samedi 15 septembre 2012

Chronique d'un redoublement : 46. Un retour où l'imagination travaille...

SUITE 45

J'étais tombée de haut... Deux incidents consécutifs dans une même sortie au parc avaient transformé mon statut d'épargnée, de grande presque à l'abri de telles déconvenues, en destinataire désignée de la prochaine fessée...

Et je marchais en tête de notre petite troupe, consciente que trois paires d'yeux suivaient ma silhouette, sachant ce qui m'attendait, l'imaginant peut-être déjà...



Je rentrais à la maison, comme l'on se rend à la Poste chercher un recommandé, mais sans surprise possible... Le "colis" n'était pas un paquet-cadeau de La Redoute, et c'était son contenant que je "redoutais", et qui avait été énoncé clairement à la vendeuse de la boulangerie...

Aline était assez silencieuse, certainement ravie que la pression qui s'exerçait ces derniers temps surtout à son encontre, change de cible. Elle n'était pas trop rassurée sur la qualité de ses devoirs que Maman allait contrôler, mais le fait que la grande soeur était promise à une déculottée, réduisait les risques qu'elle ne s'occupe aussi d'elle de la même manière...

Diane, en revanche, jubilait, et affichait un sourire béat. Elle avait eu chaud, puisque le commencement de mes soucis venait du fait qu'elle avait échappé à ma (supposée) surveillance. La paire de gifles reçue sur le champ était un moindre mal pour ce qui aurait pu lui valoir une fessée directe...

Elle serait restée au toboggan, rien ne se serait passé, et je la tenais donc, pour ma part, responsable de ce qui allait m'arriver... C'est aussi pour cela que je lui avais cherché querelle, espérant que Maman tomberait dans le piège et la punirait à ma place. L'intervention de la jeune vendeuse surprenant mon manège n'avait rien arrangé, pire, elle avait fait passer la menace de possibles sanctions (au prochain faux-pas), en promesse publique et donc, encore plus irrévocable, de passer à l'acte à mon encontre.

J'avais d'ailleurs doublement perdu en voyant ma manoeuvre déjouée par la vendeuse. Maman était en effet du genre à apprécier que ce soit un tiers qui lui montre qu'elle avait failli se faire abuser par sa propre fille. Et, cela lui prouvait aussi que, derrière ma volonté de jouer les grandes, j'étais encore capable de faire de tels petits coups en douce, de telles gamineries derrière son dos... Sans parler de ce réflexe de mensonge automatique, même si j'avais compris que la vendeuse avait surpris mon entourloupe, et qui m'avait poussée à nier l'évidence, comme si j'accusais la jeune fille de raconter n'importe quoi...

Et, connaissant, hélas, par coeur, les raisonnements maternels et ce qui la fâchait particulièrement, j'avais bien conscience que j'aurais du mal à modifier le cours d'une destinée qui me faisait passer par la case "genoux maternels" !

Diane, en tout cas, pouvait pousser un "ouf" de soulagement, et elle sautillait en fredonnant sur le chemin de la maison, derrière une grande soeur, dont les pas se faisaient moins assurés, voire plus lents et presque tremblants...


Maman, quant à elle, avait cette attitude qui ne présage rien de bon. Elle n'avait pas hésité un seul instant en décrétant devant la vendeuse que je recevrais une bonne fessée, et avait été aussi tranchante pour me faire prendre le chemin le plus rapide pour aller à la maison.

Elle prenait sa posture d'autorité, celle avec laquelle on ne plaisante pas, celle aussi qui se veut sous le signe de l'exemplarité...

Si Aline ou Diane avaient été les destinataires des promesses maternelles, cela se serait certainement réglé dès l'arrivée à la maison. D'autant que la future punie n'aurait pas arrêté de geindre, de chigner à l'avance, Maman s'exécutant alors bien vite pour régler son affaire et "calmer" son petit monde.

La fessée qui pendait au nez de Christine n'avait pas le même effet, et rarement le même déroulement.

Je n'étais pas du genre à supplier dès la porte refermée, ni à risquer d'énerver davantage Maman. J'étais forcément dans une volonté d'apaisement, et dans ma sacro-sainte quête pour gagner du temps...

Et cela convenait certainement à Maman aussi. L'annonce ou parfois même la seule menace de fessée à mon encontre, avait un effet sur les trois filles. Si Christine allait en prendre une, Aline et Diane savaient qu'il valait mieux ne pas se trouver aussi dans le collimateur, d'autant que "fessée de Christine" n'était pas fessée anodine... Jamais !

Maman pouvait donc "profiter" du calme relatif, comme de ces moments qui précèdent les orages, pour ne pas se précipiter dans le règlement de comptes annoncé.

Elle savait que ses filles allaient filer droit au moins jusqu'au moment fatidique, que personne ne rechignerait à mettre la table, à montrer ses devoirs, à prendre sa douche sans chahut, à ranger ses affaires, etc., etc. Surtout que la moindre remarque se ponctuait vite d'une petite phrase du genre : "Si tu veux une fessée comme celle qu'attend Christine, dis-le moi" ! Une formule qui avait son succès assuré...

Avait-elle conscience que, pour moi, chaque minute de gagnée, était comme une victoire ? Peut-être, mais à l'inverse, je pense qu'elle croyait en les vertus de l'attente, sachant qu'une grande fille intelligente et sensible comme elle me savait être, ne pouvait que mieux réfléchir aux conséquences de ses actes, quand elle patientait et mijotait dans l'attente de l'inéluctable...

Alors, en franchissant le seuil de la maison, je ne fus pas étonnée d'entendre Maman intimer l'ordre à Diane d'aller finir ses devoirs, à Aline de se préparer pour prendre son bain, et à m'envoyer dans ma chambre, pendant qu'elle allait s'occuper de la cuisine, puis d'en finir avec les devoirs et les toilettes des petites. De quoi me donner un délai, et d'évacuer bon nombre de ses tâches, histoire d'avoir sûrement l'esprit plus libre au moment où elle pourrait ainsi s'occuper plus "calmement" de son ainée...

Un calme du point de vue de l'esprit bien sûr, et qui ne changeait en rien, bien au contraire, dans la détermination maternelle, consciente que les jours ayant passé, il était d'autant plus nécessaire de bien remettre les pendules à l'heure, d'une manière claquante et cuisante à souhait !



A SUIVRE

34 commentaires:

  1. Chère Christine,

    Quel merveilleux épisode de transition, livrée par une forte en français sachant (quant elle le voulait) concocter une excellente dissertation (introduction, développement et conclusion), revenant nonchalamment sur les griefs, les attentes et les pensées de chacun, dans le seul but (inavouable) de faire languir un lectorat pendu, à la saisi informatique d'une Christine au sommet de son art, faisant partager aux non initiés (es) comme aux expérimentés (es) en la matière, les émotions de ces situations, au combien délicates.

    Cette première lecture, m'a également permis d'apprécier une nouvelle fois l'humour de notre narratrice, usant de métaphores à des enseignes reconnues dans la distribution ou la livraison, de ce que l'on attend ou que l'on sait inéluctable !

    Sur ce, je vous quitte Chère conteuse, avec une pensée pour vos fesses que vous préparez et qui vont être particulièrement soignées, par Madame SPAAK confortée, par autrui, sur les capacités de tromperie de sa grande fille.

    Amicalement, Dominique

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  2. Dominique est un flatteur rusé. Il cherche à m'encourager à poursuivre mes confidences, ce qui part d'un bon sentiment... Mais, faire avancer le récit ne fait que me rapprocher d'un moment redouté... Et je ne doute pas que le flatteur, derrière des mots gentils, m'imagine déjà avec le bas du dos rougi... Ce qui est, avouez-le, beaucoup moins tentant, vu de mon côté...

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  3. Chère Christine,

    Oh ! Flûte ! Je suis démasqué et 'ma ruse de sioux' n'a pas fonctionné, tiens ! comme une certaine pré-adolescente qu'il me semble connaître et qui s'appelle comment déjà, euh ? Chri... quelque chose ? Chri.., Christine ! oui c'est ça, je me souviens. Hihi.....

    Tout flatteur vit aux dépends de celui qui l'écoute, n'est pas ce pas ma Chère narratrice, mais vous prêtez des desseins à votre égard ne m'ayant même pas traversé l'esprit, quoique....hihi et je conçois fort bien que l'avancé du récit, vous enchante moins que vos lecteurs, vos petites fesses n'étant pas spécialement pressées de recevoir leur du, mais bon il va bien falloir y passer, n'est ce pas ?

    Amicalement, Dominique,

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  4. Il va falloir y passer, dites-vous... Je ne suis pas pressée, mais pas du tout, voyez-vous...
    Je sais bien que l'attente n'est pas agréable, que chaque petit détail qui me montre la détermination maternelle accentue mon angoisse, et que j'imagine déjà comment cela va finir, mais de là à vouloir presser le destin, il y a un gouffre que je ne franchis pas...
    Mieux vaut que mon bas du dos frissonne encore un moment en pensant à ce qui l'attend, que de me retrouver la lune à l'air sous la dextre maternelle...

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  5. Chère Christine,

    Oh, la pleutre ! Voilà que la demoiselle craignant pour ses fesses (comme d'habitude) argumente, se positionnant en victime, alors qu'elle a bien 'cherché' ce qui l'attend et ne pourras y échapper, malgré ses tentatives désespérées.

    Dés lors, que notre Christine, frissonne ou pas, son avenir proche passera par les genoux de Maman, culotte amplement baissée pour une bonne fessée (voir une tannée) méritée de gamine facétieuse, ne comprenant que cela.

    Je comprends donc votre retenue à franchir ce pas, Chère narratrice, n'en étant pas à votre première expérience et préférant jouer la carte du temps, même si celle-ci n'a pas été une alliée très efficace par le passé, nourrissant votre angoisse du moment fatidique.

    Allez courage, jeune fille, ce n'est qu'un mauvais moment à passer, certes désagréable pour vos rondeurs que la dextre maternelle sait particulièrement attendrir et colorer à souhait, mais la bêtise là et il faut donc savoir en assumer les conséquences, si difficiles soit elles.

    Amicalement, Dominique,

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  6. Assumer les conséquences, vous en avez de bonnes, Dominique... Moi qui espérais un soupçon de compassion, des mots rassurants, ou que l'on prenne ma défense, que lis-je ? On n'emploie même pas le conditionnel, mais un futur qui me trace un chemin direct vers les genoux maternels... Et je passe sur les détails qui me promettent une culotte amplement baissée et une tannée mémorable... N'allez-vous pas un peu loin, quand même ?
    Je ne vous avouerai bien sûr jamais que, dans le secret de ma petite tête, c'est bien cela que je crains et j'imagine moi aussi... Je pense même qu'Aline et Diane en sont persuadés également, et que Maman a bien l'intention de passer des paroles aux actes...
    Mais, comment voulez-vous que je puisse avoir du courage, en sachant qu'il n'y a plus d'espoir et qu'il ne me reste qu'à préparer mes fesses...

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  7. Chère Christine,

    Voilà que ma narratrice préférée, réclame de la compassion, ainsi qu'une défense pour ses bêtises et un mensonge découverts, craignant alors pour ses petites fesses, comme d'habitude

    Dés lors, seul le futur est envisageable, avec je vous le concède des prémonitions plutôt néfastes pour votre lune, mais que je confirme, ne vous en déplaise Chère Conteuse, car vous savez tout comme moi qu'elles se réaliseront, même si votre esprit le refuse et je ne vais donc pas si loin que cela, désolé pour vos rondeurs.

    D'ailleurs, vous même, sans oser le reconnaître, n'avez aucune illusion sur votre devenir fessier, ainsi que vos sœurs et Maman, qui s'y prépare, tout comme vous qui préparez vos fesses, l'espoir n'étant plus de mise et les actes doivent, alors remplacer, les paroles que la gamine n'a pas comprises, qu'en pensez vous jeune écervelée ? Boutade, bien entendu !

    Amicalement, Dominique,

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  8. Bonjour Christine.

    Pour vous comme pour Sonia, le cuisant dénouement approche. Et l'une comme l'autre connaissez ce dénouement, il n'y a plus d'échappatoire possible.

    Avec un peu d'imagination, on peut penser que les deux fessées auront peut-être lieu simultanément, auquel cas les lecteurs et lectrices auront droit à la stéréo.

    Le cruel lecteur que je suis vous souhaite bon courage à toutes les deux.

    Amicalement, à bientôt.
    Stéréophoniquement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  9. Chère Christine,

    Ceci dit, Chère narratrice, étant actuellement en repos, ne soyez pas étonnée de mes réponses immédiates, ayant donc la possibilité de me consacrer entièrement à vous, pour votre plus grand plaisir, j'imagine ? « Oh, mais quel prétentieux ce garçon, qu'en sait il, au juste ? ».

    Trêve de plaisanterie, Chère conteuse, j'avoue que je n'échangerais pas votre place avec la mienne pour les moments à venir, mais que voulez-vous, moi je n'ai pas fait de bêtises pour l'instant, alors que Christine les collectionnes et va donc recevoir, ce que mérite une petite fille désobéissante, même s'il elle s'ingénie à en retarder l'échéance!

    La seule différence, pour Christine, mais de taille, est que la fessée promise sera celle d'une grande sœur, longue, appliquée, douloureuse, cuisante et mortifiante à souhait, comme seule Maman sait les distribuer à l'aînée de ses filles, qui tarde à grandir.

    Désolé, mademoiselle, il ne s'agit là que d'un constat réaliste, mais inconcevable, je l'admets pour une pré-adolescence en proie à ses interrogations, souhaitant à tout prix s'éviter cette punition qui l'afflige et qu'elle considère presque normale pour ses petites sœurs, mais qui ne comprend que cela, comme si c'était un 'besoin' pour retrouver le bon chemin d'une jeune fille responsable et à qui l'on peux faire confiance.

    Dés lors, si je compatis sincèrement au sort qui vous attend, je ne peux m'empêcher de penser que vous l'avez bien cherché et que cela ne sera que la bonne réponse à une gaminerie, somme toute amusante, mais irritant passablement Maman, vous en conviendrez ?

    Alors, ma Chère Christine, préparez vos fesses, cela ne sera ni la première, ni la dernière fois, que la main affûtée de Maman, les fera rougir, en vous faisant pleurer à foison et ce sera encore une fois bien mérité « Oh ! l'es vraiment méchant le monsieur, avec Christine, snif, snif.... »

    Amicalement, Dominique

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  10. Peut-être Louis, mais je reste pour ma part dans mon récit, et ne souhaite pas d'interférences. Imaginez si vous le voulez, je demeure de mon côté dans ma seule histoire. L'attente de mon seul côté suffit à m'angoisser totalement.

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  11. D'accord Dominique, je "n'ose pas le reconnaître", car comment admettre que je "sais" ce qui "m'attend".
    C'est une phrase de Maman ça : "Tu sais ce qui t'attend".
    Pas une phrase de gamine, qui ne peut se résoudre à l'inéluctable. Même si vous la traitez "d'écervelée", ce qui n'est pas faux quand je ne réfléchissais pas assez aux possibles conséquences de mes actes. Et même si, a contrario, je souffrais souvent de trop réfléchir, de trop imaginer...
    "Les actes doivent remplacer les paroles que la gamine n'a pas comprises", dites-vous, en me demandant ce que j'en pense. Vu ainsi, de façon générale, impersonnelle, je suis prête à dire que c'est une phrase pleine de bon sens, et à la contresigner si elle s'applique à Aline ou Diane.
    Mais si la phrase se traduit à mon encontre par "Les actes, et en l'occurrence une bonne fessée", doivent remplacer les paroles que Christine n'a pas comprises", je ne peux que protester, en appeler à la clémence, implorer le pardon, ou au moins obtenir un sursis.
    Oui, je vous l'accorde, au point où en est mon récit, la Christine d'alors ne se faisait plus d'illusion sur ce que vous appelez son "avenir fessier".
    De là à l'avouer, à le dire, il y avait un monde. Cela n'aurait sûrement rien changé, sauf dans mon for intérieur peut-être, que je l'accepte vraiment.
    Alors, même si je pouvais me poser la question, je ne me serais résigné à aller dire à Maman : "Oui, d'accord, je monte dans ma chambre attendre ma fessée". Ni lui demander : "Au fait, Maman, ma fessée, tu me la donnes avant ou après le dîner ?"
    Ni évidemment : "Préfères-tu que je vienne te rejoindre au salon, ou dois-je t'attendre dans ma chambre pour recevoir la fessée ?"
    Et encore moins : "Dis, Maman, et si j'allais ranger mes affaires, préparer mon cartable pour demain, puis prendre ma douche et me mettre en pyjama. Comme ça, tout sera prêt, et je n'aurai plus qu'à attendre sagement que tu viennes m'allonger sur tes genoux, baisser ma culotte, et rougir mes fesses autant qu'elles le méritent".
    Même si je sais que c'est ce qui va se passer en fait, je ne peux imaginer oser le dire.

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  12. Bonjour Christine,

    Dénouement, enfin presque.........

    Une fois tout rangée et le dessin animé d'Anaïs terminé, Maman nous accompagna à l'étage, arrivé à la salle de bains, tout en surveillant le brossage des dents de ma sœur, elle me demanda de me déshabiller pour prendre ma douche, surprise, j'osais un « Mais Maman, Anaïs est là ! Enfin ! » faisant tourner la tête de ma sœur et me valant une première claque sur sur la jupe, avec un « Et alors ! Elle n'en perdra la vue et je rappel que je ne veux plus t'entendre, c'est compris ma fille ? » associé à une deuxième claque, me faisant obtempérer mais de façon nonchalante.

    Sortant de la salle de bains, avec ma sœur, Maman qui avait remarqué mon manège m'adressa un « Sonia, cesse donc de traîner ! Et si à mon retour, tu n'es pas sous la douche, je t'aiderai à t'activer avec en prime un avant goût sur ce j'ai promis à tes fesses et crois moi qu'elles le sentirons ! » malgré cela, ancrée dans ma rébellion, je flânais imaginant que Maman mettrait plus de temps à coucher Anaïs, grave erreur !

    Revenue, tenant mon pyjama qu'elle avait pris dans ma chambre, elle me surpris encore en petite culotte, prononçant juste un « Oh, là, là, là ! Ma petite fille, mais tu n'as vraiment rien compris ! » et là, me pliant sous son bras, elle me tirât d'un coup la culotte m'assénant une dizaine de claques vives et rapides me faisant crier (exagérant ceux-ci) et lui faisant dire « Mais, oui, ma fille braille encore plus fort, comme ça Anaïs comprendra que tu n'obéit pas, comme elle ! » ce qui calma mes clameurs.

    Maman me tenant toujours le poignet, elle me collât alors sous la douche en précisant « Je t'accorde 5 minutes, sinon à ta sortie, je recommence, avant de te donner la bonne fessée que tu mérite de plus en plus, c'est compris ? », je ne traînais donc pas tout en pleurnichant et grommelant, de rage surtout, d'être ainsi sous la surveillance de Maman pour ma toilette, comme ma petite sœur.

    Me tendant la serviette, je faisais grise mine, d'être ainsi exposée nue comme un ver, ce qu'elle remarqua et consciente de mon trouble, insista sur le coté infantile avec ironie me disant « Oh ! Mais ma grande, se sent moins fière, quant elle imite sa petite sœur ! N'est ce pas ? », explosant comme une gamine insolente et pourtant sans défense, je répondis « T'es trop méchante et je te hais ! » récoltant à nouveau une claquée bruyante et plus forte, sur des fesses très sensibles (humides) et propre à me faire pousser des cris de douleurs réels, cette fois ci.

    Toujours dans le même esprit, elle me donnât le haut de pyjama que je mettais (tout en pleurnichant) et tendant la main, pour avoir le bas, j'obtins un monologue maternel « Ah, oui, bien sur.... ! Mais j'y pense, ce pantalon , je vais le baisser pour te donner la bonne fessée que tu mérite, on est d'accord ? », figée et muette, elle enchaîna « Je ne vois donc pas l'utilité que tu l'enfile ! » gardant le vêtement, elle me saisit le poignet pour m'emmener vers la chambre.

    A suivre..........

    Cordialement, Sonia

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  13. Chère Christine,

    J'admets votre refus sur l'inéluctable et partage votre avis sur le phrasé plutôt maternel, que celui d'une gamine craintive, écervelée par sa seule insouciance, mais non idiote, bien au contraire, cogitant simplement dans le mauvais sens.

    La preuve en est, que celle-ci, répond à une question, par une échappatoire, reportant l'application de bon sens de cette phrase, sur ses sœurs, alors qu'elle en est la seule destinataire et réclame alors, clémence, pardon ou sursis !

    Non mais je rêve, bien sur qu'une Christine consciente de ses bêtises, aurait pu assumé ses erreurs et changer de stratégie, se montrant responsable, reconnaissant ses fautes, sans pour cela réclamer verbalement la fessée méritée, auprès d'une mère déterminée et convaincue dans ses convictions.

    Alors, bien évidemment, il est plus facile pour notre narratrice d'utiliser ses penchants naturels de manigances, faux-fuyants, mensonges et gain de temps, pour s'exonérer et ainsi échapper à ce qu'elle craint et redoute le plus, à savoir la dextre maternelle claquant ses rondeurs.

    Amicalement, Dominique

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  14. Vous avez certainement raison, Dominique, de votre point de vue d'adulte, qui vous place plus aisément dans la peau de l'éducteur que de l'éduqué.
    Moi, je persiste, na ! Je persiste à dire que même si, dans un petit coin de ma tête de linotte, j'ai conscience que, les règles et le fonctionnement maternels étant ce qu'ils sont, il est évident que je mérite la fessée, cela ne m'empêche pas de la redouter, de préférer en retarder l'échéance, de vouloir y échapper. Et quel qu'en soit le prix en terme d'angoisse et d'imagination anticipatrice, jamais je ne serais allée au devant d'une déculottée magistrale.

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    1. à mon tour je me lance pour vous raconter , à vous chère Christine, ainsi qu'à vos fidèles lectrices et lecteurs, un angoissant trajet de retour à la maison.



      au souvenir du motif, je devais avoir dépassé la pré-adolescence et être arrivé dans ce que l'on appelle parfois l'age bête.



      avant cet âge, je n'ai pas de souvenirs particuliers de fessées sévères et magistrales à mon encontre. c'est, d'ailleurs, peut-être, ce qui m'a poussé ce jour là à commettre l'irréparable, pensant que je n'avais surement rien à craindre...

      Bien sûr, j'avais été quelques fois témoin d'une (bonne) fessée. plus souvent de façon auditive ou soupçonnée que visuellement en direct live.



      Je n'ai pas le souvenir que Maman se laissait aller à enchaîner les corrections de manière irréfléchie. Elle était certes convaincue de la valeur éducative de la fessée mais elle s'efforcait de ne pas l'employer trop souvent. Déjà parce que c'était une punition sévère, et parfois humiliante, et aussi parce qu'elle trouvait inutile de l'administer trop souvent. En effet, autant elle était convaincue qu'une "bonne fessée de temps en temps ne fait pas de mal, au contraire ça remet les idées en place et ça fait circuler le sang...", autant elle pensait également que l'administrer trop souvent lui aurait fait perdre tout son intérêt psychologique et sa vertu pédagogique. Maman arrivait à nous faire sentir qu'elle pouvait être ferme, sans avoir pour autant à nous flanquer une bonne correction. Et puis , maman , avait connu une éducation très rigoureuse. peut-être même trop....j'y reviendrais quelques lignes plus bas. Elle ne souhaitait pas reproduire sur ces enfants l'éducation qu'elle et ses frères et soeurs avaient reçus.

      Je me souviens qu'il est arrivé quelques fois que je passe très près d'une fessée. Parfois elle avait même été soit annoncée, soit promise....et puis, par chance pour mon matricule, soit le lieu, le moment, ou d'autres circonstances ont fait qu'en fin de compte j'ai eu le bonheur (encore inconnu à l'époque...) d'échapper à la punition. En effet , par chance, j'avais bénéficié d'un concours de circonstances favorables, voire, d'un soudain accès d'indulgence de Maman.

      En fait, je crois qu'il y avait parfois un peu de calcul dans l'esprit de maman qui savait très bien dès le départ qu'en menaçant l'un d'entre nous d'une déculotée, elle obtiendrait le calme et l'obéissance, au moins pour quelques instants, pouvant durer parfois plusieurs jours ou semaines. elle savait aussi que le fait d'avoir promis une punition à l'un d'entre nous (j'ai 2 soeurs et 1 frère) porterait bénéfice aux autres, ainsi qu'à maman et à ses mains...

      Par contre il arrivait parfois que le ton ou la précision des mots aillent un peu plus loin qu'une simple menace. "encore une remarque et je te gifle ma fille...!!" ou "ça ne t'as pas suffit la punition (privation de sortie ou de télé par exemple) de l'autre fois ? est ce que c'est une bonne trempe qu'il te faut pour comprendre ?" et il y a bien d'autre phrases mythiques de maman qui me reviendront en mémoire au fil de l'eau.

      Pour Maman, il était évident que désobéissances, mauvaises notes non avouées, et autres grossess bêtises devaient être sanctionnées, et qu'il était approprié dans ce cas de nous administer de temps à autre une bonne petite correction. c'était finalement pas si fréquent que ça, quoique....tout dépend de ce que l'on considère comme fréquent lorsque l'on parle de fessées. mais , ce qui est certain, c'est que quand ça tombait, ça tombait...!

      à suivre

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  15. Chère Christine,

    En effet, Christine, j'admets que mon raisonnement d'adulte correspond plus l'image de l'éducateur, qu'à celle de l'éduqué (e), c'est vrai.

    Mais, le « Moi, je persiste, na !» confirme bien que l'on est en présence d'une petite insolente, à qui il faut remettre les idées en place par l'application d'une bonne déculottée qui la fera réfléchir, au moins pendant un certain temps.

    Ceci dit, je vous comprends, dans l'approche de ce que vous redouter le plus et vous accorde le fait de ne pas aller volontairement au devant de ce vous craigner.

    Amicalement, Dominique

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  16. Bonjour Christine,

    Dénouement, suite....

    M'entraînant dans le couloir, à moitié nue, j'étais désemparée, contrainte de déambuler en cette tenue, qui me donnait l'impression d'être une petite fille fautive d'avoir fait pipi dans son pyjama et que Maman après le lui avoir enlevé, emmenait sans ménagement aux toilettes, pour lui montrer l'endroit et lui coller une bonne petite fessée éducative (mésaventures que j'avais connu, étant plus jeune, ainsi qu'Anaïs).

    Sauf que là, c'était une pré-adolescence, à moitié nue, qui faisait le chemin, se dirigeant vers une punition de 'grande sœur' en offrant généreusement ses fesses à la dextre maternelle et que j'allais, particulièrement bien sentir, me faisant regretter d'avoir des rondeurs si accueillantes pour la fessée.

    Arrivés, dans ma chambre, il n'y eu pas de temps mort, Maman se dirigeant vers mon lit, lança le bas du pyjama sur celui-ci, avant de s'y asseoir et me faire basculer sur ses cuisses, en un éclair, me calant de son bras gauche, alors que je suppliait, elle entama une valse à 'mille temps' des plus endiablées sur mes fesses fraîchement sortie de la douche.

    Sa main claquait fort et les cris (non simulés) que je poussais, rythmaient une fessée qui allait être intense et inoubliable, comprenant que Maman voulait me donner une vraie leçon sur le respect et non un simple rappel de ma déculottée publique (pourtant bien salée), résignée et soumise à sa volonté, je m'égosillais, ses claques me faisant un mal de chien et je versais un torrent de larmes sous cette avalanche qui durait, durait, à n'en plus finir.

    Elle arrêta son bras, alors que je suffoquais, sous l'effet de la douleur et la chaleur que je ressentais à cet endroit, m'indiquait que mes fesses devaient être déjà bien rouges, Maman s'étant calmée les nerfs sur mes rondeurs pris la parole « Alors ma petite fille, tu vois que les promesses, Maman les tiens et cela ne fait que commencer, car comme tu n'as pas bien compris, je vais faire en sorte que cette bonne déculottée, reste graver dans ta petite tête de gamine insolente, crois moi ! ».

    Et là, bouche bée, par peur, j'écoutais Maman en pleurant qui ajouta « Bon, allez ma chérie, demain il y a école, alors inutile de te faire languir davantage et je vais te donner ce que tu mérites, avant d'aller faire un gros dodo, t'es d'accord ? », que répondre à cela, sauf une supplique inutile, mais sincère « Oh, nooooonnn.....! Mamaaaannn...., je t'en supplie, stooopppp...., j'en peux pluuus...., pitiéeeeeeee.........! ».

    A suivre.......

    Cordialement, Sonia

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  17. Bonjour Christine,

    Dénouement suite.......

    Innocente que j'étais ! Maman, avait une leçon à faire passer à sa rebelle de fille et de la seule manière comprise par celle-ci, à savoir une bonne déculottée très soignée, par une mère déterminée et une demoiselle meurtrie dans sa chair et son âme, mais au final consciente d'avoir mérité cette nouvelle volée maternelle.

    Après cet intermède, le bras de Maman repris son action claquante, mais de façon plus méthodique arrosant toute la surface, du bas du dos à la naissance des cuisses, sur un rythme moins élevé, mais la main plus lourde s'écrasait sur un fessier détendu, vaincue que j'étais, m'abandonnant à la dextre maternelle qui propageait un incendie, que sa gourde de fillette avait bien cherché.

    Cette cuisson minutieuse était horrible, gémissant en continue, les yeux noyés de larmes, j'avais l'impression que mes fesses allaient explosées tellement cela brûlait et durant les pauses que Maman faisait, j'émettais de nouvelles suppliques en appelant à sa clémence, mais rien n'y faisait et son bras repartait de plus belle, pour me servir une monstrueuse et interminable tannée, que je n'étais pas prête d'oublier.

    Enfin, après une ultime pause, Maman me gratifia d'un final identique à l'entrée en matière, à la différence que tombant sur des rondeurs plus que cuites, celui-ci me fît carrément hurler de douleur, avec la sensation qu'elle m'arrachait la peau des fesses et que j'allais mourir, sous l'effet de cette horrible déculottée.

    A suivre......

    Cordialement, Sonia

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  18. Chère Christine,

    Je constate que vous n'avez pas validé mon dernier post du 19, pour des raisons qui vous sont propres et que je respecte.

    Au delà de cela, je suis content de voir Sandrine apporté une réflexion très judicieuse, que j'ai également bien connu, à savoir la menace précise d'une bonne correction si je continuais à être vilain ou désobéissant, ce qui bien sur avait plutôt tendance à me calmer, par peur, sauf que parfois persistant dans l'idiotie, je me retrouvais sur les genoux de Maman ou de Tata pour une bonne déculottée, étonnement plus précise que la menace et m'amenant à réfléchir

    Je vois aussi qu'une Sonia très entêtée , est en grande difficulté avec Maman, recevant le prix de celui-ci, comme notre narratrice qui prépare ses fesses, pour ses gamineries, n'est ce pas Christine ?

    Désolé, Chère Conteuse, quoique..........!

    Amicalement, Dominique

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  19. Oui, Dominique, je valide ou je ne valide pas. Votre message s'inquiétait de l'absence de Mardohl. Celui-ci m'a récemment annoncé son prochain retour. Voilà ce que je peux dire. Attendons.

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    1. Suite, mais pas fin de l'histoire...

      D'autre part, ailleurs qu'à la maison, j'avais déjà vu ma tante punir une de mes deux cousines, dont j'étais très proche, aujourd'hui encore. Ma tante était ultra sévère, bien plus que la mienne...c'était des véritables tannées qu'elle administrait à mes cousines. Le mot préferé de ma tante n'était pas le mot fessée, raclée, volée, trempe ou bien dégelée, mais le mot dérouillée. Nathalie a 1 an et demi de plus que moi, et Valérie le même age que moi à quelques semaines près.

      Maman et tata étaient très proches. elles aussi avaient eu une éducation très sévère par mes grands-parents. Ma grand-mère usait du martinet, que ma mère se vantait de ne pas utiliser sur ses propres enfants. Je me souviens que fréquemment, à l'occasion de repas de familles, les 2 soeurs se remémoraient quelques bonnes raclées reçues de la part du grand-père ou de la grand-mère. Et ce même très tardivement, puisque à l'époque, la majorité était à 21 ans.

      De ce que j'en sais, d'après ma tante au cours d'un repas légèrement arrosé, où elle se mit à faire quelques confidences, ce serait maman qui aurait le triste record de la plus belle rouste reçue au sein de la famille. à 14 ans, visiblement maman aurait reçu une terrible correction, au minimum devant ma tante, par ma mémé. mais, bizarrement, maman ne se souvenait pas le moins du monde avoir reçu cette fameuse correction....pudeur ? honte ? gène devant ses propres enfants présents autour de la tablée ? pure invention de ma tante ? je ne sais pas.

      quant à ma tante, je me souviens d'une discussion un jour, où elle confiat , que, autour de ses 16 ans, de son propre aveu, elle avait reçu de ma grand-mère : "une rouste, mais une rousssssttte...!!! mais une dérouillée....mon dieu...!! j'avais oublié mes clefs, et j'ai eu la très mauvaise idée de grimper et de passer par dessus la grille du portail. quand maman a su ça, elle a eu peur que ça donne de mauvaises idées à des gens mal intentionnés... j'ai pris une rouste...mais une rouste.... je me revois encore là-haut dans ma chambre avec maman....qu'est ce qu'elle m'a mis ce jour là...! en plus , c'était le jour de la fête du village vers la fin aout. il devait faire chaud, je me souviens que je devais avoir une petite tenue, genre une jupe ou un short, car je me souviens que maman n'a pas eu besoin, ce jour là, de baisser le pantalon...j'avais les cuisses dans un état....je m'en souviens comme si c'était hier. je devais avoir 16 ans."

      Maman, plus agée que ma tante, probablement absente ce jour là, ne se souvenait pas de cet épisode dramatique pour les cuisses de ma tante.

      à suivre...

      amicalement, Sandrine

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    2. Suite...

      Je ne sais combien de fois, alors que nous allions leur rendre visite, je n'ai entendu ma tante dire à maman à voix haute et sans s'en cacher : "ta nièce (parfois elle parlait de Valérie, tantôt de Nathalie) en a prit une l'autre fois....mais une bonne. ça faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas prit une dérouillée pareille..." Dans l'esprit de ma tante, le "bien longtemps" était tout relatif...dans le souvenir que j'en ai , c'était un trimestre tout au plus. et le plus souvent, guère plus d'un mois...



      Le souvenir dominant que j'en garde c'est une impression de gêne, comme une sorte de honte par procuration, et le sentiment de pas être à ma place devant cette "scène". Pourtant, dans mes souvenirs de jeune fille, une fois pré-adolescente, et encore plus une fois en pleine adolescence, il m'était plutôt agréable d'entendre ou de voir ce qui était en train de se passer, ou ce qui s'était passé. Je me souviens aussi qu'à chaque fois cela créait un malaise entre la punie et moi, parfois, plus ou moins long à se dissiper. il m'est souvent arrivé de ressentir un trouble m'envahir, impossible à évaluer et à préciser.



      je me souviens d'une fois où j'étais en vacances chez les cousines. Alors que je revenais des toilettes, du couloir menant à la chambre de Nathalie, j'entendis des bruits de claquements provenant de la chambre de Valérie. bruits assez vagues pour moi à l'époque. aujourd'hui, je ne me poserais même pas la question... la curiosité me poussa à prêter l'oreille. de plus, je remarquais que la porte de la chambre n'était pas fermée, mais légèrement entre-ouverte. j'eus la demi surprise d'aperçevoir ma pauvre cousine , en petite tenue, une chemise de nuit assez courte si je me souviens bien, en train de se faire claquer les cuisses par ma tante. Celle-ci lui assénait à chaque claquée un "tu vas comprendre ..? quand est ce que tu vas comprendre..??" La pauvre Valérie, pleurnicharde et reniflante tentait de dire ; "oui, j'ai compris..."

      au bout d'une trentaine de secondes, j'avais tellement peur que ma tante ne me surprenne et qu'elle ne trouve ainsi l'occasion de m'en faire autant, que j'eus la bonne idée d'aller rejoindre Nathalie pour lui confier mon secret de jeune fille. naive que j'étais. j'arrivais dans la chambre de Nathalie, en chuchotant : "dis donc, ça barde pour ta soeur, qu'est ce qu'elle a fait ?" "je crois qu'elle devait ranger sa chambre et que rien n'est fait.." Nathalie poursuivit sa précision : "moi , j'ai bien rangé, je me tiens à carreaux, j'en ai pris une bonne l'autre fois pour la même raison...je n'ai pas vraiment envie que ça recommence !"

      ma tante ne laissait rien passer. j'allais l'apprendre à mes dépends quelques années plus tard, un jour de désobéissance et de non respect de l'heure de permission. Nathalie et moi avons reçu ce jour là, l'une puis l'autre, une correction dont la coutume et la rumeur dit que l'on s'en souviendra pendant longtemps... je confirme, ce n'est pas qu'une rumeur. Cette volée que j'ai reçu ce jour là, parce que ça ne s'appelle pas autrement, est, à n'en pas douter, dans le top 3 de celles que j'ai reçu.....

      c'est une des rares fois qu'il m'est arrivé d'être témoin d'une fessée de mes cousines. pour Nathalie , je ne fus guère surprise de la sévérité de la punition. mais, me concernant, je n'aurais jamais imaginé que ma tante se permettrait d'infliger une telle correction à quelqu'un d'autre qu'une de ses filles. même à sa nièce. mais cela fera l'objet d'un autre message, plus tard si vous le souhaitez.

      à suivre

      amicalement, Sandrine

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    3. Suite...

      revenons en donc à nos "moutons" et à mon retour à la maison. Notre retour devrais je dire...



      Dire que je n'étais pas fière , est un doux euphémisme.



      Autant j'ai été une petite fille sage comme une image jusqu'à 12/13 ans avec une peur bleue de ce qui pouvait m'arriver en cas de bétises. D'ailleurs j'étais tétanisée dès que ma mère haussait le ton. Même si c'était à l'encontre de ma grande soeur, ça servait aussi de leçon à la Sandrine, qui était calmée pour un bon moment. Et puis bien sur, il m'est arrivé de voir ou d'entendre Isabelle subir les foudres de maman...et cela me montrait combien il était utile que je me tienne à carreaux si je ne voulais pas que, tôt ou tard, ce soit mon tour...



      Nous étions 4 filles. il y avait donc Isabelle, l'ainée, puis moi, Sandrine, puis Corinne, puis Claire. Nous avions toutes en moyenne 1 an et demi d'écart entre nous. les écarts d'age allant de 15 mois à 2 ans.



      Autant, je suis devenue rebelle, espiègle, menteuse, voleuse, cachotière, roublarde, insolente et même éffrontée à partir de cet âge déjà au combien difficile naturellement. Quelle mouche m'a donc piqué le jour de mes 12 ans ? plus de 30 ans après, je ne sais toujours pas.

      Mais si à cet age là, j'avais surement un retard de fessées sur isabelle, je l'ai rattrappé voir dépassé pendant les années qui ont suivi....



      Nous étions donc, maman et moi, sur le chemin qui nous menait du supermarché du coin, où j'avais commis mon "exploit", à la maison. Vu l'ampleur de la faute, je me doutais bien que je pouvais "m'attendre à passer un sale 1/4 d'heure...". je n'avais plus 12 ans....et j'avais donc déjà "l'expérience" de quelques fessées. Mais , je ne soupçonnait pas encore, qu'une fois à la maison, celle-ci, j'allais m'en souvenir pour longtemps... Maman me l'avait promit, elle l'a fait.

      il faut dire que j'avais fait fort. c'était la 3ème fois que je me faisais prendre à voler dans ce magasin de proximité. la 3ème fois en moins d'un an. la 1ère fois j'avais réussit à échapper aux vigiles, qui m'avait laissé repartir, après m'avoir visiblement cru lorsque ma copine et moi leur avions dit que nous étions en foyer, parce que orphelines....je pense plutôt qu'ils avaient eu pitié de nous.

      la 2ème fois, les vigiles n'avaient pas céder.....les parents de ma copine (toujours la même) étant au travail, j'avais dû me résoudre à appeller maman.....c'était donc maman qui était venu nous chercher toutes les 2.

      Ma copine a eu de la chance. ses parents n'ont jamais eu connaissance de son forfait. Moi, par contre j'avais grillé mon joker. j'avais été quitte pour une bonne leçon de morale devant les vigiles, puis une fois à la maison une paire de gifles avec un : "la prochaine fois, c'est ton père qui vient te chercher....!! tu vas voir comment ça va se passer avec lui.....t'as compris ?" "snif, oui maman, snif" "tu vas voir si tu es orpheline ! crois moi, la prochaine fois, tu vas te souvenir que tu as des parents...."

      à suivre

      amicalement, Sandrine

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  20. Chère Christine,

    En effet, Christine, cette absence m'inquiétait et je suis ravi de savoir que celui-ci, reviendra prochainement parmi les commentateurs, même si de nouveaux sont apparus tel que Sandrine ou Martine et sachez Chère narratrice, que je ne vous tiens aucune rigueur, de validé ou pas les commentaires, puisqu'il s'agit de votre blog.

    Par contre, il me semble qu'à l'image de Maman SPAAK vous nous faites mijoter, pour mieux nous faire ressentir les effets de l'attente et l'angoisse qu'elle génère, même si au final, vous seule aurez les fesses rouges et bien tannées, par la dextre maternelle.

    Amicalement, Dominique

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  21. La suite...

    Le message était pourtant clair. Mais , l'age bête, que voulez vous.. enfin pas si bête que cela , puisque à bien y refléchir, je ne craignais pas grand-chose. papa était souvent absent pour déplacements professionnels. il partait le lundi matin pour rentrer le vendredi soir. Et le week-end, il était bien trop fatigué pour "s'occuper" de notre éducation.

    il s'est très rarement "occupé" de nous....je ne m'en suis jamais plainte...c'était sûrement mieux pour nous que ce soit maman qui fût chargée de notre éducation. et ce jour là j'allais encore moins m'en plaindre.

    j'avais commis mon vol, comme systématiquement, un mercredi après-midi. en plein milieu de semaine. Pas folle la guêpe. Maman n'allait pas me laisser moisir au supermarché jusqu'au samedi quand même.

    Maman , le regard pourtant noir, ne m'avait rien dit, rien promit devant les vigiles. ceux-ci en guise de leçon m'avait lançé un : "on ne veut plus vous voir ici !!" maman : "je vous garantis que vous n'êtes pas prêts de la revoir...."

    alors que nous repartions vers la sortie du magasin, le silence se faisait pesant. je me demandais ce qui allait bien pouvoir m'arriver. Maman ne m'avait toujours rien dit de ses intentions. Moi, toujours l'esprit rebelle, j'eus "l'excellente" idée d'aggraver mon cas, en trouvant la bonne idée de faire la gueule et de l'exprimer d'un façon ridicule. Maman étant du côté droit de la route, je décide de traverser pour emprunter le trottoir d'en face. Comme une sorte de protestation. Maman le prit comme une insolence. suffisamment fort pour que j'entende, elle prononça dans la rue "ah , tu fais ta maline...attends que l'on soit à la maison, tu vas voir si tu vas faire la maline longtemps....!!"

    sur l'instant je me dis qu'il vaut mieux que je me calme, et je décide d'obtempérer et de retraverser pour retrouver maman. Trop tard, j'avais amplement dépassé les limites. "attends que l'on soit à la maison..je te garantis que je vais te remettre les idées en place ma fille...!!"

    à suivre, amicalement.

    Sandrine

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  22. Bonjour Christine,

    Suite....

    Lorsque Maman relâcha son étreinte, je tombais de ses genoux épuisée, vidée de mon énergie, mais bien vivante, avec seulement les fesses en feu, pleurant comme une fontaine et tremblante sous l'effet de la douleur qui envahissait mon bas du dos, celui-ci ayant été copieusement soigné.

    Incapable du moindre mouvement, c'est Maman qui m'aida à me relever et m'allonger sur le lit, à plat ventre, toujours à demi nue, en me souhaitant 'bonne nuit' et sortie de ma chambre, passant la main sur mes fesses, celles-ci dégageaient une chaleur intense, m'indiquant qu'elles devaient être écarlates, accentuant mes pleurs que mon oreiller épongeait (honte et douleur, mélangés), que je ne pouvais retenir.

    A bout de force, exténuée par cette monstrueuse volée, je m'endormis, sans penser à ma tenue, ne portant que le haut de mon pyjama, de toute façon mes fesses n'avait nul besoin d'être couvertes, compte tenu de la chaleur qu'elles dégageaient et ce n'est que durant la nuit, réveillée par la fraîcheur et une envie naturelle, que je remis mon bas de pyjama.

    Le lendemain matin, malgré cette dérouillée monumentale, mon amertume envers Maman n'avait pas disparue et lors du petit déjeuner, au lieu d'avoir une attitude repentie, j'affichais une tête grognonne qu'elle remarqua aussitôt et pour me ramener à de meilleurs sentiments me dit « Dis moi, ma petite fille, n'aurais je pas été assez clair hier soir ? » grommelant sans lui répondre, elle reprit « Parce que s'il le faut ! Je peux t'en servir autant ce matin et devant ta sœur, cela ne me dérange pas et t'aideras peut être à changer d'attitude ? Alors Sonia, si c'est ce que tu veux, viens donc ici ! ».

    Maman avait reculé sa chaise et de son index me faisait signe de venir, elle ne plaisantait pas et là, prise de panique, mais sachant qu'il valait mieux obéir, je m'approchais en pleurant et tremblante persuadée que j'allais encore en prendre une bonne et qui plus est sous les yeux d'Anaïs qui ne bronchait pas.

    Une fois à coté d'elle, toujours en pleurs, aider par la trouille d'une nouvelle dérouillée, je la suppliais comme jamais de m'épargner, promettant monts et merveilles au sujet de mon comportement, l'avais je convaincue ou n'avait-elle pas l'intention de mettre sa menace à exécution, du fait de ma rédemption soudaine et sincère.

    Toujours est-il qu'elle se contenta d'un sermon d'anthologie, me ramenant au même rang que ma sœur, sans oublier d'accompagner celui-ci de quelques bonnes claques sur le fond de mon pyjama m'infantilisant et me faisant verser de grosses larmes, envahie par la honte, d'être si vilaine et méchante envers Maman.

    Elle conclut par un « Je pense que cette fois, tu as saisi le message, ma belle ? Mais n'oublie surtout pas que Maman n'hésiteras pas, une seule seconde, à te déculotter, si nécessaire et cela quelque soit l'endroit, tiens toi le pour dit ! Alors réfléchis bien, avant de recommencer, tes idioties ! ».

    Sur l'instant, c'était limpide et la Sonia rebelle, changea d'optique durant un bon moment, mais le naturel revint, avec à la clé de mémorables déculottées aussi honteuse, que douloureuse pour la demoiselle perdant alors sa fierté de jeune fille et fera l'objet, si vous le permettez, de nouveaux récits.

    Cordialement, Sonia

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  23. Bonjour Christine,

    J'espère que ce mercredi à rallonge, ne vous aura pas ennuyé, il se trouve que tout en le rédigeant petit à petit, une foultitude de détails me sont revenus en mémoire (certains insignifiants, mais d'autres plus importants), utiles, à mon sens, pour le contexte particulier de ces quatre jours en définitif, marquants nos esprits (Anaïs et moi) et nos fesses, au passage, qui ne l'ont pas oublié.

    En dehors de cela, je vais vous apporter ma contribution sur l'épisode 46, qui suscite en moi quelques mauvais souvenirs notamment sur l'angoisse d'un rendez-vous promis, certes difficile, mais que l'on mérite pour avoir été trop loin dans la bêtise.

    Le cerveau cogitant alors à 200 à l'heure, on refait le chemin inverse, reprochant aux autres la mésaventure qui vous attend, les accusant de tous les mots, pour s'exonérer et tenter d'échapper à notre destinée, sans grand espoir, sachant que l'on ne trompe pas longtemps une mère aimante, mais attentive à l'éducation de ses enfants.

    A ce moment là, sans le savoir, on participe au 'jeu' d'une Maman qui ayant une leçon à donner, à sa grande fifille, va utiliser tous les moyens en sa possession, menaces précises envers les petites sœurs, attente mesurée, pour faire réfléchir sa grande bécasse de fille non idiote, mais craignant la main maternelle dont elle connaît les ravages qu'elle provoque sur sa lune découverte.

    Et là, bien évidemment, Maman se doit de reprendre le dessus, en montrant qu'elle seule détient les clés de l'autorité vis à vis des demoiselles vivants sous ce toit et malheureusement, cela tombe encore sur Christine, qui n'a pas su se préserver des foudres maternelles, annoncées publiquement, à l'inverse de la petite sœur plus finaude, pourtant à l'origine du premier incident.

    Voilà donc une gamine espiègle, pourtant déjà grande, prise en flagrant délit de sottises et qui sera donc punie comme telle, à la différence qu'avec Christine, Maman ne fait jamais les choses à moitié et la demoiselle angoisse, à l'idée de la fessée promise, sachant que pour elle, c'est un tannée maternelle qui l'attend, longue et très appliquée, cuisant une paires de fesses nues généreusement offertes et lui faisant verser un torrent de larmes.

    Au final, la grande Christine, ne sera qu'une petite fille bien punie pour ses bêtises, par une mère déterminée et n'accomplissant que son devoir maternel, dommage pour la pré-adolescence que celui-ci passe par ses rondeurs dénudées, Maman étant convaincue du bien-fondé de la méthode, d'autant que celle-ci fonctionne.

    Désolé pour vos fesses, Christine, mais Sonia ayant également connue ces tourments fessiers affligeants et difficiles, comprend fort bien votre ressenti de l'époque et le partage.

    Cordialement, Sonia

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  24. LA CONTRIBUTION DE MARDOHL :
    Et là évidemment nous retombons dans l'angoisse de "l'avant-fessée", ce sempiternel "calme avant la tempête", canevas sur lequel vous excellez à nous servir des scènes fortes et détaillées, mais que vous êtes loin d'avoir épuisé. Lors de ce funeste retour (funeste du moins pour vous), c'est non seulement Christine, mais également les trois autres membres de sa famille qui infèrent la suite des évènements. Diane peut jubiler de savoir sa sœur, qui avait veulement essayé de la faire punir à sa place, marcher vers la fessée méritée qu'elle aurait voulu lui faire administrer. Ayant manqué à remplir correctement sa mission de surveillance, ayant infantilement provoqué sa cadette, ayant été prise en flagrant délit de simulation, ayant menti par réflexe en faisant ainsi passer la commerçante pour une mythomane, Christine en effet, indigne de sa prétendue maturité comme de la confiance maternelle qu'elle a tenté d'abuser, dégringole au rang de petite fille menteuse et tricheuse promise à un châtiment de petite fille menteuse et tricheuse. L'attitude guindée de Madame Spaak sur le chemin de la maison laisse augurer le pire pour notre incorrigible et indéfendable pénitente. J'aime bien la comparaison par laquelle vous soulignez l'inéluctabilité de la fessée, qui sera délivrée aussi sûrement qu'un colis recommandé. Comment votre mère ne tiendrait-elle pas parole après une annonce aussi claire devant témoins ? Et... tiens... voilà des phrases qui illustrent exactement ce que je viens d'extrapoler dans ma précédente critique, au sujet de l'inégalité de traitement entre les trois sœurs devant la fessée : "La fessée qui pendait au nez de Christine n'avait pas le même effet, et rarement le même déroulement." ou ""fessée de Christine" n'était pas fessée anodine". Dire que vous m'aviez répondu avant même que je ne vous aie posé la question ! Vous expliquez notamment cette disparité par les attitudes divergentes des protagonistes face à "l'évènement", les petites ayant tendance à piailler en de telles circonstances tandis que vous jouez la carte de l'apaisement, mais aussi par ce que vous appelez "les vertus de l'attente", effectivement fort efficientes envers Christine, ou encore par l'effet lénifiant que suscite sur vos deux cadettes l'annonce d'une fessée qui vous est destinée. Pour cette dernière raison, ce soir, personne ne risque de chahuter à la maison, et Madame Spaak n'éprouvera aucune difficulté à mener son petit monde, qui filera doux dans l'expectative, vécue différemment par chacune, de cette fessée qui vous attend, et dont nous attendons quant à nous le récit détaillé !

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  25. Chère Christine,

    Je suis tout à fait ravi du retour de Mardohl, tout comme vous je suppose, mais je me permets de vous adresser une petite remarque négative à votre égard, à savoir et ne le prenez pas mal, que vous adressez un satisfecit immédiat à l'un de ses commentaires, je l'admets très pointu intellectuellement et agréable à lire, alors que d'autres commentateurs tout aussi agréable, mais moins érudit, non vus qu'une validation de leurs messages.

    Peut-être, attendaient-ils, autre chose de vous ? Je sais ! Christine ! L'ancien Premier Maître, tout comme Maman ne remarque que les petits travers, certes anodins, mais propices à une bonne déculottée.

    Désolé, Chère Christine, mais c'est ma pensée d'un soir !

    Amicalement, tout de même, Dominique

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  26. Suite,

    Tout le long du chemin, j'eus les jambes coupées et flageollantes. puis les 5 étages sans ascenseurs me parurent un calvaire. Et puis, vu l'heure, environ 18h30/19h00, je savais que mes 3 soeurs étaient à la maison.

    je n'étais pas fière, tout à l'heure quand j'ai dû appeller maman pour qu'elle vienne me chercher. Je l'étais encore moins quand maman mit la clef dans la serrure de la porte...l'entrée donnait directement une vue sur le salon où mes soeurs regardaient gentiment et sagement la télé en attendant que maman ramène Sandrine.

    les 3 "soeurettes" me regardèrent silencieusement et visiblement très inquiètes pour mon matricule, d'un air de dire : "toi, ma pauvre petite ou grande soeur, ça va être ta fête, nous n'aimerions pas être à ta place...."

    En effet, maman, après avoir raccroché le téléphone, les avaient informées qu'elle devait : "aller chercher votre soeur, elle vient encore de se faire prendre à voler au supermarché. Cette fois, je vous garantis que ça va mal se passer pour elle....donc ne vous faites pas remarquer non plus. finissez vos devoirs, prenez votre douche, mettez moi la table, et uniquement une fois que tout sera fini, vous pourrez vous délasser tranquillement devant la tv"

    à suivre

    Amicalement

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  27. Dominique, je valide souvent sans commenter pour ne pas faire attendre les contributeurs et faire que le blog vive. Et puis, aussi, parfois, parce que je trouve le message passable, que je ne veux pas décevoir l'auteur qui a pris le temps de l'écrire, mais en ayant quand même quelques doutes sur l'authenticité de ce qui est raconté.
    Je m'appuie pour ma part sur du vécu, et j'avoue que souvent des détails, des exagérations, ou le sentiment que l'on brode sur des canevas faits à partir de mes histoires, font que j'hésite à valider, et que je ne commente pas histoire de ne pas trop critiquer.

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  28. Chère Christine,

    Je comprends votre point de vue et je crois savoir à qui vous faites allusion, vos petites doutes sur l'authenticité sont peut être un peu forts, par contre je partage le fait que vos histoires (fort bien écrites) peuvent inspirer et aider le narrateur ou la narratrice.

    Ceci dit, moi même je vous ai servi quelques souvenirs, dont celui d'Isabelle et sur lequel vous vous étiez interrogée, par rapport à son âge, mettant en doute ma probité sur les faits et pour lequel j'avais reconnu m'être inspiré de vos récits, pour rédiger la mienne.

    Tout comme vous, je m'appuies aussi sur un vécu, moins riche que le vôtre (désolé Christine) et je vous prépare en ce moment, cette journée entre les mains de Tata, que Monique et moi n'avons pas oubliée, alors parfois la critique 'constructive' a du bon et vous l'avez déjà montré, à plusieurs reprises.

    Chère Christine, cela n'est que le commentaire d'un lecteur fidèle qui essaie d'apprécier à sa juste valeur, l'intégralité d'un blog de qualité, sous couvert d'anonymat pour l'ensemble des ses participants et dont il est un membre, peut être un peu rustre et direct, mais honnête et sincère.

    Amicalement, Dominique

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  29. Je comprends Dominique, et espère vous lire bientôt. Excusez ma franchise parfois un peu brutale, mais je suis ainsi... Peut-être est-ce grâce aux fessées maternelles que la petite cachotière est devenue une femme franche ? Qu'en pensez-vous ?
    Cela dit, vous avez un nouvel épisode qui vient de tomber. A bientot.
    Christine

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  30. Chère Christine,

    Je partage votre avis sur le fait que les bonnes fessées maternelles ou paternelles, ainsi que les coups de pied au cul, nous on fait grandir et nous donner une simplicité d'expression, que tout le monde n'accepte pas, c'est la vie que voulez-vous !

    Sinon, j'ai bien vu que l'épisode 47 a été livré par une Christine, bien fainéante ces derniers temps et qui je pense aurait bien besoin, en plus de ses gamineries du jour qui vont lui coûter une bonne danse méritée, d'une mise au point sur sa paresse et de la seule manière qui soit efficace pour la demoiselle, une bonne déculottée, n'est ce pas jeune fille ?

    Allez ! Sur ce, je m'en vais lire l'opus 47 de vos mémoires et voir ce qu'il contient, angoisse, peur de ce qui va suivre, attente prolongée minant la petite fille qu'elle est au fond d'elle même et ne méritant qu'une seule chose, si vous voyez ce que je veux dire, ma Chère Christine !

    Amicalement, Dominique

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