tag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post6924350650933919660..comments2024-01-01T11:16:06.584+01:00Comments on Souvenirs cuisants d'une jeune fille punie: Le beau temps ne dure pas éternellement... (8) Quand la honte ravive la douleurChristine Spaakhttp://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-73648116509972441992011-07-30T12:13:31.540+02:002011-07-30T12:13:31.540+02:00Encore quelques excellentes remarques et réflexion...Encore quelques excellentes remarques et réflexions de Mardohl. Je suis également rassurée, car le manque de commentaires me faisaient craindre que mon fan-club soit parti en vacances, tous et toutes en même temps.<br />Merci donc.Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-49010405169199490172011-07-30T10:26:52.172+02:002011-07-30T10:26:52.172+02:00Charmant épisode, qui appelle plusieurs commentair...Charmant épisode, qui appelle plusieurs commentaires.<br />En premier lieu, il est intéressant de voir en Christine la douleur surpasser la pudeur : à l’issue de cette fessée, elle a oublié tout l’environnement et n’a même plus le réflexe de se reculotter, elle demeure à genoux, en larmes et les « fesses à l’air », à tel point que c’est sa mère qui doit lui demander de remonter sa culotte. (J’imagine d’ailleurs que, sur la peau meurtrie, le contact même léger du coton doit se révéler douloureux.) Ce faisant, pittoresque détail, elle coince le bas de sa robe, ce que ne manquent pas de nous rappeler les illustrations décidément bien choisies.<br />Après quoi Christine se retrouve dans sa chambre, enfouissant son visage dans l’oreiller pour y sangloter à son aise. J’imagine que dans ses moments, notre infortunée narratrice doit se sentir terriblement seule : personne à qui confier ses tourments. Ni sa maman, que fâche encore cette bêtise majuscule, ni ses petites sœurs qui s’en gaussent, ni même sa tante Jacqueline qui prendra systématiquement le parti de sa sœur. En outre, j’imagine bien que le sujet demeure tabou entre copines. Et comme Christine est trop grande pour avoir un ours en peluche ou une amie imaginaire… La voilà seule face à ses responsabilités.<br />D’ailleurs, tante Jacqueline arrive, et Aline ne se prive pas de lui raconter la récente infortune de son aînée. Comme Christine le craignait, la voilà bonne pour un dîner familial durant lequel elle se trouvera la cible de mortifiants commentaires et quolibets, héroïne bien malgré elle d’une péripétie tout à son désavantage.<br />Et puis… en entrant dans le salon, encore tout à ses sanglots, Christine n’a-t-elle pas oublié de rabattre sa jupe ? Voilà qui pourra s’avérer croustillant, mais je ne m’étale pas davantage afin de ne pas défraîchir votre spontanéité. Je me laisserai surprendre par la suite de votre récit.Mardohlnoreply@blogger.com