jeudi 17 février 2011

Ces moments où le coeur bat fort : la tuile en maths (SUITE 4) !

 SUITE 4

"C'est quoi ces gestes, Christine ? Si tu n'es pas contente d'aller m'attendre dans ta chambre, eh bien je vais te servir tout de suite...".  La réaction maternelle avait été immédiate. Pas question d'accepter ce qui ressemblait à une attitude de défi de ma part. Qui plus est devant témoin...
Maman s'était mise entre moi et la porte, je ne pouvais plus sortir de la pièce. J'ai reculé vers le coin opposé, en protestant : "Maman, euh, non, pas ici, euh, attends. Je vais dans ma chambre, tout de suite. Promis. Je ne dis plus rien, je t'assure".
Mais, on ne change pas une mère déterminée, et Maman vint vers moi. J'eus un mouvement de recul, cachant mes bras derrière mon dos. Mais, cela ne l'empêcha pas de m'attraper par le poignet et de me tirer jusqu'à une chaise où elle s'assit...

J'eus un mouvement de recul, cachant mes bras derrière mon dos.


J'eus beau essayer de résister, dix secondes après, j'étais allongée sur les genoux maternels, suppliant : "Maman, non, je t'en prie, arrête. Pas ici, non, il y a Tata..."
Sans me rendre compte, ma protestation n'était même plus d'éviter la fessée, mais de demander qu'elle me soit donnée ailleurs...
Maman rétorqua : "Et alors, Tata ou pas, tu auras ce que tu mérites, ma fille. Tu as été insolente devant elle, tu seras punie aussi devant elle. Il est trop tard pour changer quoi que ce soit..."
Je tentai de me dégager de ce mauvais pas, et gigotai pour essayer de me relever. Maman ne me laissa pas faire et déversa quelques claques bien fortes sur le fond de ma robe... 
"Arrête de bouger ainsi, Christine, sinon ce sera pire encore", menaça-t-elle


Je cessai donc de m'agiter et Maman m'en complimenta : "Voilà, c'est bien, Christine. Tu sais, cela ne sert à rien d'essayer d'échapper à ce que tu mérites. Tu ne ferais que rallonger ta punition..."


Ma robe était déjà bien remontée de par mon agitation, et elle ne cachait plus guère ma culotte. Maman entreprit de la dégager complètement en remontant l'étoffe jusque dans mon dos.


Je sentais ma lune exposée, comme une grande cible, qu'heureusement ma culotte de coton blanc recouvrait encore...
Je n'osais pas bouger à nouveau, espérant que devant Tata Maman me laisserait cet ultime rempart à ma pudeur.
Je fermais les yeux et n'osais même plus protester...
Maman avait bien compris mon angoisse. Elle se remit à m'appliquer quelques claques sur le fond de ma culotte en commentant : "Maintenant, on va pouvoir passer aux choses sérieuses, ma chérie. Et tu vas recevoir une fessée dont tu te souviendras, Christine, crois moi..."



Elle avait stoppé cete première petite averse de claques, et je sentis ses mains s'immiscer sous l'élastique de ma culotte. Pour la glisser vers le bas, dévoilant pleinement deux fesses déjà un peu roses, et dégageant ma lune totalement en descendant mon sous-vêtement jusqu'à mi-cuisses...


Je me mis à sangloter : "Oh, Maman, ooooh, nooooon, pas déculottée, noon, pas devant Tata..."
 C'était trop tard bien sûr, et Maman répondit ironique : "Arrête de geindre. Tu n'as rien de secret pour Tata Jacqueline qui te langeait même quand tu étais bébé. Et si tu as honte de lui montrer tes fesses, tu n'as qu'à plus faire de bêtises, ni jouer les insolentes... Tu sais bien, ma fille, ce que je t'ai promis, ce que tu as bien mérité... Une bonne fessée, comme Maman les donne, bien déculottée pour mieux rougir tes fesses et que tu t'en souviennes quand tu auras la tentation de refaire des bêtises..."


Et la tannée tomba, avec des claques de métronome, bien sonores, qui m'arrachèrent de petits cris que je tentais de museler au mieux. Je ne voulais pas me donner en spectacle et je serrais les dents, bouleversée par le fait de la recevoir ainsi presque en public. La présence parfois de mes soeurs me ramenait à ma condition de gamine, mais c'était en quelque sorte quasi naturel, puisqu'elles aussi de temps à autre se faisaient rougir le popotin devant mes yeux amusés et curieux.
Devant Tata, c'était davantage mortifiant. C'était pour moi, à la fois la soeur de Maman, et la grande soeur que je n'avais pas. Je la ressentais comme une confidente, et j'avais une vraie gêne à me retrouver ainsi punie devant ses yeux...
Maman poursuivait son oeuvre correctrice. Et je sentais bien qu'elle s'appliquait, qu'elle tenait à donner une sorte de "fessée modèle". Il n'y avait peut-être pas le côté rapide, vif, orageux de certaines volées où la colère de Maman était palpable. Mais, là, nous étions dans un registre plus posé, peut-être moins piquant, mais très démonstratif.
Elle psalmodiait des petites phrases du genre : "Ah, je vais t'apprendre à défier ta mère du regard", ou revenant sur mes exploits scolaires : "Un zéro en maths, mais tu m'épargneras rien, Christine. Voilà tout ce que cela mérite, et tu as intérêt à ne pas recommencer, parce que tu sais ce qui t'attendras encore. Non, mais des fois, ce n'est pas une fainéante de ton espèce qui aura le dernier mot".
Le fait que je modère tant que je pouvais mes réactions, n'allais guère en ma faveur, offrant à Maman une cible qui gigotait moins que d'habitude et donnant l'impression de pouvoir en prendre et en prendre encore et encore.


Maman n'était toutefois pas un bourreau, elle fessait "pour mon bien" comme elle le répétait souvent, et son bras qui commençait à fatiguer s'arrêta. J'imaginais que c'était fini, et j'osai retourner la tête pour regarder Tata dont j'avais réussi à ne pas croiser le regard depuis le début de la scène.
Elle avait les yeux comme écarquillés, visiblement impressionnés, et je la sentais qui compatissait, là où j'aurais deviné des regards moqueurs de mes soeurs. Cela me fit chaud au coeur...
Maman regardait le résultat de cette claquée magistrale, commentant : "Ah, Christine, Christine, tu l'auras bien cherchée celle-là".
Tata sortit de son silence pour glisser avec une toute petite voix, presque timide, comme quelqu'un qui s'excusait d'intervenir : "C'est sûr qu'elle l'avait cherchée, mais elle a bien été servie, je crois..."
Maman qui avait presque desserré son étreinte, me re-bloqua bien le bas du dos de son bras gauche, semblant réfléchir à la phrase de Tata qui avait l'allure d'un jugement. Comme si Maman se demandait si j'avais en effet été "bien servie" ou pas assez...
Et elle trancha : "Bien servie, bien servie ? Mais, avec Christine, il faut ce qu'il faut. Mademoiselle a la peau coriace, tu sais..."
Et sa paume retomba à nouveau sur ma mappemonde écarlate. La claquée reprit, difficilement supportable sur un fessier déjà bien rouge.
"Maman, non, non, ça suffit, aïe, ouille, ouille !", suppliai-je, provoquant le contraire de ce que je souhaitais. "C'est moi qui décide si ça suffit, Christine. Tiens, tiens, tiens, ça t'apprendra à jouer les insolentes. Ah tu "t'en fiches" moins maintenant".
Les claques me faisaient trop mal désormais et je ne retenais plus rien. Je pleurais à grosses larmes, poussais des petits cris à chaque nouvel impact sur ma lune endolorie.
"Pardon, Maman, pardon, je serai sage, aïe, aïe, ouille. Tata, dis lui d'arrêter", continuai-je à supplier.
 "Laisse Tata en dehors de cela, Christine", rétorqua Maman. "Ah tu lui donnes un beau spectacle avec tes fesses toutes rouges... Voilà, elle sait maintenant comment est punie sa nièce quand elle défie sa Maman et ramène des mauvaises notes. Ah, j'espère que tu as honte, Christine, de recevoir cette bonne fessée devant ta Tata chérie... Allez, tiens, tiens, tiens et tiens..."
Après avoir gigoté, crié, supplié sans retenue, sans plus aucune pudeur, j'étais épuisée et je me relâchai totalement, laissant Maman fignoler son oeuvre en achevant cette tannée par une ultime série de claques bien appliquées, sorte de signature finale de sa paume sur ma lune cramoisie.
Son bras gauche relâcha sa pression et je tombai de ses genoux, restant un instant allongée sur le côté à reprendre mon souffle, la culotte encore baissée.
"Allez, relève toi et file dans ta chambre", ordonna Maman. Tata qui s'était levée du canapé, vint m'aider à me relever et je tombai dans ses bras en sanglotant bruyamment.
"Tata, Tata, oh, snif, snif", je n'arrivais pas à dire quoi que ce soit. Ma tante me serra tendrement, apaisant mes sanglots : "Ne pleure plus, ma chérie. C'est fini. Maintenant il faut aller te coucher. Allez, sèche tes larmes. C'est la vie, tu sais. Tu n'as pas été sage et tu as été punie, c'est tout... Ma pauvre chérie, je comprends, c'est pas drôle, ah, pour une bonne fessée, çà c'était une bonne fessée... Mais ta Maman t'avait prévenue... A toi d'être sage maintenant, si tu ne veux plus que Maman te donne la fessée..."  Je calmai mes sanglots et quittai les bras de Tata pour monter dans ma chambre.



En arrivant en bas de l'escalier, j'entendis des pas qui galopaient vers le haut. Mes chères soeurs, attirées par les bruits de la scène du salon avaient dû descendre quelques marches pour mieux tout entendre, voire oser chercher à voir quelque chose par la porte entrouverte.
Alors que je passais devant leur chambre, j'eus droit aux ricanements et moqueries à peine voilées du fait que Maman était restée en bas.


Me mouvant comme une automate, avec des gestes du quotidien, pour ne pas me faire submerger par mes pensées, je me mis en pyjama, remontant vite le pantalon, pour ne plus voir le reflet de ma lune rougie dans la glace de mon armoire.
Mes fesses étaient encore écarlates, d'une couleur intense de la naissance des cuisses au bas du dos. Oeuvrant sous l'oeil de sa soeur, et avec une punie qui tentait de se retenir d ecrier et de gigoter, Maman avait pu m'appliquer une correction exemplaire, une véritable "tannée" sur mon cuir qui en avait vu bien d'autres certes, mais qui s'était ainsi offert à une volée magistrale.
Je me mis au lit, sans attendre que Maman ne vienne éteindre. Je dormais à moitié lorsqu'elle monta. Je devais sembler calmée et redevenue toute douce. La râleuse qui l'avait défiée du regard avait eu son dû... L'ordre maternel était rétabli. Au détriment de ma lune, mais telle était la règle et, du fond de moi, je le comprenais quand même.
Plus gênant que cette fessée finalement méritée, me restait l'image de ma tante y assistant. Là, sous ses yeux, presque à portée de main, sa nièce chérie avait eu sa culotte baissée, ses fesses blanches claquées et claquées encore... Je me demandais si je pourrais revoir Tata sans y repenser...
FIN

7 commentaires:

  1. Christine ne pouvait ignorer ce qui allait arriver ! Pour une bonne fessée, c'est une bonne fessée. Bien sur Tata compatis ... mais que pense-t-elle vraiment de ce spectacle ? Lui rappelle-t-il des souvenirs ...personnels ?
    EN tout cas le texte est superbe, comme d'habitude, et les photos magnifiquement choisies. La petite culotte blanche toute sage est parfaite ... pour être baissée ! Et on se prend à penser que les fesses de Christine étaient vraiment aussi pleines et rebondies que celles des photos.....

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  2. Bjr Christine.

    Je crois que les tatas sont toutes pareilles : elles compatissent quand elles voient leurs chers neveux et nièces se prendre une bonne fessée par leur maman. Tata Marie-Jeanne, belle-soeur de maman, avait d'ailleurs été convaincante à deux ou trois reprises auprès de maman, et j'avais échappé à de bonnes dérouillées. Inversement, maman faisait de même avec sa nièce et ses deux neveux.

    Mais la différence par rapport à votre tata Jacqueline, c'est que tata avait à peu près le même âge que maman, et qu'elle était elle aussi mère de famille. Et pour elle comme pour maman, leur comportement était diamétralement opposé selon qu'elles étaient dans le rôle de la maman ou dans celui de la tata.

    Moi aussi, la première fois où maman m'a infligé une fessée déculottée devant tata et mes cousins cousine, j'étais honteux. J'avais 7 ans, ma mère 29 ans. Fort heureusement, ni mon frère ni mes cousins cousine ne s'étaient moqués de moi. Au contraire, ma cousine Annie (un an de plus que moi), avec qui je m'entendais très bien, m'avait consolée, en me disant que chez elle, les châtiments corporels étaient aussi parfois de rigueur. C'est ainsi que, moi aussi par la suite, je n'osais plus croiser le regard de tata, même si sur le moment je la voyais désolée de ce qui m'arrivait. Mais quand je vis, quelques semaines plus tard, ma cousine, pour une insolence, se retrouver sur les genoux maternels (tata adoptait la même position que votre maman, chère Christine, alors que la mienne restait généralement debout et me soulevait sous son bras gauche), avec la jupe soulevée et la culotte baissée, j'ai effectivement constatée que ma cousine racontait la vérité quant à son éducation. Depuis ce jour, j'étais beaucoup moins gêné vis-à-vis de tata, de ma cousine et de mes cousins, car j'avais constaté que finalement, je n'étais pas le seul puni de cette façon.

    C'était la première fois que je voyais une fille recevoir une fessée : chez nous, nous n'étions que des garçons, et notre école n'était pas encore mixte.

    En revanche, les tatas (Marie-Jeanne et maman) devenaient sévères avec leurs neveux et nièces dès lors qu'elles en avaient occasionnellement la garde. Tata m'avait un jour menacé d'une fessée pour désobéissance, c'était son "dernier avertissement" ; quant à mon frère, il s'en était pris une bonne un jour par tata (pantalon et slip blanc baissés), il l'a sentie passer. Maman a été aussi parfois une tata fesseuse.

    Et vous, chère Christine, tata Jacqueline a-t-elle sévi parfois, sur vous ou sur vos soeurs ?

    A bientôt. Amicalement.
    Fesseusement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  3. Excellent récit, qui confine au classicisme. Tout y est : les protestations vaines de Christine, la décomposition méthodique du déculottage (Christine porte toujours des culottes en coton blanc, je suppose que c’est l’expression de la volonté maternelle, qui tient à ce que ses filles se vêtent décemment), le crescendo de la fessée, les commentaires fermes et circonstanciés de maman Spaak, les cris, les larmes, l’espionnage des petites sœurs, la mise en pyjama avec le sentiment d’un ordre rétabli… Et le piment particulier à cet épisode consiste en la présence de la tante, ce qui renforce la honte de la punie, et la gratifie même d’un complément (Jacqueline aurait dû se taire plutôt que de juger sa nièce, « bien servie », contre l’avis de sa sœur) mais lui amène aussi une consolation à l’issue du châtiment. (Christine s’est-elle reculottée quand Jacqueline la prend dans ses bras ?)
    Je ne sais pas si vous avez intégré mes humbles suggestions ou si j’ai commis un plagiat par anticipation, mais j’ai constaté avec plaisir que ce chapitre comporte quelques aspects que j’avais mentionnés dans un précédent post, notamment le stoïcisme de Christine, qui tente, bien en vain, de retenir ses larmes et ses cris afin de conserver un semblant de dignité.
    Je note aussi l’experte évaluation de Madame Spaak : « Mademoiselle a la peau coriace, tu sais... » Elle connaît bien le fessier et la résistance dont est susceptible sa fille. Peut-être que cette remarque est empreinte de fierté : « Ma fille encaisse très bien les coups, c’est une digne représentante de la famille. Chez les Spaak, on a les fesses solides. » Pertinente également, la reprise ironique des propos insolents de Christine : « Ah tu « t'en fiches » moins maintenant », rappel mortifiant de la propre responsabilité de la punie dans cette affaire, qui, c’est le cas de le dire, a coupé elle-même les verges pour se faire fouetter.
    Bravo et merci, chère conteuse, pour ce moment fort sur lequel vous avez brodé afin d’aboutir à une histoire de quatre épisodes. Je me demande de quel cru seront vos prochaines créations et comme de coutume je me réjouis de les découvrir.

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  4. Vous aviez bien anticipé, mais ce que vous appelez mon stoïcisme est compréhensible. Je ne veux pas me montrer en spectacle, je préfère faire croire que je n'ai pas mal, surjouer ma condition de grande, tenter de rester digne. Tout comme, de son côté, Maman devant ce témoin qu'est Tata se doit de délivrer une fessée exemplaire.

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  5. Bravo pour cette serie illustree de facon tres complete,le deculottage de Christine seconde par seconde et ceci devant Tata ce qui etait prévisible!
    Par contre votre mère etait une fesseuse plus redoutable et "acharnee"que la mienne:lors d'une fessee je ne recevais que maximum dix claques par fesse,tres appuyees certes et donc cuisantes!Ma mère jouait sur le coté humiliant plus que douloureux.Je me souviens encore de ces mots"Martine viens ici,tournes toi,et deculottes toi pour prendre ta fessee!"et ceci qu'il y ait du monde ou pas,et le pire,j'obeissais sans histoire ni recul!
    Moi aussi,comme Louis je fus fessee et souvent par ma tante,et vous cela est il arrive?Et votre tata,fut elle aussi fessee etant jeune,elle^pourrait mieux comprendre votre desarroi.
    Merci pour vos recits et vos illustrations remarquablement bien choisies.

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  6. Bonjour Christine.

    A la lecture de tous vos passionnants et palpitants récits, appuyés par des illustrations toujours minutieusement choisies, on peut penser que vous étiez (presque ?) toujours en jupe ou en robe, ce qui facilitait la tâche de votre maman.

    Vous arrivait-il parfois de porter un short ou un pantalon ? Je ne parle pas de ce vêtement, type pantalon de survêtement ou de pyjama, qu'une maman sévère peut baisser aussi facilement qu'elle soulève une jupe. Je veux parler du short ou pantalon plus habillé, qui présente des obstacles au déculottage : ceinture, boutons, fermeture-éclair... Et, puisqu'elle se dégraffe et se baisse comme un short ou un pantalon, portiez-vous parfois une jupe-culotte ?

    Si oui, dans un de ces cas de figures, que faisait votre maman lorsqu'elle sévissait, pour vous ou pour vos soeurs :

    - Elle se "contentait" d'une fessée au-travers du short ou du pantalon, par flemme d'un déculottage trop long, quitte à allonger la fessée ou à donner des claques plus fortes ?

    - Ou bien elle était tout aussi déterminée et prenait tout le temps nécessaire au déculottage, ce qui, dans ce cas, la mettait sur un pied d'égalité avec les mamans sévères (dont la mienne) qui punissaient leurs vilains garçons ?

    A bientôt. Amicalement.
    Fesseusement vôtre.

    Louis3901
    gallie050753@yahoo.fr

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  7. A vrai dire je m'étais également posé la question.^^ Voilà qui pourrait d'ailleurs vous aiguiller sur un autre récit dans la catégorie "Mes ruses de Sioux". Christine y porte un pantalon en espérant échapper au déculottage.

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