samedi 24 novembre 2012

Chronique d'un redoublement : 51. Deux nuits hantées de rêves angoissants

SUITE 50

Meux valait en effet m'endormir après un baiser maternel que les fesses écarlates... Et j'ai apprécié particulièrement ce "Bonne nuit, ma chérie. Fais de beaux rêves", doublé d'un gros câlin d'une Maman qui ignorait les "exploits" de sa fille ainée...

J'avais juste une fraction de seconde pensé que j'aurais dû à ce moment précis soulagé ma conscience, et dire à Maman : "Faire de beaux rêves, j'aimerais bien, mais il y a quelque chose qui me chagrine, qui me reste sur le coeur, et que je voudrais bien te confier, à condition que tu ne te fâches pas". Mais, je savais bien que ce n'était pas possible, et je me suis abstenue, contrariée tout de même d'avoir ce problème de conscience...



Et j'ai eu du mal à m'endormir, me tournant et retournant, analysant la situation, sans pouvoir penser à autre chose que le fait que j'étais dans une impasse. Même si la petite voix tentatrice me disait qu'après la fessée d'Aline, ce n'était pas le bon jour pour provoquer un second orage dans la même soirée, et que je devais être contente d'avoir déjà gagné une journée, et qu'il ferait jour demain...

Mais, le "Fais de beaux rêves" de Maman revenait aussi et m'entraina, comme souvent en ce genre de situations, sur le chemin des cauchemars. L'un d'entre eux me fit me réveiller en pleine nuit, et je dus rallumer ma lumière, boire un verre d'eau, avant que ses images ne quittent ma tête...





Je venais de rêver que Maman était assise dans le salon, sur une chaise face au canapé et à la porte du couloir. Sur le canapé étaient assises mes soeurs et Tata Jacqueline, les yeux grand ouverts. Et moi, moi j'étais étendue en travers des genoux maternels, short et culotte baissés jusqu'aux mollets, attendant une fessée imminente...
Magie ou horreur du rêve, j'étais à la fois en position disciplinaire, tout en voyant la scène comme si j'étais juste à côté de Maman. Ce qui me donnait une vue imprenable sur mon propre dos. J'avais l'impression que ma lune était grande et rebondie, sans commune mesure avec les petites pommes d'Aline. Maman m'avait bien équilibrée et sa main droite était posée sur ma mappemonde postérieure comme pour juger de la fraicheur de mon épiderme, comme pour jauger la tâche à accomplir.
J'étais étrangement calme, résignée, ne gigotant pas le moins du monde, comme acceptant dans ce cauchemar ce que je combattrais forcément dans la réalité.
Maman semblait satisfaite, prête à laisser sa main droite entrer en scène, quand la porte du salon s'entrouvrit encore, laissant pénétrer la boulangère et sa vendeuse !
"Asseyez vous donc, Mme Breton, et toi Noémie aussi. Il reste deux chaises à côté de la commode. Vous arrivez juste à temps, je vous attendais pour commencer...", lança Maman en accueillant les visiteuses.
Personne ne semblait surpris de cette arrivée, comme si elle avait été prévue, et je ne protestais même pas, tournant la tête vers les arrivantes avec un petit sourire poli comme si je leur disais bonjour.
Noémie et Mme Breton assises, Maman redressa la position de son dos, re-vérifia que j'étais bien en équilibre, commentant pour son auditoire : "Voilà, on va pouvoir passer aux choses sérieuses. Comme je vous l'avais dit, quand elle n'est pas sage, ma grande fille reçoit de bonnes fessées bien méritées. Et bien sûr, pour que les claques fassent leur effet, je lui baisse sa culotte... Mais, assez parlé, vous n'êtes pas venues pour m'écouter donner un cours théorique. Je vais donc vous montrer ce qu'il en retourne. Comme ça, vous saurez de quoi je parle quand je menace mes filles de m'occuper de leur cas en rentrant à la maison..."
Noémie et Mme Breton acquiesçait : "Faites donc, je vous en prie. Ne faites pas trop attendre cette demoiselle", répliqua la boulangère, avec un petit sourire aux lèvres.
"Alors, puisque tout le monde est bien installé, allons y. Tu es prête, Christine ? Tu te rappelles pourquoi je vais te donner la fessée ?", interrogea Maman, et je m'entendis répondre, dans ce drôle de cauchemars : "Oh, oui Maman, je suis prête à recevoir une bonne fessée pour avoir chahuté en classe et récolté deux heures de colle". Et la main de Maman commençait à tomber, à la fois sur ma lune et sous mes yeux, où je voyais la paume maternelle rebondir et rebondir...

Mon cauchemar s'était arrêté là, je m'étais réveillée en sursaut, en gémissant, la main posée sur mes fesses comme pour me protéger...

Inutile de dire que j'avais passé une mauvaise nuit et que la journée suivante avait été pénible, ayant su dès mon arrivée au collège, que les enveloppes d'avis de colle n'étaient pas parties la veille, mais seraient postées le jour-même.

Si je tenais ma langue, cela me laissait une journée de répit, une journée pour jouer les innocentes, et surtout oublier ce cauchemar affreux et invraisemblable de par sa mise en scène, même si je savais que, concrètement, la fessée qui m'y était donnée n'était pas que de l'imaginaire, mais plutôt de l'anticipation.

Je rentrai le soir à la maison, sans crainte, hormis la possibilité que Maman ait rencontré ma prof, mais c'était peu probable.

La soirée passa sans problème, il est vrai qu'entre les cours de danse des petites, les courses de Maman à ranger, le passage rapide de Tata, je pus aisément jouer les innocentes sans être soupçonnées, sans que Maman ne subodore une entourloupe, même si, depuis la veille, il me semblait qu'elle se posait des questions à propos de ma gentillesse plus démonstrative que d'habitude... Une mère attentive a souvent de bonnes intuitions en la matière...



Cette seconde nuit depuis mon chahut en cours de maths fut un peu moins agitée, et le câlin maternel avait été autant apprécié que la veille, avec ce petit supplément d'une sensation que j'avais à nouveau gagné 24 heures, et que c'était dans ma tête une grande satisfaction.

J'essayai d'évacuer de ma tête le cauchemar de la veille, qui tentait de s'imposer à nouveau. Je me focalisai surtout sur la journée du lendemain, en me disant qu'il valait mieux que je prépare mes arguments puisque ce serait à coup sûr le jour J...

Je pensai donc moins à la boulangère et à sa vendeuse qui avaient peuplé mon cauchemar, et je pensai surtout à cette journée à venir, tentant de trouver comment je pourrais avoir une note géniale qui atténuerait la découverte de ma colle...

Peut-être en maths, essayai-je de me persuader, puisque nous avions à nouveau deux heures de cours le lendemain. J'y songeai toute la nuit, me faisant des films, des rêves moitié éveillés, où je décrochais trois 20 sur 20 dans la même journée.




Je me voyais ensuite, à la fin des cours, attendre l'enseignante de maths à la sortie de la salle des profs, près des casiers, et lui demander d'écrire un mot dans mon cahier de correspondance pour dire à Maman que j'avais eu des résultats exceptionnels. Mais, le rêve retombait dans le cauchemar, et la prof refusait, en me disant que les notes seraient dans le carnet mensuel et qu'il n'y avait pas à en parler avant.
J'insistais en vain, mais la prof n'était pas dupe : "Christine, même des bonnes notes ne rattrapent pas le fait que tu aies chahuté l'autre jour, et tant pis si ta Maman se fâche".
Puis, dans ce nouveau cauchemar, je voyais la prof regarder sa montre et me désigner la sortie : "Allez, Christine, il est temps de rentrer. Il ne faudrait pas que tu sois en retard en plus. Le facteur a dû passer chez toi, et je pense que ta Maman t'attend..." Et, toujours dans ce cauchemar demi-éveillé, la prof en m'accompagnant vers l'escalier de sortie, avait remonté l'arrière de ma jupe, tapotant furtivement à deux reprises le bas de ma lune, en disant avec un air moqueur : "Tiens, voilà deux belles joues qui vont être à la fête ce soir... Rentre donc vite à la maison, ta Maman va bien s'occuper d'elles, c'est sûr..."
Nul ne savait encore, à ce moment de la seconde nuit, qu'un bulletin de colle au courrier allait me valoir de sérieux ennuis, mais en deux nuits de cauchemar, je m'étais donc déjà vue déculottée devant famille et boulangerie réunis, et j'avais même imaginé ma prof parfaitement au courant...

Autant d'angoisses qui n'auraient pas eu lieu si j'avais avoué d'entrée, mais la sensation d'être encore les fesses blanches demeurait une sorte de consolation, voire de fierté dans ma tête de linotte...


Le matin du jour J, je me fis une fois encore transparente, gentille et serviable, pour éviter tout reproche. Lors de la récréation, je révisai mes leçons, ce que je ne faisais jamais, dans l'espoir d'une note miraculeuse. Et, à midi, en rentrant déjeuner, j'étais bien contente que le facteur ne soit pas encore passé jusque dans notre rue... Cette dernière était au milieu de sa tournée, et selon ce qu'il avait à distribuer, il passait juste avant ou peu après sa pause déjeuner. Mais, apparemment, là il n'était donc pas encore passé, ce qui était moins rassurant que s'il était passé sans rien apporter venant du collège...
Jouant encore les ainées modèles durant le déjeuner en famille, je repartis au collège, où j'appris par Martine, une camarade qui avait été collée en anglais, que l'enveloppe était arrivée chez elle, dans un quartier voisin du nôtre, à midi. Voilà qui ne faisait plus de doute : le facteur avait bien les enveloppes à distribuer, et ce serait chose faite dans notre rue aussi, comme souvent en début d'après-midi...



Cela me mit un sale coup au moral, et j'en perdis même une part de mon envie de décrocher la note miracle qui serait un bouclier ou du moins un atténuateur de fessée...
Je quittai le collège à la fin des cours, la mine défaite, la tête basse, en pensant que, cette fois, je cheminais vers mon destin, que ce qui m'angoissait depuis deux jours et deux nuits, allait sans nul doute trouver son épilogue et que, comme mon second cauchemar le faisait dire à la prof de maths, j'étais en train de ramener à la maison "deux belles joues" encore blanches, dont Maman allait sérieusement "s'occuper"...


En arrivant à la maison, Aline était dans le jardin, comme si elle m'attendait, les bras croisés, et avec un petit sourire en coin qui ressemblait à celui que j'avais imaginé sur les visages de Mme Breton et de sa vendeuse dans mon premier cauchemar...
"Maman est partie accompagner Diane chez le dentiste. Ton goûter est sur la table de la cuisine. Elle a dit que tu devrais faire tes devoirs en attendant qu'elle rentre. En tout cas, elle avait l'air en colère...", se fit un plaisir de me rapporter ma chère petite soeur, qui avait l'air aux anges.
"Elle t'a dit pourquoi ?", m'inquiétai-je, espérant qu'Aline n'en sache pas plus. Ce n'était pas le cas, hélas. Et sur un air moqueur qu'elle pouvait d'autant plus afficher que maman n'était pas là, Aline rétorqua : "Il y a une lettre du collège sur la table, à côté de ton goûter. Maman a dit que tu avais encore fait le clown en classe et que tu allais voir ce qui arrive aux chahuteuses..."
Je haussai les épaules et jouai les incrédules, tentant de cacher la trouille qui me faisait comme une boule dans le ventre. Je me hasardai à faire croire que j'étais confiante : "Pfff, c'est même pas vrai, parce que moi, je vais lui expliquer à Maman ce qui s'est passé et elle comprendra, tu verras. Et tu peux bien te moquer alors que, toi, il y a deux jours, tu as eu une bonne fessée. Moi, je vais te dire, c'est pas encore fait..."
J'ai tourné les talons pour rentrer prendre mon goûter et surtout voir la fameuse enveloppe, qui était bien là, sur la table de la cuisine. Aline était rentrée derrière moi, certainement pour voir ma tête. 
Le bulletin de colle avait été sorti de l'enveloppe et était étalé sur la table. Le motif était bien celui que j'avais vu la prof écrire :  "Bavarde au lieu de suivre le cours, et chahute derrière le dos de son professeur". J'eus plus de mal à afficher un visage ne trahissant pas mon angoisse, et je sentais que les larmes étaient prêtes à me monter aux yeux...
"Tu as vu ? Tu as vu ?" , demandait, insistante, Aline. Je rétorquai juste d'un "Pfff, c'est rien, je te dis..."
Mais quand Aline dit d'une petite voix presque rieuse : "C'est rien, c'est rien, c'est pas ce que disait Maman tout à l'heure. Je peux te dire qu'elle avait l'air fâché, et qu'elle a ajouté : j'en connais une qui peut préparer ses fesses..."
Je ne dis plus rien, et je finis mon verre de lait, avant de quitter la cuisine en prenant ma part de gâteau pour aller la finir dans ma chambre. J'aurais eu envie de gifler ma soeur, mais sachant qu'elle se plaindrait, et que ce n'était pas le moment de compliquer ma situation, je grimpai les escaliers, en entendant derrière moi la petite voix d'Aline, qui répétait en se retenant de pouffer : "Moi aussi, je sais qui c'est qui peut préparer ses fesses, c'est Christine, c'est Christine, et c'est bien fait pour elle, na, na ,na !"
J'avais, hélas, compris moi aussi que s'il y avait une lune en danger ce soir là, c'était bien la mienne...

A SUIVRE

39 commentaires:

  1. Chère Christine,

    Absent en ce dimanche, pour célébrer le Pacs de mon fils aînée et de ma belle fille, je viens de découvrir l'épisode 51, en effectuant une première lecture en biais qui démontre que l'angoisse de Christinette sur son destin, est à son paroxysme, l'amenant à passer 2 nuits de cauchemars.

    Son esprit se laissant alors porter par des synopsis, aussi 'abracadabrantesques' qu'irréalisables, en effet comment imaginer Madame SPAAK (Mère responsable et consciente de son devoir d'éducation envers ses filles, si sévère soit-il) organiser une exécution publique (au sens très large) d'une déculottée, de l'une de celles-ci et notamment de la grande, ceci malgré son intransigeance.

    Sauf que la tête de linotte de Christinette, par sa propension à jouer la carte du temps, sait pertinemment que la fessée (enfin plutôt la magistrale volée) qui l'attend sera ELLE, bien réelle et plus que palpable pour ses rondeurs accueillantes, la demoiselle se projetant simplement sur sa destinée, avec peut-être (espérons le pour elle) une fresque maternelle plus soft que ses cauchemars, quoiqu'avec Maman il est possible d'envisager une prestation un peu plus solennelle devant les soeurettes, qui sait ? Oh le vilain !

    Amitiés, Dominique

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  2. Bonjour Christine.

    Je crains que vos cauchemars se réalisent assez fidèlement. Mise à part tout de même la présence de Mme Breton et de Martine, je ne vois pas comment vous pourriez échapper au reste du contenu du double cauchemar ! Et votre coquine de soeur qui en rajoute, mais qui est sans doute assez réaliste !

    Le seul tout petit espoir pour vous, chère Christine, serait que votre chère tata Jacqueline n'assiste pas à la scène punitive : disons une chance sur deux !

    Je vous laisse, bon courage, ça va chauffer !!!

    Amicalement, à bientôt.
    Martinement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  3. Ca va chauffer, dit Louis. J'en ai bien peur, en effet. Le bulletin de colle est bel et bien là, en évidence sur la table de la cuisine, enveloppe ouverte, bulletin déplié, et que Maman a dû lire et relire, comme en attestent les réflexions d'Aline qui ne laissent aucun doute sur l'issue claquante du prochain épisode...

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  4. Chère Christine,

    Louis pense que ça va chauffer pour votre matricule, je suis d'accord avec lui et j'ajouterais même que ça va brûler pour les généreuses rondeurs d'une récidiviste, doubler d'une cachottière et dont Maman se fera un devoir de soigner, avec une attention toute particulière, considérant que les précédents avertissements n'ont pas été suffisamment bien perçus par une redoublante, têtue en diable et qui continue à jouer avec le feu.

    Christine à d'ailleurs, bien conscience, en voyant ce bulletin déplié que Maman a du s'imprégner du motif énoncé et y repenser durant l'intervention du dentiste, sur la mâchoire de Diane, lui permettant de préparer la sienne sur les fesses d'une Christinette bien penaude et paralysé par la peur, comme celle que l'on peux ressentir, dans la salle d'attente d'un praticien.

    D'autant que comme vous le soulignez, fort justement, dans votre réponse sur l'épisode 50, vous n'êtes plus la seule informée de vos frasques, Maman bien sur, mais aussi Aline qui a parfaitement compris que la grande sœur peux se préparer à une soirée plutôt indigeste pour ses fesses et s'en délecte à l'avance et lui permettra de ne plus être la dernière vedette maternelle, à laquelle on fait référence.

    Il faut donc se rendre à l'évidence que la 'casquette', vous ayant fait gagner 2 jours, est tombée et qu'Aline connaît même le programme réservé à la grande sœur, par Maman, sachant ainsi que la seule en danger, n'est pas la sienne et l'on peux comprendre soit difficilement supportable pour une Christine qui n'était qu'en sursis.

    Alors, courage, jeune fille ce n'est qu'un mauvais moment à passer et qui ne sera ni le premier, ni le dernier, que Christinette connaîtra, enfin cela n'engage que moi et je vous cède volontiers la place.

    Amitiés, Dominique

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  5. Courageux, mais pas téméraires mes commentateurs. Nul ne veut que je lui cède ma place, et Dominique imagine déjà que ce ne sera pas la dernière rencontre en la dextre maternelle et ma mappemonde postérieure...
    Pas le premier, ni le dernier rendez-vous sur les genoux maternels. C'est probable, mais dit ainsi, écrit déjà avant même que Maman ne revienne, c'est encore plus dur à supporter...
    Pas le premier, c'est une évidence, et mes souvenirs en sont suffisamment peuplés que j'en nourris mes cauchemars... Mais, pas le dernier, cela ne rassure pas, cela fiche le bourdon... A ce point du récit, je suis plutôt encline à me dire que cela va être un meuvais moment, un sale quart d'heure à passer, mais que j'en ai vu d'autres, et que je vais pouvoir le conjuguer au passé, dès que Maman en terminera...
    Me dire déjà que ce ne sera pas la dernière, cela change la donne, cela me ferait descendre des genoux maternels en pensant déjà : ce n'est qu'un au revoir... et d'imaginer que la main de Maman dans un dernier petit geste me dit : à bientôt ! Non, c'est trop stressant, vite, pensons à autre chose, chassons ces idées noires ou écarlates de ma tête...

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  6. Chère Christine,

    Pourquoi aurions nous, tout d'un coup, l'envie de nous montrer téméraires, voir masochistes, pour prendre un rôle que vous tenez si bien et vous va à ravir (désolé ma chère), mais je comprends que vous ayez du mal à supporter ce néfaste futur, d'autant que Maman n'est pas encore rentrée pour finaliser à sa manière, la nouvelle erreur du moment de sa grande tête de linotte.

    Je conçois donc parfaitement que cette vision futuriste, qu'il y aura d'autres rendez-vous avec les genoux maternels vous perturbe et modifie votre propre regard sur l'avenir, sauf qu'en l'état vous avez déjà ce mauvais quart d'heure à passer, alors devoir penser que l'on quitte cette place peu enviable pour mieux y revenir, plus tard, ne peux qu'engendrer un stress insurmontable.

    Je suis confus d'avoir appuyer là ou ça fait mal, mais que voulez-vous, mes intuitions, mes déductions, mes réflexions ou mes pensées, correspondent à ce que je ressens en lisant vos récits et à la qualité générale de votre blog et qui m'inspire, comme vos autres lecteurs je suppose.

    Amitiés, Dominique

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  7. En l'occurrence la "vision futuriste" se conjugue presque au présent. Durant plus de deux jours, dès l'instant où la prof m'a annoncé mes deux heures de colle, j'ai angoissé, certes, mais j'avais, pour ainsi dire, "la main". Je menais le jeu.
    Depuis que Maman a découvert l'enveloppe du collège, maintenant que le bulletin de colle est étalé sur la table de la cuisine, et que, même Aline, a été informée des intentions maternelles, du programme à venir, c'est bel et bien ma chère mère qui a "repris la main", étrange expression quand on sait que Maman a "repris la main" pour me l'appliquer bientôt, sa propre main, sur ma lune...

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  8. Chère Christine,

    Il est vrai que depuis le moment où la prof vous a assommé, avec ses deux heures de colle, l'angoisse est montée et les petites voies contradictoires (aveu ou cachotterie) se bousculaient, à votre esprit, sauf que l'imprévu Alinien a fait pencher la balance du mauvais côté avec pour seule satisfaction, de «Mener le jeu» durant plusieurs jours.

    En effet, aujourd'hui la «vision futuriste» se conjugue au présent, Maman ayant reçu le courrier du collège, Aline connaît même le programme de la soirée et le «Meneur de jeu» a changé de camp, dans l'immédiat seul le bulletin de colle est étalé sur la table, alors que bientôt se sera le tour de Christinette d'être étalée, non sur la table, mais aux travers des cuisses de Maman pour une «reprise en main» dont-elle a le secret.

    Amitiés, Dominique

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  9. Chère Christine,

    Comme je l'ai dit, lors de mon premier post sur cet épisode, le point dominant de celui-ci étant la vertigineuse montée d'angoisse de l'avant fessée qu'éprouve Christine, telle une fillette qui craint profondément cette punition et la fait gamberger, comme jamais, cauchemardant sur un scénario improbable et reflétant simplement une peur anticipatrice, sur ce qui l'attend.

    Après cette première nuitée cauchemardesque, notre Christinette reprend le chemin du collège sous le signe de l'angoisse, mais qui apprend dés son arrivée, que grâce aux méandres administratifs de gestion d'un établissement, l'envoi du bristol pour une nouvelle invitation sur les genoux maternels ne partira que ce jour, lui permettant de souffler et d'obtenir un sursis supplémentaire, 12 ou 24 heures selon la livraison postale, mais ô combien rassurante pour la Championne du temps gagné.

    D'autant que les impératifs de la vie quotidienne permettent à Christine de passer quasi inaperçue, avec juste quelques excès de zèle inhabituel pouvant susciter l'interrogation d'une mère, connaissant parfaitement les réactions de sa progéniture, lors de cette seconde nuitée plus calme grâce au sursis postal notre conteuse tente d'effacer le cauchemar de la veille, imaginant obtenir quelques bonnes notes pour compenser la colle.

    Ce rêve semi éveillé tourne à nouveau au cauchemar, essuyant un refus de la Prof à sa demande de clémence, imaginant même celle-ci l'accompagner vers la sortie avec un geste très vexant, agrémenté d'une phrase prémonitoire et moqueuse concernant les 'Deux belles joues' Christinienne, que Maman se chargera ce soir, de fêter comme il se doit.

    Ces 2 cauchemars sont terribles pour Christine, ceux-ci lui transposant les images, les plus humiliantes qui soient pour sa petite personne (Fessée avec public élargi, amusement et vexation du Prof sachant sa bonne élève promise à une déculottée méritée pour son chahut) et qui sont sources d'angoisses prégnantes, pour Christinette, que l'aveu direct aurait évité, avec bien sur pour conséquence, de prendre la suite immédiate d'Aline sur les genoux maternels, chose inconcevable pour la Mademoiselle 'Championne du monde' de l'esquive.

    Durant la matinée du jour fatidique, notre demoiselle conserve sa carapace d'innocence et de sérieux, soulagée que le facteur ne soit encore passé à l'heure du déjeuner, sauf qu'en début d'après-midi le doute n'est plus de mise, Corinne habitant le quartier voisin ayant reçu son enveloppe, Christine perd alors son enthousiasme pour ramener une sorte de bouclier miracle pour l'entrevue maternelle, en échappant à son final claquant et donc plus protecteur qu'une simple petite culotte que Maman, de toute façon, fait glisser vers le bas, dans ce cas là.

    Le retour au bercail pour Christinette, s'effectue alors dans la difficulté et l'angoisse, consciente qu'elle ramène « deux belles joues » accueillantes et encore blanches, sur lesquelles la dextre maternelle va pouvoir s'exprimer, en rebondissant sans retenue et faire mieux que les fois précédentes, puisque la demoiselle a récidivé dans ses travers.

    Ceci est d'ailleurs confirmé, dés son arrivée, par une Aline attentiste et guillerette, qui se fait un devoir de transmettre les consignes maternelles, ainsi que ses propos sans équivoque amusant celle-ci et qui sait parfaitement que Grande Sœur n'a plus qu'à préparer ses fesses, pour le retour de Maman, en se gossant délibérément.

    Amitiés, Dominique

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  10. Pas mécontente, Christine d'aujourd'hui, de voir que de bons commentaires font vivre mon blog, à un moment où j'avoue être débordée de travail par ailleurs. Mais, je me rattraperai, promis, et comme s'il y avait un dédoublement de personnalité, c'est Christinette de l'époque qui gagne encore un délai, avant que Christine de maintenant ne raconte la suite qui, sans vouloir trahir un secret, devrait donner raison à ceux qui prédisent un passage en position horizontale sur les genoux maternels...

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  11. Bonne analyse, en tout cas, de Dominique, une fois encore. Ces cauchemars des deux nuits de répit auraient certes pu être évités, mais le qualificatif de "Mademoiselle Championne du monde de l'esquive" me va comme un gant, ou du moins allait-il à la Christinette de l'époque.
    J'ai mal dormi deux nuits de suite, mais au moins ai-je eu droit au câlin maternel du soir, et pu me glorifier intérieurement d'avoir gardé ma lune immaculée... Je veux bien que certains trouvent cela idiot plutôt que de tout avouer et d'être débarrassée, mais pour moi c'était comme une petite victoire que je savourais en secret.
    La preuve est bien dans le fait qu'une fois que j'ai su que le courrier du collège était arrivé chez Corinne, il était sûr qu'il le serait forcément chez nous, et que mon sursis arrivait donc à expiration.
    Dès ce moment, il n'y avait plus guère à espérer. Ce n'était plus Christinette la rusée qui rentrait en faisant bonne figure, en jouant les innocentes, en sachant qu'elle avait de forte chance de gagner encore un jour. Non, le bulletin de colle arrivé à la maison, deux jours après la fessée d'Aline pour un manque d'attention en classe, c'était le signe annonciateur d'un nouvel orage, mais qui s'abatterait cette fois sur l'ainée, et forcément de belle manière...
    Le rêve de la veille devient presque prémonitoire... Heureusement, la prof de maths ne fait pas ce geste cauchemardé de soulever ma jupe, mais comme le souligne Dominique, c'est bien troublant et angoissant comme "retour au bercail"... Je ne peux pas m'empêcher de penser que je suis en train de ramener à la maison deux joues blanches et tremblantes, deux "belles joues", plus épanouies évidemment que les petites pommes de soeurette qui est là à me narguer...
    Deux jours auparavant, elle était rentrée penaude, Maman la tenant par la main, pour la ramener à la maison et lui donner la fessée promise à la suite de l'entrevue avec son institutrice.
    Là, privilège de grande soeur, je rentrais toute seule du collège, mais cela voulait dire aussi que je marchais moi-même et m'avançais vers ces quatre murs qui allaient devenir le théâtre de ma prochaine fessée...

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  12. Chère Christine,

    Ravi de contenter la Christine d'aujourd'hui, qui est surbookée ,mais attention aux promesses, il faut savoir les tenir pour éviter des conséquences fâcheuses que la Christinette a bien connu.

    Tant qu'au secret sur la suite du récit et la position qui tiendra Christinette ou Maman, celui-ci est plutôt de polichinelle et l'ensemble de vos lecteurs, moi le premier, savons pertinemment que la demoiselle y sera amplement Déculottée et que la Dextre maternelle tombera sans relâche, sur les deux « Belles Joues Rebondies » de la collégienne indisciplinée, qui n'aura plus alors que ses yeux pour pleurer abondamment et supplier Maman Chérie d'arrêter, parce que ça fait trop mal.

    Désolé pour la vision, mais compte tenu des circonstances, j'imagine aisément pour Christinette une tannée d'anthologie, insupportable et honteuse, qui n'en finira pas, celle-ci ayant l'impression d'avoir la peau des fesses arrachée.

    Amitiés, Dominique

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  13. Chère Christine,

    Après une longue absence, je redécouvre le plaisir de lire votre blog. Vos descriptions des situations sont toujours aussi précises, l’analyse des sentiments aussi fine, et l’élégance du récit tranche avec la vulgarité qu’on rencontre trop souvent chez les chroniqueurs de fessées.

    Votre rêve illustre assez bien ce que les parents savent de tout temps. Ils ne sauraient augmenter la sévérité de la punition ; elle doit faire mal, mais ne pas faire de mal. Il est donc utile qu’une dimension psychologique vienne compléter le côté physique, et qu’une dose de mortification ajoute au rougissement de la lune celui du visage. Avouez que la présence de Mme Breton et de sa vendeuse eut été pour vous bien pire qu’une volée supplémentaires de claques vigoureusement administrées. La fessée eut cessé de cuire après quelques heures, mais c’est pendant des mois que chaque visite à la boulangerie vous eut valu un sourire goguenard, un regard narquois, voire une allusion, qu’à votre grande crainte les clients présents eussent pu comprendre.

    La certitude du châtiment fait partie du châtiment lui-même. Vous le racontez fort bien. En fait, vous recevez chaque fessée plusieurs fois, en imagination d’abord, physiquement ensuite. Mais une partie de vous refuse cette réalité à venir. C’est très bien vu, cette agressivité qui marque votre impuissance. Vous voulez battre votre sœur, qui vous raille, mais vous le savez, c’est vous qui serez fessée, déculottée, pleurnichante, c’est vous qui vous tortillerez sous les claques, et rien, absolument rien, ne vous épargnera cette raclée que vous méritez.

    Merci de ces récits si évocateurs
    François

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  14. Chère Christine,

    Sachez que tous les qualificatifs employés ne s'adressent qu'à la Christinette de l'époque et non à la Christine d'aujourd'hui, néanmoins je suis ravi qu'il vous plaise, ceux-ci me venant naturellement par rapport à l'ensemble de vos récits.

    En quoi cela serait-il idiot de vouloir préserver sa lune blanche et fraîche, lorsque l'on possède dans ce domaine une expérience inverse bien plus désagréable, il me paraît donc logique et quasi normal qu'une pré-adolescente ne soit pas téméraire, au point d'aller réclamer son dû, d'autant qu'en l'état Christinette décidée à vendre son paquet débarque en pleine orage entre Maman et Aline, pouvant refroidir son allant, sachant très bien comment cela va finir pour soeurette et va d'ailleurs largement profiter de la bande son, qui n'a rien de rassurante.

    Pourquoi donc aller se jeter dans la gueule du loup, où plutôt sous une dextre maternelle s'étant entraînée sur les fesses d'Aline et risquer une flambée exceptionnelle, que lui offrirait Maman excédée par les facéties à répétition de ses filles, alors que son silence lui permettra de différer ce rendez-vous inéluctable, qu'elle redoute.

    Le petit nuage sur lequel flotte, Christinette, durant 2 jours s'effondre, lorsque Corinne annonce l'arrivé du bulletin chez elle et n'a plus aucune illusion sur le devenir de ses deux 'belles joues' très accueillantes qu'elle ramène toute penaude au bercail et va docilement offrir à la mimine de Maman, pour une composition Materno-Christinienne dés plus endiablée.

    Tant qu'aux quatre murs précis, qui abriteront cet entrevue Spaakienne, seule Maman a la réponse à cet question et rien n'indique, qu'ils seront ceux de la chambre d'une Christinette qui le souhaiterait ardemment, pour s'éviter une honte supplémentaire cauchemardé durant 2 nuits.

    Amitiés, Dominique

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  15. Retour intéressant de François, qui souligne bien comment la dimension psychologique venait compléter le côté physique, et comment, l'imagination, l'angoisse, la prémonition aidant, c'était comme si je recevais chaque fessée plusieurs fois, en imagination d’abord, physiquement ensuite.
    Dominique, lui, décrit bien comment je n'ai en rentrant du collège "aucune illusion sur le devenir" de mes deux "belles joues" très accueillantes que je "ramène toute penaude au bercail" et vais "docilement offrir à la mimine de Maman". Enfin, "offrir" est un peu fort, en tout cas à admettre, car je m'en passerais bien, et que si je ne résisterai sûrement pas trop, de peur d'aggraver mon cas, je ne m'allongerai pas sur les genoux maternels avec la pensée que "j'offre" mes joues encore blanches...

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  16. LE COMMENTAIRE DE MARDOHL

    Dans cet « épisode d’attente », vous avez, à deux reprises, recours aux cauchemars hantant une Christine angoissée par l’expectative d’une fessée imminente. Si pour Freud, le rêve représente « l’accomplissement hallucinatoire d'un désir inconscient », il constitue pour Christine (sans que je ne sache vraiment à quel courant psychanalytique le rattacher), l’accomplissement hallucinatoire, certes, mais d’une inquiétude bien consciente (et parfaitement fondée).

    En effet, ce procédé vous permet, comme dans un chapitre antérieur lors duquel notre héroïne se voyait en songe fesses nues en classe, de matérialiser la frayeur de la narratrice par l’expression de scènes excédant toute mesure. Nous voyons par exemple la boulangère et son apprentie arriver sur invitation au domicile des Spaak, assister comme à un spectacle à la fessée de Christine, qui pour l’occasion se montre étrangement docile et souriante. (Sa maman lui demande même, avant de commencer la correction, si elle est prête, tout en lui redemandant le motif du châtiment, procédure que je ne me souviens pas avoir constatée dans une fessée « authentique ».) Et dans le second cauchemar, elle se voit mise à l’école la culotte à l’air par sa prof de maths.

    Autant de scènes strictement impensables dans la réalité. On imagine mal votre maman vous fesser devant des personnes extérieures au cercle familial, tout comme l’une de vos enseignantes se permettre un geste aussi déplacé. Mais la terreur latente de la future punie s’incarne en cauchemars suscitant une honte absolue et comme refoulée. Ainsi qu’en ces rêves dans lesquels on se retrouve nu en public, l’inconscient de Christine lui représente le degré suprême de l’horreur, ce qu’elle tient moins que tout à vivre. Il est intéressant également de constater que, en dehors des membres de votre famille, les personnes « s’invitant » dans vos tourments oniriques, s’avèrent justement responsables de vos précédente et prochaine fessées : Martine qui (avec sa patronne comme témoin) vous a dénoncée à la boulangerie et votre prof de maths dont les deux heures de colle vous vaudront la sanction que vous attendez.
    (Suite ci-dessous)

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  17. LE COMMENTAIRE DE MARDOHL (SUITE)

    Peu tacticienne tout de même, Christine loupe un créneau qui lui aurait permis de limiter les dégâts : lors du deuxième soir, pourquoi ne profite-t-elle pas de l’absence des petites, qui suivent leur cours de danse, pour tout avouer à sa mère ? Elle aurait bénéficié du mérite de la franchise et pu espérer au moins une fessée sans témoin.

    Résultat : quand notre écervelée s’en rentre au soir de l’arrivée du bulletin fatidique, Aline (arborant le même « sourire en coin » que Mme Breton et sa vendeuse, dans ce cauchemar qui du coup peut être dramatiquement qualifié de prémonitoire) peut à bon droit se réjouir de céder bientôt à sa grande sœur sa place de « dernière punie en date », et s’en moquer avec d’autant plus de retenue que votre mère est encore absente. Christine, on peut s’en douter, n’en mène pas large, avec ce bulletin déplié et ouvert sur la table de la cuisine, claire annonce de son inéluctable destinée, comme (pour me la jouer lecteur attentif) le feutre brisé jadis déposé sur son bureau, voire (pour me la jouer pédant) le « MANE THECEL PHARES » s’inscrivant en traits de flamme sur les murs du palais de Balthazar et lui annonçant sa fin prochaine.

    (Quelle petite peste tout de même, de s’en donner autant à cœur joie sur le dos, ou plutôt sur le bas du dos de son aînée, alors que réciproquement je ne me rappelle pas que Christine l’ait le moins du monde charriée après qu’elle-même eut été fessée, deux jours auparavant. La jubilation de votre cadette, de laquelle on pourrait attendre un minimum de compassion, de solidarité, prend décidément des allures excessives.)

    Plus d’atermoiement possible : la prochaine fessée de Christine n’est plus qu’une question de minutes. Seules demeurent les classiques inconnues (mais de poids pour l’intéressée) : notre chahuteuse va-t-elle se voir déculottée dans la stricte intimité de sa chambre, ou, presque comme dans le cauchemar, dans le salon et sous les yeux rieurs d’Aline et Diane ?

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  18. Chère Christine,

    Je partage votre avis sur le retour de François qui se montre fort judicieux, sur le ressenti psychologique de Christine pour chaque fessée attendue, qu'elle redoute sur le plan physique (Maman étant très généreuse, avec les belles joues de sa grande fille), mais que son esprit vit et revit plusieurs fois, avant l'exécution et même après, jusqu'à la prochaine.

    Tant qu'à l'offrande docile de ces 'belles joues' que j'évoque, j'admets que vous vous en passeriez volontiers et qu'en venant vous allonger sur les genoux maternels, votre pensée sera davantage une résignation face à cette nouvelle défaite, devant l'autorité maternelle (plutôt qu'un cadeau) que vous ne contesterez que par des gestes symboliques ou des suppliques, promettant monts et merveilles, en vous accrochant jusqu'au bout à une possible clémence de la part de Maman.

    Voilà donc ce que représente, pour moi, le verbe 'offrir' à l'égard d'une Christinette qui soit dit en pensant avait tout de même une forte propension, à savoir, présenter fréquemment 2 'belles joues rebondies' à la dextre maternelle, pour des Déculottées Magistrales et tout à fait méritées, n'en déplaise à la Christinou de l'époque, hihi....!

    Amitiés, Dominique

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  19. Une forte ""propension", dites-vous, Dominique. Le dictionnaire traduit par "penchant, tendance naturelle", ce qui voudrait inclure la notion de choix de ma part, voire d'attrait pour la chose. Mais, du fond de moi, je rejetais plutôt cette perspective, même si, de par mon comportement, j'avais hélas nombre d'occasions d'y être amenée, "résignée" comme vous dites, contrainte, sinon d'offrir, au moins d'obéir et de venir pour ainsi dire "apporter", déposer presque, ces deux "belles joues rebondies", comme les qualifie poétiquement Dominique. Mais, même si à l'image d'un cadeau, elles sont "emballées" quand Maman les reçoit, et qu'elle les "déballe" tout de suite pour une "Déculottée Magistrale", la comparaison s'arrête là... Retrouver sur ses genoux une mappemonde aussi tremblante que blanche, et qu'il va falloir rougir et tanner longuement, une fois encore, en espérant que cela aura l'effet attendu et qu'il durera, cela n'a décidément rien d'un cadeau...
    Au contraire, c'est presque Maman qui serait dans la peau de celle qui "offre", puisque l'on dit "donner" une fessée, et qu'en la matière, j'étais plutôt, hélas, bien servie, pour ne pas dire "gâtée"...

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  20. Chère Christine,

    En effet, Mademoiselle la forte en français, la 'propension' est un penchant, une tendance naturelle, voir un désir pour une chose, avec un choix délibéré.

    Sauf qu'en l'état, Dominique, pensait aux sottises, bêtises et dérapages scolaires dont Christinette s'est forgée un statut de 'Championne' en la matière et non à la fessée, qu'elle craignait et rejetait en son fort intérieur, même si elle devait s'y soumettre.

    Il n'y a donc, à mon sens, aucune comparaison à faire, mais vous rejoins totalement sur la notion de 'cadeau' que constitue ces deux 'belles joues rebondies' et qui n'en est pas un, ni pour vous bien sur, ni pour Maman celle-ci devant à nouveau les tanner encore plus copieusement que la dernière fois pour espérer faire comprendre à sa fille qu'elle doit s'assagir, plutôt que d'avoir à présenter souvent ses fesses au travers de ses cuisses et lui offrir une nouvelle déculottée, qui pour elle est aussi un épreuve physique, car ces 'belles joues rebondies' étant plus résistantes, il convient de les claquer longuement et avec vigueur, pour obtenir le résultat escompté.

    Alors oui, de ce point de vue, c'est plutôt Maman qui 'offre' à Christinette une nouvelle sarabande, sur de 'belles rondeurs' que celle-ci met gentiment à sa disposition, à son corps défendant et qui se passerait volontiers de cette gâterie, dont-elle coutumière.

    Amitiés, Dominique

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  21. Chère Christine,

    Pour reprendre mon expression, il me semble qu'actuellement Christinette a une 'propension' à la fainéantise, ainsi qu'à la négligence, pour ses devoirs et je me demande, s'il ne serait pas judicieux d'aller faire un tour sur le 'Marché de Noël' demain, histoire peut-être d'y croiser Mme SPAAK et lui glisser deux mots sur l'attitude de sa fille.

    Je suis certain que celle-ci se ferait un devoir de remotiver sa fifille, en faisant glisser sa petite culotte vers le bas, pour lui offrir une composition, dont-elle a le secret et qui redonnait à Christinou, le goût du travail, je suis sur que vous voyez ce que je veux dire, Chère Christine !

    Petit avertissement, de la part de Dominique, se faisant le porte parole de autres lecteurs.

    Amitiés, Dominique

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  22. Chère Christine,

    Suite avec Tata Mireille,

    Monique ceinturée par le bras gauche de Tata, ayant compris qu'elle allait en prendre une sévère, pleurait à gros sanglots, réclamant une clémence à sa mère qui lui dit « Oh que non, ma fille, t'a voulu jouer, t'a perdu, alors tant pis pour toi, ma belle, fallait réfléchir avant, c'est trop tard maintenant ! » et là, la main de ma Tante monta vers le haut, entamant un va et vient rapide et claquant lourdement les fesses de ma cousine, qui poussait des cris énormes, les décibels et le spectacle m'impressionnait, je ne saurais vous dire entre les claquements secs ou la voix de Monique, ce qui faisait le plus de bruit.

    Toujours est-il, que j'avais les yeux écarquillés en voyant Monique s'agiter en tous sens, ses fesses rougissant de plus en plus, sous la claquée, d'autant que Tantine ne baissait pas la cadence servant une dégelée qui durait encore et encore, à ma cousine qui s'égosillait littéralement, lorsque Tata arrêta enfin son bras, Monique était une véritable poupée de chiffons simplement muée par des spasmes, gémissante et pleurant comme une fontaine.

    Tata qui avait libéré ses nerfs durant cette première salve, mais sans dire un mot et maintenant toujours Monique, repris la parole sur un ton calme et ironique « Alors, ma petite fille, on a encore des envies de rébellion, après cette petite douceur servie par Maman ? », ma cousine ayant légèrement récupérée répondis entre deux respirations « Nooonnnn, Maman, pardoonnn, j'aii compris, mais arrêteeee, çàaa fait vraimennnt trop mal, j't'en supplieeee ! ».

    Cette réponse amena le contraire de ce qu'elle espérait, Tantine enchaînant « Oh, mais j'espère bien que tu as mal, d'ailleurs je te rappel qu'une fessée c'est fait pour cela et que c'est moi qui décide, alors sache que je n'en ai pas encore fini avec toi, ma belle et que tu vas te souvenir de cette bonne dérouillée, je te le garantis ! », Monique anéantie fût prise d'une nouvelle crise de larmes comprenant qu'elle ne sortirait de ce mauvais pas, que les fesses écarlates, après une tannée en règle.

    C'est précisément ce qui arriva, Tata avait repris la claquée de façon plus posée, arrosant de façon méthodique toute la surface du fessier de ma cousine, qui braillait en continue et versait de gros sanglots, ses fesses s'empourpraient de plus en plus et la vision de ce spectacle, me faisait trembler, ne sachant pas encore que j'allais le vivre en tant qu'acteur, après le déjeuner.

    Mais, cela est une autre histoire, que je vous livrerais plus tard.

    Amitiés, Dominique

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  23. Oui, Dominique, j'avoue que cette période n'est guère productrice. Heureusement que votre cousine Monique et votre Tata Mireille animent les commentaires.
    Comme nous sommes (déjà) lundi, je peux me consoler que Maman Spaak n'ait rencontré personne qui lui ait parlé de Christinette, sur le marché de Noël (pour reprendre votre image en forme de clin d'oeil). Sinon, bien évidemment, j'en connais une dont les rondeurs jumelles auraient sans doute bénéficié d'un drôle de cadeau...
    Et, inutile de vous faire un dessin, ni de préciser que, pour le colorier, il aurait fallu avoir une bonne réserve de crayons rouges....

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  24. Chère Christine,

    Je vous pardonne pour ce manque de productivité, si celui-ci est lié à un surcroît de travail ou des obligations extérieures qui vous privent d'une certaine liberté d'action et vous remercie pour l'appréciation concernant Monique et Tata, qui après sa fille, va sous peu s'occuper de petites goldens de son neveu, en les gratifiant du dessin que vous n'avez pas voulu me faire et donc l'évolution colorée sera à dominance de rouge, pour finir au pourpre.

    Sinon, je vous confirme que je n'ai pas eu la chance de rencontrer Madame SPAAK sur le marché de Noël, ce dimanche, afin qu'elle offre à Christinette un joli cadeau, non du Père Noël, mais plutôt du Père Fouettard, en forme d'acompte, alors soyez rassurée pour vos fesses, celles-ci attendront le retour de Maman pour êtres fêtées comme il se doit, pour cette récidive de dérapage scolaire doublé de mensonges et à n'en pas douter, la Fête pour les 'Belles joues rebondies' de Christinou fera partie des annales de la demoiselle.

    Désolé pour vos rondeurs, qui vont connaître, à nouveau un quart d'heure d'anthologie et peut-être en présence de spectateurs, qui sait, tout comme Dominique qui va à son corps défendant exposer à nouveau ses petites pommes épluchées, au regard de sa cousine. Je vous prépare cela au plus vite.

    Amitiés, Dominique

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  25. Dominique, votre commentaire apparait au moment où je livre un nouvel épisode qui rapproche de ce que vous appelez "la Fête pour les 'Belles joues rebondies' de Christinou " !
    Enfin, la "fête", vous en avez de bonnes, car j'ai peur que les belles (merci) joues en question ne soient guère "à la fête", si Maman les gratifie de la bonne fessée qu'elles méritent (je l'avoue).
    Soit dit en passant, peut-être que la menace de rencontrer Mme Spaak a joué et a fait que j'ai trouvé un peu de temps pour l'écrire...
    Amitiés.
    Christine

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  26. Chère Christine,

    Je suis fort aise, que cette menace virtuelle de ma rencontre avec Mme SPAAK, ai pu donner un coup de pouce à votre motivation et vous ai permis de livrer l'épisode 52.

    Ceci étant concernant la 'Fête' que j'ai prédit pour les 'Belles joues' de Christinette, ce n'était qu'une métaphore du vilain garnement que je se suis et qui sait pertinemment que lorsque Maman SPAAK s'en occupera, celles-ci auront la fête qu'elles méritent et que Christinou n'apprécie absolument pas pour ses «Belles» joues qui font sa fierté.

    Sur ce, je m'en vais lire la suite 52 et voir si celle-ci m'inspire, du fait que le titre m'indique déjà que La Grande Christine vient de servir un épisode de transition, dans lequel elle aura mis tous les ingrédients propices à faire rebondir ses lecteurs, donc moi-même, bravo Christine !

    Amitiés, Dominique

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  27. Dominique exagère un peu quand il écrit à propos de mes rondeurs jumelles : "Maman SPAAK s'en occupera, celles-ci auront la fête qu'elles méritent et que Christinou n'apprécie absolument pas pour ses «Belles» joues qui font sa fierté".
    "Belles" joues, je veux bien admettre qu'elles étaient plus épanouies que celles de mes soeurettes, du fait de l'âge surtout. Et qu'elles demandaient donc davantage d'énergie et d'application pour les amener au degré de cuisson désiré...
    "Belles", en tout cas, elles n'étaient pas empâtées, ayant l'occasion, hélas relativement souvent, de se tonifier via des "exercices" imposés aptes à les muscler et à entretenir une bonne circulation sanguine... Si vous voyez ce que je veux dire...
    De là à dire que j'en étais fière, pas vraiment, car je demeurais d'une très grande pudeur, et avais la hantise de devoir parfois les montrer à mon corps défendant... Et, je peux vous dire, qu'en ces moments-là, la Christinette était tout sauf fière de ses belles joues...

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  28. Chère Christine,

    Vous vous méprenez sur le sens de mes propos concernant vos 'Belles joues', loin de moi de penser que celles-ci étaient proéminentes, mais seulement plus accueillantes, du fait de votre âge, pour la main de Maman que les petites pommes (encore frêles) des petites sœurs et donc plus fessables, pour ne pas dire faîtes pour la fessée (humour).

    Et je partage votre avis sur le fait que ces 'exercices' imposés ne pouvaient que tonifier les 'Belles' joues de Christinette, voyant très bien ce que vous voulez dire et le traduisant même, à savoir de fréquentes déculottées qui faisaient circuler le sang du fessier de Christinou et le musclait.

    Tant qu'à la fierté que vous aviez certainement pour vos rondeurs, je pense que celle-ci était contenue d'une part, par votre très grande pudeur, mais aussi et surtout par le fait que vous deviez les exposer pour des moments qui hantaient votre esprit de jeune fille en herbe.

    Je confirme et je signe, que lorsque Maman SPAAK s'occupait des 'Belles Joues' de son aînée, la fête était à la hauteur de celles-ci et je peux comprendre qu'alors, Christinette, tirait moins de fierté d'avoir des rondeurs, si bien formées.

    Amitiés, Dominique

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  29. J'avais saisi la nuance, Dominique, en effet. Je pense bien que vous ne qualifiez pas mes "joues" de proéminentes ou de grosses, évidemment. Surtout que, comme vous le suggérez d'un air taquin, elles étaient amenées à faire "parfois" (pour ne pas oser dire souvent) de l'exercice apte à les tonifier et à les muscler, sous l'effet d'une paume qui savait les colorer et les réchauffer plus que je ne le souhaitais...
    D'où bien sûr cette hantise de devoir "parfois" les exposer... ce qui ne manquait pas de contrarier ma pudeur de jeune fille en herbe, comme vous le notez excellemment.

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  30. Chère Christine,

    Je n'avais aucun doute sur votre compréhension de la nuance, mais concernant les séances d'exercices auxquelles vos 'joues du bas' étaient astreintes, je pense que le 'parfois' est encore un subterfuge de Christinette pour ne pas reconnaître qu'elle passait plus souvent qu'à son tour sur les cuisses de Maman, à l'horizontale pour de Bonnes Déculottées, du fait de son insouciance et de ses travers chroniques.

    Désolé, pour ce constat réaliste, que Christine considérera certainement comme exagéré ne voulant pas une nouvelle fois, admettre que l'un de ses lecteurs est dans le vrai, jouant toujours sur l'échappatoire comme avec Maman.

    Amitiés, Dominique

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  31. Ah Dominique, je me doutais bien que ce "parfois" serait relevé par votre regard perspicace, mais je voudrais que vous considériez que c'est déjà un progrès... Du temps dont je parle, si une prof, une voisine, ou même la boulangère m'avait demandé si je recevais la fessée, j'aurais nié l'évidence, et si jamais elles avaient été mises au courant par Maman ou par une soeurette bavarde, j'aurais minimisé au maximum, en utilisant plutôt un "très rarement", ou un "dans des cas exceptionnels". Je ne sais même pas si j'aurais osé dire "parfois", qui de mon sens a déjà des allures de phénomène répétitif...
    Bon, puisque nous sommes entre nous, entre personnes qui partagent des confidences, j'admets que ce "parfois" est peut-être en dessous de la réalité...
    Puis-je aller jusqu'à reprendre votre expression disant que cela m'arrivait "plus souvent qu'à mon tour" ? Cela me gêne de le formaliser ainsi, de l'écrire noir sur blanc, comme une vérité avérée, même si... effectivement... en certaines périodes... comme lors de l'année de mon redoublement, et évidemment de l'année scolairement désastreuse qui l'a entrainé, si l'on voulait tenir des statistiques, il est possible, ou probable, que cet événement dont vous parlez m'est arrivé davantage qu'une juste répartition l'aurait mathématiquement exigé.
    Bon, vous allez encore dire que je cherche à noyer le poisson, que je ne suis pas claire dans mes explications... Si j'ai bien compris, ce que vous voulez que je dise, c'est que j'ai mérité "assez souvent" de Bonnes Déculottées, et que j'ai donc bien connu la position horizontale, en travers des cuisses maternelles, où s'étalaient mes "belles joues" blanches et tremblantes, avant que Maman ne s'applique à les rougir longuement pour que j'en retienne bien la leçon...
    Voilà, c'est dit, c'est écrit, même si cela a encore du mal à sortir, et que je persiste à préférer dire que cela ne m'arrivait que "parfois" !

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  32. Chère Christine,

    Je reconnais le progrès du 'parfois' de Christine et il est bien évident que la Christinette de l'époque interrogée sur ce sujet brûlant par des tiers, aurait soutenue mordicus que non ou largement réduit la fréquence de ces entretiens maternels particuliers, qui la mortifiait.

    Et voilà, que la charmante Christine pour faire plaisir à l'un de ses pertinents lecteurs, se laisse aller à quelques confidences, difficilement exprimables, tout en gardant une certaine réserve en utilisant une pirouette et digérer ce petit aveu, que le fidèle lecteur que je suis n'a jamais réclamé, soit-dit en passant, mais simplement suggéré.

    Néanmoins, j'accorde à Christine un bon point pour cet élan de franchise qui l'honore et dont Christinette aurait peut-être pu s'inspirer dans certaine situations, si vous voyez ce que je veux dire, n'est ce pas !

    Amitiés, Dominique

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  33. Merci Dominique, un bon point, cela fait longtemps que je n'en avais pas eu, hi hi... C'est plus du temps de l'école primaire qu'il y en avait, il y a quelques décennies. J'aurais été toute heureuse de les ramener à Maman, fière de ma réussite, comme à chaque bonne note, car je savais en avoir sans trop de difficulté, pour peu que je m'en donne la peine, évidemment...
    Là, concernant la période que je développe actuellement, ce sont Diane et Aline qui sont encore en primaire, et moi au collège. Où il n'y a pas de bons points, mais hélas, "parfois" (hi hi...) des heures de colle ou des zéros sur les carnets de note...
    Alors, je veux bien admettre que, comme vous le suggérez, "un élan de franchise" aurait été honorable dans "certaines situations" (et je vois très bien auxquelles vous faites allusion...), mais si c'était pour qu'arrive plus vite encore le prochain "entretien maternel particulier", avouez que cela devenait moins tentant... Quand avouer revient presque à apporter ses "belles joues" blanches sur les genoux maternels, il est rare d'être pressée, non ?
    Cela dit, et si l'on commentait aussi l'épisode 52...

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  34. Je joue un peu les prolongations sur cet épisode, tout comme Christine sur ses récits, pour vous dire
    simplement que ce bon point était un clin d'oeil à la Christinou de l'époque primaire ou celle-ci rayonnait, faisant la fierté de Maman, intelligente, brillante, ayant sauté une classe et ne recevant la fessée que pour ses petites bêtises de gamine.

    Sinon, Chère Christine, sachez que pour l'épisode 52, je planche dessus et que cette réponse de votre part me servira et que vous aurez donc matière à rebondir, néanmoins jeune fille, je trouve votre invitation très impertinente (mais c'est ce qui fait votre charme) et je pense qu'un petit acompte, avant la grande fête maternelle, serait le bienvenue, non ?

    Amitiés, Dominique

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  35. Chère Christine,

    Petit aparté, je vois que le 'parfois' est ancrée au plus profond de Christine et que celle-ci s'en amuse oubliant volontairement que les heures de colle ou les mauvaises notes, étaient plus fréquentes qu'elle ne veut l'avouer, en cette période ou la Christinette se refusait à faire les efforts nécessaires, au détriment de ses 'belles joues', qui elles savaient s'offrir sans voile, ni subterfuge à la main généreuse de Maman qui choyait ou punissait, selon les circonstances.

    Désolé, mais après les prolongations, il y a les tirs au but qui 'parfois' (hi,hi.. moi aussi) réserve des surprises en terme de temps et fait que les participants, joueurs, entraîneur, dirigeants et spectateurs conservent leurs positions, tout comme Christinou bien en place sur les genoux de Maman, espérant que l'orage s'arrête.

    Sur ce, je vous quitte pour me concentrer (demain) sur l'épisode 52 et vous livrer, ce que vous souhaitez, en fait j'hésite, qu'attendez vous ? Un commentaire ou une bonne déc.........? Qui sait, les deux peut-être !

    Amitiés et humour, Dominique

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  36. Oui, c'est vrai Dominique, le temps du primaire était plus simple, les petites étant bébés et la "grande" Christine montrant sa vivacité, son intelligence naturelle, et ne faisant d'écarts que pour des gamineries peu fréquentes. Disons, pour faire un clin d'oeil à une de vos expressions, que je donnais à la main maternelle peu "matière à rebondir" sur mes joues enfantines...
    Cela dit, puisque vous faites aussi des parallèles "footballeux", il est vrai que j'aime jouer les "prolongations" dans l'attente, et non sur les genoux maternels, car à ce point de vue, à l'heure des "tirs au but", hélas,Maman ne ratait jamais le cadre...

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  37. Chère Christine,

    Bien entendu que la période du primaire était plus facile pour la Christinou, centre de la famille, celle-ci montrant toutes ses qualités et ne donnant que de très rares à occasions à Maman (bêtises ou gamineries), de s'occuper de ses petites pommes de l'époque, ce qui à beaucoup changer par la suite.

    Et je n'ai aucun doute sur le fait que Maman SPAAK en bon capitaine, ne ratait jamais la cible lors d'une séance de 'Tirs au but' sur les 'belles joues' de sa pré-adolescence, sans rempart efficace à ce moment là.

    Bon sur ce, je vais reprendre le rédaction de mon commentaire sur l'épisode 52, pour le livrer avant lundi et répondre à l'invitation d'une petite insolente, à laquelle je rougirais volontiers les fesses pour cela.

    Amitiés, Dominique.

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  38. Ce qui a "beaucoup changé" par la suite, écrit Dominique en comparant mon parcours en primaire et mes années collège. Encore une manière de me taquiner à propos de ma tendance à vouloir minimiser les choses et à préférer dire que je recevais la fessée "parfois" plutôt que "souvent". Je concède simplement que plus mes "petites pommes" devenaient de "belles joues", plus le fait de devoir les exposer sur les genoux maternels et de les sentir rougir longuement était difficile à supporter et quelque part, comme certaines de mes bêtises, inavouable...

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  39. Chère Christine,

    Je conçois fort bien qu'une pré-adolescence intelligente et vive, supporte difficilement le fait de devoir présenter ses 'belles joues nues' dans une position infantile, pour un moment de souffrance physique et moral, tout à fait inavouable pour une demoiselle en herbe.

    Mais voilà, telle est la règle chez Maman SPAAK convaincue par les vertus de la fessée pour ses filles et notamment l'aînée qui tarde à grandir ou la cadette moins éveillée pour les études, dés lors on peux comprendre qu'il soit mortifiant pour une collégienne d'être soumise à même régime que ses petites sœurs et en faire l'aveu, à autrui, impensable comme certains de ses cauchemars.

    J'admets qu'il s'agissait d'une taquinerie pour titiller votre réserve naturelle, sur la réalité des faits et qui fait le charme de notre conteuse et ravis ses lecteurs.

    Amitiés, Dominique

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