mardi 8 octobre 2013

Chronique d'un redoublement : 65. Une fessée magistrale et... à rebondissements !

SUITE 64 

J'avalai mes deux dernières cuillères de crème dessert mécaniquement, puis pliai ma serviette, et quittai la table, sans un mot. J'avais l'estomac noué, je me sentais mal, l'effet de l'angoisse sans doute. Je ne détournai même pas la tête en traversant le couloir du haut en direction de ma chambre, pour éviter le regard de mes soeurs qui guettaient mon passage...




 
Je sortis de table avec comme un début de mal de ventre,
ayant eu du mal à avaler mon dessert,
déjà obnubilée par la perspective de recevoir la fessée...  


Je refermai la porte derrière moi soigneusement, et me suis assise sur mon lit, la tête bouillonnante de pensées sombres... La certitude que j'allais recevoir la fessée m'angoissait, m'apeurait. Mais j'étais aussi et surtout en rage contre moi de m'être faite prendre alors que j'avais presque partie gagnée...

Non seulement, la veille au soir, j'avais surmonté l'interrogatoire maternel et pu lui faire croire que tout allait bien, en cachant ma mauvaise note, mais en plus, en ce vendredi soir, après que Maman ait découvert la copie cachée dans mon cartable, j'avais réussi à lui démontrer que cette note était à mettre au bilan du trimestre précédent, pour lequel j'avais été suffisamment punie, et à lui faire admettre que je travaillais mieux depuis la rentrée.

J'avoue volontiers que lorsque j'avais entendu Maman m'appeler d'urgence dans la chambre et découvert qu'elle tenait dans la main la copie que je cachais depuis la veille, j'étais persuadée que cela allait se terminer par une déculottée magistrale. Je n'en croyais pas mes oreilles quand j'ai entendu Maman s'apaiser et admettre que l'on pouvait passer l'éponge, même si elle ajoutait qu'une "bonne fessée (m')aurait fait du bien" !

Alors, lorsque l'on réussit à tromper pour ainsi dire la vigilance maternelle deux jours de suite, c'est quand même rageant de "chuter" sur une banale histoire d'emploi du temps, due à une improvisation légère de la part de quelqu'un qui avait l'habitude de mieux peaufiner ses histoires, pour ne pas dire de mieux ficeler ses mensonges...

Patatras ! Une seule question maternelle anodine m'avait fait redescendre de mon petit nuage d'impunité à l'attente de ma prochaine plongée en travers des genoux de Maman...
Franchement, je m'en voulais d'avoir ainsi gâcher ma chance... En y repensant, j'avais presque envie de me mettre des baffes, comme on dit, et l'image était d'autant plus parlante que j'allais en effet en prendre, non pas des miennes mais de celles plus expertes de Maman, et non pas sur mes joues, mais bien sur mes fesses...



Assise sur mon lit, je restais inerte, ne pouvant rien faire,
les pensées qui galopaient, me sentant fautive,
et surtout idiote d'avoir si mal menti.
Je me serais mise des baffes,
mais c'est pire encore qui m'attendait... 

Ce qui m'angoissait aussi, c'était de deviner que Maman, elle aussi, avait compris que sa fille avait failli la rouler dans la farine, et cela depuis la veille. Circonstance aggravante que Maman avait sûrement en tête : sa fille ainée l'avait fait sciemment, malgré les mises en garde répétées et un discours clair ayant insisté sur le fait qu'aucun mensonge ne serait toléré... Et, en plus, les mensonges avaient été réitérés devant les petites soeurs, ce qui imposait encore plus le fait que la sanction soit exemplaire...

 La soirée étant moins minutée que lorsqu'il y a classe le lendemain, je savais que Maman n'allait pas "expédier" ses corvées du soir en mettant au lit le plus tôt possible ses trois diablesses. Il n'empêche que je guettais depuis ma chambre les allées et venues dans la maisonnée. 

Maman monta une première fois, un quart d'heure plus tard, son pas faisant grimper mon rythme cardiaque... Mais, elle redescendit deux minutes après, sans avoir rien dit...

Il se passa encore bien vingt minutes avant que son pas résonne dans l'escalier. Je n'avais quasiment pas bougé de mon lit, incapable de faire quoi que ce soit, incapable surtout de penser à autre chose que ce qui m'attendait...

Quand Maman ouvrit la porte de ma chambre, je me recroquevillai, et je m'entendis gémir : "Oh, non Maman, je t'en prie, je, euh, je veux pas..." Mais, apparemment, Maman n'était pas encore en disposition fesseuse... Non, elle rouvrait simplement la porte, constatant par la même occasion que je n'avais rien fait depuis la fin du dîner... 
Elle répliqua d'abord à ma supplique : "Tais-toi donc, Christine. Ce n'est pas toi qui décide. Que tu veuilles ou que tu ne veuilles pas, Maman va te donner la bonne fessée que tu mérites..."
Puis, alors que je retenais un sanglot, elle poursuivit, cette fois en haussant le ton : "Et puis qu'est-ce que tu fais affalée sur le lit ? Tu pourrais au moins lire ou réviser tes leçons... Allez, bouge-toi un peu, et mets-toi donc en pyjama avant que je ne revienne m'occuper de ton cas..."

L'intervention maternelle avait été entendue par Aline et Diane, qui avaient arrêté de jouer pour tendre l'oreille dès qu'elles avaient perçu le début de notre conversation...

Maman ressortit en direction de la chambre des petites, en laissant ma porte grande ouverte. Elle passa un moment avec elles, Diane se vantant qu'elles au moins étaient déjà en pyjama, mais Maman ne releva pas...





Je me décidai me me mettre en pyjama, comme Maman le demandait.
En descendant ma culotte,  je ne pus m'empêcher de poser un instant 
mes mains sur mes fesses, presque fraiches, et encore toutes blanches... 
mais plus pour longtemps... J'en frissonnai d'angoisse...


Dans ma chambre, je me décidai donc à me mettre en pyjama, avec "l'enthousiasme" de la condamnée, qui sait qu'elle est en train de se mettre, pour ainsi dire, en tenue de fessée...
En descendant ma culotte portée toute la journée, je ne pus m'empêcher de poser un instant mes mains sur mes fesses, encore toutes blanches et presque fraiches. La glace de mon armoire refléta cette image qui me fit me souvenir d'une scène identique, trois semaines plus tôt exactement. Mais, là, ma porte étant grande ouverte, je ne m'attardai pas à regarder une lune pâle qui ne demandait qu'à y rester...

Une culotte propre et le pyjama par dessus, j'enfilai ma tenue de nuit à grande vitesse, comme pour protéger ma pudeur qui allait de toute manière être mise bientôt à rude épreuve. J'allai ensuite me brosser les dents et me débarbouiller le bout du nez. En sortant de la salle de bain, je retraversai le couloir, passant devant la chambre des petites, observée par trois paires d'yeux... Maman lança : "Ca y est, tu es enfin prête ? Ne t'inquiète pas, j'arrive bientôt, Christine, j'arrive..."

 Ce "Ne t'inquiète pas, j'arrive bientôt" était dit d'un ton calme, comme si Maman voulait me rassurer, alors que, bien sûr, ce "j'arrive bientôt" m'inquiétait au plus haut point et me faisait frissonner du bas du dos...

A ce que j'entendis de la conversation avec mes soeurs, Maman prenait son temps, consciente certainement que faire mijoter son ainée n'était pas inutile... Elle demanda quand même à mes soeurs de se mettre au lit, les autorisant à lire un peu "en silence" avant qu'elle ne revienne éteindre la lumière pour la nuit. 

Mon heure était venue... J'étais tétanisée, recroquevillée en boule, regardant Maman arriver en disant : "Bon, allez, à nous deux, Christine !"




 Maman avait lancé : "Ne t'inquiète pas, j'arrive bientôt", 
en voyant que j'étais enfin en tenue de nuit.
Recroquevillée en boule sur mon lit,
j'étais inquiète au contraire, sachant surtout 
que c'était "ma fessée" qui arriverait bientôt...

Elle vint directement s'asseoir sur le lit, alors que je balbutiais : "Attends, attends Maman, euh, tu sais, euh... Je, euh..."

Maman mit l'index devant sa bouche pour faire le signe "Chut !", embrayant : "Tais-toi donc, Christine... Il n'y a pas de Attends, attends, qui tienne. Je ne suis pas là pour discuter, ma fille. Il n'y a rien à discuter... Viens ici, tout de suite, pour que je te donne la bonne fessée que tu as méritée... Je t'ai prévenue, Christine. Je ne me laisserai pas endormir comme au premier trimestre... Cette fois, on ne rigole plus. C'est la fessée, et ce sera la fessée chaque fois qu'il le faudra... Et, n'aggrave pas ton cas en me faisant attendre..."

Un nouveau "Viens ici !!!" d'une voix plus forte encore vint à bout de ma résistance. D'un pas tremblant, je vins à la droite des genoux maternels, où elle me bascula sans attendre, me complimentant presque : "C'est bien, Christine, je vois que tu obéis enfin... Maintenant, on va pouvoir régler nos comptes..."

C'est vrai que j'étais venue docilement, sans supplier encore, mais avec une porte de chambre laissée grande ouverte par Maman, j'avais presque honte d'implorer une de mes suppliques habituelles comme "Non, pas la fessée, Maman".

Me rendant compte de mon inertie, je me cabrai soudainement et empoignai par derrière ma ceinture de pantalon de pyjama pour empêcher Maman de dévoiler sa cible... Comme un baroud d'honneur pour protéger ma pudeur.



 
Par une sorte de réflexe de protection, je m'étais cabrée
et je serrais l'étoffe qui protégeait encore ma lune...
Au lieu d'employer la force, Maman attendit que je relâche ma main,
en me promettant que je paierais ce geste de révolte...


Maman asséna une ou deux tapes fortes sur ma main sans que je lâche, mais, au lieu d'employer la force, elle s'arrêta, prit une longue respiration, et dit : "Enlève ta main, Christine... J'attends..."

Dix secondes s'écoulèrent sans qu'elle ne dise le moindre mot, pendant que je serrais encore ma main... Je me sentais toute bête, surtout qu'elle ajouta : "Lâche donc ta culotte, Christine, à moins que tu ne veuilles rester sur mes genoux toute la soirée... Je ne suis pas pressée, Christine, mais sache que plus tu retardes l'échéance, et plus la fessée sera longue..."

Je gémis un long "Nooooon", mais comprenant que je ne gagnerais rien à défier l'autorité maternelle davantage, je lâchai ma main, volontairement, comme si je donnais mon accord à ce que Maman dévoile mes fesses blanches...


Comprenant que je ne faisais qu'aggraver mon cas, je lâchai prise,
desserrant lentement ma main, obéissant à l'ordre maternel,
comme si je lui répondais : "Oui, Maman, je te laisse baisser
ma culotte pour recevoir la fessée que j'ai bien méritée..."


Maman était satisfaite : "Ah, ma grande fille deviendrait enfin raisonnable... On va pouvoir passer aux choses sérieuses... Tu sais bien, Christine, qu'une bonne fessée de Maman, ça se donne sur les fesses, pas sur le fond de la culotte... Surtout pour une grande fille comme toi..."

Il est vrai qu'en d'autres circonstances, j'aurais peut-être résisté davantage, mais la façon dont Maman s'était arrêtée d'un coup, me laissant m'accrocher à mon fond de culotte, tentant de retarder l'échéance, alors que j'étais déjà en position, étalée sur ses cuisses, présentant mon bas du dos, rendait ma défense ridicule...  Evidemment qu'elle ne m'aurait pas laissé toute la soirée ainsi, et qu'elle aurait réussi à me faire lâcher prise, mais sa manoeuvre encore inédite a fonctionné en me faisant prendre conscience que ma défense était vaine. Et, le fait est qu'elle ne pouvait qu'être satisfaite, voyant sa fille lâcher l'élastique, et retirer sa main, dans un geste d'abdication qui semblait dire : "Oui, Maman, j'ai compris, je ne résiste plus, je te laisse faire comme bon te semble pour moi. Tu peux me donner ma fessée..."

Maman a remonté ma main dans mon dos, bloquant mon bras en arrière, afin que je ne puisse plus tenter une nouvelle manoeuvre.. Puis, posément, presque tranquillement, elle a remonté mon haut de pyjama dans le creux de mes reins, et fait glisser le pantalon jusqu'en dessous des genoux...  Ne restait que la culotte de coton blanc, bien couvrante, qu'elle s'appliqua à faire descendre devant comme derrière jusqu'à mi-cuisses... pendant que je gémissais des : "Maman, non, s'il-te-plaît.. " , les murmurant comme si je voulais que l'on entende ma voix de la pièce d'à côté...

Je ne pouvais pas voir la scène autrement qu'en tournant la tête et en apercevant juste un bout de ma lune encore blanche, mais j'imaginais aisément que Maman, qui venait de dégager pleinement mes rondeurs jumelles, avait une vue plongeante, juste sous ses yeux et surtout à portée de sa main de la surface à corriger, de mes fesses déculottées qui frissonnaient de peur dans l'attente du déluge...



 Allongée en travers des genoux maternels, je ne pouvais voir la scène entièrement,
mais j'avais ressenti comment Maman avait veillé
à bien dégager la cible, à bien m'équilibrer,
combien elle avait désormais sous sa main ma lune bien en vue, totalement offerte
à une fessée qui s'annonçait exemplaire...

"Eh bien, voilà... Ce n'est pas trop tôt... On va pouvoir passer aux choses sérieuses, et régler nos comptes, Christine. Prépare tes fesses, ma grande, ça va barder..." commenta une mère sûre de son fait, sûre de bien faire...

Tout était prêt, Maman veillant à bien me rééquilibrer en travers de ses cuisses, respirant profondément comme si elle se concentrait, comme si elle prenait conscience pleinement de son devoir à accomplir, de sa volonté que la fessée soit exemplaire et que sa grande fille s'en souvienne... Même moi, je ne geignais plus, fermant les yeux en attendant la première claque... On aurait entendu une mouche voler, d'autant qu'à l'évidence, dans la chambre d'à côté, Aline et Diane devaient retenir leurs souffles et ouvrir grand leurs oreilles...

La première claque m'arracha un cri, puis je me mordis les lèvres pour retenir mes plaintes, pendant qu'une dizaine d'autres claques tombaient à leur tour, bien détachées les unes des autres, bien ciblées et réparties sur mes deux fesses qu'elles faisaient trembler en renvoyant ce bruit mat des claques fortes qui semblait résonner dans toute la maison... Je sentais aussi mon épiderme se colorer sous chaque impact et la chaleur affluer vers mon bas du dos...

"Ah, Christine, Christine, je vais t'apprendre non seulement à me ramener des mauvaises notes, mais à me les cacher, et à mentir effrontément. Tiens, tiens, tiens et tiens...", la main droite accompagnait le discours maternel, le martelant sur mes fesses, alors que je m'étais mise à pleurer à chaudes larmes...


Si j'avais essayé de retenir mes plaintes durant les premières claques,
l'efficacité de la dextre maternelle s'était vite fait ressentir,
et je me mis à pleurer à chaudes larmes,
entre deux supplications vaines 
et mes éternelles promesses de ne plus recommencer...
 
"Je t'ai pourtant suffisamment prévenue, Christine... Tiens, tiens... Tu le savais que je n'admettrais ni mauvaise note, ni colle, ni mensonges... Tiens, tiens, tiens... Ne te plains donc pas, ma fille, ne te plains pas... Tiens, tiens, c'est tout ce que tu mérites, Christine... Tiens, tiens et tiens !" poursuivait-elle avec une détermination qui n'avait d'égale que son efficacité, m'arrachant des petits cris étouffés à mesure que la cuisson augmentait...  

"Maman, arrête, aïe, s'il te plait, j'ai compris, pardon, ouille, pardon...", me mis-je à supplier d'une voix hoquetante, entrecoupée de petits cris provoqués par les claques généreuses de la dextre maternelle.

Et elle embraya, remontée à nouveau par mes protestations : "J'espère bien que tu comprendras un jour, Christine, mais avec toi il faut répéter souvent les mêmes choses... Tiens, tiens, et tiens ! Tu avais pourtant promis la dernière fois, quand tu as ramené ton carnet du premier trimestre, et quand, après Aline, tu avais reçu une bonne fessée bien méritée... Tiens, tiens, tu t'en rappelles, j'en suis sûre, Christine, mais cela ne t'a pas empêché de recommencer, en me cachant ta copie depuis hier, en me racontant des mensonges à dormir debout... Alors, ma chérie, tes promesses, j'attends de voir..."

Ma lune était devenue incandescente, et chaque claque de plus en plus douloureuse. Mais, Maman poursuivait avec une application particulière. Etait-ce parce que c'était la première fessée de l'année, parce que Maman voulait comme "imprimer" la leçon sur mon bas du dos, je ne sais, mais la tannée était magistrale, n'épargnant pas un centimètre carré de ma mappemonde, prenant le temps de respirer avant de repartir de plus belle, en répétant le message à chaque longue salve. 


Maman poursuivait avec une application particulière,
claquant et re-claquant ma lune,
comme si elle voulait que cette première fessée de l'année
soit une tannée magistrale et mémorable...


Cela sentait la fin. J'étais moi-même épuisée, prenant les claques sans plus gigoter, gémissant simplement, ou criant quand l'une d'entre elles piquait davantage que la précédente. "Ah, voilà des fesses bien rouges, ma fille... J'aurais honte à ta place de me les montrer ainsi, toutes déculottées, après une bonne fessée bien méritée, puisqu'il n'y a que cela que tu comprends... Et ne t'avise pas de recommencer, tiens, tiens, tiens... Tu la sens cette main sur tes fesses, Christine ? Au prochain mensonge, ce sera pareil, Christine. Jusqu'à ce que tu comprennes, ma grande, que tu comprennes enfin..."  

Je repris ma supplique : "Aïe, arrête Maman, ouille, j'ai compris, pardon, pardon..." pendant que Maman parachevait son oeuvre correctrice en déversant une ultime série de claques, cette fois rapides et crépitantes, me faisant haleter et pousser à nouveau de petits cris aigus.

C'était un bouquet final en quelque sorte, et Maman arrêta enfin son bras, et desserra son étreinte sur mon bas du dos. Je restai pourtant en place encore deux ou trois secondes, comme si je n'y croyais pas, comme si j'offrais encore mes rondeurs jumelles à la claquée maternelle...
Sortant de ma torpeur, je me laissai glisser des genoux maternels, soulagée d'en avoir fini...

Je me retrouvai agenouillée, le torse encore penché sur les cuisses maternelles, ayant envie de pleurer ma peine, puis je me redressai et me levai, un peu titubante... Par réflexe, je frottai un instant ma lune écarlate avec ma main redevenue libre, avant de penser à me reculotter.




 Je me penchais pour remonter ma culotte sur ma lune écarlate,
quand Maman qui était restée assise, lança : "Pas si vite, Christine, pas si vite..."
avant de me rattraper par le bras et de me basculer à nouveau
en travers de ses cuisses...


Maman était restée assise sur mon lit, et j'étais encore à sa droite, en train de me pencher pour remonter ma culotte...  quand, à ma grande surprise, elle lança : "Pas si vite, Christine, pas si vite..." Et, alliant le geste à la parole, Maman me rattrapa par le bras, m'attirant vers elle et me re-basculant en position en travers de ses cuisses... 
Je n'avais pas eu le temps de me rhabiller, et j'étais donc à nouveau étalée et déculottée sur ses genoux. Apeurée, je criai fort, sans plus me soucier des oreilles de mes soeurs : "Mais, Maman, non, oh non, qu'est-ce que tu fais ? C'est fini la fessée, c'est fini ! " Et, en même temps, je me mis à gigoter pour essayer de m'échapper... Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, pourquoi je me retrouvais en si fâcheuse position... 



J'aurais voulu réellement m'échapper, mais c'était sans compter sur la maitrise maternelle, qui me bloqua instantanément, tout en assénant sur ma lune une claque gigantesque, à m'en couper le souffle... Sur des fesses écarlates, le claquement fit très mal et je poussai un cri strident, en battant des pieds, avant de m'arrêter, consciente que j'étais coincée et ne pourrais m'extirper de l'étreinte maternelle.

Je compris que mieux valait ne pas me débattre et me relâchai. Maman attendit que je ne bouge plus et s'expliqua enfin : "Oui, c'est fini, Christine... Ou presque... Oui, tu viens de recevoir la bonne fessée que tu méritais pour ta note, tes cachotteries et tes mensonges... Mais, je n'ai pas apprécié du tout que tu essaies d'y échapper, Christine, en cherchant à m'empêcher de baisser ta culotte... Je t'ai prévenue que plus tu me faisais attendre, plus la fessée serait longue... Alors, je pense que cela mérite bien quelques claques supplémentaires, juste pour que tu ne t'avises pas de recommencer la prochaine fois, Christine..."



Déversées sur mes fesses déjà écarlates et tannées de belle manière, 
ce supplément inattendu de claques m'arracha des cris,
m'apprenant qu'il vaudrait mieux, à l'avenir, ne plus fâcher Maman
 au moment où elle s'apprête à baisser la culotte de sa grande fille...


Je suppliai : "Non, non, Maman, non, assez, j'ai eu assez la fessée, je ne recommencerai plus, arrête, je t'en prie, je veux plus la fessée, plus la fessée", mais je n'étais pas en situation d'imposer quoi que ce soit. Maman me tenait parfaitement et leva à nouveau son bras droit, entamant une nouvelle salve de claques moins fortes que le bouquet final précédent, mais destinées à ce que je retienne la leçon : "Tiens, tiens, quelques bonnes claques de plus sur ces fesses déjà bien rouges en effet... Tiens, Christine, tiens... Juste pour te rappeler que c'est Maman qui commande Christine. Tiens, tiens, et que l'on n'empêche pas sa Maman de baisser sa culotte quand la grande fille l'a mérité... Tiens, tiens, tiens... Mieux vaudrait que tu t'en souviennes aussi, la prochaine fois... Tiens, tiens et tiens ! Ah, ça c'est une fessée, ma grande ! Tu vois que Maman tient ses promesses !"

Il n'y avait eu qu'une douzaine de claques supplémentaires, quinze au maximum, mais je me sentais mortifiée, vexée de son ultime sermon encore plus infantilisant que ceux énoncés durant la fessée proprement dite. J'avais presque l'impression d'avoir reçu deux fessées consécutives, surtout que la dernière partie était inattendue et m'avait vue crier et supplier fort, alors que Maman haussait le ton elle-même et que, alors que je n'y avais plus trop pensé, la présence de mes soeurettes dans la pièce d'à côté, les portes grand ouvertes, me revenait, et augmentait mon sentiment de honte...




Je suis restée un bon moment prostrée, agenouillée, la lune écarlate,
l'épiderme brûlant et sensible, après cette fessée mémorable et à rebondissements.
Dans la chambre d'à côté, où Maman était partie border mes soeurs,
les commentaires devaient aller bon train...



Maman m'avait enfin relâchée, et je m'étais mise en boule, agenouillée à terre, pleurant des flots de larmes. Maman se releva et me laissa seule, sortant de ma chambre en disant : "Allez, remonte donc ta culotte, et mets toi au lit pendant que je vais dire bonne nuit à tes soeurs". Je savais que mes oreilles allaient encore siffler...


A SUIVRE

61 commentaires:

  1. Chère Christine,

    En effet, chère conteuse, l'épisode est livré, ainsi que la pression élégamment transmise à Dominique qui devra fournir un effort (lui aussi) pour la suite de son récit, tout en commentant ce magistral opus (comme vos fessées) que vous nous avez concocté, fourmillant de nouveautés, de détails inédits qui raviront, j'en suis sur, l'un de mes pairs qui aura plaisir à rebondir avec qualité sur ceux-ci.

    Voilà la pensée, d'un fidèle lecteur, après une première lecture de cette suite 65, confirmant (s'il était besoin) que Christine a retenu les leçons maternelles transmises à la Christinette de l'époque, lui permettant d'être brillante, à ce jour, sachant bien faire et même très bien faire, ce qu'elle doit accomplir au quotidien ou fournir à certains (es), matière à échange sur un domaine particulier.

    Au plaisir de vous lire, Chère Christine,

    Amicalement, Dominique

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  2. Merci de cette première appréciation, très positive, Dominique. J'espère donc lire de copieux commentaires...

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  3. Chère Christine,

    Aucun souci, chère conteuse, je me ferais un plaisir de vous servir les appréciations que vous êtes en droit d'attendre (comme d'autres à une certaine époque) pour cette nouvelle production, que j'ai pris plaisir à relire plusieurs fois, la qualité et la quantité étant au rendez-vous, tout comme le fût, la prestation maternelle en cette occasion, ramenant la Grande Fille à l'état de gamine écervelée qui ne 'comprend' qu'après cela !

    A ce sujet, je vous livre une première réflexion concernant le supplément (justifié, mais inattendu) pour Christinette qui craignant comme toujours l'oeuvre maternelle (et pour cause), s'accroche à la ceinture de son pyjama (tenue de fessée) pour retarder l'échéance et réveille alors une promesse maternelle (épisode 16, pas de conditionnel) que celle-ci, va tenir, à la grande surprise de sa fille qui pensait en avoir fini avec cette volée magistrale méritée.

    A suivre...........

    Amicalement, Dominique

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  4. Quelle érudition spaakienne ! Dominique qui cite une référence à l'épisode 16, cela m'épatera toujours. J'avoue que moi-même je ne me rappelle plus de tous les détails de chaque épisode. Cela fait plaisir de voir comment certains commentaires s'appuient sur une connaissance parfaite du sujet.
    C'est vrai que ce supplément inattendu me pendait au nez, pour ne pas dire me pendait au dessus de la lune depuis longtemps, tant ma propension à tenter de retarder ma déculottée énervait souvent Maman.

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  5. Chère Christine,

    Que voulez-vous, ma Chère, cette érudition n'est que le reflet de l'intérêt que je porte à ce blog et pour la référence, j'aurais pu citer d'autres épisodes, mais c'est celui-ci qui m'a paru le plus significatif, concernant la tendance de Christinette à empêcher Maman de lui baisser sa culotte pour la fessée (irritant, en effet, celle-ci, puisque fessée de Maman, rimait avec déculottée) et ce jour là, une couture avait craqué sous la résistance de Christinou !
    Le lendemain de cet incident, Maman fît donc une promesse sans conditionnel à Christine « La prochaine fois que j'aurais à te déculotter, ne t'avise surtout pas de m'en empêcher, sinon tes fesses le regretteront, tu peux me croire ! ».

    Voilà donc le parallèle que j'ai souhaité évoqué, avec cette suite 65 ou Maman prouve à Christinette que, elle, sait tenir toutes ses promesses, même les plus anciennes et à en juger, les fesses de Christinou l'ont également compris et j'y reviendrais prochainement.

    Au passage, merci ! Même si je sais que vous préférez les commentaires aux remerciements, mais je suis sensible aux compliments que vous avez exprimé, à mon égard, ne doutant pas de leur sincérité.

    Amicalement, Dominique

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  6. Chère Christine,
    Réflexion :

    Christinette termine le repas tel un robot muet, un sac de nœuds au ventre généré par la trouille, se mouvant comme un automate vers son antre (insensible à ce qui l'entoure) pour s'y cloîtrer et sans illusion sur sa proche destinée, s'en voulant à elle-même d'avoir raté cette ruse de sioux pourtant bien engagée, à cause d'un petit détail mal maîtrisé par la reine de l'entourloupe, (comme tous les malfaiteurs).

    Voilà donc une demoiselle qui dépitée par son échec, se claquerait volontiers elle-même le visage pour avoir négligé cet élément, preuve de sa culpabilité aux yeux du juge (Maman) et devant témoins, qui ne peut lui accorder les circonstances atténuantes, la volonté de tromperie étant délibérée, claquée il y aura donc, mais sur une partie anatomique plus charnue et délivrée par une experte, en la matière.

    Dés lors, dans la maisonnée Spaak, les rôles (si je puis dire) de chacun sont parfaitement distribué !
    L'angoissée Christinette, craignant, à juste titre, ce qui l'attend.
    Maman, grande prêtresse, maîtrisant la situation.
    Les Soeurettes, auditrices enjouées et curieuses.

    Je développerais, chacun d'eux, ultérieurement.

    Amicalement, Dominique

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  7. Chère Christine,

    Petit aparté de ma part, que vous pourrez garder et demeurera une confidence, entre vous et moi, si vous le souhaitez, à savoir que vous m'avez complimenté en mon jour anniversaire, sans le savoir évidemment et j'avoue que ce cadeau inattendu, m'a fait grand plaisir, comme quoi il n'est nul besoin de dépenser pour satisfaire.

    Voilà la pensée du jour, d'un bougre de Papy, s'attachant plus au fond, qu'à la forme des choses de la vie, souvent trompeuses et sources de déboires, l'essentiel étant à portée de mains.

    Sinon, soyez rassurez, les commentaires Dominicains suivront, avec d'autres références, ceci pour votre plus grand plaisir.

    Amicalement, Dominique

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  8. Chère Christine,
    L'angoissée :

    Christine, ayant rejoint son havre de paix ! Son esprit rumine dans tous les sens, se reprochant d'avoir si mal endormi le poisson, prête à se fustiger elle-même, tout en sachant que c'est la main de Maman qui va fustiger, non pas ses joues du haut, mais celles du bas amplement dévoilées et pour un nombre de claques, à plusieurs chiffres.
    De plus, en ce vendredi (veille de week-end) comme celui précédent les vacances, Christinette sait que pour Maman le temps est moins compté, dans l'exécution des tâches quotidiennes, la fessée de l'aînée, s'ajoutant simplement au programme de la soirée et que celle-ci, n'en activera pas le déroulement, se préparant calmement à l'oeuvre correctrice qu'elle doit accomplir.

    Et dans les faits, Christinou dont tous les sens sont en ébullition, en a la confirmation par une première montée maternelle faisant grimper son adrénaline, mais se soldant en fausse alerte, situation hélas trop bien connue de Christinette, imaginant son heure venue et tremblante de trouille, replonge dans l'angoisse de l'attente interminable, inerte, ne sachant que faire.

    Au comble de l'incertitude sur le moment choisit, Christinette s'affole et craque, lors d'une nouvelle irruption maternelle dans sa chambre exprimant sa peur « Oh, non Maman, je t'en prie, je, euh, je veux pas...... », alors que Maman poursuivant sa démarche, lui confirme sa décision et s'irritant de l'inertie de sa soit-disant grande fille, la sermonne comme une gamine, lui intimant l'ordre de se remuer, avant qu'elle ne vienne s'occuper de ses fesses.

    Pour Christine, cet échange est mortifiant et infantilisant au possible, la porte de sa chambre grande ouverte, ayant diffusé l'écho de celui-ci aux oreilles des soeurettes qui ne manquent pas de mettre en avant leurs bonnes conduites, en retrouvant Maman.

    A suivre...., concernant Christinette.

    Amicalement, Dominique,

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  9. Chère Christine,
    Suite pour Christinette :

    Contrite, mais soumise à l'autorité, Christinette obéit aux ordres de Maman, quittant ses vêtements de jour, pour ceux de nuit, enfilant en l'occurrence une tenue plus propice à l'exécution de l'oeuvre correctrice maternelle et ceci, sur ses fesses aussi blanches que fraîches au toucher, comme trois semaines auparavant, sauf que les circonstances réveillent la pudeur de la demoiselle qui ne prolonge pas le constat.

    Ayant terminé ses ablutions, Christine regagne son antre épiée par les regards, dont celui accusateur de Maman qui ne manque pas d'en rajouter une couche à son encontre « Ca y est, tu es enfin prête ? Ne t'inquiète pas, j'arrive bientôt, j'arrive.... », un peu à l'image de l'épisode 23 « Bon, je vois que tu es prête. Je mets une machine et je reviens m'occuper de toi ! » à la seule différence que Maman s'attarde plus qu'à l'habitude auprès des petites.

    Néanmoins, l'expression maternelle énoncé calmement et de manière rassurante, ne trompe pas Christine, qui comprend que Maman la laisse mariner dans son jus et qui repliée sur elle-même, en obtient la confirmation, voyant arriver Maman chérie qui prononce un péremptoire « Bon, allez, à nous deux, Christine ! » signant la défaite de la demoiselle, qui devra boire le calice jusqu'à la lie.

    A suivre, toujours pour Christinette, malheureusement..........

    Amicalement, Dominique,

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  10. Une jolie série de commentaires de Dominique, très en verve décidément, et je ne m'en plaindrai surtout pas... Même si cela agacerait une Christinette n'appréciant pas que l'on dissèque ainsi des moments bien gênants pour elle...
    Au passage, bon anniversaire, avec du retard donc, pour le commentateur zélé.

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  11. Bonne analyse en particulier de ces moments entre la sortie de table de Christinette, la peur au ventre qui s'exprime physiquement, qui nous l'estomac, et l'entrée en scène de Maman, entrecoupée de deux premiers passages qui ne font que confirmer l'imminence de la fessée, tout en jouant aussi sur les nerfs de la future punie qui n'a, bien entendu, aucune envie que les événements se précipitent pour se retrouver sur les genoux maternels, mais dont l'attente est peuplée de peur, d'angoisse anticipatrice que le "j'arrive bientôt" ne fait que cultiver. Sans oublier cette demande maternelle que sa fille se mette en pyjama, et qui est traduite par se mettre en tenue de fessée, impliquant que Christinette non seulement se prépare mentalement, mais aussi se prépare physiquement, pour que ses fesses soient "prêtes" à être déculottées...

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  12. Chère Christine,

    Le commentateur zélé vous remercie pour l'attention à son égard, vous ne pouviez pas savoir, mais peut-être que vous l'aurez noté pour l'avenir.

    Sinon quitte à agacer Christinette, bien sur que celle-ci est dans l'angoisse anticipatrice et la peur du moment à venir, ne voulant surtout pas le précipiter, en connaissant trop bien les effets pour ses petites fesses qui n'en demandent pas tant et les « j'arrive bientôt » de Maman ne pouvant que décupler cette crainte de la punition.

    Tant qu'à la mise en pyjama, ordonnée par Maman, celle-ci ne peut qu'imprimer à l'esprit de Christine qu'elle enfile la tenue adéquate, pour la fessée qu'elle mérite aussi infantile, que copieuse à souhait, Maman n'ayant aucune difficulté à dévoiler la lune qui se présente à elle.
    D'autant que Maman fait rougir les fesses et non le fond de la culotte, qui ne peut changer de coloration qu'au lavage en machine et n'est pas concernée par la bêtise du récipiendaire.

    A bientôt, pour la suite et désolée pour Christinette, qui néanmoins le mérite !

    Amicalement, Dominique,

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  13. Encore un "rebond" de Dominique, dont j'ai validé juste avant cinq messages, auxquels s'ajoutent les analyses des deux précédents épisodes par un Mardohl qui rattrape son retard, je suis gâtée de chez gâtée... Merci à vous deux.

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  14. Chère Christine,

    En effet, gâtée vous l'êtes par vos fidèles lecteurs et ceci, à mon sens, n'est que la juste récompense à votre talent, comme pouvait l'être la « juste » bonne déculottée de Maman, pour les frasques d'une Christinette tardant à grandir.

    Ceci dit, j'ai grandement apprécié les commentaires de Mardohl, même si tout comme vous, mes références littéraires sont encore plus limités, mais pour le rejoindre sur le plan biblique (étant un profond athée), je confirme que si vos textes font penser à la Bible, une place au paradis vous est amplement réservée (enfin le plus tard possible), comme le baissée de votre culotte à une certaine époque, hi hi....

    Petite touche amicale, du facétieux Dominique, ravi du retour de son compère.

    Amicalement, Dominique,

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  15. Bonjour Christine.

    Bravo d'abord à Dominique, et à Mardohl de retour sur votre blog, pour leurs brillants commentaires. Il manque peut-être d'ailleurs une ou deux lectrices qui pourraient elles aussi apporter de tels commentaires approfondis.

    Il est vrai qu'il n'est jamais bon de tenter de résister en faisant obstacle avec ses mains ou ses pieds pour essayer d'échapper à la fessée. Ma mère appliquait les mêmes sanctions que la vôtre lorsque je me risquais à ce genre de résistance.

    - Entre 6 et 8 ans environ (mes premières "vraies" fessées maternelles, c'est-à-dire fortes, longues et déculottées), ça me valait presque toujours une première fessée, puis une petite pause de quelques secondes (j'avais vite compris que le non-relâchement de maman n'annonçait rien de bon), puis une deuxième fessée, aussi forte et aussi longue que la première.

    - A 8 ans, alors que je venais de me prendre une énième magistrale fessée, mon frère, alors âgé de 6 ans et lui aussi "déjà" habitué à la fessée maternelle, me consola (j'appréciais, de la part de mon petit frère) et me dit : "Tu es bête, Louis, de te débattre, tu sais bien que maman sera toujours la plus forte, laisse-toi faire, ça t'évitera une deuxième fessée." Avec du mal, je suivis souvent ses conseils par la suite. Non sans mal. Quand maman me disait par exemple :"Enlève tes pieds !... ENLEVE TES PIEDS, OU JE T'EN COLLE LE DOUBLE. TU SAIS QUE JE L'AI DEJA FAIT ! JE COMPTE JUSQU'A TROIS ! UN, DEUX..." En entendant ces menaces qui ne pouvaient être vaines, et peut-être inconsciemment suite aux conseils de mon petit frère, j'obtempérais. Il m'arrivait de temps à autre de remettre mes pieds (mes bras et mes mains étaient solidement immobilisés par maman) : je le faisais une seule fois pendant la fessée, mais la nouvelle menace de maman annoncée d'une voix forte me faisait rabattre mes pieds immédiatement.

    - C'est vers 11 ou 12 ans que je me remis à résister davantage. Je vous rappelle que maman donnait presque toujours la fessée en position debout, en me courbant sous son bras gauche et en me soulevant à l'horizontale, à un mètre du sol. Quand je laissais mes pieds rabattus sur mes fesses et que les menaces n'y faisaient rien, elle me reposait au sol, puis s'asseyait et me mettait dans la position classique (couché sur ses genoux, position que vous connaissez très bien, chère Christine). Je comprenais que ça n'annonçait rien de bon. Elle pouvait ainsi me coincer les jambes entre les siennes, en me prenant "en ciseaux". Elle m'annonçait que j'allais vraiment regretter mon acte de résistance. Ca me valait en effet généralement une double fessée. Ma cousine, qui une année était venue avec nous en vacances (elle avait 12 ans), avait aussi tenté de résister à sa tata, elle aussi n'avait pas été déçue du voyage.

    A bientôt, amicalement.
    Double-fesseusement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  16. Chère Christine,

    Merci à Louis, pour l'éloge simultanée, que je rejoins sur l'absence de certains (es), qui pourraient sans nul doute, apporter une pierre à l'édifice de la conteuse, mais peut-être n'ont-ils pas l'envie de s'exprimer ou bien, la force d'encaisser les revers de médaille, que Christine sait adresser, lorsqu'on déborde du sujet !

    Pardonnez-moi, Chère Christine, de prendre en quelque sorte votre place et répondre à Louis, en toute sympathie, dont j'apprécie les commentaires (même scolaires, que je n'ai pas connu, à l'inverse de ma fratrie plus âgée, sauf Monique) et j'ose espérer que cela, n'entamera en rien, votre propension à l'écriture, ainsi que nos remarques, au seul risque d'agacer une Christinette déjà en proie avec la déontologie maternelle intangible et plus que concrète, pour une partie de son anatomie.

    Je suis une nouvelle fois désolé, Christine (ette ou nou), mais j'ai le sentiment (peut-être à tort) que cette lune Christinienne, doublement cuite par la main experte de Maman en ce jour, connaîtra d'autres réchauffements similaires, pour des choses oubliées ou des promesses non tenues, Maman, elle ! Tenant les siennes.

    « Mais, comment fait-il ? » Il n'est ni devin, ni fils de Zarathoustra et encore moins l'Archange Gabriel, annonciateur de bonnes nouvelles, qui serait pour la demoiselle (en devenir), plus de fessée, nooonnn ! çà suffit ! ».
    « Oh, Oui, seigneur ! Faites que Maman s'occupe des fesses de mes petites sœurs, plutôt que des miennes, qui ont amplement reçu, ce qu'elles méritaient ! »

    Sauf que pour cela, Mademoiselle Christinette, se doit de grandir et devenir la référence que Maman souhaiterait pouvoir présenter à tous et en particulier aux petites sœurs, pour qu'elles gardent le cap de la bonne conduite.
    Mais voilà Christine en a décidé autrement et demeure, malgré son âge, une gamine imprévisible qu'il faut de temps à autre, remettre sur de bons rails, par le biais de bonnes déculottées, certes moins aisées que pour les petites, mais ô combien efficace, au moins pour un certain temps !

    Voilà que je résonne, comme Maman Spaak, qui sait parfaitement ce que sa chère grande fille à besoin, pour redevenir la vraie Christine aux yeux et à la pensée de Maman chérie, ce qui n'est pas encore gagné à mon avis, mais je peux me tromper ?

    Amicalement, Dominique

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  17. J'avoue que Dominique n'a pas tort quand il dit que ce n'est pas gagné et qu'il va falloir encore quelques démonstrations d'autorité maternelle pour que Christinette comprenne et se remette sur les bons rails...
    Cela dit, pour rire, Dominique dit qu'il "résonne" comme Maman Spaak, mais en fait c'est "raisonne" qu'il fallait lire évidemment. Même si l'on peut considérer que lorsque Maman Spaak veut "raisonner" sa fille, cela "résonne" en effet dans la maison, mais il s'agit alors des claques sur la lune de son ainée et des pleurs et supplications vaines de celle-ci...

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  18. LE COMMENTAIRE DE MARDOHL (1)

    Remarquable épisode, en ce qu’il amène une variation originale et fort exquise.

    En effet, je ne m’attarderai pas sur ce qui, pour un lecteur assidu, relève de « l’attendu » : l’expectative angoissée d’une Christine prostrée dans sa chambre, ses réflexions presque désespérées de s’être bêtement laissé prendre, sa conscience qu’au vu des circonstances, la fessée promet d’être magistrale, la relation minutieuse de chaque action secondaire, les fausses alertes, les geignements réitérés puis les vaines tergiversations de la fautive, sa mise en pyjama, sa vision et son contact, comme trois semaines auparavant, de son postérieur encore intact, le ton calme et posé de votre mère annonçant le pire des orages, le réflexe futile de Christine agrippant l’ourlet de son pantalon de pyjama pour empêcher sa mère de le baisser.

    Mais là nous avons droit à du nouveau, de par la parade « inédite » comme vous l’écrivez vous-même, de Madame Spaak : cette fois, elle ne recourt pas à la force, mais laisse à sa petite rebelle de fille le soin de lâcher elle-même l’étoffe. (Le texte fait montre sur ce point d’une certaine confusion : est-ce son bas de pyjama ou sa culotte que Christine retient ?) Du coup, réalisant le « ridicule » de sa défense et aussi de la situation, comprenant en outre que ce faisant elle ne réussit qu’à aggraver son cas, Christine desserre d’elle-même ses doigts, dans une acceptation finalement clarifiée, bien que tardive, du châtiment et de ses aléas vestimentaires, laissant toute latitude à sa Maman pour la déculotter sur un commentaire bien vexant.

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  19. Précisons à Mardohl que dans mon souvenir, c'est la culotte que je tentais de retenir, le bas de pyjama ayant déjà été en partie baissé.
    J'apprécie que mes commentateurs zélés relèvent ce détail qui est assez fort dans ma mémoire. Maman qui n'utilise pas la force, me fait en effet comprendre combien mon attitude est vaine, combien je ne fais qu'aggraver mon cas en n'obéissant pas à ses ordres. C'est une manière d'en appeler à mon raisonnement de grande pour accepter l'inéluctable déculottée...
    Mais, autant lorsque Maman me forçait à lâcher, j'avais l'impression de ne rien pouvoir faire d'autre, autant là en faisant ce geste de relâcher ma culotte moi-même, j'avais l'impression que je disais : "Oui, Maman, finalement, tu as raison, ce que j'ai fait mérite que tu baisses ma culotte pour me donner une bonne fessée..."
    Qu'en pensez-vous ?

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  20. LA SUITE DU COMMENTAIRE DE MARDOHL

    Je ne gloserai donc pas davantage sur ce déculottage méthodique, procédurier, celui des tannées des grands jours, ni sur la fessée elle-même, comme toujours découpée en trois phases, exemplaire à souhait, administrée « généreusement » par une mère sûre de son fait, avivant la honte de sa fille par des commentaires condescendants mais pleinement justifiés, sur les fesses nues de son aînée sanglotante et suppliante, mais dont les promesses arrachées par la douleur ne tiennent pas devant l’évidence des faits : non, malgré la correction précédente, Christine n’a pas encore compris qu’il ne sert à rien de mentir.

    Car c’est la péripétie suivante qui suscite mon enthousiasme. La fessée terminée, alors que Christine, sonnée pour le compte, commence à se reculotter (belle illustration au passage, tirée des mésaventures d’Ellie Maye n’est-ce pas ?) voilà que sa maman la rebascule en travers de ses genoux. Christine ne comprend pas ce qui lui arrive, pas plus que le lecteur. Au sortir de la correction, selon l’ordre établi du processus auquel vous m’avez habitué, je m’attendais à ce que notre narratrice ne remonte son pyjama et ne se mette au lit. Mais non, sa Maman la remet en position, malgré ses protestations et ses gigotements. Quelle contingence inattendue ! Personnellement, j’ai été frappé (au sens figuré, tandis que l’héroïne l’est au sens propre), comme si au terme d’un film, j’avais vu le scrolling du générique de fin brusquement s’inverser, ou au théâtre à l’issue du dernier acte, le rideau qui commençait à se fermer inexplicablement se rouvrir. Je me suis souvenu de la chanson d’Elmer Food Beat, « Si tu veux m’arrêter », qui reprend alors qu’on la croyait terminée. (Certes le registre en est éloigné de l’esprit de votre blog, mais en faisant fi du contexte, on pourrait presque attribuer certaines des paroles de ce morceau à votre mère : « Je peux te faire crier plus fort », « Surtout ne crois

    pas que je pourrais baisser les bras, surtout ne crois pas que tu vas t'en tirer comme ça », « Je ne suis jamais fatigué[e] », « Ne compte sur ma démission, je suis prêt[e] pour l'exécution », « Je ne ferai jamais faux bond », etc. En résumé, je m’avoue m’être montré aussi avide que l’intéressée à connaître la raison du revirement maternel.

    L’explication intervient, après une claque terriblement douloureuse sur l’épiderme écarlate, sous lequel la punie bat des pieds dans l’air, puis finalement enfin se calme : pour avoir tenté de se dérober à la fessée, la patiente aura droit à un petit supplément, à savoir une rallonge d’une douzaine ou d’une quinzaine de claques, accompagnées d’un sermon en effet des plus humiliants, des plus « infantilisants » selon vos termes (d’autant plus que les petites sœurs l’ont parfaitement entendu) : « [O]n n’empêche pas sa Maman de baisser sa culotte quand la grande fille l'a mérité » rappelant à la préadolescente Christine que lorsque la toute-puissante volonté maternelle l’exige, elle revient sans rémission au statut de fillette qui se doit systématiquement, même au prix de sa pudeur, de sa fierté, d’obéir sans faille aux ordres. Alors oui, quand sa mère s’en va border les petites, Christine peut à bon droit sentir ses oreilles siffler, et je ne doute pas que dans les jours à venir, Aline et Diane reprendront des extraits du discours maternel pour se moquer de leur grande sœur.

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  21. C'est vrai que ce petit "bonus" comme l'on dirait maintenant, sorte de rajout claquant, qui arrive alors que je me relève et que je dois replonger en travers des cuisses maternelles, est particulièrement marquant, humiliant, déroutant après une tannée qui a été pourtant en règle et magistrale.
    Maman aurait pu enchainer alors que j'étais en position, mais cela m'aurait paru faire partie de la fessée initiale. Jouer sur le registre : "Ce n'est pas fini, reviens ici", simulant presque le : "Au fait, j'allais oublier, mais il faut aussi que je te punisse pour cette désobéissance et cette résistance stupide", c'était en effet plus marquant, plus notable dans ma mémoire, et aussi plus remarquable pour deux soeurettes aux aguets, les oreilles grand ouvertes...
    Ce n'était pas non plus une deuxième fessée pour autant, mais une séquence supplémentaire avec cette action symbolique de me retrouver à nouveau sur les genoux maternels...

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  22. LE COMMENTAIRE DE MARDOHL (3e partie et fin)

    Je rends hommage au passage à « l’érudition spaakienne » de Dominique qui cite avec pertinence cette promesse énoncée au chapitre 16 de la série en cours (je me souviens aussi que Christine avait déchiré son bloomer jaune en voulant empêcher sa maman de le descendre). Ne désirant pas demeurer en reste, je vais également lier cette péripétie à un épisode antérieur. Dans « Juste une question en forme de dilemme » qui précède tout juste le commencement de « Chronique d’un redoublement », Christine, pour avoir fait attendre sa Maman en se cachant, y reçoit « un petit supplément claquant ». Supplément détaillé ici de la plus belle des manières. Jugeons que dorénavant, notre effrontée de service réfléchira à deux fois avant de se soustraire aux justes desseins maternels.

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  23. Mardohl (dont j'ai découpé le commentaire en trois morceaux pour des raisons techniques de ce site) a donc rattrapé son retard et j'en suis ravie, en espérant encore des rebonds des uns et des autres et des commentaires aux commentaires, consciente que je suis que cet épisode était particulièrement notable.
    En tout cas merci aux deux fidèles en particulier qui font preuve d'une connaissance spaakienne presque supérieure à la mienne, puisque j'essaie de ne jamais relire mes textes précédents, quitte parfois à me répéter, mais pour ne pas perdre en sincérité et pouvoir exprimer souvenirs et ressentis comme je les perçois au moment où j'écris.

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  24. Chère Christine,
    Vous me voyez heureux de savoir mes commentaires agréés de votre part.
    Je précise en passant à Dominique, qui a souligné mon « érudition biblique », que je peux me montrer bien éclectique dans le choix de mes références littéraires, puisque comme il l’a constaté lui-même sans doute, je recours tout aussi bien au répertoire d’un groupe de rock alternatif des années 80 connu pour son humour paillard.^^

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  25. Chère Christine,

    Merci pour la correction orthographique et joli rebond sur mon erreur, que je partage, tant il vrai que les murs de la maisonnée Spaak résonnait fort, lorsque Maman s'entretenait avec les fesses de son aînée, pour lui faire entendre raison et nous avons la preuve, avec cet épisode très riche en rebondissements (surtout pour la lune de Christinette) et nous incite à rebondir, mais de manière moins douloureuse que la main maternelle, pour Christinou.

    De fait, Mardohl toujours aussi pertinent, vous (et nous) sert un commentaire très juste sur les novations de l'épisode, avec (cette fois) une référence qui m'est plus familière que la littérature « Elmer Foot Beat » et j'avoue que la comparaison est fort judicieuse.

    Pour rester dans le domaine du référentiel et rebondir au troisième paragraphe Mardohlien (à qui je retourne l'hommage), je citerais pour l'anecdote (le motif étant différent) l'épisode 40 de cette chronique « La rancoeur est mauvaise conseillère » ou notre Christinette, têtue et impertinente « Euh, rien, j'ai rien dit. Non, tu as rêvé. » s'offre une deuxième tournée maternelle, alors que ses fesses digèrent à peine la première donner sous les yeux des petiotes.

    Et j'en arrive, à penser, que si la Christine de l'époque grandissait, elle avait bien du mal à se départir de ses contradictions, rejetant de plus en plus ce principe punitif maternel qui l'infantilisait, tout en reconnaissant (difficilement) que ne faisant pas les meilleurs choix (au bon moment), elle ne pouvait espérer d'autres réponses de la part d'une mère attentive à l'éducation de ses filles et conforté dans ses choix, par leurs comportements, après coup, même si cela ne durait pas autant que les contributions.

    Tout ceci, pour dire que ce refus viscéral de Christine depuis son plus jeune âge, vis à vis de la fessée maternelle (insupportable et honteuse), a du s'accroître (mais je peux me tromper) avec son développement physique et mental, l'amenant à en contester plus fortement l'exécution, par des gestes ou des paroles non contrôlés, lui valant alors quelques « redoublements maternels justifiés et mérités ».

    Chère Christine, emporté par l'élan Mardolhien, je me suis laissé aller à pondre cet écrit (sans aucune intention de psychanalyse), alors que j'avais entamé une suite sur l'épisode qui sera livrée, bien sur, mais un peu plus tard et j'ose imaginer que celui-ci, aura vos faveurs, même s'il met en valeur « L'érudition Spaakienne » que je partage avec Mardohl, nous permettant l'un et l'autre d'apprécier l'ensemble de l'oeuvre et son background.

    Amicalement, Dominique,

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  26. Chère Christine,
    Petit plus Dominicain.

    Tout comme vous, je suis ravi du retour Mardohlien et j'espère en lire d'autres, de la même teneur.

    Tant qu'à notre connaissance Spaakienne respective, soi-disant plus riche que la votre (ce dont je doute), je ressens ce remerciement telle « une caresse dans le sens du poil » comme on dit, de la part d'une conteuse ayant gardé son charme d'adolescente juvénile, afin de titiller la réactivité de son lectorat et plus précisément à deux de ceux-ci, sans rejeter les autres (à l'inverse des fessées maternelles) qui sont peut-être plus disponibles.

    J'y vois là, la marque de la Christine collégienne, qui sous le sceau de la sincérité, tente de justifier l'un de ses travers favoris, à savoir : peu d'effort dans le travail quotidien, du genre qui peux le plus, peux le moins et se reposant sur ses soi-disant acquis ou une aide extérieure, pour combler ses lacunes et se la couler douce, en toute impunité, je suis sur que vous me comprenez.

    Ceci dit, je comprends l'idéologie de la Christine adulte « propriétaire de la lune » dont elle retranscris avec bonheur et talent, les déboires d'une certaine période.

    Amicalement et avec humour, Dominique,

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  27. Dominique et Mardohl qui semblent faire un concours de références spaakiennes, voilà qui me ravit. Effectivement, il y a eu diverses autres situations où une fessée a connu des rebondissements, j'allais dire des rebondissements "postérieurs", mais cela prête à confusion, hi hi.

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  28. Chère Christine,

    Ravi de vous ravir, Chère Christine, par le biais de l'imaginé 'concours' entre Mardohl et moi, sur les références spaakiennes, cette inscription virtuelle étant à mon sens, purement fortuite ou emprunte de l'intérêt commun que nous portons à votre blog et d'un respect mutuel, l'un envers l'autre, ainsi qu'à vous-même.
    J'en profite, d'ailleurs, pour dire à mon 'compère' que je n'avais aucun doute sur son éclectisme en matière de références, celui-ci ayant pu lire mon premier commentaire du 17/10.

    Sinon, pour en revenir à Christine et sa reconnaissance feutrée, sur d'autres situations à double rebondissements, la chère conteuse aurait pu dire « Effectivement, il y a eu d'autres fessées 'antérieures', à rebondissements 'postérieurs' », donc sans confusion et évitant, ainsi, l'impertinence récurrente de la demoiselle !

    Mais bon ! Nous autres lecteurs assidus savons que Madame Spaak, veille au grain et que la soi-disant grande fille (encore trop écervelée et inconstante dans l'effort) peut déjà se préparer, à quelques échanges particuliers, avec Maman chérie (enfin, surtout sa dextre!).

    Voilà, ce sera tout pour ce matin, Mademoiselle « j'sais pas grandir ! », signé le taquin facétieux.

    Amicalement, Dominique

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  29. Taquin, oui, Dominique l'est. Je vais l'appeler Diane bis si ça continue... Car ce n'est pas parce que chacun se doute bien que Christinette n'en a pas fini avec les rendez-vous sur les genoux maternels, qu'il faut lui rabâcher... Surtout quand, au point où nous en sommes dans le récit, elle a encore la lune écarlate et voit Maman s'éloigner vers la chambre des petites où nul doute qu'il va y avoir des commentaires...

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  30. Oh là ! Voilà que la demoiselle voudrait me surnommer 'Diane bis' et peut-être même demander à Maman Spaak de s'occuper du garnement, qui ni non content d'assister virtuellement, aux déconvenues fessières (méritées) de la grande Christine, insiste sur le fait que ce ne sera sûrement pas la dernière pour elle et s'en fait des gorges chaudes en compagnie des soeurettes.

    Certes, je reconnais que 'Diane bis' n'est pas très gentil avec 'Cri-Cri', mais ce n'est tout de même pas de sa faute, si celle-ci a le don de se fourrer dans de sales draps, conduisant Maman à lui baisser sa culotte pour la fesser et puis, bon, ce serait dommage qu'avec les soeurettes, ont soient privées 'décibels' chansons de Christine, hi hi........ !

    Stop ! 'Diane bis' (j'apprécie l'idée, pleine d'humour) se tait, ne voulant pas que sa chauffe pour son matricule !

    Amicalement, Dominique,

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  31. Puisque Dominique surenchérit dans « l’érudition spaakienne », je me dois moi aussi, par saine émulation, de mentionner un autre passage de ce blog dans lequel le postérieur fautif de Christine subit des prolongations.
    Ainsi le chapitre « Quand maman devine mon angoisse (suite 4) », daté du 13 janvier 2010. Christine, persuadée d’avoir été punie à tort, se rebiffe au sortir d’une fessée en renversant d’un coup de pied une corbeille à papier. Futile rébellion immédiatement sanctionnée par sa mère d’une seconde déculottée, rapide et efficace, rappelant à notre petite impertinente qui commande à la maison.
    Et pour plonger plus en arrière dans les annales… Le fugace opus théorique « Ne me regarde pas comme ca, sinon… » daté lui du 27 septembre 2009, dans lequel la narratrice avoue qu’en une occasion (qui n’a par ailleurs encore jamais été décrite sur votre blog), elle a, après une fessée, quitté la pièce « en claquant la porte », laissant entendre qu’en conséquence et sans délai, cela lui a claqué ailleurs.

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  32. Pff, comparer mes pleurs à une chansonnette ! Ce Dominique est un sans coeur qui se moque de Christinette quand elle est sans culotte...
    Mardohl, pour sa part, remonte à quatre ans en arrière pour trouver un autre épisode où il y a eu une prolongation cuisante. Et que je n'aurais pas décrite complètement. Bon, il faudra un jour que j'aille voir ce qu'il y a à compléter, mais pour l'instant je dois en finir avec cette chronique de l'année de redoublement, sinon je vais m'y perdre. En tout cas, connaissant Maman, il est évident que "claquer" une porte ne pouvait que conduire sur ses genoux pour se faire "claquer" les fesses...

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  33. Chère Christine,

    Bravo à Mardohl, pour le rappel des ce épisodes que j'avais également en tête et notamment celui non écrit par Christine « après avoir claqué la porte », je suis sur que son récit serait tout aussi riche que le reste de sa production, comportant quelques nouveautés qui sait (telle qu'une tentative de fuite, en voyant Maman et son regard noir, débouler dans le couloir).

    Bon je m'égare un peu et je ne suis pas certain que Christinette, apprécie autant que nous ces rappels fâcheux pour sa lune, alors faisons confiance à sa grande sœur virtuelle pour combler les vides et laissons nous porter par la chronique du moment, que Christine doit poursuivre.

    Tant qu'à la comparaison de vos pleurs à une chansonnette, je reconnais que ce n'est pas très gentil pour une Christinette déculottée, mais je crois me souvenir que la grande Christine n'avait hésité à se moquer du petit Minot, dans la même position. Ceci n'étant qu'un petit retour d'ascenseur taquin.

    Amicalement, Dominique

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  34. A moqueur, moqueuse et demie ! Mais, pour une fois ou deux que je l'ai fait, combien de fois avez-vous souri ou ri sous cape des mésaventures de Christinette ?
    Cela dit, oui, je tâcherai un jour de combler les retards ou de répondre aux interrogations des fidèles analystes. Mais, ce n'est pas le sujet, puisque le récit actuel a laissé Christinette agenouillée, la lune écarlate, même pas encore reculottée...

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  35. Chère Christine,

    J'admets, en effet, que Dominique s'est mu plus fréquemment en 'Diane bis' à l'encontre de Christinette que l'inverse, mais cela tient aussi du fait que les déboires fessiers de Christinou sont bien plus nombreux, que ceux du petit Minot (dont un en cours), n'est ce pas Chère Conteuse ?

    Sinon, je vous fait confiance (et je ne suis pas le seul) pour répondre aux aimables sollicitudes de vos fidèles analystes et je suis d'accord avec vous, que là, n'est pas le sujet du moment présent ou
    Christinette vient à peine de quitter le giron maternel, après une volée magistrale pour ses travers et un supplément, plus court mais bien cuisant, auquel elle ne s'attendait pas, pour sa rébellion.

    Il est vrai, que l'on vient de quitter, une Christinette en larmes, prostrée, les fesses en feu et toujours à l'air et devant maintenant digérer cette double tourmente, ce qui à mon sens, ne sera pas chose facile, car au delà de la tannée magistrale prévisible pour la succession de motifs, la fifille s'est vu gratifier d'un bonus aussi inattendu, que douloureux.

    J'imagine donc bien, Christinette, focaliser et s'interroger, durant l'après fessée, sur cet élément l'ayant totalement déstabilisée, car si celle-ci n'avait aucune illusion pour l'avenir de sa lune, après la découverte maternelle, jamais elle n'aurait imaginer un tel final pour ses pauvres fesses déjà considérablement tannée.
    Mais je laisse la plume (ou plutôt le clavier) à notre conteuse, pour éclairer notre lanterne à ce sujet, tout en sachant déjà que la suite 66 ne manquera pas de richesse.

    En attendant, je vais poursuivre ma dissertation sur l'épisode présent, pour la livrée à Christine et aux lecteurs, pour d'autres rebondissements.

    Amicalement, Dominique

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  36. Merci de me laisser la plume, Dominique. Mais, j'attends donc aussi la suite de votre "dissertation sur l'épisode présent"... Cordialement.

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  37. Chère Christine,

    Belle pirouette, de la conteuse ! Qui pour ne rien laisser paraître sur la suite, renvoi avec délicatesse et cordialité, son fidèle lecteur à ses devoirs, permettant à la 'Championne du monde' du temps gagné, de différer les siens et je reconnais bien là, la patte Christinienne !

    Néanmoins, je répondrais à l'attente de Christine, dés que possible, supposant que celle-ci sera moins difficile à supporter, que certaines du passé.

    Amicalement, Dominique

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  38. Chère Christine,
    Suite pour Christinette :

    Pour Christinette, plus d'échappatoire, Maman s'installe à cette place qui est la sienne lorsqu'elle doit corriger sa grande fille, bien au centre du lit, pour plus d'aisance dans l'action, faisant taire sa fille d'un geste enfantin, en précisant qu'elle n'est pas là, pour faire la conversation, mais pour la bonne fessée que la demoiselle a de nouveau méritée et qui ce renouvellera, autant de fois que nécessaire.
    Maman insiste sur le fait, que le temps de la rigolade est révolu et que la faire attendre, n'est pas la bonne option pour Christine, dont le dossier est déjà bien chargé.

    Christinette, résignée face à l'issue fatale et l'autorité naturelle (respectée) de Maman, s'approche en silence, se laissant basculer sur les genoux maternels dans une sorte d'acceptation de l'inéluctable, étant même félicitée (avec ironie) pour cette obéissance passive, muée par la crainte et la honte d'être entendue.
    Néanmoins la peur viscérale de la fessée maternelle, fait réagir Christinette qui tente alors, par pudeur et crainte, d'empêcher Maman de mettre à nue, une nouvelle fois, cette partie anatomique privée, sauf que pour Maman : fessée rime avec déculottée, surtout avec l'aînée !

    Christinette s'accroche alors comme un beau diable à l'élastique de sa culotte et là surprise, Maman malgré une tape ou deux sur la main, adopte une nouvelle stratégie, invitant sa fille à lâcher prise « Enlève ta main, Christine, j'attends ! » et ajoutant après un silence, qu'elle a tout son temps, pouvant s'il le faut garder sa fille sur ses genoux toute la soirée, pour accomplir sa tâche et que plus celle-ci est retardée, plus elle sera longue.

    Christine évaluant le ridicule de la situation, sachant qu'elle ne sortira pas vainqueur de ce baroud inutile, cède à l'autorité maternelle et s'en voit même félicitée par Maman, mais de façon ironique et infantile « Ah, ma grande fille, se rend enfin à la raison, pour que Maman puisse lui donner la bonne fessée qu'elle mérite et comme elle en à l'habitude, sur des fesses découvertes et non sur un fond de culotte, surtout pour une demoiselle en devenir ».

    Nouvelle défaite pour Christinette, qui déculottée (au sens propre, comme au figuré) par le stratagème maternel, abdique toute résistance, comme si elle lançait une invitation à Maman de baisser cette culotte, qui au fond, ne pourrait que la gêner dans son œuvre correctrice.

    Dés lors, Maman s'assurant que le champ est libre (main de Christine bloquée), s'attache à dévoiler le théâtre des opérations, de façon ordonnée, sans gestes brusques, méthodiquement, pour dégager amplement (devant comme derrière) la cible à atteindre et pouvoir ainsi contrôler, de visu, son évolution (du blanc au rouge).

    Christinou, mortifiée et gémissante en murmure (petiotes à l'écoute), ne pouvant, de par sa position, qu'apercevoir qu'un petit quart de sa lune blanche, comprend et ressent (glissée de culotte), que Maman en a une toute autre vision et tremble alors, comme une feuille, à l'idée de l'orage qui va suivre, sans illusion sur l'intensité avéré de celui-ci, mais ce sera pour plus tard.

    A suivre..........


    Amicalement, Dominique

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  39. Ah, que voici un beau commentaire, Dominique reprenant méthodiquement les différents moments de cette scène bien difficile à vivre pour Christinette qui n'a aucune illusion sur ce qui l'attend, mais où Maman en appelle à sa raison de grande fille, pour qu'elle lâche cette culotte, et que son ainée reçoive la punition des gamines. Etonnant jeu qui amène une grande à comprendre qu'elle doit recevoir la fessée comme une gamine parce qu'elle s'est conduite comme une vilaine petite menteuse...
    Etonnant jeu qui fait qu'en relâchant ce dernier rempart de sa pudeur, la grande fille accepte symboliquement sa déculottée, ne cache plus son bas du dos, comme si elle présentait sa lune en cadeau, que Maman n'a plus qu'à déballer pour qu'elle les rougisse copieusement.
    Ces fesses, Christinette les cache aux yeux de tous, elle se change pudiquement à l'abri des regards, elle crie si une petite soeur entre quand elle prend sa douche, et même à la plage ou à la piscine ne change pas de maillot sans s'entourer d'un drap de bain, et n'ose même pas faire pipi dans la nature, cherchant l'endroit le plus reculé, le plus à l'abri si cela doit arriver, bref cette Christinette pudique se trouve dans cette situation étrange de devoir dire par son geste : Maman, oui, je ne cherche pas à t'en empêcher, oui tu peux découvrir ma lune, oui, baisse ma culotte, tu verras, ma lune est toute blanche, je la garde au chaud, à l'abri de tout regard, de tout choc, elle est comme intacte, comme tu l'as trouvée il y a trois semaines jour pour jour, pour ma dernière fessée...
    Oui, Maman, j'arrête de retenir ma culotte. Je sais ce qui m'attend. Ma lune aussi. Depuis l'instant où tu as dit que je pouvais préparer mes fesses, et même je l'avoue dès l'instant où la prof m'a rendu cette copie avec une mauvaise, note, depuis lors, mes fesses attendent ta main...
    En tout cas, j'espère lire bien vite la suite du commentaire de Dominique (et de Mardohl si celui-ci veut rebondir à son tour), car le prochain épisode est quasiment fini, mais j'aime bien aller au bout des commentaires, chapitre par chapitre pour ne pas que les impressions se mélangent.

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  40. Chère Christine,

    Ravi de vous avoir fait plaisir, Chère Conteuse et il est vrai qu'il s'agit d'un 'étonnant jeu' entre une mère se devant de sévir et sa grande fille, qui sait au fond d'elle même qu'elle mérite d'être punie, mais ne peux se résoudre à cette punition de gamine, alors que dans les faits elle se comporte comme une vilaine petite fille.

    Il est aussi vrai, que ce refus chronique de la fessée par Christinette, est en parti du à sa pudeur viscérale, contrainte d'exposer ses fesses, que d'ordinaire elle s'efforce de protéger des regards et dans le cas présent, aussi étonnant que cela puisse être, la demoiselle par ce geste de repli (signant sa défaite) fait comme une offrande à la main séculière de Maman, tel un cadeau de l'après Noël, le même présent ayant déjà été offert, lors d'un vendredi de l'avant.

    Sinon, en dehors de ce rebond, je vais faire en sorte de vous livrer au plus vite la suite de mes réflexions, afin de ne pas perturber la production Christinienne et sa rédactrice en chef, mon récit personnel avec Tata et les chipies, ce sera pour plus tard. Amitiés.

    Amicalement, Dominique

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  41. Pfff..., appeler cela "un cadeau" d'après-Noël ! Ma lune fraiche et intacte depuis trois semaines que Maman n'a plus qu'à dévoiler puisque j'ai relâché ma main ? Quelle drôle d'image quand même Dominique ! J'aurais préféré faire un beau dessin à Maman, lui acheter des fleurs, ou je ne sais quoi comme cadeau, pfff...

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  42. Chère Christine,

    Oh là, là ! Je sens Christinette très vexée par le vilain Minot, qui se moque encore d'elle et de ses pauvres petites fesses, bientôt mises à nue, pour un sale quart d'heure, plein de souffrance, sous la main maternelle.

    Ceci étant, Christine, j'avoue que l'image est saugrenue et j'imagine aisément qu'il ne s'agissait nullement d'un 'cadeau', pour votre mère, que de devoir à nouveau déculotter sa grande fille et lui administrer une bonne fessée, même si elle le méritait.

    Cela met venu, comme ça, après une nuit de travail, désolé pour Christinette et Christinou auxquelles je présente un mea-culpa sincère pour les moqueries et qu'elles pourront me pardonner, par la biais de la grande Christine.

    Amicalement, Dominique

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  43. Christine veut bien pardonner si la fin du commentaire arrive bientôt comme promis...
    Christinette a fait semblant de grogner évidemment, car l'image du cadeau était un peu saugrenue, à l'évidence. D'ailleurs, parfois, Maman disait justement qu'élever trois filles, ce n'était pas un cadeau...
    Cela dit, en effet, l'image de la punie qui lâche ce qu'elle tient en main est proche de l'image de quelqu'un qui tend un présent. Venir présenter son bas du dos, le poser sur les genoux maternels et ouvrir la main pour que Maman puisse en ôter "l'emballage" et découvrir une lune offerte, c'est comme s'offrir à la claquée maternelle...
    En tout cas, si ce n'est pas un cadeau, Maman semble alors ravie d'être parvenue à ses fins, et d'ailleurs, dès "l'emballage" retiré, elle s'en sert à sa manière...

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  44. Chère Christine,

    Je vois que la conteuse se fait gourmande, auprès de ses plus fervents (lecteurs/commentateurs) et comme je me compte (prétentieux) parmi ceux-ci, je vous livre la suite ci-dessous, pour obtenir la confirmation du pardon et ne pas chagriner davantage Christine, ainsi que ses clones, même cette fin n'aura pas leurs faveurs.
    Suite et fin :
    Maman satisfaite de la rédemption de sa soi-disant grande fille, peut alors entreprendre son devoir de 'reine mère' à recadrer cette demoiselle qui n'en fait qu'à sa tête, s'ingéniant à se comporter en fillette qu'elle n'est plus physiquement.

    Dés lors, pour Maman Spaak, pas d'alternative possible, elle se doit de faire comprendre à la donzelle que tôt ou tard, il faudra bien que celle-ci passe le cap de l'insouciance et s'éviter (c'est pas gagner) cette punition de vilaine petite fille.
    Maman, se lance alors dans une œuvre correctrice hautement spaakienne allant du vif au cuit à point (voir même très cuit), sur cette lune déjà présente sur ses genoux, trois semaines auparavant et ne peux donc, dans ce cas, que la gratifier, d'une nouvelle composition encore plus aboutie et plus prégnante.

    Christinette, vivant l'épreuve de l'autre coté, s'épuise au fur et à mesure, ne retenant plus ses émotions, malgré la présence des petiotes dans la pièce d'à coté et qui au final, totalement éreintée, conserve sa position quelques instants, se laissant choir du giron maternel en pleurs et une fois sur ses pieds, les fesses toujours à l'air, frotte sa gémellité endolorie par la tannée.

    Et là, oh surprise ! Voulant se reculotter (comme après chaque fessée), voilà que Maman l'interpelle de façon infantile « Pas si vite, Christine, pas si vite....) et l'attrapant de nouveau, la remet sur ses genoux toujours sans culotte.
    Christinette s'affole, sans penser à l'environnement, ne comprenant pas ce qui passe, se débat, mais une claque assourdissante s'abat sur ses fesses la faisant suffoquer et hurler de douleur, mais une nouvelle fois vaincue par l'autorité, rend finalement les armes.

    Maîtrisant parfaitement la situation, Maman qui n'en a pas fini avec Christinette s'exprime alors sur le pourquoi de ce retour inattendu pour sa fille, sur ses genoux :
    « Oui, c'est fini, Christine en ce qui concerne la punition, pour tes mensonges et tes cachotteries, mais ta rébellion de tout à l'heure et ce n'est pas la première fois, pour échapper à ce que tu mérites, en t'accrochant à ta culotte pour m'empêcher de la baisser m'exaspère également et je t'ai bien prévenue que plus tu me faisais attendre, plus la fessée serait longue, donc comme je tiens toujours mes promesses, je pense que tes fesses mérites un petit supplément que tu garderas aussi en mémoire, pour la prochaine fessée, s'il te venait à l'esprit de refaire la même chose ! »

    Tout en distribuant cette claquée supplémentaire à caractère didactique, insupportable pour une lune déjà bien cuite, Maman enfonce le clou, en assénant à Christinette un sermon plus infantile que jamais et tout aussi insupportable, pour une jeune fille en devenir, mais totalement mortifiée.

    Voilà, Christine, je me suis efforcé de faire le plus synthétique possible, pour vous satisfaire et ne pas entraver votre production, alors que moult détails auraient mérité d'être développés, tout comme j'aurais souhaité rebondir à votre réponse, tant pis et comme le dit l'adage : Qui peux le plus, peux le moins ! Amitiés tout de même.

    Amicalement, Dominique

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  45. Bon commentaire de Dominique qui a bien ressenti les moments forts de la scène, et le ressenti de Christinette. Et que ceci ne l'empêche pas de commenter encore, ou de rebondir sur ma réponse. J'aimerais d'ailleurs, même si c'est de façon de façon synthétique, connaitre la liste des détails qu'il aurait aimé développés.

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  46. Chère Christine,
    Rebond à votre réponse du 24

    Christinette avait de quoi grogner, je le reconnais, envers Dominique et son image saugrenue, cela revenant à dire que Christinou avait plaisir à présenter ses petites fesses nues, à la dextre maternelle, en guise de cadeau, ce qui était loin d'être le cas, je n'en ai aucun doute, alors je vous demande pardon les filles et vous fait un gros poutou, à toutes les deux, sans oublier Christine (liberté amicale de ma part).

    Ceci dit, Christine, je partage l'expression de Maman « qu'élever trois filles, ce n'était pas un cadeau » et j'ai souvent entendue, celle-ci, dans la bouche de Tata ou Maman.

    Et je vous rejoins, sur l'image de la punie (ou puni) lâchant prise, peut avoir l'aspect d'un présent que l'on offre à Maman chérie, presque impatient qu'elle déballe le colis, sauf que dans ce cas, la découverte 'du cadeau' étant sa lune, c'est comme si on disait à Maman « Tiens, Maman ! Je t'offre mes petites fesses, pour que tu puisse les claquées comme elles le méritent » et j'avoue que là, mon image de 'cadeau' était bien saugrenue, mais bon c'est fait, alors j'assume.

    D'autant, que si pour Maman Spaak cela ne ressemble en rien à un présent, celle-ci peut néanmoins savourer sa victoire, sur sa tête de linotte de grande fille et lui démontrer, une fois 'l'emballage' retiré, qu'elle en maîtrise parfaitement le mode d'emploi.

    Amicalement, Dominique

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  47. Chère Christine,

    Alors comme çà, Dominique (tout comme Mardohl), aurait servi un bon commentaire à la conteuse, digne du ressenti de la Christinette de l'époque, ce que je trouve fort aise, mon égo étant flatté et je ne m'en plaindrais pas.

    Cependant, il m'avait semblé que la conteuse, prise d'une soudaine envie de servir son lectorat, ceci dans un esprit de continuité sans interférence, m'invitait à livrer au plus vite la fin de ma réflexion sur l'épisode, alors que j'avais écrit 'à suivre' et voilà t-il pas qu'en réponse, celle-ci me réclame d'autres commentaires et des rebonds ?

    En fait, j'y vois là, pour la grande Christine, une transposition, du principe contradictoire qui tenaillait son clone (Christinette) pour les situations délicates face à Maman (mauvaise note, colle, lignes à copier ou bêtise non découverte, tel le feutre souillant plusieurs vêtements et bon à jeter) et qui se creusait, alors, les méninges pour en atténuer (sachant qu'elle n'y échapperait pas) les conséquences.

    Ceci étant la pensée, du travailleur de nuit, qui se rend compte qu'il est tombé dans le panneau, d'une Christine aussi rusée qu'un sioux et qui n'a rien perdu, de son charme d'antan.


    Amicalement, Dominique

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  48. Chère Christine,

    Comme d'habitude, Christine, ayant été aux abonnés absent durant le week-end ou peut-être n'avait telle rien à répondre au commentaire du facétieux Dominique, qui ayant fait mouche, a surpris la conteuse, la laissant sur le c......., vous savez cette partie tendre et charnue que Maman vient d'honorer de belle façon, donnant l'occasion à Christinette de réfléchir à sa déconfiture.

    Néanmoins, je vais me faire plaisir de répondre à la demande de la conteuse et lui livrer ma réflexion sur les quelques détails que cette volée m'inspire, mais qui n'aura certainement pas les faveurs de Christinette.

    Dialogue d'avant fessée et mise en place homérique:
    Christinette voyant Maman s'asseoir à cette place qui veux tout dire, réclame un temps supplémentaire fidèle en cela à sa manière de gérer l'emploi du temps de ses fesses, sauf qu'à cet instant précis, il est trop tard et cette supplique, n'est qu'une plainte de dernière minute pour la championne du temps gagné, qui tremble de trouille.
    Madame Spaak, sûre de son devoir de mère, dans la tâche à accomplir réaffirme le pourquoi du comment « Plus d'attente, de discussions inutiles, Christine a été assez prévenue, la rigolade est terminée et si les oreilles de Christinette ne le comprenne pas, ses fesses seront peut-être plus réceptives au message ».
    Et là, l'appel maternel se fait plus incisif, anéantissant la volonté de résistance d'une demoiselle, qui sachant très bien qu'elle n'échappera pas à la sentence, s'approche docilement des genoux de Maman qui l'y bascule sans différé et qui forte de son aura, félicite même l'obéissance de sa fifille.
    Cette indolence de Christinette étant motivée par le fait de la porte grande ouverte, à même de diffuser ses suppliques, aux oreilles de certaines moqueuses et lui faisant honte.

    Une fois sa fille en bonne position, Maman comme à son habitude s'apprête à déculotter, Christine, qui dans un sursaut de fierté, se cabre et regimbe, s'accrochant alors aux élastiques de ceux-ci, pour retarder une fois de plus l'échéance qu'elle sait inéluctable et protéger sa pudeur, même si elle à conscience que Maman arrivera à ses fins.
    Et là, Madame Spaak, après une ou deux tapes sur la main, habituée et lassée de cette réaction Christinienne, mais n'ayant pour dernière tâche de la soirée, que corriger sa menteuse de fille, change de stratégie invitant celle-ci à retirer sa main et qu'elle attend, Christine décontenancé se sent toute chose, la position qu'elle occupe étant très claire sur les intentions de Maman précisant qu'elle peux la garder comme cela toute la soirée, accompagné d'une promesse voilée « Sache que plus tu retardes l'échéance, plus la fessée sera longue.... ».
    Christinette saisissant que son défi, ne fera qu'aggraver son cas et qu'elle sera vaincue, de toute façon, décide sagement et docilement, de relâcher sa prise, comme si elle invitait Maman à baisser sa culotte pour que la fessée qu'elle mérite, soit bien plus efficace.
    Ce geste amenant, Maman, à féliciter Christine (certes avec une ironie infantile) sur la raison retrouvée, en lui rappelant surtout que pour une grande fille comme elle, une bonne fessée se donne sur les fesses et non par dessus un vêtement, atténuant, le bienfait de la claquée maternelle.
    Madame Spaak pouvant presque ajoutée « Allons, ma chérie, tu sais qu'avec Maman, il n'est de bonne fessée, que bien déculottée, alors ne changeons pas les habitudes et prépare plutôt des fesses, car ça va barder, je te le garantis !».

    A suivre.......

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  49. Oui, Dominique, vous avez raison, j'exagère, mais j'ai des obligations professionnelles qui alternent le calme et les semaines un peu folles. Je m'en veux d'autant que l'épisode suivant est écrit, et que je n'ai plus qu'à y insérer quelques illustrations (que vous appréciez tant) avant de la publier. Promis ce sera fait sous 24 à 48 h. Et, je veux bien croire, en forme de clin d'oeil, que cela ne se serait pas passé ainsi, il y a quelques années, puisque Maman n'aurait pas attendu tout ce temps pour rappeler à sa manière ses promesses à sa grande fille, hi hi...
    En tout cas, merci pour ce nouveau rebond, surtout qu'il s'achève par un "A suivre..." qui m'incite à regarder ma boite pour en lire avec plaisir la suite...
    Cela dit, j'apprécie que vous reveniez sur ce moment-clé où Maman fait appel à ma raison pour que j'admette que rien ne sert de vouloir retarder l'échéance, et qu'il est évident que je ne garderai pas ma culotte que Maman va baisser pour mieux claquer mes fesses...

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  50. Chère Christine,

    Je comprends parfaitement que votre vie professionnelle, soit en dents de scie (tiens comme les résultats scolaires d'une certaine Christinette) et loin de moi, de penser que vous exagérez, même si vous vous sentez encore plus fautive sur la livraison de l'épisode suivant, dont l'écriture est terminée, mais que vous souhaitez agrémenter d'illustrations (que j'apprécie, en effet, comme les autres lecteurs, je suppose) et qui sait, peut-être, obtenir à nouveau, un commentaire purement iconographique de ma part, le premier ayant retenu votre attention.

    Alors, je prends bonne note de la promesse de Christine, espérant simplement que celle-ci soit suivie d'actes, pas comme celles des deux clones Christinien, auxquelles Maman se devait de rappeler qu'à l'inverse, elle, savait tenir les siennes (retour de clin d'oeil, hi hi...).

    Sinon, concernant le commentaire, je pense en effet que l'épisode comporte des éléments clés (connus ou inédits) dont celui-ci, qui en font la richesse et c'est avec plaisir que je vous livrerai, le à suivre, même si l'édition de numéro 66 intervient.


    Amicalement, Dominique

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  51. Chère Christine,
    Suite

    Dégagement méthodique de la cible

    Et là, notre conteuse, forte de son expérience, s'abandonne au desiderata de Maman qui sans précipitation, mais avec méthode n'a plus qu'à dévoiler cette toile de fond blanche, pour y déposer une œuvre maternelle, bien connue de la demoiselle (hélas!).
    Bloquant dans un premier temps, à l'aide de sa main gauche, le bras d'opposition de la rebelle dans son dos (mauvais signe, pour la Christine étalée, sur ses genoux), pour annihiler toute nouvelle tentative intempestive et désespérée de sa fille.

    La dextre maternelle peut alors s'attacher, dans un deuxième temps, à éliminer les voiles protégeant et masquant cette fameuse toile vierge, de coloration depuis trois semaines, relevant le haut de pyjama au dessus des reins et faisant suivre le chemin inverse au pantalon, jusqu'aux mollets.
    Ne demeure que le dernier rempart, hautement pudique pour Christine, qui sentant la main de Maman le faire glisser vers le bas, de tous cotés et jusqu'à mi-cuisses, ne peut retenir des petits « Maman, non, s'il te plaît... » feutrés, pour ne pas être entendue par des oreilles indiscrètes.

    Christinette, n'apercevant qu'un quart de sa lune immaculée, constate qu'une nouvelle fois, elle présente à Maman une mappemonde pleine et entière à son regard, mais surtout à cette main correctrice, dont elle connaît parfaitement les effets et font trembler, de peur, ses pauvres petites fesses qui vont de nouveau, être à l'honneur du courroux maternel.

    Madame Spaak ayant procédé à la déculottée, en silence, s'exprime alors avec ironie et une exaspération latente (signe de mauvais présage) « Eh bien, voilà ! Ce n'est pas trop tôt, Christine ! On va pouvoir régler nos comptes, maintenant! Alors, prépare tes fesses, ma grande, car ça va barder ! ».

    Sûre de son devoir et de la leçon, à faire passer, Maman positionne sa fille correctement qui ne pipe pas mot et prend une longue respiration, avant l'hallali pour Christinette.

    A suivre.........


    Amicalement, Dominique

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  52. Merci Dominique de cette promesse tenue. La mienne le sera très vite aussi.
    Encore une série de petits détails relevés avec justesse dans ce commentaire. Oui, la supplication se fait à mots feutrés, pour que les soeurettes ne puissent pas l'entendre, même si les mots de Maman dits, eux, à voix haute, ont déjà annoncé la déculottée...
    Et puis, cette respiration, ce moment de pause, une fois la cible parfaitement dégagée, la lune à disposition, instant de concentration, de motivation pour une mère qui sait qu'elle doit agir en conséquence et tanner ces fesses comme elles le méritent...

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  53. Chère Christine,

    De rien, Christine et j'attends la votre avec une certaine impatience, ne doutant pas que l'opus 66, sera de fort belle facture et fera rebondir, vos fidèles lecteurs.

    Sinon, je partage votre avis sur le fait, que s'il s'agit de petits détails, ceux-ci sont d'une importance capitale pour une Christinette étalée et bloquée sur les genoux maternels, n'attendant que son du, ne voulant pas diffuser sa détresse, même si Maman parlant fort ne cache rien du déroulement de la scène.
    Tant qu'à cette pause maternelle, avant l'action, Christinette la ressent comme une sonnette d'alarme lui indiquant que Maman se prépare à composer une symphonie, digne de Beethoven, sur ses fesses de vilaine menteuse, qui ne comprend que cela.
    Alors, à cet instant, Christine à toutes les raisons de s'inquiéter sur ce qui va suivre, mais cela fera l'objet de la suite Dominicaine.

    Amicalement, Dominique

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  54. Chère Christine,

    Je constate que ma chère conteuse a validé mon message, sans y répondre, espérant ainsi titiller le taquin Dominique (ou Diane bis) et l'inciter à produire la suite annoncée, bien joué Christine, sauf que celle-ci risque fort de déplaire à la Christinette, en bonne posture, pour l'accomplissement de l'oeuvre maternelle.

    Fessée modèle et modelée, devenant vite une tannée aussi magistrale, qu'insupportable :

    Si Madame Spaak, est satisfaite de la reddition de sa fille, face à l'autorité, celle-ci s'est fixée pour objectif de faire comprendre à Christine, qu'au delà de ses résultats scolaires yoyo, la demoiselle doit cesser ce jeu de tromperie, vis à vis de Maman et assumer, enfin, ce statut de grande fille responsable donnant l'exemple aux petites sœurs, cette concentration maternelle silencieuse en étant le reflet.
    D'ailleurs, Christinette, elle-même reste sans voix, dans l'attente des hostilités, amplifiant du même coup l'effet de silence, que seules deux curieuses aux aguets perçoivent.

    Tombe alors, la première claque (forte et centrée) donnant le ton de la fessée à Christine, qui pousse un cri, avant qu'une dizaine d'autres aussi fortes ne s'abattent sur chacune de ses fesses, la dextre de Maman s'appliquant à parcourir toute la surface de ce fessier plus généreux et demande plus d'effort, pour que la fessée soit bien sentie.
    Et là, pour Christinette, l'efficacité est au rendez vous, chaque impact colore sa lune, diffusant une chaleur qui s'accroît au fur et à mesure, s'efforçant de contenir ses plaintes, Christinou fond en larmes et comprend qu'elle ne tiendra pas très longtemps, sous cette claquée que Maman lui assène en s'aidant de la voix, rappelant les motifs de cette déculottée, dont l'un qu'elle ne supporte pas.

    Tel un métronome, le bras maternel distribue de généreuses claques, peaufinant la cuisson du fessier de Christinette, qui craquant sous l'effet, lâche petits cris et suppliques que Maman reprend aussitôt à son compte, lui redonnant une énergie peu commune pour administrer la tannée que mérite sa fille et enfin, lui faire comprendre, qu'elle doit produire des actes, plutôt que des promesses non tenues.

    Un brasier à la place des fesses, la douleur devenant insupportable, Christine, s'abandonne à la volonté maternelle qui poursuit son œuvre, sans relâche, comme pour graver sur cette mappemonde, la première leçon de l'année, en tannant la moindre parcelle de celle-ci et épuisant une Christinette, gémissante ou criant, par instant.
    Maman adressant une dernière remarque infantile à sa fille mortifiée, qui supplie l'arrêt des hostilités, conclue cette fessée par une dernière salve vive et orageuse, faisant suffoquer et crier, Christine, qui éreintée demeure en place, avant de choir doucement du giron maternel encore pliée, pour y épandre sa détresse.
    Reprenant difficilement ses esprits, Christinette, retrouve une position verticale et ne peux s'empêcher de passer sa main, sur cette lune bouillante et carminée que Maman vient d'offrir à la vilaine petite menteuse.

    Encore sous le choc de cette tannée magistrale, Christine, voulant passer dans l'après et entamant la remontée de sa culotte, se voit interpellée et de nouveau happée par Maman, qui la fait replonger au travers de ses genoux, toujours déculottée.

    A suivre..... (sinon trop long)

    Amicalement, Dominique

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  55. Christinette ne serait pas contente de voir comment sa première fessée de l'année civile est décortiquée par Dominique, qui n'en a pas encore fini... Tout comme Maman qui réservait une prolongation surprise à sa fille...
    Christinette encore chancelante, la main venant de sentir la chaleur incandescente de sa lune écarlate, est à nouveau happée par Maman... Une sacrée tuile pour Christinette, même si c'est une mine d'or pour le commentateur à ce que je vois...
    Christine, elle, ne s'en plaindra pas. Merci !

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  56. Chère Christine,
    Suite et fin

    Comme je le disais, Christine, encore sous le coup de cette tannée peut être plus exemplaire et magistrale que celle du carnet de notes, Maman voulant marqué sa volonté et sa détermination à ne rien laisser passer à ses filles, en cette nouvelle année, dont malheureusement Christinette vient de faire les frais, la première, avant d'autres qui sait !

    Mais là ! Oh ! Surprise ! Pour Christinette, alors qu'elle s'apprête à remonter sa culotte pour passer dans l'après fessée, voilà qu'une injonction maternelle suivie de gestes, la ramène manu-militari dans la même tenue et la position qu'elle vient de quitter, après cette volée d'anthologie.

    Affolement général pour Christinou, qui dans une incompréhension totale (seule Maman à la réponse) se met à crier sans plus penser à l'environnement et obtenir le pourquoi du comment « Mais, Maman, non, oh non, qu'est ce tu fais ? C'est fini la fessée, j'ai été assez servie ! » et cherchant à s'échapper de l'étau maternel, reçoit alors une claque monumentale sur ses fesses largement tannées précédemment, la faisant hurler de douleur et gesticuler en tous sens.

    Saisissant que la lutte est inégale, Christinette, s'apaise et Maman s'exprime alors sur la raison de ce retour inattendu « Oui, c'est fini, Christine..., du moins en ce qui concerne ta note, tes cachotteries et tes mensonges, tu as eu ce que tu méritais ! Mais vois tu ! J'en est plus qu'assez que tu tentes toujours d'échapper aux conséquences de tes actes, en m'empêchant de baisser ta culotte, alors que tu sais pertinemment qu'avec Maman, bonne fessée rime avec déculottée et je t'avais prévenue que plus tu retardais l'échéance, plus la fessée serait longue et en voici la preuve ! ».

    Désemparée, ayant trop peur pour ses fesses déjà écarlates, Christine, supplie comme jamais en appelant la clémence de Maman, n'obtenant en réponse qu'une douzaine de claques supplémentaires, sur un fessier plus que cuit et ne pouvant alors retenir ses cris et ses suppliques, ce bonus étant accompagné d'un couplet maternel mortifiant l'égo de la demoiselle, envahie par la honte en repensant aux oreilles attentives d'à coté.

    Déboussolée, en position de fœtus, les glandes lacrymales de Christine fonctionnent à plein rendement, Maman l'invitant à se reculotter et se mettre au lit, le temps de dire bonne nuit aux petiotes, qui n'allaient pas se priver d'en rajouter, au grand désarroi de cette pré-adolescente corriger comme un gamine, d'autant qu'il y a des lendemains.


    Amicalement, Dominique

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  57. Il fallait que Christinette prenne conscience que jouer avec la patience maternelle n'est pas la bonne attitude. Corriger cela au cours d'une fessée déjà donnée pour plusieurs motifs, dont la mauvaise note et le mensonge, pouvait ne pas être suffisamment compris par la punie qui ne fait pas forcément la différence entre une grosse et une très grosse fessée.
    Là, c'est bien sû symbolique, ce n'est qu'un supplément, ce ne sont que douze à quinze claques, mais c'est bien une plongée supplémentaire, une peur de plus, comme une couche supplémentaire, à part, dont elle se souviendra parfaitement, d'autant que Maman saura lui rappeler...

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  58. Chère Christine,

    Bien sur, Christinette, je savais que vous n'apprécierez pas le développement Dominicain, de cette première fessée, de l'année civile, à l'inverse de votre clone virtuel (Christine), mais désolé Christinette, je ne fais qu'analyser les conséquences, des pétrins dans lesquels vous saviez vous fourrer en toute innocence et ce qui fait le charme, des mésaventures, élégamment conté par votre clone, d'une jeune fille en herbe (mais encore trop écervelée).

    Christine, pardonnez moi cet aparté avec Christinette, mais j'avais à cœur de transmettre le fond de ma pensée à la demoiselle (qui ne peut que grandir et devenir la Christine d'aujourd'hui, même si cela passe pour l'instant, par les genoux de Maman), sinon en effet, la tuile pour Christinette est une mine d'or ou de diamant pour le commentateur et vous venez d'en publier le résultat.

    Je vais maintenant m'attacher à l'épisode 66, aussi riche en texte, qu'en illustrations fort bien choisit par la rédactrice en chef, que je félicite, même si je sais que celle-ci attend autre chose que des compliments ou des remerciements.


    Amicalement, Dominique

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  59. Chère Christine,

    Bon sang de bois ! Christine, est plus réactive que Dominique en ce jour, mais il ne s'en plaindra pas, n'ayant pas de projets ce week-end et en est même ravi.

    En effet, jouer avec la patience de Maman, ne pouvait être que de mauvaise augure, celle-ci ayant déjà une bonne fessée (déculottée) à donner, pour tenter de corriger les travers récurrent (fainéantise et mensonge) de la demoiselle et sait, par expérience, que rajouter un motif supplémentaire au cours de la tannée initiale, n'aura pas l'effet escompté et sera noyé dans la masse.

    Alors qu'en reprenant sur ses genoux, une Christinette remontant sa culotte et lui expliquant le pourquoi du comment, la symbolique est forte, la demoiselle comprenant 'le pourquoi' de cette nouvelle plongée et s'en souviendra, d'autant que les claques moins nombreuses, atterrissent sur une zone en ébullition et que Maman pourra à l'occasion, rééditer.


    Amicalement, Dominique

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  60. Oui, Dominique, la demoiselle de l'époque avait bien capté le message et cette seconde plongée est restée dans sa mémoire, parfois entretenue par les moqueries des petites, ou par les menaces réitérées de Maman, mais ce supplément clairement expliqué et tombant sur une lune écarlate, à un moment où Christinette croyait en avoir fini avec cette fessée somme toute méritée, même Christine s'en souvient encore...

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  61. Chère Christine,

    Merci, Christine, pour cette réactivité journalière des plus agréable entre la conteuse et l'un de ses commentateurs assidus.

    Et sachez, que je n'ai aucun doute sur le fait que Christinette avait capté le message et que cette surprise maternelle est restée gravée dans sa mémoire et je comprends que ce supplément inattendu, distribué sur un fessier bien cuit, par la tannée initiale et méritée, demeure un 'souvenir cuisant et marquant' à l'esprit de Christine, même si le temps a passé et comme pourrait le dire Mardohl « C'est ce parallèle, qui fait la richesse de ce blog, ainsi que son contexte général, ne se focalisant pas sur le seules fessées de Christine, même si celles-ci sont très riches en rebondissements ».

    Bon ! Après cet éloge à mon compère qui me fournit une saine émulation et un nouveau remerciement à la conteuse (Je sais ! Ca vous agace! Mais vous ne pourrez pas me refaire ou alors il y aurait un sacré boulot !), je vais de ce pas me pencher sur la suite 66, afin de reprendre le fil de cette fabuleuse chronique qui nous tiens, depuis 66 épisodes et dont on se délectent.

    Allez, Dom ! Tais toi et intéresse toi au numéro 66, tu sais comme la route du même chiffre, que tu as parcouru sur ta bécane, en compagnie de tes potes (filles et garçons)! Anecdote du Papy motard et non fouettard.

    Amicalement, Dominique

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