samedi 3 mai 2014

Chronique d'un redoublement : 72. Une prise de conscience pas rassurante...

SUITE 71

Ma nuit après cette fessée magistrale ne manqua pas d'être peuplée de quelques cauchemars où j'étais en bien mauvaise posture, comme tout un chacun peut l'imaginer...

Au réveil, il fallut bien que je me rende à l'évidence : ce qui s'était passé la veille au soir changeait un peu la donne familiale.

"Allez, on ne trainasse pas au lit. Il y a école ce matin. Debout, Christine", avait lancé Maman, en pénétrant dans ma chambre, et en ouvrant les volets, avant de ressortir de la pièce pour aller faire de même dans la chambre de mes soeurs. 


 Maman m'avait réveillée énergiquement. Je comprenais qu'il n'allait
pas falloir jouer les paresseuses, et que je serais surveillée
dans le moindre de mes comportements...

Il n'y avait rien d'anormal dans la façon de faire qui ressemblait à la plupart des réveils, les matins de classe. Mais, alors que souvent, Maman procédait plus calmement, ajoutant parfois un "Réveille-toi, ma chérie, il est l'heure", le ton de ce matin était moins chaleureux, presque militaire.

Cela dit, je n'aurais peut-être pas apprécié si elle était venue doucereuse s'asseoir sur le côté de mon lit, pour me réveiller en disant : "Alors, ma chérie, as-tu bien dormi après notre explication d'hier soir ? Je suis sûre que tu n'as même plus mal aux fesses. Allez, fais un bisou à Maman, et promets-moi d'être sage. Tu sais tu n'as eu que ce que tu méritais, depuis le temps que tu la cherchais cette fessée-là".

J'aurais été gênée et honteuse, et mieux valait un réveil en fanfare sans avoir à reparler de la scène de la veille...

De fait, en me levant et m'étirant, puis en posant mes mains sur mon bas du dos, par dessus le pyjama, puis en osant y jeter un coup d'oeil furtif, je constatai que, sans être froide, car sortant de dessous les couvertures, ma lune semblait redevenue intacte, demeurant peut-être juste un peu plus sensible si elle devait être claquée à nouveau sur le champ, mais la palpation simple ne renvoyait pas de sensations de picotements.

Bref, mes fesses qui en avaient vu bien d'autres avaient retrouvé leur pâleur juvénile, et j'eus un instant une peur idiote, me disant : pourvu que Maman ne voit pas mes fesses blanches et que cela ne lui donne pas l'envie de recommencer...


Sous le pyjama, ma lune avait retrouvé sa pâleur juvénile, ce qui me rassurait.
Mais, en jetant ce coup d'oeil furtif, j'eus peur que Maman me surprenne
et ne veuille, constatant la blancheur, en raviver la couleur... 

Evidemment, Maman n'est pas venue contrôler l'état de ma lune, et ce frisson de peur est resté sans suite. En tout cas, cette espèce de vision de cauchemar éveillé témoignait bien du fait que l'événement de la veille avait changé la donne familiale, comme je le disais plus haut.

Remettant ainsi les pieds sur terre, retrouvant l'agitation familiale habituelle des jours de classe, où toilette, habillement, vérification de cartable, petit-déjeuner et départ vers école et collège, sont quasi-minutés, je prenais conscience que j'avais changé de rôle, comme on redescend d'un piédestal. Je n'étais plus celle qui entamait son 56 ou 58ème jour d'impunité, et pouvait poser sur ses soeurs une sorte de regard condescendant, celui de l'intouchable, de la grande qui en deviendrait presque exemplaire...
Non, je savais qu'en franchissant la porte de ma chambre, en croisant mes soeurs, j'étais redevenue Christine que Maman avait déculottée la veille au soir et qui avait reçu une bonne fessée, "encore" une bonne fessée...

Cette fessée me ramenait à ma position classique, habituelle, oserais-je dire. Et, autant le délai qui s'était prolongé depuis la précédente avait, un tant soit peu, fait diminuer les allusions, rendu plus rares les évocations de mes fessées dans les conversations, autant je savais que celle de la veille allait souvent revenir en écho.

D'ailleurs, avant même d'être sortie de ma chambre, j'entendis Maman hausser le ton dans la chambre d'à côté, où visiblement mes soeurs étaient bien trop guillerettes pour être attentives aux consignes maternelles. Et Maman lança notamment à Diane, sûrement la plus excitée, cette phrase : "Du calme, Diane... Tu sais ce qui est arrivé à Christine, hier soir... Alors, si tu veux prendre ton tour, dis-le..."

Voilà, à peine levée, et sans même donner de détail, ce qui sous-entendait qu'évidemment Diane savait parfaitement de quoi Maman parlait, ma fessée servait déjà de menace, de moyen de ramener le calme chez les petites...



Maman, avec un geste de la main explicite avait juste dit :  
 "Du calme, Diane... Tu sais ce qui est arrivé à Christine, hier soir... 
Alors, si tu veux prendre ton tour, dis-le..." Elle n'avait même pas eu besoin
de préciser davantage... Mes soeurs avaient compris, 
et déjà ma déculottée servait de référence, et de menace efficace... 


En descendant prendre le petit-déjeuner, j'adoptai un profil bas. J'avais parfois, en ce genre de circonstances, tenté de jouer l'innocente, de faire comme si de rien n'était, comme si c'était un matin comme les autres, quitte parfois à me voir rabaisser le caquet par une remarque maternelle, ou une réflexion de mes soeurs quand Maman n'était pas à portée d'oreilles...

Mais, là, après être descendue le coeur léger, quelque 55 ou 57 matins de suite, je n'étais pas assez bonne comédienne pour paraitre totalement détachée au lendemain d'une tannée mémorable. Même sur ce simple point là, au lieu d'être fataliste et de me rassurer en pensant que j'avais réussi à y échapper deux mois ou presque, au contraire cette fessée de la veille me semblait encore plus difficile à assumer.

Et, effectivement, il y eut les immanquables réflexions maternelles et les regards moqueurs et  pétillants de malice de mes soeurs qu'il fallut supporter, et je dus faire un gros effort pour ne pas fondre à nouveau en larmes et cacher mes yeux qui s'embuaient...

Je ne vais pas redire par le menu toutes ces sensations de vexation, de honte cachée, et autres idées noires qui traversaient mon esprit et faisaient que j'en revenais toujours à penser à ce qui m'était arrivé.

Toujours est-il que le sujet fut comme omniprésent dans mes pensées durant toute la journée, et même le lendemain. Je n'arrivais pas à m'ôter cela de la tête. Pourtant, j'essayais par moment de me dire : tu as réussi à passer deux mois sans la moindre déculottée, alors après la fessée que tu viens de recevoir, cela ne devrait pas être trop dur d'y échapper à nouveau durant quelques semaines.

Mais, ce discours passait mal, et n'arrivait pas à me convaincre d'être confiante en mon avenir proche. Car, il y avait toute la rhétorique maternelle qui me revenait sans cesse. Jamais, au grand jamais, en me donnant cette fessée, Maman n'avait laissé entendre qu'elle espérait que cela allait m'assagir pour deux mois encore. Jamais elle n'avait dit : "Ta dernière fessée t'a calmée huit semaines, j'espère que celle-là te fera de l'effet plus encore". Peut-être cela m'aurait-il aidée à relativiser, à me remplir d'espoir...

Mais, ce que je retenais, c'était au contraire que Maman avait surtout insisté sur la notion de "retard", sur le fait qu'elle avait laissé passer "bien trop longtemps" avant de s'occuper à nouveau de mes fesses.... Elle avait également affirmé comme si c'était une évidence que j'avais "dû oublier ce qu'était une fessée", qu'elle se chargeait de me "le rappeler".
J'en déduisais donc, en faisant un parallèle avec les périodes de sécheresse, que cet orage subit, aussi marquant qu'il soit, n'avait certainement pas comblé cette notion de "retard" dans l'esprit maternel... 
Sans chercher à jouer les comptables, j'avais quand même durant ces deux ou trois dernières années, été soumis à des "averses" de claques plus fréquentes. Avec des périodes considérées comme calmes où je m'en tirais avec une ou deux fessées par mois, et d'autres périodes de pointe, comme en fin d'année scolaire précédente où une, voire deux par semaine n'étaient pas si rares.
Alors, venant de vivre ces (presque) deux mois de tranquillité pour mon bas du dos, qui venaient de prendre fin par une déculottée mémorable, je n'arrivais pas à me rassurer... Au contraire, je pressentais que Maman n'hésiterait pas à vouloir combler à nouveau son prétendu "retard"...

J'avais la sensation de rester en ligne de mire, comme si Maman avait pris conscience qu'elle m'avait un peu trop lâché la bride, et s'en voulait de ne pas avoir réagi quand elle commençait à se douter que je faisais moins d'efforts.



J'étais inquiète, et tendais le dos à la moindre réflexion maternelle,
persuadée que j'étais que Maman voudrait vite combler
ce qu'elle semblait considérer comme un "retard"
vis à vis du traitement de mes fesses... 


Cela se devinait dans ses réflexions. Souvent, les jours suivants une fessée magistrale, elle commentait ma bonne tenue avec des accents satisfaits, trouvant là des arguments pour justifier sa méthode et son efficacité. Et, il est vrai, que mon propre comportement cherchant à ne surtout pas m'attirer de nouveaux ennuis, allait dans son sens et confortait son point de vue.

Cette fois, Maman demeurait plus réservée, semblant plus attentive que jamais à mon comportement. La nuance peut paraître futile, mais je la ressentais pleinement. Maman qui, me voyant calme et serviable, souvent aurait dit : "C'est bien ma chérie. Te voilà bien sage... C'est juste dommage qu'il ait fallu encore une bonne fessée pour calmer ma grande fille..." Là, demeurant sur l'expectative, elle avait tendance à dire : "C'est bien, ma chérie. Tu me sembles bien sage... J'espère que tu ne me caches rien. En tout cas, tu es prévenue. Dès que j'aurai quelque chose à te reprocher, tu n'auras qu'à préparer tes fesses..."

Bref, la fessée reçue n'avait visiblement pas soldé totalement mon compte dans l'esprit maternel. Je ne repartais pas à zéro, avec du temps devant moi avant de m'inquiéter à nouveau. J'avais l'étrange impression que j'étais déjà dans une position de future fessée...

Et, les petites tapes ressenties par moi comme des moqueries, à la fin de la récente déculottée, me revenaient en tête. Maman ne le faisait pas, mais quand elle prononçait ce genre de menaces comme la phrase que je viens de citer, c'était comme si je la sentais passer derrière moi, me tapoter deux fois le bas du dos, en me disant : "Je veux que tu restes à portée de main, tu comprends pourquoi..."

Pour toutes ces raisons, je n'étais donc pas tranquille, tendant le dos à la moindre alerte, soucieuse de ne rien faire de travers, et restant donc dans la crainte d'une nouvelle fessée, dont cette fois je ne pouvais que me rappeler l'efficacité, et les moindres détails encore tout frais dans ma mémoire...

 Le fait est aussi que nous étions à la fin du mois, et que je craignais l'arrivée du carnet de notes mensuel, même si les deux derniers étaient passés sans problème, à mon grand soulagement. Cette fois, je ne pouvais que craindre de nouveaux ennuis.
Il nous fut distribué quatre jours après cette fessée de "reprise en main", si j'ose dire. Quatre jours, où pas un ne s'était écoulé, sans au moins une menace maternelle claire dans ses paroles, et sombre pour mon avenir fessier...

Découvrant donc ce carnet, je n'étais pas rassurée pour un sou. D'autant que le 8,5 en français, avec l'appréciation inquiète de la prof, qui avait déclenché mon retour sur les genoux maternels, figurait en bonne place. Surtout que, dans le même genre, figurait un "Attention, il serait dommage de relâcher les efforts", que le prof de maths avait glissé également dans la colonne des commentaires, et accréditait la thèse maternelle d'une Christine ayant stoppé ses efforts... Toutefois, les deux notes de maths dépassaient la moyenne, ce qui ne me rassurait pas totalement, sachant que Maman se fiait plus aux appréciations qu'à des notes qu'une redoublante pouvait avoir plus aisément sans forcément bien travailler. 

Globalement, il y avait eu un recul par rapport aux deux mois précédents, mais relativement léger toutefois. Il n'en restait pas moins que, dans l'état d'esprit maternel du moment, tout recul étant le contraire des avancées souhaitées, je n'étais guère confiante...

Pour tout dire, je suis rentrée vers la maison, le coeur battant, marchant à deux à l'heure...  Inquiète, voire pire, persuadée que je n'échapperais pas à une nouvelle fessée...


Je suis rentrée en trainant le pas, le coeur battant, inquiète,
craignant d'affronter Maman,
imaginant déjà que je n'échapperais pas
à une nouvelle fessée... 



En me voyant rentrer, le regard fuyant, Maman devina de suite : "Tu en fais une drôle de tête, ma fille... Je crains le pire... Aurais-tu reçu ton carnet de notes, comme tes soeurs ?"

Effectivement, Aline et Diane étaient déjà en pleine discussion avec Maman, les carnets sur la table de la cuisine, et si je sentais Diane sereine, je voyais bien qu'Aline n'était pas trop fière d'elle. Cependant, cela s'était limité à un sermon maison et la promesse de faire quelques devoirs supplémentaires. Qu'allait-il advenir de moi dans ce contexte tendu ?

Je restais figée à l'entrée de la pièce, et j'avais les yeux qui commençaient à s'embuer quand Maman alla vers mes affaires, et sortit d'elle-même le carnet de mon cartable, comme si elle était pressée de voir ce qui rendait son ainée si tremblante. Peut-être est-ce d'ailleurs cela qui m'a sauvé la mise ? Maman imaginait certainement pire, avec un zéro pointé quelque part, ou une chute importante de la moyenne, mais elle trouva surtout des résultats pas aussi brillants qu'elle aurait rêvés, mais pas aussi mauvais qu'elle ne le craignait...
Toutefois, comme je le craignais, le commentaire du prof de maths lui fit faire la grimace, et celui qui accompagnait la note de français, lui fit marmonner : "Ah, ce n'est pas possible, Christine... Tu cherches les ennuis... Tu sais pourtant ce que je t'ai promis..."
A ce moment précis, pour moi, l'affaire était entendue, et j'avais l'impression que quoi que je dise pour ma défense, je serais renvoyée dans les roses. Et, au lieu de me défendre, de répondre par la négative, d'être déjà dans la supplication, à cette question : "Tu sais pourtant ce que je t'ai promis, Christine ?", je m'entendis répondre : "Oui, Maman, oui..."
Je n'ai quand même pas ajouté : "Oui, tu m'as promis une fessée, une bonne fessée", mais cela tombait sous le sens, et tout le monde avait compris... J'avais l'impression de sentir posés sur moi le regard noir de Maman, et les deux paires d'yeux pétillants de mes soeurs, comme un accusé sent les regards de la salle sur lui au moment du verdict...
Mon "Oui, Maman, oui" prononcé, j'avais surtout envie de disparaitre, de prendre l'escalier en direction de ma chambre, où j'attendrais Maman... Et ma fessée bien sûr ! 
Le cauchemar aurait été que Maman veuille me déculotter séance tenante devant mes soeurs, et je restai immobile quelques secondes, avant que Maman ne parle... L'instant fut bref, mais dur à supporter tant j'avais l'impression que, dans le regard de mes soeurs, j'étais déjà sur les genoux maternels, et j'en frissonnais, comme si je ressentais ma culotte glisser vers le bas...




Oui, je savais ce que Maman m'avait promis, 
et pour moi l'affaire était entendue...
Je devinais dans leur regard que mes soeurs m'imaginaient
sur les genoux maternels, et j'avais l'impression
que ma culotte descendait devant elles...

Là encore, cette sorte d'acceptation dut impressionner Maman, qui leva la main droite, paume ouverte, dans un geste de menace sans équivoque... Mais, alors que je m'attendais à : "File dans ta chambre et prépare tes fesses, on réglera ça tout à l'heure", Maman fit entendre un long soupir avant de me dire : "Ah, Christine, tu mériterais encore une bonne fessée... Tu as de la chance que je t'ai déjà punie pour tes résultats en français, sinon je te prie de croire tu aurais fini la soirée sur mes genoux... En tout cas, sache bien que ce n'est que partie remise, et que je vais te surveiller comme le lait sur le feu... Pas question que tu te relâches, comme le craignent tes professeurs. Je vais faire attention à chacune de tes notes, et je ne laisserai rien passer... Rien du tout, tu m'entends ? Tu as intérêt à bien te mettre ça dans la tête, sinon gare à tes fesses, Christine, gare à tes fesses" !

Je venais encore de me faire promettre de prochaines déculottées, mais j'étais comme sur un petit nuage, incrédule d'y échapper ce soir-là. Même si, très vite, je redescendis sur terre, en retrouvant ma chambre et en comprenant que la détermination maternelle serait forcément suivie d'effet. Pour ne pas dire bientôt ou très bientôt...

A SUIVRE


84 commentaires:

  1. Chère Christine,

    Je n'ai aucun doute, sur le fait que Christine, peux mieux faire avec la motivation et je pense que les rebonds de ses lecteurs, la lui fournisse ! Tout comme Christinette pouvait être motivée, après ceux plus indigestes de sa chère Maman et montrer alors, ses réelles capacités, pour en éviter de nouveaux !

    Rassurez vous ! Je pense que Maman serait satisfaite de voir, que sa fille peux rendre de très bonnes copies, quand elle le veux ! Et qu'il est simplement dommage pour cela, de devoir souvent rappeler, à la demoiselle, les vertus de l'effort de façon plus concrète ! Je suis sur que Christine et Christinette me comprennent !
    En ce qui concerne, ce texte de transition ! Sachez que je l'apprécie et que même s'il nous a fallût attendre (un peu trop longtemps, tiens comme Maman!), j'ose dire qu'il est digne de la 'nouvelle' production Christinienne ! Voilà, ce que j'avais à dire !!!!!

    Sinon, comme promis, je vais vous adresser cette statistique sur la chronique du redoublement, qui n'a aucune valeur en soit, mais que 'l'archiviste en chef' a pris plaisir à établir et reviendrais ensuite sur l'épisode présent.

    Amicalement, Dominique

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  2. Oui, Dominique, j'ai bien compris ce que veut dire "lui rappeler les vertus de l'effort de façon concrète"...
    C'est exactement ce qu'imaginait Christinette à la fin du présent épisode quand Maman lui demanda qi elle se rappelait ce qu'elle lui avait promis... Et la petite demoiselle était persuadée de devoir ce même soir se retrouver en aussi mauvaise posture que quatre jours auparavant... Dois-je préciser davantage ?

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  3. Bonjour Christine,

    Mamie Valérie, vient de lire (plusieurs fois) l'épisode 72 qui ravive ses propres souvenirs, sur l'attitude maternelle vis à vis de sa fille, si mignonne auparavant, mais qui avait bien changé depuis deux ans (pas dans le bon sens) et ce fameux samedi où trois fessées avaient nécessaires pour ramener Valérie, à un équilibre plus conforme à son statut de jeune fille agréable !
    J'en profite aussi pour vous remercier d'avoir validé ma confidence, sur la notion d'angoisse, que chacun ou chacune soumis (es) à la fessée, a pu connaître ! Ayant rédigé celle-ci, dans le seul but d'apporter ma pensée, sur l'un des éléments majeurs de vos récits et commun à nos vécus respectifs, même si (ne le prenez pas mal) une réaction de votre part sur le sujet, m'aurait fait plaisir ! Tout en ayant compris que vous êtes prise par vos activités professionnelles.
    Ceci étant, pour une fois, je vais m'efforcer de vous transmettre des commentaires sur cet épisode, en y ajoutant simplement, quelques références personnelles.

    Valérie

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  4. Chère Christine,

    C'est comme il vous plaira, ma chère conteuse ! De précisions, je n'en ai nul besoin, sachant que celles-ci feraient galoper les angoisses, de la petite demoiselle, qui après seulement quatre jours, d'une déconvenue notable ! Se voyait déjà repasser à la casserole, à la vue de son carnet pas terrible pour une redoublante et de la volonté maternelle, à reprendre les choses en mains !!!!

    La petite, Christinette, sachant trop bien que les promesses de Maman, ne sont pas de vains mots et qu'elle sait les concrétiser rapidement par l'acte ! La gentille petite Christinou (enfin pas toujours) flotte alors sur la nébuleuse, heureuse de s'en sortir indemne sur l'instant, mais comprenant que ces deux mois d'accalmie, ne se reproduiront certainement pas ! CQFD !

    « Non, mais, idiot que vous êtes ! Voilà que vous plongez la tête, la première, sur la grosse perche tendue, par Christine, qui vous fait démarrer l'analyse du récit par la fin ! Ahhhhhhhh ! Vous aussi en mériteriez une bonne ! »

    Comme c'est plaisant, de se parler à la troisième personne ! Mais non ! Rassurez vous, je ne suis pas 'Louis VXI', je m'amuse, c'est tout !!!!!

    Amicalement, Dominique

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  5. Voilà déjà deux réactions et promesses de commentaires qui sont de bon augure pour la suite. Les deux soulignent l'importance de la notion d'angoisse qui, effectivement étreignait particulièrement Christinette. Surtout que, même si cet épisode se solde par une heureuse surprise sous la forme d'une clémence ponctuelle de Maman Spaak, son ainée ne prend bien sûr pas cela comme une faiblesse, ni comme un renoncement maternel. Elle n'en comprend que trop bien que son avenir proche passera sans aucun doute sur les genoux de Maman. Même Aline et Diane sont persuadées que leur grande soeur ne gardera pas ses fesses blanches à l'abri de sa culotte encore longtemps... Et qu'il va y avoir très vite à tendre l'oreille pour ne rien rater de la future tannée...

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  6. Bonjour Christine,

    Je suis bien d'accord avec vous, Christine, sur le fait qu'après une raclée exemplaire (comme celle de ce samedi ou bien d'autres auparavant), mon attitude changeait, essayant au maximum de me fondre dans la masse, pour que Maman ou ma Tante, ne soient pas tentées de remettre le couvert.

    D'autant qu'elles savaient, rappeler l'événement avec la main grande ouverte du genre :
    « Dis-moi, Valérie ? La séance de l'autre soir ne t'as pas suffit, il t'en faut une autre peut-être ? » ou encore pire chez ma Tante, y faisant mes devoirs en compagnie de mes cousines :
    « Attention ! Valérie, si tu continues ton cirque, je peux faire la même chose que Maman l'autre soir et même si tu viens de voir Bénédicte s'en prendre une, celle que tu vois là, peux également s'occuper de toi et comme ta Maman, m'a dit de ne pas faire semblant ! Je te laisse imaginer l'état de tes fesses, à l'arrivée ! ».

    Je vous rejoins donc, sur cette notion d'inquiétude latente et envahissante ou l'on se posaient (je parle au nom de mes cousines) mille questions ! Et qu'à la suite d'une bêtise anodine où par miracle j'échappais à la fessée ! Je m'interrogeais sur le fait de savoir si la dernière volée, avait soldé le contentieux maternel ? Imaginant qu'un jour ou l'autre, l'heure serait venue de présenter à nouveau mes fesses à Maman (ou Tata) et ce fût le cas !

    Valérie

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  7. Chère Christine,

    Comme promis, voici donc la statistique Dominicaine, qui comme je l'ai déjà dit n'a aucune valeur en soit, si ce n'est pour celui qui pris le temps de l'établir et peut-être la conteuse, constatant qu'au fond, un certain équilibre maternel régna durant cette année de redoublement, entre Aline et Christine sur la quantité, de ce que vous savez, ma Chère Christine ! Vous voyez, pas de mots précis, dans ce premier paragraphe.

    Statistique :
    Au cours de ces 6 premiers mois du redoublement de Christine, Maman Spaak a démontrer son autorité maternelle par 39 fois, à ses filles ! Dont 80%, pour Aline (15) et Christine (16), les 20% restants étant dévolus à la petite dernière (8), plutôt encline aux caprices ou bêtises.

    En terme d'intensité :
    Pour Christine, toutes les interventions maternelles sont régulières, fortes, démonstratives, voire exceptionnelles, pour bien marquer les esprits de chacune !
    Pour Aline, celles-ci sont plus modérés, mais souvent successives et parfois, presque Christinienne !
    Pour la petiote, c'est plus dans l'instant ! Vives et rapides, dans le but d'affirmer qu'aucune de ses filles n'est à l'abri d'un orage maternel et qu'il est préférable de bien se conduire, pour l'éviter !

    Comme vous pouvez le constater, Chère Christine ! Je n'ai ! A aucun moment ! Cité les mots qui alimentaient l'angoisse de la petite Christinette, adorable quand elle le voulait !!!!!

    Bon, je m'attache à l'épisode 72 ! Avant, que sait-on jamais, la Grande Christine nous livre le 73 dans la foulée ! Bien sur je plaisante, enfin quoique !!!!!!

    Amicalement, Dominique

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  8. Voilà que Dominique se lance dans les statistiques. Seule petite remarque : de septembre à fin mars, cela fait sept mois et non six, je crois.
    Mais, pour le reste, je suis certaine que ses comptes sont bons, même si j'aurais préféré ne pas être en première position, avec juste une fois de plus qu'Aline...
    Et, même la dernière position m'aurait encore davantage plus, comme ce fut le cas sur les deux premiers mois de l'année civile, je crois.
    Et, ne me dites surtout pas qu'une "fois" (pour rester sans citer le mot précis...) ce n'est rien... Comme vous le dites, une "fois" en version "pour Christine", c'est toujours fort et démonstratif.
    Et puis, dans ce contexte précis, avoir une de plus au compteur, c'est d'autant moins drôle que tout porte à croire qu'il y aura très bientôt un compteur à plus deux...
    Quand on est dans la peau d'une Christinette qui se dit qu'il va falloir qu'elle prépare ses fesses, cela aurait été une (maigre, mais quand même) consolation de se dire qu'Aline en avait une d'avance. Alors que se retrouver en tête du classement et dans l'angoisse d'une prochaine déculottée, c'est évidemment bien moins rassurant...

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  9. Chère Christine,

    Voilà que ma chère conteuse, pour récompenser le travail de son lecteur, chipote sur son calcul du temps écoulé ! Où en effet, de septembre à fin mars, cela fait sept mois et non six ! Il est vrai que la demoiselle avait des facilités en maths, sauf en cas de gros trou (La tuile en maths, 01/2011) !!!

    Alors pour ne pas être en reste, je dirais que le une 'fois' de plus pour Christinette m'a surpris en faisant le décompte et je pensais que celle-ci aurait une plus large avance sur les frangines, mais il est vrai que celle-ci venait (par miracle) de bénéficier d'une accalmie de deux mois.

    Sinon, j'admets que le 'une fois de plus' n'est pas anodin pour une Christinou, qui a bien compris que Maman était plutôt décidé à rattraper 'ce retard' et imagine déjà, que son compteur personnel, risque de s'accroître sous peu et lui permettra de distancer les soeurettes, au classement général de la distribution maternelle ! Et je partage, cette vision pas très rassurante, pour Christinette.

    D'autant que pour elle, cette 'distribution' est toujours fort généreuse ! Maman ayant là, matière à exprimer tout son savoir-faire sur le sujet, que connaît trop bien la petite Christinette, à l'inverse de certaines leçons scolaires !
    Vous voyez je n'ai toujours pas cité le mot, même s'il me brûle le bout des lèvres, alors qu'il est censé brûlé une autre partie anatomique, que je citerais pas non plus !!!!!

    Amicalement, Dominique

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  10. Bonjour Christine,

    Ce réveil tonitruant que vous évoquez, fût adopter par Maman au surlendemain de cette journée homérique pour moi ! Car si le dimanche matin, elle me laissa faire la grâce matinée, épuisée que j'étais par cette volée ! Comme vous le dites, la « donne maternelle » changea considérablement et ce, dés le petit-déjeuner ! M'ordonnant sur un ton sec et cassant, qu'une fois celui-ci terminé d'aller faire mon lit, ma toilette et m'habiller sans traîner, étant naturellement nonchalante à l'époque !
    Me rappelant ironiquement, que sinon, elle renouvellerait la séance de la veille et l'en savant capable, j'obéis sans discuter, ni ronchonner comme j'en avais pris l'habitude !!!!
    Et ce jour du seigneur, fût très calme pour Valérie et ses fesses, n'ayant à supporter que les échanges verbaux entre Maman et ma grand-mère, concernant ses trois petites filles.

    Et à partir du lundi matin, alors que d'ordinaire c'était ma grand-mère qui me réveillait ! C'est Maman qui s'en chargea (avec moins de tendresse, que Mémé) et m'annonça, de nouvelles règles pas très réjouissantes !

    « Valérie ! A partir d'aujourd'hui : Levée à 7h00, petit-déjeuner, toilette et révisions, si tu commence plus tard au collège ! Pour ton lit, Mémé s'en chargera durant la semaine ! Me suis-je bien fait comprendre, mademoiselle ???? ». Surprise, tel un âne, j'hochais la tête en signe de 'Oui'.

    Je dois dire que comme réveil-matin, il y a mieux !!!! Mais là, je compris que j'avais largement dépassé les bornes de la patience maternelle et que celle-ci, tôt ou tard, n'hésiterait pas à me faire payer le moindre de mes écarts !!!!! Et ce qui fût le cas, trois semaines plus tard, en compagnie de mes cousines et de ma chère Tante.

    C'est donc avec une angoisse prégnante, que je me rendis au collège ce jour là et les jours suivants, Maman n'étant pas avare de rappels ou de menaces, plus ou moins significatives, claquant mes fesses trois ou quatre fois (exemple), par dessus la jupe ou le pyjama, même si d'autres personnes étaient présentes, ajoutant souvent des paroles ironiques et vexantes « Valérie aurait-elle besoin, d'aller faire un petit tour sur le tabouret, de sa chambre ? Dis-le moi, ma chérie, si c'est cela ! Aucun problème, Maman est disponible ! ».
    Autant vous dire, qu'intérieurement je bouillonnais, sans l'exprimer bien sur ! Sachant trop capable Maman de m'empoigner sur le champ et me coller une bonne déculottée, devant tout le monde !

    Voilà, Christine, mon commentaire sur les réveils de Maman et son changement d'attitude, après ce samedi très, très mémorable pour moi.

    Valérie

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  11. Bonjour Christine,

    Pour compléter mon précédent commentaire, sur les réveils maternels énergiques, j'ajouterais que parfois, ne réagissant pas au premier appel de Maman à me lever, pour le second celle-ci soulevait drap et couverture ! Et, si j'étais sur le dos, elle me retournait comme une crêpe, tirait d'un coup sec mon bas de pyjama, pour me coller une bonne demi-douzaine de claques, en les ponctuant par la parole « J'ai dis debout ! Mademoiselle ! Alors ! Soit tu sors du lit ! Ou je continue ! A toi de choisir, ma fille ! C'est comme tu veux ! Moi, ça ne me dérange pas !».

    Je peux vous dire, que le choix était vite fait ! Car, Maman étant debout ou à genoux sur mon lit, les claques tombaient de haut et même s'il n'y en avaient que 6 ou 8 maximum, celles-ci faisaient très mal, surtout au réveil, mes cris les accompagnant étaient emprunts de vraies douleurs et non simulés !
    D'autant que celles-ci, me sortant de la torpeur du sommeil, tombaient sur des fesses relâchées, fraîches et bien offertes à la généreuse main maternelle, faisant très vite réagir la petite demoiselle, qui pleurait comme une fillette.

    Valérie

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  12. Chère Christine,
    Suite pour Isabelle :

    Par réflexe pudique, en se retournant, ma sœur plaça une de ses mains de manière à cacher son intimité, tandis qu'avec l'autre, elle tentait d'apaiser la cuisson de son fessier que Maman avait soigné avec générosité, tout en pleurnichant, autant de douleur, que de honte ! A mon avis !
    Ce qui déclencha une réaction maternelle, très vive ! Lui assénant deux grandes claques sur le coté des cuisses, en les accompagnant d'un monologue très mortifiant pour ma sœur !
    « Isabelle ! Mains sur la tête et tout de suite ! Les petites chipies dans ton genre, n'ont rien à cacher ! Tu n'est qu'une gamine effrontée, qui ne réfléchie à ses bêtises, qu'une fois la culotte baissée ! Et de toute façon, tu es faîte comme tout le monde, alors dépêche-toi ! Sinon j'en ai d'autres comme celles-ci, à ton service et crois-moi que là, tu auras de quoi chouiner, ma petite fille ! Alors décides-toi ! ».

    Ma petite-grande sœur qui était livide, poussa deux cris énormes, avec de grosses larmes, mais s'exécuta et avança fébrilement vers nous ! Celle-ci devait se sentir terriblement honteuse, d'exposer ainsi son intimité, au regard de tous et surtout à celui de son petit frère !
    Les trois, quatre mètres qui nous séparaient furent, sans aucun doute, un calvaire pour elle, qui pleurant de plus en plus fort, me demanda pardon !

    Aussi gêné qu'elle, incapable de répondre ou de bouger, ayant des larmes aux yeux ! C'est Sylvie qui m'aida à me mettre debout, pour qu'Isabelle me fasse une bise, sur la joue !
    Reprenant ma place avec ma grande sœur, Isabelle présenta alors ses excuses, à notre Tante qui l'a pris dans ses bras, pour la pardonner, puis revint vers Maman !!!!!

    Toujours dans la même posture, nous présentant à nouveau ses fesses écarlates, elle dût écouter la fin du sermon et ravaler sa fierté de jeune fille, étant considérée comme une gamine, par Maman !
    « Et bien, tu vois ma chérie ! C'est pas si difficile, d'être une gentille petite fillette !!!!! », ce qui accentua les pleurs d'Isabelle, assurément vexée d'être traitée de 'fillette', à presque 14 ans et notre mère en rajouta une couche !
    « Oh, mais oui !!!! Mam'selle !!!! Tu n'es encore qu'une petite fillette, ne méritant que de bonnes déculottées, de Maman ou Tata !!!! Alors réfléchie bien, avant de refaire l'idiote, sinon tes fesses risquent de rougir souvent !!!! Allez, baissent les bras et file dans ta chambre, retrouver tes pluches ! Je t'appellerais pour le souper !!! » Ramassant son pyjama et tournant les talons, ma sœur se pris une dernière grande claque sur les fesses, avant de partir en courant !

    Et c'est ma Tante, qui clôtura la séance, en ordonnant à ses filles de me demander également pardon, pour leurs manigances, à mon égard et me faire une bise, sous la menace d'une main maternelle bien ouverte prête à les resservir et dans les mêmes conditions que leur cousine, si elles ne s'exécutaient pas ! Ce qu'elles ne firent pas, n'étant pas idiotes et à tour de rôle, elles vinrent m'embrasser !

    J'avoue que cette correction publique de ma sœur, a vraiment marqué mon esprit ! Autant par son intensité, Maman n'y allant pas de main morte! Que par l'humiliation pour ma frangine que j'adorais (et que j'adore toujours) malgré son coté maligne et espiègle, à piéger le monde ! Car elle en a fait bien d'autres et pas qu'à moi !

    Epilogue à suivre...........

    Amicalement, Dominique

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  13. Merci pour la suite de vos récits. Chacun mériterait des commentaires à son tour, mais j'ai peur de m'égarer alors que je suis obnubilée par mon propre récit. J'y reviendrai certainement une fois cette chronique d'un redoublement menée à terme.
    En attendant, je constate en râlant intérieurement que Dominique imaginait le compteur encore plus en la défaveur de Christinette, alors que je pensais même au contraire avoir (enfin) réussi à être plus épargnée que mes soeurs. Me retrouver encore en tête alors même que je crains fort pour mon avenir proche est une sensation désagréable. Qui me fait un peu rougir de honte.
    Il est vrai que dans le calcul, j'avais sûrement additionné inconsciemment les épisodes de mes deux soeurs. Comme s'il fallait comparer le nombre de fessées données dans chaque chambre.
    Quand je pense que Maman était persuadée dans son for intérieur qu'elle avait du "retard" à rattraper avec moi, alors que ce n'était pas le cas numériquement parlant, cela me fait encore plus rager...
    Quoi qu'il en soit, et hélas si cela donne raison à Dominique, au moment où j'en suis dans mon récit, Christinette n'a pas de calculette en tête. Elle se moque bien de savoir où en sont les compteurs. Elle a surtout une petite voix en tête qu'elle n'arrive pas à faire taire et qui lui glisse à l'oreille : "Tu as intérêt à te tenir à carreau, ma grande, mais même comme ça, ne te fais pas d'illusion et dis toi que tu vas devoir bientôt préparer tes fesses..."

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  14. Chère Christine,

    Sincèrement, je ne pense pas que la Christine d'aujourd'hui, puisse s'égarer si facilement, mais je comprends le fait qu'étant prise pour l'élaboration de cette chronique, elle préfère réserver ses réponses après le terme de celle-ci.
    Néanmoins, attention Christine !!!! Rappelez-vous ce que coûtait, à une certaine Christinette, des promesses non tenues ! Enfin surtout à ses fesses et sa fierté de jeune fille naissante, déculottée comme une gaminette !!!

    Je comprends également, que vous puissiez râlez, vis à vis de la pensée Domicaine sur l'état de votre compteur personnel, à ce moment ! Ayant bénéficier d'une trêve quasi miraculeuse, imaginant que les frangines avaient donc pris de l'avance sur la grande sœur, en la matière et qu'elles la conserveraient !!! Sauf que la réalité, a ses vertus et qu'au décompte final, Christinette est toujours en tête et ce compteur, risque fort d'augmenter plus vite que prévu !!!!!!!!

    Comme il est aussi bien vrai, pour Christinette, même si cela conforte mon analyse, elle ne tient pas de compte sur la répartition, des fessées entre elle et ses sœurs ! Par contre la fin de l'épisode n'est pas très engageante pour l'avenir des siennes ! Et sa petite boussole interne, lui indique qu'elle va devoir présenter celles-ci à Maman, plus vite qu'elle ne le souhaiterait !!!!!!!

    Amicalement, Dominique

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  15. Bonjour Christine,

    Mamie Valérie, vous remercie de l'appréciation et saisi fort bien votre souhait de rester concentrée, sur l'élaboration de cette chronique, pour ne pas en perdre le fil et je considère que la simple validation de mes témoignages, est déjà très satisfaisante ! Cela contribue à faire fonctionner ma cervelle de grand-mère et me motive ! Même si ces souvenirs, font remonter en moi, des émotions et sont parfois difficiles à exprimer, sur le papier !
    Non, zut !!!! Je corrige, sur la toile, comme dit mon fils !

    Bon à part çà, je vais apporter un écho personnel à cette analyse comptable de Dominique, sans aucun doute fort juste, au vu de sa connaissance de vos écrits, tout comme Mardohl !
    En ce qui me concerne, étant fille unique, je n'ai pas de comparaisons possibles, si ce n'est mes cousines et nos copines (filles de notre voisine) Catherine et Bérengère, elles aussi soumises au régime de la fessée maternelle.
    J'imagine que mes cousines devaient s'en ramasser, autant que moi et même peut-être plus, sans pouvoir le confirmer, si ce n'est le fait que ma Tante avait la main encore plus leste, que Maman et qu'elle ne s'embarrassait pas d'emmener, dans une chambre, celle qui méritait une punition ! La déculottant et la fessant sur place, quelque soit la pièce et le nombre de personnes, s'y trouvant !
    Pour en avoir fait moi-même l'expérience, c'était vraiment insupportable ! Car au delà de la fessée qui fait mal, s'ajoutait la honte d'être ainsi à demi-nue, devant des gens qui n'avaient pas lieu de connaître une partie intime de votre anatomie et je ne saurais dire, combien de fois, j'ai vu mes cousines êtres corrigées de la sorte, sans aucun état d'âme de leur mère !
    Et tout comme vous, je n'étais préoccuper que par le seul fait, de n'offrir aucune occasion à Maman ou Tata de me baisser la culotte, pour une bonne fessée ! Sauf que la Valérie de l'époque, avait un mal fou à tenir, cette ligne de conduite et ses fesses, en ont payer le prix fort.
    Comme lors de ce début de vacances d'été, où la distribution fût générale et double, pour les trois demoiselles, sous le regard de leur grand-mère, visiblement satisfaite de l'action de ses filles !

    Valérie

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  16. Pfff, arrêtez donc, avec ces histoires de compteur, Dominique. Je suis sûre que le mien ne bougera plus de sitôt, et que je vais être sage comme une image et que je n'aurai droit qu'à des félicitations maternelles, vous verrez, na !
    En tout cas, c'est ce que je vous réponds moi, na de na !
    Et si, au fond de moi, je pense un peu différemment, cela ne regarde personne, c'est entre moi et moi, entre les petites voix qui sont en moi, et alternent parfois les propos inquiets et d'autres plus rassurants. Même si les premiers sont plus fréquents en ce moment.
    De toute façon, je ne veux pas vous les dire, c'est déjà dur d'être dans ma situation, de parfois faire des cauchemars éveillés en imaginant, euh, non, pas question de vous dire ce que j'imagine ou ce que je vois dans mes pensées, na, vous ne le saurez pas, et je ne voudrais surtout pas que vous le deviniez...

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  17. Chère Christine,

    Oh !!! Mais voilà que la Christinette refait surface, en bougonnant et joue les petites insolentes, avec ses na, na, na de na !!!!! Si elle continue ! La demoiselle va s'en prendre une !!!! Parce que l'image de sagesse qu'elle imagine, risque fort d'être écornée rapidement, connaissant la demoiselle !

    Alors que ses pensées contradictoires, ne concerne que la fifille, j'en suis fort aise !!!! Mais cela ne m'empêcheras pas d'avoir les miennes et je suis certain qu'elles rejoignent, les vôtres, les plus profondes, n'est ce pas jeune fille ????????

    Amicalement, Dominique

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  18. Je ne veux surtout pas savoir ce que vous imaginez, pfff... Moi, je vais être sage et ramener de bonnes notes, et puis c'est tout, turlututu...
    Et même que mes petites soeurs aussi, elles seront feintées, elles qui me regardent avec des yeux qui pétillent... Je ne leur ferai pas ce plaisir, hi hi...
    Je suis grande maintenant et Maman me laissera tranquille, c'est sûr de sûr...
    Christine n'est plus une gamine, na ! Et puis, au lieu de tourner autour du pot et de me faire croire que vous savez précisément à quoi je pensais, je suis sûre que vous dites ça que pour m'embêter...

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  19. Chère Christine,

    Vous embêter !!! Loin de moi, cette pensée !!! Et je n'imagine rien, enfin presque !!!
    Mais je constate que la grande gamine de Christinette persiste dans la forfanterie et les promesses à rallonge, qu'elle ne tiendra pas ! Pensant même pouvoir tromper ses petites sœurs qui observent la grande sœur angoissée et savent très bien que tôt ou tard, celle-ci va encore devoir rendre des comptes à Maman et qu'elles l'entendront chanter, la grande soeurette, hi, hi !!!!!!

    Alors si Christine, est grande aujourd'hui, sans aucun doute ! J'ai un gros doute sur la Christinette de l'époque, malgré ses affirmations et si je tourne autour du pot, ce n'est que le but ne pas la chagriner !!!! Mais Christine sait bien, que nos pensées se rejoignent !!!!!!

    Amicalement, Dominique

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  20. Bonjour Christine,

    Permettez moi, Christine, de m'associer à vous et de regimber aussi envers, Dominique qui insiste avec l'histoire de ce compteur, que nous n'avions pas en tête à cette époque ! N'étant, à mon avis, que concentrée, que sur ce qui venait de nous arriver ou ce qui pouvait nous tomber dessus, très prochainement ! Voilà, C'est dit, na, na, na et re na, de la part de Mamie Valérie, solidaire avec Christine ! Mossieur Dominique !!!!

    Sinon voici les vacances d'été 1962, bien chaudes, pour Valérie et ses cousines.......

    Contexte :
    Durant les étés, toute la famille passait le mois d'août (fermeture de l'usine de mon oncle) dans un chalet de la côte landaise, mis à notre disposition par un ami de Tonton. Donc au cours du mois de juillet, nous avions le droit d'aller au plan d'eau de la commune, sorte d'étang formé par le fleuve, légèrement aménagé et surveiller par des employés de mairie.
    Mémé venant de temps à autre, avec son siège pliant et un livre, pour passer l'après-midi au soleil, avec nous. Et l'un de ceux-ci allait, nous apporter, une coloration de nos fesses bien différente, que celle du bronzage !

    Alors que nous jouions dans l'eau, comme des petites fofolles toutes les trois, avec un ballon en plastique, un groupe de garçons (plus âgés 14/15 ans) et des fillettes (leurs sœurs), se joignirent à nous, pour s'amuser tous ensemble ! Comme on dit « plus on est de fous, plus on rigole » !
    Tout se passait bien, on s'amusait comme des folles, d'autant que tout en jouant les garçons se firent plus pressent envers les trois jeunes filles plus épanouies, dont 'petit Pierre' qui allait devenir mon époux ! Tant et si bien, que nous abandonnèrent assez vite le ballon aux gamines, pour batifoler avec les garçons, à l'abri des regards, à coté du ponton !
    Les trois cousines étaient aux anges, découvrant leur premier flirt ! Mémé qui n'était pas idiote, avait bien vu la manœuvre, mais n'intervint pas, tout en nous surveillant pour éviter les excès !

    Si l'après-midi fût un vrai délice pour nous, la fin de journée le fût beaucoup moins, non pas à cause de ces petits flirts, mais du fait d'avoir désobéi à notre grand-mère ! Qui vers 17h45, nous invita gentiment à la rejoindre, afin de rentrer dans nos foyers, la surveillance de baignade des employés s'arrêtant à 18h30 et celle-ci ne pouvant venir nous secourir en cas de problème !

    Bénédicte plus prompte à réagir, à l'appel ! Fût stopper dans son élan, par sa sœur, par un « Mais reste là ! on a le temps ! » et moi ajoutant à l'adresse de ma grand-mère « C'est vrai, Mémé, y sont pas encore partis (faisant référence aux employés), alors rentre si tu veux ! Mais nous on reste !!!».

    Ces réactions ne furent pas du goût de Mémé, qui nous dit « Très bien, les filles ! Puisque vous le prenez comme ça, en effet je rentre et vous, vous arrangerez avec vos mères !!!!! », celle-ci tournant les talons et nous laissant avec nos petits camarades ! Nous donnant alors un fou rire, un peu idiot !
    Car la suite allait être beaucoup moins drôle, pour nos matricules et même franchement vexante, pour celles qui batifolaient gaiement !!!!!!!!!

    A suivre...........

    Valérie

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  21. Petit message pour prévenir mes fidèles contributeurs et contributrices : je m'absente pour une dizaine de jours. Merci de patienter. A bientôt. Ne désespérez pas, je reviendrai vite. J'ai encore beaucoup à écrire. Amitiés.

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  22. Chère Christine,

    Ah ! Voilà que Madame Christine, prend encore la poudre d'escampette, c'est pas possible !!!!! Rassurez-vous, je plaisante, imaginant qu'il s'agit d'un impératif professionnel et ce n'est qu'une taquinerie Dominicaine de plus.
    Je vais donc en profiter pour préparer, mon analyse sur l'épisode et l'épilogue de mon récit, concernant ma chère sœur et moi-même, que je vous transmettrait à votre retour.

    Amicalement, Dominique

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  23. Chère Christine,
    Analyse de l'épisode :

    La demoiselle tout en étant calmée par la tannée, passe une nuit quelque peu agitée, comprenant que la volonté maternelle de reprise en mains de ses filles (et surtout l'aînée) s'est accentuée et que celle-ci, ne changeras pas d'un yota, sur le reste de l'année quitte à user sa main sur les fesses, de celles-ci !
    Et Christinette en a la confirmation, de le lendemain matin ou Maman lui ordonne de se bouger sur un ton sans appel, alors que d'ordinaire le réveil est plus doux ! Néanmoins, Christine, malgré la froideur de celui-ci, préfère cela, à une mise en route maternelle chaleureuse qui n'aurait pas manqué d'évoquer la séance de la veille et lui rappeler que si ses fesses, avaient été à la noce sous sa main, celles-ci n'en portaient plus la trace.
    D'ailleurs, la curiosité pousse Christine à un touché tactile de sa lune, la dévoilant légèrement pour s'apercevoir que celle-ci a retrouvé son état originel ! Forte de ses expériences passées, Christinette frissonne bêtement à l'idée que Maman constatant la blancheur de ses fesses, ne veuille remettre le couvert, compte tenu de ses nouvelles intentions à l'égard de ses filles ! Pensée idiote et furtive, de la part d'une Christine, plus qu'inquiète par le changement maternel !!!!

    Etant tombée de son trône d'impunité, la demoiselle reprend son statut de Christinette, que Maman doit déculottée et copieusement fessée, pour la remettre dans le droit chemin, celle-ci ne comprenant que cela, comme toujours et si ce temps d'abstinence (miraculeux) avait estompé les échos à son propos, cette tannée méritée va occuper les esprits de la maisonnée Spaak !
    Car avec son aînée, Maman ne fait jamais dans la demi-mesure et Christine, a pu le vérifier une fois de plus ! Cette fessée est donc du pain béni pour Maman, lui permettant de maintenir l'ordre auprès des petiotes, en leur proposant de prendre la suite, de la grande sœur, si elles le souhaitent !!!!
    Ce qui ramène au calme, les soeurettes qui savent très bien que lorsque Maman a une paire de fesses, sous la main, elle ne fait pas semblant !!!!!!!!
    Pour, Christine, qui avait évité ce genre de situation depuis presque deux mois, la digestion de cette correction maternelle est plus difficile ! Celle-ci focalisant son esprit durant les jours suivants, malgré des efforts de concentration pour tenter d'estomper ce moment très douloureux, au cours duquel Maman se reprochait une clémence, bien trop longue envers une grande fille ayant 'oublié', ce qu'était une bonne fessée maternelle et qu'il convenait de lui rappeler !
    Christinette, ressent alors une détermination maternelle plus que délicate à son encontre et se dit que l'accalmie exceptionnelle dont-elle a bénéficié, ne se renouvellera pas ! Bien au contraire !!!!!

    Et je vous avoue, Chère Christine, que j'ai la même pensée !!! « Oh !! Quel méchant garçon !!! ».
    A suivre...

    Amicalement, Dominique

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  24. Coucou, Christine est revenue. Merci Dominique pour cette analyse dont le "à suivre" promet d'autres développements.
    Je débarque après une semaine québecoise très épuisante, mais fructueuse question travail. Et pas mal de choses à faire vite ces prochains jours. Ce qui sous-entend que je ne serai sûrement pas très disponible pour écrire, mais je me rattraperai, promis... Je ne voudrais pas risquer gros pour mon bas du dos, hi hi...
    En tout cas, je vais pouvoir au moins lire et valider régulièrement...

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  25. Chère Christine,

    Ravi de vous retrouver, Chère Conteuse et comme vous le savez, mes conditions de travail (5x8) me permettent de vous livrer mes commentaires à toutes heures, la suite sera donc transmise !
    Plaira t-elle à Christinette, cela est moins sur ! Mais comme le dit l'adage ou le proverbe, je sais plus ! « Qui sème la pluie, récolte la tempête !!! ».
    Et je pense que la mignonne et charmante Christinou (quand elle veux!), devra sous peu présenter la partie, là plus charnue de son anatomie à Maman, pour qu'elle y pratique un examen approfondi et sérieux de celle-ci, qui n'aura, bien sur pas les faveurs de la demoiselle ! Mais qui lui est nécessaire de temps à autres !
    Est ce que je me trompe, mademoiselle Christine ?

    Sinon, je constate qu'après plus d'une semaine d'absence, certes délicate à digérer, comme l'étaient les explications maternelles !!!! La Chère Conteuse annonce qu'elle sera partiellement indisponible et promets, comme elle savait le faire avec Maman, monts et merveilles !!!!!!!!!!!

    Permets-moi, non pardon !!!! Permettez-moi dans douter !!! La capacité à faire des promesses et ne pas les tenir, étant une marque de fabrique Christienne, n'est ce pas ????

    Allez, sur ces boutades ! Je vous souhaite bon courage et vous livre la suite de l'analyse, Chère Christine ! Mais rappelez vous que les taquineries Dominicaines demeurent en votre mémoire, au même titre que les bonnes déculottées de Maman, certes en moins douloureux !!!!!!!

    Amicalement, Dominique

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  26. Bonjour Christine,

    Merci pour votre absence et contente de votre retour ! Cela m'a permis de remettre en place, plus sereinement, les moments forts de ce souvenir, avant de vous l'adresser ! Imaginant que celui-ci, vous rappellera peut-être une situation similaire.

    Suite de l'été 1962 (2) :

    20 à 30 minutes plus tard (les employés commençaient à ranger le matériel), nous vîmes arriver nos mères avec un visage plutôt fermé, qui sans parler, nous firent un signe de l'index pour nous inviter à sortir de l'eau ! Celles-ci s'étant plantées, les bras croisés, devant nos affaires (sandales, shorts et serviettes) laissées par Mémé !
    Bénédicte étant encore la plus prompt à réagir, se dirigea vers elles et là, surprise, celle-ci fût happée par les aisselles des deux cotés et reçu une demi-douzaine de claques, sur chacune de ses fesses couvertes par le maillot de bain, en simultanée (Maman et Tata) la faisant crier et pleurer, avant de récupérer ses affaires !!!! Annie et moi voyant cela, notre démarche se fît plus lente jusqu'à nous bloquer à environ deux ou trois mètres de nos mères, nous regardant l'une et l'autre rougir, sentant dans notre dos, le regard de nos camarades de jeu !!! Ayant bien compris que nous allions avoir droit au même service que Béné, qui elle, n'avait pas eu le temps d'y penser!!! Sachant que nos chères Mamans ne faisaient pas de jalouses, dans ce genre de cas!!!!!!!!
    Et là, au lieu de fermer ma grande bouche et me résigner à l'inéluctable, je m'exclamais « Mais !!!On n'a rien fait de mal, juste des bisous, c'est tout, promis !!!  Donnant sans le vouloir à ma chère mère, l'occasion de dévoiler la raison de cet accueil musclé « Oh, mais ma chère petite ! Nous ne sommes pas là, pour vos histoires de flirt ! Même si ton regretté père, t'en aurait certainement collé une pour cela, ainsi que ton oncle à tes cousines, n'est ce pas Jeannine ! », « Tout à fait, Paulette !».
    « Non ! Si nous sommes là, c'est pour la désobéissance et l'irrespect dont vous avez fait preuve face à votre grand-mère ! Alors vous venez ici et très vite, car on a autre chose à faire !!! ».

    En effet, il était prévu que nous dînions tous à la maison, mon oncle qui travaillait en 5x8, étant de repos durant 3 jours consécutifs, Maman ayant également pris une journée de congés, pour faire un week-end prolongé, permettant un aller-retour au chalet pour préparer notre séjour du mois d'août, celui-ci n'étant qu'à 250 km de notre village, ce qui était une fête pour nous !
    Sauf qu'en cette veille de départ, la fête fût surtout concentrée sur nos fesses et notre pudeur, mis à mal, par nos chères Mamans.
    Annie et moi, étions tétanisées, incapables d'avancer ! C'est donc Maman qui fît la distance nous séparant, m'attrapant par le poignet pour me ramener vers Tata en ajoutant « T'es bien une fille de breton ! Aussi têtue qu'une mule !», me faisant alors lancer un « Noonn, noonnn, M'man, pas làaa, pas d'vant euuuux, j'ten suppliiiiie! » totalement inutile face à une mère décidée et la mort dans l'âme, bloquée comme Bénédicte, je me pris une demi-douzaine de claques sur chacune de mes fesses et beaucoup plus appuyées qu'elle, Maman motivant sa sœur à claquer plus fort.
    Annie subit le même sort, que moi, sa mère allant la chercher et les claques résonnèrent autant que les miennes !

    Il me faut vous dire que Bénédicte, était très menu et avait des fesses de petite fillette, tandis qu'Annie et moi, affichions des proportions plus épanouies, donnant l'occasion à nos chères Mamans d'exprimer tout leur talent de fesseuses ! Ce qui n'était pas un avantage pour nous, bien au contraire, celles-ci démontrant alors toutes les vertus d'une bonne déculottée, bien appliquée et qui faisait très mal, autant au corps qu'à l'âme !!!!!!!

    Valérie

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  27. A peine rentrée, et déjà Dominique et Valérie réagissent. J'en suis fort aise. Merci à tous les deux. Cette claquée en bord de piscine pour Valérie, et les développements de Dominique sont fort bien venus. Je vais guetter s'il y a des suites, tout en n'oubliant pas mes promesses, évidemment... Car, à force de tirer sur la corde, je suis bien consciente qu'en d'autres temps, j'aurais déjà eu un rendez-vous chaleureux, vous devinez où... et pour quoi... et comment... Non ?

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  28. Chère Christine,

    Ne vous inquiétez pas, jeune fille, des suites de vos fidèles lecteurs, je pense qu'il y en aura ! De ma part, c'est sur puisque j'ai mis un 'A suivre' ! Tant qu'à Valérie, j'imagine que la claquée vexante du bord de l'eau, pour les trois demoiselles, ne fût qu'une entrée en matière, avant le plat de résistance à la maison ! Comme j'en ai connu, ainsi que mes sœurs et cousines ! Et peut-être vous également, chère conteuse ?

    Sinon concernant vos promesses, il serait en effet de bon aloi, de les tenir ! En se rappelant que Maman, elle ! Savait tenir les siennes, lorsque Christine dépassait les bornes et demeurent de cuisants souvenirs, n'est ce pas, mademoiselle ?

    Amicalement, Dominique

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  29. Bonjour Christine,

    Suite de l'été 1962 (3) :

    Une fois cette accueil terminé, nous fûmes poussées dans le dos par ma Tante et Maman qui ajouta d'une voix forte « Allez oust, mesdemoiselles, en avant ! Ceci n'était qu'un aperçu de ce qui vous attend à la maison et cette fois, ce sera sans maillot de bains !!! Alors ! Pleurnicher autant que vous voulez, mais préparez vous surtout à une bonne déculottée !!! Croyez-moi, qu'on va bien les soigner vos petites fesses et là, vous aurez vraiment de quoi pleurer, soyez en sur !!!! ».

    Rouge de honte ! N'osant pas tourner la tête, nous prirent le chemin nous conduisant à la maison et vers une suite promise et annoncée à la cantonade, les gens encore présent et nos petits camarades, sachant donc que les trois demoiselles, marchant tête basse, allaient s'en prendre une sévère !!!
    Arrivés à la maison, ma Tante poussa mes cousines directement vers le salon et comme je traînais la patte, je me pris deux nouvelles claques sur les fesses pour avancer plus vite et une fois dans la pièce, nos mères installèrent deux chaises sur la même ligne, avec un espace d'un mètre environ pour y prendre place. Le décor était planté !!!

    Maman invitât alors Mémé, à expliquer ce qui s'était passé et celle-ci raconta tout, dans les moindres détails, chargeant ainsi le dossier d'Annie et surtout le mien, avec l'impertinence donc j'avais fait preuve à son égard, précisant avoir ressenti de la honte d'être ainsi prise pour une idiote par ses petites filles, devant tout le monde !
    C'est alors que Maman s'adressant à nous, demanda si tout cela était exact, ce à quoi nous ne pouvions répondre que par un « Oui, timide ! » à l'unisson !!! Déclenchant alors un scénario catastrophe dont nous allions faire les frais et se concertant du regard avec ma Tante, celle-ci nous le présenta sur un ton calme, mais empli d'une volonté de nous punir sévèrement et nous faire regretter notre attitude, de vilaines petites gamines !
    « Très bien, les filles, comme vous avez fait du mal à notre mère ! Ma sœur et moi, sommes donc toutes les deux concernées et vraiment contrariées, vis à vis d'elle, à cause de votre comportement de petites pestes ! Alors en toute logique, ce n'est pas une punition que vous méritez, mais deux !!!! Une par Maman et une par votre Tante, ce à quoi nous allons nous employer ! D'ailleurs vous avez pu voir qu'à la plage l'accueil était commun !!!! ».
    Mortes de trouille, face à cette terrible annonce, nous versions de grosses larmes ! Malgré tout mon allant naturel me poussa à dire « Mais, M'mannn, j'peux t'expliquer, tu sais !!! » me positionnant tel une chef de bande ! Ce qui sur le fond était encore plus bête, vu le fardeau qui pesait déjà au-dessus ma tête (enfin plutôt au-dessus, de mes fesses) et Maman me le fît savoir « Tais toi, Valérie !!! Je ne veux plus rien entendre de ta part, sauf qu'en tu sera sur nos genoux ! Car croyez-moi, que cette déculottée, va rester gravée au fond de vos mémoires, je vous le garantis!!!!!! », ce qui me glaça le sang, ainsi que celui de mes cousines, certainement !!!
    Et là, Maman s'adressa à ma Tante « Dis-moi Jeannine ? Comme on a autre chose à faire, je crois qu'il est inutile de perdre du temps, en les envoyant se changer ! Il nous suffit de tirer leurs maillot de bains vers le bas, qu'en penses tu ? », avec en réponse un « Je suis bien d'accord avec toi, Paulette, ce sera plus simple et puis de toute façon, elles doivent le retirer ce maillot ! Alors autant le faire nous même, ce sera plus rapide et puis comme elles ont fait honte, à Maman ! A leurs tours d'avoir honte, ce n'est que justice ! »
    Autant vous dire que nous étions sous le choc !!! Car si être déculottée était déjà très difficile à supporter ! Là, nos chères Mamans, allaient nous mettre entièrement nues, pour exécuter leur tâche!!! Horrible !!!!!! Rien que d'y repenser !!!!! Et c'est pourtant ce qui arriva, avec un plus, initié par ma mère !!!


    Valérie

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  30. Dominique avait deviné : Valérie n'en était pas au bout de ses peines, et la suite à la maison s'imposait. J'avoue que je trouve sa mère et sa tante bien sévères. J'en arrive à me dire que j'étais une privilégiée par rapport à elle. Mes fessées étaient la plupart du temps moins démonstratives que les siennes. Cela me consolerait presque de penser que finalement je n'étais pas si mal sur les genoux maternels, la plupart du temps à l'abri d'autres regards et que cela aurait pu être, à l'instar de Valérie, pire encore...
    Mais, ce n'est pas une raison pour moi d'en profiter outre mesure... Si je ne veux pas que Maman Spaak soit mise au courant de la lenteur rédactionnelle de son ainée... Sinon... Sinon... dois-je vous faire un dessin ?

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  31. Bonjour Christine,

    Merci pour le soutien, Christine et en effet Dominique avait parfaitement deviné que la réception tonitruante sur la plage, n'était qu'une entrée en matière.
    Concernant la sévérité de nos mères, il me faut vous préciser que celle-ci était pour le moins justifiée, car avec notre entrée au collège, nos caractères s'affirmèrent et pas dans le bon sens !!! Les gentilles fillettes un peu turbulentes d'avant, se transformant avec le temps en véritables chipies qu'il fallait contenir et surveiller au plus près, sans concession !!!!
    Ce pourquoi nos fesses furent fréquemment, dévoilées et rougies par des mains féminines, Maman ou Tata, le plus souvent ! Mais aussi en de rares occasions sous la battoir de mon oncle et là je peux vous dire que la ou les demoiselles concernées, dansaient alors la carmagnole et ne souriaient pas du tout à l'idée de passer sur ses genoux !!! Cela m'est arrivée plusieurs fois, moins souvent bien sur que mes cousines, mais je m'en rappelle fort bien, ainsi que mes fesses !!!!!!!!!

    Valérie

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  32. Chère Christine,

    Que vous puissiez, ressentir un sentiment de privilège par rapport à Valérie, puisque vos fessées étaient plutôt du genre privées (sauf certaines) entre une Maman et sa fille, je vous le concède!!!Mais, il me semble que celles-ci n'étaient tout de même pas, des promenades de santé !!!

    Et pour avoir connu, comme Valérie, de très belles dérouillées publiques, ainsi que mes sœurs ou cousines !!! Je n'ai pas le sentiment (avec le recul) que nos parents étaient si sévères, que cela !! Même si leurs corrections faisaient mal, bien sur et nous donnaient de quoi pleurer, crier et supplier !!!
    Ce n'était, à mon sens, que la juste récompense de nos bêtises ou nos écarts et ceci pour notre bien ! Même si sur le moment, c'était difficile à vivre

    Voilà la pensée, de l'ancien officier de Marine qui est reconnaissant envers ses parents de l'avoir élevé, dans la droiture, même si pour cela quelques sévères raclées ont été nécessaires !!!

    En dehors de cela, je pense en effet qu'il serait bien venu de la part de Christine, de se bouger un peu plus le popotin, car sinon j'en connaît une qui pourrait bien lui secouer d'une autre manière et pour laquelle, ni vous, ni moi n'avons besoin d'un dessin !

    Amicalement, Dominique

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  33. Bonjour Christine,

    Suite de l'été 1962 (4)

    Ma Tante reprenant la parole dit alors à sa sœur « Paulette ! Nous devons les punir ! Cà c'est sur ! Elles le méritent toutes les trois ! Mais en y réfléchissant, si elles ont commun la désobéissance vis à vis de leur grand-mère ! L'une d'elles la simplement fait, parce qu'elle est soumise à une sœur dominante, qui elle avait décidé de désobéir ! Et la troisième, en plus d'être désobéissante, sait permis d'être insolente, vis à vis de Maman, lui faisant honte, devant tout le monde ! Par conséquent, je crois que notre sévérité doit être juste envers chacune ! Ais je tort, de penser ainsi ? ».
    Ce qui entraîna une réponse immédiate de Maman, de très mauvaise augure pour Annie et moi!!! « Oh, que non ! Ma petite Jeannine, je pense la même chose que toi et j'en connaît deux à qui, il va falloir rappeler que leur grand-mère, n'est pas une copine !!!! ».

    De son index, Tata invitât alors une Bénédicte en pleurs à s'approcher, une fois devant elle, ma Tante attrapa les bretelles du maillot, pour en sortir les bras qu'elle lui demanda de mettre sur la tête, puis elle fît descendre ce dernier facilement (Béné étant très menu) jusqu'aux chevilles et ô surprise, lui retira complètement son maillot, ma cousine était alors nu comme un ver !
    C'est à ce moment que Maman intervint, tandis que ma Tante s'apprêtait à basculer sa fille au travers de ses cuisses ! « Attends une minute Jeannine ! Avant de commencer ! Tu ne penses pas qu'il serait normal de ne faire aucune différence entre elles et qu'elles soient toutes les trois, dans la même tenue ? ».
    « C'est vrai, Paulette, tu as raison ! » répondis ma Tante en repoussant sur le coté Bénédicte et faisant signe à Annie de venir vers elle, ma chère Maman en faisant de même avec moi !
    J'étais désemparée à l'idée de me retrouver ainsi toute nue, à attendre une punition que je méritais, bien sur, mais dans ces conditions !!! Mon dieu ! C'était horrible ! D'autant que j'avais le plus lourd passif que Tata et Maman allaient se charger de régler, sans compromis et cela me filait une trouille énorme !
    Je pense qu'Annie n'était pas mieux, que moi ! Dans l'angoisse de se retrouver toute nue comme sa sœur, pour assister à sa punition, avant la sienne ! Nos chères mères procédèrent de la même façon que pour Bénédicte, avec en prime deux grandes claques sur le coté de nos cuisses, car en réflexe de pudeur nous avions tous les deux mis un bras, sur notre poitrine et une main devant notre jardin secret, accompagné par Maman d'un « Inutile de vous cacher, les filles, nous savons très bien comment vous êtes faites, alors mains sur la tête et si vous avez honte, tant mieux ! Cela vous fera peut-être réfléchir !!! ».
    N'ayant plus que nos sandales, nos mères nous firent reculer à notre place, pour attendre chacune son tour ! Je ressentais alors une terrible gêne, d'exposer ainsi mon corps nu et en pleine évolution aux regards, même si cela restait en famille et entre femmes, si je puis dire !!!!! J'imagine qu'il en était de même pour mes cousines !!!!!
    Ma Tante fît alors passer Bénédicte à sa droite, pour la faire basculer comme un paquet de chiffons au travers de ses cuisses, malgré ses suppliques et la ceinturant de son bras gauche, elle déversa une grêle de claques assourdissantes, sur les pauvres petites fesses de sa fille qui s'égosilla très vite, tout en agitant les bras, les jambes et la tête, dans tous les sens ! La dégelée fût très forte et longue, comme en témoignait le fessier de ma cousine, que ma Tante avait arrosé sur toute sa surface et sans faire de pause !!! Puis s'arrêtant d'un coup ! Elle garda une Bénédicte haletante et pleurante comme une fontaine sur ses genoux, quelques instants, avant de la remettre sur pieds et l'envoyer vers sa Tante, en ajoutant « Allez ma chérie ! Je laisse à Tata le soin de décider, si ta punition est suffisante ou non !!! ».

    Valérie

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  34. A voir ce que Bénédicte subit la première, j'imagine qu'Annie et Valérie doivent ressentir une sacrée trouille, en sachant bien que ce qu'a reçu Béné n'est logiquement qu'un hors d'oeuvre par rapport au plat de résistance qui attend les fesses de deux autres...
    Cela me fait penser à ce que je ressentais quand, dans ma période de long sursis, je me prenais à écouter attentivement ce qui arrivait à Aline, comprenant pleinement les moindres détails de sa fessée, et ressentant une sorte de honte en me disant qu'à l'inverse mes soeurettes devaient ne rien louper de mes tannées.
    Et si Maman se faisait démonstrative et insistait sur la lune d'Aline, je trouvais la fessée bien longue, et commençais déjà à ressentir une peur anticipatrice, en me disant : ouille, ouille, ouille, ma soeur pleure et crie... Je ne voudrais pas être à sa place, surtout que cela serait sûrement plus sévère encore...
    Cela dit, que Dominique se rassure : je n'oublie pas mes promesses... Mais, dirais-je, en jouant les (fausses) innocentes, dites-moi donc à quoi ressemblerait le dessin auquel vous faites allusion... Je ne vois vraiment pas...

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  35. Bonjour Christine,

    C'est vrai, Christine, comme vous le dites si bien ! Annie et moi étions envahie par une trouille anticipatrice en assistant, malgré nous, à la volée de Bénédicte !!!! Et nos yeux évacuaient déjà de grosses larmes, par compassion pour Béné et aussi par cette peur, qui nous nouaient les tripes !!!!

    Aussi étonnant que cela puisse paraître, nous n'arrivions pas à détacher notre regard, du tourment que subissait Béné !!!! Imaginant, en effet, que lorsque notre tour viendrait, le service de nos chères Mamans serait bien plus généreux que pour elle !!!!!
    Et que si celle-ci criait et pleurait déjà fort, nos expressions à Annie et moi seraient encore plus intenses !!!!!!!!

    Ce qui n'avait rien de rassurant, pour toutes les deux et j'étais comme hypnotisée, en voyant la couleur des fesses de ma petite cousine, une fois remise sur pieds !!!! Me projetant sur celle qu'aurait les miennes, après être passée, entre les mains de Maman et Tata, vu le contentieux que je traînais !!! Et je pense qu'Annie devait ressentir la même chose, que moi !!!!!

    Je vous adresse donc la suite, qui confirmera votre intuition.

    Valérie

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  36. Bonjour Christine,

    Suite de l'été 1962 (5)

    Bien entendu ma petite cousine (je dis petite, car elle était vraiment menu) qui n'en souhaitais pas davantage, ses fesses étant déjà bien écarlates, du fait que sa mère lui avait servi une très copieuse dégelée, ininterrompue ! Implora alors Maman, tout en versant de grosses larmes, promettant de ne plus écouter sa sœur et obéir, à sa grand-mère !

    Maman la laissa debout, face à elle, en lui tenant le poignet et se lança alors dans une leçon de morale, rappelant sa faute et le coté inadmissible de celle-ci, ponctuant le discours par quelques claques supplémentaires, qui faisaient réagir Bénédicte ! Maman n'y allant pas de main morte !

    Puis celle-ci se levant de sa chaise conclut son monologue, en courbant sa nièce sous son bras, pour lui administrer une bonne quinzaine de claques retentissantes et rapides, la faisant hurler de douleur, avant de la renvoyer à coté de nous, les mains toujours sur la tête !!!!

    Annie et moi, étions mortes de trouille ! Car si Bénédicte, qui dansait d'un pied sur l'autre, venait de s'en prendre une belle ! Nous ne pouvions envisager, que le même traitement, voir même plus sévère, compte tenu de nos dossiers respectifs !!!!!

    C'est d'ailleurs, ce qui allait se produire, en commençant par Annie ! Le clou du spectacle ! Comme on dit, mettant réservé !!!!!

    Valérie

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  37. Bonjour Christine,

    Suite de l'été 1962 (6)

    Ma Tante fît signe à Annie d'approcher, mais celle-ci déjà en gros sanglots du fait de la peur qui l'envahissait, de recevoir une sévère dérouillée, était incapable de bouger ! Sa mère lui dit alors « Annie ! Si je dois venir te chercher ! Crois-moi que la bonne fessée que tu mérite, va tourner au cauchemar pour ta petite personne et là tu auras, vraiment de quoi pleurer, fais-nous confiance !!!! Alors je te donne, trois secondes pour venir ici !!! Je compte, Unnn, Deuxxx, ettt Trois !!! Allez, ça suffit Annie ! On va pas y passer la soirée, tant pis pour toi !!!!!!».

    Ma cousine totalement tétanisée venait de se concocter le même programme que le mien, alors qu'elle était moins fautive que moi et j'allais donc pouvoir évaluer, en direct, à ce qui m'était promis !!!! En terme d'attente angoissante, on fait pas mieux !!!!!!!

    Ma Tante fondît alors sur sa fille, la courbant comme sa sœur, sous son bras et lui asséna une série de claques terribles !!! Combien en reçu t-elle !!!! Je ne sais plus !!! Mais ma cousine criait à tue-tête !!! Et je revois simplement la main de Tata, monter très haut, au dessus de sa tête et claquer à tour de bras, dans un bruit assourdissant, des fesses plus pleines que celles de Bénédicte, sans aucun ménagement !!!!

    Tata qui n'avait prononcé aucun mot, durant cette claquée assez courte, mais très forte ! Tira Annie par l'oreille, toujours courbée jusqu'à sa chaise, disant « Viens donc par ici, ma fille ! Je serais plus à mon aise, pour m'occuper de toi !!!! ». Ma cousine qui hoquetait, affichait déjà une teinte fessière, bien différente de l'origine et elle n'était pas encore, au bout de ses peines !!!!!!

    Valérie

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  38. Valérie poursuit son récit et l'on imagine bien qu'elle devait vivre la scène avec effroi. Assister à deux fessées consécutives en sachant qu'après ce sera son tour, voilà qui doit être un cauchemar éveillé.
    Sachant qu'elle en prendra au minimum autant, elle ne peut qu'espérer que la fessée d'Annie ne soit pas trop longue. Mais, paradoxalement, plus elle finira tôt et plus vite Valérie se retrouvera fessée à son tour. Voilà bien une situation cornélienne...

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  39. Chère Christine,

    Oh mais c'est simple, Chère Conteuse ! Pour connaître le dessin auquel je pense, ainsi que vous ! Il vous suffit pour cela de consulter, l'un de vos épisodes dont je vous donne la référence (Comment la fessée fait mal – 21/09/2010, deuxième illustration) et qui traduit parfaitement le fond de nos pensées respectives !

    Bien entendu, revoir cette image va faire trembler et chagriner la Christinette ! D'autant qu'elle transpose une situation bien précise que la demoiselle a très souvent connu et que la grande Christine, nous conte aujourd'hui, avec beaucoup de finesse et pour notre plus grand plaisir !!!!!!!
    Même si pour elle, en les vivants, cela n'avait rien de plaisant !!!!!!!!!!

    Désolé, ma Christinou ! Mais ton grand clone m'a tendu une perche, aussi grosse que le nez au milieu de la figure, que je pouvais laisser sans réponse !!!!!!


    Amicalement, Dominique

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  40. Bonjour Christine,

    En effet, Christine, ce à quoi j'assistais était effroyable pour moi, sachant qu'après Annie, ce serait mon tour et le cauchemar éveillé, que vous évoquez, était bien présent à mon esprit !!!!
    D'autant qu'étant la plus fautive des trois et n'ayant donc, aucune illusion sur mon sort, la situation était effectivement cornélienne, comme vous le supposez très justement !
    Mais la suite pour Annie, allait rapidement m'ôter tout paradoxe, au profit d'une trouille bleue immense, me faisant trembler de la tête, aux pieds !!!!! Ma destinée ne pouvant être qu'identique, voir même pire et ce fût le cas !!!!!!!!

    Valérie

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  41. Dominique montre une érudition "christinienne" qui m'épate. Je ne me rappelais même plus de cette illustration qui montre les phases de ce que je craignais à l'époque, et que je joue à feindre de craindre en imaginant que Maman Spaak apprenne la fainéantise manifeste de son ainée... Bien vu, c'est effectivement cela exactement, et en version "grande soeur" et pas fillette évidemment. Surtout que depuis, la surface n'a pas diminué, hi hi...
    Mais, comme il n'y a guère de chance que Dominique rencontre Maman Spaak, Christine peut continuer à n'en faire qu'à sa tête, hi hi...

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  42. Chère Christine,

    Certes, Christine, il est peut probable que je rencontre Maman Spaak, ce qui est bien dommage ! Car je pense qu'il lui serait fort aise d'apprendre, que sa fille se la coule douce et se repose sur ses fidèles commentateurs !!!! Et n'aurait pas manqué de rappeler à celle-ci, ses devoirs, d'une façon identique à l'illustration citée !
    Et pour répondre à votre facétie, au sujet de votre fessier dont l'amplitude n'a pas changé, j'avoue que remplacer Maman Spaak, me conviendrait parfaitement ! Hi, hi
    Sinon je vous remercie du compliment sur mon érudition « Christinienne », qui n'est que le reflet de mon intérêt pour votre blog.

    Amicalement, Dominique

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  43. Même pas peur, Christine, hi hi...
    Et pour continuer dans la facétie, je n'ai pas dit que la lune n'avait pas changé d'amplitude, mais qu'elle n'avait pas diminué... Une manière de suggérer, ce qui est vrai, que mes rondeurs jumelles (sans être grosses) sont évidemment plus développées qu'à 12 ou 14 ans, où elles semblaient déjà grandes par rapport à celles des petites soeurs. Mais, arrivées à taille adulte, sûr qu'elles donneraient encore plus de travail à Maman Spaak si il lui venait l'idée de s'occuper à nouveau du bas du dos de son ainée.... Ce qui, ma foi, parfois, de temps à autre, serait presque euh, mérité, hi hi...
    Mais, pas question, bien sûr qu'elle soit remplacée par Dominique, qui peut juste imaginer surprendre la scène par un trou de serrure par ailleurs bien fermé... Si cela vous amuse, d'ailleurs, Dominique, imaginez donc la scène...

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  44. Chère Christine,

    Imaginé la scène, ne m'est pas très difficile et cela pourrait, en effet, m'amuser !!! L'ennui est que Christine ne pourrait que supposer, le vilain espionnage de Dominique et qui sait peut-être accompagné par les soeurettes !!!!!! Hi,hi !!!

    Sinon concernant vos rondeurs jumelles ! J'avais bien saisi, que celles-ci n'avaient fait que se développer avec l'âge, sans devenir proéminentes et qu'à l'époque celles-ci étaient, tout de même plus épanouies, que celles des petites sœurs ! Sur lesquelles Maman pouvait exprimer tout son talent de fesseuse, mais lui demandait déjà plus d'efforts !

    C'est pourquoi, je suis prêt à remplacer Maman Spaak, pour lui épargner cette tâche plus délicate aujourd'hui, puisque son aînée qui a bien grandi ! Ose timidement reconnaître, qu'une bonne discussion à la matière maternelle, ne serait pas immérité, en certaines occasions et lui ferait du bien ! Hi, hi.....

    Qu'en pensez vous ? Chère Conteuse ? Hi, hi.....

    Amicalement, Dominique

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  45. Cher Dominique, vous comprendrez aisément que ma pudeur naturelle et le fait que vous ne soyez plus un petit garnement mais devenu homme, fassent que je ne puisse même pas "imaginer" que vous preniez la place de Maman Spaak. Même si j'apprécie que vous vous proposiez spontanément pour accomplir cette tâche ingrate en soulageant ma chère mère (hi hi).
    Contentez vous donc d'imaginer (et je le lirais d'ailleurs avec délice et honte mêlées) la scène, vue d'un trou de serrure ou d'un petit fenestron où mes soeurettes aussi pourraient avoir pris place, surprenant cette discussion entre Maman et son ainée conclue par la décision de "rafraichir" la mémoire de sa fille (tout en lui "réchauffant" les fesses) sur ce qu'entraine un excès de fainéantise. Ceci en partant du principe qu'on est mère toute sa vie durant, et qu'il est de son devoir, parfois, d'agir, surtout si l'on se souvient qu'en un temps pas si lointain, une méthode et une seule fonctionnait à merveille... Vous voyez ce que je veux dire...

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  46. Chère Christine,

    Chère conteuse, comme vous l'avez compris, ce n'était qu'un trait d'humour du petit garnement Dominicain! Ne m'imaginant pas corriger une grande et belle dame intelligente, épanouie !
    Même si de temps à autre, elle le mériterait !!!!!

    Et pour compléter le sujet, sur le fait que l'on est toujours père ou mère toute sa vie, ma fille dont je viens de fêter les 30 ans, dans la joie et la bonne humeur ! Discutant de tout et de rien, notamment sur l'éducation des enfants, celle-ci évoqua en famille, la dernière rouste de son cher Papa, pour avoir manqué de respect à sa Maman, alors qu'elle avait un peu de 20 ans et fraîchement diplômée d'une licence de gestion, donc pas trop idiote !
    N'acceptant pas cela, je l'avais rejoins dans sa chambre ou elle s'était s'éclipsée, pour lui coller malgré son âge, une bonne déculottée !!!
    Celle-ci avouant après 10 ans, à l'assistance en rosissant, qu'elle s'y attendait ! En précisant d'ailleurs qu'un manque de réaction, de notre part (Maman ou Papa) l'aurait davantage perturbé psychologiquement, que la douloureuse fessée de Papa !
    Car si vexante fût-elle, à son âge ! Cette punition était amplement méritée, pour s'être comportée comme une gamine énervée et l'avait bien calmé, même si c'était difficile à vivre sur l'instant !!!!!

    Ceci pour vous dire que je considère, les vertus de la fessée, aussi impénétrables que celles du seigneur ! Cela n'engage que moi, bien entendu !

    Et, j'accepte l'invitation que vous m'adressez, pour la rédaction d'un synopsis d'espionnage Dominicain, comme je l'avais déjà fait pour un recadrage de la demoiselle, en fin de vacances !!!

    Amicalement, Dominique

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  47. Merci d'avance Dominique. Je ne doute pas de ce que vous (et mes soeurs) pourriez voir en douce de la scène où Maman Spaak voudrait rappeler à son ainée que ne pas tenir ses promesses est inadmissible, et que cela mérite un retour concret à la seule bonne vieille méthode qui fonctionnait avec sa grande fille, serait cocasse à raconter... Je compte sur vous. Et, rien que d'y penser, je me dis qu'il faudrait que j'avance de mon côté mon récit... On ne sait jamais en effet ce qui peut arriver, hi hi...

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  48. Bonjour, Christine,

    Suite de l'été 1962 (7)

    Arrivé à sa chaise, ma Tante s'y assit et jeta littéralement sur ses cuisses, ma pauvre cousine qui se repentait comme une petite fille, appelant à corps et à cris, la clémence de sa mère, sans aucun résultat ! Celle-ci ajoutant même « C'est trop tard, ma chérie, fallait réfléchir avant ! Maintenant, on règles les comptes et crois-moi que ton addition, va être plutôt salée !!!!!
    Et elle le fût !!!! Ne rassurant pas du tout, mademoiselle Valérie, qui attendait son tour dans l'angoisse et la peur !!!!

    En bonne position, bloquée par le bras gauche de Tata ! Annie se prît alors une pluie battante de claques, sur le centre de son fessier (partie la plus charnue) et bien plus fortes que Béné !!!!
    Ses cris accompagnant chaque volée, en témoignaient et cela dura, encore et encore !!!
    Ma Tante observant même une pause pour reposer son bras et repartir de plus belle !!!!! La cousine Annie était comme un linge propre, que l'on secoue, pour en délier les fibres !!!!!!
    Le gras de ses fesses avait une couleur de tomates prêtes à être pelées et je n'avais aucune peine à imaginer la douleur qu'elle pouvait ressentir, ses cris et ses larmes l'exprimaient largement !!!
    C'était horrible, pour moi ! Contrainte de rester à ma place, sans pouvoir aider ma pauvre cousine en souffrance!!!!

    Tout en sachant qu'après elle, mon tour viendrait et que celui-ci, serait du même acabit !!!! Je tremblais comme une feuille, mes yeux laissant s'échapper un filet continu de larmes, que je ne pouvais contenir, tellement la peur me nouait l'estomac !!! Me voyant déjà allongé au travers des cuisses de Maman, à recevoir cette claquée identique, méritée, certes !!! Mais ô combien douloureuse et difficile à supporter ! Et à laquelle, il m'était impossible d'échapper !!!!!!!!

    Tata stoppant le mouvement de son bras ! Annie émis encore quelques cris, en pleurant toujours abondamment ! Et qui tout en gardant sa position, relâcha la tension de son corps, pour reprendre quelques bouffées d'oxygène !!!

    C'est à ce moment, que sa mère, la remis sur pieds et la tenant par le bras, la conduisit vers sa Tante !!!! Et là, la couchant littéralement sur les cuisses, de Maman, ajouta « Allez, ma grande sœur ! Montre lui donc, comment Maman savait bien nous rougir les fesses et les transformer en brasier, elle le mérite et cela la fera peut-être grandir !!! Après je la reprendrait pour le final !!!!! »

    Ma cousine hurla « Nooonnnn ! M'maaannn !!! Tataaaaa !!! Stoopppp ! Pitiééééé !!! » obtenant une réponse de Maman, qui me glaçât le sang « Désolé, ma nièce chérie ! Mais c'est Maman qui décides, alors je vais donc faire, ce qu'elle me demande et j'avoue que je suis bien d'accord avec elle !!! Car chacune de vous, avez mérité une bonne correction, vis à vis de votre trop gentille grand-mère, pour apprendre à la respecter !!!! En fonction de l'importance de vos fautes, bien sur!!!!! ».
    J'étais abasourdie, car en entendant cela de la bouche de Maman ! Je pouvais le transformer par un « Toi ma fille ! Crois-moi que tu vas t'en prendre une sévère, de chez sévère et qu'entre ta Tante et moi, tu vas vraiment pouvoir déguster, ce qu'est une bonne raclée !!!!!!!!! ».

    Je vous laisse imaginer dans quel état j'étais !!!!! Et à quoi, je devais me préparer !!!!!!!!


    Valérie

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  49. Chère Christine,

    Toujours aussi gourmande de bonnes choses, la demoiselle ! A l'inverse de ce que lui réservait Maman, au reçu d'une colle ou punition scolaire, d'une mauvaise note ou d'une bêtise du style (feutre écrasé dans la poche du short et dissimulé dans la panière à linge, provoquant un désastre : 'Le beau temps ne dure pas éternellement' - Juillet 2011).

    Oui je sais ! Vous allez dire que l'érudit sur le sujet Christinien étale son savoir ! Mais ça c'est comme la confiture 'Moins on n'en a ! Et plus on.....' ! Que je vous laisse poursuivre pour éviter la redite !! Hi, hi, comme c'est amusant de rire aux dépens des autres !!! Pffff …...Vilain moqueur !

    En dehors de ces boutades, je vais vous transmettre la fin de mon analyse et préparer mon synopsis, si aimablement réclamé, par la charmante conteuse, toute de même un peu fainéante sur les bords !!!!!!!

    Amicalement, Dominique

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  50. Analyse de l'épisode, suite et fin :

    L'attitude maternelle au sujet de ce retard d'intervention sur les fesses de sa fille, fait alors cogiter une Christinette qui repense aux fluctuations de ces dernières années, concernant ses tempêtes fessières ou la variation de celles-ci alternait, entre temps modérés (une à deux fessées par mois) et temps forts (une à deux fessées par semaine, voir deux, dans la même journée)....

    Ce constat n'apaise en rien l'esprit d'une Christine qui vient de tomber du trône d'impunité, qu'elle occupait, grâce aux petites sœurs!!!! Et ressent que le changement maternel n'est pas de bonne augure pour elle, Maman surveillant les moindres faits et gestes de sa grande fille !
    La remise du carnet scolaire mensuel, 4 jours après cette tannée mémorable, n'arrange pas ses pensées, d'autant que celui-ci sans être mauvais, confirme néanmoins un certain relâchement dans l'effort, de la demoiselle, alors qu'elle est redoublante et n'est donc pas au niveau souhaité par Maman !!!!!

    Christinette se dirige alors vers le domicile, à la vitesse d'un escargot, imaginant déjà que ce carnet en légère régression, va de nouveau la conduire sur les genoux maternels, quatre jours après la volée magistrale, pour ce 8,5 en français. D'ailleurs Maman, en pleine discussion avec les frangines et leurs carnets, accueil son aînée plutôt froidement, sentant bien que celle-ci n'est pas tranquille et compte tenu de son inertie, va chercher la réponse directement dans son cartable.
    Consultant le carnet, Maman constate que les résultats ne sont pas du niveau d'une redoublante, revoyant le même programme ! Même s'il ne comporte pas de catastrophe, mis à part les commentaires réalistes de certains professeurs, sur le manque d'effort !!!!
    Ce qui fait bondir celle-ci, rappelant à Christine ce qu'elle lui a promis, laquelle répond par un « Oui, Maman, oui » spontané, pas vraiment dans ses habitudes !!! Sans bien sur prononcé le mot fatidique, mais persuadée que son compte est bon, n'ayant pour seul désir que s'éclipser aux regards des frangines et surtout éviter que Maman, ne la déculotte immédiatement sous leurs yeux, ce qu'elle pouvait faire !!!!!

    Cette réponse de Christine surprend Maman qui fait alors un geste bien connu de la demoiselle, qui s'attend à être renvoyée dans ses quartiers, pour préparer ses fesses !!!!! Mais Grosse surprise pour la jeune fille !!! Maman se contentant d'un sermon préventif, empli de menaces pour l'avenir et une surveillance renforcée avec à la clé, en cas de dérapage, de bonnes fessées !!!!!!!!

    Christine n'en crois pas ses oreilles et flotte sur la nébuleuse !!! Ô bien sur, Maman vient de lui promettre de futures déculottées, alors qu'elle se voyait déjà, passer à la casserole ce soir !!! Tout en se disant, après réflexion, que les promesses maternelles seront rapidement mises, à exécution !!! Même pour des petits riens et qu'en cas de gros dérapages, ce sera la grande scène exceptionnelle !!!

    Donnant de quoi faire frissonner, une Christinette, en simple sursis !!!!!

    Amicalement, Dominique

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  51. Pendant que Valérie poursuit son récit, attendant toujours d'y passer elle-même, Dominique me taquine, mais gentiment, donc je n'y trouve rien à redire, surtout qu'il n'a pas tort sur bien des points, et que Maman s'en serait sûrement mêlée déjà, si elle savait, hi hi...
    Bonne suite d'analyse également, qui sent bien comment le sentiment d'être en sursis fait travailler l'imagination et entretient une peur que l'on accompagne d'images et de sensations qui tournent en boucle dans notre tête...

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  52. Chère Christine,

    Ne reprenant le travail que mercredi prochain, je peux donc me consacrer à votre blog et rebondir tant sur vos écrits, ainsi que ceux de Mamie Valérie, ce que je vais faire !!!!!

    Christine :
    Bien sur que je vous taquine, mais avec tendresse ! A l'inverse de ce que pourrait faire Maman Spaak à l'encontre de sa fille, si elle avait connaissance des points que j'ai soulevé, hi hi......

    Tant qu'à l'analyse, ce n'était pas trop difficile, dans la mesure ou chaque mot ou paragraphes du récit retranscrivent, l'angoisse, la peur et l'inquiétude !!! Ce sursis accordé, faisant travailler l'imaginaire d'une Christine, revivant donc tous ces instants passés, chargés d'émotions !!! Et même si elle n'en est pas à sa première occurrence, redoute déjà la prochaine, qui ne saurait tarder !!!

    Mamie Valérie :
    Ayant vécu ce genre de situation ou l'on ne peux qu'attendre son tour, assistant malgré soit, à la correction des autres !!! En sachant qu'on en recevra autant, voir même plus, ce qui m'est arrivé !!!

    Pour avoir entraîné ma plus jeune cousine ou l'un de mes cousins de Paris, dans des bêtises, dont j'étais l'instigateur (tel l'espionnage avec Eric, par le trou de la serrure, de jolies filles se déshabillant) et nous ayant valu à tous les deux, une bonne déculottée de nos Tantes, avec un plus pour moi passant sous la main très sèche et tout en os, de ma chère Tata, qui faisait très, très mal!!!Et qui me considérant comme responsable, ce en quoi elle n'avait pas tort, en rajouta une couche !!!

    Dés lors je comprends donc parfaitement, ce que vous pouviez ressentir Valérie !!! En voyant vos cousines souffrir sous les mains de Maman et Tata, avant d'y passer vous-même, sachant que votre sort serait encore pire, que le leurs !!!!!!!!

    Voilà, ma chère Christine, ce que j'avais à dire et maintenant, je me replonge sur mon synopsis qui à n'en pas douter, vous plaira, même s'il s'agit d'un roman feuilleton improvisé. Amitiés !!!

    Amicalement, Dominique

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  53. Dominique ayant du temps, j'en suis ravie, puisque cela annonce des contributions nouvelles et des rebondissements, en espérant qu'ils ne "rebondissent" pas trop à l'encontre d'une certaine partie de mon anatomie que Maman connaissait particulièrement bien...
    Mais, je commence à craindre le roman feuilleton improvisé qu'il se promet d'écrire, en tenant comme Maman ses promesses. Je redoute fort le synopsis en question, surtout s'il est le point de "vue" d'un témoin secret d'une scène qui me ramènerait à un rôle que je craignais de tenir du temps de Christinette, et qui serait d'autant plus perturbant, à l'âge de Christine...

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  54. Chère Christine,

    Ma chère conteuse, concernant mon synopsis, vous verrez bien !!!! Mais je suis à peu près persuadé que celui-ci replongera la Christine d'aujourd'hui, à l'époque de la Christinette qu'elle était, lorsque Maman avec quelques reproches à son encontre !!!!!
    Tant qu'à la partie anatomique, dont votre mère connaissait tous les contours, vous et moi savons ou elle se situe, tout comme Mamie Valérie !!!!!!

    Amitiés

    Amicalement, Dominique

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  55. Je me doutais bien que Dominique saisirait la perche tendue pour imaginer cette situation que Christine ne peut que trouver sotte, saugrenue, impossible, et incroyable, d'une "replongée" à l'époque de Christinette. Je crains le pire. Il ne manquerait plus que mes soeurs ne soient au courant et y assistent... Pff, pff, je ne veux même pas y penser, pff...
    Et puis, inutile de donner une leçon d'anatomie en faisant croire que vous "savez" de quelle partie je parlais... Même si c'était vrai, je vous saurais gré de rester discret et de ne pas insister...

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  56. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain et comme on dit, toute ressemblance avec une situation, des personnes existantes ou ayant existé, serait totalement fortuites !

    Contexte :
    Sortant de l'école des officiers mariniers (maistrance), à l'âge de 25 ans, très fier de mon grade obtenu (Maître principal), m'ouvrant une carrière prometteuse et riche, après déjà 10 années dédiées à l'armée (école des mousses, fusiliers marins, puis commandos marines), qui m'avait éloigné du cocon familial!!!
    Sauf que là, étant sorti major de ma promotion, j'avais un large choix d'affections et je décidais donc, de revenir à l'école des fusiliers marins de Lorient, comme chef de section !!!!

    Ce choix me permettant d'être à 10 kilomètres de mon village natal et de la ferme de mes parents, ou je fût accueillis comme un prince, dans mon uniforme d'officier flambant neuf, ayant 15 jours de permission, avant de prendre mon poste !! Après quelques jours de retrouvailles, en famille.
    Je pu vaquer à d'autres occupations et retrouver mes amis(es), qui avaient changé tout comme moi !

    Et l'une d'entre elles, Caroline (premier flirt du marin), me fît rencontrer ses nouvelles voisines (trois jeunes filles, charmantes) étudiantes comme elle, leur Mère (divorcée) et sa sœur, célibataire, bien plus jeune qu'elle. Qui s'étaient installées là, depuis environ deux ans.
    Rapidement impressionné par le charisme de la maman, qui dégageait une force tranquille, à l'image de la mienne ou de ma tante ! Tout en douceur, mais d'une fermeté sans failles, forçant le respect, notre entente fût immédiate!!!!!!!
    Ceci certainement du au fait, que si j'avais le devoir de diriger des troupes de soldats ! Elle ! Avait le devoir de mener ses filles sur le bon chemin de la vie et cela se traduisait, par l'attitude de ces demoiselles, qui tout en étant joviales, se conformaient à l'autorité d'un petit bout de femme (comme on dit), même si elle n'était pas chétive !!!!!!!
    Et en repartant avec Caro, un dialogue naturel s'instaura :

    « Au fait, Dom ! Tu ne l'sais pas, mais il faut que je te le dise ! Madame Spaak, qui est super gentille, mais très stricte ! Corrige encore ses filles, par de bonnes déculottées ! C'est Christine qui ml'a dit, ses frangines, Diane et Aline qui ont 17 et 19 ans, en reçoivent assez souvent et j'en n'ai eu la confirmation, durant l'été dernier ou Diane très insolente envers sa Tante, s'en est pris une sévère, sous mes yeux ! Seule Chris me semble épargnée, incroyable non ! Ma réponse la surpris :
    « Non ! Pas du tout Caro ! Sylvie, ma sœur que tu connais, s'en est pris une de Papa, la veille de son mariage alors qu'elle avait presque 23 ans !!! Et tu sais bien que chez nous, ça a toujours fonctionné comme cela ! ». Caroline (22 ans), connaissait bien le sujet, pour avoir reçu de bonnes trempes de sa mère ou de son père, étant plus jeune me répondit :
    « M'ouiiis, c'est vrai ! Mais bon ! On a passé l'âge d'être déculottée et fessée, comme une fillette, non !!!! ».
    « Allons Caro, l'âge n'a rien à voir avec le fait qu'une bonne fessée est efficace et sans danger, pour remettre un peu d'ordre dans l'esprit ! Même si ça fait mal sur le moment et qu'on a honte, non !!!! » Caroline resta bouche bée, par ma réaction, un peu vive ! Mais me fît une grosse bise sur la joue, en ajoutant « C'est vrai ! Tu a raison ! Même si j'aimais pas les fessées de Maman ou Papa, j'avoue qu'elle m'ont permis de bien grandir et tu sais bien que je t'ai toujours adoré !!! ».

    Bon, la suite est privée, Caro étant devenue mon épouse et la mère de mes quatre enfants!!!!!

    Amicalement, Dominique

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  57. Voilà qui me semble intéressant comme contexte pouvant amener à la scène envisagée. Cela donne une Christine qui aurait entre 22 ans et demi et 23, si l'on respecte la réalité familiale.
    Et l'on peut imaginer que devenue studieuse et appliquée (car elle a fait de belles études après sa période "agitée"), elle n'ait ainsi plus eu affaire à la discipline maternelle depuis son bac à 17 ans et demi, voire avant, soit au moins cinq ou six ans avant qu'on la retrouve dans ce synopsis. Mais, je ne voudrais pas brimer l'imagination de l'auteur, qui semble si bien parti...
    Merci d'avance, Dominique.

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  58. Chère Christine,

    J'essayerais d'être le plus discret possible, sur l'anatomie concernée, même si Christine étant loin d'être une idiote, connaît parfaitement celle-ci !
    Tant qu'à la 'replongée' dans l'époque de Christinette, qui semble sotte, saugrenue, incroyable et impossible à la Christine d'aujourd'hui, j'en ais livrer le contexte et ma chère conteuse, offre des pistes intéressantes au 'nègre' qui comble sa paresse, qui ne sera pas diffusée à Maman.

    Sinon l'imagination de la conteuse, sur le synopsis, est tout à fait juste ! Et j'ai d'ailleurs précisé dans le contexte, qu'elle était étudiante, en compagnie de Caro et qu'a priori seules les jeunes sœurs étaient encore concernées, par les foudres maternelles !!!!!

    Ceci dit le 'nègre' va donc continuer sa rédaction, en s'efforçant de faire, le moins de fautes possibles, pour satisfaire Christine !!!!!! Et ma chère Maman, qui serait ravie de voir, que son fils a su évoluer sur l'expression et le langage de Molière !!!!

    Amicalement, Dominique

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  59. Vous me voyez ravie et rassurée, Dominique, que vous restiez le plus discret possible sur une partie de l'anatomie que je considère comme hautement privée, et qu'il m'était plus que pénible de dévoiler, même à l'auteur de mes jours, et encore plus à mes soeurettes quand, pour ma honte, elles apercevaient une région dorsale à la couleur, parfois, changeante, selon les humeurs de la météo maternelle...
    J'ai toutefois, par curiosité, hâte de voir où le synopsis dominicain va nous emmener, à la fois imaginatif, et, ce que j'apprécie de la part de l'auteur, en restant plausible et crédible, sans excès nuisible à la vraisemblance.
    Merci d'avance....

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  60. Chère Christine,

    Rassurez vous, Christine, Dominique restera dans le domaine du plausible et du crédible, sans excès, plus fort de son expérience de spectateur, que d'acteur, même s'il en a connu de sévères.

    Et je comprends parfaitement, ce sentiment de pudeur que vous évoquez, au sujet de cette partie anatomique que nous étions contraint de dévoiler (parfois en ce qui me concerne) et surtout sans rébellion, même si d'autres personnes étaient présentes !!! Je vous rejoins donc en tout points sur cette notion, même si je suis un garçon et ancien militaire ! Ou la pudeur, comme la sensiblerie n'avaient pas trop leurs places !!!!!

    Amicalement, Dominique

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  61. Bonjour Christine,

    Désolé, Christine et Dominique, dont j'ai lu la contribution, mais il a fallut que je m'absente durant 4 jours.

    Suite de l'été 1962 (8)

    Maman ne fît pas languir Annie, arrosant son fessier, de grandes claques espacées, mais résonnant très fort dans la pièce, tout comme les cris de ma cousine les accompagnant !!!!
    Maman fessait avec méthode, n'épargnant aucun centimètre carré de peau, du bas du dos jusqu'à mi-cuisses, la main de Maman faisait rougir encore et encore, les fesses rebondies d'Annie, qui ne s'exprimait que par des « Aiiiee, Ouillleee, Stooopppp » à n'en plus finir.

    Ma pauvre cousine, recevait une terrible volée de la part de sa Tante, qui faisant des pauses, histoire de bien jauger le résultat, repartait de plus belle !!!!! Aider en cela par sa sœur, qui la motivait par des phrases du genre « Allez, Paulette ! Tu peux les claquer ces fesses, elles en on l'habitude, à force d'en recevoir, ne te prive surtout pas !!! » ou s'adressant à sa fille « Ah !! On fait moins la fière sous la bonne déculottée de Tata, ma chérie ! Hein dis-moi ??? »

    Annie était bien sur incapable de répondre, épuisée qu'elle était par la tannée de Maman qui ne faisait pas semblant et cela m'inquiétait de plus en plus !!! Enfin, après une dernière volée, Maman arrêta son bras, gardant une poupée de chiffons gémissante, aux fesses totalement écarlates, sur ses cuisses !!!!
    Maman relâchant son étreinte, ma cousine glissa de ses genoux vers le sol, en chien de fusil !!! Le visage dans ses mains, elle n'arrêtait pas de pleurer et de trembler sous l'effet de la douleur !!!

    Puis ma Tante, quittant sa chaise, l'aida à se relever !! Et soutenant sa fille, lui dit « J'espère que tu as bien compris, qu'il vous faut obéir à votre grand-mère et ne pas entraîner, ta sœur, dans la bêtise ! Me suis-je bien comprendre ??? » Annie ayant repris, un peu sa respiration balbutia « Ouiiii, M'man, promiiiis, juréeee ! J'le f'rais pluuuuuus!! », tout en continuant à pleurer !!!
    Tata enchaîna « Cela voudrait mieux pour toi, parce que sinon, j'ai ça en réserve pour toi, ma petite fille !!!! »
    Et là courbant, Annie sous son bras, elle lui asséna une bonne douzaine de claques très fortes et rapides, sur le gras des fesses, déjà bien à vif, qui firent hurler de douleur ma cousine !!! Celle-ci ayant été bien soignée, par Maman !!!!

    Le problème !!! Enfin mon problème, devrais-je dire ! C'est que mon tour arrivait ! Et que bien sur je n'y échapperais pas !!!!!!

    Valérie

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  62. On va arriver aux choses sérieuses pour Valérie, alors que Dominique doit être en train de développer son synopsis. De mon côté, j'ai aussi avancé. La preuve va venir vite. Voilà qui calmera l'impatience de mon lectorat et, je l'espère du moins, la colère montante qui aurait envahi Maman Spaak si elle avait été informée de la lenteur de son ainée... Sûr, en tout cas, que si cela s'était passé du temps de Christinette, la grande soeur d'Aline et Diane aurait déjà eu affaire à sa mère pour une petite "conversation" d'un genre que chacun devinera, non ?

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  63. Chère Christine,

    Tout à fait, chère Christine, je développe mon synopsis, mais je ne suis pas certain que celui-ci soit très plaisant pour elle ! Ramenant celle-ci à l'époque d'une Christinette que Maman déculottait plus souvent qu'à son tour, pour de bonnes raisons! Mais bon ! Comme on dit « Cà fait circuler le sang » et au final ça fait du bien à l'esprit, même si sur l'instant ce n'est pas facile à vivre, pour celle ou celui qui la reçoit ! Je le conçois !
    Sinon je suis ravi, d'apprendre que la conteuse progresse et promet une livraison, incessante !! La promesse sera telle tenue, nous verrons !!!!!!!!

    Amicalement, Dominique

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  64. Pff, si c'est pour imaginer cela, abstenez-vous donc, vilain Dominique. Il n'est ^pas question que j'accepte d'envisager cette hypothèse loufoque... Mais, qui c'est la chef, ici, screugneugneu ? C'est moi, non ?
    Mais, il ne faut pas le crier trop fort, car je pourrais bien entendre : "Euh, non, non ma grande, il y a erreur, la chef, c'est toujours moi, ta Maman... Et, je pourrais bien te le montrer à ma façon..."

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  65. Chère Christine,

    La chef du blog, vous l'êtes c'est sur !! Mais concernant l'éducation, la chef, c'est Maman !!! C'est elle qui punit et donne les claques, quand il le faut ! Pas Christine ! Il suffit pour cela de revisiter un texte de la conteuse (Mes sœurs aussi : Un retour aux dures réalités – 04/2010). Ceci pour confirmer que le Commandant de la maisonnée, c'est Maman et non Christine.

    Et puis sur le Synopsis, même si la grande Christine ronchonne !!! Le seul maître à bord, de ce navire, c'est moi !!! Ne lui en déplaise et j'en connaît une, effectivement qui à mon avis, saurait très vite recadrer sa fille, à sa façon, malgré son âge ! Quand pensez vous ???

    Amicalement, Dominique

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  66. Bonjour Christine,

    En effet, Christine, comme vous le dites, les choses sérieuses arrivaient pour Valérie qui aurait donner tout l'or du monde, pour les éviter, sauf que ce n'était pas la demoiselle qui commandait en la demeure !!!! Celle-ci méritant une correction, elle allait se la prendre, sans aucune concession et ça allait barder pour son matricule, je vous le garantis !!!!!

    Suite de l'été 1962 (9)

    Ma Tante libéra alors Annie, qui suffoquait agitant les bras tel un pinguoin, en braillant toujours !!! Ses fesses n'étaient que deux tomates, plus que mûres, sans aucune parcelle de blancheur et devait la faire souffrir !!!!
    Cette vision de ma cousine, me rempli d'effroi et avant même, d'être appeler par Maman !!! Je me m'y à crier, tout en pleurant une litanie de « Non, non !!! M'man, j'veux pas, pitiéeeeeee !!!!! », ceci entraînant une réponse maternelle, complètement opposée. « Oh, mais que si, ma fille !!! Tu vas l'avoir, ta trempe, comme tes cousines !!! Pas de jalouses, ma belle !!! Et crois-moi que, tu vas la sentir passer !!! Car avec ta Tante, on ne va pas faire semblant !!!».
    J'étais envahie par la peur, bredouillant des « Nooonnn, nooonnn, M'mannn, s'te plaiiiit, j'le feraiiis plus, promiiiiis !!!!! ».
    Maman enchaînant « Je veux bien te croire, ma petite Valérie ! Mais de toi à moi, j'ai comme un doute !!! Et vois-tu, je crois surtout qu'avec Tata, on aura encore bien des occasions, de s'occuper de vos fesses, n'est ce pas, Jeannine ? », ce à quoi ma Tante répondit presque en souriant « Je suis bien d'accord, avec toi, Paulette ».
    J'étais sous le choc!!! Je n'avais pas encore reçu ma fessée !! Que Maman m'en promettait déjà bien d'autres !!! J'imagine que le ressenti était le même, pour mes cousines, en souffrance !!!!

    C'est alors que Maman, agita son index pour que je vienne vers elle, j'avais les jambes en coton !!! Craignant ce que j'allais me ramasser !! Faire le premier pas était un vrai calvaire, mais Maman prononça une phrase me faisant obtempérer « Valérie, si je dois venir te chercher, pour la fessée que tu mérites, comme tes cousines !!! Je t'en promets une autre, avant d'aller au lit, ce soir !!! Alors décides-toi !!! ». Le choix était donc simple, soit je venais sagement vers la double fessée qui m'attendait ou bien mes fesses seraient de nouveau tannées, avant de pouvoir dormir !!!
    Et connaissant Maman, je ne pouvais espérer autre chose qu'un supplément copieux !!! C'est donc la mort dans l'âme, que j'avançais vers ma destinée, tout en tremblant!!!!!!!!

    Arrivée à sa droite, Maman me fît faire le grand plongeon au travers de ses cuisses et comme je gigotais un peu, dans un dernier sursaut d'espoir ! Je me pris deux énormes claques sur chaque fesses, me faisant pousser des cris aigus et stopper mon réflexe de défense !!!
    Maman me bloquant parfaitement me dit « Reste donc tranquille, ma fille !! Tu te fatigues pour rien !! Allez tu as attendu, assez longtemps, alors allons y, ma chérie !!!! ».

    Et là, j'vous raconte pas !!! Enfin si, je vais le faire !! Mais bon sang de bois ! Que ce fût dur !!! Si j'avais eu, un peu l'espoir en attendant mon tour, que les bras de Maman et Tata soient fatigués, j'allais vite déchanter !!!
    Ma chère mère avec une énergie insoupçonnable, m'asséna une première longue série de claques, très fortes et rapides, en plein centre des fesses, cela me faisait un mal de chien, je criais sans pouvoir m'arrêter et mes yeux déversaient des flots, de larmes !! A suivre !!!


    Valérie

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  67. C'est parti pour Valérie, dont on suppose qu'elle est déjà déculottée, alors que sa mère entreprend de lui rougir les fesses comme elle le mérite, puisqu'aux yeux des deux mères, c'est elle qui est la plus fautive... La suite promet d'être claquante à souhait...
    Dominique me ressort une fois de plus une référence fort judicieuse, où déjà Christine l'ainée voulait jouer à la chef, et où Maman remettait clairement les pendules à l'heure, avec une nouvelle déculottée pour une fessée magistrale dont la grande soeur se souvient encore... Je ne vais donc pas risquer de contredire Dominique en guidant son imagination. Je ne voudrais pas que cela arrive aux oreilles de celle qui en déduirait vite que son ainée a oublié les notions élémentaires du fonctionnement familial et qu'il serait nécessaire, et plus qu'utile, voire urgent, de lui rappeler, et pas qu'avec des mots et des menaces, mais en passant à l'acte...

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  68. Chère Christine,

    Ne soyez pas inquiète, chère conteuse, mon imagination n'a d'égal que la qualité de votre blog et je m'en inspire, sans honte, n'étant pas un littéraire dans l'âme, comme mon compère Mardhol, que je trouve bien silencieux !!!
    Sinon, il est vrai qu'une certaine personne de ma connaissance, aurait tôt fait de rappeler à son aînée, les bonnes valeurs essentielles, si elle avait vent de ses dérapages !!!! Et de façon tout à fait concrète, qu'une certaine Christinette comprenait bien mieux, que les mots ou les menaces !!!
    N'est ce pas, Chère Christine ?????

    Amicalement, Dominique

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  69. Bonjour Christine,

    En effet, Christine, c'était parti pour Valérie nue comme un ver, mise à part ses sandalettes!! Puisque nos chères Mamans, nous avaient retiré nos maillots de bains !!! J'étais donc dans la même tenue, que mes cousines et parfaite, sans aucun obstacle, pour être copieusement fessée par deux Mamans, indignées de l'attitude de leurs filles, face à une trop gentille grand-mère !!!
    Et comme vous le dites, si bien, étant la plus fautive du lot, j'allais payer très, très cher ma témérité, vis à vis de Mémé !

    Suite de l'été 1962 (10)
    Après cette première salve, Maman arrêta son bras, sans me lâcher bien sur !!! Me repositionnant correctement, car sous l'effet de la claquée, j'avais gigoté !!! Ceci dans le seul but, de reposer son bras et me laisser reprendre mon souffle, ayant suffoquer sous cette première dégelée !!! En sachant, très bien qu'il y en aurait d'autres !!!! Maman ou ma Tante ne faisant jamais les choses à moitié !!!
    Une fessée annoncée ou promise, était donnée sans rémission !!! Et ce n'était pas une partie de rigolade, je vous prie de le croire !!! Mais une séance plutôt ponctuée de pleurs, de cris, sous la douleur et terriblement honteuse, ayant les fesses à l'air ! Ceci même, s'il y avait d'autres personnes présentes !!!

    Et Maman posant sa main tendrement sur mes fesses, m'adressa alors un sermon, à la fois ironique, mais très juste, quand j'y repense aujourd'hui !

    « Comme tu t'en doutes, Valérie, je n'en ai pas encore fini avec tes fesses ! Ô nooonn! Loin de là, ma petite fille !! Et ensuite ce sera au tour de Tata, de s'exprimer sur ces jolies rondeurs rebondies, qui sont faites pour ça ! Alors j'espère simplement, comme tu n'es pas trop bête ! Que tu prendras bien conscience de ton erreur, vis à vis de ta grand-mère !! Après cette drôle de séance, que ta Tante et moi, allons t'offrir, ma chérie !!! Enfin ! Pas si drôle que ça pour toi !!! Mais bon, c'est le sort des petites fanfaronnes, qui veulent jouer aux grandes dames !!! Alors qu'elles ne sont encore que de vilaines gamines, juste bonnes à être déculottées, pour une bonne fessée de leurs Mamans !!!! ».

    Avant que je n'ai pu répondre, la bras maternel prolongé de sa main, repris son devoir correctif et mes seules expressions, furent de grands « Aiiieee, Ouilleeee !!! » à n'en plus finir, accompagnés de gros sanglots en continu !!!!!
    Maman s'attaqua alors au gras de chaque fesses, toujours par de grandes claques fortes et rapides, faisant de plus en plus mal !!! Je sentais mes fesses monter en température, imaginant que leur coloration devaient changer, au fur et à mesure des claques, qui se succédaient sans temps mort !!!
    Maman fît deux nouvelles pauses, avant de repartir à chaque fois de plus belle ! Claquant toujours ce gras, qui devenait incandescent, la claquée étant de moins en moins supportable !!! Je n'étais que cris et pleurs, mon corps alternant, tension et relâchement, agitant bras et jambes dans tous les sens, ainsi que la tête !!!! Ne cachant donc plus rien de mon intimité, trop préoccupée par la douleur du moment !!!
    Puis Maman arrêta son bras, tout en me gardant sur ses genoux !!! J'étais haletante, le visage inondé de larmes, reprenant tant bien que mal ma respiration, le corps secoué par des soubresauts !!! Je ressentais une très forte chaleur, se dégager du gras, de mes fesses !!!
    L'ennui, c'est que je n'en avait pas fini !! Tata allant se charger de rougir, le reste du fessier et notamment le haut des cuisses ou le coté des fesses, provoquant des douleurs insupportables, ces parties étant plus sensibles. D'autant que celle-ci, avait de longues mains plus sèches, que celles de Maman !!!

    Valérie

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  70. Enervant ce Dominique à prétendre qu'il y a "une façon tout à fait concrète, qu'une certaine Christinette comprenait bien mieux, que les mots ou les menaces" !
    Même s'il y a du vrai dans ce qu'il écrit, cela est très gênant d'étaler cela sur la place publique... C'est quelque chose qui était très rare (mais si, puisque je vous le dis...) et qui ne regardait que Maman et moi. Et j'étais déjà assez troublée quand mes soeurs le savaient, ou quand Maman en parlait à Tata, à Mamie ou à la boulangère...
    Heureusement que Dominique ne précise pas davantage de quoi il s'agissait... J'en rougirait encore aujourd'hui...

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  71. Chère Christine,

    Vous allez dire que j'en remets une couche, mais si Christinette a eu la chance de connaître une quiétude fessière de presque 60 jours, à la faveur des frangines !!! Voilà 37 jours que la grande Christine n'a pas rendu de copie !!!!
    Quelle serait la réaction de Maman Spaak, vis à vis d'un tel manquement à ses devoirs, de la part de son aînée ! Je m'interroge ? Sur la réponse appropriée, que pourrait apporter cette femme de devoir, ayant su conduire quasiment seule, sur le bon chemin, trois belles demoiselles !!!

    Bon sang ! Mais c'est bien sur !!! Madame Spaak savait comment remettre de façon concrète, l'ordre dans l'esprit de ses filles et en particulier l'aînée ! Méthode très efficace, que la plus grande des trois filles testait de manière régulière, malgré ses dires ! Il me semble que cela s'appelle, une bonne fessée déculottée !!!

    Je sais ! Christine ! Je louange encore votre mère ! Mais que voulez-vous, le résultat est là ! Non ?

    Amicalement, Dominique

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  72. Aïe, aïe, aïe, j'aurais mieux fait de me taire, au lieu de récriminer... Ca y est, Dominique a lâché le gros mot, et écrit noir sur blanc ce que je craignais à l'époque, et qui était selon Maman la meilleure (voire la seule) méthode apte à remettre son ainée sur le droit chemin...
    De là à rajouter que c'était de manière régulière augmente encore mon trouble en voyant cela écrit à la portée de tout un chacun... Surtout que "régulière", c'est exagéré, non ? Mais mieux vaut que je me taise ou l'archiviste va encore vouloir montrer qu'il a raison...
    Et, en plus, Dominique louange et félicite Maman au lieu d'avoir des mots de compassion pour ma petite personne... Je n'ai qu'à aller cacher mon chagrin dans ma chambre, comme je m'y réfugiais souvent pour être tranquille, et parfois pour une autre raison, à la demande de Maman...

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  73. Chère Christine,

    C'est vrai, Christine, aurait mieux fait de se taire ! Surtout face à Dominique qui lui, n'hésite pas à lâcher et écrire les mots, qui sont simplement la désignation de la seule méthode maternelle efficace, pour ses filles et surtout son aînée, qui ne comprenait que cela.

    Tant qu'à la fréquence, que la conteuse trouve exagéré, l'archiviste va se montrer magnanime et lui laisser le soin de revisiter son blog ou elle pourra s'apercevoir qu'après sa période du primaire, ponctuée de quelques rappels ou mise au point maternelles !
    La demoiselle a connu durant ses années collège, une activité beaucoup plus dense, au niveau d'une partie de son anatomie ! Que je nommerais pas, pour ne pas la froisser, mais dont-elle connaît parfaitement l'orthographe et donc Maman savait très bien s'occuper !!!!

    Sinon pour les mots de compassion, je peux en formuler, en me plaçant dans la peau d'une copine ou voisine soumises au même régime que les filles Spaak, du genre « Oh, là!! Ma, Christine, à voir ta tête ! Toi aussi t'en a pris une, comme moi ce matin ! Et j'imagine que ta mère à pas fait semblant, tout comme la mienne, jt'e plains ma pauvre ! Car j'sais ça fait mal ».

    Amicalement, Dominique

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  74. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite :

    Ma permission coïncident avec les vacances scolaires, celle-ci fût pour moi, un enchantement en compagnie de Caroline! Ainsi que ses nouvelles voisines et notamment la Maman, comparable à un Commandant de navire !
    Madame Anne-Marie, savait mener sa petite troupe avec fermeté, sans excès !! A la fois tendre, aimante et attentionnée, envers ses filles, mais n'hésitant pas en cas de nécessité, à sévir et d'une façon très concrète, que je connaissais bien !

    Et un jour, ou je déjeunais chez les parents de Caro, étant sur la terrasse, nous parvinrent des échos d'une conversation houleuse, en provenance du jardin des voisines !!! La voix de la maman et celle de la plus jeune des filles (Diane) résonnaient ! Celle-ci ne semblait pas d'accord, avec une décision de sa mère et lui tenait tête, en haussant le ton !!!
    Et tout d'un coup, on entendit « Bon, Diane ! Cà suffit maintenant ! Puisque tes oreilles ne veulent rien entendre, je vais te ré-expliquer cela autrement et te calmer en même temps, ma fille ! Allez viens, par ici !!! », suivit par un brouhaha de chaises, qu'on déplace et un « Nooonn, M'mannn, nooonn, j'ai compriiiis, j'te jureeee !!! ».

    Là, Caroline, nous dit « Oh là !! Diane va s'en prendre une, c'est sur !!! » et nous en eûmes, la confirmation quelques minutes plus, par d'autres bruits significatifs émanant de la maison, dont les fenêtres devaient être ouvertes ! Caro ajouta « Tiens ! Qu'est ce que vous disais ! Allez, c'est parti pour la petite Diane ! Et pour y avoir assisté, j'peux vous dire que Madame Spaak fait pas semblant, après avoir baissé la culotte et que ça dure, un bon moment !!! ».

    Et en effet, cela dura et on entendait clairement le bruit des claques, ainsi que les cris et suppliques de la gamine, qui par moment s'égosillait, la maman devant claquer plus fort ou toucher des parties plus sensibles et après une dernière envolée de cris aigus, tout s'arrêta.
    Puis quelques instants plus tard, on entendit la voix de la maman sur la terrasse qui s'adressant à sa sœur, lui dit « Tu vois, Jacqueline ! Il n'y a pas de secret ! Je l'ai toujours dit, une bonne déculottée et tout rentre dans l'ordre !!! », sorte d'avertissement envers les deux autres filles !!!
    Diane rejoignant la tablée, dans un grand silence, demanda à sa mère de la pardonner, pour son entêtement ! Ce qu'elle fît !

    « D'accord, Diane, je te pardonne ! Mais je trouve bien dommage, de devoir encore recourir aux bonnes vieilles méthodes, pour vous faire entendre raison, à vos âges !!! Sauf que parfois, vous ne comprenez que cela !!! Allez viens donc, dans mes bras, ma chérie, c'est fini !!! Tu as fais l'idiote et Maman t'a puni, comme tu le méritais, c'est tout !!! On n'en parle plus !! »

    Là, je compris que cette femme, était à l'image de mes parents, comme ceux de Caroline ! Sachant choyer ou sévir, qu'en il le fallait et cela conforta ma première impression.

    A suivre......


    Amicalement, Dominique

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  75. Chère Christine,

    Attention, Christine ! Les jours s'égrènent depuis la remise du dernier opus ! Fort heureusement deux lecteurs studieux (Mamie Valérie et Dominique) rendent leurs copies, eux !!!!!
    Je me demande donc ce que pourrait, penser, une certaine Madame Spaak du réel manque d'effort, de sa grande fille !!!!
    A mon avis, cela ne lui conviendrait pas et elle saurait utiliser une solution efficace, pour remotiver, une dame qui a bien grandi, sous sa main !!!! Non ????????

    Amicalement, Dominique

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  76. Ca vient, Dominique, promis ! Pas la peine de me faire peur, ni de rappeler ces temps ancestraux où, parfois, voire de temps à autre, et quelquefois un peu plus... il m'arrivait des désagréments postérieurs...
    Je préfère suivre avec attention l'imagination dominicaine qui me ravit. Imaginer en effet Diane déculottée à quelques pas des oreilles aux aguets des voisins, cela m'amuse et me ferait ressentir comme un peu de revanche sur le sort qui n'était pas toujours équitable envers l'ainée que j'étais...
    Imaginer en plus que cela se passe alors que j'ai passé l'âge de le craindre pour moi-même, augmente ma satisfaction. Même si je me méfie car la prose dominicaine peut parfois réserver quelques surprises....

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  77. Chère Christine,

    Allons, chère conteuse, loin de moi la pensée, de vous faire peur ou vous rappeler que dans des temps pas si éloignés que cela, une Christinette, avait plus souvent qu'à son tour, une étoffe ôtée de sa place originelle, pour des explications maternelles, très concrètes !!!!!
    Tant qu'à mon imagination que vous apprécier et donc je suis fort aise, celle-ci peut en effet réserver quelques surprises à la grande Christine !! Comme celle de la déculottée, de Diane, clin d'oeil en forme de compensation, pour la Christinette qui était davantage servie par Maman !!
    Mais bon, en même temps, elle le méritait !!!

    Amicalement, Dominique

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  78. Une "étoffe ôtée", jolie expression ! Dominique devient poétique. Même si, en décryptant l'image, on trouve une réalité bien moins charmante pour la personne intéressée... Surtout si l'on devine que les "explications maternelles" risquent de ne pas être que de vaines paroles, mais des actes bien concrets et palpables à l'encontre d'une partie charnue de son anatomie...
    Et, quant aux "surprises" évoquées pour la grande Christine, je préférerais qu'il n'y en ait pas... Mieux vaudrait les réserver à Diane et Aline, merci...

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  79. Chère Christine,
    Synopsis Dominicain suite :

    Après cet événement et avant de prendre mon poste, je revis plusieurs fois les voisines au cours des jours suivants ! La Tante Jacqueline ! Une très belle femme de dix ans, mon aînée et au charme indéniable, ne pouvant qu'attirer l'attention ! Ce qui me valût, d'ailleurs une petite scène de jalousie, de ma tendre Caro ! Même si l'adage dit, « Que les marins ont une femme, dans chaque port », ce que je ne peux confirmer, pour ma part !
    Ainsi que la Maman toujours aussi charismatique et ses trois jolies filles, qu'elle bordait d'une main de maître ! Même la grande Christine, âgée de 22 ans, comme Caroline ! Et qui allait être, à son corps défendant, quelques semaines plus tard, la vedette d'une soirée mémorable surtout pour elle et sa fierté de jeune fille ! Mais également pour nous, Tante, frangines, Caro et moi-même.

    Je pris donc mes fonctions, à la base rentrant presque tous les jours dormir à la ferme, après avoir bien entendu passé un moment, avec ma petite Caroline qui venait de temps à autre, me chercher avec la 4L que son père avait gardé, pour qu'elle se fasse la main.
    C'est donc avec cette voiture, que les week-ends ou je n'étais pas de garde, nous faisions nos petites sorties et souvent en compagnie, des trois filles, de Madame Spaak ! Celle-ci m'ayant accordé sa confiance pour chapeauter, ces demoiselles et j'avoue que, même si Diane et Aline étaient parfois un peu fofolles, cela était plaisant.
    Ces filles étaient intelligentes, vives et spontanées, universitaires, comme Caro ! La maman était une ancienne institutrice et sa sœur, travaillait dans une Ste agroalimentaire, comme Directrice de communication ! Moi ! Le simple marin (certes Maître principal) était donc entouré de personnes brillantes et bien éduquées.
    Et j'étais donc plus souvent, chez les parents de Caro ou chez Madame Spaak qui m'appréciait, beaucoup! Qu'à la ferme de mes parents ! Ce qui un soir, rentrant pour dormir, m'apporta une réflexion, un peu aigre, de Maman « Au fait, Minot ! J'te rappel gentiment qu'ici ! C'est ni un hôtel, ni la caserne et que ta famille, aimerait aussi, pouvoir profiter de toi et de Caroline !!!».
    C'était dit ! Et je me confondis en excuses, auprès de ma chère mère, qui n'avait pas tort sur le principe !! Par la suite, je fît donc l'effort de partager mon temps ! D'autant plus facilement que les filles reprenant le chemin de l'université, leurs temps libres étaient, un peu plus compté !

    Donc durant mes week-ends de libre, je me partageais ! Et un samedi midi ou il faisait très beau (l'été arrivant) me trouvant chez les parents de Caroline, je lui proposais d'aller passer le reste de l'après-midi sur la plage, précisant « Et on emmène tes copines, ce sera sympa ! ».
    Là je vis ma Caro, changer de tête ! Hésitant à me répondre, elle me dit « Bah, c'est à dire ! Que sur les trois, j'pense qu'il n'y aura que deux qui pourront venir ! ». Ne comprenant pas, je voulais en savoir plus ! Caro m'expliqua « Bein, en fait ! Aline à rater son dernier partiel, c'est pas dramatique, mais il faut qu'elle bosse pour le repasser et j'peux dire que ça a chauffer grave, pour son matricule hier soir, malgré ses presque 19 ans ! J'tassure que ça claquait vraiment très fort et qu'en plus de ses cris ! On entendait nettement la voix de la Mère !  Du genre « Mais c'est pas possible, Aline ! Ta grande sœur, c'est pris des dizaines de fessées pour sa fainéantise, que tu as entendu ou même vu, parfois et tu fait la même chose, aujourd'hui !!! Cela veux dire que tu n'a rien compris, alors je vais te rappeler, ce que ça fait ! ».
    Caroline ajouta « Sincèrement, j'aurais pas voulu être à sa place et je ne crois donc pas que sa mère l'autorise à sortir, tu peux toujours essayer ! Comme elle t'apprécie, mais j'en doute !



    Amicalement, Dominique

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  80. Chère Christine,

    Je ne me savait pas poète, mais puisque vous le dites, merci !!!!! Et j'avoue que l'image retranscrite dans le contexte, n'a rien de poétique ! Ainsi que les « explications maternelles » qui étaient bien concrètes et palpables sur une partie de l'anatomie !!!

    Tant qu'aux surprises, je viens de vous en livrer une et qui sans aucun doute, plaira à la grande Christine, puisqu'elle n'est pas concernée ! Pour le moment !!!!!

    Amicalement, Dominique

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  81. Les grands esprits se rencontrent puisque nos messages se croisent. Voici une suite qui met en scène Aline, et m'amuse en effet... Quoique, savoir que Maman fasse encore référence à la période un peu agitée de son ainée, me semble presque vexant... Christine préférerait que l'on oublie les exploits de Christinette... Du moins ceux qui lui valaient un rendez-vous particulier sur les genoux de sa chère Maman...

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  82. Chère Christine,

    En effet les esprits (grands, je ne sais pas?) se rencontrent ! Je trouve juste dommage que la mésaventure d'Aline amuse la grande Christine, qui en a connu bien plus que sa cadette, à une certaine époque ! Mais, la vexation ressentie par la conteuse, sur mon écrit, m'amuse également !!!

    Celle-ci préférant qu'on oublie, qu'elle n'était qu'une petite espiègle divine et charmante, comme ses sœurs ! Mais méritant de temps à autre, pour ne pas dire souvent (Pour le vexer davantage) de bonnes déculottées maternelles, qui faisaient mal ! Mais la remettait sur les bons rails, de la vie !!!!!!!!!!

    Amicalement, Dominique

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  83. Bon, je veux bien admettre le de temps à autre de Dominique, d'autant que, tenant mes promesses (mais oui, absolument !!!), je viens de livrer un récit que j'aurais préféré ne pas avoir à écrire, pour moins froisser mon orgueil et ma pudeur... mise à mal dans cette nouvelle péripétie familiale. Même si je dois reconnaître que j'avais été prévenue et que c'était plutôt mérité...

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  84. Chère Christine,

    Ce coté minimaliste Christinien, est tout à fait charmant ! La conteuse ayant un mal fou, à admettre que les péripéties familiales à son encontre et à une partie de son anatomie, étaient bien plus nombreuses, qu'elle ne veux bien le reconnaître !!! Mais peut-être qu'en interrogeant, la partie anatomique concernée, nous aurions des réponses plus justes, à ce sujet !!! Hi, hi........

    Tant qu'à froisser votre orgueil et votre pudeur ! Ce rendez-vous, sur les genoux de Maman était amplement mérité et celle-ci l'a honorer, avec maestria !! D'autant que Christinette avait été largement informé sur les conséquences, de tous nouveaux dérapages !!! CQFD

    Amicalement, Dominique

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