tag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post1077381844365047151..comments2024-01-01T11:16:06.584+01:00Comments on Souvenirs cuisants d'une jeune fille punie: Chronique d'un redoublement : 85. De Christine "calmée" et sage aux grandes confidences entre mères...Christine Spaakhttp://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comBlogger13125tag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-5468888371766942682015-06-23T11:38:38.161+02:002015-06-23T11:38:38.161+02:00Très appréciable récit effectivement un peu "...Très appréciable récit effectivement un peu "différent" et mettant en scène un personnage annexe de mère débordée. Je doute toutefois qu'elle ne puisse appliquer les règles Spaak à son retour le pli étant pris dans cette famille...<br /><br />... Autant d'intérêt à le lire qu'à ensuite suivre les commentaires judicieux des uns et des autres...Stan/E.https://www.blogger.com/profile/18277032166261511531noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-49896465239053249732015-06-03T01:06:24.709+02:002015-06-03T01:06:24.709+02:00Effectivement Mardohl la référence est judicieuse ...Effectivement Mardohl la référence est judicieuse avec cette mauvaise surprise en cours de maths, là où j'ai d'habitude les meilleurs résultats et où une leçon non apprise me vaut un zéro avec mot de la prof à faire signer pour le lendemain et alors même que l'ambiance est tendue à la maison à deux ou trois jours de l'arrivée des bulletins trimestriels... De quoi comprendre que Maman soit intraitable et que je sois énervée et comme en colère après moi-même de m'entendre confirmer mes craintes par l'annonce d'une fessée malgré le plaidoyer de ma chère Tata.<br />C'est là que la réflexion qu'une Mme Vitez tolère presque de Babette, devient dans ma bouche une effronterie intolérable pour Maman, qui plus est devant sa propre sœur...<br />Et c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase... Entraînant Maman à réparer l'affront par une fessée magistrale donnée sous les yeux de Tata Jacqueline qui assiste là à l'une des plus sérieuses qui lui ait été donnée de voir... Comme quoi un "Je m'en fiche" n'a pas la même valeur chez les Spaak que chez les Vitez...<br />Il est vrai que lors de l'arrivée du bulletin peu après, si Maman affirma que, comme je m'y attendais et préparais dans ma tête, je mériterais une bonne fessée, elle se contenta de la seule menace, m'évitant un retour sur ses genoux... Comme si la précédente déculottée valait pour deux. <br />Mais, j'avoue après toutes ces années que j'aurais sûrement préféré prendre une tannée pour mon bulletin et éviter celle devant Tata... Celle du bulletin aurait rejoint quelques souvenirs du même type, du même motif,et que j'ai tendance à confondre, alors que la déculottée méthodique et la fessée magistrale poursuivie malgré la plaidoirie de Tata demeure un des épisodes les plus marquants de ma période fessée...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-73723437773033630892015-06-01T21:41:45.315+02:002015-06-01T21:41:45.315+02:00Judicieuse remarque, Christine, j'ai omis la r...Judicieuse remarque, Christine, j'ai omis la référence de mon allusion. La scène dont je parle est tirée de l'épisode intitulé « Ces moments où le cœur bat fort : la tuile en maths (suite 3) » mis en ligne sur ce blog le jeudi 10 février 2011.<br />Je vous laisse juger sur pièce :<br />« En passant devant Maman, j'avais les poings fermés, je l'ai fixée avec un regard noir, puis en levant les yeux au ciel et en haussant les épaules.<br />Quatre petits mots me brûlaient les lèvres. C'était : "Pfff, je m'en fiche !" »<br />La fessée est administrée devant votre tante à l'épisode suivant, publié une semaine plus tard, et votre maman y clame en écho : « Tiens, tiens, tiens, ça t'apprendra à jouer les insolentes. Ah tu "t'en fiches" moins maintenant. »<br />Autrement, je prends acte du fait que vous ne venez pas d'Auvergne, ni de Paris. Que voulez-vous, la mention « vins et charbons » m'a immédiatement fait penser à l'album d'Astérix « Le bouclier arverne » qui fourmille de clichés sur cette région, notamment les innombrables étals de vins et charbons. <br />Mais enfin... je ne continuerai pas moins à traquer dans votre prose les indices géographiques et temporels.<br />Concernant la suite, je vous en prie, prenez votre temps et réglez vos impératifs professionnels en priorité, afin de nous revenir l'esprit plus libre pour nous narrer la suite de vos mésaventures !Mardohlnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-27034799866758883442015-06-01T14:03:26.726+02:002015-06-01T14:03:26.726+02:00Mardohl est content de cet épisode qu'il juge ...Mardohl est content de cet épisode qu'il juge "rafraichissant", ce qui n'est pas forcément l'avis de Christine, qui rougit des joues du haut, en entendant Maman Spaak raconter par le menu ses méthodes d'éducation et comment elle "rougit" plus souvent qu'à son tour les joues du bas de son ainée...<br />En tout cas, je suis ravie à mon tour de ces commentaires très judicieux de Mardohl, qui joue même, lui aussi l'archiviste (il manque juste la date du texte), en soulignant qu'un "Je m'en fiche" vaut juste une promesse de privation de télé à Babette, alors que la même phrase m'avait valu une déculottée devant Tata Jacqueline...<br />Sans vouloir donner raison à Maman, j'avais quand même compris ce jour-là qu'il valait mieux ne pas répondre à sa mère ou se montrer effrontée, la fessée qui plus est devant témoin, étant certainement plus efficace qu'une privation de télé d'une semaine, apparemment souvent ramenée à deux ou trois jours de par un petit jeu de charme de la fille Vitez sur sa mère.<br />L'avantage, pour Maman, de sa méthode, étant qu'une fessée donnée est donnée, et qu'une fois les fesses écarlates, on ne peut réduire la sanction.<br />Cela dit, quitte à décevoir Mardohl, mais promis je me rattraperai plus tard, je risque de ne pas avoir de temps dans les deux semaines à venir pour répondre aux questions qu'il se pose sur la suite, ayant un gros dossier professionnel à finir et un déplacement de quelques jours dans la foulée. Mais, je confirme que l'on a hélas pas fini d'entendre l'écho de cette fessée reçue devant mes soeurs...<br />Dernière précision : je ne suis pas auvergnate, mais il me semble bien que la famille Vitez, à deux générations au dessus, était corrézienne d'origine, d'où beaucoup de tenanciers de bar et de distributeurs de vin, bois et charbon avaient essaimé dans nombre de régions françaises (dont la mienne), et même à Paris.Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-71443978437275483262015-05-31T15:13:44.784+02:002015-05-31T15:13:44.784+02:00Mais la brèche étant ouverte, Madame Spaak va para...Mais la brèche étant ouverte, Madame Spaak va parachever son communiqué, ne celant aucun mystère, ne laissant en suspens aucune des questions de son interlocutrice, et alignant sans omission les révélations les plus humiliantes pour Christine. C’est en riant qu’elle notifie que la dernière fessée fut déculottée, tout en laissant entendre que le déculottage, loin d’être exceptionnel comme pourrait le penser Madame Vitez, toujours vu l’âge de la concernée, constitue la règle, tout en se fendant de commentaires techniques dans lesquels transparaît son pragmatisme : « Si je veux bien lui rougir les fesses, pas question de garder la moindre protection », « les claques sont plus efficaces quand les fesses sont à l'air » ainsi que sa parfaite conscience de la dimension mortifiante du processus : « tant pis si cela lui fait un peu honte ». Dans la foulée, elle explique, toujours pour la plus grande confusion de sa fille, que la déculottée fut administrée devant les deux petites sœurs, et qu’elle fut « magistrale ».<br />La mère de Babette envie la vôtre et s’en repart « ravie » de cette conversation, à l’opposé de Christine qui, elle, s’en montre effondrée. Madame Vitez quitte la maison, non sans saluer d’un rire amusé notre pauvre narratrice, envers qui elle se permet, encouragée par les confidences de Madame Spaak, qui d’ailleurs la soutient, d’enfoncer le clou, lui rappelant, sans mentionner l’acte (ce que fera votre mère) mais en le dessinant du geste, ce que risque de lui coûter un devoir mal fait.<br />En s’endormant, Christine peut mesurer l’étendue des dégâts que sa mère, pourtant pleine de son bon droit, risque indirectement de provoquer sur sa réputation en classe : la mère de l’une de ses camarades a été intégralement instruite, non seulement de sa dernière fessée, mais du fait qu’elle en reçoit régulièrement, toujours déculottées, parfois devant ses sœurs. Une parole échappée ne se rattrapant plus, notre héroïne peut émettre toutes les hypothèses les plus glaçantes pour son amour-propre : Madame Vitez va-t-elle en raconter quelque chose à sa fille ? Si oui, quels détails divulguera-t-elle ? Babette va-t-elle en profiter pour la narguer, ou pire, en parler à tout le monde pour faire de Christine la risée du collège ?<br />Rarement vous ne nous avez, chère Christine, proposé fin si ouverte, si prometteuse de scènes inédites, et j’attends la suite avec une convoitise particulière. De cette dernière fessée, que vous nous avez racontée avec autant de brio, j’ai comme l’impression que nous n’avons pas terminé d’en entendre l’écho !Mardohlnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-63417061418159670022015-05-31T15:13:25.318+02:002015-05-31T15:13:25.318+02:00Et effectivement, entre elle et vous, le clivage é...Et effectivement, entre elle et vous, le clivage éducatif est patent : Babette ne gère pas sa frustration, répond à sa mère, balance un coup de pied dans le mur, se fend d’un « Je m’en fiche » qui fait froncer les sourcils de votre mère. En effet, on imagine mal Christine se comporter ainsi ! La moindre de ses incartades lui aurait valu l’annonce immédiate et publique d’une fessée maison, appliquée aussitôt à domicile. (Parenthèse archivistique : dans un épisode précédente, ces trois mêmes syllabes lui avaient valu une déculottée devant sa tante Jacqueline.) Mais, ceci expliquant cela, nous sommes aussi joliment éclairés sur son mode éducatif : sa mère se contente de lui tirer l’oreille, de la priver de télé ou de sortie. On apprendra plus tard qu’il lui arrive même de lever ces sanctions, se montrant singulièrement plus laxiste que Madame Spaak.<br />Vient cette conversation entre mères qui, comme le redoutait Christine, qui de la cuisine entend tout, va porter sur les méthodes pédagogiques, et progressivement dévoiler à l’avide interlocutrice, par paliers que Christine ressentira comme autant de stations vers l’enfer, la nature du régime coercitif auquel elle est soumise.<br />Mi surprise, mi fureteuse, en tout cas « amusée », ainsi nous décrivez-vous l’attitude de Madame Vitez face aux éclaircissements de votre mère, et ainsi l’imagine-t-on en effet, intéressée de se renseigner sur les procédés disciplinaires dans une autre maison, elle à qui sa fille donne du fil à retordre, mais aussi sans doute inconsciemment mue (comme le lecteur) par un zeste de voyeurisme, qui l’amène, sous prétexte éducatif, à fourrager dans l’intimité d’une autre famille.<br />L’invitée ouvre les joutes par cette sentence engageant le thème crucial : « Si je ne me retenais pas, je lui donnerais des claques. » Des claques ! Madame Spaak peut sourire en effet (tout comme sourit le lecteur) car une fois encore on considère entre les deux maisonnées un écart réglementaire plus que sérieux. Madame Vitez hésite à gifler sa fille, et demande à votre mère si elle abuse ! De la cuisine, vous vous doutez, non sans trembler, de l’ampleur du démenti qui s’annonce ! En effet, Madame Spaak, en une périphrase en effet peu équivoque (et explicitée par le geste), mentionne « la seule bonne vieille méthode », que son interlocutrice s’empresse de formuler : « Il arrive que vous donniez encore parfois la fessée à votre grande Christine ? »<br />Cette phrase, et celles qui précèdent, s’avèrent d’une profonde richesse référentielle. Pour la première fois, une personne externe à la famille souligne explicitement, avec l’emploi du « encore » et de « grande », ce que l’application de la fessée a d’insolite (et donc, d’infantilisant) pour une fille de l’âge de Christine (alors qu’elle se justifie et se comprend envers ses petites sœurs… bien plus jeunes). La mère de Babette se montre d’ailleurs claire sur ce point : sa fille n’en reçoit plus depuis l’entrée au collège, c’est-à-dire, depuis près de trois ans. Christine peut à bon droit se sentir doublement, voire triplement honteuse : elle sait que, par le jeu des différences de traitement dans le rapport maternel, au moins une fille de sa classe est exempte de fessées (ce qu’elle peut ressentir, bien à tort d’ailleurs, comme une injustice), que la mère de cette fille (et partant, j’y reviendrai, cette fille elle-même) sait que, elle, Christine, y a encore droit, et surtout elle ressent pour sa plus grande vexation l’étonnement de Madame Vitez devant cette confidence. Non, recevoir la vraie fessée à 12 ans, quand on est déjà, selon les termes de la visiteuse, une « petite demoiselle », ce n’est ni systématique, ni anodin.Mardohlnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-61710899840194257232015-05-31T15:13:02.014+02:002015-05-31T15:13:02.014+02:00Que voilà un rafraîchissant épisode, abordant quel...Que voilà un rafraîchissant épisode, abordant quelques sujets inédits et explicitant quelques implicites, tout en nous développant quelques-unes de ces scènes de vie quotidienne (visite familiale à la bibliothèque, thé pris entre mère), délectables et détaillées (les petites louent des bandes dessinées, Madame Spaak sert des petits gâteaux à son invitée) baignant votre écriture de cette tonalité réaliste conférant à votre narration toute sa crédibilité.<br />Ainsi, vous exprimez clairement le hiatus que Christine (tout comme sa mère) distingue entre le « cercle social proche », l’entourage de proximité, constitué de la famille, des voisins, des commerçants du quartier, et un cercle plus large, englobant des personnes externes à l’entourage familial et géographique, comme la maman de Babette, avec qui les rapports ne se révèlent pas forcément quotidiens.<br />Dès lors, Christine, déjà terriblement honteuse de savoir sa fessée diffusée dans son voisinage, pourra ressentir comme d’autant plus embarrassant d’entendre sa mère la réciter à des oreilles pour ainsi dire exogènes. Cela n’échappe pas à Madame Spaak qui s’aperçoit de la gêne de sa fille et lui rappelle une fois encore qu’elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même. Comme vous le concluez de la plus limpide et synthétique manière : c’est dans cet opus « quelqu’un de plus qui découvr[e] tout d’un coup », et comme l’écrit le sociologue Georg Simmel : « Ce qu’une personne juge acceptable lorsqu'elle est dans le cercle de sa famille, peut être jugé par elle-même inacceptable dans le cercle de ses amis. Chaque cercle social est ici conceptualisé comme un univers, un espace-temps. »<br />L’épisode de la bibliothèque nous laisse donc voir une autre fille de votre classe, Marie-Elisabeth Vitez, ce qui mérite d’être signalé, car vos récits, centrés sur Christine, ne nous laissent pas souvent entrevoir le quotidien de ses camarades. Vous la situez par rapport à vos affinités, reconnaissant que vous ne l’appréciez guère, mais vous la situez aussi scolairement (montrant selon quels accidents de parcours vous vous retrouvez dans la même classe malgré votre différence d’âge) et, en bonne balzacienne, sociologiquement : « fille d'un gros négociant en vins et charbon », fille unique de surcroît, on peut en effet comprendre que, étant vous-même issue de la classe moyenne, vous ne partagiez pas forcément les mêmes valeurs. (Et puis attendez… « vins et charbon », vous trahissez vos origines ! Seriez-vous auvergnate ?)Mardohlnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-103362232371793002015-05-29T23:12:40.296+02:002015-05-29T23:12:40.296+02:00Finalement, Christine, votre espoir était alors qu...Finalement, Christine, votre espoir était alors que Mme Vitez, au lieu de simplement menacer sa fille d'une fessée "comme Christine reçoit" (avec le risque que cela ne s'ébruite), lui en donne une pour de vrai. On imagine mal Babette allant cancaner sur vous au risque de devoir ajouter qu'elle aussi se fait fesser maintenant.Pecan nutjobnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-36884889073782156022015-05-28T16:55:05.508+02:002015-05-28T16:55:05.508+02:00N'exagérons pas, Professeur. Que déjà Maman ra...N'exagérons pas, Professeur. Que déjà Maman raconte et détaille ses méthodes constitue une sacrée épreuve pour moi qui entend la conversation. Je pense que Mme Vitez en sait bien assez et ne peut mettre la parole de Maman en doute, surtout qu'elle a bien vu ma gêne et constaté que je ne niais pas la véracité de ses dires mais que je cherchais surtout à la faire changer de sujet. <br />Maman n'aurait cependant pas été jusqu'à agir devant une personne étrangère à la famille. Sauf si j'avais été odieuse devant Mme Vitez ou lui avais volé je ne sais quoi. <br />Quant à Pecan, évidemment le problème et la crainte que j'ai c'est bien que tout cela s'ébruite...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-79951043278200530592015-05-28T07:24:37.814+02:002015-05-28T07:24:37.814+02:00Oh, Mme Vitez, qui n'arrive pas à contenir sa ...Oh, Mme Vitez, qui n'arrive pas à contenir sa fille, risque fort de vouloir essayer les mêmes méthodes sur sa fille, y compris la déculottée, pour un meilleur effet. Mais en effet, elle risque aussi d'expliquer à un moment à sa fille, qui certainement protesterait que cette punition n'est plus de son âge, que c'est faux, d'ailleurs Mme Spaak agit de même avec Christine... Votre réputation ne sera plus à faire auprès de votre camarade. Au moins celle-ci ne va probablement pas ébruiter cela chez les copines, sous peine d'admettre qu'elle aussi reçoit la fessée!Pecan nutjobnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-43485492893945013032015-05-28T07:02:56.219+02:002015-05-28T07:02:56.219+02:00Cette maman ne semble pas encore tout à fait conva...Cette maman ne semble pas encore tout à fait convaincue. Il lui faudra certainement constater de visu l'intérêt de ces méthodes éducatives pour qu'elle soit amenée à se les approprier.Professeur Maxhttp://professeurmax.canalblog.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-85539594695442654662015-05-26T17:01:12.301+02:002015-05-26T17:01:12.301+02:00Effectivement, Dominique, je pourrais me consoler ...Effectivement, Dominique, je pourrais me consoler en me disant que si Mme Vitez se montre si intéressée par les confidences de Maman sur ses méthodes d'éducation, et sur ses "excellents" résultats, du moins du point de vue maternel, c'est peut-être pour suivre l'exemple avec sa fille... Mais, j'avoue que j'ai du mal à le croire, et me dis que, même si elle le faisait ou en avait l'intention, Mme Vitez le justifierait auprès de Babette en expliquant ce qui se passait chez les Spaak. Et, que de toute manière, Babette m'en rendrait indirectement responsable...<br />Mais, qu'elle l'applique ou pas, ce dont j'avais déjà la hantise, c'est bien de ce qu'allait dire ou ne pas dire Mme Vitez à sa fille...<br />Car, à me repasser dans la tête toute la conversation des deux mères, je me rendais compte que Maman n'avait vraiment rien caché, expliquant à son hôte que l'ainée en recevait souvent plus que les petites, que la déculottée était la règle, que chaque colle me valait une fessée magistrale, et que parfois même, comme la dernière fois, je recevais ma tannée devant mes soeurs...<br />Cette ultime confidence se déroulant justement dans le salon à l'emplacement où Maman m'avait fessée, je devinais aisément que Mme Vitez pouvait parfaitement imaginer la scène... De quoi me rendre encore plus honteuse a posteriori...Christine Spaakhttps://www.blogger.com/profile/02772117509314993278noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-2498277031661771670.post-21565590516026563312015-05-26T13:20:09.068+02:002015-05-26T13:20:09.068+02:00Chère Christine,
Pour l'anecdote, j'ai re...Chère Christine,<br /><br />Pour l'anecdote, j'ai retrouvé le commentaire ou vous me tendiez la perche (épisode 83, commentaire du 11/05) et par lequel, vous me faisiez part de votre contentement sur la suite du synopsis que je vais poursuivre, ainsi que la mésaventure du petit Minot ! Mais je ne l'avais pas lu, n'ayant plus l'aperçu directs des derniers commentaires, en page d'accueil.<br /><br />Sur ce, je viens de relire avec attention le présent épisode qui soulève chez moi, deux ou trois remarques immédiates que je vous livre pêle-mêle, avant d'y revenir :<br /><br />Le hasard donne l'occasion à Maman Spaak d'affirmer ses convictions, sur l'éducation et ses méthodes d'applications, non plus au seul cercle familial, mais à des tiers concernés par le sujet et sans faux semblant, la présence de sa fille ne la gênant nullement.<br />Situation terrible pour Christine, projetée au sommet de l'autel honteux, par cette confession maternelle détaillant cette tannée familiale, ô combien douloureuse tant pour le corps que l'esprit de sa fille et qui ce serait suffit à elle-même ! Mais voilà, telle n'est pas la volonté de Maman ! Seule éventuelle consolation, pour Christinette étant l'attitude de Mme Vitez face à ces confidences !<br />En effet, celle-ci semble fort intéressée par la méthode Spaak et ses résultats immédiats, se disant qu'il ne serait peut-être pas inutile, de la remettre au goût du jour pour sa fille, avec laquelle elle en proie à des difficultés plus délicates, que celles d'une Christine ne résultant que de son insouciance naturelle, sans vrai fondement de révolte. Mme Vitez s'y résoudra t-elle, en le faisant savoir à Mme Spaak ? Ce qui donnerait à Christinette, un léger sentiment d'égalité vis à vis de cette fille qu'elle n'apprécie guère !<br /><br />Voilà pour l'introduction, chère conteuse.<br /><br />Amicalement, DominiqueDominiquenoreply@blogger.com