tag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post2855129466196996109..comments2024-01-01T11:16:06.584+01:00Comments on Souvenirs cuisants d'une jeune fille punie: Chronique d'un redoublement : 38. Une tannée exemplaire hélas méritéeChristine Spaakhttp://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comBlogger6125tag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-31352440942883374562012-06-02T10:32:00.511+02:002012-06-02T10:32:00.511+02:00MARDOHL REPOND A MA REPONSE :
Oh là là Christine,...MARDOHL REPOND A MA REPONSE :<br /><br />Oh là là Christine, comme vous y allez ! Loin de critiquer gratuitement votre production, je désirais simplement, en prenant mille pincettes, vous suggérer gentiment quelques pistes à défricher, en tant que lecteur assidu et bénéficiant par-là même d’une vue d’ensemble sur votre œuvre. Las, il faut que vous vous dressiez sur vos ergots en m’accusant de m’en prendre à votre fraîcheur, votre spontanéité.<br /><br />Je vous assure que tel n’était pas le cas, je n’ai jamais prétendu vous empêcher d’écrire comme vous l’entendez, ni vous inciter à me complaire en caviardant vos récits de détails et péripéties inauthentiques.<br /><br />Je vous promets donc que vos « redites », qui participent d’ailleurs de l’essence même de votre blog (chaque récit reprenant et jouant sur des motifs connus, tel un standard de jazz) ne nuisent aucunement à mes heureuses impressions de lecture, et que puisque vous recevez en si mauvaise part mes critiques, pour prudentes et pondérées que j’ai cru vous les formuler, je tâcherai de m’en abstenir à l’avenir, faisant fi, puisque je vous trouve si chatouilleuse en l’occurrence, de la formule de Beaumarchais : « Sans la liberté de blâmer, il n'est pas d'éloge flatteur. »<br />Enfin, si toute appréciation demeure nécessairement subjective, je n’en reste pas moins persuadé que, même si l’un ou l’autre de vos épisodes se voit à mes yeux attribuer un 20, cela ne signifie pas pour autant qu’à mon avis la performance demeure inégalable ! Continuez donc sans complexe à nous combler de votre excellence, chère Christine, d’ailleurs l’opus 39 m’attend.Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-11504627971149365322012-05-29T16:29:09.088+02:002012-05-29T16:29:09.088+02:00Mardohl voudrait que je brode davantage, que j'...Mardohl voudrait que je brode davantage, que j'invente, que j'en rajoute, et que mes dialogues soient moins pauvres. Désolée, cher ami, mais j'écris comme je me souviens, comme j'imagine, et surtout sans jamais relire les textes précédents, contrairement aux exégètes de ma pensée.<br />Qu'il y ait des redites, c'est inévitable, mais je reste dans des choses fondées sur du vécu, et si j'avais pas mal d'imagination en anticipant ce qui allait m'arriver, en essayant d'y échapper, en cauchemardant à ce propos, quand la sanction tombait, Christine se trouvait souvent sans voix, et Maman était du genre à rabâcher ses phrases qui l'auto-motivait. Dommage, si cela vous "rase". Je ne suis pas sûre que je change ma façon d'écrire pour autant.<br />Et si j'ai déjà un 18, c'est bien. Espérer un 20, c'est aussi se dire qu'ensuite, plus rien ne sera mieux.<br />Donc, Christine, un rien tête de mule, je l'accorde, et qui préfère les encouragements aux critiques, risque bien de continuer à écrire comme elle l'entend.Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-856095744798590122012-05-29T16:19:22.908+02:002012-05-29T16:19:22.908+02:00COMMENTAIRE DE MARDOHL (2ème partie)
2. Saisir le...COMMENTAIRE DE MARDOHL (2ème partie)<br /><br />2. Saisir les novations<br /><br />En observant les photos avant de lire le texte, je fus attiré par la troisième, dans laquelle on voit la maman saisir à deux mains et des deux côtés la taille de la punie, portant elle-même les mains relevées derrière la nuque. Je me suis demandé quelle variation inédite dans l’immuable rituel préparatoire ce cliché allait illustrer. Je me suis imaginé, par exemple, que Christine montrant trop de mauvaise volonté à se laisser basculer sur les genoux, sa mère, afin qu’elle ne gêne plus les opérations, l’aurait laissée debout, lui aurait fait relever ses mains sur sa tête, en une humiliante posture, le déculottage s’ensuivant dès lors, particularité sans précédente dans vos chroniques mais ô combien vexante pour l’héroïne, en position verticale.<br /><br />Las, il n’en a rien été. Selon votre interprétation, si Christine lève les bras, c’est par pur (et dérisoire) réflexe défensif, non sur ordre maternel, et si Madame Spaak l’agrippe à la taille, c’est pour l’appréhender, non pour la défrusquer, le protocole expiatoire se poursuivant dès lors sans dévier d’un iota de l’étiquette.<br /><br />J’estime que, même au prix de quelques légères entorses à la précision de vos souvenirs, vous pourriez davantage vous permettre quelques variantes dans le cérémonial et ne pas le figer dans l’immuabilité des mêmes séquences. Dans la lignée de la commedia dell’arte, dégagez-vous un peu du texte et jouez-nous « all'improvviso ». S’il me semble avoir discerné et décerné à votre plume quelques accents de tragédie, ne nous la guindez pas pour autant comme du Racine !<br /><br />3. Sortir de l’ornière<br /><br />Si de l’ensemble de l’épisode émane une incontestable aura de fraîcheur, le dialogue final ne m’en a pas moins laissé une assez nette impression de déjà-vu. Les répliques de part et d’autre ne font que paraphraser, en termes éculés, convenus, interchangeables même, une situation fort bien connue des lecteurs comme des acteurs. Sempiternels (et rasants) rappels de Maman Spaak à l’ordre : « Tu pourras encore préparer tes fesses », « Quand seras-tu franche enfin ? », « Tu oublies vite », etc. redondantes (et attendues) protestations de Christine : « Je serai sage », « Arrête », « Je te promets, je te jure », etc. qui l’une et l’autre s’en remettent toujours aux mêmes propos, aux mêmes arguments, comme perpétuellement diffusés après rembobinage. (Il ne reste que les consolations avisées de tata Jacqueline pour que la réminiscence soit totale.) Vous me suscitez le dommageable pressentiment de passer en certains moments en « pilotage automatique », et vous devriez dans ces cas, quitte à retarder la parution d’un chapitre, persévérer dans la verve et l’originalité afin que chaque fessée soit pour ainsi dire plus unique que la précédente.<br /><br />J’espère que vous prendrez en bonne part cette modération, qui ne procède que de la haute estime que je porte à votre blog, et attends évidemment l’opus 39.Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-84797454868739923932012-05-29T16:17:57.201+02:002012-05-29T16:17:57.201+02:00COMMENTAIRE DE MARDOHL (1ère partie)
En effet Chr...COMMENTAIRE DE MARDOHL (1ère partie)<br /><br />En effet Christine, vous me m’en voyez pas déçu, c’est du Spaak de grand cru que vous nous servez-là, et ce n’est pas en vain que vous avez fait mijoter votre lectorat : l’intensité de ce chapitre se révèle largement à la hauteur de l’attente.<br /><br />Je peux donc à présent disserter sur cet aboutissement d’anthologie. Le châtiment, comme on pouvait le deviner, est administré devant les deux petites sœurs, assises « aux premières loges », et se voyant gratifiées d’un spectacle qu’elles jugeront sans doute encore plus gratiné que le Disney qui suivra (et dont Christine se verra sans doute privée, comme pour les bonbons d’Elsa).<br /><br />Toutes vos marques de fabrique figurent dans la narration : la pleine réalisation par notre héroïne de ce qui va lui arriver, cette pertinente réflexion sur ce que, du point de vue sonore, tactile et surtout moral, implique la protection d’une culotte, la multiplication et la description détaillée des actions secondaires, parallèlement appariées aux impressions inhérentes de la punie, et, plat de résistance, la fessée elle-même, graduée par des paliers de douleur sur lesquels vous vous attardez savamment. Vous sollicitez également votre goût de la métaphore filée, par l’analogie avec un match de tennis, ou celui des digressions didactiques, avec l’évocation de cette dextre ambivalente, susceptible de caresser comme de claquer.<br /><br />Cependant, si vous confinez à l’excellence, vous n’atteignez cependant pas (encore) le sublime. Tout en étant conscient que l’art est difficile mais la critique, aisée, je vais me permettre quelques remarques sur les points qui, à mon subjectif et humble avis, auraient mérité affinement, rectification, approfondissement. Je me place certes dans la position du prof pète-sec détaillant à son premier de classe les explications selon lesquelles le 18 de son dernier travail rendu n’a pu être arrondi à 20. Je vous supplie néanmoins de ne pas encaisser les commentaires subséquents comme le persiflage aigri d’un pisse-froid, mais bien comme l’anagogie exigeante et exégétique d’un thuriféraire perfectionniste et constructif.<br /><br />1. Diffuser l’enregistrement<br /><br />Christine l’hypermnésique évite craintivement de regarder les visages de ses sœurs, afin de ne pas, dit-elle, se les « imprimer dans la tête », que leur expression ne revienne pas peupler ses cauchemars, mais voila qu’elle ne peut s’empêcher de la tourner (la tête) pour les voir assister au crucial instant<br /><br />du déculottage. Ceci dit, que nous rapportez-vous de cette vision mortifiante ? « Deux paires d’yeux de gamines aux anges. » C’est évocateur, mais passablement mince. Sachant que les mimiques moqueuses de vos cadettes stigmatiseront comme au fer rouge votre conscience, vous auriez pu vous montrer moins avare en détails. On aurait apprécié un petit arrêt sur image, du genre : « Diane ouvre des yeux comme des soucoupes afin de n’en pas perdre une miette, Aline ne peut refréner un gloussement émerveillé en la poussant du coude. « Didi ! Elle lui baisse même la culotte ! » lui chuchote-t-elle à l’oreille. Diane ne répond rien, sa bouche s’entrouvre en une expression émerveillée, ses yeux pétillent, sa mine rayonne de fierté satisfaite. Ce n’est certes pas tous les jours que maman leur sert de si près la féerie si peu disneyenne pourtant de ma lune intégralement dévoilée. » Enfin, vous voyez ce que je veux dire ? <br /><br />SUITE CI DESSOUSChristine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-25207448927462342852012-05-27T22:18:53.814+02:002012-05-27T22:18:53.814+02:00Chère Christine,
Le temps est venu, petite sotte,...Chère Christine,<br /><br />Le temps est venu, petite sotte, de présenter des fesses bien propres, douces et fraîches au toucher que Maman va s'employer à rendre brûlantes et douloureuses, après un passage au travers de ses cuisses tout à fait mérité pour la « gamine » qui ne comprend que cela.<br /><br />Alors fît de toutes les anecdotes familières ne faisant qu'accroître l'angoisse d'une jeune fille qui se prépare à une correction maternelle méritée, laissant des traces physiques et psychologiques inoubliables.<br /><br />Physiquement insupportable, la fessée fait mal, surtout qu'en elle servie méthodiquement avec application, ce qui est le cas présentement, Maman considérant que ces avertissements précédents n'ont pas étés compris et qu'il est donc de son devoir, de faire mieux, pour endiguer une éventuelle récidive, au détriment des fesses de sa fille qui n'oublieront pas ce rendez-vous.<br /><br />Psychologiquement déstabilisant, une pré-adolescente qui se retrouve étendue sur les genoux de Maman déculottée sous les yeux de ses petites sœurs, pour être fessée comme une fillette ne pouvant contenir ses émotions et ses réactions face à une douleur envahissante qui l'épuisera au final et lui laissera un sentiment de regret.<br /><br />Tant d'énergie dépensée, pour finir avec des fesses écarlates, douloureuses, pleurante comme une madeleine sur son sort, s'en voulant à soi-même et non à Maman qui fidèle à ses principes d'éducation applique la seule méthode comprise par ses filles et notamment son aînée.<br /><br />Dés lors, une fessée qui plus est déculottée, n'a rien d'anodin pour notre héroïne (pudique) qui redoute ce châtiment pourtant efficace à son égard et constitue pour elle une défaite éprouvante, la ramenant à une condition de petite fille, dont on fait glisser la culotte vers le bas pour faire rougir ses fesses en cas de bêtise.<br /><br />Voilà donc une mère en présence d'une grande fille sur le plan physique, mais dotée d'une innocence juvénile l'amenant à des actions idiotes propices aux sanctions infantiles, que Maman considère comme seul remède efficace et cela fonctionne.<br /><br />Bien entendu, Christine, n'apprécie absolument pas d'avoir à s'offrir de cette façon (surtout devant témoins) sans défense pour ses rondeurs (dénudées) qui vont être consciencieusement claquées par la dextre maternelle, afin de lui faire comprendre son erreur.<br /><br />Notre conteuse, en la circonstance, va alors tenter de garder un semblant de dignité résistant aux assauts de la championne qui patiemment et calmement imposera sa suprématie, laissant à son adversaire la vaillance de son combat.<br /><br />Surprise par une entame presque caressante sur la culotte, les fesses sans protection de notre conteuse ressentes très vite la différence annonçant une suite bien plus difficile à supporter, malgré une solide expérience en la matière et commence à émettre quelques plaintes.<br /><br />Christine, submergée par la volée qui se prolonge, menée d'une main de maître par Maman implore l'arrêt des hostilités, comme une fillette ne supportant plus la claquée magistrale et publique qu'elle mérite.<br /><br />Ah, quelle petite gourde, cette Christine !<br /><br />Amicalement, Dominique.Dominiquenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-89202113692565119092012-05-24T15:56:06.912+02:002012-05-24T15:56:06.912+02:00Ouah la fessée déculottée devant les deux petites ...Ouah la fessée déculottée devant les deux petites la grand honte ChristineAnonymousnoreply@blogger.com