prit la parole ! « Et oui, voilà ce qui arrive aux demoiselles, qui grognent et manquent de respect à leur Maman ! Là, elle baisse la culotte et donne, la bonne fessée qu'elles méritent, c'est tout !!!», ajoutant toujours très calmement « Et qu'on est 17, 19 ou 22 ans ! C'est le même tarif ! Avec en prime éventuelle, une mise au coin, quand on redevient une vilaine gamine râleuse piétinant, sur place ! Mécontente comme à 10 ans ! D'avoir reçu une bonne déculottée méritée, de Maman ! Cà fait réfléchir ! Hein, Aline ? ».
    Bien entendu, il n'y eu pas de réponse de sa part, sauf de gros sanglots ! Lié à la honte qu'elle devait ressentir, en étant observée dans cette position ! Plus le monologue de sa mère ! Cela devait être difficilement supportable !

    Caroline et moi, étions très gênés ! Le souci familial ne nous concernant pas, je me mis en avant !
    « Attendez, Anne-Marie, on va pas vous déranger, on prendra l'apéritif, un autre jour ! ». Et là, elle répondit «  Non, non, Dominique ! Vous ne dérangez personne, sauf Aline peut-être, mais ça tant pis pour elle! Allez mettez vous à lèse ! »
    D'autant que la maman remit une couche d'autorité envers ses filles « Christine ! Diane! Soyez gentilles ! Préparez donc l'apéritif pour nous cinq ! Et toi, Aline, tu ne bouge pas de là ! Sinon je t'en remets une ! Illico, presto et devant tout le monde! Et l'avantage, ma fille, est que je n'aurais même pas de peine à baisser ta culotte, puisque tes fesses sont déjà à l'air ! ».
    Là ! Je vis, Christine et Diane obéir dans l'instant accompagné d'un « Oui, M'man » à l'unisson, me prouvant s'il en était besoin, l'aura de la maman, vis à vis des demoiselles !!!!

    C'est donc, dans une ambiance un peu pesante, que nous prenions l'apéritif ! Aline, exposant ses fesses écarlates à tout le monde et les deux autres sœurs, s'efforçant de ne pas contrarier davantage la Maman ! En répondant immédiatement, à la moindre de ses sollicitations !

    Et alors, que nous venions à peine de nous installer ! La jolie Tante Jacqueline, censée être absente pour le week-end débarqua, celle-ci l'écourtant, pour une raison professionnelle ! Ce qui pour Aline faisait un regard supplémentaire ! Car bien sur ! En entrant au salon, c'est la première vision qu'eut la Tata chérie, comme nous précédemment ! Et levant les yeux, vers elle ! Je vis son visage changer de physionomie ! Différent du nôtre, éprouvant sans aucun doute, de la compassion pour sa nièce en pénitence !

    A suivre.........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  53. Dominique tient une de ses promesses avec ce synopsis qui se développe... Cette exposition de la lune écarlate d'Aline dans un coin du salon peut paraitre exagérée, car nous ramenant à une époque des mises au coin plus proche du temps de l'école primaire que d'après, mais je respecte évidemment l'imagination dominicaine, qui reste dans le domaine du plausible (ou presque) sans exagération manifeste.
    Et voici en prime Tata Jacqueline qui débarque : Dominique a un petit faible pour elle, et j'imagine que son irruption doit encore accroître la gêne d'Aline. J'en arriverais à plaindre ma soeur, d'autant qu'une fois encore Diane va y trouver un nouveau sujet de moquerie en douce.
    Cela dit, je vais garder pour moi ce sentiment de compassion, et ne vais surtout pas intervenir pour plaider en faveur d'Aline, ayant trop peur que les commentaires qui s'ensuivraient n'évoquent d'autres cas où j'étais, moi, au centre du conflit...

    RépondreSupprimer
  54. Chère Christine,

    Ma chère conteuse ! Désolé pour vos nerfs et votre angoisse, donc j'entretiens l'activité ! Pouvant pousser Christinette à l'insomnie et aux cauchemars, vis à vis du jardinier, pouvant surprendre le jeune fille en mauvaise posture !
    Allant vérifier que tout est bien clos, comme dans « Quand la pudeur donne des frissons (2) », juste avant d'avoir cette discussion, entre Maman et elle, sauf que les soeurettes étaient présentes!!!

    Car sans se voiler la face ! De discussions ! Il y en avaient bien peu ! Cela se résumant aux rappels maternels de la faute et aux sempiternelles promesses de la demoiselle, sur son éventuelle bonne conduite !

    En dehors de cela ! C'est surtout la main de Maman, qui parlait aux fesses de la demoiselle, pour lui faire entrer par ce biais, ce que ses oreilles n'enregistraient pas !!!!!!

    Sinon, soyez rassurez, le jeu de perches tendues, qui me plaît ! Ne me détourne pas de mes devoirs et une suite du synopsis, vous a été livrée et je pense qu'elle vous l'apprécierez.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  55. Diabolique Dominique, qui ressort encore un exemple en rapport avec ce que nous évoquions. Cette action de fermer personnellement la porte-fenêtre du balcon de la résidence de vacances, après être rentrée à l'appel de Maman qui allait me donner une fessée devant mes soeurs.
    Un texte qui a déjà presque quatre ans, pour une scène dont je me souviens, mais dont j'avais oublié ce détail de la fermeture de la baie. Je me souvenais surtout de la mimique de Diane singeant la fessée, et de la remarque des voisines le lendemain.
    Grrr... c'est encore plein de choses qui remontent et je grogne... Mais, Dominique va dire que je l'ai cherché, car je n'avais qu'à pas reprendre la perche, et ne pas m'imaginer en train de vérifier que tout est fermé pour que le jardinier en herbe ne voit pas ce qui allait m'arriver...
    Et, je suis d'accord avec lui que de discussion, il y en avait peu quand l'annonce avait été faite, comme une promesse qui allait se concrétiser par la main maternelle sur des fesses bien dégagées de tout obstacle...
    Sans vouloir provoquer l'archiviste, je crois qu'il y a un (ou deux) autres(s) récits qui parlent de retour de plage, dont un où les petites étaient restées sous la garde d'une voisine ou de Tata, et où j'avais dû rentrer la première à la location (une autre) suivie par Maman qui, une fois seule à seule, entre quatre murs, avait là aussi tenu sa promesse...

    RépondreSupprimer
  56. Chère Christine,

    Sachez, chère conteuse, qu'en ce qui concerne l'élaboration du synopsis ! J'utilise mon imagination, bien sur, mais aussi mon propre vécu, en y intégrant quelques touches personnelles ! Comme la mise au coin, après une bonne fessée, qui était plus que fréquente chez moi et quelque soit l'âge ! Maman et Tata, considérant que cela nous faisait mieux comprendre, nos erreurs !
    Et je reconnais humblement, avec le recul, qu'être exposé ainsi aux regards des autres était presque aussi douloureux, que la fessée en elle-même ! Voilà la pensée, du matelot !

    Sinon, je suis fort aise, que vous respectiez mon imagination sans débordement ! Ce qui me pousse donc à poursuivre, en me servant aussi de vos réactions !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  57. Bonjour Christine,

    Christine, je viens de rentrer d'un petit séjour au soleil des Antilles et je découvre l'épisode 73, ainsi que vos échanges avec Dominique, celui-ci n'ayant pas chômé !

    Concernant l'épisode, je vois que vous en avez pris une sévère, 'de grande' comme vous dites, avec toute l'angoisse de l'attente et ces fameuses chemises de nuit, qui virevoltaient au moindre courant d'air, offrant à Maman la possibilité de me claquer les fesses, à la volée et à tout moment ! Si je ronchonnais ou désobéissais et malgré la culotte, cela faisait très mal ! Car Maman, compte tenu de ce dernier rempart, claquait beaucoup plus fort.
    En clair, je détestais ce vêtement, car comme vous le dites, lors d'une plongée directe sur les genoux maternels (assez rare, chez Maman ou Tata, qui déculottaient, avant) ! Celui-ci, s'envolait dans le sens de la plongée, ne laissant donc qu'une culotte, en protection et que nos mères chéries, baissaient en un tour de mains, afin d'avoir nos fesses à disposition pour les rougir de belle manière et nous faire regretter notre comportement ou nos mauvaises notes.

    Je vais donc rependre le court de mon récit ! Ou les cuisses de Tata, m'attendaient ! Même si je n'avait pas trop envie d'y aller, mais comme chez vous, Christine ! Les enfants se devaient d'obéir et sans discussion !!! Mes cousines et moi, avons d'ailleurs connu des redoublements de punition, à ce sujet !!!!!!!

    Valérie

    RépondreSupprimer
  58. Dominique prépare la suite de son synopsis, en mettant à profit ses talents de grand archiviste et connaisseur de mes écrits pour rester dans le ton, tout en y mettant une touche personnelle. J'apprécie... Merci d'avance, même si je crains que la suite ne soit pas au goût de l'ainée des Spaak...
    Je remarque au passage que, pour une fois, il n'a pas (ou pas encore) saisi la perche tendue à ses connaissances d'archiviste, où j'évoquais d'autres départs de la plage peu glorieux...
    Sinon, revoici Valérie qui va reprendre un récit laissé en plan à un moment crucial pour son bas du dos... Il va y avoir de quoi lire donc...

    RépondreSupprimer
  59. Chère Christine,

    En effet, ma chère conteuse, provoquer l'archiviste! C'est prendre un gros risque et il est vrai que vous l'avez bien cherché, au même titre que les bonnes déculottées maternelles.
    Donc pour répondre, à cette amicale provocation, le diabolique vous livre la référence d'un épisode, auquel vous faites allusion et que je vous invite à relire, sans avoir trouvé, malgré mes recherches, le cas d'une garde des petites, mais qui me dit quelque chose ! Je pense qu'il s'agit d'une phrase ou d'un paragraphe ! Ce qui va vous faire grogner, encore davantage.

    « Confidences entre mères sur canapé – 07/2009 » ou Maman fait le récit de vacances avec ses filles, à ses dames curieuses, sans omettre le règlement de comptes entre Christine et elle, durant la sieste des petites ! La demoiselle écoutant tout cela, en catimini !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  60. Chère Christine,

    Que l'aînée des Spaak, craigne la suite du synopsis et quel celle-ci ne soit à son goût, c'est évident puisque j'ai précisé que je gardais le meilleur, pour la fin !!!!!

    Tant qu'à l'archiviste, il a bien saisi la perche et une réponse vient de vous être envoyée ! Peut-être que cette fois-ci, Christinette, fera l'effort d'éclairer la lanterne Dominicaine, dont les recherches ont été infructueuses ! Mise à part, l'épisode cité !!!!! Merci, par avance, Christine !!!!!!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  61. Je savais bien que Dominique avait réponse à tout ou presque. Et il vient en effet de me dégoter un épisode de discussion entre Maman, Tata et une voisine, où est évoquée, voire détaillée, une fessée reçue à l'heure de la sieste en vacances. Grrr... là encore, voilà qui me fait relire en détail un texte en partie oublié... Et remonter des souvenirs et sensations fortes... Grrr...
    Cela dit, ce n'est pas le souvenir que j'évoquais. Dans le mien, il me semble que je repartais de la plage avec Maman (et sans les soeurs laissées sur place) pour rentrer les premières à la location... Et dans un but peu engageant pour moi, et sans équivoque dans la tête de Maman...
    Je crois bien l'avoir écrit, non ? A moins que ce soit parmi les épisodes que je n'ai pas encore mis noir sur blanc... Mais, l'archiviste en chef saura me le dire...
    Il faudrait d'ailleurs que je me remette à lire ma production depuis le début, car je trouve dans ces retours en arrière quelques fautes d'orthographe qui m'ont échappé... Heureusement, hihi, que Maman ne passait pas derrière mes écrits, comme elle relisait mes devoirs... Sinon, il y aurait eu quelques épisodes supplémentaires et inédits...

    RépondreSupprimer
  62. Nos commentaires et réponses se croisent avec Dominique. En quoi dois-je "éclairer" votre lanterne ? Je viens de donner quelques éléments sur l'épisode qui me revenait en tête, concernant des vacances à la mer. Je "revois" aussi la remontée de la plage, marchant dans le sable jusqu'au remblai, derrière ou juste devant Maman, avec des mines qui en disaient long sur la tonalité de l'explication qui allait suivre, une fois rentrées à la location.

    RépondreSupprimer
  63. Chère Christine,

    En effet, Christine, comme je vous l'ai précisé ! Cette scène ou épisode me dit quelque chose, je vais donc approfondir mes recherches, n'ayant fait qu'un survol des épisodes ! Afin de faire plaisir à ma conteuse préférée ! Bon, cela dit, ce sera peut-être moins plaisant pour la Christinette ou la grande Christine ! Mais je vais m'y atteler !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  64. Mais, ne cherchez pas trop, Dominique. Plus j'y pense et plus je me dis que ce doit être une scène que j'avais notée quelque part et que je n'ai pas forcément rédigée. J'avais, il y a deux ou trois ans, listé pêle-mêle tout ce qui me revenait, afin de ne rien perdre, et de pouvoir structurer des récits longs, et éviter de mélanger trop les années. Il y a donc des situations et épisodes auxquels j'ai pensé sans les avoir écrits.
    Et puis, je ne tiens pas forcément à ce que la relecture de certains scènes me replonge dans des ressentis peu agréables et troublants...

    RépondreSupprimer
  65. Chère Christine,

    Chère conteuse, je suis un perfectionniste (mauvais en français) qui a par habitude d'aller, au bout des choses. En fait, de mémoire, il me semble que vous avez évoquez cette scène, dans une réponse ou un commentaire, car pour l'instant, je n'ai pas trouvé d'épisode correspondant à cette situation précise ! Donc je vais rechercher ça, tranquillement et vous livrerait l'information ! Même si cela ne plaira pas à la grande Christine et la troublera !!!!!
    Et ceci, bien sur, sans oublier de tenir mes promesses, à l'instar de Maman Spaak ! Et, non comme une certaine Christinette, dont les fesses en payaient le prix fort, au final !!!!!! Hi, hi.............

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  66. Ne cherchez pas, Dominique. Je ne pense pas que ce soit dans une réponse ou un commentaire. Car j'associe ça à une image que j'avais inclus (ou que je voulais inclure), montrant Christinette trainant les pieds en remontant de la plage, ou s'arrêtant arrivée au remblai pour enlever le sable de ses pieds, gênée aussi, il me semble par le regard des autres estivants qui semblent avoir compris ou entendu ce que serait la "discussion" à venir.

    RépondreSupprimer
  67. Sacré Dominique, à force de m'avoir fait repenser à certains épisodes, ils me reviennent en écho, et une relecture rafraichit mes souvenirs aussi sûrement que Maman me réchauffait ce que vous devinez... C'est assez troublant.
    N'insistons donc pas trop, sinon vous allez croire que je délaisse la suite de mon récit actuel, qu'il va bien falloir mener à terme, alors que se profile le dernier trimestre de cette année de redoublement...
    Ne nous égarons donc pas trop, même si, en effet, j'avoue que les petites remises en mémoire concoctées par M. l'archiviste me font un effet particulier.

    RépondreSupprimer
  68. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite :

    Christine, visiblement très complice avec sa Tante ! Comme avec une grande sœur qu'elle n'avait pas, se leva immédiatement, pour lui apporter un verre ! Et la débarrasser de son sac, pour le mettre dans sa chambre et j'avoue que n'étant pas indifférent au charme troublant, de cette femme ! Ma fiancée, me lançait des petits signaux discrets de jalousie ! Mais bien compréhensibles pour moi !

    Bien évidemment, la Tante se fît curieuse au sujet sa nièce, au coin et un dialogue s'instaura entre les deux femmes !

    « Oh, mais c'est très simple, Jacqueline ! Ta nièce a raté un partiel de maths, je sais que ça n'a jamais été son fort, à l'inverse de Christine ! Mais en travaillant, on s'en sort ! Et me connaissant ! Tu sais, que je ne n'accepte pas la fainéantise ! Alors, hier soir, j'ai rappelé à Aline, de quelle façon, Maman savait remotiver les fainéantes et ceci malgré ses 19 ans ! Tu vois ce que je veux dire, Jacqueline ? »

    Et la Tante répondit « Oui, oui, Anne-Marie et je te comprends ! C'est en effet dommage de rater un examen, à cause d'un manque d'effort ! Mais cela ne me dit pas pourquoi, elle est là, dans cette position ? ». La mère reprit alors la parole, pour délivrer à toute l'assistance, les circonstances ! Et se lança dans un monologue !

    « Mais c'est encore plus simple, Jacqueline ! Aujourd'hui, après le déjeuner, Dominique est gentiment venu me proposer de passer l'après-midi sur la plage, avec Caroline et les filles ! Mais comme tu t'en doutes, j'ai répondu que cela m'était impossible, ainsi que pour Aline ! A l'inverse de Christine et Diane, qui elles, pouvaient en profiter !
    Et Aline a travaillé, durant ce temps, avec mon aide ! Sauf qu'une fois celui-ci terminé, la demoiselle mécontente, de ne pas avoir pu participer au divertissement, a manifesté sa rancoeur envers moi, avec des paroles que je ne citerais pas ! Mais qu'une mère ne peut accepter !
    Je l'ai donc attrapé et étalé, au travers de mes cuisses, pour lui rappeler les bonnes manières ! Et là, une fois la culotte baissée ! Je te garantis que la petite demoiselle a changé de discours, m'implorant et me suppliant ! Mais comme tu le sais, Jacqueline, je termine toujours ce que j'ai commencé et la chère petite Aline, s'est pris une volée mémorable et amplement méritée, comme sa grande sœur, à une certaine époque ! »
    « Oui ! Je suis d'accord, mais pourquoi est-elle au coin ? », la mère répondant « Mais parce que ta nièce, très vexée d'avoir reçu une bonne déculottée à son âge, s'est mise à grogner et trépigner telle une gamine ! C'est là ! Que je l'ai envoyé, faire un séjour au coin, pour réfléchir, comme quand elle avait 10 ans !  Voilà, c'est tout ! »

    Durant ce dialogue, en écho aux voix des deux femmes, s'ajouta une crise de sanglots d'Aline ! Sinon, en dehors de cela, nous étions tous silencieux ! Les deux frangines, ainsi que Caroline avaient le teint plutôt pâle ! Seul celui de Christine passa du blanc, au rouge, sur la dernière tirade du monologue de la mère, ravivant certainement sa mémoire !
    L'ennui surtout pour Aline, dans sa position ! C'est que cela déclencha une conversation sur le sujet, entre les six personnes qui prenaient l'apéritif !

    A suivre.........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  69. Ce synopsis va commencer à m'angoisser... Qu'il imagine Aline en mauvaise posture et recevant ce qu'elle a mérité, ne me dérangeait pas trop. Mais, que cela amène une discussion en présence de Tata, de mes soeurs, et de Dominique et sa fiancée, ne me semble pas une bonne idée... Surtout quand Maman dit que "la chère petite Aline, s'est pris une volée mémorable et amplement méritée, comme sa grande sœur, à une certaine époque ! ", alors là, je me vois rougir et tenter de changer la conversation de sujet, ce qui ne s'annonce pas facile quand il y a des curieux et une Diane, voire une Tata apte à apporter leur grain de sel dans des évocations qui ne regardent pas des étrangers à la famille... Je préférerais ne rien entendre, ne pas être là, et aller me cacher dans un trou de souris...

    RépondreSupprimer
  70. Chère Christine,

    C'est vrai, chère conteuse, vous pouvez préparer votre trou de souris, pour vous y en enfouir ! Comme vous prépariez autre chose, pour Maman chérie, dans votre chambre. Suite à une bêtise, colle ou mauvaise note ! Tant qu'aux étrangers, il n'y en a vraiment qu'un seul, Dominique, mais que Maman apprécie beaucoup ! Caroline étant une amie très proche de Christine, faisant les mêmes études, élevées de la même manière et partageant leurs petits secrets de filles !

    Alors que Christine ne soit pas dérangée par la déconvenue d'Aline, mais chagrinée à l'idée d'une discussion, la mettant en cause et la fasse rougir, j'en suis désolé ! Mais je lui rappelle que le maître à bord du synopsis, c'est Dominique, il faudra donc faire avec !!!!!!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  71. Bonjour Christine,
    Suite de l'été 1962 (11)

    Maman m'aida à quitter ses cuisses et me conduisit, elle-même, par les cheveux vers celles de ma Tante ! Ce qui, ayant repris mes esprits, me fît réagir « Noonnn, nooonn, M'maaannn ! S'teee plaiiiit ! J'aiii malll ! » avec en réponse « Mais c'est très bien ! Si tu as mal, ma fille ! Cela te feras peut-être comprendre que ta grand-mère, n'est pas une copine ! Et crois-moi, que de la douleur, tu vas en avoir ! Allez on a assez parlé, ma chérie ! Tant pis pour toi, il fallait réfléchir avant !!!!!!! ».
    Là ! Elle me jeta littéralement sur les cuisses de ma Tante, en ajoutant avec ironie
    « Jeannine, s'il te plaît ! Fais-moi rougir, ce fessier comme il le mérite ! Sois généreuse ! N'hésite surtout pas, même si la demoiselle doit chanter très fort ! De toute façon, comme celle-ci a joué les grandes dames, vis à vis de son aïeule, trop gentille ! Ses fesses, de grande dame, doivent pouvoir supporter une bonne dérouillée ! Même, si en fait ! Je pense que la soi-disant, grande dame, va très vite redevenir une simple petite fillette effrontée, implorante ! Suppliant sa chère Tata d'arrêter !Allez, ma petite sœur chérie ! Ne déçois pas ta nièce ! ».

    Là, je ressentis la colère contenue de ma chère mère, bien décidée à ma faire payer l'affront que j'avais eu envers ma grand-mère ! Ainsi que celle de ma Tante, ne prononçant pas un mot ! Mais qui allait la transmettre à mes fesses ! Et si j'avais déjà connu, de bonnes dérouillées ! Avant d'autres !!
    Je crois que celle-ci serait restée de longues semaines, dans les dix premières des hit-parades !

    Excuse-moi, pour la digression, cela vient de mes petits-enfants, qui comme ils le disent sont « Branchés », à l'inverse de Mamie Valérie ! A suivre..........

    Valérie

    RépondreSupprimer
  72. Pendant que Valérie poursuit son récit par l'étape sur les genoux de sa Tante, je tends le dos, impatiente de lire la suite du synopsis dominicain, à condition qu'il ne fasse pas trop honte à la Christinette devenue majeure. Sinon, je préférerais ne pas avoir à lire ce que je crains si, comme il l'imagine, Maman, Tata et Diane étant en confiance devant Caroline, et considérant Dominique comme un proche, risquent de ne pas trop se retenir dans l'évocation de certaines années délicates pour les trois filles Spaak, et particulièrement pour l'ainée... Voilà qui ne me rassure pas du tout... Et m'angoisse même...

    RépondreSupprimer
  73. Chère Christine,

    Que Christine, ne soit pas rassurée et angoisse pour la suite du synopsis dominicain, je le comprends, mais l'idée de départ était bien que la Christine plus âgée, se ramasse une bonne déculottée, comme au temps de la Christinette, alors qu'elle a passer l'âge de la 'majorité' (mot qui n'a d'ailleurs qu'une valeur juridique, de responsabilité et encore !!!!), mais ne dispense pas des parents conscient de leur devoir et en l'occurrence Maman Spaak, de rappeler à ses filles, les bonnes manières ! Aline venant d'en faire l'amère expérience, malgré ses 19 ans !!!!!

    Alors, ma Chère Christine, tout comme le faisait Maman ! Je vais vous laisser mijoter, au tout petit feu et le moment venu, ce sera un feu d'arti-fesses pour la jeune fille !!!! Hi,hi !!!! La Christinette devenue majeure, n'aura plus qu'à digérer celui-ci.

    En attendant, je peaufine la conversation, qui risque fort de déplaire à une certaine Christinette !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  74. Pfff, quelle idée ! Qu'elle soit "idée de départ" ou d'arrivée, c'est une très mauvaise idée, je trouve désormais... J'admets qu'elle a pu être évoquée comme une boutade, mais si le synopsis pouvait tourner autrement, j'en serais fort aise... Surtout que, même totalement inventé cet épisode dominicain sachant habilement se servir d'éléments qui furent réels, eux, je me prends au jeu, et commence à craindre, à presque angoisser au fond de moi...
    Voyons déjà ce que sera la fameuse "conversation" qui, elle se déroule en présence de tous ces témoins. La suite, s'il y en a une évidemment, devant pour une question de vraisemblance se dérouler théoriquement à l'abri de tous les regards, sauf que... les curieux et curieuses qui sont malins pourraient bien trouver un moyen de jeter un oeil...

    RépondreSupprimer
  75. Chère Christine,

    Bein voilà que la Christine ronchonne et souhaiterait que le synopsis, ne change pas d'orientation, en restant axé sur les soeurettes et non sur elle ! Ce qui lui plaisait bien !!! Même si c'est pas très sympa pour les frangines !
    Alors bien sur pour Christine, l'idée du mataf, est une mauvaise idée ! Celle-ci la replongeant dans les affres, d'une certaine époque ou elle plongeait fréquemment au travers des cuisses maternelles, le ventre noué par la peur, de ce qui allait suivre et sachant qu'il était trop tard, pour inverser le cours des choses !

    Tant qu'à la vraisemblance ou crédibilité, il me semble que le conte du matelot, l'est depuis le début, n'est ce pas ?

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  76. Pas sympa pour les frangines, dit Dominique. Pfff, je crois que j'ai assez d'avance dans les moqueries faites à mon encontre, et tout ce que j'ai dû supporter comme ricanements et allusions en douce de leur part durant une certaine période, pour préférer que l'on se contente de se focaliser sur le cas des deux petites, même devenues grandes.
    Bon, je veux bien admettre, Dominique, que le synopsis que vous développez tient la route. Je n'aurais peut-être pas été jusqu'à l'exposition d'Aline au coin dans le salon, et l'aurais plus imaginée dans sa chambre, mais le reste semble bien parti, sans tomber dans les excès que je n'apprécie pas.
    J'attends donc la suite, avec curiosité, dit Christine de maintenant, avec une angoisse galopante, dit au contraire la Christine de 22 ans et demi...

    RépondreSupprimer
  77. Chère Christine,

    Rassurez-vous, Christine et vous le savez, fort bien ! Les excès ne sont pas du domaine de Dominique ! Tout au plus, il ajoute, quelques situations personnelles qu'il a connu ou vécu ! Comme la mise au coin d'Aline et celle-ci me semblait appropriée, la demoiselle grognant et pestant telle une fillette de 10 ans, envers sa Maman lui ayant donné la correction qu'elle méritait !

    Sinon, je reconnais que vos sœurs, ne vous ont pas épargné dans la moquerie, durant une certaine période et que ce n'est qu'un juste retour des choses, avec ce synopsis Dominicain, qui soi-dit en passant prend beaucoup de plaisir, à l'écrire ! D'autant que le meilleur, arrive, un peu comme l'expression de Maman « J'arrive, ma fille, j'arrive ! ». Hi, hi...........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  78. Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire comme sottise... Dominique "prend beaucoup de plaisir" à écrire sur les malheurs de Christine ! Pfff, méchant garçon !
    Et puis, cette façon de remuer le couteau dans la plaie, en me faisant me rappeler de l'expression maternelle employée parfois en certaines circonstances : "J'arrive, Christine, j'arrive..." Alors que, chacun le comprendra, j'aurais eu envie qu'elle "n'arrive" jamais... Parce que ce n'était certainement pas "le meilleur", comme dit Dominique, qui arrivait, mais bien le pire, pour une Christinette qui le savait, et qui y préparait ses fesses...

    RépondreSupprimer
  79. Chère Christine,

    Bein, oui, Christine ! Je prends plus de plaisir à écrire « Les malheurs de Christine » que les miens ! Tout comme Christine, qui préfère voir ses sœurs déculottées et bien fessées plutôt qu'elle-même !

    Tant qu'au couteau que je tourne dans la plaie, avec l'expression maternelle utilisée plus que parfois, c'était un petit clin d'oeil, certes ravivant la mémoire et pas très sympa du méchant garçon, je l'admets, mais qui lui aussi est libéré du joug maternel, aujourd'hui. Hi, hi....

    Sinon concernant le meilleur, je confirme ! Car les compositions de Maman Spaak sur les fesses de son aînée étaient et demeurent de grandes symphonies, incontournables, en terme de qualité ! La Christinette ne préparant pas ses rondeurs jumelles, pour une petite saynète !!! Hi, hi, hi........

    Amitiés, la discussion arrive, comme Maman et la fessée de Christine !!! Hi, hi..........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  80. Dominique se prend pour la Comtesse de Ségur, pfff... Et de retourner le couteau dans la plaie, sous prétexte qu'il est "libéré du joug maternel". Mais, si je le suis aussi, cela n'empêche pas que la moindre évocation de cette période, et encore plus des scènes en question me ferait presque rougir... Alors, imaginer une "discussion" qui tournent autour de certaines "discussions" qui ne regardaient que Maman et moi, ne me plait guère...
    Mais, je ne devrais pas continuer à guetter l'arrivée des contributions dominicaines, sinon il va croire que je les crains, pfff...

    RépondreSupprimer
  81. Chère Christine,

    Mais bien sur !!!!! Que vous craignez cette discussion ! Comme les déculottées de Maman à une certaine époque et je vous comprends !!! La simple évocation de ces moments délicats, même pour moi, ravive les émotions de l'instant 45 ans plus tard !!!!!!!!!
    Néanmoins nous sommes dans un jeu d'échange et de contributions mutuelles, sans péril pour nos fessiers respectifs, même s'ils font changer la couleur de notre visage et nous remémorent des choses que l'on souhaiterait oublier !!!!!!!! N'est ce pas, chère Christine !!!!!!!!

    Très amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  82. Damned ! Je suis démasquée... Dominique a deviné que cette discussion, je la craignais... C'est malin, je n'aurais pas dû montrer mon impatience de lire sa prose, j'aurais dû jouer les blasées... Il n'aurait peut-être pas insisté... Mais, c'est vrai qu'il a lui-même un vécu de ce genre de situation et sait donc bien ce qui me gêne, et ce qui tendrait à m'angoisser...
    Mais, comme lui-même sait que l'on évoque des "choses que l'on souhaiterait oublier", il pourrait s'abstenir et en rester là, non ?
    Peut-être même qu'avec un peu de délicatesse, il pourrait se contenter d'évoquer "les punitions de Maman Spaak" au lieu de parler de mes "fessées", qui me semblent déjà une précision gênante, et pire encore de parler "des déculottées de Maman", qui ajoutent ce qui n'est qu'un détail, mais qui a de l'importance pour ma pudeur, surtout que l'emploi du pluriel laisse croire que c'était la règle...

    RépondreSupprimer
  83. Chère Christine,

    Et oui, ma chère conteuse, tout comme moi avec Maman ou Tata, il n'était de bonnes fessées que bien déculotté ! La peau nue étant bien plus réceptive au message maternel et vous le savez, aussi bien que le petit Minot ! Alors en effet, je pense que c'était la règle dans la maisonnée Spaak, comme chez moi ou chez Valérie et l'emploi du pluriel pour Christinette ou ses sœurs, ne me semble pas hors sujet !!! Il en était de même pour ma Caroline chérie !!!

    Sinon, je confirme que provoquer le vilain garnement est risqué, son passé lui permettant de rebondir allègrement, non pas sur les fesses de Christine (ce qu'il regrette), mais sur ses écrits et tant qu'à la délicatesse, ce n'est pas vraiment le fort de l'ancien militaire ! Tout juste s'efforce t-il, par moment de ne pas trop froisser, la sensibilité de Christine, sur ce sujet sensible !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  84. Cher Dominique, tout le monde avait compris. Ce n'est pas la peine de préciser que la fessée déculottée se donne "sur la peau nue". Cela froisse encore davantage ma pudeur...
    Gardez donc aussi vos raisonnements vous faisant affirmer que c'était "la règle" dans la maisonnée Spaak, et que l'emploi du pluriel s'applique évidemment aux épisodes concernant Christinette...
    Merci de rester discret sur le sujet, je ne voudrais pas que cela s'ébruite trop...
    Puisque l'on est entre nous, j'avoue que vous n'avez pas tort, mais comprenez mon émoi.
    Je sais aussi que si je m'entêtais à nier l'évidence, je risquerais d'être contredite par l'une ou l'autre de mes soeurs qui, elles, n'hésitent pas à confier mes mésaventures à qui veut les entendre.... Grrr...

    RépondreSupprimer
  85. Chère Christine,

    Je sais ! Christine, que tout le monde avait compris ! Mais l'inculte que je suis, ne peux s'empêcher de préciser les choses (un chat, est un chat) et une vraie fes....., est une déc...... ! Même si cela met votre pudeur à mal ! Vous voyez, je n'ai pas prononcé les mots !!!!!!!!!!

    Bon ceci dit, je ferais en sorte de rester discret sur les tourments maternels, que la Christinette a connu, pour ne pas susciter son émoi et que les soeurettes, utiliseraient sans vergogne, se fichant du ressentis de la grande sœur !

    La suite du synopsis, est presque finalisée ! Mais je pense qu'elle fera encore grogner la Christine !!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  86. Je deviens comme Maman : je veux des preuves et pas que des promesses... Et je ne suis pas sûre que la conversation que Dominique va retranscrire en suite du synopsis soit à mon goût... Je verrai bien, mais je crains que le sujet et les commentaires et autres souvenirs familiaux racontés ne me mettent très mal à l'aise...

    RépondreSupprimer
  87. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite :

    En fait, cette conversation, fût lancer par la Tante !

    Tata : « Eh bien, Anne-Marie ! Je constate que tu ne chômes toujours pas avec mes nièces, malgré qu'elles aient grandi ! »

    Maman : « En effet, Jacqueline ! Après Christine et ses années de collège délicates ou j'ai souvent servi ses fesses ! Aujourd'hui, c'est au tour des petites, qui m'avaient pourtant laisser assez tranquille durant leurs vie de collégiennes ! Certainement aidées, en cela, par les tannées de la grande sœur, qu'elles avaient entendu ou vu ! En se disant, qu'il valait mieux éviter la main de Maman, en grandissant ! Eh bien, non, tu vois ! Car si Aline s'en pris deux, en l'espace d'un jour et demi!Rappel-toi, il y a peine quinze jours, c'est Diane qui s'était retrouvée sur mes genoux, sans sa culotte, pour t'avoir manqué de respect ! Donc pour l'instant, il n'y a qu'avec ta nièce préférée que je suis tranquille, depuis sa dernière volée, qui remonte à un peu plus de trois ans ! D'ailleurs tu étais là ! »
    Tata : « Oui, je m'en rappelle et je reconnais qu'elle était méritée, vu les circonstances qui ont amené celle-ci, même si j'adore ma nièce, comme tu le dis ! »

    Là ! Je vis Diane, mais surtout Christine rougirent comme des tomates, bien évidemment on ne pouvait voir Aline de face, mais celle-ci devait être dans le même état, puisque qu'elle continuait de pleurnicher ! Et c'est l'aînée qui embraya, tentant de clore le sujet, visiblement gênée par celui-ci et de façon un peu sèche!

    Christine : « Maman, Tata !!!! S'il vous plaît ! Cela n'intéresse ni Caroline, ni Dominique ! On pourrait peut-être parler d'autres choses ! Non ? ». Ce qui lui valut une réponse maternelle assez aigre et pleine d'autorité !

    Maman : « Christine !!! Je te rappel que tu es, sous le toit de ta Tante et de ta mère ! Donc ce qui se fait ou se dit, dans cette maison, nous en sommes les deux seules juges ! Alors que notre sujet de conversation puisse te gêner, ainsi que Caroline, Dominique ou tes sœurs, je le comprends ! Mais que je sache, tu n'a pas autorité à nous dire ce que l'on doit faire ! Alors, si cela ne te convient pas, tu n'a qu'à filer dans ta chambre, comme à une certaine époque ou te taire !!!! ».
    Christine était scotchée, son visage passa du rouge au blanc ! Et elle demanda pardon, à sa mère, qui en rajouta une couche « Je préfère ça, ma fille ! Car, je suis toujours ta mère et malgré tes 22 ans, je pourrais bien m'occuper de toi, comme tes sœurs, s'il le faut !!!! »
    Les yeux brillants et le visage redevenu rouge, Christine, renouvela sa demande de pardon !

    C'est là que la Tante intervint pour détendre l'atmosphère « Allez mesdames, restons calme ! Nous avons des invités ! Alors prenons tranquillement l'apéritif, tout en discutant ! ». La Maman répondit par l'affirmative, renvoyant la pauvre Aline toujours au coin, dans sa chambre éponger son chagrin !

    Et la conversation repris, entre quatre personnes, Christine et Diane étant muettes, comme des carpes, seuls leurs visages s'exprimaient et ma Caroline, n'était pas très à l'aise !!!!!!

    A suivre.........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  88. Chère Christine,

    Voilà que Christine, se fait exigeante, réclamant des preuves, plutôt que des promesses ! C'est vrai qu'une certaine Christinette était bien placée en terme de promesses non respectées et que Maman savait en faire le rappel, de façon très concrète et tangible à sa fifille, après lui avoir ôté, cette dernière étoffe, cachant deux belles rondeurs ne demandant qu'à être servies et de belle manière !!!

    Sinon concernant les preuves, l'espiègle Dominicain, vous en a servi une partie, il y a un peu plus d'une heure ! Et je pense, en effet, que celle-ci ne sera pas vraiment du goût de la grande Christine ou de la petite Christinette ! Sa seule consolation étant d'être accompagné dans le malaise, par ses frangines et notamment la petite Diane, Aline étant renvoyée, dans ses quartiers !!!!!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  89. Bon, j'avoue, Dominique, que je n'ai pas à me plaindre. La promesse est tenue avec cette conversation qui se développe dans le synopsis dominicain. Même si comme je le craignais, la tournure n'est pas favorable à Christine qui se retrouve confrontée aux rappels de ses heures de gloire fessières devant toute cette petite assemblée...
    J'ai juste tiqué dans l'affirmation de la maison qui serait commune à Maman et Tata. Mais, j'avais oublié le début du synopsis qui effectivement faisait que la famille avait déménagé vers Lorient. J'étais resté dans l'idée que c'était toujours la même maison de notre enfance. Cela dit, il suffit de se mettre d'accord. Qu'importe. Disons toutefois que, pour la suite, peut-être vaut-il mieux que Tata habite dans le voisinage et pas sous le même toit. Cela peut plus facilement donner des moments où Maman se croirait seule avec son aînée...
    Sinon, je trouve les dialogues bien menés, et j'avoue que je me serais sentie très gênée à ces évocations de mes périodes délicates et de la façon dont Maman les traitait...
    Comme, c'est tout moi de vouloir changer de conversation, quitte à couper un peu la parole de Maman.
    Quant à la réaction irritée de Maman, lançant devant tout le monde : "Alors, si cela ne te convient pas, tu n'as qu'à filer dans ta chambre, comme à une certaine époque ou te taire !", cher Dominique, je la trouve parfaite et d'un réalisme qui me fait presque angoisser en la lisant...
    Je m'imagine prenant cette réflexion maternelle devant mes soeurs, ma Tante et les deux témoins extérieurs. J'aurais eu le coeur battant la chamade, n'en croyant pas mes oreilles : "Mon Dieu, mais ce n'est pas vrai. Ai-je bien entendu, bien compris ? Maman m'a menacée à demi-mots. Comme si elle était prête à me donner à nouveau la fessée ! A mon âge ! Non, ce n'est pas possible... Déjà j'ai eu la honte de ma vie, il y a un peu plus de trois ans, quand j'ai fait ma crise de jalousie et me suis retrouvée sur les genoux de Maman, où je n'étais plus allée depuis deux ans auparavant... Mais, là, à 23 ans dans quelques jours, ce n'est pas imaginable... J'en tremble... Vite, changeons d'idée, sinon je vais en faire des cauchemars la nuit..."

    RépondreSupprimer
  90. Bonjour Christine,
    Suite de l'été 1962 (11)

    Tata ne me fît pas languir ! Enserrant ma taille de son bras gauche, telle une ceinture ! Des claques énormes tombèrent sur le coté de mes fesses et la jonction avec mes cuisses, parties non servies par Maman, sans oublier le gras de celles-ci ! La douleur était affreuse, ses longs doigts secs cinglaient comme un chapelet de petits bâtons ! Je n'arrivais pas à retenir mes cris dont la tonalité s'amplifiait, au fur et à mesure des claques, qui tombaient !
    Bien sur, elle m'avait déjà donné de très bonnes fessées et j'en avais connu d'autres avec Maman!

    Mais là !!!! J'en vivais une exceptionnelle, de part les circonstances (entièrement nue, devant mes cousines qui l'étaient aussi et Mémé) et l'intensité de celle-ci ! Le bras de ma Tante semblait infatigable, sa main claquant sans relâche, sur un rythme, moins rapide que celui de Maman ! Mais tout aussi fort ! Mes fesses et le haut de mes cuisses étaient comme des volcans en éruption !!!! Tata claquait (sans dire un mot) encore et encore, je n'étais que cris et pleurent mêlés ! Respirant par saccades, la douleur étant insupportable, pour mon bas du dos, comme vous le dites souvent ! Je ne ressentais qu'une immense brûlure à cet endroit et que la peau, de celui-ci, n'existait plus !

    Ce qui, bien sur, n'était pas le cas ! Mais la douleur et la brûlure, me donnait cette sensation ! Puis le bras de ma Tante s'arrêta, je demeurais allongée sur ces cuisses, tel une poupée de chiffons ! Emettant encore quelques petits cris, alors que la valse de la main, avait cessé et déversait un torrent de larmes sur le sol, le corps secoué de soubresauts ! Après quelques minutes, Tata me remis sur mes pieds et tout en me soutenant (je titubais, comme si j'étais saoule), m'accompagna vers Maman qui s'était levée de sa chaise !
    Maman pris alors le relais, en me tenant par les bras, me dit avec ironie « Alors, Mademoiselle, la grande dame ! Tu as compris la leçon, sur le respect, que vous devez à votre grand-mère ou faut-il que l'on continue ? », ce qui, vous vous en doutez, déclencha une réponse immédiate de ma part, entre deux respirations « Noooonnn, M'maaann, nooonnn ! Jt'e promeeets ! J'aiiii compriiiis !! ».

    Ma chère Maman dit alors « Très bien, ma petite fille ! J'espère que tu la retiendras ! Je n'ai donc plus qu'à conclure la leçon, comme pour tes cousines !!!! ». Là aussi, j'avais compris, ce que ça voulait dire !!!!!!!

    Me courbant sous son bras, je me pris une vingtaine de claques très fortes et rapides, me faisant hurler de douleur, mes fesses étant déjà en fusion ! C'était insupportable !!!!! Et lorsqu'elle relâcha son étreinte, mes jambes ne me portais plus, tombant comme un paquet de linge sale, à ses pieds et me recroquevillant tel un fœtus, le visage dans les mains pleurant et gémissante comme jamais !!!

    Car si j'avais déjà pris de bonnes volées, de la part de Maman ou Tata ! Celle-ci était vraiment au dessus du lot ! Bien entendu, mon insolence doublé d'une arrogance, envers ma grand-mère, justifiait une punition exemplaire ! Mais là, jamais ! Je n'aurais imaginé, prendre une rouste aussi phénoménale !!!!!!! C'est d'ailleurs, Maman qui m'aida à me relever pour rejoindre mes cousines, qui n'ayant rien loupé de ma correction, permis à ma chère mère, de nous adresser un sermon très pénible et porteur de futures dérouillées identiques !!!!!!!!

    A suivre...............

    Valérie

    RépondreSupprimer
  91. Chère Christine,

    Je me permets de vous rappeler gentiment, que le maître à bord du synopsis, est le Lieutenant de Vaisseau, Dominique et qu'il ne reçoit ses ordres que de l'amirauté ! Hi, hi.....
    Et il est vrai qu'au sujet de l'habitation, en effet la famille avait déménagé vers Lorient, compte tenu des circonstances !
    Donc dans le prochain épisode du synopsis, je donnerais quelques précisions sur celle-ci et vous remercie pour l'appréciation, concernant la tirade maternelle !
    Tant qu'à votre retour sur les genoux, de Maman, à presque 23 ans et quasiment 5 ans d'abstinence, sauf l'épisode de la séparation ! Vous pouvez trembler et cauchemarder, car c'est tout à fait imaginable dans l'esprit Dominicain.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  92. Oui, Monsieur le seul maître à bord, hi hi... Mais, je retiens mon rire, car je ne voudrais pas vous froisser...
    Cela dit, je veux bien avoir déménagé, cela me dérange moins que cette idée farfelue (mais qui m'angoisse à l'avance...) d'un scénario style "Christine, le retour..."
    En me remettant dans la situation du synopsis, je me vois la tête qui bourdonne et pleine d'images et de sensations qui reviennent. Ce sont bien sûr celles de la dernière volée dite de la séparation. Mais, celle-ci avait été donnée sur le champ pour calmer, efficacement en effet, une crise nerveuse dans laquelle j'étais sortie de mes gonds et avais tenu des propos inadmissibles.
    Je m'en souviens évidemment, quand Maman me fait cette nouvelle menace devant famille et voisins. Mais, là, en plus, la menace est de m'envoyer dans ma chambre, "comme à une certaine époque", et cette précision me ramène encore plus loin en arrière, plus de cinq ans, mais ce qui me revient, ce que ces mots ravivent, cela me semble si proche. Elle n'a pas besoin d'en dire plus, je ne sais que trop bien que "l'envoi dans ma chambre" signifierait aller attendre Maman, aller préparer mes fesses, aller attendre ma fessée...

    RépondreSupprimer
  93. Chère Christine,

    Oh, mais vous pouvez, vous gausser ma chère ! Vous ne froisserez pas le maître à bord, que ses hommes avaient gentiment surnommé, le bambou (en rapport au fait, qu'il plie, mais ne se rompt pas!)

    Tant qu'à l'idée farfelue, Christine la forte en maths, comptabilise mal ! Car avec le synopsis, c'est le retour 2, qui se profile ! Alors sa tête peux bien bourdonner et revivre ces instants délicats, d'attente peuplés d'angoisses et de trouille bleue, elle n'y échappera pas ! Mais ce sera pour plus tard !!!

    En attendant, qu'elle prépare bien ses fesses, car le final sera digne d'une 'grande' !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  94. Retour 1, 2 ou 3, qu'importe le numéro, tant que cela ne se réalise pas. Et je croise les doigts pour que ce ne soit qu'un avertissement verbal...
    Ce sera pour plus tard, dit Dominique. C'est déjà ça. En attendant, je me demande ce que sera la suite de la conversation déjà fort bien (question style surtout) entamée...

    RépondreSupprimer
  95. Chère Christine,

    Désolé ma chère Christine, mais l'avertissement verbal deviendra concret ! Néanmoins Dominique, dans sa grande mansuétude et sa connaissance de la Christinette, championne du temps gagné, lui en accorde, sans qu'elle ait demandé ! Et comme aurait pu le dire Maman « Tu ne perds rien, pour attendre ma fille ! Tu peux me faire confiance ! ». Hi, hi, hi, hi..........

    Sinon merci, pour l'appréciation du style, c'est très agréable ! En espérant que la suite, vous plaise également ! Et je constate que Mamie Valérie, s'est pris une sacrée volée, digne de celles de Christine lors de ce redoublement ! Ce qui m'inspire à rebondir.

    Petit aparté : Je suis en congé depuis ce matin, donc plus disponible pour vous, ma chère conteuse ! Alors gare à vos fesses, ma grande !!!!!!!! Hi, hi, hi..........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  96. Pfff, c'est bien ma chance... Dominique en vacances ! Voilà qui n'est pas de bon augure pour ma tranquillité... Comme si c'était utile de "rebondir", drôle de verbe quand on l'associe avec la très efficace main maternelle...
    Pff, je préfère ne pas en dire plus.

    RépondreSupprimer
  97. Chère Christine,

    Bien évidemment qu'il est utile de rebondir, autant que la main maternelle savait le faire sur vos fesses ou celles de vos sœurs et même celles de Valérie, sa maman semblant tout aussi généreuse que la votre !
    Donc la tranquillité, ce sera pour plus tard, comme ce qui attend la grande Christine de presque 23 ans, brillante dans ses études ! Mais trop entière, pour contenir ses émotions, face à une mère stricte et intransigeante ! Vous voyez, Christine, la suite est déjà dans ma tête, mais je n'en dis pas plus !!!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  98. Gardez la donc dans la tête cette suite, si par hasard elle imaginait faire retrouver à Christine des sensations et situations auxquelles elle ne peut encore penser qu'avec un sentiment d'angoisse et de honte, des années après...

    RépondreSupprimer
  99. Chère Christine,

    Bien sur que non, Chère Christine, ce sera dommage de garder uniquement pour moi, cette suite ! Et en priver les autres lecteurs, même si elle vous ramènera à un certain passé ! Et notamment cette année de redoublement ou les explications maternelles étaient bien appliquées et cossues, sur ce fessier en plein épanouissement de jeune demoiselle ! Donnant à Maman, l'occasion d'exprimer tout son art de la fessée, à l'inverse des soeurettes !
    Alors imaginé celui-ci, âgé de 23 ans (pour arrondir), dans la même position, sous cette main très affûtée ! Ce serait vraiment dommage, que je prive Christine et les lecteurs, d'un tel moment d'anthologie ! Comme certaines de vos tannées, le furent !

    En attendant, je vais poursuivre la conversation, qui risque déjà de mettre mal à l'aise la conteuse.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  100. Je me doutais bien que la conversation à suivre n'allait pas me plaire. Mieux vaut donc qu'elle arrive maintenant, plutôt que je continue à angoisser en l'imaginant. Comme un autre événement d'un genre claquant, à force de le craindre, on est soulagés quand c'est fini...
    Cela dit, si j'ai souvent constaté que mon bas du dos à 12-13 ans était une cible plus consistante que les petites joues postérieures de mes soeurettes, je ne peux que reconnaître que, dans cette hypothèse de dix années plus tard, "l'épanouissement" aurait rendu la tâche maternelle encore plus conséquente...

    RépondreSupprimer
  101. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite :

    A cet instant, je sentis véritablement l'aura que dégageait Madame Spaak, sur ses filles ! D'un naturel gentil et aimable, mais d'une fermeté sans failles, en cas de nécessité ! Et la Tante embraya, tout en souriant !

    Tata : « Bon, alors on le prend cet apéro ? Parce qu'après, il faut que je rentre pour préparer ma réunion exceptionnelle de demain ! ».
    En fait la Tante qui avait pris ses fonctions depuis un peu plus de cinq ans, avait vendu son ancienne maison, puisqu'elle était logée par l'entreprise et lors du drame vécu, par sa sœur ! Elle proposa à celle-ci de venir, s'installer dans la région ! Ayant repérer 2 maisons à vendre, située quasiment l'une en face de l'autre, afin de se retrouver en famille, comme avant ! Seuls les grands parents manquaient à l'appel, ceux-ci préférant demeurer ou ils étaient.
    Et là, toujours aussi fasciné, par cette femme, je lançais maladroitement !

    Dom : « Ah, merci, Jacqueline ! Je me sentirais moins seul à travailler le dimanche, ça me fait plaisir, ! », ce qui déclencha un fou rire de l'assemblée et un coup de pied dans le tibia, de ma dulcinée ! Sauf, Christine et Diane qui se contentèrent d'un sourire, n'osant pas trop se manifester ! D'autant que la mère repris mon propos, sauf forme de message, envers ses filles et relança le sujet sur l'éducation ! Seule Aline y échappa !

    Maman : « Et oui ! Dominique ! Il y a des gens qui sont obligés de travailler, le dimanche et d'autres qui pourraient le faire, par volonté d'effort, pour entretenir leurs acquis ! N'est ce pas Mesdemoiselles ? », tout en regardant ses filles, qui baissaient la tête ! Et la Tante enchaîna !

    Tata : « C'est vrai, Anne-Marie ! Tu as raison, combien de dimanches ! J'ai passé sur mes cours à réviser, avec l'aide de Maman et sa main très leste, en guise de motivation ! Ça je m'en souviens parfaitement et ça rigolait pas pour mes fesses, je vous le garantis ! ». Ce qui nous fît rirent, mise à part, Christine, Diane et ma Caroline !!!!! D'autant que la Tante poursuivit.
    Tata : « Même si je n'aimais pas ses fessées, qui faisaient très mal ! Je reconnais qu'elles m'ont aidé, à devenir ce que je suis, aujourd'hui ! » et cela me fît automatiquement rebondir !

    Dom : « Mesdames, je partage tout à fait votre avis ! Ce n'est pas, par hasard, que j'en sois arrivé là ou je suis ! Et je le doit, certainement aux bonnes déculottées de Maman ou de Tata, qu'en c'était nécessaire ou que je flemmardais ! Même si sur l'instant ça faisait mal et que j'avais honte dans ma fierté de garçon ! ». Les trois personnes rirent à nouveau !!!!
    J'étais étonné par le silence de Caroline, plutôt encline d'habitude à la discussion ! Mais nous allions tous savoir pourquoi, après la reprise de Madame Spaak !

    Maman : « C'est tout à fait juste, ce que vous dites ! Et c'est ce que je m'efforce de répéter à mes filles, depuis des années ! En particulier à Aline, qui à plus de difficultés et Christine, qui à une époque préférait se la couler douce, que travailler régulièrement ! Et ses fesses doivent s'en souvenir, n'est ce pas ma chérie ?
    Christine se mit à rougir, comme une tomate plus que mûre balbutiant un léger « Oui ! Oui !M'man ! Mais ça, c'est du passé ! S'te plaît ??? »

    A suivre.........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  102. Chère Christine,

    Vous avez tout compris, chère conteuse ! Mais comme Maman, j'ai acquis l'art du mijotage ! Néanmoins je viens de vous en livrer une suite, qui va sans aucun doute, déjà vous faire angoisser et je vais faire l'effort, moi, de vous livrer la suite, le rapidement possible.

    Finalement, c'est très intéressant d'être dans la peau d'un conteur à feuilletons, pouvant jouer sur les nerfs, des lecteurs et de la principale intéressée ! Sincèrement je ne m'en savait pas capable ! Mais peut-être que la stratégie militaire que j'ai acquise, m'y aide !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  103. Effectivement, Dominique se révèle un auteur à suspense... Je remarque qu'il a finement recasé Tata dans une maison voisine, et qu'il arrive à faire monter les allusions qui sont de plus en plus gênantes... Je ne sais pas encore pourquoi Caroline semble gênée aussi, mais un Dominique en vacances ne va pas tarder à prolonger ce synopsis...
    Je comprends que Christine se mette à rougir quand Maman lance une réflexion du genre : " Et ses fesses doivent s'en souvenir, n'est ce pas ma chérie ?"
    Peut-être même qu'aujourd'hui, cette question me gênerait encore en public... Surtout que dans le cas présent, je vois bien Christine baisser le regard, sachant trop que les yeux des soeurettes vont pétiller en se remémorant, elles, comment étaient les fesses de grande soeur certains soirs... Sans parler de Tata qui peut en rajouter dans les allusions, et les deux témoins extérieurs évidemment curieux d'en savoir plus...

    RépondreSupprimer
  104. Le suspense dure à ce que je vois... Mais entre les événements du week-end et les contingences familiales, je suppose que Dominique est bien occupé. Rien ne presse d'ailleurs, surtout si cela ne doit pas rassurer Christine...

    RépondreSupprimer
  105. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite :

    En fait, Christine, semblait craindre que sa mère en rajoute et c'est ce qui se passa, avec en plus une question envers ma dulcinée, qui allait la faire rougir autant que Christine et libérer sa voix !

    Maman : « Certes, c'est du passé ! Mais pas si lointain, que ça, ma grande ! Surtout si j'y ajoute les bêtises ou tes excès d'humeurs, qui t'ont valu d'autres bonnes fessées ! Bien sur aujourd'hui ! Ce sont les fesses de tes sœurs, que je gratifie ! Mais rappel-toi, que les tiennes ont connu leurs heures de gloire et tant que vous êtes sous mon toit, la règle est la même pour toutes ! Bonne conduite égale, récompense ! Mauvaise conduite égale, punition ! Ta Tante peut en témoigner ! Et je crois savoir qu'il en est de même chez Caroline, n'est ce pas ma grande ? ».
    Là, les trois jeunes filles avaient des coups de soleil sur les joues et ma Caro répondit par un timide « V'oui, M'dame ! » visiblement gênée par la question ! La mère pour apaiser ma dulcinée lui dit.

    Madame Spaak : « Ne sois pas gênée, ma grande ! Tu sais, c'est le devoir des parents d'éduquer correctement leurs enfants ! Même si pour cela, il faut parfois recourir à une méthode plus concrète ! Mais j'imagine que comme Christine, ce temps est révolu pour toi ! ».
    Ce qui déclencha un aveu de ma Caroline, se lançant dans un monologue emprunt de respect envers cette femme et auquel moi-même je ne m'attendais pas !

    Caro : « Oh ! Oui, M'dame ! En terme de fréquence, c'est sur ! Mais avec Maman ou Papa, la règle demeure toujours en vigueur, malgré mon âge et mes sœurs, ainsi que leurs fesses peuvent en témoigner ! », un peu hésitante, Caroline qui avait retrouver toute sa verve poursuivit !

    Caro « Bah, en fait ! Après que Dominique, ait pris son poste ! Je le voyait moins, nos horaires ou nos jours de congés ne correspondant pas, je n'étais donc pas à prendre avec des pincettes et mes sœurs en firent les frais, les premières ! Les renvoyant bouler, alors qu'elles venaient juste demander une aide à la grande sœur, universitaire ! Et se plaignant de mon attitude, auprès de Maman ! Celle-ci débarqua dans ma chambre et me sermonna, vertement ! Incluant que l'absence de mon chéri, n'était du qu'à son travail ! Mais que cela ne m'empêchait pas d'être aimable avec mes sœurs ! »

    Caro : « A fleur de peau, je lui répondis ! C'est bon quoi ! Qu'elles se débrouillent avec toi ! C'est ton rôle ! Là, c'était la phrase de trop et en moins d'une minute ! J'étais sur ses genoux, culotte baissée, à brailler sous la claquée, comme quand j'étais plus jeune et que je faisait l'idiote ! Malgré mes 22 ans et je peux vous dire que Maman, n'a pas fait semblant ! ». Cela me surpris et amena un sourire, à la jolie Tata Jacqueline, qui en remis en couche !

    Tata : « Oui, un peu comme mes nièces chéries, qui oubliaient ou oublient encore les bonnes manières ou les choses à faire et se font rappeler à l'ordre, par Maman, à l'image d'Aline aujourd'hui ! Mais bon, c'est la vie ! ».

    Ce qui fît sourire et presque rire quatre personnes, Caroline ayant accusé le coup et libérée ses émotions, se livrant avec nous sans retenue ! Seules, Diane et Christine ne rigolaient pas, ce que la mère remarqua, lui permettant de relancer la conversation !


    A suivre.........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  106. Caroline qui avoue avoir été fessée à 22 ans, voilà qui n'est sûrement pas tombée dans l'oreille d'une sourde, et j'imagine que Christine a encore plus envie que la conversation s'achève ou que l'on change de sujet... Ce n'est certainement pas elle qui oserait raconter une telle mésaventure, et rien que dire qu'elle recevait la fessée déculottée pour ses heures de colle au collège la ferait rougir comme une pivoine...
    Je me demande donc ce que va être la suite de ce synopsis que décidément Dominique mène bien et en tenant ses promesses... Merci !

    RépondreSupprimer
  107. Chère Christine,

    Merci pour le compliment, sur la conduite de ce synopsis ! Et les promesses que je tiens, moi ! A l'inverse d'une Christinette qui en faisait des tonnes en étant sur les genoux de Maman, mais sans les tenir, bien sur !
    Alors je vous laisse réfléchir, à ce que sera la suite de celui-ci ! Mais sans surprise celui-ci ne serait pas consistant ! Bien sur, je n'imagine pas un instant, Christine faire un tel aveu, comme ma Caroline !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  108. J'en faisais des tonnes, dites-vous. Evidemment, je n'allais quand même pas dire : "Tu as raison, Maman. Je l'ai bien méritée, et si tu ne fais pas en sorte que je m'en souvienne longtemps, je suis capable de recommencer prochainement".
    Mieux valait tout de suite promettre que jamais au grand jamais je ne recommencerais, et dire que j'avais compris, que ce n'était pas la peine de s'épuiser sur mes fesses, que j'étais assez grande pour avoir pigé...
    Cela dit, la suite du synopsis, j'y réfléchis, bien sûr, et j'avais même une ou deux idées pour que le dénouement envisagé (et inéluctable selon Dominique, je lui accorde) soit vraiment vraisemblable. Si j'osais, je lui suggérerais ces pistes, mais je ne voudrais pas interférer dans sa création.
    Au pire, si cela ne collait pas, il sera toujours temps après de reprendre une partie ou de l'écrire à quatre mains.

    RépondreSupprimer
  109. Chère Christine,

    Non, en effet, j'imagine mal la Christinette dire à Maman « Vas y, Maman fesse moi plus fort ! Je le mérite, puisque j'ai refais la même bêtise ! Alors n'hésite pas à bien claquer, ma lune ! Me faire mal et me faire chanter, en pleurant tous les larmes de mon corps (tant pis si mes sœurs, entendent), afin je me souvienne bien, ce qu'est une bonne déculottée de Maman, sinon je risque de recommencer, dés demain ! » Impensable !

    Sinon concernant, les suggestions de votre part ! Celles-ci seront les bienvenues, même si j'ai déjà dans la tête la poursuite de ce synopsis et je trouve l'idée d'une écriture à quatre mains, tout à fait sympathique !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  110. Sympathique, en effet, cela pourrait l'être, sauf peut-être pour une partie de l'anatomie de Christine...
    Poursuivez donc la scène en cours et je verrai comment je peux intervenir ou pas.
    Amitiés.

    RépondreSupprimer
  111. Chère Christine,

    L'anatomie ! L'anatomie, certes ! Mais il ne s'agit que d'une partie de celle-ci, sur laquelle nous dissertons au travers de votre blog, ma chère conteuse ! Alors, oui, ma chère ! Ce sont vos fesses qui sont concernées et non les miennes, Hi,hi... !

    Sinon, ne soyez pas inquiète, je poursuis la scène ! Qui sans doute ne plaira pas à Christine ou à la Christinette, au choix !!!!!!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  112. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite :

    La mère relança donc la discussion, sur un ton bon enfant, mais moralisateur et précis sur sa conduite éducative !

    Maman : « Alors, les filles ! Vous voyez que, vous n'êtes pas les seules concernées, par les bonnes déculottées maternelles bénéfiques à l'évolution ! Regardez donc les galons que portent Dominique (j'étais en tenue de service, dont les épaulettes affichaient mon grade), ce n'est pas par hasard qu'il les a obtenu, mais bien à force de travail ou même votre Tante, qui n'a pas eu ce poste grâce au Saint Esprit ! »
    « Donc ! Retenez bien, que Maman ne changera pas ce principe, qui vous concernent toutes les trois et je suis sur que Christine, se souvient très bien de ses années collège ou si elle a obtenu des récompenses ! Elle a également connu, bon nombre de désagréments, de ma part ! » donnant à sa Tante l'occasion de rebondir !

    Tata : « C'est vrai que les fesses de ma nièce, ont souvent changer de coloration, sous la main de ma sœur et j'ai eu plusieurs fois l'occasion d'y assister ! Et j'avoue, que je n'aurais pas voulu être sa place ! Car ça claquait fort et ma chère p'tite nièce, chantait comme une diva ! ». Cette comparaison amena quelques rires !

    Là, Christine était cramoisi du visage et tenta une nouvelle intervention, pour que nous changions de sujet, ce qui au vu du contexte (la mère ayant collé une deuxième déculottée à Aline) n'était pas la bonne solution, surtout de la manière dont elle le fît !

    Christine : « Maman ! Tata ! Tout le monde a compris ! Mais on pourrait peut-être changer de sujet, ce serait bien, non ? » entraînant une réponse immédiate de la mère !

    Maman : « Dis-moi, Christine ? Tu peux me rappeler, qui décide de ce qui se discute dans cette maison ?????
    Christine : « Euh...., bah.... ! C'est toi Maman ou Tata et pas nous....... ! »
    Maman : « C'est bien ma grande ! Je constate avec plaisir, que je ne me suis pas fatiguée la main pour rien, sur tes fesses ! Et j'espère que tes sœurs, le comprendront aussi, ce qui n'est pas encore le cas, aujourd'hui ! N'est ce pas Diane ?»
    Là, c'est la petite dernière (17 ans) qui devint aussi rouge qu'un coquelicot et baissant la tête répondit : « Oui, oui ! M'man, ouiiiii...... !Promiiiis, j'seraiiisss, sageeee...... ! », avec des trémolos dans la voix et ce qui permit à la mère de renchérir :
    Maman : « Je l'espère, pour toi, ma fille et surtout pour tes fesses ! Et bien vous voyez ! Rien de tel, que de bonnes déculottées, pour remettre des demoiselles, sur le droit chemin ! Je pense que vous êtes d'accord avec moi ? ». Là, seules, Tata, Caroline et moi répondirent aussitôt de façon positive ! Les deux sœurs, elles, restaient muettes donnant l'occasion à la mère, de réaffirmer son autorité !
    Maman : « Alors les filles ? J'attends ? ». Diane et Christine, lâchèrent à l'unisson, un timide « Oui, M'man ! ». La mère conclut alors le sujet « Très bien, mesdemoiselles, on va donc parler d'autres choses, maintenant ! ».

    Et la conversation, repris sur d'autres sujets, moins sensibles pour les filles.

    A suivre.........

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  113. Ah, j'imagine bien comment, à presque 23 ans, j'aurais rougi (ou j'ai rougi, si je me prends au jeu du synopsis dominicain) en écoutant Tata en rajouter sur les confidences maternelles déjà bien éprouvantes pour ma petite fierté. Ma chère Tata qui m'a si souvent défendue, se souvient en effet des épisodes pour lesquels son intervention a été vaine, et aussi de ceux où elle était bien obligée de reconnaitre que Maman avait raison de sévir, car sa nièce, dans ces cas là, avait vraiment poussé le bouchon un peu trop loin, ou récidivé comme si elle n'avait pas compris la leçon précédente...
    Mais, quand même, Tata aurait pu évoquer cela de façon moins imagée... Expliquer que plusieurs fois, les fesses de sa nièce préférée ont changé de couleur sous ses yeux, et que je "chantais comme une diva", c'est plus que gênant pour moi. Cela explique bien à tout l'auditoire que Maman me baissait la culotte, et claquait ma lune exposée sous ses yeux. Elle ajoute même des détails sur l'aspect sonore de la scène, le bruit des claques et mes cris, nul doute qu'avec ces confidences, tous les témoins de cette conversation n'avaient aucun mal à imaginer la scène, de quoi me faire rougir et détourner le regard pour cacher mon émotion...
    En tout cas, l'incroyable confidence de Caroline, reconnaissant sa récente mésaventure sur les genoux de sa mère a dû conforter Maman Spaak dans ses convictions et sur la justesse de sa méthode...
    De là à lui donner des idées sur la possibilité de l'appliquer à nouveau quand il le faudrait vraiment, il n'y a qu'un pas...

    RépondreSupprimer
  114. Chère Christine,

    Mois aussi, je suis sur qu'à 23 ans, vous auriez rougi comme une tomate (comme aujourd'hui, en lisant mon synopsis), d'autant qu'on sent que l'intervention de Tata (avocate de Christinette, pas toujours vainqueur) gêne particulièrement Christine, surtout dans la forme plus qu'explicite dans le déroulement de l'exécution maternelle et ses effets ! Il est certain que tout le monde pouvait imaginer la scène.
    Christine pouvant alors avoir, une petite rancoeur, envers sa Tante adorée....!

    Tant qu'à la confiance de Maman Spaak dans sa méthode éducative ! L'aveu de Caroline ne peux que lui donner raison et lui fournir un argumentaire, au cas ou elle aurait quelques griefs, à l'encontre de Christine, en se disant que finalement, il est préférable de revenir aux actes, que sa grande fille, comprenait mieux.... !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  115. PETITE CONTRIBUTION DES PENSEES DE LA CHRISTINE DU SYNOPSIS :

    Il était temps que Maman change de sujet. J'ai cru que l'on allait passer toute la soirée à parler de notre éducation... C'est vrai qu'Aline nous en donnait l'occasion... Ma pauvre soeur est quand même douée pour se mettre dans de sales draps. Ne pas bosser ses examens et tenir tête à Maman, ce n'est pas chose à faire à la maison, j'en sais quelque chose...
    En tout cas, je la plains quand même, car je sais qu'elle n'étudie pas aussi facilement que Diane et moi, et que cela a dû lui faire drôle de se retrouver au coin, les fesses écarlates devant la famille, et devant Caroline et Dominique en prime...
    Moi, j'en serais morte de honte...
    Et puis, entre ma chère Tata qui en rajoute, et Dominique qui pose des questions, et Diane qui donne des exemples, la conversation devenait insupportable. Surtout quand Maman rappelait ma période "difficile" du collège et expliquait mes fréquentes déculottées, comme si cela intéressait tout le monde...
    Je n'ai pas voulu répondre et raconter que mes soeurs en avaient (presque) reçu autant, sinon, je suis sûre que chacun aurait ramené son grain de sel et son souvenir de nos exploits, et particulièrement des miens...
    En plus, quelle idée a donc eu Caroline de raconter ce qui lui est arrivé dernièrement... Se ramasser une tannée à 22 ans, c'est fou. Et, en plus, la raconter comme ça devant nous, sans omettre le moindre détail, je n'en croyais pas les oreilles. C'est vrai que la présence de Dominique fait qu'elle ne pouvait peut-être pas mentir, puisqu'il était sûrement au courant, mais franchement je ne saurais jamais, moi, détailler mes malheurs comme ça...
    Cela m'a fait tout drôle aussi, parce que je me suis dit que je n'avais que quelques mois de plus, et que ce serait donc théoriquement possible que cela m'arrive, comme dit Maman, tant que nous sommes sous son toit...
    Brrrrrr, j'en frissonne, je sais bien que cela ne se produira pas, mais si je ne change pas d'idées vite, je vais en faire des cauchemars cette nuit...
    Ce qui me fait drôle en plus, c'est que lorsque Maman a élevé un peu le ton et m'a dit qu'elle pourrait encore "m'envoyer dans ma chambre comme à une certaine époque", cela m'a fait un noeud au ventre, qui m'a rappelé ce que je ressentais à l'époque...
    Et puis là, quand Maman m'a demandé si je savais qui commandait dans cette maison, j'ai commencé à bafouiller et je lui ai répondu avec un drôle de ton comme si je me défendais, comme si je me sentais gamine en faute. Maman a eu un petit sourire, mais c'était comme si elle était satisfaite de son effet. J'ai même vu que Diane avait deviné mon trouble. Quelle drôle de soirée en tout cas, cela me met vraiment mal à l'aise. Vite, vite, il faut que je me change les idées...

    RépondreSupprimer
  116. Chère Christine,

    Magnifique contribution, ma chère conteuse !!! Comme vous pourriez dire, tout à fait dans le ton !
    Mais, il est vrai que vous êtes la mieux placée, pour exprimer ce ressenti ! J'en suis ravi et cela me donne une idée pour la suite du synopsis, mais je n'en dis pas plus........ ! Et vous laisse à vos éventuels cauchemars et frissonner, comme il se doit !!!!!!!!!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  117. Evidemment, Dominique, que cette situation provoquerait des cauchemars, des angoisses difficiles à maitriser, même si au fond de moi je tenterais de me rassurer, de me dire que cela n'arrivera pas, que j'ai passé l'âge, que je suis sage, etc...
    Poursuivez donc votre idée sur laquelle je ne manquerai pas de réagir, si cela colle et fonctionne dans ma petite tête.
    Merci d'avance.

    RépondreSupprimer
  118. Chère Christine,

    Petit plus de Dominique ! Quand pensez-vous livrer l'épisode 74 ? Je sais que le synopsis tient en halène l'ensemble de vos lecteurs et moi en particulier, mais tout de même, la dernière livraison date de presque un mois !!!!!!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  119. Pas de souci. Je l'ai bien avancé, promis. Mais, c'est vrai que le synopsis m'amusant, j'y consacre aussi du temps, et pas assez à mes épisodes à venir. Bref, je suis un rien distraite...

    RépondreSupprimer
  120. Chère Christine,

    C'est sur qu'envisager la situation peut amener des cauchemars et des tonnes d'angoisse, en se disant qu'on ait plus une gamine, que l'on déculotte ! Parce qu'elle a grandi ! Sérieuse dans ses études, posée et réfléchie dans son comportement, en deux mots : quasiment femme.
    Sauf qu'un événement inattendu, peux bouleverser cet équilibre et conduire la jeune femme dans une position qu'elle n'avait plus connu, depuis quatre ans environ ! A l'inverse de ses sœurs, plus jeunes qui avaient pris le relais !

    Bon, je garde la suite pour le synopsis !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  121. Chère Christine,

    Si je comprends bien, aujourd'hui, c'est moi qui amuse la galerie ! Comme la Christinette d'une certaine époque qui faisait rire toute la classe (épisode 31- 17/02/2012) ou la boulangère (épisode 45- 05/09/2012), encore des références Dominicaine ! J'en suis fort aise et ravi que le synopsis plaise à la conteuse, un peu distraite par celui-ci, cela fait plaisir !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  122. Ah, ce Dominique et ses références, c'est agaçant... Même si elles sont hélas judicieuses.... Pfff, je vais bouder, na !

    RépondreSupprimer
  123. Chère Christine,

    Bouder ! Bouder ! Autant que vous le voulez ! Belle dame Christine !!!!! Bientôt vous aller crier et pleurer sous une main, que la demoiselle Christinette connaissait bien et n'appréciait pas vraiment, lorsque celle-ci, se mettait en action pour elle !!!!!!!!!!!! Là, ça ne rigolait plus !!!!!!!!!

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  124. Pffff, que du blabla... J'aimerais bien voir ça...
    Euh, enfin, non... euh, c'est pas ce que je voulais dire. Je voulais pas dire que j'aimerais bien le vivre, le ressentir, évidemment. A moins que je ne le vois, mais que ce ne soit pas moi...
    Laissons donc la main de Maman au repos et ne lui donnons surtout pas d'idées saugrenues, et encore moins d'idées que ne renierait pas la mère d'une certaine Caroline...

    RépondreSupprimer
  125. Chère Christine,

    C'est merveilleux ! Ce ne sont pas des pistes, mais des boulevards que m'offre, ma chère conteuse dans ses réactions, souhaitant de toutes ses forces que la main maternelle, ne se consacre qu'aux fesses de ses jeunes sœurs, même sans le dire !!!! En y insérant la Maman de ma petite chérie, qui avait, en effet la main leste ! D'autant que les sœurs de Caro était beaucoup plus jeunes (12 et 14 ans) pour l'élaboration de ce synopsis. Que du bonheur !!!!!!!!!

    Comme vous l'aurez compris, Christine ! J'inclue dans ce synopsis, ma propre vie, ma carrière militaire et la mère de mes enfants (vrai prénom), qui elle aussi a été élevée au régime de la fessée, comme ses plus jeunes sœurs (8 et 10 ans d'écart avec elle).

    Par conséquent, je prépare les suites du synopsis, qui devraient vous plaire, mais donc certaines n'enchanteront pas Christine et Christinette.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  126. Des pistes, des boulevards ! C'est ma façon à moi aussi de tendre des perches et de susciter la réplique. Mais je préférerais évidemment que la suite se focalise sur les rondeurs postérieures de mes deux jeunes soeurs. L'exemple de Caroline ne me convient pas du tout, pfff...

    RépondreSupprimer
  127. Chère Christine,

    Je ne doute pas que l'exemple de Caroline, ne soit pas à votre convenance ! Mais c'est ainsi !
    Tant qu'aux perches tendues, vous pourrez constater que je les ait saisi et me permette d'élargir ce synopsis, avant le bouquet final qui ne manquera pas de coloration, pour une certaine belle jeune femme.... !

    « Chut ! Dominique ! Laisse donc, celle qui est concernée, mariner dans son jus ! Comme sa Maman savait si bien le faire ! Hi, hi........ !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  128. Bon, puisque c'est ainsi, je ne vais même pas répondre, na ! Je vais rester à faire ma mauvaise tête, comme quand mes soeurettes se moquaient de moi en douce, et que je n'avais pas d'autres choix que de ne pas répondre pour éviter d'envenimer les choses.
    Evidemment que "mariner dans mon jus", je sais ce que c'est... Et, effectivement, Maman "savait y faire". Quand la fessée était annoncée et promise, comme devant la vendeuse de la boulangerie de l'exemple retrouvé par l'archiviste en chef, je savais que j'allais "mariner" un moment...
    Mais, faire autrement, ne pas rester à attendre le moment choisi par Maman, aller demander des explications ou supplier n'aurait servi qu'à hâter l'exécution, et nulle personne sensée ne prend ce genre de risque... Mieux valait mariner et mariner encore, en sachant qu'il nous reste surtout qu'à préparer nos fesses...

    RépondreSupprimer
  129. Chère Christine,

    La boudeuse persiste, c'est charmant ! Incluant les soeurettes, qui certes n'étaient pas tendre avec elle, lors de ses rendez-vous maternelles ! Mais bon en même temps, elle les cherchaient bien et si elle ne les cherchaient pas, elle les trouvaient (réflexion de Maman, épisode 40 – 06/06/2012).

    Je sais ! Encore une référence de l'archiviste qui va énerver Christine, mais c'est comme pour ses fessées, si elle les cherchent pas, elle les trouvent ! Hi, hi...... !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  130. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite :

    Diane et Christine, semblaient comme soulagées, que l'on parle d'autres choses et vers 20h30, Caroline et moi, prenions congé (ses parents nous attendant pour le dîner et ma prise de service), ainsi que la Tante Jacqueline qui devait préparer sa réunion et que j'embrassais chaleureusement, ce qui le temps de passer d'un portail à l'autre, me valu une réflexion aigre douce de ma petite chérie.
    « Dom ! Dis-moi ? Qui est ta fiancée, moi ou la Tante Jacqueline ? Je sais qu'elle est jolie et attirante ! Mais tout de même !!!! ». Cela me fît rire et j'enlaçais, alors ma dulcinée en lui faisant un tendre bisou et lui répondît avec le sourire « Mais c'est toi, ma Caro ! Bien sur ! ».

    Durant la semaine, je revis Caroline (bien évidemment) et ses copines, avec lesquelles, ils nous arrivaient de faire des promenades en ville ou dans le parc ! Sauf Aline, qui bûchait pour repasser son partiel, le lundi suivant, qu'elle réussit cette fois.

    Dînant le jeudi soir chez les parents de Caroline ! Pour le week-end ! N'étant pas de service ! Je leurs proposais de le passer, dans la maison vendéenne de mes grands parents, qui servait de maison de vacances, à la famille ! Avec une vilaine arrière pensée, qu'ils refusent pour me retrouver seul avec ma Caro, en amoureux ! Et c'est ce qui allait se produire, grâce aux facéties des deux sœurs de Caroline !
    La plus jeune, Sylvie (12 ans), était revenue du collège, avec une retenue de quatre heures, sur son carnet ! Pour « Insolence envers un professeur » et s'était soldée à son retour, à la maison, par une copieuse déculottée maternelle ! La gamine était donc calme et obéissante !

    Ce qui n'était pas le cas de sa sœur, Bernadette (14 ans) qui pour une raison inconnue, se montrait passablement désagréable et énervée, envers tout le monde ! La mère de Caroline, très irritée, lui lançât un avertissement avec menace « Bernadette ! Ça suffit maintenant, je ne sais pas ce que tu as, ce soir ! Mais je te conseille, de te calmer rapidement, sinon c'est moi qui vais le faire, à ma façon ! Et tu sais, ce que ça veux dire ! Alors à toi, de décider, ma petite fille !!! ».
    Là, la jeune Bernadette se mît à pâlir (Caro me glissant à l'oreille « Si elle insiste, j'peux dire qu'elle va s'en prendre une sévère ! Ça m'est déjà arrivée !!!! ») et la menace fît son effet durant un petit quart d'heure ! Puis elle recommença ! Il n'y eu pas de deuxième rappel !
    La mère se leva de table, attrapa sa fille, par le bras et l'extirpa de sa chaise, en disant « Allez, Bernadette, viens donc par là ! Ce que ta tête, ne veux pas comprendre, passera certainement mieux par le biais de tes fesses ! ». Et la mère entraîna sa fille, vers le salon, nous dînions, dans la grande cuisine/salle à manger. La gamine essayait de freiner la marche, tout en suppliant « Non, non, M'man, j'ai compris ! J'arrête, promis !!! », la mère ajoutant « C'est trop tard, ma fille ! Tu vas avoir ce que tu mérites et crois-moi, que ça va te calmer pour de bon ! ».
    La petite Sylvie, avait le nez dans son assiette et Caro me glissa à nouveau « Tu vois, j'te l'avais dit ! Et j'peux garantir, que tu vas l'entendre chanter la frangine ! »

    En effet, une minute après, on entendît deux voix ! Celle de Bernadette, criant « Nooonnn, M'maann, nooonnn ! Paasss déculottéeeee, s'teee plaiiit ! » avec en réponse « Bernadette, lâche ce pyjama ! Tu sais très bien qu'avec Maman, la fessée, c'est déculottée ! Alors lâche-moi ça et vite, ou ce sera pire, pour tes fesses ! ». Là, un bêlement accompagné de sanglots, nous parvinrent ! Puis tout à coup, un bruit de claques énormes et des cris stridents ! Que je connaissais bien, retentirent, c'était parti pour la plus grande des benjamines, de Caroline qui me dit « Oh, là ! J'crois qu'elle va vraiment la sentir passer celle-là ! ». A suivre..............

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  131. Chère Christine,

    Petit plus à mon précédent commentaire ! Il et vrai que la 'marinade' pour sa grande fille, était une spécialité de Maman Spaak ! Aidée en cela par le comportement de la demoiselle, qui n'allait surtout pas déclencher le détonateur, d'une explosion fessière à son encontre ! Même annoncée et promise, qui tôt ou tard aurait lieu, de tout façon ! Alors autant se donner un peu de répit, quitte à angoisser, avant d'affronter cette main, ô combien redoutable !!!!

    Ceci à l'inverse des frangines, qui à la suite d'une promesse de Maman, en rajoutaient et déclenchaient rapidement l'action maternelle !

    Non ! Point de cela pour Christinette, courageuse, mais pas téméraire, gardant toujours l'espoir d'une possible clémence (quasiment improbable) ou un événement extérieur, différant la flambée de son fessier ! C'est toujours ça, de gagner !

    J'espère que ce petit plus, aura les faveurs de ma conteuse préférée....., comme l'ait sa Tata Jacqueline dans le synopsis !!!! Hi, hi.... !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  132. Le synopsis se poursuit. Je me demande où il va nous entrainer... Christine n'est pas rassurée... Je croyais que l'on était vers Lorient et on parle de maison vendéenne, mais je suis sûr que Dominique va expliquer tout cela...
    Amitiés.

    RépondreSupprimer
  133. Chère Christine,

    Que vous ne soyez pas rassurez, je le comprends ! Et concernant la situation géographique, je l'ai précisé ! Il s'agit de la maison de mes grands-parents paternel, que nos parents avaient conservé pour les vacances, celle-ci étant assez grande pour recevoir toute la famille, durant les vacances ! Sinon la ferme se situait dans un hameau de Caudan et ma Caroline habitait Lanester, comme ses copines !
    Voilà c'est peut-être plus clair comme ça ! Mais ma chère Christine, votre tour viendra et à votre place, je ne serais pas trop pressée, car vous êtes l'apothéose de ce synopsis dans mon esprit.

    Alors profitez, pour l'instant, des mésaventures des autres ! Vos sœurs, celles de Caroline et elle-même ! Mon imagination n'ayant pas de limite.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  134. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite :

    En effet ça claquait très fort et sans relâche, Bernadette criait sans retenue, ses fesses n'étant pas à la noce ! Puis le claquement s'arrêta, on entendaient que les gémissements et les pleurs de sa sœur!
    Me tournant vers Caro de façon interrogative, celle-ci traduisit mon regard et me dit
    « Oh, non, non ! C'est loin d'être fini pour elle, ça va repartir, j'te promets ! Tu peux me croire ! Ça ! Ce n'était que l'entame de Maman, car quand elle s'occupe de Bernadette ou encore de moi, parfois et bein j'peux dire que ça dure, bien plus longtemps, que pour Sylvie ! ».
    Tout en m'exposant cela, Caroline était rougissante et la plus petite aussi, à l'écoute de sa grande sœur, seul le père demeurait serein !

    J'en eu la confirmation, en provenance du salon, par l'intermédiaire de la forte voix maternelle « Et bien, ma fille ! Maintenant je vais te calmer et tu n'a pas de chance ! Car comme j'étais déjà en colère après ta petite sœur, pour sa retenue au collège et dont ses fesses ont fait les frais ! Toi, tu ne trouve rien de mieux que d'en rajouter, ce soir, avec ta mauvaise humeur et malgré mon avertissement ! Tu persiste à me faire honte, devant le fiancé de ta grande sœur ! Alors crois-moi, que tes fesses vont vraiment le regretter, quitte à en user ma main !!!!! ».
    Il n'y eu aucune réponse ! Sauf de gros sanglots et des onomatopées de Bernadette, qui avait certainement compris qu'elle allait s'en prendre une sévère !

    Et là, le son des claques et des cris, reprirent ! Et si la cadence était moindre, ça claquait de plus en plus fort et Bernadette chantait à l'unisson des claques, qui tombaient !
    Sincèrement, je n'aurais pas voulu être à la place de la soeurette de ma Caro, qui dégustait une rouste phénoménale, sa mère libérant le reste de sa colère sur ses fesses, qui devaient être plus qu'écarlates !

    Dix minutes plus tard environ, nous vîmes revenir Bernadette, en pleurs et sa mère, main dans la main, qui précisa à l'assistance, si l'en était besoin ! Qu'elle venait de lui coller une bonne déculottée, pour la calmer ! Ce qui n'était un secret pour personne et même si l'on ne voyait pas ses fesses ! Celle-ci se remit à table, avec précaution, les yeux plein de larmes, sa mère mettant un coussin sur sa chaise ! Et la demoiselle fût d'un calme olympien durant la fin du repas !
    Ce soir là, chez les Lebrun, il y avait deux jeunes filles, qui allaient se coucher, avec des fesses endolories !
    Le lendemain soir, je partais donc avec ma petite Caroline, en amoureux, pour un week-end idyllique, durant lequel, ma dulcinée me retranscris une conversation qu'elle avait eu avec Christine, au cours de la semaine, sur le samedi précédent !

    Caro : « Faut que j'te dise, Dom ! Mercredi, alors que j'étais chez Christine, sa plus petite sœur s'est ramassée une terrible déculottée, sous nos yeux, pour un manque de respect, envers sa mère et j'peux dire que celle-ci n'a pas fait semblant !
    La petite Diane, gigotait comme un vermisseau sur les genoux de sa mère et hurlait comme un pourceau, qu'on égorge ! Une fois terminé, ses fesses étaient pourpres et elle dansait d'un pied sur l'autre, en agitant les bras ! Tellement sa mère les avaient assaisonné ! Et nous regardant, honteuse comme tout, elle s'est enfuie à l'étage, à demi nue, laissant sur place, short, culotte et sandalettes qui étaient tombés durant sa raclée ! J'étais sans voix, ainsi que Christine, qui d'un signe de tête m'invitât à aller dans sa chambre ???????? A suivre............


    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  135. Bon, voici que Dominique imagine un épisode très "chaleureux" pour Diane, et je ne vais pas la plaindre, j'aurais presque tendance à vouloir m'en moquer, ce qui ne serait qu'un juste retour des choses, l'inverse ayant été si souvent de mise...
    Cela dit, j'attends de savoir ce qu'on pu se raconter Caroline et Christine, dans la chambre de cette dernière...

    RépondreSupprimer
  136. Chère Christine,

    Je me doutais bien qu'une mésaventure de Diane, vous ferait plaisir et vous donnerait une sorte de revanche sur la petite perfide, s'étant souvent moquée de sa grande sœur punie.

    Tant qu'à la conversation entre Christine et Caroline, vous le saurez en lisant le prochain numéro du synopsis que je prépare et vous sera livré, au plus vite, afin de ne pas faire languir la Christinette, qui sans le savoir encore, s'approche d'une déconvenue qu'elle n'oubliera pas !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  137. Savoir ou ne pas savoir... J'hésite, mais cette conversation entre Christine et Caroline m'intrigue... Vite, je voudrais bien la lire... Après, je ne suis pas sûre que je serai aussi pressée, s'il est question ensuite de "déconvenue" christinienne...

    RépondreSupprimer
  138. Chère Christine,

    Tout vient à point, à qui sait attendre ! Et dans cette matière, il me semble que Christinette était très spécialiste ! Donc ça viendra, rassurez vous, avant d'angoisser pour la suite ! Avec, j'en suis certain, moins d'empressement de la part, de Christine pour celle-ci.

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  139. Spécialiste de l'attente, si vous le dites. C'est sûr que l'angoisse précédant l'arrivée de Maman, ou la peur en revenant vers la maison, cela me connaissait. Alors, pfff, pas trop envie de revivre ça dans un synopsis pas rassurant...

    RépondreSupprimer
  140. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite :

    Ma jolie Caro enchaîna, pour me restituer la conversation avec sa copine !

    Caroline : « Ouahouh ! Ta mère ne plaisante pas, quand elle punie tes sœurs, comme la mienne ! ».

    Christine : « Ah ça non ! Je te le confirme, pour en avoir fait l'expérience, il y a quelques années, c'est du passé, lorsque j'étais plus jeune ! Mais j'm'en souviens encore ! ». Ma Caro curieuse, poussa alors Christine à la confidence.

    Caroline : « Ouais, un peu comme moi, à une époque ou je passais assez fréquemment sur les genoux de ma mère ! Et avec elle, c'est toujours d'actualité, même en ce qui me concerne ! Si j'en mérite une, je me la prends, sans rémission, malgré mes 22 ans et Dominique le sait ! ».

    Christine un peu rougissante : « C'est vrai ! J'me rappelle samedi ! Lorsque t'a raconté l'histoire avec tes sœurs et rembarré ta mère ! Moi, jamais j'pourrais faire ça et encore moins, en présence de mon fiancé, j'aurais trop honte ! ».

    Caroline : « Bein, c'est vrai que quand ta mère m'a posé la question, j'étais un peu gênée ! Mais comme Dominique sait très bien que Maman ou Papa n'hésitent à me punir, si je le mérite ! J'avais besoin de me libérer et si cette déculottée de Maman, m'a surpris ! Sur le fond, je l'avais mérité ! Et bien sur, que ce n'est pas le genre de choses qu'on crie sur les toits ! Mais la conversation a fait, que je me suis lâchée ! Je pense que tu le comprends mieux, maintenant ! ».

    Christine se lança alors dans une monologue
    Christine : « M'voui, j'comprends et j't'avoue, que j'étais aussi très gênée par cette conversation insupportable, Maman et ma Tante en rajoutant, sans parler de Diane ! J'étais vraiment mal à l'aise ! Et y n'empêche que j'pourrais pas me livrer, comme tu la fait en public ! Tu vois, Caroline ! Là, on seules toutes les deux, entre amies ! C'est différent ! Je ressens moins cette gêne, certainement du, au fait que nous avons des points communs ! On fait nos études ensembles, tu as deux petites sœurs comme moi et vous êtes élevées de la même manière ! Il m'est donc plus facile d'exprimer mes émotions et puis j'ai confiance, dans ta discrétion ! Bon Dominique, l'apprendra peut-être, mais je sais que lui aussi, est discret ! ».
    « En fait, à ce jour, la dernière fessée de Maman que j'ai reçu ! J'avais 19 ans ! C'était au moment de la séparation de mes parents, mon père ayant foutu le camp avec une jeunette de mon âge et nous laissant seules toutes les quatre ! Je ne le supportais pas et un soir, mes grands-parents et ma Tante, étant présents ! Je me suis montré très grossière, envers ma mère, tout en fuyant dans ma chambre ! Je peux te dire qu'en moins de deux minutes, celle-ci m'avait rejoint et m'attrapant par la tignasse, elle m'emmena direct vers mon lit, comme à une certaine époque et me colla une phénoménale fessée ! J'étais abasourdie, à 19 ans ! Se ramasser une déculottée, j'en revenais pas ! Pourtant, je l'ai prise et j'tassure qu'elle n'a pas lésiné ! Au final, j'étais pas fière ! Et encore moins, en redescendant rejoindre la famille ! J'étais dans mes petits souliers, car si ma Tante et mes grand-parents avaient une mine compatissante, envers moi ! Ce n'était pas le cas de mes sœurs, plutôt moqueuses à mon égard ! Alors bien sur depuis, si ce sont elles, que Maman gratifie de ses bonnes grâces, je reste prudente ! Car comme chez toi, la règle est la même pour nous trois, tu as pu le constater tout à l'heure avec Diane et même si je n'ose pas imaginer, une seconde, que ma mère imite la tienne, à presque 23 ans ! A suivre..............

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  141. Christine se confie beaucoup à Caroline, mais si les situations des deux amies sont du même genre, cela devient plausible, et je veux bien adhérer à cette partie du synopsis. Je me demande toutefois ce que la suite nous réserve...

    RépondreSupprimer
  142. Chère Christine,

    En effet je persiste, dans le fait que vous étiez une spécialiste de l'attente, aidée en cela par votre mère qui vous ayant promis une fessée, n'activait pas les choses à votre encontre, à l'inverse de vos sœurs chignant ou ronchonnant et qu'il fallait calmer, au plus vite.

    Je vous remercie pour l'adhésion sur le début de conversation entre Caroline et Christine ! Très amies, en effet, celles-ci se confiant leurs petits secrets, ma Caro m'en rapportant quelques uns ! Tant qu'au développement de ce synopsis qui vous inquiète, vous verrez bien ce que vous réserve Dominique !

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  143. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite du dialogue :

    Caroline était un peu étonnée, qui son amie rougissante, lors de son monologue, se libère, ainsi ! Christine étant plutôt réservée, sur le sujet ! Ma Caro poursuivit le dialogue, en mettant en avant.

    Caroline : « C'est vrai, Christine, avec ma mère ça fonctionne aussi comme cela ! Bien sur, comme chez toi, même si ce sont mes petites sœurs qui s'en ramassent le plus souvent, vu qu'elles sont assez turbulentes ! Je me méfie, sachant que j'nen suis pas à l'abri et j'lai confirmé , samedi dernier !
    Alors, même si cela ne m'arrive que de temps à autre, depuis mon bac ! J'peux dire que ça pose aucun scrupules à Maman de me déculotter et me coller la fessée que j'mérite ! » ajoutant « Et chez Dominique c'est pareille d'ailleurs, pour ses neveux et nièces aujourd'hui, bien sur ! Mais j'peux t'dire que si sa mère lui fait un reproche justifié, mon grand Dom devient tout p'tit ! J'me souviens même d'un soir ou j'étais chez lui, en rentrant il était très énervé ! Se montrant très désagréable, envers moi et sa mère, celle-ci a aussitôt réagit ! En lui demandant, si il voulait qu'elle le calme, comme à une certaine époque ! J'peux dire que mon Dom, à changer de tête et nous à présenter des excuses, malgré ses 25 ans ! ».

    Christine : « Et bein, dis-moi, Caro ? Ça rigole pas non plus, chez Dominique ! ».

    Caroline : « J'te l'confirme, pour avoir assisté à quelques bonnes déculottées de ses neveux et nièces, soit par leur mère (femme de son frère aînée) ou la grand-mère et la grand-Tante, qui savent y faire ! Je te le garantis et Dominique me l'avait déjà dit ! ».

    Christine : « C'est fou Caroline ! On discute tranquillement d'un sujet, qui m'a toujours donné des frissons et des angoisses, pas possible ! Quand je ramenais une colle ou une mauvaise note, je savais ce qui m'attendait à la maison, avec Maman, que je craignais par dessus tout, et sans compter mes bêtises de gamine ! Et ce que tu as vu avec Diane, tout à l'heure, j'l'ai vécu bien souvent ! Je pense même que Maman était bien plus sévère avec moi, en tant qu'aînée supposée montrer le bon exemple et j't'avoue même si ça m'est difficile, que j'le méritais à chaque fois ! Du fait que si j'nétais pas idiote et ma chère mère le disait souvent, j'avais une tendance à la rêverie et l'amusement ! ».

    Caroline : « Ouais, tout comme moi, d'autant que la différence d'âge avec mes sœurs, étant plus grande, ma mère me rappelait souvent que j'devais être la référence ! Alors quand elle me punissait, très souvent devant mes frangines, lorsqu'elles étaient encore bébés ! Elle ressassait cette phrase, tout en claquant mes fesses, en disant aux deux gamines, qui ne comprenaient certainement pas, que si elles suivaient le même exemple, que la grande sœur ! Voilà ce qui les attendaient ! Dans ces moments, je me sentais super honteuse, les fesses à l'air ! Maman s'appliquant à les rougir de belle manière, braillant et pleurant comme une fillette ! Celle-ci ne faisant jamais les choses à moitié et mes sœurs le savent aujourd'hui ! Lorsque ma mère donne une fessée, elle fait pas semblant et moi aussi, j'tavoue que je le sais ! ».

    Christine : « J'vais dire avec la mienne, c'est pareil ! Quand elle en prend une sur ses genoux, celle-ci n'en ressort qu'avec des fesses écarlates ! Mais bon, on peux, p'être parler d'autres choses, si tu veux bien ! »..........

    A suivre.............

    Amicalement, Dominique

    RépondreSupprimer
  144. Spécialiste de l'attente, je confirme, j'ai une sacrée expérience en la matière...
    Sinon, j'avoue que le synopsis est bien mené par Dominique, et le fait de jouer sur la confiance entre Caroline et Christine rend très plausible que l'ainée des Spaak pour une fois veuille bien s'exprimer sur son expérience et ses ressentis...
    Sinon, côté de mon récit à moi, l'épisode suivant est en voie de livraison !

    RépondreSupprimer