tag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post4981411817148179181..comments2024-01-01T11:16:06.584+01:00Comments on Souvenirs cuisants d'une jeune fille punie: Chronique d'un redoublement : 126. Une mise au coin qui n'achève pas la scène pour autant...Christine Spaakhttp://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comBlogger17125tag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-3533898690071902152018-02-25T07:57:04.288+01:002018-02-25T07:57:04.288+01:00Vous avez reçu cet après-midi la plus grande corre...Vous avez reçu cet après-midi la plus grande correction de votre enfance.<br />Anonymoushttps://www.blogger.com/profile/08044646861947087408noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-26014529648729097942018-02-01T04:38:34.107+01:002018-02-01T04:38:34.107+01:00Il est vrai que vos sœurs bavardent un peu trop à ...Il est vrai que vos sœurs bavardent un peu trop à votre sujet auprès de leurs "amies"... Est-ce que madame votre mère avait d'ailleurs envisagé de discuter de ses méthodes éducatives avec les mères de vos camarades de classe? Il me semble que certaines auraient bien bénéficié d'un peu d'attention fessière, non?Pecan nutjobnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-37095102405623254282018-01-31T18:13:43.564+01:002018-01-31T18:13:43.564+01:00(SUITE DU PRECEDENT)
Cette fois, cher Mardohl, je...(SUITE DU PRECEDENT)<br /><br />Cette fois, cher Mardohl, je ne peux que reconnaître que vous avez raison. En ce dernier jour de l'année scolaire de mon redoublement, ce sont bien, une, deux et trois fessées, trois déculottées magistrales qui ont puni successivement le mensonge éhonté, puis la falsification de signature, puis la fameuse mauvaise note à l'origine de cette succession d'erreurs de ma part, car si j'avais avoué mon 5 en maths le soir même, je m'en serais tirée certainement avec une fessée, mais sans aucune commune mesure avec ce qui m'est finalement arrivée...<br />Cela dit, Mardohl, c'est moi Christine qui accepte votre façon de compter... Christinette, elle, serait rouge de honte et en boule si elle pouvait vous lire...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-13139919297955686472018-01-31T18:13:00.003+01:002018-01-31T18:13:00.003+01:00Ce cher Mardohl, constatant que les commentaires s...Ce cher Mardohl, constatant que les commentaires s'espacent me fait le plaisir d'en rajouter un, judicieux comme d'habitude.<br />Il évoque le "comput" exact de mes fessées. Soit le "calendrier" de ces rendez-vous avec les genoux maternels, sujet sur lequel, j'ai toujours eu tendance à minimiser...<br />Les exemples qu'ils citent sont significatifs. Il est vrai que dans le cas d'une fessée où je me rhabillais trop vite et montrais des signes d'énervement, voire de colère sourde, le réflexe maternel pouvait être de me remettre en position et de parachever son oeuvre par une sorte de supplément gratuit...<br />Pour mes soeurs, témoins de la scène, ne serait-ce que par l'ouïe, cela se traduisait par : "Christine a reçu deux fessées". Pour moi, ce n'était qu'un tout, déjà difficile à admettre, et que le chiffre deux aurait rendu de mon point de vue plus honteux encore...<br />Idem pour le cas de la visite de la voisine sonnant alors que Maman me colorait les fesses... Je n'allais quand même pas rester la lune à l'air pour attendre la suite, d'où mon rhabillage... Mais, quand, la voisine repartie, Maman me re-déculottait, c'était du point de vue de mes soeurs une deuxième fessée, alors que du mien, c'était la suite et fin de la même et unique. Et, j'avoue, cher Mardohl, que lorsque je repense à ce cas précis, je serais prête, encore aujourd'hui, à soutenir mordicus que ce jour-là je n'ai bien eu qu'une seule fessée...<br />En revanche, et là, j'admets que pour cette fameuse après-midi, j'aurais en effet du mal à convaincre que je n'ai reçu qu'une seule fessée... Ne serait-ce que par le fait qu'il y ait eu deux lieux. D'abord, ma chambre, pour une fessée déclenchée par mon refus de reconnaître la vérité, par l'impression que je donnais à Maman que je me moquais d'elle. Là, c'était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase, amenant à une fessée donnée sur le champ, et où j'étais prévenue que nous aurions à nous expliquer sur les autres griefs...<br />Le fait de me laisser aussi le temps de réfléchir dans ma chambre, le temps de choisir le moment pour descendre retrouver Maman, séparait aussi les deux épisodes. Et la fermeté de cette nouvelle tannée en faisait clairement une vraie fessée à part entière... Surtout que la mise au coin lui donnait un aspect inédit, la théâtralisant encore plus...<br />Si, juste après cette volée magistrale, Maman avait rajouté un supplément en référence à la fessée évitée de par ma fausse signature, j'aurais eu tendance à n'en faire qu'une dans mon décompte personnel...<br />Seulement, Maman a bien séparé les deux, me laissant au coin, avant de me faire bien avouer que j'avais fait cela parce que je savais que ramener ce 5 en maths m'aurait valu une fessée... Et, c'est donc, avec une logique implacable, que Maman avait justifié mon retour sur ses genoux comme si c'était un dû ! Ce n'était pas la fessée de la faussaire qui se prolongeait, c'était la fessée que j'aurais dû recevoir l'autre jours si j'avais montré ma note au lieu de la cacher. C'était donc, bel et bien, là encore une fessée à part entière, donnée juste avec un retard de livraison... Mais, donnée de belle manière, avec le principe du "les bons comptes font les bons amis" ou "un dû est un dû". D'où une nouvelle déculottée mémorable...<br />Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-74285156917287091522018-01-31T17:19:27.804+01:002018-01-31T17:19:27.804+01:00A propos d'archivistes et de commentateurs pat...A propos d'archivistes et de commentateurs patentés, j'aimerais bien que Dominique remette son grain de sel...<br />Je suis sûre qu'il aurait bien des choses à dire, non ?<br />Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-10912596868535783162018-01-31T17:18:05.483+01:002018-01-31T17:18:05.483+01:00"Clémence" de Maman, vous exagérez un pe..."Clémence" de Maman, vous exagérez un peu, Pecan. Dans un contexte où peu avant il s'était avéré que mes soeurs en disaient un peu trop sur mes mésaventures fessières, je pense que Maman n'a pas voulu leur donner une vision totale de ce qu'elle m'a donné.<br />Et, cette demi-journée où je n'avais pas cours contrairement aux soeurettes lui permettait de prendre son temps, d'agir à son rythme et non au gré des spectatrices éventuelles...<br />En tout cas, la triple déculottée et la mise au coin devaient, de son point de vue, être plus marquants qu'une fessée devant la petite famille, ce qui était déjà arrivé plus d'une fois... Certains de mes "archivistes" patentés le diraient...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-14087710103989714972018-01-29T23:08:07.797+01:002018-01-29T23:08:07.797+01:00J'apprécie beaucoup le souci de la petite mise...J'apprécie beaucoup le souci de la petite mise en scène au coin... il me semble que c'est la première fois que Christine doit ainsi s'exposer ? Ou ai-je mal lu ses récits précédents ?<br /><br />Je suis surpris de la clémence de Madame Spaak devant des mensonges doublés de faux et usage de faux... Je me serais attendu à ce qu'elle donne une fessée devant les sœurs, afin d'édifier celles-ci et d'augmenter la honte de Christine!<br />Pecan nutjobnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-82895874990568229232018-01-29T15:40:47.712+01:002018-01-29T15:40:47.712+01:00Je remonte quelque peu le cours de vos archives po...Je remonte quelque peu le cours de vos archives pour relever quelques chapitre au cours desquels des difficultés s’étaient posées quant au comput exact de vos fessées.<br />Ainsi, dans l’épisode 65, fallait-il compter comme une deuxième fessée la salve supplémentaire que vous avez reçue (mais sans vous être reculottée entretemps) pour avoir empêché votre mère de vous déculotter ?<br />Dans les épisodes 100 et 101, devait-on inventorier comme deux fessées distinctes celle que vous avez reçue en deux parties (mais pour la même raison), en raison de la visite impromptue de votre voisine ? (Et donc, en ce jour, en comptant celle du soir, en avez-vous encaissé deux ou trois ?)<br />A chacune de ces occurrences, on ne pouvait trancher qu’au prix d’une ingénieuse jurisprudence. (Diane ayant tendance à considérer le chiffre supérieur, tandis que vous vous évertuiez à le minorer.)<br />Mais pour cet après-midi, et je le répète c’est une première, aucune contestation possible : vous avez bien reçu trois fessées successives, chacune espacée des deux autres et chacune motivée par une raison différente.Mardohlnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-56799518820331052862018-01-23T17:06:11.275+01:002018-01-23T17:06:11.275+01:00En espérant que Dominique va nous offrir un commen...En espérant que Dominique va nous offrir un commentaire, histoire de s remettre dans le bain,je m'intéresse aux deux longues contributions de Mardohl, toujours précises et intéressantes.<br />Il note par exemple fort bien combien Maman joue de la menace d'attendre le retour de mes soeurs... Elle sait évidemment combien cela serait difficile à supporter pour l'ado subissant les moqueries des gamines.<br />Cet après-midi sans cours pour Christinette est d'ailleurs une opportunité que saisit Maman Spaak. Les horaires des petites étant fixes, il y a un large laps de temps dans lequel Maman, très vexée et choquée par la découverte de ma tricherie, de ma falsification de signature, peut donc prendre son temps pour donner une leçon exemplaire à sa fille ainée... <br />Cela l'amène à flanquer d'abord une fessée d'impulsion, donnée sur le champ, dans ma chambre, en réponse à mes dénégations, à mon entêtement à vouloir "rouler" Maman.<br />Puis, après m'avoir laissée macérer, j'avais dû descendre pour recevoir cette déculottée magistrale d'anthologie...<br />Peut-être que Maman, si les soeurs avaient été là, s'en serait contentée, mais il y avait dans son raisonnement comme un déséquilibre : réussir à éviter une fessée en falsifiant sa note, ne pouvait être sanctionné que par plus d'une fessée, sinon, c'est la porte ouverte à toutes les manoeuvres. D'où l'annonce de devoirs de vacances supplémentaires et aussi cette ultime fessée, plus proportionnée à la faute initiale, pour bien montrer que mentir ou manoeuvrer ne peut qu'aggraver la sanction...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-32227795710169027372018-01-21T11:38:44.582+01:002018-01-21T11:38:44.582+01:00Merci aussi à Mardohl, qui a livré deux textes int...Merci aussi à Mardohl, qui a livré deux textes intéressants. J'y répondrai très bientôt.Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-18744363311401102612018-01-21T11:37:39.078+01:002018-01-21T11:37:39.078+01:00Tout arrive !!! Même le retour de Dominique ! J...Tout arrive !!! Même le retour de Dominique ! J'en suis ravie... J'ai eu raison de ne pas désespérer, même si ce fut très long...<br />Cela dit, Dominique, j'espère que ce retour va s'accompagner de quelques commentaires... Je compte sur vous... Même si, comme vous le faites remarquer, Christinette n'est pas de cet avis...<br />Merci d'avance...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-77862322313121623142018-01-19T15:42:14.312+01:002018-01-19T15:42:14.312+01:00Bonjour Christine,
Oui! C'est bien moi "D...Bonjour Christine,<br />Oui! C'est bien moi "Dominique" le revenant, après une très longue absence donc je vous épargnerais les circonstances qui n'intéresse que moi.<br />Dans un premier temps, permettez-moi de vous adresser tous mes voeux pour l'année 2018, espérant que Papa Noël vous aie gâté.<br />Ensuite, si je suis resté attentif à vos productions, les parcourant toujours avec le même plaisir! Disons, que je n'avais pas l'âme à rebondir, comme auparavant! Je suis sincèrement désolé de vous avoir manqué et vous prie humblement de m'en excuser.<br />Néanmoins, en dehors de l'érudit "inégalable" Mardhol et Louis-Fidèle, j'ai vu apparaître de nouveaux commentateurs ayant une plume que j'apprécie, mais surtout qui semble ravir Christine, la blogueuse.<br />Ceci à l'inverse d'une certaine Christinette, qui n'était pas du tout ravie, des propos et bons soins maternels en cette journée! Enfin, elle et surtout une partie de son anatomie!!!!!! Que voulez-vous, on ne se refait pas!!!!!<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-3546797192354975132018-01-17T19:48:45.462+01:002018-01-17T19:48:45.462+01:00Fort heureusement pour vous, votre mère vous éparg...Fort heureusement pour vous, votre mère vous épargne cette déchéance supplémentaire en vous demandant au terme d’une demi-heure de venir près d’elle. Christine remonte sa culotte et rabat sa jupe, et sa mère la tance pour cette initiative. Cette remarque, déjà entendue dans la bouche de Diane à l’épisode 100 : « Elle a pas dit que tu pouvais te rhabiller » prend, dans la bouche maternelle et au vu du contexte, un ton bien plus péremptoire et inquiétant. Pourtant, Madame Spaak n’intime pas à sa fille l’ordre de redescendre sa culotte et de relever sa jupe, ni ne lui rectifie elle-même sa tenue… du moins sur le moment, ce qui, pour un lecteur attentif, laisse entendre la suite, car on se doute bien que votre mère n’en restera pas là.<br />Car en effet, en rigoureuse maîtresse de maison, Madame Spaak ne laisse aucun compte en déshérence. Faisant avouer de la bouche même de Christine, et selon un procédé qui lui est cher, que cette note aurait dû, en temps et lieu, lui valoir une fessée, fessée à laquelle vous avez échappé, votre mère vous annonce que cette fessée vous sera administrée sur l’heure.<br />Non, vous ne rêvez pas. Nouvelle occurrence exceptionnelle dans vos annales, en ce pour vous noir, ou plutôt rouge après-midi, ce n’est pas moins de trois fessées que vous recevez à la suite, chacune pour un motif différent mais parfaitement justifié.<br />Une nouvelle fois, et à trois reprises, votre mère, pour vous amener en position, faire cesser vos geignements ou vous faire retirer votre main, vous menace d’attendre le retour d’Aline et Diane. Christine en est réduite, et bien vainement, à supplier. Cette troisième fessée, bien que plus courte et moins intense que les deux précédentes (votre mère accusant sans doute une certaine fatigue) a dû se révéler insupportable sur des fesses encore rouges et endolories, sans parler de la dimension psychologique, Christine se voyant « récompensée » du triple de ce à quoi sa manigance lui avait fort provisoirement permis d’échapper.<br />Enfin, cette dernière fessée s’arrête et Christine, la somme de ses fautes dûment purgée, est cette fois explicitement autorisée à se rhabiller et à remonter dans sa chambre. Bouleversée, notre infortunée héroïne ne remonte sa culotte qu’à moitié, ce qui laisse mesurer l’étendue de son désarroi, outrepassant même tout sentiment de cette pudeur que l’on sait chez vous si prégnante.<br />Il reste néanmoins à Christine la consolation de ne pas avoir été punie devant ses sœurs ou sa tante, mais elle peut redouter les commentaires dont va immanquablement se fendre sa mère, le soir même, au sujet de ce marquant après-midi. Christine peut craindre de se voir l’involontaire centre des conversations, vis-à-vis de de convives avides qui n’en perdront assurément pas une miette.<br />C’est peut-être d’ailleurs sur cette soirée, rassemblant comme en une scène finale tous les membres connus de la petite famille Spaak, que s’achèvera cette chronique.Mardohlnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-38365518190424400032018-01-17T19:41:46.469+01:002018-01-17T19:41:46.469+01:00Vient donc cette mise au coin, annoncée au terme d...Vient donc cette mise au coin, annoncée au terme du chapitre précédent, et tant attendue par le lecteur, à défaut de l’avoir été par la narratrice, qui espérait encore avoir mal compris. Christine se retrouve dans une situation terriblement infantilisante et c’est avec raison qu’elle se sent « comme une gamine » (formule répétée à deux reprises), qu’elle en éprouve « une très grande honte », jusqu’à en pleurer, car chaque péripétie concourt à la rabaisser à ce statut : elle se fait tirer l’oreille, se retrouve jupe relevée, culotte baissée, les mains sur la tête (ce qui répond positivement à l’interrogation clôturant mon dernier commentaire). Votre mère elle-même, parfaitement consciente de l’humiliation que vous ressentez, attise votre honte en vous gratifiant d’un commentaire comportant la mention, fort ironique et mortifiante au vu du contexte, de « grande fille ». Alors qu’en l’occurrence, vous vous sentez tout sauf grande.<br />La négation de toute indépendance vous est bien marquée par le fait que votre mère vous baisse la culotte que vous aviez réussi à remonter (sans son autorisation), et vous gratifie même d’une claque supplémentaire quand vous essayez d’interposer vos mains. (Quelle douleur vous en avez sans doute ressenti, sur une surface encore à vif.) Je suppose qu’en l’absence cette fois de la précision « par devant et par derrière », votre mère s’est contentée de faire coulisser la culotte sur sa partie arrière, laissant le devant en place, ce qui expliquera que, plus tard, Christine osera se retourner avant que de se reculotter.<br />Vous voilà, bien à contrecœur, immobilisée face au mur, dans une posture évoquant une écolière punie d’un autre âge, privée de toute liberté d’action. Tout au plus, en une dérisoire latitude, parvenez-vous à baisser furtivement les mains, pour toucher vos fesses ou essuyer vos larmes, quand vous êtes certaine que votre mère ne vous regarde pas. Mais comme instinctivement, vous reprenez immédiatement cette position puérile, quand vous l’entendez revenir. <br />Pour garantir votre obtempérance, votre mère use (et usera encore à trois reprises en fin de chapitre) de l’argument du retour des sœurs. On imagine sans peine à quel point cette mesure de dissuasion se révèle imparable, et on évalue la peur panique qui saisit Christine à la perspective d’être vue par ses petites sœurs dans cette posture si outrageante pour son amour-propre. Non contente de s’approprier cette image, de la pérenniser dans leur mémoire, et d’en faire à jamais un objet de moquerie dans votre relation, elles seraient susceptibles d’en diffuser le détail à tout votre entourage extra-familial. Quel pain béni pour vos rivales, déjà si promptes à vous harceler au sujet de vos fessées, comme elles vous en feraient des gorges chaudes tout au long de la quatrième ! Quelle appréhension vous en ressentiriez avant même la prochaine rentrée !<br />Mardohlnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-81236826810870614342018-01-15T21:36:58.330+01:002018-01-15T21:36:58.330+01:00merci de continuer cette magnifique histoire !merci de continuer cette magnifique histoire !Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-67201789237628284972018-01-11T15:23:48.586+01:002018-01-11T15:23:48.586+01:00Bonjour, je trouve ton blog excellent et tres bien...Bonjour, je trouve ton blog excellent et tres bien ecrit. J'espere lire beaucoup plus de tes souvenirs. A.Anonymoushttps://www.blogger.com/profile/17325621138968184893noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-36289236075071907972018-01-09T16:44:43.211+01:002018-01-09T16:44:43.211+01:00Bonne année Lady Spaak. Pauvre petite, j'ai be...Bonne année Lady Spaak. Pauvre petite, j'ai beaucoup de compassion pour elle. Maman Spaak est décidément jusqu'au boutiste.Anonymousnoreply@blogger.com