lundi 17 décembre 2012

Chronique d'un redoublement : 53. Maman tient toujours ses promesses...

SUITE 52

Depuis qu'elle était rentrée, je n'avais pas encore eu de contact direct avec Maman. Je l'avais vue revenir de la boulangerie, j'avais été écouter dans le couloir du bas sa conversation avec Tata, mais elle ne m'avait pas encore appelée, ni donné de consigne quelconque...
J'hésitais donc à attendre encore dans ma chambre ou à aller aux nouvelles, ce qui ne me disait guère puisque déjà, via Aline en rentrant, via sa voix espionnée depuis le couloir, et via Tata qui me l'avait confirmé, je savais que la reprise de contact ne se traduirait pas autrement que par une invitation à "préparer mes fesses"...



Je tournais en rond, plutôt angoissée, ma main s'égarant parfois au bas de mon dos, moitié par réflexe de protection, moitié pour constater que tout allait encore bien, que pour l'instant je profitais encore du sursis que j'avais réussi à prolonger depuis deux bons jours...

Maman qui savait évidemment par mon manteau accroché dans l'entrée et certainement par Aline qui lui avait dit, que j'étais bien rentrée, devait se douter que si son ainée restait hors de sa vue, c'est qu'elle ne se sentait pas tranquille...  
Et je pense qu'elle me laissait mijoter volontairement, préparant le dîner tout en surveillant d'un oeil les devoirs des petites, sages comme des images, selon l'expression consacrée, mais qui aurait pu se traduire à la maison par "sages comme les jours de fessée de Christine" !



Au bout d'une demi-heure, où la seule incertitude était de savoir quand ma chère mère "s'occuperait" de moi, je descendis, le coeur battant, me retrouvant en face de Maman qui venait de donner une précision sur un devoir de Diane, et allait retourner dans la cuisine.
Maman me décocha un regard faussement amusé : "Tiens, tiens, te voilà. Je me demandais où tu étais cachée. Tu ne voulais pas dire bonjour à ta Maman ? Il y avait quelque chose qui te gênait, peut-être ?"
Je ne savais quoi répondre, et baragouinai un : "Oh, non, euh... Tu veux, euh, parler, euh, du courrier du collège, euh. Je, euh, enfin, euh, je vais te, euh, t'expliquer".
 Maman ne me laissa pas développer une quelconque explication. La réponse fusa : "Christine ! NON ! Arrête tes histoires et tes mensonges. Tout ce que je sais, c'est que ma fille a encore récolté deux heures de colle, et pour avoir chahuté en classe. C'est i-nad-mi-ssi-ble !", tonna-t-elle en détachant les syllabes. "Alors, ne me raconte pas de sornettes. Tu sais très bien ce qui t'attend, ce que je t'ai promis, la fessée, Christine, la fessée... Puisque c'est la seule chose qui te fasse tenir à carreau, du moins quelque temps, eh bien, Mademoiselle va encore recevoir une déculottée maison, et voilà tout !".
Elle me pointait du doigt avec un regard noir, à deux pas des petites qui observaient la scène, plus intéressante bien sûr que leurs livres et cahiers.
Je tentai de protester, répliquant par deux petits "Non, non", puis osant un "Oh NON !" presque fort, presque de révolte, en tout cas moins timide pour quelqu'un qui se sentait au pied du mur.
 Maman n'apprécia pas ce "Oh NON !" intempestif, et sa main qui pointait son index s'ouvrit montrant sa paume. Je crains de prendre une gifle et me retournai prestement pour aller vers la porte. Dans le mouvement, ma jupe virevolta au moment où Maman, qui avait vu venir ma manoeuvre, en profita pour me décocher une claque magistrale sur mon fond de culotte.
La claque résonna et me fit pousser un petit cri pendant que Maman commentait : "Oui, c'est cela, file, tu ne perds rien pour attendre..."





J'avais été surprise par cette claque lancée à la volée et qui témoignait bien de la détermination maternelle. Je ne demandai pas mon reste et filai dans ma chambre, perturbée et au bord des larmes.
J'étais haletante quand je refermai la porte derrière moi. M'arrêtant après ma course dans l'escalier, je sentis le picotement sur ma fesse droite. Maman y était allée de bon coeur contre une fille dont le "Oh NON" avait un avant-goût de révolte.
Cela me chauffait sur le côté et je me mis devant la glace de mon armoire, relevant ma jupe et posant mes mains en parallèle sur mes deux hémisphères jumeaux.
La claque maternelle était passée par dessous la jupe, atterrissant légèrement de côté,  la paume et le pouce se plaquant sur le fond de ma culotte, les quatre doigts ayant débordé et atteint la peau directement.
C'est là que cela picotait, et je distinguais l'empreinte des quatre doigts marquant de rouge ma fesse latérale droite.
Sous l'étoffe de ma culotte, la trace de la paume n'était que diffuse, chauffant comme un petit radiateur, mais sans le picotement.
En plaçant mes mains sur mon bas du dos, je ressentais ces différences. A gauche, une demi-lune toute fraiche, intacte, reposée par un long sursis, puis à droite une double sensation de chaleur, maitrisée et comme réchauffante sur la partie protégée par l'étoffe de coton, brulante et "picotante" où les doigts avaient marqué la peau.
Je comprenais que je venais en quelque sorte d'avoir un acompte, que bientôt ma fesse gauche aussi serait "réchauffée", mais comme je le ressentais avec une grande acuité, ce serait au plan de la douleur tout autre chose quand ma culotte serait baissée...

De plus, il n'était pas question d'avoir la moindre illusion : toutes mes colles m'avaient valu des déculottées, et si Maman n'avait parlé à Tata que d'une "bonne fessée", elle venait d'annoncer clairement, et devant mes soeurs, que je recevrais une "déculottée maison". Le doute n'était plus possible et cette claque décochée à la volée resterait sans doute la seule à atteindre une lune protégée...

Ce qui me consolait vaguement était que Maman ne m'avait pas punie sur le champ, ma petite interjection de révolte aurait pourtant pu justifier qu'elle règle ses comptes immédiatement. Mais, elle n'avait pas non plus renvoyé l'affaire, comme elle le faisait souvent d'un "On réglera ça après le diner", ni en me demandant de me mettre en pyjama. Quelque chose toutefois, je ne sais quoi, mais avec le temps on a souvent des intuitions qui fonctionnent, me disait que le sujet serait vite remis sur le tapis...

Guettant les bruits du bas après avoir rouvert ma porte et rabaissé ma jupe, je compris que Maman avait des choses à faire en cuisine. Elle préparait une tourte et avait mis le four à préchauffer. Cinq minutes plus tard, elle put enfourner sa préparation pour qu'elle cuise durant les 45 minutes nécessaires. Soit trois quarts d'heure, avant de pouvoir passer à table, et bien assez pour tenir une certaine promesse...

"Aline et Diane, je monte voir Christine... Soyez sage... Quand vous aurez fini vos devoirs, vous pourrez allez vous mettre en pyjama. J'ai fait une bonne tourte pour le diner..."  , dit-elle depuis l'entrée du salon d'une voix dont je pouvais tout entendre.

Apparemment, Diane, comme il fallait s'y attendre dit qu'elle avait fini ses exercices. Maman lui répondit : "Alors, revois encore ta poésie, je te ferai réciter après le diner. Je ne voudrais pas avoir à me fâcher contre toi aussi..."

Cela remit ma petite soeur à sa place, et Maman s'engagea dans l'escalier... Ce pas, c'était comme ma fessée qui montait...

Je m'étais précipitée près de la fenêtre, pour faire semblant de regarder dehors, pour me donner une contenance.

Maman entra par la porte entrebaîllée, mais elle l'ouvrit complètement, s'arrêtant un instant pour prêter l'oreille, comme pour me dire qu'elle laissait la porte ouverte pour surveiller en même temps les petites...

Je fis la grimace, mais comme j'avais cauchemardé depuis deux nuits en imaginant une déculottée publique devant famille et boulangères réunies, je restai étrangement calme.  

"Maman, s'il te plait...", murmurai-je, mais elle était déjà assise, tapotant sur ses genoux en me disant : "Allez, Christine, finissons-en. Viens ici tout de suite...."


J'ai effectué les cinq à six pas qui me séparaient des genoux maternels comme une automate, mais en esquissant à peine un geste de recul lorsque Maman m'a attrapé par les poignets et m'a basculé en travers de ses genoux, là où je savais depuis l'annonce de la colle en cours que je finirais...
Maman dit une ou deux fois : "Bien, bien...", comme si elle m'accordait un satisfécit pour une obéissance satisfaisante. Je la laissai même remonter complètement ma jupe, la coincer au bas de mon dos, dégageant ma culotte.
Sur le côté droit, on voyait encore nettement les traces de la claque avec quatre empreintes de doigt rougissant mon épiderme...
Maman ironisa : "Ah, un petit peu de rouge d'un seul côté... Mais, je vais réparer cela bien vite... Il n'y aura pas de jalouses, ne t'inquiète pas, les deux fesses seront servies, crois-moi..."





J'avais tenté de placer ma main droite en protection, mais Maman haussa le ton, me la bloqua dans le dos, et entreprit de baisser ma culotte, pendant que je gémissais et commençai à sangloter...
"Garde tes larmes, Christine, je n'ai pas encore commencé, dit elle en dégageant totalement ma lune. Ah, c'est encore tout blanc là-dedans... Mais, on va rattraper le retard, Christine... Quand je pense que tu as récolté cette colle il y a deux jours, et que tu ne t'en es pas vantée... Tu savais trop bien ce qui t'attendait... Tu sais que Maman tient ses promesses, et que jamais elle n'acceptera que sa grande fille gâche ses chances et se fiche du monde..."




Le temps qu'elle dise tout cela, j'étais restée bien bloquée sur ses genoux, culotte baissée, lune encore intacte (à un impact près), avec cette étrange sensation du calme avant la tempête...
Je suppliai : "Maman, non, je t'en prie, je ne recommencerai plus", mais elle avait déjà  asséné une première claque sur la fesse gauche, avant de regarder l'empreinte de sa main rougir ma lune en parallèle avec la claque du salon.

"Voilà, il n'y a plus de jalouses, s'amusa-t-elle, avant de reprendre sérieusement. Allez, passons aux choses sérieuses. Je ne voudrais pas te faire attendre plus longtemps, ma fille... Je vais te rappeler ce que c'est qu'une bonne fessée, et ce qui arrive aux chahuteuses, et qui plus est aux menteuses dans cette maison..."

Et la dégelée tomba, mécanique, forte, très appliquée. Je dis "dégelée", parce que les picotements dont j'avais peur étaient au rendez-vous. Je ne les aurais peut-être pas ressenti autant, pris dans l'avalanche de sensations, de la honte à la douleur qui se mêlaient dans ma tête et dans mon corps. Mais, comme, juste avant, je venais de ressentir, de soupeser la différence d'impact d'une claque sur une culotte avec des doigts sur une peau nue.

Alors, cette première couche, cette longue série de claques savamment réparties, généreusement distribuées par une mère qui se rabâchait que je l'avais méritée, qu'elle m'avait été promise, que je devais m'en souvenir pour qu'elle soit efficace, que je l'avais de plus roulée dans la farine en cachant ma faute deux jours durant, cette fessée, du moins l'entrée en matière, je la ressentais claque après claque comme si chaque picotement, chaque bruit caractéristique de l'impact me rappelait que j'étais déculottée...
 


Les picotements m'arrachaient des petits cris, puis petit à petit, la cuisson devenant uniforme, la "tannée" faisant son effet, la claquée faisait toujours mal, mais plus en profondeur, de manière moins épidermique. L'essentiel de la montée en température devait être accompli, mais on passait à la partie qui fait passer de la fessée d'impulsion à la fessée magistrale, exemplaire, marquante.
Je pleurais à chaudes larmes, ma respiration devenant moins haletante.
C'est à ce moment que des bruits de pas se firent entendre, mes soeurettes montant en courant pour être la première à voir ou apercevoir quelque chose...

Elles arrivèrent devant la porte grande ouverte, se figeant avec des yeux écarquillés, Maman arrêtant sa claquée en les voyant pointer le bout de leur nez...
Je tentai de bouger, mais Maman raidit le bras qui me ceinturait, avec un "Ho, Ho", qui ressemblait à un ordre pour calmer un cheval.

"Maman, Maman, on a tout fini nos devoirs", lança Aline. "Et je sais ma poésie par coeur", rajouta Diane, qui ne bougeaient pas d'un pouce, figées devant le tableau, alors que, dégoûtée, je tournai la tête pour cacher mes larmes, sans pouvoir bouger de ma honteuse position...

"Alors, allez vous mettre en pyjama. Vous voyez bien que je suis occupée avec Christine...", ordonna Maman, ajoutant : "Allez, filez, petites curieuses, à moins que vous ne vouliez prendre la place de votre grande soeur quand j'en aurai fini avec elle..."

Aline très vite, puis Diane en laissant encore trainer un oeil un instant, disparurent. J'en profitai pour implorer Maman : "Arrête, Maman, ça suffit, j'ai mal, je veux plus..."
Cela ne fit que remotiver Maman, qui me rééquilibra en travers de ses cuisses, regarda un moment son oeuvre, comme pour jauger la suite à donner.

"Christine, ici, c'est moi qui décide quand ça suffit ou pas... Tu n'avais qu'à y réfléchir en classe au lieu de te remettre à chahuter... Ne crois pas que l'arrivée de tes soeurs va te tirer de ton mauvais sort. Tu mérites une bonne fessée, et je veux que tu t'en souviennes. Tu as mal, mais c'est fait pour ça, une fessée, ma chérie, et si tu ne t'en souviens pas bien, c'est peut-être que la dernière n'était pas assez forte." Et c'était reparti pour un tour, la mini-pause ayant fait pâlir un tant soit peu ma lune, Maman lui déversa une nouvelle avalanche de claques parfaitement dosées.  
"Ah, voilà des fesses qui commencent à avoir la couleur désirée.Tiens, tiens et tiens... Quand Maman promet une bonne fessée, ce n'est pas de la rigolade, crois-moi...", commentait Maman qui, à nouveau s'arrêta, voyant Aline apparaitre à nouveau.
Elle était juste en culotte et demanda  : "Maman, je ne trouve pas mon pyjama" . Diane était juste derrière, elle déjà en chemise de nuit, et ajouta :  "Il est au sale son pyjama".
Maman rétorqua : "Ah, c'est vrai, prends donc le rose qui est dans le tiroir du haut de la commode".
Mes soeurs demeurèrent devant la porte, alors que je tentai à nouveau de descendre des genoux maternels. "Filez de là, je ne le répéterai pas !", lança une fois de plus Maman à mes soeurettes pas vraiment pressées de quitter leur place de choix à moins de trois mètres des genoux maternels, où la lune de grande soeur était toute déculottée et écarlate... 




"Aline et Diane, je ne voudrais pas avoir à me fâcher. Arrêtez de regarder comme ça... Si j'en revois encore une de vous deux, je la déculotte dès que j'en ai fini avec Christine... Allez, ouste, et fermez la porte derrière vous..." ordonna Maman.

C'est Aline  qui repoussa Diane dans le couloir, retirant ensuite la porte de ma chambre pour la refermer, non sans passer à quelques centimètres de Maman et moi, encore dans la même position , où nous avions été dérangées par deux fois.

Nous étions enfin en situation de huis clos, même si les soeurettes étaient certainement aux aguets derrière la porte ou l'oreille collée contre la cloison...

Je chignai : "Elles sont pas gentilles", en essayant d'apitoyer Maman. Elle me renvoya l'argument : "Oh Christine, si tu n'avais pas chahuté, ni menti, je n'aurais pas eu à sévir, et tes soeurs n'auraient rien vu... Arrête tes simagrées, ce n'est quand même pas la première fois qu'Aline et Diane voient leur grande soeur recevoir la fessée... Et, quelque chose me dit que, si tu ne changes pas d'attitude, ce n'est sûrement pas la dernière fois qu'elles te verront sur mes genoux..."

Je ré-éclatai en sanglots, pendant que Maman, dont le bras venait à nouveau de se reposer quelques instants,  me replaça bien en équilibre... "Allez, finissons-en ! Je crois que ces fesses-là méritent encore une bonne claquée... Pour que tu comprennes qu'on ne se moque pas de sa mère, en chahutant et en mentant effrontément.... Ah, Christine, puisqu'il n'y a que cela qui fonctionne avec toi, puisque cela ne rentre pas par la tête, eh bien, on va encore s'adresser à tes fesses..."

La fessée reprit pour une ultime tannée qui réveilla ma douleur et me fit pleurer un flot de larmes. Je suppliai, mais Maman ne faiblit pas. La porte ayant été fermée, la fessée semblait résonner plus encore, et marquait autant ma peau que mon esprit. 




     
Puis, enfin, après une dernière salve très appliquée où Maman s'aidait de la voix, la fessée s'arrêta... Je devais avoir la lune écarlate, et j'avais l'impression de ne plus sentir mon épiderme, tellement la tannée avait été uniforme, faisant comme si j'avais un radiateur au bas du dos.
Me relevant, un peu chancelante, je dansai d'un pied sur l'autre un instant, tentant en y appliquant mes mains de dissiper la douleur de mes fesses, mais c'était surtout une sensation de haute cuisson que je ressentais.
Maman, croisant les bras, et me regardant sangloter en gémissant, commenta : "J'espère que la leçon portera ses fruits, Christine. En tout cas, ne t'avise pas de recommencer, surtout pas, car tu sais ce qui t'attend... Il y a des choses que je n'admettrai jamais, Christine, ja-mais, tu m'entends, ja-mais !"   
C'est quand elle se leva et se dirigea vers la porte que je pris conscience de la situation et que je remontai à la hâte ma culotte sur ma peau endolorie... 
La fessée ne s'était pas, heureusement, déroulée comme dans mon cauchemar. Elle s'était même achevée à huis clos, à l'abri de tous les regards, mais du point de vue de l'intensité, la fessée avait été un modèle du genre, une déculottée magistrale, une tannée exemplaire. Je n'avais pas "préparé" mes fesses pour rien !

A SUIVRE

73 commentaires:

  1. Chère Christine,

    Je viens de la lire la suite 53 livrée en parallèle de mon commentaire au 52, cette première lecture est un ravissement et si certaines de mes intuitions sont confirmées, le 'lot de surprises' comme le dit si bien Mardohl est plus que présent et fait de cet épisode, l'un des musts de la production Christinienne.

    Rapide commentaire, mais soyez assurée que je vais rebondir encore et encore, comme la main chaleureuse de Maman sur vos 'belles joues du bas', auxquelles elle vient d'offrir une somptueuse sarabande que Christinette n'oubliera pas de sitôt.

    Amitiés, Dominique

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  2. Bonjour Christine.

    Tous vos récits me font penser à de bonnes séries policières : on a du suspens, on connaît la fin, pourtant on savoure le tout, que ce soit les préparatifs ou la chute de l'histoire (je devrais parler des violentes chutes répétées à grandes rafales de la main droite de Mme SPAAK sur les fesses de sa fille), avec toujours autant de plaisir.

    Chez moi, on connaissait la fin aussi, ça se terminait comme chez vous, chère Christine, mais ces séries étaient plutôt des courts métrages, puisque les fessées tombaient généralement n'importe où et sur-le-champ. Le suspens durait donc beaucoup moins longtemps. C'est peut-être aussi pour cette raison que ma mère, contrairement à la vôtre, était presque toujours debout pour administrer des fessées à ses vilains garnements, car, selon l'endroit où elle se trouvait, elle n'avait pas forcément une chaise ou un fauteuil à sa disposition. Et comme elle était assez grande et assez costaud (ancienne judoka), elle n'avait aucun mal à nous soulever pour nous donner des bonnes fessées. Ces dernières étaient assez longues aussi, même dans cette position, ce qui voulait dire que maman pouvait nous porter un bon moment sans que cela lui pose le moindre problème.

    A bientôt, amicalement et bon Noël, à vous et à vos proches.
    Rougement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  3. Chère Christine,

    Episode d'une richesse exceptionnelle, contenant tous les ingrédients d'une monstrueuse déculottée maternelle (angoisse, peur, bravade, résignation, soumission, honte et douleur insoutenable pour Christinette), (détermination, ironie, infantilisation, application sans failles pour Maman) laissant au final à Christinou, une paire de fesses plus qu'écarlate tannée méthodiquement avec une volonté de faire passer la leçon et faire comprendre à sa fille, qu'elle doit grandir, à moins de vouloir se retrouver à nouveau sur les genoux de Maman et sous les yeux des petites sœurs.

    Petit résumé, en introduction, avant de développer chaque élément et dont vous serez preneuse, à n'en pas douter, ma Chère Christine !

    Amitiés, Dominique

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  4. Chère Christine,

    Angoisse:

    Depuis le retour de Maman, Christinette ne sait plus que faire angoissée comme jamais, entre les sarcasmes d'Aline, l'ironie de Tata et l'espionnage de la conversation, tournicotant sur elle même, avec la seule certitude d'avoir à bien préparer ses 'belles joues' pour un hommage maternel sans précédent. Rester dans sa chambre ou descendre affronter Maman, dilemme !

    Christine, n'ayant pas le choix opte pour la seconde solution qui n'est pas des plus tentantes et s'exécute malgré la trouille bleue qui l'envahie, avec pour seule inconnue de l'équation, le moment décidé par Maman pour s'entretenir avec les fesses de sa fille, l'accueillant de façon ironique jouant sur le trouble de la demoiselle, qui comme à son habitude essaie de gagner du temps.

    A suivre.........

    Amitiés, Dominique

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  5. Merci de ces compliments, en attendant la suite des analyses.
    C'est vrai que la trouille m'envahissait en descendant pour "apprendre" de vive voix ce que je savais déjà...
    Et Maman n'était pas dupe, sachant bien pourquoi son ainée ne s'était pas encore montrée, devinant évidemment que je n'osais venir l'affronter, et que je préférais le calme même angoissant de ma chambre à descendre au devant d'une mère bien décidée à s'entretenir de manière éclatante avec mes joues du bas...
    D'ailleurs, l'ironie dont elle fait preuve est un signe supplémentaire d'une complète détermination à tenir ses promesses...

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  6. Chère Christine,

    Bien sur que Maman n'est dupe et son accueil sarcastique le prouve, fifille est dans ses petits souliers puisqu'elle n'attends qu'une chose, à savoir l'entretien particulier qu'elle lui réserve et dont elle seule, connaît le contenu prévu pour les 'belles joues' de Christinette, mais qui ne sera pas déçu du voyage.

    Suite :

    Christinette est coupée dans sa tentative de défense, par une mère déterminée à ce que sa fille perde ses mauvaises habitudes, lui rappelant les motifs de sa colère et ce qu'elle réserve à la demoiselle, à savoir une bonne déculottée, seule méthode que celle-ci comprenne au moins pour un certain temps et l'annonce à toute la maisonnée.

    Dépitée, Christinou, exprime alors son sempiternel déni sans éclats, mais emportée par sa peur lâche l'expression qu'il ne faut pas et que Maman ne peut accepter, ouvrant sa paume droite, apeurant Christinette qui d'une pirouette s'enfuit, mais ne peux éviter la généreuse claque maternelle qui tombe sur sa fesse droite, encore culottée et la fait gémir.

    Christinette, consternée, se carapate vers son antre et là, ressent la piqûre de l'empreinte maternelle sur la bas de cette fesse non couverte, ainsi qu'une légère chaleur sous la culotte, alors que l'autre est encore intacte, mais plus pour très longtemps, Maman allant se charger de rétablir l'équilibre sur une paire de fesses bien découvertes, cette fois-ci et ne rassurant pas notre conteuse.

    Amitiés, Dominique

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  7. Etrange sensation en effet que cette claque bien ciblée, que ce début de cuisson "unilatérale" (comme l'on dit en cuisine), sorte d'avant-goût de ce qui m'est promis. Déjà que je cauchemardais depuis deux jours à base de souvenirs et d'images angoissantes, là, l'angoisse devient palpable, la claque réveillant les sensations par cet échantillon de douleur, de picotement, qui en annonce bien d 'autres.

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  8. Chère Christine,

    Je vous rejoins sur le principe qu'une seule claque distribuée au bon endroit, transforme ce que l'on imagine, en réalité et l'angoisse en trouille bleue, sur la promesse qui sera tenue avec une douleur et des picotements bien plus forts.

    Situation que j'ai vécu, pour des bêtises à l'extérieur et pour lesquelles Maman me promettait une bonne dérouillée à la maison, accompagné d'une claque sur la joue ou la cuisse, m'annonçant une suite me foutant la trouille, en pensant à mes fesses nues et blanches, que Maman allait transformer en boulets rouges, comme ceux du poële.

    Dés lors, fini l'angoisse des cauchemars pour Christinette qui perçoit avec ce Hors d'Oeuvre picotant et légèrement chauffant, que le plat de résistance sera sans conteste, très copieux et difficile à digérer pour Chritinou, Maman étant particulièrement déterminée à soigner les 'belles joues du bas' de sa fifille qui ne comprend que cela.

    Amitiés, Dominique

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  9. Trouille bleue avant une lune rouge... C'est cela hélas... Même si je n'ai rien demandé et aurais préféré garder les fesses blanches, et n'avoir à rendre qu'une page blanche sans rien à raconter, sans souvenirs claquants à avouer...

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  10. Chère Christine,

    Ah non, Christine ! Cela aurait été dommage de rendre une page blanche à vos lecteurs et les priver de ce sublime souvenir, certes avec la trouille qui l'accompagne avant l'exécution et très rouge au final pour votre 'lune', mais tellement enchanteur pour nous, bon d'accord un peu moins pour Christinette qui se passerait volontiers de ce cadeau maternel plutôt empoisonné, je l'admets.

    Sauf que Christinou, l'a tout de même bien cherché cette nouvelle raclée et qu'elle l'a amplement méritée pour cette récidive, alors stop aux jérémiades, la demoiselle connaît parfaitement les règles de Maman SPAAK : Punition à l'école = Punition à la maison, avec je vous l'accorde une légère petite différence pour les rondeurs de celle-ci, mais hélas c'est ainsi.

    Amitiés, Dominique

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  11. Christinou l'a bien cherchée, c'est beaucoup dire. Je n'ai pas fait exprès de me faire prendre en train de mettre un peu de zizanie dans la classe. C'est vrai qu'une fois prise par la prof et collée, j'ai bien compris que je l'avais "méritée" cette fessée qui me pendait au nez, pour ne pas dire au dessus des fesses, puisque la logique maternelle faisait que systématiquement une punition au collège en entrainait une autre à la maison. Ca, hélas, j'en avais bien conscience, et vous comprenez pourquoi, j'angoissais en retournant à la maison, et que, punie pour punie, je tentais au moins de gagner du temps...

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  12. Chère Christine,

    Ben voyons, Christinette s'échappe encore, bien sur qu'elle n'a pas fait exprès de ce faire piquer, mais cela n'enlève rien au fait qu'elle foutait le bordel dans la classe et qu'une fois rattraper par la patrouille, elle ne pouvait espérer autre chose qu'une colle et la conséquence bien plus délicate de la part de Maman chérie, dont la main droite sait choyer ou sévir, selon les circonstances.

    Néanmoins, je comprends en effet que Christinou soit angoissée sur le chemin du retour et qu'elle préfère gagner du temps, reportant ainsi une conclusion plutôt néfaste pour sa lune, qu'elle craint, mais à laquelle elle n'échappera pas et qui sera bien méritée, petite chahuteuse.

    Amitiés, Dominique

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  13. Oui, je n'y ai pas échappé, comme vous avez pu le lire dans cet épisode... Christinette en a pris pour son grade et, même si les circonstances furent moins traumatisantes que dans mon cauchemar des nuits précédentes, la tannée n'en fut pas moins marquante, et "généreuse" comme Maman savait l'être dans la tendresse quand tout allait bien, comme dans sa manière bien à elle de nous remettre dans le droit chemin... Un chemin qui voyait mes "belles joues du bas" s'étaler sans la moindre protection sur les genoux maternels...

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  14. Chère Christine,

    Fort heureusement que vous n'y avez pas échappé, la morale est sauve et la petite chahuteuse a été remis sur les rails de la bonne conduite, de façon généreuse et très douloureuse, mais tant pis pour elle, il fallait réfléchir avant de faire des bêtises.

    Et cessez les promesses non tenues en pleurnichant, parce que vous aviez peur pour vos fesses, ce en quoi vous aviez raison et Maman chérie vous en a fait l'éclatante démonstration, laissant à vos 'belles joues du bas' dénudées, un souvenir palpable et prégnant que Christinette n'oubliera pas de sitôt, d'autant que les soeurettes ayant joué les espionnes, la séance maternelle risque de se reprendre à quelques oreilles imprévues.

    Mais voilà, il en est ainsi pour la Christinou mortifiée et rincée, mais qui fera peut-être plus attention a ne pas se faire choper, lorsqu'elle décide de fanfaronner en classe et se la jouer 'Grande fille' face aux copines, sans leur avouer bien évidemment, qu'à la maison celle-ci paie ses bêtises de façon plutôt 'Fillette', Maman étant une experte en baisser de culotte et savoureuse fessée, non avouable pour la demoiselle.

    Amitiés, Dominique

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  15. La morale est sauve, dit Dominique (en attendant la suite de ses commentaires plus précis sur cet épisode qu'il apprécie et j'en suis ravie). De là à qualifier Maman "d'experte en baisser de culotte", je veux bien admettre que mes soeurs et ("parfois" hihi) moi, lui avons donné l'occasion de pratiquer, mais qualifier de "savoureuse fessée" ce qu'elle infligeait à mes "belles joues du bas", est quand même la preuve que l'on ne ressent pas la même chose en spectateur qu'en actrice... Car, si je peux dire que je "dégustais", ce n'en était surtout pas savoureux pour autant...

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  16. Chère Christine,

    Oh là là ! Ma chère Christine s'esquive encore et je vais me permettre d'employer une expression triviale et plutôt militaire, a savoir que la demoiselle 's'enfuit la queue entre les jambes', pardonner l'image pour ne pas admettre que la fréquence des baissées de culotte maternelle étaient plus important que le 'parfois' énoncé fièrement par Christinette.

    Tant qu'aux savoureuses fessées que Maman SPAAK savait servir à ses fifilles, il est bien évident que le ressenti entre le spectateur (que je suis) et l'actrice que vous ou vos sœurs étiez, n'a rien à voir et je partage votre sentiment sur le fait que cette dégustation, n'avait rien de savoureuse pour le ou la goûteuse de l'instant.

    Ceci dit, il ne s'agissait que d'une image, pour en signifier l'intensité, car je vous rappel que j'ai moi-même connu des situations aussi savoureuses que vous (dont une que je n'ai pas terminée, en compagnie de Tata), alors sachez que je comprends parfaitement votre réserve concernant cette punition affligeante et douloureuse.

    Sinon n'ayez aucune crainte (cette fois) vous recevrez (non une fessée) mais la suite de mes commentaires pour cet épisode que j'apprécie, en effet et pas forcément pour le seul coté claquant (intense) de celui-ci, mais aussi par tous les petits à cotés, qui en font un must (comme je l'ai déjà dit) de votre production.

    Amitiés, Dominique

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  17. Chère Christine,

    Suite1 :

    Christine encore sous le coup de l'émotion, provoqué par cette bonne claque dont les effets piquants sur le bas de la fesse droite et chauffant sous la culotte, contraste avec l'autre coté encore intact, plus pour très longtemps bien sur.

    Cette différence entre froid, chaud et picotements sur la peau, fait fonctionner les neurones de Christinette qui en posant les mains sur ses fesses, ressent bien ce contraste la faisant frissonner, en pensant que ce petit service surprise sera le seul sur sa lune couverte et n'ayant aucune illusion sur la conséquence finale de cette colle, les précédentes s'étant soldées par de bonnes déculottées appliquées par la main experte de Maman.

    D'ailleurs, le doute n'est plus permis, puisque Maman l'a annoncé publiquement en précisant même qu'il s'agirait d'une 'Déculottée Maison', Christinou a donc conscience que ce petit coup de chaud à la suite de cette claque n'est qu'un prémisse à ce qui attend (cette fois-ci) ses deux globes jumeaux sans protection et dont la température finale n'aura rien de commun, avec celui-ci, notre Christine pouvant alors juger comment une simple culotte change tout, mais celle-ci en avait déjà fait l'expérience me semble t-il ?

    Le seul léger soulagement pour Christinette, étant que Maman ne l'est pas empoignée aussitôt après cette claque et lui servir son du, sur de 'belles joues' bien découvertes et sous le regard goguenard des soeurettes, maintenant pour Christinou reste à subir une attente dans l'incertitude, Maman chérie n'ayant donner aucune précision, ni directives à sa fifille, mais sachant pertinemment qu'à un moment ou un autre, elle exposera ses fesses nues à la dextre maternelle.

    A suivre..........

    Amitiés, Dominique

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  18. Chère Christine,

    Etant légèrement plus productif que la miss SPAAK, je vous adresse la suite 2 de mes commentaires, en espérant que celle-ci réveillera la Christine qui sommeil quelque peu, en cette période de fête chargée certes, mais plutôt propice aux courtes nuitées.

    Suite 2 :

    De retour dans sa chambre, Christinette, est aux aguets, scrutant le moindre écho de la maisonnée et capter le moment choisit par Maman pour s'occuper de ses 'belles joues' de grande fifille, déterminée a lui faire comprendre qu'elle doit grandir, afin de ne plus avoir à sévir de cette façon, mais qui pour l'instant fonctionne, au moins un certain temps.

    Dés lors, Christinou à l'affût, perçoit tous les mouvements maternels préparant avec méthode une composition culinaire délicieuse, ravissant les demoiselles pour le dîner, mais dont le temps de cuisson offre à celle-ci la possibilité d'en faire cuire une autre (non culinaire) et aussi bien préparée, mais par sa 'grande fifille', qui n'attends que la mimine généreuse de Maman chérie.

    Mais également, les paroles maternelles sans équivoque vis à vis des petites sœurs, qui se tiennent à carreau et se disent, oh là, là, ça va claquer et faire mal aux fesses de la grande sœur qui va chanter, plus fort que d'habitude et se la joue, gentilles petites filles, pour éviter d'éventuelles représailles.

    Et là, les marches de l'escalier craquent, indiquant à Christinette l'arrivée de Maman certes, mais surtout ce qu'elle craint et la fait angoisser depuis plus de deux jours, à savoir une bonne fessée de celle-ci.

    A suivre.........

    Amitiés, Dominique

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  19. Chère Christine,

    Etant à l'avant de Noël, je vais en sorte de vous gâter pour celui-ci, Chère Christine et qu'il vous soit agréable, en vous servant la suite de mes pensées.

    Suite 3 :

    Christinette tremblante de trouille, voit arriver Maman qui laisse la porte grande ouverte afin d'avoir une oreille attentive vers le salon, ce qui bien sur n'est pas du goût de la demoiselle comprenant que la bande son, de sa déconvenue aura une diffusion particulièrement limpide pour les oreilles des petites sœurs, qui elles feront silence total.

    Donc fini l'angoisse pour Christinette, remplacée par un 'peur bleue' de ce qui va suivre, Maman n'observant aucun temps mort et invitant celle-ci, à venir immédiatement sur ses genoux, pour passer aux choses sérieuses.
    Tel un robot, la fifille résignée s'approche les jambes flageolantes et se laisse basculer au travers des cuisses maternelles, destination à laquelle, elle se prépare depuis la sanction professorale et les circonstances négatives ayant entraîné Christinette dans la spirale du mensonge, aggravant d'autant l'intervention maternelle sur ses fesses et dont celle-ci, a bien conscience, s'apprêtant à recevoir une volée très majuscule et non négociable.

    Maman maîtrisant la situation, satisfaite par l'obéissance de sa fille, ajoute de l'ironie infantilisant en dégageant le terrain de sa prochaine action, constatant la petite rougeur sur la fesse droite et précise qu'elle va très vite rééquilibrer la balance, en lui servant de quoi réfléchir.

    Effrayée par la perspective, Christinette par réflexe, lance une parade aussi inutile que vaine, bloquée par Maman qui tranquillement s'attaque à la culotte de fifille, la faisant glisser vers le bas pour s'offrir une cible dévoilée et encore vierge d'impact, mais plus pour très longtemps, Maman se remotivant de façon sarcastique (encore tout blanc là-dedans) et déterminée à faire perdre ses mauvaises habitudes à sa presque 'Grande Fille'.

    Mme SPAAK sur de son fait, continue sur le même tempo, avec une Christine calée et bien déculottée, lâchant ses sempiternelles suppliques, fait rebondir avec une pointe d'humour sa main sur la fesse gauche de celle-ci, tout en lui rappelant que maintenant elle va sentir sa douleur et certainement s'en souvenir.

    A suivre...........

    Amitiés, Dominique

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  20. Chère Christine,

    Désolé, Christine, quelques mots sont restés coincés dans le clavier, sur l'introduction de mon précédent commentaire, mais je pense qu'à la lecture de celui-ci vous les ajouterez et ne m'en tiendrez pas rigueur, d'autant que n'étant pas le Père Noël, j'ai tout de même envie de vous chérir (amicalement, bien sur) et sur ma lancé, je vais continuer mes rebondissements sur cet épisode, sachant à n'en pas douter que serez bien plus preneuse de ceux-ci, que les bonnes claquées maternelles, que vous méritiez néanmoins et vous ramenait sur de bons rails, au moins un certain temps.

    Suite 4 :

    Et la, Christinette sent toute la détermination maternelle à faire passer une leçon, mal acquise et ceci malgré de généreuses répétitions servies avec application, ressentant davantage de picotements sous une déferlante plus forte que la claque sur la culotte et en apprécier la différence.

    Les milliers de piqûres provoquées par cet orage prolongé, confirme à Christinette que sa culotte a quitté sa place originelle et que ses 'belles joues' reçoivent le prix de ses fautes, la dextre maternelle rebondissant allègrement sur une lune bien présentée et découverte, pour une plus grande efficacité, Christinou ayant du mal à retenir des exclamations de douleur, Maman sachant y faire en matière de hors d'oeuvre.

    Sans relâchement, mais avec plus de précision, Maman entame alors la longue cuisson des globes jumeaux de se fille qui comprend que la 'tannée mémorable' prend forme et qu'elle n'en sortira que que les fesses écarlates, épuisée, rincée physiquement et mortifiée de honte, celle-ci s'abandonne alors pleurant comme une fontaine, vaincue par la volonté maternelle.

    Sauf, que dans ce semi huis clos, un grain de sable vient enrailler la mécanique, l'arrivée inopportune, mais prémédité des soeurettes qui veulent profiter du spectacle offert (à son corps défendant) par la grande sœur, bien plus intéressant qu'une poésie ou des devoirs.
    Maman stoppe alors son élan, tout en gardant bien en place l'oeuvre qu'elle doit achevée, écoute les petites et les renvois dans leurs quartiers, accompagnée d'une invitation pour le moins repoussante, cette irruption contrariant profondément Christinette.

    Retrouvant toute sa verve, Christinou exprime son désir d'un arrêt des hostilités, sauf que seule Maman décide et que l'interruption des gamines, ne change pas la donne, Christine mérite une bonne leçon dont elle se souviendra et lui en rappelle le principe, bien sur qu'une fessée fait mal, mais c'est justement son but et la dernière était peut-être trop légère, puisqu'elle a recommencé.
    A suivre..........

    Amitiés, Dominique

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  21. Chère Christine,

    Allez soyons fou et offrons à la miss, non une fessée qu'elle mériterait pour sa paresse, mais ma dernière pensée sur ce croustillant épisode, annonçant une suite tout aussi riche en émotions et ressenti de la Christinette, qui à mon avis, présentera à nouveau ses 'Belles joues' à Maman, ce qui n'engage que moi, bien évidemment.

    Suite 4 :
    Maman reposée par cet intermède, reprend alors sa composition picturale, sa toile ayant palis, en repassant son pinceau de façon plus précise, tout en se félicitant du résultat « Ah, voilà une belle coloration qui s'annonce, quand Maman promet, elle ne rigole pas », mais qui est stoppée par une nouvelle intrusion des fillettes (sous un faux prétexte), qui reste scotchées et les réexpédient manu militari, en fermant la porte et promesse de prendre la suite de Christine, si elles reviennent.

    Enfin seule avec Maman, qui n'a pas relâchée son étreinte bien décidée à parachever son œuvre, Christinette exprime son dépit vis à vis des petites, aussitôt repris par Maman qui recadre l'argument dans son contexte en faisant comprendre à sa fille qu'elle seule est responsable de cette posture contemplée par ses sœurs et n'oublie pas d'ajouter une prédiction funeste, pour l'avenir de Christinou lui tirant des larmes de honte, avant d'en verser d'autres de douleur.

    Maman repositionnant Christinette, reprend son action punitive tout en infantilisant sa fifille « puisque cela ne rentre pas par la tête, on va encore s'adresser à tes fesses » et là pour Christinou, la fessée devient une tannée exceptionnellement douloureuse, pleurant et suppliant comme jamais, sans apitoyer Maman déterminée à aller au bout de la leçon.

    Après un dernier assaut maternel, Christinette enfin libérée ne sent plus la peau de ses fesses cuite et recuite par une volée phénoménale, avec la sensation d'avoir un chauffage individuel à la place de sa lune, une fois sur pied Christinou danse en essayant d'atténuer la douleur qui envahie ses globes jumeaux, la cuisson de ceux-ci étant prodigieuse.

    Maman adresse un dernier rappel à Christine, avec promesse de nouvelles déculottées, si elle ne ravise pas son comportement, avant de quitter la pièce, Christinette prenant alors conscience de sa situation grotesque se reculotte bien vite et une fois seule se repasse le film cette fessée reçue quasiment à huis clos et non comme dans son cauchemar, mais ressent profondément la puissance avec laquelle celle-ci a été servie et qu'elle n'avait pas 'préparé' sa lune pour rien.

    Il est intéressant de constater que lors de cet épisode, la douleur est plus prégnante, que le sentiment de honte chez Christinette, même si celui-ci est présent et démontre que Maman très ulcéré par cette récidive (colle et mensonge), c'est employée comme jamais à tannée les fesses de sa fifille, quitte à en user sa main et faire passer une leçon, mal comprise auparavant.

    Amitiés et bon Noël, Dominique

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  22. Chère Christine,

    Je constate que Christine est toujours en mode inactif, mais peut-être est elle partie pour fêter Noël en famille, ce que je comprendrais, moi-même je serais absent jusqu'à demain soir et ne vous en tiendrez pas rigueur, en souhaitant que vous preniez en cadeau toutes mes livraisons, ainsi que les autres lecteurs.

    Encore une fois, Joyeux Noël, que celui-ci soit festif pour vos proches et vous même, mais sans la coloration que l'habit du Père Noël sur cette partie tendre de votre anatomie, qui vient de vous être servie avec générosité, tout comme les présents de la nativité.

    Amitiés et à bientôt, bon réveillon, Dominique

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  23. Chère Christine,

    Voilà, Christine, je suis de retour en espérant que la nativité vous a gâté, ainsi que vos proches (tout comme moi), non en couleurs, mais en présents plus agréable à recevoir, que ceux très chaleureux et généreux de Maman, que Christinette méritait pour ses bêtises ou ses faux pas scolaires, n'est ce pas Christinou ?

    Trêve de plaisanterie, j'espère que vous avez passer un bon réveillon et que le Père Noël a comblé tous vos souhaits, comme moi (je me répète), mais quoiqu'il m'en manque Un ! J'avoue qu'une reprise d'activité de Christine sur son blog me ravirait, mais peut-être a t-elle 'besoin' d'une motivation dont Maman maîtrise parfaitement la transmission et au fait, pourquoi ne pas en toucher deux mots, à cette charmante Madame SPAAK qui sait y faire, avec sa fifille ?

    Ah ! Quel taquin ce Dominique, qui sait très bien que je suis absente et qui malgré tout, ne m'imagine que déculottée et copieusement fessée par Maman, pas gentil le garçon, mais je lui pardonne, ses moqueries ou allusions n'étant que le reflet de sa fidélité à ce blog.

    Bon ! Ayant fait les demandes et les réponses, je vous quitte Chère Christine, pour mieux revenir et alimenter cet espace de liberté ravissant que vous nous prêtez, à tous.

    Amicalement, Dominique

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  24. Chère Christine,

    Je constate que les vacances se prolonge pour Christine et je suppose qu'elle n'a sans doute pas la possibilité de pouvoir consulter son blog, à moins que celle-ci ne soit attente par une crise de flemmardise et pour laquelle, je pense qu'il serait peut-être bon d'en toucher deux mots à Madame SPAAK afin qu'elle redonne le goût de l'effort à sa fifille, par une méthode dont-elle a le secret et qu'une partie anatomique de Christinette n'était pas très friande.

    J'imagine aisément que vous voyez, ce que je veux dire Chère Christine, sans aucune vilenie pour les 'Belles joues' que Christinou savait présenter, en bonne position, à sa Maman Chérie.

    Amitiés, Dominique

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  25. Rassurez-vous, Dominique, je suis de retour, après une petite semaine passée au soleil, donc plus au sud que notre hexagone, pour ne pas vous en dire plus.
    J'ai effectivement délaissé Internet et c'est d'autant plus dommage que la seule validation des commentaires aurait suffi à animer le blog, tant les remarques et analyses "dominicaines" ont été variées et de qualité.
    Cela dit, heureusement que Madame Spaak n'a pas été mise au courant de cet abandon de poste de "travail" de sa chère fille ainée, sinon, je vous concède que, malgré la période de Noël, j'aurais pu avoir à présenter mes "belles joues" sur ses genoux un peu trop "accueillants" à mon goût, d'autant que je n'y faisais jamais étape pour rien, mais bien pour une déculottée maison précédant une tannée du genre bien appliquée...

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  26. Chère Christine,

    Je n'était pas inquiet et vous n'avez pas en m'en dire plus sur votre destination, le seul petit reproche étant que vous l'ayez fait sans prévenir vos fidèles lecteurs et pour ce manque de cordialité, je crois qu'il ne serait pas inutile d'en informer Mme SPAAK.

    Ce qui donnerait l'occasion à Christine, de faire une étape chaleureuse sur les genoux très accueillants de Maman, pour cette désertion et j'avoue, avec un peu de moquerie, que j'assisterais volontiers à une présentation des 'Belles joues' de Christinette à sa Maman chérie, pour une déculottée bien appliquée et tout à fait méritée, pour cette négligence.

    Hormis cela, je suis remercie pour l'appréciation, sur les commentaires 'Dominicains' alimentant votre espace et qui aurait certainement, provoqués d'autres réactions, dont les votre en particulier, à n'en pas douter.

    Amitiés, Dominique

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  27. Voui, voui, je sais, j'aurais dû prévenir, mais cela s'est fait en dernière minute, et puis ce n'était que sept petits jours, et je ne m'attendais pas à ce que Dominique soit aussi productif justement dans cette semaine là...
    Sûr que si Maman Spaak avait su cela, il y a quelques années, cela ne serait pas resté sans conséquences... que tout un chacun devine aisément. J'ai un souvenir du genre où, j'étais allée travailler un exposé chez une copine, à la sortie du collège, sans en prévenir Maman. Elle s'était inquiétée fortement et, même si j'étais réapparue guère plus d'une heure après, guillerette et inconsciente de la peur qu'elle avait pu avoir, l'explication avait été houleuse... Je ne vous fais pas de dessin...

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  28. Chère Christine,

    Rassurez vous, Christine, je ne vous en veux nullement et je sais qu'il y a parfois des imprévus, qui modifie le cours des choses, mais il serait souhaitable que cela ne se reproduise pas à l'avenir, sinon gare à vos fesses,hihi.......

    Tant qu'à la production que je vous ai fourni, celle-ci résulte du fait que j'étais plus disponible et ne voyant aucun de mes commentaires validé, je me suis douté que Christine avait mis les voiles pour reposer ses 'Belles joues' que Maman avait plus que bien servies, mais c'était méritée.

    Concernant le petit souvenir que vous évoquez, inutile de me faire un dessin, d'autant que la situation ayant apeuré votre mère (comme lors d'une certaine séance cinématographique), j'imagine bien que Maman a du faire sentir aux rondeurs de l'inconsciente Christinette, toute son inquiétude, en lui flanquant une tannée magistrale, somme toute encore une fois bien méritée, comme les autres, n'est ce pas petite fifille écervélée !

    « Oh, non, snif, snif, Dominique qui pense que la gentille Christinou a mérité toutes les bonnes déculottées que Maman lui a donné, j'en ai les larmes aux yeux, même si je veux bien admettre qu'il n'a pas tout à fait tort, mais me le clamer avec un air moqueur (comme les frangines) est vraiment méchant et il a bien de la chance, que Maman ou Tata ne soient plus là, pour lui flanquer une bonne dérouillée, que lui aussi mériterait, voilà, Gros vilain, na !»

    J'espère que cette introspection dans vos pensées, vous amusera et vous fera rebondir, ce dont je ne doute pas, de la part d'une conteuse de votre qualité (Allez, encore un petit coup de pommade, mais sincère).

    Amitiés, Dominique

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  29. Bonjour Christine,

    Ouvrant votre blog, je vois que Dominique vous a servi plusieurs commentaires de qualité, disséquant et analysant votre récit, avec brio et la pointe d'humour qu'on lui connaît, prolongeant votre écrit pour le plaisir de vos lecteurs, parmi lesquels je me compte.

    En dehors de cela, s'agissant de votre espace, je respecte votre liberté à valider ou non les commentaires et le message est bien passé, je me contenterais donc d'être lectrice, avec de temps à autre quelques réflexions impersonnelles sur vos épisodes, pour faire vivre ce blog que j'apprécie.

    Cordialement, Sonia

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  30. Sonia, je peux comprendre votre déception, mais comme vous le savez, je me refuse à publier tout ce qui est vrai ou faux souvenir de donneur ou donneuse de fessée et autres corrections à des mineurs. J'évoque ici des souvenirs (vrais ou romancés) côté punie que je fus, un point c'est tout. Nul doute que vous pouvez trouver d'autres lieux pour partager votre vécu ou vos fantasmes, mais cela ne m'intéresse pas et n'a pas sa place ici, c'est clair.
    Cela dit, merci de vos compliments et de votre fidélité qui m'encouragent à poursuivre.

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  31. Que Dominique soit aussi rassuré : je ne prends pas mal sa moquerie à propos d'une fessée que j'aurais peut-être (voire sûrement) reçue, si je m'étais conduite de la sorte du temps où j'étais encore sous la coupe maternelle. Et, j'imagine que, comme mes soeurettes, il aurait eu beau jeu de me titiller sur le sujet d'une fessée dont j'aurais bien dû admettre qu'elle eut été méritée amplement, et à laquelle mes "belles joues" n'auraient certainement pas échappé...
    Sinon, rassurez-vous aussi : même en les publiant d'un coup, je n'ai pas manqué d'apprécier les commentaires détaillés que cet épisode vous a inspirés.
    Comme vous le soulignez, j'avais effectivement mal vécu la double irruption d'Aline et Diane en pleine action maternelle.
    Fort heureusement pour moi, la version cauchemardée qui avait peuplé mes deux nuits précédentes ne s'était pas réalisée, et il n'y avait ni boulangère, ni vendeuse dans les parages, et je pouvais presque avoir le sentiment d'être chanceuse, et presque "apprécier" de n'être déculottée que dans le cadre intime de ma chambre.
    Mais, la curiosité de mes soeurs, aidée en quelque sorte par le fait que Maman avait ordonné qu'elles aillent se mettre en pyjama, et donc se rapprochent de la scène qui les intéressait au plus haut point... a donc provoqué une première irruption, hélas suivie d'une deuxième sous un prétexte assez bien joué de la part de mes chipies de soeurettes.
    La double irruption amenait une double pause, sorte de double respiration, permettant à Maman de repartir de plus belle au grand dam de ma lune écarlate...
    Double irruption qui était aussi une double honte, peut-être même plus difficile à supporter que si mes soeurs avaient été spectatrices de bout en bout. A cause des dialogues qui formalisaient cette situation. "Vous voyez bien que je suis occupée" était ainsi une façon de dire : "vous voyez bien que je donne la fessée à votre grande soeur, vous voyez bien que sa culotte est baissée, que je rougis sa lune".
    Même l'expression "que je suis occupée" semblait rappeler que la chose est d'importance, que "l'on ne dérange pas" une Maman qui donne la fessée.
    Comme lorsqu'elle leur dit qu'elle pourrait aussi les déculotter quand elle aura "fini" démontre bien que la fessée est un tout, qu'elle se donne avec application. Et, lorsque l'on entend cela dans ma position, au moment où les petites reviennent à nouveau pointer leur nez et surtout ouvrir leurs yeux à deux pas de mes fesses rougissantes, je le ressens comme si Maman disait : "Vous voyez bien que je n'ai pas fini. Regardez bien, les belles joues de votre soeur sont déjà un peu plus colorées que quand vous êtes venues, il y a cinq minutes, mais vous savez bien que j'ai promis à Christine une bonne fessée, et que je n'arrêterai que lorsque sa lune sera toute rouge de partout".

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  32. Chère Christine,

    Oh là, là, quelle merveilleuse réponse au taquin Dominique, qui mériterait bien de se faire sonner les cloches ou plutôt les fesses, par Maman ou mieux par Tata et sa mimine osseuse sachant particulièrement faire circuler le sang de ce vilain garçon moqueur, qui se gausse effrontément des déconvenues fessières de Christinette, même si celles-ci étaient méritées.

    Cela dit, je savais que Christine réagirait aux perches tendues ( Oh, quel vantard celui-là !) et bien sur que le Dominique accompagné des soeurettes aurait su profiter du spectacle visuel ou auditif offert par la grande Christinette, bien déculottée, paillant et gigotant comme jamais, ses 'belles joues' étant sous une main de maître, lui servant une dégelée phénoménale, impressionnant les spectateurs ou auditeurs malicieux.

    Sinon, bien sur que les irruptions intempestives des soeurettes ne pouvaient que mettre à mal la fierté et la pudeur d'une Christinette, déjà bafouées par la punition maternelle, l'amenant à exposer ses rondeurs juvéniles dépourvues d'enveloppe, avec pour seule consolation le lieux quasi intime de sa chambre (porte ouverte) et non comme dans son cauchemar, mais favorisant par deux fois la curiosité des petites, trop contentes d'être aux premières loges de la représentation Christinienne.

    Ces coupures imprévues, mais préméditées par les gamines, sont néfastes pour Christine, celles-ci redonnant de la vigueur au bras maternel, mortifiant la pré-ado par deux fois et permettant à Maman d'affirmer sa détermination, lorsqu'elle donne la fessée, menaçant les chipies du même sort, une fois qu'elle aura fini de rougir totalement la lune de la grande sœur.

    Eh oui, pour Christinou, c'est une nouvelle défaite et quand Maman fesse, la cuisson de la peau est complète sans demi mesure, laissant à la fifille une paire de 'belles joues' écarlates et endolories, lui faisant verser des flots de larmes, tant de douleur, que de honte.

    Amitiés, Dominique

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  33. Très en verve Dominique, en ce moment. Merci, et pourvu que cela dure. "Nouvelle défaite pour Christinou", dites-vous. L'image est bonne, car dès l'instant où je cache mes bêtises, où je cherche à "gagner" du temps, je sais bien que viendra le moment où ce jeu de cache cache s'arrêtera et où je perdrai la partie, et accessoirement je perdrai aussi la protection de ma culotte...

    PS pour Sonia : Message d'explication bien reçu. Je comprends votre point de vue, comme vous comprendrez que, fidèle aux règles que j'impose et m'impose sur ce blog, je laisse cette discussion non publique.

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  34. LE COMMENTAIRE DE MARDOHL (1ère partie)

    Critique épisode 53

    Un épisode magistral narrant une fessée magistrale et appelant, au temps pour moi, une critique magistrale.

    Chaque œuvre littéraire, de par le genre auquel elle se rattache, se voit nantie de caractéristiques qui lui sont bien propres, appelant un horizon d’attente bien défini de la part du lecteur. Si, en lisant une chanson de geste, on s’attend à une succession d’épiques combats, si les mémoires de Casanova alignent un kaléidoscope d’éphémères conquêtes féminines, si le roman d’aventure déroule d’insolites péripéties au fil d’un exotique périple, les récits de Christine scandent invariablement les étapes menant à la fessée de telle ou telle fille Spaak, tout comme la tragédie s’achemine invariablement vers une fin malheureuse, aussi inéluctablement qu’une histoire d’Astérix aboutit au banquet final ou une de Lucky Luke, à la chanson « I’m a poor lonesome cowboy » au soleil couchant.

    Cependant, ce n’est pas pour autant la même histoire qui nous est à chaque fois contée, et l’un des intérêts que l’on prend à la lecture de ces types catégoriels, réside dans la perception du jeu, parfois subtil, de variations, opéré entre chaque récit et qui permet de les distinguer les uns des autres.

    Jeu auquel vous vous livrez expertement, chère Christine, car malgré le nombre impressionnant de fessées que vous nous avez relatées, vous continuez à nous surprendre, et même à nous apprendre quelque chose, à chaque épisode.

    Ainsi, dans celui-ci, cette claque sonore reçue en acompte sous une jupe opportunément tourbillonnante, permet empiriquement à la narratrice, par une savante et presque clinique analyse d’un même impact, que le hasard a réparti entre la culotte et la peau nue, de comparer l’effet d’un coup porté sur le coton d’un sous-vêtement, avec celui administré directement sur l’épiderme, et de déduire ainsi comparativement (de « soupeser », comme vous l’exprimez délicieusement), par soustraction pour ainsi dire, la protection effective qu’offre le dernier rempart de coton (et dont l’imminente punie à son grand dam ne bénéficiera pas).

    En effet, le diagnostic angoissé de Christine est sans appel : sur la partie du postérieur recouverte par la culotte, la chaleur prodiguée par la paume et le pouce maternels n’est que diffuse, tandis que sur la zone ayant été directement atteinte par les doigts, la sensation est bien plus brûlante, sans compter que demeure visible l’empreinte des phalanges. Hélas pour elle, c’est pourtant cette douleur-là, bien plus aigüe, qui lui est promise. Ainsi, pendant le châtiment et selon une implacable équivalence logique (A implique B et B implique A), la nature exacte de la douleur physique ressentie pendant la correction lui rappelle, et c’est une douleur morale, qu’elle se retrouve les fesses à l’air. (Vous évoquez aussi le « bruit caractéristique de l’impact », mais sur le plan de l’ouïe le corrélatif manque car vous ne nous avez encore rien dit de la résonance occasionnée par la rencontre d’une paume ouverte sur un morceau d’étoffe tendu à même la peau.)

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  35. LE COMMENTAIRE DE MARDOHL (2ème partie)

    Plus classiquement, cette fessée « modèle », « exemplaire » est par ailleurs décrite en suivant les trois étapes « canoniques » que vous aviez déjà esquissées dans un post lointain, intitulé « Comment la fessée fait mal » : en premier la « dégelée » initiale, autrement dit la « première couche », « l’entrée en matière » visant à rougir uniformément la surface à amender, en deuxième la « tannée », la phase « magistrale », le véritable « plat de résistance » de cet amer menu servi à notre pénitente, en troisième le bouquet final, le sprint d’arrivée, la « dernière salve » (dont la porte refermée amplifie par ailleurs la sonorité) destinée à marquer le corps comme l’esprit, à l’instar de l’ultime chanson d’un concert qui doit laisser le public sur une forte impression.

    Signalons encore l’acide ironie de votre mère, qui, personnifiant les rondeurs jumelles de sa fille, se permet quelques piques humoristiques (qu’assurément la concernée ne trouve pas drôle du tout) en prétendant que, si la fesse droite, comportant déjà une trace, en quelque sorte a pris de l’avance, l’autre verra vite son retard rattrapé, et qu’ainsi « il n’y aura plus de jalouse ». (Il est vrai que cette légère dissymétrie de traitement entre les deux globes se révèle inédite et mérite de se voir commentée, par votre mère autant que par la narratrice.)

    Et puis, ah là là quelles petites pestes, vos petites sœurs qui ne loupent pas un prétexte (devoirs faits, pyjama introuvable, mon œil !) pour venir épier la scène, la porte de votre chambre ayant été laissée ouverte ! Malgré la double remise au clair de votre mère, qui pas dupe de leur voyeurisme les traite avec raison de « petites curieuses », mais qui estime sans doute au fond d’elle-même que leur présence même fugitive sur les lieux expiatoires leur inculque un semblant d’exemple, tout en mortifiant davantage la punie, elles n’en auront pas moins bénéficié d’une vision intégrale de votre lune écarlate, vous blessant profondément dans votre fierté comme dans votre pudeur. (Malgré tout, comme vous le mentionnez, la fessée effective sera demeurée largement en deçà de la fessée rêvée !) A souligner au passage la tenue (ou plutôt l’absence de tenue) vestimentaire d’Aline qui, moins pudique que Christine comme nous le savons (enfin, comme vous nous l’avez fait savoir), et en outre demeurant contrairement à son aînée une petite fille n’ayant pas de poitrine à dissimuler, ne craint pas de se montrer en culotte devant le reste de la famille.

    Il y aurait sans d’autre bien d’autres aspects sur lesquels gloser, un bon texte étant un texte que l’on retrouve toujours plein après l’avoir vidé. (Christine se rassurant en passant sa main dans le bas de son dos encore préservé, comme celui qui, tombant du haut d’un immeuble, se dit à chaque étage « Jusqu’ici, tout va bien », Christine se reculottant à la vitesse de l’éclair voyant que sa mère va rouvrir la porte.) Mais je poserai là ma plume pour aujourd’hui et laisserai mes commensaux en votre blog me montrer exhaustif à ma place !

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  36. Chère Christine,

    Pourquoi voudriez vous que cela ne dure pas, vos récits, ainsi que vos réponses et les commentaires des autres lecteurs qui les complètent (au passage vous pourrez félicitez Mardohl de ma part, pour son merveilleux commentaire) sont un ravissement et m'inspire, pour tout vous dire, je n'aurais jamais imaginé avoir une telle aptitude pour l'écriture, même si cela reste de la prose, parfois décousue et bourrée de fautes d'orthographe ou de syntaxe (hum ! Que c'est bon de se lancer des fleurs, hihi........).

    En dehors de cela, comment pourrait-il en être autrement pour une Christinou évoluant physiquement (elle devient jeune fille), mais pas sur le plan psychologique, peut-être aidée en cela par la présence de deux chipies encore fofolles, en continuant à faire des bêtises et surtout à les cacher ou 'jouer' la montre, sachant que toute grande qu'elle est, la règle maternelle reste la même, si l'on est prise, c'est la déculottée assurée.

    Sauf que pour une pré-adolescence, se retrouver étalée au travers des cuisses de Maman, comme une petite fille, les fesses à l'air, la culotte baissée aux genoux et recevoir une volée 'de grande sœur', en paillant et pleurant comme une gamine.

    Cela ne peut-être qu'une défaite, voir une Bérézina, car très mortifiante pour une demoiselle affichant des formes naissantes et qui parade allègrement au collège, entourée de ses copines, qui ne se doute pas que la grande Christine, à son âge, reçoit plus souvent qu'à son tour de bonnes déculottées de sa Maman, pour ses turpitudes « Oh non, mon dieu ! Qu'elles puissent savoir ou même se douter, j'en mourrai de honte ! ».

    Amitiés, Dominique

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  37. Bonsoir Christine,

    Merci pour votre réponse, comprenant fort bien que vous conserviez notre échange et votre déontologie pour ce blog, imposant et vous imposant des règles précises, je m'efforcerais donc de rester dans cette droite ligne, en vous livrant des commentaires, qui je l'espère auront votre approbation.

    Pour l'anecdote, j'ai comme l'impression de mettre fait sermonner par Maman, juste avant de finir sur ces genoux, pour une confirmation de celui-ci bien plus désagréable et affligeante, pour ma petite personne.

    Cordialement, Sonia

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  38. Chère Christine,

    Au fait, je suppose et j'espère que vous répondez à Mardohl pour ses magistraux commentaires, sans quoi je me verrais dans l'obligation de prévenir Mme SPAAK, pour ce manque de gratitude envers un commentateur sachant faire voyager l'imaginaire (tout comme vous) des autres lecteurs, ce qui n'engage que moi, bien sur.

    Alors, gare à vos fesses jeune fille, sinon, sinon, vous pourriez bien avoir à les présenter de nouveau à la dextre maternelle, certes vos rondeurs en ont l'habitude, mais il faut savoir consommer avec modération, surtout en cette période festive, oh ! Quelle expression judicieuse pour les 'Belles joues' de Christinette, n'est ce pas, hihi......... !

    Sur ce, je vous souhaite de passer un excellent réveillon de jour de l'an.
    Amitiés, Dominique

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  39. Merci à tous de vos encouragements. Cela me donne du tonus pour l'année nouvelle, qui s'ouvre par ce mois de janvier, qui était, il y a quelques années encore, appelé le "mois du blanc" !
    Gageons qu'une certaine Christinette espère que cela sera le cas sur ce blog...
    Mais pour Christinou qui rime avec "belles joues" (c'est drôle de parler de soi à la troisième personne), Maman Spaak veille, et si elle sait embrasser sa progéniture en lui souhaitant "bonne année, bonne santé", nul doute qu'elle saura aussi, lorsqu'il le faudra, et "parfois", voire hélas "souvent", faire rimer "bonne année", et bonne fessée" !

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  40. Chère Christine,

    Je vous présente mes meilleurs vœux et souhaite à Christine pleins bonnes choses en cette nouvelle année et notamment de nombreux commentaires pour son blog, afin de conserver toute sa motivation à son élaboration.

    Bonne année à Christinette, qui espère que ce mois de janvier reste aussi immaculé, que son appellation, en particulier pour une partie de son anatomie qui n'est pas très friande des monochromes qu'exécutent avec maestria la mimine maternelle sur celle-ci, mais qui ravi ses lecteurs, alors souhaitons que l'espiègle Christinette continue sur cette voie.

    Bonne année, également à Christinou, que Maman aura à cœur de maintenir en 'bonne santé' durant cette nouvelle année, comme elle a su le faire 'plutôt souvent, que parfois' au cours de l'année passée, par le biais d'une circulation sanguine très appropriée aux 'belles joues' d'une Christinou ayant plus d'un tour dans son sac à malice.

    Pour conclure, je renouvelle mes vœux de rebondissements lunaires et colorés à Christine, Christinette et Christinou, pour 2013.

    Amitiés, Dominique

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  41. Bonjour Christine,

    Permettez moi de vous présenter tous mes vœux, pour la nouvelle année qui débute et je partage l'avis de la Christinette qui souhaite que le 'mois du blanc' perdure le plus longtemps possible pour ses fesses, les précédents leurs ayant apporté un lot de coloration bien plus désagréable.

    J'imagine que la Christine, de l'époque, devait (tout comme moi) à chaque début d'année, se promettre un tas de bonnes résolutions à prendre, afin d'éviter cette position horizontale redoutée au travers des cuisses de Maman, pour lui présenter une lune bien découverte, qu'elle savait faire rougir et chauffer avec application, au grand dame d'une demoiselle meurtrie et honteuse qui n'avait plus qu'à pleurer sur son sort.

    Petite pensée en ce début janvier de Sonia, qui vous renouvelle ses vœux et vous prépare un commentaire sur cet épisode.

    Cordialement, Sonia

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  42. Christine vous remercie de vos voeux... Même si Christinette ou Christinou voit d'un mauvais oeil vos prévisions bien pessimistes quant à sa capacité d'échapper à de nouvelles déconvenues postérieures et claquantes...

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  43. Chère Christine,

    Que voulez vous, ma Chère , que Christinette ou Christinou perçoivent d'un mauvais œil les pensées certes pessimistes de ses lecteurs (Sonia ou moi-même), démontre simplement que l'une comme l'autre ont un doute quant à leurs possibilités d'éviter de nouveaux déboires fessiers, compte tenu de leurs propensions aux turpitudes et comprennent qu'il s'agit plutôt d'une prémonition réaliste.

    Néanmoins, je comprends que celle-ci soit du genre déplaisante pour elles, qui souhaitent garder leurs lunes bien couvertes, immaculées et fraîches, en évitant les passages au travers des cuisses maternelles, pour êtres dévoilées et copieusement réchauffées.

    Désolé, Chère Christine, mais je n'envisage pas d'autre avenir pour les rondeurs de Christinette ou les 'belles joues' de Christinou, dont Maman saura s'occuper lorsqu'elles le mériteront et je crois que cela ne manquera pas d'arriver, n'est ce pas ?

    Amitiés, Dominique

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  44. Bonjour Christine,

    Attendre dans la crainte, voilà le sentiment qui envie Christine, le suspens étant tombé et qui n'a plus qu'à bien préparer ses fesses pour une tannée mémorable, compte tenu des circonstances (récidive, cachotteries), dont elle ne ressortira qu'épuisée et vaincue, en pleurant toutes les larmes de son corps.

    Tremblante comme une feuille, la voici qui se présente face à une Maman ironique, maîtrisant une colère interne d'avoir de nouveau à sévir envers l'une de ses filles pour des problèmes de discipline et le tonne à l'encontre de son aînée « Cesse de mentir, je t'ai promis et tu l'aura, puisque tu ne comprends que les bonnes déculottées, je vais donc remettre le couvert, voilà tout ! ».

    Christine, effondrée, mais pas surprise se rebelle et craignant la gifle, s'escamote tout en ramassant une superbe claque sur la culotte, en gémissant, avant une suite qui sera bien plus difficile à supporter et confirmer par les paroles maternelles.

    Une fois dans son antre, la demoiselle ressent la différence du choc entre la peau nue et la culotte, comprenant également qu'au niveau de la douleur, celle-ci sera beaucoup plus intense, culotte baissée et l'angoissante attente reprend le dessus, pour Christine qui est aux aguets.

    Enfin, Maman arrive, brisant Christine qui résignée s'apprête à vivre en réel ce fameux quart d'heure, sur lequel elle a cauchemardé et là sans temps mort, Maman s'attelle aux choses sérieuses en servant à sa fille une pluie battante de claques, confirmant à Christine que cette fois elle est bien déculottée, les piqûres sur ses fesses se multipliant à foison.

    Après cette entrée en matière tonitruante, Christine impuissante s'abandonne à cette volée tannant ses rondeurs, Maman n'épargnant pas le moindre centimètre carré de peau qu'elle fait rougir, sans rémission et tout d'un coup, voilà l'intrusion des petites sœurs (curieuses) stoppant par deux fois l'action maternelle (temporairement), Maman reprenant son œuvre pour la parachever de façon magistrale.

    Après l'ultime bouquet final, Christine, déboussolée chancelle sous l'effet de cette cuisson exceptionnelle qui embrase ses fesses, comme rarement elle a connu et réalise qu'après avoir angoissée durant trois jours, la dextre maternelle était bien au rendez-vous et n'a pas fait les choses à moitié.

    Maintenant, Christine est dans l'après, il va lui falloir revenir au quotidien (étape au combien difficile psychologiquement) en redescendant sur terre pour le dîner et affronter les moqueries des petites sœurs, ainsi que les allusions de Maman.

    Cordialement, Sonia

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  45. Merci de ces commentaires intéressants. Et, comme le note bien Sonia, c'est difficile de "redescendre sur terre", de ré-affronter le regard des autres lors du diner... Surtout lorsque l'on a encore comme un petit radiateur au bas du dos....

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  46. Bonsoir Christine,

    En effet, Christine, l'atterrissage (en quelque sorte) après une telle volée d'exception, en cours de journée et non au coucher, est d'autant plus délicat qu'il faut reprendre ses activités, en l'état pour vous étant de participer au dîner, avec une lune encore bouillante et en compagnie de sœurettes, ayant eu leur lot d'images et de son, sur la déconvenue de la grande sœur.

    Mon expérience en la matière, est moins riche que la votre, mais il m'est arrivée de connaître ce genre de situation, juste avant ou au cours d'un repas de famille ou bien avant d'aller à l'école et dans la mesure ou j'arborais une mine déconfite, les regards se tournaient vers moi et j'avais comme la sensation d'être à nouveau déculottée, la honte que je ressentais à ce moment là, faisait remonter des larmes qui embuaient mes yeux.

    Cordialement, Sonia

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  47. Chère Christine,

    J'ai comme l'impression que la petite Christinette a demandé à la grande Christine, de faire mijoter les lecteurs, autant qu'elle durant ces trois jours d'angoisse ou elle préparait ses 'belles joues' à une volée exemplaire, mais tout à fait méritée et ses craintes, ont même dépassé la fiction, lorsque Maman lui a servi cette composition Spaakienne hors du commun, laissant à Christinou un goût d'amertume et un volcan en fusion, à la place de ses fesses.

    Donc, si Christinette n'a pas volé cette tannée d'anthologie exécutée de main de maître, l'ayant éreintée et bafouée dans son amour propre de pré-adolescente, il me semble que celle-ci n'a totalement compris le message sur les valeurs essentielles du travail et de la discipline, alors peut-être qu'une petite couche supplémentaire serait de bon aloi, qu'en pensez vous Christine (tte) ?

    Je ne peux conclure, qu'en réaffirmant ma sombre prévision sur l'avenir fessier de Christinette, qui démontre à nouveau (malgré une sublime dérouillée), ses penchants à l'insouciance et à la nonchalance, faisant le charme de cette demoiselle, mais qui étant ainsi, s'offre en contrepartie de fréquents passages sur les cuisses de Maman, pour présenter sa lune bien découverte et donner l'occasion à la dextre maternelle, de montrer son expertise en matière de fessée.

    Amicalement, Dominique,

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  48. Cher Dominique,
    Comme vous allez vite en besogne, sans laisser le plus petit répit à la grande Christine, à l'image de ma chère mère qui guettait le moindre relâchement de Christinette, en se disant qu'il allait peut-être falloir ré-intervenir sans tarder de la manière que vous devinez aisément... Et ne me dites pas que non...
    Désolée, mais ce début d'année est assez chargé professionnellement, et je ne peux écrire bien que lorsque j'ai l'esprit non encombré par mille choses à faire.
    Mais, que mes fidèles commentateurs se rassurent, la suite ne va pas tarder, je l'espère...
    Cela dit, merci de me rappeler à mes "devoirs" en jouant, avec un talent grandissant, sur le registre du rappel à l'ordre, voire de la menace, à la manière de Maman Spaak, un petit jeu qui me replonge en cette période où Christinou savait que les menaces maternelles n'étaient jamais paroles en l'air, et que les promesses étaient tenues de belle manière.
    Alors, effectivement, mieux vaudrait ne pas prendre à la légère cette demi-menace d'une "petite couche supplémentaire", je vous le concède volontiers...

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  49. Chère Christine,

    Et oui, comme Maman chérie, je veille à ce que Christinette ne s'endorme pas sur ses lauriers (travers récurrent) et je soutiens sans bornes Madame SPAAK, dans son action à remettre sur rails Christinou, par l'application d'une Bonne Fessée Déculottée (vous voyez que je devine très bien celle-ci et sans ambages).

    Ceci dit, je comprends que Christine préfère s'exprimer en ayant l'esprit libre et puisse ainsi ce consacrer pleinement à la rédaction de ses merveilleux récits, qui nous ravissent et je n'ai aucune inquiétude sur la livraison de la suite 53.

    Néanmoins, je constate avec bonheur que la petite Christinette a bien saisi l'avertissement et saura motiver la grande Christine, afin que ses 'Belles Joues' ne fasse de nouveau la une du quotidien Spaakien et que sa lune demeure immaculée, au moins un certain temps, car bien sur celui-ci ne dure jamais éternellement, avec la malicieuse Christinou.

    Amicalement, Dominique

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  50. Je me doutais bien que vous alliez deviner ce que je craignais... Pas facile à vivre ce moment où, par baisse de motivation, par un soupçon de paresse peut-être, mais c'est là un mot un peu fort, bref quand on s'aperçoit que Maman n'est pas dupe, qu'elle même s'est aperçue, elle aussi, que sa grande fille relâche un peu ses efforts, et risque de reprendre une mauvaise pente dont elle est coutumière...
    C'est là que viennent les premiers avertissements, les rappels à l'ordre accompagnés de menaces qui ressemblent vite à des promesses...
    C'est là en effet que le souvenir de la dernière plongée en travers des genoux maternels revient, comme si l'on y était encore, tellement il semble proche et palpable, et comme si l'on y était déjà, tellement l'avertissement ou la menace prend les allures d'une prochaine et inévitable programmation et concrétisation de manière "cuisante", si vous voyez ce que je veux dire...

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  51. Chère Christine,

    Oui, je vois très bien ce que vous voulez dire et je comprends que pour Christinette ces moments de relâchement perçut par Maman, la mettait dans l'angoisse sachant qu'après les avertissements et les menaces maternelles, les actes vont remplacer les paroles et là ce ravive, le dernier voyage au travers des cuisses maternelles, en se disant que le prochain approche à grands pas et qu'il sera tout aussi cuisant, la main de Maman sachant se montrer généreuse en la matière.

    Allez, Christine courage, certes Christinette vient de passer un terrible moment sur les genoux de Maman, mais c'est fini et puis connaissant Christinou, ce n'est ni la première, ni la dernière fois qu'elle présentera ses 'Belles Joues' à la dextre maternelle, n'est ce pas ?

    Amicalement, Dominique

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  52. Chère Christine,

    Serait ce une idée de ma part, mais l'expression un peu forte que vous employé 'soupçon de paresse' pour Christinette (que je partage) me semble néanmoins bien coller actuellement à la grande Christine, qui même si elle est débordée professionnellement, ne prends la peine de consulter son blog que toutes les 48 heures, si j'en juge par le fréquence de ses réponses.

    Dés lors, je pense que notre Chère conteuse profite allègrement de son statut, libérée de la surveillance maternelle, pour jouer avec la patience de ses lecteurs qui s'effrite et se demande, si celle-ci mérite autant d'attention, sachant qu'avec Maman cela n'aurait pas duré très longtemps et que la Christine (tte) de l'époque, aurait pu préparer ses fesses.

    « Ah, non mais vraiment ! Ce Dominique ne décompresse jamais, c'est pas possible ! Alors que moi, je ne demande qu'un peu de temps pour rédiger la suite et satisfaire mes lecteurs, dont les échos me ravisse, je l'avoue, mais tout de même ! ».

    Amicalement, Dominique

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  53. Effectivement, ce Dominique ne décompresse jamais... Christine ne peut pas suivre, sauf à ne faire que cela, ce qui ne serait pas pour me déplaire, mais hélas, il faut bien gagner sa vie.
    Cela dit, je comprends votre impatience, et ne doute pas qu'en d'autres temps, Maman n'aurait pas eu autant de patience avec Christinette. Après un ou deux rappels à l'ordre et une ou deux menaces sans guère d'équivoque, elle aurait certainement tenu à poursuivre la conversation avec Christinou, en s'occupant cette fois de ses "belles joues", puisque les avertissements passant par les oreilles ne suffisaient pas...
    Et comme je ne vais pas pouvoir en écrire guère plus aujourd'hui, je vous laisse imaginer comment ma journée se serait achevée dans l'hypothèse à laquelle nous pensons...
    Enfin, quand je dis "je vous laisse imaginer", j'espère bien que non, car j'en rougis déjà rien que d'y penser. "Rougis" de honte évidemment.

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  54. Chère Christine,

    En effet, chère conteuse, il faut bien gagner sa vie et je reconnais que mes horaires décalées, ainsi que les repos compensateurs me permette une plus grande disponibilité que vous.

    Ceci dit, je partage votre avis sur le fait que Maman n'aurait pas eu la même patience avec Christinou et qu'elle serait vite passée des paroles aux actes, en conversant avec les 'belles joues' de sa fifille.

    Néanmoins, Christine faisant preuve pour une fois d'une certaine franchise sur son impossibilité d'intervention pour cette journée, je me montrerais clément envers ses 'joues du bas', afin que celles du haut n'en rougissent pas de honte.

    Amicalement, Dominique

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  55. La chère conteuse est flattée de cette rare clémence du fidèle commentateur qu'est Dominique. Ma franchise est bien appréciée, comme elle pouvait l'être par une mère qui avait le mensonge en sainte horreur... Et je sais de quoi je parle...
    Il va toutefois falloir que je réalimente le fil de mes confidences. L'épisode actuel affiche sa date de décembre 2012 et il y aura bientôt un mois depuis sa livraison. En d'autres temps, j'aurais peut-être essayé de raturer la date et de la changer discrètement, mais ce n'est pas trop le genre de choses qui pouvait tromper Maman...
    Et ce cap d'un mois sans nouvel épisode, je le vois approcher comme approchait la réception du carnet de notes mensuel, surtout quand je pouvais imaginer qu'il contiendrait des notes non avouées ou une appréciation négative ou gênante...
    Alors, en transposant dans notre situation actuelle, je vois bien quelle serait l'angoisse montante d'une Christinou qui n'aurait pas rendu le devoir (l'exercice 54 dans le cas présent) que la prof attendrait depuis près d'un mois. Mieux vaudrait donc faire l'effort nécessaire, et le pondre avant que l'appréciation ne barre en rouge le carnet mensuel, avec les conséquences que l'on imagine... De celles qui m'arrivaient... "parfois" !

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  56. Chère Christine,

    Flattée est la Chère conteuse, j'en suis fort aise, mais attention, il ne s'agit que d'un sursis temporaire et il serait de bon aloi, que celle-ci ne dépasse pas le mois sans livraison, sans quoi celui-ci se cumulerait à la peine prononcée et aurait donc une conséquence plus que néfaste pour les 'belles joues du bas' de Christinou.

    D'autre part, je pense que falsifier la date du dernier récit, n'est effectivement pas une bonne idée, à moins que Christinette ne souhaite participer à une séance fessière, très, très musclée de Maman qui pourrait avoir eu vent de cette tromperie, par une personne à l'esprit légèrement malveillant envers ses fesses et qui ne vous est pas inconnu.

    Je crois donc, en effet, qu'il vaudrait mieux produire l'effort nécessaire, pour accoucher (pardonnez l'expression) de l'épisode 54, afin d'éviter cet écueil bien plus fréquent que Christine (tte) ne veux l'avouer.

    Amicalement, Dominique

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  57. Moi qui imaginais avoir des alliés parmi les commentateurs, ne voilà-t-il pas que Dominique est tenté de dénoncer à Maman la petite manoeuvre que serait un changement de date, juste une petite rature à peine visible pour cacher ma paresse, pour m'éviter de possibles remontrances maternelles.
    C'est sûr que si c'était le cas, la Christinou pourrait bien avoir quelques problèmes...

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  58. Chère Christine,

    Bien sur que si, Dominique, est un allié de Christine, mais dans la droiture et non l'entourloupe dont Christinette était coutumière, méritant alors les Bonnes Déculottées de Maman pour ses turpitudes et ne pouvant s'en prendre qu'à elle même d'avoir été prise ou éventuellement dénoncée par un vilain garçon, ravi de voir Christinou pailler sous la dextre maternelle rougissant ses 'belles joues'.

    « Oh ! Le méchant qui m'imagine uniquement au travers des genoux de Maman à présenter mes pauvres petites fesses, pour de cinglantes raclées, me faisant souffrir et pleurer comme une madeleine, Maman se montrant très généreuse avec moi, j'en rougis d'avance ! »

    Amicalement, Dominique

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  59. Chère Christine,

    Relisant votre dernière réponse, je m'interroge, pourquoi ne serais je que tenté de délivrer une information essentielle à Madame SPAAK (mère exemplaire sachant mener sur le bon chemin ses filles et en particulier son aînée), lui permettant d'intervenir comme il se doit auprès de sa péronnelle qui tarde à s'assagir, bien sur que non, je m'en ferais même un devoir.

    Au risque de déplaire à Christinette ou à Christinou, les petites manœuvres puériles et infantiles pour se soustraire aux conséquences de ses actes, se doivent d'être connues et sanctionnées comme il se doit, même si cela passe les ''jolies rondeurs accueillantes'' de la demoiselle qui sait parfaitement les présenter à sa Chère Maman.

    Dés lors ! Oui ! Je suis tout à fait disposer à venir en aide à Madame SPAAK, pour endiguer les facéties de ses fifilles et en particulier celles de son aînée qui se la joue grande demoiselle, alors qu'elle n'est encore qu'une petite écervelée, méritant encore de bonnes fessées déculottées.

    Tout ceci, sous le signe de l'humour, bien évidemment, de la part d'un commentateur féru du votre blog, très Chère Christine et ravi de le faire vivre.

    Amicalement, Dominique

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  60. Ah, je me doutais bien qu'il valait mieux ne rien dire de mes intentions... Je ne peux même plus changer la date de cet épisode, histoire de minimiser mon retard et de pouvoir plaider la clémence auprès de Maman...
    Bien sûr que je préfère être traitée en grande demoiselle que je suis presque... Même si Dominique prétend que je ne suis "encore qu'une petite écervelée, méritant encore de bonnes fessées déculottées".
    Je croirais entendre ma mère... On dirait une de ses phrases... Et je n'ai surtout pas envie qu'elle le redise très prochainement... Car, si elle s'apercevait du nombre de jours depuis que je ne me suis plus remise à faire mes "devoirs" d'écriture, il se pourrait bien que Dominique ait raison...

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  61. Chère Christine,

    Et oui, ma Chère conteuse, il ne faut pas tendre le fouet pour se faire battre, mais cela est une habitude récurrente chez Christinette qui sous ses airs de grande demoiselle qu'elle voudrait être, n'en demeure pas moins qu'une 'petite écervelée' qu'il convient de déculotter et corriger comme elle le mérite, fort heureusement Maman sait s'en charger quant il le faut.

    Dés lors, je pense que Christine aurait fort intérêt à se remettre au travail, en faisant ses devoirs et ainsi éviter une déconvenue, dont une partie de son anatomie n'est pas très friande, n'est ce pas Chère Christinette ?

    Amicalement, Dominique

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  62. Chère Christine,

    Désolé, Chère Conteuse, mais dans mon précédent post, j'ai omis le petit message à l'attention de Christinou chérie : gare à tes 'belles joues du bas' jeune fille, celles-ci risque fort de rougir sous la mimine généreuse de Maman, si tu persiste à paresser de la sorte.

    Et oui, ma grande demoiselle (soi disant) de tant à autre, il faut faire un choix, travailler ou bien présenter ses rondeurs dénudées, à Maman chérie pour une bonne f.......... ! Christine vois ce que je veux dire !

    Amicalement et avec beaucoup d'humour, Dominique

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  63. Chère Christine,

    Au risque de passer pour le vilain petit canard, j'ai l'impression que Christine est dans une période très flemmarde et ne soucie guère de ses lecteurs, par conséquent n'ayant pas la possibilité de gratifier ses rondeurs (sauf virtuellement) comme Maman savait si bien le faire pour Christinette, lorsque celle-ci manquait à ses devoirs, je suggère donc que lors du prochain récit nous autres lecteurs fassions mijoter la charmante conteuse sur la délivrance nos réactions.

    Ce qui serait un juste retour des choses, envers une paresseuse de cet acabit, ne craignant plus les bonnes claquées maternelles parfaites et efficaces pour 'les belles joues' de Christinou.

    Voilà le message grognon (mais humoristique) d'un lecteur, qui s'impatiente de plus en plus, comme les autres je suppose.

    Amicalement, Dominique

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  64. Chère Christine,

    Regardant le journal télévisé, celui-ci a proposé un reportage sur la 'mois du Blanc', qui semblerait être la couleur préférée de Christine, depuis bientôt un mois, pour les fesses de Christinette ou les belles joues de Christinou qui par transposition mériteraient une coloration plus prononcée dont Maman avait le secret, lorsque l'une ou l'autre faisaient preuve de négligence.

    Bien sur notre Chère conteuse, étant maintenant à l'abri de ce genre de désagréments, ce qui est bien dommage, car cela lui serait peut être bénéfique, oh pas sur l'instant, ses jolies petites fesses devant difficilement supporter les assauts de la main maternelle et c'est tant mieux, tant pis pour elle, mais le Christine d'aujourd'hui mériterait amplement d'être déculottée, afin de recevoir la juste conséquence de sa fainéantise chronique, envers les inconditionnels de son blog.

    Pour l'anecdote, sachez que si j'avais pour délégation de Maman SPAAK, à vous administrer cette fessée méritée, celle-ci serait des plus soignées et quelque puisse être l'environnement, vous rendriez grâce, en suppliant comme une petite fille, l'arrêt des hostilités, vous pouvez me croire et je pense même que vous auriez des difficultés à vous asseoir, sur votre séant, sans émettre quelques gémissements durant un certain temps (moi même en ayant fait la désagréable expérience de la part de Papa).

    Amicalement, Dominique

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  65. Chère Christine,

    Là, je suis vraiment inquiet et je me demande si Christine submergée par le travail quotidien ou influencée par des tiers, n'a pas décidé d'abandonné l'élaboration de ce blog, ravissant ceux qui le lisent et le commentent à l'occasion, par des analyses ou des souvenirs similaires, ce qui serait sincèrement dramatique pour l'ensemble de ses fidèles lecteurs (Mardohl, Louis, Sonia et bien d'autres).

    Personnellement, je serais infini déçu de cela et j'avoue humblement que je perdrais là, l'un de mes pôles d'attractions, aussi essentiels que d'autres et sur lesquels, je devrais reporter ce dynamisme qui m'habite, malgré un âge certain et confirmé, par les douleurs (non fessières).

    Amicalement, Dominique

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  66. Pas d'inquiétude, Dominique (et les autres). Je ne vous oublie pas. Merci de vos encouragements. C'est vrai que cela fera un mois demain que je n'ai pas poursuivi le récit et que, selon ce que j'imaginais dans un des messages, cela aurait signifié, en d'autres temps... l'arrivée d'un bulletin mensuel dévoilant ma flemmardise... Je préfère ne pas l'imaginer... Si vous voyez ce que je veux dire...

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  67. Chère Christine,

    Je préfère cela et comprends votre inquiétude sur les conséquences qu'aurait provoqué une telle flemmardise, voyant très bien ce que vous voulez dire, ajoutant que je remplacerais volontiers Madame SPAAK pour cette mission éducative et remettre Christine sur le bon chemin, grâce à un voyage au travers de mes genoux, culotte amplement baissée afin de m'occuper convenablement de ses fesses et lui faire regretter ce comportement désinvolte, envers ses lecteurs.

    Voilà, Chère Conteuse, la pensée d'un commentateur délaissé (comme d'autres) qui serait satisfait de voir vos rondeurs rougir à souhait, sous une dextre affûtée, en vous faisant pailler et pleurer comme une petite fainéante, qui ne mérite que cela.

    Amicalement, quand même, Dominique.

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  68. Dominique est rassuré et j'essaierai de ne pas le décevoir, même si le cap du mois est atteint demain, et que fort heureusement ce que j'imagine ne se produira pas puisque je ne suis plus au temps des carnets mensuels. Sinon, effectivement, j'en connais une qui se ferait du souci et n'aurait guère envie de rentrer au bercail demain soir...
    PS : Dominique, merci d'écrire "piailler" et non "pailler" comme souvent. Mais, le mieux serait de ne plus employer ce verbe en n'imaginant plus jamais Christinou ou Christinette dans une posture où elle "pi-ail-lait" et pleurait "parfois".

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  69. Chère Christine,

    Oh bravo ! Voilà que la Chère conteuse, après un paresseux silence, se permet de reprendre un fidèle lecteur sur son orthographe (qui n'est pas son fort) et l'invite à ne plus employer ce verbe, à l'encontre des analogues, que celui-ci lui a gentiment attribué.

    Alors Oui, Christine, il est bien dommage que vous n'ayez plus à rendre de résultats probants et significatifs de votre travail (en dehors du professionnel d'aujourd'hui) qui conduirait sans aucun doute la Christinette ou la Christinou à 'PIAILLER et PLEURER', plus souvent que le Christine ne veux l'avouer et j'en suis fort aise, Mademoiselle, non mais !

    Sinon, en dehors, de cette taquinerie bon enfant, je suis ravi que Christine revienne sur le devant de la scène pour le plaisir de ses lecteurs, en espérant ne pas être déçu.

    Amicalement, mais bon il faut bien travailler, Dominique.

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  70. Je veux bien revenir sur le devant de la scène, Dominique, mais je préférerais éviter que ce soit par un passage sur les genoux maternels... Ou alors, je vais mettre de la paille, et donc "pailler" mon fond de culotte, pour amortir la claquée et ne pas "piailler" le moment venu, hi, hi...

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  71. Chère Christine,

    Je crois que cette protection de paille, sera bien inutile le moment venu et risquerais même de vous coûter plus cher, dans la mesure ou Maman chérie met à l'air libre, les fesses de sa fille pour s'en occuper avec une plus grande efficacité et ce subterfuge aurait plutôt tendance à raviver sa motivation à claquer plus fortement ces 'belles joues' que Christinou, par une innocente maladresse, aurait tenté de soustraire à la punition méritée.

    Par conséquent, je ne saurais que trop conseiller à Christinette de pas envisager, cette ruse de sioux vouée à l'échec, à mois que celle-ci n'ait envi de piailler et pleurer, plus longtemps et plus fort, sous la dextre affûtée de Maman, ce qui ne serait pas immérité, hi hi......

    D'autant qu'un retour de Christine, n'est envisageable que sur les genoux maternels et non sur les planches, hi, hi.....

    Amicalement, Dominique

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  72. Chère Christine,

    Dites moi, Chère Conteuse, pensiez vous que l'un de vos épisodes pourrait susciter plus de 70 commentaires, dont 30% de votre part et un peu plus de 55% pour le seul lecteur que je suis, qui s'en réjoui en tant que fan de votre blog, d'autant que vous appréciez ses interventions.

    Dés lors, je pense sincèrement, ma Chère Christine, qu'il serait plus que temps de se remettre au travail et ceci, pour l'ensemble de votre lectorat, qui attend sans aucun doute, autre chose que nos échanges sous le simple signe du jeu et de l'humour, alors que le conditionnel n'est pas de mise pour Christinette, si vous voyez ce que je veux dire !

    D'ailleurs, par introspection, j'ai comme un doute sur la suite qui devrait normalement déboucher sur un après plus que difficile pour Christinou, mais compte tenu des circonstances et de la double intervention des chipies, je m'interroge sur la réaction de Christinette envers celles-ci et qui pourrait bien se retourner contre elle, ce qui n'est qu'une intuition, mais peut-être que je me trompe !

    Amicalement, Dominique

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  73. Tout arrive... Merci de votre patience...

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