tag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post7451641007536636042..comments2024-01-01T11:16:06.584+01:00Comments on Souvenirs cuisants d'une jeune fille punie: Chronique d'un redoublement : 59. Un long répit et une mauvaise surpriseChristine Spaakhttp://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comBlogger60125tag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-41955801477350628242013-09-30T17:24:29.620+02:002013-09-30T17:24:29.620+02:00Mardohl m'a envoyé ce commentaire de commentai...Mardohl m'a envoyé ce commentaire de commentaire :<br />"L'analyse est remarquable, je dois le reconnaître. Merci !" Vous m'en voyez ravi, Christine, même si vous signalez une dimension essentielle de ce dialogue entre consœurs de fessée, dont j'ai été conscient mais que j'ai omis de mentionner : le secret absolu qui le conditionne, en ce qu'il aborde une perspective - la fessée magistrale sous l'angle réceptif - que l'une comme l'autre, en véritables initiées, compagnes de loges pourrait-on dire, connaissent intimement et comme un secret maçonnique ne peuvent (ni ne veulent) partager ni divulguer à d'autres : ni Diane (qui n'en encaisse pas de magistrales), ni Maman (qui les distribue mais n'en reçoit plus depuis longtemps) et encore moins les copines. [Je m'attelle à l'occasion aux quatre récits restants, mais je ne vous promets rien, je risque de me retrouver passablement occupe dans les semaines a venir. Amitiés.] Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-70693325016835214042013-09-30T16:16:42.516+02:002013-09-30T16:16:42.516+02:00Chère Christine,
Je confirme que pour Christinett...Chère Christine,<br /><br />Je confirme que pour Christinette, le rapportage d'Aline à Maman sur le j'menfoutisme de la grande sœur, vis à vis de la fessée, n'aurait pas été de bon augure pour les fesses de la demoiselle, Maman lui démontra/nt ce en quoi « le mot : Fessée » peut être tangible sur lune dévoilée et immaculée.<br /><br />Christine « forte de son expérience, si j'ose dire », ne peut prendre ce risque, bien trop consciente que le motif principal (mauvais carnet) va déjà lui valoir, un développement maternel consistant et riche en rebondissements sur la gémellité qu'elle va devoir présenter à cette dextre, dont-elle connaît les effets par cœur (à l'inverse de certaines leçons !) et ne peux donc, en toute intelligence, que rendre les armes face à la menace Alinienne, qui ne ferait qu'accroître la sentence maternelle.<br /><br />Comme vous pouvez le constater, Chère Conteuse, Dominique se plaît à rebondir et en apprécie, d'au en plus, le retour d'un pair qui nous manquait à tous et je suis certain que vous me comprendrez !<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-45345140712044999632013-09-30T11:59:53.949+02:002013-09-30T11:59:53.949+02:00Stratégique, oui, le revirement de Christinette l&...Stratégique, oui, le revirement de Christinette l'est forcément. Il est évident que si Aline venait à répéter à Maman que son ainée a dit qu'elle s'en "fichait" de la fessée, Maman la croirait et que cela n'arrangerait pas les affaires de Christinette... Surtout à un moment où elle s'attend à devoir exposer sa lune encore blanche sur les genoux maternels...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-2742054737114117582013-09-30T10:29:32.794+02:002013-09-30T10:29:32.794+02:00Chère Christine,
Très heureux de redonner du tonu...Chère Christine,<br /><br />Très heureux de redonner du tonus, à la rédactrice et comme vous le savez, Dominique est encore plus réactif, en lisant des écrits de qualité qui se présente et invite à rebondir, générant au final une saine émulation, pour le plaisir de tous et en particulier la conteuse.<br /><br />Tant qu'aux paroles de trop, que pouvait lâcher par bravade une Christinette, dans le seul but de se rassurer elle-même, alors qu'au fond une trouille bleue l'envahissait et qu'elle n'avait, dans ces moments là, aucune illusion, ressentant à chaque fois la même crainte de fillette, face à la déculottée promise.<br /><br />Ces mots ou ces attitudes de défi, face à Maman, Christinette, en a déjà fait l'expérience par le passé, avec pour conséquence, des envolées fessières maternelles plus intenses (voir exemplaires, en présence de témoins), dés lors en demoiselle intelligente, Christine, comprend que si Aline divulgue la confidence à Maman, cela ne fera que l'enfoncer davantage, celle-ci considérant le fait rapporté comme un manque de franchise et de courage, pour une soi-disant grande fille, celle-ci ne méritant aucune clémence.<br /><br />D'où ce revirement Christinien, vis à vis d'Aline, d'autant plus remarquable qu'il est emprunt de sincérité envers soeurette, même s'il est fondamentalement stratégique pour Christine, qui a conscience que ce carnet (pas terrible) va la conduire sur les genoux de Maman, pour en prendre une bonne et qu'il est donc préférable, de ne pas en rajouter, Maman étant déjà très généreuse avec son fessier, lorsqu'elle l'a sous la main.<br /><br />Et de fait, la suite, fera ressentir à Christine, le coté tangible que cette dextre maternelle peut exprimer sur une gémellité, parfaite, pour une expertise complète et approfondie, de la part de Maman.<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-81444368915641986092013-09-29T15:44:51.457+02:002013-09-29T15:44:51.457+02:00Ravie de voir les commentateurs se commenter entre...Ravie de voir les commentateurs se commenter entre eux. Cela redonne du tonus à la rédactrice de ce blog, croyez-le bien.<br />L'un comme l'autre, vous avez bien ressenti combien une parole de trop, une formule en fore de défi de la part de Christinette, lui fait craindre que soeurette Aline ne la répercute auprès de Maman, ce qui n'est, en cet instant précis du récit, vraiment pas le jour, et risquerait d'aggraver le cas de l'ainée des filles Spaak qui, même si elle crâne et joue les sûres d'elle-même, est au fond très inquiète, pressentant, pour ne pas dire sachant déjà qu'à coup sûr, elle prendra le même chemin que sa soeurette la veille, et pour une fessée forcément plus magistrale encore...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-74342234248133488062013-09-29T14:39:54.856+02:002013-09-29T14:39:54.856+02:00Chère Christine et Mardhol,
L'analyse sur le ...Chère Christine et Mardhol,<br /><br />L'analyse sur le dialogue privé entre les deux sœurs est, en effet, remarquable et la référence au film « La Boum » est tout à fait judicieuse, rappelant la transaction entre Pénélope et Samantha pour garder secrète l'escapade de la plus grande.<br /><br />La comparaison est très juste, concernant les paroles de défi d'une Christine prise d'angoisse, à ce moment là, mais qui se rend compte que si soeurette ne tiens pas sa langue, cela ne fera qu'aggraver son cas et donnera à Maman, un motif supplémentaire, alors que son dossier déjà bien lourd et le contexte familial depuis la veille (déculottée maison pour Aline) lui laisse entrevoir une issue similaire pour son bas du dos, dont l'application et l'intensité seront sans commune mesure, avec celles d'Aline, pourtant bien soignée, par la dextre maternelle.<br /><br />Ceci entraînant un changement d'attitude de Christine, envers la frangine, lui exprimant toute la compassion qu'elle a ressenti, lorsque Maman claquant ses fesses, la faisait crier et pleurer très fort, cette sincérité réelle, n'ayant pour seul but que d'amadouer Aline et l'amener vers un échange commun sur leurs déboires fessiers, quasiment similaires, à l'inverse de la petite Diane qui ne connaît que les claquées vives et rapides, certes cinglantes, mais proportionnées à son physique.<br /><br />Ce qui n'est pas forcément le cas pour Aline et encore moins pour Christinette, qui disposant d'un fessier plus accueillant, ne peut attendre autre chose qu'une bonne fessée, longue et appliquée de Maman, pour que le message ne passant pas par la tête, passe par ses fesses, CQFD !<br /><br />Et tout cela, Christine, en a parfaitement conscience, sachant malgré sa bravade, que sa destinée est toute tracée et que celle-ci finira dans les larmes et la douleur, sous la férule maternelle, pour lui faire regretter ce pitoyable carnet, indigne d'une adolescente pouvant faire mieux et qui plus est, lors d'une année de redoublement. Désolé d'enfoncer le clou.<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-41299596167611308382013-09-28T11:02:55.276+02:002013-09-28T11:02:55.276+02:00Excellent retour de Mardohl dont je viens de copie...Excellent retour de Mardohl dont je viens de copier ci-dessus (en deux fois, pour une question de longueur) le commentaire. Il souligne bien ce qui me paraissait important dans cet épisode, c'est à dire ce dialogue entre soeurs, entre celle qui a été punie la veille, et celle qui sait qu'elle va l'être le soir même. Un moment fort car fondé sur des ressentis, des angoisses et du vécu à la fois, et qui ne peut être qu'un dialogue secret entre elles, car ce serait impossible de le tenir ainsi devant Maman ou même devant Diane. L'analyse est remarquable, je dois le reconnaître. Merci !Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-80949567671045112472013-09-28T10:55:24.470+02:002013-09-28T10:55:24.470+02:00SUITE DU COMMENTAIRE DE MARDOHL
D’ailleurs, ni l’...SUITE DU COMMENTAIRE DE MARDOHL<br /><br />D’ailleurs, ni l’une ni l’autre des protagonistes ne paraissent nanties d’un mauvais fond : Christine avoue sincèrement à sa cadette la compassion qui l’a gagnée la veille en l’entendant crier sous les claques. (Même si, on s’en doute, cette commisération demeure consubstantielle à l’angoisse de prendre à son tour la place de la punie, ce qui dans quelques heures adviendra sans faute.) Aline aussi, complice dans l’infortune (contrairement à Diane qui peut se montrer<br /><br />plus moqueuse) plaint son aînée, mais sans se départir d’une indiscrétion déplacée, amadouant sa sœur pour en tirer des confidences, prodiguant des consolations douces-amères qui n’en sont pas vraiment, amalgamant attendrissement et voyeurisme, harcelant Christine d’allusions importunes, de questions indiscrètes portant sur le détail de l’exécution, presque fascinée par ce désagrément extrême, dont elle connaît les aléas, qui tout bientôt va s’imprimer sur d’autres fesses, et dont elle se demande à quelle portion du spectacle (visuelle ou auditive) elle aura droit. Bref, exprimant l’ambivalence de sentiments caractérisant souvent les relations au sein d’une même fratrie, elle console et nargue sa sœur tout à la fois.<br /><br />C’est avec une perspective divergente du temps qui s’écoule (trop rapidement pour l’une, trop lentement pour l’autre) que les deux sœurs voient arriver 19h00. Ce dialogue, digne d’une comédie familiale, et dont Christine se serait bien passée, se clôt sur la mise en pyjama de notre héroïne, qui est une fois encore consciente de revêtir sa tenue de fessée, fessée qui sera abondamment décrite aux prochains épisodes. Une lueur d’espoir point cependant à l’horizon : Diane étant miraculeusement au cinéma, elle échappera peut-être à son regard (sans compter, et ça n’a aucun prix, qu’elle n’aura pas à craindre que Charlotte et sa maman ne soient mises au parfum de ce qui l’attend). Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-58544635994900759382013-09-28T10:54:40.071+02:002013-09-28T10:54:40.071+02:00Critique épisode 59
Ce que je retiens de cet épis...Critique épisode 59<br /><br />Ce que je retiens de cet épisode, c’est cet insolite, interlope et pénétrant dialogue entre Aline et Christine, qui, avant même que votre mère ne soit mise au courant du bulletin, marque le passage de témoin entre la punie de hier et celle d’aujourd’hui, un dialogue où votre sœur, à la fois rivale et complice, mêle tout ensemble compassion, raillerie, jubilation et curiosité morbide.<br /><br />En effet, le postérieur de votre cadette ayant été la cible des foudres maternelles pendant la seconde partie du semestre, on peut comprendre avec quelle délectation (qui n’exclut pas l’émulation) elle perçoit un tel orage prêt à s’abattre sur celui de son aînée. L’esprit aiguisé, l’œil averti par l’observation méthodique, presque anthropologique, des tics et travers comportementaux de sa grande sœur, cette petite futée, en remarquant d’emblée que Christine n’a pas ouvertement évoqué la réception du bulletin à sa mère (qui de plus se trouvait en présence d’un témoin potentiel), devine spontanément que son évaluation semestrielle ne répond pas aux attentes maternelles, et constitue donc un motif de fessée, une fessée à la mesure de celle qu’elle-même a reçue la veille.<br /><br />Voilà donc les deux sœurs condisciples dans l’infortune, à ceci près que pour Aline, sa cuisante remise à jour postérieure se conjugue au passé, tandis qu’elle s’annonce au futur proche, très proche même, pour notre narratrice, statut bien moins enviable et que chacune de son côté réalise pleinement.<br /><br />Christine tente bien en vain de préserver son immunité désormais en sursis, de sauver la face en niant l’évidence, en bricolant des espérances bien invraisemblables, desquelles l’espiègle Aline n’est pas dupe. Prenant du poil de la bête, la voilà en mesure, et non sans une profonde satisfaction, de verbaliser sans ambages à sa grande sœur, que tout comme elle, elle aura droit ce soir à la fessée. Aline qui en cette période a systématiquement subi la méthode maternelle, ne voit pas sans soulagement poindre le terme de sa propre série noire. Oui, elle y a passé comme il faut sur les genoux expiateurs, elle a eu « très mal » selon ses propres termes, elle a bien pleuré, et ce soir, au nom de la législation en cours dans la maison Spaak (même motif impliquant même sanction), ce sera immanquablement au tour de Christine de se tortiller en piaillant, déculottée, sous la paume rigoureuse de leur maman.<br /><br />Christine, vexée sans doute de se voir confirmer son châtiment par plus jeune qu’elle, se rebiffe en prétendant effrontément « s’en ficher ». Stratège, Diane enregistre l’appréciation et en tire l’argument d’un chantage, qui contraint Christine à acheter son silence en lui promettant une douceur. (Quelle scène savoureusement réaliste, si typique des sempiternels crêpages de chignon entre sœurs ! Elle m’évoque le film « La Boum », et le personnage de Pénélope qui soudoie sa benjamine Samantha pour qu’elle ne la dénonce pas.)<br /><br />SUITE CI DESSOUSChristine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-67435067557111830062013-06-18T17:07:05.452+02:002013-06-18T17:07:05.452+02:00Oui, Dominique, j'avoue... La grande Christine...Oui, Dominique, j'avoue... La grande Christine mériterait le sort de Christinette... Ah, si sa Maman savait ça, elle aurait eu depuis belle lurette la lune écarlate... Dès les premières promesses non tenues... Et à nouveau quelque temps après...<br />Mais, peut-être est-ce cette perspective imaginaire qui me fait publier ce jour un épisode, dont la fin appelle une suite... Mais, promis, je tâcherai (au vu de la position où le récit me laisse) de moins tarder pour en écrire l'épilogue...<br />Bonne lecture, et merci de votre soutien, parfois taquin, mais toujours fidèle... Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-77044251373642918982013-06-17T20:33:09.443+02:002013-06-17T20:33:09.443+02:00Chère Christine,
Je constate, avec désolation, qu...Chère Christine,<br /><br />Je constate, avec désolation, que la grande Christine persiste à ne pas comprendre le mode préventif (assorti de menaces pourtant claires) et qu'il est donc temps de passer au mode répressif, en transmettant le message, par l'intermédiaire d'une lune amplement découverte et bien positionnée, pour l'application d'une chaude séance qui remotive parfaitement les petites fainéantes.<br /><br />Alors Christine peut angoisser sur ce qui l'attend, comme Christinette, non avec Maman, mais avec l'un de ses plus fidèles lecteur, fort capable de lui concocter le même écueil (virtuel) que son clone en prenant la place de Maman, si elle ne se ressaisit pas<br /><br />J'imagine que vous voyez ce que je veux dire, chère conteuse !<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-64292847417852123772013-06-14T12:23:27.387+02:002013-06-14T12:23:27.387+02:00Chère Christine,
Si Christinette prépare ses fess...Chère Christine,<br /><br />Si Christinette prépare ses fesses dans l'angoisse, pour que Maman lui exprime son sentiment sur ce médiocre carnet, je crois qu'il serait judicieux pour la grande Christine de préparer également les siennes pour ses lecteurs, qu'elle fait mijoter plus que de raison et mériterait comme son avatar, une mise au point sur la notion de travail, n'est ce pas chère conteuse ? (humour , bien entendu)<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-87147461117708678772013-06-07T20:15:28.858+02:002013-06-07T20:15:28.858+02:00Chère Christine,
Je comprends parfaitement que le...Chère Christine,<br /><br />Je comprends parfaitement que le régime maternel ne soit pas facile à vivre pour la 'grande' Christinette que ne veux plus la fessée comme les soeurettes, sauf que c'est Maman qui décide et malheureusement pour la fifille, celle-ci n'a pas pour l'instant l'intention de changer de méthode à son égard, tant que le comportement de Christine ne changera pas en profondeur et plus durablement, que les périodes d'accalmies constatées.<br /><br />Je compatis donc sincèrement à votre futur sort et partage le frisson que vous ressentez, au bas du dos, sachant ce qui l'attend, alors soyez courageuse Chère Christine, ce n'est ni la première fois, ni la dernière (je le crains) que vous devrez endurer cette épreuve, ô combien affligeante, pour une jeune fille en herbe, je le sais.<br /><br />Amicalement et à demain, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-6646204535076004492013-06-07T18:28:19.504+02:002013-06-07T18:28:19.504+02:00Bien sûr que vous êtes dans le vrai. Je ne rougira...Bien sûr que vous êtes dans le vrai. Je ne rougirais pas si ce n'était que balivernes... Ce n'est pas facile, vous le comprendrez, de voir écrit noir sur blanc que la grande fille que je suis (à ce moment du récit) reçoit encore quelques fessées, pour ne pas dire fréquemment... Et de savoir que Maman a bien l'intention de poursuivre son oeuvre, et à commencer par reprendre sérieusement son ainée en main, à la suite de ce bulletin, pour lequel une bonne fessée s'impose, selon son raisonnement, et qu'elle ne pourra être donnée que sur une lune bien déculottée, qui n'a pas rougi depuis plus d'un mois...<br />Comprenez que, rien qu'en y pensant, j'en frissonne du bas du dos...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-30968843105563503462013-06-07T15:15:55.098+02:002013-06-07T15:15:55.098+02:00Chère Christine,
Oh ! Je suis sincèrement confus ...Chère Christine,<br /><br />Oh ! Je suis sincèrement confus que mes paroles ait froissé, ma chère conteuse, qui est déjà flageolante d'angoisse et de trouille à l'idée que Maman va transformer ses petites fesses, en véritable bouillotte, après (désolé) les avoir bien dégagées de toute protection, pour plus d'efficacité.<br /><br />Mais franchement, même si dans le cas présent, vous êtes passée au travers des mailles du filet depuis plus d'un mois, il faut bien reconnaître que Christinette avait tendance à présenter sa lune découverte à Maman, plus souvent, que Christine ne veux bien l'admettre.<br /><br />Alors même si j'enfonce le clou là ou ça fait mal, je constate que Christine avoue timidement en rougissant des joues du haut, que je suis dans le vrai, pour ne pas dire le palpable et en a bien conscience, au fond d'elle-même, malgré sa propension à minimiser la réalité des choses, par pudeur et par honte, d'être soumise à un régime de fillette qu'elle n'est plus, du moins physiquement.<br /><br />Mais voilà, telle n'est pas la volonté d'une mère aimante, mais ferme sur son devoir d'éducation envers ses filles et qui fidèle à ses principes, fait alors usage (qu'en c'est nécessaire) d'une méthode unique pour les trois, à savoir l'application d'une bonne déculottée à celle qui le mérite, même si cela demande plus d'abnégation avec son aînée, qui tarde à grandir et la chagrine, assurément.<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-57559737292312103522013-06-07T10:22:43.007+02:002013-06-07T10:22:43.007+02:00Oui, c'est sûr, Dominique, au point où en est ...Oui, c'est sûr, Dominique, au point où en est mon récit, je sens monter en moi "une inquiétude grandissante", et suis "envahie par la trouille", en attendant que Maman ne vienne me "remettre les pieds sur terre", comme vous dites, en m'étalant sur ses genoux pour "une énième tannée méritée de grande sœur".<br />Oui, c'est ce que je ressens, même s'il n'était pas nécessaire de rajouter "énième", qui implique la notion de "nombreuses tannées", alors que dans le cas présent, cela fait un bon mois que je n'en ai pas eues.<br />Cette manière d'insister sur la fréquence m'attriste, car elle me remémore d'autres souvenirs qui ne s'arrêtent pas à la seule dernière fessée reçue...<br />Ensuite, ajouter que ce n'est "certainement pas la dernière" et que celle-ci comme les (éventuelles) suivantes seront données "sur une lune amplement dévoilée" n'était peut-être pas nécessaire non plus ? J'en rougis rien qu'en le lisant.Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-76214081631178412512013-06-06T17:13:42.547+02:002013-06-06T17:13:42.547+02:00Chère Christine,
Que Christinette ne soit ni rass...Chère Christine,<br /><br />Que Christinette ne soit ni rassurée et même très angoissée, pour l'avenir de sa gémellité qui 'est' au repos depuis cinq semaines se comprend, mais elle ne doit cela qu'à son inconstance dans l'effort de travail et un excès de confiance dans ses acquis.<br /><br />Concernant le fait qu'une longue période d'abstinence fessière pour son aînée, fasse germer à l'esprit de Maman qu'il est grand temps de remettre les pendules à l'heure, en lui remémorant, les effets d'une bonne et copieuse déculottée maternelle, cela est certain et l'incite alors, à faire durée la séance un peu plus qu'à l'accoutumée, ceci au grand désarroi de sa fifille qui doit endurer une épreuve plus dense.<br /><br />Cet espace temps (plus ou moins long) entre deux fessées n'est qu'un élément supplémentaire (négatif) pour Christinou, sachant très bien de toute façon, que pour elle, les fessées de Maman chérie ne sont ni bâclées, ni expédiées, mais appliquées avec méthode et volonté de faire passer la leçon, la dextre maternelle n'épargnant pas le moindre centimètre carré de ce cuir de pré-adolescente, plus propice à de grandes envolées, à l'inverse de celles des petites sœurs.<br /><br />D'où une inquiétude grandissante, pour Christinette, envahie par la trouille, en attendant que Maman ne vienne lui remettre les 'pieds sur terre', en l'étalant sur ses genoux pour une énième tannée méritée de grande sœur (certainement pas la dernière) sur une lune, amplement dévoilée.<br /><br />Amicalement, enfin ! Si je puis dire, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-42436268563161210572013-06-06T09:51:53.831+02:002013-06-06T09:51:53.831+02:00Dominique est rassuré... Je ne suis pas partie sur...Dominique est rassuré... Je ne suis pas partie sur une autre planète et ne vais pas tarder à reprendre le fil de mon récit...<br />Rassuré, il l'est, mais ses mots, eux, ne me rassurent pas et me confirment que j'ai raison de m'angoisser avant que Maman ne s'occupe de mes rondeurs jumelles et (pour l'instant) immaculées...<br />Comme si long délai était annonciateur de longue fessée...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-87891470148626291722013-06-05T19:37:33.236+02:002013-06-05T19:37:33.236+02:00Chère Christine,
Très heureux de vous retrouver, ...Chère Christine,<br /><br />Très heureux de vous retrouver, Chère Christine et je comprends cette surcharge de travail, qui pourrait me concerner bientôt, si le beau temps continue à évoluer dans ce sens, compte tenu de mon secteur d'activités (agro-alimentaire frais).<br /><br />Je n'irais pas jusqu'à dire qu'il s'agit d'un subterfuge, mais je ne peux m'empêcher de penser que Christinette n'est pas si mécontente de ce petit délai supplémentaire, même si en contrepartie la main de Maman sera en pleine forme et capable d'un marathon, sur le fessier de sa fifille, qu'elle n'a pas parcouru depuis longtemps, peut-être à tort.<br /><br />Tout comme vous, je crois qu'un différé trop important, serait donc plus que nuisible pour votre lune encore immaculée et épargnée, depuis un bon moment.<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-32318168948393297522013-06-05T18:18:14.282+02:002013-06-05T18:18:14.282+02:00Désolée, Dominique et les autres fidèles. Une surc...Désolée, Dominique et les autres fidèles. Une surcharge de travail, comme souvent hélas (mais j'aurais tort de me plaindre quand beaucoup n'en ont pas du tout) en cette période de fin d'année pour beaucoup d'activités, m'éloigne de mon blog. Et comme je ne veux pas aller dans la facilité, je préfère souvent ne pas écrire que rédiger à la va-vite... <br />La suite est presque prête et ne tardera pas trop, j'espère. Merci d'être patients.<br />Dominique me dira peut-être que c'est un subterfuge pour garder ma lune bien blanche encore un moment... Mais, si c'était le cas, ce ne serait peut-être pas un bon calcul, car cela signifierait que plus mes fesses sont épargnées, plus la main de Maman se repose aussi, et je ne suis pas sûre d'avoir intérêt à ce qu'elle soit parfaitement reposée et veuille rattraper son retard à mon dépens...<br />Qu'en pensez-vous ?Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-38690445137885436102013-06-04T18:51:11.406+02:002013-06-04T18:51:11.406+02:00Chère Christine,
Huit jours, sans aucun de vie, m...Chère Christine,<br /><br />Huit jours, sans aucun de vie, malgré un émail, je m'interroge et suppose que je ne suis pas le seul, j'espère de tout cœur que vous n'avez pas pris la décision d'abandonner la rédaction de ce merveilleux blog qui enchante tous ceux qui vous lisent et parmi lesquels je me compte, comme l'un des plus fervents.<br /><br />Moins seul souhait, étant que ce silence, ne résulte que d'un empêchement que vous ne pouvez contourner et que vous ne reviendrez bientôt.<br /><br />Très amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-49161892804245029822013-05-30T20:00:15.252+02:002013-05-30T20:00:15.252+02:00Chère Christine,
Notre chère conteuse serait-elle...Chère Christine,<br /><br />Notre chère conteuse serait-elle débordée par le travail en cette fin mai ou bien aurait-elle adopté un rythme de croisière (assez tranquille) d'une livraison mensuelle, laissant ainsi ses lecteurs mariner et se reposer sur certains de ceux-ci plus prolixes.<br />A moins, ce que je ne souhaite surtout pas, que celle-ci soit souffrante, compte tenu du temps exceptionnel qui règne sur notre pays (ironie comme vous pouvez l'imaginer).<br /><br />J'espère donc que ce week-end, Christine sera plus disponible lui permettant de reprendre contact avec ses lecteurs, pour leurs plus grands plaisirs.<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-47561200123609266332013-05-27T16:03:37.877+02:002013-05-27T16:03:37.877+02:00Chère Christine,
De mon coté, je veux bien vous a...Chère Christine,<br /><br />De mon coté, je veux bien vous accorder une clémence exceptionnelle, cette fois-ci, pour la fessée et vous punir différemment, compte tenu de ce plaidoyer émouvant et profondément sincère de Christinette, transpirant de trouille face à l'épreuve, se rappelant tous les sons entendus la veille chez Aline, le bruit mat de la main maternelle sur une peau nue, les cris, les pleurs abondant de soeurette, parce qu'une fessée ça fait mal.<br /><br />Non ! Christine ne veux pas cette fessée, ne veux plus de fessées, sachant qu'étant plus grande Maman donne alors toute la mesure de son talent en la matière, claquant plus longuement ses fesses de pré-adolescente parfaites pour de bonnes tannées, rougissantes et brûlantes à souhait, la faisant pleurer comme une fontaine.<br /><br />Vous voyez donc, Christine, que je sais me monter magnanime envers vous, par contre en ce qui concerne Maman, je ne peux garantir qu'il en sera de même et si je vous laisse espérer, je crois sincèrement, que malgré toutes vos prières, votre avenir proche passera par les genoux de Maman, pour un moment qui vous noue les tripes, à chaque fois.<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-90339345408136157262013-05-27T15:03:16.818+02:002013-05-27T15:03:16.818+02:00Laissez moi l'espoir quand même... Moi, je ne ...Laissez moi l'espoir quand même... Moi, je ne veux pas recevoir la fessée, non ! C'est trop bien depuis plus d'un mois de garder ma peau blanche ou rose pâle de petite demoiselle. Non, qu'on me prive de sortie, qu'on me fasse faire des devoirs ou je ne sais quoi, mais pas de venir sur les genoux de Maman, ça je n'en veux pas, je n'en veux plus...<br />Je sais trop bien ce que cela fait, je n'ai pas oublié les tannées reçues, les déculottées, les fessées régulières. Je n'ai pas envie de revivre ça. Je sais trop bien combien ça fait mal...<br />J'ai bien entendu hier soir le bruit mat de la main de Maman qui claquait les fesses d'Aline, c'était le bruit de sa paume sur la peau de ma soeur, sans protection, culotte baissée, et j'entendais ses cris, ses pleurs qui ont duré longtemps...<br />Non, je ne veux pas, même si Maman a dit que j'aurais "comme Aline hier", parce que cela veut dire une déculottée, et que je sais en plus que je suis plus grande, que je n'ai pas des fesses de gamine, et qu'elle va les claquer longtemps, plus longtemps encore pour qu'elles soient rouges et brulantes de partout...<br />Non, vraiment, je ne veux pas la fessée, plus la fessée...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-80856983009834683312013-05-26T20:51:04.763+02:002013-05-26T20:51:04.763+02:00Chère Christine,
Non mais dites moi, Christine, q...Chère Christine,<br /><br />Non mais dites moi, Christine, qui emploi des majuscules pour des mots qu'elle a bien du mal à prononcer d'ordinaire, tellement ceux-ci la trouble, certes sous forme d'épellation, mais tout de même c'est surprenant.<br />Sinon, Chère Christinette, vos promesses, Maman les connaît par cœur comme les siennes qu'elle tient et je suis simplement réaliste, mais si cela ne vous aide pas. Alors oui ! L'espoir fait vivre, mais pas les chimères, non ?<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.com